Année 4 de la 7ère Astrale
Après avoir pris contact sur notre perle et déposé une lettre pour prévenir Desmee, Falkhen s’est mis en route. - Fait étrange : Monsieur Dimiaou a refait son apparition de manière aussi inattendue que brève, en participant à la conversation sur la perle. - Lorsque Falkhen est arrivé à la Forteresse, Je lui ai rapidement dressé un tableau de la situation et de la mission que j’avais réalisé depuis une lune. Je lui ai donné les détails sur les hommes en noirs, l’homme-bête et le lalafell, que Nathanael avait vu lors de son quart. Falkhen semble avoir bien connu ce personnage durant la période où il était leur prisonnier.
Nous avons discuté sur le fait marquant que les ixalis ouvrent leurs portes à ces hommes. Cela laisse émerger deux hypothèses : Soit ces hommes ont un pouvoir sur les tribus barbares et ils les manipulent, soit ils sont des alliés de circonstances. Bien que la conséquence soit la même. Les ixalis seront hostiles. Mais il est intéressant de se pencher sur leur moyen de pression, ou de manipulation des tribus barbares.
Par la suite, la discussion a tourné autour de la stratégie à adopter. - Il me semble que c’est la première fois qu’il me demande des conseils dans ce domaine. - Nous avions là deux possibilités, soit une attaque en force par l’entrée, soit en s’infiltrant par les airs par le sud.
- Une attaque en force nous faisait perdre l’effet de surprise rapidement et nous obligerait à traverser l’intégralité du camp. Mais elle avait l’avantage de nous assurer que peu de renfort viendrait sur nous, une fois que nous aurions atteint le point de rendez-vous.
- Une approche aérienne avait le mérite de nous faire arriver directement sur zone, donc de nous garantir l’effet de surprise et de nous préserver des combats préliminaires. Cependant nous n’étions pas à l’abri de voir tous les ixalis débarquaient une fois que l’alerte aurait été donnée.
Le temps de définir une date pour présenter le plan d’action aux autres et nous nous sommes quittés - sur un geste quelque peu familier de Falkhen, une preuve d’affection … dirons-nous ! -