[Chroniques] Journal de Tsakuyi

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Akayane
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[Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 17 sept. 2018, 04:08

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Première entrée – Les terres arides de Thanalan. - "Du sable, des gils, et du sang."

« Ainsi débute une véritable aventure ! Bien qu’avec ma sœur, voilà quelques jours que nous sommes en entraînement pour acquérir quelques gils, des nouvelles connaissances, des liens et des contacts intéressants, pour ce long voyage. Je me présente, Tsakuki Kosenjobi, et je voyage avec ma sœur, Sakiko. Originaire des îles de Hingashi, nous sommes arrivés depuis quelques semaines en Thanalan après avoir été libéré par un membre de la Guilde des Aventuriers nommés Vhaldir, du Raen ayant décidé de vendre tout ceux fuyant un massacre chez nous. Depuis, notre volonté est de parvenir à découvrir l’étendue d’Eorzéa et de nous forger de nouveau en une terre nouvelle pour nous. Les visages, les péripéties, les tâches. Tout ce qui fait d’une vie d’aventuriers est palpitante, se mue entres les quêtes et les rencontres. C’est après avoir commencer cette vie de voyage, que j’entame ce récit, qui sera le résumé et les écrits sur nos périples et notre vécu en cette vaste terre, pour ainsi toujours être consciente de ce que nous avons par le passé vécu et avoir toujours un regard vers le passé.

Les visages, les actions, les regrets, les réussites, rien ne doit être perdu car tout ça fait simplement partie de notre héritage, du début, jusqu'à la fin. Et en parlant de début, notre première tâche consistait à essayer de découvrir les intentions d’un groupe de brigand nommé les « Maussades enrhumés » sévissant dans l’Ouest du Thanalan occidental, nous en avions déjà entendu parler pendant notre premier périple. Mais, là, il était bien temps de découvrir la profondeur de cette affaire et d’y mettre un terme. C’est ainsi que nous sommes sorti de Ul’dah après une conversation avec mes francs camarades. Lustian Raimost, notre guérisseur. Une miqo’te nommée « Nhagi », avec son arc. Ainsi que ma dernière rencontre – Hael, sa lame et sa magie dangereuse nous épaulant. Et notre premier pas à l’extérieur fut en voyant la tempête de sable qui soufflait devant nos yeux. Oh joie, ça commence bien.

Progressant dans la tempête de sable, nous avons découvert ce qu’est un voyage en y voyant pas grand-chose, usant ce qu’on pouvait pour nous protéger des vents vicieux soulevant les grains du sol. Des courageux étaient en train d’œuvrer naturellement en usant de leurs turbans pour s’en sortir, nous saluant en nous disant de nous méfier d’une telle condition, mais notre groupe était rapidement identifiable comme étant des aventuriers. Et puis, le noir partagé nous donnait vraiment un style, presque inquiétant.

Après un long voyage, deux heures dans le sable tournoyant et le vent hurlant, nous sommes parvenu à la caravane dont parlait la Lame des Gladiateurs de la Guilde d’Ul’dah, Cassia Landers. Les Lames de Cuivres étaient censés ne pas avoir trouver quoi que ce soit, mais le corps de celui qui fut empalé par une lame brisé contre un arbre signifiait que c’était plus compliqué que ça. Sur lui, il avait une note lui proposant des gils pour fermer les yeux, et avait du être un des rares, voir le seul, à avoir refuser la demande. Un pantalon hissé sur un mât avec des demandes provenant du groupe de sans-abris qui devait bénéficier des caravanes du Caïd surnommé « Le Goret » ayant disparut, rechercher par Cassia Landers précisément à cause de cette situation – Et nous avons à peine pu en savoir plus en retrouvant une jeune Lalafell nommée Dodoru Doru dans la caravane, seule survivante visiblement.

Une fois soignée, elle nous expliqua la situation, mais malgré les indices pouvant nous mener à de nombreux endroits – Retrouver les Lames de cuivres corrompues, atteindre le refuge des sans-abris pour enquêter, nous avons suivi la piste la plus dangereuse : Celle de la poudre fumante et du boulet de canon. Et rien n’aurait pu être plus violent que ce voyage ci.

Parcourant encore un peu le territoire sous cette maudite tempête de sable, en suivant la piste soulevée par les vents, ce fut toutefois là notre première erreur : Atteindre une destination sans surveiller les environs. C’est ainsi que nous avions été repérés, et que nous sommes arrivés en étant saluer par l’adversaire à grand coup de canon. L’explosion nous balança tous au sol, un peu sonnés et surpris, de voir autours de nous à travers le sable balancé dans tout les sens, des silhouettes nombreuses nous assaillir. Ce n’était pas des adversaires très farouches pour des Aventuriers, aussi novices que nous soyons, mais leur nombre bien plus grand que le notre dépassait notre expertise.

Ce fut un combat difficile, pendant que le Roegadyn manipulant ce groupe clairement défini des « Maussades enrhumés », comme en témoignant leurs insignes, et ils firent tout pour nous empêcher d’atteindre les prisonniers et leurs chefs. Ils agissaient par crainte, clairement, et par une certaine soif d’acquérir quelque chose à notre dépend, c’est sûrement ce qui rendait ce combat difficile aussi moralement : Tuer, ou être tuer, par des personnes dont la soif de survie les avaient rendu si dangereux.

De fils en aiguille, le dénouement approcha lentement en quelques actions dévastatrice, et à la fuite de deux survivants, dont un fut sérieusement blessé. Mais ils avaient eu le temps de mettre le feu au cabanon où résidait leurs informations, et ce fut grâce à l’effort de Lustian et Naghi que des cartes et missives furent sauvegarder. Sakiko ayant libéré les prisonniers avant un massacre, et Hael soutenu les recherches dans les caravanes volés. Le feu prit une telle ampleur, qu’il gagna les réserves à poudre du Canon, et nous avions filés bien avant. Dans l’explosion, quelques rares survivants du combat furent happés par les flammes.

Une vie miséreuse, un fin encore plus affreuse , et en voyant cette silhouette gesticuler au sol sous le bain flamboyant, au loin de ma vision, que je savais que j’aurais pu être à sa place. Si nous avions fait d’autre choix, avec Sakiko, nous aurions pu être à leurs places. Mentalement, ce fut une épreuve bien difficile, mais beaucoup d’autres nous attendent encore. Car tel est la difficulté de la vie d’aventuriers : Il faut subir le sourire de la gloire, et le fardeau de la réalité. Et il nous reste encore beaucoup à faire avant de mettre la main sur ce fameux « Enrhumé »… Quel nom stupide, quand même ! »

- Tsakuyi Kosenjobi.
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Message par Akayane » 22 sept. 2018, 06:18

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Deuxième entrée Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Quelques jours passèrent avec un peu de repos, et divers entraînement nécessaires pour se préparer à la suite. Les rencontres furent nombreuses depuis l’accumulation des informations sur la situation actuelle, et c’est avec de nouveaux camarades que nous avons été prompt à partir vers cette nouvelle péripétie qui serait bien plus difficile que la dernière. Et si vous trouvez qu’une horde de brigand déchaîné devant un canon gobelin fut déjà de trop, là, nous étions mal préparés pour la menace qui nous était destinée. Quoi qu’il en soit, après les quelques jours de tranquillité depuis les évènements au refuge des brigands, nous avons été envoyé par Cassia Landers enquêter sur une histoire affectant la Gare de Roncenoire, et des problèmes d’approvisionnement d’eau.

Les tuyaux à la Voie Allagoise du Soleil ont été gravement saboté, et les problèmes s’accumulèrent surtout depuis l’apparition de deux Crépusculaire armés de lance, nous rappelant des insurgés voulant créer une Guilde d’Hast en Thanalan, de manière illégale. Sortant d’Ul’dah avec Kodjo, Mutah, Kais, Hael, Nhagi et ma sœur Sakiko, une fois de plus la malchance était sur nous. Cette fois, la tempête nocturne soulevait la poussière en créant une barrière difficile à franchir, autant que la pluie agaçante glissant sur nos tenues, les lourds nuages errants dans les cieux comme des avertissements.

Et la route fut d’une complexité encore une fois, gênante. Un voyage à travers l’inconnu, peu de voyageur osant traverser les environs à une terre heure, sous une telle condition. Kais faillit bondir dans les bras d’un Cactuar en pensant retrouver une Nhagi perdue, et Sakiko à faillit finir engloutie dans des sables mouvants, tout ça pour dire que jusqu’à la Gare, ce n’était pas si aisé à vivre. Mais quand nous sommes parvenu là-bas, accostés par la Torche d’Acier après avoir été recouvert de sable par un wagon hilare. - Maudite soit cette petite Lalafell à bord ! - Il était temps de s’y mettre, et de découvrir ce qu’il se passait ici.

Hael et Nhagi discutèrent avec l’élémentaliste qui observait la beauté de l’éthérite, celui ci avouant qu’il voulait obtenir l’autorisation pour sauver la Gare des problèmes d’eau en installant un Oasis grâce à ses pouvoirs et ses camarades. Mutah et Kais restèrent longtemps à discuter avec les Marchands et les responsables des tuyaux pour en savoir le plus possible, et ils découvriraient plus tard que les soucis des ouvriers furent engendrés par une machination les ayant conduit à un tragique décès. Mais j’y reviendrais, car Gobet – Un jeune Elezen travaillant pour la Guilde des Aventuriers, n’avait pas réussi à faire une levée des ouvriers chargés d’aller chercher de l’eau dans une réserve secondaire, soutenu par Sakiko et Kodjo, puis rejoint par Nhagi et Hael, nous voilà à partir vers le coin d’eau pour trouver des ressources suffisante jusqu’à ce que les réparations soient de mises. Le recoin était paisible, et jadis des énormes fourmis erraient par ici, rendant l’endroit plutôt dangereux en général.

Des herbes fraîches, sous la clarté de l’œil de la tempête nous épargnant enfin du mauvais temps. Rien n’arriva, si ce n’est quelques intrigues, quand il fut constater que la réserve sous-marine avait l’air bien plus énorme que ce que Gobet avait prétendu voir quand il y était aller hier. C’est avec une certaine insouciance que nous sommes donc revenu à la Gare en discutant de ce mystère, certains pensant déjà que quelque chose d’inhumain était peut-être en cause pour le sabotage des tuyaux. Moutah nous reçu en nous disant que plusieurs ouvriers avaient disparut, que l’ambiance n’était pas au beau fixe avec les Marchands, très nerveux.

Mais plus encore, c’est la venue enflammée de Kais nous expliquant avoir vu les satanés lanciers Crépusculaire en train de charger des corps écrasés par une force énorme à la rivière. Son explication tomba mal, puisque plusieurs s’étaient déjà mit à boire de l’eau rapportée, et plusieurs s’effondraient en vomissant du sang plutôt que de ce qu’ils venaient de boire. L’eau était souillée, par ce qui logeait maintenant dans la réserve souterraine. Nos guérisseurs furent prit de panique pour essayer de sauver le plus de personne possible, pendant que certains voulaient arrêter l’élémentaliste – Celui ci avait profiter de la situation pour faire signer son document devant l’urgence de la scène. Moi, je me dirigeais avec Kais et Nhagi vers l’emplacement des corps pour prendre en embuscade les Crépusculaires. Mais tel furent prit qui croyaient prendre.

La situation en ville était folle, mais s’apaisa lentement avec l’effort de chacun, de ce que j’en ai su à posteriori. Le Hyur aux pouvoirs élémentaires avait été envoyé par l’Inrien, un nom que vous lirez sûrement plusieurs fois dans mes notes sachant qu’il est celui qui nous à déjà causé bien des torts, et qui agit avec les Lanciers comme il contrôle les brigands du Maussade enrhumé. Il aurait pu récupérer légalement un grand lopin de terre et faire ce qu’il voulait, mais le parchemin d’acquisition fut brûlé bien avant d’être considérable devant les autorités d’Ul’dah.

Là bas, tout s’apaisait, jusqu’à ce qu’ils me virent arriver vers eux en panique. Les Crépusculaires nous étaient tombés dessus en embuscade en profitant de leurs adaptations nocturnes, et du peu de clarté. Ma blessure au ventre me tiraillait, mais ça ne pouvait que pire que je me laissais aller à me morfondre là où la maille m’avait relativement protégé, cela dit. Nhagi était quant à elle dans un piteuse état, baignant dans son sang, les adversaires furent vraiment tragique avec la pauvre Miqo’te, et je me ruais à la recherche de nos guérisseurs pour qu’ensemble, nous puissions secourir notre amie. C’est là que la scène tourna vraiment mal – Le vieux marchand chétif nous ayant devancé lorsque nous étions aller chercher de l’eau, était là. Faisant sonner lentement sa clochette dans un bruit étrange et résonnant. Hael voulu l’écraser au sol pendant que Kodjo s’approchait, mais l’énorme patte du crabe gargantuesque en fit de la bouillie. Nous étions en face du responsable du massacre, des sabotages, et comme découvert plus tard encore, de l’empoisonnement de l’eau. Je ne sais pas comment cette chose pouvait être aisément nommée, mais Cassia Landers décida de le nommer « Chancrepince », malgré le fait qu’il soit maintenant vaincue.

L’affronter ne fut pas aisé – La contremaître Brinda refusa de partir avant les réparations faites, et nous n’avons pas été suffisamment fort pour retenir cette chose avant qu’elle ne parvienne aux tuyaux. La pauvre fut brutalement sonnée, et secourue par Kais, qui du ramasser ceux des nôtres vaincu les uns après les autres par la sauvagerie de son immensité. Ce ne fut que par l’effort coordonnés, qu’il s’écrasa dans la rivière, l’imprégnant de sa crasse. Ce fut de loin notre pire adversaire, mais alors que j’écris cette note dans un lit douillet, je sais que l’avenir réservera encore bien des surprises de cette taille. »

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 24 sept. 2018, 00:40

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Troisième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« La fatigue et la douleur de notre dernière mission était un fardeau bien désagréable à vivre pendant qu’on se réunissait à la Guilde des Aventuriers d’Ul’dah, comme l’habitude se fait quand on s’en retourne à des nouvelles affaires. Blessés, moralement affectés par le « Chancrepince » qui restait dans nos mémoires comme cet atroce simulacre gargantuesque de Coquépaisse. Ainsi, pendant que j’entendais l’écho des paroles, reconnaissant vaguement les propos des miens, je regardais l’armure que mon mentor m’a offert pour ne jamais oublier qui je suis. D’où je viens, et les souvenirs d’Himitsu no taki m’inspirèrent en me demandant si ce soir encore, je mettrais ma vie en péril. Jusqu’à me souvenir que je ne ferais pas grand-chose si je me dépêchais pas un peu de filer retrouver mes camarades.

Et nous étions nombreux ce soir là, tout le monde avait visiblement envie d’y retourner. Kais, Hael, Kodjo, Sakiko et Moutah étaient naturellement là. Mais Nhagi était resté au lit depuis la terrible blessure du lancier, s’en remettant doucement après avoir voulu protéger la vie de Kais. A la place, le Questeur Cirmo avait demander à sa connaissance, un certains Dregan, de venir nous aider. Ainsi que l’amie de Kodjo, une Xaela du nom de Saren, et nous voilà tous en train de discuter à table. Notre rendez vous avec des Lames de Cuivres pour aller à la rencontre d’un prisonnier nous attendait, et la route à l’intérieur du domaine d’Ul’dah fut ma foi tranquille, bien que l’ambiance se dégradait de plus en plus. Des morceaux de bois brisés, des caisses abandonnés, des va-nu-pieds dans la poussière qui attendaient qu’un riche entrepreneur reprenne le commerce. Sur le chemin, nous avons rencontrer un commerçant se disputant avec son jeune assistant refusant d’aller voir son contact, un certains «Tfirgnol » -

Des mercenaires locaux ayant besoin d’huile pour leurs armements lourds. C’est avec une carte et une caisse, ainsi que le sac d’outils balancés au sol par un voleur ayant chuté brutalement devant Moutah, avant de s’enfuir en constatant qu’il était devant une bande d’aventuriers, que nous sommes arrivés devant les contacts de Cirmo.

Deux membres des Lames de Cuivres, une Elezen blasée et un homme agité pour son âge, nous firent un accueil sympathique malgré l’odeur suspecte des environs. Les senteurs n’étaient pas vraiment agréable dans les parages, sortes de mélanges d’huiles, de crasses, et d’une omelette trop cuite abandonnée par terre. Marchant à travers les rues, guidés par les Lames de Cuivres pour rencontrer le prisonnier censés nous menés à ce Gortrand Longrift, le responsable ayant soudoyés les gardes avec l’affaire de la caravane dans l’Ouest de Thanalan. Une branche sous l’emprise de l’Inrien ne devait pas rester longtemps, et l’Immortel Wilfrid demanda le support des aventuriers de Cirmo pour lui mettre la main dessus, et il ne serait pas déçu.

Arrivant au bout de la route, il s’agissait d’une demeure abandonnée depuis longtemps, ancienne fabrique attendant son renouvellement, ils avaient installés quelques peintures des Lames, et les gens s’éloignaient avec crainte. La plus part d’entre nous restèrent dehors, scindant le groupe en deux, ce à quoi ils ne s’attendaient sûrement pas pour la suite des opérations. Sakiko, Moutah, Hael et moi étions donc à l’intérieur, marchant tranquillement vers une vaste cage pour rejoindre l’individu allongé, pendant que Saren, Kodjo, Kais et Dregan étaient dehors. Mais l’individu ne pouvait plus être questionné – Gémili, le véritable jeune Lame de Cuivre qu’on devrait rencontrer, gisait mort au fond de la cage désormais close, l’Elezen ayant disparut alors que l’eau commençait grandement à monter dans la salle. Impossible de sortir, malgré le fait que Moutah ait ouvert la cage avec les outils, la porte restait définitivement close. Et l’eau montait, montait, jusqu’à découvrir le passage secret qu’avait emprunter l’Elezen, nous mettant à fuir rapidement malgré quelques pièges.

Le premier blessa Hael sérieusement, et le second nous blessa tous un peu mentalement. Sakiko sorti dans la rue, un pot de feu lui tombant dessus en la renvoyant en arrière brutalement, plusieurs passants furent prit dans les flammes. Toute la scène n’était plus que gène, et chaos, pendant que nos compagnons à l’extérieur finissaient de vaincre les brigands du Maussade enrhumé s’étant jeté sur eux. Le piège s’était refermé sur nous, sans nous dévorer, mais plusieurs vies furent perdue parmi les innocents pauvres qui observaient le combat avec crainte.

Bien décidé à finir notre objectif, quittant les lieux déjà bien malmené, avec quelques étals brisés par les troubles causés par cet affrontement imprévu, Dregan fit la réflexion que Longrift n’était rien d’autre que « Tfirgnol » à l’envers. Pendant un instant, j’avais envie de me prendre le visage dans les mains, mais si cela avait fonctionner avec locaux, il n’y avait pas de honte à ce que ça petite perfidie ait fonctionné. Parcourant les allées crasseuses, en voyant disparaître de plus en plus les civils retournant à leurs affaires pour ne pas être mit en cause face au petit massacre, laissant trois civils morts, sept en piteuse état, et trois brigands inconscients, ainsi que tout leurs camarades décédés étalés par terre. Rien de très joyeux en soit.

Et après une course rapide, nous voilà en face d’une charrette close remplie par deux lames de cuivres, dont l’Elezen qui nous avait conduit dans le piège. La tentative de discrétion fut un échec, quand Kodjo fut vu par l’Elezen, pendant que Moutah et Kais était aller discuter avec pour essayer d’entrer discrètement. Mais Gortrand Longrift nous attendait, il s’était visiblement préparé à notre venue, l’Elezen obèse tendait les bras vers nous en rigolant un peu, comme si il était heureux de notre venue.

Deux Roegadyn massif avec leurs grandes lames étaient à l’affût de nos mouvements, jouant les gros durs aux bras épais, alors que des grandes tapisseries étaient soigneusement installés sur les murs. La discussion entre lui et Moutah se passait relativement mieux que Kais voulant l’agacé, le Miqo’te visiblement affecté par les blessures subie, autant les siennes que les nôtres. Mais au déroulement des propos, Moutah négocia toutes les preuves sur l’Inrien, contre le fait de nous voir partir en le laissant tranquille. Ce qui bien entendu, n’arriva pas, car à peine Moutah avait récupérer la valise qu’il s’échappa en laissant Kodjo mené l’assaut. Mais tout ne se déroula pas comme prévu : Une forte explosion fit valsé plusieurs des nôtres, pendant qu’un canon gobelin et deux hommes-bêtes de cette sorte furent révélés, le Hyur agité quitta une des cachettes sous les tapisseries. Il était installé dans une sorte de machinerie gobeline fumante, qui ne prit par longtemps pour être brisé de mon épée et de celle de Dregan. Les autres s’en sortirent à merveille, jusqu’à l’arrestation de Longrift, les deux Roegadyn gisant, le canon ayant explosé en emportant ses artilleurs.

Tout les problèmes se succédant attirèrent l’attention, même aussi éloignée des lieux les plus sûr. Cirmo venait d’arriver peu de temps après notre réussite, en compagnie des Immortels.

Pour nous, c’était la fin de notre mission ce soir, mais pour cette histoire, ce n’était encore que le début. L’Inrien devait être arrêté, mais avant ça, il fallait découvrir ce qu’il s’est passé pour les pauvres bougres devenu fou dans un campement de réfugié isolé à cause des Brigands du Maussade enrhumé. »

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 27 sept. 2018, 02:29

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Quatrième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« La magie obscure, l’occultisme, tout ce que le pouvoir donne comme envie qui passe par les moyens les plus faciles pour certains, et donc toujours les plus tentateurs pour ceux jouant aux jeux du pouvoirs. L’Inrien, peut-on vraiment dire qu’il ne pouvait pas tôt ou tard avoir des projets qui dépassent les mensonges, les vols, et les arrangements ? Quand la frontière passe de la sombre réalité, à l’aberration d’ailleurs, c’est là que les problèmes deviennent bien plus grave. C’est ainsi qu’avec mes camarades, nous nous sommes préparés à devoir cheminer dans le Thanalan auprès de cet être intriguant que je connaissais déjà avec ma sœur.

L’encapuchonné, où la manière dont il s’est présenté vaguement à moi et ma sœur pendant notre première visite d’Ul’dah. Dès qu’il fit ses premiers pas dans la Guilde des Aventuriers, tous furent transit par une certaine frayeur, une lourdeur qui écrasa la pièce en sa simple présence. Les locaux nous observaient, sauf peut-être ceux s’occupant de gérer les jeunes aventuriers, habitués à ce que parfois un être bien différent entre ici et ne sature l’atmosphère par sa présence et ce qu’elle incarne. La discussion avec l’encapuchonné, habillé d’une tenue obscure, nous fit un bref aperçu de ce qui pouvait nous attendre – Des problèmes, sans aucunes doutes. Il était donc bien joyeux de sortir de la Guilde pour partir vers « Excrément », ce refuge de va-nu-pied isolé et visiblement maudit. En faisant quelques pas, bien heureux de découvrir l’extérieur, nous furent prit par la pluie qui nous empêchait de voir bien loin. Décidément, on choisit toujours les mauvais jours, et les Lames de cuivres d’offices se mit à nous rire au nez en constatant que pour la deuxième fois, on emprunte cette porte vers des difficultés.

La dernière fois, c’était pour tomber sur le « Chancrepince », et maintenant, nous nous jetions dans les bras d’une entité bien différent. Vraiment, très différent. Mais nous voilà en route ! Avec Kodjo, Sakiko, Saren, Nhagi, Ka, et moi même ! Et si la route fut déjà compliquée à cause de la pluie, Nhagi enrhumée tant qu’elle faillit tomber brusquement d’un pont à cause de son état maladif inquiétant, plusieurs silhouettes furent visibles, ainsi qu’une étrange lumière.

Celle ci éclaira le sol, comme si un éclair avait décidé de ne pas apparaître depuis les cieux, mais depuis la terre même, dans un grondement, se mêlant aux bruits du tonnerre lointain. Lentement, les flots agaçant s’étaient atténués, mais impossible de trouver la direction du camp des réfugiés. Un piste pouvait nous mener vers une patrouille des Lames de cuivres, et une autre vers des sympathiques vagabonds – Ce qui semblait la piste la plus inquiétante pour Nhagi, mais tous voulurent espérer que certains membre du refuge aient pu s’enfuir, et aient des informations à nous donner. C’était vrai, mais c’était aussi faux. Parvenant lentement jusqu’à eux, après avoir traverser encore un peu de route sous la pluie, ils avaient l’air occuper avec un vieillard.

Sept personnes de différentes ethnies, tirant leurs armes vers nous en riant. Un grand sourire aux lèvres, ils avaient l’air de délirer parfaitement, un peu comme si ils avaient abusés par dix fois des consommations d’herbe de Kais. Kodjo nous fit bien signe ne pas les tués, et ils furent bousculés, mit à terre, le temps que le vieillard puisse être libéré et leur administre de quoi les libérés de cette folie. Lentement, la situation se stabilisait, bien que Sakiko avait vu quelque chose qui avait tétanisé aussi ceux qu’on paralysait. Sakiko avait regarder en l’air, et annonça avoir plonger le regard dans celui d’un être d’une profondeur infinie.

D’une créature malicieuse, détestable et inquiétante. Au frontière du banale, elle avait observer l’extraordinaire et l’effrayant, et c’est en voyant un des hommes se mettre à vomir une bile obscure qu’il fut décidé qu’il fallait vraiment se presser maintenant. L’Occultiste déclara qu’il était sur le point de voir son « essence vitale » disparaître dans le néant. J’écris cela ainsi, mais avec le recul je ne cesse de prendre ça au sens propre. Après quelques craintes vis à vis l’idée de les laissés derrière, nous avons cheminé en vitesse jusqu’au village, emprunt par la folie. Et le résultat fut troublant, comme vous vous en doutez. Des villageois souriant dansant et riant, un banquet garni et agréable, ainsi qu’un Roegadyn attendant en rigolant, disant qu’il fait une embuscade. Si seulement Kodjo n’avait pas prit ça autant à la légère.

Il progressa, et se fit blessé dans le dos par cet imbécile de Roegadyn qui préparait vraiment une embuscade. Mes camarades réagirent, mais je pensais grandement qu’il était possible de ne pas en venir jusqu’à son décès, c’est quand sa tête fut tranchée par Ka que je m’aperçus de sa violence. C’était un geste sans pitié, dur à voir, mais pourtant, peut-être nécessaire. Du sang glissait de ma hanche blessé, à cause de son efficacité remarquable, et je m’occupais de ma plaie pendant que tout le monde inspectait les environs.

Kodjo inspectait la tente déchirée, rentrant pour discuter avec un inconnu barbu qui disparut après la conversation, sans jamais réapparaître. En lui laissant une étrange bague, qui scellerait le destin de la chose qui nous attendait. Nhagi découvrit les documents importants abandonnés ici par les brigands au service de L’Inrien, et cela nous ferait beaucoup avancé dans notre mission. Mais avant de pouvoir en discuter ensemble, Ka fit une bonne chose – Mais nous entraînant immédiatement dans le vif du sujet. Propulsant la poudre blanche offerte par le vieillard dans les flammes, l’illusion disparue – Il n’y avait personne ici. Tout ceux dansant, étaient déjà mort depuis longtemps, même le buffet délicieux, était un corps abandonné ici. Tout n’était que des projections de ceux condamnés par ce « Harold Spencer », un jeune occultiste au service de L’Inrien, comme nous l’apprendront plus tard. Tous arrêtèrent leurs manœuvres, Sakiko cessant de regarder l’autel à la déesse Menphina, Ka et moi arrêtant de nous occuper de nos plaies. Tous, observant apparaître la déchirure étrange dans la réalité, comme si ce monde avait décidé de refuser d’être cohérent. Qu’il devenait écœurant, lâche, maudit, et s’en extirpa ce qu’avait vu Sakiko : Le responsable de tout ça.

La chose fut invoqué, parait-il désormais, pour essayer de prendre le contrôle des gens du coin. Une expérience pour faire naître de nouvelles forces à L’Inrien, mais le contrôle n’avait en rien réussi. L’Ahriman grossier et pataud était bien, bien loin des petits yeux que j’ai pu découvrir dans les grimoires parlant de tels choses. Il était massif, la peau épaisse et noueuse, et cet œil au reflet mauve, dont l’iris jaune perçante semblait tout admirer avec une vile cruauté, nous guettait en nous préparant une fin atroce. Le combat fut long, difficile, et l’intervention de cet être Chevalier noir qui galopa jusqu’à laisser une blessure puante sur l’entité incontrôlable, sonna le début de son échec. Lentement, chacun des nôtres mirent de nos forces pour le vaincre, laissant la plus part de nous étalés au sol. Épuisés, fatigués, et blessés.

Derrière nous, c’était donc un camp de malheureux dont nous n’avons pu sauver que le vieillard et ses sept survivants ayant pu quitté le village avant d’être dévoré comme tout les autres. La vision me marque encore l’esprit, et m’affirme que malheureusement parfois. Mon rôle ne sera pas de venir protéger des vies. Mais bien de les venger, et l’Inrien devait maintenant encore une fois, répondre de ses crimes. »

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 29 sept. 2018, 05:26

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Cinquième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Crasse, huile et poussière. Il était plaisant de ressortir un peu dans le Thanalan pour ne pas avoir pour objectif un lieu déjà dévasté. Mon moral est encore vacillant depuis la vision des corps, et cela du s’en faire ressentir auprès de mes camarades. Tous devaient avoir l’air inquiet de mon état, moins imperturbable, plus morose, affectée par les flash de vision ramenant aux dépouilles brisés, et à l’œil écœurant de ce monstre du Néant. Rien de joyeux, pour une aventurière, mais il nous restait encore tant à faire. Et c’est ainsi que notre « famille » devenue au fil du temps, plutôt vaste, nous attendait avec Kodjo alors que nous foulions ensemble le pavé d’Ul’dah vers la Guilde des Aventuriers. Sakiko, Samgaa, Sylune, Nhagi, Saren, Hael, Moutah, Kais. Il se passa une petite scène où je me sentais dans le besoin de parler avec eux, avec cette famille nous faisant face, et l’émotion fut de rigueur un instant, avant que la nécessité de partir en mission dépasse cet instant.

Encore une, me dis-je, et sûrement pas la dernière. Mais c’est avec le cœur léger que nous sortions d’Ul’dah, sous le regard des mêmes Lames de Cuivres nous jetant un coup d’œil en voyant l’étendue du Thanalan, paisible et affectée seulement par les nuances orangées tournant à des couleurs violines quand le crépuscule tombait lentement. Le voyage fut mouvementé, largement, surtout après qu’Hael fut piquée par une maudite bestiole le long du chemin, nous laissant la responsabilité de prendre soin d’elle sur la route.

Quelques menues intrigues de passages furent à noté, mais cela nous permit de pouvoir très aisément comprendre la situation et la manière d’entreprendre nos actions en arrivant à la Gare de Roncenoire – Kais découvert le masque arraché d’un gobelin, ainsi qu’une pointe de flèche. Visiblement, pour une « entente », il dut y avoir de la casse au vue de la scène, sans retrouver cela dit le corps, mais le plus intéressant fut la marque de fabrique sur la pointe de la flèche. Et c’est en rencontrant un jeune homme paniqué que nous avons pu découvrir le problème actuel avec quelques membres des Lames de cuivres, nous entraînant plus tard directement vers ce qui allait nous sauver la vie. Mais le plus gros problème, laissant une marque dans l’esprit de la plus part des nôtres, fut le cratère au sud de Roncenoire. Et le corps de l’enfant découvert au fond de celui ci sous le regard des nôtres. Tout ça ne présageait rien de bon.

Le cratère avait causé la mort de trois personnes, dont l’enfant censé être « disparut », d’après la sorte d’illustration, l’enfant avait fait un croquis – avec son jeune style, d’une sorte monstre à six pattes crachant les flammes au dessus de sa tête. En vérité, il n’y avait pas eu une telle dévastation, simplement car une silhouette terrible avait surmonter la ville la nuit dernière, et un tir puissant, un coup de canon d’une grande ampleur, avait traverser un des bâtiments de la ville avant d’exploser, et heureusement, loin de celle ci. Il n’y eu qu’un tir, et c’était rassurant, avec les problèmes d’eau déjà présent depuis l’affaire du Chancrepince, ils n’avaient vraiment pas besoin de ça. C’est donc dans une certain anxiété que la ville poursuivait sa vie commune, deux ou trois membres des Immortels patrouillant en surveillant tout de mêmes les environs. Lentement, la plus part des nôtres cheminaient à investiguer ici et là sous le regard de Kodjo, surveillant tout le monde, et d’un Kais vagabondant.

Dans la sortie nord, je sais que Saren et Samgaa se sont disputés avec un Crieur publique un peu ahurit, alors que Sylune découvert qui faisait de tels flèches, et où ils les livraient. Pendant que Moutah amena à nous un membre des Lames de Cuivres plutôt inquiet, reconnaissant que plusieurs des leurs s’entraînaient avec des Gobelins, et venant d’un certains « Gortrand Longrift » - On y était. Visiblement, la nouvelle sur Longrift n’avait pas encore été amenée jusqu’ici, et les affaires continuaient pour les laquais de L’Inrien. Ainsi, vu notre nombre, il eut été possible de se diviser en deux pour aller enquêter rapidement sur les deux affaires à la fois. Ce qui permettrait de se rejoindre rapidement pour atteindre notre objectif – Kodjo, Saren, Samgaa, Hael et Sylune iraient vers le camp des « mercenaires » pendant que j’accompagnais Moutah, Kais, Sakiko et Nhagi voir les gobelins. De notre côté, tout fut aisé et très malin de la part de mes camarades, si ce n’est Kais et son coup de sang ayant faillit provoqué une bagarre avec les Gobelins, mais rien n’est arrivé jusque là.

Les hommes de L’Inrien furent envoyé tout droit vers un piège grâce au géni de Moutah, et sa diplomatie avisée, soutenu par Sakiko – Nous avions donc entre les mains, sans que ne perle une goutte de sang. La caisse fournie par les gobelins était à nous, mais le facteur temps s’effondrait de plus en plus. Son contenu, nous serais d’une grande utilisée, et malheureusement il fallait laisser les autres à leurs affaires. Pour protéger Roncenoire.

Fonçant vers la position quand les bruits éloignés devenaient de plus en plus pressant. Nous nous sommes rués à travers la poussière, pendant que nos camarades de ce que j’en ai su plus tard, combattaient face aux brigands du Maussade Enrhumé ayant le responsable des Gobelins en cage pour les forcés à agir selon leurs convenances. C’était vil, très vil de leur part, mais à quoi s’attendre de plus avec eux ? Nos camarades ne purent nous rejoindre avec le Gobelin, les brigands massacrés, que quand nous étions arrivés là-bas. Dans le fond d’une crevasse, une vision d’aberration se fit voir : La machine de guerre, six pattes de métal, et digne d’être escalader pour être vaincue. C’était une construction inquiétante, une ombre poussiéreuse dans le lointains. Les bruits mécaniques puissant résonnèrent en même temps que le bois des échafaud chutant lentement en soulevant la poussière.

Des ombres s’agitaient, et le canon se préparait à nous tirer dessus. Moutah joua sa dernière carte pour nous protéger : Il appela à la ruse, et la Ruse lui répondit. L’Inrien, le monstre responsable de tout ça. Du village des sous-abris massacrés, et des innocents tués dans ses plans tordu. Il se fit voir, dans le lointain, jusqu’à ce que le canon nous tire dessus. Quand la poussière retomba, le bouclier pétillant activé par Kais venait de nous protéger de l’impact qui avait brisé une bâtisse de Renoncer en provoquant le cratère au sud de la ville. Nos camarades étaient tous là, et la présence du Gobelin décida la plus part d’entre eux à considérer ce combat comme perdu, ou du tout moins, une possible libération maintenant. C’était le moment, il n’y avait plus à attendre – Notre ruée fut glorieuse, dix compagnons décidés à protéger le Nord du Thanalan Central, face à une chose de métal fumante et grognante sous le poids des mécanismes mal entretenu.

Et ce combat, fut indescriptible : Des coups fusaient dans tout les sens, face aux loyalistes de L’Inrien, parmi les gobelins et les humains. Et la machine piétinait le sol en cherchant les moyens de nous mettre à mal. Sakiko trouva le point faible de la machinerie, la brisant de son katana dans une grande déflagration, perlée d’étincelles fusante dans tout les sens. Jusqu’à sa chute, il se brisa au sol dans un grand fracas, et une myriade de petites explosions. Plusieurs des nôtres étaient blessés, dans ce fulgurant final, et nous étions inquiet de l’état de Saren qui retirait lentement sa hache de la plaie finale infligé à la machine. Mais le problème n’était pas la folie qui la rongeait, mais l’homme qui nous observait.

L’Inrien, accompagné d’Hector Spencer, fit usage d’une magie après nous avoir promit qu’il s’agissait de notre dernière intervention. L’ombre parcouru les environs, dans un bruit de son se dissipa, laissant les oreilles bourdonnante et souffrant du manque de son, nos visions assombris. Au retour au calme, il ne restait rien, que des corps et du ravage. Nous étions tous allongés, blessés, mais vivant. Conscient que nos actes face à lui devenaient véritablement impactant maintenant. Notre rôle à été joué, maintenant, il faut poursuivre pour l’atteindre, avant qu’il ne dompte des forces bien trop dangereux. »


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Message par Akayane » 01 oct. 2018, 06:40

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(Merci à Yuen pour le Screenshoot !)
Sixième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« La machine de guerre industrielle est une chose, mais le courage, l’audace, la folie des humains est bien plus dangereuse parfois, surtout quand on y mêle une bonne dose d’ambition. Encore fatigués de notre épreuve contre l’énorme machinerie gobeline affrontée au nord de Roncenoire, il fallait toutefois poursuivre les investigations pour mettre la main sur L’Inrien. Si il avait bien prouvé que la frustration d’enchaîner les échecs risquait de faire apparaître en lui des actions de plus en plus désespérés, une de ses plus folles tentatives qui lui coûta énormément pour bien peu de chose, fut l’histoire d’Horizon.

Laissez moi vous raconter – Ce lieu tranquille, fait passer les caravanes et les voyageurs en direction des mers, ou pour rejoindre l’étendue du Thanalan, et d’Ul’dah. Un lieu magnifique, que nous avons déjà traverser avec Sakiko pour des histoires bien plus simple. Cette fois ci, les problèmes allaient être beaucoup plus dangereux, et clairement, mais notre nombre fut aussi largement conséquence. Juste avant de partir, la plus part de nos nouveaux amis, et expérimentés par rapport à nous, sont venu à notre aide. Yuen, Alden et son amie Colitte, Aldualim, ainsi que Claire et nos camarades habituels. Sakiko, Kodjo, Moutah, Nhagi, Hael, Moutah, et même Sylune qui nous accompagna en arrivant sur la route.

Seul Kais ne semblait pas se sentir suffisamment à l’aise, et je pouvais comprendre que la douleur de ses blessures l’empêcherait peut-être de parvenir à surmonter une nouvelle épreuve. Cette fois, il s’agissait de retrouver le Caïd dont nous avons entendu parler au tout début de notre aventure. « Le Goret », celui qui était responsable des caravanes pillées bien au sud d’ici. Nous menant à notre premier combat difficile. Mais je digresse : Ce fut un voyage de toute une horde de compagnon, dans une atmosphère calme et tranquille du Thanalan. Mais déjà, quelques petits mystères furent présent – Yuen découvrit un casque bercé d’un trou le long de la route, tout comme Aldualim fut bousculé brutalement pendant le voyage par quelques encapuchonnés, sans qu’on sache que cela serait exactement la raison pour laquelle les citoyens d’Horizon, pendant une nuit, eurent des sueurs froides. Accélérant le complot que nous étions venu déjoués.

Cela faisait quelques heures de route, et le temps d’y parvenir, la nuit s’installait de plus en plus pendant que les commerces s’éteignaient lentement, et les voyageurs trouvaient leurs places dans les auberges pour se reposer avant des longs voyages à venir. Je pris le rôle de chef, un rôle qui devrait me coller maintenant à chaque mission, et à chaque minute, mais dans un tel instant je n’ai pas pris ce rôle au sérieux, ce qui serait mon tort à réparé sûrement plus tard. Je choisissais de nous divisé en trois groupes équilibrés, et tous eurent au moins des effets concluants – Le groupe enquêtant sur le casque découvert que de nombreuses caravanes avaient été retrouvés vite, servant de transport à des crépusculaires parti vers l’Ouest, ainsi que la rencontre avec un Qiqirn très simplet, mais leur laissant comprendre qu’ils ont investit les mines et se préparaient à un grand mouvement rendu largement plus rapide et mal préparé par nos investigations.

Et ce fut Yuen qui fit une des plus terribles découvertes avec Sylune. Un second groupe à pu retrouver le Goret, après une habile investigation et les bonnes questions, Nhagi inspectait la demeure que Claire avait infiltré, jouant de quelques charmes pour se retrouver devant Thoryg Kortovin et toute sa clique, discutant de la situation, de l’importance de rester discret, mais que tout était en train de leur échapper. Et les problèmes arrives, bientôt, proche. Alden était en train de s’occuper des Lames de cuivres corrompu aux portes de la ville, empêchant à quiconque de voir ce qui se préparerait loin d’ici, et de mettre au contact facilement les infiltrés qui allaient nous tomber dessus. J’étais pour ma part avec le groupe de mes camarades habituels, Sakiko, Kodjo et Hael présent, errant dans les ruelles les plus dépravées de la ville pour essayer de mettre la main sur de nouvelles informations.

Ce fut le cas, avec la rencontre avec le garde de jeunes danseuses se déhanchant, et ils eurent la présence d’esprit de faire le rapprochement avec les activités du Goret. Mais quand il se dévoila, il fut découvert aussi par les agents Crépusculaires, et une flèche s’écrasa dans son épaule. Pour le protéger, il fallut se battre tout les quatre contre les brigands d’Hast, les fameux mercenaires ayant été déchu sans avoir pu parvenir à rejoindre la Guilde des Maîtres d’Hast de Gridania. Pour L’Inrien, c’était la source parfaite de chaire à canon, et il allait au moins la perdre.

Une tentative d’assassinat sur Thoryg fut déjoué par Aldurion, Colitte, Nhagi et Claire, alors qu’ils terrassèrent quelques crépusculaires encapuchonnés dans la pièce, jetant une boule de fumée au sol. Nous étions en train de sortir de la ruelle avec Sakiko et Kodjo, ayant vécu nos adversaires en quelques tours de lame avec une expertise qui me rendait fière, pendant que le Roegadyn hurlait aux membres du Goret qu’il était temps d’agir, ralliant tout le monde à temps. Et c’est là que j’ai honte de ne pas avoir prit d’initiative : J’ai cru que mes camarades se débrouillaient, mais ils n’étaient pas guidés. Le plus gros problème était l’avant-garde magiteck sortant de la caravane que Yuen avait découverte : Un très vieux modèle Impérial sûrement encore actif qu’avec les réserves modestes à l’intérieur. Celle ci progressant lentement, dirigé vers Alden qui essayait de lui faire quitter la ville, en hurlant de protéger les civils. Mais avant que tous ne soient en sécurité, la machine explosa, balayant plusieurs d’entre nous, et deux civils.

Ce n’était que le signal, le phare aux problèmes, car les hommes des lances vinrent aux portes d’Horizon pour réclamé ce que leur chef était venu chercher. Le Crépusculaire à la hache se mit droit face aux murs de la ville, pendant que les Lames de Cuivres se mettaient en ordre à nos côtés en observant les deux avant-gardes miteuses qui venaient de tirer sur les remparts. Leur chef avait rejoint L’Inrien après avoir été déchu d’une Secte dont je ne connais rien, une Secte, vouant une haine si profonde envers Aldualim Alderon, qu’il avait précipité toutes les forces de L’Inrien, trahit son maître et ses projets, pour marcher sur la ville et sur l’être dont il voulait se venger.

Personne n’aurait pu penser que ça passerait en bataille improvisée, la vingtaine de brigands aux lances n’auraient été qu’une bouchée de pain pour les Lames de cuivres, sans les deux avants-gardes dont le mystère reste encore de découvrir comment L’Inrien à t’il pu récupérer ceci, maintenant que les Gobelins ont été écarté de ses choix de renforcement. Il jouait ses cartes cachées, et ça ne présageait que du bon : Ce qui voulait dire qu’il panique, et qu’il veut triompher. Mais ses hommes furent vaincu, dans un combat que j'aimerais penser glorieux, même si tous ne purent pas encore faire leurs preuves, ils s'unirent et frappèrent avec force, plusieurs trouvant leurs camarades de guerre, et la présence du Chevalier noir arrivant sur son palefroi pour s'écraser contre une des Machine me laissant perplexe : Qui était-il donc ? Avait-il à cœur de croire que nous suivre le mènerait vers des nobles batailles ? Les derniers crépusculaires à la Lance furent balayés par le vent de courage et de force. Alden prit sur lui de diriger l’assaut, ce dont je pense il m’en voulu un peu de ne pas avoir fait le choix de le faire moi même. Tandis qu’ils récupérèrent leur chef pour une grande prime auprès des Immortels, il ne restait devant les portes d’Horizon, que le vestige d’une ambition dépassant la raison.

Des corps, traînés par les soldats, et les blessés râlant de douleur des deux côtés. L’esprit embrumé par les conseils, et les reproches personnels sur mon manque d’initiative. C’était ma première bataille, véritable bataille, avec des personnes dont la vie dépendait vraiment de nos actions. La réussite restait totale, bien que deux citoyens furent tués lors de l’explosion de la première avant-garde, mais avant de partir, et d’attendre que notre route nous mène au plus proche de L’Inrien, je ne pouvais que me demander, si je serais à la hauteur de mon nouveau rôle. Et je ferais absolument tout pour y parvenir. »
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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 04 oct. 2018, 05:12

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Septième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Les évènements d’Horizon m’auront laisser une trace dans l’esprit qui devait maintenant être utilisée pour quelque chose de constructif : M’améliorer, et prouver que je suis digne de confiance. Les derniers jours ont été portés vers l’entraînement, le repos, et les remises en question : Savoir vers quel direction partir, et où aller. Ma main glissant régulièrement sur ce sabre que je n’ose encore porter. Cette responsabilité est un poids, encore plus celui de devenir jouer ce rôle de « chef » dont on me parle tant, et pourtant. Si il fallait que j’ai à me mettre une responsabilité sur les épaules, je le ferais pour que les miens soient en bonne santé. C’est donc dans les jardins du Relais des Quatre Tours que je me trouvais, méditant en appréciant la vague diffusion des sons et des discussions de ceux me rejoignant de plus en plus. Je ne peux pas dire que cette méditation fut spécifiquement bénéfique, car le regard de mes miens avaient l’air plus chargé de doute, comme si je pouvais lire sur leurs lèvres, « que fait-elle donc ? Qui est-elle ? » et le réconfort disparut pour laisser place à une intense recherche intérieur sur la manière où il fallait conjuguer ce que je suis, et ce que je dois être.

C’est avec un pas plus lourd que je réuni les miens pour un départ vers un lieu nommé « L’espoir de Nollow », une sorte de petite communauté en formation dans l’Est du Thanalan Central où des vagabonds et citoyens virèrent à la criminalité sans raison. D’après l’Encapuchonné, plusieurs des personnes emprisonnés avaient des traces d’une sorte de maléfice, et il escomptait bien nous envoyer trouver des indices sur la potentielle culpabilité de son apprenti, Hector Spencer, puisqu’un membre du Maussade Enrhumé fut retrouvé non loin de ce lieu, en éclaireur. Ainsi, nous voilà sur la grand route avec notre groupe – Sous mon choix de ne plus faire venir une vague d’aventuriers, mais simplement environs huit personnes. Les grands groupes de voyageurs, déjà ! - C’est ainsi que la journée défila sous nos bottes, avec Kais, Sakiko, Kodjo, Moutah, Nhagi, Hael et Saren. Celle ci était agréable, la poussière et le sable soulevée par un vent léger, et tout semblait prometteur, comme une grande balade agréable, longue, mais vers une belle destination. Tout aurait été plaisant, jusqu’à notre arriver à un pont sur la Voie allagoise du Soleil, et les problèmes débutèrent rapidement.

Des civils criaient en agitant un peu les bras, bien agacés par la situation et indignés qu’un groupe de militaires des Immortels s’occupaient de mettre aux arrêts plusieurs personnes. Certains avaient tout l’air du brigand, mais le jeune garçon qui était tenu par les soldats criait de peur et d’incompréhension. Sous le regard impuissant de Brinda et de ses collègues travaillant sur les tuyauteries encore abîmés depuis l’affaire du Chancrepince, et de quelques autres détails éparpillés dans la scène. Kais avait l’air particulièrement agacé en premier lieu, par le traitement du jeune garçon et des parents voulant le récupérer, mais c’est Kodjo qui posa la question sur ses crimes : Coupable d’enlèvement, torture, et autres atrocités sur une jeune fille dans le nord de notre destination.

Cela n’entraîna pas grand-chose, la situation semblait parfaitement instable, et tous essayaient de glaner des informations ici et là, découvrant que – La communauté de Nollow est jugée par certains habitant comme des maniaques, déviants et irrespectueux, tandis que Brinda n’en parlait que comme des personnes du coin rejoignant les lieux pour une raison ou une autre. Mais le plus étonnant, vu d’entendre parler du passage de celui qui semblait être Hector Spencer, sans avoir été plus que ça gêné par une garde de deux membres des Immortels vérifiant que les lieux sont en sécurité depuis l’apparition des gobelins au nord de Roncenoire. Ce fut l’action de Moutah qui détermina un grand changement alors que tout semblait sur le point d’éclater, notamment pour Kais : La magie ondula, explosant comme une magnifique fleur rayonnante dans les yeux de tous, et doucement la dissipation chassa le mal pour ceux les moins affectés. Plusieurs personnes tombèrent, sonnés par le choc et le changement d’humeur, celui qui voulait massacrer Kais, redevint le petit garçon pleurant qu’il était.

Mais trois personnes n’avaient plus aucuns espoirs, une des immortels, un travailleur de Brinda, et une de celles qui protestait. Il n’y avait aucun espoir pour eux, et leurs corps s’évanouir dans des panaches de fumée quand ils furent défait. Tout ça, ne voulait dire rien de bon, et encore moins alors que Moutah s’élevait lentement dans les airs en ayant voulu poursuivre le responsable qui nous regardait depuis les hauteurs rocheuses.

Hector Spencer se pensait invincible, et fuit à toute enjambée quand plusieurs traits l’eurent blessé alors qu’il faisait le paon, Moutah dans son piège, il faillit s’en débarrasser sans l’intervention de Kais et des autre juste avant l’explosion du cercle rituel. Plusieurs des nôtres furent contaminés par le même vice que nous étions venu détruire, et une purification retarda notre route vers le Relais de Nollow visiblement coupable d’avoir asservit des personnes à des vices aussi morose, et Saren, Kais, Sakiko et Moutah pouvaient bien être les prochains. Cependant, prenant un temps pour discuter avec les immortels et préparer les soins avec Kodjo, une lumière éblouissante et magnifique apparue pour purifier les nôtres affectés par le mal vicieux servant les intérêts de L’Inrien. Ainsi, nous avons été témoins par Moutah de l’influence grandissante du rituel, le facteur temps jouant, nous nous sommes tués en direction de l’Espoir de Nollow, laissant un Kais en piteuse état derrière nous qui pourrait nous rejoindre rapidement.

Même si cela me laissait un pincement au cœur sévère d’abandonner un camarade blessé derrière, il était avec les immortels et Brinda, sûrement était-il en sécurité, bien qu’il fonça nous retrouver pour poursuivre cette quête, nous mettre en sécurité. Oui, Kais est vraiment quelqu’un de bien au fond, même si cette tête de pioche ne veut pas se l’avouer. L’Espoir de Nollow, un lieu dépravé qui devait former une petite ville, jamais achevée, sauf une pauvre masure au fond. Des tentes miséreuses, des matériaux de constructions éparpillés, et des personnes riantes, chantantes, ou ayant des pratiques dont la décence m’empêche de l’inscrire sur ce carnet – Car je doute qu’ils s’entassaient dans une grande tente pour préparer des nouilles. Une miqo’te en petite tenue vint nous faire la visite, et sa réaction était étrange, c’est comme si elle avait envie de nous massacrer quand les premiers refusèrent son aide, jusqu’à ce que Sakiko débloque la situation en acceptant avec parcimonie. Nous avons parcouru une partie du campement, voyant joie non-retenue, chant, amusement, tout semblait simplement parfait et le bonheur rayonnait. C’est en arrivant dans le lieu de plaisir, où la demeure de Nollow se trouvait, que la situation est devenue grave.

Le combat s’entama quand plusieurs d’entre nous furent « forcés » de participer, Moi et Sakiko se débarrassant de l’affecté condamné m’ayant prit le bras. La confusion apparue, mais certains furent éhabi de voir Nollow sortir, avant qu’il ne soit frappé par Moutah. Kodjo empêcha une vague de citoyen fou-furieux de nous massacrer en convoquant les vents, la synergie était parfaite, jusqu’à ce que la malédiction soit brisée par Sakiko et Moutah, Hael, Saren, Kais et Nhagi finissant les affectés condamnés, jusqu’à ce que l’énorme ayant prit une force presque métallique, s’écroule en poussière comme les autres.

La nuit était tombée, et lentement les victimes reprenaient leurs esprits. Certains furent affligés par ceux qui n’avaient plus d’espoir, mais ils étaient un nombre infime. Le maléfice était rompu, mais cela ne faisait que prouver qu’Hector Spencer parvenait de plus en plus à atteindre les attentes de son maître. Nous écoutions l’histoire de Nollow, remit aux mains des immortels, grâce au petit Journal que Moutah à trouver. Celle ci, n’était que volonté et tristesse, sans un faux pas, sauf celui d’avoir accepter de l’aide. Une grande poussée de fatigue gagna chacun des nôtres avec cette question : « Combien verront leurs vies bouleversés par des mensonges ? » Trop. Est déjà la réponse. »

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 06 oct. 2018, 01:11

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Huitième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« C’est toujours surprenant de partir à sa propre aventure avec un futur employeur pour un Mandat à venir, surtout quand celui ci est bien plus effrayant que certains de nos adversaires rencontrés jusque là. Effrayant, mais stable, c’est une harmonie bien étrange qui tournoie autours du mystère de Sinae Tombefume, un être aussi passionnant qu’inquiétant. Notre mission était importante, déjà car elle pouvait permettre de récupérer de nouveaux matériaux pour Lucian Voss, mais aussi parce qu’il s’agissait de définitivement désarmé L’Inrien de ses outils de destructions gobelins. Grâce à Stanislas Kortovin et le commandant Oxdox sauvé par nos amis pendant la mission de Roncenoire, la destination semblait parler d’une grotte perdue au fond d’un Oasis au nord du Thanalan Central.

Notre tâche était donc simplement de s’y rendre, découvrir comment ils s’organisaient avec les gobelins pour préparer les armements, et revenir en ayant fait en sorte que cela cesse. Même si une nouvelle fois, je me retrouvais à devoir refuser la présence de quelqu’un : C’est avec un pincement au cœur que je laissais Kais seul au Relais pendant notre départ. Devoir gérer des camarades à l’aventures, est un lourd poids quand on doit dire à certains de ses amis de rester derrière. Très dur. Ainsi, accompagné de Monsieur Sinae Tombefume, Kodjo, Sakiko, Nhagi, Moutah, Gegerijo et Sylune sommes parti vers cette dite oasis à travers le Thanalan Central, quittant la grande Ul’dah, pour y retrouver un Lalafell aux allures des plus inquiétantes, avec son grand chapeau pointu, faisant découvrir bien plus tard certaines choses, qui inquiéteront grandement Sylune. Sur la route, il y eu plusieurs petits problèmes, dont un bien moindre concernant un oiseau massif tournoyant autours de nous avant de voler le chapeau de Sinae et de partir au loin avec.

Il ne sera pas parti bien loin, celui ci le foudroya d’un coup en le laissant rechuter dans l’intensité de l’éther utilisé avec agressivité. Le pouvoir imprégnant ses habits, et sa canne, avait trop de valeur. Et il le récupérant, nous laissons bouche-bée, et bouche pleine, puisque Sylune dépeça la bête pour en faire un casse-croûte bien mérité ! L’autre petit occasion, à été le fait que je suis tombée – De manière parfaitement inattendue, que personne n’aurait pu remarquer, et non la preuve d’un manque d’attention en sentant une odeur de croissant – dans un piège vicieux. Les brigands, ou des fermiers de visu, se justifièrent vaguement. Mais il fut découvert pendant que Tombefume appelait les Immortels pour une arrestation, qu’ils cherchaient de la manœuvre pour les mines avec un contrat, sur un nom qui faillit le trucider par Sakiko. « Onotsoku », le Raen nous ayant capturé en quittant Himitsu no Taki. Ce monstre faisait partir des esclaves vers les mines, ce qui nous donnait une raison de plus d’agir, et d’arrêter ce qu’il se passe.

La première intrigue arriva après un pont. Un vaste brouillard ondulant doucement, après ce qui devait être des fracas et des explosions. Des pierres brisés et de la terre remuée, et il aurait été vraiment dangereux de s’y rendre sans que les vents ne soient soufflés par Kodjo en repoussant une bonne partie de ce qui camouflait la scène – Les gobelins, tirant sur une bande de personne habillés de tenues poussiéreuses, se rendant les tirs depuis deux positions couvertes. Quelques fermiers en piteuses état plus loin, dont un semblait sur le point de perdre la vie. Et un grand chariot gobelin de munition, en flamme, ce qui pouvait ne provoquer que plus de problèmes si tout venait à se mettre à sauter dans tout les sens. Nos conversations furent trop nombreuses, et une première charge détonna, ce qui fit s’agiter tout le monde.

Et nous voilà en pleine ruée vers les différents problèmes. Tombefume et Moutah se ruèrent pour protéger et sauver les fermiers, surtout celui bien pâle qui devait maintenant sa vie à Moutah. Sylune et Gegerijo étaient auprès des poussérieux, discutant avec celui possédant un fusil d’Ishgard, pendant que Nhagi se tenait à couvert plus loin. Sakiko, Kodjo et moi avons d’un coup balancer la caravane enflammée vers le ravin, un grand fracas confirmant qu’elle n’était plus vraiment un danger, sauf si il y avait quelqu’un en bas. Autrement, paix aux écureuils malchanceux. Mais les gobelins se mirent à nous tirer dessus à cause des Poussérieux, pour nous rallier à eux, mais Moutah brisa la situation en évoquant le nom de Oxdox.

Les sâles types travaillaient pour L’Inrien, pour les mines, et il était temps de leur faire payer. Un fumigène éclata au milieu des brigands, et nous nous sommes rués nous battre. Nos cornes, pour nous autres Ao’ra, furent extrêmement utile pour nous repérer dans le nuage parésseux. Il fallait les retenir, on avait peu de temps avant que le sort de Tombefume ne se déchaîne. Fuyant rapidement le fumigène avec quelques blessures pour les miens, le pouvoir de la magie explosa avec intensité là où ils étaient. Au total, quatre survécurent et furent attraper. La situation devenait claire : Les Gobelins avaient voulu fuir la mine, pour sauver les autres à l’intérieur, et tout était lié à une histoire concernant visiblement Sylune et un Elezen nommé Adarik Lorcroix.

Je me presserais d’en faire le résumé, car nous avons beaucoup parler de la situation, prit soin des blessé, libéré ceux qui devaient l’être, avant de nous ruer vers les mines où les problèmes nous attendaient tous. Sylune était déjà présente, et nous nous sommes rués jusqu’à la position en étant suivi par les gobelins en meilleure forme qui s’occuperaient de libérer les prisonniers. Il n’y avait pas de garde, pas de piège, seulement des chaînes empêchant les prisonniers de sortir. Ils savaient que si ils tentaient quoi que ce soit, tous mourraient, et c’est dans cette morbide ambiance qu’ils étaient devenu esclave d’eux même pour ne pas être tuer dans une abominable souffrance, et pour cause. Ce qui nous attendait rendait leur peur compréhensible. Après une certaine discussion, nous sommes parti vers la Mine pour découvrir cette certains Skaeva, la disciple de Lorcroix, qui nargua Sylune en disant la connaître, et qu’il était temps qu’une certaine vengeance intervienne. Nos assauts distants furent vain, face à l’énergie qui l’entourait, et elle disparut dans un grand bruit de fracas – La pointe de Cerulem découverte par Sylune avait donc exploser, et il était temps de rapidement rejoindre le lieu où le fracas se fit entendre.

Nous ruons rapidement en devant essayer de retenir Sylune qui voulait absolument attraper l’Elezen fuyante au lieu de s’occuper de tout les mineurs braillant de peur en ne pouvant pas se décrocher de leurs chaînes. Les Gobelins s’en occuperait, plus on attendait, plus nombreux ils seront à périr, il fallait retenir ce qui arrivait. Cela aurait pu être de l’eau, du feu, de la destruction, j’ignore si cela aurait été plus simple, mais pas aussi horrible à voir que ce qui résidait au fond de la grotte. L’Horreur grotesque était installé à côté du trou d’où il provenait, mâchonnant lentement la moitié du corps d’un Hyur, installé au milieu des autres massacrés. Plusieurs mineurs enchaînés hurlaient, d’autres étaient inconscients. D’autres… indéfinissables.

D’après les dires de Monsieur Tombefume, affolé autant que Moutah suite à la détection de l’Ether sombre, il s’agissait d’un Hécatonchire, une sorte d’entité démoniaque d’un certain stade inquiétant devant être détruit. L’entité nous observa, ses yeux pétillant de haine et d’un désirs malsain, alors qu’il se préparait à recevoir notre assaut. Celui ci fut organisé, mais face à sa force, il fallut tout de même supporter quelques blessures. C’est ainsi que, les lèvres en sang, Sakiko étalée plus loin, que je me retrouvais à me défendre d’un bouclier renforcé par Moutah face à son arme grossière et massif. Jusqu’à sa chute, frappant ensemble au cœur, jusqu’à ce que Tombefume ne le ré-expédie là où il fallait. Nous en étions débarrassés, mais il fallait s’occuper des nôtres.

Les Immortels finirent par arriver, sous les ordres de Wilfrid Dentelion, après avoir été convoqués par Sylune et Sinae pour récupérer autant les brigands captifs que les pauvres esclaves. Statuer la situation avec les survivants Gobelins. L’Inrien venait de prendre sa production d’arme lourde, enfin. Et nous, nous traînons alors que je soulevais Sakiko blessée. En me demandant quels seront les prochains périples nous attendant. C’est vers l’Ile d’Ombra, pour Tombefume, que notre prochaine quête nous attends. Et le terme « démon » commencent une fois de plus à me hanter. »

- Tsakuyi Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 11 oct. 2018, 05:09, modifié 1 fois.

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 10 oct. 2018, 05:31

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Ce texte à été ajouté par Tsakuyi dans son journal, visiblement un rapport de mission pour l'interêt de Monsieur Tombefume, et de Dame Kurusu du Relais des Quatre Tours, concernant un mandat directement fourni par le Relais de Brumée.


"Mes respect,

Dame Kurusu. Monsieur Tombefume, voici les informations sur le déroulement de la mission confiée par monsieur Tombefume lui même vers l'île d'Ombra. Notre quête était donc de naviguer avec l'aide de la petite embarcation d'une Miqo'te ayant été notre guide jusqu'à destination. Ainsi, notre équipe fut constituée de - Sakiko Kosenjobi, Kodjo Oronir, Moutah Pontha, et de Sheki'a et Aldualim des Epées. Et ce pour la récupération d'un livre.

L'ile avait l'air propre à ses légendes : Couverte de malédictions. Des lueurs spectrales furent visibles quelques temps après l'errance dans la brume en bonne formation - Couvrant notre environnement, et prêts à réagir à toute menace, en protegeant ceux les moins prompts à être assaillit. L'objectif étant installé sur une hauteur rocheuse, nous avons donc parcouru celle ci pour ne pas être encerclés, et à raison. Si ce sont les lueurs qui avaient l'air inquiétante, ce furent les Goules qui ont été rapidement notre préoccupation. Des créatures abjectes, frappées par la mort, errante dans les brumes en attente d'un repas. Mais pour l'instant, se battre était clairement contre productif.

Notre voyage fut organisé pour jouer sur les différents sens et les méthodes pratiques pour ne pas être surpris - Détection des traces d'éther obscure, formation serrée, surveillance par méditation et concentration sonore. Tout semblait être prompt à attendre nos ennemis, jusqu'à notre arrivée sans combattre, en évitant une bataille contre une goule qui en aurait attirer bien d'autre. Mais l'accès au temple était inévitablement liée à la destruction de son gardien - L'assemblage osseux munit d'une armure de fer et d'une grande lame ne se laisserait pas passer si aisément, et malgré nos peu d'informations et la tentative de forcer la porte rapidement. Notre seule solution était de vaincre le gardien, pour briser l'énergie qui le reliait à la porte close. Chose faite, nous avons du retenir le flot hurlant de créature se ruant vers nous en refermant les portes. Le temple, nous y étions, et le danger des sirènes devenait évident.

Nous avons mis nos protections - des sceaux pour les oreilles empêchant tout son de nous parvenir, pendant qu'on progressait en se fixant sur des manières alternatives dans les couloirs du temple, jusqu'à atteindre le sanctuaire de Llymlaen où devait se trouver l'ouvrage. Mais nous attendait aussi une Sirène, prête à envoyer le livre au feu. Après la récupération du livre, elle nous coupa l'accès, des flammes ondulante autours du passage, et la grande porte fut condamnée. Plusieurs retirèrent leurs protections pour parler à d'eux d’entre nous, et l'assaut fut un échec. J'ai été attrapée, et presque condamnée à mort, mais elle ne voulait qu'une réponse : Qui était le responsable de la mission. Finalement, le nom fut donner : Une des règles de la mission était "la survie d'abord". Et celle ci disparue en nous laissant l'accès vers notre navire.

Il n'y eu rien de problématique sur le retour, si ce n'est le calme, et beaucoup de question, là où nous avons pu que trouver des possibles raisons de ce départ aisé, après autant de difficultés. Mais le livre à été rendu, dans l'état exigé, et nous sommes tous rentrés en vie et légèrement blessés. Fin de mission.

- Tsakuyi Kosenjobi."

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Re: [Chroniques] Journal de Tsakuyi

Message par Akayane » 11 oct. 2018, 05:05

Journal de Tsakuyi Kosenjobi.

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Neuvième entrée – Les terres arides de Thanalan. "Du sable, des gils, et du sang."

« Une mission attendue qui tombe dans des jours difficiles. Depuis l’île d’Ombra, ou même encore, la mission dans la grotte, la plus part de nos tâches étaient bien rude. Du danger, de la folie, et beaucoup de problèmes avec le néant si bien que cela correspond étrangement bien avec notre volonté d’intégrer les Chasseurs de démons des Quatre tours – La Balance. Mais comme dit, on ne rejoint pas une fonction dangereuse et atroce si ce n’est pas pure conviction, et je m’entendais bien à prouver que mon destin pouvait être dans les mains d’un rôle aussi funeste, surtout après tout ce qu’on pouvait bien vivre dernièrement. Ainsi, alors qu’on devait partir pour une simple recherche de citrouille pour les cuisines de Yuen, nous voilà tous ensemble à partir vers le Thanalan pour enquêter sur une mystérieuse affaire qui enchaînerait les problèmes différents. Mais aussi la plus incroyable et merveilleuse révélation qu’il m’ait été donner de prendre en pleine figure, dans l’inattendu le plus agréable.

Le problème était difficile à concevoir : Un parchemin provenant de notre île natale avait été ouvert, et il devait contenir quelque chose de vraiment mauvais ayant affecté plusieurs personnes autours de la petite ville isolée de « Mousse sèche », où tout devait se dérouler. Wilfrid Dentelion, des Immortels, nous y attendait, et c’est ainsi que notre petit groupe éprouva son premier « manque » depuis notre voyage. Sakiko n’était pas là, occupée avec le Questeur Cirmo à la Guilde des Aventuriers, c’est là que je me rend compte à quel point j’ai besoin d’aide pour me sentir entière en mission. Ma sœur, tout ce dont j’ai besoin. Et cette fois, elle ne serait pas là pour me protéger, me soutenir, ou simplement m’éclairer de sa sagesse. Sylune nous à rejoint là bas, et il y avait Kodjo, Moutah, Nhagi, Kais, et moi même.

La fameuse équipe, qui ne resterait pas longtemps sans un de ses plus important pilier. Brisant la monotonie du questionnement interne pour ne pas me laisser aller aux regrets, et me glisser dans mon rôle de chef pour mes camarades, et notre mission. A la rencontre du Capitaine Dentelion, de nombreux soldats tournèrent leurs armes vers nous, même pas encore descendu de nos Chocobo. - Le miens bavant toujours un peu en regardant partout, ce pauvre petit « Coqualier » à vraiment un grain. Et lentement, la situation se débloqua en constatant qu’il s’agissait d’une mesure de prévention, avant de nous faire rencontrer la Dame Bleue.

Elle était dans le dispensaire, avec les nombreuses personnes délirantes à cause des afflictions aussi bien physique que mentale. Une personne qui semblait douce, mais autoritaire, discutant avec Moutah aisément et préparant à agir de concert avec lui, notamment quand le premier problème apparu. Tout allait s’enchaîner très vite, ce soir, ne nous laissant qu’à peine le temps de souffler à vrai dire. Un des Immortels de surveillance perdit la tête, et se mit à poignarder en boucle une des patiences dans un accès de rage sanguinaire et de jalousie inquiétante. Il était trop tard pour sauver la pauvre, mais l’Immortel fut écrasé au sol pour préparer un rituel de purification d’urgence organisé par Moutah. Le nuage obscure découvert par sa lunette ne trahissait pas l’ombre qui affectait son esprit, et partout en ville des problèmes se mirent à faire surface. Mousse-sèche recevait une attaque vicieuse, non pas un assaut que les Immortels n’auraient pu arrêter, mais les cibles d’hommes vétues de tenues sombres étaient claires : Les infectés. Partout, des cris tournaient depuis qu’une des cages pour les cas n’ayant pas besoin d’assistance médicale directe, fut ouverte. Et des personnes tourmentés par des sentiments sublimés s’attaquaient à n’importe qui pour n’importes quels raisons, ou se traînaient par terre en bavant.

Pour moi, c’était l’apogée de l’horreur, depuis les affres d’Himitsu no Taki, et ce parchemin devait vraiment être retrouvé au plus tôt. Cependant, de nombreux adversaires vinrent se confronter à nous pour récupérer les patients gravement affectés ainsi que la Dame Bleue, qui semblait au cœur de l’objectif. A l’extérieur, les combats éclataient partout, et je me devais d’affronter l’ennemi pour les retenir. Bien que cette fois, je pu faire sublimer mon expertise en m’en sortant particulièrement bien. Partout, ils fuyaient après leurs méfaits, Sylune et Kodjo ayant empêchés l’ouverture des autres cages rendant encore plus facile le travail des Immortels. Le rituel de Moutah avait fonctionner, et un des patients avait faillit trouver la porte avant que la Dame bleue ne lui fasse traverser brutalement le mur dans un grand fracas. Note pour plus tard : Ne jamais l’énerver. Mais ce n’était pas fini – L’ennemi avait été repoussé, après qu’il fut clairement défini qu’ils utilisaient des fioles pour « aspirer » l’obscurité des infectés, et Moutah détectait que celle ci partait en vitesse vers le sud. Il était temps de les poursuivre, alors que je fonçais vers mon Chocobo.

Le Chevalier noir était de retour, les sabots de son cheval frappant lourdement contre la terre en fonçant pour nous assister. Certaines vérités seraient découvertes, mais attendront sûrement plus tard pour être écrite sur ce carnet. Les chocobo foulant le sol en abandonnant Mousse-sèche sous l’autorité du Capitaine Dentelion, et la Dame bleue était à nos côtés. La ruée fut rapide, accélérée par Moutah pour les rattrapés en urgence, et nos tentatives de les arrêtés furent un succès. Deux continuèrent la route en vitesse vers le nord, poursuivit par l’intégralité de nos camarades, pendant que je descendais avec Kodjo. Ils étaient tous parti, et j’admets avoir ressenti une pure frayeur face aux six adversaires progressant lentement vers moi. Partout les combats se déchaînèrent, et les ennemis furent rattrapés par le Chevalier noir et Sylune installée sur son destrier.

L’un se retrouva écrasé au sol, sous le poids des fioles brisés, dans une sorte de nuage noire inquiétant qui lentement le dévorait. L’aura balança ses fioles, mais fut capturé par un tir bien placé de notre Miqo’te bleue adorée revenue de sa mission aérienne dangereuse. De mon côté, c’était critique. J’ai pu en abattre un beau nombre, comme cité plus tôt j’ai eu une bouffée d’inspiration, mais je cédais lentement. Malgré l’aide de la Dame bleue venue en urgence, mon épaule souffrait énormément. Cela dit, le plus grand problème provenait du Raen qui affrontait Kodjo. Il portait un grand sabre, et un casque obscure sur la tête autant que le reste de son armure.

Une armure presque aussi effrayante que celle du Chevalier noir qui venait de trancher littéralement en deux un de mes assaillants. Ce Raen connaissait la Dame bleue, il avait jadis, d’après ce qui fut informé, servit dans la Milice d’Himitsu no Taki. « Shuta », était son nom, avait été aussi victime d’Onotsaku avant de finir esclave. Sa situation était horriblement semblable à celle de ma sœur et moi. Mais au lieu de se rendre, il écrasa une sorte de cristal identique à celui utilisé dans l’épée de L’Inrien, auprès de Hector Spencer, mais il lui arriva la même chose : Après nous avoir littéralement écrasé, la puissance déchaînée lentement s’estompant en l’emportant en cendre. Il pleurait, pleurait d’être aller aussi loin, et disparut en poussière quand sa force le quitta et nos assauts finirent par ne laisser de lui qu’un triste souvenir.

Le Chevalier noir faillit périr, sans les soins déchaînés de Moutah et la Dame bleue, cela nous empêcha de poursuivre au vue de l’état de nos blessures. Surtout le Chevalier, qui aurait vraiment pu mourir. Le Parchemin d’Himitsu no Taki n’avait plus de trace, mais on pouvait être conscient qu’Hector Spencer restait sur ses traces pour forcer la « Force » malsaine s’en dégageant. Rien de tout ça n’était bon, mais il fallait rester attentif pour parvenir à mettre la main dessus. Peut-être l’Encapuchonné des Occultistes nous aidera, pour l’instant, dès que tout fut achevé. J’en profitais pour me préparer à deux jours véritablement agréable et serein, auprès de la Dame bleue : Kuchinashi Kosenjobi, ma Mère. Malgré l’absence de ma chère Sakiko, je lui rapporterais le plus beau des trésors qui soit. Notre route restait encore longue, et difficile, avec tout ce qui nous attends. La quête de Tombefume, Onotasku, L’Inrien, le mystère de Shigma, et pourtant. Un peu de paix et de bonheur à travers ça. »

- Tsakuyi Kosenjobi.

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