"La Légion du Cocon-Mère."
«Le voyage vers les écumes des cieux Dravanienne fut des plus inquiétantes, bien que majestueuse, nous avons été envoyés dans les airs par les formes draconniques alliées depuis longtemps à Merethir et son mentor, pour nous faire approcher le territoire où nous aurions une chance de comprendre les secrets de la Légion, après des études des premières tablettes de l’Annexe Trime. Il fut compris que les entités maîtresses de la Légion étaient au nombre de trois. Pour les Guerriers, les Chasseurs, et les Traqueurs. Maintenant que celle des Traqueurs venait d’être détruite, nous pouvions nous concentré sur les autres, mais la destruction du Cocon-Mère comme de ses maîtres-esprits ne ferait pas disparaître la Légion pour autant. Elle continuerait de pervertir nos pensées, et tôt ou tard, elle reviendrait soit toute seule, soit invoquée par quelque chose. Avec le Culte du Corbeau Mauve à ses trousses, il était raisonnable de pensée que cette chose pouvait être rapidement réveillé de nouveau pour servir les intérêts de la perfide créature, Arun’Brakkar, qui souhaitait récupéré des soldats au plus vite. Pouvant enfin nous débrouiller sur nos jambes, je me souvenais d’Abalathia avec un air nostalgique, mais ses étendues là avaient une sorte de majesté oubliée depuis bien longtemps, aux milliers des Ruines de ce qui fut une belle civilisation avant que la guerre n’éclate, et déchire ce qui fut Avalonia jadis.
Nid-Mog, un endroit plutôt petit où une énorme ethérite tournoyait lentement, était censé être l’emplacement où les Mog vivaient – Invisible aux yeux de ceux qui n’y sont pas initiés, nous avons reçu nos ordres de Merethir là-bas. Il n’était pas question de partir de nouveau pour une mission pleine de combats ou de danger, mais juste de trouver le fil directeur qui nous mènerait à notre future prochaine mission. C’était le dernier objectif avant d’enfin rentrer vers la Sainte-Citée après quelques jours en Dravania. Cependant, pouvoir trouver un Mog pour lui parler serait une autre affaire, mais au lieu d’avoir d’énormes difficultés pour lui mettre la main dessus, nous avons pu avec une bonne farce faire sorte celui qui se cachait derrière un rocher, décidant de pouvoir réapparaître à la vue de tous. Il fallut quand même faire une inspection minutieuse des environs, des créatures ayant été signalée, les agents de la Légion n’avaient tout de même pas été suffisamment stupide pour s’attaquer aux Mog, c’était déjà ça, et nous n’avons finalement pas découvert grande chose dans les lieux dit.
C’était la première fois que je voyais une telle créature de mes propres yeux, la petite boule de poil avec un pompom sur la tête paraissait aussi curieuse que sympathique en tournoyant dans un petit éclat cristallin. Il fallut quelques instants pour qu’il se concentre sur notre discussion, mais il comprit tout de même la gravité de ce qui lui était demandé : Appeler « le Gardien », celui qui s’occupait des tablettes traitant des vieilles légendes sur le Cocon-Mère remontant à des éons de cela. Il accepta, mais seulement si nous lui venions en aide, ce qui fut en retour naturellement accepté. Nous n’allions pas agir sans rien, même si notre objectif de base est pure : Leurs venir en aide, car plusieurs « chasseurs » de la Légion avaient été vu et entendu dans les environs proches. Ce qui signifie que dans l’écume des cieux, cette espèce proliférait de plus en plus. Notre mission était de retrouver un gros mog froussard sur la route vers un lieu nommé « Zenith », visible de particulièrement loin vu la splendeur qui s’en dégage, mais qui aurait disparut au petit matin même avant d’accomplir son rôle. En échange de quoi, nous aurons droit à une entrevue avec « Le Gardien. »
Pour rejoindre la destination, il fallait faire usage de chocobo volant d’une plateforme de pierre où se trouvait Nid-mog, vers une autre étendue pour trouver précisément le tracé du gros mog nommé « Mogpu » et lui mettre la main dessus afin de lui permettre de retrouver les siens, et pour nous, de mérité cette entrevue avec le Gardien qui nous offrirait de nouvelles prometteuses notamment sur la manière de brisé définitivement le cycle. Surtout avec le Culte du corbeau mauve derrière. C’est à ce moment que je découvris la grande curiosité des pierres sifflantes, sortes de rochers en forme de chocobo permettant de faire venir de tels compagnons fidèle venant nous récupérer pour nous faire passer les étendues des montagnes de Dravania qui s’étendaient sous nous avec un petit effet effrayant de « si vous tombez vous allez mourir et pas qu’un peu. » Ainsi, après avoir entendu le sifflement familier des bêtes résonnant dans nos oreilles, jusqu’à ce que dans un petit piaillement, plusieurs vinrent à notre rencontre, nous voilà dans les cieux à traverser la distance nous séparant du début de notre enquête. Il fallait être attentif, cela dit, il était toujours possible qu’il y ait autre chose proche de nous justifiant un arrêt pour retrouver le petit Mog, mais il n’en fut rien. Et ce fut donc une chevauchée aérienne des plus agréables jusqu’à ce que les pattes des bêtes s’installèrent au sol proche d’un cadavre que nous avions repérés au loin.
Plus on s’approchait, plus on constatait qu’il s’agissait d’une Xaela, la pauvre avait le corps rachitique comme si elle avait été bue de l’intérieur, laissant une image simplement écœurante de ce qu’elle fut jadis. C’était la même chose que les Templiers desséchés retrouvés au nord du Convictoire, et on savait ce qui pouvait nous attendre. Rapidement, la plus part se mirent en place des protections pour ne pas être attaqués par surprise. Le bouclier évoqué par la piété et les sorts d’Amauroix furent joint à ceux de Moutah, nous livrant une protection hors pairs. Nous étions sept lors de ce mouvement – Moutah Pontah et le Père Amauroix seraient nos protecteurs. Les Chevaliers Elwenne et Arlsang faisant face une nouvelle face, en compagnie de Rhaiq, mon unique fine-lame, et de la présence rassurante de Merethir. Almire resté vers Nid-Mog pour préparé la venue du Gardien et des Chocobo revenant vers nous. Elwenne se mit rapidement à faire usage de son éthérimètre, ce qui allait être très pratique puis-qu’ainsi elle découvrit les failles avec les chasseurs dans les zones bordées d’éther. Ici, l’éther était très présent dans l’air, et là où les chasseurs passaient, le néant à l’intérieur laissaient comme des tâches vulgaires sans rien – Ce qui me fait pensé à une stratégie applicable pour les repérés ainsi facilement. Pour l’instant, nous n’avions besoin que de ça. J’avais proprement empâlé le corps de la Xaela, entendant le chuintement du Chasseur à l’intérieur en voie de naitre, ainsi que les humeurs noires glissant de la plaie, démontrant une évidente contamination. Ce corps était devenu un cocon, que je venais de percé de ma lame.
Un autre percuta brusquement les boucliers autours de moi, brisant celui du petit Mog nous ayant donné cette mission, ayant fini par nous accompagné, alors que la bête fut écrasée au sol par Moutah et Arlsang, ne lui laissant aucunes chances de s’échapper. Elles étaient de plus en plus nombreuses, mais il fallait se battre car on ne pouvait simplement pas les laissés derrière. Soit toutes ses créatures mourraient, soit elles seraient un danger pour plus tard. Elles ne nous firent que peu de mal, si ce n’est que leurs présences était suffisante pour plonger ceux trop exposés dans la folie. Je faisais le guet sur les hauteurs, en contemplant Arlsang qui s’approchait du corps de la jeune fille comme si elle allait se relevé pour lui expliqué ce qui se passait ici. Comme si elle était de sa famille. Et je du le secoué pas mal pour le faire ressortir de son état second – Rien de tel que de bondir sur le dos de votre camarade en armure lourde pour le reveillé et s’en servir de tremplin pour frapper une créature volante proche.
La bataille était toute à fait inégale, l’ennemi n’avait pas de moyen de lutté maintenant qu’il était visible et aisé de vaincre. Rhaiq en coupa un des derniers en deux, ceux qui n’avaient pas été châtiés par Elwenne, Moutah et Amauroix, de l’humeur noir dégoûtante coulant encore du poings d’Arslang qui l’avait fracassé au sol si fort que sa carcasse avait littéralement explosée sous la pression du coup de massif guerrier Xaela. C’était fini de ce combat, mais il fallait encore parvenir à trouver Mogpu dans les environs, en espérant qu’il ne se soit pas enfuit dans une cachette perdue, ou qu’il n’ait pas été condamné par les entités vicieuses de la Légion. Au milieu du champs de bataille, je pris de la hauteur pour inspecter les environs rapidement. Jusqu’à constaté d’un coup que ce maudit garnement n’était vraiment pas loin de nous, en me retenant de lui balancer ma botte à la figure.
Il était juste là, juste au dessus de nous, à l’intérieur d’un arbre. Plus facile de le voir depuis une position élevée, il se trouvait caché à regarder les combats ayant lieux depuis sa petite hauteur, tout gêné de la situation. Dit que je pu le faire remarqué, il fut visible, et le petit mog nous ayant envoyé le chercher fonçant à sa rencontre pour se mettre à le disputé dans des palabres qui semblaient ne jamais en finir. Donnant l’impression qu’ils allaient continuer éternellement à se disputer, ce qui je dois le dire, n’est pas à mettre à la portée de tout le monde pour ne pas finir dans une crise de nerf qui nous aurait pousser à en attraper un par le pompom pour frapper l’autre. Mais pour évité une erreur diplomatique dramatique tout en échouant au passage notre mission, je pris soin de reprendre mon souffle faisant une halte involontaire pour regarder ce qu’il se passait auprès d’Arslang et Amauroix : Le Père priait pour la mort de la Xaela pendant que le capitaine lui s’occupait de la dépouille en vérifiant ce qu’elle avait voulu protéger avec ardeur : C’était, dans sa sacoche en jute de piètre qualité, un très jeune dragonnet qui avait été éparpillé des chasseurs de la Légion grâce au sacrifice de celle que Arslang avait prit pour sa sœur à cause de la folie infligée par la présence spectrale de nos damnés adversaires.
Elle avait quelques affaires, mais rien de significatif autre que son collier de crocs fait pour reconnaître son passage à l’âge adulte qu’elle portait à son cou. Il fut récupéré, dans l’espoir qu’il soit rendu à sa famille un jour, alors que le jeune dragon était mit en sécurité auprès d’Arslang il me semble, Elwenne veillant à son tour sur lui, pendant que le Père préparait les derniers sacrement pour le départ de son âme vers la Mer des étoiles. Pendant, se temps, et après avoir balancer un petit caillou qui rebondit sur la tête des deux Mogs en finissant par voltiger plus loin, cela les interrompit suffisamment pour qu’ils nous répondent enfin, et qu’il soit possible de convoqué le Gardien par ici. Pour cela, Mogpu – ou son compagnon, ils se ressemblent de toutes façons tous les mogs, si ce n’est leurs nez d’une couleur différente, ou là je l’admet, un problème clair de mauvaise disparité des rations vu l’apparence de boule que Mogpu prenait dangereusement de plus en plus. La sonorité fonça dans les cieux, et vrilla un instant avant de disparaître comme une note qu’il n’aurait pas fallut entendre, mais qui gronda pour attiré celui qui veille sur les environs. Le temps passa, tranquillement, observant les environs en vérifiant que les Chasseurs de la Légion n’approchaient pas, un calme de plus en plus poignant était en train de prendre le pas sur la situation. C’est comme s’attendre à ce que tout va dégénéré, mais que rien n’advienne dans une frustrante attente en serrant la garde de mon katana comme si il avait envie de faire couler l’humeur noire des créatures autours de nous. Jusqu’à ce que dans le ciel, vint à nous la forme qui bloqua tout ce que nous étions en train de faire.
Revisiter les plans, s’occuper du corps, réfléchir à la suite, patrouiller dans les environs, disputé les petits mogs qui continuaient de se taper dessus, rien n’était plus important que contempler l’immense silhouette du Gardien, dit Naersgr, le grand dragon blanc s’installant face à nous pour répondre à nos questions. Il n’était plus habitué à répondre aux humains, ami des Mog qu’il était avant tout, et la conversation fut au moins enrichissante au sujet de la Légion : Portant trois maître, comme nous l’avons appris, le Cocon-Mère était en quelque sorte le cœur de sa renaissance quand il se remettait à battre, et à engendré les maîtres de la Légion. Il était même possible d’imaginer que d’autres types de créatures pouvaient voir le jour grâce à ce dit cocon, si certains savaient le manipulé pour ça. Détruire le dit Cocon ne signifierait rien, il fallait parvenir à atteindre le Cristal qui avait vu engendré la naissance de la Légion. Si celui ci avait été déplacé, il n’y aurait pas nécessité de nous rendre à des lieux particulièrement ancien pour lui mettre la main dessus, mais il faudra avant tout abattre les Maîtres de la Légion pour parvenir à en finir une bonne fois pour toute.
Laisser la moindre trace de cette entité, c’était laissé une chance de la voir réapparaître de nouveau. Ainsi, quand le dragon quitta les lieux en nous laissant à nos réflexions, nous avions déjà établit notre projet : Trouver les alliés prêts à combattre cette Légion naissante, écarté le Culte du Corbeau mauve si il se met sur notre chemin, et détruire les dits maîtres. Celui des Chasseurs devait être notre prochaine proie, vue sa manière de proliféré beaucoup trop rapide et dangereuse, créant de petits êtres infâmes partout où il s’étend. Nous n’en saurons que plus une fois les enquêtes terminées, dans l’heure, les Mogs nous ont rapportés les Chocobo pour retourner accéder à l’éthérite de Nid-Mog. Il était grand temps de rentré vers Ishgard après quelques jours de voyages. Notre prochain déploiement risquant d’être encore plus dangereux. Les rumeurs parlent de l’ingérence de Daegan Kir Rufus, le dernier adversaire à s’intéresser au Maître des étoiles. Bientôt, nous aurons à le retrouvé, et à tout faire pour le faire rejoindre le Baron de Hautepointe dans la défaite. »