➸ Pahja Epocan

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Shangri-La
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➸ Pahja Epocan

Message par Shangri-La » 04 juin 2019, 13:41

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Tribu : Epocan
Prénom : Pahja
Âge : Dix-neuf ans
Origine: Forêt de l'est - Sombrelinceul
Occupations : Chasseuse
Croyance : La Sylve
Famille : Parents : Rhel Epocan, Mère de la tribu, Thala'li Epocan, père
Sœurs : Rhaya (25 ans), Naoh (23 ans), Sizha (17 ans)
Frères : Rhel'a (21 ans), Rhel'to (†, aurait 8 ans)
Romance : Pas intéressée (au grand dam de sa mère)
Alignement : Chaotique Bon




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Une peau d'une pâleur lunaire, une chevelure immaculée et deux immenses yeux noirs. C'est ce que l'on remarque en premier chez Pahja, jeune miqo'te de la tribu de la Lune. Assez grande pour sa race, elle reste néanmoins de taille assez modeste puisqu'elle n'atteint pas le mètre soixante. Bien qu'elle soit une jeune femme, les traits pleins de son visage lui donnent un air enfantin. Son regard pétillant et son large sourire accentuent cette impression de candeur, au point qu'on oublierait la chasseuse aguerrie qui se cache derrière ce joli minois.

Pahja est née avec des taches rondes sur la fourrure de sa queue. Si la chamane pensait qu'elle les perdrait en atteignant l'âge adulte, il n'en fut rien. Alors, en écho à cette particularité, sa mère lui fit tatouer sur les joues des rosettes semblables à celles des coeurls.

De par son mode de vie principalement arboricole, Pahja présente un corps longiligne, peu formé et sec. Taillée pour l'endurance, elle s'avère particulièrement souple et élancée. Ses cheveux blancs sont très longs et font son identité. Ornés de plumes et de perles, elle les attache le plus souvent en queue de cheval basse, les enroulant dans une lanière en cuir sur une bonne longueur. Elle alterne parfois avec une queue de cheval plus haute, mais ne les libère jamais publiquement.

Pahja est une guerrière qui voit en ses tenues vestimentaires le côté pragmatique. Elle n'est ni coquette, ni soucieuse de l'image qu'elle renvoie aux autres. Seule la pérennité des Epocan et l'équilibre de la Sylve lui importent.




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[ceci n'est qu'un très bref résumé, toutes les subtilités du personnage n'y sont pas retranscrites]


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Chasseuse - La chasse est l'une des activités majeures qui rythme la vie nocturne des miqo'tes lunaires. Pahja ne fais pas exception. Comme toutes les autres femelles de la tribu, elle a appris à manier un arc très jeune. La particularité de sa famille veut que l'enfant confectionne elle-même son arc, en imitant les adultes mais sans aucune intervention de ces derniers. Ainsi, Pahja a fabriqué son premier arc entre ses quatre et cinq ans, et a tué son premier gibier à sept ans.

Gardienne - La sécurité de la tribu est ce qu'il y a de plus important. La Sylve est juste et n'octroie aucun traitement de faveur. Ses autochtones l'ont bien compris et parmi les Epocan, la garde des enfants et la surveillance des mâles, aussi rares que précieux pour la reproduction, font le quotidien des jeunes miqo'tes lunaires quand elles ne partent pas à la chasse. Ainsi, tout le monde œuvre pour la pérennité de la tribu et chacune veille à la bonne éducation des plus jeunes.

Éclaireuse - Discrète, le pas léger, Pahja est l'une des meilleures éclaireuses de sa tribu. Elle arpente la Sylve depuis son tout premier arc et au fil des péripéties, des dangers et des aventures qui ont parsemé ses escalades arboricoles et ses courses effrénées, elle a appris à lire les empreintes, se fier à son odorat, se déplacer efficacement et en silence, en optimisant les efforts fournis. Elle est souvent envoyée par sa mère, afin de surveiller que des étrangers n'approchent pas du camp.

Combattante - Les rivalités entre tribus sont courantes, même si les miqo'tes lunaires préfèrent éviter l'affrontement, qui n'apporte rien à la famille, si ce n'est le risque de perdre un de ses membres. Les conflits liés à la territorialité peuvent éclater. Lorsqu'ils surviennent, ils sont souvent violents mais très brefs. Les vrais guerres entre tribus sont extrêmement rares, mais pas inexistantes. C'est ainsi que Pahja a perdu son frère cadet, lors d'un assaut des Jaab.




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< L'arc de Pahja est adapté à la taille des Miqo'tes : court, il est particulièrement robuste. Cet arc est transmis de génération en génération. Il appartenait il y a peu à la Mère de la tribu Epocan. Fille directe de celle-ci, et sans doute celle qui s'est illustrée le mieux dans l'art de l'archerie, c'est Pahja qui en a hérité l'année passée. >

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< La chemise que porte la jeune Miqo'te est tissée dans des matières de haute qualité au vu des moyens de la tribu, mais un marchand de textiles à l'œil confirmé n'y verrait rien d'exceptionnel et ne pourrait le revendre, faute de marge intéressante. Souple, léger mais protecteur, ce vêtement est totalement adapté au mode de vie de la chasseuse. >

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< Alors qu'elle s'entraîne à l'arc depuis qu'elle est en âge d'en utiliser un, Pahja sait que la protection de ses avant-bras est importante pour éviter les blessures liées au frottement de la corde à chaque flèche décochée. Les gants sans doigt que la jeune Miqo'te porte sont donc fabriqués en cuir épais, et renforcés sur les faces internes, plus exposées. >

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< Le pantalon est lui aussi renforcé, plus particulièrement sur les tibias. Les Epocan portant des bottes montant jusqu'aux genoux, les pièces dures qui recouvrent la partie inférieure de la jambe offrent une protection évitant les frottements. Les faces externes sont également renforcées, protégeant les cuisses durant les courses à travers les ronces. >

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< Pahja porte des bottes à semelles souples, assez épaisses pour protéger la voûte plantaire, mais permettant toutefois une flexibilité totale du pied pour grimper efficacement aux arbres. Ces bottes sont surmontées de guêtres et retroussées à leur sommet, limitant la zone de frottement. Un ruban à la botte gauche rappelle la matière de la chemise. >


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CHANT RITUEL DE LA TRIBU



La famille de Pahja possède ses propres chants, dont son chant rituel. Resté inchangé depuis des générations, ce chant est composé de mots inconnus, dans une langue que seuls pratiquent les membres de la tribu. Composé de sons nasillards, que les percussions et les flutes subliment, le chant rituel s'entonne assis, en cercle autour de la chamane elle-même assise en tailleur.

Le premier cercle est formé par les enfants et les anciens. Le deuxième cercle, entourant le premier, comprend les adolescents, et les apprenti-chasseuses. Le troisième cercle est réservé aux mâles, le quatrième, le cinquième et le sixième, à toutes les autres femmes : tisserandes, tanneuses, cuisinières, gardiennes et guerrières.

Au sein du premier cercle, les membres se tiennent simplement la main. À partir du deuxième cercle, le lien physique entre membres est le même pour tous : la main gauche sur l'épaule du voisin, la main droite sur l'épaule de celui qui se trouve devant, sur le cercle précédent. Ainsi, les six anneaux autour de la chamane sont reliés entre eux par le contact.

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