La Religion en Eorzea

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Ruuj/ Suvd/ Shana
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La Religion en Eorzea

Message par Ruuj/ Suvd/ Shana » 17 févr. 2021, 14:06

Les Douze :
« Eorzea. Une terre aimée des dieux, et forgée par les héros. »
Les dieux dont parlent cette épithète sont les Douze, le pilier sur lequel la foi religieuse repose fermement en Eorzea.

Le culte des Douze :
La croyance dans les Douze, un panthéon de dieux et déesses dont chacun représente un des six éléments sur lequel toute la création est fondée, a servit de pierre angulaire pour la civilisation en Eorzea depuis des millénaires. Bien que les théologiens restent incertains de l’origine exacte du culte des Douze en Eorzea, les études des reliques provenant de la civilisation allagoise leur témoigne que même il y a cinq milles ans, au sommet de la Troisième Ere Astrale, les six dieux et les six déesses étaient déjà enracinés dans la société, comme ils le sont aujourd’hui. Non seulement avec l’année divisée en douze mois, un cycle de douze années est utilisé dans l’astrologie moderne, mais les cités-Etats choisissent également une divinité patronne pour servir de gardien à leurs terres, ainsi ces divinités devinrent un point essentiel du développement de la culture, comme c’est le cas avec Nald’thal et l’inclinaison économique d’Ul’dah.
Parfois des gens de certaines races ou certaines professions choisissent de concentrer leur foi sur une divinité unique. De nombreux Miqo’te parmi les Clans de Chercheurs du Soleil suivent les enseignement d’Azeyma, la Gardienne, et déesse du soleil. Les marins prient souvent Llymlaen, veilleuse des mers et déesse de la navigation pour voir leurs navires revenir sain et sauf au port, et les artisans prient souvent Byregot pour guider leurs mains.

Halone la Conquérante :
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Halone, maîtresse des glaciers et déesse de la guerre, est la divinité gardienne de la cité d’Isghard. Elle commande à l’élément de la glace et est associée à la première Lune (Janvier) du calendrier éorzéen. Halone est la fille de Rhalgr et l’amère rivale de Nophica. Elle est le plus souvent dépeinte comme une implacable guerrière armée d’un grand bouclier de bronze. Son symbole est trois lances côte à côte.

Memphina la Bien-Aimante :
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Memphina est la gardienne des Lunes jumelles et la déesse de l’amour. Elle commande à l’élément de la glace et est associée à la seconde Lune (Février) du calendrier éorzéen. Memphina est la sœur d’Azeyma, et l’amante divine d’Oschon. Elle est le plus souvent décrite comme une servante portant une poêle à la main. Son symbole est la pleine Lune.

Thaliak l’Erudit :
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Thaliak, souverain des rivières et du savoir et dieu de la connaissance. Il est le dieu protecteur de la cité de Sharlayan. Il commande l’élément de l’eau et est associé à la Troisième Lune (Mars) du calendrier éorzéen. Il est le père de Llymlaen, et le maître de Byregot. Il est le plus souvent décrit comme un érudit réservé portant un bâton de frêne. Son symbole est le parchemin.

Nymeia la Tisseuse :
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Nymeia est l’observatrice des Corps Célestes et la déesse du destin. Elle commande à l’élément est l’eau et est associée à la quatrième Lune (Avril) Lune du calendrier éorzéen. Nymeia est la petite sœur d’Althyk, et le maître de Rhalgr. Elle est le plus souvent dépeinte comme une tisserande coiffée d’un voile de soie blanche. Elle est symbolisée par un rouet.

Llymlaen la Navigatrice :
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Llymlaen, la veilleuse des mers et déesse de la navigation, est la déesse protectrice de la cité de Limsa Lominsa. Elle commande à l’élément du vent et est associée à la cinquième Lune (Mai) du calendrier éorzéen. Llymlaen est la fille de Thaliak, et la sœur ainée de Nophica. Elle est le plus souvent dépeinte comme une robuste pêcheuse portant un harpon à longue lame. Son symbole est la vague.

Oschon le Vagabond :
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Oschon est le seigneur des montagnes et le dieu des errants et des voyageurs. Il commande l’élément du vent et est associé avec la sixième Lune (Juin) du calendrier éorzéen. Oschon est le frère de Nald’thal, et le meilleur ami d’Halone. Il est le plus souvent dépeint comme un chasseur insouciant portant un arc d’if. Il est symbolisé par un bâton de marche.

Byregot le Batisseur :
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Byregot est le pouvoyeur de l’architecture et de l’industrie, et le dieu des arts. Il comment à l’élément de la foudre et est associé à la Septième Lune (Juillet) du calendrier Eorzéen. Byregot est le frère ainé d’Halone, et le pupille de Thaliak. Il est le plus souvent dépeint comme un ardent forgeron maniant un marteau à deux têtes. Son symbole est la main.

Rhalgr le Destructeur :
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Rhalgr, le briseur de mondes, est le dieu de la destruction et la divinité gardienne de la nation désormais brisée d’Ala Mhigo ; Il commande l’élément de la foudre et est associé à la huitième Lune (Août) du calendrier éorzéen. Rhalgr est le père de Byregot et d’Halone, et est le serviteur de Nymeia. Il est le plus souvent dépeint comme un mage portant un baton de bronze. Son symbole est l’étoile filante.

Azeyma la Gardienne :
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Azeyma est la gardienne du soleil et la déesse de la justice. Elle commande à l’élément du feu et est associée avec la neuvième Lune (Septembre) du calendrier éorzéen. Azeyma est la fille d’Althyk, et la sœur ainée de Memphina. Elle est le plus souvent dépeinte comme une noble dame portant un éventail d’or. Son symbole est le soleil rayonnant.

Nald’thal les Marchands :
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Nald’thal veille sur les enfers et est le dieu du commerce, il est la divinité gardienne de la cité d’Ul’dah. Il commande à l’élément du feu et est associé à la dixième Lune (Octobre) du calendrier eorzéen. Nald’thal est la manifestation unique d’une divinité jumelle Nald et Thal. Il est le plus souvent dépeint comme un marchand perspicace portant une balance. Son symbole est le cauris, un coquillage servant autrefois de monnaie.

Nophica la Matrone :
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Nophica, amante de la terre et des récoltes et déesse de l’abondance, elle est la divinité gardienne de la cité de Gridania. Elle commande à l’élément de la terre et est associée à la onzième Lune (Novembre) du calendrier Eorzéen. Elle est la fille d’Azeyma, et la jeune sœur de Llymlaen. Elle est le plus souvent décrire comme une fermière joyeuse portant une faux d’acier. Son symbole est la feuille printanière.

Althyk le Contemplateur :
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Althyl est le surveillant du changement et de l’espace et le dieu du temps. Il commande à l’élément de la terre et est associé à la douzième Lune (Décembre) du calendrier éorzéen. Althyk est le père d’Azeyma et de Menphina, et le frère ainé de Nymeia. Il est le plus souvent dépeint comme un austère empereur maniant une grande hache de mythril. Son symbole est le sablier.
SPOILER
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Re: La Religion en Eorzea

Message par Ruuj/ Suvd/ Shana » 17 févr. 2021, 15:59

Le mythe de la création :
Le mythe de la création en Eorzea a pris une myriade de formes au cours des âges. Un proéminent astrologue et théologien, Lewphon de Sharlayan, a passé sa carrière académique à étudier les redondances dans ces versions et les a compilés jusqu’à clamer avoir son mythe originel.
Au commencement, il n’y avait pas de lumière, pas plus que de ténèbres, seulement le Tourbillon.
Et il en fut ainsi jusqu’à ce qu’Althyk en émerge dans sa nudité, faisant faire au temps son premier pas en avant. Avec lui, le Contemplateur portait un fardeau, et de ce fardeau prit forme les royaumes terrestres et le firmament.

Cependant Althyk ne devait pas être seul longtemps, car le Tourbillon fit bientôt un nouveau pas en avant. Son nom était Nymeia, et Elle n’était rien d’autre qu’un enfant ne faisant rien d’autre que pleurer, et bientôt ses larmes formèrent un vaste lac.  Althik cherchant la compagnie dans les royaumes vides de sa Création, prit la jeune déesse sous son aile et s’en occupa comme sa fille.
Comme Nymeia grandissait, néanmoins, alors, aussi, en faisait de même l’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être contenu, culminant en un couple divin qui vit la naissance de deux sœurs sacrées, Azeyma, le soleil, et Memphina, la lune, et avec leur ascension, fut conçus les jours et les nuits.

D’innombrables cycles de lumière et de ténèbres passèrent avant que le Tourbillon, une fois encore, fasse un nouveau pas en avant. Thaliak, porteur de la sagesse et de la connaissance, contempla le lac silencieux et immobile laissé par les larmes de Nymeia et en obtient une rivière pour porter l’eau jusqu’aux recoins les plus éloignés du royaume.
Azeyma, attirée par la sagacité de Thaliak, confessa son amour à la nouvelle divinité et lui offrit deux filles, la première fut Lllymlaen, qui prit les eaux créées par sa grand-mère et les étendit en les mers du monde.
La seconde était la solitaire Nophica, qui, cherchant la compagnie, créa ses propres camarades de jeu, et ceci amena la vie dans le monde.

Ce ne fut pas avant que la vue se soit répandue dans les terres et les mers nouvelles créées qu’un nouveau dieu apparu, mais d’où il venait restait un mystère pour les autres, car le Tourbillon restait endormi.
Son nom était Oschon, et où il errait s’élevait d’immenses montagnes depuis les plaines. Avec la formation de ces pics se mit à souffler un vent glacé depuis les hauteurs jusqu’aux chaudes mers en un cycle infini, portant la vie jusqu’alors réservé aux eaux et aux eaux dans les cieux.

Ces vents firent naître l’amour dans le cœur de Llymlaen, cependant même si elle désirait être avec Oschon, sa soif de voyage les empêchait de se rejoindre trop longtemps, et ils ne conçurent jamais d’enfants.
C’était un temps de grande création, mais aussi de grand chaos. Les montagnes d’Oschon s’élevaient et retombaient à son envie, les rivières de Thaliak s’écoulaient çà et là, et les mers de Llymlaen s’étendaient sans fin, avalant des monceaux de terre avant que même les dieux n’apprennent leur existence. Pour mettre de l’ordre dans ce chaos, Nymeaia arracha une puissante comète des cieux et lui donna vie, la dirigeant vers le monde pour qu’elle détruise les excès que ses fils et filles avaient rependus, en apportant une fois encore l’harmonie sur le royaume.

Et pour bien des jours et des nuits, le monde fut calme, les dieux satisfait de l’ordre qui régnait désormais.
C’était avant que le tourbillon ne soit tiré de son sommeil et n’apporte deux divinités finales, Byregoth et sa jeune sœur Halone. Il était à craindre que les frères et sœurs sauvages et ambitieux n’apporte une fois encore le chaos sur le monde, ainsi pour qu’ils soient proprement disciplinés, Nymaeia les confia rapidement à Rhalgr, le Destructeur.

Un bâtisseur par nature, Byregot n’apprécia rapidement pas que son nouveau Beau Père ne puisse lui apprendre que la destruction, choisissant plutôt de passer le plus clair de son temps sous la tutelle de Thaliak. L’Erudit offrit à son étudiant affamé la connaissance qu’il put utiliser pour forger des outils et développer des techniques de créations.
Quoi que plus ouverte aux enseigneurs de son nouveau père, Halone, également, s’agitait et désirait tester sa force. L’opportunité se présenta quand Oschon offrit à la jeune déesse de l’accompagner dans un de ses voyages. C’est durant ce voyage que l’ambition d’Halone se transforma doucement en un ardent désir de bataille. Alors que sur la route, elle défiait toutes les créatures qu’elle croisait, améliorant ses compétences et concevant méthodiquement de nouvelles façons de tuer.

Quand Nophica, mère de la vie, apprit les destructions gratuites de ses créations causées par Halone, elle fut prise d’une colère au-delà des mots et jura de se venger, mais la conquérante ignora les provocations de la Matriarche, creusant un peu plus le fossé entre elles. Oschon, se sentant responsable de cette fissure, conçu un plan pour calmer Nophica. Du plus profond des montagnes de sa création, Oschon convoqua une fontaine de magma qui jailli sur la terre.  Lors du refroidissement, le magma prit la forme du douzième et dernier dieu des Douze, la divinité duale de Nald’thal.
Avec Nald’thal, Oshon avait créé un dieu pour veiller sur les âmes de ceux qui avaient rencontré leur mort et leur fournissait la paix dans l’au-delà.
Satisfaite que ses créations n’erreraient plus sans but dans le vide, Nophica accepta une trêve avec Halone.

Et avec l’ascension du Douzième et dernier dieu, le panthéon fut complet.
Mais avant qu’ils ne puissent annoncer la fin de leur labeur, ils exigèrent d’abord un royaume dans lequel ils pourraient résider et observer la myriade de leurs créations. A cette fin, ils créèrent sept paradis et s’y retirèrent finalement, transmettant le destin d’Eorzea à l’humanité.
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Re: La Religion en Eorzea

Message par Ruuj/ Suvd/ Shana » 17 févr. 2021, 18:33

Enfers et Paradis :
Chaque dieu et déesse parmi les Douze est associée avec le contrôle de l’un des six éléments. Quand les déités jugèrent leur travail en Eorzea achevé, elles passèrent à la création du firmament, le résultat fut six paradis alignés sur l’aspect astrale dans les cieux pour chacun des six éléments, et un septième paradis pour les diriger tous. Néanmoins, les produits résiduels de la création de ces paradis furent enfers aux aspects similaires, dirigés par un septième aligné sur l’ombre les englobant tous. Les six « Paradis inférieurs » sont représentés dans les cieux par six constellations, étoiles formant ce que les astromanciens perçoivent également comme des portes, qui quand elles sont ouvertes, peuvent permettre à une personne de s’harmoniser à un paradis et d’en manipuler l’éther. Ces constellations gravitent autour de l’étoile polaire qui l’on croit être la porte du septième et dernier paradis.
Tandis que certaines sectes de la fois des Douze ont différentes visions de l’au-delà, la plupart croient que les plus vertueux on une place promise au paradis alors que les pécheurs sont condamnés à une éternité de punition dans les enfers. Une croyance rendue populaire par un célèbre théologien et dramaturge de la Sixième Ere Astrale qui met en scène la mort d’un homme mauvais, qui tombe dans l’enfer qui correspond aux pêchers qu’il a accomplit au cours de sa vie. Ayant souffert une éternité en paiement de ses péchés, il doit voyager à travers les cinq « Enfers supérieurs » restant pour être témoins des péchés de ses frères avant de finalement arriver aux portes du septième enfer, où sont cœur est pesé. S’il est lourd de chagrin et de repentance pour ce qu’il a fait, il peut se rendre au paradis. Mais s’il reste léger, il est admis au septième enfer où il souffrira pour toujours.

L’Enfer et le Paradis du Feu :
Dans le Paradis du Feu s’étend une cité sans fin batie par Nald’thal de briques d’or durcies à la chaleur du soleil d’Azeyma. Ici réside le juste et le loyal, l’honnête et le philanthrope.
L’Enfer du Feu fut formé quand les décombres laissés par la construction de sa contrepartie céleste furent jetés du firmament dans le Puits ténébreux et brulant. Où brulent ceux qui méjugent leurs pairs, qui trompent leurs clients, et ceux qui donnèrent et reçurent des pots-de-vin.

L’Enfer et le Paradis de l’Eau :
Pour créer la rivière qui court à travers le Paradis de l’Eau, Nymeia fondit une étoile, à laquelle Thaliak ajouta l’essence de la connaissance puis la versa de son aiguière. Ici réside les érudits et les inventeurs, les enseignants et les entrepreneurs.
Du li de la rivière céleste, des gouttelettes abandonnées tombèrent dans le Puit où elles s’accumulèrent et stagnèrent, créant l’Enfer de l’Eau. Ici se noient les trompeurs, les falsificateurs, les imposteurs, les faux prophètes.

L’Enfer et le Paradis du Vent :
Dans le Paradis du Vent s’élève une montagne élevée au sommet de laquelle Oschon observe la mer sans fin gouvernée par Llymlaen. Ici demeurent les explorateurs et les aventuriers, les alpinistes, les saints et ceux qui sauvèrent les âmes susmentionnées du péril.
Les ravales mauvaises des hauteurs forment de terribles tempêtes dans le Puit, créant l’Enfer du Vent. Ici les bandits des montagnes, les profanateurs de la terre et des mers, et les pirates souffrent alors que les vents arrachent la chair de leurs os, et leur âme de leur chair.

L’Enfer et le Paradis de la Glace :
Au centre de ce paradis s’élève un noble palais de glace, glace fait des rayons de Lune et creusée par la propre lance de la Conquérante. Ici réside le héros épique et le galant chevalier, le bénévole et le croyant.
Du palais glacial d’Halone plongent des chandelles de glace jusqu’au Puit, créant l’Enfer de Glace. Ici souffre le couard, le déserteur et l’adultère.

L’Enfer et le Paradis de la Foudre :
Dans le Paradis de la Foudre, on trouve une tour à horloge construite par Byregot avec le métal forgé à partir d’une comète et alimentée par les éclairs de Rhalgr. Ici demeurent les ingénieurs et les architectes, les révolutionnaires et les conquérants du mal.
La foudre chargée se fragmente en une comète et chute dans le Puit pour former l’Enfer de la Foudre, un lieu de damnation pour les vandales, les seigneurs des taudis et les bellicistes.

L’Enfer et le Paradis de la Foudre :
Pour créer le Paradis de la Terre, Nophica planta un jeune arbre solitaire qu’Althyk mena instantanément à maturité en pliant le temps lui-même. Sous les branches puissantes de cette sentinelle s’assoient les fermiers, les naturalistes, les historiens et les archéologues.
Les feuilles tombées de l’arbre et laissées à pourri dans le Puit ont crée l’Enfer de la Terre. Ici se trouvent les voleurs, profanateurs de la nature, les menteurs et les révisionnistes.
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Re: La Religion en Eorzea

Message par Ruuj/ Suvd/ Shana » 17 févr. 2021, 19:52

Les fois Eorzéennes :
Avec les divers principes des religions d’Extrême Orient récemment imprimés dans son esprit, on peut souhaiter réexaminer les fois éorzéennes, et se livrer à une étude comparative de leurs mythologies. De tels exercices académiques peuvent souvent amener à découvrir des points communs entre les cultures qui pourraient autrement être négligées.

Les Institutions Religieuses :
Le culte éorzéen du panthéon des dieux connus comme les Douze, et ses coutumes pour les individus de choisir un divinité patronne singulière qu’ils vénèrent au-dessus de tous les autres. Cette décision est généralement influencée par l’association de la divinité avec un grand nombre de facteurs clés, incluant l’origine de la personne (nationalité, race, ou clan), le jour de naissance et autres dates spéciales, ou la nature de ses occupations, voir l’appel de la vie.
Même si chaque grand cité-Etat est identifiée à une de ces divinités patronne, on peut aussi rencontrer des institutions religieuses importantes fondées sur une forme plus dévouée de vénération. La cité assiégée par les dragons d’Ishgard par exemple, adopta Halone non seulement comme divinité gardienne, mais l’installa aussi comme une figure centrale de l’Eglise Orthodoxe Ishgardienne, la religion officielle de la nation. Les sections suivantes fournissent une vision en profondeur sur l’Histoire et les doctrines de plusieurs organisations actuelles qui maintiennent un nombre significatif de dévots.
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Bien que le peuple de Gridania ai pris Nophica, la Matrone, pour déesse, aucune organisation définit n’a jamais été fondée autours de sa foi. Ceci est en large part dû à l’unique relation que la nation entretient avec les énigmatiques esprits de la Forêt des Douze, et la place importante dans la médiation religieuse des anciens Padjal et Druides dans la société gridianienne


L’Ordre de Nald’thal :
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A la tête de ce qui est la première religion d’Ul’dah pour le nombre de ses pratiquants, l’Ordre de Nald’thal est une organisation dévouée au dieu du commerce et gardien du sous sous-monde. Nald’thal est traditionnellement dépeint comme un dieu unique à l’aspect dual, ou comme une déité jumelle, mais c’est cette dernière interprétation que l’Ordre a embrassée, encourageant la croyance que Nald et Thal sont des entités distinctes.
Selon les enseignements de l’Ordre, les jumeaux commerçants président chacun leur propre domaine : Nald, le monde des vivants, et Thal, les halls des morts. Quand il n’est pas en cours de rénovation, Le Sacrarium de Milvaneth, le temple de Nald, est maintes fois traversé par des marchands pieux cherchant à s’attirer faveurs et fortune sur leur vie. Inversement, l’Ossuaire d’Arrzaneth, le temple de Nald, est plus populaire chez les pauvres et les opprimés, qui prient pour leur richesse dans le royaume des morts. Comme on pouvait s’y attendre, l’Après-vie est le cœur du système de croyances de l’Ordre de Nald’thal.
L’Ossuaire d’Arrzaneth est également responsable de l’accomplissement des rites funaires, et c’est à travers les sortilèges destructeurs employés pour préparer les morts que ses prêtres perfectionnèrent l’art de l’Occultisme. C’est une connaissance courante que la fondation de ces magies a été posée dans la cité depuis longtemps brisée de Belah’dia, les plus anciennes racines que l’on peut suivre remontent même jusqu’à l’ancienne civilisation de Mhach. Il a été également bien documenté, néanmoins, que la divinité gardienne de Belah’dia était Azeyma, la Gardienne du Soleil, fournissant des preuves flagrantes que les voies de l’arcane et des lois religieuses ne convergent pas toujours.
Avec un œil surveillant la prospérité d’Ul’dah, les prêtres sages de l’Ordre ont longtemps servit la famille royale comme spécialiste de la loi et administrateur. Avec cette position privilégiée, ils furent approchés par les Princes Marchands et leurs semblables qui ambitionnaient de faire pencher la législation en leur faveur en leur offrant des quantités outrageuses d’argent. De telles relations profanes attirent le mépris des membres les plus spirituels du clergé, mais la Grande Prêtresse Dewlala, avec son siège sécurisé au Syndicat, ne montre pas le moindre signe de renoncement que ce soit pour elle ou sa solide autorité sur son organisation.


L’Eglise Orthodoxe Ishgardienne :

L’Eglise Orthodoxe Ishgardienne est la religion dominante d’Ishgarde, et l’Archevêque, le dirigeant élut de l’Eglise, sert également traditionnellement de tête de l’Etat. A la fois une institution et une autorité incontestée, l’apogée de la tumultueuse Guerre du Champs des Dragons exposa les déceptions tissées tout au long de l’Histoire sanctionnée de l’Eglise, laissant le clergé chancelant au lendemain des accablantes révélations.
Selon les écritures, l’Eglise Orthodoxe Ishgardienne fut fondée durant la 545ème année de la Sixième re Astral par le premier Archevêque, un homme plus tard canonisé en tant que Saint Reymanaud. Dans une annonce faite par Sieur Aymeric Borel, seigneur Commandant des Chevaliers du Temple et Orateur de la Chambre des Lords, cette date se révéla fausse, avec une histoire véritable marquant l’établissement de l’Eglise environ cent cinquante ans avant. C’est probablement autours de l’année 360 que les Elezens poussés vers le Nord dans l’Echine d’Abalathia par l’expansion Hyuroise, que commença la standardisation de leur foi avec la construction d’un temple voué à Halone dans les Hautes Terres du Coerthas. La décision des colons d’adopter la Conquérante comme une divinité patronne était probablement influencée en grande part par la menace toujours présente de dragons hostiles. Une décennie plus tard, néanmoins, la tragédie de Sainte Shiva et du grand dragon Hraesvelgr incita à une trêve entre Elezens et Dragons, et pour plusieurs générations suivantes, les enseignements de l’Eglise tournèrent autours des principes de coexistence pacifique.
Cette harmonie éclata durant l’année 545 avec la trahison odieuse du roi Thordan contre la Première Couvée, et sa mort subséquente. Privée de son monarque, les chevaliers restant des douze, les aïeux des Quatre Grandes Maisons, complotèrent avec les hauts rangs du clergé pour élever Reymanaud à la position d’Archevêque et lui conférer les pouvoir du trône. Ils procédèrent ensuite à la fabrication et la dissimulation de l’Histoire en dissimulant les méfaits du passé, et en supportant la création du type de bureaucratie nécessaire à gouverner une nation en guerre constante.
Finalement, la corruption des préceptes au cœur de la foi fut simplement un moyen de dépeindre les Dravaniens comme des méchants, et prêter une légitimité sainte aux atrocités de la Guerre du Chant des Dragons, justice et moralité ne jouant aucune part dans cette évolution. Ces vérités ont amené une série de représailles, et de larges réformes ont prit place sous le gouvernement nouvellement établit.
Les adhérents cherchent à restructurer le Saint Siège et réévaluer les enseignements pour ramener l’Eglise Orthodoxe Ishgardienne à ses racines.
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Portant le nom du premier archevêque de l’Eglise, la Cathédrale de Saint Reymanaud est dite avoir ét construit sur la base de la première pierre utilisée pour la construction du premier temple d’Halone d’Isghard. Avec chaque facette de l’Enchiridion désormais remise en question, néanmoins, la vérité de cette assertion est soumise à débat.
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Une cathédrale orthodoxe d’Halone n’est pas considérée comme complète sans au moins une imposante statue d’Halone, armée pour la bataille. Les guerriers galants qui tombent durant la guerre sainte contre les Dravaniens croyaient entrer dans le palais de glace de la Conquérante, et recevoir un accueil chaleureux dans ses halls glacés.


Le poing de Rhalgr :

Quand les terres d’Eorzea furent engloutie durant la Sixième ère ombrale, certains survécurent en suivant la piste d’une comète enflammée jusqu’aux montagnes de Gyr Abania. Croyant que Rhalgr avait envoyé ce signe pour leur permettre d’échapper à la mort, ces réfugiés montrèrent une grande gratitude à la divinité, et en firent désormais du Destructeur leur protecteur et leur sauveur. Leur foi unit se divisa finalement en plusieurs factions, la plus grandes d’entre elles était le « Poing de Rhalgr ». La nature impitoyable de la vie dans les sommets encourageant la propagation de leurs enseignements, entrainement dévoué de l’esprit et du corps pour s’approcher de la perfection du Destructeur, octroyant la force de survivre aussi brutale que soit la lutte. Ce conditionnement fervent servait également les disciples de Rhalgr dans leur combat contre les prédateurs sauvages de la région, et produisait de solides soldats pour le mercenariat.
Suivant le chemin de la méditation et de la discipline physique, les membres du Poing de Rhalgr cultivaient des techniques martiales uniques, et se forgèrent une véritable armée de moines-guerriers. Et comme leurs rangs croissaient, il en allait de même de leur présence, jusqu’à ce que leur influence sur la société de Gyr Abania crût suffisamment pour ne pouvoir être ignorée de personne. Au lieu de chercher à réprimer ce pouvoir grandissant, la famille royale choisit de l’intégrer dans les forces de la nation. La religion du Poing devient la religion d’Ala Mhigo, et en retour de la reconnaissance officielle de leur foi, les moines étaient tenus de répondre quand la tourmente menaçait l’Etat.
Ces relations continuèrent de bénéficier aux deux partis pour un temps, mais allait connaitre une fin brutale et tragique durant le règne du roi fou Théodoric. Le franc-parler des anciens du Poing était comme une mauvaise herbe pour le parti de Théodoric, et donc le monarque proclama que son autorité portait la volonté divine de Nyméa, elle qui se tient au-dessus de Rhalgr.
Sans surprise, les moines rechignèrent à la demande de Théodoric de vénérer sa personne royale. Comme si c’était le signal, les soldats du roi procédèrent à l’arrestation de tous les anciens au motif de la trahison, les soumettant à la torture jusqu’à ce qu’ils confessent leurs plans pour renverser le trône. Les prisonniers furent exécutés pour leurs « crimes » durant l’année 1552, Théodoric lança alors ses forces pour raser le Temple du Poing et fit massacrer tous ceux qui priaient à l’intérieur. Les moines furent massacrés dans le feu et le sang, leur ordre ne laissant que des ruines fumantes, cependant, au cours des années récentes, on peut entendre des nouvelles comme quoi un survivant auto-proclamé serait retourné en Gyr Abania, et qu’il chercherait désormais à reconstruire la gloire passée du Poing de Rhalgr.
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L'Etendue de Rhalgr fut construire au pied du Temple du Poing, et il est dit qu’elle reçoit la grâce de la présence du Destructeur lui-même, cela en fit un des lieux favoris pour l’entrainement des moines. Le site resta une ruine noircit durant de longues années suivant l’exécution des ordres macabres du roi fou, mais il sert désormais de donjon à la résistance ala mhigoise.
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Rhalgr est généralement décrit comme un mage portant un bâton de bronze, et son apparence ajoutée à son pouvoir de commander la foudre, a laissé penser aux érudits qu’il se confond avec Ramuh, le dieu des Sylphs. La théorie avance qu’ils sont chacun un aspect d’une ancienne divinité, et que ce sont seulement les légendes transmises par les différentes races qui a donné naissance à la perception de deux divinités distinctes.


Les Missionnaires :
Bien que la foi commune des Douze se soit, sans la moindre aide, propagée aux coins les plus éloignés d’Eorzea, il y a certaines sectes qui ont mis en avant d’énormes efforts pour soutenir leurs troupeaux respectifs. Une historiquement investie fut l’Eglise de Saint Zozonan le Berger lequel, durant les premières années du 13ème et du 14ème siècle de la Sixième Ere Astrale, financèrent d’innombrables expéditions missionnaires dans les régions les plus reculées de l’Aldenard et d’au-delà. Bien que ces voyages finirent surtout par aider à étendre les frontières des cartes connues le danger encouru était tel que deux équipages sur trois furent perdus.
SPOILER
Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea II
Shana Alir: Érudite et archéologue miqo'te
J'Visha Alir: Exploratrice et aventurière miqo'te
Ruuj l'Errante: Voyageuse Viéra
Tsukiyo Shinonome: Onmyuji raen
Suvd Arulaq: Moine Xaela errante

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