[Chroniques] Journal de Tsakuyi

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 16 nov. 2018, 06:41

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours, ainsi qu’aux officiers du Maëlstrom.

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Rapport à la Balance – Noscea occidentale, Port-aux-Ales. « Dossier : Vodoriga – Mission : Vengeance hystérique»

« Mes respect,


Cinquième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Moutah Pontha, membre de la tour du Sablier
- C’iashta, membre de la tour de l’Épée
- Kodjo Oronir, membre de la tour de l’Épée
- Naghi Kantor, Alliée.

« Port-aux-Ales est un lieu aux airs paisibles, les demeures installés jonchant les quais où s’installe les transits des commerces vers le Sud et Limsa Lominsa, une véritable plateforme de déplacement des ressources dans l’Ouest de la Noscea. Les lieux étaient encore habités par les bruits des commerçants mêlés à ceux des dockers s’occupant de passer une caisse d’un bout à l’autre. Il y avait tout de même une certaine ambiance bonne enfant agréable à découvrir, bien que nous restions là pour une enquête certaine avec l’équipe annoncée plus haut.

Notre présence ici était justifiée par l’ordre de mission tel : Découvrir la vérité sur les soit-disant rumeurs de dragons parcourant les propos des gens dans les environs. Bien que quand je parle de gens dans les environs, il s’agissait surtout des marins ivrogne et des voyageurs benêt. Cependant, le jeune aventurier du nom de Philibert Duroi semblait avoir totalement disparut en suivant cette piste, d’après nos dernières informations, ne laissant derrière lui qu’une pierre avec les traces de griffures obscures. Bien entendu, rapidement les Casaques jaunes furent éloignés « au cas où », et le dossier tomba entre les mains avec moult efforts de communications, de la Balance. C’est ainsi qu’en formant mon habituelle équipe, peu nous ayant rejoint cette fois ci, nous avons débuté notre enquête en arrivant à Port-aux-Ales.

Le lieu respirait une certaine tranquillité agréable, malgré la nuit tombante, donnant un ton orangé magnifique à l’horizon. Nous pouvions enquêter en ville, mais mes camarades firent le choix d’inspecter avant tout ce qui pouvait sembler dangereux. Ainsi, une trentaine de minutes de marche nous sépara du port paisible, pour découvrir l’aspect de cette partie de la Noscea bien plus terne – mornes, tout semblait bien plus mort que dans n’importe quels lieux de cette belle terre. Nous sommes parvenu à la pierre, les traces de griffes ayant effectivement une présence obscure, celle de l’énergie du néant. L’inspection débuta nerveusement, pendant que Moutah fit en sorte de « guérir » les lieux de cette présence dégoûtante. Kodjo découvrit une étrange longue-vue fendue en deux, pendant que les autres inspectaient les traces, il fut découvert rapidement qu’il s’agissait d’une créature à deux griffes, ne touchant pas le sol.

Et C’iashta eut le bon réflexe d’essayer de voir vers où la longue-vue observait : Un arbre. Un peu plus loin, où s’y trouvait une dague planté à l’intérieur, avec un sachet, et du sang. Et après avoir récupéré un Héritaupe – quel drôle de nom – ce fut une des idées les plus bizarres après une enquête minutieuse que nous avons été donner de faire : Invoquer l’entité néfaste à notre tour, pour l’abattre.

Moutah était concentré et le plan calculé – Nous avions identifié ce rite comme une manière d’appeler un être déjà invoqué, ainsi, il s’agissait d’un appât, et en l’utilisant, nous pouvions clairement parvenir à détruire ce qui avait été invoqué en prenant nos mesures. Malgré tout, le combat fut difficile, et aurait pu être mortelle et désastreux sans nos préparations. Trois créatures sortirent de nulles part, frappant des ailes en se ruant vers nous. Des vagues aspects draconiens rachitiques, une étude des Vodoriga pourrait plus clairement vous en décrire les attraits. L’attaque fut fulgurante, mais notre réaction était préparée, Moutah déchaîna la force de la voûte céleste à travers son planisphère, et les entités du néant ne purent qu’en être affectés, jusqu’à ce qu’après un long combat, nous en sortions en vie.

Blessés, mais vivants, s’occupant de nos blessures et de la purification des lieux, l’affaire venait de perdre rapidement et de manière inattendue les créatures invoquées. Mais notre plus grand soucis, c’était de savoir qui avait bien pu les invoqués ici, au dépit des conséquences grave que cela à déjà eu. Reprenant la route, vers Port-aux-Ales avec des montagnes de questions, nous avons prit le temps de discuter avec le mandataire pendant que Nhagi et C’iashta discutaient avec celui ayant frappé de son sceau la longue-vue. Si nous avons appris que Philibert Duroi n’était qu’un tire-au-flanc n’ayant jamais réellement voulu avancer sur ce mandat, et passant son temps à séduire la fleuriste locale, cela se coordonnait insidieusement vers la vérité. L’Artisan local ayant apprit à nos camarades que quelqu’un lui avait justement fait une grande commande de telles longues-vues, et que ceux venant en récupérer finissaient par disparaître rapidement.

Ce qui nous laissait une piste : L’arcaniste ayant récupérer en dernier une longue vue devait être installé sur un navire, mais après un bref passage en discutant avec un marin pour le plus atypique en vertu de ses manières de regarder Kodjo comme si il allait le manger – Ce qui lui valu un poing dans le visage pour tentative d’attouchement, nous sommes parti chez la fleuriste. L’odeur sur la carte, les concubinages, tout s’y liait lentement, et celle ci avait l’air peinée de nous voir frapper à sa porte, et nous demandant un peu de temps. Jusqu’à ce que Kodjo défonce la porte brusquement. L’arcaniste gisait dans son sang, pâle, et ayant besoin d’aide d’urgence, pendant que la fleuriste se préparait au rituel : L’appât qu’elle imposait au mur ne parvient jamais à attirer de créature du néant, puisqu’elles étaient déjà morte. Piégée, avant qu’elle ne puisse user d’un autre rituel d’invocation dont elle avait des préparatifs, Moutah l’exécuta d’un coup net. Considérant le danger pour Port-aux-Ales trop pressant pour pouvoir la laisser en vie.

Cependant, une fouille complète fit apparaître le parchemin d’invocation, et le grimoire usé pour faire venir les Vodoriga ainsi que la méthode pour en faire usage. C’était une magie bien trop haute pour cette démente hystérique voulant se « venger de son bien mari » - Ainsi. Il est à craindre que quelqu’un fut coupable, mais part manque de piste. Cette affaire ci restera close, et ses documents laissés disponibles en cas de retrouvaille de même type d’affaires.

Liste des éléments rapportés :


- La coupable avait des notions d’Occultisme mineur, ce qui fut un choix idéal pour quiconque lui ait remit le grimoire entre les mains.
- Aucunes pistes claires et les possibilités trop nombreuses font que ce dossier est classé. Une étude des Vodoriga pourrait être appréciable en cas de nouvelles problématiques face à eux.
- Ce rapport reste disponible en cas de besoin de renseignement sur des cas similaires.
- Indices -

-
- Objets scellés -

- Parchemin d’invocation – Lié à des créatures de type « Vodoriga ». A NE PAS OUVRIR.
- Grimoire d’enseignement des liens et invocation de tels entités.
- Affaire classée, preuves restant disponibles pour des études approfondies. - »

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 16 nov. 2018, 23:42

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et à Moutah Pontah, du Sablier.

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Rapport ouvert – Sud de la forêt de Sombrelinceuil, Bocage de la Mue "Ce ne sont pas les ingrédients que vous recherchez."

« Mes respect,

Nous avons prit le temps de finir les dernières investigations pour parvenir à trouver des composants pour les créations du Sablier, notamment de Moutah Pontah. Il s’agissait de trouver des sangsues de Sombrelinceuil ainsi que de la sève de treant, tout ceci permettant de pouvoir créer des potions d’Esprit pour parvenir à protéger nos camarades pendant les missions dangereuses de la Balance. Ce qui est fut d’un support extraordinaire pour plusieurs missions depuis, prouvant encore l’utilité de notre coopération. Ainsi, pour finir de préparer les stocks de Sève de Treant et de sangsues, dont plusieurs aventuriers eurent déjà la bonne volontaire de remplir les stocks de prime abord, bien que nous n’ayons pas de retour écrit de leurs actions, ils en demeurent existant et palpable.

Puisqu’ils ont permit la conception des premières potions. Nous sommes parti en compagnie d’une petite équipe vers la Forêt du Sud. Je ne fus pas guide cette fois, mais profitant de la présence de deux Lunaires plutôt qu’une, connaissant naturellement la dite forêt et ayant une affinité locale : Nhagi Kantor et Shekhia de la tour de la Plume. Avec la présence de Kodjo, des Epées, habituel défenseur, et moi même, toujours présente ! Nous avons donc débuté un long voyage très agréable le long de Sombrelinceuil depuis le Moulin de la carrière, malgré la pluie présente, celle ci n’était pas si gênante. Une douce pluie paisible glissante le long de nos équipements sans vraiment nous gelés ou nous affecté.

Marchant derrière les deux miqo’tes en profitant des environs sous le doux orage fort peu violent, pour explorer une nature sauvage et paisible. Le voyage fut long, et les découvertes sympathique comme ce petit fleuve à passer sur des rondins effondrés, ou le passage d’innombrables minuscules élémentaires d’eaux comme des feux-follets tournoyant, comme une vague passant en milliers de grosses gouttes reluisantes et vivantes. C’était vraiment plaisant, mais signalait aussi que notre voyage à travers les bois s’achevait. A travers des ruines abandonnées depuis longtemps, des pierres rongées par les plantes reprenant longtemps leurs droits. Les lieux avaient quelque chose de poétique et les Lunaires prouvèrent la présence de treant.

Et pas qu’un seul. Elles traquèrent leur lieu de vie en particulier, et finirent par le trouver – une grande route remplie d’arbres, entres des anciens muets, et des récents ayant décidés de prendre cet espace tous ensembles. Les Treants semblaient nombreux, et nous avons décidé de la jouer finement pour ne pas provoquer de catastrophe. Ainsi le plan fut tel : Kodjo usa de ses talents pour apaisés le Treant que Nhagi affaiblissait avec une douce musique. Je levais mon bocal devant la plaie ouverte dans le treant à un lieu très spécifique identifié par Shekhia. Conjuguant nos rôles respectifs, la blessure éveilla tout de même lentement les treants environnant. Mais récupérant la sève, ralentissant leur éveil, et soignant la blessure, il prirent lentement conscience en nous trouvant au milieu de l’allée sans qu’il n’y ait une once d’agressivité visible.

La curiosité les gagna, surtout qu’ils ne comprenaient pas ce qui les avaient éveillés, le camarade allant très bien. Ils se contentèrent de nous observer, d’avancer des branches, de voir ce que nous sommes, la musique de Nhagi aidant à l’apaisement pendant que nous partions tout doucement. Les jets d’eaux soutenu, en renforçant le cristal d’eau de Shekhia, fit naître une véritable petite pluie grandiose qui les nourrit, leur fit profiter de celle ci avec plaisir, pendant qu’on s’effaçait. Bien heureux de la réussite de notre plan.

La sève était à nous ! Riant et amusé, parcourant la pluie enjoués par cette réussite sans once de combat, ce fut un véritable voyage, une aventure qui n’avait pas besoin de rage ni d’épée. Une véritable quête, sans besoin de destruction et de chaos, nous n’avions que la nécessité de récupérer des affaires pour parvenir à fin, les matériaux pour Moutah, et après cette belle réussite, il ne restait plus qu’à récupérer les sangsues.

Ce fut beaucoup, beaucoup plus simple pour celles ci. Nous avons voyager jusqu’à une scène sublime, peu de temps après notre route à travers le trajet des Treants bien heureux – Ce qui serait un très beau nom pour une route non ? Jusqu’à une étendue d’eau. Un morbol visiblement bien jeune s’agitant dans un coin lointaine, en passant autours d’énormes fleurs d’un jaune reluisante formidable, comme des milliers de lueurs naturelles et splendides. C’était d’une beauté rare, et merveilleuse. Quelques minutes furent consacrés à l’observation d’un tel phénomène. Il fut difficile de nous en détaché, et nous sommes parti plus vers le nord pour commencer la récolte. Shekhia et moi pataugeant dans l’eau pour les attrapés et les mettre dans la petite caisse de verre que j’ai prévue. Kodjo surveillant, empêcha le petit Morbol de venir s’intéresser de trop près à Nhagi qui prit sur elle d’aller chercher une énorme sangsue installée sur une tortue endormie.

Finalement, le Morbol suivi des fleurs volantes par la lumière produisant, et nous sommes parti avec une caisse bien remplie. Ainsi, de retour au relais, nous pouvions prendre un peu de repos d’une épopée sans problème, avec un énorme bocal de sève, et une caisse bien remplie. Voilà la nature des aventures les plus simples : Partir voyager, Et revenir avec l’esprit plein d’anecdote, et de belles visions. Ainsi, Moutah, tes réserves sont pleines. Et comme convenu ensemble : C’est une fin de Mandat ! »
- Kosenjobi Tsakuyi,
Membre de la Tour de la Balance.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 20 nov. 2018, 13:28

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités des Vigiles Sombres

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Rapport ouvert – Sombrelinceul, Est de la Brancharquée. "Alcool Vivant."
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang B]
« Mes respect,

Mettre en pratique une arrestation n’est pas quelque chose de simple, il faut bien maîtrisé la situation et prendre aussi le temps de comprendre l’affaire et de savoir comment arriver au bout de sa volonté sans provoqué un carnage ni un bain de sang inutile. Notre mission se référait à l’objectif plus au nord concernant une pauvre Sylphe perdue dans un rucher nommé Pleinefleur, s’occupant avec les enfants mais malheureusement convoitées par des brigands locaux pour le compte de ce que nous avons découvert comme se nommant la Brasserie de Luisance.

Il y eu peu de temps avant que le mandat ne tombe, bien que les Vigiles Sombres auraient du pouvoir s’en occuper, ce qui soulevait plusieurs interrogations. Notre équipe fut constituée pour ce mandat de la plus part de ceux ayant sauvé la Sylphe – Kyuuji, Finaen, Selaine, ainsi que la présence de C’iashta, Sylune et Kodjo des Tours. S’y joint un Xaela des Steppes venant d’arriver il y à peu en ses terres, et qui fut guidé ici. De part une entente sympathique avec Kodjo, Gandayar vint avec nous pour l’accomplissement de se mandat, et nous fumes parti pour Sombrelinceul. Nous retrouvons au Ranch pour converser ensemble de la marche à suivre, il fut convenu ensemble que nous trouverons des indices parmi les locaux pour comprendre plus de la situation, avant de partir. Seules Sylune et Selaine se mirent en route directement pour se mettre en couverture dans des hauteurs, et observer les scènes là-bas, découvrir ce qu’il s’y passe. N’y voyant que la présence des gros-bras, et de leurs cuves, prêts à voir si il se passe quoi que ce soit de plus.

J’accompagnais Kyuuji et Finaen discuter avec les Vigiles sombres, ceux ci nous firent découvrir que Monsieur Luisance se trouvait plus à l’Est de sa brasserie, pour d’étrange affaire d’après sa femme après qu’une dispute ait éclaté dans le couple, et que les Vigiles Sombres n’avaient pas le temps de s’en occuper, certains même peu motivés à le faire à cause de la production de Bière offrant bien de l’énergie à qui en boit. C’iashta, Kodjo et Gandayar découvrirent eux auprès du Palefrenier qu’il y avait beaucoup de problèmes liés, notamment une disparition d’un animal de compagnie connue par C’iashta. Le temps comptait lentement, surtout après avoir découvert de la part de Selaine qu’il y avait des ballons Ixali dans les cieux à l’Est, et que des humains conversaient dedans avec les hommes bêtes.

Si il devait y avoir un espoir de sauver des vies, il fallait intervenir rapidement à la Brasserie. Sylune restait sur place, et nous sommes arrivés après une route en vitesse à dos de Chocobo récupérés après du palefrenier, me rappelant dans cette scène comme je préfère me sentir libre et à l’aise sur Shinkô, mon cheval. La ruée fut rapide, à travers la forêt en prenant soin de prendre la route pour ne pas être gênés par les obstacles forestiers dangereux, nous laissant arriver là où Sylune nous avons décris : La brasserie de Luisance, un lieu isolé avec trois grandes cuves de bois, une jeune élémentaliste œuvrant devant, pendant que les gros bras jouaient au carte ou autres activités peu cérébrales pour passé le temps.

Au début, ce fut un début de discussion alors que nous mettions les choses au clair, pour essayer de les dissuader d’intervenir et de partir, le palefrenier ayant parlé d’eux comme d’anciens brigands essayant de se racheté, il y avait peut-être un espoir. Mais un manque de communication, une précipitation, et la jeune élémentaliste prit une charge d’éther assommante dans la tête, et s’écroula lourdement.

Voilà que fut déclaré la guerre ouverte avec ceux qui hésitaient, si il n’avait pas été des vulgaires anciens brigands, peut-être auraient-ils réfléchit un peu plus longtemps avant de tirer leurs armes. La situation restant floue, le mot d’ordre était de les capturés sans avoir besoin de les tués, et malgré l’assistance incroyable des tirs de Sylune qui frappa nos ennemis à intervalles réguliers avec grande efficacités dans des coups non létaux, les habitudes de Ganbayar firent des blessés graves. Kyuuji sût leur laisser la vie sauve grâce à ses compétences de guérisseur, mais ce fut de justesse. Ainsi, la brasserie fut entièrement fouillée, et nous avons pu y découvrir que les cuves contenant des hommes-bêtes, voir mêmes certaines prévues pour des personnes, étaient maintenue secrète. Seul un élémentaliste les jambes liés et sous-nourrit connaissait le secret de Monsieur Luisance, mais il accusait l’obligation mue à un homme surnommé « Mor », un étrange personnage dont C’iashta à pu me parler.

Responsable de bien des affaires lugubres en lien avec les Hicors et les Chaînes rouges, il y à longtemps de cela. Inquiets par les étranges sonorités diffusés par la perle de Selaine, nous nous sommes rués avec Sylune, Finaen et C’iashta vers sa position pendant que les autres s’occupaient des gros-bras et des élémentalistes en attendant la venue des Vigiles Sombres. Et ce qui nous attendait n’était pas fort plaisant.

Un des ballons Ixal s’était installé pendant que les deux autres partaient dans les cieux. Monsieur Luisance, un gros bonhomme dégarnit, était installé à côté de cendre d’un brigand consumé par son étrange collier confié par les Ixal. Ceux ci souhaitaient que les futurs cuves en soient nourries, de « l’Alcool vivant » permettant de souillé autant des êtres qu’alimenter une étrange machine Magitech devant appartenir à ce « Mor » - Celle ci est encore à la caserne des Deux Vipères. Nous avons pu empêcher le dernier ballon de fuir, ce qui mena à un combat bien difficile entre nous et les Ixal, qui se conclut par un fracas tonitruant quand leur Chaman usa de la poudre mauve qui détonna subitement.

Les seuls prisonniers seraient donc humains, et ils ne nous apprendraient pas plus que nous ne le savions déjà : Mor avait forcé la coopération avec les Ixal visiblement affecté par la présence d’un éther obscure, pour faire naître ses préparations de cuves de l’Alcool vivant. Maintenant que la brasserie de Luisance est close, cela risque de le ralentir. Cependant, en coopération avec les Deux Vipères, il y à un fort risque pour qu’un Mandat soit de nouveau confié au Relais des Quatre Tours de Brumée. Afin d’atteindre les Ixal, et peut-être même ce maudit « Mor. »
- Tsakuyi Kosenjobi,
Membre de la Balance.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 21 nov. 2018, 20:56

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités des Templiers d’Ishgard.

Rapport ouvert – Coerthas Central, dans les Coteaux Rocheux. - "Froid-manteau."
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang A]
« Mes respect,

La mission en coopération directe avec l’Épée suite à la direction de Flare fut un franc succès. Malgré quelques victimes supplémentaire en vue de la difficulté de la mission et de la responsabilité de cette tâche, nous pouvons fièrement conclure ce mandat avec l’acquisition du « Froid-manteau » pour les réserves scellés de la Balance.

Ainsi, la mission fut une bonne coopération de Trois des tours de l’ordre. Ma présence avec Kais symbolisa la Balance, Sylune et Jo’lyne firent acte de présence au nom de la Plume. Et majoritairement, Kodjo, C’iashta, Octavia et Flare furent les Épées avec qui nous avons accomplit cette mission choisie spécialement au nom de la Balance à cause des mystères et atrocités possibles tournant autours. L’affaire de loin semblait déjà étrange, autours de la légende du Froid-manteau qui permettrait à qui l’endosse de venir dévorer ceux qui lui on fait du tort. Cette histoire devenait de plus en plus populaire dans la ville du même nom, l’ayant acquit en hommage à cette histoire, après le massacre d’une patrouille entière d’Ishgardien.

Notre rôle était de découvrir ce qui pouvait bien se passé là-bas, en descendant le long de la tête de dragon pour atteindre ce village isolé et en apprendre plus sur qu’il s’est passé. Ma foi, ce ne serait pas quelque chose de très long à obtenir vu à quel point la situation à rapidement dégénérée. Notre groupe fut formé au relais, après avoir discussion de l’affaire, nous avons rejoins le camp de la tête de dragon en ayant en accompagnement l’énorme machine magitech de Octavia, crachant des fumées et bourdonnantes comme les Garlemaldais aiment le faire. Guidés par la carte nous menant à destination, les deux longues heures nécessaires dans le froid paraissaient déjà irritante et désagréable, et pourtant. Ce ne serait pas le pire.
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La neige glissant sur nos cuisses, ouvrant des chemins abandonnés, jusqu’à parvenir presque à destination. Si ce n’était le groupe de Templier discutant entres eux, ce fut Sylune qui prit ses airs les plus militaires pour essayer de les mettre en posture martiale, mais rien n’y faisait. Des batteries de tests étaient menés, mais il fut particulièrement suspect que nos senseurs soient brouillés par un givre intense. Le plus dangereux fut pour Sylune, dont les lunettes gela en lui coupant la vue, pendant que Kais prit sur lui d’aller voir de manière plus agressive les Templiers. Ce résultant, nous avons découvert que nous étions simplement tombés sur la Patrouille morte, et qu’elle ne l’était plus tant que ça. Le combat fut acharné, ils mutaient en sorte d’aberration mue de glace et de peau boursouflée.

Ressemblant plus, petit à petit, à des golems qu’à des corps. Ce ne fut qu’à l’effort de quelques blessures et la mise en arrêt de la machine d’Octavia nécessitant des réparations à l’avenir, que nous les avons vaincu. Traînant nos blessés, et nos corps fatigués pour vite rejoindre le village de Froid-manteau dans un dernière effort de marche, pour y découvrir un lieu d’une morosité désagréable. La ville était en proie à l’absence de chaleur, tout le monde semblait absent et fatigués de cette vie. Pendant que Kais et Jo’lyne inspectaient la ville, errant à travers les ruelles grises et les errants toussant, Sylune, Flare et Octavia partirent discuter avec Templiers locaux pendant qu’on partait à la taverne avec Kodjo et C’iashta. Et toutes nos investigations allaient lentement menés vers la découverte de la situation.
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Le groupe de Sylune put découvrir qu’un vieil Elezen était devenu fou peu avant les évènements, habitant local, il semblait avoir de nombreuse crise de nerf quant à sa situation déplorable et exigeait le changement. Difficile à dire ce que les Templiers purent en faire, puisqu’ils furent mit dans cet état déplorable de décrépitude avancée avant de commencer une quelconque enquête. L’inspection de la maison fit rapidement comprendre que celle ci était clairement dans un état avancé de corruption, un rituel impur ayant exigé le sacrifice de la famille entière ne laissant que leurs têtes coincées dans la glace, fit découvrir une étrange carte sur la glace qui se mit à pulser de plus en plus fort, à un point précit.

Comme si quelque chose allait débuté en se hâtant après la destruction du Coeur de Glace. Cela, c’est le groupe de C’iashta qui en fit la découverte. Kais et Jo’lyne nous avaient rejoint en comprenant que au moins, les Habitants n’étaient pas eux aussi des futurs corps glacés mutés, mais bien uniquement bousculés par une influence néfaste. Le coeur se trouvait dans une caisse apportée par un colporteur étrange, dont un Chevalier semblait au moins être prémunit. Diffusant lentement une fumée noire qui envahissait d’obscurité le village, sa destruction par Kais en libéra les locaux, même si nous n’avions plus le temps pour les politesses.

Le choix affreux de laisser la demeure corrompue sur place avec à peine deux Templiers de garde était nécessaire : Atteindre la source de la Folie est toujours une priorité, malgré les risques pour ceux derrière, tant que vivait le cœur même de ce qui avait provoqué cette histoire, le danger serait plus grand que le risque de presque une ou deux personnes à cause de l’état de la demeure.
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La ruée fut rude, courant à travers les Coteaux rocheux pour atteindre notre destination sur une vingtaine de minutes de courses effrénées, passant outre la neige, une rivière d’eau froide, et quelques rochers gelés. Notre destination ne fut atteinte qu’après bien des efforts, pour y découvrir un dôme congelé sur une hauteur. Le vieil Elezen s’y trouvait, poignardant une jeune fille de son poignard pendant que s’éveillaient la vingtaine de corps gelés et devenant déjà disproportionnés. Le chevalier et ses templiers arrivèrent derrière nous, haletant et inquiets en ayant suivi Sylune les ayant mit en formation. Ceux ci étaient conscient du danger, mais le combat avait plus de chance de ne pas faire de victime civile loin des murs du village.

L’enfant poignardée était devenue une sorte de manteau de neige, et de cristaux, de son sacrifice, le vieillard convoqua le Froid-manteau pour le porter sur ses frêles épaules déjà en train de grandir, la couche de l’armure de glace le recouvrant lentement en lui donnant un air impérieux.

La bataille éclata à la ruée de Kais qui ne supporta pas la disparition de la jeune fille, s’écrasant dans la mêlée en étant accompagné des flèches de Flare, Kodjo et C’iashta, les trois combattants furent d’une terrifiante efficacité – Ils ne se battaient simplement pas seuls. Ils luttaient les uns pour les autres, et c’est dans cette harmonie que tous permirent à la bataille de trouver la meilleure des fins, malgré quelques blessures. Jo’lyne, Sylune, Octavia et moi unirent nos forces dans plusieurs déflagrations, entre le tir du mortier me résonnant encore dans les cornes, les frappes de la Gunblade et les coup du sabre de Jo’lyne, le dôme fini par se briser en laissant voir la silhouette de ce chevalier de glace. Il ne fut pas si difficile à confronté quand Sylune comprit qu’il fallait détruire la broche maintenant le Froid-manteau.
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Dès que celle ci fut brisé par l’union de nos assauts, il ne resta au sol qu’un vieillard nue, terrorisé. Ce vieux Noble d’Ishgard ayant offert la mort à toute sa famille pour retrouver le pouvoir et se permettre de régner sur ce qui lui semblait légitime, paraissait désormais bien misérable. Il fut achevé par Kais, ne lui laissant aucune parole après ses crimes, l’inquiétude de l’influence du Froid-manteau sur l’état de son corps ne me fit pas arrêté son geste. Je craignais un quelconque retour de ce pouvoir ténébreux, et la plus sûre des sécurité, reste de n’en laisser pas une miette de cet héritage obscure.

Le Manteau fut scellé pour les caisses de la Balance, pendant que tous s’occupaient des blessés, des morts, et de ce repos nous attendant. Il me restait juste la purification de la demeure, et à confronté l’Ire de ne pas avoir offert à la Justice le vieillard. Mais l’essentiel est que notre mission est accomplie. Ce lieu est en sécurité, et il ne put l’être qu’avec les efforts des membres de l’Ordre, unis. »

- Tsakuyi Kosenjobi,
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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 23 nov. 2018, 17:12

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours. Et aux autorités d’Ishgard concernant Nid du Faucon.
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Rapport à la Balance – Coerthas Occidental - Deux-rivière « Dossier : Croque-mitaine – Mission : Le dévoreur des songes.»

« Mes respect,


Sixième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Kais Alliyliu. membre de la tour de la Balance.
- Frédérick Greyland membre de la Tour de la Balance.
- Kodjo des Oronir, membre de la Tour de l’Épée.
- C’iashta, membre de la Tour de l’Épée.
- Hael des Dotharl. Alliée.
- Naghi Kantor. Alliée.
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La mission ci-jointe ne fut pas aussi violente que le combat mené auprès de la Tour des Épées plus au sud, dans les Coteaux Rocheux, face aux séides du Froid-manteau. Ici, à l’image de l’affrontement contre les Vodoriga, il s’agissait d’un combat face à des entités errantes et ayant du être retrouvée, mais il y avait une différence singulière. Cette fois, il n’y avait pas de coupable parmi les mortels, mais uniquement des victimes, et c’est un état de fait soulageant, vraiment. Et la suite de la mission reçue une bonne conclusion outre notre état mental, mais divers informations intéressantes.

L’histoire débute à Nid du Faucon alors que les trappeurs, explorateurs et ceux ayant l’habitude de sortir décidèrent de ne plus quitter les remparts de la ville en disant qu’ils n’ont plus envie, que le moral descendait de plus en plus, jusqu’à ce qu’une personne.

Joseph Croix-les-Justes, fut retrouvé mort dans son lit avec un visage dévasté par la peur, comme si il avait subit une des pires frayeurs qui soient avant de succomber. Les personnes dépérissaient lentement, et nous avons donc rapidement offert l’intervention de la Balance commençant à avoir pour ma part un léger renom dans les parages depuis d’autres opérations diverses un peu partout. L’équipe annoncée c’est donc rendu à Nid du Faucon, se regroupant pour mieux se diviser afin de mené des enquêtes un peu partout pour en savoir plus. Frédérick Greyland prit soin – Et pour une première mission à ses côtés, il me fit une impression favorable jusque là, de mené son groupe avec Hael et Nhagi auprès du Palefrenier, rapidement rejoint par C’iashta.

A ses côtés, le Palefrenier ne pouvait qu’apprendre que les environs se voyaient de plus en plus affectés au niveau des voyages et ceux arrivant finissent rapidement par être démotivés par leurs propres voyages. Mais le plus intéressant restait aussi le contact avec la famille de la victime, au milieu des quelques réponses plutôt habituelles dans de telles situations, entre le déni d’un problème plus grave et la crainte qu’il ne se répète. Mais tel est notre mission, de faire en sorte de ne pas laisser les citoyens avoir à craindre le pire. De notre côté, avec Kais et Kodjo, nous étions dans la taverne alors que les jeunes aventuriers étaient la plus grosse des ambiances. Si l’aubergiste était totalement débordés par un trop plein de gens voulant finalement dormir ici plutôt que voyager, ce sont les Templiers qui aidèrent le plus à en comprendre un peu plus, réalisant que la victime avait un contact régulier se trouvant à la rue.

Mais c’est en s’y dirigeant et en voyant la foule s’amassant autours que le problème débuta de notre côté : L’homme était en train de convulser au sol, comme étouffant. Kais se mêla à la foule pendant que Kodjo eut le bon réflexe de lui faire boire une des potions d’esprit de Moutah pour le libérer de cette folie, et ce après l’avoir apaisé le plus possible. Il nous parla d’une histoire d’un collier découvert par Joseph et son Frère, un ermite, pour protéger les victimes des cauchemars. Mais le responsable ne s’était pas laissé faire, et avait forcer un citoyen à voler les dits colliers.

Celui ci étant en sécurité, et les colliers récupérés, nous avons été rejoint par l’autre groupe pendant la discussion : Si nous avions les protections, et les informations sur le Frère de Joseph, les autres avaient secouru une jeune femme de la famille de Joseph et avaient découvert la carte menant vers l’emplacement où c’était rendu la première victime pour la première fois. Il était donc temps de quitter Nid du Faucon, et de faire face au responsable de ce qui se passait ici. En espérant ne pas trop tourner en rond.
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Quittant la ville en laissant Frédérick la responsabilité des victimes en ville, pour les protéger. Ce fut un combattant de moins, mais le rôle de la Balance reste aussi la protection des victimes. Et nous voilà à progresser dans la neige une fois de plus en progressant vers un bosquet solitaire au milieu de Deux rivière, le vent cinglant soufflant en agitant nos équipements et amassant la neige sur nos fourrures. La route ne fut ni très compliquée, mais peu aisée dans cette vaste terre qu’est le Coerthas, jusqu’à parvenir à destination.

Un petit recoin solitaire au milieu du bosquet, une sorte de hutte d’ermite encastrée contre le mur de pierre où il n’y semblait y avoir que des affaires d’un savant-voyageur ayant décidé de s’installer ici pour finir ses vieux jours, bien qu’avec l’environnement hostile, il fallait aussi penser que cet ermite recevait sûrement de l’aide de son frère pour survivre. Un casserole usée se trouvait avec quelques plantes sur le foyer éteins, non loin du vieillard en lui même. Un Hyur âgé, très âgé, s’étirant difficilement au sol dans quelques spasmes alors que ses yeux étaient d’un blanc nacré inquiétant, comme si il voyait autre chose, ailleurs, et ses réponses à nos questions étaient des propos complètement incohérent dans une langue impossible à parler sans qu’il ne semble lui même bégayer.

Mais C’iashta avait déjà trouvé la solution, involontairement sûrement, en allumant le foyer pendant que les herbes brûlaient et qu’une fumée blanche montaient lentement. Nhagi furent la première à choir, suivie de Kodjo. Et je ne saurais dire quels furent les suivants, puisque je suis tombée au sol à mon tour lourdement, inconsciente. Lentement, mon esprit revint pour découvrir mes camarades se relevant à leurs tours dans un monde extraordinaire. Autours de nous, des vastes étendues de forêts incohérentes d’une beauté estivale incroyable, des cascades à l’envers et des nombres de non-raisons possible entre des îlots errants couverts d’arbres ou des arcs en ciel traversant des arbres.
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La vision restait sublime, et je ne pu m’intéresser qu’un bref instant plus tard au vieillard muni d’un bâton fait d’une énergie blanche gracieuse, qui nous demandait ce qu’on pouvait bien faire ici. La conversation fut courte, quand il fut éjecté en s’écrasant brusquement à côté de Kodjo en laissant voir l’entité que nous chassions depuis le début. La description de ses trois billes de lumières rouges comme tournoyante intérieurement représentaient bien son visage étrange sur un corps simiesque comme irréelle, d’un mauve écœurant.

Le Croque-mitaine, dont le nom provient de vieilles légendes, se mit à tournoyer lentement en nous observant, et ce fut le début des horreurs. Nous subissions l’influence de nos pires peurs, des cauchemars rôdant dans nos esprits en nous arrachant non pas seulement des instants vécu, mais des moments que nous craignons, ou qui nous blessent. Colère, tristesse, remord, peur. Tout les sentiments possible purent nous submerger, et la moindre faiblesse faisant usage de nos sentiments pour l’assaillir furent détournés pour ponctionner nos forces internes. L’énergie dévorée à travers nos manques de contrôle jusqu’à ce que nous parvenions en nous protégeant comme on le pouvait, à combattre en gardant notre « ancre » interne. Le collier aida, mais ce fut aussi l’exercice de se sentir mue d’une impulsion très personnelle et agréable. Harper m’en avait parler dès notre premier entretient dans la Balance : Avoir une solide ancre pour ne pas s’égarer et sombrer dans la folie.

Et cela nous sauva la vie, jusqu’à la destruction de cette chose, et notre libération. S’éveillant à la lumière de la lune, le froid de la neige nous oppressant encore en voyant le vieil ermite fou de joie se dandiner. Il fut découvert que cette chose provenait du portail ouvert à Froidesprit, lors de la venue du Spectre barbelé ayant possédé le Templier Ishgardien lors d’une autre affaire. Mais celle ci, s’achevait avec la meilleure des fins : Nous étions les seuls à subir le contre-coup des assauts mentaux, et il n’y eu aucunes autres victimes à Nid du Faucon.

Liste des éléments rapportés :

- L’entité à pu se glisser entre les tissus de la réalité en profitant de l’ouverture du portail de Froidesprit, à l’heure de la résolution de cette enquête, le portail à été fermé il y à quelques temps.
- Les victimes méritent une certaine surveillance pour qu’elles puissent dormir en sécurité et récupérer leurs forces ponctionner sans avoir une moindre trace de la créature.
- Ce rapport reste disponible en cas de besoin de renseignement sur des cas similaires.
a écrit :- Indices -

- //
a écrit :- Objets scellés -

- Colliers de protections de l’Ermite face aux cauchemars.
- Affaire classée, preuves restant disponibles pour des études approfondies. - »

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 25 nov. 2018, 23:51

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Dix-septième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."


«Il était enfin temps d’en finir. Voilà la fin pour nous d’un chapitre de notre vie, qui débuta dans le désert du Thanalan, par du sable, des gils. Et du sang. Nous avons parcouru tant de chemin depuis le premier affrontement dans le désert face aux premiers séides de celui qui était censé être « L’Inrien », dont la véritable identité n’était d’autre qu’un infâme criminel de guerre impérial du nom de Baste Aan Sonorion, ayant tout perdu dans son ancien vie après avoir été renié par son Frère, et ses forces. Hector Spencer, le Brigand Enrhumé, et même le chef des Lanciers crépusculaires, tous étaient désormais mort, vaincu. Ce qui nous laissait entre autres plus qu’à mettre la main sur l’investigateur de tout les crimes, mais il ne serait pas aussi aisé qu’attendu de parvenir à l’arrêté.

La révélation dans le désert sud, et la découverte de l’intérêt de son frère Kharn Rem Sonorion pour ses divers études et brèves réussites laissant l’inquiétude qu’il ne laisserait pas ce qu’il considérait comme un laquais utilisable, être tué ou récupérer sans rien faire. Stanislas Kortovin guettait la venue des forces d’extractions depuis longtemps, mais personne ne s’attendait à l’ampleur du chaos qui allait advenir.

L’équipe fut rassemblée : Maeva, usant de ses talents de soutiens en compagnie de Moutah Pontah, fidèle à son poste depuis longtemps dans cette histoire. Nhagi était présente, et les autres étaient les habituels compagnons de l’Ordre des Quatre Tours avec qui nous accomplissons de tels périples. Kodjo et C’iashta, fiers épées toujours aussi combatif, Sylune de la Plume et son soutiens toujours aussi efficace. Et Kais m’accompagnait en tant que membre de la Balance. Je me souvenais encore de la discussion d’hier, et me dit que toutes les tours étaient représentés ce soir, avec une petite pointe de fierté.

On attendait pas de nous autant qu’une expédition officielle ou qu’une représentation de l’Ordre, mais cela m’arrachait un peu de fierté. Mais il y à tellement à raconté, aussi vais-je tout de même essayer d’être brève : Tout débuta à Horizon, la ville était en proie à une grande inquiétude depuis la présence de l’ombre de l’Aeronef Eorzéen se dirigeant lentement vers le nord.

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Tout n’aurait pu être qu’un départ précipité vers le Cap Ventouest, notre destination, si un sifflement aiguë ne commença pas à monter de plus en plus. Un éclair enflammé parcouru les cieux, et vint se fracasser brutalement sur l’Aeronef dans des bruits de métaux torturés. Si celui ci ne fut pas abattu par le choc, les débris d’aciers et de bois brisés, comme une pluie de flamme, tombait sur la foule. Rares furent ceux tués par l’impact, et à peine quelques blessures visibles, la plus part soutenu par mes camarades de différentes façons dans la fureur de l’instant.

Les gens hurlant et fuyant dans tout les sens, avant de partir en vitesse vers notre destination. Dans les tunnels, des impacts grondaient et nous jeta au moins une fois au sol en roulant le long de la poussière, ce n’était vraiment pas bien agréable, surtout que dans les hauteurs rocheuses de la Vallée des pas perdues, plusieurs des « Poussiéreux » étaient venu récupérer le plus de matériels possible et se confrontaient aux Immortels. Nous n’avions pas le temps de les soutenir, La baie des vêpres était la plus proche de la situation chaotique et les autorités locales s’occupaient déjà de tout. Ce qui n’empêcha pas plusieurs crépusculaires d’essayer de poignarder le Capitaine Wilfrid quand celui ci nous fit état de la situation et des actions entreprises par ses hommes qui ralentissaient l’ennemi. Blessé, il fut mit de côté, et un nouveau tir s’écrasa sur un pilier de pierre au dessus de la ville commençant à s’effondrer lentement dans un énorme bruit de fracas.

Visiblement, les tirs nous suivaient, et il fallait les attirés les plus loin possible : C’est dans une ville affolée que nous sommes parti vers le nord en vitesse, bousculant un peu contre nous les citoyens, pour traverser avec les quelques immortels, ainsi que la présence de Thoryg soutenu un Wilfrid soigné par Moutah. C’est sur la route que Baste, nous fit face. Un Eques impérial lui hurlait qu’il fallait partir, avant que Moutah ne l’attrape involontairement par l’éther alors qu’il chutait, s’écrasant au sol sous le regard dédaigneux de Baste qui s’éloigna. Pour revenir un instant plus tard, dans un sifflement de mécanisme de la machine volante massive se mettant en position pour nous cribler de tir.

Pénétrant dans la cavité rocheuse, suivant Sylune nous évitant avec soin des monticules de terre piégés après une discussion étrange avec ce qui serait un des êtres les plus troublant jamais rencontré jusqu’alors, nous avons achevé cette grande ruée ayant durée une bonne heure de voyage rapide en usant de nos bottes et nos corps pour cette immense ruée. En parvenant à l’extérieur, on put commencer à voir la situation qui méritait le chaos local, aussi bien dans les cieux que au sol. Mais le pire restait la faucheuse impériale fumante en flamme qui nous fonçait dessus, prête à s’écraser.

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La poussière retombait doucement alors que nos oreilles se réadaptaient aux sons locaux après que la faucheuse se soit écrasée non loin de notre ancienne position après avoir fuit rapidement les lieux. Devant nous la panique hurlante était inquiétante, des membres des Immortels éparpillés partout en train de contrer les derniers loyalistes de Baste et les impériaux envoyé par son frère pour le récupérer.

Cependant, cela ne ressemblait pas à une extraction : Ils préparaient un énorme canon qui semblaient impossible à atteindre, et notre erreur était peut-être de croire que nous avions le temps. C’iashta et moi nous sommes rués en direction de la position où un étrange rituel eue lieu, des personnes ressemblant aux dévots de Spencer qui avaient pourchasser les nuages de Tsakyoki à la Petite Alah Migho avaient l’air de pratiquer quelque chose d’inquiétant, mais nous avons préférer sacrifier les preuves que de les laissés réussir. Finalement, en usant de leurs propres pratiques, nous les avons balancés dans les nuages en les observant se consumés lentement sous nos yeux. Kais quant à lui se rua à la rencontre de l’avant-garde Magitech sur le point de massacrer une bande des immortels ayant voulu prendre le canon à revers, le Chevalier noir usant de sa ténacité et de ses efforts pour la mettre hors service, ayant même parvenu à faire tirer sur celle ci ses propres alliés.

Sylune essayait d’abattre la position d’une faucheuse détruite où plusieurs Impériaux tentaient de récupérer quelque chose, mais elle parvint à saboter leurs efforts en usant d’une méthode de tir d’un des Manacutter dans les airs qui luttaient pour leurs survies, le sorcier déchaîna la foudre qui fit explosé les réserves intérieur. Mais Sylune était vaincue aussi, la machine de Baste ayant contourné le champs de bataille, s’installe en prenant celle ci en Otage, à côté de Maeva, Moutah et Nhagi qui avait eue besoin de soin d’urgence.

Le cri de Baste exigea l’arrêt des combats. Les contre-maîtres sur le front de combat étaient mort, si ce n’est l’immense crépusculaire qui fini par disparaître en montant dans le vaisseau impérial. Kodjo s’était battu depuis le début avec force et vaillance, au milieu de la mêlée, et maintenant tout devint lentement confus.Une trêve irréelle s’installa alors que tout le monde observait Sylune, une lame sur la gorge.

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Les combats avaient été déchainés, et tous accueillir ce instant de paix avec une certaine stupeur, mais une reconnaissance vague de pouvoir espérer s’en sortir en vie. Quelques propos furent partagés, mais dans les faits, nous avions échoués sur un point : Le canon n’avait pas été arrêté. L’intérieur crépitant de l’énergie instable de l’Hicor installé dans ses entrailles provoqua un tir d’une telle force qu’elle brisa brusquement en deux l’Aeronef Eorzéen qui sombra dans les cieux pendant des longues secondes devant nos yeux fatigués et bloqués devant cette vision de destruction absolue.

Le sentiment âmer de toutes ses vies volées pour notre triomphe nous mordant l’intérieur de la gorge, alors que lentement le calme revint, et les bruits d’applaudissement d’un homme résonnaient. Baste était captif, et la plus part des opposants étaient maintenu par les Immortels, où ils s’étaient enfuit, le vaisseau de Baste parti dans les cieux rapidement en l’abandonnant derrière. L’homme répondait au nom de Lakraeda discuta un temps de l’avenir avec Moutah et C’iashta concernant les projets de Kharn Rem Sonorion dans le Coerthas, notre prochaine destination.

Mais l’effet de l’Hicor eu un résultat dévastateur, et des rayonnements foudroyant zébraient les environs en emportant certains des impériaux hurlant, pendant que le canon s’écroulait sur lui même, des morceaux d’aciers aspirés dans la faille du néant naissante là où celui ci avait affaiblit le voile. Déjà le chaos s’installa, et nous nous sommes unis pour pouvoir la refermer, c’était un dernier effort au milieu du tumulte, et la clore signifierait en finir totalement avec cette histoire. Kodjo et Kais empêchaient l’armure funeste de sortir de la faille dans des hurlements déchaînés, Sylune, Nhagi et C’iashta affrontant les deux Ahrimans voulant harcelés Moutah et Maeva usant de l’éther de la voûte céleste pour briser avec moi ce passage. Lentement, la faille fut close, au prix de bien des efforts, ne laissant qu’un pilier de pierre bercé de nombreuses étoiles comme un reliquaire à ceux tombés ce soir.

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Baste est entre nos mains, et il fera face à la justice d’Ul’dah pour ses crimes. Ses acolytes vaincu, ses derniers plans échoués, il y avait comme un sentiment incroyable de satisfaction à l’idée que cette page fut close. Nous laissant haletant, épuisés par l’intensité de notre ultime tâche à ce sujet, sans l’appréhension de tout ce qui nous attendait encore. Les mandats, les missions, et cette tâche dans le Coerthas d’une situation qui deviendrait peut-être aussi importante que ce que nous avons subi dans le Thanalan. Baste, celui qui se surnommait faussement L’Inrien, ne parviendrait plus jamais à faire du mal à quiconque. Et notre histoire elle, continue. »
- Tsakuyi Kosenjobi.

[ FIN de la Trame - Du sable, des gils, et du sang. ]

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 27 nov. 2018, 22:59

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités des Lames de Cuivre.

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Rapport ouvert – Thanalan occidental, vers Martelterre. "Liqueur infâme."
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang B]
« Mes respect,


La tâche parlant de cette étrange histoire d’élixir et de va-nu-pied contaminés ne devait pas être si compliquée que cela vue de loin. Il est toujours possible de trouver des problèmes plus grave encore que ce qui était attendu, mais là, il s’agissait d’une histoire ayant une continuité, face à la dernière étrange vision que nous avons vu dans le désert.

L’équipe se forma rapidement, et on était bien plus nombreux qu’attendu : Je pensais partir à trois, nous avons fini à sept. Hael en tant qu’alliée était présente, ainsi que la sœur de Flare, Akame. Plus tard, nous avons été rejoint par un jeune aventurier dont on apprit plus de son histoire doucement, nommé Richard le Gris, de la Noscea, ce qui était ma foi plutôt intrigant ! Un domestique devenu aventurier, je lui souhaitas bien du bonheur dans une telle profession. Du côté des tours, ce fut une synergie totale. Kodjo des épées, moi de la Balance, Moutah du sablier et Sylune de la Plume. Quatre tour, un seul ordre. Notre mission était d’en découvrir plus sur la raison de la contamination des va-nu-pieds désormais installé en isolation en Ul’dah, tout en comprenant si cela ou nous avais un rapport avec les breuvages de contrebande.

Pour en savoir plus, la destination la plus logique restait là où tout à commencer, le domaine des rumeurs : Le rond point du scorpion. Mais quel ne fut notre surprise quand en sortant hors des hauts murs de la ville, la tempête de sable se déchaînait en tournoyant dans tout les sens. La route fut donc prise au milieu du sable tournoyer, un pauvre marchand de choux voyant son chariot glissé sous l’effort du vent en perdant ses précieux légumes glissant le long du sable et emportés par les bourrasques.

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Le Rond-point était protégé légèrement par l’effet de la tempête, même si cela bloquait tout de même le passage pour aller ici et là à travers le Thanalan. Aventuriers, voyageurs, caravaniers, marchands, il y avait tout type de personnes installés en pause ici pendant que la vie se préparait à reprendre une fois que le temps sera enfin devenue meilleur. Saluant les Lames de cuivres, ce fut vers un Miqo’te fatigué que Kodjo, Hael et Sylune se dirigèrent pour discuter de la situation locale. Découvrant que les va-nu-pieds furent amenés vers Ul’dah avec un élémentaliste, certains personnes paranoïaques pensaient à une exécution massive des contaminés actuellement en pleine guérison. De notre côté, Moutah eut la bonne idée de partir rencontrer une apothicaire locale et ses deux jeunes assistants Lalafell.

Il fut découvert que l’histoire de breuvage se faisait nommé « Élixir de Vengeance » et était censé permettre à quiconque en bois soit capable d’accomplir sa vengeance, et pour en découvrir la méthode de création, il suffisait de rencontrer l’esprit de l’Homme-aux-fioles. Après avoir récupérer la carte menant vers le rituel, sans être conscient des problèmes derrières, nous avons prit le temps d’aider la vieille dame en déposant ses affaires sur le grand chariot de bois. La visite du Médecin, une Hyuroise agacée par la présence de l’autre groupe, pour protéger le jeune garçon contaminé par une légère présence d’énergie chaotique.

Rien que je ne pouvais purifier depuis mes études avant la disparition d’Harper, mais ses mots furent tels avant de sombrer dans l’inconscience : Deux obscures et petites silhouettes leur avaient fait boire des breuvages censés les aidés à aller mieux, qu’ils brassaient eux même, avant de tomber malade. Ils voulurent suivre les histoires sur l’Homme-aux-fioles, mais jamais ils n’ont pu atteindre le rituel, ils ne savaient que comment le pratiquer. Mais le temps manquait, malgré l’apparition de Richard le Gris hors de la tempête, le pauvre avait la mal-joie de se dire qu’il y retournait directement. Suivant la carte grâce à Moutah, il était temps de comprendre véritablement ce qu’il se passait.

Errant dans la tempête de sable en suivant la carte enchantée par Moutah, essayant de ne pas la perdre de vue à cause du vent sifflant brusquement et du manque de visibilité, nous avons parcouru une vingtaine de minutes les yalms nous éloignant du lieu dit.

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Ce ne fut pas une route très confortable, s’y mêlant l’agacement d’avoir passé autant de temps au Rond-point à cause d’une histoire très floue. Arrivés à destination, il n’y avait rien, absolument rien. Comme il fut comprit, les deux silhouettes devaient être les assistants Lalafell, mais Moutah oublia quelque chose : C’était un des deux Lalafell qui avait tracé la carte, et nous sommes tombés en plein dans un piège : Les deux silhouettes s’enfuirent après nous avoir supplier de partir et de ne jamais revenir pour ne pas nous faire du mal, mais ils convoquèrent quand même une affreuse créature qui s’extirpa du sable. Une sorte de scorpion immense, mais saturé d’une énergie du néant déformant sa vision d’une atroce manière, et des éclairs zébrant parfois sa chitine noire et obscure.

Le combat éclata avec l’urgence de récupérer les deux jeunes Lalafell – Mais Akame s’occupa de les laissés prompt à répondre à nos questions, enfin, nous l’espérions. Richard essaya absolument de focalisé l’attention de la chose sur lui, malgré ma crainte que ses habits ne tiennent pas le choc face à ses pinces, il fit preuve d’expertise avec sa lame et sa posture, pour un ancien domestique il avait vraiment l’air tenace et entraîné pour ce genre de chose.

Mais quel genre de domestique avait cet ancien noble avant de succomber ? Après plusieurs blessures, autant pour nous que pour les autres. Hael, Sylune et moi finissant au sol malmenés par l’énergie chaotique et les pinces mutées, il fini par être balancé en l’air, retenu par Kodjo au sol par un terrain de terre malléable, et empalé littéralement au sol par la foudre. Transperçant le ventre du scorpion en n’y laissant que des déchets puants, qui lentement devenaient plus que des cendres quand le néant intérieur fini par le consumé lentement en ne laissant que de la poussière obscure au milieu du sable agité par les vents apaisés par la magie élémentaire de Kodjo mêlée au renfort d’éther de Moutah.

S’occupant des blessés rapidement, en traînant une partie des nôtres encore capable de le faire vers la position des deux Lalafell, ceux ci étaient étalés au sol. Bien plus pâle que ce à quoi s’attendait Akame, mais ce fut la silhouette spectrale de l’homme penché dessus avec un parchemin qui fut bien plus étonnante. L’Homme-aux-fioles releva la tête vers nous, souriant légèrement en laissant le parchemin sur les corps, et disparaissant en reculant doucement. Comme si il n’avait jamais été là. Le contrat indiquait que les deux jeunes lalafell avaient signé un accord avec Hector Spencer il y à longtemps pour veiller et renforcer la dite créature avec les élixirs de vengeance ratés pour en faire une arme, usant d’un procéder amener une partie de souillure là où le voile est plus proche.

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La créature morte, le contrat était rompu, entraînant la vie des Lalafell avec elle. Les coupables ont payés, même si le prix reste rude pour une histoire de vengeance peut-être méritée, mais bien mal amenée. Pendant que tout les nôtres s’interrogeaient sur ce qu’il s’était passé, une chose restait sûre : L’homme-aux-fioles réapparaîtra tôt ou tard, et nous devrons empêcher quiconque de passer de nouveau des contrats avec lui. Pour eux, comme pour les autres. »
- Tsakuyi Kosenjobi,
Lieutenant de la Balance.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 29 nov. 2018, 17:52

Dédié à Dame Kurusu, des Quatre Tours et aux autorités du Maëlstrom.

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Rapport ouvert – Dans la Basse-Noscea, la Baie de Moraby. "Le vieux chant"
[Mandat de la Guilde des Aventuriers – Rang C]
« Mes respect,

Notre mission devait être plus simple que prévu, tout désignait un possible et très simple voyage à travers la Basse-Noscea pour retrouver une fillette égarée après une crise amoureuse avant qu’elle ne fasse une bêtise grave. Nous avons simplement discuter au Relais en rassemblant un groupe de plus en plus large, et c’est sans m’y attendre qu’une équipe complète fut prête à partir pour notre mission.

Rendez vous vers le Port de Moraby, où nous vous cheminer ensemble pour retrouver Terrechant et Ume nous attendant paisiblement à l’éthérite, pendant qu’on prenait le temps de discuter avec le Maëlstrom pour faire surveiller le pont et empêcher un suicide. La chevauchée fut agréable, et rapide, chocobo parcourant la route à l’arrière de Shinkô, ma jument des steppes.

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Le temps était frais, la pluie risquant de venir alors que les nuages s’accumulaient lentement dans les cieux. Les sabots et les pattes frappant le sol jusqu’à parvenir jusqu’au port en nous menant vers notre destination en découvrant les foules de marchand et de voyageurs s’amassant aux portes. Les grandes villes portuaires sont souvent animés, surtout quand le jour décline lentement pour presser les gens à finir leurs dernières activités avant que le froid et la nuit ne s’installent. Concernant la constitution de l’équipe, nous nous sommes retrouvés avec Nuala, potentielle future soigneuse des épées. Nahira, aventurière Miqo’te bien active, Richard le Gris, fidèle et nouvel aventurier prometteur. Ainsi que mes amies Nhagi et C’iashta de la Tour de l’Épée.

Divisant notre groupe en deux, Nuala, C’iashta, Nhagi et Nahira partirent toutes les quatre pour aller à la rencontrer de la jeune fille de la famille Coulsoix pour savoir ce que la jeune fille avait bien pu faire avant la disparition, et quel rapport avec la chanson. J’accompagnais Richard, Terrechant et Ume sur les quais, débutons donc par ce passage de l’histoire. Sur les quais, il y régnait une ambiance vraiment agréable d’une foule finissant le travail et commerçant encore de quelques caisses et autres râteliers.

Des discussions éparpillés dans un calme brouahaha de nombreuses palabres, s’y mêlait une chanson triste répétées par de nombreux marins. Pendant que Richard et Terrechant menaient l’enquête, Ume découvrait mentalement ce qui pouvait bien se tramé, et comprit les liens présents entre le spectre et les locaux : Le cœur du problème se trouvait ici. Arrivant vers le groupe de pirate ayant découvert un trésors il y à peu, guidés par les histoires en étant accompagnée de Ume toujours aussi concentrée. Elle attira lentement sur nous la présence du spectre, ce qui permit d’ouvrir les yeux aux pirates quant à la nature de la malédiction sur le cristal froid qu’ils avaient récupérer au fond de l’eau.

Un des marins tombés à l’eau avait faillit être noyés par l’esprit, sauvé par Terrechant et Ume de justesse. C’était notre ouverture pour récupérer l’artefact sans encombre. Et après l’avoir scellé, Ume sentit que le temps était compté. Mais par pour la Jeune fille, mais bien pour le jeune garçon qu’elle avait aimer comme dans l’histoire de fantôme. Les autres s’usèrent à comprendre la Mère et son jeune fils installés dans le salon de la chaumière dans une situation instable.

Depuis cinq jours, elle chantonnait et se faisait bien plus secrète, et Nahira découvrit la relation malsaine avec le spectre. C’est en allant dans la chambre qu’elles découvrirent un lieu largement affecté par l’éther noir, comme des griffures partout. Jusqu’à découvrir la trappe au sol, pour l’ouvrir d’un coup, et retrouver la Jeune fille coincée dessous complètement paniquée en faisant réalisé qu’elle ne voulait pas obéir à son « amie » qui voulait qu’elle l’aide à balancer son petit ami marin par dessus le pont du Lien d’Oschon. Elle fut bichonnée par Nuala, et Nahira pendant que Nhagi découvert que le jeune garçon était venu ici avant de se faire traîné vers l’extérieur de la ville. C’iastha confirma, et tous se ruèrent vers les montures. La jeune fille Coulsoix était saine et sauve. Mais son bien-aimé n’allait pas le rester très longtemps sans intervenir.

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Les montures étaient déjà détachés grâce à C’iashta, il ne suffit que d’arriver sur place et de bondir brusquement en scelle pour traverser la route rapidement vers le pont. Le temps s’épuisait, d’après Ume, et il fallait agir vite. Terrechant progressant lentement derrière nous pendant qu’on fit front : Le maléfice était déjà en place. Une brume gelée entourait le pont et les voyageurs, chariots, marchands, s’arrêtèrent en paniquant. Observant la scène – Des membres du Maëlstrom étaient envoûtés pour couvrir une petite troupe de spectre masculin décérébrés suivant les ordres de celle qui les avait condamnés de leurs vivants. Une dizaine de pauvres hommes ayant sautés dans la mer à cause de l’influence cruelle de l’esprit vengeur. Celle ci même était visible devant le jeune garçon amoureux de la fille des Coulsoix, sifflante de colère que le maléfice ait été rompu par les protections de Terrechant et Ume.

Le combat se fit sans attendre, et nous nous sommes rués pour ouvrir l’accès à C’iashta pendant que Nahira, Richard et moi neutralisèrent les membres du Maelström possédés sans les tués, ni même les blessés. Arrêtés, ils purent être écartés pendant que l’esprit abjecte poursuivait l’enfant balancé vers le groupe par une C’iashta désormais en péril au milieu des fantômes. Ce fut l’effort d’un travail d’équipe soudé qui firent réussir ce combat difficile méritant bien plus un rang B qu’un rang C.

Libérés par les efforts d’Ume, les derniers membres du Maelström firent front à nos côtés pour se débarrasser des derniers esprits avec Nahira et C’iashta, dans ce qui fut un combat intense, et difficile. L’esprit quant à lui fut littéralement aspiré dans la gemme découverte chez le capitaine, avant que l’intensité de tout nos compagnons à soutenir et renforcer Ume dans sa purification fit disparaître toute traces d’obscurités.

L’esprit fut apaisé, toute trace de l’éther obscure brisé, et quand la gemme éclata en milles morceaux, il ne restait lentement qu’un chant joyeux après que s’estompe la vive lumière et la brume résultant du choc. Lentement, la pluie se mit à tombée, comme si elle avait été retenue tout ce temps par la simple présence spectrale de la jeune fille, et tous se remirent lentement sur leurs pieds. Les Coulsoix furent informés rapidement que plus rien ne menacerait leur famille, autant que le jeune blondinet fut sauvé. Les blessures n’étaient que des lointains souvenir, Nuala ayant fini par guérir les autres comme elle le fit le long du combat. Et cette histoire ne resta alors qu’un souvenir d’un vieux chant qui nous resterait parfois en tête en y repensant à tête reposée. »
- Kosenjobi Tsakuyi,
Lieutenant de la Balance.

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Akayane
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 30 nov. 2018, 21:50

Dédié aux membres de la Balance. Et auprès de Dame Kurusu, des Quatre Tours.
Ainsi qu’à la Tour de la Plume pour la communication avec les forces de Gyr Abania.


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Rapport à la Balance – Dans les Pics de Gyr Abania, grotte perdue non loin de Trankelon. « Dossier : Contamination – Mission : Elle éveille les morts.»

« Mes respect,


Septième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Kais Alliyliu. membre de la tour de la Balance.
- Flare Sayumi. Capitaine de la Tour de l’Épée.
- Kodjo des Oronir, membre de la Tour de l’Épée.
- C’iashta, membre de la tour de l’Épée.
- Moutah Pontah, commandeur de la Tour du Sablier.
- Richard le Gris, Allié.
- Naghi Kantor, Alliée.


Quand on reçoit une information concernant un lieu isolé où s’y trouve visiblement des animaux fuyant un endroit perdu au fond des Pic de Gyr Abania, pas si loin de l’ancien village de Paix-les-Choux ayant malheureusement du être purifiés pour ne pas y laisser la moindre trace des problèmes passés, il faut intervenir en vitesse. Surtout quand des locaux d’un petit camp nomade dans des vieilles ruines nommé « Trankelon » annonce avoir chassé une bête dont s’écoulait un sang noir pâteux quand ils le dépecèrent. C’est sur cette mesure que nous avons préparer l’équipe d’intervention au nom de la Balance.

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Le départ fut directement dans un des recoins solitaires de Gyr Abania pour descendre ensuite dans la nuit froide vers le village nommé. Il s’agissait de découvrir rapidement ce qu’il se passe pour ne pas devoir subir un nouveau massacre atroce. Intervenir avant que la contamination ne laisse un champs de cadavre devient une nécessité. La route fut agréable au moins, à travers les lieux poussiéreux et ensablé de Gyr Abania sous les myriades d’étoiles luisantes sur le voile nocturne. Tout semblait ressembler à une balade plus confortable, jusqu’à notre approche de la ville.

Plusieurs citoyens s’occupaient à ne rien faire, comme attendant quelqu’un ou un groupe venant les relayés, une caravane avec une gazelle attachée à l’intérieur plus loin. C’iashta et Kais partirent à l’inspection pendant que Richard, Kodjo et Moutah allèrent discuter avec les locaux. La conversation aurait pu être sympathique et agréable, l’intérêt étant de comprendre si ils avaient un problème particulier. Et ils en avaient un, très particulier, simplement du fait qu’ils étaient tous déjà mort et relevés par la contamination. Ceux ci se ruèrent vers nos compagnons, ceux allongés se relevant en faisant montre de l’agressivité habituelle hors-norme des corps relevés par cette noirceur infâme.

C’est dès lors un affrontement inattendue submergeant nos camarades soutenu par les flèches de Flare et Nhagi, ils ne firent toute fois pas long feu face à des vétérans mais les marques mentales restèrent présente chez certains des nôtres, notamment le Gris. Qui n’étant pas habitué pourrait supporter aisément une telle vision après tout ? C’était déjà incroyable que celui ci supporte et parvienne à s’en relevé. Dans le chariot, le corps de la bête qu’ils avaient capturés essayaient de se relevé, s’agitant brusquement en bousculant les cordages sans parvenir à s’en dégagé. C’iashta décapita les restes, avant de récupérer quelques brèves informations, mais surtout une carte. D’où provenaient les chasseurs. Nous avons mit feu à la caravane avant de partir vers le village, alerté par une bagarre, et alors que plusieurs citoyens s’approchaient, il n’y eu pas le drame possible.

Mes camarades gardèrent leur calme, ce qui évita une réaction au stress dramatique : Les locaux étaient contaminés, mais pas à une stade où il n’y restait aucuns espoirs. Après quelques discussions, les villageois furent rassemblés de différentes façons par notre groupe pour commencer les rites de purification de Moutah découvert par le Sablier. Contactant la Tour de la Plume pour envoyer de l’aide pour ses gens ayant besoin de nourriture, couverture, et de protection après avoir été épuisés par la difficulté d’une telle purification. Et le sacrifice de la Plume de phénix du Gris permit au vieillard du village de ne pas succomber à ses blessures.

Les investigations de l’équipe de Richard, Kais et Flare permit de comprendre que les citoyens fuyaient une grotte isolée où la carte indiquait le voyage, et il s’agissait désormais de se pressé de trouver la source. Au vu de l’état de faiblesse des locaux, si la contamination les affectaient de nouveau, ils seront tous condamnés sans espoir de pouvoir être soignés. C’est ainsi que dans la nuit toujours plus profond, nous avons repris la course à la raison du mal rongeant cette terre.

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La route aurait presque pu paraître agréable si il n’y avait pas la tension des conséquences pesant sur nos épaules. Suivant les passages grâces à la carte, il y avait une totale absence d’animaux, et la seule bête vivante perçue fut un fourmilion passant d’un bout à l’autre de la route au tout début du voyage. Arrivant non loin de notre destination, l’horreur frappa certains des nôtres : Si il y avait moins de risque que des animaux contaminés errent n’importe où, ceux affectés étaient revenu vers la grotte suspecte, et on y retrouvait que des cadavres dévastés par des grands coups de griffes. La puanteur était frappante, et les corps gisaient dévastés en petit morceaux un peu partout sur l’étendue de la grotte. Les détecteurs s’emballèrent et Moutah faillit devenir aveugle, tout mes sens restaient en alerte devant une impression d’un tourbillon, d’une spirale pouvant nous emporter subitement à l’intérieur sans qu’il n’y ait aucun effet réel dans le monde physique.

En formation, nous avons parcouru la distance pour rejoindre la source en subissant la route des horreurs : Tout le long du cheminement dans la grotte, il y avait des carcasses, des restes sanglants et Nhagi cria en voyant le corps d’un homme aux yeux livides. A la fin de notre voyage, il était certains d’être parvenu à la source finale, et nous avons tous bu nos potions d’Esprit pour ne pas être affectés par des potentiels attaques mentales. C’est malgré les craintes de tous, que dans une sombre fatalité, nous sommes entrés pour découvrir la faille dans la réalité à l’intérieur, comme un tourbillon d’obscurité ondulant lentement en attirant la poussière et quelques graviers à l’intérieur. Le néant à l’intérieur était semblable à des milliers d’étoiles impures et inquiétantes , bien ne pouvant être rassurant dans la situation donnée.

En approchant pour commencer la fermeture de la faille grâce à mes compétences avec Moutah, ce fut Richard qui signala l’entité nous observant en l’air : L’énorme Taurus bondit du toit et s’écrasa au milieu de nos compagnons, les réactions furent immédiates, mais l’agitation attira des créatures aussi sournoises qu’insupportable à travers la faille : Des Imps. Prit entre la nécessité de combattre le monstre, de fermer la faille, et de repoussé les Imps rieur, nous avons rapidement du opter pour une formation mettant à profil le meilleur des compétences de tous, pendant que les Imps étaient repoussés, je couvrais Moutah qui lentement bloquait la faille en attendant que je puisse pleinement l’aider. Sous l’effort de la coopération, le Taurus fut finalement vaincu après un énorme coup du tranchant de Kais et les Imps repoussés, entres les sorts et les volées de flèches. De la faille, il ne restait qu’une pierre étoilée imprégnée par l’éther de la Voûte céleste.

Si la source venait de disparaître, il restait une interrogation en retrouvant des traces d’expérimentations ici même – Le responsable serait donc « Quelqu’un » ? Et après l’affaire de Paix-les-Choux, il est probable que cela se poursuive dans les environs proches. Avant que cela n’arrive, il faut des investigations, des recherches. Pour qu’il n’y ait pas de nouvelles victimes innocentes.

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Liste des éléments rapportés :

Il est certifié que les expérimentations de Moutah permettent de sauver les vies de ceux pouvant encore être soignés. Cependant, vu la force radicale d’un tel procédé, il faut être conscient que les personnes ont besoin d’aide une fois décontaminés.
- Indices -

- La présence de la faille produit un rapprochement direct avec la contamination, est-ce la contamination qui provoque une faille en usant d’expérimentation, ou la faille résulte d’une contamination des environs ?
- Carte rapportée avec l’emplacement de la faille.
- Objets scellés -

- Réplique des traces retrouvés d’un rituel sur le lieu de la faille sur un parchemin scellé.
- Sang noir récupéré sur des corps des victimes, entre les mains du Sablier.
- L’enquête se poursuit, pour retrouver la trace du coupable en Gyr Abania - »

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 03 déc. 2018, 19:48

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Dix-huitième entrée – Les terres gelées du Coerthas "L'héritage de la Griffe-Mère"


« Ainsi débute un nouveau chapitre pour notre histoire. Tant de chose ce sont passés depuis le Thanalan, et rares sont ceux qui étaient là aux premières heures, à être toujours et encore présent autours de nous et pourtant. Nous sommes encore la même famille. Kodjo, Moutah, Nhagi, rejoint par C’iashta depuis que nous avons retrouver nos racines et notre force dans les Steppes d’Azim.

Et malgré la chute de Baste et justice pour tout les crimes qu’il à apporté sur une terre qu’il voulait contrôlé, de personnes qui se sont perdue dans les possibilités et dans les crimes en suivant sa volonté. Mais finalement, le seul résultat qui importe est que ceux ayant survécu ont encore espoir de vivre en paix. Quand un chapitre est clos, un autre s’ouvre toujours rapidement, et nous étions déjà préparés à voir la suite venir depuis la découverte de Kharn Rem Sonorion, des poussiéreux, des adeptes des principes de Shigma. Et il me reste encore ma vengeance envers Onotsaku pour avoir essayer de me réduire à l’état d’esclave depuis le départ de mon île d’enfance.

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Pour l’instant, cette histoire débute dans le Coerthas. Moutah, Kodjo, Nhagi, C’iashta étaient présent avec notre amie et proche Sylune Laefan, tout comme l’est Kais ayant été le premier à nous découvrir et nous rencontrer lors de notre première venue en Brumée. Accompagnés par Octavia, compagnon de l’Ordre des Quatre Tours. Et des membres de toutes ses Tours furent rassemblés pour partir ensemble se défaire du mal rongeant les environs de l’Observateur : Depuis peu, plusieurs personnes étaient enlevés et questionnés au sujet des « Totems de la Griffe ». Ceux ne savant rien étaient épargnés, ceux qui pouvaient en savoir plus disparaissaient ou étaient retrouvés morts, sans plus de nouvelles.

Nous avons parcouru la tête de Dragon sur nos chocobos en direction de l’Observateur en affrontant la neige et le froid, découvrant une ville vivant correctement mais sous bien plus de surveillance au regard des Templiers. Nous nous sommes divisés grandement à notre venue, tous s’éparpillèrent ici et là – Octavia et Kodjo voulurent enquêter sur une grande lueur perçue comme étant un tir de Magitech perdu. Le tout à l’Observatoire, retrouvant Stanislas pour expliquer que les lueurs sont régulière et que les Ixal sont inquiet depuis les vols de certains de leurs ballons il y à quelques temps.

La Piste suggèrent clairement des préparations de la part des Garlemaldais, et ils finirent par suivre la route de l’Est en compagnie de Kais et Nhagi. Kais avait comme d’habitude faire de l’exploration dans les ruelles obscures, son allure inquiétante n’aidant pas à rassurer quiconque croisaient sa route. Mais pendant un lynchage, il fini par découvrir un être inquiétant dont on entendit que vaguement des rumeurs, parlaient de détruire ceux vénérant la Griffe. J’accompagnais le groupe s’intéressant à l’avis des locaux, les Templiers admettant que des personnes habillés de tenues sombres étaient responsables des enlèvements, et tout tournait autours de cette histoire d’enlèvement.

Le plan fut établit : Sylune fit savoir pendant son enquête à la taverne à quiconque voulant le savoir, qu’elle en savait énormément sur la situation des Totems de la Griffe. En s’installant dans un lieu isolé, elle fut rapidement approchée par les personnes habillés de tenues sombres, bien plus humaines que l’être rencontré par Nhagi et Kais. Et elle fut attirée rapidement hors de la ville. Nos deux groupes furent rapidement confrontés à de graves problèmes.

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Partant vers l’Est, l’équipe de Kodjo, Nhagi, Kais et Octavia avancèrent avec attention pour essayer de retrouver une équipe de templier censé être parti précisément là où ils se rendaient, avec une carte. Ce n’est que bien rapidement qu’ils purent observer la bataille aérienne se déroulant au dessus d’eux, une magnifique cesse mais effrayant mettant en scène plusieurs wyvernes et le vaisseau de combat de Baste, celui qui s’était échappé du Thanalan, se trouvait visiblement ici. Mais leur intérêt restait le totem étrange solitaire, plusieurs cadavres de templiers et d’un homme en noir autours, alors que plusieurs Eques accompagnaient un scientifique en blanc apportant une étrange caisse. L’Avant-garde non loin suggérait que s’attaquait à eux pouvait être dangereux, mais Kais s’en fichait bien et progressait brusquement vers eux pour les empêchés de parvenir à accomplir ce qu’ils veulent au totem.

Le combat se déchaina, et les Wyvernes rejointe par le dragon survolant les cieux dans une bataille nous dépassant, ne feraient pas long feu. La limite dans le temps s’achèverait à leur mort, et l’avantage fut prit quand l’Avant-Garde Magitech fut détournée par Octavia. Mais Kais semblaient inquiet, une étrange boule de feu quittant les montagnes s’écrasa contre le vaisseau impérial en offrant plus de temps à ceux essayant d’empêcher les Impériaux de parvenir à leur fin, et ce fut le cas : Le scientifique fut tué et le cristal qu’il voulait mettre dans dans le totem récupéré malgré l’atroce blessure que cela laissa à Nhagi, le bras malmené par le Hicor crépitant.

Une fois les Impériaux éliminés par l’effort de Kodjo et ses assauts à la lance soutenant un Kais recevant les assauts, Octavia tirant au dessus de leurs soutiens pendant que les flèches de Nhagi tirant vers les Eques. Mais face à l’échec, dès que les dragons furent repoussés, il fit feu de toutes les armes le totem de la griffe. S’enfuyant rapidement pour ne pas être happés dans les explosions, il ne restaient qu’une Nhagi à secourir, et s’inquiétant de notre situation, car ils ne pouvaient plus nous entendre.

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De notre côté, suivant les hommes en tenue sombre très pressé et apeurés, ils montrèrent à Sylune le Totem de la Griffe où il lui demandant de prêté allégeance pour la protéger elle et les environs de ceux qui viendraient en nombre pour les détruire, accusant Lakraedas d’envoyer ses futurs Elus noir pour s’occuper d’eux et de s’occuper de tout les autres. Mettant aux arrêts les trois personnes brusquement, tout devait s’achever mais ils semblaient bien se moquer de la situation. La conversation nous offrit quelques informations sur leurs envies, mais nos camarades semblaient en péril, jusqu’à ce qu’une Wyverne apparue.

D’après Sylune, elle provenait d’une engeance draconnique possiblement « bonne », mais les stries obscures, l’énergie de la rage accumulée dedans de force, le transformait en monstre. Les trois hommes en noir se mirent à muté lentement, sous l’effet du totem de la griffe qui explosa en milles morceaux quand il reçut un explosif de Sylune. Ce qui permit d’abattre les trois mutés par l’énergie dravanienne avant d’être assaillit par la Wyverne. Le combat fut long, et difficile dans les neiges, ponctués de protections et de différents bonds pour se mettre hors de portée d’assaut atroce où l’énergie de la colère frappant la neige et soulevant la pierre.

Malgré les quelques blessures de Moutah et Sylune, ayant pu protéger au moins C’iashta de coups terribles, la Wyverne ne fut pas tuée. Elle à été sauvée. L’intervention de Moutah se mêla à celles de chacun des nôtres pour le purger de cette corruption forcée, jusqu’à ce qu’il soit en état de partir en nous disant de clairement nous méfié de la « Griffe-Mère » vénérée par cet étrange culte. Revenant à l’Observatoire après tant de problèmes, mettant en commun nos informations, il était clair que la suite sera soit d’essayer de retracer la présence des Impériaux, soit de parvenir à arrêter cet étrange culte de la Griffe-Mère. En se méfiant de la venue des Elus noirs, qu’elle soit maléfique… ou bénéfique. »
- Kosenjobi Tsakuyi.

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