[Mémoire] D'un chat noir.

[Meïlysse]

Je n'avais jamais pour habitude de laisser croire que mes rencontres étaient anodine, bien au contraire. Contrairement aux idées reçue j'étais dotée d'une chance incroyable et mon cœur c'était mis a palpité en sortant de l'Escale. J'y avais fais la rencontre de deux Lunaires; Ako qui semblait venir d'après ses dires du clan Rahz de Sombrelinceuil Est et capitaine d'un bateau, De Yhen'sae Un vagabond Musicien qui semblait lui aussi membre de cet équipage; Et Nathael, l'incarnation humaine du sérieux barbant. Il ne s’est pas passé grand chose de formidable dans cette maison a part des échanges amicaux, des échanges qui avait aussi pour but de nous comprendre, sentir et se connaitre.

C'est la sensation que j'ai sortit en quittant ses lieux qui reste pour moi a l'heure actuelle la plus puissante des sensation que j'avais ressentie en toute ma jeune vie. Mon aventure était sur le point de débuter. J'avais le sentiment d'avoir signer le début de nombreux événement qui allait bouleverser le cours de mon existence tranquille et paisible. Le début d'une nouvel ère pour moi, une évolution. Mon cœur trépignait a l'idée de connaitre la suite, mais la sagesse de mon esprit l'apaisa d'un souffle de patience. Mes pas, pour l'heure, savaient où ils allaient, et je m'en était largement contenté, Le Gold Saucer.

[Meïlysse]

Deux ombres sous un pont

Ma visite au Gold saucer c'était encore une fois soldé par une remise de prix, et je suis rentré chez moi les bras plein de lot et de peluches que j'avais au moins en triple. C'était la fête des étoiles et peut-être que je devrais en faire profiter l’hôpital des enfants ?
Quoi qu'il en était, je devais retourner au Bismarck pour préparer les cuisine.

A peine arrivé sur place Lyngsath me fixa de son regard pesant. Je détestais quand il me regardait comme ça. Ça voulais dire trois chose. Soit qu'il était pas content, soit que je suis passé sous ses yeux au mauvais moment...soit les deux.

"AKHABILA !"

Mon nez se renfrogna, mes oreilles se couchèrent et les poils de ma queue s’irisèrent. Par les douze, je n'étais pas sourde.

"Toi qui a toujours du temps a perdre, va donc faire des courses, on a besoin de ça pour ce soir."

J'approchais de lui pour lui prendre une liste des doigts et en l'observant j'haussait un sourcil.

"Un bateau de marchandise a couler ou quoi ? comment ça se fait qu'il nous manque autant de poissons pour ce soir ?"

- Si vous vous débrouillerez pas comme des manches quand il s'agit de faire l'inventaire, on en serais pas là ! Alors vas ! et reviens vite !

Comme toujours je me voyais lui flanquer la liste au visage et lui hurler que je n'étais pas sa bonniche en le voyant repartir ronchonner pendant qu'il nettoyais ses plans de travail pour ce soir, mais de vaine pensées en l'air, c'est lui qui me faisait manger après tout, je lui devais au moins ça. C'est ce que j'avais pensé sur le coup, mais en arrivant au marché, constatant qu'il n'y avait aucun des poisson que je cherchais a la vente immédiate, l'espace d'un instant, j'aurais juré être passé dans un état livide en me disant que j'allais devoir prendre ma canne a pêche.

Je m'ennuyait inlassablement le temps que les poissons mordent au abords de la rivière au requins, quand apparut cet homme torse nue avec sa canne a pêche. Il avait l'air pressé et enthousiaste a voir sa ligne frémir sous les pauvres poissons prient au piège de son hameçon. Quand je parlais de cette sensation que mon histoire commençait a s’écrire aujourd'hui...j'en avais de plus en plus la certitude, mais je ne m'y attendais pas aussi tôt.

Nous avons agréablement échangé, R'afalgar et moi même au bout de nos cannes. Il me disait avoir conçue seul un aéronef monoplace et il s'adonnait a la piraterie du ciel dans..l'écume des cieux. Une histoire totalement incroyable, dans un endroit totalement inconnue a mes oreilles et bien au delà de mon imagination. J'y croyais pourtant, était-ce avec son allure sur de lui et celui que caractérise parfois bien les hommes Solaire ? Non, j'avais envie de croire qu'un tel endroit existait et que cette activité également. J'avais envie d'en apprendre plus, de lui demander de m'en parler, mais il était assez pressée et n'avais pas envie de se faire pincer.

Cet échange aurait pu être classé sans suite, mais il m'offrit une perle. Il devais avoir sentit que j'était curieuse a son égard. Avant qu'il ne file a toute jambe, je lui ai dit que je l’appellerais rapidement. Je voulais entendre ses histoire. Cette simple rencontre avait ranimé une flamme aventureuse comme quand j'étais enfants.

[Meïlysse]

Choc des cultures

Je l'avoue ici, il m'arrivait très souvent de filer en douce du restaurant, ce qui attisait probablement la sévérité dont Lingsath faisait preuve a mon égard. cette fois, c'était pour retourner me promener sur la plage de la Brumée, qui sait ce qu'on peu y trouver la nuit, avec ma chance, que du bon probablement ! J'était a moitié dans le vrai, a moitié dans le faux.

J'ai fait la connaissance d'une lalafelle habillé dans un petit costume de reine totalement adorable. A ses côté se trouvais une Xaela aussi froide que l'hivers qui était en train de s'abattre sur nous. Respectivement, elles s’appelaient Orara Ora et N'aran tsetseg. J'avais eu beaucoup de mal a prononcer ce dernier et je suis certaine que je l’écris comme un pied...puisse-t-elle me pardonner un jour, si elle lis ses lignes du nouvel incident diplomatique dont j'ai fait preuve, car ô combien les Douze savent que j'ai frôlé la catastrophe et me prendre un coup de corne bien placer dans mon postérieur bordé de nouilles.

Oui, j'ai eu le malheur de lui parlé des bien fait d'une nation cosmopolite, et qu'il était normal qu'au travers des générations que les culture se mélange et finissent par ne devenir que de lointaine légendes. Nous avions eu cette discutions avec Ako et Yhen'sae un peu plus tôt dans la journée, je n'aurais jamais imaginé que mes mots aurais pu énerver a ce point. Malgré les efforts qu'Orara avaient fait pour essayer d'apaiser la Xaela, je remettais le sujet en avant. Je ne voulais vexer ni fâcher personne, je voulais juste essayer de la comprendre, et de comprendre mon erreur. J'était incapable de dire si j'avais été comprise, mais la tensions avait tout de même finit par s'apaiser d'elle même au fils de nos paroles.

Quand Orara nous avait quitté, j'avais eu un sentiment de frayeur, si jamais je commettais une nouvelle erreur...cela aurait pu aller plus loin sans sa présence. Elles semblait toute deux paisible avant mon arrivé. Mais agréablement ce ne fut pas le cas. Nous avions eu une discutions intrigante sur sa méprise de ses paires aux écailles blanches, qui nous a fait faire un nouveau parallèle entre les coutumes lunaire et solaire bien différente les unes des autres. Peut-être que nous nous haïssions également au début, lors de notre séparation ? Est-ce que leurs situation désastreuse allait finir par rapprocher les Xaela des Raens ? Est-ce que cela aurait été une bonne ou une mauvaise chose ?

Malgré tout, je ne me sentais pas si différente du mode de vie de la Xaela, et j’arrivais a comprendre son malaise dans nos maison, ses envie de garder sa culture et d'agir comme si elle était toujours dans les Steppes. avant que nous nous séparions, je lui est promis de l’emmener une fois au Gold Saucer, un endroit dont elle ne voyais pas l'utilité au départ. Intérieurement, je jubilais un peu de voir une personne comme elle dans un endroit pareil, et j'avais hâte qu'elle me recontacte pour cela. J'étais sûre d'une chose, même si il y a eu des haut et des bas dans cette discutions, l'avenir pourrais être prometteur.

[Meïlysse]

Aux portes de l'étrange

Ce soir là, j'ai eu toutes les réponses a ce que j'essayais de comprendre. Pourquoi m'étais-je sentie aussi emballée par le torrent du destin.
Vous savez ce que sont les superstitions n'est-ce pas ? Moi j'y croyais, et j'y crois encore aujourd'hui. La chance, les dieux, le destin, les croyances j'ai toujours crue en eux et que tout cela jouais un rôle dans notre vie. D'autre aussi y croyais et j'en ai subit les conséquences mais j'ai mentis. Je leurs avais tous mentis. Je n'avais pas estimé l'importance que ça aurais pu avoir sur ma vie après tout. Jusqu’à ce que je me retrouve dans ce Manoir emplit de magie, d'esprit, de pratiques étranges. Bien sure, même si j'ai joué mon avenir a pile ou face je n'avais pas conscience a quel point il m'avais guidé vers ma place, ma propre place. Si un jours, ceux a qui j'ai mentis lisent ses mots je vous prie de m'excuser du plus profond de mon cœur, et laissez moi vous faire mes confession lâche, sans que je n'ai a affronté votre regard.

Non, je n'ai pas quitté mon clan a cause d'une autre famille, et non plus, je n'étais pas destinée a être matriarche. Je l'étais tout simplement.
J'imagine que vous connaissez la superstition du chat noir ? Chanceux par sa condition de chat et porte poisse a son entourage, et bien avec moi, rien n'a jamais été aussi vrai. J'avais toujours porté la poisse à mes proches, comme si fréquenter quelqu'un le liais a moi comme un contrat a la vie, a la mort. Oui, a la mort. Je en suis pas encore prête a coucher sur le papier ce qui a pu se passer au seins de mon clan, je le ferais surement un jour avec un peu plus de patience et de courage mais vous savez aujourd'hui les grande lignes.

Une fois seule, je me suis réfugier dans ma propre chance et dans la capacité de mon cerveau a étudier et a apprendre. J'étais trop jeune quand j'ai pris la succession de ma mère mais je n'avais pas eu d'autre choix alors que j'avais un mode a parcourir, un savoir a apporter au miens. Je rêvais de pouvoir rattraper mes erreur le jours ou je trouverais un homme qui pourrais épouser une poisseuse comme moi en combattant la malédiction de cette superstition, m'offrir des petit a qui je pourrais faire profiter la sagesse que j'aurais acquis. C'est comme ça, que je veux rattraper mes erreurs.

Ce manoir me mettais au pied du mur...tout ce qu'il s'était produit a l’intérieur me faisait une peur panique face a mes propre peur et ma condition mais d'un autre côté l'appel avait été bien trop fort même ma pièce porte bonheur me confirma que c'était ici, c'est ici que je devais évoluer, que ma vie devais changer, a L'institut Ravenswood. J'avais conscience que j'allais être sans doute un poids pour eux au départ a cause de ma faiblesse sur des événement dont eux son habitué, mais eux, n'avais pas conscience de comment j'allais me métamorphoser.

J'allais devoir faire mes preuves...dans les cuisines pour le moment, et ce n'étais pas plus mal, au moins je n'allais pas comêtre d'erreur derrière mes fourneaux adorés, mais bientôt, très bientôt, j'allais leurs montré que de miser sur un chat noir n'étais peut-être pas une mauvaise chose...si ils ne mourraient pas avant.

[Meïlysse]

Adieux déchirants ?

Ce midi là, c'était mon derniers service au Bismarck. J'était arrivé avec ma lettre de démission et de nombreux collègues sont venue me voir pour me demander pourquoi je quittais les cuisine. Je leurs avais tant bien que mal expliqué que mon avenir n'étais pas d'être a jamais derrière des fourneaux et que Lyngsath le savait lorsqu'il m'avais engagée il y a trois ans de cela. Je n'avais pas beaucoup de liens d'amitié avec eux, mais je savais aussi qu'ils feraient moins " d'oublie" après mon départ. Malgré tout, j'ai vu une serveuse qui avait du quitter son poste parce qu’elle était triste de me voir partir. J'ai tentée de la réconforté en lui disant que ce n'étais pas un adieu et que je reviendrai très probablement au restaurant. Elle me fit un petit sourire triste pour me faire plaisir. Dans le fond, elle savait que je ne reviendrais pas si souvent que ça.

Après mon service, je m'approchai de Lyngsath qui ne m'adressa même pas un regard.

"Tu es une lâcheuse."
- Mais ...? bien sure que non, tu le savais que je ne resterais pas éternellement ici.
- Comme par hasard, les fêtes arrive et tu pose ta lettre de démission. On sait tous ici que t'aime tirer au flanc, et c’est moi le premier a en faire les frais.
-Lyngsath...tu dis n'importe quoi quand tu t'y met, vraiment...
- Ton avenir est ailleurs que d'avoir la chance de travailler dans un grand restaurant d'une inoubliable renommé ? et bien part donc...épargne nous a tout les deux d'avantage d'humiliation...

Lyngsath et moi, ça n'avait jamais été le très grand amour mais je l'admirais beaucoup quelques part, et j'avais été blessée qu'il ne me dise pas au revoir comme je l'avais pensé. J'étais trop orgueilleuse pour faire autre chose que d'hausser les épaule et quitter une dernière fois les cuisine sans un regard en arrière. Plus tard, cette serveuse attristé par mon départ me raconta qu'elle l'avais pris en train de pleurer peu après mon départ en prétextant des oignons imaginaire. Baderon m'aura finalement remis une lettre de sa part plus tard avec des adieux digne de ce nom et qui me fut vraiment plaisir lorsque je l'avais reçue. Je lui répondis avec toute l'admiration que j'avais pour lui. Un chapitre de mon histoire se termine.

[Meïlysse]

Folie où génie ?

Tout a commencé avec ma pièce qui se changea en morceau de viande saignante...du sang sur les doigts que personne ne pouvais voir...ma pièce porte bonheur qui tentais de me mordre...des rire dans mon esprit. Le démon s'en prenais clairement a moi, et j'étais bon publique. Fascinée par cette apparition mais a la fois terrifiée et je ne savais plus rien reconnaître. Ami, ennemis, démon ou non, réalité et illusion. Toute ses valeurs n'avait plus d'importance, plus de sens. Ce qui m'avais achevé, c'était d'avoir vu la tête de Tristan pendre au plafond, dégoulinante de sang...la suite, je ne l'ai plus vue. Comme une lâche je m'étais bouché les oreilles, caché les yeux contre mes genoux...recroquevillé dans la pièce alors que je savais qu'autour de moi la situation était Chaotique malgré mes nombreuse tentative de reprendre le contrôle.

Et puis...arriva cet instant ou j'ai réussit a lui parler. Les autres ont tout fait pour m'en empêcher, mais il fallait que je fasse quelque chose...et depuis cet instant...je suis épargnée par ses vision et il me parle, a moi, il me donne des information qui pourrais être utile a l'identifier et a le repousser Il m'a demander si je voulais fusionner avec lui pour alimenter la source...et il entendait par là...moi.
Je fit un pari dangereux mais après tout...la meilleure parieuse...c'est moi.