[Chroniques] Journal de Tsakuyi

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 13 oct. 2018, 04:44

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Dixième entréeDans la Basse-Noscea. "Sauvez mes Citrouilles !"

« Une quête de repos, un mandat simple, qui aurait pu l’être encore plus sans notre manie de nous mêlé de tout les problèmes qui soient. Depuis les problèmes de Mousse-sèche et les dernières blessures, il était bien grand temps de revenir vers une de nos simples épopées, comme quand je parcourais le Thanalan pour finir par nettoyer des filets de pêches avec Sakiko. Mais cette fois, c’était avec toute notre famille qu’on irait battre les champs pour quelques citrouilles. Après quelques petites enquêtes et observation des journaux locaux – Car une bonne préparation de mission aussi bénin soit-elle, c’est surtout de l’information, il fut clair qu’il y avait de quoi réfléchir à la situation à Coq Rouge depuis que les Spriggans firent leur sale coup pour notre Yuen adorée.

On ne pouvait pas laisser passer ça, aussi simple soit-il, mais déjà plusieurs membres du Relais d’aventuriers où nous vivons ce sont chargés d’affronter plusieurs des créatures mesquines. Ce fut cela dit avec étonnement que nous avons pu sortir de la Brumée en direction vers Coq rouge, quelques minutes suffirent à nous faire rencontrer un petit Spriggan qui regardait avec étonnement la ville, ébahit par une lueur qui provenait d’une petite tour blanche. Ce qui débutait notre mystère, car il fut très aisé de récupérer le Sriggan, ce qui le serait moins, ce sera de comprendre la situation locale. C’est ainsi que notre groupe fut divisé en deux – Aldualim, Kodjo, Kais et Nhagi se chargeraient d’enquêter en ville en récupérant des Chocobo et un gros chariot, pendant que Sylune, Sakiko, Moutah et moi ferions la petite enquête du Spriggan troublé qui nous mèneraient vers une situation pour le moins inattendue.

Tout ne se passa pas comme prévu en ville, vous imaginez bien, surtout avec les sauts d’humeurs de Kais ayant faillit se mettre en très mauvaise situation avant le marchand – ou du moins l’escroc, qui vendaient le chariot d’un autre à un prix exorbitant. Situation qui se régla sans scandale, en apprenant que les vols se trouvaient maintenant directement dans les maisons et sans les indices habituels des spriggan. Ceux ci étaient capturés, et pourtant les larcins poursuivaient, ce qui inquiétait grandement les gens du coin, mais une information importante fut libérée – Tout cela débuta par le vol d’un objet précieux d’un antiquaire bizarre passé dans le coin quelques jours plus tard. Kais et Nhagi furent mit sur la piste, discutant avec un vieil Elezen Gridanien n’ayant plus toute sa tête parlant de pot à moutarde servant à bloquer « quelque chose de très vicieux. » - D’après ses dires, une catastrophe pouvant emporter tout les environs dans la mort et les ravages. D’un coup, la mission fut prise au sérieux malgré un doute sur la capacité mentale restante du pauvre homme. Kodjo fit un bon travail en découvrant que les responsables des vols étaient des enfants.

Ceux ci récupéraient les affaires en jouant de quelques petits tours coquin, mais rien de bien méchant ni dangereux, si ce n’est un étrange rite qui propulsa brusquement Kodjo dans une caisse dans un grand fracas. Tout se recoupait avec ce que nous avions découvert. Des enfants à côté de la tour, parlant d’un certains « Grasdubide » qui serait d’après eux, un protecteur pour toutes les contrées que même les Impériaux craindraient par son pouvoir. Cela avait loin d’avoir l’air d’une entité primordiale, sauf si elle se préférait à subjuguer les choux, les tomates et les citrouilles. Mais l’amulette étrange que l’entité avait laissé au dessus était au moins notre piste principale. Celle ci avait été difficile d’accès, comme si des lueurs blanches merveilleuses empêchait l’accès, mais d’après les lunettes de Moutah, c’était sûr et certains : Pas de trace d’éther sombre ici. Mais bien une possibilité de retrouver notre piste. Tous réunion, nous avons discuter ensemble de notre manière d’agir, et Moutah fit une expérience qui résulta par l’explosion du pot-prison à moutarde offert à Kais, nous aspergeant pour la plus part. Cette traque commençait bien tiens.

Guidés par le collier splendide, la route fut simple en devant supporter le regard de quelques enfants curieux que Kais renvoya avec douceur au village, l’esprit chevaleresque et protecteur ne lui manque pas devant l’innocence incarnée il faut dire. La grotte semblait un lieu atroce, sombre et affreux. Tout le monde se préparait à une opération à risque, et je fis mettre nos camarades en formation, comme Alden Warblade et Aldualim me l’ont appris. Entrant dans les ténèbres locales, il fut rapide d’en attendre le bout, pour découvrir la silhouette énorme flottant plus loin, derrière une sorte de barrière fantastique, luisante de bleue, de blanc, et de quelques étincelles rouges. La nourriture y était, des choux, les citrouilles, un peu de tout. En grande quantité. Pendant qu’on discutait sur ce que ça pouvait bien être, Sakiko siffla d’un coup et voilà que se révèle l’énorme Chocobo flottant dans les airs comme un ahurit.

Lentement, l’incrédulité nous apparut lentement, alors que petit à petit descendait du plafond le Mog qui tournoyait dans quelques élans de lueurs fantasques. Celui ci se dandinait en expliquant qu’il servait sa Majesté « Grasdouble » - il faut dire qu’il changeait son nom à chaque fois qu’il l’appelait, et la conversation s’engagea. Contre quelques une de ses épreuves, il consentirait à rendre sans violence les légumes récupérés. De toute façons, avec la barrière, il aurait été plus difficile de la forcer en usant de toute nos forces. Même si Aldualim préparait visiblement quelques choses de très puissant dans son fourreau, ce qui nous sauverait la vie à la fin des épreuves. Pendant que le petit Mog discutait avec Nhagi, Kais et Aldualim – Khais s’étant fait éliminé en se laissait dévorer par une sorte de bouche fantastique. Nous avons eu en épreuve – La danse – La vitesse – La force – et le fait de résister à un repas vraiment gourmet. Ce que Moutah ne fit pas, le coquin. Mais la dernière eue un petit dérèglement, et on s’apprêtait à se faire désintégré par une sorte d’énorme rayonnement. Aldualim intervint, ainsi que la plus part d’entre nous en usant de boucliers. Tous cédèrent, mais la puissance ayant aspiré les barrières elle aussi, se dissipa.

Le spectacle était magnifique, des lueurs partout scintillantes comme des centaines de constellations, une aubaine pour les yeux de Moutah, en tant qu’Astromancien. A la fin de l’émerveillement pendant que tout le monde se levait, il ne restait pas la présence du Mog, mais le gros Chocobo fut attrapé par Moutah, rigolant avec une Sylune vraiment agacée par les maudites épreuves. Rentrant en chargeant le chariot de citrouilles pour Yuen, avec dans la tête une longue soirée pleines de petites aventures, et pas de grosses blessures. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 15 oct. 2018, 00:33

[Rapport d'animation - Retranscrit dans le journal de Tsakuyi, mais caché dans une enveloppe scellée]
Le parchemin fourni cette fois sera bien différent. Entrelacée de tissu et de lanière bleutée, il y aura un petit sceau avec l'inscription "secret" dessus, en Hingashien. Celui ci sera bien plus décoré, d'une qualité bien meilleure que les simples rapports fournis alors jusque là. Confié aux mains des personnes de confiance, un sera rendu pour Monsieur Sinae Tombefume, tandis que l'autre appartiendra directement aux mains de la Dame des Quatres Tours, Kurusu.
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(Screen de Yuen, merci à elle !)
"Mes respect,
Ce message est réservé à l'attention de Monsieur Tombefume, et par respect, à Dame Kurusu.


De fait, il relève d'une mission à la finalité particulière, et suffisamment confuse pour ne pas être compréhensible pour n'importe qui, aussi est-ce un gage de bonne volonté d'inscrire cette note, mais elle pourrait être perçue d'une façons contre-productive en cas de réflexion non-justifiée sur la situation. Cependant, l'inscription et dans le principe de relaté les faits véridiques et notre bonne Foi, je ne prendrais pas de demi-mesure pour expliqué cette scène si confuse.

Notre mission se révélait normalement "simple", et elle le fut. Pas une seule goutte de sang ne fut versée, le long de notre tâche consistant à partir pour les Mines Kobolts dans la Noscea Extérieur, loin au nord de la Brumée. Un endroit que j'estimais à ce moment là comme une simple mine, mais qui dépassait finalement grandement tout ce que j'ai pu voir. L'équipe s'est composée de : Nhagi, Sakiko, Kodjo, Monsieur Tombefume, Kais, Sylune, et moi même . Notre objectif était de rencontrer le chef ayant pu retrouver le Sifflet recherché par Sinae, premier de la liste du Grimoire récupéré sur l'île d'Ombrah. Après le mandat pour Yuen il y à deux jours, on était pour le moins heureux de pouvoir vivre nos vies d'aventuriers très simplement. Si seulement c'était aussi simple.

Les mines sont fabuleuses, des amas de technologies que j'aurais aimer pouvoir apporter à Lucian Voss, qui nous conseilla à travers sa perle de ne pas jouer aux durs avec les Kobold, vu leurs influences locales, et que le mieux restait de marchander simplement et convenablement. C'est sur la route vers l'entrée que nous vint l'idée la plus folle et efficace jamais citée. Il était temps de mettre en pratique, un peu de diplomatie face à des Hommes-bêtes, et c'est ainsi que nous voilà face aux gardes avec un gros sac remplie de pierre. La faisant passé pour le "Sac mystère" d'une vieille légende qu'on voulait discuter avec leur chef. Zo Be, 56ème ordre de la pioche. A grand renfort de Cognac de Sylune, nous voilà sur le départ pour les négociations.

Pour trouver le chef d'un groupe de Kobolt, suit la direction de qui hurle le plus, et va rejoindre celui ci pour obligatoirement retrouver un contre-maitre hurlant et agitant les bras dans tout les sens. Zo Be, il fut difficulté à berné mais nous avons préparer une histoire avec Sakiko sur une tante Germaine qui voulait récupérer son sifflet, et la grandiose légende du Sac mystère. Le contrat était donc fait, sans véritable problème, mais quand ils se firent de plus en plus suspicieux, c'est en dénonçant qu'un garde à bu tout le cognac au lieu de partager avec son chef qui nous sortirent de là. Il me restait quelques tours en réserve, mais les mots nous firent un accès direct vers la sortie des mines sans une once de problèmes quelconques.

Et tout aurait pu s'arrêter là, sortant rapidement des mines avec l'objet de nos convoitises, jusqu'à ce que Monsieur Tombefume propose de faire usage du sifflet pour voir si il était conforme et précisément celui de la légende, sans savoir quel ânerie cela allait provoquer : L'Eternal fit surface des nuages quand ceux ci furent agglutinés dans les cieux râleur, et resta quelques instants, à la vue de tout, et surtout des forces du Maelstrom. Ce que nous ignorions à cet instant, pendant qu'on grimpait lentement les cordages, c'est qu'il s'agissait de pirate. Et qu'on était en plein dedans.

Grimpant rapidement pour évité le conflit avec le Maelstrom, et les faire déguerpir. La situation était nerveuse, difficile, et j'avais grandement l'impression d'être un oisillon en cage prête à me faire dévorée, mais ils ne voulaient que parler. Discuter de ce sifflet, que nous étions bien heureux de rendre avant de pouvoir partir, quand ils nous laissèrent à Brumé, en guise de bonne foi. Je garde tout de même des réserves, personne n'est Pirate pour un simple titre, mais j'escompte croire que ce genre de Corsaire chasse plutôt les Impériaux pour le petit déjeuner. Malgré cet vague sensation de trahison me collant à la peau vis à vis de Monsieur Tombefume, nous attendons à ce qu'il s'en repente en finissant cette quête, pour une bonne raison.

Et ne plus devoir avoir peur pour notre honneur, à faire face à des pirates...
Tsakuyi Kosenjobi."

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 18 oct. 2018, 04:57

*Se glissant dans ses notes, encore une fois. Un des rapports de missions de Tsakuyi sera installé dans le lot de ses écrits. Visiblement, le travail ne manque pas, puisque beaucoup de ses nouvelles notes ressemblent à des ajouts de leurs péripéties. Et cela risque de continuer ainsi pendant un petit bout de temps !*
Dédié aux officiers des Immortels. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport ouvertThanalan Septentrional "Marchands de vies."

« Mes respect,

Rapport de Tsakuyi Kosenjobi, actuellement membre de la Balance, des Quatre Tours. Responsable de son groupe de camarade engagés pour de nombreuses tâches, notamment à travers le Thanalan. Celle ci ne concernait pas les affaires communes de Onotsaku, ou de L’Inrien, mais nous avons reçu une missive concernant une possible tâche importante ayant été fournie et détaillée sur place par des informateurs de la Guilde des Aventuriers.

Le Thanalan Septentrional est un lieu inquiétant, bien bien loin de ce que nous avons l’habitude de cotoyer, et pourtant, même loin de la chaleur rayonnante du soleil, et plongé dans cette mauvaise obscurité, il fallait tout de même se préparer à la multitude d’épreuve nous attendant, ayant mit à mal notre groupe comme rarement auparavant. Les Immortels nous ont bien prévenu de la dangerosité de la situation, mais celle ci exigeait tout de même une intervention. Pour faire un bref résumé : Nous avons quitter le Camp de Brumebleue après contact avec les factionnaires locaux pour des détails de la situation.

Des marchands d’esclaves, et ayant une bonne envie de récupérer des douces Raennes – Ce qui ne manque pas d’ironie pour moi et ma sœur, et en faire un commerce. Ainsi que d’autres potentiels victimes de toutes sortes, tant que cela rapporte des Gils après tout. Le nombre restait en leur faveur mais le plan était de faire en sorte qu’il soit grandement diminué par une habile diversion dont nous ne savions que peu de chose, mais sur laquelle il fallait compté. La balance tourna à l’avantage de notre accord pour intervenir en connaissant les possibilités et les problèmes liés aux brigands, sur les voyageurs et innocents.

Surtout si ils ont des cibles spécifiques, ce qui veut dire qu’ils ne reculeraient devant rien pour faire d’une personne, sa captive. L’équipe fut formée d’une combattante des Immortels dont j’ignore le nom – Ainsi que Sakiko, Kodjo, Moutah, Nhagi, et moi même. C’est avec fierté que je me préparais de nouveau à me battre, en me disant qu’il était temps d’agir en ayant à l’esprit que je devais faire l’honneur des Quatre Tours. C’est ainsi que débuta notre voyage, à travers cet environnement morne, en ayant le droit de la part du Guetteur à un avertissement face à une sorte d’énorme créature semblable à une bête aux airs de scorpions qu’on retrouve dans Sombrelinceuil. Et la crainte était qu’elle soit au service de l’ennemi.

Le voyage fut rapide jusqu’à une vieille mine abandonnée s’occupant du mithril. Les décombres d’anciennes bâtisses, dont certaines tenaient encore debout, nous faisaient face. Les gardes étaient nombreux, mais il ne fallut attendre que quelques instants pour que l’agent infiltré agisse et ne dévie l’attention d’un bon nombreux d’eux, en les guidant vers le nord où ils tomberaient sur des complications inattendues. Quant à nous, ce fut donc dans une grande ruée qu’il fallait saisir notre tranche : Éliminé les gardes, atteindre leur chef, et sauver les otages. Quelque chose d’un semblant militaire, pour nos habitudes si aventurières, mais tel est la responsabilité de ceux qui osent se croire utile pour ce monde.

L’engagement fut rapide, alors que des occultistes, archers, et gladiateurs attendaient à différent point, tout fut brusque et rapide. Pour ma part, j’accumulais les blessures en essayant de défendre les miens. Lentement, les assauts vinrent à bout de l’adversité sous des affrontements efficaces, laissant à Moutah le temps de soigner nos blessures les unes après les autres. Mais c’est quand Sakiko et Nhagi ont ouvert la porte, qu’il devenait encore plus urgent d’agir.

J’étais dehors, pendant que je me faisais soutenir par Moutah dans l’urgence à cause de mon état physique, me requinquant suffisamment pour la suite – Nos camarades, Nhagi, Moutah et Sakiko étaient à l’intérieur en laissant Kodjo, l’agent des immortels et moi même à l’extérieur quand l’énorme créature aux airs de scorpions fait de cristaux s’écrasant lourdement sur le toit de la bâtisse où les otages s’y trouvaient. Des enfants, qui devaient être évacués en urgence, et notre rôle était de ralentir ce qui pouvait empêcher leur départ. Ce qui constituait à mettre la main sur la Raenne borgne qui semblait être la chef, installée sur un pillier en jouant de son fusil sur quelconque gêne vraiment, et empêcher l’énorme bête de provoquer trop de dégât. Ce qui était vain, l’hystérique au fusil mit à terre notre alliée, et mon état me permettait à peine de survivre à des idées audacieuse.

Quel chaos ! Les enfants s’éloignaient sous protection de Moutah, pendant que le vieille Raen se débattait avec les flammes de notre alliée. La situation s’arrangea pendant que le bâtiment s’effondrait lourdement sous nos pieds dans un terrible fracas. Kodjo et notre alliée avaient pu descendre rapidement, et blessèrent la bête de puissantes frappes. C’était notre chance ! J’essayais de faire chuter la queue de la chose, telle une énorme masse, sur celle ci en utilisant mon câble, et un grand bond. Mais cela ne fonctionna que grâce à l’assistance de mes alliés. La bête s’écrasa sous son propre poids, et ce fut l’instant où je perçu Moutah faire propulsée la vieillarde droit sur le sabre de Sakiko. Elle coupa celle ci en deux, sans autres formes de cérémonie, dans un geste si violent que si je n’étais pas épuisée, j’aurais trouver la force de vomir face à une telle frappe.

Les enfants libres, sur un champs de cadavres. Il manquait de personnes à emprisonné pour les faire parlés mais, au fond, mieux vaut un tas de brigand vaincu qu’un tas de problème pour la suite. Arrachant quelques preuves, dont la chitine de la bête, nous sommes revenu vers Brumebleue pour rendre la garde des enfants à qui pourra s’en charger avant de rentrer. Me demandant à quels genres d’organisations dégénérés cela pouvait bien enraillé les plans ? »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 20 oct. 2018, 07:10

Dédié aux Officiers des forces d’Ishgard. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport ouvert – Abalathia, Frontière Gyrabanienne. "Opération – Récupération dans la Jungle"

« Mes respect,

Rapport de Tsakuyi Kosenjobi, actuellement membre de la Balance, des Quatre Tours. Responsable de son groupe, mais ce soir sous le commandement de Sylune Laefan, des forces actives de l’Alliance Eorzéenne, avec comme équipe – Un Chevalier noir sans nom, Lucian Voss, Sakiko, Nhagi, Moutah, Kodjo, Hael et moi même.

Le voyage ne serait pas bien difficile, ou du moins, en supportant un peu du grand froid du nord alors que Sylune nous attendait à bord de l’aéronef qui nous déposerait dans un recoin de la jungle ciblée pour essayer d’atteindre l’objectif sans trop de tourment. Cependant, les premières difficultés sont arrivés plus vite que prévue. Un route dans les cieux avait été plutôt confortable, malgré le bruit des machineries, et me laissait observer les environs avec une contemplation certaine. Qu’il est plaisant de découvrir l’étendue aérienne d’une vaste terre, bien que les jungles finirent par couvrir notre champs de vision en ayant bien conscience que là se trouvait notre objectif. - Un Aeronef écrasé depuis un conflit contre un croiseur Impérial. Les détails sur cet affrontement doit se trouvé dans les archives militaires, mais notre rôle, notre mission, n’était que de retrouver la plaque et toutes informations probables à son sujet, ainsi que des potentiels survivants, mais ce n’était pas le plus probable. Surtout quand sonna l’information sur la présence de patrouilles de récupérations Garlemaldaise.

Le navire de Sylune s’installant dans la jungle après notre agréable voyage depuis la Sainte-citée. Et notre rôle ressemblerait presque à une opération militaire. Nhagi et moi avons été envoyés en éclaireur vers les forêts, n’y trouvant que des Ours agacé et un passage sûr jusqu’à l’Aeronef écroulé. La carcasse semblait si morne ici, et je surveillais les environs en voyant les miens parvenir jusqu’à destination, m’inquiétant sur la présence des Bombo et jouant mon rôle de la Balance : Informer, donner les faiblesses, et les solutions. Si le néant avait été attiré par les moteurs brisés de Céruleum, il n’y avait plus qu’une condamnation comme je pensais aux propos d’Harper si quelque chose de maudit : La destruction. Ainsi, pendant que le ravage de la machine était planifié par Voss, je rejoignais Nhagi à l’inspection de la première troupe de récupération de Garlemald plus loin sur la route.

Ils n’avaient pas l’air de soldat, sûrement des Eorzéen enrolés dans les plus basses strates des Légions, ramassant des morceaux de métal pour des récupérations rapides. Les possibilités étaient nombreuses, et je suggérais mes inquiétudes sur notre réseau linkshell jusqu’à ce que l’explosion de l’Aeronef réduit celui ci en morceaux, ainsi que les Bombo à l’intérieur ont du sautés avec.

Ça à du être un sacré fracas, mais au moins, au revoir l’influence ténébreuse sur les résidus de Céruleum. L’équipe d’intervention parti en vitesse vers la direction de l’explosion, et nous avons poursuivi notre cheminement vers le nord avec la même habilité à faire attention à tout les détails pour ne pas tomber bêtement dans un piège, en suivant une piste de sang découverte par Nhagi. Des problèmes survinrent de manière bien différentes – Une tour usée comme tour de relais d’informations pour coordonnés les troupes de récupérations. Le camp avancé découvert n’avait pas l’air non plus bien portant.

Des pilotes blessés tombés du croiseurs Impérial fracassé par les forces Eorzéenne attendant leur jugement. Malgré mon intervention parfaitement ratée remettant ma personne à l’entraînement intensive, ils se seront rendu. Directement, et sans opposition, avançant qu’ils seraient mieux en cage que massacrés par leurs supérieurs pour une honte impériale. Plusieurs étaient motivés par l’exécution pure et net de l’Officier responsable, mais notre rôle n’était pas de provoquer un massacre de prisonniers de guerre. Il serait laissé là, désarmé, jusqu’à sa récupération malgré le risque que cela impose. Pour ma part, je suis partie pour créer un passage balisé vers la grotte où Nhagi attendait, en trouvant le chemin le plus sûr pour les miens, qu’ils ont pu emprunter à leur tour. C’était en m’installant en grignotant quelques cacahuètes de survie (Hem) – pour faire tomber la pression, qu’on à pu constater à quel point cette grotte semblait inquiétante. Et y rentrer fut particulièrement problématique.

Inspectant bien les environs, loin d’être repérés par les forces Garlemaldaise, on avait donc visiblement réussi notre intervention. Les traces de sang menaient ici, et on avait entendu parler de ce pilote Eorzéen censé être mort qui se serait relevé en massacrant quatre soldats impériaux avant de poursuivre. Son corps était plus loin, installé avec la boite recherchée et une bouteille de rhum. Pendant qu’on inspectait les environs, sans qu’il n’y ait rien de visible et après quelques discussions, le corps s’éveilla lentement et se met à nous compter pour savoir combien il aurait à tuer pour défendre ce qu’il possédait. Le procédé était incompréhensible pour mes informations actuelles sur les engeances et les maux, mais cela ressemblait clairement à un cas de mort-vivant affecté par une sorte d’émotion désastreuse. Il y avait toujours un espoir de discussion, avec ce type d’affliction, mais il faut parvenir à trouver des propos réaliste, et sans fausses-notes.

Malheureusement, je n’ai pas réussi, et malgré le Chevalier noir comme défenseur, il fini par hurler et me tira dessus. Mon Kunai ne parvint pas à briser la main porteuse, et celle ci ne ressentant pas la douleur, même une plaie qui aurait fait hurler un vivant servit surement qu’à lui faire mieux ajusté son tir. Mon épaule droite, déjà blessée par notre dernière mission, me fit souffrir de nouveau le martyr. Le combat éclata brusquement quand mes camarades intervinrent, me laissant sous les soins efficaces de Moutah pour me remettre d’aplomb. Finalement, le « cœur » fondamental de cette entité fut brisé, et tranché en deux par Sakiko à la destruction de cette chose. Elle généra en nous tous une haine monstrueuse, qui faillit me replonger à une période que je préférais oublié. Tout était fini, et pourtant, j’étais si lasse et affectée par tout ça.

Une mission accomplie, dehors le chaos d’un combat éclata quand les renforts Eorzéen firent leurs apparitions pour récupérer les prisonniers et abattre une patrouille de ravitaillement. Pendant une dizaine de minutes, hors de questions de sortir, pansant nos blessures et s’occupant des affaires retrouvés. Notamment de la boite recherchée. Tous brisés par la fatigue, et l’agacement de ce que nous avions subit. Il était encore moins agréable de revenir avec l’idée que l’Officier Garlemaldais. censé captif fut assassiné normalement par un des leurs dans son dos. Les réalités de la guerre sont faites ainsi. Mais au moins, nous sommes revenu entier de notre objectif. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 22 oct. 2018, 02:27

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.
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Onzième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Une aventure concernant nos affaires, cela faisait quelques temps ! Nous avons enchaînés les tâches pour Monsieur Tombefume, ou autres missions. Ses derniers temps, nous enchaînons beaucoup les mandats de notre nouvelle compagnie libre – Désormais, nous sommes des membres des Quatre Tour, pour la plus part ! Sakiko et moi sommes fières membre de la Balance – Prête à défaire l’influence du Mal. Kodjo, pur guerrier qu’il est, est devenu une Épée. Et Moutah, naturellement savant, fait parti du Sablier. Et pour faire preuve de bonne volonté, nous avons essayer de participer le plus possible en recevant déjà nos premières missions à venir.

Maintenant que la plus part des mandats ont été achevés, il nous reste encore à retrouver la trace de L’Inrien et de son acolyte, Hector Spencer. C’est ainsi que notre dernière tâche devait trouver sa fin après les évènements de Mousse-sèche. Retrouver le parchemin venant de chez nous, ayant convoqué une force obscure liée à cette horreur qu’est le Yokai ayant brisé notre île. L’influence de ce parchemin fut redécouverte plus au nord de la Petite Ala Migho, et c’est là que notre aventure se préparait à débuté en compagnie de nos camarades pour ce voyage. Nhagi, Moutah, Sakiko, Kodjo, Kais, ainsi qu’Aldualim et Dayan pour sa première présence directement à l’aventure, malgré le temps où nous nous connaissons. Il avait promit après tout de venir traquer la tête de nos ennemis, et ce fut une de nos pires expériences.

Celle ci n’était pas atroce à en mourir, ni une bataille effrayante, mais affecta ceux ayant vécu à Himitsu no Taki plus que de raison. L’Ethérite nous fit apparaître ensemble dans le Thanalan, à la Petite Ala Migho où les montures nous attendaient pour rejoindre la position du parchemin. Adel’Delroy, l’encapuchonné des Occultiste, avait fait préparer un orbe pour parvenir à détruire ce maudit parchemin vicié et réduire à néant l’influence obscure. En tant que membre de la Balance, je ne pouvais que m’en réjouir d’un tel rôle ! Mais l’ambiance en ville était déjà bien désagréable. Moutah discuta avec les Immortels pour récupérer l’orbe, et nous avons décidé de le suivre avec Sakiko, Kais et Kodjo. Ce qu’il se passait dans le passage étroit fut déstabilisant, mais les problèmes survinrent partout. De notre côté, un des Immortels avait été embusqué, et nous avions faillit finir dans le même état, si la collaboration de Moutah et Kais n’avait pas été aussi efficace – Dénichant un assassin qui blessa le pauvre Kais à la hanche, et provoqua tellement Sakiko qu’elle perdit patience, en jouant avec son esprit. Il fut massacré, sous notre regard, il perdit le visage emprunté de notre père, pour prendre celui du jeune homme qu’il fut. Quel atrocité avions nous du commettre par le biais de la corruption ? Une vie de plus perdue, dans des affreuses intrigues.

Dans la salle principale, Aldualim essaya de découvrir l’intérieur d’une cage, qui serait précisément notre réussite pour retrouver l’orbe d’Adel’Delroy. Une de ses apprenties, une Elezen ,avait l’air d’avoir été gravement torturée et brisée par les agents de Spencer, pendant que Dayan provoquait une diversion inattendue – Il avait été provoqué par un Immortel même, affecté d’un degrès de damnation si profond qu’il avait l’air d’une épave quand il se redressa après s’être fait cassé la nuque. C’est là que la panique se mit à submerger les locaux, et plusieurs affectés furent torturés. Pendant que les hommes de Dentelion réagissaient, Dayan affronta le nuage obscure de cet être, désagrégeant son corps, et subissant l’assaut mental que Nhagi brisa d’une flèche. Le chaos était encore présent, mais sans menace direct, Aldualim avait raison : Partir. Il fallait partir pour rejoindre le parchemin maintenant qu’il était possible de le détruire, et sauver tout ceux agressés par ce pouvoir avant qu’il ne soit trop tard.

Grimpant sur nos chocobos, dans une ruée nocturne, cela nous fit apprécié la beauté extérieur d’une nuit étoilée s’installant dans les étendues désertique du Thanalan. Un voyage long, et stressant dans l’idée que nous aurions peut-être des grandes difficultés à surpasser ce qui pouvait nous attendre. La caverne avait un aspect mystérieux, comme si le vent s’y engouffrait dans un gémissement plaintif, un râle de déséspoir. L’éther y était concentré ici, puissant, regroupé en ce lieu comme une source d’eau pure. - Mais ce qui était pure pour ce lieu, était de la malveillance. Malgré quelques doutes, et l’état déjà piteux de Sakiko et Kais après les épreuves subies dans la petite Ala’Migho, nous nous sommes mit en route. L’intérieur était sombre, obscure, progressant lentement et essayant de nous mettre à l’aise face au manque de luminosté. Et quand Sakiko voulu allumer sa lanterne, ce fut vain, car le jour éclatant baignait le champs d’herbe paisible de tout son éclat. D’un instant à l’autre, nous étions apparu en ce lieu solitaire agréable, paisible, et tranquille. Des forêts lointaines, des montagnes, comme la mer, les environs semblaient vraiment agréable, et c’est là que les problèmes débutèrent. Pour moi. Brisée par l’étrange condition de ce lieu, je me souviens m’être effacée avant de ne subir que les événements suivant comme un rêve. Nous étions à l’endroit de tout nos souvenirs.

Pour Sakiko, moi, Kodjo, Moutah, c’était un retour au source puissant et inquiétant en vue de la fin de cette histoire. Himitsu no Taki, cette île perdue en Hingashi dont il ne reste d’espoir que l’idée qu’un jour, le Yokai dominant soit vaincu. Je vécu alors comme dans un rêve la suite des évènements, le groupe poursuivant sa route en direction de la ville d’Himitsu où nous avons passer notre enfance, au bord de mer. Difficile à dire, et j'essayerais de vous l'expliquer simplement – La beauté comme les atrocités de notre enfance. Ainsi, ils vécurent certains passages de notre vie en rencontrant le Maitre d’arme de Sakiko : Zangetsu, un homme bon, vaillant, et ce fut une des plus grosses raisons de ce voyage. Il était la clé des visions, jusqu’à la chute de la ville brisée par les flammes et le chaos du Yokai. Ce n’est qu’en fuyant la ville pendant sa destruction que nous avons été écartés de cette étrange condition, revenant brusquement à la réalité au milieu de la caverne. Dans la salle principale, je m’éveillais agitée dans tout les sens par une Sakiko affolée de me retrouver bien en vie. On y était, le Parchemin. Et celui qui le défendait dans l’ombre. Encore invisible.

Le lieu semblait fameux, une sorte de grandeur simple. Les effets de lumières étaient perturbés sur les murs par les torches autours du parchemin grand ouvert au milieu de la salle. Des nuages de fumées sortant du parchemin, tournoyant lentement autours de la stèle, comme des serpents ondulant à l’infini. Dayan posa la main dessus, et entra en communication avec un des êtres les plus terrifiants que j’ai été donné de comprendre l’existence. Tout le monde s’affola des conséquences possibles face à « Tsakyoki », cette chose ancienne meurtrière. Mais le parchemin fut détruit par l’orbe, arrachant un couinement inhumain vrillant nos oreilles, et exigeant notre mort. Si les lieux se libéraient lentement du mal fourni par cet « accès » causé par le parchemin, désormais un lointain souvenir, une porte qui se ferme pour l’esprit vicié. Mais pas pour celui qui nous attendait : La clé de cette histoire. Zangetsu, ayant survécu aux horreurs de notre île.

Son corps était brisé par l’état avancé de la corruption du Yokai, ses yeux tels ceux maudit, des billes d’un blanc pure reluisant, si inquiétants, et des nattes blanches couvrant sa chevelure. A son apparition, il nous avait déjà tranché, et plusieurs s’effondrèrent tandis que seul Dayan résista au choc. Fonçant affronter en mêlé le terrible assaillant dont tout pulsait d’une force inquiétante. Le combat dura, et il nous mit plusieurs fois à terre, si bien que même mes Yukimitsu ne purent percé son corps de part en part tant la charge obscure semblait troublante. C’est quand il se figea face à une Sakiko sur le point d’être tuée qu’il réalisa subitement ce qu’il faisait. Comme si une part humaine avait cessé l’attaque… et avant planté le Cristal de Samuraï de Sakiko dans son torse. Une cicatrice qui resterait toute sa vie, pas des plus graves, mais la déferlante d’éther qu’elle produisit happa ses forces, et la laissa au sol. Sombrant lentement dans l’inconscience. Il ne resta alors que de son mentor, gardant la trace de l’esclavagiste Onotsaku sur le corps, trace de la douleur passé en tant qu’esclave, et désormais libéré du mal intraitable l’ayant dévoré.

Il ne restait rien des atrocités perçues. Le calme reprenait lentement, et le Capitaine Dentelion des Immortels nous signala plus tard que tout s’apaisa à la Petite Ala’Migho, en ce qui n’était qu’une légère période de trouble à cause des effets néfastes de ceux ayant été brisé par le Parchemin de Tsakyoki. Mais cela restait un rappel : Un jour, on aura la responsabilité de faire en sorte que cette chose soit vaincue. Il reste beaucoup de temps, d’efforts, et de problèmes avant d’y parvenir. Et pour l’instant, L’Inrien et son chien-acolyte sont nos premières cibles pour soutenir le Thanalan. Pourtant la vie continue, et après une semaine si difficile. J’ai hâte de pouvoir me détendre au Bal du Relais du Sablier et de la Balance. »
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 25 oct. 2018, 00:35

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport à la Balance Prison des Esprits, Forêt centrale de Sombrelinceuil. « Dossier : Imp – Mission : Le choix d’un homme brisé. »

« Mes respect,

Première mission pour les membres de la balance – Sakiko et Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :

- Kodjo des Oronir, membre de la Tour de l’Epée.
- Moutah Pontah, membre de la Tour du Sablier.
- Nhagi Kantor. Alliée.
- Hael Dothral. Alliée.
- Kais Alliyliu. Allié, essayant de rejoindre la Balance.

Notre première mission était plus les moins dénués d’entités des plus chaotiques, malgré nos dernières tâches ardues, il était temps de prouver notre valeur dans les strates les plus humbles que de forcer le chaos et d’être meurtrie. L’exercice provient des tâches les plus simples, et celles ci pour la vie des nôtres sont aussi importante que toute autre. Et pourtant, nous n’en sommes pas ressorti sans dégâts. Voici le synopsis de notre tâche : De plus en plus d’Imp étaient recensés en apparition depuis la Prison des esprits, en un tel lieux, il était toujours connu que certains vagabondent par là, mais là. C’était bien plus intense, dense, inquiétant même, après que plusieurs patrouilles furent attaqués ainsi que deux personnes ayant déjà disparut. Le tout était de connaître la raison et les moyens de briser un tel maléfice.

La procédure devait être simple : Découvrir des informations liés à la situation, des moyens d’y mettre fin et d’écarté la menace, avant de parvenir au lieu clé pour brisé la situation chaotique. Notre destination étant la Brancharquée, quoi de plus utile que de commencer par le Ranch aux Chocobo, véritable lieu de vie local pour comprendre l’état des lieux et voir la vie évoluée. C’est ainsi que notre groupe s’installa là-bas pour discuter ensemble des possibilités et des choix intéressant. Sakiko mènerait Kodjo et Nhagi pour en savoir plus sur les familles des personnes disparues, pendant que j’accompagnerais Moutah, Kais et Hael pour parvenir à rencontrer un élémentaliste qui nous permettrait d’en savoir plus sur la situation. C’est dans cette journée paisible, déclinant doucement vers une froide nuit de l’Hiver venant, que nous nous sommes dispersés dans les foules de personnes errantes de différents côtés.

De notre côté, tout se passa plutôt bien. Aidant un peu mes camarades à prendre leurs marques pour trouver une solution intéressante, nous sommes parti voir une des personnes s’occupant des écuries pour discuter au sujet des élémentalistes locaux. Moutah fit sûrement bonne pioche, en choisissant le vieillard douteux que nous étions en phase de rencontrer. L’utilité cependant dans cet action, était de faire l’emprunt de suffisamment de Chocobo pour des actions rapides jusqu’à notre intervention à la prison. Sans le savoir, le temps était déjà compté pour plusieurs vies. Notre rencontre avec le vieillard dans son arbre non loin de la ville fut riche en informations.

Bien qu’un peu difficile à vivre, il avait déjà sa petite idée sur la situation suite à une étude de ce qui pouvait bien se produire ici. D’après ses recherches, nous n’avons pas décidés de poussé le vice à lui demande une inspection qui pouvait être dangereux, mesure de sécurité envers ce bon Bolvar. Mais il était certains qu’il s’agissait d’une faille provoquée par la demande d’un être mortel. Quel qu’en soit la raison, il avait provoqué ça, et le lien avec le portail se trouvait visiblement encore en ville. Là où nos amis avaient des problèmes. Sakiko ne parvient pas à arracher quoi que ce soit de la Vigile sombre enragée qui lui demanda sans cesse de partir et abandonner notre quête. Provoquant un véritable petit chaos de panique en apprenant qu’il y avait un soucis plus important que quelques Imps errant. Troublés par des affaires sans queue-ni-têtes, jusqu’à suivre une pauvre vieille Elezen partant vers le nord pour trouver sa jeune fille perdue sur le point d’être enlevée par les Imp.

Lentement, les pièces du puzzle tombait : Les membres de la Famille du responsable étaient kidnappés, et nous avons découvert que sa Gourde familiale était devenue le relais de ce pouvoir. Balancer la gourde dans la faille, c’était enfin la refermer, et le chaos global nous empêcha d’être tous prêts à agir : La Capitaine des Vigiles Sombres avait embarqué avec elle plusieurs des siens pour en finir, en tant que sœur du défunt Gerat Dumorel. Et si plusieurs des nôtres étaient occupés à panser notamment des blessures, on avait plus du tout le temps. Et me voilà avec Hael et Kais seulement, à partir vers ce qui ressemblait au sauvetage d’un acte de suicide stupide pour une question d’honneur. Le combat était un balais aérien, tournoyant en des vents de chauves-souris qui n’étaient rien d’autres que quelques nuées d’Imp ondulant dans la masse. Et pour sauver des vies, il allait falloir agir très vite.

Nous n’étions que trois, les autres toujours en phase de nous rejoindre lors des récoltes d’informations, et rapidement notre nombre fut écrasé. Malgré quelques actions d’éclats avec Kais, lames et griffes frappant leurs bêtes pour les éloignés des Vigiles Sombres, nous étions au sol, blessés, quand les nôtres arrivèrent à notre aide.

Deux des Vigiles Sombres laissés en arrière furent sauvés, et l’objectif était de rejoindre la Capitaine au portail clos. Les vents fusent usés, la foudre frappa, ce fut l’office de la magie de faire ses preuves dans quelques tourbillons enchanteurs se déchaînant au dessus de nos têtes, dans cette bataille qu’on ne pouvait pas gagner – Il suffisait de gagner du temps pour échapper aux bien trop nombreux Imp. Arrivant à la grande porte, celle ci était scellée par le Code que Kodjo avait découvert, et c’est en le pratique que le portail s’ouvrit pendant qu’on prenait le temps de séparer les Imp de nous. Dès que la porte fut ouverte, nous nous sommes rués de manière insensée, bien qu’un des vigiles fut happé par la masse volante au dessus de nos têtes, quelques explosions enflammées brisant quelques pierres, avant de parvenir à la salle principale des ruines. Sakiko refermant rapidement derrière nous, laissant un agglutinement tournoyant et piaillant devant les grillages. Plusieurs se ruèrent face à nous, mais bien moins nombreux, défendant cette tâche obscure dans la réalité qu’était le portail écœurant. Le pauvre bougre était là, sous une forme détestable, le spectre de Dumorel hâtant le vestige de sa bêtise.

Le parchemin ayant servi au pacte, toujours dans la poussière à ses pieds. Après un combat acharné, blessant plusieurs des nôtres, dont moi qui fini au sol. La gourde du sceau fut balancée dans le portail, et la grille s’arracha brusquement quand les Imp furent aspirés pour une grande partie dedans. Le souffle ne nous désirait pas nous, il désirait les entités révoqués chez elles. Ne laissant derrière que les vestiges des vêtements de ceux ayant été kidnappés par les Imp : Les deux portés disparues devaient désormais existé dans un lieu bien obscure. Malheureusement.

Du parchemin, nous avons pu comprendre que l’Elezen, Gerat Dumorel, avait voulu offrir « sa vie pour une vie meilleure à toute sa famille », comme si on l’avait guidé ici pour une cérémonie religieuse. Finalement, les Imp avaient pour instinct d’aller chercher les membres de sa famille, pour les condamnés à « vivre mieux » à travers le Néant. Le portail est clos, et la situation stabilisée. Cependant, vous trouverez dans les bureaux de la Balance, le parchemin scellé de manière à ce que rien ne puisse en sortir, exempt de toutes traces de maléfice. Si vous en avez besoin, pour des études, il est à vous. Mission accomplie. »
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 27 oct. 2018, 04:46

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Douzième entrée – Les Hautes-terres du Coerthas. "Le Pouvoir de Moutah."

« Un voyage bien différent allait se faire, habitués aux contrées du Thanalan depuis notre longue traque de L’inrien. Si celle ci avait particulièrement bien avancé, notre attente de la prochaine tâche depuis la fermeture du parchemin devenait longue et frustrante. Et pourtant, l’activité ne manque clairement pas, mais ce n’est pas une mission de la Balance ou du Relais qui nous était confiée. Cette fois, nous avons œuvrer pour bien plus important encore : La famille. C’est pour cette raison que nous avons bravé le Coerthas à la recherche d’un splendide point d’observateur : La Vigile d’acier, au nord-est de la région. Parait-il que les astres de la voûte céleste étaient en parfaite position pour parvenir à ouvrir la porte de la transcendance ou je ne sais quoi de magie des Astres dont je ne comprends de toute façons rien. Si c’était important pour lui, ça le serait pour nous. Le voyage ne serait pas une balade paisible comme celle d’hier soir, où nous parcourions les étendues enneigées jusqu’à la paix d’un espace en hauteur de Dravania, en suivant Dayan comme guide.

Mais la beauté d’Ishgard me touchait tout de même : Grande, majestueuse, magnifique. Le seul point noir de cette tâche qui me mettait dans le rôle de celle œuvrant pour la nation de mon Père de cœur, Melestian, c’était l’absence de Kodjo. Ironiquement, lui aussi serait avec son mentor ce soir pour faire le point sur son maniement de la Hache. Et moi, je serais avec Melestian pour cette tâche. C’est donc aux ordres de Moutah, que notre groupe s’est formé : Sakiko, Kodjo, Sylune, Hael, Nhagi et moi même. Installés dans la sainte citée avant de lentement partir, notre objectif restait des plus simples : Atteindre notre objectif pour que la porte du Firmament s’ouvre pour Moutah, et qu’on cristal rayonne de milles éclats. Et pourtant, ça allait loin d’être aussi facile que prévu.

La route vers le camp de la tête de dragon fut couverte par le froid, cinglant et puissant, le vent tournoyait doucement en emportant quelques flocons de neige. Mais ce temps s’échappait lentement pour faire apparaître les innombrables étoiles rendues plus visibles encore par l’effet de la neige, quand le calme vint. C’était la nuit parfaite pour le rituel de Moutah, et nous étions en plein voyage paisible tous ensemble jusqu’à ce que lentement, après s’être embrouillés par le froid mordant du Coerthas, il y avait tout de même des formes volantes et des cris depuis l’extérieur du camp. En s’approchant rapidement, il fut découvert des forces Ishgardaises des Fortemps essayant de repoussé les deux Eibis massif piaillant de colère et de faim. On ne pouvait pas se permettre de les laissés faire, et nous sommes intervenu.

Si le premier fut massacré par mes camarades, dans un déluge de lame et de quelques sortilèges, je me préoccupais du second pour le moins de dégât possible. Finalement, après quelques efforts sans parvenir à brisé la carapace du draconide volant, L’autre était vaincu, étalé au sol sous des assauts terribles de mes pairs, et avant que l’Eibis ne tente de nouveau de me dévorer, des sifflements audibles se sont rapprochés. Mais Sylune et Melestian nous avait prévenu : Des tirs de balistes. Ceux ci percutèrent le survivant avec l’efficacité des défenseurs du Coerthas, et il s’écrasa lourdement au sol. Au moins, cela donnait le ton, mais pas la nature du problème.

Au camp de la tête de Dragon, plusieurs choses laissait suspecté que l’endroit n’était clairement pas en phase avec les problèmes actuels : Sylune découvrit qu’un éclaireur parlait d’une menace Garlemaldaise non prise en compte, pendant que les officiers s’intéressaient plutôt aux ballons Ixali errant dans les cieux. Je ne découvris pas grand-chose avec Sakiko, si ce n’est que les jeunes fantassins n’étaient pas très habile, mais là était aussi le problème : Les troupes d’ici sont jeunes. Et non loin d’eux, des problèmes d’envergures. La route vers la Vigile d’acier devrait être accomplie avec bien plus de précaution, avec la question : Pourquoi l’Empire serait-il en conflit avec des Ixali, et pourquoi les ballons des nefs des hommes-bêtes étaient volées ?

Cette réponse ne nous arrangeait clairement pas. Le voyage aurait pu être modeste, humble, mais tels sont les épreuves. Peut-être était-ce même une volonté des astres pour mettre le courage du porteur du cristal d’Astromancien de mettre en valeur autant ses talents, que ceux de ses camarades ? Le voyage vers le nord se fit donc avec moult précaution. Sylune et moi servant de yeux et oreilles, n’avons pratiquement rien découverts le long de la route si ce n’est des restes d’un conflit. Le voyage vers la Vigile se fit donc dans l’inquiétude, mais sans menace claire. Le cadavre du Garlemaldais attendant devant la grande porte après un long voyage en disait long : Ils sont là. Et déjà en conflit. Sylune confirma la présence de deux nef Ixali, mais un était clairement fait avec de la technologie impériale, dans une copie bien plus efficace, bien plus inquiétante. J’infiltrais les lieux, et mon objectif était clair : Rentrer dans le nef impérial, récupérer ce qui peut l’être, pendant que leurs Eques luttait face aux Ixali.

La suite fut plutôt inattendue, alors que l’intervention débuta. J’observais avec surprise le Domien qui luttait face à l’Ixali dans un balais de lame, consciente des problèmes qu’on aurait à subir plus tard en voyant un tel individu. Les problèmes débutèrent quand magie et explosions secouèrent les Nefs, dans une petite difficulté de communication dans l’équipe, qui aurait pu m’éparpiller aux quatre coins du Coerthas façons puzzle. M’échappant en vitesse avant un drame, propulsant le vieux fumigène traînant depuis longtemps dans mon sac. Les Ixali fonçant vers Melestian se retrouvèrent englués par la fumée, et prompt à subir le courroux de mon Père adoptif.

Pour ma part, j’affrontais les Impériaux avec Sakiko, et élimina un Eques avec une pointe d’amertume : Mon geste fut spontané, avec l’intime conviction qu’il devait périr, mais Sylune réagit en disant qu’on était censé être les bonnes personnes. Et me voilà, à avoir massacré ce soldat impériaux dans l’instinct de notre survie. Brisant le cycle de l’auto-apitoiement rapidement, l’autre Eques rampant au sol la jambe trouée et sanglante, il ne restait que le Domien. L’aspect effrayant de ce combat éclata quand il se mit à composer des Mûdras, ses lames guidés par le vent, me firent choir et je ne pu combattre que grâce aux effets de Moutah. Lames et sorts avaient du mal à l’intercepter, jusqu’à ce que la fatigue et le manque d’énergie ne le tienne : Transpercer de toute part, il fit éclaté son Ninjutsu dans un éclat de glace immense qui nous fîmes tous nous écrasé au sol. Il s’était suicidé, pour nous abattre avec lui.

Moutah se tenait fièrement, heureux, et les lueurs des astres plus forte qu’elles ne le furent jamais autours de lui. Jusqu’à ce que sa magie nous revigore, plusieurs d’entre nous au sol à cause de la puissance de la glace ayant frappé la Vigile. Une réussite, Moutah avait ouvert la porte du firmament et son cristal d’Astromancie brillait de milles feux. Malgré tout les efforts dépensés, c’était une réussite totale, et nous avons pu rentrer en traînant une Sakiko inconsciente. Bercée par mes pensées, je n’attendais que de savoir si désormais, nous avions la force pour faire tomber des êtres comme Onotsaku, ou même L’inrien. Advienne que pourra ! Ma cible reste bien lointaine, quand mon regard se porte vers Hingashi... »
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 29 oct. 2018, 09:23

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Treizième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Notre dernière mission avant le voyage vers les Steppes. Ce voyage attendu depuis quelques temps, depuis que ma vie est liée à celle de Kodjo. Il était temps de découvrir des étendues nouvelles et de profiter de tels lieux pour aspirer à un peu de quiétude, et de nouveauté. Même si elles sont très dangereuse, notre objectif restait de revenir changé de ce voyage, mieux dans nos peaux, dans nos êtres. Se renforcer, mentalement, physiquement, et être fier de ce que nous sommes. Tous, pour ceux qui seront des nôtres. En tout cas, c’est mon objectif. Et pour cette mission, c’est une nouvelle bonne avancée vers la défaite de L’Inrien que nous avons pu soutirer des griffes de nos ennemis. Une victoire qui aurai été digne de joie et ivresse, mais la vie d’aventurier après les batailles, sont faites de problèmes au cœur et à l’esprit.

Réuni à la Guilde des Aventuriers d’Ul’dah pour discuter de notre objectif en compagnie de Thoryg, Stanislas et Cirmo, le Caid, l’Aventurier, et le Questeur, de nos contacts ayant bien connu tout ce que nous avons subi depuis le début. Les enquêtes de Thoryg le menait désormais vers de vieilles ruines à l’Est du Thanalan Méridional où des esclaves étaient menés par les hommes du Maussade enrhumé, et après une tentative de rencontre, le Maussade lui même c’était montré. Les Immortels allaient intervenir, et en finir avec ce problème, cela dit. Il en fallait pour passer outre le combat que les soldats mèneraient, pour s’occuper directement de la tête du serpent. Et c’était notre rôle, ainsi, en compagnie de Sakiko, Moutah, Nhagi, le Chevalier Noir, Kodjo, Sylune, et d’une amie de Monsieur Tombefume, surnommée : Kuroi Neko. Il était temps de parcourir l’étendue du désert pour atteindre notre destination sur le dos de nos fiers Chocobo – Sauf celui de Sakiko, qui était un tas de graisse à plume sautillant. Et les obstacles sur le chemin furent nombreux jusqu’à notre destination finale.

Le premier soucis fut découvert par le Chevalier noir, ce qui fut en vérité que deux pauvres esclaves ayant été capturés par Onotsaku et offert par ici. Ils furent libérés, mais la marque sur leur peau nue était particulièrement inquiétante. Toutefois, le Chevalier sauva de vie en m’envoyant les récupérés, car ils furent traités en ville par les mages des Immortels, empêchant leurs corps d’être dévorés par ce que nous étions sur le point de découvrir, au dépend d’un ami cher pour Moutah. Son Chocobo fut dévoré par les flammes, au milieu de notre course. On était sur le point d’atteindre notre objectif, alors que la pauvre bête prit subitement feu, ne laissant que son précieux bonnet. Encore un crime qui s’ajoute, et accompagne ce mystère : Depuis quand le Maussade enrhumé était censé disposé d’autant de force, pour un brigand de bas-étage et sa clique de crétin avide ?

Il n’était pas encore temps de découvrir la funeste vérité, car il fallait parvenir au fin fond des ruines. Les forces des Immortels, sous la tutelle de Thoryg et du Capitaine Dentelion, faisait face aux premières protections rendant l’accès dangereux. Cela ne ressemblait pas aux grandes batailles des histoires, mais à ce genre d’escarmouche où on arrête des maudits malfrats en meute. Belle vengeance depuis la bataille aux portes d’Horizon, face aux  « rejetés d’Hast » sous la tutelle d’un vieil ennemi d’Aldualim. Au moins, aucune trace de technologie magitech cette fois, les vieilles armures de combat impériale sur le déclin n’ayant laissé une bien mauvaise impression de puissance la dernière fois. Cependant, la bataille éclata, et peu de plan purent être mit en place : Le Chevalier noir venait de charger droit devant dans le hennissement de sa monture. Et nous nous ruions de notre côté vers le flanc où des esclaves s’occupaient d’une énorme statue de pierre.

Bien entendu, l’objectif était d’abattre les contre-maîtres pour une libération rapide des esclaves, et un passage droit derrière les lignes de front. Mais le combat fut plus complexe – Moutah et Sylune concentrés sur le soutiens d’un Chevalier noir déchaîné ayant heurté les brigands de toutes ses forces, et cherchant à atteindre les canons gobelins avant qu’ils ne tirent sur les soldats des Immortels ayant chargés à sa suite. On aurait pu aidé, si la statue ne se mit pas à prendre vie d’un coup, projetant Kodjo au loin dans un mouvement ample. Tous se mirent à affronter cette entité de pierre ayant déjà écrasé un des esclaves sous son poids. Il n’aurait pas les suivant, Sakiko était déjà dessus, et je m’assurais que ce poing ne l’écrase pas à son tour. Cependant, pendant l’affrontement, ce fut l’ensemble Sylune – Sakiko et Kodjo qui mirent à bas l’entité dans un déchaînement de nos compétences.

Le Chevalier noir avait brisé les artilleurs d’un des canons, et Moutah avait parvenu à rendre si léger l’autre qui parti s’encastrer dans le mur avec son artilleur quand le tir propulsa le boulet vers eux, le Lalafell déplaçant rapidement le contact, pour que son agresseur soit transformé en pulpe dégoulinante. Pour le golem, le cristal de vent de Sakiko renforça les vents hurlant de la lance de Kodjo, mêlé aux sons de l’instrument de Nhagi, pendant que Neko finissait de préparer ses armes, il frappait en plein cœur du golem, là où Sylune l’avait indiqué, pile dans le point faible, celui ci s’écroula. La bataille sûre, et le passage libre, il était temps d’avancer pour rencontrer leur chef.

La ruée à travers la ruine nous éloignait des combats et des cris, mais nous découvrions un lieu particulièrement malsain – Rien d’attrait au néant que je combat pour la Balance, mais la simple nature humaine la plus viciée avait dégradé ce lieu, et des corps qu’il était difficile de voir dans de tels états étaient supportés par des piliers de bois brisés. Quel horreur, et pourtant, la suite allait être étonnante et réveillé en Moutah une haine absolue : Tout ressemblait au petit antre d’un monétariste. Des tissus chers, coûteux, de la richesse, de la nourriture, et étalé sur un amas de coussin, un Hyurois barbu hilare. Il voulu discuté avec nous, mais Neko l’avait déjà empoisonné par un somnifère. Celui ci s’écroulant sur les coussins, ronflant allégrement. C’était trop facile, ou ne correspondait simplement pas à ce qu’on attendait à retrouver. Ce n’est que plus tard que la vérité intervint : Des corps se mirent à calciné sans raison, puis des brigands au loin, et l’écho de la voix chaude et rauque nous apparu comme un coup de marteau dans l’esprit. Certains essayaient de s’en remettre, mais Sylune fut gravement affectée par une telle présence.

Sakiko et moi n’étions pas d’attaque, quand le Chaman Amalj’aa apparut. La révélation fut trouble, et choquante : Il avait été envoyé par un de ses supérieurs pour rassembler des sacrifices pour son maître Primordial. Le combat se déchaîna en vitesse : Sur l’usurpateur Hyurois devait être captif, lui devait absolument être détruit. Le véritable « Maussade enrhumé » n’était pas qu’un imbécile, mais bien un homme-bête subjugué profitant de la misère causé par L’Inrien pour dédier la mort à son Dieu de la flamme. Autant vous dire que le combat fut vraiment difficile, plusieurs combattant de sa race arrivant en même temps, ils furent matés avec efficacité, et ce qui nous sauva d’un ravage pouvant tous nous massacrer, fut le retrait efficace de sa lance par Sakiko, moi et surtout Neko lui arrachant d’un coup.

Il fut finalement vaincu après avoir très gravement atteins Kais, au prix de la situation mentale de Sylune : Le touchant, elle le paralysa suffisamment pour que le sabre de ma sœur lui coupe d’un coup une jambe. Ce suivi d’un enchaînement fatal de notre part, jusqu’à ce que Neko ne l’achève au sol avec un grand ensemble d’armes balancés brusquement. C’était fini, son corps dévasté était vaincu, et les flammes de sa haine disparurent. Les Immortels avaient triomphé, la plus part des brigands attachés et prompt à être rendu aux mains de la justice implacable. Même si cette forte profitait de L’Inrien, c’était déjà un grand pas vers la fin de cette affaire.

Rentrant lentement vers chez nous, où la vie nous jouerais encore quelques tours, avant de peut-être trouver un peu de calme. Je m’interrogeais sur la nature de la présence de ce Chaman. Laissant la Lance élémentaire au Sablier des Quatre Tours, j’étais bien consciente que notre tâche n’était pas finie. Le repos dans les Steppes à venir devait nous laisser un peu de liberté, tout en me demandant comment nous pourrons lutté face aux expériences de notre prochaine cible. Hector Spencer. »
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 31 oct. 2018, 16:57

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Quatorzième entrée – Les Steppes d’Azim. "L’épreuve des Steppes."

« Nos journées dans les Steppes sont très agréable, et nous permettent de nous reprendre, nous exercer ensemble, et être mentalement prêt à affronter ce qui nous attends. Les horreurs de Hector, autant que les machinations de L’Inrien seront loin d’être les seules, et si nous avons appris une chose : C’est que sans une préparation, un renouveau, on serait pas prêt à ce qui suivrait. C’est ainsi qu’à la sortie des Steppes, on est sûr d’en revenir plus fort que jamais. Malgré le départ de Sakiko, je devais désormais être forte comme deux sœur en attendant que disparaisse le poids de la culpabilité. Partie à cause de ce destin âpre qu’est le nôtre, et de mon incapacité à avoir été celle qui fallait pendant qu’elle forgeait sa vie, j’ai voulu levé le doigt vers les doutes et les problèmes. Comme me disait Sylune - « Le rôle d’une sœur n’est pas de se taire et observer la chute, mais de pointé du doigt ce qui pourrait la faire tomber » - Quel qu’en soit le prix. Puisse t-elle être heureuse avec Mère en Hingashi. Puisse t-elle un jour m’accorder son Pardon.

Mais loin d’avoir le droit d’être vaincue par l’éloignement de celle qui à fait ma vie, nous étions tous en train de nous reposer à reprendre la notre en main. Et c’est pendant l’entraînement que j’ai été attaqué par deux usurpateurs Oronir, autant que d’autres de notre groupe l’ont étés. La venue de Shoen, le Père de Kodjo, confirma la situation : Quelque chose de mauvais avait lieu en ce moment même, peu après notre union, des anciens bannis portant des tenues Oronir avec des ajouts technologies eurent provoqués plusieurs soucis. Shoen et ses guerriers iraient explorer le nord pour traquer les agents exilés voulant rejoindre une étrange cause, et il désirait voir son Fils et sa famille enquêter dans une haute tour de pierre où se réunit des bannis, ou des Xaela mit de côté de leurs tribus pour une punition.

On s’attendait au pire, dans une telle situation, et nous avons tous chevauchés avec notre équipe, tout ceux étant venu dans les steppes, pour découvrir ce qu’il se passe. Une grande chevauchée, c’était glorieux ! Moutah installé devant moi, et C’iashta-senpai derrière. Kais chevauchant avec Sylune, Hael sur son destrier, et Nhagi grimpant auprès de Kodjo. Le tout parcourant les steppes, vers notre destination dans une longue ruée pendant que lentement le crépuscule venait, et c’est dans les nuances orangées d’un ciel magnifique que la grande bâtisse nous fit face, et le début des problèmes avec.

La vie semblait étrangement paisible par ici, sous la vigilance du frère de Kodjo, Chulunn envoyé par son Père pour surveillé les environs. Les Xaela de tribus différentes, parfois exilés ou généralement attirés par la curiosité qui aurait pu leurs valoir vraiment beaucoup de problème, perduraient tranquillement en conversant, discutant, profitant de la vie. Étape par étape, après que Moutah brailla qu’il voudrait retrouver le responsable de tout ça : « Naran », celui dont parlait Shoen au Ralliement, la plus part se posèrent des questions à notre sujet sans jamais en venir à la conclusion de notre venue. Peut-être beaucoup étaient plus innocent que ça, et nous nous sommes dispersés pour inspecter les quatre coins de l’endroit. Hael discutait avec une autre Dotharl dans le recoin où ils mangeaient tous, la nourriture exquise me donnait l’eau à la bouche, ce pourquoi je me vengerais au retour sur des brochettes.

Apprenant que les Xaela du coin étaient endoctrinés pour rejoindre une nouvelle « grande cause » qui surpasserait les autres tribus. Sylune en apprit plus sur l’histoire locale, mais n’eut pas le temps d’explorer toutes les ficelles, malgré qu’elle s’assura que le Hyur et le Roegadyn étaient de bonnes personnes, rejoignant C’iashta qui avait découvert une caisse secrète dans les chariots isolés, rempli de technologie garlemaldaise. Sylune était celle d’entre nous apte à la comprendre et à s’en servir, pendant que les autres continuaient leurs efforts. Kais avait intercepté un Xaela qui partait vers le Sud, découvrant qu’il s’agissait d’un allié, du dispositif secret des contacts de Shoen qu’il avait pu développer pendant la préparation à la libération de Doma. Les informations étaient sûre : Les guerriers ayant déjà pactisé avec le démon étaient tous parti vers le Nord, signifiant que Shoen devait être en danger, Sylune se permit de leur laisser une petite surprise en hurlant dans le réception les liant tous. Ça aiderait grandement ! Finalement, la Miqo’te poursuivie par Nhagi, poignarda Chuluun pour grimper sur la tour, et débuté la déclaration de son chef : Le Centurio Impérial fit une annonce, pendant que Moutah essayait de faire comprendre aux locaux à quel point il est dangereux de discuter avec eux : La machine magitech à côté de l’orateur principal au camp était une bombe.

Avec les discours de Moutah, personne n’eut envie de courber l’échine, et Sylune empêcha son explosion pendant qu’un massif Yol récupérant l’explosif, guidé par le Xaela que Kais avait intercepté. Kais qui, avec C’iashta, neutralisèrent la fausse-Miqo’te et la projection magitech du Centurio. Avec les efforts de Moutah, pas un ne fut volontaire pour en croire plus un mot, mais il fallait se hâté. Si nous avions libéré les Xaela de ce campement, il fallait maintenant sauver Shoen d’un sombre trépas.

Chevauchant rapidement, le Yol de Kodjo tournoyant dans les airs au dessus de nous, on se ruait en destination du nord vers l’objectif découvert par mes camarades – Sylune en avait trouvé le point précis via la balise Magitech, et Hael sut à quel point cela devenait important. Des Xaela étaient au sol, le long du voyage, les guerriers de Shoen éparpillés finissaient de les capturés, plusieurs se tenaient encore les cornes suite au hurlement de Sylune les ayant paralysés, ayant surement bien aidé à leurs captures. Face à nous, un barrage nous fit face sur lequel nous avons littéralement marcher dessus, ou du moins : L’intensité de la puissance déployée par C’iashta-senpai se fracassa avec force dans un éclair de lumière au milieu des usurpateurs volant sur les côtés, et finissant sous les sabots des chevaux. Peu purent survivre au déchainent, ne laissant qu’une dévastation derrière et le coup de force de C’iashta, un léger cratère fumant.

Et c’est ainsi que nous avons tracé notre route jusqu’à la grotte, un antique lieu sacré Dotharl dont plusieurs de ses membres étaient présent dans cette trêve d’interêt avec Shoen et ses Oronir. Lui même était au sol, plusieurs de ses camarades tombés par la force de l’ennemi, bloqué par la grande barrière Magitech empêchant l’accès au lieu rituel. Hael comme Nhagi s’essayèrent à frapper avec une puissance remarquable la barrière, mais elle était bien plus tenace qu’un seul d’entre nous n’aurait pu fournir en force – Mais l’artefact de Shoen allait ressoudre ce soucis. C’est tout ensemble que nous avons profiter de la puissance contenue à l’intérieur du cristal, les vents répondant à l’appel élémentaire, soutenu par l’Ether ou les compétences de la plus part des nôtres. Quand la barrière tomba, dévoilant l’antique et magnifique complexe Allageois incompréhensible, il fallut peu de temps avant de constater que des soldats Garlemaldais nous fonçaient dessus pour protéger leur machine qu’ils essayaient de liés à l’antiquité protectrice.

Le combat fut difficile, très, et j’ai encore une douleur fantôme à l’épaule malgré les traitements, comme un léger feu là où la pointe de lance s’est logé, dans une souffrance mentale résonnant en échos. Mais une fois l’ennemi vaincu, et la machine arrêtée, Naran Aan Oronir, car tel était le nom de celui ayant provoqué tant de problème, nous échappa. Il parcouru l’espace au dessus de nous avec son étrange machinerie magitech domienne, ses tirs frappant un peu partout en blessant Sylune, et Kais, les autres parvenant à s’échapper avant le ravage, ne laissant que sa silhouette fugitive au loin disparaître.

Trois captifs – La fausse Miqo’te, le Centurio et un des Eques, furent livrés aux Oronir. On aurait aimé en faire plus, bien que s’y rajoute à ça les nombreux usurpateurs Xaela captif, mais Naran avait tué une partie de ceux inconscient sur le champs de bataille improvisé. L’objectif de Naran était avec l’aide de ses contacts Impériaux, de faire usage de cette vieille machinerie pour s’attaquer au Trône de l’aube. Celui ci étant en échec, il est aisé de nous dire que nous le retrouverons tôt ou tard. Un ennemi supplémentaire, parmi les autres. Mais nous allons enfin rentrer chez nous à Brumée. C’est vers le Thanalan que mon regard se pose. Il est temps d’en finir avec L’Inrien. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 03 nov. 2018, 03:48

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.

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Rapport à la Balance – Ancien village de Paix des Choux , Les Pics de Gyr Abania. « Dossier : Contamination – Mission : Elle éveille les morts. »

« Mes respect,


Deuxième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Silvain Kaldenark, membre de la tour de la Balance.
- Kodjo des Oronir, membre de la Tour de l’Épée.
- Moutah Pontah, membre de la Tour du Sablier.
- Nhagi Kantor. Alliée.
- C’iashta, Alliée, essayant de rejoindre les Épées.
- Kais Alliyliu. Allié, essayant de rejoindre la Balance.

Notre enquête sur cette étrange contamination débute, depuis que nous avons reçu votre message, prenant sur nous d’avoir avec nous un associé à la Guilde des Alchimistes, et membre du Sablier : Moutah Pontha. Si l’objectif est bien d’en savoir plus sur cette maladie, et les possibilités obscures qui mérite l’attention de notre groupe. Ainsi, comme l’exigeait notre tâche, j’ai ressemblé mon équipe et les volontaires pour partir enquêter sur la mystérieuse maladie ayant décimé un pauvre village en Gyr Abania, dans un lieu isolé. Le problème concernait vraisemblablement une histoire de maladie, d’épidémie, et les solutions furent prises pour ne pas tomber non même malade et revenir pour contaminé encore plus les environs. Imaginez un relais d’aventurier devenir un nid pour des maladies mortelles, ce serait l’idée la plus dévastatrice qui soit : S’éparpillant aux quatre coins d’Eorzéa, et d’ailleurs.

Nous nous sommes ainsi retrouvés au nord de cette terre de poussière, d’une vaste étendue de canyon et d’hauteurs rocheuses, récupérant nos fidèles compagnons pour se préparer à une grande chevauchée vers notre destination. Nos montures nous guidant sur les routes les moins en moins peuplés, au moins quelques dispositifs furent prit par les locaux – Plus nous avancions vers le village de Paix des Choux, moins il y avait de voyageurs. Les marchands et les nomades communs finirent pas n’être plus que poussière et végétation éparses sur notre route. Les panneaux indiquant le lieu abîmés et anciens, mais barrés par ce qui ressemblait être une encre noire.

Au début, comme un avertissement léger, jusqu’à l’interdiction plus morbide : Le dernier panneau avant de parvenir à destination été barré avec du sang. Cela annonçait déjà la couleur, pendant que se dévoilait face à nous le village, ses champs, ses quelques greniers et bâtisses ainsi que les corps étendu au sol déjà visible au loin.

Des villageois, paysans, pauvres vagabonds étaient étalés au sol en nombre. Plus encore se dévoilaient à mesure où nous découvrions les liens, un véritable amas de corps brisés contre un des greniers comme si ils s’étaient écrasés ensemble dessus. Attendant la mort, ou pour je ne sais quel raison que je ne peux même encore maintenant, expliquer pleinement. Notre mission restait donc de découvrir simplement plus d’informations sur la contamination, mais il était rapidement clair qu’il n’y avait rien de naturel pour mes camarades. Plusieurs corps portant des sortes de stigmates, et pour certains, des amas pâteux d’une gelée noire infâme. Silvain et C’iashta restèrent à l’amas de corps contre le grenier pour en savoir plus, inspectant les corps pour découvrir quand ils ont bien pu perdre la vie, et de quel façons, à la recherche de n’importe quels traces d’indices supplémentaires, de failles, sans trouver quelque chose de clair si ce n’est leur décès depuis quelques jours.

Toutefois, le plus intriguant notamment pour Kais était la petite silhouette observant la demeure close au loin. Nous avons traverser la ville en recevant les rapport de ceux inspectant les corps, si nos gardes, et c’est là que l’inconcevable apparu. L’enfant fut lentement tourné par la prise de Kais, et on pu voir ses yeux n’étant plus que des bulles obscures, un noir abyssal et profond, écœurant. L’enfant sauta à la gorge de Kais qui l’écrasa par terre en pensant qu’il pourrait peut-être le sauver. Mais il n’était pas seul, partout dans les villages, les morts revenaient à la vue dans des gargouillis écœurant, cette substance dégoûtante glissante le long de leurs lèvres pâles.

Partout des combats éclataient, et nous étions dispersés dans toutes les directions. Les instructions étaient claires : les décapités, le plus vite possible. Ou frapper suffisamment fort pour que leurs têtes ne soient plus qu’une pulpe glissante au sol. Lentement, nous avons trouver notre rythme pour les abattre. Rassemblant doucement les corps, mutilés par la lame de Silvain, ou ravagés par nos assauts, il était temps d’essayer de comprendre ce qui devenait vraiment une menace grave.

L’inspection du village ne fut pas fructueux de manière à nous donner des pistes importantes. Dans le grenier, Kodjo, Nhagi et Kais découvrirent les animaux morts, tous décapités, et le médecin ayant voulu endiguer la situation ayant mit fin à ses jours en se tirant dans la tête. Son carnet fut récupéré, ne comportant que des propos incohérents et une incapacité totale à comprendre la situation, jusqu’à son malheureux suicide. Mais cela amena à la récupération de l’eau du puits qui avait quelque chose de néfaste à l’intérieur, sans parvenir réellement à comprendre ce dont il s’agit. Si ce n’est un malheurs de plus, on avait aucunes raisons de comprendre clairement pourquoi et qui avait pu faire revenir les morts à la vie. Il devait y avoir une raison, mais aucunes créatures du néant, ni mage noir, ne furent présent dans les lieux, et pas une seule trace autre que l’éther sombre dans le sang, et l’eau.

Rassemblant les corps en récupérant du sang, et quelques lambeaux de peaux, dans des fioles scellés par les parchemins Shikigami de Moutah pour leur laisser encore moins de chances d’être ouverte ou brisés, nous avons inspectés la demeure pendant que les autres traitaient le cas du grenier. Silvain fit un long passage pour concentré une telle force que les menaces grattant à l’intérieur en essayant de sortir ne serait plus un problème – Sa lame se fit si puissante, hurlante, qu’elle ravagea la porte et plusieurs de ceux attendant, se couplant aux pouvoirs de Moutah, moi et C’iashta nous sommes occupés des survivants. Du moins, des non-vivants restant. L’inspection des lieux ne donna rien de plus qu’une piste d’un des occupant ayant visiblement pu s’enfuir.

Notre dernière piste ! Nous nous sommes rués pendant que Moutah et Silvain s’occupaient de la ferme – Nous pensions à une inspection, mais ils mirent feu à la plus part des édifices restants et des amas de corps rassemblés par nos soins. Au moins, la contamination s’arrêtera là, malgré le prix à payé. Il ne reste plus rien que des cendres et du bois brisé. La piste mena à un Ours parfaitement malmené par se mal inconnu. Les renforts de Silvain et Moutah ne furent pas de trop, malgré l’aide précieuse de Kais nous évitant à Kodjo et moi des graves blessures.

Ainsi, il ne resta de la piste, qu’un ours déchaîné brûlant dans les flammes. Notre piste s’achève là. Il ne reste rien de Paix des Choux pouvant être porteur de vice, le Puits à été scellé par Silvain, et nous sommes parti pour une purification de nos équipements, nos corps, pour ne jamais être trop prudent.

Liste des éléments rapportés :

- Toutes les corps ont été brûlés, et un puits d'eau corrompue scellé.
- Aucunes traces de survivants non-mort, ou de piste d'éther sombre.
- Indices -

- Sang noir très épais, très pâteux, sur les sujets contaminés. -
- Yeux noir des morts-vivants, agressivité sauvage. -
- Eau contaminée, impossible d’en déterminé la source. -
- Éther noir présent dans les indices découverts. -
- La maladie ne semble pas naturelle, aucunes traces de raisons ni de moyens de contaminations. -
- Objets scellés -

- Une fiole de Sang corrompu.
- Une fiole d’Eau contaminée.
- Une fiole de morceau de peaux d’ours et de non-vivant contaminés.
- Carnet du médecin // rien d’utilisable si ce n’est des divagations folles. -
Note : Moutah Pontah du Sablier, à fait récupérer une fiole de Sang et d’Eau corrompues pour les remettre à la tour du Sablier, et préparer une étude avec l’Arcaniste Byakuya.
- En attente de nos prochaines missions - »

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