En ces temps bénis des Dieux, où les jours s'allongent au même rythme que les jupes raccourcissent, le concerto mené par les bruissements continus de ces terres à moitié sauvages donne le ton face aux hordes de touristes, fraîchement débarqués des quatre coins d'Éorzéa, dans une ambiance typiquement Noscéenne.
Mais, il existe encore quelques lieux reculés, non loin de toute cette vie. Et c'est au cœur de l'un d'eux que notre miqo'te demeure sereinement accroupi, dans sa posture habituelle. Du haut de son perchoir, il n'est bien que la maigre cascade à ses côtés comme humble source de désagrément sonore, loin de toutes ces âmes et corps échaudés, affairés à se rincer la couenne dans les eaux paisibles de la mer bordant cette chère Noscea. Une vue des plus appréciables, pour les amateurs de panoramas idylliques. Un exercice d'observation auquel il semble se prêter, sa génétique raciale, qui est sans doute tout ce qu'il y a de profondément miqo'te en lui, l'ayant doté d'une vue clairvoyante, et qui lui permet de profiter des moindres détails du "tableau" qui occupe alors toute son attention, durant l'attente de son entrevue de la soirée.
A ses côtés, une boîte blanche des plus modestes, déposée sur le sol, patiente paisiblement aux côtés de son propriétaire. Et-ce vraiment surprenant de le voir porter l'un de ses atours favoris : un chapeau noir ? Sans doutes pas, pour un regard aussi habitué qu'a pu l'être celui de la jeune femme. Ce qui est, en revanche, plus surprenant, c'est la rare élégance de sa tenue, aux teintes aussi obscures que son couvre-chef. Pourtant habitué aux tons sombres et aux vêtements soignés, son accoutrement du soir dénote pourtant avec le reste de sa garde-robe, somme toute plus commune, bien que malgré tout relativement coquette, pour un homme. C'est un ensemble des grands soirs, que l'on verrait d'ordinaire lors de dîners mondains, ou de réceptions. Le col, d'un blanc immaculé, et qui borde le haut de son buste juste en dessous du cou, en est d'autant plus visible, dans cette myriade absolue de noir qui recouvre l'ensemble de son corps. Un fait qui ne sera pas réellement surprenant, quand on connait l'attrait de l'homme pour les mystères dont il s'entoure, et dont le propre corps ne déroge aucunement à cette règle stricte.
Est-ce par vanité ? Par goût certain du luxe, lui qui ne saurait cacher un penchant évident envers l'élégance de ces grands maîtres de la mode, qu'il se plaît à porter cet ensemble ? Peut-être. Est-ce une manière d'honorer dignement l'un de ces trop rares rendez-vous, en compagnie de celle qui sut se frayer un chemin bien particulier à ses côtés, pour finalement s'y octroyer une place de choix ? Sans aucun doute !
Son visage intemporel, lui, qui appartient à cette curieuse catégorie constituée de ceux qui ne semblent jamais subir les affres du temps, aux bouilles éternellement juvéniles. A l'exception de ces naissantes petites fissures, qui se creusent autour des yeux dorés du miqo'te, néanmoins difficilement discernables, partiellement camouflées sous ses habituelles traces de crayon noir, qui entourent et approfondissent son regard, déjà bien visible de jour comme de nuit.
Mais ses joues rondes, et son habituel air enjoué lui confèrent, bien malgré lui, le charme d'un enfant qui aurait toujours refusé de grandir, au fond de lui. Eh oui, les années passent, et semblent glisser sur lui, sans jamais l'atteindre!
Le résultat final en sera remis au jugement de Kayah, qui pourra néanmoins compter sur le sourire étincelant du "plus-vraiment-si-jeune" homme, dont jamais il ne se sépare, pour biaiser l'objectivité de son avis !* Car s'il est une chose qui ne change pas à mesure que le temps passe, et contrairement à la teinte cendrée qui se propage dans sa crinière, dont le secret réside dans le fait qu'elle semble aussi indisciplinée que fringante, son sourire légendaire, lui, ne souffre d'aucune perte d'éclat. Il ensoleille toujours les cœurs des enfants, et dérobe les âmes de ceux qui croisent son chemin !
-Bonsoir Monsieur Z.
C'est finalement la voix qu'il désirait entendre qui vint briser le silence, qui occupait jusqu'alors son esprit, ainsi que son immuabilité, puisqu'il se relève aussitôt, dans un calme dont on décèle néanmoins quelque excitation, de retrouver sa "presque" jeune sœur. Il lui fait aussitôt face, avec déjà un énorme sourire radieux pour l'accueillir !
La jeune femme se tient là, non loin, elle clignera un instant des paupières, telle comme elle le ferait, ou le fait, lorsqu'elle tente de mémoriser un paysage qu'elle souhaite graver en sa mémoire. Un large sourire s'étirant, cette fois ci, la jeune maman ne bondira pas sur le miqo'te, bien qu'on puisse noter, lorsqu'on la connait, que l'envie est sans doute présente. Elle reste digne et courtoise, le regard ému. Kayah est tout aussi élégamment vêtue, distinguée, et connaissant la jeune femme, cela peu paraître surprenant pour le vieux miqo’te cendré. Sa tenue faite d’étoffe hingashienne lui sied à la perfection, mettant en valeur ses forme généreuse et séduisante qui la caractérise. Surprise ? sans aucun doute, ses turquoises détaillant tant le miqo’te que le paysage environnant alors qu’elle viendra lui accorder un sourire tout aussi radieux quand il viendra à lui faire face en se redressant.
-Mademoiselle Kayah, toujours un plaisir !
- Mince tu…<cille un peu, elle rougirait presque, observant sa tenue et son allure> Tu es...impressionnant. <soufflant un rire, la gorge nouée d'émotion, pas facile de rester dans les convenances, puis semble chercher du regard, en direction des mains du miqo'te, possiblement une canne, peut-être, qu'il avait lors de leur dernière rencontre.>
- Et pourtant, ce n'est rien de plus que moi, inutile d'être si troublée, on commence à se connaître depuis longtemps, déjà ! *Un rire chaleureux accompagne aussitôt ses paroles, comme pour essayer de la remettre à son aise. Elle ne pourra néanmoins constater aucune canne à ses côtés, pour cette fois...*
- <souffle un rire> Oui, tu as raison pardon, je suis un peu...bref...<ricane légèrement et détache les sangles de son sac à dos vers l'avant, le retenant d'une main dans son dos avant de pivoter un peu pour le reposer> je suis un peu trop chargée, laisse-moi juste déposer tout ça, je ne dis pas que je vais te sauter dessus pour autant, je m'en voudrais qu'on finisse en bas de la falaise. <amusée.> Comment vas-tu ?
- Et tu le refuserais, même si c'était moi qui t'y conviait ? *il avance légèrement la tête, d'un air joueur, ouvrant petit à petit ses bras, comme pour l'inviter à laisser parler son envie, et non sa raison. Un grand frère peut bien enlacer sa petite sœur, le temps d'un instant, après tout.*
- <souffle un rire, elle plissera le regard, en étirant un fin sourire en coin lors de son invitation de par son mouvement de tête.> Je n'ai jamais dit que je n'avais pas l'intention de t'enlacer ou de me faire enlacer mon cher, mais que je ne te sauterais pas dessus comme une groupie cette fois ci. <amusée, ses oreilles frétillantes elle viendra se tourner face à lui, néanmoins, elle ne bougera pas, ça semble l'amusée de le voir quémander le laissant, possiblement s’approcher de lui-même, dores et déjà prête à venir dans ses bras pour une étreinte façon petite sœur.>
- Eh bien, dans ce cas, c'est moi qui endosserais ce rôle ! Tâche d'en profiter, ce n'est pas un luxe que j'offre à tout le monde. *de son plein gré, il franchit donc la distance qui les sépare, pour tâcher de venir glisser un bras par-dessus l'épaule de Kayah, alors que l'autre vient contourner les côtes, pour venir joindre ses mains dans le dos de la jeune femme.*
- <souffle un rire, le laissant faire en se blottissant contre lui dans un soupire d'aise et de soulagement certain. Ravie et sans doute rassurée de le voir en si bonne santé> J'ai très bien conscience de mes privilèges Zallen, depuis longtemps, mais j'aime en profiter un peu oui. <dit-elle d'un murmure tendre et joueuse, sa joue reposée contre le buste orné du miqo'te, néanmoins en douceur, elle profite pleinement de cette étreinte bien plus délicate> Tu m'as manqué.
- Et toi aussi, figure toi ! *posant alors sa main gantée sur le crâne de Kayah, pour lui offrir quelques légère grattouilles rassurantes. * Tu m'as l'air plutôt en forme, je me trompe ?
- <rit doucement, ses oreilles s'herissant dans un nouveau frémissement au contact de sa grattouille, elle finit par rehaussé ses turquoises pour lui sourire adorablement émue, son mouvement ayant pour effet de les séparer que brièvement de leur étreinte.> En effet, je le suis, et je suis ravie que tu saches le voir aussi vite. J'étais un peu nerveuse je dois bien l'admettre. <Ses oreilles s'abaissant à peine à cette mention alors que son nez viendra à se plisser légèrement.>
- Vraiment ? Pourquoi donc ? *Alors que ses sourcils se froncent presque indescriptiblement, il cesse son mouvement de la main, pour venir croiser son regard, un nouveau sourire réconfortant se dessinant sur ses traits juvéniles, qui accompagne alors ses paroles. *
- J'ai...<se pince les lèvres amusée et attendrie par cette bouille juvénile qui lui avait tant manqué, reprenant, amusée> J'ai beaucoup changé, mais je crois sincèrement que tu en seras fier.
- *Il rit aussitôt de sa réponse, d'un rire certes franc, mais bienveillant, et non moqueur. En témoignent les propos qui suivirent. * Oui, j'ai déjà remarqué ça ! C'est moi qui ait dû venir jusqu'à toi, là où tu m'aurais certainement bondis au museau, en temps normal ! Mais je présume qu'il y a là bien plus de changement que ce simple détail, n'est-ce pas ?
- Oh mais j'en avais très envie, j'ai juste pas la tenue adéquate voyons. <agitant les oreilles malicieusement encore, elle a bien gardé son humour taquine et son franc parler aussi> Oui, du changement dans tout un tas de domaine à vrai dire. Mais...<dérivant les yeux alentours à nouveau, curieuse en direction de la boite blanche sur la roche> qu'as-tu apporté, et pourquoi vouloir mon matériel dis-moi? <Plissant les yeux, en lui souriant à nouveau alors qu'elle reculera légèrement, lui permettant ainsi de la relâchée s’il le souhaite.>
C’est au bord de la falaise, en cette fin de journée que les deux complices s’installèrent pour manger les petites friandises Hingashiennes que le miqo’te semble avoir préparé pour la jeune femme. La discussion se faisant, rattrapant le temps perdu. Elle lui posera un tas de questions, avant d’entamer son propre récit parcouru jusqu’ici.
- Trouves-tu donc toute la stabilité et le bonheur que tu attendais patiemment, aux côtés de cet homme ? *C'est avec toute l'affection d'un ainé qu'il s'adresse à elle, à l'image de cette relation particulière, tissée au fil du temps, entre ces deux-là.*
- <Se mord légèrement la lèvre d'un doux sourire reposant les yeux sur lui> Plus encore, c'est…indescriptible, j'ignorais que ça pouvait exister, une telle...symbiose et harmonie dans une relation aimante, respectueuse et passionnée à la fois. <soufflant un rire, plissant le nez mignonnement à nouveau> Et Liam est plus que ravi, lui qui veut devenir samouraï, il ne quitte plus son Shinai, et il s'entraine avec Aezen, au Dojo du tapas, <le regard pétillant d'amusement et de tendresse.>
- *L'écoute avec attention, acquiesçant à ses réponses, un fin sourire d'approbation sur le visage, alors que les éloges n'en finissent plus !* Je dois admettre que je ne m'attendais pas à te retrouver si apaisée. Je reste persuadé qu'au fond, tu bouillonnes toujours autant, mais tu me semble plus... mature, en sa compagnie ?
- <rit doucement, hochant, elle agite et tique d'une oreille> Tu me connais bien, rassure toi, la petite Kayah un peu folledingue, aventureuse est toujours là, même avec lui, il aime...toute les facette de moi, il a même aimé le jour où je suis arrivée en vrai petit "mec". A vrai dire c'est hm…J'assume, à présent, qui je suis, chaque partie de moi. Il y a des matins, ou c'est Kayah, l'hingashienne, apaisée et courtoise, sereine, qui se réveil, celle-ci, est celle que je préfères et, est bien plus présente, et puis certain jour c'est la petite pile solaire, ou encore la garçon manqué, mais dans la juste mesure, d’un point de vue, surtout, vestimentaire on va dire, ou un petit laissé aller qui fait du bien, et je ne me cherches plus, parce que je me suis trouvée dans toute ses personnalités là, qui font, que je suis moi. <radieuse et amusée> Et il les aiment toutes, je n'ai pas à choisir.
-*Hoche une nouvelle fois, un sourire satisfait s'étirant sur ses lèvres, à mesure que sa réponse s'étoffe.* Rien qu'à t'écouter parler, j'entends toute l'affection et le respect que tu as pour lui, qui a visiblement su t'accompagner dans le sinueux voyage en ton for intérieur, pour comprendre qui tu es vraiment. Et ça n'a pas du être de tout repos en chaque instant, te connaissant... !
- <rit doucement, hochant> Hé bien disons que oui et non, il m'accompagne à présent, mais il m'a connu ainsi. Je suis partie, presque un an en hingashi, tu te souviens ? un travail pour faire des toiles d'une compagnie qui m'avais mandaté. C'est ce voyage, qui a marqué un tournant, je suis tombée amoureuse de la culture, de la mentalité, j'ai appris à méditer, j'ai voyagé, visité, appris des gens, des villageois, observée, j'ai vue, une vie différente, et si je pouvais je m'y installerais. <amusée>
- J'espère que tu continueras à l'émerveiller, et qu'il continuera à t'émerveiller aussi en retour. C'est tout ce que je vous souhaite. Je te découvre plus épanouie que jamais, et à mes yeux, ça te réussit. Alors si j'avais un souhait à faire, c'est que ça continue sur cette voie !
- <hoche doucement d'un doux sourire, reconnaissante, en chipant une autre boule tiède, l'écoutant.>
- Mais il y a néanmoins une chose que j'aimerais connaître, à son sujet, si tu me le permets.
- Je t'en pries oui, si je peux répondre je le ferais, tu sais bien.
- Regorge-t-il de surprises ?
- <hausse un sourcil et se pince les lèvres, elle rit> aurais-tu peur que je m’ennuie ? <hochant ensuite, rougissant un peu> Oui, il me surprend, ma fascine, sous ses apparences très digne, que tu verras surement, crois-moi, que dans l'intimité du foyer, on ris, on profites, il est bien différent qu'en extérieur, et tu verras, il a de l'humour oui.
-Je n’en doute pas, tu as un don particulier pour prendre soin de toi des gens qui te sont proche.
- Parce qu'il sont très peu nombreux à avoir eu, ou à avoir un impact sur ma vie, tout comme tu te doutes bien des éloges que je lui ai fait à ton sujet aussi. <soufflant un rire> on est très transparent, on se partage tout, aucun secret et de non-dit. Vous avez marqué un tournant aussi dans ma vie Monsieur Zallen Azarel. <souriant en coin tendrement, sans le quitter des yeux>
- Et je n'ai même pas fait exprès ! *riant, il ôte alors son chapeau, pour passer sa main dans ses cheveux, et leur redonner le volume que son couvre-chef s'était affairé à compresser.* Et tu te doutes bien du certain impact sur la mienne aussi. Jamais auparavant pareille amitié n'avait émergé, avant que tu t'en mêles. La seule personne que je considère comme faisant partie de ma famille proche, c'est un privilège. J'espère que je ne joue pas trop au grand frère, d'ailleurs ?
- <rit doucement, une oreille tiquant, amusée et touchée, elle hoche> Non, et je sais, et je t'en remercie, je n'ai toujours pas compris non plus ce que j'ai bien pu faire pour mériter ça ? serait-ce à cause de nos défis ? <Jouant des sourcils, malicieuse>
- Si tu comptes faire appel à ma mémoire, sache que tu te lances dans un projet qui te dépasse... et me dépasse aussi !
- Oh oui je n'ai pas oublié ta tête de linotte ! <ricanant, les oreilles frétillante> et toi alors ? racontes-moi, tout ce temps, qu'as-tu fais ou es-tu allé, qui as-tu rencontré ? <jouant des sourcils, taquine sur la fin.>
- Moi... *il marque un temps d'arrêt, les sourcils se haussant aussitôt, avant de venir la toiser une nouvelle fois, pour lui répondre. * Je vais me marier.
- ... <marque un temps, puis éclate de rire> t'as failli m'avoir ! <le pointant du doigt en l'agitant, amusée, réellement amusée>
- *l'accompagne aussitôt, d'un rire franc et clair !* J'ai mis la barre un peu trop haut pour que ce soit crédible, c'est ça ?!
- <rit encore> carrément ! beaucoup trop haut ! <agitant les oreilles comme Astérix, elle papillonne, amusée> A présent, dis-moi pourquoi ai-je apporté mon matériel artistique hm ? <souriant en coin, curieuse.>
- Car j'aimerais te demander une faveur ! J'aurais souhaité de demander d'utiliser tes talents de peintre, pour réaliser une représentation de cette vue, à partir de ce lieu, précisément. C'est ici qu'on a passé parmi les meilleurs moments de notre longue amitié, et elle en est le symbole le plus évident, à mes yeux. Et j'aimerais conserver près de moi ce symbole, si tu me l'autorises.
- <cille, radieuse et élargit un sourire, se redressant> J'en serais honorée oui. <douce et visiblement émue> mais, tu veux que je peigne là maintenant ? parce que...je peux, non j'ai déjà mémoriser cette vue, je peux le faire à mon atelier hein. <soufflant un rire>
- Eh bien, dans l'absolu, j'aurais aimé t'observer à l'œuvre, sur le lieu même dont il est question. C'est ma vision d'artiste à moi ! Mais le choix t'appartient, je ne ferai pas la fine bouche pour orienter ta décision, Kayah !
- Hm...et que dirais-tu, de venir prochainement, à mon atelier, je peindrais pendant que tu discuteras non loin avec Aezen pour faire connaissance ? <souriant en coin, observant sa réaction> Lui, j'ai vraiment, vraiment envie de te le présenter avant que tu ne t’évanouisses dans la nature. Et j'ai apporté un dessin de ce dernier ne serait-ce que pour te le montrer, si tu le souhaites.
- Ça me semble un bon compromis, présenté comme ça ! Et non, surtout pas ! Je préfère conserver tout le mystère autour de lui, jusqu'au moment venu. Mais tu pourras me montrer son portrait une fois que je l'aurais rencontré, avec plaisir.
- <rit volontier, hochant> je l'ai sur toile à l'atelier, là j'ai fait une esquisse, donc oui c'est mieux sur toile.
- J'ai été ravie, émue de te revoir Zallen, mais il se fait tard et j'ai un Liam impatient qui ne dort surement pas. <dit-elle en récupérant son sac soigneusement>
- Navré de t'avoir fait transporter ton matériel !
- <rit doucement> ce n'est rien, ça me fait de l'exercice. <souriant en coin> je n'en ai pas vraiment mise à part, la nage et Liam que je dois rattraper et qui court partout.
- Une joie partagée, sois en certaine. J'espère que notre prochaine entrevue ne se fera pas autant attendre que celle-ci. Embrasse Liam pour moi. Le bisou pour ton compagnon, on attendra que je le connaisse un peu mieux, si tu le veux bien !