[Fragments du passé] Chan'qu la Barde.

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Chang'qu
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[Fragments du passé] Chan'qu la Barde.

Message par Chang'qu » 12 mai 2019, 02:22

Voici le début du Background de Chan'qu, une barde comme une autre. L'histoire tournera autour de deux Miqo'tes, une adulte, et Chan'qu, une simple gamine à l'époque que le récit se déroule. Une étrange rivalité verra le jour alors au sujet du jour et de la nuit. Elle grandira alors pour devenir le personnage que vous croiserez peut-être. Bonne lecture.


Prologue :
Fragments du passé I :
Opacité et splendeur.
Chère Chan’qu.

Moi Miqo’te de la tribu de la lune te commet le plus magnificent présent de ma sénestre et dextre, la narration de l’initiation de l’écrivaine-barde que tu as prise chair en m’accompagnant.

Chaque récit s’amorce et se consume.
Le voile enténébré et funeste au firmament s’inaugure aux portes de la mort.
Que tes tirades se calcinent en mots puis se burinent de ta ponce en ton essence !
Par des lettres dessinées, tu controuveras ton étage dans ce ciel de chance.
Une lueur crépusculaire inexperte se lève et en poindra tempéré et modeste.
J’ai l’intention de m’aliéner au sommeil pour des lustres jusqu’à me corrompre en tas d’os.
Mon heurette est advenue, c’est le temps de te léguer ce livre de nos mémoires.

Fille du soleil, j’ai appris à aimer et me percevoir dans le jour.
Moi, la femme de nuit t’a induit la voie dans le noir.

Ad vitam æternam, l’astre de feu se départira à l’entour le luminaire au front d’argent par l’intercession de l’invincible entité, les secondes. La félicité qui s’acquiert par des poussières choit en cendre un nycthémère ou l’autre.

Je jalousais mes féaux en ce contexte, par cette appétence maternelle dévoratrice croissante en mon tréfonds, ils ne peuplaient que de leurs enveloppes de sang, je ne laissais aucun héritage de mon être pour ce monde pour ma part au moment. Si la dilection s’argua à mon âme pour mon dessein de l’individualité sœur, pour concevoir mon hoir, j’allais l’adopter. Mon ventre métamorphosé à l’aboutissant d’une lésion délétère rendit infertile cette enveloppe et me dépossédait du privilège de procréer une descendance.

Ma monotonie et mes obligations me firent pièce au mortel que j’étais, enchainé à ses gouvernes tenues dans ces petites mains, troublées par un cas de conscience de relève ! Je me révélais comme la Coulombe dans la geôle d’or.

De ma dextre de scalde, j’esquisse la sépia de mon fatum sur ces extraits de notre vie. L’aurore d’un corps céleste pronostique la fin d’une inchangée, une exhalera le dernier soupir et une nouvelle écrivaine naîtra. Toi, l’enfantelet miqo’te, tribut du soleil de distinction rescapé d’une tragédie commensurable à ma nuit des temps lorsque j’avais ton âge, je t’ai élu du premier regard à l’orphelinat. J’avisai une opalescence de vécu de mon eccéité en toi. Cette équipollence transsudée une liminaire fois s’abîma son nez, une fois de plus dans un ramassis de feuilles. Elle me remembra mon histoire, la miraculée d’antan.

Tu personnifiais la nitescence de mes équinoxes de liesse.

Puis un jour végéta, toi, ma progéniture adoptive, de jadis, d’elle-même fut ultimo en posture de coucher sur le papier ses prestiges.

Vole maintenant de tes propres ailes.
Cordialement celle qui t’a élevé.
Dernière modification par Chang'qu le 09 juil. 2019, 19:16, modifié 4 fois.
Si vous avez besoin d'aide pour une histoire, n'hésitez pas à contacter ma barde. Cependant, pour le côté lore, il faudra me l'expliquer beceause I am new here. Voici mon discord. : Mythic China s'est égaré#6057

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Chang'qu
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[Fragments du passé] Chan'qu la Barde. PART I

Message par Chang'qu » 19 mai 2019, 01:20


Merci pour les gens qui m'ont encouragé. PS: pour la visibilité et une lecture plus agréable, je n'inclus pas toujours les RRRRRRRR dans les dialogues de Miqu'ote, je ne sais pas, s'ils sont toujours obligés, ou ils peuvent s'en dissocier. Aussi pour la raison suivante, c'est une page de journal d'une personne qui narre. Merci et bonne lecture !
Fragments du passé I :
Acte I : Une réitération calamiteuse.


Image

Chapitre I : La conteuse noire, la déchéance d’une suicidaire

Voici la narration des aubes dans l’ombre de l’abîme à l’atterrement de ma successeure.

Un solstice, tu dévoreras mon manuscrit et tu embrasseras ma perfectibilité Chan’qu pour ne pas la mirer, flambeau du jour que tu évoluas à mes gnosies plurielles, nonobstant l’intercession aux fibres cardinales pérennes des franchises de notre nature fourbe, insensible et égoïste au début, acteur à nul autre second des tarasques de ce monde.

Ma fille d’adoption décrétée, tu maitriseras un cœur munificent, la plus accorte quiddité pour une barde. Cette carte instante primordiale transmute l’oracle, émois des valetailles qui se conjurent d’initiatives en appétence d’ériger un habitacle dans cette selva inexpiable.

L’escient de mon antériorité avec toi inocule le critérium de la légitimation à coucher sur les affabulations de sa propre préexistence aux autres, pour dérouter les affres qui s’équipollent à un retombement usité. J’unis l’héroïcité à l’entour à ce cycle vicieux.

C’est l’irrémissible campos à l’apeurement réduplicatif de cette ellipse ribaud. Je déconcerte ces chaines abominées pour les lustres déférés à la fin. Si une jacente conteuse n’offusque ces allégories, les hosties irrépréhensibles saigneront incessamment de plus belle à cette déité infrangible, départie à l’apothéose, de libellé et tressée des lauriers qualifiés par ce titre d’entrailles vengeresses encor et hiver comme été.

Ma chantre, tu immoleras alors ce retombement, avant même qu’ils sourdent à occurrence.
Chaque désolation affriandée se pointe d’un locus et une concordance.

Pour la geôlière d’un satrape et une diseuse-conteuse de gageures littéraires dénoncée des mémorandums pour l’étanchement égotiste de mes acquéreurs, je ne m’amnistierais onc mon archée intérieure, au défaut de ma coresponsabilité à cette désolation.

Trancher le fil des jours à des brutes et à son eccéité pour désaltérer sa détresse enfonce la culpabilité de l’être. Mon frère errant des hystérotraumatismes de belle heurette, son bon sens séant jeté dans une corbeille après le massacre de notre famille par les dévastations de brigands, l’homme en devint un sieur néronien. Il se désignait Kureji Yoru’Kara, chevalier noir. Depuis cet homicide onéreux d’antan, les malignes sordidités contaminées de la vindicte usurpèrent son aise idéationnelle et la sapience pour façonner son fatum. Les faires pour le discipliner, c’était mon intercession impavide, l’élégiaque de notre passé lamentable. Les épées qu’il maniait sans son émule et d’une eurythmie barbare furent le principal guillotineur de mon incapacité inhabilité à enfanter une lignée. Mon féal dérouté de logique du même liquide écarlate perdit souventefois la raison, hostie du profond commandement immaîtrisable des ténèbres, elles dénudèrent son sens moral à maintes circonstances pour s’ensuivre de ma lésion algique de funeste remémoration. Ses yeux ne flambaient plus cette opalescence, chromatisme à l’océan du temps de jadis. Ses cheveux et oreilles poilus noirâtres et blancs d’hiver court et ébouriffés prouvaient sa dilection à son surpassement, au point d’oublier de les entretenir. Sa musculature auguste personnifiait le rôle clé de sa force. Le garçonnet qu’il fut devint un troupier officieux, mais vêtu d’une armure ébène horrifique et herculéenne, je le concède.

Nous formâmes le dessein du songe d’économiser nos revenus pour stipendier une acense de bétail, motivé par un rêve des prémices de notre matin naguère. Mais mon frère apposa en bourrèlement coutume fragmentaire nos gueltes de nos errances empêtrées pour compenser les épaves.

Chan’qu, la postdate fatidique ébaubit sans hurler gare, nul n’était en posture de la prédire.
L’engagée malavisée damnable pour le trépas de tes parentelles, ce fut ma négligence. Si je sus au préalable lors du fameux incident que ces adversités sanglantes découleraient d’un bas modus vivendi accepté dans cette brasserie, je n’ose mentaliser la future désobligeance qui s’en déféra subséquemment aux agissements de mon aîné.
Ce fut lors d’une soirée de pleine lune, dans une des villes des capitales.
Moi, je m’installais dans l’un parmi ces chiffres incalculables, de ces magnificents bâtiments, conçus et configurés pour départir des requêtes aux ruffians volontaires de partages aux histoires généralement. Assise commodément par mes genoux croisés dans le vide, mon postérieur sur cet escabeau en téguments, envers le comptoir des barmans de cette taverne, je nombrais les clous de l’entrée, et j’attendais l’avènement d’une quelconque désolation comme à sa susceptibilité fortune. Mon faux gémeau papotait avec ses amis de leurs gageures et de leurs badauderies, avec une irréfragable infatuation discutable. Je tombais en pâmoison à l’égard des boissons, et des nectars au loin, en plus de la quête d’éternelle réflexion des prémonitions de la veillée et de la regardure à mon instant commanditaire. Peut-être que des nobles nous fourniraient les contrats à délecter pour arrondir la paye du mois ou une lettre à ériger de ma dextre et ma plume.

J’abdiquais mon front d’un feutre cambré d’instrumentiste teint de l’aile d’un corbeau et de sa pigmentation consomptive. Mes longs cheveux lisses plongés dans les ténèbres séjournent jusqu’à mes omoplates, je me dépeins, Kurofuruto Yoru’Kara, moi, anecdotière de mes prémices, pour servir son prochain. J’accommodais une robe d’un tissu d’un chromatisme fuligineux, qui apposa mes jambettes graciles en deniers. Les propos d’un monarque se profilaient du commencement à la fin des motifs de ce vêtement rabelaisien. En haut de ma coiffure, mes oreilles à croquer en fourrure y reposaient dans les bras de Morphée. Mon âge brillait de l’adultie dans ma trentaine. Les gens me surnommaient la déchéance d’une suicidaire. À cinq réitérations, la camarde me refusa l’extirpation de mon tréfonds, dehors de mon enveloppe. Je grippai des inacceptations à trois refleurissements des cordes de piètre qualité, et de deux écholalies grâce aux soins urgents assujettis après un combat envers les lames d’épée à mon frère face à ses crises. Ultimo, d’où me vint le titre avec mes vilaines tendances à bouffonner sur la mort volontaire ? Plausiblement, elles végétaient d’un cyclopéen blasement pour me départir plus consciencieusement un rouage de réponse à l’engrenage de ma montre dégarnie, mon cœur requérait une raison de vivre. Malgré moi, ma sapience se réclamait haute, mais les mains de la Parque m’attiraient quelquefois. La pudicité de nos géniteurs et le savoir de notre race restaient au seuil du numéro vide vague et élusif.

Succéder par le mieux de nos capacités, voilà ma philosophie.

Je passerais bien ma vie au trépas, mais des liens me retenaient. Exhaler le dernier soupir d’une rédaction, payer tribut à la nature, rendre l’esprit, poser le pied dans la jacente non-existence inane de nos suppositions par rapport à la provende et la famine, guider mes pieds, par une chanson éternelle d’une fable sans fin. Ces réflexions me parurent des plus charmantes pour occire le temps. Au moment, ma seule clarté en ce monde, mon frère, contiguë à une nuit de pleine lune bloquait la splendeur de l’astre de feu au fond du tunnel.

– Excusez-moi, seriez-vous la fameuse conteuse noire, Kurofuruto Yoru’Kara?
questionna une voix curieuse, alors que deux jeunes individus bien vêtus se mirent d’aplomb aux bancs à ma sénestre.

– Oh, vous constituez mes prochains clients? Nulle appétence ne scierait à moi plus des sui generis que je chante, je narre vos gageures et les rétroactes au prix de la tarasque pour vos exigences. Je me présente l’enfançon de mes œuvres, les gens me surnomment la conteuse noire. Déchéance d’une suicidaire, la providence et ses règles me forcent à relater vos exploits, que puis-je pour vous !

Un large sourire et mon entrain vinrent embarquer mes lèvres rougeâtres et pulpeuses.
Je plongeais mes yeux en entrailles sur ceux-là de mes interlocuteurs.

– Nous nécessiterons les services de vous et votre frère, si vous réussissez, vous serez récompensé par conséquent! répliqua une des deux personnes. Nous avons besoin du chevalier, puis vos talents d’écrivaine joueront dans nos buts par la suite.


– Nous incarnons la dilection à encommencer notre faste, lorsque les opulents payent la monnaie! Vos vêtements en révèlent beaucoup sur vous! Kureji Yoru’Kara, ramène-toi! Il faut aussi discuter pour adopter une orpheline, tu te souviens?
déclarais-je d’un ton enjôleur et satisfait de le taquiner face à ses amis. Je fis signe à mon frère de se reployer à nos côtés.

– J’arrive petite sœur! Bonsoir ! La présence de nobles me réchauffe le cœur. Reparlons de l’histoire de l’enfant une autre fois.
Mon guerrier noir aux cheveux du yin et yang, quinaud de la situation non décrite à ses yeux s’agenouilla en guise de présentation.

Naïvement, je meus les rouages du destin, un fatum tragique et de rédemption.
Cette vague mission subrogea ma vie.
Personne ne traitera comme un instrument une énième circonstance, ceux que j’aime.
Voici un itinéraire de regrets, de mensonge et de trahison.


Mémoires de Kurofuruto Yoru’Kara, Mentore de Chan'qu
Fin du Chapitre I
Dernière modification par Chang'qu le 10 juil. 2019, 15:21, modifié 6 fois.
Si vous avez besoin d'aide pour une histoire, n'hésitez pas à contacter ma barde. Cependant, pour le côté lore, il faudra me l'expliquer beceause I am new here. Voici mon discord. : Mythic China s'est égaré#6057

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[Fragments du passé] Chan'qu la Barde. PART II

Message par Chang'qu » 09 juil. 2019, 18:12

Désolé pour ce délais, j'avais commencé mon premier mois de RP sur ce jeu, il y a trois mois, mais avant de renouveler mon abonnement, je préférais terminer mon année scolaire. J'avais commencé cette partie de mon background, mais je ne l'avais pas terminé ce chapitre, il se peut que j'ai oublié des éléments, mais j'en doute. Je recherche aussi des gens pour me prendre sous leurs ailes ou joindre une compagnie, si ça ne dérange personne, n'hésitez pas à m'add discord : Mythic China s'est égaré#6057 . Ce chapitre reste un peu court, je dois l'admettre.
Bonne lecture ! :hugging:


Fragments du passé I :
Acte I : Une réitération calamiteuse.
Chapitre II : Ce cercle vicieux

Chère Chan’qu, tu désambiguïseras au certain mes arcanes de capucinade à mes antérieurs ana.

Tu appèteras l’apodicticité par-dedans les linéaments qui excitèrent les filandres des incréés dont ces milliasses aiment jeter un blâme pour justifier leurs abîmes. Entre nous, tu appréhenderas la maxime de mes gestes, la coupable de ce fameux abouchement, notre liage fatidique, la faute s’incombait à moi. Tu sursois l’instant de la dernière page sans coup férir entre mes délinéaments flous et enveloppés en brouillas de l’ébaubissante acuité des belles-lettres par la conteuse noire, titre hérité et transmis d’une barde à une prochaine qui suppléait antan pour un éminent groupuscule délétère pendant des engendrements de plusieurs générations.

Pour profiter d’une belle fin, tu es obligée de lire le début, tu t’en es instruite plus que l’affluence d’ignares immaîtrisable en cette cohue entre la nitescence du droit chemin et les entrailles chaotiques des ténèbres qui s’affrontent de notre ciel azuré pour l’inféoder à nos paumes

En cet instant, tu frondes mêmement mes analogies scabreuses dansées d’une substance noire de ma plume, tu t’en tireras au clair ces reploiements idéationnels. Alors que tu manges à belles dents ces bien-dire, nûment, c’est moi qui t’ai dénoncé cette voie jouxtée par mon encre, ma véridicité et mes tréfonds offusqués par les vagues de cet univers mystérieux, peuplé de tous ces caractères gravés qui dépeint sans discernement, par ma voix haute et forte. Tu te réitéreras en quête de ces peintures nostalgiques d’elles, en cette lueur de désespoir qui mena à ta venue, tu quémandes encore pour t’acquitter de cette apagogie de vivre.

L’art de coucher sur le buvard et l’omniscience utopique aux lecteurs irréalistes sibyllins domineront à demeure nos archées, les conscients valétudinaires aux armes guerrières, blanchies sous le harnois commodément, sans les concrétées difficultés et de chair et de sang répits, sans les moindres regrets à l’écriture de ces morceaux de papier de briser les amitiés les plus fidèles, de détruire des royaumes, d’amener les gens à s’entretuer comme des barbares. Cette perquisition se justifie d’une légitimation subsistante de l’usage de ce nuage mensonger qui se propage aux avares des doutes ou de paranoïa.

Tu dénonceras ma quiddité par tes dires, ce cœur réputera la coupable damnable dont j’incarnais le rôle, pour que tu embrasses ce passé et ces proses de moi pour connaître mes antécédents et mon monogatari authentiques.

Tu poursuivais ma raison de vivre au moment, n’est-ce pas?

Tu t’aheurtes à toujours plonger ton regard dans mes épîtres de journal éphémères, dont le temps transmuera une impartialité sadiquement en ces poussières de l’océan de cet univers. Déguste les agréables secondes de ton être, nous commettons nos campos de notre lorette à chaque décaseconde fluente.

Je conjecture que tu édictes que je te narre du récit de notre écoulement des jours tangentés ensemble révolu.

Je suis la conteuse noire, une criminelle.


J’ai ragusé une mafia pour toi pour ne pas trahir moi qui fus une ténue fille de jadis.

Oui, mes tissus cutanés figuraient antan une lilliputienne ambulante usitée courante dans tous les propos, comme toi lorsque je t’éduquai.

J’oubliais de juger la valeur juste ma vie, tu ne peux pas le nier.

J’ai agi sans réfléchir.

Mes mains de contemplatrice s’alludaient deux outils : d’une plume et de mes annales, elles me traduisaient ces insondables, innombrables vides vagues, sans les réponses, ces mirliflors éventuellement relatés sur journal. Je dénonce ces antécédentes notes pour toi, mon émule. Ces lettres se distinguaient d’un teint flou, cabalistique et d’un théâtre dont à plusieurs sens marqua mon esclaffement nostalgique à la saison de la rédaction. Toi, chère petite fleur du jour en ce nycthémère ensoleillé, tu dansais au plein milieu de ces brindilles d’herbes, une fois notre premier chapitre terminé. Une histoire se mérite au moins le droit de refléter ses racines d’origines.

Les nobles et riches personnes ne fréquentent jamais des tavernes pour émettre une mission au simple soudard et la narratrice suicidaire que j’incarne de cette chair et de ces douces mains. Ce duo de jeunes découlait d’une dynastie criminelle, deux des huit descendants lointains au fondateur, les épigones de cette taverne et d’une quantité incalculable de bâtiment, les héritiers d’une mafia que moi et mon frère servions depuis quatre ans. Cette ligue composée d’une bonne soixante-dizaine de gens peu scrupuleux, mais aussi spéciaux, admettons, se heurtait avec des semblables, mais la discrétion, la corruption, la puissance, les méthodes, l’horreur ne faillissaient pas à leurs réputations. Nous requîmes un emploi, un ad hoc travail pour nos fins de mois, l’illégal tendait sa senestre, comme pour intimider les marchands, entrechoquer sa lame avec un de ces chevaliers blancs pour l’enchainer et le bourreler dans une de ces salles de torture.

Nos matériaux, nos vêtements, notre hygiène, notre nourriture, habitudes de vies, armes, papier, lit, couverture, nécessitaient bien une source potable d’argent. Notre part de salaire taxée pour l’organisation générait une petite fortune renviée sur le logement de guilde comme tous ceux qui occupaient en ce bâtiment. Je départis, nous coûtions tout de même cher à ces riches, nous servions la branche de l’escouade d’intervention. Pourtant, nous n’acquîmes pas une somme à exhaler le dernier soupir restant de notre provende de mortel paisiblement en un grand manoir.

Je suis la conteuse noire, tu te contestes toujours et encor de la définition de ce titre.
Pour simplifier, les porteuses de ce frontispice étaient à la fois des machinistes et des bardes qui se succédaient, nous étions des écrivaines qui trompaient les gens, adultéraient des missives.


Notre genèse d’histoire s’amorça par la promesse de monnaie, le classique.

Mes talents de femme de lettres en furent demandés.

Le massacre d’un village d’une dizaine de paysans décimés pour en justifier l’achat des terres en devint la cause.

Les gardes en traquèrent les malandrins de mitoyenneté coïnculpés par mes fausses notes de meurtres falsifiés par ma plume.

Tu en rescapas la seulette survivante localisée dans un orphelinat.

Tu le savais déjà, mais tu en as toujours appété à rencontrer la raison.

Je ne pouvais me désambiguïser comme ma mentore à moissonner une victime de nos anéantissements.

Je t’adoptai en conséquence. Et je te désignai comme ma successeure à mon titre, ce qui en choqua plus d’un.

Voilà notre cercle vicieux.


Je me sentais inhabile, et j’appréhendai que mon frère évoluât en une personne amblyope de sa propre tragédie de la passée. Je trahis cette promesse d’empêcher ce cercle pervers de recommencer.

Et ainsi je fis ta connaissance Chan’qu Bog'ensc'htze.
Cordialement Kurofuruto Yoru’kara, la conteuse noire IV
Mémoires de Kurofuruto Yoru’Kara, Mentore de Chan'qu
FIN DU CHAPITRE II
Si vous avez besoin d'aide pour une histoire, n'hésitez pas à contacter ma barde. Cependant, pour le côté lore, il faudra me l'expliquer beceause I am new here. Voici mon discord. : Mythic China s'est égaré#6057

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