[Aventures] - Journal de Chijiyu

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Akayane
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[Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 18 févr. 2019, 04:56

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang C – « Caravane convoitée. »
Première entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Il était inattendu que notre mission débute si tôt. Après l’acquisition de plusieurs mandats au « Relais du Sablier et de la Balance » tenu par l’ordre des Quatre Tour, nous avons pu nous réunir avec le groupe formés il y à peu. D’anciens compagnons, et de nouveaux amis se rassemblent afin d’accomplir des tâches de plus en plus dangereuses dont notamment le Maître Occultiste Adel’Delroy est plus que conscient. Depuis notre regroupement dans le recoin d’Estivale, dans la Noscea Centrale, il fallut que peu de temps pour que mes pairs aient envie de mettre cet accord au défi des difficultés d’une mission.

Mais il ne s’agit pas d’agir avec bêtise en allant toute de suite essayer de trop en faire et d’échoué par manque de coercition, l’esprit d’équipe apparaît avec les premiers efforts, même si plusieurs d’entre nous se connaissent depuis des années maintenant. Attrapant les plusieurs mandats fait pour les combattant plus jeune, il était temps de nous essayer sans pour autant risquer de mettre une mission en péril. Pour cette première mission tous ensemble, notre groupe choisit d’escorter la caravane du « Vaillant-passeur », ce Miqo’te lunaire voyageant avec ses quelques compagnons crépusculaires et son énorme Chocobo fait de bonne chair.

L’équipe constituée à la première heure représente donc – Torako du clan Oronir, un guerrier porteur d’une grande hache de guerre et d’une proximité avec les éléments. Braen, « Berkbraena Blaetidhem », Roegadyn comprenant les éléments et usant avec puissance de la Terre. Nhagi Kantor, une Miqo’te lunaire en armure de fer. La Fabuleuse Perine – avec environs vingt-deux « I » - Lachance, une Elezen haute en couleur ( c’est peu de le dire ) dont la magie consiste à faire sienne les pouvoirs de qui elle vainc. Ainsi qu’une Samuraï venant de loin, en ma personne, Chijiyu. Pour commencer notre entraînement, celui d’apprendre à nous battre ensemble conformément à la volonté de Braen avant d’accomplir des missions plus importante, cette histoire débute avec une simple caravane.



La nuit était tombée, particulièrement profonde et au moins épargnée de la pluie glaciale voire de la neige d’Hiver. Bien que le souffle du vent froid ne nous épargnait pas, il fallut tout de même rejoindre le Vaillant-passeur pour débuté notre voyage. Installé dans « LA CASSEROLE ! » - ils exigent vraiment que ce soit écrit ainsi. Prêts à poursuivre la route vers Coq rouge qui nous éloignerait grandement d’Estivale pour cette nuit. Braen restait vraiment intéresser à l’idée de former un groupe correct, il voulait voir des formations et des utilités selon nos spécialisations, ce qui était tout à son honneur, c’est pour cela que nous sommes parti en débutant le trajet des deux chariots miteux à travers la Noscea, en bonne ordre.

Flancs, avant, arrière, tout était surveillé avec minutie et les heures de route nous séparant de la caverne furent longue et à l’écoute des chants de Perine. Les conversations prouvèrent au moins que ceux s’engageant dans ce voyage avaient l’air plutôt franc, et honnête, des personnages sympathiques ayant fort peu de doute sur leurs activités. Néanmoins, Torako avait clairement vu du mouvement régulier, quelques lueurs. Quelqu’un nous suivait assurément, et cela fut confirmé en arrivant à l’accès sous la montagne par un passage isolé pour rejoindre la Basse-Noscea après des heures de voyage.

Les casaques jaunes censés être de garde nocturne dormaient dans leur campement, et leur réveil par Perine confirma qu’ils avaient été drogués par je ne sais quel substance. Les laissant dormir de nouveau dans leur tente, l’objectif étaient qu’ils soient inactif, pas mort. Et quoi qu’il pouvait être prévu, quelque soit la machination nous attendant à l’intérieur, il fallait y entrer en compagnie de la caravane pour s’assurer de toujours rester à ses côtés maintenant qu’il était sûr qu’au moins une personne rôdait dans les environs.



Usant de sa compréhension de la terre, Braen était conscient que plusieurs personnes attendaient là-bas. Torches et flambeaux relevés, Torako était en première ligne plus loin de nous en portant clairement l’attention sur lui en cas de problème. Et l’explosion qui se souleva devant lui entama les hostilités. Oui, ils nous attendaient, mais ce n’était pas pour causé un massacre, la dizaine de Gobelin était là pour revendiquer les marchandises qu’ils estimaient leurs en nous traitant de voleur.

Bien entendu la conversation ne se passa pas bien, et rapidement des initiatives furent prit pour passer de force pendant que les caravaniers se cachaient. Couvrant nos arrières, le plus intriguant fut qu’une balle avait été tiré de derrière nous. La mystérieuse personne se trouvait dans le couloir, c’était certains, mais la question restait : Qui, où, comment était-il invisible ? Nous n’aurons pas la réponse, mais il souhaitait clairement que le combat avec les Gobelins s’engage et rapidement, pour qu’ils nous écrasent. Ou pour qu’ils soient écrasés, difficile à dire, tant de questions sans réponses. Mais nos adversaires furent repoussés sans qu’un seul ne soit tué.

De justesse, bien entendu, quand la machine avec un dangereux canon fut mise hors service par la magie de Braen convoquant la terre, mais finalement la plus part des gobelins gisaient inconscients au sol, et ceux encore debout avaient compris qu’ils ne triompheraient pas cette fois. Partant avec les blessés en nous laissant poursuivre, la pauvre Nhagi avait reçue un très mauvais coup de pelle et pouvait s’installer dans la caravane pour se remettre de l’impact. Mais ce premier combat se déroula à merveille, face à un adversaire nombreux et coriace, ils se contentèrent de nous laisser partir en grognant des mots sur les brigands et les voleurs.

La caravane fut finalement apportée à Coq Rouge en déposant toutes les affaires dans un coin. Sous les remerciement du Vaillant-Passeur serrant la main de Braen tout agité qu’il fut d’en être revenu en vie, ce fut ainsi que s’achevait notre premier mandat. Quoi que peut-être conscient que cette histoire ne s’arrêterait pas là. »

- Uryuki no Chijiyu.

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Akayane
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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 21 févr. 2019, 04:31

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

Mandat de rang C – « Tu ne joueras point. »
Deuxième entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Deux jours après notre premier mandat, nous sommes parti en direction d’une ville au nom qui à une signification très particulière mais qui ne cessera de ne donner des curieuses impressions. Le Martinet. Une ville portuaire de la Noscea occidentale proche du passage menant à la partie centrale. Cette fois, nous nous occupions de cette étrange affaire où le jeune Milpain Elstoroix, un Elezen d’une douzaine d’année se trouvait interdit de son récital qu’il lui tenait tant à coeur. Une longue route de deux heures nous attendait, ralentie d’une bonne heure à cause des difficultés le long de la route. Tous étaient là, Torako des Oronir, la fabuleuse Perine Lachance, Braen, Nhagi Kantor ainsi que désormais de notre groupe, Furan Gakunin. Une Raenne portant avec elle l’écho des éléments et leurs protections.

Et la route ne fut pas au départ si compliquée. Si ce n’est un écureuil hargneux ayant poursuivit Furan à cause d’une noisette brisée sous une botte, les flots d’une rivière étaient déchaînés lors du passage, menaçant d’emporter quiconque s’approcherait trop du passage. Au moins une fois, Braen et Perine furent emportés par les eaux dans une grande vague, écrasés contre la pierre du ponton. Passer serait dangereux, les casaques jaunes expliquant qu’un aventurier inexpérimenté avait paniqué et déchaîné les forces de l’Eau pour emporter le triton menaçant de dévorer son camarade. Les conséquences furent que l’esprit resta embrouillé par cette détresse, et continua de levés les flots. Quand Braen voulu faire usage de la terre, des piliers et autres constructions se levant pour bloquer l’accès aux flots, la grande vague cessa, immobilisée dans les airs, attentive. Tout le monde était passé en urgence, mais Furan fini par se hâté de rejoindre la vague, pour lui « parler ».

La scène ne dura qu’un instant, et pourtant il semblait semblable à une dizaine d’heure tant nous craignons que la force de l’eau s’accumulant ne s’écrase sur eux deux. Il n’en fut rien. L’esprit s’apaisa aux mots de Furan, et les eaux tournoyant autours d’elles un instant avant de disparaître, comprenant enfin que le lien avec la demande du jeune élémentaliste était brisé, laissant une petite pierre étrange en remerciement, qui serait pourtant un des plus beau cadeau. Remerciés par les casaques jaunes, nous avons poursuivi notre route satisfait de l’acte accomplit, mais d’autres péripéties nous attendaient avant d’atteindre le Martinet. Et cela à commencer par un combat inattendu non loin de notre destination.



La Noscea Occidental comporte bien des menaces, mais les Sahuagins en sont une des principales raisons pour craindre pour les habitants locaux. Ceux ci enlèvent, tuent, volent, et sacrifient au nom de leur Divinitée Primordiale : Léviathan. C’est après deux heures de routes, proche de la fin de ce voyage musical sous les airs chantés par Perine, qu’un cri nous alerta, celui d’un homme à l’agonie dont la souffrance le quitta d’un coup quand la mort le prit dans ses bras. Nous ruant à cet appel, la vision des Sahuagins n’était pas agréable, surtout dans une telle scène : Des pèlerins des douzes effrayés et leur escorte des casaques jaunes en déroute, étalée au sol pour les deux survivants. Une jeune fille entre les griffes du plus large exigeant que tous s’agenouillent ou la voit périr comme celui qui venait d’être tué.

L’appel de Perine fut choquant pour eux, restant fixé quelques instants dans l’incompréhension la plus totale, avant de se retrouvés chargés par ceux des nôtres fait pour ça. Torako, Nhagi et moi frappions dans le centre de leurs forces, tandis que Braen et Perine tirèrent la fille des griffes du Chaman à merveille – La terre frappant le bras tenant la fille qu’une langue étrange attrapa pour l’amener à nous. La bulle d’eau sacrificielle la noyant était encore là, mais Furan eue la force de l’en détaché pour ne pas qu’elle soit tuée au bénéfice du Primordiale gorgeant celui invoquant son nom de puissance. Et quel échec pour lui, c’est peu dire. Ponctionner par la magie de Perine malgré le contre-coup grave, et troublé par les efforts de Furan, Braen pu lui loger un pique terrestre en plein crâne, qui ne manqua pas d’exploser sous la pression rocheuse. Torako s’était débarrassé de ses adversaires, ils ne purent affronter sa hache immense et le guerrier Xaela était déjà dressé autours du corps de sa victime, l’autre récupéré et livré aux casaques jaunes, inconscient.

Un prisonnier, cela serait très utile pour plus tard. Nhagi se débrouillait bien, et je fus la seule à avoir des difficultés face à mes adversaires. Un répit me fut accordé par Braen qui leva un mur de pierre entre moi et mes opposants, les soins générés par Furan et Perine me firent oubliés la douleur et l’état de mes plaies finirent par être secondaire. En rapport à l’urgence de la situation – Torako, en danger, il était temps d’intervenir. Braen me préparant un véritable tremplin sur le mur de terre, épaulés par les énergies de mes camarades, je tirais mon sabre gorgé d’éther en libérant sa force pour deux grand coup de katana avant de me redresser doucement, laissant les deux Sahuagin s’effondrer en morceaux, pendant que Nhagi achevait le dernier à grand coup de griffes d’aciers dans la gorge.

C’était fait, ils ne purent pas survivre à notre attaque synchronisée, et tout le monde était déjà en sécurité, la jeune fille comprise. Une manœuvre habile servant d’exercice précisément pour nos futurs combats. Prenant le temps de parler aux casaques en apprenant l’affluence d’un puissant Sahuagin nommé Submergeous, nous étions conscient que cette affaire n’en resterait pas là. Mais il nous restait notre véritable mission à accomplir. Achevant notre voyage après quelques dizaines minutes de marches, les portes furent visibles, deux casaques jaunes nous saluant au passage en venant à la rescousse rapidement des blessés revenant de l'engagement contre les hommes-bêtes. Nous étions enfin arrivés à destination, le Mandat pouvait commencer, alors que tant de choses avaient déjà été faites.

Une ville calme, que représente le Martinet. Épuisés par un voyage riche en péripétie et épuisant physiquement, tous se mirent à partir ici et là pour en savoir plus sur la raison pour laquelle la scène était délaissée. Torako passa du temps avec l’aubergiste, découvrant que cela durait depuis environs une dizaine d’année sans vraiment que quiconque sache pourquoi, prenant le temps de boire une bière dans un lieu amical, apprenant qu’ici ceux voulant créer de l’animation étaient vite remis à leurs places. Furan elle en su tout autant, bien qu’il y avait plus une mauvaise histoire de quelqu’un ou quelque chose empêchant cet aspect, les locaux semblaient presque convaincu qu’il s’agissait d’une malédiction, quelque chose de plus obscure encore, mais cela ressemblait à des superstition de village.



Ce qui amena vraiment à du changement, maintenant qu’ils découvrirent ce qu’il se passait depuis longtemps ici, fut quand Perine trouva une piste. Braen avait discuter avec Foroi, le père du jeune Milpain. Découvrant que celui ci était fermement opposé à ce que des aventuriers s’en mêlent et qu’il se débrouillait bien, c’était le maître de scène qui avait envoyé la convocation à la Guilde des Aventuriers. Ce n’était pas la première fois, et les jeunes aventuriers avaient vite rebroussés chemins en disant qu’ils ne découvriront rien. Il y avait une mauvaise histoire là dedans, et les doutes sur le Père autant que sur la disparition du Majordome dont Perine suivi la piste jusqu’à la scène, ne purent que confirmer que le problème ne venait peut-être ni de brigand, ni de fantôme.

Braen en usant sa perception terrestre, découvrit trois personnes sous terre, et une sur scène. Furan et Nhagi partirent vers le sous-sol pour encercler les présents, y voyant deux hommes simples et l’enfant aux yeux bandés, qui semblait être vraiment bien traités, de la bonne nourriture et un entretiens aimable. Il n’avait pas l’air si captif que ça, même si les deux personnes ne lui répondaient jamais vraiment pour ne pas faire entendre leurs voix. En haut, Perine était montée sur scène devant les rideaux baissés, et débutait un spectacle soutenu par Braen qui attira les foules autours de lui, se mettant à applaudir quand la magie faisait effet, dans une sorte de candeur revenant. Tout les spectacles depuis une dizaine d’année étant interrompu, ils étaient plus qu’heureux de pouvoir enfin en voir un. Des rires, des exclamations, soutenu par le Roegadyn attentif. Torako fini par me rejoindre, et sous demande de Braen, nous sommes allés voir qui était derrière le rideau pour y retrouver Foroi et son Majordome. Avec tout la fête provoquée par Perine, il devenait inutile pour lui de tenir son fils au sous-sol, et quand nous sommes entrés, il se mit à parler agressivement à Torako.

Il lui expliqua, rapière à la main, qu’il faisait cela pour que personne ne soit aussi détruit que lui quand quelqu’un paya tout le monde dans le village pour moquer ses prestations. Il n’était pas arrogant, il était vraiment très doué, ce qu’il nous fit voir plus tard, mais dans l’instant il voulait juste nous voir partir, pour préservé son fils du monde de la moquerie et de la dépression. C’est là que les autres sont intervenu. Furan aidant Braen à préparer un sort, soulevant un des oncles du jeune homme pour le faire passer dans la scène dans un grand bruit de bois en même temps que les rideaux étaient levés. Garrick était inconscient au sol, le crâne soigné par Perine pendant qu’elle annonçait l’arrivé de « quelqu’un apparaissant » derrière le rideau. Pour y voir peut-être avoir autant de surprise, Foroi se tenant face à nous. Il regarda la fouille, hébété et sonné, un vieillard criant qu’il était temps qu’il revienne sur scène. Mais ce fut Braen qui décida de soulevé la foule pour lui faire une ovation en l’applaudissant.

Son air s’adoucit, et pour ne pas créer de chaos, il joua avec Torako une fausse scène de combat jusqu’à l’abattre. L’enfant avait été sorti de là par Nhagi, avant de filer rapidement vers le Piano sur scène. Nous nous retrouvions en bas ensemble, dans la foule, pendant que Firio préparait sa sortie en agitant un peu les bras, demandant une ovation surtout pour son enfant qui se mit à joué. La pierre de l’élémentaire fut ouverte à ce moment, et ce n’est pas simplement une musique simple qui fut jouée, ce fut un émerveillement. Sous les injonctions de Braen, les applaudissement cessèrent, et il joua. Il joua, à en faire pleurer les plus émotifs, en concluant notre mandat de la plus belle façons qui soit.

Firio nous fit ses franches excuses, avouant avoir voulu que personne ne soit blessé comme il fut, mais oubliant qu’il devait soutenir les créatifs, non pas leur interdire scène ici pour ne pas finir comme lui. L’intrigue alors qu’il offrit un violon au groupe, était qu’il déclara que le coupable était un certains Baltimer Lacroix. Dont les nouvelles ont disparue depuis quelques années maintenant. Si nous rentrions chez nous en ayant accomplit notre tâche, il restait au moins plusieurs questions maintenant – Submergeous serait-il une menace pour nous un jour, et qui est vraiment ce Baltimer Lacroix ? Telle est l’aventure ! Agir, pour avoir d’autres raisons d’agir plus tard ! »

- Uryuki no Chijiyu.

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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 22 févr. 2019, 15:02

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang B – « Le faux-rêve de la Piraterie. »
Troisième entrée. - Dans les terres de la Noscea.



« Si notre mission ne devait pas être aussi compliquée, elle prit rapidement des tournures dépassant la simplicité qui devait nous attendre pour accomplir cette tâche. Ce qui devait être donc de base une mission relativement tranquille en essayant de remettre des jeunes gens sur le droit chemin avant qu’ils ne se lancent sur les voies sombres de la piraterie, dégénéra en nécessité de sauvé dans l’urgence plusieurs personnes. Choissisans, ce qui devait être un mandat simple, nous sommes parti vers un petit village portuaire dans le nord d’Estivale, s’occupant de quelques quais pour notamment la pêche et le commerce.

Torako, Perine, Braen et Nhagi étaient présents bien entendu comme à notre habitude désormais, mais il y avait aussi la présence d’une de mes sœurs nous ayant retrouver dans la journée au verger pour discuter ensemble et prendre des nouvelles. Rapidement, Uryuki no Kikai fut des nôtres et cela pour potentiellement longtemps, en ce groupe que nous avons décidé de surnommer l’Egide de Laent, ce mot signifiant la terre dans le dialecte Roegadyn, ayant donc un sens particulier autant que pour notre volonté : Protéger et agir. Le long du trajet, nous ne nous sommes arrêtés que deux fois sur la route sous quelques airs agréables, alors qu’un Puk décida de me voler mon chapeau. La réaction en retour fut quelque peu violence, un mur de pierre s’élevant pendant que le Puk fut tué par Kikai d’un tir de son arme à feu.

Torako avait à peine eu le temps de récupérer mon chapeau qu’un, puis deux, puis beaucoup trop de Puk surgirent des flots en voyant cette scène avec énervement. La ruée pour fuir tout les lézard voletant fut plutôt amusante, même si il ne fallait absolument pas être rattrapés, jusqu’à pouvoir enfin souffler après une quinzaine de minutes de courses effrénée. Abandonnant derrière nous dans les flots grâce à l’aide de la force de Braen et de sa maîtrise de la terre, un flot erratique de petite bête, nous avons continuer notre route en riant quelque peu avant d’atteindre quelques temps plus tard un pont traversant un court d’eau.

Les Casaques jaunes discutaient habituellement avec les marchands en les mettant quelque peu en garde, il y avait un véritable air de passage commercial. Une jeune fille nous y aborda en agitant la main vers nous, au milieu des foules de pêcheurs et de voyageurs quotidiens. L’air différents des coutumiers passant, elle avait reconnue aisément des Aventuriers ce qui n’était pas difficile, et nous demandant si nous étions précisément là pour nous occuper des Pirates détournant quelque peu ses amis au village portuaire où nous allons. Pour nous aider, elle voulait piller le contenu d’une caravane occupée par deux Roegadyn, mais pour cela il fallait détourné l’attention de ceux dans les environs. Les pirates étaient passé derrière le cordon, et il était difficile de récupérer ce qu’ils avaient sans qu’ils ne puissent s’enfuir si ils remarquaient que leur cargaison était compromise. Perine, Nhagi et Braen partirent discuter avec les deux pirates, en jouant un peu des coudes de manière plutôt amusante de loin, jusqu’à ce que Perine soit balancée à l’eau sous les éclats de rire des pirates.

Ceux ci n’eurent pas beaucoup le temps de faire plus, car ils furent balancés à l’eau dans une atmosphère de gros dur potache se disputant, laissant les gens environnant rire aussi sans vraiment de mal. Torako s’occupait de discuter avec les casaques jaunes, apprenant que l’influence des Puk était justement due à la présence anormale d’un énorme Peist que nous sommes censés nous même chassés. Mais cette discussion fut suffisante avec l’aide de Perine – Et d’un poisson qui attira beaucoup des petits puk sautillant partout, Kikai fini par crocheté la serrure pour récupérer ce qu’il y avait à l’intérieur : Une sorte d’objet cylindre dans un linge. Partant tout ensemble en aidant les Casaques jaunes à éloigné les petit Puk, avant de nous retrouver plus loin encore. Après cette scène sans réelle violence, j’avais envie de rire aux éclats, et pourtant notre mission venait à peine de commencer.



Nous avons inspectés rapidement ce qui à été acquit sur la route. Sous le linge se trouvait une sorte de canon à main n’ayant aucunes traces de technologies quelconques. Des runes étranges tracés autours du canon, sans que personne ne puisse les comprendre. Dans un cercle, il y avait comme une inscriptions, un dessin de Bombo que Kikai et Braen identifieraient bien plus tard en l’inspectant au village. Celui ci à notre arrivée semblait vraiment plaisant, des mouettes passant dans les cieux en chantant pendant que la vie se poursuivait à l’effort des dockers et aux rires des jeunes. Des enfants passant en courant avec des épées en bois en jouant aux pirates, ce qui était notamment les jeux du coin depuis quelques temps. Les jeunes avaient délaissés les espaces de créativités et d’éducations, là où Braen et Kikai étudiaient le canon entres les parchemins et les tableaux d’études abandonnés.

Torako s’intéressa directement sous la surveillance de Nhagi, aux jeunes insultant les parents reprenant leurs enfants, qui eux même jouaient avec un vieillard muni d’une bouteille de rhum. Il s’adapta à la conscience des enfants pour ne pas être sur-agressifs voir sanglant, mais se mettant dans la peau de l’idole à la verve provocatrice. Humiliant le pirate chétif sous les rires des enfants, il tira son espingole pour se préparer à tirer sur Torako. L’ambiance changea du tout au tout, et il ne fut pas blessé mais mit à terre d’un coup par Torako, Braen et Kikai qui venaient de le rejoindre. L’idée n’était pas spécialement de le mettre en victime pour que les jeunes n’étaient pas à le défendre comme un martyr, mais de répondre correctement sans violence excessive à ses agressions. Ce qui changea quand il appela à l’aide.

Perine et moi avions découvert que les Dockers avaient été remplacés par les membres d’un équipage qui s’occupaient de faire acheminer des caisses lourdes et scellés, se préparant à partir avec en chargeant les dernières caisses. Les pirates arrivaient vers notre groupe, un cinquième prit le temps de vouloir bousculé les deux vieillards avant d’être protégés rapidement par Perine qui fini par le faire passé par dessus la plateforme en tombant dans un cri bizarre que j’ai l’impression d’avoir souvent entendue.

Nous deux foncions vers les quais pour empêcher un problème de se dérouler, pendant que notre quatre camarade s’opposaient aux pirates. Ils ne frappaient pas pour tuer malgré tout, et défendaient les jeunes du mieux possible face aux brigands portant des tatouages sur l’épaule – Deux baleine s’entrecroisant au niveau d’une épée, mais une sorte de symbole totalement inconnu au dessus de la lame. Pendant qu’ils étaient maîtrisés par nos camarades en les laissant inconscient au sol, surveillés et attachés par les volontaires locaux et les jeunes quelque peu agité à l’idée de se débarrassé de véritables menaces, Perine et moi progressions pour essayer de les empêchés d’apporter les dernières caisses vers le navire. Et nous avions bien besoin d’aide.



Ceux usant des mousquets faisaient en sorte de nous tenir à distance, malgré quelques assauts bien senti, aucunes balles ne nous traversèrent grâce à l’attention de Perine, mais ils nous empêchaient de parvenir à nos fins. Je vis Nhagi s’écraser dans une caisse remplie de poisson sur un Miqo’te qu’elle avait poussé du haut de la plateforme au dessus de notre tête, pendant que Kikai s’occupait de se mettre en position de tir après s’être dégagé du filet dans lequel elle avait été enfermée. Le navire se préparait à partir, mais grâce à Perine ceux portant les caisses avaient chuté dans l’huile, avant de prendre feu, sautant dans les eaux rapidement en paniquant.

Plusieurs pirates sortirent du navire pour foncer vers les caisses en agitant les bras, les tireurs furent écrasés par des caisses bousculés par Torako et Kikai en les narguant depuis les plateformes au dessus d’eux. C’était quelque peu chaotique comme scène, mais elle prit un air encore plus flou quand une sorte de sachet étrange fut touché par un rayonnement de magie usée par Perine qui éclata en l’air en produisant une onde sonore en l’air nous envoyant à genou. Cela offrit le temps à Torako de s’écraser beaucoup trop fort sur le ponton du quai devant les brigands qui céda, et s’écroula brusquement. Des débris de bois flottant ici et là, une des caisses sauvées par la magie de Perine pour évité qu’elle ne coule. Mais le plus gros problème était le petit navire venant de quitter les eaux, en se mettant à tirer sur le village en lui même. La panique s’installa par tout et nombreux crièrent d’aller chercher les casaques jaunes les plus proches. Ils n’auraient pas le temps d’arriver avant un saccage, et des morts, pendant que les boulets se fracassèrent contre les cabanes et les plateformes. Torako trempé de la tête aux os essayait avec Nhagi d’attraper ceux qui étaient en danger de mort, en compagnie de Nhagi.

Partout quelques fracas apparurent, mais les pirates eurent bien peu le temps de tirer tout compte fait. Braen avait hissé une barrière de pierre pour protéger les jeunes, pendant que Kikai tirait vers l’embarcation pour empêcher ses tirs d’être envoyés. Tous étaient actif, je restais non loin de Perine pour essayer de la protéger, mais quand elle fit usage de sa magie, un effet entropique fit qu’une lueur gracieuse apparue comme le début d’un sort foudroyant terrible. Tout les canons furent braqués vers elle, et je craignais ne pas avoir suffisamment de force pour arrêtés tout ça avant qu’elle ne s’écrase dessus. Ce fut à cet instant que Braen usa le canon à main. Un rire éclatant se fit entendre et dans un grand bruit sourd, un bombo s’extirpa en étant propulsé dans un rire fou vers le pont du navire, avant d’exploser dans un grand fracas de bois, les tonneaux de poudre éclatant un peu partout sur le navire qui s’effondrait sur lui même petit à petit.

Les survivants de ce fracas sautèrent à l’eau, se mettant à nager vers le nord pour s’enfuir. Et au milieu des quelques feux dans le village, les civils n’ayant pas encore fuit se retournèrent pour regarder le spectacle du navire coulant dans les flots, dans des acclamations et des rires, des applaudissements raisonnant. Les pirates de Migwel furent chassés d’ici, sous des chants et des insultes pendant que les Casaques jaunes arrivèrent, aidant Braen à remettre de l’ordre, soigner les blessés, et restaurer un peu les lieux. Le mystère restant alors, - Qu’est-ce qu’il y avait dans ses fameuses caisses qu’ils convoitaient ? Là serait la suite de cette histoire pour mettre la main sur ce gredin. »

- Uryuki no Chijiyu.

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Akayane
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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 24 févr. 2019, 20:53

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang A – « Pas de sacrifice pour la poiscaille. »
Quatrième entrée. - Dans les terres de la Noscea.



« S’aventurant dans la complexité des problèmes rencontrés le long de nos voyages. Nous découvrons peu à peu les envers du décors de ce que nous subissons en agissant dans les environs. Cette tâche découle directement des Sahuagins massacrés lors de notre départ pour le Martinet, apprenant qu’ils oeuvraient pour un certains Submergeus, et qu’ils restaient particulièrement dangereux pour les environs. Plusieurs personnes ont été enlevés pour préparer leurs tentatives de faire apparaître leur primordial, et voilà qu’il s’agissait de personnes à sauvés, bien que nous ignorions alors à quel point la mission prendrait une tournure difficile pour les sortir de là.

Et notre voyage hors d’Estival débuta par la retrouvaille avec Chinatsu, une des jumelles de notre sororité avec Kikai, qui venait de nous retrouver là-bas. S’équipant rapidement, elle, Kikai, Torako et Braen, ainsi que la fabuleuse Perine et Nhagi, formaient le groupe de notre jeune Egide de Laent pour aller récupérer les disparus. Fort heureusement, ce n’était pas une nuit pluvieuse, uniquement quelques nuages errants et le vent froid glissant sur nos tenues en fin d’Hiver menant lentement vers un doux printemps Noscéen. Nous avons arpenter le territoire en redécouvrant le calme local des habitants et des environnements d’Estival où nous sommes installés. Une jeune fille tournoyant entre les jambes en agitant une épée de bois et déclarant qu’elle voulait aussi venir affronter tout les « méchants » qui se dresseraient sur notre route. Mais ce n’était clairement pas la mission pour une enfant. Et nous avons fini par trouver un moyen de la laisser retourner à ses parents – Ce qui se passa comme souvent avec un jet de poisson de Perine.

Traversant la contrée jusqu’aux territoires occidentaux de la Noscea. La première chose que nous avons vu en parvenant aux abords de la Volée, au nord du Martinet, fut un petit sanctuaire à l’effigie d’Oschon. Braen voulu y faire une halte pour s’inspirer de ce lieu de force et de piété, mais ce ne serait pas aussi agréable. Celui ci était quelque peu abandonné, les offrandes pillées, et si Chinatsu s’extirpa rapidement du danger guettant comme un monstre marin attendant au fond d’un lac, Braen était dans son emprise. Le lieu était souillé, la stèle de pierre pleine de sang que Kikai découvrit, et il fut prit comme choix de détruire ce sanctuaire rapidement avant que quiconque ne soit subjugué ou simplement dévoré par la folie encré par la force de cet endroit.

La foudre convoqué par les forces de Perine brisa la pierre s’effondrant au milieu des flots intérieur, les têtes de trois personnes glissant au sol avant d’êtres écrasés par les pierres effondrés de la maîtrise de Braen. La poussière s’éleva doucement, sous des quintes de toux, en nous laissant face à de la fumée et des pierres brisées. Tous étaient au moins conscient que notre affaire serait plus compliquée que prévue.



Poursuivant notre route, inquiets d’avoir déjà vu disparaître les otages annoncés par la Guilde des Aventuriers, il fallait toute fois s’assurer que personne d’autre n’était en danger tout en vengeant les victimes de ses viles hommes-bêtes. Marchant à travers la Volée, nous sommes tombés premièrement sur un sanctuaire de Thaliak où plusieurs pélerins attendaient. Ceux ci étaient accompagnés par deux Aventuriers discutant entres eux tranquillement, un Hyurgoth et un Lalafell volontaire qui nous saluèrent de leurs façons en laissant aux pélerins des mauvais regard surtout envers les habitudes plus irrévérencieuses de Kikai. Discutant avec, il fut au moins vérifié que le sanctuaire était toujours correct, mais de nombreuses pistes ne furent pas suivie – Nous n’avons pas spécialement fait attention aux traces d’eaux des Sahuagins ou aux menottes de corail avec lesquelles jouait le Hyurgoth, ce qui nous aurait peut-être empêché de tomber dans une embuscade dangereuse plus tard.

La discussion avec le Pelerin évoqua la disparition de six des leurs censés les attendre ici pour partir vers le sanctuaire d’Oschon et celui de Llymlaen sur lesquels ils veillent. Ils paniquèrent totalement devant le manque de tact de Braen et Torako les laissant pâle et tétanisé à l’idée du destin de ceux qui ont disparut. Laissant les deux aventuriers les ramenés vers Port-aux-ales après une situation quelque peu gênante. Nous avons suivi strictement la route confiée par le Pélerin vers le sanctuaire de déesse des vents et des mers. Là était aussi une erreur, car c’était précisément ce qu’attendaient les hommes-bêtes : Avancer sur la route prédestinée par les pélerins.

Arrivant jusqu’au sanctuaire, Braen fit au moins dispersés la plus part des nôtres au lieu d’arriver de face, et seuls lui, Chinatsu et moi sommes tombés droit dans le piège que nous n’avons pas identifier. Des chaînes de coraux s’extirpant du sol en nous attrapant les bras et les jambes. Pendant que de nombreux Sahuagins jaillissaient face à nos camarades en clair sous-nombre. Le Chaman s’extirpant dédiant nos sacrifices au nom de son Dieu primordial et de son maître, Submergeous. Les flots étranges tournoyant autours de la statue à l’effigie de Llymlaen se mirent à tournoyer de plus en plus vite, prenant un aspect vaguement serpentin. Pourtant les combats s’entamèrent, Torako me libérant de mes chaînes pour que mon katana se mette à trancher, et plusieurs actions furent magnifique en coopération pour les affrontés efficacement. Nhagi fit preuve de bravoure en abattant ses opposants, et malgré les blessures s’accumulant pour Torako ou encore Kikai, rapidement la tournure prit un air moins lugubre pour nous, et la destruction de la statue souillée fut libératrice. Mais le Chaman ne voyait pas les choses ainsi.

Les flots furent extirpés de la statue en se mettant à tournoyer dans les cieux avec la vague impression d’être serpent d’eau effrayant, qui au moins une fois fut utilisé pour créer une déferlante aqueuse ayant emporté Nhagi et Kikai au loin. Braen avait changé la tournure de la fin du combat en se libérant lui et Chinatsu, sa maîtrise de la terre ayant fait tremblé brusquement le sol, dans un grand bruit puissant déstabilisant la plus part de nos adversaires. La mort du Chaman ne fut pas libératrice, la tête des trois pélerins étaient au sol non loin du sanctuaire dévasté, emportés par les eaux, et lui qui fut massacré par Braen et Torako, fit l’annonce que le serpent d’eau irait abattre sa colère sur ceux qui ont été capturés. Dans les cieux, celui ci était déjà sur le départ malgré l’intervention de la foudre de Perine l’ayant étourdit suffisamment pour attraper notre retard en vitesse. Si il y parvenait. Tous mourraient.



Nous nous sommes rués en suivant le Sahuagin survivant qui était en déroute la plus totale, le serpent des eaux dans les airs filant relativement rapidement, mais les moyens usés pour l’empêcher de nous distancés nous laissa le temps de parvenir à destination avant qu’il ne puisse meurtrir ceux que nous sommes venu sauvés. Ils étaient sur la route, toujours dans l’espoir de parvenir en territoire Sahuagin malgré les barrages des casaques jaunes leur empêchant tout accès. Une grande cage de corail remplie de la dizaine de personnes drogués par je ne sais quel produit pour qu’ils se taisent et restent inactif dans la cage. Les deux gardes attendaient ceux embusqués avec le grand crabe tirant la cage pour la faire bouger. Celui en fuite se mit à hurler en agitant les bras, et un étrange personnage se mit directement à partir en nous voyant arriver.

La poursuite de Braen ne donna rien de concluant, blessé pendant la course, mais il aurait sûrement de précieuse information à nous partager une fois la pression retombée. Pendant que Braen se remettait de cette épreuve, les Sahuagins furent vaincu rapidement malgré une blessure à mon épaule qui empêcherait correctement la tenue de mon sabre pour qu’il n’arrive rien à ma jeune sœur, Chinatsu, qui nous donnait le temps de sauver les personnes drogués dans les coraux de la cage. Les Sahuagins ne restèrent pas longtemps en vie, l’un explose littéralement en envoyant Perine et une Kikai hilare s’écraser plus loin sous un effet quelque peu inattendu de leurs assauts combinés, pendant que Toruko avançait en écrasant brutalement son adversaire. La cage ne resta pas longtemps en place, brisée aisément par des effets magiques en y combinant la force brute. Chinatsu et Braen donnaient ce qu’ils pouvaient pour empêcher le serpent d’eau de s’écraser avec des difficultés immenses.

Ils faillirent avoir de gros problèmes, quand celui ci se débattait en se préparant à leur rendre de très mauvais effets à mesures de leurs efforts. Après la mort du crabe porteur, ayant mit K-O Nhagi et pratiquement moi même, les prisonniers furent mit à l’abri, ou du moins étaient t-il déjà installés le plus loin possible de là où le serpent fini par s’écraser avec fureur pour essayer de happé le peu restant, tout le monde s’éloignant à mesure de nos efforts pour les faire fuir. Plus de peur que de mal, nous nous retrouvions avec nos camarades épuisés, tous réunis non loin des prisonniers soutenu par Chinatsu et Braen. Des blessures devaient être traités, et de repos pour ceux qui ont subit tout ça. Pour Submergeous, nous espérons que c’est une défaite qui éloigne ses projets et ses triomphes. Mais il reste plusieurs questions, comme : Qui était ce mystérieux personnage ayant pu s’enfuir ? »

- Uryuki no Chijiyu

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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 27 févr. 2019, 15:26

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

Mandat de rang B – « Bas-les masques ! »
Cinquième entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Le début de ce qui semble être notre premier voyage sur une plus longue durée. Nous sommes parti à la recherche des Masques volés pour une grande récompense. Ce qui se devait être un mandat de type « C » risquait d’être bien plus intriguant au vue d’une énorme prime versée pour envoyer le plus d’aventuriers possibles et le plus rapidement. Ainsi, nous voilà sur le départ pour rejoindre notre destination après un repos bien mérité de deux jours depuis l’affaire rude des Sahuagins. Plusieurs jours de voyages étaient potentiellement attendu, en direction des Ruines de Nym où l’enquête de Braen sur les masques finissait. Notre groupe de départ quand nous sommes arrivés au camp du Lac d’Airain pour prendre un navire très atypique.

Nhagi Kantor, Torako, La hydro-prestidigitarice Perine et Kikai étaient là avec Braen nous guidant avec les Qiqirn qui nous mènerait sur une barque. Celle ci ne ressemblait à rien de plus qu’un grand plateau sur les flots mais l’efficacité de ceux ayant l’habitude de la manié pour mena vers bon port, dans la Noscea Extérieur, en transportant toutes nos affaires, bien qu’il me semble avoir été la seule à pensé à un sac de voyage entier. On ne peut pas dire que la route fut bien compliquée, une certaine tranquillité se dégageait de notre voyage, mais l’atmosphère devint véritablement grandiose une fois arrivés aux contrées proches des ruines. Les ossements antiques de dragons, les terres sous la lumière, puis les pierres flottantes dans les cieux sous le poids des énormes cristaux, tout avait l’air magique, sublime et étincelant.

Il y avait beaucoup de poésie autours de nous, et nous en avons profiter pour nous reposer du voyage avant de nous intéresser à l’effet très particulier : La tempête locale avait l’air de ne pas avoir lieu d’être ici, comme si la magie créait un œil du cyclone refusant les intempéries graves. Il pouvait y avoir toutes sortes de problèmes le long de la route, et même si nous n’avons pas été finalement en danger, il fallait tout de même être prudent. Finaen Ambrerune et Selaine Pierriquet, des amis retrouvés il y à peu, avaient déjà prit de l’avance et discutaient dans les ruines jusqu’à nous retrouver. Nous faisions bien attention à ne pas recevoir l’ire des Golems locaux, mais la route suivant leurs traces menaient droit à eux, c’est une certitude. Notre choix était donc de passer par le recoin où il y avait des traces de passages de Coeurl, ou passer là où nous aurons à nous méfier des Golems.

Finalement, la route fut toute tracée dans le recoin des Coeurl, et nos préparatifs empêchèrent toutes attaques. Agissant avec repos, présence, mais sans être envahissant, il fallait passer un territoire en montrant notre respect et notre ténacité. Montrer que vous êtes faible, ils vous chasseront. Montrer que vous êtes une menace, ils se défendront. Tel et la loi de ses majestueuses bêtes. Et une fois cette route achevée, il était temps de poursuivre notre voyage jusqu’à atteindre les intéressés – Les coupables du vol des masques.



Plusieurs demeures étaient installés ici, sûrement d’anciens logis de ceux travaillant potentiellement ici. Nous avons suivi les pistes en constatant qu’ils allaient et venaient jusqu’ici et un autre lieu, et n’avaient pas tant de problèmes avec les Golems que ça, puisqu’ils pouvaient visiblement les abattre aisément. Est-ce de terrible adversaire ? Nous avons eu l’occasion de découvrir ce fait en les voyant vivre paisiblement dans ce recoin tout en s’occupant de leurs vies. Perine devait se montrer avenante et les faire tombés dans le panneau, mais ça ne fonctionna pas face à qui ne voulait vraiment pas voir quiconque leur tomber dessus ici. Ainsi, la discussion fini rapidement en dispute, mais ceux à l’extérieur n’avaient strictement aucunes chances contre des combattants comme Torako, Perine, et les autres.

Pour ma part, j’entrais dans la demeure avec Kikai là où deux personnes se trouvaient. Voulant faire diversions en passant par la fenêtre, ce dont je ne m’attendais pas c’est que ma sœur balance un fumigène à l’intérieur se mettant à envahir tout l’espace. La toux voulait me dévorer la gorge, mes poumons embarrassés et mes yeux piquaient. Fermant ceux ci rapidement en me concentrant sur une respiration lente pour ne pas être étouffée par les miasmes environnants, même si ma première grande bouffée d’air avait été quelque peu contre-productive, un combat de quelques instants en aveugle fini par mettre les hommes au sol, le dernier ayant prit une balle dans la jambe se mettait à hurler comme un forcené tant la douleur était intense.

Ramenant tout les brigands et les soignant rapidement une fois attachés pour ne pas apporter un tas de cadavre froid à Limsa alors que le mieux était de les avoir en vie. Ils n’avaient vraiment pas été très difficile à affronter, des personnes plutôt faible et clairement pas préparer à des affrontements, même avec la pioche enchantée, c’était un miracle qu’ils aient pu s’en servir sur les golems avant d’être massacrés. Nous avons récupérer leurs affaires dans la cabane tout en discutant avec ceux ci. Les primes promises étaient parfaitement exagérées, si bien que je m’interrogeais à l’idée qu’ils n’étaient simplement pas complètement stupide pour avoir cru que c’était une bonne idée et qu’ils ne seraient pas tués directement après la fin de leurs missions. Ayant récupéré la pioche aux mains des brigands, un artefact usés pour se débarrasser des golems de pierre locaux ainsi que toutes les informations au sujet de l’affaire.

Visiblement, leur chef, un Hyurois en tenue de repos très simple – Bon. Il était en culotte. Armé de sa brosse, fini par se réveillé pour nous dire qu’il était au service d’un Roegadyn étrange au surnom de « S » à qui ils devaient les masques. Ceux ci étaient installés dans un recoin caché des ruines, et nous nous retrouvions à devoir nous y rendre pour ramenés ce que nous sommes venu chercher, ainsi que les prisonniers récupérés sur le chemin avec la promesse qu’ils ne seraient pas exécutés par les autorités de Maelstrom, en espérant qu’ils acceptent d’entendre que les malandrins furent finalement utile pour répondre de leur crime. Prenant le temps d’identifier les lieux une dernière fois avant de nous mettre en route, rebroussant chemin sans qu’une menace ne survienne. Finalement, cette tâche allait peut-être être encore plus simple que prévue, plutôt qu’une débauche de possibilités atroces que des ruines ancienne ont toujours. Et la vue fut une des plus belles récompenses.



Le retour ne fut pas particulièrement âpre, si ce n’est devoir déplacé tout le monde de différentes façons. Les brigands étaient six, et nous les traînons entres les épaules des uns ou à bout de bras pour les autres. Ceux ci montraient bien qu’ils étaient soumis à nos demandes pour ne pas être tué en cas d’insubordination. Ce n’était pas mon attention bien entendu, mais si cela peut nous rendre la tâche plus facile, je n’irais pas les rassurés ou les démentir. Arrivant de nouveau dans les ruines, avec ses cristaux flottant sublimes comme la légende évoque que jadis Nym volait dans les cieux, le long de la route nous menait vers l’intérieur où nous craignions la présence des golems.

Et ce Coeurl que Nhagi avait déjà remarqué était encore là, installé tranquillement comme si il dormait, mais ce qui ne semblait ni anormale ni gênait pour les brigands nous demandant de poursuivre pour atteindre la cachette où nous étions censés les menés. Une menace de moins, sous le regard de la bête qui trahissait force et sagesse interne. J’ai toujours eu beaucoup de respect pour les Coeurl. Une fois sur place, il y avait déjà une silhouette massive de Roegadyn inspectant les environs avec un sentiment de colère agacée. Ce fameux « S » qui se tourna vers le chef des brigands dont nous aurions pu au minimum penser à lui rendre un habit que de le laisser en sous-vêtement - honte soit à moi -de lui offrir les masques.

Refusant clairement, il n’était pas prompt à engagé la conversation quand il propulsa des pierres massives vers nous, tous protégeant leurs camarades en fonçant vers lui pour entamé un combat long et compliqué – Il se déplaçait comme le vent, comme porté par des téléportations le passant d’un lieu à l’autre sans réelles difficultés. Nombreuses de nos attaques furent dès lors particulièrement inutile jusqu’à ce que Perine parvienne à glisser sur lui de l’Huile de crapaud, le laissant s’effondrer sur Braen plus loin pendant que Finaen, Nhagi et Torako. Après avoir été blessée, j’essayais donc de comprendre clairement ce qui pouvait bien le rendre intouchable – De la magitech ? Non. Des marques au sol ? Introuvable. Des Mudras de Shinobi ? Je n’en avais pas l’impression. Tout était mystère et incompréhension, mais il fut rattrapé par la limite de son art quand plusieurs fois ses cris évoquèrent le début de son échec. Selaine avait fini par sortir les masques d’où ils étaient cachés, avant que le pilier de pierre derrière elle ne commence à s’effondrer. Malgré la douleur, un Gyoten nous mit toutes deux en sécurité en un pas rapide, et seul le Roegadyn s’écrasa contre le sac de masque sous le pilier de pierre. Je m’attendais à ce qu’il disparaisse avec, avortant tout l’essentiel de notre mission.

Ce ne fut pas le cas, il se releva comme porter sur un coussin d’air, un masque sur le visage reluisant d’un or merveilleux. Kikai tira dessus plusieurs fois, une de ses munitions ricochant en frappant contre Selaine à mes côtés. Avant que le combat ne se poursuive d’une quelconque façons, il disparut d’un coup dans un flou trouble. Ne laissant de sa présence que son souvenir, et le sac rempli des sept masques. Traînant les brigands vers leur ancienne demeure, nous escomptions bien y trouver un repos bien mérité. Finalement, cette mission allait être plus rapide que prévu, et lentement nous prenions nos aises en préparant notre départ vers Limsa quand le jour sera levé, et quand nos corps seront débarrassés de la fatigue et des blessures. »

- Uryuki no Chijiyu.

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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 28 févr. 2019, 05:34

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang B – « Bas-les masques ! »
Sixième entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Vous réveiller dans un lieu qui n’est absolument pas celui que vous avez laisser derrière vous est déjà une étape difficile. On essaie de se souvenir de ce qui nous à mené ici, en vain, et cela tout en identifiant les environs et les potentiels menaces avant de généralement rechuter dans son lit en réalisant que nous avons juste été ramenés dans notre chambre. C’est un des cas les plus communs. Mais il y à bien entendu les moment où c’est tout autre. Nous ne nous sommes pas éveillés dans un cachot lugubre enchaînés par des chaînes de fer rouillée, mais plutôt dans la poussière et l’incompréhension.

Les environs étaient étrange, comme fait de noirceur brisé par une ligne d’horizon blanche coupant la terre et le ciel depuis notre hauteur. Nous étions dans les airs, sur une couche de pierre au dessus d’une lointaine mer invisible dans l’obscurité. Tout le monde était présent – Finaen, Selaine, Torako, Nhagi, Perine, Braen, Kikai et moi même. Observant dans toutes les directions en n’y voyant que de la désolation, ce n’était pas le seul et unique problème : Nous étions pour certains désarmés, et en tenue de repos. Plusieurs ayant pu prendre le temps de se vêtir plus légèrement, ce qui fut une erreur malgré les tours de gardes, finissant en tenue plus légère. - Surtout pour Perine, je dois admettre que mes vêtements de repos sont larges, mais je digresse. Le plus gros problème était la présence des masques.

Nous portions tous des masques sur le visage, ceux trouvé par Selaine et convoités par notre ennemi, Skoenmhol, le Roegadyn que nous avons affrontés dans la Ruine de Nym. Désireux de trouver un moyen de partir, nous avons commencer à inspecter les environs alors que nos sens étaient vraiment trouble. Nos idées défilants bien plus vite qu’à la normale, ce qui devait être due à la notion du temps qui n’était pas identique entre ce « monde » et notre bien-aimée Hydaelyn. C’est ce qui nous faisait agir plus vite, du moins pour ma part, fonçant régulièrement d’un point à un autre pour comprendre ce qu’il se passait. Arrivant jusqu’à la source d’un terrible bruit ayant frappé la pierre, un pont avait jaillit en laissant un accès vers le prochain passage où certains se sont cassés la figure à cause de cet état second incompréhensible, se trouvait l’autre îlot, un navire encastré dedans plus loin suggérant qu’un jour il soit arrivé par un procédé étrange et s’écrasa lourdement dans la pierre, encastré dedans.

Kikai et Torako en firent l’inspection avec Nhagi, pendant que j’observais le pilier que j’avais esquivé en transportant Selaine hier même. Il était là, avec des traces de sang représentant le passage de Skoenmhol s’étant traîné au sol quand il fut blessé. Poursuivant cette trace lorsque le nouveau pont de pierre jaillit à notre venue, pour descendre rapidement vers une grande plateforme en évitant des chutes, sous les cris lointains d’une baleine. Arrivant finalement devant une grande grotte où nous comprendrons enfin la nature de cette histoire.



Celle ci était plutôt vaste, une cavité rocheuse où se trouvait le rayonnement d’une lumière grandiose plus loin. Trois Roegadyn discutaient plus loin tranquillement pendant que nous même, conversion pour savoir ce qui pouvait être désormais fait. Un autel de pierre s’étendait au centre ainsi qu’un cabanon rempli d’outillage. Et surtout, une grande bâtisse que les autres découvriraient être un Temple en honneur de la pseudo-divinité que les locaux pensent servir avec intérêt. Difficile de savoir réellement même maintenant si ils ont une intention réelle, mais l’existence des masques prouve au moins qu’il y à une force derrière tout ça.

Reste à savoir quoi, et peut-être que Skoenmhol nous apporteras la réponse après tout. Nhagi, Kikai et Torako était le groupe d’explorateur ayant trouvé de nombreuses choses, bien que le cabanon révélait peu de présence hostile, les outillages démontraient bien l’interêt de créer quelque chose sous cette surface de pierre étrange, ayant pu installé l’autel avec quelques runes indéchiffrables incompréhensibles sur la pierre blanche que Selaine et Finaen prirent le temps d’identifier clairement et d’en faire des croquis. Il n’y avait pas eu grand-chose de plus à découvrir, Finaen et Selaine nous ont rejoint avec Braen et Perine pendant que nous voulions accostés les Roegadyn qui étaient déjà parti vers la lumière, disparaissant dans les tunnels, alors que nous inspections leurs affaires.

Ils parlaient d’une fausse-divinitée du nom de Lubdryss, signifiant « Poison géant » en langue Roegadyn, mais rien n’évoquait spécialement l’utilité de celle ci ni son histoire, ainsi il restait incompréhensible pour nous cette vénération et malheureusement jusqu’à la fin de cette quête, nous n’en saurons rien de plus. Ayant récupéré les dites notes, et réinscrit comme possible les runes de l’autel, des cris identiques à en faire trembler la terre se répercutèrent de nouveau et notre réaction n’à pas été de sortir sur le coup, mais bien de vouloir empêcher quelque chose de se dérouler de grave. Fonçant en direction de la lumière en espérant enrailler les plans de quelqu’un, nous étions loin d’être conscient de ce qui pouvait nous attendre dans le tunnel, mais peut-être était-ce la solution pour trouver un moyen de nous échapper. Si à ce moment là, nous pouvions savoir l’ironie de notre pensée, j’en rirais encore maintenant.

Ce fut plus ou moins à cet instant que Torako, Nhagi et Kikai avaient fini de découvrir ce qu’il y avait à découvrir dans le Temple de Lubdryss. C’est en posant leurs mains tous ensembles qu’une lumière les happa et qu’ils se retrouvèrent au grande étonnement des brigands mort de soif – pas physiquement mort, ils avaient juste très soif, vu que la nuit tombait lentement depuis le temps de notre disparition. Récupérant leurs affaires, et les masques tombés à leurs pieds, ils purent ainsi se permettre de nous rejoindre bien mieux armés, dès qu’ils remirent les masques. Mais nous avions cela dit nos propres problèmes à cet instant présent.



Apparaissant après le passage dans la lumière, dans une cabane au milieu d’un recoin isolé de la Noscea, quittant enfin ce lieu infâme. Les masques tombés à nos pieds. Je m’inquiétais sur l’instant pour Torako, mais la confiance fit vite dissipé quelconques doutes pour me concentrer sur notre situation présente. Nos esprits reprenaient un fil de pensée plus cohérent, moins rapide et fulgurant, alors que l’éclat de quelques conversations nous parvenaient de l’intérieur. Visiblement, une Roegadyn discutaient avec un homme sous-entendu comme étant un « Grand-prêtre » de Lubdryss dénonçant des hérétiques de possédés les masques. Leur maître était visiblement en voyage pour affaire, ce qui ne pouvait suggérer bien de bon, je pensais naturellement qu’il serait sûrement en voyage vers celle qui à fabriqué les marques même si je n’ai absolument aucunes confirmations sur cette possibilité.

Comme la discrétion n’est vraiment pas notre domaine, nous sommes arrivés de face pour essayer de discuter et d’engager une parlementation pour comprendre quel est la nature de ce culte, quel en est son enjeux, et les choix. Ce ne fut pas facile d’engagé la discussion avec des fanatiques, et nos réponses furent décevantes. C’était du « avec moi ou contre moi », et ils évoquaient le principe que le « Monde gris » que nous avons découvert, logit de leur divin sacrifié, servirait à dévorer le monde dans lequel nous vivons. Rien d’être aussi gravissime et obscure que les histoires sur les ténèbres, il s’agissait visiblement de la morbide ambition d’une histoire de plan extérieur néfaste. Loin d’être les plus courantes des affaires, celle ci n’avait pas encore prise une tournure si grave qu’une entité du néant aurait pu s’en servir comme logis, il était de notre devoir de faire en sorte que cela précisément ne finisse pas de la même façons.

Consciente que ça ne pouvait plus se régler simplement, je me ruais à l’assaut du grand-prêtre, et ma lame glissa le long de son visage en lui ôtant la vue. Cela pouvait être cruel, mais je frappais pour tuer désormais, sa camarade empêcha son décès et le combat s’entama partout autours de nous. Tous furent vraiment efficace, Finaen et Selaine arrêtant aisément deux des Roegadyn dont les jambes finirent enroulées dans les pierres, et un autre assommé brusquement. Pour ma part, je profitais du jet d’eau de Perine contre celle qui opposa sa dague contre ma lame, avant de lui tailler sérieusement la jambe pour la mettre hors combat. Le Grand-Prêtre se rua vers moi l’instant d’après, pour finir au sol à son tour avec moi sur son dos pour l’empêcher de se mouvoir. Discuter avec lui avait été contre productif à nouveau, et en l’écoutant nous pensions qu’il n’était pas possible de vraiment le changer d’état d’esprit. Soignés et enchaînés, ils furent acheminés votre la cabane des brigands ressourcés pour nous préparer à notre départ pour Limsa.

Cela faisait beaucoup de monde captif désormais, les tours de gardes seraient encore plus sérieux et nous porterons sans onces de doutes nos armures cette fois. Le dernier voyage se prépare, après avoir scellé et mit en sécurité les masques. Le culte de Lubdryss est à nos bottes, prêts à être livrés avec toutes leurs notes sur le Monde gris ainsi que les masques permettant d’y accéder. Véritablement, malgré l’énorme prime proposé pour parvenir à cette quête, je pensais très clairement que nous ne l’obtiendrons pas. Car le danger devenait plus grand qu’une récompense. Mais tout ça, nous le saurons en rentrant à Limsa, à partir de demain. »

- Uryuki no Chijiyu.

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[Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 01 mars 2019, 15:30

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang B – « Bas-les masques ! »
Septième entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Revenir chez nous, c’était une des plus belles motivation de nous réveiller le matin au troisième jours de ce long voyage pour l’accomplissement de ce mandat. Cette fois, pas de problèmes spécifiques, pas de déterminément dans le Monde Gris pour s’y retrouver errant avec un masque sur le visage. Juste un peu de paix. Je me retrouvais lentement éveillée en retrouvant tout le monde prenant soin de leurs affaires, de nos estomacs, avant de préparer notre voyage vers Limsa. Les discussions allèrent de bon train, puisqu’il fallait vraiment s’organiser pour parvenir à préparer notre voyage correctement en se débarrassant efficacement des brigands et des fanatiques attachés.

Le plan était simple : Les laissés au Maelstrom avant d’atteindre la ville, laissé le transfert se faire en rejoignant rapidement la mandataire pour discuter des intentions de Skoenmhol au sujet des masques. De la fin de la matinée, jusqu’à ce que la nuit tombe profondément, nous avons voyager le long de la Noscea pour rejoindre la capitale en marchant tranquillement le long des routes agréable, ayant pu profiter de la présence d’un Marchand avec qui nous avons pu troquer un chariot pour installer notamment les captifs blessés ayant des difficultés à être transportés. Pratique pour les mettre à terre, moins pour les mettre en mouvement. L’ambiance n’était pas vraiment joyeuse et dansante avec des personnes qui fallait livrer à la justice, mais nous avons au moins pour progresser tous ensembles jusqu’à parvenir au campement des Casaques jaunes, confiant ceux que nous avons capturés avant de discuter de la situation quelques instants.

C’était déjà ça, et je me sentais vraiment libre d’un coup de me sentir exempt de la présence de gens à surveiller sans cesse. Une pression disparue mais notre quête n’étant pas finie, il fallait s’intéresser à atteindre celle s’occupant de la conception des masques pour un certains Hyur du nom de Monsieur Vaultier. Traversant la ville en passant les grandes portes par un des recoins moins fréquentés que les autres, nous découvrions l’étendue de Limsa dans son air le plus majestueux et confortable, la ville-navire décorée en honneur de la fête des Demoiselles gagnait en rose et en cerisier, et après quelques jours à voyager dans la nature Noscéenne, il était bon de revoir la grandeur d’une citée.

Usant de quelques enfants pour essayer de détourner l’attention en les faisant jouer de manière un peu brusque et distrayante plus loin de là, Kikai fini même par jouer de séduction avec quelques filles de passage – Ce qui se révélerait plus tard une mauvaise idée comme vous allez le comprendre. Arrivant jusqu’à destination en ayant prit le plus de précaution possible, nous sommes fini par rentrer pour nous installer avec une certaine appréhension en espérant qu’elle n’était pas liée au culte de Lubdryss. Ce qui se révéla finalement être plutôt l’inverse. Néanmoins, tout aurait certainement moins compliqué si il n’y avait pas eu une foule prête à défoncer la porte pour nous attraper.



L’intérieur de l’atelier de la Roegadyn, celle ayant préparé les masques pour une expédition d’art pour ce Monsieur Vaultier, était plein de tableau, de sculpture et autres matériaux d’arts très agréable à l’oeil, tout était fait pour être vraiment beau et mes amis inspectèrent les lieux jusqu’à trouver un tableau représentant un lieu du Monde Gris. Tout y ressemblait, mais il y avait aussi une sorte de château peint dessus, ce que la Roegadyn nous expliqua une fois qu’elle fut rassurée que nous ne faisions pas partie du culte, comme étant la demeure de Ludgdyss. Elle nous raconta alors son histoire.

Un Roegadyn jadis sacrifié par les siens pendant leurs quêtes de passage pour trouver les accès de ce monde extérieur, à force de recherche dans l’éther et autres magies laissant pensée aux usages des Hommes-bêtes dans leurs sacrifices primordiaux. Ils avaient jadis sacrifier bien des baleines pour leurs os usés dans leurs rites, afin de trouver l’accès, et une fois celui ci acquit à l’image du navire écrasé que nous avions découvert, Lubdryss fut sacrifié pour garder un accès vers ce monde étrange où ils pensaient y tirer un nouveau type de pouvoir digne et suffisant pour prendre tout ce qu’ils désiraient. Fanatisme se mêlait à l’ambition, si l’histoire se souvient des attentions de l’ancien souverain d’Ishgard, nous savons dès lors que même ce qui se dit Divin peut-être parmi les plus dangereuses intentions.

La porte frappait, essayant de s’ouvrir de plus en plus fort alors que Nhagi avait réagit rapidement pour bloquer celle ci. Il se passait définitivement quelque chose de problématique, et en ouvrant un passage avec mon sabre pour voir ce qu’il s’y trouvait derrière – après une esquive sur le côté dans la panique en ayant cru qu’ils allaient me tirer à l’arc dans l’oeil. J’aperçus une dizaine de personne habillé de tenues différentes, certains de cultistes de Lubdryss, qui se pressaient autours de l’accès pour essayer de le défoncer. N’ayant plus une seconde à perdre, nous avons scellé rapidement l’accès pour avoir le temps de nous installer devant le tableau du château où devait être enfermé le Roegadyn sacrifié servant d’accès vers ce lieu désolé. Perine ayant eu une obligation ailleurs dès notre arrivée, nous avions le masque qui nous manquait pour faire venir l’artiste avec nous afin qu’elle soit en sécurité.

Enfilant chacun nos masques, c’était un retour en ce monde tortueux et désagréable, mais avec un objectif cette fois précis. Le cri des baleines se faisait entendre, et en approchant d’une sorte de mur de pierre noir, apparue précisément Lubdryss satisfait de découvrir que les masques avaient véritablement servi à faire venir des Aventuriers pour le délivrer, plutôt que des cultistes. Avec la menace de Skoenmhol, il fallait encore du temps avant de pouvoir le faire quitter ce lieu, et à peine eu t-il le temps d’offrir une portion de son pouvoir à Finaen, qui isolé de l’éther en ce lieu, était le plus sensible à perdre de son efficacité. Le guerrier massif apparue au niveau du portail rayonnant encore légèrement comme une déchirure, un accès.

Et il n’était « pas seul. »



Dans les faits, ce n’était pas plusieurs adversaires qui nous apparurent, mais plutôt le reflet de lui même. Puisant dans les pouvoirs étranges de ce monde, il scinda deux images miroir armés toutes deux des mêmes lames pour nous affronter efficacement. Il n’y avait là plus de discussion possible, mais Torako eu une bonne idée – Plus proche nous étions du portail, plus l’éther s’y infiltrait en nous rendant nos forces isolée en ce lieu. Ainsi, les flammes accompagnaient ses coups lourd et puissants, pendant que je m’attaquais à son autre reflet en profitant de l’accès à l’éther pour en nourrir mon sabre. Le véritable Skoenmhol assaillait Nhagi, Finaen et Kikai, ceux ci durent faire usage de tout leurs talents pour le briser en profitant de la force sur la pierre que Finaen avait acquit.

Le combat ne fut pas si long, mais suffisamment intense pour que chaques passes d’armes paraissent bien plus âpre, personne ne laissait à l’autre une chance. Mais Torako fut suffisamment fort pour se débarrasser des images de miroir à mes côtés. Heureusement, nous n’avons pas subis de blessures supplémentaires, accès sur la défense et sur l’entre-aide, c’est un déroulement bien heureux qui succéda à l’intensité de ce combat. N’y laissant de la mémoire de ce cultiste déchaîné, qu’un corps étalé au sol non loin de Kikai et Nhagi. Lentement. Celui qui avait fait puisé son âme dans cette terre, lui fut rendu. Et il ne restera de Skoenmhol que l’image d’un brave ayant tout tenté pour ses convictions, quitte à se battre seul contre bien plus d’aventuriers. Si il n’était pas le plus puissant ou même bien intentionné, il était cependant un adversaire courageux, que l’histoire de ce culte laissera en souvenir qu’une image d’un Roegadyn ambitieux, mais fort.

Rejoignant le château en ruine, vous avons découvert le corps de Lubdryss, comme figé à jamais dans un pilier de pierre noire. Nous avions dès lors le choix, avec tout ce que nous avons récupérer la première fois, soit nous le tuons. Soit nous le sauvons. Et malgré mes craintes au sujet de sa survie dans l’avenir et de ce que cela pourrait entraîner, nous avons tous laisser le choix de lui donner une chance de s’en sortir à nouveau dans le monde auquel il à été arraché pour servir d’accès à ce lieu en déperdition. Libéré, retrouvant son corps d’un air si faible, si chétif. Il n’avait qu’une seule volonté : Se baigner dans les mers qu’il aime tant, se retrouver dans les flots en ressentant les eaux contre sa peau. Nous sommes sorti de ce passage sûrement pour la dernière fois en espérant que ce lieu soit isolé une bonne fois pour toute. Mais Lubdryss disait qu’il était l’un des piliers, et si c’était vrai, plusieurs autres formeraient encore des accès. Et qui sait quels genres d’êtres pourraient vouloir en profiter ? Passant le portail, les masques tombèrent de nos visages en perdant l’éclat des runes liés à cet accès.

Le passage était clos, et dans l’atelier, les brigands et fanatiques étaient tous pieds et poings liés, - Il y avait les personnes que Kikai avait voulu séduire. Comme quoi. Et nous avons du expliqué notre récit au Maelstrom et à Monsieur Vaultier ici présent. Essayant de mettre le côté cette histoire réelle en donnant des simplifications. Tout en espérant que désormais cela en reste une, d’histoire. Nous sommes ainsi rentré de notre premier voyage, éprouvant comme palpitant. En se demandant quels seront les prochaines péripéties qui nous attendent, alors que tant d’affaires se déroulent encore et qui nous verrons apparaître pour essayer de faire en sorte que tout finisse bien. »

- Uryuki no Chijiyu.

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Akayane
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Re: [Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 04 mars 2019, 14:54

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang A – « Odieuse transformation.»
Huitième entrée. - Dans les terres Dravanienne.

« Après le cours repos depuis la fin de notre intriguant voyage dans le Monde gris, les affaires de notre époque finissent par nous rattrapés et en vertu de notre disposition à soutenir l’effort de guerre actuel, ainsi quand un mandat contient la présence potentielle des forces de Garlemald, nous avons été rapidement convoqués. Loin du front au nord de Gyr Abania, c’était dans les terres Dravanienne qu’à eu lieu cette mission, au sud d’Idyllée. Un groupe de chercheur oeuvrant pour l’interêt d’Ishgard enquêtaient pour trouver des moyens de renforcer les armements lourds des Templiers dans la lutte contre les forces impériales assaillant le nord de Gyr Abania. Mais depuis quelques temps, des personnes finirent par disparaître, jusqu’à retrouver le bras sauvagement arraché d’un soldat de Garlemald, et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés convoqués pour en savoir plus sur cette situation.

Notre groupe était constitué de Torako, Nhagi, une Lunaire visiblement ayant déjà combattue avec Torako du nom de Mhihn, Claire Valerone, Finaen, et Kikai. Cela faisait longtemps que nous n’avons pas du prendre une éthérite pour un mouvement de la sorte, nous téléportant d’un coup jusqu’à Idyllée en découvrant les environs formidables et les foules, avant de nous mettre en route comme tant d’autresa venturiers. C’est à la sortie d’une nuit montante des plus calme, sans pluies, que nous avons rencontrer notre commenditaire qui à bondit sur Nhagi en roulant au sol avec. Le vieillard du nom d’Erstinoi était tout agité, en attendant que les aventuriers arrivent, il avait sauté sur plusieurs groupes comme ça avant de nous tomber dessus pour nous raconter tout ce qu’il se passe et tout ce qu’ils font pour trouver de nouvelles découvertes pour les Templiers. C’est ainsi que débuta le voyage sur une route très plate, très agréable pour avancer sur un pavé de pierre sans grandes imperfections.

La nuit tombait de plus en plus, et il n’y à eu pas vraiment de soucis jusqu’ici ci ce n’est peut-être un élémentaire de terre qui s’est accroché à Finaen avant de repartir sous l’aide de la musique de Nhagi. Il y eu le trou dans lequel Claire à marcher, s’enfonçant sous le sol, sous les dires de Erstinoi qui semblait l’avoir fait pour essayer de retrouver la source de ce que la « Sphère » indiquait. Le véritable problème apparu quand un corps se dévoila plus loin. Un homme, un Elezen, gisait au sol et Claire se rua en avant, suivie rapidement de tout le groupe. Il avait été comme mordu par quelque chose de contondant, arraché une partie du visage et du corps entier. Erstinoi vomissait dans son coin pendant que tous inspectaient les environs, les responsables ayant fait disparaître leurs traces pendant que le sang vicié résidait au sol. Pendant un instant d’inspection et d’incompréhension, une bombe s’écrasa au milieu de tous et fit apparaître un voile de fumée.

Plusieurs toussaient brusquement, et certains s’échappèrent en voyant trois chocobo arriver de nulles part, soutenu par la machine quittant les airs lentement vers les cieux. Ils partirent en récupérant le vieillard, mais un ne pu s’échapper à quelques tirs bien ajustés. S’écrasant brusquement au sol – Un soldat impérial en armure lourde. Il se redressait trop tard, avant d’être récupérer par Claire et Torako. Celui ci sous demande de Mhihn lui retira brusquement son casque, l’empêchant in extremis de se suicider pour ne rien nous révélé. Mais son datapad utilisé par Finaen et Kikai revéla leurs interêts scientifiques pour des expériences dans les environs, et des nombreux tests sur une entité qu’ils surveillent. Laissant l’Impérial attaché avec ses équipements retirés pour ne pas qu’il meurt, mais dans un dernière éclat d’arrogance, avant qu’il ne soit assommé, il entendit que tout était prit dans son gantelet. Et plus loin, une grande explosion suggéra que le campement que nous recherchions avait potentiellement un gros problème.



Abandonnant l’Impérial devant le risque que prenait cette situation, nous nous sommes littéralement rués en direction du campement pour découvrir ce qu’il s’y passait. Avançant le plus vite possible, nous sommes finalement arrivés sur place pour trouver un lieu dans les flammes et tant de problèmes à la fois. La machinerie magitech volant partait lentement vers le sud en ayant laissé derrière eux leur forfait, un coffre épais brisé où s’y trouvait visiblement jadis la sphère des chercheurs. Les environs étaient enflammés, la tente de recherche principale brûlait lentement alors que Kikai se jeta à l’intérieur en se condamnant sans sortie pour récupérer les plus des parchemins et livre possible. De manière surprenante et presque amusante si il n’y avait pas eu autant de mort, ce fut au moins un soulagement de voir Kikai sortir dans une sphère d’énergie élémentaire créer par sa machinerie, roulant plus loin, saine et sauve.

Torako avait massacré le Garlemaldais en armure impériale essayant de partir après avoir exécuté un homme tout tremblant, celui ci surveillait la femme agonisante plus loin que Finaen parti rapidement soutenir pour la soigné avant que mort ne s’en suive. Nhagi et lui n’avaient pas pu intervenir à temps, mais ils purent venger l’homme avec la violence de la hache de guerre du Xaela dans un coup d’une grande brutalité. Ce, pendant que Mhihn et Claire s’occupaient de sortir les survivants avant qu’ils ne soient dévorés par les flammes. Tout le monde était très occupés, j’aidais à contenir le feu en usant de l’éther de mon sabre dans une bourrasque glacée, alors que pendant que Nhagi portait la vieille dame, Claire déposa les enfants et Mhihn s’occupa du jeune homme blessé à la jambe en libérant ceux ayant fallit être dévorés par ce feu rageur.

Pour la jeune femme, ce n’était pas aussi joyeux. Elle avait reçu quelque chose de très grave dans le dos, et la contamination la rongeait. Si c’était un possible de la sauver, la question se posait à ce moment là mais tous tentèrent tout de même de lui venir en aide, jusqu’à lui laisser une blessure atroce en soignant ses chairs pour ne pas qu’elle périsse, mais même avec l’usage de la magie, il était certain qu’elle ne s’en tire qu’avec un grave traumatisme à l’avenir. A jamais, son corps sera fatigué par cette meurtrissure, et elle finie par au moins être sauvée de ce qui commençait à la ronger.

Des corps jonchaient le sol, de ceux ne pouvant plus être secourus, et les enfants pleuraient en s’interrogeant sur où pouvaient bien être passé leurs proches. Ce qui nous rappela Erstinoi, et la direction de la machine magitech. Laissant un message aux Templiers à travers nos perles pour récupérer le prisonnier et les survivants, nous sommes parti à toute vitesse en voyant Claire bondir à travers les cieux en prenant Kikai contre elle. Je dois dire que c’était impressionnant, mais il fallait redoubler en tel cas de vitesse pour ne pas avoir un retard trop conséquent face à sa vélocité aérienne.



Arrivant à un grand pont, visiblement la machinerie était juste ici, ses lumières allumées en laissant voir onduler autours les protections qui avaient empêchés le nuage de fumée de Kikai autant que l’assaut de Claire de parvenir à eux. Installé dessus, s’accrochant à une poignée de métal, un Xaela nous fixait. Une partie de son visage était brûlée, une de ses cornes était cassée et un de ses yeux remplacé par une prothèse magitech. Naran Ann Oronir se délectait de sa position et de son « projet » nous concernant. Alors que les canons magitech s’armaient dans un sifflement de plus en plus aiguës. Ce n’était pas nous la cible, mais plutôt le pont derrière nous, nous séparant de Finaen dans de grandes explosions en soulevant des débris et de la poussière un peu partout.

L’accès était encore possible, mais pas sans quelques efforts physiques – Sauf pour Claire vu les bonds qu’elle pouvait faire. Et rapidement nous avons pris soin de ceux bousculés par ce fracas pendant que Naran rentrait dans la machine en s’éloignant lentement dans les airs. Ses lumières éteintes, son ombre ressemblait à une tâche dans les cieux occultant quelques étoiles, et Erstinoi nous appelait, une jambe blessé et installé contre des pierres plus loin. Torako se rua vers lui, mais avant de parvenir à l’atteindre, une énorme main sortie de nulles part pour l’attraper et lentement le soulevé. C’était incompréhensible, l’esprit eu du mal à réalisé que la chose qui apparaissait existait vraiment, un peu à l’image de l’apparition d’un démon. La dernière fois qu’un blocage de la sorte m’eut transit de trouble, ce fut lors de ma rencontre avec un Atomos, là, il n’y avait pas la mystification du néant. Il s’agissait plutôt de réalisé à quel point nous pouvons être humainement horrible. De pratiquement six mètres de haut, la chose avait vaguement l’aspect humanoïde, boursouflé ici et là, sa peau était d’un gris terne strié de tâches bleutés et mauves, des veines distordues et des muscles battant comme des cœurs suintant d’une liquidité pâteuse.

Il leva lentement l’Elezen à sa tête, et mordit brusquement dedans en dévorant une bonne partie de celui ci, laissant sa dépouille rechuté au sol à l’image de celui que nous avions retrouvés sur la route. Et à cette image, son corps prit quelques formes de l’aspect de celui qu’il venait de dévorer. Comme si il recherchait à devenir une vague copie abominable de qui il vole l’identité génétique. Le combat démarra rapidement, Torako éjecté dans un puissant coup de poing l’envoyant s’écraser contre la roche dans un grand fracas. Le combat fut terrible, affronter un adversaire comme un monstre enragé se déchaînant et fracassant tout sur son passage. Il essaya de dévorer Torako quand les machineries étranges sur ses poignets, ses chevilles et sa nuque furent brisés. Sur un des tubes remplies de fluides bleutés, Mhihn y lu : « Expérience numéro 001 – Matériel génétique type Hyurgoth. ».

Ce genre d’entité était quel et bien des tentatives de manipulations génétiques, cette chose finie néanmoins par être vaincue par nos efforts combinés. Selaine jaillit de l’ombre en frappant brutalement sa gorge de sa lance, pendant que tous se ruèrent à sa rencontre en frappant là où il était de plus en plus fragile. Le cristal de feu placé dans ses veines mêmes grâces aux mécanismes tout comme les flammes de Kikai finirent de le dévasté intérieur. Les chants de Claire et de Nhagi soutenaient les efforts des combattants jusqu’à ce que Mhihn entre son poing dans son crâne massacré, alors que Finaen s’occupait de Torako ayant reçu l’essentiel des impacts pour protéger tout le monde. Notre victoire était totale, mais uniquement sur cette chose. Naran avait eu ce qu’il voulait, et bien des chercheurs Ishgardais étaient mort dans leurs recherches en ne laissant derrière que des corps et l’ombre des impériaux. Bien entendu, dès le retour je me retrouvais à expliqué tout ce qu’il s’est passé à un représentant de l’Alliance Eorzéenne, mais ce qui est certains c’est que cette histoire ne s’arrêtera pas là. Et que tôt ou tard, nous retrouverons Naran pour lui faire payer ses crimes. »

- Uryuki no Chijiyu.

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Akayane
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[Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 06 mars 2019, 17:04

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Mandat de rang S – « Le cœur d’Exstasia.»
Neuvième entrée. - Dans les terres de la Noscea.

« Cette affaire tient de notre tout premier mandat concernant les vols de caravanes et les problèmes avec les gobelins, depuis nous attendions des nouvelles, jusqu’à décidé de tirer cette affaire au clair. Le premier objectif était d’avoir la version des gobelins, et il n’allait pas être une mince histoire que de les retrouvés. Faire mouvement avec un groupe entier d’Aventurier, se fait souvent pour une très bonne raison quand il devient grand, et ce fut surprenant comme cette expédition prit une ampleur immense en nous voyant tous partir pour ce qui devait être un dangereux mandat de rang A, finissant par être bien pire encore. Envieux de retrouver les gobelins pourchassés par des aventuriers depuis notre escorte d’une caravane il y à quelques temps de ça, nous avons garder un œil sur cette histoire jusqu’à ce qu’on nous propose de rejoint cet endroit.

Et nous voilà en voyage, Cirina ayant accomplit une enquête en découvrant que l’affaire serait bien plus dangereuses, nous sommes vraiment parti nombreux. Braen, Torako, Ashighemur, Kinemone, Claire, Shimne, Finaen, Selaine, Runne, Alith, Kikai et Kyraniel avons voyager en quittant le nouveau lieu de repos de l’Egide dans la Lavandière, pour nous mettre en route à travers la Noscea jusqu’à rejoindre cette profonde grotte où nous attendant le calme plat avant la tempête. Les flots tombant des lourds nuages chargés de pluies n’aidaient pas à se sentir prêt à rentrer dans ce dédale, après notre longue marche sous les gouttes d’eau dans l’étendue noscéenne, observant Kikai et Claire s’amuser, et Shimne essayant de ne pas tomber trop malade. Finaen essayant de ressentir l’éther présent, et s’évanouit d’un coup, s’écroulant par terre lourdement. Les inspections révélèrent bien que les gobelins étaient là depuis peu, et avaient commencer certains combats contre des ennemis connu. Finaen s’éveilla paniqué en faisant comprendre qu’il avait ressenti un grand trouble par ici.

En formation comme proposé par Kinemone, les protecteurs faisant leurs offices tout en rentrant silencieusement en ce lieu de pierres et de machineries kobolds abandonnées. Il y avait un aspect vieilles rouilles oubliées et aucunes des lumières ne fonctionnaient, nous laissant à observer les environs avec une torche, et quelques effets de lumières magiques. Braen fut rencontré au détours du premier croisement, à côté d’une grande tâche de sang au sol. Discutant avec lui, il n’avait pas pu faire usage de ses connaissances pour ressentir les environs, ce qui n’était déjà pas normal. Le débat était : Devions nous suivre les tâches de sang des aventuriers ayant laissés cela là, et la réponse finie par être – Il était plus intéressant encore de suivre la piste du son bruyant de machine active par la droite, et nous avons commencer notre voyage.

Chaque passage était un choix difficile et réfléchit, dans l’objectif de retrouver Otoloxx. Ce n’était pas vraiment une mission faite pour l’attraper et le massacrer, mais pour trouver une solution à ce problème, néanmoins Cirina avait découvert qu’en plus d’acharnement, beaucoup de problème de machinerie détraqués avait lieu par ici, bien que nous étions loin de savoir à quel point nous étions dans des possibles problèmes. Esquivant un bruit lourd de porte frappée par une main semblant être humaine, nous sommes finalement arrivé dans la première salle, là où menait malheureusement la trace de sang, pour y découvrir un lieu d’horreur d’une rare intensité. Et c’est là qu’il était certains que nous aurions bien plus de problèmes que prévu.



La salle n’était pas si vaste, mais tout semblait poignant d’étrange et de malsain. Trois grands conteneur d’une eau aux lueurs étranges détenait des organes internes flottants doucement comme un présentoir richissime dans des usages technologiques incompréhensibles pour ma part, peut-être Kikai en savait plus, mais on aurait vraiment si simplement un stock pour montrer ceux ci baignant dans cette eau. La source du bruit était l’énorme bras finissant en une scie tournoyante qui était rester activée, celle ci servant visiblement normalement à découpé les morceaux de cadavres amenés sur un grand rouleau, avant d’en laisser des tas de reste vraiment dégoûtant.

Plusieurs étaient choqués et écœurés, mais l’inspections eu quand même petit à petit lieu. Alith découvrit quelque chose d’étrange sur la plafond, comme un œil fait de verre observant ce qu’il se passe dans la salle, rayonnant d’une lueur légèrement mauve. Cette lueur gagna le bras à la scie alors que de nombreux schéma inconnu gagnait ses articulations dévoilées dans des lueurs mauves sortant de tubes glissant au cœur de sa construction. Le bras fit un grand mouvement, et balaya littéralement l’avant de notre groupe. Torako fut propulsé en bousculant Kikai et éjectant Kyraniel s’écrasant contre un tube contenant les organes en y laissant un impact de verre. Kinemone balancé sur le rouleau de découpe, prête à continuer son travail avec lui, mais quand la glace de Runne prit place sur la machinerie, avec l’intervention de Kodjo et le bouclier de lumière de Kinemone, elle fut vite repoussée.

En arrière, ça se pressait – Un groupe de sept aventurier approchait en saluant sympathiquement Ashighemur, rejoint par Alith qui venait de planté une flèche dans l’œil étrange rendant aveugle la machinerie à la scie. Ils avaient l’air gentil. Si gentil, si agréable, si doux. Si faux. Une flèche se planta dans la jambe du chef de file, qui se met à prendre un air détraqué, avant de laisser apparaître sur ses traits des lueurs mauves, et l’aspect de la machine sortant de l’enveloppe de chair qu’elle avait prise. Voilà ce qu’était devenu les aventuriers disparut, visiblement. Et le combat se déchaîna autant en avant que dans les arrières de notre groupe, quand plusieurs firent front face aux machines gémissantes et grognantes. La bataille contre la scie géante n’allait pas non plus être des plus longues, désormais aveugle, elle frappait dans tout les sens en menaçant de découpé en morceau Kinemone et Selaine qui avait atteins rapidement le panneau de contrôle, avant d’être éjectée, comprenant que cette machine avait été comme intérieurement modifiée par des ajouts qu’elle n’aurait jamais du recevoir, encore ce fluide mauve étrange rentrant dans ses organes mécaniques internes. Braen fit usage de la terre, mais distordue dans ce lieu où l’éther répond étrangement, la pierre se mit à trembler et le plafond entier fut sur le point de s’effondrer. Kyraniel et Runne usèrent de la glace ensembles dans une action combinée pour congeler ce qui était en train de s’écraser en bas, venant se fracasser aux défenses de Claire, Torako et Kinemone.

Après un instant, le plafond s’était écrasé au sol, et soutenu par les efforts de tous, Kinemone était seul ensevelit sans grand dégâts, étalé sous les gravats, le bras mécanique complètement dévasté. Les machineries humanoïdes ne furent pas être des adversaires simples, mais c’est avec coordination et soutiens que nous avons pu les avoir, finissant par l’explosion d’un mauve abomination ayant faillit balayés tout le monde, les protections usés en urgence aidant la plus part. Soignant nos camarades, la voix étrange sortant d’une des machines coupée en deux par Shimne essayait encore de parler, non pas à quelqu’un de spécifique, mais elle se déplorait d’une sinistre histoire d’amour. Après cet assaut, ce labyrinthe de salles et de portes cachés nous paraissait encore plus obscure. Mais pour rejoindre au moins notre objectif, les gobelins avaient laissés des croix rouges sur les murs pour atteindre leur lieu de vie. Peut-être pourrions nous sortir d’ici avec quelques réponses.



Blessés et épuisés, subissant un piège fait de rayonnement de lumières puissantes à l’image de la magitech, Kinemone et Torako avançaient de front, le Xaela soutenant son camarade paladin par l’épaule pour ne pas qu’il chute, pendant que tous ont fini par se soutenir aussi bien moralement que physiquement due aux blessures faces aux machines de la salle de découpage. Après bien des couloirs, abandonnant derrière nous de nombreuses portes et autres accès perdu, que nous devrions explorer plus tard maintenant qu’avec le recul, nous sommes sûr de vouloir en savoir plus. Sur la route, Runne aussi à fait une crise de convulsion en cherchant des informations sur les environs, et la recherche à travers l’éther devenait véritablement un risque affreux pour quiconque s’y intéresse.

Parvenant jusqu’à la salle, les gobelins étaient installés tous ensembles en une vingtaine de membres discutant et vivant paisiblement dans des maisons d’aciers forgés jadis par les kobolds. Plusieurs lieux de terres signifiait bien qu’il y avait des tombes de leurs amis éparpillés un peu partout, et rapidement le contact se fit en essayant de discuter gentillement. Les gobelins étaient surpris, mais pas spécifiquement plus hostile que restant sur la défensive, disant qu’eux même ils se sentent ici prisonnier « d’Elle », et quand nous en avons demander plus avant de quitter les lieux, « Elle » reçue cela comme une trahison, et les fluides mauves sortant de tubes éparpillés un peu partout, vinrent rentrer dans deux énormes conteneurs sur les flancs, ainsi que derrière la grande porte plus loin. De la droite, et de la gauche, huit machineries bipèdes sortaient des conteneurs en nous assaillant de toutes part. Plusieurs furent prit de dépourvu, pendant que l’énorme observateur mécanique sortait lentement de la grande porte en marchant vers les gobelins paniquant et fuyant vers nous pour quitter les lieux, piétinant les plus lents d’entre eux. Quelques uns, dont moi, furent sérieusement touchés par les machines en folie, bien que cela ne fit que faire jaillir la haine de Torako qui en balaya plusieurs, tout le monde soutenu par l’immensité d’éther de Kinemone.

La machine principale avançant, assaillit par les assauts, et nous laissant contenir les siens en divers explosions. Ce n’était pas un adversaire lambda, mais bien une aberration mécanique progressant lourdement sous nos assauts. Ce n’est qu’en joignant nos efforts tous ensembles que celle ci commençait à cédée sous des attaques conjointes. Ce n’était pas une seule personne frappant l’une auprès l’autre, ce fut un coup délivré par l’ensemble de ceux n’ayant pas fini de soigner les blessures ou de massacrer les machines survivantes. Quand la pointe de Selaine s’extirpa de l’œil, le dôme de fer s’ouvrit et laissa voir son cœur, comme une incompréhensible machinerie vivante rayonnante d’un mauve éclatant. Le temps fut comme figé, l’espace autours de nous contraint, alors que la voix d’Exstasia se fit entendre en rayonnant dans nos cœurs comme un battement abominable d’un cœur devenu fou.

La terre s’ouvrit sous nos pieds, laissant les rayonnement de puissance se déchaînés de tout les côtés, emportant Runne et Cirina, balançant plusieurs des nôtres au sol. Et au lieu de cette libération de pouvoir, la flèche d’Alith fut délivrée et percuta le noyau dans un choc terrible. Nous laissant précisément le temps de tous réagir, alors que chacun y mettaient du siens. Ashighemur et Shinme paralysèrent un peu plus cette entité de métal, le reste s’attaquant au cœur dans des grands bruits terrifiants. Finissant par laisser la pointe de la lance de Selaine fendre définitivement le noyau là où nous l’avions frapper de pairs. Comme un cristal, il se brisa en milles éclats tournoyant en une danse terrible, mais agréable. Quand toute cette énergie s’évapora, nous ressentions nos blessures être légèrement guérie, et notre énergie nous revenir comme on prendrait entre nos lèvres la liquidité d’une potion de soin.

La voix d’Exstasia revint, nous accusant de cette perte d’une façons si étrange, avant de faire appel à toutes les machineries de ce lieu pour nous assaillir. Nous nous sommes enfuis rapidement, reprenant le même passage pour retrouver le Maelstrom qui avait été prévenu de la situation, deux arcanistes scellant le passage derrière nous. Les gobelins avaient perdu quelques uns des leurs, mais fort peu, et la plus part d’entre nous étaient à guérir maintenant. Une chose est certaine, c’est que nous n’avons pas fini de comprendre les secrets de ce que le Maelstrom surnomma « Le coeur d’Exstasia », scellant ce lieu jusqu’à ce que les aventuriers soient de nouveau prêts à en apprendre plus sur cet endroit si étrange... »

- Uryuki no Chijiyu.

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[Aventures] - Journal de Chijiyu

Message par Akayane » 08 mars 2019, 14:58

Journal des Rapports de Uryuki no Chijiyu. Aventurière de la Guilde.

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Contrat de chasse de Rang B – « La Plaie de la Noscea. »
Rapport écrit par Torako Qerel.
Équipe :
-Torako Qerel
-Kikai Uryuki
-Alaric
-Kyraniel
-Zhorin
-Mhihn
-Chinatsu
-Chinami

Après un court voyage en éthérite et un autre à pied pour arriver jusqu'à la grotte où avait nichée le grand Peist. L'endroit était verdoyant, l'imposante entrée de la caverne était, en son milieu, traversé par un fleuve qui s'écoulait vers un pont puis vers la mer. Voltan Malterre nous attendait; appuyé contre l'une des parois de l'entrée de la grotte, bras croisés, annonçant que nous étions en retard et qu'il avait endormit la bête, facilitant ainsi la chasse. Chose que je trouvais étrange.

Quelques minutes plus tard, nous entendions déjà les sifflements de l'imposante bête qui s'éveillait et sortait de la grotte d'où coulait un fleuve. Malterre et moi nous sommes mis de côté pour observe le groupe combattre la créature et ce fut agréable de constater à quel point ils s'étaient bien organisés. Sans doute trop bien, facilitant l’exécution de la bête assez proprement. Alaric s'est vite placé comme le protecteur du groupe, attirant la gueule de la créature vers lui en filant sur son côté. Puis le reste du groupe a attaqué derrière lui. C'est après un combat, sans blessés grave, qu'ils ont achevé la Plaie de la Noscea, l'envoyant retomber sur le sol après lui avoir asséné les derniers coups.



Alors qu'ils savouraient leur victoire sur la bête, d'autre sifflement se firent entendre venant de la grotte. Ils entrèrent malgré l'obscurité, guidés par leur ouïe et par la vue de lunaire de cette chère Mhihn. Nhaama la garde pour sa pratique de la chasse et son savoir faire. Quatre petits peist noirs, d'un bon mètre de long, se trouvaient là. Trois d'entre eux étaient enroulés les uns sur les autres, alors qu'un était déjà à l'affut du moindre bruit. Attirant trois des petits dans l'eau, Mhihn et Kikai les électrocutèrent proprement, se débarrassant rapidement de trois d'entre eux.

Un seul resta parfaitement immobile sur la pierre et une lueur violine se fit voir alors que la voix d'une fillette résonna en une phrase étrange : "Tic tac, tic tac, l'heure est là. Tic tac, tic tac, elle s'en va" avant que la lueur ne disparaisse dans un rire enfantin. l'electricité disparut de l'eau, le groupe put approcher du peist sur le rocher. Un sentiment étrange envahit chaque personne qui s'approcha du corps du peist et ceux qui inspectèrent l'éther présent eurent soudainement envie de vomir.

Celui-ci était mort, sans doute depuis un petit moment, une dague à cristal pourpre plantée dans les côtes. Le cristal pulsé d'éther du néant et ce dernier fila droit vers Kyraniel. Avec précaution, Mhihn extirpa la dague du corps de la bête morte et les jumelles prirent la décision de la sceller, avant que l'on rejoigne Malterre à l'extérieur.

Ce dernier nous expliqua que la chasse était bien un test afin de pouvoir pourchasser ce que nous avions vu ici, ou plutôt entendu. Il parla de l'histoire du loup corrompu et expliqua qu'il s'agissait d'une créature qui aurait été vue à plusieurs endroit entre la Noscea et le Sombrelinceul. Elle ferait apparemment des test et le seul réussit serait le Loup corrompu qui a été aperçut en Sombrelinceul dernièrement. Une étrange affaire à suivre.

- Torako des Qerel.

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