[Chroniques] Journal de Tsakuyi

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 04 nov. 2018, 03:28

Dédié aux Officiers des forces d’Ishgard. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

Rapport ouvert – Mor Dhona, Est du territoire. "Un Kidnapping de haut-vol. "

« Mes respect,

Rapport de Kosenjobi Tsakuyi sur les évènements relatant le sauvetage de la dénommée « Gegerijo » depuis son enlèvement par une forme de culte surnommée la « Ligue du Chaos » découverte depuis les évènements dans les étendues des cieux d’Abalathia. Celle ci était disparue depuis lors, recherchée par les forces d’Ishgard jusqu’à atteindre une piste dans un lieu solitaire du Mor Dhona.

Conviés à poursuivre l’enquête et à mettre la main sur celle à qui malheurs attends sans notre intervention, nous nous sommes donc concertés pour parcourir cette triste terre depuis la catastrophe de l’Agrius dont j’ai entendu parler de la part de Sylune Laefan, de la Plume. Ainsi, notre équipe fut constituée d’une combattante à tête de Lion nommée Moka, de notre moniale adorée nommé C’iastha, la Dotharl éthérique Hael , et des membres des Tours : Le loup des épées Aldualim Alderon, Le savant vert Moutah Pontah du Sablier, et moi même, de la Tour de la Balance. La route nous menait vers l’Est, alors que lentement apparaissait les cristaux ayant brisé cette terre, mais aussi les lueurs de la corruption.

Le terrain restait maudit, inquiétant et comme si il y avait perpétuellement un souffle nasale dans notre dos, comme l’écho d’une présence néfaste. Pour progresser en ce genre de lieu, il faut avoir déjà accomplir l’épreuve mentale de se dépassé complètement pour ne plus avoir peur d’une écume obscure aux airs de lieux magnifiques. Les premiers problèmes survinrent rapidement – Des assassins se jetèrent sur nous, mais firent pâle figure face à la réactivité de Moka et C’iashta.

Les ennuis débutaient à peine, alors que la progression dans une cavité interne se fit avec plus de minutie : Ils nous attendaient, étaient conscient de notre venue, et la pression obscure augmentait de plus en plus en pointe d’une intensité morbide. Signifiant que le rituel avait lieu, et qu’il serait bientôt trop tard pour l’arrêté. Les illusions de deux lanciers furent analysés, mais ils n’attendaient que l’instant pour essayer de nous poignarder dans le dos. Un combat difficile éclata subitement, surtout quand le griffon chevauché par un archer descendit des airs pour soutenir ses alliés. Des coups, des blessures, furent échangés en mesure où le plafond risquait de s’écrouler.

Le dernier lancier se préparait à se faire sauter, et nous nous sommes rués pour sortir de la situation catastrophique. Après quelques efforts pour ne pas être écrasés avec Moka et Moutah, nous avons été libérés par Aldualim ayant déblayé les pierres pour nous sortir de là. Blessés, fatigués, mais la mission n’était pas achevée.

Gegerijo se trouvait visiblement dans une sorte de rituel tout au fond, quelque chose était en préparation pour en faire une poupée de chair pour une quelconque entité toxique, maléfique. Les trois chevaliers en armures obscures barraient la route, et l’accès à la grande barrière. Deux mages préparant une énorme boule de flamme, pour se préparer à nous écraser face à une puissance furieuse et inflexible.

Les Chevaliers furent tenace, mais j’ai pu m’en débarrasser un en frappant au cœur de son armure, et de son corps, celui ci se dissipant en cendre éparses. Les deux autres furent tranchés brusquement par la fureur du sabre d’Aldualim ayant décidé de donner tout ce qu’il avait pour les abattre, en profitant de la faiblesse des Chevaliers provoqués par les nombreux assauts. A la chute des Chevaliers, la Boule de feu fut projetés, et nous avons tout fait pour l’arrêter ou la ralentir, en vain. Ce fut l’intervention de Souam qui décidé de ramener un peu de calme quand la boule de feu fut retenue et détruite. Il ne restait qu’à récupérer Gegerijo, entre les mains de ses parents et des mages. Ils ont tous été capturés, et remit entres les mains des autorités Ishgardaises depuis leurs méfaits dans les territoires proches.

La Ligue du Chaos est loin d’être démantelée, mais ils sont clairement envieux de parvenir à faire naitre des entités démoniaques à partir d’invocations et de corps humains. Si ceux ci sont captif, d’autres agiront. Mais au moins, la mission à été accomplie : Je confirme que Gegerijo à été récupéré en vie, mais dans un état relativement instable. A surveiller. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 04 nov. 2018, 15:01

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Quinzième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Nous y sommes presque. Le mal qui rongeait les pires complot de L’Inrien s’envolent lentement en fumée avec la mort du monstre qui s’usait aux maléfices les plus odieux pour parfaire un semblant de domination qui se voulait apparaître sur les faibles d’esprits et de richesses avant d’atteindre les hautes sphères. Si les infiltrés, les corrompus, les traîtres sont choses déjà inacceptables, les attraits pour la magie profane et menant vers la damnation d’innocents comme de pauvre écervelés avides, restait bien pire. Adel’Delroy, l’Encapuchonné, cet occultiste que nous avons connu il y à quelques temps maintenant, nous fit convoqué d’urgence à la Guilde des Occultistes pour discuter de la situation. C’est ici qu’il y à ma gène, et ma crainte, en espérant qu’elle ne fasse pas trop de cauchemars.

La jeune Maeva, pour sa première mission, vint nous accompagner pour une des pires épreuves que nous avons eu à subir depuis les maléfices du Parchemin maudit. Accompagnée par sa mentor, X’toldha, une Miqo’te jouant d’une puissance magie et visiblement connaissant tristement ce monde qu’est l’obscurité des occultistes. Moutah, Nhagi, C’iashta, Sylune et Kodjo, nous sommes parti à notre rendez vous en urgence, prêts à découvrir ce qui n’allait pas. Le premier soucis était que les portes étaient closes, gardés par deux membres des Immortels ayant tout de même été informés de notre venue, nous laissèrent assister à la situation dans la Guilde. Des acolytes s’agitant dans tout les sens en disant que tout est perdu, et leurs mentors essayant de les rattraper en râlant qu’ils doivent faire preuve de contrôle. C’était un véritable petit chaos de disputes quant à une situation jugée inacceptable.

Jusqu’à ce que l’être nous attendant fasse surface, apaisant la plus part des discussion devant la poids de sa venue. Adel’Delroy, l’Elezen aux cheveux d’argents, nous expliqua la situation : L’Inrien avait fait infiltrer des faux disciples ayant sabordés certains rites et provoqué le trouble dans la guilde. Si ils savent très bien se débrouiller, il était moins facile d’envoyer des personnes entraînées pour s’occuper de la volonté d’Hector Spencer : Les Griffes de Dalamud, loin au nord du Thanalan, car tel était son objectif pour parfaire la « Volonté de Shigma », et créer ce qui pourrait être un Hicor parfait. Les inquiétudes et les questionnements eurent lieu, jusqu’à ce que la Guilde soit encore dans le trouble lors d’un retour des forces occultes bousculés par les conspirations de L’Inrien. Quittant les lieux rapidement avant de se retrouver entraîner dans les problèmes, et laissant aux Occultistes le soin de se débrouillé, nous avons quitté rapidement la citée d’Ul’dah pour un long voyage vers le nord, sous le regard de Cirmo et Gobet, si inquiets. Eux qui pensaient que tout ça ne serait qu’une aventure, une quête, difficile, mais faisable. Voilà que le pire se produisait.

La chevauchée fut rapide, peu de temps pour se reposer, pour plus de temps à nous hâté dans l’idée de rejoindre Brumebleue dans le Thanalan Septentrional. Notre dernière mission avait consisté à arrêté des marchands d’esclaves, désormais, c’était de le faire de nouveau – Mais des esclavagistes d’une autre nature, plus obscure, et ironiquement peut-être moins vicieuses. Arrivés là où le ciel est plus sombre, et les terres plus mornes, l’agitation semblait déjà de rigueur pendant que les Immortels s’occupaient des civils.

L’éclair partant du sol, et montant dans le ciel, d’un jaune inquiétant, désignait hélas qu’il fallait encore plus se hâté. Et nous nous sommes rués en vitesse vers le nord avec la ferme crainte que ce soit trop tard pour espérer triompher du mal. Quittant le hameau de Brumebleue en partant vers le nord, tel ne fut pas notre surprise en constatant après une dizaine de minutes de route supplémentaire, nous nous retrouvions à courir dans les steppes. Il fallut peu de temps pour que les Mages constate l’illusion, mais aussi l’ombre nous fonçant dessus pour essayer de nous happer. Un jeu, une épreuve maléfique pour forcer notre cerveau à être vaincu avant même que l’entité nous suivant ne nous écrase d’elle même. Fuyant en vitesse, s’écartant des piliers de pierres chutant et ignorant les Xaela mourant en cendres éparses, même ceux que nous avons connu dans les Steppes, comme le Père de Kodjo, nous nous sommes échappés du maléfice quand Moutah apaisa l’Oronir du trouble que la créature nous poursuivant lui faisait subir : L’Ahriman considéra son échec, et disparut en un panache de fumée.

La situation était de pire en pire. La porte de la Tour de guet Est était encombrée d’innombrables personnes de toute natures gérés par les Immortels essayant de créer un semblant d’ordre et de cohérence. Laissant nos montures, nous devions poussés ceux pas en état d’écoutés les ordres. Voyant des personnes blessées, en larmes, paniqués, je du saisir moi même Sylune pour la forcer à avancer vers notre objectif de plus en plus proche. Quelques épreuves supplémentaires se jouèrent de nos esprits : La vision d’un nuage noir nous encerclant, et de ma famille périssant. Ou tombant dans les yeux, pour être observés par des perles rouges maudites, avant de revenir à nous. D’après Tolhda, c’était de pire en pire, la réalité illusoire distordue par l’influence du rituel. Si bien que nous ne pouvions qu’admirer les vagues silhouettes de faucheuses impériales, errantes dans les cieux, jusqu’à atteindre notre destination en forçant ceux les plus affectés à progresser. Et je dois dire que je faisais partie de ceux malmenés par la fatigue, et les évènements.

Éreintés par des viles épreuves, nous sommes parvenu jusqu’à la griffe concernée. Rayonnante d’une énergie si étrange, mais malmenée par le rituel impur. Hector Spencer n’était clairement pas de taille à parvenir à jouer avec une telle force, c’est ce qui restait intriguant pour Adel’Delroy : Comment ce minable apprenti n’ayant provoqué que des vices tordu lors de ses expériences avait pu prétendre pouvoir faire siens un tel pouvoir ? La réponse était simple, il était autant victime de ses propres attentes qu’il provoquait des torts aux autres.

L’entité malsaine qui veillait à ce qu’il produise exactement ce que ses maîtres attendent du pantin accomplisse, ne fut pas réjouie de notre venue. Les chaînes malsaines irréelles nous tinrent en respect, pendant que l’être infâme qui me laisserait encore des cauchemars approchait lentement, ses griffes noires serrant la terre de poussière comme des serres meurtrière, et ce, jusqu’à son intervention. C’iashta le connaissait déjà, à mon grand étonnement, Shigma vint dans une obscurité plus intense que je pouvais percevoir avec le Chevalier noir. Tout en lui était signe de danger, mais alors que le maléfice nous enserrant fut brisé, lui comme l’entité du néant disparurent dans un éclat flamboyant. Il ne restait plus qu’un Hector désespéré qui désirait grandement qu’on puisse le sortir de là. Justifiant ses actes par la nécessité, il considérait lui même son échec et ses craintes, son abandon de sa propre cause, mais il n’avait plus le choix. Les marques rougeoyantes de son pacte le força à saisir l’Hicor, le cristal de pouvoir factice, entre ses deux mains, et son être se mit à se décharné sous l’intensité du pouvoir entropique.

D’Hector Spencer, il ne resta plus qu’une silhouette spectrale immonde, comme une armure vivante soulevée par un tourbillon d’une fumée noire épaisse. Le grondement interne ressemblait autant à un cri d’agonie que de colère folle. Le combat s’amorça, difficile et nerveux, plusieurs d’entre nous en subissant les contre-coups terrible, notamment Sylune. Dès son casque brisé, le lien résiduel avec l’éclat de Dalamud se brisa en provoquant un ravage dans les environs proches : Fracas de pierres, arbres brisés, cratères fumants et éclats de cristaux, c’était toutefois l’ouverture quand nous avons surmonté le ravage pour atteindre le cœur du spectre : L’Hicor. Sous les couches de métal irréelle, le cristal pulsait doucement jusqu’à ce que nous frappions tous ensemble avec coordination. Brisant ce maudit cristal en milliers d’éclats épars, l’énergie retournant dans son domaine obscure, ne laissant que d’Hector une vague fumée, un souvenir d’un homme ayant voulu changer le monde en le purifiant des injustices. Et qui en provoqua encore plus.

Ainsi, L’Inrien à perdu la source de pouvoir profane autant que ses hordes de sbires avides. Ses liens avec Onotsaku sont brisés, mais mes camarades ont raison. Tôt ou tard, il essayera de reforger ce qu’il à perdu, maintenant que ses forces, et ses plans ont été contrés, il ne reste qu’une chose : En finir, et l’arrêté lui. A la fin de cette très longue quête, nous arrêterons L’Inrien, avant de partir vers d’autres aventures qui nous attendrons toujours ! »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 06 nov. 2018, 06:17

Dédié aux Officiers des Casaques Jaunes. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport ouvert – Noscea Centrale, Environs du Poste de Nevelle. "Fugue inattendue. "
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang C]

« Mes respect,

L’accomplissement du Mandat se fit avec une petit équipe, malheureusement n’ayant pu retenir de nombreux novices, pour ce qui fini par être plus compliqué que prévu à la fin de nos recherches. Ainsi, j’atteste de la présence du membre des Epées : Kodjo Oronir, présent avec moi même, Kosenjobi Tsakuyi de la Balance. Travaillant auprès de Khani Klindwaen – Roegadyn à la hache novice, et du « Prince Blanc », un combattant à l’épée vaillant venant d’apparaitre dans les environs du Relais de Brumée. C’est avec cette équipe que nous avons rejoins les Vergers d’Estival avant de se mettre en route comme convenu pour le passage de Nevelle – Comme l’exigeait la situation, il était question de secourir un enfant disparut depuis quelques jours alors que les espoirs se faisaient de plus en plus mince à l’idée de parvenir enfin à le retrouver, devenant une des tâches prioritaires des mandats proposés par mes soins.

Chevauchant à travers la Noscea centrale pour atteindre notre première objectif, nous avons pu profiter du voyage, Prince Blanc installé sur ma jument et Khani sur l’étalon de Kodjo. Rejoindre le passage de Nevelle débutait donc notre enquête, alors que nous nous sommes espacés entres deux cibles au choix pour poser des questions sur l’enfant. Kodjo et Khani iraient discuter avec la mère, Madame Larnah, celle qui à créer le Mandat pendant que j’accompagnerais Prince Blanc discuter avec les Casaques Jaunes. Immédiatement, un officier du nom de Felix s’est précipité vers nous pour nous raconter qu’il s’occupait déjà de tout, et nous payerait pour quitter les lieux. Prince Blanc joua le jeu, en s’amusant un peu à ce que je voyais jusqu’à ce qu’il fasse tombé le masque pour lui mettre en face de ses quatre vérités.

L’esclandre débuté mit Felix devant ses torts, et il fut attraper par ses collègues pour une longue discussions à propos de ses manques de preuve - Il avançait que le petit de Larnah était devenu Pirate et escomptait bien le rammener lui même. Mort ou vif. Quant à la Mère, qui semblait bien malade, elle parlait des intentions de son fils de la soigner, et d’aller trouver des moyens de le faire. Elle ne semblait pas consciente des actions de ce Felix, Notre objectif se clarifait lentement, et Prince nous avait fait gagné du temps : Felix retenu par ses camarades, nous donnait largement le temps de partir inspecter la cachette de l’enfant, puis de partir en vitesse vers la rivière de Nym. En espérant qu’il n’est réellement pas devenu un pirate.

Grâce à la Mère, la cachette de l’enfant fut relativement simple à découvrir. Là-bas, il y eut découvert premièrement une petite fille qui guettait dans les environs en se demandant ce qui pouvait bien se passé. Celle ci discuta avec nous des dernières intentions de son ami, avant d’être raccompagné par Kodjo vers Nevelle pour qu’elle y soit en sécurité. Ce qui était inquiétant là dedans, ce sont les lettres qu’elle nous fit découvrir : Visiblement, Felix avait eu des contacts avec l’enfant pour lui faire faire parvenir une demande à la Guilde des Alchimistes pour apporter des soins à sa mère. Mais la caravane à été attaqué, ça nous le savions grâce aux informations de la Mère. Les pièces du puzzle tombaient lentement, alors qu’on se demandait encore jusqu’à où allait la duplicité du petit dans cette affaire, il apparut clairement que Felix avait des idées derrière la tête, et c’est sur cette crainte que nous nous sommes rués dès le retour de Kodjo vers la Rivière.

Un quai installé où la vie travaillait lentement à ses affaires. Le navire contenant les affaires médicales se trouvait non loin, deux enfants travaillant et les éclairs de cheveux roux du petit de Larnah se trouvait bien là. Cependant, la bande de brigand se faisant passé pour des mercenaires attira notre attention.

Pendant que Khani se rendit en direction des petits pour parler, et s’assurer de leur innocence : Ce qui était le cas, ils étaient juste en train de débarquer les caisses en pensant que le « Gentil monsieur Felix » avait simplement indiqué aux petits où elles étaient, en se préparant à les faire attrapés par les brigands, pour sa gloire personnelle. Après conversation avec les brigands, par la malice de Prince, il récupéra les preuves de la duplicité de Felix – Il avait envoyer les brigands piller la caravane, et se préparait à bien des manigances pour devenir une personnalité haut-placée de Nevelle. Ni Prince, Ni Kodjo, n’étaient prompt à les laisser s’en sortir ainsi, maintenant que Felix était déjà entre les mains des Casaques jaunes, hors de question de laisser partir ses séides qui pourraient se venger de ne pas avoir été payés.

Plusieurs furent tués dans une confrontation brutale, et la grande partie fut arrêtés. Un seul fini par s’enfuir à la nage en hurlant, pendant qu’on ramenait avec nous les enfants après avoir prit soin de leur épargner le spectacle des corps sanglants. Finalement, le petit à été rapporté à sa mère, et les caisses de provisions médicales remises aux casaques jaunes. Kodjo prit un bon moment pour soigner la Mère de sa maladie, ajoutant un peu à notre intérêt du bon soin total de ceux que nous venons protéger. C’est un sans-faute, si ce n’est peut-être un brigand en fuite, et une petite fille ivre morte. Mais j’atteste de la qualité de « Prince Blanc » et Khani Klindwaen. Ils ont très bien travaillé ! »
- Tsakuyi Kosenjobi.
Accomplissement d'un Mandat Rang C pour -
"Prince Blanc" - Kodjo des Oronir (membre de l’Épée) - Khani Klindwaen - Tsakuyi Kosenjobi. (membre de la Balance)

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 08 nov. 2018, 02:35

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"La chasse ! Tel fut l'activité de plusieurs membres des Tours une nouvelle fois, captivés pour certains depuis qu'ils firent équipes dans les steppes, c'est au service de Sylune Laefan qu'ils sont aller cette fois à la chasser au Griffe. Celui ci avait été repéré dans un lieu inquiétant, mais ne disposait pas de mandat - L'important restait son cuir, ses plumes, sa viande et surtout : Ses œufs ! Ainsi, dès qu'une approbation fut donné, l'Augure - un sloom aérien de transport léger Ishgardais, quitta le hangar de Brumée en décollant avec les Aventuriers récupérés par le Major Laefan, de la Plume. Il y eu : Kodjo, des épées, ainsi que C'iashta, future membre de cette Tour. Tsakuyi Kosenjobi, de la Balance, la jeune Sitha, et un curieux personnage nouvellement venu mais bien volontaire surnommé "Prince Blanc".

Tous furent portés à destination rapidement pour atteindre le nid, voyageant quelques temps au dessus de Sombrelinceuil dans une longue route presque soporifique même pour ceux qui sont habitués à de tels voyages. Installés non loin de la bonne position, mais suffisament pour ne pas affoler la bête et les environs, ils purent discuter d'un plan qui fut exécuté sans avoir besoin de courser le Mammouth comme la dernière fois : Prince Blanc, Paladin qu'il est, était là pour attirer le griffon à lui pendant que Kodjo et Sitha s'occuperaient de la ralentir en visant les ailes. C'iashta balancerait le filet récupéré avant de partir, pendant que Tsakuyi fila vers les œufs pour s'assurer de l'utilité de cette action. Sans ça, à quoi bon assaillir la bête maintenant ? Deux des œufs étaient présent, un fracturé, et l'autre intact.

Le Griffon ne pu pas résisté à la ténacité de l'assaut. Achevé par la lame de Prince Blanc, glissant le long de sa nuque, et frappant sans cesse jusqu'à la décapitation finale. L'Augure pu approcher en sécurité avant de s'installer lentement à côté du nid, permettant aux chasseurs de remonter l'emplacement en contre-bas utilisé pour piégé le griffon et l'empêcher des manœuvres aériennes après s'être focalisés sur ses ailes. La bête fut dépecée, rien ne fut abandonné pour ne pas gâcher une goutte de ce qui fut gagné en l'affrontant. Ni les os, ni les plumes, ni la chair, ni son œuf qui siège désormais dans l'Augure, dans la couveuse prévue par Sylune à cet effet..."


_____________________________________________________
Dédié autorités d’Ishgard. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

Rapport ouvert – La sainte citée d’Ishgard, dans le Coerthas. "Débarrassez moi d-elle ! "
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang D]
« Mes respect,

Notre tâche concernant ce mandat débutait dans la froide citée d’Ishgard, fière rempart du Coerthas d’où mon Père adoptif tire ses origines, et la fierté de l’héritage qui est désormais miens : Le seul fait de se considérer prompt à montrer sa valeur pour les autorités de ses hauts-remparts. Ce qui ne dispensa pas de venir les épaules bien couvertes de fourrures chaudes avec Kodjo, pour rejoindre notre dernière camarade. - Yuen Rahz. Epée, Sablier et Balance feront de pairs pour essayer de découvrir ce qu’il est advenu du fils de notre cliente. « Otto Vanild », dont nous avons eu la description vague d’un Garde de 27 ans, Hyur, aux yeux bruns. Ce qui ne nous servirait pas à grand-chose pour plus tard vu la situation désastreuse et incompréhensible d’une suite d’enquête difficile et fatigante par le grand froid de la citée.

La conversation avec la Mère nous apprit qu’il était en patrouilles dans les Contreforts et que les Templiers s’assuraient qu’ils parviendrait à en savoir plus rapidement. Commencer par le début des intrigues – A savoir, des informations sur ses officiers, si il était de la Garde, alors le plus logique restait d’aller voir ses responsables. Après avoir prit le temps d’entrer correctement, Yuen pu discuter un Chevalier-Capitaine présent en apprenant que le manque de vitesse de cette enquête était due au simple fait que 7 personnes supplémentaires semblaient porté disparue. Trois va-nu-pieds disparut en allant vers l’Aerodrome, un autre garde en plus de Otto, un artiste des rues, et le plus important là dedans pour la suite de cette histoire : Le Chevalier-Capitaine Harnoulf.

Pour l’instant, il y avait encore plus d’intrigues que de réponses, si ce n’est l’idée qu’il fallait partir vers les Contreforts de la Citée désormais. Mais un homme étrange passa, et sa présence fut plutôt troublante, inquiétante. Il avait l’air présent pour vérifié quelque chose, et parti brusquement. J’ai pu le poursuivre jusqu’aux Brouillasses, les bas-quartiers des miséreux se traînant dans ce froid terrible de la citée. Ne pouvant faire usage réellement de l’obscurité, une simulation d’un voyageur qui n’est rien d’autre qu’un errant fut un très bonne entraînement. Même si pour le capturer, je fis le sacrifice de ma cape pour lui mettre la main dessus avant qu’il ne brûle des parchemins avec des compositions musicales.

L’interrogatoire mena à plus de questions encore, sans pistes, il ne restait qu’à aller aux contreforts. Mais ça nous apporta le plus important des objets : Un insigne d’un Dragon, ayant des harpes à la place des ailes, et un clairon. Et Yuen se précipita à la Bibliothèque du Sablier pour en savoir plus.

Kodjo et Moi avons poursuivre l’enquête dans les Contreforts. Recherchant la trace des disparus, le plus important me semblait de poursuivre sur la piste de Ser Harnoulf – En effet, si il était au même endroit que les autres, lui serait sûrement bien plus rechercher en vue de son importance. Yuen nous contacta pendant nos recherches, alors que je découvrais que Harnoulf s’intéressait à la cathédrale suite à la disparition d’un artiste de rue. Les informations de la membre du Sablier était que le symbole est dangereux, étant une sorte d’amalgame de différents signes Impériaux. Garlemald était-elle dans le coup ?

Il était trop tôt pour le dire, et nous sommes donc parti pour la Cathédrale pour débuté une inspection rapide en conversant avec un prêtre du coin. Celui ci ignorait totalement ce qui pouvait se passer et rien ne laissait suggérer qu’il y ait une implication d’un groupe « d’amoureux de la musique » - Harnoulf, décrit par sa sœur, l’était. Et les signes Garlemaldais évoquait de leurs façons aussi la musique et les chants. Bien que les questions furent vaine, Yuen était convaincue qu’une sonorité se dégageait des pierres, une vibration, et nous sommes descendant dans les sous-terrains en demandant l’accès en vertu de mon Héritage dans la Maison Fortemps.

Quelques temps rapides suffirent à nous menés à destination, où nous avons pu découvrir une grande salle, bercée de musique, dévoilant doucement les disparues dans des grandes tenues, et d’autres joueurs d’instruments. L’Archidrake, celui qu’un homme avait crier dans le Chevalier oublié, nous fit face. Un Lalafell, dans un délicat costume. Il voulu nous mettre à l’épreuve pour nous faire comprendre ce qu’il en est, alors qu’on pensait juste qu’il avait ensorcelé les victimes. Un duel d’énigme – Même si je m’attendais à un duel de chanson. L’énigme était de boire la bonne fiole, alors que nombreuses des autres pouvaient être dangereuse. Et les sept disparut espéraient qu’on jouerait pour les comprendre, ils étaient tout à fait conscient de leurs actes, et de la situation. Otto était là, mais c’est le Ser Harnoulf qui était le premier à dire qu’on n’aurait jamais à les menacés pour leurs choix. C’est ce que j’ai pu apprendre, en buvant la bonne fiole.

Le Lalafell, comme les trois rescapés sans le sous, étaient des transfuges Garlemaldais. Des déserteurs, voulant vivre leurs passions avec qui la partagerait, et tout ceux présent avouèrent avoir juste voulu fuir leurs vies, leurs responsabilités, leurs familles. Pour vivre avec ce univers renouvelé par leurs passions et la chanson. Conscients qu’ils étaient aller trop loin, ils se préparèrent eux même à faire des excuses publiques, notamment pour Ser Harnoulf. Et la mission s’acheva pendant que Yuen me traînait sous le bras alors que je leur braillais dessus que leurs proches se faisaient un sang-d’encre.

Tout en me demandant si on à vraiment fini d’entendre parler de l’Archidrake Chantant. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 08 nov. 2018, 15:45

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et à Monsieur Tombefume.

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Rapport ouvert – De la citée-état de Limsa Lominsa, jusqu'à la Noscea Extérieur. "La poêle sacrée."
« Mes respect,

La tâche improbable de retrouver une poêle marquée à la Navigatrice peut sembler pour toutes aventuriers ayant déjà eu le goût des aventures et autres épopées puissantes et inspirantes, comme une vague copie de voyage qui ne permet pas d’aboutir vers quoi que ce soit de grandiose. Et pourtant. Cette fois, ce n’était pas l’aspect terrifiant de l’île d’Ombra et de son temple, ni même l’incroyable des machineries gobelins et du passage de l’Eternal dans les cieux. Il s’agissait tout simplement de la beauté de Limsa et des étendues d’une jungle Nosceénne profonde.

Le début de notre quête nous menait vers la Guilde des Cuisiniers de Limsa, en compagnie d’une équipe fort réduite. Nhagi, Moutah, et Prince Blanc étaient présent pour aller discuter avec la cuisinière agacée et tout le brouahaha ambiant d’un restaurant. Qu’est-ce que ce passage à peu me donner faim, en regardant les plats passants dans tout les sens, et en me tordant l’estomac. Il était cependant vain d’attendre pouvoir récupérer la dite poêle à un tel endroit. Cependant, elle nous dit simplement que pour ce genre d’objet, le grand Commerce de la ville restait bien plus efficace. Prince était parti, nous trois camarades errants dans la citée en regardant les commerçants vendre et les aventuriers errer. Nous sommes parvenu finalement à la grande boutique de cuisine où se trouvait la Poêle.

Son marchand voulait bien la revendre pour 150 000 gils en prétendant une antique œuvre d’art des temps anciens digne de telles richesses. Le prix était exorbitant ! Impossible de parvenir à nos fins avec lui, et nous avons commencer quelques démarches de conversations honnêtes mais essayant de mettre en avant le fait que celui ci pouvait être en danger – Ce qui n’était pas tout à fait faux. Cela dit, nous sommes des aventuriers, pas des brigands, impossible d’établir un nouveau plan comme le sac mystère pour récupérer le sifflet aux Kobolt sans avoir besoin de créer une sanglante bagarre avec ceux ci. Ici, la Loi prime, et la loi ordonne le calme et la justice, se mettre contre celle ci, nous aurait perdre toute crédibilité.

Mais de fil en aiguille de la discussion, il y eu une ouverture au plus grand malheurs de Moutah : Une chasse. Lui qui à horreur de la chasse, nous en sortions hier, il était temps d’y retourner, et pas face à n’importe quoi. Contre la Poêle dont il commençait sûrement à avoir des doutes : Un Coeurl adulte mort, pour sa viande et j’espère le reste au vue de sa rareté qui l’aurait rendu riche. Mais un Coeurl ne s’abat pas si aisément, et nous étions que trois. C’est ainsi que pendant que nous marchions vers l’Ethérite pour être envoyer vers le nord après les conseils d’un Casaque Jaune. J’appelais des renforts sur ma perle, et de nombreux alliés vinrent à notre aide.

L’appel fut d’une efficacité vraiment inattendue. Ce ne fut pas un ou deux compagnons supplémentaires venu remplacer Prince Blanc, mais nombreux eurent répondu à l’appel : Kais arriva, suivi d’une nouvelle connaissance découvre au Relais : Shosuro no Itaru. Et ce fut Moutah qui fit venir une petite équipe supplémentaire avec qui mes amis sont liés, même si je ne les connais pas encore beaucoup, après tout, l’aventure est faite pour apprendre à se connaître ! Sitha, Seika et Nuala, vinrent à nous. Curieuse de découvrir ce qu’il se passe, alors que nous étions à un camp de chasseur dans la Noscéa extérieur après le voyage en Ethérite – qui avait faillit me faire rendre mon repas tellement l’odeur de la Guilde des Cuisinier m’avait donner faim. Quittant le camp en restant bien soudés, entrant dans une jungle inquiétante où les bruits environnant étaient digne de nous donner des sueurs froides.

Il est déjà peu assuré de sortir indemne d’une jungle de jour. Mais alors de nuit, celle ci ayant pratiquement fini de s’installer, c’était encore pire. On devait s’assurer de l’absence des Miqo’te de la tribu des « Coeurl » - ce pourquoi j’étais contente de l’absence de C’iashta qui était déjà prise dans sa mission vers les Epées. Ce fut à tort, puisque notre rencontre plus tard avec eux fut plus que cordiale et même agréable, mais dans le doute qu’ils se décident à nous considérer comme un défi, je préférais ne pas rester trop longtemps à leurs vues, étrangement. Arrivés au profond de la forêt, nous avions pas vraiment de possibilité de jouer aux chasseurs : Seule Nhagi, et à la rigueur Itaru et moi avions vaguement les rôles pour le faire, mais il aurait été plus que dangereux de nous séparé en laissant autant de jeunes et de mages isolés dans la forêt. Peu envieux de sacrifier qui que ce soit, nous avons dès lors tendu un piège. Tout ceux possiblement sensible et peu prêt pour un combat acharné au corps à corps, iraient dans les arbres. Pendant que le Chevalier noir parvenu jusqu’à nous, faisait coulé trois gouttes de sang sur son armure, Itaru et moi prêts à intervenir.

Le Coeurl apparut, dans le déchaînement du tonnerre grondant, la foudre ondulant le long de ses longues moustaches, alors qu’il jaillit pour s’écraser contre le Chevalier noir. Si celui ci n’avait pas été aussi tenace, tout aurait pu très mal finir. Finalement, il s’écroula sous les nombreux assauts de Huit aventuriers concentrés et s’entre-aidant. Ce n’est pas non plus le simple fait de frapper qui aidait : On le faisait dans un ordre correct, et Nuala nous protégeait avec Moutah de plus de problème. Traînant le corps du Coeurl après une vague discussion avec ce qui semblait être le Nunh dont parlait C’lya, je préférais partir en vitesse avant que des idées dangereuse ne lui traverse l’esprit. On ne sait jamais, avec les Miqo’te, ils avaient l’air bien gentil, mais on verra une autre fois !

Nous avons pu finalement remettre le corps du Coeurl en vitesse au cuisinier qui parti rapidement le tailler en morceau pour en faire de belles pièces de viandes à des prix aussi exorbitant que la Pôele. Tout se fit en légalité, et sans ruse, ce qui n’était pas plus mal. Une fois de plus, un des artefacts rejoint la collection de monsieur Tombefume. Et je me demande maintenant, quel sera notre prochaine aventure à ce sujet ? Simple et active comme cette fois, ou aussi effrayante que les goules d’Ombra ? »
- Tsakuyi Kosenjobi.
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 09 nov. 2018, 19:21

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport à la Balance – Environs de la Penne , Avant-pays Dravanien. « Dossier : Contamination – Mission : Elle éveille les morts. »

« Mes respect,


Troisième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Kais Alliyliu. membre de la tour de la Balance.
- Kodjo des Oronir, membre de la Tour de l’Épée.
- Moutah Pontah, membre de la Tour du Sablier.
- Tolhda, Alliée, essayant de rejoindre le Sablier.
- C’iashta, Alliée, essayant de rejoindre les Épées.

Les affaires concernant Paix des Choux à clairement laissé une marque dans les esprits de nos camarades. Tous sont désormais plus que curieux de voir ce qu’il adviendrait de nos recherches maintenant qu’on restait sûr et certains de la dangerosité de cette menace. Ce fut peu étonnant que la plus part des mêmes de nos compagnons habituels se ruèrent en quête de progresser nos recherches quand des problèmes concernant de la texture gélatineuse noire refirent surface. C’est vers les terres de Dravania que nous avons été attirés par la mystérieuse mort de plusieurs Chocobo, seulement deux en vérités, et si ce ne doit pas être anecdotique malgré la vigilance des chasseurs locaux s’assurant de la bonne santé de leurs compagnons, ce qui fit plus d’échos c’est cette substance noire dégoulinante de leurs restes isolés à un endroit fort peu sécurisé, mais j’y viens.

Nous sommes donc parti vers la Penne, lieu de vie et d’éducation pour les chocobos dans cette belle terre qu’est Dravania, un soupçons de nostalgique me touchant en pensant à la magnificence de l’Eurée feste lors de la nuit tombée. Il n’y avait cependant pas de quoi se réjouir de notre nécessité à venir sur cette terre au vue des évènements, surtout pour ma crainte principale : Je ne connais pas les risques des bêtes en Gyr Abania, mais ici, imaginez si cette malédiction pouvait affecté un Dragon ? Ce serait un désastre. Une fois sur place, notre équipe allait se diviser pour mieux récupérer les informations locales pour parvenir à efficacement remonter le fil possible des pistes à suivre.

Moutah, C’iashta et moi sommes aller parler avec la propriétaire des Chocobos, pendant que Toldha, Kodjo et Kais sont parti inspecter les deux corps. Notre conversation avec celle ci ne fut pas spécifiquement dangereuse ou grandiose bien qu’il fallut en premier temps apaisée la femme toujours aussi marquée par la disparition de « sa famille » : La pauvre n’avait plus que ses bêtes, et maintenant, il ne lui restait plus que les œufs de ses bêtes. Deux indices furent grattés par mes camarades, pour partir sur deux recherches différentes : Découvrir plus d’informations sur le nid, et rencontrer celui qui avait fait revenir les bêtes après une grande balade, peu de temps avant leurs décès. Un certains « Josua ».

Si notre conversation ne fut pas la plus captivante, même si des indices traînaient dans ses propos ainsi que dans ceux des éducateurs locaux qui se moquaient un peu d’elle à cause de son lien avec ce Josua, perçu comme un paria gentillet du coin, mais à l’hygiène douteuse. Le cri étrange résonnant dans la Penne nous alerta, et c’est suivi de la femme que nous sommes parti vers l’étable. Du côté de nos compagnons, ceux ci avaient discuter avec le palefrenier pour retrouver les corps, guidés vers un étable clos isolé là où les Chocobo malade – ou morts, sont installés.

Kodjo vérifiait les environs et les chocobos malade errant, pendant que Toldha sous la surveillance de Kais observait la dépouille du Chocobo mort, en vérifiant celui qui regardait par l’extérieur. Le mort lentement s’éveilla et fut décapité par Kais sans préambule, pendant l’inspection de Toldha qui ne donna pas de nouvelles sources d’informations comme les corps de Paix des Choux ne nous releva pas plus de nouvelles. Cependant, les deux ne réagirent pas à l’idée que des deux cadavres de Chocobo, un était bien debout. Et un certains chaos apparut quand celui ci tourna la tête, et toute l’agressivité du cadavre éclata dans ses traits. C’est là que nous sommes arrivés, quand une porte en bois éclata sous la pression des trois autres qui se ruèrent dans un silence froid, déchirant un des occupants de l’étable en deux.

Bien entendu, en ville, les cris de peur ne passèrent pas inaperçu, et le temps d’en finir avec les bêtes infectés nous étions cernés par les curieux et ceux choqués du sombre décès d’un des jeunes travaillant ici. Il devenait urgent d’en apprendre plus, avant qu’une bête supplémentaire ne soit infectée, et notre première enquête nous menait donc vers le Nid. Se glissant à travers la foule en compagnie de la femme nous ayant indiqué les positions de celui ci ainsi que de ce « Josua », une courte route d’une vingtaine de minutes à l’extérieur de la Penne s’acheva finalement dans un lieu solitaire entres les broussailles, et la découverte des six œufs.

Six œufs, tous contaminés. La sentence restait irrévocable, il ne pouvait pas y avoir d’autre possibilité malgré les tentatives de Moutah de faire disparaître la contamination, nous avons du les détruire et les brûlés sous le regard de la femme hurlante de voir tout ce qui lui restait disparaître. Nous n’avions pas d’autres choix, un des œufs à été récupéré et confiné pour être apporter à la Tour du Sablier pour une étude approfondie. Il ne restait qu’à partir voir Josua, laissant des œufs fracassés dans un nid enflamme, sous le regard perdu de celle dont nous avions fini de faire s’effacer tout les espoirs restant de ne pas vivre seule. Elle venait de tout perdre. Si ce n’est la vie.

Retrouver Josua ne fut pas bien difficile. Grâce au plan de la femme avec les inscriptions nous guidant vers les bons lieux, une dizaine de minutes de marche rapide au vue de l’urgence, et nous voilà à sa tente au beau milieux de la forêt. L’odeur restait insupportable, tant cet homme manquait d’hygiène, et tout nos camarades furent plus que suspicieux, jusqu’à lentement découvrir qu’il ne s’agissait que d’un paria bossu et boutonneux, mais avec le cœur sur la main. Comme quoi, les malédictions peuvent être cruelles, mais c’est parfois le simple fait de naître avec des différences qui fait de nous un maudit, et sur ça, je me sentais proche de sa vie. Après une petite conversation et les bonnes questions posés par C’iashta – une fois de plus – nous avons suivi celui ci vers le lieu qui lui donnait si « mal à la tête », avant de découvrir un espace où tout semblait si différent.

Kais en fut le premier affecté, et nous avons vite bu nos potions d’Esprit concoctés par Moutah pour être protégés de l’ambiance locale. Mais pas de l’entité qui vint à notre rencontre : Sur l’instant, cela apparaissait comme l’apparition de la malchance même. Une entité indescriptible, pour l’esprit, mais nos potions nous protégeaient d’une brisure mentale trop profond qu’un regard hagard le temps de comprendre que ce genre de chose peuvent existé. Josua périt alors que l’avant fut noyés dans ce pouvoir incohérent comme une déferlante, et le combat s’entama. L’appel envers Hamelin Harper fut utile sur un point : Il devenait encore plus dangereux de ne pas rester face à l’entrée effrayante de la gueule de l’Atomos, et nous élaborions des plans pour nous en protéger. Malgré tout, le combat resta difficile jusqu’à ce que les différentes blessures causés nous laisses une ouverture.

Frapper ensemble, frapper fort, et le faire disparaître avant de nous même disparaître. Il ne restait lentement rien que des cendres vaporeuses et les images mentales du choc de la présence d’une telle créature, notre mission venait de s’achever. Il était temps de rapidement mettre un appel urgent sur la présence de cette distorsion dans la réalité et soutenir l’étude du Sablier face à de telles choses en cas de retrouvaille amer avec de tels choses. C’iashta resta pour mettre en terre les restes écœurants de Josua, pendant qu’on constatait au moins que l’espace ici avait l’air légèrement moins chaotique.

Mais il ne s’agissait plus de notre rôle, et nous craignons encore de la relation entre la contamination et la proximité de cet Atomos. D’autres enquêtes pourront peut-être nous faire découvrir la vérité, mais au moins, les environs sont relativement sécurisés si le Portail n’apparaît pas. Ci-joint à se rapport, une carte de l’emplacement de la rencontre avec l’Atomos. 

Liste des éléments rapportés :

- Présences de maléfices envers quelques Chocobos, mais pas de contamination ou de méthode de contamination découverte. C'est toujours flou.
- Affaiblissement du voile important dans cette zone =
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- Indices -

- Présence de la distorsion, et de l’Atomos. Aucunes relations claire n’a été établie.
- Carte rapportée avec l’emplacement de la distorsion.
- Objets scellés -

- Un œuf de Chocobo contaminé, remit entres les mains de la Tour du Sablier.
- En attente de nos prochaines missions - »

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 11 nov. 2018, 06:33

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Seizième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Une semaine aux nombreux efforts ne pouvait que succéder à un repos bien mérité, mais les activités reprennent aussi vite que les problèmes refont surface quand on ferme les yeux un jour. C’est avec l’impression d’une journée de paix agréable, qu’il fallait toujours recevoir la suite de ce qui nous attends. Remettons alors le contexte depuis tout ce temps : Hector Spencer est mort, L’Inrien censé être seul isolé de tout ses contacts. Onotsaku, les poussiéreux, et nos quelques adversaires ne donnent pas signe de vie, dans les faits, il ne nous reste qu’une cible.

Et il était grand temps de découvrir où celle ci pouvait bien se trouver, et si la situation était vraiment sur le point de redevenir calme depuis que lentement nos adversaires tombèrent les uns après les autres. Et pour atteindre celui qui devait payé plus que tout les autres, nous étions prêt à remonter dans le passé pour en savoir plus sur la manière dont L’Inrien est apparu : Quand est-ce que ce fou à volé le nom d’un Aventurier pour en faire le titre du monstre sanguinaire qu’il à fait découvrir à la face du Thanalan.

C’est par les informations de Stanislas Kortovan pensant grandement que le véritable « L’Inrien Tia » s’était trouvé à l’Oasis oublié, que nous nous y sommes rendu avec notre équipe presque habituelle. - C’iashta et Kodjo de la Tour de l’Epée, Moutah et Toldha de la tour du Sablier, Kais et moi de la Tour de la Balance. Et Nhagi, toujours alliée et fidèle, mais dont la situation ne tend visiblement pas à lui donner la motivation de lié sa vie à l’Ordre. Le voyage vers ce lieu chaleureux par le temps, mais inquiétant par l’ambiance, pouvait débuté. Les Miqo’tes n’avaient pas l’air des plus joyeuses de nous rencontrer, la Tribu « U » poursuivant sa vie en étant habituée aux étrangers depuis quelques temps, nous laissèrent au moins voyager en paix. Ici, C’iashta connaissait toutes les mœurs, on pouvait clairement compter sur elle. Pendant qu’elle, Toldha et Kodjo discutaient avec une Gardienne, je restais avec Naghi, Kais et Maeva. De notre côté, nous n’avons pas découvert grand-chose, si ce n’est que personne n’avait entendu parler d’un Tia arrivé dans les parages contrairement à ce que disait Stanislas, mais seul le nom d’un Hyurois du nom de « Pardon » fut découvert.

Ce fut bien plus intéressant du côté de la Gardienne interrogée, dévoilant qu’un groupe de brigand locaux œuvraient visiblement pour une certaine « orte de Kharn », sans comprendre vraiment de quoi il s’agissait. Installé dans une vieille mine abandonnée, plusieurs chasseuses avaient disparues là-bas, et si nous ne trouvions pas d’indice sur notre homme, si ce n’est vaguement l’histoire de ce « Pardon », au moins pourrions nous être utile ? C’est là que débute un long voyage dans le désert, pendant que lentement la nuit tombait, le chaud devenant du froid, en marchant difficilement sur ce maudit sable omniprésent. Et ce jusqu’à notre destination.

La nuit était tombée en arrivant, le froid se levant nous gelait les os. La mine était plus qu’habitée, et ce fut une véritable infiltration. Notre équipe ne voulait pas devoir pratiquer une confrontation frontale sans savoir ce qu’il se passait clairement, et il fut découvert de toute façons qu’il y avait des prisonniers : les chasseresses. Le campement était installé en un vaste cercle comme enfoncé dans le sol, là où les vieux bâtiments de minages étaient dressés pour tirer des minerais, bien que d’après les informations, le « Old Grunge » ayant voulu réussir à faire tourner l’affaire s’en est mordu les doigts. Je me demande même si ce n’était pas le Roegadyn obèse qui forçait avec un fouet à faire danser une des Miqo’tes face à tout ses hommes ricanant et bavant.

Plusieurs des nôtres étaient bouillant de rage, je ne pouvais qu’imaginer les pulsions de l’Estime ou encore l’indignation de C’iashta quant à la honte faite à une guerrière. Lentement, profitant des ombres, on esquivait les patrouilles en se débarrassant d’elles au mieux, jusqu’à ce que le groupe se mette petit à petit en place : Toldha et C’iashta avaient assommé un balayeur, et les voilà installés sous une maison en bois surélevée en regardant la situation. J’étais en position pour libérer les prisonniers, voilée sous le nuage de ma dissimulation pendant que Nhagi se préparait à décocher depuis les hauteurs, là où les Sentinelles avaient été envoyés à un long, très long repos. Kais et Kodjo contournèrent pour s’occuper des Sentinelles de l’autre côté, et c’est les que les ennuis arrivèrent : Ils étaient deux, contre trois, et on compter sur un plan où Kais devait les abattre en un éclair. Ce qui arriva presque. Mais sa fureur fut contenue par leur adresse, et l’alarme fut donnée. C’iashta s’était dévoilée avait qu’une Miqo’te soit torturée dans les flammes, et quand le combat éclata, tout ne fut plus que chaos avec la grande efficacité des nôtres à se débarrasser des hommes de ce gros lard.

Les prisonniers libérés et les brigands vaincu, il ne restait plus qu’un très gros problème qui s’était dévoilé entre les mains de l’homme : Un pisto-lame dont le premier tir blessa Toldha. Cette maudite arme était trop dangereuse, nous l’avons désarmé le plus vite possible, mettant fin à ce combat ; Lui était offert aux chasseresses en vengeance, hurlant en paniquant face au destin funeste l’attendant. Nous, nous étions sur le point de faire une plus importante découverte : La caisse au nom de « Cohorte de Kharn » possédait une sorte de dispositif magitech ayant un message à faire passé, et celui qui nous l’à expliqué, c’est L’Inrien.

Le Miqo’te avait été retrouvé en train de balayé ici même jusqu’à ce que C’iasha l’assomme. Il s’éveillait lentement, et se dévoila comme étant L’Inrien Tia, venu pour essayer de retrouver son nom, tout en retraçant lentement ce qu’il s’est passé pour en arrivé là. Stanislas avait du découvrir ce fait, mais celui ci restait totalement introuvable.

Aussi, une fois tout le monde soigné et les prisonnières sauvées, il y avait visiblement un moyen de comprendre le message laissé dans la caisse, en partant vers un lieu que le véritable L’Inrien connaissant : Là où tout à commencer. Traversant encore un bon morceau de désert nocturne, resserrant nos équipements et nous occupant du Miqo’te éreintés, nous avons finalement atteins notre destination après une route épuisante où il fallut s’occuper des blessés, plaignant la porte Tolhda qui avait reçue une blessure à la cuisse il y à moins de vingt minutes.

Et il en fallut plus que ça pour atteindre un lieu de pierre levés, comme un monticule rocheux au loin du Thanalan, nous y installant pour découvrir le vieux navire impérial écrasé depuis bien longtemps, et cela n’aurait été qu’une découverte si il n’y avait pas eu ce Signifer et ses soldats Garlemaldais en train d’inspecter la carcasse de métal. Les gobelins qui s’y étaient installé avaient été entassés morts plus loin, et les soldats retiraient les plaques de métal ajoutées dessus, pour dégagé la carcasse de l’épave brisée. Quand la rencontre se fit, ils ne cherchèrent pas à nous massacrer, mais à négocier avec l’irritante confiance habituelle de ceux se donnant l’impression qu’ils ont déjà gagné sans même agir. Ils proposèrent de récupérer le dispositif contre des informations différentes, un retrait sans problèmes, et autres choix de « paix relative » dans la seule conviction qu’ils pensaient avoir quelque chose à nous apporter.

Imaginez bien que mes compagnons n’en étaient pas ravi, jusqu’à ce qu’éclate le combat pour le dispositif. En sous nombre et face à des aventuriers entraînés, surtout avec le renfort de Moutah guérissant ceux de nous déjà bien entaillés par leur assaut, nous sommes venu à bout des forces Garlemaldaises. Le dispositif fut utilisé pendant qu’on s’occupait de nos blessures, moi étalée au milieu de tous après avoir été foudroyée – Le bouclier d’éther concentré m’épuisa totalement, me laissant à attendre qu’on me porte pour partir d’ici. Mais le message était bien plus important, et bien trop grave pour être ignoré.

Kharn Rem Sonorion, l’officier Impérial se dressait trop en s’adressant à un certains « Baste » censé être la véritable identité de celui se faisant nommé « L’Inrien. » - Il lui adressait une seconde chance d’être utile, et lui enverrait bientôt de quoi partir pour le Coerthas là où les projets de Kharn se déroulerait. « La griffe sur l’Epée », était sa cible, mais aussi quelque chose qui provoquerait de l’agitation dans la Citée-état d’Ishgard. L’avenir se traçait lentement devant nous : Il faut arrêter Baste avant qu’il ne parte pour le Coerthas, et découvrir quels sont les intentions de son frère, Sonorion. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 12 nov. 2018, 01:36

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités des Vigiles Sombres.

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Rapport ouvert – Neuf-Lierre, Forêt de Sombrelinceul. "Retour à la maison."
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang B]
« Mes respect,

Au Relais de la Balance et du Sablier, nous nous sommes retrouvés pour partir avec la totalité des inscrits pour ce Mandat – Ce fut une belle surprise, et de nombreux aventurier à découvrir. Tristane Mornerive – jeune élémentaliste crépusculaire timide, mais motivée, qui était soutenue par la bienveillance de ses compagnons, Selaine par exemple, une autre crépusculaire motivée et protectrice à la lance, agissant de pair avec Finaen, un autre utilisateur de magie. Kuuyi avait l’aspect du bienveillant voyageur, un Raen – et c’est si rare que je croise une personne de ma race en tant que mâle dans ses contrées, transpirant en lui une sérénité et une envie de guérir les autres. Ce qui collait parfaitement avec la présence de Moutah, comme le prouverait la suite. Et les Epées furent la pointe de fer de notre groupe, avec la présence de Kodjo et Aldualim. En soit, le groupe était vraiment complet et prit notre mission très au sérieux.

Après avoir fait un point avec notre équipe, nous sommes parti pour la forum de Sombrelincueuil, dans les étendues de Neuf-lierres, avant de se mettre correctement en formation pour atteindre les Ruchers de Pleinefleur. L’objectif restait clair : Retrouver le Sylphe et permettre de faire en sorte que celui ci rentre à Refuge en bonne santé. Après avoir convenu de plusieurs méthodes pour un déplacement rapide et sans problèmes, notamment une formation pour ne pas être surpris en restant en bonne ordre tous ensemble avec rigueur et entraide, nous sommes parvenu à destination en constatant plusieurs choses : La guivre ne devait pas être loin, celle signalé par les aventuriers de Gobet ayant déjà échoué à l’accomplissement de cette quête. Et une présence humaine nous épiait.

Kuuyji, Aldualim et Tristane enquêtèrent dans un bout du terrain et retrouvèrent des enfants avec qui parler pendant que je restais avec Finaen et Selaine pour converser avec les apiculteurs locaux. On apprit visiblement qu’il recevait des lettres pour déposé le sylphe à un endroit particulier au lieu de le ramener chez lui, le tout provenant d’une certaine plantation appartenant à un maître brasseur très cher. Un hurlement venant de la forêt nous fit dressé les oreilles – ou les cornes pour moi. Aldualim avait arrêté un brigand les épiant, en lui tranchant la jambe bien involontairement, mais il fuyait. Et il fallait bien qu’il arrête de courir. Celui ci fit la révélation que les siens ont payés par quelqu’un d’inconnu pour amener le Sylphe au même endroit que proposé à l’apiculteur : Un lien encore une fois avec la même brasserie.

Quand Moutah revint avec la Sylphe sur la tête et un pot de miel, celui ci avait vraisemblablement pu retrouver sa trace en enquêtant de son côté sur le miel ainsi que son un arbre. Les choix étaient nombreux, et un fut particulièrement malin : Les brigands étaient en embuscade au sud, nous avons donc laissé la Sylphe nous guider par le nord pour rejoindre Refuge. Et cela nous donna une initiative énorme.

La route à travers la forêt fut rendue plus agréable par la présence de notre guide, même si toujours aussi difficile de ne pas glissé par terre en se faisant mal. L’avantage restait qu’on allait de bon train, et qu’il restait probable que nous ne soyons pas repérés jusqu’à arriver à refuge, tout le monde restant aux aguets et s’assurant qu’il n’y ait pas de problèmes. Deux heures passèrent, et Refuge n’était plus trop loin, la mission semblait être une réussite, un voyage sans faire couler le sang, et pourtant. Tout n’est pas si facile n’est-ce pas ? Kyuuji surveillait nos arrières, et avait bien fait – Seul Kodjo fit la faute de se mettre devant quand tous s’écartaient, et fut écrasé lourdement au sol par la Guivre jaillissante du fourré pour l’écraser brutalement sur le dos, dans un grand coup de patte.

Celle ci portait une chaîne à la gorge, laissant des perles de sang glisser le long de ses écailles, et c’est là que mes équipiers m’étonnèrent : Ils ne réagirent pas avec la violence, mais libérèrent, soignèrent et apaisèrent la bête pour qu’elle se place dans une sorte d’extase reposante. Les brigands avaient essayés de nous contournés en profitant de l’action de la Guivre mais cela ne brisa pas la vigilance de Selaine, Finaen envoyant une grande bourrasque en les projetant au sol. Le temps qu’ils chargent, conscient de leur échec, nous étions tous prêts et ils furent tous assommés avec une brûlante efficacité.

Tout aurait pu redevenir très problématique, quand Aldualim récupéra le dernier contre un Treant s’éveillant lentement, agacé de sa blessure au visage par le sabre du samouraï qui lui avait involontairement causé en essayant d'empêcher le dernier fuyard de partir. Mais Kyuuji ainsi que Tristane finirent par l’apaiser et lui permettre de retourner dans le sol pour retrouver un sommeil bien mérité.

Tout était parfait : Nous avions esquivés tout les pièges, la guivre était apaisée et nouait un lien avec Moutah, les brigands étaient inconscients et transportés par nos soins, et la Sylphe restait toujours avec nous. Finalement, en atteignant Refuge, nous avons pu offrir les brigands aux Vigiles sombres avant de laisser la Sylphe à une liberté bien méritée. Bien qu’il restait quelques zones d’ombres dans la tête de plusieurs, il risquait simplement de faire naître d’autres mandats plus tard à leurs sujets. Ainsi, il y à toujours des aventures à vivre, et pour cette mission, c’est mission accomplie ! Et j’en suis plutôt fière, au vu des résultats ! »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 13 nov. 2018, 05:27

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités des Immortels.

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Rapport ouvert – Désespérance, dans le Thanalan Central. "Éclaireuses inquiétantes."
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang C]
« Mes respect,

Les informations quant à la présence de plus en plus régulière fourmis géante devenaient vraiment inquiétante pour la populace locale. C’est une jeune marchande Lalafell que nous avions sauvés il y à longtemps de ça, lors d’un de nos tout premier Mandat, qui remonta l’information en étant prête à payer de sa poche pour aider les pauvres va-nu-pieds là-bas dont bien peu avaient comme moyen d’empêcher leur destin de finir dévorés par des insectes chitineux géant abominable. C’est donc une fois de plus au Relais du Sablier et de la Balance que furent convoqués les aventuriers destinés à l’accomplissement ce ce mandat pour parler de la situation, et de notre départ.

Ainsi, les présents furent comme convenu – Khani Klindwaen que j’ai eue le plaisir de retrouver depuis l’histoire de l’enfant à retrouver dans la Noscea. Finaen Ambrelune avec qui j’ai pu travailler un deuxième jour d’affilé. Ainsi que la présence d’Hael, Nhagi et Sylune, parmi mes camarades habituels. C’est donc tout les six que nous sommes parvenu dans le Thanalan, à la Gare de Roncenoire, en observant le spectacle habituel de la ville s’occupant de ses affaires. Plusieurs personnes nous saluèrent, c’est qu’à force d’avoir agit là-bas, nous avons une certaine popularité depuis le combat contre la méga-structure gobeline et l’affaire du Chancrepince. Le départ fut donné, en direction de ce lieu isolé qu’est Désespérance en espérant qu’il ne soit pas trop tard pour aider à trouver une solution sans devoir s’attendre à repartir la queue entre les jambes en demandant des renforts d’urgences des Immortels suite à une véritable invasion inarrêtable.

En partant doucement vers le nord, nous avons déjà perçu que les problèmes seraient d’envergure après une trentaine de minutes de marche, mais c’est à Sylune que nous devons le fait de ne pas être tomber dans une grossière et très dangereuse embuscade. Cela aurait pu être terrible, mais à la place, ce fut gérer avec minutie. Concentrée sur les ondes et les sonorités souterraines, elle découvrit la présence proche de nombreuses fourmis sous un chariot complètement brisé, et nous avons élaboré un plan fructueux : Attirées et tombant dans une grêle d’explosions et de préparations enflammées, elles se ruèrent sur nous déjà vaincue. Le mur de Flamme d’Hael les accueillirent tandis que les flèches furent déversée. Elles étaient courageuse, mais pas invincible.

Le plus gros problème fut que le bruit du mortier de Sylune attira d’autre de ses maudites bêtes dans notre dos. S’extirpant du sol brusquement pour venir nous assaillir de part en part. Khani guerroya avec force, mais fut blessée par un impact grave. Dont il fallut s’occuper rapidement une fois la dernière de ses maudits insectes furent détruit. Au moins, cela faisait déjà ça d’éliminer. Il restait possible qu’il en reste beaucoup, et après les soins de notre amie, il était temps de partir vers Désespérance.

L’inspection de la caravane brisée fit découvrir que les fourmis s’étaient surtout acharnée sur une caisse brisée qui devait contenir des cactus, donnant déjà une idée de leur objectif. L’eau. Arrivés en ville après une vingtaine de minutes de marche, plusieurs furent éparpillés en divers recherche pour découvrir plus d’indice et de possibilité sur la situation présente. Sylune et Hael découvrirent vaguement que si il y avait des cavités souterraines, elles étaient désormais closes, isolant les Fourmis de leur nid en les rendant encore plus dangereuses, confuses, ralliée à ce qu’elles pouvaient encore considérer comme un chef en sachant bien qu’il n’y aurait plus de retour en arrière possible alors que les galeries n’étaient plus que des roches fracassés. Finaen pu récupérer un antidote qui nous serait fort utile en enquêtant sur les blessés locaux tout en découvrant qu’il y avait visiblement un « monstre », une fourmis bien plus grosse et épineuse.

Khani et Nhagi elles entendirent parler des Cactus et des problèmes actuelles, auprès de Cassia Landers de la Guilde des Gladiateurs présente pour donner un coup de main. La ville avait déjà reçue une brève attaque une fois, des gens étaient disparut, il était grand temps d’agir avant que d’autres ne soient à leurs tours condamnés. C’est donc vers la caverne que nous sommes parti, après une vingtaine de minutes de marche en bonne formation pour évité les mauvaises surprises.

En approchant doucement de la grotte découverte, nous avons été prit en embuscade qui aurait pu nous coûté beaucoup, grâce à la vigilance de Finaen et l’intervention brusque de C’iashta, les deux énormes fournis furent massacrés malgré l’état de la jambe de Khani, et quelques autres petites blessures. Le plus dangereux était que Sylune avait charger dans le tas en rugissant dans un instant de panique terrible mue à sa peur des cavités souterraines, et continuait sa ruée en agitant son épée avec laquelle elle venait de trancher une créature en quelques morceaux. La poursuivant en allumant une torche et une lanterne, fonçant à travers le passage de pierre gênant sur le quelle je faillis me casser plusieurs fois la figure, nous sommes arrivé finalement au fond de la grotte. Le trou formant l’ancien passage était rebouché depuis hier, c’est ce qui collait aux informations laissés par les présents dans le village pauvre.

Mais notre présence eue rapidement finie par dérangé les locaux que nous sommes venu massacrer – L’énorme fourmi au corps rempli de poison qu’on savait venimeuse progressait avec ses quatre amies nous encerclant complètement. Khani fit de gros effort malgré ses anciennes blessures qui devait la faire souffrir, pour prendre sur elle et attirer l’attention des fourmis vers elle plutôt que faire nous. Nous nous en débarrassions lentement, Sylune ayant provoqué un tir groupé plutôt puissant permit de nous libérer la voie pour faire un véritable petit massacre, et c’est Finaen, C’iashta et Sylune ensemble qui vinrent à bout de l’énorme monstre dont l’antidote du médecin de la ville permit d’empêcher des graves empoisonnements. J’ai reçue un très mauvais coup à l’épaule, réduit par l’efficacité et la réactivité des présents, pour me dire dès que je finissais étalée au sol dans la poussière, qu’au moins c’était fini, et qu’il ne me restait qu’à me reposer pour une journée festive le lendemain.

Les fourmis mortes, les éclaireuses ne reviendront jamais dans leurs ruches, même si elles le pouvaient. Ce qui achevait notre mandat, dans une poignante réussite. Douloureuse, certes, mais une réussite quand même ! »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 15 nov. 2018, 12:17

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport à la Balance – Coerthas Occidental - Vers le Glacier de Froidesprit. « Dossier : Possession – Froidesprit.»

« Mes respect,


Quatrième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Sylune Laefan membre de la tour de la Plume.
- C’iashta, membre de la tour de l’Épée.
- Lustian Raimost, Allié.
- Naghi Kantor, Alliée.
- Hael des Dotharl, Alliée

Une mission inattendue apparue lors d’une entrevue à la bibliothèque du Sablier pendant quelques études diverses et variés. L’initiateur de cette investigation est une connaissance du relais, et un ami proche nommé Lustian Raimost dont l’occupation de médecin nous est grandement utile, et dont le mentor s’occupe aussi de cette affaire. Cependant, l’intrigue restait suffisamment inquiétante pour nous préoccuper de cette tâche. Ainsi, j’ai pris la responsabilité de mettre cette tâche sous l’égide de la Balance, pour parvenir à découvrir le fin mot de l’histoire.

L’affaire concernait visiblement une Mère dont l’époux à disparut lors d’une enquête pour l’inquisition Ishgardaise dans un Glacier inquiétant. Son accouchement mena à la naissance d’un enfant qui se mit à grandir de plus en plus vite avec des stigmates – D’après les descriptions, il ressemblait à un hôte. Quelque chose avait pu s’infiltrer pour atteindre cet enfant, et la Mère se refusait d’accepter qu’il y ait un problème, comme subjuguée par quelque chose. La crainte était que la disparition de l’enfant pourrait entraîner celle de la Mère d’une façons où d’une autre. En l’espoir d’une libération, elle restait mise dans un lieu isolé, scellé et surveillé avec l’enfant le temps de l’inspection de notre équipe.

Le voyage débuta après plusieurs réunions de préparations pour bien nous mettre en place : Fourrures, potions d’esprits, eau bénite, poudre d’argent. Nous étions donc préparer à la plus part des éventualités, et nous débuté le voyage depuis le Nid du faucon, dans le Coerthas occidental. Pour en savoir plus, la première cible restait une caverne dans un glacier censé être le dernier lieu de passage du Père, un Templier d’Halone d’Ishgard. Sylune avait déjà pu discuter avec les locaux, apprenant que des grondements sinistres sortaient de la dite caverne, et il ne fallait pas longtemps pour les entendre aussi de notre côté, quand nous y sommes arrivés. Le voyage fut long, une bonne heure à traverser les cieux glacés du Coerthas sur les solides Chocobo Ishgardien, et j’adore que j’aurais adoré pouvoir traverser les cieux de nouveau sur le Yol de mon époux. Mais la liberté de pouvoir marcher était savoureuse une fois descendu du Chocobo de Sylune, bien que la pointe d’inquiétude nécessaire grandissait en voyant le lieu.

Le corps d’un dragon étalé plus haut dans le glacier, semblait n’être que malveillance et horreur, pendant qu’un cristal rouge ondulait dans un coin. Après quelques inspections, notre première absolu fut de détruire les yeux du dragon, toujours gelés. Un mal ancien s’éveillait lentement, comme une haine pulsante partout autours de nous. La crainte de voir le dragon revenir, poussé par quelques choses de bien trop grave, passait en priorité par ses yeux. Dans une formation efficace, Nhagi, Hael, Sylune et moi unirent nos talents pour les brisés en même temps, provoquant un grand fracas quand sa tête s’écroula au sol.

Et ce n’était que le début des ennuis. Le cristal fut brisé par Sylune, qui avait fini par comprendre la nature de la scène – C’était le spectacle d’un combat antique avec un Chevalier-dragon, et son adversaire. Depuis longtemps, le cristal et l’arme avaient été enlevés au corps, mais ils ne déplacèrent pas celui ci en mesure de trahison, comme l’écho de son esprit le grondait encore. Et pire encore, se trouvait dans la neige non loin de là, camouflé.

Les corps du Templier, du Chevalier-Dragon et du Dragon lui même furent finalement détruit, prenant le temps de ne pas laisser de trace quelconque, surtout que celui du Chevalier-Dragon présentait clairement des traces d’une infection obscure. Seul le cœur du dragon persistait, et c’est à travers lui que nous avons pu entendre l’échos de ses propos, nous suggérant de fouiller la neige environnante. Nhagi s’en débarrassant en décochant plusieurs flèches envoyant des ondes de vent dans tout les sens, bousculant la poudreuse, jusqu’à ce qu’un coin en particulier ne puisse pas être soulevé.

En filant là-bas, laissant le cœur qui lentement s’éteignait et à la volonté de Sylune, le laissant dans ce glacier lui servant de tombeau, nous avons découvert la nature du problème. Sous le voile illusoire, une faille du néant était ouverte, ondulante lentement non loin des planches de bois contenant les sceaux ayant jadis permit l’isolation de ce passage vicié. Demandant bien à Hael d’inscrire les sceaux sur un parchemin pour des études approfondies, nous avons finalement clos l’accès en usant pour elle de son savoir et de ses prières, tandis que je faisais usage du parchemin de Moutah. Je confirme son utilité, l’éther de la voûte céleste inscrit dans ce rouleau permit de faire usage de mes talents pour parvenir à clore cet accès avec l’aide d’Hael, ne laissant alors dans cette grotte que le souffle du vent, et les échos du passé.

Le mal, venait d’être éradiqué, et si nous avions des pistes pour plus tard, il était temps de s’occuper du présent : L’Enfant et la Mère. En fermant la faille, un cri distant fut audible, comme si quelque chose semblable à des cendres avait été attirés ici. Notre dernière piste était peut-être en train de disparaître, et bien que nous avons rien trouver pour aider la Mère, nous nous sommes rués sur les chocobos pour accomplir la trentaine de minutes de voyage vers le lieu de confinement usé par le Sir Delatour, mentor de Lustian, qui nous y attendait. D’ici, il confirma la disparition du spectre comme happé dans notre direction, celui ci avait visiblement été arraché de l’enfant.

D’après les dires du Cœur du Dragon perdu, le Père explorateur fut contaminé par l’esprit qui avait habité le Chevalier-dragon mort, celui ci même qui avait convoqué plus de force par l’intensité de sa colère. Mais avec la fermeture de la faille, nous avons découvert un enfant épuisé, habité par une lueur d’un blanc paisible, dont qu’aucun des moyens en notre possession ne permettait de découvrir une seule trace d’obscurité : Il restait pure, pure et habité d’une force bien plus chatoyante qui n’aurait pu l’être. Cette force me faisait pensé à celle inspirée en Sylune, cet échos d’un pouvoir incompréhensible.

Des tests, des mesures, furent prises sans cesse. Il vomissait encore de l’ectoplasme due à sa condition ultérieur, son corps s’en purgeait lentement, soutenu par une potion d’esprit. Il avait été un habitacle, un habitacle qui aurait du être l’objet du Spectre depuis fort longtemps, mais qui s’était battu tout ce temps, soutenu par cette clarté intérieur. Il n’y avait pas de raison d’y croire, mais pas non plus de purifier les lieux comme nous avions pu le faire de la grotte.

Je me souviens des choix de Yuen, des responsabilités expliquées autours de la Pluma Noctis, et fit le miens : L’enfant ne semblait pas être affecté par un mal quelconque, même si son destin l’était invariablement. Perdre tant d’année de sa vie, avant même de l’avoir commencé, pouvait être un traumatisme titanesque, mais d’après l’expérience vue sur Sylune, j’avais en tête que cette mystérieuse force pouvait contrebalancer la cruauté du Mal lui ayant brisé ce départ de vie. Et il avait encore une Mère, même si ils seraient étroitement surveillé par les Fortemps. Peut-être resterait-il une once d’espoir. C’est avec cette fin que nous avons quitté les lieux, toutefois, l’affaire n’est pas close. Il restait à savoir qui avait bien pu vouloir scellé la faille. Et surtout : Qui devait désormais payé pour l’avoir ouverte ? »

Liste des éléments rapportés :

- Ceci à visiblement un rapport avec des Spectres, mais peut-être pas d’une classification banale parmi les esprits frappeurs liés au monde. Ceux ci ont clairement un rapport direct avec le néant, une étude approfondie permettrait de mieux les comprendre, mais une fois l’affaire classée.
- L’enfant est actuellement sous haute surveillance, en attente de son évolution.
a écrit :- Indices -

- Présence d’ectoplasme pouvant permettre d’identifié le type de spectre.
- Sceau ayant permit de scellé la faille recopié sur un parchemin.
- La faille et son emplacement, des historiens ou un travail avec le Sablier permettrait peut-être de retracé l’histoire du glacier de Froidesprit pour apprendre qui est le coupable.
a écrit :- Objets scellés -

- Fiole d’ectoplasme. Disponible à la récupération pour les études du Sablier.
- Un parchemin avec les sceaux gravés pour scellés la faille du néant.
- Affaire encore non-classée jusqu’à une fin d’enquête pour retrouver les coupables - »

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