« NON MAIS JE RÊVE ! »
Un soleil complet pour ce voyage, un soleil où il a dû galoper jusqu'à exténuer l'animal pour se rendre in extremis auprès des siens pour une affaire qui lui a paru des plus absurdes. Son père, l'un des Udgans de sa tribu, aurait été banni pour "trahison". S'il y a bien une chose qu'on ne pourra jamais retirer à Dayan - et en dépit de tout ses défauts - c'est l'amour filial. Et l'insulter, l'accuser de la sorte après tout ce qu'il a fait pour les Adarkim, c'était suffisant pour le mettre dans une rage folle.
Une fois devant la yourte détruite, le guerrier xaela fut vite rejoins par d'autres ; tous vêtus d'un tissu bleu noirâtre, preuve de leur appartenance à la tribu Adarkim -?- . Et - bien entendu - tous armés.
- « Calme-toi, Dayan. » s'exprime celui qui se trouvait devant, équipé d'une lance ornée de griffes et de crocs, trophées de ses nombreuses luttes contre diverses bêtes, ce qui est assez pour lui offrir un rang conséquent et des hommes sous ses ordres. « Nos vigiles ont aperçu un guerrier au loin, j'ai donc pen- »
- « Ta gueule ! Où se trouve mon père ?! » Question posée avec une colère contenue, difficilement contenue.
Un ton qui ne plait guère, l'insulte était de trop. Très vite, comme à son habitude, Dayan a su attiser l'animosité de son interlocuteur, et celui se mit à croiser les bras, un air bien trop sévère au visage.
Comme beaucoup en ces terres, le manque de respect est peu toléré... et amène vite à l'appel de la violence. Néanmoins, quand on est un guerrier d'un certain âge, il semblerait qu'on arrive à outrepasser cette erreur de "jeunesse". Quelle chance.
- « ... Plus ici. » D'une voix ferme, qui en dit long sur la dose de patience dont il fait preuve. « C'est bien parce qu'il fut un Ugdan des plus respectables que sa tête ne s'est pas retrouvée sur une pique. »
- « ... » Sourcils froncés, Dayan exprimait toute la contrariété qui l'habitait, mais pas question de tenter le diable une nouvelle fois. « Pourquoi ? »
- « Il a été vu avec quelques membres d'une tribu ennemie. Pire encore, il a participé à leur guérison. » Rancœur légère, teinté d'un peu de regrets, qui sait ? « Aussitôt la nouvelle répandue, les votes ont été contre lui, même s'il jurait n'avoir divulgué aucune information. »
... Que c'est stupide.
Qui pouvait croire que l'homme qui s'est chargé de son éducation n'est autre qu'une âme généreuse comme celle-ci ? Dont la vocation est de se soucier d'autrui ? Quand on voit le fils, on imagine le père en pire, n'est-ce pas ?
Que Dayan croit ou non aux paroles de ce l'individu en face de lui, le résultat restait le même ; la yourte du chaman est détruite, et son possesseur n'est plus ici.
La suite de la conversation se fera dans une ambiance un peu plus calme, bien que toujours tendue, mais il fallait rester un minimum droit pour savoir autant de choses que possible ; comme le fait que son père a cherché à le rejoindre et s'est rendu en Eorzea.
Concernant son frère cadet, il aurait également pris la route et s'est dirigé vers le Ralliement. Suite à tout ça, nul besoin de s'éterniser... et les détails se feront savoir plus tard.
Dans l'immédiat, l'Adarkim - ? - va devoir se rassurer et partir à leur recherche.
Un soleil complet pour ce voyage, un soleil où il a dû galoper jusqu'à exténuer l'animal pour se rendre in extremis auprès des siens pour une affaire qui lui a paru des plus absurdes. Son père, l'un des Udgans de sa tribu, aurait été banni pour "trahison". S'il y a bien une chose qu'on ne pourra jamais retirer à Dayan - et en dépit de tout ses défauts - c'est l'amour filial. Et l'insulter, l'accuser de la sorte après tout ce qu'il a fait pour les Adarkim, c'était suffisant pour le mettre dans une rage folle.
Une fois devant la yourte détruite, le guerrier xaela fut vite rejoins par d'autres ; tous vêtus d'un tissu bleu noirâtre, preuve de leur appartenance à la tribu Adarkim -?- . Et - bien entendu - tous armés.
- « Calme-toi, Dayan. » s'exprime celui qui se trouvait devant, équipé d'une lance ornée de griffes et de crocs, trophées de ses nombreuses luttes contre diverses bêtes, ce qui est assez pour lui offrir un rang conséquent et des hommes sous ses ordres. « Nos vigiles ont aperçu un guerrier au loin, j'ai donc pen- »
- « Ta gueule ! Où se trouve mon père ?! » Question posée avec une colère contenue, difficilement contenue.
Un ton qui ne plait guère, l'insulte était de trop. Très vite, comme à son habitude, Dayan a su attiser l'animosité de son interlocuteur, et celui se mit à croiser les bras, un air bien trop sévère au visage.
Comme beaucoup en ces terres, le manque de respect est peu toléré... et amène vite à l'appel de la violence. Néanmoins, quand on est un guerrier d'un certain âge, il semblerait qu'on arrive à outrepasser cette erreur de "jeunesse". Quelle chance.
- « ... Plus ici. » D'une voix ferme, qui en dit long sur la dose de patience dont il fait preuve. « C'est bien parce qu'il fut un Ugdan des plus respectables que sa tête ne s'est pas retrouvée sur une pique. »
- « ... » Sourcils froncés, Dayan exprimait toute la contrariété qui l'habitait, mais pas question de tenter le diable une nouvelle fois. « Pourquoi ? »
- « Il a été vu avec quelques membres d'une tribu ennemie. Pire encore, il a participé à leur guérison. » Rancœur légère, teinté d'un peu de regrets, qui sait ? « Aussitôt la nouvelle répandue, les votes ont été contre lui, même s'il jurait n'avoir divulgué aucune information. »
... Que c'est stupide.
Qui pouvait croire que l'homme qui s'est chargé de son éducation n'est autre qu'une âme généreuse comme celle-ci ? Dont la vocation est de se soucier d'autrui ? Quand on voit le fils, on imagine le père en pire, n'est-ce pas ?
Que Dayan croit ou non aux paroles de ce l'individu en face de lui, le résultat restait le même ; la yourte du chaman est détruite, et son possesseur n'est plus ici.
La suite de la conversation se fera dans une ambiance un peu plus calme, bien que toujours tendue, mais il fallait rester un minimum droit pour savoir autant de choses que possible ; comme le fait que son père a cherché à le rejoindre et s'est rendu en Eorzea.
Concernant son frère cadet, il aurait également pris la route et s'est dirigé vers le Ralliement. Suite à tout ça, nul besoin de s'éterniser... et les détails se feront savoir plus tard.
Dans l'immédiat, l'Adarkim - ? - va devoir se rassurer et partir à leur recherche.