[Nation] Werlyt

[Ruuj/ Suvd/ Shana]

Werlyt

Suivant les traces de son voisin à travers la passe de Ghimlyt, Ala Mhigo, cette petite nation des marches de l’extrême occident d’Ilsabard s’est récemment libérée elle-même de l’Empire de Garlemald.

Drapeau : Le drapeau arborait à l’origine l’emblème de la famille royale. Néanmoins, comme leur lignée s’est depuis éteinte, et que la nation aspire désormais à devenir une république, le gouvernement provisoire a organisé une comité pour décider d’un nouvel emblème.

Devise : /

Gouvernement : Werlyt est à l’heure actuelle gouvernée par un gouvernement provisoire. Après de prudentes délibération, il a été décidé que la nation serait reconstruite en tant que république.

Dirigeant : Talbot Hunte

Corps dirigeant : Le gouvernement provisoire est formée par des représentants des différentes factions rebelles qui se sont battues contre l’Empire garlemaldais.

Distribution raciale :
Hyur d’Ilsabard : 80%
Ao’ra du Proche Orient : 15%
Other : 5%

Religion : Bien que la religion ai été largement découragée sous la loi garlemaldaise, le peuple de Werlyt est polythéiste, croyant en treize dieux. Leurs pratiques religieux sont dites largement influencées par les traditions de leurs voisons occidentaux en Eorzea et leurs enseignements des Douze, aussi bien que de la mythologie Corvosi venue de l’Est.

Industries :
Bétail : la garde du bétail est une profession traditionnelle de Werlyt, rendue possible par ses vastes et luxuriants pâturages. Leur talent pour l’élevage est mis en évidence par l’immense variété de bovins élevés pour la boucherie ou le lait, cette dernière catégorie comprenant une race si rare qu’elle ne compterait qu’une centaine de vaches.

Produits laitiers : En lien avec leur élevages de bétail, le peuple de Werlyt excelle dans la production de produits laitiers, incluant du beurre, des yaourts, et autres breuvages basées sur le lait. Ils sont aussi connus pour leurs fromages de grande qualité, qui devint une des principales exportations pour Garlemald.

Pêche : les bordures méridionaux de Werlyt bordent la mer, permettant commerce de la pêche prospère dans les villes côtières. Ses nombreuses falaises abruptes, assure que leurs efforts sont concentrés sur quelques ports majeurs.

Minage : dans la chaine de montagne septentrionale de Werlyt, on peut trouver quatre mines dont on extrait du cuivre, du zinc, du tungstène et plusieurs autres métaux rares. Le processus a été raffiné sous la loi garlemaldaise avec l’introduction du magitek, et alors que l’équipement demeure, le pays a besoin de ceruleum pour le faire fonctionner. A cette fin, Werlyt a commencé à négocier avec Ul’dah pour troquer du carburant pour pouvoir reprendre leurs opérations minières.

Croyances : Bien que les Ao’ra qui migrèrent de la région de Corvos furent apparemment bienvenue à Werlyt, ils subsiste pourtant un fort sentiment d’un manque de cohésion social dans cette nation majoritairement hyuroise. Reste à voir si ces peuples disparates parviendront à surmonter leurs différences pour faire fleurir cette république en bourgeonnante.

Cuisine : Werlyt est peut être surtout connue pour ses plats mijotés à base de bœuf local, produits laitiers et poissons. Le mélange de cuisine indigène basée sur le blé, et les plats de riz apportés par les Ao’ra aident également à distinguer la cuisine de Werlyt. Les amateurs de produits laitiers insistes sur le fait que la production de lait de Werlyt est indispensable pour renforcer ses muscles quand l’on entraine son corps, et en effet, on les pense riche en protéines et efficaces pour réduire les inflammations musculaires.

SPOILER

Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea III

[Ruuj/ Suvd/ Shana]

Histoire :

Une fondation contentieuse :
Durant les âges passés, les bordures occidentales d’Ilsabard, désormais connues comme Werlyt furent le foyer de myriades de tribus hyuroises. Aucune harmonie ne pouvait être trouvées entre elles, néanmoins, d’incessants cycles de guerre et de paix n’étaient guère différentes du changement des saisons. Quelques tribus courageuses pensaient fuir cette terre déchirée par la guerre, en traversant la passe des Ombres de Ghimlyt pour piller et voler sur le sol éorzéen. Elles rentraient inévitablement chez elles, plus riches de leurs efforts, mais ces aventures vers l’Ouest connurent leur fin quand Gyr Abania fut unifiée sous la ferule d’Anshelm Cotter, Ala Mhigo devenant le bouclier contre d’autres incursions.
Alors que les rêves de pousser plus loin à l’Ouest était mort, et que les tribus hyuroises étaient de plus en plus lasses des conflits, des étrangers Ao Ra de Corvos virent ce voile de langueur comme une opportunité. Ils formèrent une alliance avec une poignée de tribus locales, et ensemble ils subjuguèrent rapidement le territoire qui deviendrait Werlyt. Malgré leur rôle central dans sa formation, les Ao Ra ne s’assirent par sur le trône du royaume naissant, sachant que leurs connaissances alchimiques et leur maîtrise des arts mystiques ne seraient pas à la hauteur du grand nombre de leurs alliés humains. C’est ainsi qu’ils concédèrent la royauté aux anciens hyurois. Ainsi, certains Hyurs en virent à voir les Ao’ra comme de puissants alliés, mais d’autres continuèrent à les considérer comme de rudes envahisseurs.

L’occupation garlemaldaise :
Malheureusement, la nation nouvellement fondée de Werlyt ne devait pas durer. L’avancée du magiteck avait transformée Garlemald en une puissance militaire encore jamais vue, leur permettant de s’emparer de Corvos avec aisance et dans la foulée de placer Werlyt sous le joug de Garlemald.
La province fut chargée de la fourniture en denrées alimentaires et en minéraux pour alimenter l’empire naissant, et par certains aspects, la dissémination du magiteck allait provoquer une bénédiction. La mécanisation de l’extraction minière, par exemple, fut considérable, mais toutes ces innovations apportaient par les Garlemaldais seraient toujours restées hors de portée des occupés. Pendant trente ans, le peuple de Werlyt travailla dur mais se virent finalement offrir une lueur d’espoir. L’Empire avait commencé la seconde phase de son incursion dans les territoires d’Extrême Orient, une campagne qui lui demandait une part non négligeable de ses forces militaires. Jusqu’à ce que les forces occupant Werlyt soient grandement diminuées, donnant aux factions rebelles l’élan pour récupérer leur patrie.
Leur rêve de liberté fut néanmoins fugace, alors que le jeune Gaius van Baelsar mena une force impériale pour attaquer la capitale de Werlyt et restaurer l’ordre garlemaldais. Alors que le précédent vice-roi avait été tué par les rebelles, Gaius allait assumer le commandement de la province récemment reprise.

Les deux aspects de la gouvernance :
Réfléchissant au sort des peuples werlytiens qui les avait poussé à la rébellion, Gaius, le vice-roi nouvellement nommé, savait bien que des mesures drastiques étaient nécessaire pour éviter un second soulèvement. Il commença par recruter des individus qu’il estimait compétent et capable, ne prêtant aucune attention à leur statut, race ou position d’origine. Ainsi, nombreux étaient les Werlytiens connaissance approfondit du pays, servant dans diverses positions de l’administration. Pendant les vingt années suivantes, Gaius supervisait également un projet pour répartir plus équitablement la richesse de la province ; de nouvelles infrastructures sous la forme de routes, de port, et de havres ; ainsi qu’un système d’éducation obligatoire qui eut pour effet d’augmenter considérablement le taux d’alphabétisation à travers Werlyt. Mais la paix et l’ordre furent établie mais pour une courte période.
L’invasion d’Eorzea et ses conséquences, naturellement, laissant van Baelsar incapable de pleinement assurer ses devoirs envers Werlyt. L’homme qui prit sa place fut Valens van Varro, un civil par ailleurs banal qui avait d’une manière ou d’une autre gravi les échelons militaires. Après avoir perdu son poste au milieu des troubles politiques de l’Empire, il prit le commandement de la VIIème Légion Impériale nouvellement réformé. L’ombre sinistre qu’il jetait sur Werlyt effaça tout le bien qu’avait fait Gaius et fit pire encore. Travail forcé, emprisonnements, et exécutions arbitraires devinrent la norme dans une vie au jour le jour. A tel point que l’on ne disait que l’on ne pouvait trouver le repos que dans la tombe.

Les cinq traitres :
Plutôt que de soumettre l’ennemi, Valens se contenta de saigner à blanc ses ressources et son peuple, une approche tyrannique du gouvernement souvent qualifiée d’odieuse même par ses compatriotes. C’était un chemin qui mènerait à la ruine de la province de Werlyt. Pourtant, malgré les apparences, il était en ingénieur exceptionnellement brillant, et ce fut une raison de sa folie.
L’empereur Varis ayant été assassiné, et différentes factions luttant pour le trône, l’aristocratie de Garlemald était en proie au chaos. Ce fut pourquoi Valens élaboré le plan de compléter son projet d’armes, avec lequel il pourrait faire son retour triomphant à Garlemald, brandissant l’outil de guerre ultime. Il avait bien comprit l’urgence du moment, et était prêt à apporter la ruine sur Werlyt si cela lui assurait un moyen de s’emparer de la place d’empereur.
Malgré tout son génie, Valens resta ignorant de sa chute prochaine jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Les orphelins qu’il avait l’intention d’utiliser pour le test de pilotage de son projet conspiraient pour utiliser ses armes contre lui, et la réalisation finale de leur plan était de mettre à genoux la VIIème Légion. Il ne faut pas négliger, bien sûr, l’importance des contributions de Gaius à leurs efforts, aussi bien que les factions réelles qui conspiraient pour faire tomber les Garlemaldais. Si bien que ce fut finalement la bravoure et le sacrifice des cinq orphelins qui signifia la fin de Valens, et rendit à Werlyt sa liberté.

SPOILER

Source: Traduction de l'Encyclopedia Eorzea III