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Sharlayan :
Un siège brillant de la connaissance, Sharlayan se dresse sur un archipel dans les mers du Nord. Une colonie du même nom fleurit autrefois dans les Hinterlands Dravaniens, et fut compté parmi les six grandes cités état d’Eorzea durant la seconde moitié de la dernière ère. Néanmoins, ses salles sont vides, et les fils et les filles de la nation ont été appelé au loin. Désormais, Sharlayan observe l’avancement du monde, mais refuse de changer le cours des évènements.
Drapeau : Quand Thaliak déversa les eaux de la connaissance dans sa rivière, la coquille spirale devint leur gardienne, telle est la légende dans laquelle le nautilus en est venu à symboliser la sagesse. En plus, les hommes croient que ces mollusques vivent pour toujours depuis des temps immémoriaux. C’est pour saisir l’essence de ces significations que le drapeau Sharlayanais porte une coquille en spirale verte ornée sur un champ d’argent.
Gouvernement : Quand Sharlayan avait encore bien peu d’habitants, tous les adultes se rendaient ensemble dans l’Ecclésia pour débattre des décisions de leur nation. Alors que leur nombre grandissait, ils en virent à élire au Forum les officiels qu’ils sentaient le mieux représenter la volonté du peuple. L’orateur du Forum sert de tête de l’Etat, mais son pouvoir est grandement restreint par la loi.
Dirigeant : Sharlayan est dirigée par un gouvernement issu du peuple, pour le peuple. Il n’y a pas un seul dirigeant.
Corps dirigeant : Les représentants de la plus haute institution de la nation sont élut par le vote de leurs concitoyens sharlayanais.
Distribution raciale : Inconnue
Note : Bien que ses citoyens soient d’origine diverse, Sharlayan ne fait pas de statistiques publiques sur sa population dans un but d’égalité.
Religion : Le peuple de Sharlayan s’est rassemblé pour satisfaire sa poursuite de connaissances. La cité elle-même fut érigée pour aider à cet effort, et dans ce processus Thaliak fut nommé divinité gardienne de la cité. Néanmoins, ce choix doit moins à une foi profonde qu’aux croyances des Sharlayanais. On accorde donc peu d’importance dans les rites religieux, et nombreux sont ceux qui prient d’autres dieux parmi les Douze.
Industries :
Technologie éthérique : A travers de longues années d’éthude de l’éther et de la magie, les érudits sharlayanais ont maîtrisé le secret de la traversée des Courants de vie éthérique à travers les Ethérites, ils ont sécurisé ainsi une ressource stable de devises étrangères.
Publication : Avec des érudits et des archontes écrivant discours sur discours, il n’est pas une surprise que la cité possède une puissante industrie de publication. Ces traités savants sont prisés des Eorzéens qu’ils soient académiciens ou artisans, lesquels paient volontiers de grandes sommes pour apprendre les dernières découvertes sharlayanaises.
Education : débutant avec le prestigieux Studium, Sharlayan possède de nombreuses fameuses académies qui acceptent des étudiants de toutes les nations. Dans le passé, les pupilles éorzéens de toutes les parties du continent se pressaient en nombre pour s’établir dans la colonie dravanienne de Sharlayan. Là, ils étudient une multitude de sujets dans différents domaines, bien qu’il semble que les enseignants aient réservés certains savoirs aux seuls citoyens de Sharlayan.
Croyances : Pour un plus grand but, Sharlayan cherche à rassembler la connaissance du monde, et la préserver pour la postérité dans les pages de la Bibliotheca Historica. Ils convoitent l’inconnu et l’inexploré, et portent une grande importance à l’éducation, en partie comme un rassemblement de ceux partageant la même vision. Ils abhorrent également les effusions de sang, trouvent la guerre barbare, et répugnent à voir leurs connaissances utilisées à des fins martiales. En tant que tel, ils gardent jalousement les connaissances qu’ils jugent dangereuses.
Alimentation : Comme on pourrait s’y attendre, la cuisine est souvent considérée comme un sujet d’étude, et la rumeur dit que Sharlayan possède d’innombrables grimoires détaillant les façons de faire de tout le reste du monde. Néanmoins, les gourmandises qu’ils créent le sont uniquement pour un usage académique, et non pour quelque chose d’aussi trivial que manger. La nourriture de tous les jours dans la cité est bonne pour le corps mais assez fade. En conséquence de nombreuses plaintes se font entendre de la part des étudiants étrangers au moment du repas.
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