[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 16 août 2019, 18:48

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Onzième Rapport – Mission de Rang A - « Le sauvetage de Vulkaroix.»

« Les ordres de missions arrivés, nous avons pu en rediscuter longuement en Ishgard durant notre journée de repos, auprès de nos camarades, et du Capitaine Sorel de l’ordre des Templiers. Nous voilà de nouveau en quête pour trouver des réponses aux interrogations autours de la cabale du Maître des étoiles. Un sort de son livre aurait été découvert dans les environs de Deux-Rivière, entraînant une grande instabilité des élémentaires de glaces, ainsi que plusieurs agressions des Templiers locaux. Des jeunes astromanciens avaient été enlevés pour pratiquer un tel sort, et il fallait rapidement enquêter sur qui avait bien pu faire ça. Pour l’instant, notre mission était de rallié le Sergent Vulkaroix, de la Maison Fortemps, envoyé immédiatement enquêter par le Baron Melestian. Les communications avaient toutes été coupés, et aucun éclaireur d’arrière-garde n’était venu à notre rencontre, ce qui suffisait à nous laisser craindre qu’une menace plus lourde leur était tombée dessus. A la tête de sept chevaliers de la maisonnée, le Seigneur Jereck Lameciel, l’Astromancien Moutah Pontah et Sir Bedivere Lavalette, ainsi que ma personne, nous sommes mit en route en direction de l’étendue nord de Deux-Rivière pour les retrouvés.

La neige tombait de plus en plus fort, mais rien d’inhabituel pour nous tous, ayant maintenant appris à vivre ainsi. Progressant dans le froid, il fallut deux bonnes heures avant que les premiers problèmes ne surviennent. Si ce n’est la neige nous tombant dessus avec Lavalette en nous recouvrant, un jeune Elezen s’était jeté sur Jereck en le traitant de traître et de meurtrier, l’accusant d’être avec ceux ayant tué sa grande sœur. Son poignard ne trouva pas grand-chose qu’un bouclier en pleine figure, et c’est Moutah qui s’en est occupé, avec une version différente du courroux de Lavalette agacé par le coup de folie du jeune homme qui avait voulu mettre à mal le Seigneur Lameciel. Décidant de son sort, il fut escorté vers Nid du Faucon alors qu’il fini par tomber en larme devant la peur éprouvé, pour juger de son sort – et le remettre à ses parents si possible.

Des questions se posaient quant à son comportement étrange, notamment à savoir pourquoi il ne s’est pas rendu compte que la troupe des Fortemps qu’il attaquait seul était là pour l’aider ? Nous en saurons plus tôt ou tard. Pour l’instant, la dernière chose sur la route que nous avons aperçu, fut Moutah qui à été guidé vers un petit élémentaire de glace qui semblait dépérir. Tous avons rejoint la scène, bien que la plus part eussent été plutôt inquiet de cette vision : Après un instant, il fini par se dissipé dans les airs, entourant Moutah en une lueur magnifique, des soupirs de surprise face à une scène d’une beauté rare sortaient des rangs, des lueurs blanches et bleutés naissantes en éclairant les environs avant de petit à petit disparaître, ne laissant que des flocons reluisant tombant dans le vide, c’était d’une beauté rare, et nous prenions le temps d’apprécier cette scène, et son utilité. Moutah ressentait les présences des élémentaires pendant un certains temps qui nous permettait de mieux comprendre notre première obstacle. Et celui ci se dévoila à la lueur d’une lanterne allumée au loin, sous lequel deux silhouettes d’Elezen se trouvait.



A la longue vue, c’était clairement des Chevaliers des Fortemps laissés ici en arrière garde. Un homme semblait avoir encore mal au visage après avoir du combattre, et la femme guettait les environs, l’air nerveuse et ayant bien trop froid. Comme si ils avaient l’impression que le monde entier autours d’eux pouvait venir les assaillir. Lavalette fut le premier à avancer, saluant les présents pendant que Jereck jouait son rôle en tant que Sir. Moutah lui inspectait les lieux, qu’il trouvait bien étrange : Toute cette présence élémentaire, il ne la trouvait pas dans un cercle très bien construit qui retenait cette force. Ce n’était pas un manque d’éther, c’était précisément le type d’énergie dégagée précisément par les élémentaires qui ne parvenait pas à rentrer. Le Sir Jereck discuta avec eux en découvrant que le reste de la troupe de Vulkaroix était parti en direction d’un passage entre deux immenses roches créant une sorte d’arche bien loin d’ici, dont on ne pouvait distinguer qu’une forme inquiétante.

Lavalette inspectant les environs, il prit bien soin de surveiller Moutah en regardant derrière lui cette présence étrange qui sortait des brumes comme un amas plus épais, c’est cette surveillance qui empêcha bien des problèmes. Hurlant à Moutah qu’il était en danger, la lame de vent projeté par l’épée de Lavalette ôta le voile de brume d’une Elezen en tenue d’élémentaliste Ishgardaise, la magicienne s’observa un instant, puis regarda ses opposants. Elle essaya en vitesse de briser la cohérent d’un cercle de magie qu’elle avait gravé pour préparer ce « piège » afin de cassé la dite protection dans la panique, mais elle fut protégé par Moutah pendant que Lavalette fit coulé son sang au bras, la blessant que légèrement. J’étais avec Sir Jereck quand tout ça arrivait, sa machine d’inspection essayait de trouver des communications mais se rendait compte d’un brouillage puissant dans les parages, qui ressemblait fortement à celui qui avait eu lieu en Abalathia lors de l’installation des troupes impériales de Javius Pyr Sonorion. Finissant son inspection, c’était juste à temps pour voir la scène, et essayer d’intervenir.

Mais à ce moment, il n’y avait pas grand-chose à faire : L’élémentaliste croyant que la protection était brisée par une ruse de Moutah, attira vers lui et Lavalette une vague d’élémentaire déformé, ils prenaient une vague apparence humanoïde parodiée rendue monstrueuse par leurs difformités et leurs composantes de neige et de glace, fonçant vers nous avec l’intention clair de nous tailler en pièce. La pression rechuta envoyant Lavalette être tiré par la magie de Moutah vers l’arrière, chutant dans la neige derrière le cercle de protection qui l’empêcha d’être taillé en pièce. Les créatures observant, dans la crainte d’être désagrégés en voulant passer celle ci. Et l’Elezen qui voulait de nouveau se nappé de brouillard, n’en eue pas le temps : Après le coup de bouclier de son adversaire en plein ventre, un tir de Jereck lui passa au dessus de l’épaule en la déconcentrant suffisamment pour l’empêcher de poursuivre ses méfaits. Hors de cette nappe de brouillard, les élémentaires allaient la massacrer à son tour. Mais avant son passage à tabac, sa survie ne fut due qu’au courage (quelque peu téméraire) de Lavalette ayant quitté les protections pour rester à ses côtés, la défendant un instant des poings tombant alors que tous finirent par intervenir en vitesse.

Nos chevaliers forcèrent un vrai passage pour qu’ils puissent revenir dans la protection, soutenu par les flots de tirs de Jereck déchaîné sur les entités. Moutah fut un grand renfort quand ses boucliers cristallins jaillirent de son astromètre pour créer de véritable paroie s’effritant cela dit rapidement devant la violence et la brutalité des assaillants. Rentrés dans la protection, toutes les entités nous observèrent un instant effroyable avant de partir en vitesse, comme rappelés par une conscience interne. L’Elementaliste captive expliqua après un vague interrogatoire, qu’elle était ici pour parvenir à piégé pendant le plus longtemps possible le plus de renfort possible. Créer un véritable brouillard de guerre, et dans son échec, elle était convaincue qu’elle serait tuée par sa maîtresse pour son échec. N’ayant que peu de temps pour en savoir plus, elle fut embarquée par Sir Lavalette pendant que nous nous dirigions vers l’arche de roche. Vulkaroix était en grand danger, il fallait le sauver de ses assaillants.



Partant en éclaireur en vitesse, Moutah Pontah nous devança tous sur le dos de sa guivre surnommée « Jhill », l’ayant acquit il y à longtemps lors d’un mandat d’aventurier face à des brigands du Sombrelinceuil. Il entra directement dans la caverne, toutes formes élémentaires ayant disparue en laissant un calme presque irréelle après ce que nous avions subit plus tôt dans le cercle de protection. C’était incompréhensible, mais nous avons pu lentement le rattraper pendant qu’il s’était rué pour s’occuper des blessés qui attendaient sous la bonne garde de Vulkaroix et de ses quatre derniers chevaliers debout, tout les autres étaient soit allongés au sol à cause de leurs blessures, soient ne se relèveraient jamais, installés dans un coin. Trop étaient déjà tombés, et il fallait en vitesse les sortir de là, arrivant jusqu’à la caverne, nous voulions faire jonction avec les personnes à l’intérieur. Lavalette s’était mit en retrait avec les archers pour surveiller notre entrée, exigeant de l’élémentaliste parjure qu’elle nous aide en cas de problème.

Ce qui ne tarda d’ailleurs pas à arriver, et la seule raison pour laquelle nous avons échappé à une tuerie pure et simple, fut l’avertissement de Jereck qui avait prit le temps de comprendre la situation : Ils nous attendaient embusqués, l’intelligence vivace et cruelle derrière les actions de ses sortes de monstres élémentaires fit jaillir ses séides depuis les hauteurs, et plusieurs furent mit au sol, moi la première, devant le choc puissant de leur venue. Jereck était protégé, les lueurs éclatantes des boucliers projetés par ses petites tourelles lui permirent de s’en sortir alors que Lavalette faisait front pour défendre les archers dont les traits jaillissaient déjà pour atteindre les cibles les plus éloignés de la mêlée instantanée. Au campement, plusieurs étaient tombés de l’autre côté, Vulkaroix et ses hommes essayaient de se défendre, les flammes soufflées par la Guivre leur laissant le plus de répit en protégeant les blessés qui gémissaient et voulaient essayer d’aider leurs alliés – bien qu’un ou deux était surtout en train de se recroqueviller en paniquant simplement.

Pendant que je me relevais, mêlée à la violence d’un combat acharné, j’entre-aperçu le duo que formaient Jereck et Lavalette, les deux chevaliers s’entre-aidant pour tenir les archers à distance des bêtes leurs fonçant dessus, la magie s’extirpant de la concentration d’éther de l’élémentaliste préparant un sort d’ampleur, mais j’aurais presque cru croire cela vain une fois que nos adversaires avaient presque fini par tous être vaincu. Vacillante un peu sur un tas de décombre en aidant un jeune Chevalier à se redresser, lançant un bref regard vers celui qui ne se relèverait jamais après les coups qu’il à reçu sur le crâne, des lueurs fantasques apparaissait au dessus des roches. Éclatante de milles feux, elle provenait de l’entité responsable de cette embuscade et des assauts locaux, qui manifestait son mécontentement face aux tentatives de Moutah de la déstabilisée. Jusqu’à la voir s’écraser à l’autre bout du tunnel, la quasi totalité des élémentaires était déjà vaincu à cet instant, et le sort écrasant une roche sur cette entité nous offrit le temps nécessaire pour frapper de concert en ne laissant que des débris. Un cristal éloigné de son cœur chaotique, et son corps brisés, l’entité explosa en envoyant brusquement Jereck et Lavalette au sol, blessé.

Le « relais » était mort, cette connexion à l’entité souillée par le sort du Livre de Loraedal n’avait plus d’emprise sur les environs, dont le calme revenait doucement. Récupérant les survivants, nous les escortions vers Nid du Faucon tous bien conscient de la menace que représentait encore le complot ayant mit en place une telle menace. L’élémentaliste avait au moins pu offrir une indication : Notre prochain déplacement, et il ne saurait tarder, nous enverrait vers l’Enclume pour y retrouver les traces de la conspiration. Si il en reste. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 17 août 2019, 16:18

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Douzième Rapport – Mission de Rang A - « Trahison des Hautepointes.»

« Ce qui devait être une intervention rapide et efficace là où l’adversité nous attendait, fut rapidement un amas de mystère s’effritant au fur et à mesure pour laisser apparaître une vérité amer et détestable. Notre objectif était de joindre l’Enclume pour y déloger la source de traîtres ayant pu s’y installer depuis qu’ils avaient provoquer le désordre avec l’élémentaire de glace plus au nord. Notre formation devait être réduite pour ne pas risquer la vie avec une mauvaise coordination pour ce genre de mission, et nous voilà en route avec en tête de notre expédition, le Sir Jereck Lameciel, Moutah Pontah, moi même, et six chevaliers des Fortemps dont le Maître d’arme Vulkaroix bien décidé à se venger pour ce qui lui été arrivé lors de l’embuscade de ses forces à l’arche de pierre de Deux-Rivière. Notre expédition se mit en route alors que la nuit tombait, des flocons tournoyant autours de nous sans qu’ils ne soient non plus innombrables, la plus grande gène était l’épaisseur de la neige : Nous n’étions pas en route sur le passage de glace, pouvant être surveillé voir infesté de ses élémentaires de glaces déchaînés, il était préférable pour nous de passer par une voie différente sur les hauteurs rocheuses, passant le long d’un grand passage parfois difficile d’accès jusqu’à notre destination.

Et ses problèmes survinrent rapidement le long de la route, qui fut toute sauf aisée, même si Moutah nous avait soulager d’une grande difficulté en nous offrant de quoi marcher directement sur la neige au lieu de s’y enfoncer. Surtout pour lui, il se serait noyé dedans depuis longtemps. Cela ne m’empêcha pas de tomber dans un trou, ou au moins avoir faillit y tomber en m’accrochant comme je pouvais, sans espoir de ne pas finir au fond de celui ci. Du moins, si j’avais été seule, car le bras de Jereck et le grappin de Moutah, attrapé par les chevaliers présents, me hissèrent rapidement au sol, ayant faillit tombé de haut. Halétante devant l’adrenaline redescendant rapidement en me hissant sur la haine en vitesse, nous n’avons pas regarder le trou béant vers je ne sais qu’elle abîme où j’aurais pu m’y casser la nuque. Poursuivant la route, en discutant un peu, la prochaine étape fut de voir une stèle commémorative sur le point de chuter dans le vide à cause de son emplacement trop proche du bord, ou bien la roche avait fini par chuter et allait l’embarquer sous peu ?

Un chevalier venant le soutenir en vitesse, mais la pierre craqua, et Jereck se retrouva dans le vide en tenant la stèle dans un bras, et la jambe du chevalier chutant dans le vide dans l’autre. Moutah les attira rapidement, et ils furent récupérés en vitesse, parvenant à se stabilisé suffisamment pour ne pas tomber dans le vide. La stèle de « Dernamaux de Errelac » allait être de nouveau installer dans un lieu stable, et nous étions sûr de l’avoir entendu nous remercier depuis la mer des étoiles. Mais peut-être n’était que le souffle du vent, car cela ne ressemblait qu’à un murmure. Tout les chevaliers adressant une prière à Halone devant la tombe, c’est avec une motivation et un courage renouvelé que nous sommes parti mettre fin à la conspiration. Marchant en tout une heure, et une poignée de minutes le long des neiges parfois si haute, que malgré les sorts de Moutah, il nous fallait faire un brin d’escalade. L’Enclume était visible au loin, comme un phare en flanc de montagne, éclairé de quelques lueurs.

Nous approchant de notre destination finale, plus nous en étions proche, plus elle semblait s’éloigner de nous : Étrangement, il y avait comme un voile de neige semblable à une brume blanche solide qui se dressait devant nous de plus en plus dense. L’éthérimètre de Jereck repérait une couche illusoire sur la réalité. Les investigations de Moutah ne décéléré aucun piège, aucune magie visible d’un ensorceleur. En voyant s’approcher doucement, la silhouette spectrale d’un Hyurois en une armure obscure, sinistre, il tendit la main vers nous avant de disparaître comme se meurt une étincelle. En cette vision, nous étions conscient d’être sur une terre hantée par le spectre de quelqu’un ayant beaucoup souffert.



Malgré l’inquiétude de Vulkaroix à ce sujet, les ordres du Sir Jereck était définitivement de nous concentrer sur l’objectif de l’Enclume. Il fallait absolument nous y rendre en vitesse, et Moutah découvrit bien rapidement qu’il pouvait faire le passage à travers la barrière de neige qui n’en était une que factice, entrant et sortant pour nous annoncer que deux personnes se trouvait à l’extérieur, en pleine investigation. Après un instant de réflexion, sans plus de preuve de notre côté, nous avons traverser en masse en créant un effet de panique chez les deux personnes. L’archer tira une flèche, prêt à nous décocher une sorte de trait étrange, la pointe faite en Magitek, mais l’énergie céleste projetée par Moutah brisa son arc en deux par une étoile fulgurante et instinctive. Le tir de Jereck aux pieds du Mage permit de l’arrêter sur l’instant, mais l’envoie de sa boule de feu envoya à terre nos compagnons. Sous ses ordres, j’écrasais au sol le mage, une pointe de lance devant la gorge, alors que l’archer qui avait voulu intercepter Moutah en l’écrasant au sol avec sa magie le rendant de plus en plus lourd par pesanteur.

Après un instant de discussion avec le Mage qui ne pu réussir à embrouiller Sir Jereck en mensonge, finissant par nous hurler sa haine en déclarant que nous finirons tous par être massacré dans d’atroce souffrance, l’archer bondit vers le mur de neige pour s’échapper, mais des hurlements si firent entendre un instant plus tard, la neige se souillant de sang au sol. L’esprit avait définitivement une cible, ceux de l’Enclume avaient du être coupable d’une profanation. Moutah confirmait cette idée via les notes de la chercheuse, même si la question était : Qu’est-ce qu’ils avaient pu récupérer ? Nous n’avions pas l’information, mais le temps était compté, et nous nous sommes mis à la place en route vers notre destination. Une vingtaine de minutes suffit à nous y rendre, marchant paisiblement, mais sur nos gardes. La surprise fut de taille en découvrant la présence du Sergent Numredal, une grande Elezen en armure de Chevalier des Fortemps, avec toute son escouade installés paisiblement pendant que deux scientifiques discutaient autours du feu au milieu des vieilles ruines investies.

Nous détendant un peu, en quelques salutations cordiales et amicales, Moutah rentra directement en contact avec les chercheurs pour demander ce qu’ils faisaient là, parlant des recherches sur l’état des élémentaires de glaces, avant de le laisser seul, partant sur le balcon. Ce qui fut étonnant, c’est qu’un chevalier lui barra la route quand il voulu les rejoindre, remuant deux fois la tête. L’erreur de notre côté fut peut-être de ne pas insister ou de ne pas nous montrer plus douteux, car il était trop tard à l’instant où Jereck découvrit que le brouilleur été tout proche, essayant sa perle en finissant par tomber sur une caisse tant le son lui déchira les tympans. Avant de pouvoir réagir plus que ça, Numredal tira sur un levier, et des barrières jaillir pour nous enfermer dans cette pièce, soulevant des pointes acérées du sol. Tout les chevaliers dégainèrent, en se mettant en position de combat pendant que les scientifiques débutèrent le rituel avec l’objectif qu’ils avaient volés à la tombe du Hyurois : Son vieux cristal de Chevalier noir.



La situation avait dérapé à toute vitesse, et dehors nos camarades se battaient, menés par Vulkaroix, contre les traîtres. La discussion au milieu du combat entres gunblades de Numredal et Jereck nous apprit qu’il s’agissait là des ordres des Hautepointes. Cette troupe était au service de Sir Sebaroix de Hautepointe, notre ami en Abalathia, directement là aux ordres de sa sœur. Pheniria. Pheniria, qui avait été « enlevée » par des pirates, n’avait qu’essayer de jouer l’appât pour kidnapper Jereck. La conspiration était sous notre nez depuis si longtemps, que la frustration qui envahit Jereck faillit le dévoré pendant son combat déchaîné face au Sergent qui luttait comme une forcenée contre lui. Je devais les défendre des autres chevaliers, plusieurs coups passèrent en taillant mon armure dans des bruits d’aciers, sentant mon sang couler à deux endroits différents jusqu’à parvenir à me reprendre. L’adrénaline au maximum, je devais autant protéger Jereck qui essayait de m’aider, que Moutah qui essayait d’empêcher le rituel des scientifiques : Ils étaient en train d’essayer de recréer un schéma digne du livre de Loraedal, mais le cristal du chevalier noir souillait encore plus ce rituel déjà obscure.

Des étoiles luisantes, mais au cœur aussi obscure que de plonger son regard dans les ténèbres, formaient des schémas complexes essayant d’être stable. Ils s’étaient précipités, et c’était peut-être ce qui allait causer notre perte à tous, Moutah ne s’en sortant que de moins en moins en essayant de bloquer l’acheminement d’énergie dans le cristal qui servait de stabilisateur pour la création du sortilège. Mais ce pouvoir qu’ils extirpaient de cette source semblait comme inépuisable, et il ne parvenait pas à briser cette source de force s’accumulant au fur et à mesure que les sortes de chants incantations des scientifiques ayant presque l’air possédé, continuaient d’élevé, leurs voix de plus en plus mono-timbres et inquiétantes. Les tentacules obscures emplissaient déjà le sol, nous étions peut-être déjà perdu, mais un tir passa à travers les barreaux de fer nous coinçant ici, Jereck ayant touché à l’épaule l’un des chanteurs qui s’écrasa lourdement au sol, nous offrant un léger répit comme si tout s’était bloqué d’un coup.

Rapidement, le second chanteur fut touché, mais lui collant sa tête au cristal via un sort, son crâne fut désagrégés dans une scène que j’étais heureuse de ne pas voir, trop concentrée à affronter les derniers chevaliers encore debout qui voulaient défendre le sergent Numredal qui gisait au sol, mi-consciente. Jereck ouvrant en vitesse la voie, au moment où hors de contrôle le sort se risquait de produire un déchaînement qui nous emporterait tous, tant l’entropie de son manque de cohérence allait faire rugir une fureur sourde. Fuyant en récupérant Numredal et ceux pouvant encore être sauvé, j’embarquais Moutah en vitesse pendant qu’il préparait des boucliers d’urgences, qui nous offrirent le temps nécessaire ne pas être désintégrés par la fureur de cette magie, mais seulement de nous étalés au sol. Vulkaroix s’était battu avec honneur, couvert de quelques légères blessures et du sang de ses ennemis, il se jetta vers nous, frappé par cette magie hurlante jusqu’à ce qu’il disparaisse en même temps que le cri de douleur de ce qui devait être l’Estime ancienne du chevalier décédé.

Un instant de peur et de chaos passa, ne laissant un instant plus tard qu’un calme surnaturel qui fut rapidement remplacé par le bruit des turbines de la machine magitek se surélevant de plus en plus. Sebaroix se tenait là, la Gunblade d’un Impérial en main qu’il usa pour tirer en pleine tête d’un ingénieur de Javius en hurlant vers Jereck qu’il devait quitter cette terre, fuir le temps que les Hautepointes aient fini leurs projets. La haine s’éveilla dans le cœur de Jereck, une colère froide naissante de la trahison déborda son esprit en tirant en vain vers la machine qui disparaissait vers le nord. La trahison était évidente, les conséquences étaient déjà grave. Il nous fallait rentrer mettre en sécurité le cristal, les blessés et les prisonniers. C’est ainsi une troupe bien sombre, mené par un Vulkaroix défiguré qui fut soigné par Moutah en urgence, qui rentra vers Nid du Faucon. Ne nous laissant plus que la responsabilité de retrouver Sebaroix là où toute cette histoire avait débuté dans l’Ouest du Coerthas : L’emplacement où le sort avait soulevé la fureur élémentaire, là où la machine aérienne s’était dirigé à l’horizon lointaine. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 18 août 2019, 10:27

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Treizième Rapport – Mission de Rang A - « Soulager la fureur des glaciers.»

« Il était temps de réparer les erreurs provoqués par le sortillège mal contrôlé qui avait du être lancé par les chercheurs liés à la famille Hautepointe. Quelque soit leur maîtrise des sorts du livre de Loraedal, ils étaient bien loin de pouvoir provoquer les catastrophes attendues par le Maître des étoiles dans ses recherches, et sans avoir l’ouvrage, ils ne pouvaient qu’essayer des expérimentations grâce à des informations qu’Halone sait comment ils les ont récupérés. Notre objectif restait identique dans l’instant : Réparé le mal qu’ils ont provoqués en supprimant l’effervescence élémentaire après ses quatre jours de déploiements à la caserne du Nid du Faucon. Ishgard pourrait nous accueillir après notre devoir effectué, avant de retourner nous battre. Dans l’instant, nous concentrant sur la tâche actuelle, Jereck fit un discours de motivation pour les chevaliers qui participeraient à ce combat. Durendaire et Fortemps étaient unis dans cet objectif, et même Vulkaroix avait insisté pour venir malgré la crainte que sa colère due à sa marque lui traversant tout le visage ne puisse le faire agir de manière trop téméraire et dangereuse.

Le discours de Jereck résonna encore plus dans les esprits de chaque face au spetacle de cette nuit : Le temps était simplement parfait, le vent absent sans aucun nuage, laissant voir le voile nocturne rendu merveilleux par la présence de la lune pleine qui semblait être le reflet de chacune des étoiles luisantes sur cette nappe de bleue nuit, et mauve, comme si l’univers saluait d’un timbre grandiose cette scène, accompagnée de la musique de deux troubadours tournoyant et riant pendant une partie de notre sortie de Nid de l’Aigle, dans une humeur chantante et agréable. Le voyage fut paisible, rien de mauvais ni de bon sur la route, si ce n’est l’amusement de voir tomber un chariot à choux quand l’Elezen maladroit le manipulant fit une chute au sol. Tout était parfait, jusqu’à notre première rencontre avec l’ennemi. Il se trouvait au dessus de l’arche de pierre où nous avions sauver Vulkaroix, une vieille femme Elementaliste se trouvait avec deux archers sur les hauteurs rocheuses. Moutah se fit passé pour le véritable Maître des étoiles, et pendant quelques instants, il parut presque crédible, mais bien qu’il y ait un doute dans cette possibilité, elle le voulait vivant pour le ramener à son Maitre, le seigneur des Hautepointe. Le soulevant dans les vents sifflants et tournoyant, protégée de ses sorts, elle n’avait aucune protection contre un jet du petit dragon-libellule qui accompagnait maintenant Moutah, lui envoyant en pleine tête en déstabilisant sa concentration – provoquant une scène plutôt comique d’ailleurs.

Des élémentaires semblables à ceux mettant un désordre terrible sur ce territoire nous fonçaient dessus de tout les côtés, attirés par un colifichet bleutés. Les ordres nous mirent en formation, mais ils étaient bien trop nombreux, nous étions en passe d’être écrasés entre le marteau et l’enclume. Jusqu’à voir Moutah descendre d’un coup en ayant volé le bâton étrange qui lévitait derrière le groupe. Celui ci été l’activateur d’un sort préparé depuis des heures et des heures, un nuage sombre apparaissant dans les cieux, unique au milieu des étoiles. Jereck envoyant le colifichet devant le groupe, pas loin de Moutah, tout les élémentaires se ruèrent dessus et formèrent un ensemble d’assaillant s’étalant les uns sur les autres dans un désordre absolu. Moutah usant du bâton, un éclair titanesque explosa dans la foule en réduisant la quasi-totalité des assaillants en décombre de glace. Les rares survivants furent immédiatement massacrés par nos troupes, mais la vieille elezen et ses deux archers n’avaient pas dit leur dernier mot. Alors que Moutah grimpait vers elle pour la narguer et préparer un sort, elle contra la magie de Moutah en l’attrapant furieusement à la gorge, et c’est là que nous n’avons pas pu suivre ce qu’il fit en haut. Les explosifs qui détonnaient sous l’arche n’étaient pas suffisamment puissant pour le détruire en un instant, mais il allait s’écrouler tôt ou tard. Il fallait courir, et vite.



Nous ruant ensemble vers l’arche, la passer n’était pas aussi facile qu’attendu, des pierres tombant déjà du haut du plafond et en nombre, se fracassant au sol dans des grands bruits de fracas dans la glace en dessous de nos pieds. Jereck s’en tirait bien, mais je fus balancée sur le côté en même temps qu’un pauvre chevalier ayant sentit sa jambe se brisé net face à une pierre s’écrasant dessus. Rapatriant le plus de nos camarades possible, en sortant de là, plusieurs n’avaient pas réussi à quitter les lieux en vitesse, et Jereck y retourna un instant pour dresser une paroi de lumière cristalline, pour que les pierres frappent dessus plutôt que sur ceux fuyant en vitesse. Il fut le dernier à partir, la poussière et la neige en brume se soulevant brusquement dans un grand bruit de fracas tonitruant. Tout semblait fini, jusqu’à ce qu’un corps ne s’écrase sur le bouclier personnel de Jereck, créant une ondulation gracieuse, ce qui était beaucoup moins le cas de l’archer des Hautepointes qui gisait la nuque brisée au sol, ayant achevé son hurlement par ce fracas.

Un instant plus tard, Moutah nous rejoignait au sol après un petit vol plané depuis les hauteurs. Quoi qu’il ce soit passé, ses adversaires gisaient maintenant dans les décombres de roches, et nous prenions le temps de connaître notre situation. Le Bilan était plutôt léger : Un jeune Chevalier, Menaro, avait la jambe cassée et Jereck prit la décision de laisser deux de nos camarades en arrière en attendant de trouver un moyen de le rapatrié en appelant les Chocobo volant de Nid du Faucon. Nous devions continuer la route en vitesse, progressant à travers les couches de glaces de la rivière gêlé en parvenant petit à petit à ce qui serait notre destination finale : l’élémentaire ayant été affecté par le sort. Au loin, des bruits de combats montaient de plus en plus, et les analyses par éthérimètre était formelle, des élémentaires étaient présent en nombre, et plus encore un des relais à l’image de celui que nous avions affronter pour sauver Vulkaroix dirigeait ce combat.

Les chevaliers concernés étaient principalement des Durendaire défendant la contrée des Deux-Rivières en compagnie de quelques uns de nos camarades détachés pour cette mission. Ils avaient été poussés si loin de la zone de contrôle qu’ils avaient du poussé pour tenir la route en sécurité, Jereck et Moutah décidant qu’il fallait à tout prit les aider. Mais c’est là que Vulkaroix fut submergé par la colère, nous étions presque à notre objectif, et il désobéi aux ordres pour foncer en direction de la cible principale en soulevant son épée, Moutah essaya de l’apaisé, mais il nous jeta un regard, l’aura de l’Estime naissante en lui fut effrayante à admirer un bref instant, avant qu’il ne continue sa route en vitesse sans plus faire attention à nous. Il fallait faire vite si nous voulions le sauver de ce qui pouvait l’attendre là-bas, Moutah fit jaillir une lueur d’une de ses cartes sur le relais, une sorte d’élémentaire serpentin sous la glace que je ne pu atteindre, dégageant la voix pour Jereck, il brisa la glace exactement au dessus de lui en voyant la bête sortir d’un coup de la glace non sans essayer de l’écraser au passage.

Joignant nos forces au milieu de ce conflit, nous avons frapper ensemble en l’affaiblissant suffisamment pour qu’un Cristal fut extirpé de son torse, le rayonnement d’énergie sortant à sa suite nous frappa, je fini au milieu de la mêlée face aux étranges élémentaires se déchaînant sur les troupes. Le jeu d’équipe de Jereck et Moutah permirent de trouver une faille avant que le Serpent de glace ne s’échappe, un nouveau cristal brisé par le tir de la gunblade lui fut fatal, il se rua en avant, écrasant Jereck contre un mur de pierre dans un cri de douleur, fonçant vers Moutah en le ratant de justesse. A sa chute, il ressemblait plus à un éboulement de neige et de glace qu’à un ancien adversaire, et tout ses séides s’effondrèrent de la même façons qu’à notre combat à l’arche de pierre. Cri de joie, et gémissement de douleur furent mêlés, et ce temps de répit fut court, si court. Jereck se relevant en vacillant avait en tête la survie de son ami Vulkaroix, et brailla sur les Chevaliers encore apte au combat, se préparant déjà à partir pour lui venir en aide. Et en finir avec cette histoire une bonne fois pour toute.



Il ne fallut pas parcourir une longue traversée pour le retrouver, mais au vue de la lueur assaillant nos regards, il était certains que la situation s’était aggravée le temps de protéger nos camarades luttant derrière nous. Nous aurions pu partir en les laissant se battre, mais pour le Sir Jereck il était hors de question de sacrifier encore la vie de trop nombreux brave défenseur d’Ishgard au nom de notre réussite finale. Cinq minute de marche, soulevant nos corps fatigués et blessés en compagnie des chevaliers qui n’étaient pas trop occupés à guérir les blessés, nous étions arrivés là où tout avait commencer. Au début de cette folie élémentaire ayant créer tant de désordre sur cette terre, là où le sort mal maîtrisé des astromanciens capturés par la famille Hautepointe, avait voulu reproduire la tentative du Maître des étoiles se recréer ses sortes de « Golem de bataille » à partir des concentrations élémentaires.

Si l’élémentaire des vents d’Abalathia ne s’était pas laissé faire, ou peut-être le sort n’était pas été aussi concentré et porteur de pouvoir, ici la couche de pierre étrange avait déjà pu créer une sorte de buste, de tête informe et ronde, et deux bras massif. Les connexions des étoiles étaient aux mêmes endroits que le golem découvert sous terre par les brigands du Coerthas au nord de l’Observatoire, et pour l’instant, il était inactif. Plusieurs de ses simili golems vinrent lentement sortir du sol, en légion inactive, Vulkaroix faisant face à cette créature. Agenouillé, son épée était brisée, mais l’énergie de l’Estime tournoyait encore autours de lui en une force grandissante à mesure où sa conscience flanchée, remplaçant sa concentration par la volonté inébranlable de détruire les criminels ayant provoqué tant de désordre. La vieille femme qui était au dessus de l’arche se retrouvait présente ici, Sebaroix à ses côtés et les derniers suppôts des traîtres à leurs côtés, la mage nous observant avec une haine profonde, l’épaule ensanglanté là où elle avait reçue une flèche. Contrôlant une énergie luisante, elle ne dirigeait pas le Golem, mais faisait en sorte que ses coups soient dirigés par l’étrange « mécanisme » des étoiles dirigeant sa volonté de frapper à des lieux particuliers, Vulkaroix secouru d’urgence par Moutah, c’est Jereck qui subit la frappe l’envoyant brutalement au tapis sur le dos.

Les chevaliers et les séides s’heurtèrent autours de nous dans un désordre de coup, Vulkaroix faisant tournoyer son épée en rugissant au milieu du champ de bataille. Ma lance ne fit qu’ouvrir une faille sur son flanc, me mettant devant Jereck bloqué par un crochet à la jambe, son seul espoir était d’atteindre l’élémentaliste en plusieurs tir, et une balle sifflante suffit à la déstabilisé un instant, mais eu surtout un effet bien différent. Sebaroix, ne supportant plus cette condition, transperça sa propre alliée dans le dos de son épée avant de laisser son corps gisez au sol en quelques gouttes de sang coulant sur le sol froid. Plus bien ne dirigeait l’envie de frapper du Golem, qui allait rapidement se mettre à frapper tout ce qui se trouvait autours de lui par pure instinct de défense, à moins que ce ne soit un des mécanismes des étoiles dans les schéma complexes présent dans les gemmes luisantes sur ses membres.

La charge explosive de Jereck lui perdre un bras, mais il fut éjecté sur un Chevalier plus loin dans un grand bruit de métal, ce qui lui offrit la chance de se relevé pour foncer secourir Moutah : L’astromancien avait passé tout se temps à concentré différents sorts, mais avait fini par être écrasé par un des petit golem au milieu du combat. L’enchaînement qui suivit fut décisif, Moutah se relevant des débris du golem brisé par la gunblade envoya son sort le long de la lame de Vulkaroix qui explosa les restes de son épée au milieu du ventre du golem, là où se trouvait le cœur élémentaire souillé par les étoiles de la gravure provoquée par le sortilège du livre de Loraedal. Tout nos adversaires s’estompaient lentement, ainsi que le corps massif de leur maître, laissant l’éclat cristallin brisé émettre comme une chanson, une musique scintillante à la destruction de ce corps brillant. S’en était fini, ne laissant après un instant plus qu’une rencontre entre Sebaroix et Jereck.

Les deux se faisant face, Sebaroix essaya de se battre en vain au vue de son état mental, mais il fut grâcié le temps de la chute de la conspiration : Clairement une victime de sa famille, il s’était battu par loyauté et pour la survie de sa mère mêlée à cette histoire. Mais le mal était fait, malgré la libération de Sebaroix, l’ingénieur Garlemaldais libéré pendant la destruction du Brouilleur Magitek, expliqua que lui et les siens avaient été enlevés en Abalathia à leur départ après la chute des troupes de Javius. Le père de Javius, Landfust Rem Sonorion, allait envoyer ses forces au Pont du Fer noir après son ultimatum. Mais son fils était captif à un lieu inconnu, et il ne restait que trois jours. Dans trois jours, nous devrons aller au Pont du Fer noir pour le défendre et arrêté les Garlemaldais. Cette bataille ne pouvait plus être évité, mais cela fait hélas parti des affres de la guerre. Pour l’instant, nous rentrions vers la Sainte-Citée, guérir nos plaies physiques, et mentale. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 21 août 2019, 16:02

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Quatorzième Rapport – Mission de Rang S - « La bataille du Pont du Fer noir.»

« Nous y sommes, après les deux jours de repos passés dans la Sainte-Citée depuis l’arrêt de la résurgence élémentaire de Deux-Rivière provoqué par les expérimentations des Hautepointes, l’ultimatum de Landfust Rem Sonorion était à sa limite, et il provoquerait la destruction qu’il attendait rendre pour la disparition de son fils. Il était bien entendu hors de question de le laisser faire, et les deux jours furent autant passé à reprendre des forces qu’à nous préparer à un combat pour les arrêtés avant qu’ils ne descendent le long de Deux-Rivière. C’est réuni ensemble, autours des Chevaliers de la Maison Fortemps et Durendaire, que nous avons entendu Jereck parler clairement du devoir qui nous incombait. Bien des visages étaient présent depuis nos aventures, Moutah Pontah bien entendu, mais il y avait aussi Moonkya, une combattante ayant été délivrée du joug Garlemaldais et avait décidé de rejoindre les terres du Coerthas pour y trouver une raison de grandir, de s’affranchir du passé.

Quel ironie ! La voilà prête, apprenant qu’elle affronterait les Impériaux, au soir même de sa première mission auprès des Lameciel. Après le discours de Jereck, Vulkaroix son maître d’arme levant bien haut la Bannière d’Ishgard, le blason des quatre maisons flottant doucement au vent, les flocons de neige tournoyant rapidement autours de nous, et notre expédition fut en route sous les bruits du chariot tiré par nos deux chocobo de trait, les canons anti-dragon impatient de montrer ce qu’ils valent aux machines de l’Empire. La route se passa relativement sans encombre, bien qu’avec un très léger retard à cause du mauvais temps, nous avons tout juste du faire une halte pour découvrir la raison d’une odeur délicieuse provenant d’un groupe de chasseurs à l’Eibis – pour les rares errants restant – ayant parcouru une sacrée distance sans parvenir à atteindre celui qu’ils chassaient. Prenant soin de vérifier qu’ils n’étaient pas des infiltrés, ou autre, Moonkya pu savourer un ragoût sous surveillance de Sir Jereck pour qu’il ne lui arrive rien, avant de les informés du futur problème avec les impériaux à venir. Ils préférèrent détalé en vitesse vers Nid du Faucon, mais nous aurons du leur demander au loin l’aide de ce « Tube-lanceur » expérimental des Forge de Garlond.

Je suis sûre qu’il aurait pu être dévastateur face à nos ennemis ! Mais c’est ainsi, et en continuant la route, le temps ne s’améliorait pas en nous laissant subir le froid et le vent sifflant faisant tousser et éternuer certains d’entre nous. Cependant, ce n’est pas simplement le vent qui fit arrêté Jereck un instant, et il tourna la tête suffisamment tôt pour voir les deux silhouettes des chasseurs Impériaux nous fondre dessus depuis les airs. Hurlant ses ordres, nous nous sommes mit en vitesses en formation alors que Moonkya fonçant se mettre en position de défense de la cible évidente des chasseurs magitek : Nos canons anti-dragon. Passant au dessus de nous à toute vitesse, leurs premiers tirs heurtèrent les parois cristallins des boucliers de Moutah et Moonkya qui en reçue un dans le buste, l’envoyant rouler au sol plus loin dans un cri de douleur. Venant la relevé en vitesse, les chevaliers paniquaient en se mettant en place rapidement, plusieurs tirs continuant de frapper le sol alors qu’ils revenaient pour le deuxième passage. C’est là que Vulkaroix fini par convaincre de ne pas laisser la stratégie Garlemaldaise triompher : Nous bloquer ici était le meilleur moyen pour eux de nous affaiblir et de prendre le Pont, les maigres défenseurs des Durendaires, aussi brave soient-ils, n’étaient pas suffisamment nombreux. C’est ainsi que débuta une course-poursuite parmi les plus difficiles.



Survivre n’était pas tout, il fallait s’en sortir sans blessures graves et avec les matériaux de batailles entier pour que le combat du Pont ne soit pas un fiasco. Le second passage fut mieux préparé, et grâce à Moutah qui rendit plus lourde la machine avant de se prendre un bon coup de lance entaillant le flanc de son métal dans quelques échardes scintillantes, Jereck empêcha les tirs de parvenir jusqu’à la cargaison dans les lueurs de mécanismes de Cielacier projetant un bouclier. Ce fut pour Moonkya que la situation fut la plus compliquée. Bondissante en l’air, sa Gunblade frappa brutalement contre une des pinces d’un chasseur, l’autre l’attrapant à la cape, et la voilà partie dans les airs dans un cri de surprise en flottant au dessus de nous. Continuant à nous mettre en route en vitesse, les chasseurs comprirent que nous ne voulons plus perdre de temps avec eux et se mirent à trouver des solutions alternatives, comme faire exploser la base d’une hauteurs rocheuses pour nous couper la route.

L’énergie magitek frappant la pierre fut incroyable, mais nous laissant suffisamment de temps pour agir, Jereck brisant de quelques tirs les grosses pierres provoquant la chute ce qui permit à Moutah de préparer un bouclier suffisamment tenace pour retarder l’inévitable. Les pierres chutaient en petit nombre, par des trous qui commençaient à se former dans la parois magique, alors qu’un tir bien placé d’un chasseur fit naitre une barrière de flamme devant nous. Heureusement, Jereck fut réagir, et la barrière fini par être rapidement éteinte par la neige du Coerthas bien utilisée en tirant dans une hauteur opposée à l’effondrement de pierre qui fit tomber une bonne trombe de neige sur les flammes. Traversant la neige, je pus me propulser grâce aux sorts de Moutah, parvenant à enfoncer la lame à un lieu critique du chasseur, dont des flammes se mirent à jaillir. J’observais en coin de l’œil, l’autre chasseur qui s’écrasait : Moonkya avait pu s’infiltrer dans la passerelle de pilotage après qu’un des Eques soit sorti pour essayer de lui tirer dessus à l’arc, celle ci lui faisant tâté de sa lame, avant de saccager la table de pilotage – et les pilotes au passage. Le premier chasseur venait de s’écraser lourdement, et le second fonçait droit vers nos troupes venant d’échapper à l’écrasement.

Les boucliers hissés de Moutah et Jereck le firent continuer sa route dessus, explosant là où un instant plus tard, les pierres libérés quand le sort de Moutah prit fin, finirent de l’achevé en s’écroulant dessus. Que de ravage et de dévastation ! Il en était ainsi. Nous étions enfin arrivé jusqu’au pont après tant de temps de voyage, nos formes s’y installant pour voir lentement le jet de lumière nous tombant dessus. Bousculant rapidement Moonkya, un pauvre Chevalier fut prit dans le tir magitek venant de loin et s’écroula, mort bien avant de toucher le sol, en nous faisant découvrir l’ambiance locale : Les troupes Garlemaldais de l’envoyé de Landfust. L’Officier Daegan Kir Rufus tenait ses forces au loin, affaiblissant comme il le pouvait nos troupes à distance grâce au tir de son avant-garde magitek. Il avait déjà envoyé se faire massacrer les simples chairs à canons, des Eorzéen enrôlés de force, et maintenant, il finissait son sabotage. Jereck et Moutah étaient rapidement parti s’occuper des blessés des Durendaires pendant que je m’occupais des blessures de Moonkya qui n’avait pas été épargnée pendant le voyage, la pauvre.

Les canons n’étaient pas encore préparé, et Jereck alla disputer les deux Durendaires qui ralentissaient les manœuvres en discutaillant les ordres ou en les inspectant à l’excès, en se retournant pensant avoir bien fait, une grande explosion se fit entendre et un de nos canons fini en débris éparpillé, propulsant deux pauvres chevaliers au sol. L’autre allait atteindre le même sort, alors que le second chevalier fonçait dessus avant d’être intercepté de justesse par Jereck. Quel désordre ! Et cela aurait été que plus simple, si en face les troupes de Daegan ne s’étaient pas mit en marche pour traverser le pont, venant à notre rencontre.



L’illusion autours des saboteurs prit fin leurs des premières agressions, dévoilant en lieu est place des assassins Garlemaldais aux autours typiquement Domien – des agents survivants des batailles en Orient ayant rallié l’Empire. Landfust en avait déjà fait usage il y à longtemps dans l’affaire des ballons Ixali volé à la Vigile d’acier. Le premier poignarda Jereck en nageant dans les brumes avant de rencontrer un Gunblade en plein visage, ce que je peux vous assurer ne lui laissa plus grand-chose à voir sous son masque. Je m’occupais d’un autre qui avait empoisonné une élémentaliste Sombrelinçoise venue en renfort grâce aux liens de l’Alliance – Ayant une petite pensée pour ce que Tristis me disait quant aux nécessités des liens entres nos nations désormais.

Tandis que le dernier saboteur ayant détruit un de nos canons fini par s’enfuir après quelques passes d’armes avec Moonkya et blessant le petit compagnon de Moutah, Laïlo, d’un jet de kunaï avisé. Il se tenait mal en point, tenant sa blessure à la hanche provoqué par la Gunblade de la Gyr abanaise, tout en hurlant que tout pouvait bien se passé. Que nous pourrions rallié l’Empire, au lieu de créer plus de dévastation et de mort. Que combattre était superflu, quand on pouvait tous grandir sous l’égide Impériale. La colère étreint le cœur de Moutah qui l’attira subitement en passant notre ligne de lance, et il fut accueillit par la Gunblade de Jereck. Le coup était tel qu’il fut coupé en deux, la premier, la plus marquante, des morts de cette bataille.

Certains mirent un temps à se réveillé de cette vision, car tous savaient que c’était loin d’être terminé. Nos lignes étaient en place, boucliers devant les lances, arcs prêts à décochés, Vulkaroix plantant la bannière derrière nos lignes entres deux dalles de pierre avant de tirer son énorme lame. Les Garlemaldais nous firent face, et Daegan Kir Rufus cerclé par deux Centurio déclara la sentence pour les « crimes d’Ishgard » envers le fils de son officier supérieur. Une courte conversation eut lieu, s’achevant par le départ de l’officier vers les lignes intérieurs, et la mise en route de l’Avant-garde. La situation aurait pu être plus simple, mais malheureusement Moonkya fut prise d’un coup de sang, et avant l’ordre de départ des troupes, elle chargea au devant du danger en attirant vers elles les tirs soutenu des Gunblades. Ne parvenant à arrêté sa charge, elle frappa le bras de la machine, empêchant au moins un déluge de feu soutenu par le lance-flamme qu’il allait utilisé. La charge résonna un instant après, se ruant en direction des Eques en ligne, ceux ci eurent bien du mal premièrement à accueillir la ruée Ishgardaise qui s’écrasa contre eux dans un déferlement de lame et de cri de guerre. Moutah nous avait protéger de la seconde nuée de flamme, et cette maudite machine magitek fut rapidement débordée. La bataille avait définitivement commencé après toutes les préparations des Impériaux pour nous déstabilisé, nous vaincre avant même de commencer.

Derrière la ligne se trouvait un groupe de Signifer qui se préparaient à faire usage de la magie pour soutenir les troupes, et leurs sorts auraient été dévastateur si Jereck n’était pas apparu à eux, décapitant le premier des mages des territoires impériaux annexés. Mon objectif était d’essayer d’atteindre Moonkya qui voulait coûte que coûte atteindre l’officier dans l’espoir de faire perdre toute initiative aux Impériaux, entraînant peut-être la fin du combat. Toutefois, il n’était pas si aisé de traverser une ligne de défense Garlemaldaise, et il fallait essayer de lui venir en aide en urgence alors qu’elle était submergée par les protecteurs. Moutah tenta bien de la tirer de là en bondissant au dessus de moi comme Jereck l’avait fait avec Vulkaroix, mais il prit un mauvais coup de lance et je dus percer la ligne jusqu’à l’atteindre. C’était un combat déchaîné, les bruits des métaux et des cris étaient omniprésent, le flou de l’adrénaline montante donnait l’impression de ne voir plus qu’un vague mouvement de foule, alors que la discipline des deux camps leurs imposaient de tenir. Ils ne pouvaient cependant plus faire face à l’avancée des Chevaliers quand Vulkaroix traversa de part en part l’avant-garde Magitek de son immense lame, Alsaroix bondissant à sa suite en levant son épée, entonnant la charge pour se ruer vers nos derniers opposants. La victoire nous appartenait, Jereck avait neutralité les Signifer, deux étant prisonnier dont un eu le bras cassé pour ne pas avoir à continuer à se battre, tandis que j’avais finalement pu atteindre Moonkya.

Les deux Centurio firent face avec bravoure, mais nos forces revenaient lentement à mesure que Moutah faisait tout pour nous tenir en forme après qu’il ait éloigné en vitesse une machine de transmission d’image Magitek sur le point d’exploser, dans une grande déflagration. Le dernier chasseur impérial était descendu au milieu du pont, alors que les troupes avaient clairement abandonné le combat, Moonkya était inconscience dans les bras d’un des chevaliers la portant doucement, alors que tous commençaient à prendre soin des nôtres. J’avais pu atteindre l’officier, en lui envoyant un grand coup de hampe dans le visage, mais les derniers Eques m’ont retenu suffisamment longtemps pour le laisser atteindre sa passerelle. Jereck décida qu’il était temps d’en finir, que cette bataille était terminée, et qu’importe si il rentrait chez lui avec les quelques survivants libre.

L’épargnant ainsi, il voulait montrer qu’il était loin d’être un « sauvage » comme les Garlemaldais se plaisaient à le dire, et sous les injures de Daegan Kir Rufus, sa machine s’envola lentement en travers les flocons de neige tombant sur les décombres du champ de bataille. Il était temps de monter le camp, et de débarrassé le pont des restes de ce combat courageusement mené, nous donnant encore du temps pour retrouver Javius, les Hautepointes. Et tôt ou tard, atteindre enfin le Maître des Étoiles, l’homme au cœur de toute cette intrigue. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 22 août 2019, 17:18

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Quinzième Rapport – Mission de Rang B - « L’artefact d’Atlas.»

« La bataille entraîna naturellement un temps de surveillance des environs du Pont de Fer noir. La journée passant, nous occupant des blessures aussi bien morale que mentale, nous avons mis ce temps à profil pour rapatrier les prisonniers, et surtout les blessés ayant besoin de soin et de chaleureux bien plus que tout autres. Le long de l’entrée sud du Pont, s’y trouvait ainsi des tentes, des feux de camps, toutes installations pour un confort relatif à notre mission consistant à vérifier que tout va bien, récupérer les corps et les matériaux – surtout le magitek pour ne rien laisser derrière nous de la sorte. Il fallait faire en sorte que le pont soit utilisable et loin d’être couvert de restes des morts, de débris et de sang. L’après midi passa agréablement, Tristis Dakwill fit un passage jusqu’à nous escorté d’un Chevalier des Durendaire, inquiet comme il l’était, apportant soins, réconforts, et de la bonne nourriture à qui en avait besoin. Le moral est une ressource précieuse, et nous l’avons entretenu jusqu'à ce qu'un rapport signalant la présence de traces Garlemaldaise, au moins une signifiant qu’un impérial en armure magitek se déplaçait dans le lot.

Une équipe constituée de Moutah Pontah revenu parmi nous, Moonkya ayant laissé sa gunblade en partant avec deux chakram de bataille, et bien entendu à nôtre tête Sir Jereck, demandant au riant Vulkaroix et au désormais taciturne Sebaroix de nous accompagner. Le temps était plutôt agréable, nous y étions habitués à ses quelques flocons tombant dans un vent léger, il n’y avait pas beaucoup de raison de nous en faire quant à la venue d’une tempête. Descendre dans le ravin était notre première problématique, le passage était long, dangereux, glissant, et d’autres adjectifs pour signifier qu’il fallait faire attention. Nous attachant avec des cordages, Moutah le plus léger passa en premier, tandis que Vulkaroix le plus lourd fermait la marche, prêt à rattraper quiconque chuterait. Nous accrochant bien aux paroies, parfois le passage était large et aisé, parfois il était court et sec, craignant de tomber régulièrement dans le vide.

Ce qui manqua pratiquement d’arriver à cause d’une ruse de l’ennemi, lorsqu’un moment nous avons entendu un grand bruit mécanique étrange résonnant le long du ravin. Regardant en contre-bas, il n’y avait strictement rien justifiant ce bruit sec, ni en haut, ni ailleurs. Moutah nous pressa pour aller essayer de découvrir quel pouvait être cette sonorité, jusqu’à ce que la mine sur laquelle Jereck avait marcher n’explose. Il avait eu le temps d’activer ses défenses, aussi personne ne fut spécialement blessé, tout le monde balancé au sol contre la neige, respirant rapidement. Le temps de demander si tout le monde allait bien, recouvert de la brume de la neige soulevé, ce fut le temps où nous étions sur le point de tomber dans le vide à cause de Vulkaroix qui avait chuté, entraînant tout le monde les uns après les autres. Tous plantèrent leurs armes dans le sol, pour se retenir, jusqu’à ce que Moutah givre son grappin contre la roche grâce à son petit camarade Leïlo, nous retenant, Jereck parvenant à hisser Vulkaroix lentement en se tenant à sa Gunblade plantée dans le sol. Nous retrouvant étalés sur le dos, tous ensembles – sauf Moutah, il flottait en l’air, nous devions avoir l’air fin ! Mais il fallait poursuivre notre chemin, finissant de descendre ce passage difficile pour faire face à une étendue de neige immense.



C’était très beau à voir, autant dans le sens où il y avait comme une lande blanche grandiose accompagnée de plusieurs arbres en sortant, l’autre côté du Ravin nous paraissait comme des montagnes lointaine et inquiétante, légèrement brumeuse à cause du vent doux soulevant la poudreuse. Moutah voulait directement descendre le long du canyon, idée confirmée rapidement par Jereck qui trouva d’étranges étoiles, lueurs éthérés autours de nous, invisibles à l’œil nue. Celles ci orientaient clairement une destination identique à ce que Moutah avait choisit d’emprunter jusqu’à arriver petit à petit sur les rebords du canyon, comme une tranchée profonde dans la terre qui risquait de nous faire tomber dans le vide. Les chutes, les projections dans le vide, ça me rappelle les vieilles légendes sur le primordial nommé « Titan » en Vylbrand. Dans l’instant ce qui nous intriguait le plus était le réseau d’étoile complexe plus loin, et les traces de pas menant directement vers le vide. Moonkya s’assurait que rien ne nous tombait dessus dans le dos, observant attentivement les environs avec ses armes en main, pendant que Moutah étudiait les schémas dont il trouvait les failles, parvenant à briser sa cohérence en désactivant le sort de protection après quelques efforts, laissant apparaître la bête hideuse, une entité aux cornes et aux griffes bleutés rayonnantes, qui ne bougeait pas d’un pouce.

Fixant l’horizon, sans rien faire du tout. J’inspectais le canyon où une partie des traces de pas finissait, jusqu’à disparaître dans le vide où en se penchant, on pouvait y trouver la dépouille récente d’un Eques Impérial fracassé contre la glace. Nous n’avons pas inspecter le corps plus que ça, ni pour le faire remonté, Jereck s’intéressant rapidement au monstre qu’il pensait agressif, mais nous ignorant jusqu’à la fin, nous avons décidé de partir et de continuer notre route au lieu de nous y intéressé. Lentement, l’illusion s’estompa, ne laissant qu’une lueur étoilée qui elle même nous quitta. La marche fut plus ou moins longue, seule cette impression de marcher pour rien faisait cet effet, puisqu’on progressait petit à petit en ne voyant pas le bout, mais à la fin de la route, nous voilà en face d’immenses montagnes au lointain des chutes gelées en dessous de nos pieds. Une vision fabuleuse nous rappelant à quel point nous sommes petit face au monde, mais le groupe s’intéressa immédiatement au Centurio en armure magitek installé sur un tabouret au niveau d’un feu de camp.

Plusieurs propositions pour prendre l’initiative dessus furent proposés, mais au bout du compte Jereck décida d’aller discuter avec lui, ce qui se déroula sans aucunes hostilités. Bien que méfiant, craintif pour sa sécurité, ce certains « Menaro » nous expliqua rapidement sa situation : membre des Populares en secret, comme son chef et ami Javius Pyr Sonorion, il avait du joindre les forces de Rufus pour essayer de trouver un moyen de l’empêcher de mettre la main sur le fils de Landfust. Si la vérité était découverte sur l’affiliation de Javius, il courait tout droit vers des expériences génétiques abjectes qui en ferait un serviteur dévoué, quelque soit sont avis. Moutah découvrait la splendeur de cet endroit, le schéma complexe et magnifique d’un sort de grand ampleur créant un autant une protection qu’un espace de travail, généré par l’Astromètre Sharlayanais fait d’or et de platine. Son possesseur vint à notre rencontre, Moonkya devinant aisément ses origines, le Sharlayanais portait le nom d’Atlas. Coincé ici pour tenir un sort correctement en ce lieu, son utilité nous était encore inconnu pour l’instant, mais les réponses n’allaient pas tarder à nous être apportée. Après une agréable conversation, il nous indiqua Menaro en nous confiant le Garlemaldais pour qu’il nous guide jusqu’au sanctuaire rechercher par le dernière assassin Domien à la solde de Daegan Kir Rufus. Et ce avant qu’il ne parvienne à ses fins.



Quittant Atlas en quelques salutations aimable, Moonkya ayant du mal à ne pas l’observer au vu de ce qu’il pouvait potentiellement représenté, nous avons pu partir sous les lueurs fantastiques d’une constellations d’étoiles splendides et reluisantes. Les cartes de divination de l’astromancien tournoyaient autours de nous, le sentiment d’être plus tenace, plus fort, plus prompt à répondre à l’appel du combat nous gagna sur l’instant. Et cela nous serait fort utile vis à vis les problèmes qui nous attendaient. Menaro nous guida plus ou moins là où il avait été abandonné par ses camarades survivant, peu après être tombé dans le piège de l’illusion : Le domien avait ordonner à un des Eques de faire diversion, et celui ci s’était jeté involontairement dans le vide, d’où le corps que nous avons retrouvé. Descendant avec ses derniers alliés, ils avaient mit de côté Menaro qui avait retrouvé Atlas en continuant sa route désespérée dans la neige. Il fallait descendre dans le canyon au fond du ravin, et le faire doucement pour ne pas glissé le long des chutes glacées de Grisequeue. Moutah fut le premier à descendre lentement, installant son grappin pour nous créer une corde pour la descente, il prit soin de le faire doucement en usant de son astromancie pour ne pas s’écraser comme une crêpe.

Arrivant jusqu’en bas en identifiant les lieux avant de nous faire partir, il eut à peine le temps de nous dire qu’on pouvait descendre, qu’une silhouette d’un Eques progressa devant lui. Il n’avait pas eu le temps de dire grand-chose, puisqu’il était déjà mort, le corps scindé en deux laissant apparaître derrière lui un Golem recouvert des glyphes et des cristaux scintillants d’étoiles. Ils n’étaient pas aussi simple et difforme que les engeances élémentaires de l’entité des glaces que nous avons confrontés, c’était un Gardien abandonné derrière un passage oublié. Le golem ressemblait beaucoup plus à celui que les brigands avaient déterrés au nord de l’Observatoire dans les terres centrales du Coerthas. Et il n’était pas seul. Vulkaroix fit appeler par Moutah, et ne fit pas dans la dentelle. Les ténèbres nouvelles de son Estime récente encerclant son être un bref instant alors qu’il bondit en l’air dans un cri de bataille, s’écrasant au sol sur le premier Golem en vue, se blessant à la jambe au passage. Lui et Moutah allaient faire équipe pour combattre les apparitions, Jereck et moi descendions en plusieurs bonds sur la paroi de givre. Lui fit explosé un petit groupe en arrière, venant le combattre très efficacement avec sa gunblade, pendant que je m’occupais d’un autre pour brisé l’encerclement de Moutah et Vulkaroix. Pendant un instant, la bataille fut éclatante, mais les entités de pierres étranges reluisante de magie des étoiles se reprirent trop rapidement, et plusieurs furent blessés. Menaro avait du mal à marcher, Vulkaroix boitillait un peu – bien que ce soit plus de sa faute, et je me traînais difficilement à la fin de la bataille quand il ne resta plus aucun de nos opposants, ayant reçue une mauvaise blessure à la hanche, imbibant mes soierie d’écarlate. Une telle douleur ! Je n’avais pas reçue de blessure de la sorte pendant la bataille du Pont du Fer noir, je trouvais ironique de finir ainsi en poursuivant ses conséquences.

Soignée d’urgence par Moutah, je le remerciais au moins de ne plus perdre de sang, remontant le long du canyon pour atteindre notre destination. Le dernier Eques accompagnant le Domien était au sol, au milieu des débris des golems vaincu, en très piteuse état. Plus loin son maître se trouvait là, en train de jouer avec le plateau que nous devions retrouver, mais ses efforts rendait la situation chaotique : Il était en train involontairement de réduire à néant les schémas du plateau étoilé, ce qui risquait autant de brisé le sort que de créer une explosion suffisante pour détruire un des pylônes du pont. Moutah lança son Astromètre, lançant une réparation rapide des schémas pour les remettre en place, ce qui attira l’attention du Domien. Il extirpa ses mains du schéma en réparation, provoquant une faille délivrant une énergie grandiose sur lui. A l’image de l’Adepte du Maître des étoiles en Abalathia, sont corps fut lentement réduit à l’état de poussière brillante dans un cri résonnant en échos. Mais Jereck eu le tort de faire confiance à l’Eques qui annonça se rendre, un instant après, il sorti un canalisateur. C’était un Signifer ! Il projeta une boule de feu qui explosa d’un coup au milieu de nous, m’envoyant avec Menaro au tapis.

Ma dernière image avant de me réveillé plus tard pendant le retrait des troupes vers Nid du Faucon, à été de voir Vulkaroix récupérer la tablette réparée par Moutah, et Sebaroix massacré le Signifer en allant ensuite s’occuper de Jereck, dont je voyais le visage meurtri d’inquiétude et de regret. Malgré la réussite, cette mission nous avons coûté au moral, les conséquences de nos erreurs de jugement. Il est désormais temps de profiter pour nous ressourcer deux jours durant lors de notre permission. Deux-Rivière étant sûre maintenant, je ne cessais de me demander : Quels seront nos prochaines missions ? Et quand parviendront nous enfin à mettre la main sur le maître des étoiles ? Ses réponses viendront. Tôt ou tard. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 25 août 2019, 14:09

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Seizième Rapport – Mission de Rang C - « Intervention inattendue.»

« Le rapport sur la machine magitek errante vers les étendues d’Annexe Trime, dans les territoires Dravanien, tomba le lendemain de notre retour en Ishgard après avoir rapatrié chez eux les troupes participante à la Bataille du Pont du Fer noir. Profitant des deux jours de repos, cette mission était cela dit trop importante pour que notre repos puisse profité de plus que les deux jours de permission : La tâche venait du Baron Melestian de Lameciel, vassal du Comte Artoirel de Fortemps, Chevalier-Dragon de la Sainte-Citée. Il avait pu en parler avec l’amie dragonne dont je ne saurais écrire le nom autant que le prononcer, pour envoyer ses chevaliers enquêtés sur la nature de leur présence ainsi que sur la disparition des dragonnets. Afin que toutes pistes sur ce monstre de Naraam ne disparaissent pas trop vite. Il n’était pas question d’envoyer une troupe de guerre entière pour nous occupé de cette affaire, surtout si proche des terres des Dragons, nous sommes parti pour accomplir cette tâche avec l’équipe des Lameciel uniquement : Moonkya vint mais le mal de l’éthérite la cloua malheureusement à la Penne. Moutah Pontah, notre Astromancien, ainsi que la troupe de Chevaliers des Fortemps : Sir Jereck. Sir Gaedon Sorel, Sir Bedivere Lavalette, et moi même.

Le passage de l’éthérite fut ma foi moins complexe que je ne l’imaginais, cela faisait bien longtemps que j’en n’avais pas eue usage, et nous voilà brusquement présent sous couvert des bruits de vomissement, au milieu du paysage nocturne Dravanien. Le maitre des Chocobo nous attendait avec les destriers attendu, grimpant chacun sur les nôtres – Bien que je devais prendre en charge la présence de Lavalette à mes côtés, ne sachant monter sur un Chocobo, il se tint à moi comme si j’étais une poutre de maintient dans un débit de boisson enfumé. Presque de l’entraînement d’équilibriste pour moi. Et nous voilà, nous hâtant le long des routes sous les grands pas des pattes de nos chocobo traversant la forêt jusqu’à parvenir petit à petit, les heures passant et le soleil laissant place à une pleine lune fabuleuse et brillante. Ceci dit, durant la route il y eu quand même le problème d’une wyverne passant rapidement au dessus de nous, affolant les Chocobo.

La poussière fut soulevée d’un coup en nous aveuglant dans un grand tourbillon, effrayant mon chocobo de guerre massif, ce n’était peut-être pas Wilfried, mais il était bien compliqué de l’apaisé vu sa rage qu’il avait et son envie d’en découdre avec la wyverne. Quelques légumes passés et le calme reprit, reprenant la route en se protégeant de diverses façons pour ne plus que les Chocobo ne se laissent aller à observer une quelconques bêtes effrayante risquant de nous faire perdre du temps. Il n’y avait que de vieilles ruines perdues, mais c’est aux abords de grandes roches que la machine magitek ronronnait calmement non loin du feu de camp étendant une longue fumée grise. C’était une des rares fois où cela nécessitait une approche préconisant un éclaireur, et Lavalette ainsi que Moutah furent chargé de faire équipe pour accomplir cela. De notre côté, nous nous sommes installés avec Gaedon aux rochers bien plus loin en récupérant ma longue-vue, pour préparer une investigation, et surtout, une surveillance de nos camarades en mouvement vers le camp Impérial. Et Gaedon m’alerta rapidement de la venue d’une troupe Garlemaldaise.



Ce qui était étrange avec cette troupe, c’est qu’ils étaient clairement en position d’attaque – Le schéma était net, les Eques prenant leurs lances pour préparer une charge aux côtés de l’Officier les gardant en laisse en ayant sa Gunblade en main, deux Signifer tenant leurs catalyseurs prêts à s’en servir. Ils n’allaient pas nous attaquer nous, mais clairement le campement. L’observation ne signalait pas que nos compagnons en position de recherche aient été attaqués d’une quelconque manière, c’était pour eux une mission calme et porteuse d’information importante, car c’était certes des Garlemaldais présent ici, indéniablement, cependant la situation commençait à être de plus en plus compliquée, et véritablement pas aussi simple qu’il n’y paraissait. Les rapports de Moutah affluaient pendant que Lavalette lui restait autours du camp en préparant une embuscade et des diversions si nécessaire, tout était prêt pour un combat difficile. Mais cette symbolique, cela me rappelait rapidement le Centurio Menaro qui doit être en train de soigné ses brûlures à ce moment même auprès de Tiberus, et j’eus crainte qu’ils assaillent un groupe de Populares qu’on nous avait apprit à défendre.

Le temps jouait clairement contre nous, car il était difficile de savoir ce qui pouvait se dérouler auprès de Moutah qui avait fait une bien singulière rencontre sur les hauteurs rocheuses qu’il escaladait en usant de ses pouvoirs lui permettant de se déplacé en l’air. Toujours aussi pratique, comme compétence ! Et alors que nous nous apprêtions à charger avec Gaedon, en croisant les doigts de ne pas avoir fait d’erreur monumentale en risquant d’être attaqués autant dans le dos par ceux du camp, qu’en face par le groupe d’assaut. Nous ne savions pas qu’à ce moment là, le combat était déjà réglé d’avance. Nous ruant à l’assaut brusquement, Moutah courant sur nos talons en bondissant dans les cieux, il faillit se prendre l’immense forme qui fonçait vers eux. Pour ma part, je m’enorgueillissais d’avoir touché un des Eques quand l’énergie usée de ma lance, trois glyphes s’éteignant d’un coup en quelques étoiles éclatantes, s’écrasant brusquement contre le torse de Garlemaldais en aveuglant à peine ses camarades. Ils étaient bien trop occupés à s’écraser au sol quand l’immense dragon aux écailles noirs passa juste au dessus de leur tête.

Choqués par la scène. Ceux qui avaient eu le temps de se relevé, furent prit dans l’impact du bouclier de Gaedon et de mon épaule, les envoyant au sol au plus fort qui soit. Un des Signifer reçu un Moutah alourdit au plus fort possible en plein torse ce qui l’écrasa par terre lourdement. Et les deux derniers restaient écrasés au sol à cause du passage du dragon. Et Par Halone, comme j’avais envie de faire de même ! Cette allure était effrayante, un des alliés connu par Moutah lors de sa quête « Du chant des Dragons » où il l’avait libéré de l’Emprise de la haine. Vaincu en un instant, l’adrénaline faisant battre mon coeur à toute allure en regardant autours de moi, ne voyant plus que l’Officier. Gaedon lui avait ordonner de donner son identité et la raison de sa présence ici, mais il resta sur la défensive, braillant qu’il ne dirait rien à des sauvages de notre espèce. L’envoyant brutalement au sol d’un coup de lance à l’épaule, sans le blessé. Il était temps de comprendre, et de parler.



S’imposer par la force est une manière de faire craindre à ses ennemis que si ils ne coopèrent pas, ils recevront de tels châtiments qu’ils ne pourront que s’estimer heureux de ne pas quitter les lieux avec tout les doigts cassés et les ongles retirés. - Ce que je ne fais pas, soyons clair, bien que je dois avec beaucoup de doigt cassés à mon actif, c’est une technique pour maîtrisé un citoyen agressif sans lui faire « trop » de mal. Les soldats impériaux encore réveillés étaient tétanisés au sol, pour ceux qui n’étaient pas simplement inconscient, Lavalette marchant tranquillement au milieu de ceux ci en observant les Eques pour qu’ils ne soient pas prit de courage et essayent de nous assaillir. Plusieurs des Populares approchaient en montrant bien leurs mains en évidence, approchant vers Moutah en essayant de lui montrer que leurs intentions n’était pas belliqueuse. Pour eux, c’était une intervention totalement inattendue : Comment aurait-ils pu deviné qu’ils allaient être sauvés autant par l’envolée d’un dragon que par la présence de plusieurs chevaliers Ishgardais en armure lourde. Si nous avions pu profité d’une conversation constructive, cela devait attendre la dernière tentative du forcené Garlemaldais qui leva sa Gunblade pour tirer sur Gaedon, la munition percutant l’armure en l’abîmant gravement, ainsi que l’homme derrière les renforcements. Moutah intervint directement en usant de ses sortilèges dans une lueur brillante de son astromètre.

Bien que l’inquiètude montait, quand vous voyez un camarade être blessé peut-être mortellement sous vos yeux, ce qui éclate en vous par expérience c’est ce sentiment de colère aveugle. Si vous n’avez jamais été dans cet état, je vous prie de me croire sur parole : La vue qui devient légèrement flou, le sang vous montant tant à la tête que vous voyez légèrement rouge. Et vos pensées ne sont plus des phrases construite mais des acheminements d’image rapide de ce que vous prévoyez de faire à votre ennemi. Je frappais dans sa jambe pendant qu’il reculait pour s’enfuir, si fort que sa jambe se cassa autant que son armure magitek dans des bruits d’acier et des étincelles reluisantes. Tombant au sol en hurlant, rien ne pu être tiré sur ce n’est de la bave et des insultes, un des Populares nous expliqua qu’il s’agissait d’un Fanatique, si zêlé que même ses hommes encore conscient, comme Lavalette le découvrait en leur parlant, détestait eux même cet homme.

Un serviteur de Daegan Kir Rufus venu pour deux choses selon les ordres découvert par Gaedon en fouillant son équipement : Récupérer des dragonnets pour le groupe principal œuvrant à permettre de nouvelles expérimentations de Naraam Aan Oronir. Et éliminé les transfuges mené par Kir Corvex, lui même aux ordres direct du Centurio Menaro. Sa rencontre et notre conversation permit de comprendre mieux la situation, et nous nous jurions qu’en échange des informations, il serait envoyé l’équipe de Tiberus pour réparer leur machine magitek sous surveillance du dragon qu’avait rencontré Moutah, après les dégâts reçu par un tir magitek envoyé de la par des hommes de Kir Rufus. Notre prochaine destination sera la Marroche où la troupe d’expérimentation devait se trouver. Mais pour l’instant, il fallait mettre aux fers à la Penne le groupe Impérial, ainsi que reprendre des forces. Sur la route, longue et fatigante, je m’interrogeais plusieurs fois sur l’air perpétuellement surpris de l’officier qui avait tiré sur Gaedon. Avant de réalisé que Lavalette avait dessiné à la cendre sur son visage. C’était.. Amusant. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps.
 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 26 août 2019, 15:13

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Dix-septième Rapport – Mission de Rang B - « La ruine aux expériences.»

« Il était grand temps de finir notre objectif principal depuis notre présence courte en Dravania. Ce n’était pas un de ses long voyage comme celui d’Abalathia où nous avions aussi un objectif scientifique étendu sur quelques jours, il fallait ici accomplir une mission spécifique : Sauver les dragonnets. Maintenant que la menace Garlemaldaise avait clairement été identifiée, il fallait rejoindre la Marroche, un lieu isolé au nord d’Annexe Trime où les soldats de Daegan Kir Rufus avait trouvé refuge. Les discussions avec les prisonniers traitaient d’un homme au masque de fer enfermé dans un coin, qui pouvait autant être une victime qu’une expérience, mais le sauvé devenait une nécessité. Comprendre ce qu’il se passait était primordial pour trouver peut-être un accès pour atteindre Naraam. C’est donc sur nos gardes et sans le transport de nos Chocobo pour les mettre en sécurité (bien que si Wilfried était là, ça aurait été pour mettre l’ennemi en sécurité…) que nous sommes parti avec le sifflet des chasseurs de la Penne. Si le combat devenait trop dangereux, ils pourraient intervenir, mais j’ai toujours réticente à accepté un tel fardeau : Plus de camarades sont concernés par un combat, plus le nombre de victime peut-être élevé.

Nous étions donc avec le Sir Jereck, le Sir Gaedon Sorel remit du tir de l’Officier Garlemaldais grâce aux efforts de Moutah, qui de lui même était présent pour veiller sur nous ce soir. Cette petite équipe de quatre se mit en route pour la Marroche à quelques heures de marche de là. Progressant paisiblement, sous un ciel étoilé splendide reluisant de milliers d’étoiles brillantes au firmament, la tranquillité était plaisante à vivre pour peu qu’une tempête de poussière ne s’élève pas au milieu de notre route. Si ce n’était pas une tempête, cela aurait pu paraître, quand une nuée de Chocobo se rua sur nous en nous esquivant pour la plus part, contemplant le spectacle, jusqu’à ce que Gaedon se fasse fracassé par un Chocobo massif aux airs maladroits et paniqué. Prenant le temps de relevé notre camarade tout en lui offrant quelques restes de légume dans les fonds de besace de Moutah, il portait un collier l’identifiant au nom des « Hautelame », nous désignant aisément de qui il s’agissait, et un instant plus tard, il fut retrouvé le corps gisant de Landrin Hautelame, l’Astromancien rencontré peu avant l’affrontement contre son frère, Marass.

Il était inconscient, ayant été frappé lourdement au crâne laissant quelques traces de sang. Pendant que Moutah s’en occupait, Gaedon inspectait les environs en se demandant se qu’il s’était passé. La réponse fut très simple, et loin d’être une complexité furieuse : Le pauvre s’était cassé la figure en se prenant une branche dans le crâne car il contemplait les étoiles, et sont chocobo s’est emballé. Quel histoire ! Lui laissant de l’hydromel pour le réchauffer et une ration pour le rassasié le temps qu’il soit apte à reprendre sa route vers La Penne pour y trouver du repos, nous avons continuer notre route en arrivant lentement vers la Tour où d’odieuses expérimentations avaient lieux. Qui prouverait encore une fois que la récompense aux funestes tentatives sont toujours des résultats peu désirable, même pour soit même.



Arrivés jusqu’aux ruines de la Marroche ne fut pas bien difficile, mais le plus intrigant était la manière dont les lieux étaient protégés. Même à notre distance, une sentinelle bien placée aurait pu nous repéré et engagé un combat plutôt rapidement. La clé de cette intervention était la vitesse, pour sauver l’homme au masque de fer et les dragonnets, mais à la place il y avait deux colosses en armures magitek complète, restant inactif à côtés de grandes épées. Je pensais que cela pouvait être des machines, et en agissant en vitesse, il était possible de les désactivés avant que les griffes d’arrestations magitek derrière elles n’interviennent. La discussion avec Gaedon et Moutah fut courte : Ils s’occuperaient de ceux de Gauche, et je partirais avec Jereck affronter celui de droite. Fonçant en vitesse vers nos adversaires respectifs, je perdis mes deux autres camarades de vues en me concentrant sur mon opposant, les gardiens empêchant d’accéder à la tour en ruine dont la porte était certes ouverte, mais bloquée par un champ de force visible dans une lueur bleuté inquiétante.

Jereck fit une bonne diversion, malgré le grand coup pied qu’il reçu en plein torse l’envoyant sur le dos, le temps me fut offert pour frapper dans son dos, au niveau de la nuque, là où ce genre de machine à généralement des tas de câblage redirigés vers les différents membres. Comme le corps d’un être humain ? Cette comparaison est ironique, car avait effrois, j’observais le sang qui se mit à couler le long de son dos. La blessure était sérieuse, il lui fallait du soin d’urgence, mais l’homme à l’intérieur en avait cure. Esquivant l’onde d’énergie fracassante en me couvrant derrière un arbre, j’essayais de trouver une solution pour extirper la personne de là, car il pouvait bien être un prisonnier contraint vu que l’armure avait l’air plus active que le pauvre bougre à l’intérieur. Me souvenant de cette vieille sphère foudroyante dont je lui avais offert une seconde vie relative sur l’Aeronef nous ramenant d’Abalathia, je l’extirpais de mon sac en priant la Déesse qu’elle soit suffisante : L’envoyant d’un coup vers son armure, les arcs foudroyant apparurent en lui arrachant un grand cri de douleur. Jereck commençant à ma demande à lui retirer son armure en vitesse, découvrant le Gyr Abanais dont des expériences avait marqué le corps, pour le lié à cette armure.

C’était affreux à voir, mais je suppliais Moutah de venir m’aider en urgence. Ceux ci étaient occupés avec l’autre prisonnière, une Roegadyn qui allait finir par perdre la vie devant la violence de leurs coups : Ils voulaient l’assommé, mais elle n’avait pas de conscience propre, elle n’alimentait que cette armure usant de son corps comme d’une batterie. Quel odieuse idée ! Cette vision m’empêcha presque d’esquivé la griffe magitek qui faillit me saisir, entamant un combat difficile. Le premier coup avait l’air d’être fatal, mais comme dans un second souffle, la voilà se relevant pour m’attraper et essayer de me traîner avec la tour. Parvenant à la détruire avec un poignard dans ses mécanismes mit à vif par le premier assaut, les hurlements de peur venant de la tour estimait que la situation était suffisamment critique pour nous hâté. Pendant que Moutah s’occupait du Gyr Abanais qui pouvait peut-être être sauvé, Gaedon inspectait le champs de force en esquivant d’urgence le petit caillou lancé dedans qui rebondit d’un coup. La seconde griffe magitek était inactive, à côté d’un panneau de contrôle qui me fit grandement hésité, mais je n’avais clairement plus le temps de pesé le pour et le contre. Appuyant brusquement sur le bouton vert, la griffe s’éleva et passa à travers le champ de force, l’ouvrant quelques instants. J’attrapais Moutah pour bondir dedans et rouler au sol, non loin de Gaedon, remarquant en me relevant que le champ de force restait ouvert, rendant quelque peu inutile mon empressement. Mais cette pensée disparue bien vite, happée par l’odeur infecte des lieux.



La puanteur de la mort, celle qu’on reconnaît aisément, un flash vague de Ghimlyt m’apparaissant un instant que je chassa aussi-tôt pour ne pas être prise de folie. Une ambiance morne ponctuée par un hurlement lointain, la luminosité n’était pas au beau fixe, mais quelques éclairages avaient été installés ici et là, avec de nombreux câblage posés sur les murs et les plafonds. C’était censé être un laboratoire expérimentale de fortune conçu par les agents de Naraam, envoyés spécifiquement par Daegan Kir Rufus, et ce que je sais des scientifiques perturbés, c’est qu’ils ont bien moins de façons de pouvoir gérer leurs belles machines magitek sans approvisionnement au céruleum depuis leurs réserves d’énergies. Gaedon passait devant, bouclier levé, alors que Moutah surveillait nos arrières, je prenais quant à moi le temps d’approcher le long des escaliers en tranchant de la pointe de ma lance, dès que possible, des câbles de relais d’énergies.

Sans être certaine du résultat, un sabotage efficace ne se fait pas dans la demi-mesure, et ce découpage dura jusqu’à notre arrivée et la scène morbide qui voulu achevé mes tripes sans réellement y parvenir, heureusement pour moi. Des Eques avaient été réduit en telle charpie qu’il était difficile de savoir quels morceaux appartenait à qui, un déchaînement de violence rare laissant des traces de griffures dans la pierre et l’acier au milieu du massacre, la luminosité évitant d’y voir clairement tout les résidus sanglants et les traces de sang, si ce n’est de grandes tâches sombres devenant écarlate quand un peu de lumière passait due aux câblages dévastés projetant des étincelles. Dans une cage, deux petits dragonnets paniqués tournaient en rond en couinant, voulant définitivement sortir de là pour ne pas finir dans le même état que le troisième : Les expériences avaient eu lieu dessus, il était boursouflé, rendu plus grand, et l’air plus féroce, avide de dévorer ceux l’entourant. Sa voix se faisait entendre en échos au fond de nos entrailles, suggérant que le scientifique recroquevillé plus loin allaient avoir le droit sous peu à un massacre en règle pour nourrir son évolution.

Essayant de le retenir le plus longtemps possible pour chercher une solution, c’était irremplaçable, tout était perdu pour lui, et même la magie de Moutah ne pouvait que me donner un bref instant de répit un instant après qu’il ait massacré le Scientifique en commençait à le dévorer à grande bouchée sans que je ne puisse le sauver. Gaedon ayant sauvé les dragonnets, j’arrachais la source magitek de sa nuque en le laissant s’effondrer au sol, dépérissant rapidement avant de n’être plus qu’une dépouille brisée au sol. Quel malheurs de voir ça ! Nous avons évacués les lieux en récupérant les mémoquartz et tout ce qui pouvait être utile , sachant que d’autres finiraient par débarrasser les lieux, notamment les Dragons de l’Annexe Trime quand ils sauront ce qu’il s’est passé ici. L’homme au masque de fer fut sauvé, le frère de Malgus : Alger Corvex, qui avait été prévu pour abattre les déserteurs en se faisant passé pour celui ci, le visage défiguré par une grande balafre et son troisième œil arraché. Pendant que les dragonnets étaient ramenés chez eux, et qu’il était temps pour nous de rentrer en Ishgard, lui fit le choix de partir essayer de retrouver Javius. Avec un peu de chance, peut-être que cela nous donnera des nouvelles de lui dans les temps à venir ? Pour l’instant, Ishgard nous attendait, et les rapports de Stanislas aussi. Peut-être que notre prochaine mission se déroulerait bien loin du Coerthas. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 28 août 2019, 14:53

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Dix-huitième Rapport – Mission de Rang B - « La gare aux faux-semblants.»

« C’est le début de notre expédition dans le Thanalan. J’ignore combien de temps nous prendra cette opération pour soutenir Moutah Pontah, et retrouver un des membres de sa famille, mais nous avons du prendre des précautions pour faire en sorte de ne pas être tués par la chaleur bien avant d’affronter nos ennemis. Surtout pour des Ishgardais comme nous, Jereck à travaillé sur un système de refroidissement à base d’éclat de glace, marchant à peine au vu du peu de temps que nous avions pour nous préparer à ce qui nous attendait une fois là-bas. Ul’dah, la capitale, est un endroit charmant bien que vraiment trop animé dans des mœurs bien différente de notre belle citée. Apparaissant à la place de l’éthérite, Moutah nous attendait, et nous voilà avec Sir Sorel, Sir Jereck et lui en route vers la porte Est de la ville. Le jour était encore en place, il y avait des danseuses se déhanchant donc certaines étaient là pour trouver une place en couche dans la nuit, du moins me semblait-il, peut-être les jugements sont rendu bien plus sévère par mon éducation Ishgardais.

L’extérieur nous attendait, sortant directement après être entré dans cette grande capitale du commerce avant de découvrir l’étendue désertique sous les lueurs du jours. Les lames de cuivres nous observaient avec curiosité, des Chevaliers Fortemps ne passent que rarement aussi loin de leurs terres protégés, mais cette dévotion était plus importante que la distance, et nous voilà sous couvert de la carte fournie à Moutah, en route pour la Gare de la Chaude-Allée. C’est là-bas que les premières sources ont fuités sur de la vente humaine arrivant directement aux possibilités qu’un Pontah ait été vendu il y à très peu de temps. Pressé sûrement par son envie d’en savoir plus, Moutah paraissait bien plus distant et concentré sur sa tâche, on y retrouvait plus là, la marque d’un aventurier qu’il fut que le compagnon qu’il était devenu. Partant directement en évitant la déviation de la route, c’était un espace naturel et dangereux, recouvert de végétations et d’arbres sans feuilles. Les broussailles montaient parfois haut, et de nombreuses bêtes erraient pouvant être plus dangereuse l’une que l’autre, surtout ses maudites guêpes de la taille d’un karakol du Coerthas. C’est sur un son de clochette, que Gaedon disparut dans des fourrés pour nous montrer un frelon aux gros yeux ronds avec un collier. La petite bête avait l’air effrayée, étonnante réaction pour l’espèce, et il fut choisit de la libérée surtout en voyant son collier.

Appartenant à une certaine Rorola Rola, venant du village où nous devions aller, il y avait des nombreuses traces d’une activité présente ici, et une flèche planté dans un arbre. Quelqu’un voulait que cette bête reste là, et ce n’était certainement pas un Lalafell. « Eclair » comme on apprendrait plus tard son nom, s’installa sur l’épaule de Gaedon en lui faisant confiance, après avoir été libérée, nous étions confiant en nos chances de trouves des indices profitables. Ce jusqu’à voir Moutah chuter dans une descente de sable et de poussière au beau milieu d’une conversation. La descente était raide et Moutah filait à toute vitesse jusqu’à avoir pu se stabilisé avec sa magie, mais Jereck avait voulu l’aider, et nous nous retrouvions avec lui à glisser le long du sable et de la poussière d’une très longue descente dont la fin ne semblait pas mortelle. Nous arrêtant un instant grâce à la magie de Moutah, il aurait été extrêmement compliqué de remonté là-haut, et nous avons finalement décidé de descendre jusqu’en bas.



Cela aurait été plus simple, alors que Gaedon se faisait glisser en tournoyant en rond très rapidement sur son bouclier, si il n’y avait pas eu des obstacles vraiment inattendu : Des fourmis géantes, attirées par les déplacements et les vibrations, prises à leurs tours dans le désordre de la poussière et du sable faisant tout chuter vers le bas, leurs trou creusés n’aidant vraiment pas à aller plus lentement, et nous filions à toute allure. La première fourmis fut percutée en pleine tête par le bouclier de Gaedon, et le voilà virevoltant dans les cieux avant de s’écraser dans le sable d’un coup. Continuant plus douloureusement sur le dos en poursuivant sa route. Des coups de lames, un tir de Gunblade salissant envoyant des humeurs et des la chitine ici et là, jusqu’à percuté une pierre nous envoyant en l’air en finissant par nous écrasé par terre en roulant un peu sur la route que nous aurions pu emprunter, mais avec un voyage bien plus long. Moutah avait trainé une fourmis avec lui, et celle ci fut bousculée de sa trajectoire par Gaedon lors de la chute finale, autant que par Moutah pour ne pas qu’elle s’écrase, mais elle voltigea tellement loi qu’elle s’écrasa dans le village.

On y était, la Gare de la Chaude-Allée – Rien à voir avec des passes de jeunes femmes très ouvertes, mais je m’égare. L’endroit avait un certains charme, une place aux nombreux marchands installé non loin des rails qui servaient de limites naturelles entre l’espace marchand et l’espace de vie où la dizaine de masures plus ou moins grandes étaient dressés. Des ingénieurs travaillaient sur une machine alors qu’un Lalafell nettoyait son wagon trafiqué en rigolant, discutant avec un des techniciens. Nous sommes directement aller voir les Lames de Cuivres pour parler d’Eclair, afin de retrouver une certaine Rorola, et Jereck s’entendit à merveille avec un jeune Hyurois, même si le Miqo’te avec lui était détestable et partit à la rencontre de son Major, surnommé « Le tranchoir » due à son bras remplacé par la lame d’une Hache. Passant à côté de l’énorme fourmis qui s’était éclaté sur un chariot à choux, poursuivie par deux Lame de cuivre alors qu’elle fuyait vers sa colonie, parfaitement paniquée et des choux partout, Gaedon n’eu pas beaucoup d’information de la part des marchands qui le rejetait naturellement. Jusqu’à tomber sur un homme parfaitement sympathique vivant ici depuis longtemps, et nous offrant des bonnes parts de guiches au lardon simplement délicieuses.

Nous sommes aller, le ventre plein, à la rencontre de Rorola après un vague regard vers le Major qui feint le désintérêt en nous fixant un bref instant, les retrouvailles entres elles et Eclair fut touchante, ayant clairement cru que l’instinct avait été dévorée par des fourmis. C’est ce que lui avait dit son Père et des explications s’imposaient : Eclair était un frelon dompté à l’aide de son mentor élémentaliste lors de son périple en Gridania, où il avait apprit à manipuler l’eau pour l’offrir aux égarés Thanalanais afin de protéger le monde de la soif. Il était contraint ici à soutenir les projets du Major pour attirer un véritable cartel du commerce entres brigands et enleveurs, un oasis du crime. Mais alors qu’il effectuait ses aveux, un tir éclata le plancher et l’atteins à l’épaule, l’envoyant au sol pendant que sa fille fuyait en criant de peur. Les Lames de Cuivres s’approchaient de nous, nous accusant d’être responsable de cette tentative de meurtre, si pour Moutah ils étaient tous à la solde du Major, il devenait petit à petit évident avec la conversation entre le jeune Hyurois et Jereck qu’ils avaient aussi été manipulés par les mensonges. Et c’est à partir de là que tout alla très très vite.



Il ne fallait pas se laisser arrêter, cela n’aurait été que contre-productif et au pire mortel au vue des desseins de nos ennemis. Retenant mes coups, et me battant sans ma lance, je devais subir les assauts de plusieurs jeunes fantassins des Lame de Cuivre pendant que Jereck discutait en se battant avec le jeune combattant qui lui criait de se rendre sans que le sang n’ait à coulé. Gaedon profita de l’ouverture pour filer rapidement atteindre le tireur embusqué avant qu’il ne s’échappe. La tension montait de plus en plus, pendant que le Major organisait sa fuite avec un des wagons modifiés à cette gare, récupérant une étrange valise en préparant le retrait des commerçants présents pour des ventes illicites au nez à et la barbe d’honnêtes gardes prompt à fournir des rapports réellement francs sur le calme présent dans cette gare. Moutah avait pu guérir d’urgence le Lalafell, lui sauvant la vie in extremis grâce à sa magie, en le tenant à ses côtés, lui posant plusieurs questions alors qu’il fut rejoint par le jeune Hyurois qui venait s’occuper aussi du jeune élémentaliste Lalafell. Une dispute amer éclata quand Moutah fut débordé par la colère folle face à la naïveté et l’aveuglement du jeune garde n’ayant pas vu l’aspect parjure de son officier, ainsi que les ordres odieux de son Major, notamment notre arrestation.

Malgré le fait d’être passé en travers une planche de bois parmi les marches de l’escalier vers la maison de Norola et son père, j’ai pu maîtrisé les gardes nous assaillant même si ils auraient fini certainement par me débordé aux poings si le combat n’avait pas cessé brusquement, quand Jereck et Gaedon revinrent avec le Lalafell et son fusil ayant tiré sur le père de Rorola. Les pièces du puzzle tombaient rapidement dans l’esprit du jeune Hyurois, tournant lentement la tête vers le Major installé dans le wagon, l’immense Roegadyn lui souriait avec cruauté, une seconde avant le tir du Miqo’te transperçant le torse du jeune soldat. S’effondrant au sol, soutenu rapidement par le Hyurgoth simplet qui restait avec lui pour essayer de l’appeler, de le guérir avec Jereck dont la fureur montait de plus en plus dans son regard. Il ne fallait pas qui s’enfuit, et encore moins avec la valise dont parlait le Lalafell. Pour l’atteindre, il nous fallait un wagon aussi rapide que le siens, grimpant dedans en vitesse en attendant Gaedon qui titubait à cause de l’état de son épaule percée par le tir du lalafell embusqué, quand il avait pu le réceptionné à la sortie de sa cachette.

Le petit conducteur hurlant d’un rire malsains nous paraissait soudainement une très mauvaise idée, mais il était trop tard pour nous quand il actionna ses manivelles, nous propulsant à toute vitesse vers le chariot du Major « Tranchoir » qui s’enfuyait. Moutah essayait désespérément de suivre les wagons sur sa guivre, la pauvre bête allant aussi vite que son corps le permettait sans être un chocobo de course, elle profitait des pouvoirs de Moutah, mais les propulsions sur rails étaient à toutes vitesses, et il fini par bondir sur notre chariot avant que son compagnon Jhill ne soit effondrée par la fatigue de tant usé sur ses pattes pour se propulser en avant. Et à ce moment là, nous y étions presque, Jereck avait empêché tout tir du Miqo’te en lui défonçant le bras, pendant que Gaedon nous avait protéger de son bouclier. Allégeant le plus possible autant l’équipement que le wagon, celui ci décolla à moitié des railles à cause de sa propulsion gobelin crachotant de la fumée, sur le point d’exploser. Arrivant dans la caverne, nous avons percuté le chariot du Tranchoir à toute vitesse, le pauvre Miqo’te dedans s’écrasant contre la parois en glissant lentement dessus, me faisant pensé de manière incongrue à une grosse mouche s’explosant sur un Manacutter à pleine vitesse, glissant lentement jusqu’au sol dans une traînée de sang.

Après avoir repris nos esprits, et juste avant qu’il ne me tranche en deux, le Roegadyn fut écrasé sur le Crépusculaire qui l’attendait pour lui fournir une malle : Des gemmes étranges portant des noms à l’intérieur, pulsante légèrement, avec une indication, une destination où devait avoir lieu un échange à deux jours de marches d’ici. Les Lames de Cuivres prévenues de la situation, les deux antagonistes furent ligotés et soignés suffisamment pour survivre jusqu’à l’arrivé des troupes Thanalanaise pour les récupérés. La gare de Chaude-allée allait être épargné d’un avenir fait de voleurs et d’enlèvement, quant à nous, nous suivions donc la piste la plus prometteuse pour retrouver le membre de la famille Pontah revendu aux enchères secrètes. Reste à tenir les deux jours de marche sous cette chaleur accablante, en espérant que Jereck répare efficacement nos systèmes de refroidissement. Sinon, ce sera une Miqo’te cuite au feu de bois qui parviendra là-bas. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 31 août 2019, 18:53

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Dix-neuvième Rapport – Mission de Rang A - « Un cœur assombri.»

« Deux jours de voyage dans le désert du Thanalan. La chaleur était présente, et les cristaux de glaces intégrés dans les refroidisseurs installés par Jereck servaient au moins à nous tenir en vie dans nos armures massives, plutôt que de mourir une douzaine de fois d’un coup de chaleur pour des voyageurs non habitués comme nous. Ce qui ne nous empêchait pas d’en souffrir, de progresser le long du territoire en essayant de nous abriter au mieux de ce soleil vicieux qui en plein été frappe de toute son intensité. Allez me dire réellement que les solaires tolèrent ce genre de chose ? Ce serait bien une de leurs rares qualités, et nous voilà, avançant tout le long des grands routes sans que grand-chose ne nous arrive. Jusqu’à ce que des nuages lourds, chargés de pluies, n’envahissent notre champ de vision. Ils s’étendirent tout le long de l’Est du Coerthas, comme si la nuit été lasse d’attendre son tour et venait prendre le pas sur le soleil mourant à l’ouest en un crépuscule obscurcit. Petit à petit, quand un coup de tonnerre sonna l’envoie, la pluie se mit à tomber en trombe en une vraie averse intense ne nous laissant plus voir grand-chose autours de nous, si ce n’est les silhouettes de nos compagnons, l’eau ruisselante le long des plaques, était moite, mais rafraîchissante.

Gaedon se mettant à toussé de plus en plus fortement, peut-être que la différente de température lui avait provoqué un choc thermique ? Et ce jusqu’à ce que cela soit de pire en pire, de plus en plus difficile. Moutah fit tout pour essayer de l’aider, le soutenir, mais rien n’y faisait, il se sentait de plus en plus mal. Jereck et moi observions les environs, je ne me sentais pas vraiment bien non plus, l’énergie déployée par Moutah aidait à en faire abstraction, car la pluie ne semblait pas vouloir s’arrêter de ci tôt. Elle continue même encore à battre dehors alors que j’écris cette note depuis mon lit en regardant par la fenêtre, dans une chambre du camp des Os desséchés dans le Thanalan Oriental. Mais en arrivant dans la frontière de la contrée orientale du Thanalan, c’était de pire en pire. La tempête ne se calmait pas, le vent tournoyant et les éclairs frappant dans les cieux en éclairant les environs proche régulièrement, mais c’est l’état de Gaedon qui devenait surtout plus gênant, finissant par mettre un genou à terre, Moutah essaya de lui faire boire une potion contre le froid intense. Et au lieu du résultat escompté, il se mit à vomir l’ensemble mêlé à une mixture noire goudronneuse, du sang souillé.

Jereck regardait dans le vide, comme si il écoutait le vent sifflant au milieu des rideaux de pluies qui sans cesse tombaient, parlant de ne pas se laisser avoir par la corruption, cette source vile qui était vraiment dans le sang de Gaedon, lui faisant perdre la tête. Heureusement, c’était là dans les expertes de Moutah, et il délivra notre camarade chevalier de son mal alors qu’il était sur le point de vouloir manger le pauvre Lalafell, s’effondrant sur le dos. Jereck revint à lui, nous expliquant qu’il était certains d’avoir entendu une voix lui dire de ne pas se faire corrompre, mais nous avions rien vu ni entendu de la sorte. Relevant Gaedon du mieux que je pouvais, alors qu’il reprenait doucement ses esprits, nous avons continuer notre marche à travers le rideaux de pluie, pratiquement arrivés à notre destination finale. Au fur et à mesure de notre approche, l’inquiétude montait, d’autant plus qu’il semblait que les problèmes avaient prit pas dans les parages. La tempête ne voulait pas se taire, continuant même de gronder comme Wilfried quand je lui refuse son légume car il n’à pas été sage, et nous voilà à observer bien loin de là une caravane isolée au milieu de nulle part.



Nous voulions aller voir, mais en laissant à Moutah un bref instant d’observation grâce à son éthérimètre. Et autant dire que les résultats furent probant : Des sources de souillures partout autours de nous, se refermant lentement sur notre position. Progressant vers la caravane, l’ordre était de faire comme si rien n’était avec sympathie, peut-être pour négocier la venue de la mallette. A ce moment là, Moutah était convaincu que nous étions face à des Mages occultes, des vénérant de forces ténébreuses, des imbéciles en soit. Il n’était tombé pas bien loin, mais il ignorait les conséquences qu’avaient provoqués leurs sottises, et nous n’étions pas loin de le découvrir à notre tous. Plusieurs aventuriers se trouvaient à la caravane, une grande caisse close qu’ils avaient essayer d’ouvrir à coup de poings, ou d’ongles, avant de se tourner vers nous. Ce fut le Hyurois barbu qui s’approcha vers Jereck directement, comme pour discuter, alors que des habitants et quelques lames de cuivres ne encerclaient. Dos à dos avec Gaedon, nous les observions venir, les mains sur les armes, et tout se dévoila sous un éclair illuminant la scène. Leur parler n’avait servit à rien, ils n’écoutaient pas, ils ne voulaient pas nous écouté, ni quoi que ce soit d’ailleurs.

Ils souhaitaient juste nous manger, ce que le Hyurois de tête essaya d’abord en plongeant son visage vers la nuque de Jereck, balancé brutalement au sol d’un grand coup de poing. Réagissant à la violence autours d’eux, les corps souillés par l’énergie profane propagés par de minuscules cristaux du néant les réduisant à l’état de carcasses avides de dévorés ceux autours d’eux, nous assaillirent de tout les côtés en une petite horde écœurante dont la vision était déjà insupportable. Pour nous offrir le temps nécessaire pour abattre les entités sans qu’elles ne nous submergent par le nombre, les étoiles des protections engendrés par Moutah surgirent dans des lueurs magnifiques créant des dômes personnels où la magie céleste alimentaient les cristaux de protections. Rien que le contact avec cette magique leur était douloureux, et le combat éclata dans un grand acharnement afin de les éliminés au plus vite. Je tenais mon côté correctement, ma lance créant un espace suffisant entre moi et ses horreurs pour les faire reculés aisément, plusieurs envoyés au sol ou massacrés par l’énergie céleste dégagés par l’activation des glyphes sur ma lame. Gaedon reculait un peu autant que j’arrivais vers son dos, de plus en plus acculés malgré les dégâts provoqués sur nos adversaires dont les corps s’étendaient au sol, Jereck eu un bref instant de faiblesse avoir en avoir tué de nombreux avec une grande expertise.

Tombant au sol, sentant les doigts aux ongles acérés pénétré sa chair sous les mailles et le cuir, il repoussa l’horreur dans un rugissement et se dressa au dessus de l’adversaire de Moutah. Étalée au sol après avoir reçu un grand coup de pied dans le ventre, il fallait que je réagisse vite, en hissant ma lance, je vis du coin de l’œil l’épée de Jereck fondre sur son ennemi. Mais il y avait quelque chose de bizarre dans ce geste, et je me dépêchais de frapper en tranchant dans les chairs du monstre, parant l’épée de Jereck au milieu d’un ventre dévasté. Si il n’avait pas été arrêté, Jereck aurait peut-être tranché en deux Moutah, ce qui n’était que le début du plus grand problème qu’engendrerait cette mission. La situation s’était désamorcée, le temps que Moutah et Jereck se reprennent, j’avais déjà chargé les derniers morts aux côtés de Gaedon qui les fendit proprement de son épée. Nous étions tous secoués, légèrement blessés, il n’y avait rien de grave plus que ce qui avait eu l’air de secoué brusquement Jereck.

Arrivant à la caravane, le cocher avait visiblement été tué d’une balle dans le crâne, une embuscade ayant mal tourné pour celui qui s’était réfugié dans une caisse, en sortant plutôt aisément quand il constata que nous n’étions pas des goules dévoreuses de gens. Stanislas Kortovin, un Hyurois maladroit mais efficace, s’extirpa de là tout poussiéreux et nous remerciant de l’aide tout en remettant son chapeau en place. La conversation fut courte malgré tout, nous déclarant qu’il était là pour intercepter les convois, mais qu’il avait du se caché avant d’être manger, il se mit à courir à toute vitesse en braillant que son camarade était sûrement en danger. Le suivant malgré ses étourderies l’envoyant parfois au sol, il était temps de remonter à la source de cette corruption.



La trouver ne fut pas bien compliqué, après cinq minutes de course dans la boue collante et la pluie ne cessant guère de chuter autours de nous, les émanassions malsaines perçaient cependant la brume pluvieuses en un halo d’un mauve ne suggérant rien de bon. Une vile sorcellerie avait lieu en cet endroit, et nous étions là pour l’en purger, Halone soit liée. Mais je ne pouvais être que pleine d’appréhension en approchant la source du rite : Deux cercles de cristaux identiques à ceux de la valise de Moutah, au même nombre, se trouvaient aux exterminés d’un bord d’eau stagnant où s’en extirpait une source noire infâme et tournoyante, pâteuse et fumante, à l’image des restes de ce qui s’extirpait des corps massacrés des goules abattues à la caravane. Mais une telle intensité, une telle présence, quelque chose était en train d’être formé à cause du chant provoqué par le Mage installé au centre d’un cercle incantatoire. Il n’était pas envieux de produire ce sort lui même, captif de la magie, Adel’Delroy était bloqué de poursuivre l’incantation sous la lueur brillante de son étrange cristal à son torse. Non loin de lui se trouvait un Hyurgoth satisfait de son plan, tournant la tête vers nous, surpris, alors qu’il continuait à tordre les chaînes pour faire souffrir l’Elezen en tenue de voyage camouflant sa nature d’occultiste uldien, pour qu’il se hâte de finir son sort qui provoquait la corruption ambiante à cause de l’eau souillée par une vieille histoire de démon.

Plusieurs gros bras étaient au sol, mort, et uniquement le Lalafell en tenue de trafiquant semblait avoir une chance de s’en sortir, agonisant au sol. C’était lui qui pouvait nous offrir des réponses dans toute cette affaire quant au devenir du membre de la famille Pontah, et c’est vers lui que Moutah se rua après nous avoir fourni des parchemins d’absorption pour essayer de brisé le rituel mit en place. Je me ruais avec Gaedon vers un des cercles de cristaux d’énergies, essayant de déposé le parchemin, mais ceux ci risquaient à tout même d’exploser à cause de l’intensité de pouvoir mit en place. Cela nous donnait du temps, mais pas une réponse. Jereck était en train de marcher lentement vers l’amas visqueux, après avoir très sérieusement blessé à l’épaule le cultiste étrange, du sang perlant le long de son bras, il avait effectué je ne sais quel sort qui avait forcé Jereck à plongé dans la masse noire. J’avais beau faire des efforts pour le sortir de là, rien y faisait, je l’observais avec effrois rentrer dedans, sentant les larmes me monter doucement au visage dans l’idée qu’il était trop tard pour le sauvé. Moutah continuait de sauver l’autre Lalafell, et Gaedon à mes côtés avait au moins pu faire identifier les runes sous Adel’Delroy qui tournoyaient lentement. Fonçant tout les deux vers les cercles de pierres d’âmes, nous avons retirer les pierres centrales au prix de l’intense douleur de nos mains en les envoyant plus loin, arrêtant l’acheminement d’énergie. Gaedon resta un instant à observer les runes, la panique montait de plus en plus dans la frayeur d’avoir perdu Jereck, et après avoir déplacé d’une des runes principales, Adel’Delroy reprit ses esprits.

Le pouvoir déployé lui servit à brisé ses chaînes brusquement, retombant au sol. Il était faible, malmené, mais envieux de nous aider à en finir. Stanislas se tenait à nos côtés, mal en point après avoir reçu une très mauvaise décharge d’énergie en plein torse quand il avait voulu aider l’occultiste à toute vitesse. Gaedon me fit lui ouvrir légèrement le bras pour que Adel’Delroy puisse plus aisément dans son éther afin de se concentré correctement, envoyant toute l’eau maléfique étrange sur le Hyurgoth en fuite plus loin qui la reçu en hurlant. Jereck était là, au milieu, entouré par les ténèbres d’un rouge sinistre ondulante doucement. Rapidement, le constat fut établit qu’il n’avait pas été transformé en goule ou autre créature écœurante. Ce n’était pas devenu un monstre. Il était resté relativement lui même : Le côte obscure s’était réveillé en lui, comme il pensait que cela arriverait tôt ou tard, dans un instant où cela était la différence entre la vie et la mort. Relativement normal, il parti voir le Hyurgoth se désagrégeant peu à peu, découvrant qu’il voulait trouver un moyen pour renforcer son maître, la créature à la tête du Culte du Corbeau mauve, et il fut achevé après avoir dit qu’il avait échoué à réussir à prendre le contrôle de la Forteresse d’Adalarh.

C’était exactement là, d’après le Lalafell sauvé par Moutah, que le membre de sa famille pouvait encore se trouvé dans les geôles aux esclaves, mais c’était un avant-poste fortifié, il fallait mettre Adel’Delroy en sécurité, et surveillé l’état de Jereck. Melestian à pu nous fournir le cristal de son grand-père en vitesse pour stabilisé cet état qui venait de l’envahir, et il se reprit doucement. Nous laissant une bonne journée pour surveiller son état, le reposé, alors que la bataille pour récupéré le Pontah nous attends, le temps que le Major Wilfrid Dentelion prépare les troupes des Immortels qui nous assisteront dans ce combat. Notre mission allait peut-être arriver à son terme. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps. 

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Akayane
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[Chronique] Rapports d'Eïffy Lhayn

Message par Akayane » 01 sept. 2019, 15:23

Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.

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Vingtième Rapport – Mission de Rang A - « La Bataille de la Forteresse d’Adalarh.»

« Combattre pour une grande cause exige de savoir clairement pour quel but nous nous battons. Souvent, il s’agit de décidé de protéger son peuple, ou d’assaillir l’ennemi de sa race, mais quel combat plus glorieux que de se battre pour sauver des vies, par promesse envers un proche à qui on à juré de guerroyer pour sauver les siens ? La forteresse d’Adalarh, vaguement connu des Immortels ayant peu de preuve d’activités suffisamment grave justifiant un assaut organisé depuis que la guerre fait rage en Ghimlyth, mais avec le retour de plusieurs vétérans, il était agréable de pouvoir compter sur une force fiable sous le commandement du Major Wilfrid Dentelion pour assaillir cet endroit enfin de récupéré le ou la Pontah qui avait été enlevé. L’heure du combat sonnant, nous sommes montés vers la position avancée des Immortels avec Sir Gaedon Sorel, Sir Jereck Lameciel, Moutah Pontah et un combattant Gyr Abanais de passage ayant envie d’aider les locaux dans cette bataille. Il fut accepté par son bon comportement et l’honneur qui existait dans ses propos et son attitude, Bran Firepunch fut autorisé à se battre auprès de nous pour protéger les environs du Thanalan et sauver des vies.

Le soleil frappait de toute ses forces, quel plaie, il rayonnait depuis les cieux comme un cruel despote qui appuyait sur nos jambes et nos corps de toutes ses forces pour nous faire plié l’échine. Les systèmes d’aérations permirent de nous rafraichir rapidement, Gaedon prenant le temps de boire beaucoup – à son rythme. Et Moutah savait y faire, le seul qui était totalement à son aise, c’était le Gyr Abanais. Dans un sens, quand on à vécu sa vie dans le désert de Gyr Abania en mangeant des insectes tout en harcelant les Impériaux, comment ne pas être résistant au sol ? La route n’était pas si longue que ça, moins d’une heure de trajet, les ruines n’étaient pas si lointaine. Mais c’est dans un espace serré par des broussailles très épaisses où nous sommes passés qu’un soucis eu lieu. L’endroit était fin, fait pour des passages de petit groupe, la troupe de Wilfrid prenant le passage plus long pour déplacé facilement les combattants et le canon supplémentaire.

Alors que nous marchions paisiblement, en pleine conversation entre Jereck et Bran, notre seigneur fut happé par un filer et brusquement récupéré par on ne sait trop quoi de camouflé dans les broussailles. Cet ennemi inconnu voulu filé, mais Moutah ramenant brusquement le filet à nous, permettant à Jereck de choir sur la route tout en traînant avec lui le forban ayant voulu nous le volé : Un Amalj’aa. Gaedon l’esquiva en vitesse, mais Bran frappa si fort, d’une telle intensité – involontairement, qu’il lui fit traverser un arbre sous la violence de l’impact, son corps massacré roulant un peu au sol. Ses camarades attendant plus loin furent paniqués face à la présence des chevaliers armes dressés prêts à en découdre, aveuglés par la poussière projetée par Bran, ils prirent la fuite. Seul un fut captif, et balancé par un bon jeu d’équipe de Gaedon qui lui taillada la jambe, et Bran l’envoyant devant Jereck, posant son pied sur son torse pour discuter avec lui et Moutah. Au début il était bien trop agressif pour en tirer quoi que ce soit, mais après avoir été sympathiquement convaincu, il fini par tout nous expliquer : Le prêtre ayant mené leur clan jusqu’à la Forteresse était un faux, le vrai retrouvé mort il y à peu, usant cela pour maîtrisé les Amalj’aa et s’en servir de force de frappe efficace.

Le consensus fut admit : Nous trouverons en vitesse le prêtre, pour le mettre à mort, et libéré les siens en échange de leur départ rapide dès que leur chef sera sauvé. Le laissant partir, soigné et avec ses affaires, nous étions plutôt convaincu que la chance allait être de nôtre côté, jusqu’à voir l’étendu des préparations ennemies. Ils n’avaient eu à peine qu’une journée pour se mettre en place, et pourtant, ils devaient s’attendre à ce que ce moment arrive tôt ou tard. Les forces des Immortels de surveillance était peu nombreuse, mais les troupes de Wilfrid nous ont rejoint plutôt rapidement, il fallait encore discuter de notre approche, et de ce que les éclaireurs avaient à nous dire. Ainsi que ce que nous allions faire du canon « légèrement » modifié par Stanislas Kortovin qui risquait d’être plutôt efficace une fois utilisé.



Les troupes ennemies étaient bien organisés, du moins relativement pour un mélange de brigand, de mercenaires vicieux et d’aventuriers travaillant au mandat noir. Une première ligne de protection formées de pieux et de boucliers levés pratiquement infranchissable sans y laisser de nombreux cadavres derrière soit pour escalader leurs défenses. Des archers et un duo de mage en bonne position sur les hauteurs. Une catapulte aux pierres gravées par un occultiste passant d’une roche à une autre derrière la première ligne de défense. Et non loin de là, le Prêtre Amalj’aa, du moins, son simulacre, prêt à se servir des hommes-bêtes pour la défense des lieux. Mais le pire restait derrière. La dernière ligne de défense était aussi un amas de pavois et de planche, mais ils avaient fixés des otages dessus, pour que des flots de flèches ou des tirs de canons dessus tuent tout les otages installés dessus, et ainsi pouvoir nous tenir en respect plus aisément avec des lances, des perches, et des fourches. La stratégie choisie était simple : J’irais avec Moutah et les éclaireurs assaillir le prêtre pour libéré les Amalj’aa en appelant avec le sifflet qu’ils nous ont confiés, ceux connaissant déjà la vérité.

Jereck, Bran et Gaedon se firent pour priorité les otages, et avaient prévu de foncer jusqu’à eux après avoir percé la première ligne. En pleine discussion, un second soleil se leva, tout le monde était plutôt surpris et dubitatif, avant de comprendre qu’il s’agissait juste d’une énorme boule de feu nous fonçant dessus, avec un flot de flèche venant des hauteurs. Nous mettant rapidement à couvert, Jereck déploya ses nouvelles ténèbres qui glissèrent en un pavois protecteur pour que les traits se brisent dessus. Tout le monde était à l’abris, et Moutah attira ceux qui n’avaient pas eu le temps de le faire, malgré quelques blessés léger, dont un chanceux touché à la jambe qui se voyait épargné la charge héroïque vers la première ligne. Bran usa de ses talents de moine pour envoyer une onde d’air si intense qu’elle dissipa les flammes, et ralentit la pierre gravée par l’occuliste, s’écrasant au sol en voyant de la boue un peu partout sur ceux proche. La charge avait été décrétée, et nous voilà à foncer à toute vitesse vers les rangs ennemis. Les canons mit en place un peu tardivement, Jereck et Bran étaient pratiquement aux barricades pendant que je faisais le tour avec Moutah. Nous protégeant aisément des flots de traits, seul un pauvre éclaireur ayant la malchance d’en recevoir une en pleine gorge, sombrant au sol tout seul entre poussière et boue, Moutah avait eu la bonne idée de nous faire passé par les ruines avec quelques combines d’Astromancien, nous permettant d’atteindre à toute vitesse et à couvert le Prêtre.

Si je reçu un coup malheureux, chutant autours de ses gardes, le parchemin d’absortion de Moutah lui avait fait perdre ses acquits, dissipant lentement sa forme, j’empâlais le magicien en dessous alors que le sifflet résonnait dans la vallée. Les Amalj’aa étaient libre, et nos camarades avaient bien avancés. Pour cela, les tirs du canon normal écrasait une des barricades servant de bonne diversion pour la principale, où après avoir subit plusieurs tirs, blessant grièvement Stanislas qui se jeta sur Gaedon pour le protéger, alors que Bran et Jereck s’entraidaient pour ne subir que peu de dégât, le Chevalier usant des ténèbres pour faire jaillir des dômes, la connaissance de son grand-père gravé dans son cristal dictant presque ses mots, couvrant Bran quand il explosa la barricade en projetant des pierres de la ruine, la force du moine de Rhalgr libérée, il n’en fit qu’une bouchée. Le canon modifié retentit, et une énorme explosion jaillit d’un tir magitek furieux qui brisa la catapulte et ses occupants. Nous voilà dans la ruée pour libéré les otages. Des flots de flèches partagés entres les hauteurs et nos forces en bas, submergeant rapidement les pauvres bougres prit au final dans les tirs d’un de nos canons. Ceux derrière la barricade voulurent sortir les otages pour les récupérés, mais Jereck couvrit Bran des flèches et des bougres pendant que Moutah les soignait.

La lame de Gaedon perçant ceux voulant les assaillir, puis ceux voulant fuir, la débâcle fut rapide quand ils constatèrent que l’échec était total. La dernière barricade en pièce, il était temps de triompher de la forteresse, laissant Gaedon et Bran s’occuper des otages et des blessés, nous chargions à la suite des cris de batailles des Amalj’aa ayant déjà accourut pour sauver leur chef. Sans être préparé à la tragédie se préparant peu de temps après.



Des cris, des gémissements, des bruits d’aciers et autres sonorités d’un combat, la forteresse intérieur comme ses remparts de ruines extérieurs n’étaient plus que des affrontements pour sortir les brigands de là. Arrivant aux portes des lieux, Adalarh, maître de cette forteresse de bandit, voulu faire parvenir un messager à son chef, mais il fut rapidement descendu des airs grâces à la magie de Moutah avant que son Chocobo ne prenne la voix des cieux. L’endroit était vaste, des traces de civilisations et d’installations luxueuses faites pour donner l’impression d’entrer dans la demeure d’un prince marchand renégat. Ceux venant ici avaient le droit à tout : De quoi fumer, de quoi bien manger, de quoi se reposer, de quoi s’amuser avec un jeune homme ou une jeune femme. De quoi vivre comme un prince, et cette luxure avait été dévastée : Des corps d’Amalj’aa et de bandits gisaient au sol, des fragments d’os, et d’organes jonchaient les soieries et les coussins aux tissus riches. Les drapés étaient souillés, déchirés, il ne restait que la poussière, les graviers, et la bataille qu’il fallait encore remporté. Jereck fonça brusquement en avant, sans sentir la bête qui s’extirpa du sol en l’envoyant brutalement contre un mur de pierre de l’arche d’entrée.

Le ver de sables émit un hurlement vulgaire, le Lalafell en combinaison de plongée au dessus riant et s’agitant. Mais notre Seigneur n’en resta pas là, se redressant en nous ouvrant le passage, nous nous engouffrions avec Moutah au cœur de ce lieu de débauche pour récupéré les lettres que voulait envoyé Adalarh. Plusieurs mercenaires me barraient la route, Moutah essayant d’attiré les Amalj’aa vers leur chef captif, un ver des sables enroulés autours et le Crépusculaire, chef des la bandes des sables, un certains Minaen Ambreprune, était sur le point de le décapité. Ils n’arriveraient jamais à temps pour le sauver, il fallait que l’un d’entre nous soit envoyé à son aide, j’attendais désespérément l’ordre, mais il me fallait suivre les indications : Pour l’instant, je me chargeais des mercenaires protégeant celui qui avait chuté de son Chocobo le temps qu’il puisse s’envoler de nouveau. Jouant de ma lance, les glyphes de celle ci se mirent à rayonné comme un feu irradiant le long de la pointe, quand Moutah m’imprégna de l’énergie de la carte de la Balance. Mes opposants ne firent pas long feu, jusqu’à ce que je puisse planter ma pointe de lance à côté de la tête du Miqo’te aux lettres, je peux vous jurer que celui ci ne fit plus grand-chose d’autre que de rester les yeux clos, trempé dans son urine, à attendre le jugement d’Halone.

Abalarh voulait s’enfuir, installé sur son chocobo obèse, et épaulé de la cavalerie fonçant à ses côtés, mais au vu du danger, il fut rapidement assaillit pour ne pas s’échapper. Des vers des sables sortaient de tout les côtés, ceux autours de Jereck avaient été pour la plus part massacré, celui ayant voulu sortir sous lui ne vit que sa lame avant d’être scindé en deux dans un coup d’une bonne violence. Mais alors que Abalarh chutait au sol, son chocobo grièvement blessé et rendu bien plus lourd, Minaen décapita le chef des Amalj’aa, plongeant ceux ci dans une colère noire. Il n’était plus question d’alliance désormais, l’un frappa dans le dos de Moutah en l’envoyant s’écraser avec une grande violence dans les escaliers non loin de la mêlée avec les cavaliers. Pendant que je pris moi même un coup dans le dos dans un grand bruit d’armure. Les Immortels durent faire face à ce nouveau problème, Jereck me chargeant de venger leur chef en abattant Minaen, le crépusculaire bien plus agile que prévu fut difficile à atteindre, jusqu’à ce qu’il me propulse malgré la blessure infligée par ma lance, au milieu de la mêlée.

Jereck vint à mon aide, se retrouvant lame contre lame avec le crépusculaire dans un amas d’étincelles reluisante. Profitant de cette parade prolongée, j’ai pu balancé celui ci d’un bon coup de pied au milieu des Amalj’aa, ceux ci exerçant leur juste rétribution à grand coup de pieds, de lance et de gourdin, jusqu’à partir d’ici en jurant que jamais ils ne referaient confiance aux humains. Des problèmes en perspective, des futurs mandats pour aventurier, plus rien ne nous concernant vraiment. Abalarh était privé de ses cavaliers, l’un ayant rencontré l’épée de Jereck en le tranchant presque en morceau, et l’autre ayant été chargé par Dentelion en l’envoyant au sol à toute vitesse. Le chef des brigands était en sueur, blessé, fatigué, un pied sur Moutah et l’autre levant son épée pour achevé le Lalafell. Jereck le mit en garde des conséquences de son acte, et qu’il pouvait néanmoins se rendre immédiatement à la justice avant d’aller trop loin. Il y avait peu de chance qu’il accepte, aussi usais-je de mon grappin expérimental fusant dans l’épaule du Hyurgoth, le ramenant d’un coup vers nous. Autours, la bataille était achevée, les Immortels marchaient en récupérant les blessés, et les captifs, sous les directives de Dentelion.

Les médecins étaient déjà en train de faire leur office, soignant d’urgence un Stanislas très atteins (physiquement, car mentalement ça faisait longtemps qu’il était atteins…) - pendant que Jereck pu mené un interrogatoire avec Moutah, le Lalafell finissant par lui faire perdre en partie sa virilité d’homme. Le registre des ventes nous appartient, et avec ça, toutes les informations pour retrouvé le Pontah disparut et beaucoup d’autres. Notre voyage s’achèvera donc au Manoir de Bublauchon, voir un certains Philias. Si seulement il n’a rien fait de mal au Lalafell, au quel cas, après tout ce qu’il s’est passé, je sens que je ne saurais retenir la fureur de Moutah, et d’un Chevalier noir tout juste naissant qui n’aura pas pu protéger la vie du membre de la famille d’un de ses proches amis. Philias de Bublauchon, puissiez vous ne pas avoir fait d’erreur stupide. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps.
 

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