[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 02 mars 2021, 09:26

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’éveil de la Mort de Fer."

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Cent-vingtième Entrée – « Acte 5 – Sous le sable du désert.»
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« Quelques enquêtes eurent lieu depuis notre dernière intervention. Comme promis, j’essayais de me concentré sur le cristal conscient, mais il n’y eu rien de très informatif à acquérir : En tout cas, pas les réponses finales ! Car nous n’avons fait que découvrir que ce dernier était une pièce d’un réseau beaucoup plus étendu qui doit s’étendre dans le désert même. Ils cherchent à se gaver d’éther, une quantité des plus larges, pour que Sagoli devienne une sorte de ferme à éther accumulé en vue de provoquer un effet encore inconnu. Quels genres de projets pouvaient avoir les partisans de ce malade qu’est l’Empereur Xandes ? Au moins, les recherches de Karol avait permit d’atteindre une cible plus au sud-ouest où les Amalj’aa errent dans le désert et se confrontent directement à la Mort de Fer. Mais cette fois, la diplomatie risquait d’être bien plus compliqué au vue de la nature des acolytes d’Ifrit bien plus belliqueuse et sans avoir le soutiens de l’éleveur de draconides débiles. Sorn aussi avait fait envoyer un de ses hommes de main enquêter dans les environs, ayant découvert que les chasseresses avaient été lourdement éprouvée par un des cristaux identiques à celui que nous avions analysés ensemble pour en découvrir les mystères.

Définitivement, il y à quelque chose de pourri dans cette situation, et pourtant je suis sûre que nous pouvons en faire quelque chose pour prendre l’avantage. Si on pouvait avoir le contrôle d’un cristal nous donnant l’avantage tout en le connectant à ce relais, y aurait-il un moyen de lui faire parler pour nous offrir les secrets de la Mort de Fer ? Sans avoir préparer le cristal, notre objectif le plus clair restait l’enquête de Karol. Elle avait un lieu, et une action récente, mettant pour l’instant les informations de Sorn pour une autre mission. C’est à l’Oasis oublié que nous nous sommes réuni comme toujours avant d’entrer dans le désert de Sagoli. Après une journée paisible au piano pendant que Sorn et Finaen discutaient à Vertegide, l’Eyri se retrouva proche de l’éthérite. Lalavyr devait être hélas occupé, mais Karol nous attendait dans sa belle tenue orientale jaune, et nous nous sommes bien vite retrouvé en grande partie avec notre équipe. Sorn qui avait oublié quelque peu en partie des habits pour le désert de nuit ! Ainsi que Runne et Finaen tous remit de notre dernière altercation avec un maudit Morbol. C’est lors du départ que Namiko pu finalement nous rejoindre, légèrement en retard, pendant que j’étais en train de négocier une grande cape du désert faites pour que Sorn puisse s’enrouler dedans et ne pas craindre le froid. Un élément vicieux de la nature, surtout en Sagoli, et les U eurent un plaisir à nous fournir en échange de quelques gils.

C’est ainsi que lors d’une bien fraîche nuit, nous nous retrouvions à arpenter ce grand désert vers une destination approximative. Karol avait une grande entre les mains, et nous usions de nombreux matériaux pour essayer d’orienté une direction correct : Des boussoles pour partir vers le Sud-Ouest, et un compas pour bien utilisé les distances et nous orienté encore plus efficacement encore. C’est cette petite compagnie en voyage qui pu dès lors esquivé les mouvements des vers des sables en finissant par évité la plus part des problèmes de ce désert, jusqu’à ce que des débris de métaux firent surface un peu partout autours de nous. Sous la surveillance de Sorn, celui ci observait que les sables mouvant ne nous gène pas, installé sur les hauteurs avec Finaen et Karol, ils observaient que rien ne nous gène ou encore n’apparaisse sous la protection de Namiko. A vrai dire, c’était calme, visiblement les décombres d’une vieille pyramide-faille de la mort de fer que les Amalj’aa auraient fini par détruire. Les hommes-bêtes s’arrachant donc quelques victoires sur l’ennemi hait, autant à notre joie qu’à notre malheurs : Car ceux ci en voulaient toujours aux humains. Il y avait deux pistes relative – Karol et Finaen, ainsi que Sorn, perçurent plus loin les panaches de fumée menant droit vers les Amalj’aa que nous avions rattrapés, ainsi qu’une traînée de lumière mauve qui se dilatait petit à petit.

Plutôt que de ne rien faire et de foncer, c’est avec Runne canalisant l’éther de glace que nous avons provoqué une congélation des câbles menant droit à la tanière de l’ennemi afin de le bloqué. Ça ne produit pas un effet immédiatement visible, mais on ressentait au moins avec l’éthérimètre et tout autres outils que la glace avait permit d’empêcher en partie que des problèmes n’apparaissent bien avant notre venue. Il était temps de rejoindre les Amalj’aa, à mon grand malheurs, puisqu’ils ont tendance à avoir du mal à accepté notre présence quand nous n’avons pas réussi très difficile à parlementé avec. Abandonnant les morceaux de métaux afin de nous mettre en route, traversant encore un morceau de désert ensemble jusqu’à rejoindre le lieu suivant après qu’ils aient détruit la pyramide de métal avec violence. Ils étaient désormais installés sur une sorte de relais d’énergies de la Mort de Fer dévasté par leurs efforts. Des scarabées de métaux brisés se trouvaient une fois de plus ici, écrasé par la violence des Hommes-bêtes dont l’un glorifiait son nom pour sa prouesse. Ayant mon éthérimètre sur l’œil – Enfin, celui de Livio ! Je pouvais voir parfaitement hélas, que l’activité de l’énergie de la Mort de Fer elle dans les entrailles de la terre n’avait pas diminuée.
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Malgré la nuit nous recouvrait, il serait difficile de ne pas se faire voir par les archers qui guettaient en avant. Des flammes éclairaient les environs et la beauté nocturne laissant de toute façons la lune et les étoiles rayonné en travers quelques rares nuages errants. Ils surveillaient bien les lieux, des lanciers se pavanant un peu de leurs réussites un peu plus loin proche des morceaux de métaux dévastés. Ce qui passait complètement de côté de la considération des deux Chamans qui eux essayaient d’étudier une sorte de console de contrôle de la Mort de Fer. Je doutais qu’ils y comprennent grand-chose, mais je dois dire que je n’ai pas le meilleur avis non plus sur les Amalj’aa depuis le conflit contre le Pacte du Feu vengeur. Sorn essayait de nous mettre en vitesse à couvert, mettant notamment Finaen au sol et Namiko – Ou est-ce cette dernière qui avait plongé avec nos deux crépusculaires immenses ? Pendant que Sorn envoya une grenade à une distance opposée à la notre afin de faire distraction. Hélas à mes yeux, nous devions prendre l’initiative rapidement sans escompter parvenir à rester très discret notamment avec l’équipement de Namiko rayonnant de lumière. Envoyant une boule de fumigène éclatant au milieu des archers, c’est en courant vers ma cible : Le quart de cercle de métal au sol, que j’observais ses maudits Amalj’aa décoché dans tout les sens malgré la fumée. Propulsant quelques kunais vers leurs traits, ça ne serait pas suffisant pour les arrêtés j’en ai bien peur, un trait passant le long de la jambe de Finaen.

En retour, il était temps pour nous d’intervenir en vitesse, et je ne pouvais que soulever l’ironie de voir Runne se catapulté littéralement dans une lueur d’éther vers les deux Chamans en braillant que nous ne sommes pas là pour les abattre. Agité et en soif de victoire, j’ai bien peur que les convaincre n’ait exigé une toute autre manœuvre, mais le propos de base était que cette fois ils ne seraient pratiquement pas possible à raisonné. Ainsi, pendant que Runne disait aux chamans que nous n’étions pas leurs ennemis, j’entendais Sorn tirer dans tout les sens avec son arme à feu droit vers les archers pour essayer de les arrêtés, puisque aucuns n’est mort, je suppose qu’il visait des parties non létales pour les faire ployés pendant que Finaen détournait les lanciers et tentait de les paralysés avec la foudre. Alors que je m’installais sur le quart d’acier, Karol était introuvable, il fut découvert peu après qu’il était littéralement passé sous terre grâce à sa maîtrisé des forces terrestres.

Manipulé le sable devait être bien plus simple, hélas, si ça n’est pas des vers des sables qui furent une menace pour notre ami Lalafel. Il du tout de même s’opposer à des câblages essayant de l’attraper pour le vider de son éther, car pendant que les Amalj’aa fêtaient leurs victoires, ils étaient littéralement installé au dessus de la base de la Mort de Fer. Cette dernière continuait à accumulé de plus en plus d’énergie, et après avoir tailler en pièce l’accès de métal menant vers le coeur d’énergie qui rayonnait sous nos pieds. Attrapant au grappin le catalyseur Amalj’aa qui menaçait Runne de le brûlé net, je propulsais le dit catalyseur droit vers l’intérieur du passage fendu par mon sabre en essayant le faire exploser avec un éclair pour saborder toute l’installation. Ce dont je ne m’étais pas douté, allait être l’ampleur de l’explosion. Si Runne n’avait pas trouvé un moyen sur la console pour provoquer une fermeture d’urgence des portes que je n’avais pas trancher, la déflagration nous aurait tous balancé dans tout les sens. A la place, la terre s’agitait brutalement en bousculant les Amalj’aa en produisant un grondement terrible, Namiko avait tenu la ligne jusque là contre les archers en faisant précisément comme les autres : Aucuns de ses coups n’étaient fait pour tuer. Dans un sens, heureusement que je n’ai pas eue à me battre directement avec nos ennemis. J’ai tendance à avoir bien moins de retenue, et ma cible était dès lors toutes formes de la Mort de Fer qui pouvait faire surface autours de nous.

Après un instant de pression supplémentaire face aux Amalj’aa, tous finirent par être vaincu, Namiko soutenu par Karol avait fini par faire plier l’échine des archers autant que Finaen avait maîtrisé les lanciers, tous soutenu par les tirs de Sorn qui avait fini par diriger son arme droit vers les Chamans pour touché dans les parties non-vitales. Ils étaient blessés, inconscient, paralysés, mais vivant. Et pour ma part j’ai bien faillis avoir bien pire comme choc si Runne n’avait pas ralentit ma chute quand l’un de leur chaman me propulsa dans le trou béant qui s’était formé après la déflagration immense qui avait propulsé un amas de débris dans les cieux. Saisissant l’éther, le Miqo’te força pour m’empêcher de choir et de m’empaler sur les morceaux de métaux tranchants éparpillés au milieux du passage ravagé. Me permettant de faire usage de mon bijou du totem aux milles bêtes afin de battre des ailes sous cette forme de Harfang que je fis disparaître rapidement après avoir rejoint Runne au sommet, heureuse de ne pas m’être cassé la figure un peu trop brutalement grâce à son sauvetage. Lentement, nos compagnons venaient s’installer autours du trou béant. Malgré la fatigue et les quelques blessures, nous venions au moins d’atteindre précisément notre objectif : Trouver un lieu secret où la Mort de fer est installée. C’est dans les profondeurs du désert que s’étend son réseau, aussi sous-terre aurions nous plus de chance d’en comprendre plus sur notre ennemi. Il était donc temps de descendre vers le passage qui s’était dévoilé sous nos pieds. En espérant enfin trouver des réponses sur la genèse de notre ennemi.
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Je pensais que mon grappin allait être pratique pour descendre jusqu’au passage, habituée à l’escalade que je suis, en accompagnant Runne qui s’était propulsé droit vers le passage au milieu des débris grâce à l’éther. Mais Karol fit usage de sa magie pour créer un véritable petit escalier terrestre au milieu des décombres d’aciers. Ce qui empêcha Sorn de se casser la figure brusquement vers la fin de la marche quand Finaen étendit brusquement la roche pour lui rendre pied. Grâce à lui, Namiko, Finaen et Sorn n’eurent pas besoin de peine à nous rejoindre en bas avec Runne alors que nous observions un passage intérieur de métal ressemblant à une de ses vieilles installations Allagoise qui n’auraient jamais du être de nouveau active. Des lignes concentriques mauves erraient sur les parois autours de nous montrant bien l’activité de l’énergie en place venant droit vers ce qui ressemblait de plus en plus à un centre de commandement. Et cela allait se confirmé une fois que la porte d’accès fut ouverte à notre passage, entrant dans une salle austère isolé sous la roche. Il n’y avait pas la moindre forme de pierre ici même, au grand dam de Karol et de sa maîtrise de la terre, uniquement du métal autant sous nos pieds qu’au dessus de nous.

Parsemé de ses lignes concentriques et de lueurs technologiques provenant de divers matériaux actifs. Une machinerie étrange ressemblait presque à un gorille manipulait de nombreux cristaux rose me faisant pensé à ceux de la conscience de Byregoth, reluisant doucement dans leurs coins, permettant certainement d’avoir fait usage de leurs machineries ainsi qu’ayant peut-être permit l’ouverture de la faille encore close un peu plus loin. Une ligne, un fil dans la réalité même donnant l’impression d’une déchirure affreuse qui marquait le réel même. C’était éprouvant et atroce à observé, ma pression montait doucement d’autant que malgré l’affection que je lui porte, j’avais envie de balancer Sorn du haut d’Ishgard pour lui remettre les idées en tête quand il suggérait sa déception à l’idée de ne pas voir une Démone langoureuse se jeter dans ses bras. Si seulement il connaissait les atrocités de telles créatures. Pour ma part, je m’intéressais justement au démon qui se trouvait devant une machinerie aux propos incompréhensibles – De l’Allagois, difficile d’y comprendre quoi que ce soit. Mais cela ressemblait à une table de rapport étendant des recherches certainement sur la Mort de Fer. La dernière menace était une sphère Allagoise, une de ses créations perdues depuis la chute de l’Empire continuant de veiller sur ses anciennes installations. Runne avait une sorte de haine envers de telle création, car il fusa encore plus vite que moi droit vers la sphère pour essayer de la saboter de sa magie en étant rapidement rejoint par Finaen pour que les deux mages ne diffusent la foudre et les énergies vermeilles essayant de dévasté la dite sphère. De l’autre côté, Karol soutenait Namiko en divers tentative de bloqué la machinerie que notre protectrice combattait de son épée dans des grands bruits d’acier résonnant.

Bien que ma haine du démon était comme vous vous l’attendez immense, ma cible n’était pas seulement ce dernier, en tournoyant vers cette chose en essayant de le massacrer de mon sabre en divers entailles, c’était premièrement pour récupéré les Mémoquartzs installés sur la machine au cas où ils seraient détruit par le combat à venir face à cette chose. Les tirs de Sorn épaulaient mon duel au sabre contre ses griffes aiguisés, permettant à mes coups de porter plusieurs fois en l’entaillant de plus en plus. Le combat avec la sphère faisait rage derrière moi, des lueurs d’énergies frappaient un peu partout en essayant de repoussé les deux mages rouges bien que cette dernière était clairement en train de s’éteindre au fur et à mesure. Peu envieuse qu’elle n’ouvre de nouveau la faille du néant dans un geste désespéré, Sorn pu paralysé le démon avec une grenade spécifique me laissant précisément faire ce que je désirais. C’était certes salissant, mais efficace, et j’éventrais le démon brusquement en rependant son sang le long de la faille pour provoquer sa fermeture avec ce qui est censé permettre de l’arrêter, comme je l’avais appris de Runne. Namiko avait fini de briser la machine après un combat acharné, celle ci s’était littéralement effondrée dessus mais on évitait le pire quand Karol grâce à sa magie la déplaça soudainement pour ne pas qu’elle soit écrasée. Sorn vint aussi à son aide, permettant à la combattante de venir empalé brusquement le démon dans son dos, le bloquant pile le temps de le décapité aussi net quand Karol nous infusa de son chants rayonnant permettant à nos forces d’être usés avec bien plus de facilité.

La tête du démon roulant au sol, toutes cibles gênantes avaient finie par être détruite, ce qui nous permit d’inspecter le centre de commandement rapidement. Le temps restait compter, les Amalj’aa ne resteraient pas définitivement inactif après la raclée qu’ils avaient reçu, entre les inconscients et ceux qui s’étaient simplement enfuis avec le risque de venir avec des renforts. Namiko et Sorn récupéraient des nombreux cristaux d’énergies pendant que nous inspections la faille. Avec nos éthérimètre, Sorn et moi estimions bien que le démon bien plus grand que celui que nous venions de détruire avec sa faux, devait être parti de ce lieux après que fut permise son invocation à travers la faille. Quel déplaisir de savoir qu’en Sagoli, ce genre d’être arpente les environs de nouveau. Finaen lisait en partie les rapports, mais avec les Mémoquartz, je pense qu’il sera possible de prendre une longue session chez Corvus et cet accro aux légendes d’Allag qu’est Livio pour en savoir plus sur ce qui intéressait tant le démon avant que je ne le décapite. Nous avons beaucoup de chose à découvrir, avant la prochaine mission. La question sera : Qu’est-ce qui nous permettra d’enfin atteindre la mort de Fer, et de découvrir la finalité de ce dont il s’agit ? Pour ma part, j’en suis encore à mon idée d’une conscience démoniaque transférée dans une machine par ses fous de serviteur de l’Empereur Xandes avant la chute de l’Empire. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 03 mars 2021, 12:43

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La lignée maudite des Delatour."

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Cent-vingt-et-unième Entrée – « Acte 4 – Les racines du Désir.»
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« Après quelques recherches depuis le Thanalan quand nous avons découvert le cocon de la colère, il nous fallait essayer de retrouver qui avait bien pu créer cette chose affreuse avant que des vies ne soient volés. Je faisais surveiller les environs ainsi que les moindres marques d’apparitions de l’œil ouvert représentant le symbole du chasseur d’ombre, aussi avons nous remonter une piste de la présence de celui qui était en haut de la source de la Nophica à nous observer depuis au dessus avant de partir. Il devait être définitivement l’invocateur, et Finaen et Runne aidèrent à trouver des indices avant d’essayer de mettre la main directement sur l’invocateur. Tout menait vers la Noscea, Vylbrand, là où nous avions pas tant agis que ça tout compte fait allons enfin nous retrouver auprès du Maëlstrom. La Basse-Noscea nous attendait, depuis le Chantier naval de Moraby là où nous avions suivi la piste depuis la Crique du croissant tout en évitant d’aller jusqu’au bout de notre route pour ne pas nous mettre en danger avant qu’une équipe complète ne soit monté pour partir en mission. Il ne fallait pas cela dit trop tarder, plus longtemps nous allons mettre à agir, plus longtemps se développerait le mal qu’ils auraient pu déposé sur place. C’est donc à l’éthérite du chantier naval que nous nous sommes retrouvés avec notre équipe du soin, malheureusement Runne et Finaen occupé de leurs côtés, ce fut toute fois un groupe équilibré et efficace qui fut créer.

Teris&Vaule étaient de retrouver, installé sur une rambarde en attendant notre arrivé, ses compétences en forces démoniaques serait plus qu’utile à cette chasse. Motivé une fois de plus, surtout lors de cette histoire qu’il ne maîtrisait pas complètement, Sorn vient à nous rencontrer dans une tenue de marin ironiquement adapté à la Noscea. N’lamahni plus qu’heureuse d’agir dans ses terres natales, deux compagnons vinrent s’occuper de nos blessures en cas de problème : Tinéa qui arriva légèrement en retard, pour de coutume ! Et Kyuuji qui avait l’air de se sentir mieux, vraisemblablement, après qu’il eu été dans un piteuse état les derniers jours à cause d’une autre affaire. C’est l’immense Ugumori qui serait là pour nous protéger ce soir, tous se retrouvant au chantier naval à la demande de Corvus Vendex qui une fois de plus était là pour s’occuper de l’opération. Il nous fit un point rapide sur la situation, qui datait visiblement de quelques jours : Les Atolls de Sels sont devenue une zone dangereuse où le passage des habitants n’est plus autorisés par le Maëlstrom depuis la disparition de quelques personnages et l’apparition de racines rouges.

Les mêmes racines dont nous avions vu l’apparition autours des cages des prisonniers à la Source de Nophica présente pour récupéré l’éther des captifs. Et si la grande compagnie de Limsa avait grandement mitigé les victimes en attendant l’intervention des aventuriers pour se débarrassé de la menace, il restait quelque chose de bien plus inquiétant : Le pouvoir restant des immenses griffes de Dalamud abandonné là-bas depuis le dernier Fléau. Une source d’éther, d’énergie immense, et très appréciable pour les entités obscures nous attendait donc. Le descriptif de nuages sombres tombant lentement du ciel pour devenir des racines au sol n’avait aussi rien de bien rassurant, et petit à petit les morceaux du puzzle concernant la genèse et les actions du chasseur d’ombre allaient tombés. Étant grand temps de partir après un instant de conversation sur notre objectif, les gardes du Maëlstrom nous saluèrent en annonçant à leurs camarades surveillant les passages des Atolls que nous arrivions nous occuper de la situation. La nuit tombait doucement, une fraîcheur maritime paisible glissant autours de nous agréablement. Il était plaisant de voir la vie se développé sur les grands routes vers les Atolls tranquillement, et nombreux furent ceux qui profitèrent d’un marchand Roegadyn pour acheter de quoi manger sur le trajet.

Du poisson, encore et encore du poisson ! Ugumori et Sorn ayant eu le droit à des souvenirs de la Noscéa, une petite statuette orientale et une peigne doré venant des plages récupérés par le marchand qui préparait notre poisson. Kyuuji était de son côté déjà concentré sur les maléfices locaux, et au moins n’avait-il rien constaté de mauvais dans les environs. Du moins, pas avant de rejoindre les Atolls de Sel directement, profitant d’un peu du poisson acheté. Difficile de ce sentir en mission si dangereuse, au départ ! J’ai même pris du temps pour discuter et réparer la canne à pêche d’un vieux pêcheur grognant de ne plus avoir accès aux Atolls. Si il n’avait pas de marque dans le nuque, il dévoila malheureusement la présence d’un Elezen n’ayant pas la même identité que Ludwing ou le père de Georgois. Qu’est-ce qui pouvait bien nous attendre là-bas ? Tout le monde fut bien plus tendu en arrivant dans les environs des Atolls. Il y avait clairement une présence malsaine, comme invisible autours de nous. N’lamahni et Tinea restant auprès d’Ugumori et Kyuuji en premier ligne, Sorn récupérant son arme à feu, nous mettions les pieds dans l’antre de l’ennemi. Et il ne fut pas bien difficile d’atteindre ce dernier.
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Pas de camouflage, pas de brume, pas de secret. Cette fois, nous affronterions directement ses maléfices étendues un peu partout dans les Atolls de manière bien dispersés. C’était une des problématiques : Les œuvres démoniaques étaient simplement partout dans les environs des Atolls de Sel, s’étendant alors sur un large espace avec plusieurs problématiques, dont une principale : Le fait que des racines rouges se glissent lentement autours des griffes de Dalamud pour petit à petit débuté la ponction d’éther. Une maison des Qiqirn avait littéralement été dévasté par une de ses racines qui lentement disparaissait après avoir ponctionner ses pauvres habitants abandonnés au sol, tous déjà mort depuis peut-être quelques temps, montrant bien qu’après son repas elles ne resteraient pas éternellement. Ce qui était plus curieux encore, était l’odeur. J’admets avoir été envoûtée par l’odeur alléchante du poisson grillé m’ayant poussé à en faire l’achat, mais ça n’était pas le même genre d’envie. Un plaisir simple fut remplacé ici par un désir plus important encore, une plaisante envie lié à une impression sucrée au fond de la gorge. Un peu de musique s’échappant doucement de ma cible : Une sorte de bulbe étrange, deux créatures errantes autours mollement en planant sur une brume noire me laissant penser aux chasseurs des brumes déjà confrontés. C’était ma cible, l’attirance et l’envie était précisément ce qui me faisait le plus horreur possible et je ne désirais pas que l’esprit de quiconque parmi mes alliés ne défaille : La terre, noire autours de nous, me semblait déjà bien suffisamment souillé pour ne pas que le cœur de mes compagnons soient tout autant atteins.

Alors que je me ruais vers le bulbe, plusieurs vinrent à l’aide d’un mégalocrabe enlacé par les racines. De telles bêtes sont une bonne source d’énergie vitale et nous ne désirions en rien qu’elle soit usée par l’ennemi. Les eaux soulevés par Kyuuji devinrent des lames tranchantes s’aidant de la purification de Tinea pour couper brusquement celles qui entourait l’énorme bête, qu’Ugumori fini par dégagé dans un grognement mêlé aux éclairs arrachant les racines brusquement en balançant l’ensemble au sol. Ils faisaient tout pour libéré la bête, même si elle n’était pas aussi reconnaissante dans la panique, essayant de frapper le défenseur Roegadyn en agitant ses immenses pinces avec une certaine crainte. Pendant la libération du Mégalocrabe jusqu’à ce que se dernier ne considère qu’il avait un peu trop de risque de finir en repas avec un peu de mayonnaise, filant en vitesse vers la mer proche de là.

Sorn était passé à côté, avant d’inspecter ce qui pouvait bien être à l’intérieur de l’amas de racines entourant une sorte de lueur rouge intense. Se penchant dessus, il perçu un homme installé sous une couche protectrice rougeoyante essayant de se défendre d’un massacre de la part de l’éther maudit autours de lui. Venant essayer de le sortir de là, explosant les racines pour essayer de lui offrir une porte de sortie, l’homme était l’Elezen décrit par le pêcheur : Des cheveux blancs, une peau sombre comme pouvait l’être celle de Finaen ou Sorn justement. Pour l’instant, il n’était pas nécessairement coupable puisqu’il était précisément en train de se faire dévoré par les effets présents, et nous découvrirons plus tard qu’il s’agissait d’un descendant Machois du nom de Malar. La problématique avec sa présence, était surtout tout le mystère de « Vermillon » dont nous allions pouvoir discuter une fois qu’il serait sauvé. Peut-être le nom du démon qui possédait son corps véritable. De mon côté, j’atteignais rapidement le bulbe en utilisant un des Shikigami de Moutah Pontah pour infusé mon sabre d’un peu d’éther céleste, espérant que cela dévasterait les protections des créatures entourant le bulbe. Une fois tranchées, Teris&Vaule profitèrent de l’éclat de cristal de feu de N’lamahni pour que la déflagration n’en soit que plus puissante, massacrant les entités gardienne sans défense en me laissant l’accès au bulbe.

Pendant que N’lamahni vint aider ailleurs et Teris&Vaule étaient intéressés plus grandement alors à Malar pour venir en aide à Sorn qui le sortait de là. Des racines jaillirent un peu partout pour essayer de nous enlacé à notre tour. Certaines voulant attraper Kyuuji et Tinea qui aidaient Ugumori en apaisant le Mégalocrabe de plus en plus, d’autres venant tournoyer autours de moi pendant que je vins trancher brusquement ce qui me retenait. Les racines rouges autours des Griffes de Dalamud furent dévasté par mes compagnons, autant que ce qui retenait les autres éléments des Atolls dans une déflagration foudroyante d’Ugumori se partageant un peu partout dans les Atolls. Après avoir libéré mon bras grâce à une lame de poing, ce dernier transperça l’œil directement de la créature qui émit un sifflement gargantuesque quand son œil principal fut détruit. Lentement, s’élevant en l’air, une créature avec des dizaines d’yeux s’élevait lentement en même temps qu’une rune apparue sous Malar d’un coup dans un rayonnement puissant d’un mauve inquiétant. La chose comme un rond de chair démoniaque avec de nombreux yeux s’installait devant moi, l’oeil au centre de tout fissuré et rendu aveugle après mon coup de sabre. Et partout autours de nous, la menace allait s’étendre de plus en plus.
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Affronter cette chose allait être plutôt difficile. J’y reconnaissais là comme une des entités maîtresse du Nuage noir qui avait donc un rôle dans la hiérarchie du Chasseur des Ombres. S’étendant dans les airs de plus en plus, lévitant à hauteur de visage, alors qu’un rayonnement d’un de ses yeux vint me frapper brusquement alors que j’essayais de parer le choc avant de m’écraser plus loin au sol, roulant deux fois par terre un peu sonnée et surprise. Jaillissant du sol, des sortes de tentacules apparurent ici et là ayant aussi plusieurs des yeux de la créature qui observaient nos compagnons un peu partout en essayant d’empêcher quiconque d’atteindre la rune autours de Malar, une rune représentant précisément le Désir. Cette envie qui essayait doucement de trouver place dans nos esprits par cette douce musique et cette impression sucrée. Et nous en observions l’incarnation même sur cette rune installé sous les pieds de celui que Teris&Vaule voulait sauver avec Sorn, pour eux, hors de question de laisser entre les griffes de l’ennemi une personne pouvant nous donner autant de réponses. Installé au milieu des équipes, Kyuuji se concentra pour faire reluire une puissante force d’éther revigorant dans un halo d’un blanc puissant, pure, s’étendant autours de nous en cherchant à apaisé nos blessures dans une pulsion d’énergie intense. Retrouvant mes esprits après le choc intense du rayonnement mauve, Ugumori vint l’assaillir de son Kanabo pour essayer de maintenir la créature et au mieux la brisé en frappant dans le tas de ses yeux immondes.

Fonçant à ses côtés, je frappais en même temps que le javelot reluisant de N’lamahni essayant de passé à travers l’œil mort pour le dévasté de l’intérieur. Plusieurs lueurs de magies frappaient autours de ses yeux dans les éclats d’étoiles reluisantes. La foudre d’Ugumori essayait d’aveuglé tout ses yeux en même temps, rayonnant brusquement pendant que Sorn essayait de se débarrassé rapidement des autres tentacules en plusieurs tirs pour couvrir Teris&Vaule cherchant à sortir l’Elezen de là. Rapidement, les dites tentacules furent brisés par de nombreux tirs, mais c’est là qu’un effet des plus vicieux apparut, un effet qui allait mettre en péril notre situation même qui aurait pu être bien bien pire sans l’intervention de Kyuuji qui protégea Teris&Vaule dans une lueur intense après s’être défendu d’un rayonnement s’extirpant d’un des yeux. Une brume s’était étendu autours de la rune, brusquement, d’un mauve inquiétant. Et si nos compagnons Lalafell furent secouru, Sorn n’échappa à cette intense brume, ses yeux s’illuminant un instant d’un mauve alors qu’il fut prit par un contrôle mental mue par l’énergie de l’envie. Loin d’être condamné à servir bien longtemps, cela suffit pour qu’il lève lentement son arme à feu en tirant droit vers moi et Ugumori pendant que nous luttions contre notre adversaire. Je venais de trancher une brume identique de mon sabre pour l’éloigner d’un coup, et je du après avoir blessé de nouveau ma cible, fendre une munition qui me fonçait dessus dans un puissant éclat étincelant.

Si j’avais su m’en défendre, j’avais eu la vision de notre compagnon se préparant à nous tirer dessus de face, ce qui n’était pas le cas d’Ugumori. Loin d’imaginer un tir dans le dos d’un camarade, le massif Gardien traversé de part en part s’écroula lourdement au sol, terrassé par ce choc. Heureusement le coup n’était pas mortel, mais il fallait intervenir rapidement, et la colère m’envahit avec la fureur d’une tempête. Les effets de peur envahissait nos alliés, Kyuuji tombant en arrière en craignant que la Lune, un rêve, un traqueur ne le rattrape. Tinea craignait que quelque chose ne lui tombe dessus venant des cieux, se recroquevillant au sol subitement dans une peur intense. Et N’lamahni eue une peur affreuse qu’un esprit maléfique ne vienne saisir son âme même – me laissant comprendre plus aisément maintenant sa phobie des morts-vivants. Trois de nos compagnons paralysés par la peur, Ugumori au sol, Sorn finissant d’être possédé, Malar qui avait été mit en sécurité essayait de faire rayonné des sorts de guérison avec acharnement pour arracher nos compagnons de cette emprise mentale. Les lueurs puissantes vinrent protéger mes camarades alors que je tranchais encore et encore, frappant de mon sabre cette chose en essayant de la tailler en pièce jusqu’à ce que la glace de Teris&Vaule éclata à l’intérieur de sa carcasse en la dévastant définitivement.

Dès sa destruction, toute l’influence du Démon du Désir disparurent en libérant les Atolls de Sel de sa présence. Un calme froid s’installait doucement, nombreux d’entre nous fonçant retrouver Ugumori pour s’occuper de ses blessures afin de préparer son rapatriement. Sorn était tous sauf à l’aise à cause du contrôle de l’esprit qui l’avait poussé à tirer sur son propre compagnons, et je m’en remettais doucement aussi : Chez moi, ceux possédé l’étaient définitivement, et j’étais plus en colère contre moi même de ne pas l’avoir détruit suffisamment vite pour ne pas que Sorn ne soit possédé. Mettant mon arrogance de côté, car ce combat était celui de tout nos camarades et pas seulement celui de ma lame contre cette chose, le calme fit disparaître ma colère. Teris&Vaule avec Sorn découvrirent que Malar Delatour était bien le père de Georgois, parlant d’une entité nommé Aurore qui posséderait son le corps de ce dernier ? L’objectif reste à eux tous de parvenir à l’invocation d’Arun’Brakkar, le maître du culte du Corbeau mauve. Le mettre en sécurité est notre priorité, nous préparant à ramener Ugumori inconscient vers Vertégide pour qu’il se repose maintenant de ses blessures – Sans s’attendre à se réveillé entouré de fruit, de viande, et de jeunes miqo’tes amenées par Sorn pour se faire pardonner. Teris&Vaule s’occuperaient de la protection de Malar. Et il resterait encore plusieurs des démons liés à des états d’esprits fait pour parvenir à l’invocation de leur maître. Quel sera notre prochaine cible ? J’ai bien peur que nous ayons à décidé de cela rapidement avant qu’il n’apparaisse réellement. »
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Message par Akayane » 05 mars 2021, 10:00

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-deuxième Entrée – « Acte 10 – Dans la prison aux flammes bleues.»
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« Le livre du vieillard désignait donc clairement la Prison des Esprits quant à sa provenance, une étude d’Eloise délivra dessus des informations aussi inquiétantes que curieuse : Sur ses pages, se trouvait à la fin la marque de Shigma. Il avait tissé tout un tas de contre-sort aux rites malsain qu’Ikijin cherchait vraisemblablement pour trouver un moyen d’invoquer son maître. Et quoi de mieux que des pensées des profanes habitants les lieux pour ça, me direz vous ? Au moins avions nous un objectif. Ashizen restant plus ou moins sous surveillance de Sulfur et des Deux vipères. La Tour de Dunstan resterait notre œil pendant que nous irons à la Prison des Esprits en passant une dernière fois par le Ranch qui n’a que trop subi, et je l’espère, pour la dernière fois. Au moins cette fois, rien n’advient, Adel’Delroy nous avait demander de partir par un trajet intermédiaire pour rejoindre la prison aux esprits en sentant bien que Ikijin avait couvert l’avancée du combattant d’Ashizen qui s’était rendu jusque là-bas. Nous avions donc à rejoindre une sorte de canal aqueux sur les flancs de montagne pour que glisser malgré les flots droit vers l’entrée de la dites Prison. Et ce, pour déterminé enfin ce qu’ils souhaitent faire là-bas.

De ce fait nous nous sommes donc retrouvés à l’éthérite tous ensemble. Runne et Eloise discutaient paisiblement ensemble assis contre une barricade en attendant notre venue, rejoint par Sorn dans une nouvelle charmante tenue qui vint rapidement s’installer auprès de nous. Aerlin serait notre guérisseur principal ce soir, heureux de nous retrouver en prenant le temps de discuter un peu ensemble pendant que nos deux protecteurs se préparaient à arrivés. Ugumori et Livio tiendraient tête aux menaces face à nous ce soir, épaules contre épaules, Livio ayant son attirail de Pistosabreur avec lui. C’est fort d’une équipe se connaissant maintenant fort bien que nous sommes parti vers la route Est en saluant quelques locaux, un des deux vipères nous disant que Sulfur à du mal avec le Culte de la Guerre, mais qu’ils tiendront le temps nécessaire. La ville semblait bien portante, il était agréable de la voir ainsi, percée par quelques lueurs solaires rendues floues par la présence des nuages sans pluies. Bien qu’Aerlin du rassuré une personne qui pensait que le malheurs allait leur retomber dessus à cause de notre présence ! C’est rapidement en forêt que nous nous sommes retrouvés.

Nous nous y sentions bienvenue, comme si des lueurs bleutés de Locae nous accueillait et nous pousser à la rejoindre en rendant la vision de la forêt encore plus magnifique encore. La route était agréable, bien que les détections n’amenait rien de bon : Depuis les montagnes où se trouve la prison, des lueurs sinistres étaient de plus en plus visible. D’après Livio, quelque chose nous avait clairement repéré et amplifiait sa présence dans notre direction. Ils ne voulaient visiblement pas être dérangés, et le jeune disciple d’Adel’Delroy nous faisait des signes de main. Les lieux étaient plus sombre, des fins filaments de lumières tombaient autours de nous donnant une certaine grâce à cet endroit, comme un antre perdu dans une légère brume paisible libérant une légère fumée hors du sol. Après avoir empêcher une fleur de manger Runne, les derniers instants de vies quotidiennes et agréable qui avait tant inspiré Aerlin et Ugumori disparurent doucement, même si ça n’affecta pas l’humour de Sorn. Le fil d’eau avait quelque chose de suspect, et le plus surprenant était que le passage intérieur avait été carrément inversé : Au lieu de devoir passer en avant, il filerait dans notre dos. Si nous ne faisons pas attention, cela nous emporterait à toute vitesse droit vers des pierres pour nous fracasser dessus pas très gentiment. Aerlin créa un petit ponton de pierre et stabilisa le sol pour faire en sorte de ne pas nous casser la figure, l’éther terrestre répondant à son appel, alors que Livio partait en avant en levant sa lampe.

Il dévoila alors la forme d’un démon des eaux, une de ses créatures usés pour atteindre le Halo des Profondeurs, qui disparut aussi tôt. Progressant tous ensemble sous les salut de la main du jeune occultiste, Eloise tournoyait juste au dessus de nous grâce à son Egi-Garuda restant accroché à ce dernier alors que Livio et Ugumori ouvraient la marche, tout le monde était tendu, plus d’une fois des visages de poissons hideux apparurent face à nous pour nous surprendre sans que jamais l’attaque ne vienne. L’endroit était plutôt serré, et tout le monde faisait en sorte de se prémunir des flots ne cessant de passé de puissant à léger sans cesse à cause de la malédiction du cours d’eau. On pouvait dire que les lieux étaient déjà inquiétant, des ombres informes passant à toute vitesse, Livio essayant de les éclairés à chaque fois comme pour les faire déguerpir en gardant son éthérimètre devant l’œil. Se concentrant pour faire en sorte que la route soit aisée, Aerlin tentait de nous protéger des flots, jusqu’à ce qu’ils se déchaînent littéralement sur nous. De derrière nous, vint une énorme vague qui nous tomba dessus brusquement dans un déferlement intense.

Prêt à réagir à ce genre de problématique, Runne congela en bonne partie la vague alors qu’elle s’écrasait sur nous, ralentissant grandement sa vitesse et sa force quand elle finie sur nous. Habilement, Aerlin n’avait pas prévu de l’arrêter mais de la contrôlée, et nous voilà pour une bonne partie en train de glissé sur la vague aqueuse à toute vitesse quand elle fini par nous atteindre. Plusieurs furent alors soutenu pendant qu’ils tombaient dans le flot, moi la première ainsi que Runne pas loin de moi. Livio se tirant des rochers en reprenant son équilibre, et deux d’entre nous eurent une aide encore plus efficace. C’est Eloise qui parvint à mettre Ugumori et Sorn dans une sphère d’éther pour les empêcher de tomber dans les flots, les protégeant des caprices de cette vague effroyable parfaitement. De partout autours de nous, et même depuis un mur à l’autre, les démons-poissons apparurent. Leurs formes grotesques mi-humaine mi-poisson avec quelques autours hingashiens les rendaient inquiétant, mais ceux derrière nous furent aussi tôt paralysés par la maîtrise des flots d’Aerlin, me permettant de littéralement les taillés en pièce de mon sabre. Fonçant en avant, Eloise avait dévasté ses adversaires en vitesse avant de partir vers la sortie désormais visible en un panache de lumière, droit là où Runne s’était littéralement catapulté grâce à l’éther en décapitant de son poignard l’assaillant qui allait frapper Livio. En première ligne, il avait été envoyé au sol après un intense combat, mais le coup final ne vint jamais. Sorn fit un peu trop le fanfaron en tirant dans tout les sens, chutant de la bulle avant d’être récupéré par Ugumori en vitesse qui le protégeait contre tout choc. Nous avons tous été littéralement expulsés d’ici par la vague ou nos manœuvres, rechutant sur l’herbe plus ou moins brusquement grâce aux interventions de nos compagnons. Relevant la tête, je constatais que nous avions faillit écrasé celui qui attendait et cherchait le passage mais du mauvais côté. Finaen était déjà sur place. Enfin, à peu de chose prêt, il aurait été une crêpe au moins déjà présente sur les lieux pour poursuivre la mission.
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Nous remettant de la chute, j’observais et désignait directement hélas ce qui s’accumulait rapidement plus loin. Au dessus de la Prison des esprits, tournoyant de nombreux feux-follets errants en de nombreuses spirales donnant l’impression d’un véritable essaim spirituel – ce qui était à peu prêt ça. Ils avaient visiblement été libérés de leurs cages, et tournoyaient rapidement désormais comme ne sachant plus que faire. Quoi qu’il pouvait bien se passé, ça avait du gagné en ampleur ses derniers temps, et Aerlin vint avec Finaen à l’aide de ceux au sol pour nous rendre quelques forces. Peu envieux que quoi que ce soit ne finisse mal, Ugumori et Livio partirent de tête rapidement suivi par Sorn qui récupérait son arme à feu. En tout, sur la route, nous avons tous formés quelques équipes pour s’occuper des problématiques le long du passage qui était de plus en plus gênant. Un esprit nous était apparue, venant de la tombe de « Mary Martin », et d’autres se préparaient à faire de même en errant de manière inconsciente ici et là. Récoltés par des Samourais spectraux, les guerriers typiques d’Ikijin, ils absorbaient les esprits errants dans des fioles pour en faire je-ne-sais-quel usage qui n’était pas conseillé de permettre. Progressant de têtes, Ugumori frappait sans cesse de son kanabo tout assaillant passant à portée dans le grondement du tonnerre accompagnant ses coups. Sorn et Eloise se trouvaient à ses côtés, notre invocatrice talentueuse faisant usage des vents enflammés frappant, happant, déstabilisant les opposants pendant que Sorn tirait efficacement sur tout ses adversaires. C’est quand il vit Ugumori risquer une décapitation qu’il fit un tir difficile, mais qui fit mouche, et désagrégea un de ses adversaires dans une lueur enflammée. Permettant au guerrier de n’avoir rien de plus qu’une entaille sur la joue.

La première ligne progressait bien, tandis que Runne brisait toutes les fioles pas loin de Finaen qui se chargeait de purifier les esprits de ceux méritant enfin de rejoindre la mer des étoiles. Ils étaient plus qu’efficace, malgré l’ire apportée sur Finaen qui s’occupait des esprits, Livio était là pour chasser qui l’agressait jusqu’à ce que Runne ne brise une drôle de fiole. L’esprit avec son chariot à choux s’écrasant au sol les firent tout les deux tombés, un peu surpris, aider par Finaen pour reprendre rapidement leurs esprits. Des choux fantômes, si j’avais cru voir ça un jour ! Je profitais non loin d’eux des vents convoqués par Aerlin pour être la foudre frappant avec la tempête qu’il soulevait. Tranchant tout ceux gêné par sa magie, jusqu’à rejoindre la prison. Ici, nous étions comme sous l’ombre d’un nuage noir, les couleurs s’échappaient lentement et le spectacle des lueurs errantes des innombrables feu-follet était simplement incroyable. Aussi si la raison n’en était pas funeste, loin des splendeurs de Locae, il s’agissait bien là de la conséquence des maux infligés par notre ennemi, et nous devions réparé ses fautes. Plusieurs fantassins spectraux bloquaient le passage, mais ils furent bien rapidement arrêté pendant qu’une partie de l’équipe fusait vers la grande tour proche de l’accès à la prison : L’accès était scellé, une rune Hingashien avec six yeux mauves tournoyant devant en provoquant la sortie des esprits à toutes vitesses. Il fallait se débarrassé des adversaires autours de nous, et Ugumori et moi avons littéralement massacrer le gardien de la porte à deux avec une efficacement grandiose.

Passant outre les fantassins grâce à un choc d’éther de Livio dévastant le passage, Ugumori avait brisé le kanabo de son adversaire dans une dévastation envoyant des morceaux un peu partout de la dite arme. Le trouble fut si intense, que je peux trancher la forme spectrale de ce qui devait être un ancien gardien à peine formé, fait de flammes bleutés entièrement et de morceaux d’armures rechutant au sol. Demandant à Ugumori de ne pas laisser les autres Gardiens d’Himitsu no Taki finir comme celui à l’intérieur, il disparut brusquement, laissant les esprits sortant de la rune essayer de nous atteindre encore et encore. Livio tenait le coup, avec l’aide de Sorn ne cessant de tirer sur les fantassins, il n’en resta bien rapidement plus que deux alors qu’Aerlin à leurs côtés aidait du mieux qu’il pouvait un peu partout.

Bloquant les deux survivants, l’un parvint à faire éclaté l’arme à feu de Sorn dans sa main, ce qui lui brûla le bras et lui laissa un morceau de métal dedans. Gladys, la tourelle de Sorn, vint à son secours en lui fournissant une autre arme malgré la douleur, il continuait d’essayer de tirer sur les esprits pendant que j’essayais de scellé le passage avec un sceau pour briser celui déjà en place. Un démon sinistre, ayant le même genre de masque que l’homme aux trois yeux, était installé sur les hauteurs. Ricanant, son sort fut avorté quand il reçu les vents puissants de Finaen, Runne et Aerlin en même temps. Reculant brusquement, sous le coup de pieds dans la figure d’Eloise, le choc du néant qu’il fit explosé par terre ne parvint à faire beaucoup de dégât, jusqu’à ce qu’Eloise ne lui dévaste les jambes, avant de le balancer par dessus une hauteur. Il voulu l’emporter, mais échoua, et chuta de haut dans une explosion du néant qui leur était tout deux réservés. Runne aidait à distance, essayant de garder la porte de la tour ouverte que le vieil homme paniqué ne voulait pas ouvrir, pour récupéré une lampe que nous avions déjà jadis vu. La Lampe étrange que Rodriguo lui avait fourni dans l’obscurité du Bannock. Pour traverser la prison, il était évident qu’elle serait utile, mais pour l’heure il devait venir en aide à Ugumori et Finaen : Les deux avaient été emporté dans les cieux en brisant une sorte d’amalgame spirituel brusquement. Détruisant ce dernier, Aerlin ne pouvait pas les aidés – occupé qu’il était à soutenir Livio et Sorn puis à s’occuper de leurs blessures en vitesse.

Le gardien Roegadyn attrapa Finaen dans ses bras, l’enroulant rapidement, avant qu’ils ne finissent la descente ensemble plus doucement grâce aux vents tournoyant qui purifiaient les esprits au passage. Rebondissant sur une toile d’éther tissée par Eloise, ils brisèrent une petite colonne de pierre en restant relativement indemne. Libérant doucement Finaen, ils purent observer l’ouverture du passage : Utilisant la foudre animant l’aspect du Tigre blanc de Livio, la concentrant vers la marque, l’éclair la traversa en laissant les glyphes de protections qu’Aerlin avait réanimé un peu partout reprendre le dessus. Les esprits cessèrent d’être éjectés ici et là, et brusquement, les défenseurs de la Prison des esprits refaisaient surface. Malgré un temps pour nous occuper de nos blessures, il fallait avancer droit vers le cœur de la prison, là où se trouvait notre ennemi. Livio bondissait déjà en avant, pendant que tous s’occupaient un minimum de nos blessures avant d’avancer. Levant la curieuse lampe illuminant d’un bleuté paisible. Runne ne savait pas qu’il allait percé les illusions qui auraient précisément due nous empêcher d’atteindre notre destination.
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Une lueur bleuté s’en dégageait, d’une flamme de cette même couleur née d’absolument rien, simplement apparue dans une lueur paisible dès que Runne avait touché la dite lampe. Confiant envers l’artefact inattendu qui était déjà apparu à lui de la même façons, quant il la brandit, le flou sur le passage se stabilisant brusquement en nous donnant l’opportunité d’y voir – et surtout d’y comprendre ! Quelque chose. Laissant la pierre redevenir elle même, les flammes bleutés bien présentes tournoyant autours de nous, d’où s’en extirpaient des spectres bleutés reluisant d’énergies néfastes. Comme si ils avaient des marques bleutés, apparaissant et disparaissant dans le vide là où ils les avaient jadis : Ses élus d’Ashizen avaient échoués, et étaient devenu les pantins de celui qu’il avait envoyer ici.

Fonçant en avant, Ugumori et Livio sous sa forme de tigre blanc bondissaient tout deux en avant en repoussant les assaillants qui fonçaient vers eux. La voie était dégagée par Finaen qui mitigeait les flammes, nous empêchant d’être brûlés vif, pendant que j’assurais que ceux à l’arrière n’étaient pas attaqués pendant que nos deux compagnons ouvraient le chemin droit en avant en écartant toutes menaces possibles sur leurs progressions. Ce qui arriva quand Runne chuta brusquement dans le vide quand la pierre sous nos pieds se fissura brusquement. Proche de Sorn qui laissait Gladys canarder tout ce qui passait en se tenant à la dites machine, non loin d’Eloise aidant Finaen à empêcher ce feu bleuté de nous enlacé. Aerlin se chargeait de la stabilité de notre route en empêchant les roches de tomber dans des salles alternatives sous le passage, ramenant aussi-tôt Runne à sa place en soulevant le sol dès qu’il fut tombé. Un spectre en profita tout de même pour plaquer Runne au sol, jouant avec la marque qui lui fut déposé le premier jour où nous avons arrêté une faille du néant menant à Tsakyoki à travers le monde. Ma lame trancha rapidement ce qui retenait le miqo’te au sol avant de l’aider à se relevé, finissant ensemble la marche, jusqu’à atteindre le centre du rituel.

Des rayonnements bleutés se mêlaient entres les feux-follets des spectres passant en illuminant un peu les ténèbres locales, avec les gravures hingashiennes qui apparaissaient et disparaissaient régulièrement. Installé dans une encoche secrète, vide, un énorme gardien – du moins ce qu’il fut jadis, se tournait lentement vers nous. Eichin, le disciple même d’Ashizen, avait une forme maudite et affreuse, comme portant une armure de chair mauve – cendre striée de veine violette jaillissant et disparaissant. Il essayait de parler, difficilement, nous réclamant à tous de lui remettre Maladriel lui même toujours enfermé dans son cristal. C’était ça qu’ils étaient venu chercher, ils étaient là pour Maladriel, mais eurent la mauvaise surprise de ne jamais mettre la main dessus. La sorte de scorpions avec un dard-oculaire de L2gion se glissa sur notre flanc, ainsi que le coupable de la décadence de la Prison des Esprits : Un Elezen, portant un masque couvrant la moitié de son visage, souriant à Aerlin. L’ancien élémentaliste parjure s’était offert à Tsakyoki pour acquérir de plus en plus de pouvoir, et la présence de telles personnes portant ce genre de masque identique devenait de plus en plus inquiétant. En premier lieu, c’est la créature de Légion qui fut massacré pour coupé le lien de conscience collection qu’ils utilisaient pour surveiller et œuvrer dans les environs. Le rayonnement du faisceau d’énergie du néant frappa le mur, envoyant Eloise au sol avant que des piques de glaces ne se mêlent aux traits d’éther d’Eloise. Runne recouvrant encore et encore de piques de glaces la créature, souvent dans les yeux, congelant petit à petit le démon alors que Livio en profita pour frapper brusquement de sa pistolame en brisant définitivement le dard. L’instant suivant, un tir de Sorn traversa la créature de part en part qui explosa en milles morceaux cristallins, définitivement détruite.

Je ferraillais avec mon sabre contre l’adversaire d’Aerlin, cet élémentaliste qu’il avait connu jadis, peu après qu’il ait échappé aux piques de roches terrestres qui lui avait empalé l’épaule. Dans la malédiction, l’élémentaliste infâme n’allait pas se laisser faire et l’épée du néant généré confrontait mon sabre en des frappes répétés encore et encore. Je lui laissais des blessures mortelles, mais dans son état, il se contentait de me repousser brutalement par deux fois en me laissant blessée au ventre. Dès qu’il fut suffisamment proche, commençant à étrangler Runne qui essayait de le purifier, Aerlin se joignit à cet effet pour que la force purificatrice ne soit que plus puissante encore après avoir échappé à l’Egi-Garuda foudroyant d’Eloise. Toutes ses difformités qui le laissait en vie disparurent, et les blessures mortelles de mon sabre et de l’Egi le fit choir au sol. Perdant lentement la vie, en souriant à Aerlin quand il le vu être l’incarnation de l’Arbre-blanc quand il se concentra pour que l’éther terrestre émette une pulsion d’éther tournoyante autours de nous.

Créant une vague de guérison qui gagna l’espace environnant en cherchant à apaiser tout nos maux. C’est ce qui nous donna l’impulsion d’en finir avec Eichin d’une façons plus que surprenant. Ce dernier affrontait Ugumori et Finaen depuis les début, les deux semblant presque incarné le Kami des Tempêtes quand la foudre du crépusculaire se joignait au Kanabo et aux chocs d’Ugumori dans des frappes puissantes. Même si plusieurs coups lui fut renvoyé, à toute puissance, il se relevait. Des arcs d’éclairs purificateurs infusés par Finaen tournoyait autours de son arme, dont l’impact le sonna encore plus fortement alors que Livio s’était joint à la danse, les trois esquivant, frappant, choquant, jusqu’à ce que Livio soit balancé contre une colonne de pierre dans un choc explosant sa barrière d’éther. Sorn tirait encore et encore dessus, empêchant quelques coups, et recevant un glaviot de bave noire écœurant sur son veston. Mais il décida de changer de tactique, pour l’audacieuse technique du « le plafond te tombe dessus. » - et pour parfaire son idée, il tira subitement sur le plafond dans une explosion. Une faille était apparue, canalisant les esprits droit vers Eichin pour le renforcer, mais toute l’influence de son maître, Ashizen, fut brisée quand Ugumori explosa la statuette avec son kanabo dans un choc puissant. Réagissant aussi-tôt, Eloise le maintenant au sol pendant que l’Egi faisait tout pour le faire ployer, ses jambes retenues il ne pouvait simplement pas bouger quand je renforçais la chute de pierre qui s’écroula massivement dessus après le tir de Sorn.

Coincé sous les roches, sonnés, la faille fut purifiée par Runne et Finaen dans une lueur puissante qui le fit rugir. Et à travers cette lumière, Livio passa pour briser le cristal gravé sur son torse, le libérant définitivement. L’armure de chair disparue, laissant le Roegadyn l’air trop maigre pour la tenue de Gardien qu’il devait porter jadis, écroulé dans les pierres brisés. Autours, les esprits tournoyaient et partaient lentement retrouver leurs cellules, les glyphes innombrables des protections de la prison apparurent et disparurent l’instant d’après quand le calme nous revint. Éclairés seulement par des trous dans le plafond de la prison, illuminant Eichin et les environs, le calme était réapparut paisiblement. C’était agréable de ressentir cette tranquillité, surtout après avoir fini notre mission ici. Ashizen n’ayant pas pu mettre la main sur le cristal-prison de Maladriel, il nous reste encore bien à faire. Et tout débutera par aider Sulfur à arrêté définitivement le Culte de la Guerre pour pouvoir atteindre leur maître. Et le vaincre. »
Akayane Kosenjobi.
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Message par Akayane » 07 mars 2021, 15:16

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-troisième Entrée – « Acte 11 – La bataille du Trou des spriggans.»
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« Ashizen n’est plus loin désormais. Maintenant que l’Est est sûre, nous sommes certains que l’Ouest de la contrée est ce qu’il reste à Ikijin et son homme de main principal. L’atteindre ne sera pas des plus aisé, et pour ça nous devons frapper au cœur du Culte de la Guerre. Ce dernier à confronté les combattants Gridanien depuis quelques jours pour les empêchés de faire plus que rôder à préparer ce qu’Ashizen attendait d’eux dans le Trou des spriggans. Bien entendu, les pauvres bêtes – si on peut nommer ça ainsi ? Souffriraient grandement de leurs présences, mais il fallait se préparer convenablement pour les sortir d’ici en arrêtant leurs œuvres. Au moins avaient-ils été conditionné quelque part plutôt que de s’étendre ici et là. Quoi qu’ils pouvaient préparer, cela ne signifiait rien de bon, et c’est une nuit d’orage que nous nous sommes retrouvés. Le temps se gâtait, et se concentrait malheureusement droit vers le Trou des spriggans. Il fut bien vite constaté que cela n’avait strictement rien de naturel, mais ressemblait bien à la fureur de leurs magies déchaînées. Aussi parce que l’éclair presque mauve qui tomba sur le plafond de la Tour de Dunstan. Des combattants des deux vipères étaient rapatriés vers les tentes en vitesse, plusieurs ayant été frappé par des échardes de bois à toute vitesse ayant blessé un peu trop de combattant malchanceux quand les vents furent tels que mêmes les arbres – au grand dam de Kyuuji si il avait été là, avaient souffert de cette fureur. Nous nous sommes retrouvés à l’orée de la tempête, proche de la Tour de Dunstan, avec nos compagnons de ce soir.

L’équipe était relativement identique à celle de notre dernière mission, si ce n'est Aerlin qui travaillait dur à son cabinet ce soir là ! Aussi ai-je rejoint Finaen et Eloise qui se reposaient paisiblement contre la tour. Rapidement, Sorn et Livio vinrent nous rejoindre en équipement de combat des plus sérieux pour les tirs à distance, Livio ayant prit son équipement de maîtrise de la cérulame impériale. Runne vint complété l’ensemble avec une N’lamahni motivée à repartir en opération. Et l’ensemble aurait un protecteur, et pas des moindres : Ugumori de nouveau serait face à l’adversaire. Conscient qu’il était possible qu’Ashizen apparaisse pour défendre ce culte autours de lui. Bien que ça restait relativement peu probable ! Toujours sans nouvelle d’Ikijin, le maître Samourai devait préparer quelque chose en laissant l’ancien gardien maudit être au front face à tout nos efforts. Pour l’heure rejoindre le trou du spriggan pour atteindre Sulfur et les Deux vipères était notre prioritée, et nous voilà sur le départ en nous confrontant à la tempête de plus en plus déchainée. L’Egi d’Eloise éteignait les feux tout en soutenant les chutes des soldats ayant tendance à être balancés en bas des arbres et de la tour – L’un rattrapé par les vents de Finaen en l’installant involontairement dans un tonneau. Les soldats d’arrières-lignes étaient démoralisés, ce qui n’était pas étonnant : on avait l’impression de progresser vers le coeur d’un vortex aux lueurs tournoyantes dans des teintes mauves balayés par les vents tournoyant à toute vitesse. Identifiant l’éther présent, Livio constatait bien les maléfices à l’intérieur des vents jusqu’à ce que cela se mêle aux recherches de Finaen : Le vent d’âme tournoyant était une sorte d’enlèvement intriguant.

Le joueur de clochette avait déjà utilisé de tels techniques : ils volaient les prières dédiées à de nombreuses entités. Oschon, Garuda, la force des prières étaient volés pour être attirés à toute vitesse vers le cœur du Trou du spriggan tout en provoquant tel fureur. Venant à l’aide des fantassins, Runne gelait les troncs et les branches risquant de fuser dans tout les sens alors que Finaen tentait de maîtrisé les dents. L’Egi d’Eloise allait faire de même, avant d’être emporté en frappant sa maîtresse involontairement, s’envolant ensemble brusquement jusqu’à choir plus loin pas loin du pont qui menait au trou. Pour ne pas avoir à courir et à être emportée, N’lamahni utilisait son grappin pour foncer en avant, pas loin d’Ugumori et Livio – Ce dernier avait brisé un tronc avec sa cérulame pour ne pas qu’il fracasse nos alliés, mais un autre chuta sur lui, Ugumori s’en prenant la majorité pour le protéger dans un fracas du tronc se brisant en deux sur eux. Envoyant nos compagnons soudainement au sol. Sorn était accroché à Gladys, essayant d’aider les soldats comme il le pouvait, balancé un peu à droite et à gauche par la tourelle, jusqu’à arriver à l’immense pont de bois. Il avait l’air bien plus pure, béni, grandiose qu’un simple pont de corde. Le passage était sécurisé par les forces de la nature même. Nous avions bataillés face aux éléments même, le sol remuant dans des chocs d’éther puissant à cause de l’ampleur des prières volées. Protégeant le plus de soldats possibles de la fureur des vents, j’arrachais une écharde de ma tunique douloureusement enfoncée dans mon bras en observant ce qui nous attendait. Le Culte de la Guerre avait prit les arrières de Sulfur, pas étonnant qu’il était possiblement en péril.

En plus de la perle désactivé par l’ouragan portant des énergies trop chaotique pour parvenir à s’en servir. Les faquins avide de pouvoir s’acharnaient à trouver un moyen de détruire le pont pour que personne ne vienne à leurs aides, et Finaen réagit aussi tôt : Utilisant la foudre, les éclairs se diffusèrent dans les cordages à l’intérieur en venant foudroyer ceux qui voulaient les coupés. Ce temps remarquable alors qu’ils furent tous surpris fut usé à bonne escient, pendant que comme des rampants ils essayaient de nous rejoindre de tout les côtés, leurs marques enflammés d’un bleuté inquiétant jaillissant de leurs corps témoignant qu’ils avaient passés l’étrange rite de sang que les démons employaient pour en faire des armes humaines motivées. Les éclats de glaces de Runne fusaient sur ceux le plus en arrière, frappant rapidement les guerriers en nous laissant un peu plus de temps, avant qu’il ne s’échappe comme N’lamahni : Les deux n’avaient pas besoin de pont pour traverser, Runne passant de l’autre côté d’une projection magique, et celui qui voulu le trancher en deux fut bousculé fortement, quoi qu’un peu involontairement, par la chute de N’lamahni qui lui sauva la vie. Celui qui dégageait la route était bien entendu Ugumori, fracassant de son épaule tout ceux qui progressaient vers nous alors qu’un coup d’épée le toucha à la cuisse. Le responsable avant d’en faire plus fut brusquement frappé par la magie d’Eloise, tandis que Livio protégeait Sorn de quelques tirs enchaînés sur les cibles arrières avant qu’il ne fonce vers nous en ayant un brin de retard.

Sorn, sacré Sorn, il voulait s’occuper de ceux grimpant sur les flancs du pont, mais ses tirs trop violent faillit le balancer dans le vide littéralement. Je le rattrapais par la cheville en tranchant qui voulait le pousser à tomber, le ramenant à nous jusqu’à rejoindre le reste de l’équipe qui avait fini de traverser ce précieux pont. Il fut plus que tenace, je dois dire ! Mais au moins arrivions nous au Trou des spriggan. Je ne pensais pas que ce ne serait pas la bataille qui avait lieu devant nous qui serait le plus surprenant. Mais bien la tornade tournoyant au cœur de la région donnant l’impression d’un typhon dans l’eau au beau milieu de nulles part, le vent produit par l’ouragan clairement atténués en continuant néanmoins à soulevé la poussière en donnant l’impression d’être en pleine bataille dans les cendres et le sable. Car ici, la nature n’avait que trop souffert de la présence de l’ennemi, et il était grand temps de s’en débarrassé en vitesse.
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Sulfur guerroyait au centre de la mêlée. Il avait rallié les survivants autours de lui, et ils offraient une résistance remarquable face aux guerriers du cultes de la guerre qui ne les avaient dépassé que grâce aux maléfices des entités démoniaques les aidant dans leurs manœuvres. Eux étaient là pour se battre, se sacrifier, et périr si il le faut tandis que leurs maîtres travaillaient à corrompre les environs pour en faire un lieu parfait pour accueillir leurs œuvres. Nous sommes donc arrivés avant que tous ne soient massacrés, ils avaient visiblement provoqué la tempête ce qui força Sulfur à faire avancer ses troupes pour ne pas qu’ils soient massacrés par la tempête déchaînée. Tout était lié à cette tornade qui s’enfonçait droit dans les entrailles du Trou des spriggan, amenant les prières et autres chants aux divins pour les éloignés de leurs sources de pouvoir afin de les accumulés. C’était aussi incroyable qu’effrayant à observer, et pour arrêtait ça, il fallait déjà parvenir à remporter la bataille qui avait court – De toute façons nous ne pouvions pas passé, une barrière d’Onyx pourpre carbonisait quiconque essayait de passer, et il y avait plus grave : Une des figures démoniaques de Tsakyoki avait été gravé sur la pierre. Nous avons donc divisés nos forces, et avons commencer rapidement à assaillir les forces du Culte de la guerre, et des démons autours de nous. La figure démoniaque représentant les six yeux mauves du nuage-noir devait être rapidement brisé avant de provoqué le même genre d’effet que l’obscurité du Bannock il y à quelques temps de ça maintenant.

Les effets purificateurs de Runne furent rapidement renforcés par ceux de Finaen, les deux mages usèrent de leurs pouvoirs pour essayer de l’extirper de sa forme intangible et arrêter les fantassins spectraux hingashien qui récoltaient les corps de ceux tombant afin de renforcer leurs effectifs au fur et à mesure. L’usage d’une bannière abandonnée là n’y était pas pour rien, une sorte d’artefact que les élémentalistes usèrent pour canalisé les forces naturelles en la laissant en arrière garde pour procurer des soins. Quand Finaen s’en empara, il la planta subitement proche de la mêlée et de la statue maudite pour produire un effet de purification irradiant magnifique pendant qu’Eloise était en train de paralysé. Les guerriers dont les marques enflammés se dissipaient un peu sous les effets de la purification. Ils tirèrent leurs sabres, et je me suis mise à affronter rapidement ceux qui assaillaient Finaen en luttant de mon sabre encore et encore. Lui était trop concentré sur la pierre directement, et il tenta de la faire cédé une première fois dans un éclat terrestre puissant qui s’étendait sur son côté. Un choc mental puissant détourna son assaut, visiblement, la statue ne se laisserait simplement pas faire. Brisant la garde de son adversaire, fendant brusquement les derniers spectres qui furent assaillit par les sorts d’Eloise dans des lueurs d’éthers d’un blanc puissant. C’est Runne qui passa sa rapière en travers le flanc du plus massif des esprits, sous l’aisselle, le purifiant directement de l’intérieur dans une lueur blanche puissante. Nous étions libéré de ses ennemis, mais la statue se défendait encore dans des ondes mentales se mêlant aux brumes noires qui tournoyait brusquement autours. Sous une lueur magnifique, l’Egi se dispersa pour renforcer l’éther de Finaen et Runne subitement en les libérant de l’emprise mental. Runne se concentrant pour créer une purification puissante dans la statue même, c’est Finaen qui brisa celle ci en créant comme des mâchoires de roches dévastant l’idole démoniaque. Quelques lueurs dans les cieux apparurent, une partie de la corruption grandement supprimée par cette action.

Quant aux Spriggan, ceux qui n’étaient pas cachés loin d’ici, peu avaient survécu et un grand essayant de défendre des plus petit en lançant des cailloux sur le démon qui récoltait des étranges pierres munis d’une grande affinité à l’éther. Ils étaient deux, long démon sinistre avec quelques esclaves parmi ceux ayant échoués dans leurs tentatives d’œuvrer pour Ashizen. Le premier fut littéralement dévasté par un assaut soigneusement orchestré, une lame de jet de N’lamahni passant le long de son visage avant que les tirs de Sorn ne s’écrase sans cesse dessus, s’achevant par un tir en pleine tête de Livio au corps à corps dispersant le démon aux quatre vents. Le second répondit à l’agression en produisant des chocs du néant instant, l’un transperçant un pauvre fantassin essayant de s’enfuir, mais les autres furent protégés par N’lamahni qui décolla au sol un peu sonnée. Ce dernier démon fut confronté à Livio, essayant de survivre jusqu’à se prendre la pistolame céruléenne dans le ventre, l’embrochant net. Il voulu s’en protéger, mais les tirs de Sorn qui avait esquivé la déflagration étaient trop bien placés, jusqu’à ce qu’il disparaisse en poussière après avoir reçu une petite pierre sur le flanc, un peu surpris par la manœuvre du Spriggan. Livio sourit à la petite créature, avant de la laisser mettre en sécurité les siens d’un air parfaitement paniqué tout en fonçant rejoindre la mêlée.

A cet instant, la statue était sur le point d’être brisée, mais la mêlée enragée l’était toujours autant. Ugumori s’était rué dans le tas en fracassant tout le monde, profitant qu’une partie ait été paralysé par Eloise, jusqu’à atteindre le massif Hrothgar qui les dirigeait. Et celui ci fut littéralement massacré par le Gardien d’Himitsu no Taki, ne lui laissant absolument aucunes chances. Les coups ont plu, brisant les crocs et le visage, son armure, au massif guerrier Hrothgar dont les griffes n’arrivaient pas à atteindre le Roegadyn malgré ses railleries et ses rugissements félins. Défiguré, brisé, il ordonna à ses guerriers de charger tous ensemble Ugumori dans la force du désespoir après avoir été ravagé par la force de son adversaire. Tous ne purent pas vraiment le rejoindre à dire vrai, N’lamahni avait clairsemé leurs rangs après avoir été balancée au milieu du champs de bataille par un coup de fouet, l’explosif laissé derrière elle produisant une déflagration envoyant des adeptes aux marques bleus un peu partout dans les airs tandis que son Shuriken en avait déjà abattu un massif. Je fonçais jusqu’à Ugumori pour briser l’encerclement, tranchant tout ceux s’opposant à lui tandis que les tirs de Sorn pleuvaient sur les rangs de ceux voulant rattraper N’lamahni. Livio et moi ouvrions une brèche en fendant quiconque souhaitait bondir sur Ugumori qui attrapa la tête du Hrothgar. Avant de serrer si fort, que son visage ne fut bientôt plus qu’un souvenir. Sa mort dilapida le moral de tout les adeptes, et maintenant que la statue de Tsakyoki avait été brisée, il ne restait rien pour qu’ils s’accrochent encore à cette bataille. Même les tambours de guerre s’étaient lentement tût.

Brisant brusquement les pierres d’Onyx noir empêchant le passage, quand Finaen planta le drapeau purificateur Gridanien alors que Livio en profita pour faire détonné quelques tirs explosifs dans le tas. Le passage était ouvert droit vers le trou là où le typhon tournoyait encore dangereusement. Il était grand temps de s’y rendre. Et un petit spriggan nous faisait signe au loin de le rejoindre pour descendre directement en bas de manière bien surprenante. Les environs étaient maussade, le Culte de la guerre s’étant installé sans aucun respect pour les locaux, ils avaient déposés leurs tentes, leurs affaires, et commencer à préparer des constructions prompt à ce qu’un jour une véritable petite forteresse noire se hisse en ce domaine pour accueuillir tout ceux qui croyaient aux frasques dont Maladriel avait raconter à Eloise. Ils s’attendaient visiblement à pouvoir installer un premier lieu de culte à ce qui serait pour eux un libérateur, un sauveur, celui qui parviendra à leur offrir l’opportunité à ce que leurs émotions soient libérés et deviennent simplement des extensions d’eux même pure et sans barrière. Un monde sans aucune limite dans les envies, les désirs, qu’ils soient obscures ou aussi clair que l’eau la plus paisible. Bien entendu, vu comment les personnes affectés par leurs émotions ont tendance à se transformer sous l’influence du nuage noir, il en va de soit qu’ils ne peuvent concevoir que ça pourrait finir particulièrement mal. Mais la séduction des sources ténébreuses ne s’arrêtent jamais vraiment à des considérations de danger.
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Nous nous retrouvions tous à scruter le trou en y voyant quelque chose de magnifique. Les reflets des lueurs bleutés s’accumulant donnait l’impression à ce que la paroie de roche était baigné dans l’eau d’un tourbillon aqueux – ce qui était au sens presque littéral, puisque parfois de l’eau s’extirpait des vents en donnant une impression de connexion avec les ruines souterraines lointaines d’Himitsu no Taki. Des milliers de lueurs des prières apparaissaient sur les murs menant aux profondeurs de la terre, comme des spectres et fantômes de tout ses gens dont les prières avaient été tout bonnement arrachée à la source. Bien entendu, N’lamahni en fut plus qu’effrayée, et il fut presque comique de la voir bondir en restant accrochée à Sorn tout en nous laissant tous descendre à la suite en quelques cris pour certains. Les Spriggans ayant été sauvés par Livio et Sorn notamment offrirent une bénédiction précieuse grâce à leurs curieuses magies : Nos chutes étaient aisément contrôlable, il était bien plus facile de se mouvoir en l’air et notre chute serait sans dégât - du moins pour nous. Car ceux qui seraient à notre réception souffriraient bien plus de notre arrivée droit vers eux. Mais le long du passage autours du tourbillon, s’en écartant finalement doucement, Finaen fut aidé par Runne pour contrôlé une sorte de dragon aqueux s’extirpant des eaux du typhon pour repoussé les pierres noires qui tournoyaient avec nous. Les dangers provenaient de ses pierres s’extirpant des profondeurs remontant brusquement le tourbillon, autant que les membres du Culte de la guerre ayant littéralement bondit dedans pour essayer de nous réceptionner au vol.

Plusieurs roches furent captés par le dragon d’eau tournoyant en un serpent habile jusqu’à ce que Runne reçoive une pierre en plein torse. Et que Finaen reçoit un Runne en plein torse à son tour, les deux tournoyant un instant en cherchant leurs équilibres. Droit vers l’avant, Ugumori ne laissait personne entraver sa chute en explosant de l’épaule quiconque progressait vers lui. Pas loin de lui, Livio lui dégageait la route des pierres et des adversaires en disant et frappant de sa lame, observant un instant curieux Sorn qui tombait avec sa tourelle équilibrant leur chute avec N’lamahni sur l’épaule qui lui enfonçait légèrement les griffes dans le bras comme un chat agité. Il la protégeait comme un grand frère empêchant sa plus jeune sœur d’être mise en danger par les cultistes essayant de la frapper au sol, ce qui n’empêcha pas N’lamahni de rechuter au sol plus doucement en devant prendre un temps pour s’en remettre. Soufflant par terre, épuisée par ce qu’elle venait de vivre.

Eloise tournoyant non loin de nous, ses diagrammes apparaissant en créant le long de la chute, une vague de soin et de bien-être nous rendant forces et énergies, alors que je sentais ma blessure à la hanche cesser de saigner doucement après avoir décapité d’un coup celui qui m’avait fait ça. Tout en bas se trouvait ce qui canalisait les énergies des prières droit vers le cœur du typhon qui fusait vers les cieux. Une pierre d’Oschon, dévoyée et maudite par les séides de Tsakyoki fait pour voler les forces volées afin de les offrir au nuage noir. La prêtresse qui jadis devait s’en occupée était attachée à une pierre non loin de là, proche des corps des pauvres Spriggan ayant été massacré pour qu’ils s’installent là de force, bien que les petites lueurs jaunes de leurs regards tout le long des murs, tremblant un peu, dévoilait bien qu’ils n’attendait qu’à être libéré pour reprendre leur vie normale. La pauvre dame âgée était torturée par un Hingashien portant un de ses masques voilant la moitié de son visage, dévoilant trois yeux infâmes sur le côté visible de sa peau. Usant de sortilèges mentaux pour essayer d’arracher des moyens de faire usage efficacement de la pierre pour leurs projets, elle nous révéla une fois libre après le combat qu’ils tentaient d’attirer ici l’énergie du nuage noir, ou au moins la conscience, droit vers l’abomination qui se trouvait devant le tourbillon. Le corps était artificiel, un sacrifice avait permit de créer ce corps adapté à recevoir la conscience du démon. Ce n’était pas la première fois qu’un Avatar fut créer en Eorzéa avec projet de laisser le nuage noir vagabonde même affaiblit avec un hôte pour l’accueillir. Mais celui ci était encore pour l’instant vide, vide, mais actif. En faisant une machine de guerre effroyable quand il se tourna lentement vers nous, me faisant un peu trop pensé à la machine qui m'avait pratiquement vaincue devant la pyramide de la Mort de Fer il y à un temps. Ses quatre bras firent jaillir chacune une épée reluisante d’énergies du néant, engoncé dans une armure sinistre Hingashienne aux allures démoniaques, ses cheveux blancs ondulant autours de lui alors qu’il s’apprêtait à nous recevoir en force.

J’ai été pour un premier temps seule à lui faire face directement, finissant ma chute droit devant lui dans une déflagration terrestre, nos lames ne cessèrent de frapper tandis qu’il arrachait la chaine rouge convoquée par un sort d’Eloise avant qu’il n’envoie une des épées du néant dans le libram de l’invocatrice. Mais à ses yeux le plus dangereux était Finaen qui tentait de purger la pierre d’Oschon de la présence infâme, laissant six yeux apparaître dans le tourbillon lui hurlant d’arrêter immédiatement. Ce qu’il fit un premier temps involontairement quand l’épée de l’Avatar frappa dans son dos en l’envoyant au sol. L’Hingashien ne pu pas faire grand-chose, rapidement la vieille femme fut libérée par Runne qui gela et brisa les chaînes tenant ses bras avant de la mettre en sécurité. Livio sous la forme du Tigre blanc se battait parfaitement avec Ugumori pour essayer de l’abattre, les tirs de Sorn s’abattait dessus encore et encore en ayant reconnu un homme lié au Conseil de Styx ayant du permettre l’ascension du Culte de la Guerre en ce lieu. Mit au sol par les griffes du Tigre blanc, c’est Runne qui l’acheva d’un coup bien placé de sa rapière établissant une purification au cœur même de cet homme maudit dont l’état démoniaque ne pu le sauver après cette frappe. L’Avatar était inarrêtable, mais la purification de la pierre l’empêcha de pouvoir se régénéré alors qu’il eu un bras dévasté par Sorn, une déflagration d’éther d’Eloise le gênait brusquement tandis qu’il reculait. Les jets de couteaux de N’lamahni furent si efficace qu’il fut privé d’un œil, et fini par être contraint de se replier sur lui même après le choc avec le Kanabo d’Ugumori.

Canalisant les énergies résiduelles autours de lui, le monde devint d’un noir profond, ébène, inquiétant, alors qu’il se débattait le plus possible pour survivre. Des pierres noires jaillirent du sol, comme de l’Onyx mauve inquiétant, se mêlant à des déflagrations du néant en ce monde devenu d’un noir lugubre. Nous nous protégions les uns les autres, empêchant les chocs néfastes de nous dévasté alors qu’Eloise vint sauver la vie de Sorn en étendant comme des ailes d’éther ressemblant à celles convoqués par les adeptes de Bahamut. Rapidement, alors que tous s’en protégeaient, Runne, Finaen et Ugumori usèrent de la foudre tous ensemble en créant une sorte de triangle de pouvoir encerclant l’Avatar dans un choc foudroyant continue s’extirpant du Geyser que le gardien avait provoqué. Se mêlant à cette fureur, Livio sous cet aspect pouvait le canalisé et s’en servir à leurs côtés en le paralysant encore et encore. L’explosion du fusil de Sorn le cribla de métal et l’affaiblit un peu plus en permettant à la javeline de N’lamahni de passer à travers son torse même. Jusqu’à ce que la griffe infernal convoquée par l’invocatrice ne l’achève définitivement dans un hurlement puissant, disparaissant à notre vue une bonne fois pour toute. Le calme tomba doucement sur les lieux, et un tour dans la tempête depuis que la tornade à disparue nous offrait une magnifique lueur tombant dans les profondeurs en éclairant la pierre désormais pure. Les Spriggans sortirent lentement de leurs cachettes, et fêtèrent leurs survies en venant éteindre leurs pierres avec grande joie. L’œuvre d’Ashizen, son ambition, avait été brisé. Mais avant de nous occuper d’Ikijin une bonne fois pour toute, il est temps de nous charger de son bras droit. Notre prochaine mission sera de vaincre Ashizen lui même, de libéré cet ancien gardien, ancien frère d’arme d’Ugumori. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 14 mars 2021, 13:37, modifié 2 fois.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 10 mars 2021, 16:20

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-quatrième Entrée – « Acte 12 – Ashizen, le Gardien égaré.»
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« Vaincre l’ancien Gardien d’Himitsu no Taki, un des frères d’armes d’Ugumori, n’aillait pas être une mince affaire. Et je préférais prévenir tout le monde de la difficulté de notre mission avant de nous y rendre. Comme prévu, nous ne sommes pas revenu indemne, mais cela en valait clairement le coup. Aussi était-il nécessaire pour enfin préparer la chute d’Ikijin lui même de lui ôté son plus grand bras droit. Celui ayant créer autours de sa puissance le Culte de la Guerre lui même, et toutes les œuvres faites pour protégé les ambitions de l’ancien maître de l’Aube Obscure. D’après ce que nous avions appris des Deux Vipère, tout ce qui restait de Culte de la Guerre se trouvait dans une caverne ayant une forte tendance à attiré les esprits. « Froid-repos », fut-il nommé, avait été comme la Prison des Esprits un lieu attirant visiblement cette maudite engeance aux pouvoirs spectraux. Peu envieux de perdre leurs éclaireurs, quelques patrouilles faisant en sorte que rien ne s’échappe manquèrent vite à l’appel, et Sulfur ne pu que nous demander d’intervenir le plus rapidement possible. C’est ainsi qu’une fois de plus, à la Tour de Dunstan, une bonne partie de notre équipe s’est formée. Tandis que Runne et Finaen enquêtaient sur les pierres d’Oschon utilisés par les forces d’Ikijin depuis le début de notre mission, avec l’espoir d’en savoir plus. Directement à la tour, c’est Kyuuji cette fois qui s’occuperait de nos blessures et de faire en sorte que nous revenions en bonne santé. Désormais, nous nous connaissons bien, et vinrent rapidement d’autres de nos compagnons réguliers – Eloise arriva peu après moi, suivi de Sorn qui somnolait contre un arbre. Ugumori et Namiko seraient nos protecteurs face aux coups et prompt à tenir la ligne, tandis que N’lamahni bondirait sûrement un peu partout en nous soutenant.

Après avoir fait le briefing rapide de notre objectif, rejoint par Livio en départ qui relevait un deux vipères qui lui avait fait son rapport en courant quitte à s’effondrer de fatigue, nous nous sommes lentement mit en route en saluant les troupes présentes qui craignaient de savoir ce que notre intervention délivrerait comme menace pour eux. Ce qui devenait compréhensible, ils préféraient clairement affronter des menaces habituelles que tout ce qui pouvait tourner autours d’un démon, même de l’ampleur de Tsakyoki. Au moins la forêt avait l’air calme, paisible, tandis que nous nous engouffrions à travers loin des passages commerciaux et des routes réellement usée pour atteindre la grotte perdue dans l’Ouest de la Forêt du nord. Kyuuji faisait en sorte que nous puissions passés efficacement certaines recoins, sans provoqué trop de problèmes lors de notre passage, écartant la nature pour nous faire une place afin de rejoindre notre destination. Si au début, c’était une route presque commune sans qu’elle ne soit ni désagréable, ni spécialement grandiose, profitant de quelques lueurs solaires quittant les cieux en traversant les feuillages paresseusement. Tout allait très bien changer autours de nous.

Quittant des broussailles, nous observions un domaine que l’ennemi avait visiblement déjà éprouvé. Selon Kyuuji, comme avec l’obscurité du Bannock, la Sylve tournait autours de cet endroit comme lui refusant de s’étendre tout en laissant ressentir la colère d’une pareille dépravation : La terre semblait grise, poussiéreuse comme les arbres, et des griffes d’Onyx noir sortaient de partout. Tristement, certaines avaient empalés des soldats des Deux vipères ceux n’ayant pas pu rejoindre rapidement les campements de Sulfur avant que tout ne s’emballe. Ils se gavaient visiblement d’éther, droit vers la grotte annoncée, et cherchaient à tirer sur les sentiments affreux en laissant des morts lentes et douloureuse avec l’espoir de créer une faille du néant. Le temps de la constatation dans ce lieu désolé fut relativement bref, puisque nous fîmes brusquement éloignés les uns des autres par le terrain qui se mit à se pouvoir dans tout les sens. Comme si le sol était incohérent, tournoyant à droite et à gauche en essayant de nous écartés de nos compagnons, le monde entier autours de nous cherchait à nous isolé pour que les griffes d’Onyx noir fassent leurs effets. Elles sortaient brusquement de cette terre grise en essayant de nous attraper pour dévoré nos sentiments, nos émotions, et notre éther. Proche d’Ugumori et Livio, je tranchais tout ce qui voulait m’atteindre en bondissant à droite et à gauche, rejoignant mes deux compagnons qui progressaient droit en avant en suivant la piste admirable laissée par Kyuuji : L’élémentaliste avait tiré la force de la Sylve avec lui, à chacun de ses pas la verdure et la nature reprenait ses droits, et il en profita pour créer des amas de terre naturelle fixe nous menant tous à lui. Chacun purent emprunter cette route, et nous réunir en vitesse, Eloise prenant la voie des cieux grâce à son invocation et Namiko venait à l’aide de N’lamahni qui faillit être empalé par une de ses griffes d’Onyx noir en levant son bouclier.

Avec Sorn et Livio, des tirs fusaient sans cesse vers les cieux donnant un effet pyrotechnique plutôt surprenant à notre avancée tandis qu’ils cherchaient à brisé l’Onyx noir qui avait été fissuré par les lames de vent de Kyuuji. Bien rapidement, les tirs furent orientés par les boules de feu, d’un feu bleu spectral, nous tombant dessus depuis les cieux. Un premier temps Eloise fut surtout visée, puis N’lamahni qui déploya son deltaplane pour partir dans les airs. En face résistait encore les survivants du Culte de la Guerre dont les marques sur leurs corps étaient infusés d’un feu bleuté inquiétant. Mais ils ne pouvaient attendre à l’intensité de la contre attaque – D’ici, nous pouvions voir l’étrange statue sombre après une sorte de tunnel fait d’onyx obscure y menant. Nous ne pouvions pas nous laisser ralentir au cas où Ashizen déciderait de partir, ou de déchaîné quelque chose de pire encore. Faisant tout pour nous protéger, dans des ondulations de boucliers éclatant, cela sauva Livio qui pendant qu’il tirait fut percuté par une hache produisant une déflagration bleuté.

Les traits de flammes pleuvaient l’élémentaliste tombant sur les genoux ,avant de voir Eloise se mettre à détourné d’un coup les sorts de nos ennemis droits vers eux. Cela se mêlant aux armes de jets de N’lamahni et aux tirs de Sorn, les pauvres devaient subir la cruelle impression d’être sur un front de guerre à Ghimlyth, peu avant que nous ne rentrions dedans avec Ugumori et Namiko. Ils n’eurent simplement aucunes chances, fracassés par le Kanabo massif et la lame du paladin, j’en profitais pour ouvrir la route de mon sabre en montrant le tunnel tout en achevant ceux qui avaient eu l’audace de nous poursuivre. Rares avaient survécu à cette progression, et Kyuuji s’était déjà occupé de la blessure de Livio tout en soutenant notre progression sous les tirs répétés de Sorn et de sa tourelle. Cette terre chaotique avait au moins cessé de se mouvoir, et nous y laissons la trace d’un combat déchaîné. Bondissant à l’intérieur du tunnel, progressant rapidement à l’intérieur, certains eurent l’audace de nous poursuivre alors qu’ils auraient du être conscient que ce passage allait être leur tombeau. Mais pas de notre fait, une nouvelle épreuve mentale nous attendait.
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Courir ici donnait l’impression d’avancer rapidement dans un espace sans la moindre forme réelle. Avec les ondulations aqueuses, il y avait un côté sous-marin à chaque pas, mais on n’y voyait strictement rien. Rien, si ce n’est nos compagnons et les étranges reflets sur les surfaces sombres autours de nous comme si des visions essayaient de nous poursuivre, avoir le sentiment de nous voir tous courir à travers un ciel nocturne poursuivi par les étoiles vagabondes incarnés par les lueurs fantomatiques des esprits détournés vers ce domaine solitaire. Mes camarades étaient visible, et c’est leurs surprises que j’observais en premier lieu. Quand Livio s’approcha lentement d’une surface, il pouvait y voir le reflet vague tout comme nous l’observions apparaître face à lui comme l’image renvoyée d’un miroir. Laissant naitre un Garlemaldais avec un casque à visage de lion dont les yeux se multiplaient pour qu’il y en ait six au total qui le fixe en tendant lentement la main, lui donnant l’impression qu’un jour, il à suivi et servit un envoyé du Nuage noir. Cette impression se répéta pour tous, donnant à nos compagnons des impressions soudaines et affreuses que nous avions un jour décidé de suivre et de promettre allegeance au nuage noir qui apparaissait dans les moindres de nos souvenirs. De nos pensées. Devenant l’incarnation de nos espoirs et de nos désirs. Certains étaient attirés par des incarnations de divinités et d’autres par des personnes proches, Kyuuji et Ugumori laissant voir un instant le Kami des Tempêtes que j’observais depuis un moment au dessus de nous, le visage transformé par les six yeux infâmes du démon. Le plus curieux vu de voir cette incarnation de phénix noir étrange, qui n’avait pas ce même regard, tournoyant proche de Livio avant qu’une apparition de Maladriel ne fasse disparaître cette vision.

Nous nous arrachions de tels pensés en essayant de nous soutenir, Sorn pour ça ayant littéralement attrapé la queue d’écaille de Kyuuji et la ceinture d’Ugumori pour s’éloigné du visage de son frère en halétant, le prêtre essayant de soutenir ceux autours de nous en laissant Namiko et N’lamahni poursuivre avec un profond malaise de ce qu’elles avaient subies. Nous sortions de ce tunnel avec l’impression de respirer enfin, comme si les sons étaient devenu de manière inconscience lourd et gêné par voile étouffant, reprenant nos respirations comme après une apnées inattendues. La lumière des cieux d’un bleu-blanc inquiétant nous tombait dessus en nous aveuglant légèrement, après un route dans l’obscurité aussi lisse, elle était plutôt inattendue et agressive. S’y trouvait là le dernier sanctuaire du Culte de la Guerre protegeant l’accès direct au domaine solitaire d’Ashizen. Il devait s’être installé directement à Froid-Repos, car l’accès était bloqué par une rune Hingahsienne d’un mauve se refletant sur les surfaces d’Onyx sombre entourant l’accès. Quelques tentes étaient déposés ici et là, et l’ensemble de l’Onyx et des surfaces permettaient de mettre en valeur deux choses : Un sanctuaire de sang où ils produisaient leurs marques, et une grandes statue aux lueurs mauves représentant l’Avatar que nous avions affrontés lors de notre dernière mission.

Rapidement, Kyuuji s’interessa à ce dernier. Après avoir déployé des protections autours de nos compagnons, il se concentrait pour essayer de cerné ce qui se trouvait à l’intérieur de cet avatar, de cette incarnation, dévoilant les mystères et les intrigues que se trouvaient en réalisant qu’il était une source de pouvoir à l’Onyx local. Car cette statue se liait au chemin des pélerins d’Oschon, volant aux pierres les sources de pouvoir contenues depuis tant de prières et de croyances, celles ci furent arrachées aux hauteurs et se mirent lentement à tournoyer autours de la statue. Quel ne fut notre surprise en voyant Finaen et Runne apparaître autours de la statue accrochés aux dites pierres, visiblement leurs inspections portèrent leurs fruits, puisque ça les menèrent directement à la source recherchée ! Nous éparpillant en vitesse, chacun trouvèrent leurs cibles en commençant à tout faire pour arrêté les manœuvres adverses autours de nous. N’lamahni, Livio et Sorn s’occupaient de ce qui se trouvaient dans les hauteurs, des sortes de créatures de Légion épineuse ressemblant à des serpents aux bras en faux, sifflant comme des prédateurs immondes en propulsant des dards empoisonnés. Peu désireuse de les voir s’étendre et nous massacrer, N’lamahni projeta une grenade dans une forte déflagration au milieu de ses dernières mais la conscience collective de Légion agit, et fit qu’une seule de ses choses avançant pour recevoir l’explosion et les tirs de Sorn. Livio en profita pour s’installer en hauteur, et abattre de manière inattendue celles se cachant, avant de se mettre à couvert pour ne pas recevoir les contre-offensives des nombreux dards qui vinrent atteindre néanmoins N’lamahni et Sorn au sol. Ils avaient été blessés, la miqo’te prenant un anti-poison directement là où son compagnons enchaina des tirs plus puissants et plus rapides pour essayer de vite s’en débarassé, profitant que sa camarade touche avec un couteau de jet pour atteindre celui paralysé un bref instant.

La dernière de ses choses ayant échappées aux tirs précits de Livio dévora littéralement les pertes, avant de muté, progressant en provoquant une chute de pierre qui aurait ensevelit totalement Sorn si N’lamahni n’avait pas bondit dessus pour que les deux s’écartent, malgré quelques chocs des roches tombant au sol. Venant soutenir Livio en tirant dans le dos de la bête, la lame de Livio la transperça au cœur, et la fit choir avec au milieu du champ de bataille. Nous couvrions Kyuuji pendant sa pratique. Namiko tenant le coup juste devant lui en subissant les assauts de la statue manipulée par un Chevalier Ishgardais qui était convaincu que ce n’était pas Halone qu’il avait servit tout sa vie, mais Tsakyoki. Voulant le sortir de là, Eloise essayait de le purifier pour faire disparaître les six yeux de son casque et lui rendre la raison, s’acharnait en faisant tournoyer son Egi-Garuda autours pour l’isoler, il se servit de la statue d’Onyx pour propulsé une lance mauve qui explosa sur le bouclier de Namiko qui tenait encore et encore le choc pour ses compagnons. La roche s’étendait de plus en plus sur la statue, que Runne essayait de purifier de l’intérieur avec sa rapière, s’échappant en usant du bijou du totem des milles bêtes quand il fut attrapé par la dite statue. Mais quand le chevalier commençait à être paralysé et que les pierres recouvrait les marques de flammes bleues, elle se figea subitement.

Finaen fonçant à l’assaut d’une sorte de sorcière qui était en train de gavé la statue d’énergie depuis l’autel du rituel de sang. Elle aurait lancé un sort sur Finaen, si un des guerriers du Culte de la Guerre n’avait pas été projeté par le Kanabo d’Ugumori droit dessus – Lui et moi étions en train de les taillés en pièce, frappant sans cesse nos adversaires en massacrant avec efficacité tout ceux qui se tenaient devant nous. La pair avait été plus qu’efficace, et il n’en restait rapidement plus aucun, même ceux qui avaient porté le masque du sacrifice final sur leurs visages. Ce qui permit à Finaen de se débarrassé de l’autel, et de la sorcière, avec une technique maligne et vicieuse pour ce qu’elle avait fait : Elle avait voulue se renforcer en utilisant le sang vicieux, et lui l’extirpa brutalement de son corps en lui ôtant sa source direct de pouvoir. Elle devint une petite vieille toute fébrile au sol, l’observant avec pitié, en se cachant le visage quand elle regardait la statue. Runne et Kyuuji avaient fini les préparations. Et après que la lame de vent du Miqo’te ne se soit écrasée dessus, le Prêtre des Kami se concentra. La terre qui recouvrait alors la statue d’Onyx, s’infiltrait à l’intérieur, et brisa tout le mal qui y résidait.
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La déflagration d’énergie du néant ne fut pas une mince affaire. Tout ce qui était contenu se fissura en s’étendant sur tout l’onyx environnant donnant l’impression que le monde entier autours de nous se fragmentait et tombait en poussière sous les impulsions de dévastation produite par la chute de la source principale. Heureusement, Sorn et N’lamahni étaient un peu trop loin pour que ce soit vraiment une gène alors que la Miqo’te soutenait l’Elezen ayant pas mal subi à distance. J’allais être balayée après avoir tailler en pièce un des adversaires, mais Ugumori s’installait devant moi subitement en levant un bouclier de foudre qui encaissa le choc du néant dans une ondulation magnifique. Tous avaient pu se mettre à couvert, Finaen protégé par le sort de Namiko dans des lueurs cristallines éclatantes à mesure de l’onde de choc qui frappait, mais ironiquement sa taille ne permettait pas à Kyuuji de ne pas subir un contre-coup qui l’envoya brusquement au sol. Tous se remettaient lentement derrière moi pendant que nous approchions de ce qu’Eloise et Finaen observaient déjà, contemplant le passage qui s’était ouvert. Des esprits tournoyaient doucement sous la forme de petites sphères ailées fumantes un peu. Elles n’étaient pas si inquiétante que des spectres immondes, uniquement des petits fantômes presque adorable qui cherchaient de l’aide dans notre présence. Après avoir guéri Sorn du poison du dard l’ayant transpercé, nos autres compagnons arrivaient doucement vers nous en observant ce passage, la jeune N’lamahni se tenant bien à Kyuuji la soutenant d’un air paternel pour ne pas qu’elle soit effrayée par les esprits paisibles qui tournoyaient un peu partout.

Avant de pouvoir traverser le passage qui pour une fois n’était pas des plus dangereux. A la place, ce fut un voyage simplement magnifique à travers des cavités rocheuses illuminés d’un bleu doux et agréable s’extirpant de glyphes et de nombreuses gravures rayonnant paisiblement. Le sol émettait des pulsations quand nous posions le pieds dessus, d’un lisse cristallin formidable donnant l’impression de marcher sur l’eau. Tout semblait si propre, si agréable, et apparurent un peu partout des reflets des anciens combats contre le nuage noir. Parfois, c’était plus récents, délivrant nos derniers combats contre ses séides sur les murs. Parfois, c’était plus anciens, des combats menés par Runne et Finaen il y à longtemps jusqu’à voir même des reflets en marques bleutés d’Ugumori et moi sur Himitsu no Taki. Les sonorités étaient cristallines, agréables, résonnant à nos oreilles comme des chants murmurés par des dizaines de voix bienveillante jusqu’à arriver au sanctuaire au plus profond de la cavité d’argent.

Des fleurs mauves étaient battue par un vent imaginaire aussi irréel que la présence d’un tel jardin Hingashien ressemblant en une version pervertie par le nuage noir des splendeurs d’Himitsu no Taki. L’autel principal au milieu de ce jardin bien fait, au lieu d’être une représentation du Kami du Tonnerre, était une sorte de visage d’Onyx noir représentant la figure immense et monstrueuse de la vision de ce monstre ignoble qu’est Légion. La créature semblant comme figée dans l’Onyx, comme une représentation de leur volonté à eveillé dans le monde physique cette chose abominable pour la déchaîné sur leurs ennemis. Mais ça n’était qu’une vague tentative, même pas un fragment du pouvoir qu’elle pourrait avoir, ainsi que la taille. Ashizen était assis devant, en posture de méditation, les flammes bleutés spectrales ondulant autours de l’ancien gardien qui avait l’air en attente. Le mesquin porteur de masque aux trois yeux visibles souriait à Livio, satisfait de pouvoir reprendre le combat qu’ils avaient débuté ensemble lors de notre première rencontre du Culte de la guerre tout en tirant sa rapière. Et de l’autre côté, gémissant en appelant à l’aide vers Sorn, errait les résidus dévastés et enchaînés récupérés à travers le néant d’Ydan. L’ancien Elu noir avait échoué avec le Halo des Profondeurs, abandonné par le conseil de Styx, il n’était plus qu’une âme en peine. Un spectre dévasté suppliant d’être libéré. Il fut la première cible de Sorn tirant à travers pour espérer le libéré, les munitions passant en travers en l’abîmant de plus en plus, alors que Finaen essayait de le purifier dans une lueur grandiose. Des flammes blanches passait autours de son incarnation, tandis que je me livrais à un duel du sabre contre sa voix enchaînant encore et encore nos coups partagés en lui laissant des blessures de ma lame. La faux se glissa en travers ma garde et me taillant la hanche, continuant son chemin en explosant contre Finaen jusqu’à ce qu’il s’écrase contre Sorn subitement. Malgré cette blessure, j’essayais de poursuivre le combat, laissant une fissure d’un blanc intense sur son torse dès que Sorn fit tournoyer sa chaîne autours du spectre bloqué par ce dernier. Me balayant en m’écrasant proche de Sorn et Finaen, il fut finalement purifié par Finaen qui profitait des lueurs intenses de la sphère de Kyuuji ondulante dans les environs pour laisser l’âme d’Ydan retrouver la Mer des étoiles, même si Ashizen vola une partie de son essence brusquement.

L’homme au masque défiait et blessait Livio qui s’acharnait dessus sous la forme d’un tigre blanc foudroyant. Tournoyant avec sa proie, Namiko le harcelait de coup de bouclier encore et encore en essayant de le bloqué complètement. Il se dégagea des chocs répétés, et malgré la lueur intense de la sphère de Kyuuji, il parvint à y voir après avoir été transpercé par une javeline de N’lamahni. Sa rapière transperça de part en part le flanc de Namiko, en une blessure sérieuse, peu avant que Livio ne produise une déflagration foudroyante permettant à la lame de Namiko de transpercé le crâne de son adversaire. Ne laissant qu’un adversaire : Ashizen. Celui ci luttait depuis le début contre Ugumori dans un duel opposant son kanabo au siens, produisant des ondulations d’air puissante à chaque choc partagés. Il arracha les chaînes d’Eloise qu’elle fit jaillir pour essayer de le vider de son énergie, les utilisant pour attraper N’lamahni et l’écraser contre le mur de pierre, ainsi que pour faire voler Eloise au sol. Il usa de la propre foudre de Runne pour l’attiré à lui, et l’envoyer valser au sol avec une force monstrueuse.

Les flammes bleutés autours de son visage et de son masque lui donnait l’air effroyable, écrasant son poing dans le ventre d’Ugumori en passant ses défenses et les protections de ses alliés. Sans les boucliers de Kyuuji, nous aurions tous été sévèrement blessés, mais au moins avons nous pu subir ses assauts sans avoir été réduit en purée. Le chevalier qu’Eloise avait sauvé pu percé le flanc d’Ashizen de son épée, et avec des blessures qui s’accumulaient même sur un adversaire aussi terrible, Runne et Eloise s’acharnaient pour faire en sorte que son corps gèle de l’intérieur de plus en plus intense. N’lamahni envoya son shuriken fuma s’écraser dessus brusquement en le bloquant un instant, permettant à Livio de tirer à travers ses blessures en le brisant de part en part. Il observait Finaen, dont l’effet purificateur était de plus en plus en train de faire disparaître ses forces, et je lui tranchais le bras d’un coup net. Avec ma blessure, j’aurais du rester au sol, mais Kyuuji avait pu commencer à guérir tout le monde – notamment Namiko qui essayait de s’en sortir après le coup de rapière. Sorn s’était occupé de ma plaie, déposant un gel rose étrange dessus qui arrêta complètement la blessure de saigné et la stabilisa, avant que son bras formé d’une mécanique très étrange dont la voix faisant pensé à celle d’Exstasia envoya un missile droit sur Ashizen. L’opération « Teclis » était étrangement apparue. Provenant de nulles part. Et ayant disparut aussi vite qu’il était apparut aux yeux de Sorn encore un peu confus.

Brisant la statue de Légion, celle ci s’effondra sur Ugumori et Ashizen dans un fracas immense. Quand la fumée retombait doucement après le choc, Ugumori réapparut avec Runne contre son épaule, le bras d’Ashizen visible sous l’effondrement dévasté. Enfin vaincu. A l’extérieur, la présence de la Sylve avait clairement reprit place et nous observions les lueurs de la lumière apparaissant à l’intérieur même des couloirs d’argents, quelques feuillages balancés par les vents tombant à l’intérieur alors qu’une végétation splendide avait déjà recouvert la poussière grise et les corps des disparues. Le destin du Gardien maudit s’acheva en ce lieu isolé de Sombrelinceul, et tous reprenaient lentement leurs forces en appréciant les lumières de l’extérieur nous accueillant à la fin de ce combat. Quel plaisir, malgré la douleur, et la vision de Sielda apparaissant un instant fut toujours surprenante. Il ne reste plus qu’à atteindre Ikijin désormais, il est temps d’en finir avec les projets du nuage noir et de lui ôté son plus grand champion. Il est temps de vaincre le dernier Maître de l’Aube Obscure. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 14 mars 2021, 13:37, modifié 1 fois.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 12 mars 2021, 06:50

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-cinquième Entrée – « Acte 13 – Le Pic noir des anciens samouraïs.»
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« Les périlleuses missions se sont enchaînés, demandant une grande partie de l’effectif de l’Aube Obscure. Après Ashizen, une fois de plus, nous étions presque au complet pour partir affronter le problème dont Sulfur nous parla d’urgence peu après la chute de l’ancien gardien. Prenant de plus en plus de terrain, ils furent inquiétés de voir que tout menait petit à petit droit vers le Manoir des Haukke. Et si les Deux vipères menés par Sulfur étaient occupés à empêchés une quelconque propagation des problèmes venant du sud, nous avions alors pour nous occupé la responsabilité de nous charger d’un lieu que les éclaireurs désignèrent comme « très inquiétant. » Un sommet rocheux plus à l’Est du front de bataille était hissé, et avaient reçu installé au dessus du pic, une flèche d’acier noir comme celle qui avait été érigée au dessus de Tam’Tara par le Conseil de Styx. Ce que nous craignons, c’est que de tels édifices permettent tôt ou tard d’offrir un accès plus étendu aux environs pour le nuage noir, tout en permettant à ses guerriers de rejoindre le combat et de le servir à sa guise. De tels flèches devaient impérativement être détruite, et en premier lieu, ce qui avait été désigné comme étant le « Pic noir ».

C’est à la Tour de Dunstan que nous nous sommes retrouvés avec nos compagnons habituels. L’équipe était en grande partie présente, identique à notre dernière mission, réunissant Sorn et N’lamahni pour agir à distance et avec force. Eloise et Runne en premier temps étaient là pour nous offrir une bonne expertise et maîtrise de la magie, mais notre guérisseur cette fois était Aerlin présent comme souvent ce même jour pour nous offrir guérison. Et nous avons même pu prévoir ma visite médicale ! Cette fois, nos protecteurs allaient être vraiment nombreux. Ugumori ne serait pas le seul avec Namiko à tenir le front de bataille comme une barrière immense, car Livio avait récupéré son attirail de Pistosabreur afin d’arrêté quiconque tenterait de nous gêné. C’est fort d’une majorité de notre équipe que nous nous sommes mis en route en traversant cette partie marécageuse de Sombrelinceul. On ne peut pas dire que le voyage était très agréable, ni ne plaisait à grand monde – De la bruine nous tombait lentement dessus, avec les nuages accumulés, cela donnait l’impression que le monde était gris. Quelques créatures énormes s’apparentant à des Morbols avaient été laissés pour morte sur les côtés, empalés par des lances encore et encore, prouvant que la grande compagnie faisait plus que du bon travail. Mais elle en payait les conséquences, car plusieurs fois nous avons du nous arrêtés soulevé une caisse, un chariot, ou des blessés hors de la boue accumulé par une journée de pluie. Et des phénomènes plus qu’étrange avaient lieux dans les environs, comme si l’impact du Pic noir un peu trop proche avait tendance à rendre incohérent certaines formes autours de nous.

C’est après une petite heure de route, entendant N’lamahni et Sorn maudire le mauvais temps frappant cette forêt, ce qui ne plaisait vraiment pas à Namiko autant que l’eau qui s’infiltrait dans son armure. Nous avons avec Runne et Ugumori observé comme des gouttes d’eaux s’élevant doucement en l’air, comme si la gravité avait été inversé, avant de choir au sol. L’effet mental n’était vraiment pas agréable, et cela se mêla à ce que vécurent Eloise et Aerlin en soignant des blessés. L’un succomba sous leurs yeux à ses blessures, et son esprit fut comme tiré d’ici en parlant Hingashien, ce qui n’avait pas de sens. Cela m’évoquait quelque peu la prison des esprits et les capteurs d’âmes devant celle ci. Mais à distance ? C’était moins rassurant, surtout si Sulfur devait combattre. Les éthérimètres serait plus douloureux que prompt à nous aider, car rapidement, Livio et Eloise virent des éclats de miroirs un peu partout où ils observaient. Le sol était devenu d’un marbre noir, comme si sous la terre quelque chose avait coulé et s’était solidifier avant de s’étendre un peu plus ici et là. C’est en passant des broussailles que nous avons vu le Pic noir, un amas de roche inquiétant se dressant vers les cieux en laissant couler de ce dernier comme des flaques de liquide sombre se solidifiant en créant précisément ce que nous avions sous les pieds. L’atteindre ne serait pas chose aisée, car à peine en nous approchant du passage permettant d’accéder au Pic, les défenses des lieux se mirent en branle. Des miroirs apparurent un peu partout autours de nous, glaciales, reflétant nos compagnons en s’étendant de plus en plus autours et au dessus de nous, donnant l’impression petit à petit d’être enfermé dans un véritable dédale aux milles reflets. Parfois, en regardant vers un camarade, c’était un de ses Samourais spectraux qui apparut, ce qui fit réagir Livio qui fit explosé littéralement un des miroirs dans une grande déflagration d’éther. Tous inspectaient les environs, et les moyens de sortir d’ici tout en évitant les assauts de ceux se cachant dans les miroirs, avant de réalisé qu’il y avait des citoyens lâchés à l’intérieur du passage. Perdu et probablement condamnés.

En inspectant les miroirs, Sorn et Namiko disparurent soudainement après les avoir touchés, comme si ils avaient été attirés à l’intérieur, avant de se retrouver ailleurs. Mais nous avions tout autant été divisés en deux – Runne qui avait inspecté les échos des sons le long du passage, se trouvait avec Ugumori qui progressait déjà en évitant bien les miroirs, une N’lamahni dans le dos. Aerlin se trouvait avec Eloise et Livio, les guidant pendant qu’il brisait les bons miroirs en trouvant des moyens aux civils de sortir d’ici. Et j’étais partie en vitesse à la recherche de nos égarés, ce qui fut une bonne chose : Je retrouvais Sorn en proie avec des sortes de chiens écœurants, des créatures de Légion, qui l’avaient isolé pour le dévoré. Il s’était fait prendre en essayant de détourné l’intensité des entités du civil qui s’enfuyait, et tirait sur les créatures l’approchant avant que je n’y mêle mon sabre pour couper les bêtes en morceaux éparpillés. Revenant à ses côtés, nous tombions sur Namiko qui avait pas mal subie en repoussant les assauts des Samouraïs dans les miroirs, tout comme nous avons vu un de ses spectres voler en l’air après un énorme coup de Kanabo. En tout cas, Ugumori avait l’air de s’en sortir. Tous se sont retrouvés à la sortie du dédale après avoir protéger quelques civils et avoir tout fait pour se retrouvé. Livio et Aerlin avaient été blessés, eux avait du se défendre des spectres en passant involontairement d’un miroir à un autre tout en livrant bataille jusqu’à parvenir à sortir.

Et après avoir repoussé nos adversaires, tout nous menait droit jusqu’au passage : Une grande racine solidifiée par l’onyx noir menait au Pic. A côté de la Démone en Haori manipulatrice de ses miroirs qui provoquait leurs créations, avec à côté sa petite victoire : Finaen, enfermé dans un miroir, essayant de s’échapper en vain. Un trait d’éther frappa la démone pendant qu’elle tissait les défenses, ce qui ne lui permit pas d’arrêter Runne qui fissura le miroir dont Finaen s’échappa en brûlant vive la démone quand il fit usage de ses flammes. Celles ci tournoyant autours de la faible créature du néant cachée derrière les illusions, qui rugissait et souffrait tandis que son incarnation disparaissait. Des hauteurs, jaillirent des cascades entières de morceaux de verres minuscules reflétant des couleurs innombrables, donnant l’impression que le Pic était dégorgeait et était submergé par les flots de couleurs et de nébuleuses magnifiques. Un tunnel était formé, aucun des cristaux ne pouvant tomber dessus ouvrant l’accès droit vers les profonds du pic. Avant d’arrêter la flèche noir, nous devions nous engouffré à l’intérieur des lumières innombrables. Nous retrouvant tous, Aerlin produisant quelques effets de soins pour que nous soyons plus que prêt à ce qui nous attendait, il nous restait encore une défense à bravé pour atteindre les entrailles de ce domaine. Celle de nos propres visages incarnés dans les cristaux.
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Le passage était au moins des plus ravissants, c’était un sublime voyage que de marcher sur ce sol de marbre noir où des myriades de cristaux ne cessaient d’apparaître. Sans savoir si la Flèche était active ou non, nous marchions en restant sur nos gardes tout en contemplant les cristaux qui émettait ses reflets d’une manière paisible, des lueurs ondulantes au sol donnant une impression d’un ciel étoilé. Et si la route pouvait paraître agréable, malheureusement, elle se compliqua rapidement. La protection s’incarnait à partir de nos propres forces, de nos formes mêmes, et cherchait à tiré des émotions parmi les plus extrêmes dans les facettes possibles de nos personnalités – voir certaines choses s’y opposant complètement. Ainsi, une incarnation de chacun d’entre nous fit surface, et choisis leurs cibles au hasard dans notre groupe avant de fondre dessus à toute vitesse. Ce n’était là que des pantins sans couleur réelle, que des amas de morceaux de cristaux ressemblant à nos silhouettes, mais ça restait très perturbant tout de même.

Le premier à être arrêté, et le seul à ne pas avoir été détruit, fut celui que Runne congela complètement. C’était un visage d’Aerlin qui riait sans cesse, prit d’une hystérie sinistre, détonnant beaucoup de notre guérisseur qui chutait au sol quand la pistolame du faux-Livio détonna au dessus de lui. Usant des vents pour briser les cristaux d’un geste net, Eloise fit de même avec une incarnation de Finaen qui explosa littéralement en milles morceaux. Plusieurs étaient particulièrement gênant, voir efficace contre leurs adversaires, et Finaen en fit les frais contre un Ugumori qui l’envoya valser avec son kanabo avant de le brisé à son tour dans un éclat vermeille en plein visage du faux-gardien en cristal. Livio se débarrassant du faux Sorn proche de là, il perçu Namiko qui tenait la ligne en recevant les Shurikens de la fausse-N’lamahni avant que les lames d’éthers ne l’atteigne plein fouet. Et si la fausse-Eloise explosa subitement à cause d’un explosif de N’lamahni précisément. Mon propre reflet fut plus difficile à détruire entre les mains d’Ugumori, taillant le torse du Gardien, juste avant qu’il ne le brise entre ses mains en lui rompant le cou. Le dernier à être détruit fut Runne, tranché en morceaux par mon sabre, avant de nous laisser progresser sur un amas de cristaux au sol éparpillé un peu partout autours de nous, ce qui donnait une impression fantastique quand ils se reflétaient avec les cristaux des cascades retrouvant tout le passage autours de nous. Un Sorn triste, un Ugumori enragé, une N’lamahni paniquée, un Runne maussade. Tous surjouaient des émotions en donnant l’impression d’affronter leurs démons, et qu’il fut pénible de se concentré avec les silhouettes de ses propres compagnons en guise d’adversaire – Et peut-être encore plus pénible de mettre cela sur mon rapport de mission à cause des noms successifs !

Passant outre cette dernière protection, nous sommes ainsi arrivé au cœur du Pic noir, là où ils préparaient les nouveaux spectres des anciens samouraïs déchu. Ici, fini les cristaux chutant en cascade, les environs rayonnaient de sinistres plantes mauves reluisantes en dévoilant les racines d’onyx sinistres qui semblaient apporter les esprits de ceux tombant dans les environs pour que des hommes captifs ne les mènes droit vers l’intérieur des statuettes. Une créature monstrueuse errait au milieu des spectres en formation, non loin d’une des statues de femmes gardiennes que les Chaînes rouges avaient tellement essayer de corrompre. Celle ci était recouvert d’un noir marbre infâme, et semblait comme sourire avec folie, mais c’est en constatant la provenance du guerrier que tout était clair : C’était un survivant des Chaînes rouges ayant été attiré ici par la soif de vengeance. Et Ugumori fonça directement vers lui pour le confronté alors que tout le monde s’occupait des nombreux problèmes environnants. Dans une déflagration puissante, N’lamahni visait en premier lieux les racines d’onyx noir pour essayer de mitigé les apports en esprit jusqu’ici. Les récolteurs, des hommes en coule noire avec un parchemin sur le visage, réagirent. Il était inscrit « Contrôle mental » en Hingashien sur leur figure, et quand Runne le réalisa en me le demandant, tous firent en sorte de soumettre en vitesse plutôt que d’abattre nos ennemis. Des sorts de sommeil furent activés en vitesse, deux tombant au sol en se mettant à roupiller paisiblement, mais en retour, ils déchaînèrent leurs magies.

Et elle fut plus qu’efficace hélas, si N’lamahni et Eloise en échappèrent dans des myriades d’explosions, ainsi que Sorn, ce ne fut pas le cas de Runne qui vola en arrière quand les fracas du néant ne semblèrent vouloir cessé. Aerlin qui était concentré sur des soins important rayonnant dans les environs pour s’occuper de nos blessures, tomba au sol sonné par le choc sans parvenir à se relevé alors qu’autours de lui tout éclatait encore. Sortant de la zone de déflagration, N’lamahni retenait les contrôlés avec son fouet pendant qu’Eloise les endormait, Sorn donnant un bon coup de crosse à l’arrière d’une tête ouvrit la voie à Runne pour trancher les parchemins devant leurs visages.

Au bout d’un instant, tous gisaient inconscient. Endormi et libéré de cette emprise mentale. Et c’est là que Finaen changea la donne, mais je me dois d’expliqué ce qu’il se passait à côté avant cela. Formant un duo Namiko et Livio se ruèrent pour couvrir Finaen qui atteignait la statue et commençait à brisé l’onyx noir qui l’entourait. Celle ci se fractionnant de plus en plus, les gardes – Des traîtres des Deux vipères portant encore le symbole de Sulfur, luttèrent contre les deux protecteurs pendant que je les couvrais en tranchant les spectres des samouraïs avant qu’ils ne soient générés. Autours de moi, quel difficulté dans ce combat ! Namiko fut sérieusement blessée à la jambe par un coup de lance émettant une lueur puissante après qu’un des gardes ne fut mit à terre, inconscient. Le néant transpirait autours du dernier adversaire, qui repoussa aussi brusquement Livio, avant d’essayer de l’achevé. La protection de Namiko lui sauva la vie, jusqu’à ce que Livio ne parvienne littéralement à empalé son adversaire avec sa pistolame, la retirant subitement en laissant le corps choir dans le vide. Pour ma part, il fallait que j’aide Ugumori. Le Gardien était en difficulté, écrasé au sol par un adversaire furieux qui ne cessait de frapper dessus et de déchaîné des flammes bleutés contre l’immense protecteur. Levant les bras, Ugumori essaya de littéralement lui arracher le bas de la mâchoire, mais y parvenait difficilement à cause des crocs de cette créature subjuguée. Intervenant en vitesse, tranchant ses bras et les muscles lui permettant de faire usage de sa mâchoire, celle ci fut brisée ainsi que le crâne même de l’ancien Roegadyn vengeur devenu un monstre. Se relevant baigné dans le sang fumant de cette bête, d’un coup, tous furent aveuglés quand Finaen prodigua une purification au cœur même de la statue.

Dans une lueur éclatante, les racines d’Onyx se brisèrent toute pour devenir des racines blanches, des feuillages magnifiques apparaissant ici et là dans quelques impulsions du bâton qu’Aerlin avait récupéré. La statue était redevenue elle même, et les bienfaits de sa présence commençait à se faire sentir, mais la libération des esprits avait entraînés un chaos important – Le plafond tremblait brusquement, et les esprits filaient dans tout les sens en essayant de partir. Les éclairs zébrant les cieux, pouvaient une chose : La flèche avait été activée malgré tout. Et il nous fallait partir en vitesse de ce lieu chaotique. Se concentrant sur le plafond, Aerlin empêcha celui ci de nous tomber dessus tout en protégeant nos compagnons en créant des barrières d’énergies terrestres. Sorn et N’lamahni fonçant proche d’Aerlin qui se relevait en solidifiant le plafond avec un cristal et levant un bouclier de cristaux. Livio protégeait Namiko qui essayait de guérir sa jambe le plus vite possible, subissant comme moi plusieurs coups des esprits que Finaen et Runne guidait vers la liberté et la Mer des étoiles. Je me tenais devant Finaen, frappant de ma lame les esprits non sans m’en prendre un dans le ventre, brusquement, observant les environs en voyant toute la malice qui s’échappait dans des fracas de lueurs mauves puissantes. Après un instant chaotique, où tout tremblait et semblait prit dans un vent d’âme inarrêtable n’ayant pas l’air de vouloir cesser, nous ouvrions les yeux en découvrant les lieux alors que l’eau prenait place depuis la dites statue.
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Répondant à l’appel à l’aide, Locae s’était déportée jusqu’ici, et tout le sol était noyé d’un flot interrompu ayant remplacé les cascades de morceaux de verre en cascade d’une eau irradiante dont les reflets ondulaient tout autours de nous avec une franche beauté, adoucissant autant nos esprits que nos corps affectés, Eloise, Finaen et Aerlin se concentrant pour nous offrir des soins rapidement dans des lueurs rayonnantes afin de pouvoir parvenir à progresser en vitesse. Ils tirèrent un peu sur la corde de leurs pouvoirs, nécessairement, car le temps nous était peut-être compté afin de nous mettre en route et Livio guidait déjà Namiko vers le passage menant au sommet du Pic noir. Il était constitué de marche flottante dans les cieux, fait de cet onyx maudit strié de mauve, mais ne semblait pas se risquer à nous faire choir dans le vide en essayant de l’emprunter. Cela dit, le passage était plus que difficile, et nous voilà bondissant d’une petite plateforme à une autre en essayant de monter vers le sommet dès que chacun eurent profiter des bienfaits des flots de Locae et des soins de nos compagnons. C’est donc revigorés malgré tout que nous nous sommes mis en route, retrouvant un peu de nos forces malgré les tiraillements encore présent pour ceux ayant été blessé plus sérieusement que je ne pouvais l’être. Dans les cieux, au dessus de la flèche noir, ondulant doucement l’aurore boréale identique à celle que nous avions jadis vu à Tam’Tara, mais la flèche étant beaucoup plus massive et concentré, la faille du néant apparaissait lentement en laissant ressortir les Ahriman mineurs qui nous fonçaient dessus.

Je tenais le coup proche d’Aerlin, tranchant les griffes des bêtes puisque Runne me disait que ce sont elles qui les maintiennent en l’air, alors que le bâton d’Aerlin frappa brutalement contre une de ses bêtes après qu’il ait relancer un nouveau sort de soin. Runne qui maintenant un sort actif pour nous alléger et nous aider à nous déplacer, peu après nous avoir prévenu, fut balancé dans tout les sens d’un Ahriman à l’autre propulsé dans les airs par les bêtes, jusqu’à ce que celle devant le récupéré se prenne un couteau de jet infusé d’éther par N’lamahni, permettant à son camarade de ce réceptionner contre une des plaques d’onyx noir flottante. Tournoyant dans les cieux l’Egi-Garuda tournoyant avec sa maîtresse transformée en chouette en passant en travers les bêtes bien que l’Egi ait du récupéré sa maîtresse après que des éclairs de pierres ne lui ait blessé l’aile après qu’un éclair ait littéralement éclaté à côté de la roche de marbre noire immonde. Cela se mêla rapidement à un faisceau d’énergie mauve frappant droit contre la plateforme qui maintenaient Finaen et Namiko alors que les deux bataillaient proche de Sorn qui tirait sur les cibles que Namiko recevait à coup d’épée, pendant que Finaen les taillait avec ses lames d’éther. Ils tenaient bon, jusqu’à ce que le faisceau d’énergie du néant n’explose au milieu, Sorn fut propulsé sur le dos lourdement tandis que Namiko et Finaen furent condamnés à choir dans le vide dans une grande déflagration. Passant dans la fumée, Livio et Ugumori s’étaient changés aussi en animaux grâce aux artefacts du totems des Milles bêtes. Livio récupérant Finaen, et Ugumori rattrapant Namiko, tous purent atteindre la plateforme au sommet du Pic noir tout en pouvant voir l’horreur qui nous attendait.

L’amalgame devant la flèche n’avait rien de cohérent, il ressemblait à un Hyurgoth qui était jadis un maître d’arme ayant entraîné un membre de ma famille il y à longtemps, mais il n’en restait que son esprit détraqué. Il était mêlé à de nombreux autres esprits, des statuettes de marbre noir autours témoignant des nombreux autres spectres mêlés à ce dernier. Il protégeait la flèche, et devait tout autant dirigé les Samouraïs spectraux en écoutant les ordres d’Ikijin. Ce dernier était visible, voilà si longtemps que je n’avais vu mon maître, et il paraissait toujours autant grandiose bien que désormais si sinistre. Même si il était qu’une image dans des amas de miroirs, une femme tournoyant autours de ce dernier. Il restait une menace. Et alors que l’énorme créature, un Mortalis convoqué par l'amalgame lui même, une sorte de Scorpion ailé titanesque et caparaçonné avec six yeux infâmes sur un visage qui n’était pas conçu pourra voir, arrivait. Tous se ruèrent vers leurs cibles.

La menace aérienne était la priorité de Namiko, fusant alors que le sol tremblait fortement sous les déflagrations d’Eloise frappant contre la flèche au milieu des tremblements de terres provoqués par Aerlin en cherchant à faire choir la flèche du haut du pic. S’écrasant contre le Mortalis pour le laisser au sol, il fut percé par les armes de jets de N’lamahni et les piques de glaces de Runne dans des chocs puissants, la bête fonçant en traînant Namiko avec elle tout en finissant par projeté la paladine au sol, son aile projetant N’lamahni dans le vide et la queue de scorpion frappant lourdement Runne en l’écrasant au sol. Elle était massif, et puissante, nos camarades blessés et gênaient essayaient de s’en sortir et tandis que Runne fonçait vers moi et Finaen. Livio sous cette forme féline fonça en s’accrochant à la bête dans un déferlement d’éclair, tétanisant la bête le temps que N’lamahni récupérée par Aerlin qui essayait d’offrir une large zone de soin en permettant à sa camarade de planter ses deux lames dans la gorge du Mortalis. Levant son épée, Namiko planta la sienne à l’opposé, et quand elle agita brusquement sa lame, le Mortalis fut d’un coup décapité. Si à la base, je voulais foncé vers l’amalgame, c’est en voyant Finaen menacé que j’ai déporté mon mouvement pour foncer devant elle – Ikijin avait perçu l’arrivé, et comptait surprendre Finaen en l’attaquant à travers les miroirs. Il usa d’une technique de Iajutsu surpuissance, le Midare Setsugekka, une onde tranchante très dangereuse que je parvins à relativement arrêté de ma propre lame avant que Finaen et moi ne soient éjectés en arrière en s’écrasant au sol. Au moins étions nous en vie, même gênés, pendant que Runne s’occupait de nous blessure en vitesse. Livio avait brisé les amas de cristaux, faisant disparaître la présence d’Ikijin, et c’est peu après qu’il chargea le Mortalis de son côté.

Ce sont deux animaux qui se ruèrent vers l’énorme amalgame des Samouraïs spirituels en brisant les statues de marbres noires. Ugumori rugissait en brisant tout ce qui passait sous ses pattes, tout en devant esquivé Sorn – Ce dernier était sous sa forme de cerf, essayant de briser de ses sabots les statues en fonçant l’amalgame avec ses bois, avant que son adversaire ne coince sa lame en travers ses bois pour frapper un peu partout avec le cerf balancé dans tout les sens. C’était surprenant, je dois dire ! Et quand il vola sur le côté, Sorn reprit sa forme réelle en essayant de tirer vers son adversaire qui nous balaya subitement – J’étais partie à l’assaut avec les autres, et après quelques coups d’épées, son sabre brisa mon épaulière subitement en me laissant une blessure saignante le long de mon bras gauche inutilisable. Ugumori tenait le coup, essayant de le faire choir en luttant contre lui, encaisse les coups qu’il recevait. Mais le pire fut son expertise : Il avait littéralement renvoyé une balle à Sorn droit dans son épaule, et un des spectres à l’intérieur de son incarnation fusa pour frapper Eloise qui lui avait empalé la jambe. Au final, tous frappèrent peu après que Runne ne parvienne à faire exploser la flèche endommagée qu’Aerlin fini par faire choir dans le vide en dévastant le sol en se concentrant sur l’éther terrestre. Privé de sa source d’énergie, la griffe invoquée frappa en laissant le Shuriken de N’lamahni frapper en même temps que le rayonnement laser de la machinerie de Sorn.

Assaillit par Livio, Ugumori et Namiko, Finaen y ajoutant sa rapière dans des éclats vermeilles éclatant sans cesse, il parvint seulement à frapper Namiko, l’onde de choc de l’épée fonçant en percutant Runne au loin. Jusqu’à ce que retenu par Livio, il se prit de nombreux coup de rapière de Finaen se déchaînant dessus, alors que je vins à ses côtés trancher brusquement en le coupant littéralement en deux. C’est en deux morceaux qu’Ugumori le projeta dans le vide, se scindant dans les airs, alors que de nombreuses lueurs apparaissaient de tout les esprits libérés de l’amalgame. En haut du pic, nous avons une vue imprenable sur les lueurs magnifiques tombant partout autours de nous. La beauté du Sombrelinceul nous laissant un temps pour nous émerveillé, ressentant les remerciements de ceux libérés retrouvant doucement la mer des étoiles, les bienfaits de Locae se faisant maintenant ressentir jusqu’ici. La paix se retrouvait enfin sur ce Pic solitaire méritant de perdre son surnom de Pic noir. Les samouraïs d’Ikijin avaient été arrêté avant de jaillir en masse, mais quelque chose de très inquiétant avait été vu : Cette affaire sur la Flèche, permettant l’invocation du sort, semblaient provenir du Manoir des Haukke. Quoi qu’ait Ikijin à réalisé, cela semble lié à ce domaine là hélas. »
Akayane Kosenjobi.
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 14 mars 2021, 13:36

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-sixième Entrée – « Acte 14 – La succube dans l’Arbre-Gardien.»
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« L’apparition sinistre de la démone autours d’Ikijin à travers le miroir qui avait été visible au sommet du Pic noir restait des plus intrigante, mais plus encore le Druide qui m’agitait dans tout les sens en criant qu’il fallait intervenir à l’Arbre-Gardien immédiatement maintenant qu’il était sûr que cette créature s’y était rendue au nom de son maître avec un artefact sinistre provenant du Manoir des Haukke. Quoi qu’elle puisse y préparer, cela ne devait pas se dérouler ainsi, mais la problématique selon Adel’Delroy qui était à cette petite réunion à la tour de Dunstan restait qu’ils avaient puisés dans une énergie rare ayant laissé une marque là-bas. Jadis, l’Arbre-Gardien avait été le théâtre de l’affrontement sous les yeux des Flèches Divines, entre le Guerrier de la Lumière et un Ascien. Les forces résiduelles présentes là-bas devaient avoir un véritable intérêt pour la créature, autant que le pouvoir que l’Arbre-Gardien pouvait lui conféré si l’entité finissait par dévoré l’éther élémentaire présent. Nous devions empêcher qu’un nouveau mal ne s’extirpe du Manoir proche du lieu où Ikijin nous attends sûrement pour être enfin arrêté. Mais le passage était difficile d’accès, si ce n’est plus, et il nous fallait un peu d’aide afin d’avoir la moindre chance de traversée. Heureusement, nous avons des alliés, et j’ai fini par contacter Stanislas et Rodrigo afin qu’ils nous apporte de quoi parvenir directement à l’arbre-gardien en passant outre le dangereux ravin qui nous séparait de ce dernier. Il fallait déjà réunir notre équipe, et après un exercice avec un futur samouraï plein d’avenir, me voilà à rejoindre en vitesse mes compagnons se réunissant à la Tour de Dunstan.

Installé au pied de celle ci, Runne et Eloise discutaient déjà paisiblement de ce qui les attendait et de la vie de tout les jours alors que je vins plus ou moins en même temps que Sorn et Aerlin. Contente de revoir Aerlin après l’entretiens médical enfin fait, et ce dernier prompt à nous guérir des maux, c’était surprenant de voir Sorn dans cet état. Il n’avait pas changer de tenue, quel miracle ! Les derniers jours durent vraiment être éprouvant pour celui ci. Livio nous retrouva avec son équipement adapté à sa gunblade impériale, suivi d’Ugumori et Finaen. Le Gardien d’Himitsu no Taki sera alors notre protecteur contre les moindres coups, et nous avions l’intelligence de nos mages pour se prémunir des forces du néant. C’etait je dois dire une magnifique journée, les rayonnements solaires tombaient paisiblement sur nous en caressant notre peau malgré le léger froid d’Hiver persistant encore malgré la venue du printemps. Les forces Gridaniennes ne semblaient pas trop souffrir des dernières escarmouches, et étaient satisfaites de ne pas être concernés par notre prochaine manœuvre. Ce pourquoi ils venaient nous saluer et féliciter, honorer, ceux qui les avaient le plus impressionnés dans nos dernières missions jusqu’à offrir quelques cadeaux à Aerlin pour les vies sauvées il y à peu. Sorn profitait clairement de la balade, se ressourçant un peu à fil d’eau clair et pure avec Livio, attrapant une framboise sur un buisson, et se dandinant comme un bambin heureux de son voyage en oubliant cela dit que notre mission resterait dangereuse.

Car malgré la route des plus agréable, nous arrivions rapidement par un passage immense dans les hauteurs, laissant un véritable gouffre nous empêchant d’atteindre le breuil abritant l’Arbre-Gardien aisément. Ils auraient déjà du être ici, ceux censés nous y amener, Runne regardant déjà si il pouvait descendre avec une corde pendant que les autres inspectaient l’éther environnant. Il y avait clairement des reflets problématiques témoignant d’Imp camouflés le long de la passe qui attendaient quelque chose, autant que la noirceur s’étendait plus loin dans une lueur abominable. Et c’est là qu’advient notre transport. Filant à toute vitesse, l’Aeronef qui était venu nous chercher au Pic noir se dévoila enfin à travers la brume, sa proue en figure d’homme torse nue reflétait bien du nom de la « Virilité des cieux » commandée par Rodrigo Bigmuscle et avec Stanislas à ses côtés pour cette fois. Le bâtiment était attaqué par des sorts venant des Imp se dévoilant au fur et à mesure et tâchaient de repoussés les Vodorigas tournoyant autours en essayant de grimper dessus. On ne pourrait pas s’attendre à ce qu’il s’arrête pour monter, et dès qu’il passa un peu plus bas, nous voilà tous à bondir pour atteindre le pont à notre tour. Runne tourbillonna dans un vent maîtrisé avec expertise, fracassant un des démons ailés avec le vent qui l’avait guidé alors qu’Aerlin à ses côtés calculait son passage, rattrapant Ugumori qui avait prit un sort d’un Imp ayant produit un fracas puissant ayant légèrement sonné le Gardien. Sorn avait prit une forme de Cerf grâce à son artefact pour bondir, et emmêla ses cornes avec un Vodoriga et Finaen, tournoyant en l’air de manière confuse, avant que la rapière de Finaen ne transperce son adversaire en leur permettant de s’écraser sur le pont à leurs tours. Le grappin de Livio fit que sa descente fut particulièrement aisée, et j’aurais bien dis de même, si je n’avais pas percuté un de ses maudits démon en m’efforçant de grimper comme je pouvais sur le côté. Rodrigo et Esmeralda nous accueillir, pendant le bref temps de repos que nous avions eu à nous remettre en état, mais le temps était limité. Car il fallait encore parvenir à passé le gouffre en repoussant les gènes ennemies le long du passage.

Sous les chants marins de l’équipage entraînés sous la direction de Stanislas, qui s’était mit à jouer à un décompte d’adversaire éclaté avec les canons de lignes de l’Aeronef, tous usèrent de leurs talents pour repoussés les ennemis. Runne et Finaen les bloquaient le plus possible en des lueurs de vents et des éclats foudroyants, Eloise envoyant son Egi-Garuda agir pendant qu’elle propulsait quelques lames d’éther, avant de se prendre un des marins en pleine face, chutant dans la cale au milieu d’un tonneau de fruit écrasé par sa chute. Alors que des fracas apparaissaient un peu partout, Aerlin produisant des lueurs de vents brisant les sorts des Imp pour les empêchés de nous envoyer des boules de feu, cela n’empêcha hélas pas le navire de s’écraser contre un flanc en tournant un peu trop vite. La manœuvre était pratiquement impossible sans quelques dégâts, mais le choc en plus de faire bouger tout le monde dans tout les sens, fit que Livio ne peut faire explosé une des racines et le nid de pie explosa en morceau. S’accrochant à la toile du mât, son compagnon de tir volant en disparaissant dans le gouffre dans un hurlement, ce dernier se releva en observant un homme au demi-masque qui le contemplait, installé sur la même barre du mât que lui. Plusieurs en tombaient, pendant que le navire essayait de tourner rapidement en cherchant à arrêter sa vitesse, Ugumori frappant un peu tout ceux qui nous arrivaient dessus, manœuvre et combat s’enchaînant sur le pont du bâtiment.

J’ai reçu un choc quand un coup me frappa sur le crâne, et un de ses maudits faquins m’à fait passé par dessus bord, en m’accrochant comme je pouvais à une corde. Être sonnée n’aide pas à essayer de remonter sur le navire, et j’essayais seulement de tenir pour ne pas me laisser tomber dans le vide à cause de ce que je venais de recevoir sur le crâne. Les lueurs des tirs et de la magie pleuvait d’une façons impressionnant, mais nous venions de sortir du gouffre et cela expliqua pourquoi Stanislas essayait de faire demi-tour. Une magie infâme tournoyait en créant comme un nuage rempli d’éclair autours des branchages de l’arbre, des ondulations cristallines de bouclier empêchant son accès, témoignait que si l’Aeronef poursuivait, il risquait d’exploser. Et c’est là que Stanislas nous hurla de bondir en bas, pendant qu’il ferait demi-tour pour préserver le nef et éloigner les Vodorigas le plus loin possible.
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Heureusement, même si il ne doutait pas de nos capacités, il ne nous laissait simplement pas sans rien et avait une petite idée derrière la tête : Le petit Spriggan sauvé il y à un temps s’extirpa de la cale en agitant doucement sa main. Il avait déjà prévu cette possibilité, et ayant lu les rapports, fait avec ce qu’il y avait découvert. Ainsi, nous devions descendre de l’Aeronef au plus vite avant qu’il ne parte d’ici sous la fureur des tirs éclatant en l’air. Livio eu une démarche surprenante, tirant avec son grappin contre la roche environnante, il bondit avec son adversaire et explosa littéralement ce dernier contre le mur de pierre le plus proche de la sortie du gouffre, se mettant à choir avec son ennemi pour l’affronter en descendant. Maître des vents, Runne bondit en sifflant la magie même non loin d’Aerlin qui canalisant les bourrasques en s’allégeant tout deux avant de fondre vers le ciel. Acceptant le don du Spriggan, Sorn et Ugumori prirent un instant en repoussant quelques ennemis avant de sauter, ce que Finaen aurait certainement du faire si j’ôse dire ! Ramenant la corde sur laquelle j’étais balancée en arrière, jusqu’à parvenir au bord. Il sauta avec un peu d’empressement, le Spriggan mettant ses mains sur sa tête en constatant qu’il avait bondit avant de recevoir la bénédiction ! L’attrapant par le col, et de l’autre main, je saisis celle d’Eloise, nous voilà tout les trois tombant vers le sol en ne dépendant plus que de la volonté de l’Egi-Garuda à nous tenir en l’air.

Et il n’y arriverait clairement pas ! Un éclair passa pas loin de nous, faisant exploser dans une grande déflagration un des cristaux mauves en pas sur lequel était installé un magicien qui envoyait de nombreuses boules de feu, dont une qui avait faillit faire cuire Runne dans les cieux. On descendait en vitesse vers le sol, où de nombreux cristaux d’un mauve sinistre résidaient – ils ne ressemblaient pas à l’Onyx maudit du pic noir, mais seulement de conséquence aux sortilèges du néant provoqués par les créatures entourant le dôme infâme autours de l’Arbre-Gardien. Des cristaux flottaient dans les cieux, et des membres des Masques de Tsakyoki s’usèrent pour essayer de nous abattre, après que Ugumori ait littéralement fait tomber la foudre sur eux. Proche de lui, Sorn était aux coudes à coudes un peu forcé avec Aerlin en tirant à toute vitesse vers les sorts et ceux qui nous avaient frappé, profitant des vents convoqués par Finaen et Runne pour abattre les déstabilisés. Mais Eloise nous lâcha nécessairement, laissant naître dans une lueur de diagramme bleuté puissant comme une étendue de nuage où Finaen chuta à l’envers, se retrouvant les jambes dans le vide, et Ugumori dont le sort des Spriggan avait été dissipé ne put que finir par chuter, s’écrasant dans le nuage sans la moindre blessure. Nous étions arrivés en bas, Livio sous la forme d’un tigre blanc avait laissé son opposant s’empaler contre un pique de roche après un impressionnant combat aérien, contre ce dernier qui lui délivra quelques mots odieux, lui disant que jamais nous ne pourrions échapper éternellement aux innombrables ténèbres d’Hydaelyn. Nous retrouvant tous en face de ce qui bloquait l’accès, comme une étendu de cristaux qui avait provoqué la dépravation de la terre environnant, il fallait intervenir en vitesse pour atteindre l’arbre-gardien et brisé les maux se retrouvant là-bas.

Finaen parti s’intéresser en vitesse à des sortes de statuettes, et découvrit rapidement qu’il s’agissait de nombreuses effigies d’Onyx noir qui représentaient toutes curieusement Ikijin et qu’il défendit âprement pour pouvoir les récupérés. Les mystères de ses statuettes seraient surement ce qu’il devait jugé comme un atout futur, et il essaya de nous aider tout en restant proche de ce qui ne voulait pas voir tomber aux mains de l’ennemi qui l’avait créer. J’avais concentrée ma ruée sur une ombre sinistre qui se matérialisait de plus en plus en provenance d’une sorte d’autel, d’où des flammes mauves se projetait en l’air brusquement dans une lueur néfaste. C’était là qu’ils avaient captés les traces résiduelles de l’essence de l’Ascien inférieur qui avait été détruit il y à longtemps maintenant de cela. Et en priant un nom infâme qu’ils répétaient sans cesse, cela donnait forme petit à petit à une obscurité de brume voulant lui ressembler, me laissant le tailler de ma lame en laissant une cicatrice d’une lueur blanche puissante. L’affronter n’était pas chose aisée, nous nous renvoyions les coups dans des vacarmes de nos armes s’entrechoquantes pendant que derrière moi, Eloise faisait tout pour brisé l’autel. Elle voulait le détruire, le dévasté, si bien que je me demandais à force si Eloise n’avait pas un litige très personnel envers les autels maléfiques à vouloir ainsi le réduire en poussière.

Une fois fait, il s’éleva malheureusement en flammes mauves intenses, se dirigeant droit vers l’arbre-gardien avec le risque de l’enflammé. La création protectrice de ce qui générait le bouclier et les effets néfastes se dressait contre Ugumori et Sorn. Une énorme araignée d’onyx noir et de cristaux mauves luttait en recevant une pluie de tir de Sorn essayant de la brisé, tout en voyant Ugumori se charger de briser ses pattes. Dès que l’Onyx était dévasté, tout se régénérait bien trop rapidement, et ils comprirent malgré un choc intense que c’était les cristaux qui donnait forme au protecteur. Livio n’était pas loin, tirant sans cesse vers une griffe noire servait de support au Hicor flottant au dessus de la paume produisant les effets du néant. Endommageant le cristal, avant de briser les doigts sombres qui voulaient se fermer dessus lentement. Empêchant que Sorn ne soit cristallisé – et donc tué atrocement, Finaen bloqua la magie avant d’orienté ses éclairs sur les cultistes qui priaient à l’autel, fonçant à toute vitesse pour les taillés de sa lame et s’en débarrassé avec une grande efficacité. Sorn, quant à lui, en profita pour viser les cristaux créateurs pendant qu’Ugumori brisait ses pattes définitivement en visant les bons endroits. Dès que le « cœur » de l’araignée explosa, Ugumori empâla le monstre avec une de ses propres jambes, la traversant de part en part, avant que la bête n’écrase littéralement le Roegadyn en tombant dessus lourdement. Peu avant la destruction du Hicor, Livio s’était jeté sur Runne en encaissant des cristaux mauves projetés ici et là, balancés par l’araignée d’onyx.

Le Miqo’te était en train de lutté avec des spectres de samouraïs envoyés récupérés des corps pour Ikijin lui même, proche de l’accès de l’eau qui irrigait normalement ses terres et empêchait un tel maléfice. Pendant que son camarade en dessous luttait, Aerlin se concentrait sur la destruction des cristaux, il ne voulait qu’une chose : que la force de la nature présence jaillisse de nouveau soudainement. Après de moult efforts, une explosion soudaine apparue, et l’eau se mit à ruisseler à toute vitesse dans un énorme jet dès qu’Aerlin parvint à briser les cristaux qui bouchaient le passage. L’eau passa avec une forme en brisant ce qu’il restait d’adversaires à Runne qui les avait tailler en pièces avec diverses techniques, avant de filer venir en aide à Finaen face à ses adversaires. C’était du bon travail, l’eau coulait un peu partout autours de nous, et Livio fini par brisé brutalement le Hicor dont l’énergie fonça droit vers les flammes errantes dans les airs depuis le choc de l’autel. J’aurais voulu les aidé, mais je m’écroulais à genou quand la forme obscure me vola une bonne partie de mes forces, avant de disparaître comme si il avait été convoqué par sa sinistre maîtresse. Finaen vint à mon aide rapidement, pour me rendre des forces, et nous observions les flammes se glisser lentement vers l’Arbre-Gardien, avec la peur que tout ne soit réduit en cendre.
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Vous vous en doutez, cela n’advient pas. Eloise malgré son échec à empêcher les flammes de croître, luttait avec l’éther pour que les flammes ne s’échappent pas. Elle serrait les dents, souffrait vraiment, en essayant de l’attirer, jusqu’à ce qu’une sphère d’éther ne fuse à l’intérieur de la part de Runne. Cela créa un effet de grande confusion dans la magie, tournoyante, produisant des formes étranges, jusqu’à se stabiliser quand Aerlin souleva les flots en noyant littéralement l’ensemble. Quand l’eau pure rechuta subitement, il ne restait rien qu’une légère fumée errante en l’air, et le calme absolu autours de nous. Tous se réunirent, haletant, observant les nuages noirs autours de l’arbre ressemblant à un orage enragé, où on pouvait y voir des formes. Il avait diminuer en intensité, il était possible de foncer en travers, mais ça ne resterait pas sans rien. Après qu’Aerlin nous ait offert quelques soins, et Finaen n’ait revitalisé mes forces, nous nous enfoncions en vitesse droit vers l’Arbre-Gardien en faisant fit des menaces.

Ugumori progressait en avant à toute vitesse, les murs de cristaux avaient été grandement fragilisé par les grenades de givres de Livio amplifiée par la magie d’Eloise pour qu’elles puissent les fragilisés suffisamment pour que les tirs de Sorn qui nous avait recouvert d’un champ de déflexions, mêlés aux frappes de l’immense Kanabo du gardien, ne suffisent à brisé les barrières voulant nous empêcher de passé. Tandis que les éclats de cristaux éclataient au fur et à mesure, se reflétant avec les eaux qui reprenaient place à nos pieds depuis la libération des esprits environnant, j’avais l’impression de courir sur la mer elle même comme si nous étions au dessus des flots sans pouvoir nous y enfoncer, c’était un effet magnifique, qui se mitigeait dès qu’on levait la tête en observant les amas nuageux repoussé légèrement par les effets des vents de l’Egi tournoyant en vitesse avec les incantations chantées de Finaen. Pendant que Runne projetant des flammes carbonisait les silhouettes de Vodoriga que Sorn achevait en tirant dessus à tout rompre, je me chargeais des Masques qui se relevait après qu’Ugumori n’ait fracassé le sol d’un énorme choc de son arme. L’un essaya de tailler en pièce Finaen pendant que sa magie soutenait l’effet de purification intense d’Aerlin qui empêchait quelconque mal de nous arriver par les effets des mauvais sorts autours de nous. Il restait inconcevable que je le laisse toucher le moindre de ses cheveux, aussi ai-je foncé de l’avant après l’avoir tailler en pièce. Quittant les nuages tombant des feuillages de l’Arbre-Gardien, nous arrivions jusqu’aux faux trône que la démone qui tournoyait autours d’Ikijin s’était formée.

Dans le miroir, elle avait prit une vague figure Hingashienne d’une femme que le maître samouraï avait jadis aimé, désormais, elle avait sa véritable figure : Une succube, une créature de haut-rang dans les cercles maléfiques du Néant, installée avec sensualité sur ce trône de nuage prenant place dans l’arbre même. Les anciens gardes, un Treant et un Flèche Divine enfoncé dans l’écorce du Treant, erraient dans des gémissements et l’ombre vague de l’énergie résiduelle de l’Ancien se trouvait à côté d’elle, un sabre en main généré depuis qu’il m’avait volé de l’éther. Tous surveillaient les glyphes et les runes s’extirpant d’une sphère noire installé sur un monticule venant du Manoir des Haukke, l’ensemble semblait produire un effet autours de l’arbre et certainement un objectif qu’Ikijin n’avait cette fois pas eu le temps de préparer de quelconque sorte. Fonçant pour en finir, Runne et Eloise tentèrent de détruire dans un premier temps le Treant protecteur alors qu’une déflagration s’étendait le long de l’écorce prenant subitement feu. Le grondement sourd apparaissait, et le corps de la Flèche Divine se souleva légèrement en récupérant son arc, Runne voyant les noirs pupilles et sa bouche infâme, réalisant que c’était lui la source de corruption qu’il tentait de combattre. Sauver l’Arbre, plutôt que sauver l’Homme qui était déjà mort, était une évidence désormais. Faisant fit des flèches fonçant vers eux en blessant légèrement Eloise, c’est quand le Treant bondit qu’ils furent écrasés au sol la tête sous l’eau qu’ils purent ironiquement s’en débarrassé. Les bras du Treant les enlaçaient et les écrasaient au sol, leurs permettant à peine de relevé la tête pour respiré tandis qu’il voulait les noyés, mais les vents et le feu tournoyèrent autours de la carcasse de la Flèche Divine avant que l’effet de purification de Runne chantant les échos des chants de Locae ne fit jaillir l’eau droit vers le cadavre assaillit qui émit un hurlement puissant avant de disparaître définitivement, laissant le treant reprendre ses esprits en les récupérant dans ses mains pour les relevés doucement. Il devait payer, à mes yeux, c’était mon adversaire après ce qu’il m’avait fait subir.

Me ruant en vitesse vers l’ombre, nos lames se frappèrent de nombreuses fois tandis que je tentais de percé sa garde alors qu’il avançait lentement après que, paralysé par des piques rocheux sortant du sol de la part à Aerlin en taillant ses flancs, il fut bombardé d’éclat de lumière puissant envoyé droit vers son torse quand Finaen chercha à purifié cette essence perfide. Ramenant à lui Finaen et Aerlin dans un sortilège provoquant une lueur rouge infâme comme fumeuse dans sa main griffue, il blessa mes deux camarades en les envoyant dans l’eau brusquement, me laissant une ouverture pour frapper fortement contre son torse que j’avais déjà blessé. Se redressant doucement, Aerlin constatait l’ampleur de ce que le combat pouvait provoqué contre l’Arbre-Gardien, et une vive colère s’empara de lui. Une lueur d’un blanc puissant s’extirpa de ses yeux, fumante légèrement, le sceptre noueux rayonna et créant une puissante onde qui déferla autours de nous avec splendeur, donnant l’impression que l’arbre-gardien était devenu lui même un immense arbre blanc aux feuillages tombant en milliers de lueurs de feux-follets, créant une force de purification qui assaillirent nos ennemis. Profitant qu’il soit gêné et vacillant après l’onde, Finaen et moi luttèrent avec acharnement en subissant plusieurs coups de son sabre, entaillant mon ventre et frappant le bras de Finaen, jusqu’à ce que tandis que mon sabre lui tranchait la main porteuse d’arme, l’ouverture s’ouvrit. Et la rapière de Finaen se planta dans le corps de l’ombre, les éclairs d’un blanc purificateur jaillirent en désagrégeant de l’intérieur en poussant un hurlement étrangement réaliste pour un amas d’obscurité condensé sans réel conscience. Comme si lors de sa destruction, l’écho de son ancien douleur jaillit une dernière fois.

Et la Succube n’eut pas vraiment un sort plus enviable. Elle avait observer Sorn comme dans un flirt insidieux pour prendre le contrôle de son esprit, l’Elezen bégayant chutant au sol en la faisant gloussé d’amusement, avant qu’il ne relève son fusil pour tirer en même temps que Livio. Les munitions jaillirent et la frappèrent plusieurs fois, la laissant crispée de colère, avant que l’énorme Kanabo d’Ugumori ne frappe dans un coup de tonnerre. Brisant les ailes de la créature, en un choc intense en l’écrasant sur son propre trône. Elle se redressa, fait éclaté l’arme du Gardien d’Himitsu no Taki en éclat d’acier, avant de l’attraper au visage en lui taillant le flanc dans une blessure gênante. Essayant de le contempler visage contre visage, lui qui avait tout fait pour ne pas l’observer, il parvint à l’écraser de nouveau sur le trône dans un coup de tonnerre, pour la mettre pile dans la direction du choc céruléen que Livio avait propulsé vers elle, peu après le tir au cœur que Sorn avait parfaitement réussi. Se mêlant à l’onde d’Aerlin dans une lueur purificatrice puissante, le choc déferla sur elle et la brisa définitivement au cœur de l’arbre-gardien.

Après un instant de doute, Ugumori s’en extirpa, un Kanabo flambant neuf dans les mains, des ondulations de lumières apparaissant dans des gravures magnifiques dont l’essence faisait pensé au sceptre noueux d’Aerlin. L’effet du nuage d’orage se dissipa lentement, nous laissant voir de nouveau le ciel d’une journée magnifique alors qu’au dessus de nous, tonnèrent les canons de l’Aeronef en laissant Stanislas hurler à Sorn qu’il pense l’avoir battu à leur pari dans un jeu bonne enfant pendant qu’ils brisaient les derniers vodorigas tournoyant autours. L’eau aurait bientôt fait d’effacer les traces de cette lutte qui s’achevait enfin, tandis que nous nous reposions paisiblement. Avec une idée en tête – Bientôt, il faudra avancer vers le Manoir des Haukke. C’est là que définitivement, Ikijin nous attends. Mais pour l’instant, il me fallait me préparer à partir pour Sagoli. Semble t-il que la Mort de Fer ait encore à être arrêté. »
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Message par Akayane » 15 mars 2021, 12:55

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’éveil de la Mort de Fer."

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Cent-vingt-septième Entrée – « Acte 6 – Les Sabliers de l’Oasis.»
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« Voilà quelques temps que nous avons fait des recherches sur la Mort de Fer et Karol resta longtemps auprès de la Tribu des U, des Immortels voir même des Amalj’aa pour essayer de détruire les machineries de Sagoli. Avec l’espoir d’atteindre des nouvelles positions de la Mort de Fer, mais il semblerait que quelques soient leurs destructions, ils reviennent au même endroit. Ce trou béant sous le sol où nous avons récupérés les mémoquartz et découvert l’installation d’où un démon avait du s’extirper d’une faille en train de se clore. Ce qui veut dire hélas, bien que la bonne nouvelle soit que la plus part des problèmes auraient donc été repoussés, que l’ennemi n’était pas encore prompt à se dévoilé à nous, terré on ne sait où dans l’immensité avec peu d’indices pour mettre la main dessus. Je suggérais qu’on pouvait essayer de retrouver la trace du démon, mais ni les mémoquartz, ni les possibles rituels pouvaient nous permettre de retrouver ce dernier où qu’il pouvait bien se terré. Dans les faits, nous nous sommes retrouvés dans l’Oasis des U avec pas grand-chose de plus à nous dire qu’on était malheureusement mal menés par le manque d’informations malgré les dernières actions de nos compagnons – Karol qui se reposait contre une pierre, jurant qu’elle ne quitterait pas cet endroit tant que la Mort de Fer y rôderait, avait bien travailler pour être sûr que les câbles souterrains ne mènent pas ailleurs. Tout allait droit vers le cœur que nous avions visiblement brisés, et les Mémoquartzs de Finaen n’amenait pas grand-chose de plus.

L’équipe était principalement constituée l’Eyri à cette mission, après nos différentes affaires, la plus part n’était simplement pas en état de partir en mission et nous nous sommes donc retrouvés à cinq compagnons pour cette mission qui allait s’avérer bien plus dangereuse qu’attendue. Si j’avais rejoins tôt Karol, il y eu encore et toujours des magiciens avec la venue de Finaen, Runne et Lalavyr Lavyr que je n’avais pas vu depuis longtemps. Les quatre ayant beaucoup capacités différentes, toutes liées à l’éther, ce qui pourrait nous permettre de réglé les problèmes efficacement, mais c’est l’effet de nos ennemis qui allait apparaître bien suffisamment tôt. D’un coup, si le temps était désagréable et particulièrement chaud, il devint d’un coup glacial. Le sable continuait à s’infiltrer partout dans le souffle du vent local, mais notre souffle expirait de la buée et le froid gênant. Si ce n’était que ça, nous aurions pu commencer à rechercher la raison de ce changement, mais elle nous tomba dessus avec force – Des effets d’éthers souillés, cherchant à s’insinuer dans nos esprits en des nombreux murmures qui ne cessaient de venir nous assaillir de plus en plus. Tout nos mouvements étaient ralentit, comme si ils essayaient de nous figés, ce qui n’avait pas manqué avec de bien nombreux des Immortels et des habitants locaux bloqués dans le temps. Des filins d’éther se reliait à quatre position précise dans le village, - à savoir la cascade, la demeure du Nunh où il n’était heureusement pas ce jour là, une demeure civile et la caserne des Immortels. Nous aurions bien pu agir en vitesse, une fois que Karol nous délivra dans une lueur d’éther puissante qui recouvrit les environs pour nous extirpé de cette phase infâme qui nous bloquait complètement.

Mais Lalavyr quant à lui était en péril, il était directement impacté par cette force et je progressais dans sa direction pour essayer de l’en libéré en scellant son éther pour qu’il ne soit plus impacté. Finaen soutenant la manœuvre de Karol, et alors que tous étaient définitivement libérés de cette influence, le premier à réagir fut Runne qui se catapulta à toute vitesse vers la demeure qu’un Immortel allait ouvrir. Percutant ce dernier, et plusieurs autres, qui chutèrent à peine à cause de l’effet les bloquant dans l’espace, il écrasa le soldat contre la porte qu’il allait ouvrir en dévoilant une brume noire lugubre qui tourbillonnait au cœur de la bâtisse. Et ce n’était pas la seule ! Chacun des filins se liaient d’un coup à une de ses brumes noires, et la problématique étant qu’au vue de l’absorption d’éther actif, plus cela durerait, plus des personnes seront affectés par de tels maux, et à toute vitesse nous avons rejoins les différents objectifs. Si Runne était déjà arrivé dans la caserne des Immortels, pour ma part ma cible était avant et surtout la demeure où des civils se trouvaient tandis que Karol était parti en vitesse voir si le Nunh de l’Oasis ne risquait rien. Il n’aurait pas été étonnant qu’un des combattants ayant jadis affronté Titan ait été prompt à se défendre, mais on ne sait jamais ce que les maléfices sont capables de faire après tout ! Quant à Lalavyr suivi par Finaen un peu confus dans la situation précise, partirent de leurs côtés droit vers le point d’eau dont les solaires profitaient pour se ressourcer et reprendre des forces.

Foncer à toute vitesse était ma priorité, et qu’il était plaisant de se sentir si légère après avoir subi l’écrasement infâme de cette affliction touchant l’Oasis. Parvenant jusqu’à la fumée, je n’avais que mon sabre avec moi, et je gavais d’éther le coup que j’escomptais porter dans une puissante lueur en cherchant à fendre la magie active, jusqu’à ce qu’hélas ce dit éther n’ait été grandement diminué par cette brume comme les nappes protectrices des Chasseurs des Brumes. Au moins, cela dévoila ma cible apparaissant lentement à travers les couches d’obscurités, dévoilant une sorte de grande sablier ressemblant à une parodie infâme d’une réalisation d’un orfèvre efficace. Les grains de sable tombant en des lueurs étranges se liant aux locaux en cherchant à tirer leurs éthers mémoriels pour s’en servir. Et alors que je me préparais à frapper de nouveau, l’Ombre du Miqo’te fit surface. Les Sabliers n’allaient pas se laisser faire si facilement.
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Pour plusieurs d’entre nous, la situation avait été bien plus facile que pour la notre, surtout pour Lalavyr et Finaen. Ils avaient été deux pour essayer d’arrêter ce qui se déroulait là-bas, et Lalavyr eut rapidement la bonne solution. Tandis que Finaen le protégeait des ombres s’approchant d’eux, il tissa un dôme reluisant d’une puissante agréable en empêchant tout les filins d’éthers néfastes de poursuivre leurs corruptions. Ce qui éloigna toutes les personnes affectés de ce vol d’éther, les miqo’tes qui se baignaient, affaiblit, chutèrent brusquement dans l’eau inconsciente et rapidement, Finaen et lui purent détruire définitivement cet étrange sablier propulsant du sable un peu partout en une grande déflagration reluisant de loin. Bien qu’ils s’étaient bien aisément débarrassé de leurs cibles, et si Finaen vint en ville vérifier que tout allait bien pour tout le monde avant de s’intéresser à la situation de Runne qui avait comme moins bien plus de difficulté, Lalavyr jouant son rôle de soigneur en restant avec les Miqo’tes. Il aurait été dommage de les sauvés pour les laissés se noyés n’est-il pas ? Ce dernier les installant relativement confortablement contre les pierres environnantes maintenant qu’elles étaient en sécurité. Du côté de Karol, il n’eut aucun mal à purifier le sablier directement afin d’arrêter toutes énergies du néant, ce dernier cessant d’un coup de fonctionner dans une lueur puissante. Toutes les forces coupées dans la demeure, il pu sortir en vitesse, mais hélas il ne pu être que témoins que Runne et moi avions bien plus de difficulté alors. J’ignore comment Runne s’en était sorti pour se faire éclaté le genou, puisque nous n’étions pas à côté, mais il avait réussi son coup – son adversaire avait du être plus pernicieux qu’il ne s’y attendait !

L’ombre de son adversaire plusieurs fois vint à sa rencontre pour le défaire, et à chaque fois il rendait coup pour coup vers le sablier pour s’en débarrassé définitivement. Jusqu’à y parvenir, relativement peu de temps avant moi, qui avait éprouvé une force difficulté avec mon adversaire. Au début, je pensais que cette brume cachait un possible corps, aussi avais-je décidé de ne pas la tuer si il y avait une innocente à sauvé la tête. Un grand coup de pied l’écrasa contre le sablier, et ma lame perça le verre en abîmant le centre de celui ci. C’est là que je me suis rendue compte de mon erreur stupide, et l’ombre de la solaire enfonça ses griffes de combat dans mon ventre, rouvrant ma récente blessure de la dernière mission. Levant lentement ma main, je l’embrochais littéralement en retour avec ma lame de brassard bien plus grande alors, et un pique terrestre inattendu comme une flèche jaillit pour frapper la Miqo’te au bras avant que sa griffe ne me tombe dessus.

Déstabilisée, blessée, il ne me restait plus qu’à trancher et le sablier ainsi que l’ombre furent brisé dans le choc intense. Il s’agissait du dernier, je descendais difficilement en ayant une main sur le ventre dont la blessure était contenu par l’état d’un second souffle, tandis que mes compagnons se réunissaient de plus en plus dans ma direction en s’occupant de Runne à son tour, tous restèrent confus de la situation si brutale. Avec l’habitude de partir au contact de l’ennemi, c’était moins habituel que ce soit l’ennemi qui nous tombe directement dessus ! Mais l’énergie refluait grâce aux derniers sabliers mineurs droit vers l’intérieur du tunnel menant au Malm du Minotaure, bien que les locaux reprenaient lentement leurs consciences, il était certains que cette force allait se reproduire et essayer de voler l’éther des locaux de nouveau. Finaen s’occupant de ma blessure au ventre me permit d’avoir suffisamment d’énergie pour essayer de progresser avec tout le monde, et partant en avant, il était temps d’arrêter l’assaut d’un nouveau genre qui était pour l’instant bien plus lié aux forces du néant qu’aux mécanismes allagoises. Ou du moins, je le pense ? Ses sabliers, qu’étaient-ils, que désiraient-ils donc produire  et comment avaient-ils été formés ? Je me posais une telle question, alors que de nombreux apparaissaient autours de nous. Greffés sur les parois rocheuses, le sable des souvenirs glissant doucement de manière presque hypnotique en essayant de récupéré petit à petit un peu de notre mémoire pour nous ramener des moments particulièrement désagréable.

Tous allaient en souffrir quelque peu, mais ça n’était pas là les seules menaces. J’orientais mon sabre vers les ténèbres avec l’impression que les protecteurs des sabliers allaient réapparaître, les ombres volées des victimes qui voudraient nous arracher à notre position de leurs griffes, et dans l’obscurité nous avons un avantage grâce à nos cornes, nous, Au’ra. La perception de l’environnement est quelque chose d’efficace, ressentir la masse environnante, sa densité, sans avoir la moindre idée de ce que la vue pourrait permettre d’observer. Un bras brumeux d’une ombre saisit Runne, et je me chargeais de la trancher aussi tôt. Au fur et à mesure, elles allaient devenir de plus en plus nombreuses, et c’est en tournant la tête vers un des sabliers qu’un profond malaise s’installa quand j’observais la silhouette du Seigneur des Amalj’aa incarnés à l’intérieur de l’ossature des enfers que portais Urdhan Rah pour devenir une incarnation même de son dieu. Les visions du passé nous rattrapèrent au fur et à mesure, et notre épreuve fut donc de ne pas devenir fou tout le long du passage nous menant au cœur du Malm du Minotaure où la puissance de la Mort de Fer même nous attendait cloîtré dans la montagne. Nous étions enfin sur le point d’en savoir encore plus sur ce qui avait provoqué la naissance de cette forme démoniaque, et je réalisais enfin que j’avais raison d’imaginer le pire sur ce que le Pacte des Allagois avait finalement formé depuis qu’ils tentèrent de dominé le néant même. Ce ne fut pas leurs œuvres qui fini par créer une synergie entre la puissance du néant mêlé à leurs créations incroyable. Mais c’était bien une entité démoniaque qui avait trouver en travers la Mort de Fer, une incarnation de métal plus puissante qu’il n’aurait pu l’espérer avec seulement du sang et des os. Et désormais, elle cherchait à se nourrir de notre éther.
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Le transit vers l’intérieur du tunnel du Malm du Minotaure fut plus périlleux pour nos esprits que pour nos corps physiques. Nos armes et nos sorts écartèrent les menaces des ombres à chaque fois qu’elles s’étendaient doucement vers nous, mais les reflets des sabliers dévoilant les morceaux de mémoires qu’elles convoitaient nous rappelaient sans cesse les dangers environnant. Et la convoitise du démon. Il n’y avait pas que nos souvenirs, certains avaient déjà été arrachés lors de l’attaque de l’Oasis avant que nous puissions libérés les locaux. Et pour attiré notre esprit vers les effets de la malédiction, les murmures d’une voix infâme ne cessait de revenir à l’assaut de nos pensées pour essayer de nous forcer à accepter, toléré cet état de fait. Celui que nous étions perdu, que nous ne pouvions échappé à un destin sinistre qu’elle cherchait à nous faire concevoir, réalisé, celui qui était inéluctable. Faisant fit de ses provocations, échappant aux innombrables visions de ce qui nous à fait souffrir en laissant une tare dans nos pensées. Nous avons finalement atteins le fond de la montagne permettant d’atteindre aisément l’Oasis des U.

Au coeur de ce passage, un immense sablier se retrouvait protéger et nourri par les filins d’éthers de plus petits sabliers que nous avions tous perçu dans le village, sauf que ceux ci ne contenaient pas que du sable. Il y avait à l’intérieur des habitants coincés dont l’énergie était au fur et à mesure captée alors qu’ils se faisaient volés leurs éthers mémoriels pour offrir cette force au sablier principal. Des démons communs, les fines créatures portant une faux, récupéraient les malheureux et les installaient dans les sabliers pour créer des sources de pouvoir. L’ensemble protégeant ce qui était offert à la Mort de Fer, deux machineries Allagoises dévoilant enfin les traits des machines mêlés aux airs de démon qu’ils finiraient par avoir. Deux fines machineries, des lignes concentriques d’énergies du néant passant à toute vitesses sur leurs carcasses donnant l’impression qu’elles furent battis à partir de l’image même des démons que nous avions affrontés régulièrement avec les créations d’Allag. Aussi tôt, nous foncions avec Finaen pour occupés les machineries, entités les plus dangereuses ici au vue de leurs forces galvanisés par la technologie et le néant. La rapière frappait sans cesse contre l’acier, tandis que je tentais de passé outre la garde de mon adversaire en visant le cœur de la machine. Runne se chargeait d’essayer de sauver le civil de gauche, et Lalavyr les civils de droites, pendant que Karol se focalisa un instant sur le sablier principal où l’essence de la Mort de Fer s’accumulait de plus en plus en risquant de créer une faille. Mais protéger par l’essence volée des habitants, s’était pour l’instant vain d’essayer de tout détruire et les démons assaillirent nos compagnons pour essayer de les attrapés et de les conduire à l’intérieur des sabliers pour en faire des nouveaux rationnement.

Combattre les machineries était bien plus compliqué qu’attendu, et elle faillit m’écraser la figure encore et encore de ses poings si Lalavyr n’avait pas émit une impulsion puissante dans un choc d’éther élémentaire qui arrêta sa ruée. Manipulant le choc élémentaire, il émit un froid profond qui emplit la machine d’Allag en ralentissant ses mouvements, j’en profitais alors pour tailler une fente au cœur de la machine pour produire une flamme intense qui fait exploser le froid intense en envoyant des morceaux de la machine un peu partout. Runne se fit attraper la jambe, avant d’être écrasé par terre par le démon avant d’être rapidement soutenu par Karol qui se fit volé des souvenirs par un des sabliers. La lutte contre les démons était acharnée, Finaen toujours coincé contre son adversaire en accumulant quelques blessures, ne pouvant pas encore venir soutenir les deux équipes sur les flancs. Après la destruction de mon adversaire, je ne pouvais absolument pas laisser Lalavyr attaqué par un des démons gardiens sans rien faire, m’opposant à sa faux en de nombreux coups de lames pendant que Lalavyr tâchait de s’échapper du sablier dans lequel il avait été balancé par la créature monstrueuse. Ce qui ouvrit la garde de mon ennemi avec qui nous luttions, fut un sort étonnant : De la lave apparut subitement, sous ses pieds, me permettant dans sa surprise de le trancher littéralement en deux tandis que ses morceaux fondaient sous les effets du sort puissant du Lalafell s’extirpant avec un Roegadyn du sable qui commençait à vouloir les noyés. Runne s’était débarrassé avec Karol de l’autre démon, et allaient tout deux foncer vers le Sablier principal maintenant qu’il était possible de s’en occupé.

L’adversaire de Finaen, isolé et seul face à nous tous, décida qu’il allait décharné son énergie entière pour se débarrassé de nous définitivement – des éclairs du néant jaillirent un peu partout, frappant certains de nos compagnons, produisant des chocs répétés jusqu’à ce que je parvienne à l’atteindre en dansant au milieu de la foudre pour frapper sa lame, diffusant à travers de véritables éclairs remplaçant les forces du néant qu’il utilisait. Aussi tôt, Finaen se saisit de la faille, et brisa la machinerie subitement en laissant Runne, Karol et Lalavyr détruire le sablier dans un vacarme assourdissant. A l’intérieur, la faille était désormais visible, le sable rayonnait et tournoyait vers le passage en nourrissant d’éther mémoriel la Mort de Fer elle même qui se retrouvait au cœur du dispositif allagois pour prendre encore et toujours des forces, une griffe monstrueuse quittant la fracture du voile pour se saisir de toutes cette énergie. Nous ne pouvions pas le détruire, et il aurait été suicidaire de se jeter dessus. Un chant purificateur se mêla aux effets de Runne et Lalavyr pour le repoussé et l’empêcher de saisir l’éther mémoriel, hors de question qu’en plus de nous échapper, il en profite pour se renforcer. Et c’est là qu’une idée me vint, ou devrais-je dire, un pari. Récupérant un des Shikigami d’éther céleste de Moutah Pontah, en le faisant tournoyer autours d’un Kunai, j’y gravais un sceau pour que cette partie d’énergie personnelle se grave dans l’incarnation démoniaque elle même afin de pouvoir l’atteindre où qu’elle se terre dans le désert. Un lys blanc naquit sur le Kunai, pour qu’il puisse traverser les forces du démon en même temps qu’une projection tranchante de mon sabre.

Le hurlement de la Mort de fer résonna encore un temps après que le sceau ne soit déposé, blessé par le mélange d’énergie qui le brûlait intérieurement, nous maudissant milles fois pour nos actes. Désormais, manger et grandir n’était plus sa priorité. Sa priorité était devenue de nous détruire, de nous pulvériser dans d’atroces souffrances alors que lentement la faille venait à se fermer en faisant la promesse de nous détruire. Tout revint à la normal, et les civils ayant subi son attaque mental reprenaient petit à petit leurs esprits. L’Oasis resterait sauf. Et après qu’il ait sans cesse attaqué depuis le désert de Sagoli, il était temps pour nous d’aller directement confronté la Mort de Fer. Il avait enfin dévoilé ses intentions : Notre énergie, notre éther, notre force, il désirait les offrir à un être tout aussi infâme : Tsakyoki, le Nuage noir. Faisant réalisé pourquoi certaines créations du nuage noir étaient inspiré des machineries d’Allag de la Mort de Fer, les deux entités du néant étaient liés, et pour acquérir ses faveurs, la Mort de fer ferait tout pour nous offrir au nuage noir. Hélas, j’ignore si il en est conscient, mais nous savons où il se terre. Notre prochaine mission face à lui, nous mènera donc directement vers le Labyrinthe rouge plus au nord. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 17 mars 2021, 13:09

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La lignée maudite des Delatour."

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Cent-vingt-huitième Entrée – « Acte 5 – L’Aurore aux noirs mutations. »
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« Après avoir pu mettre la main sur les informations de la Mort de Fer, l’étendue des forces de Tsakyoki continue de nous surprendre. Maintenant que nous sommes prêts à atteindre le Labyrinthe rouge, il est avant tout lieux d’en finir une bonne fois pour toute avec Ikijin lui même afin de débarrassé Eorzéa de l’influence directe du Nuage noir. Bien d’autres affaires nous apparaissent lentement, témoignant que nous risquons d’avoir bien à faire par la suite, mais avant toute chose, il nous fallait répondre à l’appel de Corvus Vendex : des nouveaux problèmes concernant la Lignée des Delatour sont apparue il y à peu. Ainsi, c’est de nouveau dans la Noscea au grand bonheur de N’lamahni, que nous nous sommes retrouvés. Mais cette partie de la Noscea restait surprenante, car nous allons nous enfoncer dans un recoin de jungle laissant de nouveau penser aux expéditions dans les forêts dont nous avons tant l’habitude désormais que nous sommes plus ou moins des vétérans du Sombrelinceul. C’est au Port-au-Vin où nous avons pu nous regrouper, laissant le temps du briefing de Corvus en attendant que notre protecteur massif, Ugumori, n’arrive au lieu de regroupement.

L’équipe fut constituée de celles qui étaient particulièrement concernée par cette chasse à la malédiction, Teris & Vaule, ainsi serait-elles principalement nos supports magiques. Pour s’occuper de nos blessures, Kyuuji et Tinea feraient la bonne pairs de soutiens en nous offrant les astres et les forces de la nature. Et pour le voyage, afin de nous débarrassé des problèmes, il y aurait Sorn et N’lamahni avec moi pour frapper fort les problèmes sur la route ! La découverte n’était pas vraiment des plus tendre, et en dégoûtât plus d’un. Un corps humain avait été découvert ouvert comme une mue et abandonnée par terre par la créature qui était partie après sa mort. C’était quelque chose dont nous étions hélas conscients, les corps ne sont jamais plus que des nids où poussent les horreurs convoqués par l’entité ayant prit le contrôle du corps du Père des Delatour. Aussi devions nous en rester attentif à tout ce qui serait en vue, jusqu’à atteindre le corps de Malar qui avait été enlevé. Bien que nous devions être conscient que ce qui se trouverait à l’intérieur ne serait pas vraiment heureux de nous retrouver dans ses basques. Salués par le Maëlstrom à notre départ de la ville, le temps était doux, léger, agréable, et la route fut en grande partie empruntée sans le moindre mal pendant que nous discussions avec Sorn d’un sujet important pour lui évité une mort stupide à l’avenir.

C’est le cœur léger que nous avons fait route, jusqu’à nous approcher du cœur de cette jungle solitaire d’où N’lamahni prenant la tête en jouant au guide nous décrit les nombreux dangers notamment de la faune et de ses bêtes meurtrières. Et la première que nous avons rencontré surpris la jeune miqo’te car elle avait été massacrée. Selon elle, un Gobbue aurait pu faire ça, mais ce n’était pas leurs manières d’ainsi massacré la bête caparaçonnée avec des dents effroyables. Nous étions donc sur la bonne piste pour aller à la rencontre de nos ennemis en lui laissant un air plutôt inquiets, perplexe. Il faut dire que la créature était impressionnante, et si il fallait retenir une chose, c’était de nous faire qu’il fallait faire attention à leurs dents avant qu’ils ne nous éparpilles en morceaux. Un convoi avait aussi été attaqué, et pendant que mes compagnons prenaient garde où ils mettaient les pieds sur un grand pont de pierre menant droit vers notre destination, je me penchais pour inspecter le sol en vérifiant qu’elles pouvaient être les raisons de cet acharnement. Des tonneaux d’huiles enflammées avaient été dévastés, étalé au sol, et c’est là que me vint autant la raison que les moyens de se servir d’une tel information. Ils ne sortaient que la nuit, il est probable qu’ils aient empêchés une cargaison de moyen de produire de la lumière pour enlevé les gens environnant ! Fort de cette ressource, plus nous progressions vers notre destination, plus les sens éthérés de nos compagnons étaient soumis à rude épreuve – Même moi, je ressentais vaguement ce manque environnant comme si l’éther s’était tout bonnement dissipé dans les parages.

Et plus nous progressions, plus cet éther manquant se faisait sentir autours de nous, ce qui fit que je peux vous assurer que tout le monde était sur leurs gardes. Ugumori en tête, suivi de peu par une N’lamahni dans son dos pendant que je fermais la marche avec Sorn qui perdit peu à peu son humeur aux farces. Un premier appel se fit entendre venant d’un homme dont le torse avait été lacéré par un coup de griffe des plus profonds. La plaie était clairement mortelle, et il n’aurait que peu de temps avant de finir comme le morceau à moitié arraché d’un pauvre bougre étalé dans une flaque de sang. Plus loin, la terre semblait brusquement avoir été renversé, bousculé, et c’est là qu’Ugumori approcha en vitesse sous le regard de Sorn pour inspecter les environs. Il avait retenu un élément essentiel du briefing que j’avais moins considéré pendant que Corvus nous parlait de notre objectif de ce soir. Et il avait bien fait. Car il savait que l’ennemi allait venir du sol, et à vrai dire, il ne tarda pas tant que ça à dévoilé ses cartes pendant notre inspection des environs. Et pour l’instant, nous étions simplement en train d’essayer de sauver une vie. Aujourd’hui, N’lamahni à fit l’expérience d’une amer découverte : Celle de réalisé que parfois, nous ne pouvons pas sauver une personne condamné, même si cela nous arrache le cœur de devoir l’achevé nous même.
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Dans l’immédiat, elle surveillait nos guérisseurs faisant un travail toujours aussi impressionnant. Instinctivement, Kyuuji usa des forces que lui apportait Tinea pour renforcer ses propres soins, une lueur d’argent naissant comme si les étoiles réagissaient aussi aux forces élémentaires qui arrêtait la blessure au torse de l’homme. Celui ci reprit conscience, braillant qu’ils revenaient, laissant réalisé que nos ennemis étaient plusieurs à risquer de venir subitement nous assaillir. L’homme s’agitait brusquement, de droite à gauche, avant que ses entrailles ne se mettent à se déplacer à toute vitesse quand Kyuuji inspectait qu’aucunes mutations internes n’avait lieu. Il avait trouver juste, et la créature qui voulait prendre la place de celui qu’ils auraient du sauver commencé à muté en déchirant de plus en plus sa peau. Sans même avoir à se levé, Kyuuji réfléchissait sur ce qu’il devait faire, Tinea écrasa sous la gravité dans une lueur verdoyant l’entité au sol, la contenant de plus en plus pour l’empêcher d’effectué le moindre mouvement. A cela, même si c’était particulièrement difficile pour quelqu’un d’aussi jeune, N’lamahni planta sa javeline droit dans les entrailles de l’homme à un point vital lui offrit une mort aussi soudaine que rapide, expiant sans douleurs si tenté que la chose naissante avec son corps pouvait en ressentir. De mon côté, je n’avais pas attendu, pendant que Teris et Vaule inspectaient le corps et identifiait l’éther qui se trouvait à l’intérieur en réalisant la menace et en ressentant celles qui approchaient de cette façons, mon sabre coupant en quatre morceaux cette carcasse en laissant le sang noir couler doucement au sol après mes coups.

Le gémissement de douleur se partagea avec ce qui approchait de plus en plus, et s’écrasant lourdement derrière nous, je ne pus prendre le temps de me satisfaire de cette réussite. Les créatures mutés, celles aux stades finales de leurs évolutions démoniaques, ressemblant comme à des bipèdes aux grondements sourds de hyène, des bouches parsemées de crocs sur une peau immonde recouvertes d’yeux. Sa gueule était impressionnant, pour avoir dévasté ainsi l’insecte géant qu’avait vu N’lamahni, et Sorn n’échappa que de justesse au même sort en tombant sur le fessier devant la surprise de l’apparition de cette chose. Récupérant son fusil à toute vitesse, il fit feu comme il pouvait en laissant les munitions transpercer la bête plus d’une fois. Inquiète par les flammes que Teris & Vaule étaient sur le point de faire jaillir en dessous, elle ne prit dès lors même pas la peine de ressentir que je venais de bondir au dessus. Sautant et bondissant sur le haut de la tête de Sorn sans émettre le moindre bas, je finis la manœuvre en ayant littéralement décapité la créature dont la tête de scinda du corps en prenant feu dans les flammes de Teris & Vaule. La dernière qui allait repassé par les souterrains, avait clairement été attendu par Ugumori lui même. Le massif guerrier du tonnerre avait préparé sa venue, et quand il s’extirpa, ça ne fut que bien plus efficace encore : Car Kyuuji avait levé le bras, peu envieux d’être celui qui porterait le coup fatal à l’homme qu’il avait soigné un instant plus tôt, laissant ce triste fardeau à notre jeune amie. Il leva un amas de pierre dans une lueur orangée qui encercla la créature, l’offrant au Kanabo d’Ugumori qui ne se fit pas prié pour détruire cette chose dans un coup puissant.

L’éclair frappant avec sa nouvelle arme en dévastant le démon qui s’écroula lourdement au sol, massacré par le choc puissant qu’il venait de subir. Si ils avaient été détruit, ça n’était là que le début, il fallait se concentré et même N’lamahni trouva le courage de s’en remettre à toute vitesse pour se réunir avant de partir. Je comprenais leurs dégoûts, car je ressentais le même : Celui d’avoir vu la personne censée être sauvée devenir dans nos bras un monstre à abattre. Et il y en aurait d’autre, peut-être même certains allaient se faire transformer à l’instant pour remplacer les deux cauchemars que nous venions de réduire en cendre. Ainsi, il fallait avancer, mais cette fois je ferais en sorte d’avoir de quoi nous protéger d’embuscade : Enflammant un morceau de bois, ils craignaient la lumière et je ferais en sorte que celle ci nous sorte des mauvaises passes. C’est dans l’obscurité nocturne que nous nous sommes enfoncés dans la jungle en observant les environs. Quelque chose se passait, c’est certains, N’lamahni pensait y voir la faune habituelle mais les rares bêtes que nous avons perçue étaient déjà toutes en train de s’enfuir à toute jambes pour évité ce qui pouvait bien se trouver au bout de notre voyage. Au fond, ça nous donnait une route, mais il n’y avait rien de plaisant à progresser droit vers ce qui pouvait effrayés les immenses grenouilles de ce recoin isolé de la Noscea.

Progressant aux coudes à coudes avec Ugumori, Sorn non loin portant son fusil et l’orientant dans les environs, les soigneurs furent installés au centre quand nous avions l’impression que l’ennemi pouvait sortir de toutes part alors que je brandissais mon flambeau ardent en espérant que rien ne nous tombe dessus. Tout le long de la route, il y eu cette pression, des ondulations dans des flaques d’eau témoignant du danger qui se trouvait autours de nous. Une lueur mauve, au fond de cette jungle isolée, fit jaillir un espace ouvert au milieu de la végétation où nous attendait ce qui irradiait autours d’elle. Cette fleur était magnifique, d’un mauve que je n’avais jamais encore vu qui se hissait au dessus des eaux fangeuses de ce recoin marécageux comme une pièce rare que la nature saurait offrir. Mais alors qu’ils étaient encore conscient de l’éther environnant, ni Kyuuji, ni Teris, ni Tinea, ni Vaule ne purent trouver cela rassurant. Cette fleur empestait le mal. Et nous allons vite découvrir à quel point c’était vrai, tandis que tous s’approchaient du cœur des noires mutations de ce marais perdu.
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Heureusement, les prisonniers n’avaient pas encore tous été transformés et condamnés par l’étrange Prêtre qui se tenait devant la cage. Ils étaient quatre, et même si on devait craindre que le processus de mutation ne leur était déjà inoculé, essayer de les protéger était tout ce qu’il fallait faire de plus urgent. Ce qui m’intriguait, restait cet homme, un homme en coule noire qui ne semblait peut-être pas être Malar tandis qu’il s’approchait dangereusement de la cage en faisant fit de notre présence. Les bêtes elles, réagirent, deux de ses sortes de démons aux dents acérés tournèrent la tête aussi-tôt vers nous pour protéger la grandiose fleur mauve qui irradiait d’une lueur intense au loin de nous. Tinea voulait qu’un brûle cette fleur le plus vite possible, malgré sa splendeur, c’était bien là une présence démoniaque comme elle ne voulait pas le supporter. Pour l’heure hélas, tous étaient plus qu’occupé ! Je balançais ma torche vers les deux entités malsaines, ce qui eu l’effet escompté de les faire aussi tôt reculé devant la lumière que produisaient les flammes du flambeau. Rapidement, la gravité fut manipulée dans une ondulation d’énergie grandiose pour essayer de bloqué les créatures au sol, les écrasant pour que dans une lueur terrestre Kyuuji ne tente de les écrasés au sol pendant qu’Ugumori frappa de son kanabo les bêtes criblés des tirs de Sorn afin de les abattre le plus vite possible. Elles étaient acculée contre la fleur mauve, blessées et coincées par les effets de magies empêchant tout moyen de passage en les coinçant au sol. Pour ce qui résidait dans cette plante, les monstres gardiens étaient devenu des poids, inutiles et vains, ainsi les racines s’étendirent pour récupéré les carcasses enlacés par les sorts en les dévorant soudainement sous les yeux de tous. Juste avant que ne naquit l’entité qui allait nous assaillir, le Prêtre fut mit à terre.

Envoyant un pique de glace, celui ci fusa droit vers le visage de l’homme alors qu’il approchait de la cage : Teris & Vaule souhaitèrent attirer son attention, et je dois dire que si le sort n’eut pas la puissance attendue, elles avaient réussie leur coup. Permettant au Shuriken de N’lamahni de fuser droit contre son torse, lui laissant une grande entaille, qui j’admets me surprenait. Ça n’était pas un simple cultiste, et j’avais cela dit toujours en tête d’essayer de l’assommer pour avoir des réponses à l’avenir, mon pied s’écrasant sur son crâne en l’envoyant au sol à toute puissante. Une personne normalement constituée aurait eu potentiellement la tête brisée en morceau, j’avais peut-être frapper un peu trop fort, mais une tentacule s’extirpa de sa robe en essayant de rejoindre la cage. Tranchant brusquement cette dernière, restant entre le prêtre et ses proies, mon sang se glaça tandis qu’il tournait la tête. Dévoilant enfin ce qu’il avait sous cette capuche : Un masque, recouvrant la moitié de son visage, l’autre moitié dévoilant trois yeux mauves infâmes. Un Masque de Tsakyoki, un de ses infâmes mages offert au Nuage noir. Mon sang se glaçait à mesure que je constatais que ce maudit démon aidait encore aux œuvres démoniaques du moment.

Les sorts de Teris & Vaule, mêlés aux lames de vent de Kyuuji, bombardèrent le Masque en des déflagrations puissantes renforçant les vents de Kyuuji, et au dépit de ma santé, mon sabre lui fendit la tête en deux dans un grand coup rapide. La déflagration aérienne m’écrasa soudainement contre la cage, très douloureusement, tandis qu’il disparaissait lentement en tas de lambeau. De la fleur mauve, j’observais enfin la proie sortie de là : Aurore, un des démons du parchemin de Mach que Finaen avait découvert, étendait sa splendeur odieuse face à mes compagnons. Elle avait produit une sphère néfaste qui avait ralentie Ugumori brusquement dans un impact mauve puissant, ainsi que Tinea si je me souviens bien, car ma vision était particulièrement floue à ce moment là après le choc. Ils luttaient, mais Aurore renvoyait coup pour coup jusqu’à ce qu’elle étende doucement ses bras, pour essayer de dévorer notre éther.

L’odieuse démone étendit ses quatre ailes, les deux queues mauves se mêlant à ses écailles noires rayonnantes de pulsions d’un mauve infâme tâchait de nous briser intérieurement, et si mes camarades se mirent en position pour supporter le tout sans trop de mal, Kyuuji sauva la vie en vitesse de Sorn en dressant une paroi protectrice afin de l’empêcher d’atteindre notre allié. Isolée comme j’étais proche de la cage, j’avais eue à peine le temps de me relevé en tranchant brusquement l’ouverture de la cage en disant aux prisonniers de rester ici, quand vint le sentiment douloureux d’une griffe essayant de se serrer sur mon cœur. Il voulait mon énergie ? Il n’avait qu’à la prendre. Tirant un des Shikigami d’éther céleste de Moutah, j’y mêla le miens pour qu’elle se gave de cette force nocive et purificatrice pour elle. Son hurlement de douleur résonna à toute puissante quand elle leva la tête, c’est qu’il était temps d’agir. Dans une ruée puissante, Ugumori écrasa son kanabo une nouvelle fois sur la démone dans un choc puissant et rayonnant, laissant Sorn s’occuper de nos alliés en tirant quelques fois, soutenant Tinea pour qu’elle puisse nous renforcer. Ses cartes volèrent, et l’une me gagna en même temps, ressentant cette force me revenir, cela se mêla et renforça à merveille l’énergie que Kyuuji venait de m’infuser dans une puissante lueur regorgeant mes muscles et mon éther de pouvoir pour prodiguer un Gyoten qui me propulsa droit vers ma proie. Dévastée par le choc du Kanabo foudroyant, elle fut criblée par les couteaux de N’lamahni avant qu’avec son grappin, elle ne se propulse vers la nuque de la démone en y plantant une javeline infusée d’éther. Exactement au même moment, mon sabre trancha soudainement, et c’est affaiblie au possible que Teris & Vaule saisirent l’opportunité d’en finir. Dans une grande nimbe enflammée, elle fut dévasté dans des hurlements puissants, pendant que je me rétamais par terre avec l’effort déployés en haletant.

Redressant la tête, pour voir Aurore et ses noirs mutations disparaître définitivement, il ne nous reste sûrement plus beaucoup de proie pour faire disparaître les maux autours de la Lignée des Delatour. Mais dans sa mort, elle emportait le corps de Malar et ce qui nous aurait permit de lui rendre. Au moins, elle le ferait plus de mal à personne, et les rescapés sortaient timidement de la cage rapidement interceptés par Kyuuji pour les inspectés très minutieusement afin de vérifier qu’ils n’étaient victimes d’aucunes mutations. Il reste encore des noms, sur la page des noms démoniaques de Finaen. Mais maintenant, j’en suis hélas certaines : Le nuage noir fera en sorte que ses entités puissent renaître et se nourrirait de leurs forces pour apparaître en Eorzéa. Il est maintenant plus qu’urgent d’en finir avec Ikijin, et de mettre un terme à toutes ses convoitises hors de son île-prison. Pour l’instant, cela fait, je vais aller me faire soigner mon dos après avoir le sentiment d’avoir encore les barres de métal de la cage écrasés dessus. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 19 mars 2021, 13:27

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-vingt-neuvième Entrée – « Acte 15 – Face au cœur obscur.»
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« Avant de pouvoir parvenir à atteindre Ikijin, installé confortablement au Manoir des Haukkes, ils nous fallait parvenir à brisé ce qui protégeait son accès et mettait à mal les forces fatiguées de Sulfur. La plus part étant des jeunes recrues ou des vétérans fatigués de Ghilmyt, ils ne s’attendaient pas à férocement défendre leurs vies et celles des locaux contre cette menace infâme qui allait enfin disparaître dans les soleils à venir. Ce que nous savons des défenses autours du Manoir, était qu’elle devaient être constitués d’un élément surprenant qu’ils sont aller rechercher directement à travers les légendes de l’Arbre-en-Deuil : La souillure de la nature née avec le Tree Barar. Heureusement ce dernier n’avait pas été perçue par les troupes en faction, ce qui laissait tout de même la problématique d’une nature corrompue qui empêchait l’accès sous peine d’être massacrés. Et ce n’était pas encore le pire qui allait rapidement nous apparaître, témoignant qu’il le restait une carte sous la manche : Celui qui jusqu’ici avait pu rallié tant de forces, que ce soit avec le Conseil de Styx ou ailleurs, et qui était tout aussi coupable d’avoir mit la force d’un des derniers adeptes survivants de l’Arbre-en-Deuil entre les mains d’Ikijin. Son Chambellan Aphalt était toujours en vie, et il y avait un fort risque que ce dernier tente le tout pour le tout en rassemblant des forces autours d’Ikijin sur tout les contacts plus infâme qu’il avait pu soudoyer depuis lors. Nous aurions à nous débarrassé de tout ce qui entraverait notre route droit vers le manoir, et notre cible finale, et c’est l’avant-dernière fois que l’équipe se retrouvait à la Tour de Dunstan.

Je trouvais ça presque rassurant, voir même attendrissant ? De voir Eloise tranquillement installée dans l’herbe en faisant une sieste avant de partir en mission. Cela donnait tellement l’impression que tout était normal, rassurant, que nous n’irions pas vers un combat à mort dangereux et lugubre ! Rapidement, Runne nous à rejoint rapidement, discutant quelques temps avec pendant que tous nous rejoignait petit à petit. Sorn, suivit d’Aerlin qui serait là pour s’occuper de nos blessures, et achevant avec Livio pour nous protéger de tout les périples. A l’avant avec Gobet, Finaen était déjà sur le terrain aussi devrions nous le retrouver sur place, le reste de l’Aube Obscure n’était pas disponible, même Ugumori malheureusement qui avait été envoyé enquêter sur un problème concernant des créatures de Légion avec quelques forces des Deux vipères. En nombre réduit, et donc bien plus attentif qu’à la coutume, nous quittions la Tour en saluant les soldats d’arrières garde restant qui n’avaient pas été conduit avec Sulfur droit vers la position que nous étions censés rejoindre. Le temps était agréable, une marche paisible sur le soleil du Sombrelinceuil là où il n’y avait pas encore de feuillages pour recouvrir le ciel. Cela ne dura naturellement pas longtemps, profitant d’une balade paisible, jusqu’à arriver dans les marais où tout semblait déjà bien plus surnaturel. Même sans influence extérieur, les fleurs environnantes avaient quelque chose de surprenant. Mais il s’y décela rapidement la noirceur de la souillure dans les racines sombres et autres éléments pourrissant, se mêlant au grand dam de notre museau, aux odeurs locales. Le plus problématique le long de la route était les civils, de nombreux voyageurs et marchands avaient créer une véritable ligne de passants citoyens de quelques cités-états de l’Alliance invités à une soit distante festivité par le Chambellan.

Au vue des œuvres du culte de la Guerre avant ça, la grande majorité furent arrêtés et envoyés partir par les Deux vipères, Runne se mêlant à eux en enguirlandant ses personnes en même temps qu’Aerlin qui observait l’air anxieux les environs en chassant des énormes sangsues avec les vents. Tous étaient sur leurs gardes, et encore plus quand une étrange mélodie apparue. Pour moi, elle chantait en Hingashi, une vieille chanson que ma grande sœur chantait à ses enfants avant qu’ils ne s’endorment. Ça avait quelque chose de touchant, même pour mon vieux cœur qui en à suffisamment vue dans sa vie, et c’était ce que la musique voulait : Nous envoûter. Une femme se faisant passé pour la mère de Livio apparue alors que son visage se distordait à mesure qu’elle devenait une monstruosité, un des maudits des sentiments que nous affrontions jadis au début de cette affaire. Aerlin et Sorn ayant été enlevés par les racines, tendant de les noyés et de les écrasés dans la végétation, ils se sortirent vite d’ici pendant que l’élémentaliste donnait des coups de bâtons dans des puissantes lueurs de purifications grâce à son lien avec l’Arbre-blanc. Sous les scies d’Atlas, la machine de Sorn, ils purent atteindre les racines gelées par Runne que Livio cassa facilement afin de sortir Aerlin et Sorn d’ici qui avaient été balancés dans tout les sens et presque noyés dans la fange noire.

Ils durent se tenir les oreilles – Et Sorn du rendre la botte d’Aerlin qui lui avait involontairement retiré pendant le tumulte puissant autours de nous. Utilisant son Egi-Garuda pour produire des sons puissants, éloignant les tares mentales des civils qui étaient en train d’être corrompu, tous n’allaient pas avoir le même sort que celle qui reçu une balle dans la tête de la part de Livio en plein dans le visage avant que ce dernier n’aille sauvé nos compagnons. J’avais tailler en pièce les monstres en devenir, criant aux civils de partir d’ici malgré le vacarme de l’Egi-Garuda jusqu’à nous mettre en route vers ce qui provoquait cet effet mental au loin. Bien entendu, la route ne serait pas aussi aisé à pratiqué qu’il n’aurait été trop simple de vivre. Alors qu’Aerlin remettait sa botte, observant tout les civils survivant partir pendant que nous progressions sur un terrain dangereux, il y avait comme des bulles sortant de l’eau en explosant subitement pour envoyer des algues acides ayant fait fondre un pauvre malheureux recouvert des algues acides. Les racines se déplaçaient, tout le marais autours de nous se déplaçait brusquement jusqu’à la terre sous nos pieds comme si ils voulaient nous absorber à notre tour. Livio en avant, produisant une impulsion puissante dans une zone de destruction pure qui se mêla à la purification d’Aerlin parfaitement qui étendit son pouvoir autours de nous dans une lueur grandiose. Les racines repoussés en même temps que les maudits par les émotions bien qu’un essaya de manger Sorn. Il laissa Atlas détruire cette chose, et de nouveau, le protocole Teclis s’actionna en faisant apparaître un moyen de tir au bras de Sorn avant de faire disparaître le spectre d’un ancien adepte de l’Arbre-en-deuil qui désirait se débarrassé en vitesse d’Aerlin.

La lueur de céruleum fit disparaître le fantôme, et nous progressions à bonne vitesse sous les couches de protections d’Eloise dans des lueurs puissantes empêchant les bulles d’algue noire de nous faire fondre sur place, protégeant la vie de Runne, je savais celle d’Eloise en retour en tranchant en morceaux la créature qui était il y à peut-être une cloche encore, un être humain des plus simples. Relevant Eloise, mal au point et en pleine crise d’angoisse, nombreux furent ceux qui vinrent à son aide pour essayer de la rassuré avec présence et calme. Ce, jusqu’à ce que mené par Livio, nous arrivions en plein au centre du marais. Un bruit de battement de cœur se faisait entendre, comme si un cœur battant frappait à l’unisson de tout ce qui existait autours de nous. Mais de manière plus urgence, il y avait la bataille que Sulfur menait à observé, et le fait qu’il était visiblement en train de la perdre.
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Le passage final vers l’intérieur du marais, au plus profond de son domaine, proche du manoir des Haukke était un peu plus loin, il fallait traversé les marais fumant dont les couleurs d’innombrables fleurs magnifiques et rares éblouissait un peu Runne à cause de cette lueur splendide. Des lumières mauves tombaient d’entre les branchages, éclairant les environs un peu plus qu’il ne l’était déjà par les différentes lueurs environnantes, et les objectifs étaient des plus nombreux je le crains. Tout cela était autours d’un homme : le Chambellan Aphalt, portant une onéreuse robe de magistrat, et qui fut reconnu directement avec haine par Aerlin. Lui proposant de rejoindre ses contacts, Aphalt voulait nous mettre dans sa poche plutôt que de nous voir combattre ce qui se trouvait dans les environs. Mais Aerlin refusa très clairement, il ne voulait pas être mêlé à un traître qui jadis exigea de Gridania qu’elle se rende à Garlemald pour l’avenir du peuple avant qu’il ne soit trop tard. Dans l’instant, personne ne se chargeait de lui pendant qu’il frottait gracieusement ses moustaches de plus longue. Car il restait encore énormément à faire – Le plus impressionnant se passa dès le début je dois dire. Proche de la position de Sulfur qui protégeait les Flèches Divines dont les traits partaient dans tout les sens en des flèches mortelles pour les démons s’approchant d’eux, Sulfur essayait d’appliquer les premiers soins à Esmeralda qui avait été sérieusement blessée par une des créatures des émotions.

Se mettant entre les blessés et les démons, Livio intervint en créant une nouvelle vague de dévastation d’éther à partir de sa pistolame, relevant lentement la tête pour faire face au Samouraï Spectral, un des rares survivants de la chute du Pic noir, dont les lames s’opposèrent férocement. Dans son dos, Aerlin était en train de concentré un pouvoir immense à travers le sceptre noueux, des lueurs incroyables naissant au milieu des glyphes tandis qu’il souhaitait purifié la veine menant au cœur obscur sans savoir qu’il allait convoqué un fragment de l’esprit de l’Arbre-blanc même. Runne avait attiré de nombreuses créatures jusqu’à non loin de la position d’Aerlin, et quand les maudits par les émotions, leurs bouches grandes ouvertes aussi immenses et terribles que les créatures mutés découvertes lors de la chasse d’Aurore, l’arbre blanc jaillit. Dans une lumière qu’on oublierait pas, les chants cherchant à tiré nos émotions pour nous transformer en monstre furent remplacés par la douceur des esprits accompagnant l’arbre blanc, les anciens Gridanien apparaissant autours d’Aerlin pour chanter paisiblement. De l’amas de souillure servant de relais au pouvoir du cœur, naquit un arbre blanc d’une lueur immense qui dévastèrent d’un coup une bonne partie des entités fonçant droit vers Runne, dans une lueur grandiose.

Livio non loin de là continuait son combat contre le samouraï spectral, jusqu’à ce que sa pistolame ne soit accompagnée par l’effet de pouvoir d’Aerlin en explosant brusquement le pouvoir concentré de sa cartouche dans le Samouraï qui se dissipa en des flammes bleutés. Dirigeant toutes l’énergie de l’arbre-blanc, Aerlin purifia l’artefact Gridanien qui avait été déjoué : Une caisse avec le corps de l’élémentaliste étalé dessus n’ayant pas pu la protéger, une sphère d’eau aqueuse avait été corrompue par les morbols immondes qui erraient autours que Sorn et moi affrontions jusque là. Quand toute la lumière tomba dans la sphère, elle rayonna subitement et débuta la purification du marais lui même dans des lueurs merveilleuses. La nature environnante semblait lentement reprendre vie, éloignant la souillure, et tout se stabilisa autours de nous avec une paix magnifique. Le combat contre les Morbols avait été difficile, surtout car Sorn avait fait tout explosé avec des grenades incendiaires sur les bêtes dont les gaz détonnèrent, m’envoyant valser en l’air quand j’étais cachée avec un tronc d’arbre pour me contenter de fuser en l’air, retombant en tranchant littéralement en deux une de ses maudites bêtes dévastée par les déflagrations. La seconde tenta bien de tirer des sphères dégoûtantes vers Sorn en envoyant un amas d’algue acide, mais une personne apparue soudainement pour guidé l’effet de la purification de la sphère d’eau droit vers le morbol aux six yeux contaminés par le nuage noir.

Finaen venait de se faire sortir de l’intérieur d’un canon Gridanien non loin de là où Eloise affrontait un mort vivant immense de la souillure en ayant essayé de le faire exploser intérieurement dans une forte déflagration contenu par la créature. Envoyant un énorme coup de fléau d’arme, elle esquiva de justesse avant de le traverser de part en part avec une lance d’une lumière vive qui envoya comme des écailles de dragons sur les autres morts-vivants autours. Tel actes alors que son Egi-Garuda frappait les morts autours d’elle, inspira ceux qui se cachaient notamment Gobet qui malgré sa blessure pu ainsi en profiter pour sortir de sa cachette pour détruire ce qui retenait Finaen prisonnier de l’intérieur du canon, réapparaissant au milieu de tous. Eloise achevant dans une lueur bleuté les créatures, il ne restait qu’une cible : Le Chambellan. Runne et moi avions foncés dessus, il tirait sans cesse en essayant de nous abattre avec deux pistolames Garlemaldais avec acharnement et des hurlements intenses. Et ce, jusqu’à ce que la rapière de Runne ne lui perce l’épaule pendant que ma lame ne lui laisse une balafre le long du torse. Hurlant à Ikijin de venir le sauver, une lueur puissante apparue autours pour nous aveuglé fut mêlé par une racine noire qui attrapa subitement le Chambellan qui disparut dans un rire mêlé à des cris de douleurs. En retour, tout le terrain autours de nous se mit à s’écraser sur lui même, le sol se fissurant, et des feux-follets d’une lumière mauve passaient à toute vitesse en essayant de traverser tout le monde pour leurs voler leurs éthers.

Finaen s’installa autours de Gobet et des siens pour les protéger dans des lueurs éclatantes, son bras touché par un feu follet gagna la même marque que Runne avait sur le torse depuis longtemps maintenant. M’évitant le même sort, Aerlin avait repoussé les feux-follets pendant qu’un deux vipères sauta pour protéger l’élémentaliste, se désagrégeant intérieurement brusquement quand il fit traversé de part en part. De la glace comblait les failles au sol, alors que Runne soutenait Livio qui avait éjecté sur une des failles avant de se mettre à faire des glissades au sol rapidement. Attirant Sorn à elle, Eloise dressant une protection alors que le pont de bois où étaient les morts et les deux vipères s’effondrait lourdement au sol alors que Sorn se jettait sur elle pour que les griffes d’une créature ne la touche pas, une protection de Livio les aidant encore plus à tenir. Nous avions survécu à ce chaos, qui diminuait lentement, mais il ne restait qu’une chance d’en finir définitivement : atteindre la source. Sulfur nous hurlait de poursuivre pendant qu’il ralliait les siens, ce que nous fîmes, prompt à foncer à la rencontre de bien des difficultés qui nous attendaient au-delà de ce passage des marais.
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Plus nous poursuivions la route après quelques soins de notre guérisseur, plus le Manoir des Haukkes était visible au loin. Si ça n’était pas notre destination, ça présence avait tout de même quelque chose de particulièrement menaçant à observer même depuis une sérieuse distance. Ce qui se dévoilait au dessus, bien qu’inquiétait, avait néanmoins une grandeur glorieuse quand se dévoila une des aurores boréales mauves immense qui ondulait lentement sous les reflets lunaires tandis que la nuit se faisait de plus en plus profonde. Une faille de cette grandeur pourrait peut-être même attirer le nuage noir jusqu’ici, mais sans le Halo des profondeurs, ils ne pourraient de toute façons pas réellement y parvenir sans consentir à des sacrifices immenses. Pour l’instant ça n’était qu’une menace pesant depuis les hauteurs, il fallait se focaliser sur l’essentiel qui était en train de recouvrir notre vue : Les amas de ronces noires qui avaient envahie les lieux. Créant une sorte d’immense amas sinistre créant des grillages de ronces empêchant d’y voir grand-chose. La lumière lunaire essayait de tomber hors de ses grilles, illuminant paisiblement ce passage qui semblait de plus en plus chaotique – les notions de gravités avaient quelque chose d’illogique, comme si nous étions attirés d’une ronce à une autre quitte à devoir parfois marcher sur les murs, sur le plafond de ronce, tourbillonnant en étant littéralement emportés dans ce dédale affolant. Plusieurs des démons des émotions y rampaient comme des araignées cachées dans leurs toiles, tournant brusquement la tête vers nous à notre approche dans des sifflements d’agacement furieux, essayant de se laisser tomber sur nous, ou de nous foncer dessus. S’occuper du chaos de l’amas de ronce était déjà une étape, y ajouter des adversaires fini hélas par nous séparer en trois équipe.

De leurs côtés, Finaen et Eloise avaient la magie à leurs côtés qui leur servirait à progresser en vitesse en passant outre les difficultés des ronces tournoyantes quand Finaen éleva brusquement les pierres en désirant créer un passage qui ne se déplaçait par sous ses pieds. Au lieu de ça, l’amas de pierre se mit brusquement en mouvement en emportant le mage rouge et Eloise qui se tenait à son bras en laissant son Egi-Garuda écraser les quelques maudits qui leurs bondissaient dessus en changeant parfois de forme. Si tout se passait bien, quelque chose s’est curieusement déroulé, et il me parla plus tard d’un homme au masque dont le kanji Hingashi gravé dessus représentant un nom plutôt inquiétant au vue de notre dernière mission. « Aurore ». Mais nous ne pouvons pas encore savoir clairement ce que cela signifiait, si ce n’est une maîtrise de la marque que Runne possède un temps qui fit souffrir Finaen tout le long de son bras. Plus terre à terre, Sorn et Livio progressaient juste en dessous de nous en écartant brusquement les menaces entre les tirs du machiniste et la lame de son protecteur le guidant droit vers la sortie, où ils eurent une surprise quelque peu déroutante, même pour nous. Car au dessus, à cause de cette gravité capricieuse, nous étions en train de poursuivre notre route en profitant de chacun des piques terrestres d’Aerlin pour massacré les maudits avec Runne, tranchant ceux qui étaient coincés par ses levés de roches. Mais dès lors que nous avons atteins la sortie peu après Finaen et Eloise, la gravité cessa brusquement d’être active, ce qui fit en premier choir Runne juste devant Sorn et Livio. Il se serait bien relevé, si ça n’avait pas été mon tour de lui tomber dessus, avant que le sandwich ne s’achève en nous faisant écrasé par Aerlin.

Heureusement qu’Ugumori n’était pas là, pensais-je, sinon j’aurais fini ma carrière d’aventurière en tant que crêpe au sucre, ce qui est parfois un destin plus enviable que certains coup du sort. Relevant nos compagnons, observant une lumière mauve inquiétante tombant sur le domaine intérieur du monde des ronces, ici le ciel était apparent. Visible, mais rendu sinistre par les reflets violets inquiétants. Tout donnait l’impression d’un réseau de veine du corps humain lié au cœur infâme qui émettait des palpitations résonnant dans toutes les galeries de ronces infâmes. Le cœur obscur, la protection finale d’Ikijin que lui avait fait offert son chambellan pour empêcher quiconque d’approcher du Manoir des Haukkes. Non loin du Coeur, un amas de souillure tournoyant autours d’un Hicor, le cristal du néant reluisant produisant des veinures mauves striant le cœur, se tenant Aphalt qui finissait d’enfiler son équipement Magitek. Ses blessures avaient été plus que sérieuse, et il désirait se protéger, guérir, et pouvoir se mouvoir grâce à l’équipement Garlemaldais acquit grâce à ses trahisons. Enfilant son casque, il nous proposa une nouvelle fois une alternative pacifique constant à nous soumettre à la dame ici présente. Une magnifique femme d’Hingashi portant un Haori ouvert sur les épaules, dont le regard d’un rouge puissant ne suggérait rien de bon.

Mais pour ma part, ma cible était le responsable de la création du cœur obscur : Le spectre de l’Arbre-en-Deuil, un des suivants survivant de ce culte infâme qui s’étendait lentement face à nous, flottant dans les airs sans jambes, un masque sur le visage dévoilant quatre yeux mauves reluisant prouvant qu’il n’avait pas encore fini son ascension parmi les forces de Tsakyoki. Quand il vit Runne et Finaen commence à lancer un puissant sort de purification sur le Hicor, commençant à se fissuré sous la pression de leurs magies, il réagit aussi tôt en essayant de balayer les deux. Finaen reçu le faisceau d’une énergie infâme contre le torse, reculant soudainement, avant qu’Aerlin n’élève les flots d’une eau purificatrice inspirée des chants de Locae qui éleva sa maîtrise des flots. Repoussé, et sonné, j’en profitais pour tailler de ma lame en lui tranchant littéralement un bras, ce qui était l’ouverture pour Aerlin afin d’en finir. Toujours désireux de briser le Hicor, Runne rattrapa le sort de purification avec Finaen, les deux émettant des lueurs d’un blanc toujours plus grandiose, jusqu’à ce que l’éclair de Runne ne traverse le cristal de part en part. Un lys blanc naquit au centre du Cœur obscur, éclatant le cristal maudit en créant un élan de purification partout dans les environs. Le spectre qui m’avait blessé d’un coup de griffe, ne vit pas venir le fait qu’Aerlin fasse passé les flots purificateurs par toutes les blessures que je lui avais infligé. Rugissant, essayant de ponctionner en vain le Hicor pour se reconstruire, il disparut en regardant une dernière fois le Chambellan qui approchait.

L’homme avait été littéralement balayé par Eloise dans une grande déflagration d’éther à ses pieds, mais l’armure encaissait remarquablement bien les chocs. S’approchant pour en finir, malgré les coups de l’armure magiteck qui lui pleuvait dessus, amochant bien notre pauvre invocatrice qui s’en défendit en foudroyant Alphat définitivement dans un éclair puissant. Ce qui arriva peu de temps après que la Dame qui surveillait les protections du manoir au nom d’Ikijin ne chute à son tour. Elle fut blessée par la lame de Livio, arrachant son bandeau à l’œil en dévoilant l’étendu d’un sort qui servait de pacte avec ce qui lui fournissait ses forces : Un grand sablier apparaissant dans son dos, elle utilisait l’éther mémoriel offert par la Mort de Fer pour acquérir des talents aux lames qu’elle ne possédait pas. Sorn avait essayer de lui déclaré sa flamme, faisait tout pour essayer de la surprendre, et d’apaiser son ire, il fut en premier temps secouru par Livio qui l’écarta du cercle incantatoire avant que Sorn n’ait définitivement découvert la notion de « Beauté fatale. »

Prit par la fatalité de devoir abattre une si belle femme, il tira plusieurs fois avec son fusil en brisant le sablier dans son dos, dans un choc intense, en même temps que la lame de Livio ne s’en débarrassa tout en frappant à la gorge. Privée de son pouvoir, et du soutiens d’Ikijin, elle chuta dans les bras de Livio. En peine, murmurant lentement alors que son corps prit par des flammes bleutés spectrales se désagrégeait peu à peu, elle demanda un dernier service à celui qui l’avait vaincu pendant que les ronces autours de nous ne devenaient plus que poussière tandis qu’Aerlin s’occupait de nos blessures. Observant vers le Manoir qui apparaissait au loin, avec vers l’entrée quelques bannières de Gridania prouvant que Sulfur avait pu arriver en position, elle nous demanda une chose : Que dans la mer des étoiles, nous puissions enfin renvoyer son époux bien-aimé, Ikijin. Afin qu’après cet enfer, ils puissent enfin reposer tout les deux en paix. »
Akayane Kosenjobi.

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