[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 11 oct. 2021, 12:50

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingtième Entrée - « Acte 1 – Une apparition chaotique.»
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« Le départ vers l’Orient fut préparer dans les jours suivant l’échec de la tentative du mur d’or. Bien que Finaen eut à souffrir des conséquences de la découverte de Selm et d’un passé commun, derrière tout les actes immondes procédés par les entités que nous combattions, il fallait passé outre les maux et se préparer pour ce long voyage. Le temps de dire au revoir à quelques personnes avec qui j’appréciais passé un peu de temps, et ce fut en Abalathia que nous observions les cieux avec nos compagnons conscient que nous ne reverrions en rien l’étendue d’Eorzéa avant un long moment. Mais l’Orient est d’une richesse incroyable, et ce que nous allions découvrir seraient en tout point merveilleux, c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés avec notre équipe auprès d’une populace bienveillante et sous le regard de l’ambassadeur Cirmo. Notre responsable auprès de la guilde des aventuriers était heureux de nous savoir sur le point d’accomplir un long périple, même si il l’était moins de se séparé de quelques de ses éléments sur lequel il veille le plus ! Prenant le temps de discuter avec ce dernier, de parler à la populace et de nous adresser quelques propos quant à la démarche, l’usage irrégulier d’un sort allait provoqué un départ pour le moins surprenant. Afin d’être accompagnés de quelques de nos compagnons vers l’Orient, il fallut bien trouver une dérive, et de cette façons nous nous penchions sur le cercle où chacun se saisirent d’une lame, prompt à faire usage de l’éthérite pour retomber dans le même cercle identique qui nous attendaient proche d’Onokoro.

Ce qui était hélas moins attendu, c’est les conséquences que la mise en place de ce dispositif engendrerait. Prompt à se mettre en route, fit des impressions de ne pas revoir ses terres avant un bon moment, les quelques signes incantatoires furent tracés et c’est comme dans un éclair que l’éther se saisit de nous afin de nous propulser directement sur place. Plusieurs en étaient craintif, et d’autres admiratifs, une fois de plus Finaen et Runne allaient nous offrir leurs compétences magiques bien que si Finaen semblait vraiment être fasciné par ce moment de voyage. Runne lui se décomposait à l’idée du pouvoir que peut avoir une éthérite sur le corps. Aerlin s’occupera guérir nos blessures et bien d’autres façons de nous aider, tout en laissant à Salarios le support apporté par ses multiples pouvoirs. Quant à Lucian et Sorn, hé bien, je n’ai plus réellement besoin de dire qu’ils apprécieront toujours autant provoqué tout un tas de problèmes et de destruction ! C’est fort de cette équipe que nous nous retrouvions comme propulsés dans un tube de cristal. Ce dernier rayonnant de bien des milliers de couleurs alors que nos corps étaient propulsés par l’éthérite droit à proximité de celui qui nous attendait un peu plus loin de la ville d’Onokoro, à l’emplacement du cercle rituel.

Ce sort détourné nous permit de voir la splendeur un instant de ses aspects cristallin se déplaçant à toute vitesse, comme si toutes énergies possible se reflétaient autours de nous. Au milieu de cette impression de grandeur et de vitesse, apparut deux yeux rouges, et une bien obscure silhouette : Il était conscient de notre approche. Quoi que nous pourrions faire, cette entité agirait en conséquence et c’est en revenant à nous une fois apparut sur place que nous avons pu l’observer : Onokoro était attaquée. La fumée se dégageait visible derrière la vapeur produite par notre apparition soudaine et chaotique. Plusieurs sortaient de l’eau, à peine immergé, mais toujours particulièrement confus et malmené par ce qu’il s’était passé sur la fin. Mais à peine fut le temps de nous en remettre que je fonçais dans sa direction.

Vu le corps abandonné de l’agent envoyé produire le cercle, il était clair que son installation avait poussé nos nouveaux ennemis à assaillir les lieux, et tout mes compagnons me suivirent rapidement. Produisant des vents et manipulant la terre, Aerlin et Salarios écartèrent la poussière des environs pour révélé tout pièges possibles, tandis que Finaen et Lucian délivraient des pêcheurs risquant d’être dévorés par un feu noir inquiétant. Ce feu, que Runne voulu gêlé, semblait ne pouvoir être arrêté aisément : généré par un éther spirituel spécifique, il fallait bien plus d’effort pour l’éteindre, et il était présent un peu partout autours de nous. Fonçant dans une masure, Sorn en ressorti en ayant libéré quelques habitants avant que la demeure ne chute et ne s’écrase au sol sur les roches d’en bas. Il fallut peu de temps pour découvrir les responsables : Bien qu’ils n’avaient pas l’air de sinistres cultistes délivrant un feu noir, les combattants orientaux domiens avaient l’air sans pitié. Le Mon n’avait pas été reconnu toute de suite, mais nous avons découvert par la suite qu’il s’agissait de combattants du clan Kazan. Ils usèrent d’une sorte de canon à flèche envoyant une immense salve dans les cieux autant vers nous que vers les défenseurs de la Confédération leur tenant encore tête – mais aussi tôt, Runne et Salarios déployèrent plusieurs sorts détruire cette volée de flèche.

Éclatante dans les airs en des multitudes de lueurs magiques où elles se frappaient contre les barrières éthérés d’or, Sorn en profita pour tirer sur les derniers projectiles, ce qui courrouça quelque peu leur chef. S’armant de tube en tête de dragon d’orient prompt à tirer des sortes de feux d’artifices éclatant, les premières s’écrasèrent vers les hauteurs proches de Lucian en l’envoyant valser plus loin après qu’ils ait empalés plusieurs des guerriers Kazan, tandis que le rester détonnèrent sur les boucliers formés par Aerlin et Finaen. Les deux s’était précipités pour soignés les blessés grave de la Confédération avant qu’ils ne périssent de leurs plaies, et se retrouvaient à défendre la vie de Sorn avant qu’il ne soit dévasté par les détonations. Subissant le choc, repoussés, les boucliers tombèrent en me laissant passé en tranchant leur officier tout en laissant un éclair choir avec ma lame, fonçant en avant avec les combattants de la confédération en émettant un cri de bataille puissant. Le canon à flèche ayant explosé brusquement grâce à Lucian, ils n’avaient rien pour se protéger de cet assaut. Et il était temps pour la confédération de rendre coup pour coup.
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Fonçant avec ses derniers, entrant dans la ville non loin des passages menant aux hauteurs sur les échafauds installés autours du légendaire pilier des cieux s’étendant au-delà des nuages. Nous observions ce qui devait être une magnifique ville si il n’y avait pas ses cris, ce chaos, qui s’étendait petit à petit due à l’assaut de ses fameux guerrier Kazan qui avaient apportés avec eux bien des maux et des problèmes dues à ses flammes noires. Ce n’est que là, que nous allions découvrir réellement leur implication auprès de forces bien plus néfastes que leurs simples désirs de conquêtes et haines des pirates de la Confédération. Finissant de guérir quelques des habitants et des combattants, bien que l’un des plus courageux se mit à se rué vers l’ennemi en chutant par terre un peu fortement, sonné. Ils voulaient tous vraiment protéger les leurs, impliquant un désirs de préserver la vie et leur village plutôt admirable. L’honneur, quelque soit le train de vie, à toujours quelque chose de sincère en Orient, et nous souhaitions dès lors offrir à ses derniers le support nécessaire pour rendre leurs souhaites de sauver le plus de monde possible réel.

Et c’est à l’éthérite que nous observions les premières problématiques, au milieu des différents conflits opposants les braves de la Confédération et les guerriers domiens d’un clan parjure. Il y avait beaucoup à faire, mais l’une des plus urgentes était autant de secourir quelques aventuriers malchanceux qui avaient fait usage de l’éthérite locale avant de se faire capturé, filer vite vers l’éthérite elle même où plusieurs sinistres personnes orientaient un cristal fumant mauve – un de ses Hicors datant de bien vieux périls, ce qui ne fut pas étonnant de voir apparaître des symboles ressemblant un peu trop à ce qui fut visible dans les pages du livre de Shigma. Et Lucian lui fila leurs ôtés en vitesse les ressources de la confédération qu’ils aient en train de brûlé tout en transformant une partie de leurs affaires en ressources de magies due à ce que l’éther des flammes noires consumaient. Apparaissait d’un coup derrière l’immense Roegadyn qui orientait son kanabo droit vers nous, il rugit de douleur quand les pointes de javeline mauve s’écrasèrent dans son dos en outrepassant des sortes de plumes noires jaillissantes en tournoyant dans son dos, renforcées par Salarios qui offrit un pouvoir aérien de plus intenses aux pointes. Sa vengeance fut soudaine, écrasant Lucian au sol plus loin d’un choc puissant de son crâne en bondissant proche de lui, il tournoyait en forçant un de ses guerriers à tirer un projectile contre l’Egi-Garuda de Salarios qui vola plus loin dans une forte déflagration.

Il fallait tout faire pour l’arrêté, Lucian prit un temps pour ôté l’éther des flammes et des parchemins flottant dans les cieux pour les faire chuter au sol, tandis que Salarios le protégeait comme il pouvait en gardant ses arrières dans une puissante lueur. Quoi qu’il tendait de produire, le Roegadyn était coincé alors que je m’occupais d’abattre deux de ses guerriers – heureusement pour moi Aerlin veillait et bloqua d’un coup le choc d’une protection de ce bâton de fer qui s’écrasa brusquement contre ses défenses et son bras dans une fulgurante douleur alors qu’il tentait d’aider Sorn plus loin de là. Profitant de son inattention, Lucian fit apparaître son sort soulevant les chaines du sol qui ne cessèrent de condamné ses membres et avorta le choc qui allait écrasé Salarios à son tour, les deux magiciens se concentrant pour faire jaillir les flammes à l’intérieur même du Roegadyn. Ne laissant plus qu’un tas de cendre au milieu des morceaux d’équipement domiens à l’honneur du Clan Kazan. Bien qu’en piteuse état, il me fallait tout faire pour essayer d’aider Sorn qui était parti à l’assaut d’une de ses immenses bêtes locales, un Gyuki, sorte de bête aux dents immenses qui avait été attirée ici pour provoqué le chaos. Avant qu’elle ne dévore les aventuriers, Aerlin parvint à les libérés avec des pinces de roches soulevés par l’élémentaliste en vitesse. Mais ce fut Sorn qui l’attirait au loin avec plusieurs tirs, cherchant à faire en sorte que la bête ne l’atteigne pas – bien qu’il reçu un coup de patte l’écrasant contre un pilier de bois proche du passage vers l’intérieur de la ville.

Se dégageant dans une lueur enflammée utilisé son convertisseur, Gladys parvint à essayer d’éloigner la bête en tirant dessus sans cesse avant que le Gyuki n’essaie de dévoré sa tourelle en retour. Appelant son maître avec de la détresse, Sorn attrapa rapidement son fusil en visant correctement la tête, la munition lui traversa le crâne ce qui fit paniqué la créature qui devait sentir la vie lui disparaître avant de foncer pour dévoré Sorn en retour. Ma lame s’enfonça dans le visage de la créature, et la tranchant en grande partie en deux, même si je récoltais alors une dent pointue enfoncée dans mon épaule. C’était douloureux, mais nécessaire, et Sorn pu s’occuper de la blessure tandis que du côté de l’éthérite tout semblait être réglé. Finaen avait tout fait pour essayer de repoussé le Hicor en le purifiant de l’énergie du néant capté à l’intérieur. Le repoussant comme il pouvait, le Kojin noir aux allures d’un invocateur maudit mêlés aux quelques cultistes orientaux marchant à ses côtés, ne le perçu pas comme ça. Repoussant les vents convoqués par Runne, cherchant à le taillé en pièce, il convoqua les flots soudainement pour submergé Finaen et Runne, envoyant notre camarade miqo’te valsé plus loin en s’écrasant contre une masure plus en hauteur.

Sortant de là, un combat acharné débuta entre le Kojin et Runne : L’un rendait la glace en eau, et l’autre transformait l’eau en glace, et si aucun ne semblait prendre l’ascendant en se blessant mutuellement c’est quand Finaen intervint dans un soulèvement de vent puissant que Runne parvint à dévasté le Kojin avec des multitudes d’épines de glaces. Les derniers invocateurs paniquèrent ,et se saisirent du Hicor malgré le hurlement et la douleur que cela devait infligé à son porteur en commençant déjà à le consumé à petit feu. Cherchant à noyé Finaen fonçant dans une lueur infâme qui lui tombait dessus, ressemblant à ses flammes noires inquiétante, il en sorti sans la moindre égratignure dans une lueur d’argent quand il fut constaté qu’Aerlin venait de tout faire pour le protéger en puisant dans l’éther de l’eau environnante. Il l’avait fait pour soigné son bras, mais s’en servit tout autant pour protéger son camarade en ayant vu la silhouette curieuse d’une femme qui semblait être faite d’eau. Sortant de cette confusion, il se concentra sur Finaen pour le défendre tandis que Runne purifiait le reste de ce qui se trouvait dans le Hicor qui ne devint plus qu’un cristal inutile qui se fissura au sol. La rapière de Finaen frappant en deux ondulations rouges tranchant les quelques cultistes, chutant au sol, vaincu. Nous avions repoussés les plus grandes problématiques au milieu de la ville, mais tous tournaient la tête vers le Pilier des cieux. Où à ses fondations, des chants se faisaient entendre de ceux qui convoquaient le pouvoir d’un Kami déchu.
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Plusieurs s’occupaient des blessures de nos compagnons, moi même je vis Finaen et Sorn s’occuper de mettre un bandage et de nettoyé rapidement là où un croc s’était enfoncé dans mon épaule afin que ça ne me gêne pas trop – et aussi parce que rester avec une blessure n’était jamais très sérieux pour survivre. Des potions furent partagés, et plusieurs avaient offert des sorts de guérisons et de renforcement vers les combattants de la Confédération qui avait enfin reprit le dessus sur les guerriers Kazan qui reculaient ou se rendaient à mesure où ils voyaient l’espoir d’un triomphe s’effondrer de ce côté. Quant à nous, notre rôle était de foncé vers l’intérieur de la ville pour empêcher une quelconque invocation spirituelle quelque soit son lien tenté avec le Pilier des cieux. Partant en vitesse dès que nous étions renforcés et prêt à reprendre le combat, il fallait avant appréhender l’état de la ville pour la traverser rapidement – un état qu’il fallait se préparer à aider aux réparations plus tard, puisque c’est ici que nous allions vivre, et une des premières problématiques était déjà l’état des escaliers qui semblaient être en piteuse état dont certains passages manquaient simplement de marches pour les traversés.

Certaines s’écroulaient même, faisant tombé Finaen dans le vide avant qu’il ne soit rattrapé par Runne et moi même en cherchant à le remonté en vitesse. Nous infusant par les vents, Aerlin et Finaen opta pour l’efficacité aérienne afin de rendre nos pas et nos bonds plus léger et bien plus efficace afin de passé d’un recoin à un autre pour escalader les recoins brisés pour atteindre les hauteurs en vitesse. Plusieurs des flammes noires ondulaient en ville et empêchaient à des habitants de s’enfuir, quelques membres de la confédération nous demandant de l’aide au passage et celle ci ne pu être apportée qu’en urgence. Produisant les vents puissants cherchant à saturé d’éther ses flammes si spéciales qui finirent par être écartés par Runne afin d’être enfin repoussées, Sorn cherchait à empêcher les pilleurs de récupéré des affaires ne leur appartenant pas. Mais le plus grand soucis était peut-être l’instant où une demeure nous tomba littéralement dessus, c’était aussi impressionnant qu’effrayant mais Finaen et Aerlin toujours concentrés sur les vents ensembles écartèrent celles ci en partie tandis que Salarios fut partiellement écrasé pour protéger Runne d’un amas de pierre chutant vers le Miqo’te, soulevant une protection comme des glyphes d’or au dessus d’eux avant que les deux ne se rétament un peu au sol. Contrôlant les gravas, il les propulsa droit vers d’étranges créatures ressemblant à des Oni orientaux.

L’avenir me donnerait tort, mais ils ressemblaient à des créatures du néant semblable à des créatures mêlés entre des bêtes affreuses et des oiseaux aux plumages noires flamboyants. Ils furent directement impactés par les débris de la masure que Salarios avait conserver après le choc dans un amas de destruction, mêlés aux pointes mauves propulsés par Lucian cherchant à les repoussés rapidement. Progressant en tranchant les créatures sur notre chemin dont l’une avait pu blessé Finaen au flanc d’un coup de griffe, nous ouvrions de nous même le chemin pour parvenir aux pieds du Pilier des cieux où se trouvait précisément ce que nous pensions retrouvé en ce domaine : Une sorte d’invocation aux esprits.

La musique produisait des chants venant de nulles part, mais l’ensemble était due à la flûte qu’une petite Raenne jouait depuis un pilier flottait au milieu d’un cercle incantatoire où des parchemins ouverts erraient dans les airs lentement en produisant des pulsations d’énergies sinistres semblable à ce que les invocateurs cherchaient à créer au niveau de l’éthérite pour en récupéré l’éther si particulier et puissant. Ici, c’était une Elezen avec un parchemin sur le visage et une tenue magnifique de magicienne orientale qui canalisait les puissances locales tout en convoquant l’énorme Kojin noir derrière noir. L’homme bête était plus grand qu’il n’aurait du être, jusqu’à constaté l’effet néfaste qui l’habitait : ça n’était pas une corruption réelle du néant, il avait été comme forcé de subir une transe identiques aux magies des invocateurs où le pouvoir du Phénix noir lui fut accordé. Il était monstrueux, mais celui qui nous adressa la parole était un Hyur installé sur une sorte de crabe enflammé. La bête provenait du sud de la mer de rubis, là où devait être installé le clan Kazan, « ceux qui viennent du Volcan. » Et n’était autre que le fils de leur Seigneur. Seiko Kazan, troisième héritier du seigneur Jumônji Kazan, venu ici pour dompter ses quelques pirates malgré la trahison que cela engendrait. Il souhaitait apporter le pouvoir du phénix noir, mais face à la réalité imposée par la trahison que Finaen mit en avant, il hésitait. Réalisant à quel point il avait été trop loin, avec les alliés de son Roi, la confédération. C’est l’implication de l’invocatrice qui le fit sortir de ses doutes avant de se rué vers nous à toute vitesse.

Directement, Lucian souleva une immense cage de chaînes s’extirpant de pilier convoqué par un sort qui lentement fracassa le sol ne se saisissant des bras et des jambes du Kojin maudit. Tirant sur les chaînes en rugissant, il brisa finalement l’une des chaînes pour saisir Runne avant de le propulsé plus loin peu après que le miqo’te ne lui ait brisé le visage d’un puissant coup de rapière. Cherchant à s’échapper, il fut impacté par plusieurs tirs de Gladys se fracassant dessus subitement en l’arrêtant dès qu’il chercha à atteindre Lucian. Bloqué, il fut consumé par les flammes subitement dans une déflagration immense qui s’éleva de plus en plus vers le ciel en laissant en lieu et place du corps la carcasse d’un Kojin vert qui avait été maudit par la transe. Arrachant les plumes noires qui lui avait été envoyé, ça n’était pas le moment de s’émouvoir de ceux qui avaient été maltraités de la sorte. Et avec Finaen nous avons au moins pu arrêté le crabe de lave venant du couvercle des enfers quand mon camarade écrasa ses articulations avec des pointes de pierres.

Seiko bondit de sa monture bloquée, frappant Finaen plusieurs fois de son katana en le blessant à l’épaule, sa lame formant comme une flamme tangible au lieu d’être de fer, mais je pu l’écarter d’un coup de pied dans le torse. Fonçant sur ses deux flancs, je pu trancher définitivement le crabe nous fonçant dessus tandis que Finaen paralysant en un arc foudroyant Seiko directement tandis qu’il s’écroula par terre prit de convulsion. Dans les airs, le combat était sur le point d’être achevé : Aerlin tentait d’arrêté avant tout le rituel en faisant tournoyer les vents dans un sens inverse que celle du rituel en faisant volé les parchemins et la magie dans tout les sens en un chaos visuel aussi merveilleux qu’effrayant. Au final, Sorn pu ainsi atteindre l’invocatrice et lui arracher d’un coup le parchemin de son visage, laissant une magnifique femme choir contre le sol sous la surprise et la confusion mentale. D’elle s’extirpa une ombre monstrueuse ressemblant à sa silhouette ressemblant à une parodie d’une Elezen ayant les traits d’un oiseaux monstrueux. Celle ci voulait protéger la petite Raenne comme pour la préserver, avant de se prendre de plein fouet les tirs de Gladys surchargée par la clé du Teclis quand elle l’arracha des mains de Sorn.

Les canons propulsèrent d’innombrables lumières contre la silhouette qui venait de recevoir un brasier de mort de Salarios pour couvrir Runne dans une grande déflagration qui l’avait bloqué l’instant suffisant pour n’en laisser que de la poussière tournoyante un peu partout. Runne atteignant la jeune fille, celle ci lui demanda de l’aide et de prévenir sa famille en pleurant un instant, sous les eaux, faisant sûrement référence à la légendaire Sui-no-Sato. Son lien avec la légende de Suzaku devait en faire le vaisseau parfait, car c’est à travers sa force qu’elle devint l’incarnation du Phénix noir. Le Kami déchu repoussant Runne qui tomba brusquement avant d’être réceptionné par Finaen en bas, s’éleva par la suite en tournoyant autours du pilier des cieux. Tous à Onokoro purent observer cette chose aussi belle qu’aberrant de par sa nature déchue s’abreuver en partie du pouvoir du Pilier, avant de rugir comme si elle avait été repoussée par la tour-artefact, partant dans les nuages sombres agglutinés par les flammes. Toutes ses flammes purent s’éteindre maintenant que son influence s’échappait avec sa silhouette. Le Phénix noir invoqué, nous observions les cieux alors que le calme regagnait enfin les lieux, tous conscients que notre périple venait de commencer. Afin de vaincre ce Kami déchu avant qu’il ne provoque le moindre mal dans la Mer de Rubis. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 13 oct. 2021, 14:59

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-et-unième Entrée - «  Acte 2 – Le navire aux monstres marins.»
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« La vie en Onokoro était bien différente de ce petit confort dont nous profitions en Eorzéa. Dès la première nuit, ce fut un sentiment semblable à celui vécu lorsque nous étions à Ala Ghiri : Vivre ici, ça n’était pas que venir s’y battre, c’était aussi tout faire pour que ça se passe bien. Aerlin avait rapidement prit un rôle de médecin pour les locaux, aidé par Finaen et Kohaku, on peut dire qu’ils allaient déjà être vue comme au petit soin du peuple pour ceux qui nécessitaient encore des traitements depuis les combats. Hors, de mon côté, mon rôle était de faire en sorte de mettre la main sur tout les soucis qui pouvaient résidé dans les environs. Et le premier était le suivant : De quel moyen les invocateurs du Kami déchu sont-ils arrivés à Onokoro ? Le départ pour une réponse menait à une embarcation usée dans le nord de la contrée pour divers déplacement vers l’Est. Quoi qu’on pourrait y trouver, c’était des potentiels indices sur comment le Phénix noir à pu trouver des forces aussi proche du pilier des cieux qu’il convoite.

C’est alors auprès de la foule habituelle et agréable d’Onokoro que nous nous sommes préparés à partir avec plusieurs membres habituels de notre équipe : Kohaku avait pu nous rejoindre, offrant son expertise à provoqué beaucoup de chaos tout comme Sorn afin d’épauler nos camarades. Je tiendrais la ligne, peut-être avec Finaen, au vue de notre manque de protecteur direct pour l’instant ! Mais pour ce qui est de la magie, on ne peut pas dire qu’on en manquerait beaucoup. Runne devait nous rejoindre, et pour l’heure Lucian couplerait ses pouvoirs avec une jeune occultiste du nom de Lamymyr, de la famille de Lavyr, venu nous rejoindre pour sa première mission avec nous. Laissant Aerlin soutenir la populace pour enquêter sur ce navire, il convenait essentiellement de découvrir tout de la menace des forces du Kami déchu avant de s’intéresser au Clan Kazan lui même. C’est ce qui nous mena droit vers le nord, alors que la soirée s’annonçait déjà compliquée au vue de l’accumulation de nuage dans les cieux. Ce n’était pas un feu de ville cette fois, mais plutôt l’intensité d’une tempête qui s’annonçait qui ne risquait pas d’être naturelle.

L’éther s’y agglutinait comme si un rituel ou une créature l’infusait rien que par sa présence et rendait les environs pour le moins chaotique. Prenant le temps de parler à la populace, Finaen rassura quelques peu les locaux qui parlaient même d’apaisé les Kami de la fureur qui se concentrait dans les cieux n’ayant rien de rassurant, leur insufflant l’espoir qu’il ne tombera sur Onokoro que de l’eau, nous sommes parti ensemble pour découvrir ce qui pouvait advenir de plus dangereux : et cela advint bien plus rapidement qu’attendu. Il venait à peine de pleuvoir, les étendues se recouvrant lentement de pluie, qu’un éclair frappa d’une lueur noire inquiétante me rappellant la foudre de Yone, droit contre la roche proche de nous. Réagissant aussi tôt, Finaen essaya de solidifier la pierre pour nous permettre de passé rapidement tandis que Lucian élevait un bouclier puissant rayonnant d’énergie. Des pierres s’y écrasaient sans cesse, permettant à Kohaku et à Sorn de levés leurs armes en tirant aussi bien les flammes par le canon de l’arme de Sorn que quelques techniques de Kohaku dévastant les pierres pour nous offrir encore plus de temps. Une bien plus grande pierre chuta, s’écrasant proche de Finaen en l’envoyant valser plus loin alors que Kohaku me couvrait d’une roche me tombant dessus tandis que j’en tranchais une partie.

La confusion gagna les lieux, Finaen et Lucian avaient été mit au sol et Lamymyr se cachait dans les pans de tissus de Sorn avec panique et crainte pour que l’elezen le couvre. La tempête était alors sur nous, la visibilité et nos sons étaient largement atténués par la fureur du temps qui ne semblait plus vouloir s’apaiser. Avancer était aussi confus que difficile, sans y voir grand-chose, nous nous heurtions à la problématique d’un recoin d’eau où de terribles vagues frappèrent sans cesse sur les flancs. Surement ne l’avait-il pas vu, mais Sorn avançait en progressant droit vers une curieuse lueur bleuté pour essayer de voir ce que c’était : Mais les vagues immenses s’écrasant sur les abords ne s’étaient pas arrêtés, elles s’intensifiaient autant que la pluie était de plus en plus puissante – Lucian et Kohaku progressant sur les côtés proche de la roche, voir sur la roche, en restant le plus loin possible de cette pluie. Si Sorn et Lamymyr reçurent une vague de plein fouet en valsant un peu partout plus loin dans un choc puissant, les prochaines au moins ne purent les achevés tandis qu’ils se remettant en crachant de l’eau : Finaen contrôlait pour le mieux les flots en cherchant à les écartés, concentré sur sa technique difficile en essayant d’apaiser les vagues qui se cassaient sur la barrière de protection élevés par Lucian. Au moins avions nous un passage grand ouvert, mais nous avons été séparés par l’intensification de la pluie ne nous permettant de voir pratiquement rien. Tous erraient en essayant de progresser vers une sorte de flamme noire, qui était notre direction. Là où un maléfice rôde, c’était certainement l’emplacement où le danger devait être prompt à être vaincu.

Chacun avançant de leurs côtés, des tirs de Sorn se faisaient entendre tandis qu’il enchaînait des adversaires monstrueux : Des sortes de créatures mêlés entre des corps, sûrement des cadavres, d’anciens voyageurs et marins de la mer de rubis qui avaient été mêlés à des corps de crabes monstrueux et recouvert de coraux. Rares étaient les monstres de légendes aussi écœurant, ma lame venant en trouver plusieurs pour les taillés en pièce jusqu’à voir apparaître lentement Finaen qui éloignait comme il pouvait la pluie. Ce dernier était blessé, Lucian non loin de lui avait récupéré Lamymyr blessé qui venait de les propulsés vers Runne quand ce dernier était apparut : Il nous attendait lors du passage, mais avec la tempête, il s’était perdu jusqu’à ce que Kohaku ne lui bondisse dessus en pensant y voir là un ennemi. Les deux avaient donc écrasés avec efficacité mêlé ceux qui se tenaient entre la flamme noire et nous pour nous permettre enfin de nous retrouvé, et de nous mettre en route. Quoi qui pouvait bien provoqué cette tempête, elle devait avoir un but, et j’admets que je n’espérais pas les laissés avoir le temps de nous faire découvrir ce que c’était.
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Le temps de nous retrouver, et quelques soins furent distribués. Plusieurs avant reçu de sacrés chocs, et bien que j’allais relativement bien, ça n’était pas le cas pour Finaen ou encore Lamymyr tout en voyant Sorn être fou de joie de retrouvé des compagnons en sortant enfin de là tout en disant avoir découvert comme une sorte de poisson le guidant droit vers le feu noir. Tout restait des plus confus, mais au moins l’influence de la magie de Finaen permettait de nous parler un peu au milieu de cette furieuse tempête qui ferait chaviré n’importes quels navires de pêches – en espérant qu’ils aient eu le temps de se mettre à l’abri à Onokoro ! Mais il nous restait à découvrir ce pourquoi nos ennemis l’avaient provoqués et peut-être comment ils avaient créer de telles choses immondes avec les bénédictions du Phénix noir. Les coraux m’évoquaient immédiatement ce qui pouvait nous attendre à l’Est, et les légendes sur ce qui pouvait venir de là-bas. Pour l’heure, la problématique restait la même : atteindre les quai d’où les forces des invocateurs ayant rongé Onokoro de l’intérieur devaient se trouver. Cependant, après quelques potions de soins partagés et des retrouvailles notamment heureux de retrouver Runne encore dans une situation délicate, nous avons pu achevé le passage jusqu’à parvenir dans un recoin proche de la plage du nord où le temps semblait être figé.

La pluie ne tombait pratiquement plus, quelques gouttes chutaient encore mais principalement elles étaient figés dans les cieux en tournoyant lentement en l’air dans un balais merveilleux des innombrables gouttes reluisantes de lumière en se figeant dans un tourbillon semblable à un typhon coincé dans le même mouvement paisible et lent. Au moins pouvions nous y entendre et y voir quelque chose, hors de la tempête, pour constaté que plusieurs de ses invocateurs noirs avaient fini par essayer d’installer une stèle religieuse envers le Kami déchu. Quoi qu’ils pouvaient faire en utilisant un grand parchemin qu’un jeune peinture effrayé avait tracé, qui ressemblait à une estampe magnifique du phénix noir utilisé pour essayer de convoqué le Kami, ce qu’ils voulaient était visiblement attiré son attention. Et c’est pour ça que cette tempête apportait tant d’éther avec elle pour le faire venir enfin à eux. Tous foncèrent sur plusieurs objectifs en urgence, avec Lucian nous avions décidés de nous débarassés de l’ignoble créature qui rôdait au centre de là pour offrir une ouverture à Finaen qui fonçait vers un amas de coraux ayant brisés des arbres en poussant au milieu de ses derniers quelque peu de force. Mon sabre avait beau le trancher, coupant des pinces et membre de cette chose mais elle avait un aspect spirituel qui faisait réapparaitre comme une glue noire ses membres coupés.

Il s’agissait de deux cadavres mêlés en un corps de crabe hideux et claquant, se fichant de la partie de son corps dévoré par une bourrasque d’obscurité générés par Lucian qui reçu en retour un coup sérieux de pince dans le flanc tandis qu’il essaya de me planté au sol en m’écrasant par terre en m’ayant peut-être confondue avec une carotte qui fallait remettre sous terre. Peu après cet impact, me redressant douloureusement, c’est quelque peu irritée que ma lame trancha soudainement son corps là où les colonnes de flammes jailissaient du sol où Lucian avait décidé de la carbonisé pour que le feu dévorant de magie détruise cette créature de l’intérieur. Pendant que l’horreur des mers se consummait lentement, au moins Runne avait-il pu purifié le sanctuaire du Phénix déchu qui avait été alimenté par trois des adeptes de ce Kami. Ils discutaient avec fierté de leurs créations, et Kohaku se permit alors devenir leur en parler. C’était quelque peu audacieux, autant ils auraient pu lui parler précisément de ce qu’ils faisaient, mais nous avions trop vu ce genre de personnes pour croire qu’ils s’exprimeraient aisément de leurs projets.

Des personnes en soif de pouvoir, voilà ce qu’ils étaient, et en retour ils tirèrent leurs armes pendant que Lamymyr mettait rapidement en sécurité le peintre pour qu’il ne soit pas prit dans le combat. Malgré l’intervention de Runne provoquant une bourrasque aérienne puissante qui frappa les adeptes du Kami en les repoussant, la contre-offensive immédiate envoya Kohaku s’écrasé dans une déferlante de magie lugubre droit contre un arbre, sonnée par le choc. Malgré la douleur envahissante, elle fonça directement vers les adeptes pendant que Runne et Lamymyr faisaient tout pour bloqués les pouvoirs de l’autel du Phénix jusqu’à ce que les flammes noires qui y résidaient s’éteignent directement. Le premier adepte reçu deux lames dans la mâchoire, et la foudre s’écrasant sur sa cible continua rapidement sa manœuvre droit contre les deux autres adeptes qui chutèrent carbonisés au sol, encore fumant légèrement sous la puissance du choc foudroyant. Laissant le peintre rentré chez lui, il chercha un moyen de s’échapper pendant que le sol se mit d’un coup à trembler brusquement : Dans un effort de purification, Finaen avait repoussé quelque chose qui semblait se trouvé dans le sol et dont la présence alimentait les coraux qui finirent par perdre leurs influences quand l’élan purificateur de Finaen les gagna.

Voyant Sorn en péril, dès que le sol cessait de tremblé, notre machiniste avait constaté que les Shiranuis pouvaient peut-être être sauvés en essayant de les agités un peu pour les éloignés d’une quelconques influences. Certains étaient intrigués par Gladys, mais deux autres progressaient vers Sorn d’une façons menaçante jusqu’à ce que l’un le touche à l’épaule. Cette première touche était très douloureuse et empoisonnée, jusqu’à ce qu’il tire ses chaînes qui furent amplifiés par un sort de purification de Finaen. Les Shiranui capturés étaient alors autant purifiés par la présence des chaînes qu’ils étaient captifs, cela dit, la dernière de ses sortes de méduses à tentacules flottantes dans les airs attrapa Sorn et se mit à l’enserrer en le soulevant lentement. Bloqué, c’est Gladys qui attrapa le fusil et tira une chaîne autours de la créature pour libéré son maître. Toutes menaces vaincues, nous nous retrouvions malgré le mauvais état de certains de nos camarades pour observer le curieux navire qui se trouvait plus loin. Quoi qu’il puisse être, c’est là-bas que nous aurions nos réponses, et il risquait de partir à tout moment désormais. Emportant avec lui tout les secrets des monstres marins qui l’accompagnait dans son sillage sinistre.
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Il restait des flammes noires ondulant devant nous, gênant notre passage depuis deux colonnades. Pour essayer d’offrir quelques soins d’urgences, je ne pouvais rien pour l’état douloureux de Kohaku et Finaen était occupé à faire en sorte que le poison diffusé dans le corps de Sorn soit rapidement apaisé. Je ne pu que respecté dès lors avec le manque de potion de soin à fournir, sa témérité à poursuivre en propulsant une déflagration enflammée sur le feu noir pour que l’éther en soit dévasté. Renforcée par la catalyseur de Finaen d’une couleur rougeoyante et brûlante à souhait, comme elle le découvrit avec son petit doigt, les flammes s’atténuèrent et purent disparaître dès que Lucian coupa le flux d’éther de ses dernières. Les deux piliers domiens magnifiques auraient du essayer de les renforcés, mais Sorn d’un coup explosa ses derniers avec son arme à feu en plusieurs tirs puissants pour permettre au passage de s’ouvrir en grand. Rejoins par Runne qui avait brandit le parchemin en pensant qu’il pourrait brisé les flammes maintenant qu’il était purifié, il avait au moins l’avantage de généré les lieux de calme autours de nous où la tempête semblait bien moins terrible. Aussi l’enfila t-il enroulé dans son gambison alors que nous nous sommes mit en route droit vers le bien étrange bateau tandis que la mer semblait totalement déchaînée au niveau des pontons. Ceux ci n’étaient pas du tout stable, les planches s’éparpillaient parfois et se fissurent à mesure où ils étaient torturés par les immenses vagues et se serait un véritable défi que de pouvoir bondir dessus et protéger malgré les soucis du temps, hors ils ne seraient pas les seuls.

Se concentrant pour rapprocher les morceaux de bois et apaiser les flots, Finaen fit de son possible pour les rapprochés et les maintenir en convoquant des amas de pierre pour reliés notamment les morceaux qui s’étaient éloignés afin de nous offrir un accès total. Le vent de la tempête était des plus puissants, Lamymyr se concentrant sur les caisses que Sorn ne faisait pas explosé en l’air afin d’évité d’être percutés à toute vitesses par des débris de bois, la Lalafell pointant son pinceau vers les conteneurs volant dans les airs directement vers nos bons amis sorti des flots : les créatures étaient de retour. Identiques à celles qui étaient dans la tempête, les corps perdus mutés dans cet amas de carapace hideuses sortaient d’un peu partout en émettant des grognements écoeurants et ses cliquetis d’insecte que je trouvais particulièrement inquiétants. Fonçant en avant en tranchant ceux sur mon chemin pour ouvrir le passage, cela se serait bien moins bien passé si Gladys n’avait pas attrapé l’un des explosifs de Sorn pour le balancé au milieu des créatures qui se ruaient en avant, la déflagration me permit de bondir en tranchant les dernières tout en constatant que aucunes ne parvenaient plus à monté : Runne envoyant des lames de vents tranchait des tentacules et des créatures avant qu’elles ne sortent, permettant à Lucian et Kohaku d’appliqué en urgence deux sorts mit en commun pour congelés les tentacules et les créatures ainsi que tout les environs, l’eau gelée empêchant le passage à nos ennemis.

Bien entendu, ce qui se trouvait sous l’eau ne désirait pas permettre aussi aisément d’être bloqué quand une tentacule énorme brisa le pont sous nos pieds en envoyant Runne s’écraser contre une pierre plus loin proche de l’eau. Attrapant Lamymyr, avant de l’écraser contre le dit pont de toute ses forces tout en laissant une des créatures jaillir pour frappé Finaen, il nous fallut nous en débarrassé rapidement pour enfin avoir accès tout ensemble au navire étrange qui nous attendait. Typiquement Domien, le navire avait cela dit une impression de malaise profond et d’énergies errantes qui envahissaient l’esprit rien qu’à se tenir dessus. Des nombreux morceaux de coraux étaient greffés à même dessus, mais il ne semblait y avoir plus rien pour mené le navire avec des moyens humains.

Pas le temps de vraiment inspecter ce dernier, puisque nous observions le vieillard qui se trouvait au bout du pont de ce bâtiment en servant le saké. C’était un vieux membre du Temple du Feu noir, vraisemblablement, des religieux croyant que le Phénix noir pourrait recouvrir ses étendues de ses flammes pour faire renaître la terre dans un état qui lui offrirait la survie et la prospérité. Pour les anciens du Temple, c’était un vœux de renaissance. Et pour les jeunes fous, c’était un vœux de pouvoir. Sacrifié pour l’invocation et le lien avec la créature des mers leur permettant d’usé autant des coraux envoûtés que de la violence des flots, il se mourrait à petit feu et ne souhaitait se battre. Mais le titanesque Shiranui qui s’éleva lentement des flots assura que nous aurions tout de même à affronter quelque chose. Voilà d’où venait les tentacules, et d’une autre mesure, la maîtrise des flots. La bête fit jaillir ses membres venimeux pour essayer de nous atteindre mais nous avions pu avec Runne déjà en détruire pas mal. Il congela tout eux arrivant par notre gauche, se bloquant d’un coup tandis que le navire se mit lentement en mouvement sur les flots déchaînés nous agitant dans tout les sens.

Tranchant de mon sabre les membres gelés, ils se brisèrent en morceau en laissant Finaen assailir les autres. Ses coups purificateurs gênaient autant qu’ils détruisant ses défenses et un tentacule chuta à son tour. Cela dit, il eu le temps de faire tomber son dernier qui ravagea le navire en partie. Propulsant Sorn à travers une cabine en plein sur un bureau dont les parchemins volèrent dans tout les sens, même Lucian fut frappé tandis qu’il attrapa Lamymyr en l’écrasant brutalement au sol. La Lalafell était en train de renforcé notre éther pour nous rendre plus fort, et elle continua de le faire malgré la douleur qui la laissait par terre sans pouvoir bouger de nouveau. Aussi Kohaku avait pu ainsi foncer droit vers la tête du Shiranui titanesque en suivant la foreuse de Sorn qui lui avait déchiré toute une partie de la tête ainsi qu’en profitant des sorts ayant frappé la créature de la part de Lucian. Bondissant vers la bête, Kohaku fit tombé la foudre en l’endommageant sérieusement avant de simplement disparaître dans la gueule de la créature. S’accrochant comme elle pouvait avec sa lame sur sa langue, nous avons tout fait pour la soutenir en espérant que ça ne soit pas trop tard.

Pendant que Finaen détruisait la dernière tentacule, la créature émit une impulsion puissante qui brisa tout sur son passage en renvoyant Sorn s’écraser dans un tableau hors de prix, Runne quant à lui protégé par Finaen qui bondit pour le prendre dans ses bras et esquivé le gros de l’impact. J’avais valsé aussi plus loin peu après avoir tranché une partie de la bouche de la créature des mers, permettant au Teclis de Sorn d’atteindre Kohaku à l’intérieur pendant que Runne l’avait grandement congelée. Elle ne fut bloqué directement que quand la pointe d’énergie de Lucian la cloua d’un coup contre le navire, provoquant un instant après une grande déflagration bleutée une fois que Kohaku pu se sortir de là protégée et renforcée par le Teclis, celle ci avait visiblement lancé une technique si puissante qu'elle avait fait exploser notre adversaire en milles morceaux, ce qui n'était pas des plus hygiéniques. S’étalant sur le pont, le calme revint de plus en plus à mesure que même la tempête semblait plus douce et calme. Il allait pleuvoir toute la nuit, mais ça serait bien plus tranquille que si c’était infusé d’éther pour attiré un Kami errant. Étalés pour la plus part sur le pont, le vieillard sourit en nous félicitant, buvant paisiblement son saké. Le temps de revenir sur la plage, il avait perdu la vie due à son sacrifice dans l’éther. Nous avions cela dit notre prochaine cible : l’Est, vers les terres où les coraux sont maître des lieux. Afin d’aller à la rencontre des membres survivants du Temple du Feu noir, et les arrêtés. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 15 oct. 2021, 15:55

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-deuxième Entrée - «  Acte 3 – Lors d’un flot d’esprit-coraux.»
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« La pluie est rester plusieurs jours à la suite du conflit contre la créature marine. L’image de cet immense Shiranui me restait encore en tête longtemps après cette mission – enfin si on considère que quelques soleils représentent beaucoup de temps. Mais les coraux nous à donner des pistes très intéressantes nous menant droit vers l’Est de la région. Une force spirituelle surprenante se trouvait dans la balance, et il fallait découvrir ce qu’ils pouvaient bien faire de tels coraux et des esprits qui y habitaient pour créer leurs serviles créatures afin de trouver un moyen de convoqué le Phénix noir. Il pleuvait toujours quand nous nous sommes préparés à partir, la routine s’installait lentement en Onokoro où nous œuvrions afin que tout aille pour le mieux avant de partir au combat mené nos missions dangereuses. Les ressources avant le départ étaient légère, tout était encore que mystères et intrigues tout en espérant que nous pourrions en apprendre plus que les intrigues du Temple du Feu noir. Tandis que la pluie continuait de tomber des cieux tranquillement ce qui était agréable après les jours de pluies passés – bien que cela est particulièrement reposant la nuit pour dormir que d’entendre l’orage et la pluie qui tombe, ça m’endort immédiatement ! Nous nous retrouvions proche de l’éthérite tandis que Kohaku discutait avec Finaen de leurs derniers efforts en ville. Que c’était confortable cette impression de vivre dans les parages, Runne profitant des cuisines et offrant quelques recettes avec les locaux tout en préparant avec ce qu’ils ont des collations avant le départ. Et tout ses gens se préparaient de nouveau à combattre bien des périls ensemble avec le renfort de ce qui nous manquait ses dernières missions : Livio dans le rôle d’un protecteur vaillant prompt à nous empêcher de recevoir des coups puissants et Aerlin en tant que guérisseur afin de nous offrir des soins convenable en cas de blessures sérieuses. S’y joignant, Lamymyr nous offrirait plus de talent encore avec l’encre utilisé pour généré des sorts arcaniques ce qui serait des plus efficaces le long de la musique.

Discutant de nos objectifs, nous sommes parti vers l’Est en direction du Banquet de corail conscient que les lieux avaient été interdit pour les civils par la confédération puisqu’ils ne recevaient plus de nouvelles, ce qui signifiait forcément des mauvaises nouvelles en cette période. Quittant la ville, nous avons eu la surprise de voir sur notre route Saiko qui fini par s’incliner en nous remerciant de lui donner la chance de réfléchir à sa situation. Après quelques mots partagés avec Finaen, lui fila médité en ville sur la situation des siens vis à vis de Doma tandis que nous observions les nuages lourds s’ouvrirent lentement au lointains. Donnant l’impression que la lumière délicieuse d’un crépuscule paisible venait rendre enfin la vue aux aveugles affectés par l’obscurité du mauvais temps. Des nuages sortaient des rayons de lumières formant des visions incroyables qui furent sublimés par qui nous ouvrit la route : La dame de l’eau jaillit en souriant vers Aerlin, écartant les flots en nous laissant un passage au milieu d’un passage coincés par les restes de tempête en permettant où y apparut des myriades de coraux. Inspectant les environs pendant que plusieurs s’émerveillaient, notamment Runne, Kohaku et Lamymyr progressant contre le sable mouillé du fond de l’eau où nous pouvions alors marchés tout en observant les poissons et la végétation aquatique, Finaen et Aerlin eux étaient plongés dans l’éther en découvrant une trace sinistre.

Quelque chose provenait du sud, des étendues plus profonde de la mer de rubis, qui avait du s’éveillé et apporter avec elles des forces malveillantes particulièrement puissante connectés aux aspects infâmes du Phénix noir. Nous ne pouvions voir encore ce dont il s’agissait, mais plus nous approchions, plus les coraux en étaient affectés et c’est Livio qui constata en repoussant un poisson bondissant vers nous de sa lame quand ce dernier lui fonçait dessus. Kohaku était sûre : Ce dernier paniquait, et avait chercher à fuir quelque soit le coût. La dame des flots se tenait la tête, accrochée au bras d’Aerlin, quand elle fut mentalement assise alors que le passage qu’elle avait ouvert se refermait à toute vitesse derrière nous. Notre espoir était plusieurs barques de pêcheurs où ses derniers travaillaient, l’air paniqué et blême, comme si ils n’avaient pas pu dormir depuis longtemps prisonniers des intentions de ceux qui avaient prit le contrôle des immenses coraux du Banquet. Kohaku et Runne fonçaient vers les barques pour les rendre accessible, arrivant dans une barque, Kohaku les stabilisa loin des trous dans l’eau et proche des marches de glaces que Runne venait de faire apparaître afin d’escalader littéralement la faille d’eau dans laquelle nous étions.

Dans une impressionnante synchronicité, Aerlin et Finaen nous offrit le temps d’agir en arrêtant les flots, les ralentissant énormement, jusqu’à ce qu’ils puissent atteindre les barques à leurs tours tandis que j’étais aller chercher Lamymyr et Livio. Les deux s’étaient propulsés avec un sort et un grappin vers ce qui semblait être une immense pierre, mais à la place, il s’agissait là d’un crabe maudit immense et immonde qui cherchait à les abattre. Plantant sa lame dans son crâne, Livio et sa camarade furent propulsés dans l’eau et il la protégea malgré les remous important en s’écrasant dos au fond de l’eau dans un bruit choquant et douloureux. Les sortant rapidement de là, arrivant dans barques, nous aurions peu de temps pour atteindre le Banquet de corail dans des hauteurs plus éloignés avant qu’ils ne trouvent un moyen de nous coulés en nous mettant en péril. Une fois de plus, Aerlin et Finaen étaient en synchronicité parfaite en utilisant les flots dans des mouvements ensemble après avoir balayés de nos adversaires : Des barques anciennes coulés il y à fort longtemps, des sortes d’amas de déchets de la mer et de coraux formant des corps de crabes en sortant en cherchant à nous atteindre. Elles furent bloqués par Aerlin et Lamymyr avant d’être dévastés par des trombes d’eau puissante que Finaen fit jaillir avant de propulsé la barque elle même dans les airs comme un filet d’eau les faisant percutés le haut du banquet de corail soudainement et un peu fortement.

Proche d’eux, Kohaku et Runne venaient de monter aussi quand Kohaku s’écrasa sur son camarade involontairement après qu’ils aient dévastés plusieurs des barques : Pendant que Runne en perçait de lame de glace, Kohaku elle avait orienté un vieux lance-fusée domien que l’un tenait pour tirer sur les autres, avant de tirer sur la propre barque détournée avant de voler dans les airs en s’écrasant au sommet. Nous les rejoignons avec Livio, ayant bondit d’une barque à une autre en tranchant ses maudites créatures jusqu’à atteindre les hauteurs grâce à son grappin peu après qu’il ait reçu un coup douloureux, m’accrochant à sa cheville tandis qu’il était propulsé en l’air. Abandonnant des créatures dévastés et des pêcheurs en profitant pour fuir loin d’ici vers Onokoro, nous nous reprenions doucement en contemplant un lieu rendu magnifique par ce qu’ils préparaient, mais qui avait tout autant des problèmes graves qui nous mènerait à nous battre presque aussi-tôt arrivés.
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Sur place, nous n’avons eu que peu de temps pour nous reprendre. Quelques potions bues pour ceux vraiment impactés, Aerlin frappant de son bâton au sol dans une lueur paisible nous envahissant. Un calme d’un instant dès lors que nous étions arrivés provoqués par la stupeur d’une apparition inattendue nous offrit le temps nécessaire pour observer les environs. Certains se préparaient, se soignaient, mais pour la plus par nous étions simplement confrontés à l’observation de notre prochain défi qui était autours d’une vue simplement sublime : Bien que ça avait fragilisé toute la structure, il y avait au centre une sorte d’immense corail ayant éventré le sol et pulsant d’une énergie splendide, agréable et tranquille. Elle n’avait rien de mauvais, Finaen qui la contemplait l’avait constaté, mais c’est son effet qui produisait une véritable problématique : attirant des esprits venant des flots, de ceux d’anciennes bêtes des morts, les prêtres du Temple du Feu noir utilisaient des pratiques maudites pour possédés des corps des noyés afin de créer des véritables monstres. Autours du grand corail se trouvait une étendue ronde de déchets du fond des flots mêlés à des corps abandonnés de bien des malheureux. Le tout sous le regard des habitants qui n’avaient pas le choix. Soit ils coopéraient et travaillaient selon les attentes des nouveaux maîtres des lieux, soit ils rejoignaient alors le lot de leurs ressources pour être utilisés aux fins de funestes magies profanes.

Profitant de cet instant de doute, qui allait entraîner irrémédiablement un vent de panique dans le cœur des gens, nous nous sommes élancés rapidement vers nos cibles pendant que Lamymyr arpentait les environs en braillant aux locaux de partir à toute vitesse. Soulevant son pinceau, elle liait l’encre aux différents combattants en armure domienne noire des guerriers du temple qui s’apprêtaient à exécutés ceux osant essayer de fuir les lieux en urgence, les repoussés et les éloignant de là à chaque mouvements de son pinceau formant de l’encre à même mesure que sa magie. De l’autre bout du corail, Runne et Aerlin s’étaient immédiatement intéressés à un vieillard flottant en l’air comme en lévitation qui discutait des préparatifs de la création qu’ils avaient formés sur les immenses coraux locaux. Avant que lui et son camarade prêtre ne puissent agir, ils furent prit entre les vents puissants de Runne envoyés en avant qui les firent heurtés les flots convoqués par Aerlin comme un bras puissant essayant de les happés et de les faire choir à toute vitesse. Faisant tournoyer ses mains, le vieux prêtre n’escomptait pas se faire avoir si facilement. Domptant les flots d’Aerlin en se créant une sphère protectrice, il fit jaillir les feux noirs de son phénix qui s’écrasèrent autours de nous en enflammant les plantes, les corps, et même un malheureux habitant qui se roulait en urgence par terre sans parvenir à les éteindre pendant que le vieil homme riait d’une façons de plus cruelle. Runne rapidement fit tout pour atteindre le feu envahissant en coupant ses liens à l’éther, brisant les flammes sur les corps qui commençaient à vouloir se déplacer autant que cela risquait de les transformer en viandes un peu trop cuite.

Dès que celles ci fut brisés, Runne fut balayés par le vieillard qui vit le miqo’te s’écraser dans un tonneau plus loin tandis qu’il fuyait Aerlin qui était submergé d’un pouvoir rare et crépitant. L’élémentaliste avait puisé dans le cœur et l’essence de l’élémentaire en émettant des lueurs puissantes autours de lui en se concentrant sur le corail principal en voyant qu’il y allait avoir bien des problèmes à venir. C’était déjà et surtout pour sauver Kohaku et Livio qui combattaient les énormes Coquorails – des sortes de crabes recouvert de coraux manipulés par les œuvres des prêtres du Feu noir, ayant enfoncés des kunais avec des incantations sur des parchemins à même leurs corps. Kohaku avait déjà retiré une bonne partie de celles ci, mais juste avant de retirer le dernier kunai, elle fut balayée d’un coup puissant au sol par celui qui semblait infusé de l’éther du Phénix noir. Attrapé par derrière en ayant fissuré la coquille de son adversaire, Livio fut frappé plusieurs fois par les pinces jusqu’à ce qu’un Shuriken de Kohaku ne repousse le dernier kunai du Coquorail, le libérant d’un coup de l‘emprise du Phénix noir. Il se mit à vagabonder plus loin, pendant que leurs autre ennemi se préparait à ejecté des flammes noires puissantes en étant sur infusé de cette énergie malveillante.

Quand il fut poignardé par Kohaku, Livio lui ayant brisé les pinces allait l’achevé en écrasant sa lame dans son corps avant que la déflagration puissante ne jaillisse de son corps pour essayé de consumé nos deux compagnons. Dès que les flammes cessèrent, nous avons retrouvés Kohaku et Livio dans des bulles d’eau magnifique errante en l’air convoqué par Aerlin à travers la connexion d’une création qui resterait là à jamais : Le corail avait été détruit. Après s’en être servit pour éloigné les esprits, créant un lien entre Finaen et le corail magnifique, il avait du se résoudre à s’en débarrassé en brisant celui ci par la puissance de la roche qui jaillirent pour le dévasté en constatant la conscience de quelqu’un cherchant à s’en servir comme connecteur pour faire apparaître son emprise dans les environs. Ayant mit les esprits en sécurité, Finaen fit le choix du ravage pendant que je combattais un énorme assemblage comme si ils avaient affrontés des bras et des pieds fait de détritus à une petite embarcation abandonné dans l’eau. Le corail éclata en milles morceaux en laissant jaillir de l’eau d’un blanc d’une pureté rare, lui donnant l’impression d’un arbre aux longues feuilles tombantes une fois que les esprits vinrent le rejoindre pour s’y reposé quand les eaux furent figés jusqu’à ce que quelqu’un ne décide de le détruire une fois qu’Aerlin le stabilisa dans un effet rayonnant de purification.

S’écrasant au sol après un choc du vieillard en fuite, qui s’installant dans l’assemblage monstrueux mais bien endommagé par ma lame, il tenta de fuir en écrasant un civil sous le pied de la création tout en cherchant à rejoindre une des énormes plateformes en corail géant plus loin de là. Lamymyr venait de sortir du sac dans le quelle elle avait été kidnappée pendant qu’elle foudroyait les gardes à la lance, avant que Kohaku et Finaen n’arrivent pour s’en débarrassé aussi tôt et sans aucune once de pitié. Livio lui avait bloqué la route à l’assemblage, ce dernier et le vieillard furent tranché enfin par ma lame coupant en deux bois, détruits, et autres résidus anciens écœurant venant du fond des flots. Plusieurs avaient été blessés, mais le calme revint dès que Runne avait fini de stabilisé les lieux avec le support d’Aerlin le guérissant et lui donnant force le temps qu’il solidifie du sable là où la plateforme risquait de chuter dans la mer. Un calme de quelques instants fut place, laissant les habitants dans le doute, jusqu’à ce qu’un énorme amas de détritus marins vola dans les cieux en repoussant les esprits des mers tout en s’écrasant sur une bâtisse de la Confédération en abattant deux civils. Des flammes noirs ondulaient plus loin, là où se concentrait le flot d’esprit-coraux maudit par une créature des mers éveillés plus au sud. Et avant que tous ne soient tués par la créature qui rugissait de colère et de souffrance, il nous fallait nous y rendre.
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Le réconfort de voir les locaux bien vivant s’estompa comme si je venais de déglutir toute la pression accumulée depuis le début des combats. Voir ainsi la bâtisse et les vies censés être sauvés disparaître d’un coup. Ils étaient deux, sur beaucoup plus, mais ça n’est jamais une excuse pour ne pas se sentir mal face à sa responsabilité de les protégés. Par les Kami, les vies ne sont pas comme des nouilles qui tombent du bol, « deux, ça n’est pas grave sur cent », alors qu’en vérité. Ça l’est tout à fait. Hors de question que ça se répète alors, je m’efforçais de me répété ça tandis que peu après les soins d’usage pour quelques camarades ayant subit des contre-coups plus difficile à géré, notamment Runne, nous nous sommes tous mit en route vers un amas de coraux éloignés qui pulsaient de ses dites flammes. Quelque chose s’y déplaçait, d’énorme, mais ne ressemblant pas au Shiranui immense que nous avions affrontés sous le navire. Cela avait plus l’air d’être un amas d’objets en mouvement comme une vague vivante qui se mouvait irrémédiablement plus loin devant nous. Et cet amas était responsable de la boule de détritus car sur la route elle allait nous en balancer plusieurs en cherchant à nous arrêtés – aussi me dis-je qu’elle se contentait simplement d’éprouver un besoin sincère et irrégulier de nous détruire avec moult brutalité.

Esquivé les décombres n’allait pas être des plus aisé surtout à cause du terrain : Il n’y avait pas de pontons comme entre les coraux menant jusqu’au banquet où vivait des membres de la confédération. Il fallait alors parvenir à bondir d’un petit morceau de pierre à un corail plus petit sans cesse en grimpant, descendant, bondissant dans un exercice particulièrement compliqué qui à tout moment pouvait justifier de nous voir raté une « marche » avant de nous faire dévalé tout ce que nous venions de progresser ensemble. C’était si intense, qu’Aerlin du grandement se concentré sur ses manœuvres pour ne pas choir, s’efforçant de palier à ses lacunes physiques afin de progresser au même rythme que les autres tandis que nous progressions à des rythmes différés. Proche d’Aerlin, protégeant ce dernier, Runne avançant en cherchant à éteindre les flammes noires qui jaillissaient : Comme des invocations, plusieurs membres du Temple du Feu noir apparaissaient sur des coraux pour essayer de nous atteindre en vitesse. Ils jaillissaient de toutes part mais ceux qui se faisaient éteindre par Runne avant même de parvenir risquaient de ne pas finir dans le meilleur des états : L’un qui était en partie en pleine incarnation avait été coupé dans son élan, hurlant en tombant en une partie seule ayant traversé dans l’eau, ce qui était particulièrement sinistre.

Les flèches qui décochés étaient principalement arrêtés par Kohaku, cherchant à empêcher les traits de nous tomber dessus avant de foncer en provoquant plusieurs éclairs avec quelques signes des mains pour les abattre sur des combattants installés sur les coraux. La foudre en vérité, frappait partout alors que j’en tirais une certaine fierté à voir mes camarades frapper avec cet élément que j’affectionne tant : Moi même en avant, progressant d’un corail à l’autre avec Livio, nous frappions au cœur de l’adversité en les repoussant net peu après que Lamymyr ait dévié un énorme amas de décombre balancé par la créature qui nous attendait au bout du chemin, droit vers les protecteurs de se lieux qui furent quelque peu désorientés. Ainsi, crasseux et épuisés, nous sommes arrivés face à ce qu’ils avaient sorti des flots et qui justifiait un tel chaos. C’était magnifique, mais je ne pouvais aussi que trouver un aspect inquiétant à la vue de ce temple. L’amas de pierre blanche se détachait de coraux et autres végétations des flots tirés avec cette dernière.

Des parchemins avec de nombreuses runes gravés dessus justifiait les maléfices qui pouvaient s’étendre dessus, mais je m’inquiétais surtout de la créature qu’ils avaient créer pour sortir ce vieux temple de là. Runne s’inquiétant quant à lui de la statue de Susaku ancienne qui trônait au milieu de ce vieux temple rammené hors des flots. En passant derrière tout le monde, Lamymyr y parvient et utilisa son encre pour mettre feu à ce dernier. Nombreux furent les enchantements maudit disparaissant soudainement, mais elle ne s’attendait sûrement pas à revivifier les lieux ce qui fit hurlé la créature qui se trouvait devant : une sorte d’élémentaire formé de deux bras et d’une tête difforme constitués d’amas de coraux, d’innombrables déchets des mers et autres végétations mêlés toutes l’air dégoulinantes et nécrosés. Cette chose était animée par le flot d’esprit-coraux libérant une souffrance affreuse à l’intérieur, qu’Aerlin essayait de retenir avec les flots en maintenant ce dernier tout en serrant les dents pour y parvenir. Non loin de là, Runne tentait de faire de son mieux pour le purifier en ayant quelques lueurs puissantes apparaissant autours tandis qu’il cherchait à se dégagé de là en rugissant. C’est une fois que Kohaku et Livio revinrent vers nous qu’ils purent nous aidés après avoir dévasté l’énorme Coquorail en armure de combat qui avait fait valser Kohaku au loin. Créant visiblement un clone fait d’eau, profitant de la bénédiction de la dame des flots, ce dernier créa un choc qui renversa d’un coup à l’envers dans une colonnade aqueuse sortant du sol pour le mettre sur le dos.

Livio bondissant dessus en frappant plusieurs pinces avant de créer une zone de dévastation au milieu de la créature dans un choc puissant et rayonnant en ayant littéralement ouvert la créature en deux. Revenant difficilement d’un choc puissant qu’il venait de recevoir dans un amas de décombres, Runne sorti le parchemin béni récupéré la dernière fois pour le déroulé et chercher à créer un sort pure puissant s’inspirant des énergies sortant du temple réanimé par Lamymyr. Cette dernière continuait de l’enflammé tout en nous renforçant comme elle pouvait, voyant Livio à ses côtés créant des écrans protecteurs autours de tout le monde. L’ensemble fut ajoutés aux efforts d’Aerlin laissant apparaître autours de nous une puissance aqueuse qui nous permit de recevoir la force nécessaire pour en finir : Partout, sortant d’un feu ressemblant à de l’eau animée, les silhouettes de requins créer par Runne jaillirent et ravagèrent le tas de décombre vivant que Kohaku venait de brisé avec plusieurs Shurikens d’eau immense. Et l’ensemble parti droit vers notre adversaire avec Finaen : Nous affrontions un Raen, un disciple d’un certains Osaken Uryuki, évoquant alors qu’il avait la rapière de Finaen planté dans son corps qu’une de ses amies avait été tuée par ses soins. Une certaine « Chijiyu ». Se figeant un instant, dans le doute et la crainte, cela lui permit de reculé alors que je tranchais littéralement son nodachi en deux avant de le blessé gravement.

Il ne pu frapper de nouveau, et malgré la bénédiction du phénix noir l’alimentant de plus en plus en faisant tournoyé des plumes enflammés autours de lui, il ne pu faire grand-chose quand les requins aqueux de Runne jaillir et le frappèrent sans cesse peu après qu’il ait blessé sérieusement Finaen qui venait de lui retiré sa bénédiction. Le tranchant au passage de mon sabre après une intense passe d’arme, la chute de ce samourai évoquait l’arrêt de leurs efforts pour transformer ce vieux temple de Susaku en véritable lieu de prière pour le Phénix noir. Tandis que le calme revenait doucement, la mer s’apaisant elle même, nous observions plus au sud l’immense caverne qui nous attendait pour notre prochaine mission : Quoi qu’ils aient fait sortir des mers, cela ressemblait visiblement un immense serpent des flots qui nous avaient raillés en parlant du pouvoir qu’il allait accumulé sous peu. L’arrêté restant notre priorité, il fallait raccompagner avant tout les civils sauvés vers Onokoro, et nous préparer à livré bataille pour au moins protéger les environs proches de la ville des menaces du Temple du Feu noir. Avant de nous intéressés aux terres plus lointaines. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 18 oct. 2021, 13:20

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-troisième Entrée - « Acte 4 – Le serpent d’Okinoiwa.»
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« Bien que nous avions eu un peu de temps pour nous lavé de l’accumulation des détritus puants que nous avons reçu lors de notre dernière mission, il était rapidement temps de nous préparer à nous débarrassé du responsable : l’entité se trouvant à l’intérieur d’Okinoiwa que nous avions aperçu la dernière fois en progressant vers le banquet des coraux. Quoi que ça pouvait être, tant qu’elle serait présente elle ne cesserait d’essayer de créer de nouvelles entités pour atteindre le Pilier des cieux et attiré les faveurs du Phénix noir. Pour l’heure, ils n’ont jamais visiblement pu faire autre chose que tiré dans son pouvoir, est-il seulement intéressé par les moindres des appels ? On ne dirait pas qu’il est très concernés par ceux voulant le servir, aussi ressemblent-ils plus à des laquais cherchant le pouvoir qu’à des vrais suppôts malveillant. C’est lors d’une magnifique journée après la tempête ayant fait pleuvoir les cieux depuis quelques temps que nous nous sommes préparés à partir droit vers les cavités rocheuses avec plusieurs interrogations. Certains pensaient pouvoir essayer de lui parler, ou de le purifier d’un lien avec le phénix noir qui aurait réveillé l’entité sommeil sous les flots de la mer de rubis. Mais dans l’heure, nous ne pouvions que l’atteindre et essayer de brisé le liens des sortes de revenants des mers. Il n’y avait pas grand monde en ville, les pirates de la confédération devaient être de sortie occupés quelque part alors que nous nous sommes retrouvés avec les membres de notre équipe. C’était essentiellement la même que notre dernière mission – Runne et Lamymyr étaient là pour nous offrir l’assistance magique, et Livio allait parvenir à nous protéger des dangers. Plutôt qu’un Aerlin pour nous offrir ses soins, Sorn était au moins là pour s’assurer de nos arrières et serait des plus efficaces comme support à mes côtés ce soir.

Finaen était censé être là, mais pas de signe de lui, peut-être avait-il un peu de retard, aussi ne pouvions nous pas attendre. C’est alors sous nu ciel radieux que nous avons débuté notre périple en quittant une ville des plus calme et en profitant des environs. Les feuilles de quelques arbres tombaient en donnant l’impression d’une danse harmonisée avec les vents, notre chemin nous menait dans des recoins paisibles jusqu’à découvrir une étendue qui restera gravée dans ma mémoire : Entre Onokoro et Okinoiwa se trouvait une bande de sable légèrement enfoncée sous l’eau s’étendant sur quelques minutes de marche pour une traversée facile. Cette dernière était d’un calme absolu alors que nous avions l’impression de marcher sur l’eau sur une étendue infinie plate et paisible. Les lueurs d’innombrables richesses de la mer se dévoilaient alors en des reflets bleutés provenant de sous les eaux se mêlant aux poissons ondulant paisiblement. Kohaku et Runne se laissèrent emporté par une certaine candeur en ramassant quelques coquillages et en observant ce spectacle qui nous offrit un instant une pensée enfantine de bien-être. Tous en profitaient, seule Gladys qui sommeillait visiblement dans le haori de Sorn ne verrait rien de cette splendeur qui autours de nous était des plus inspirantes. Mais comme vous vous en doutez, cela ne durerait pas aussi longtemps que nous l’aurions voulu. Les chants de la mer avaient presque l’air d’un chœur accueillant offrant la bénédiction de flots infini, laissant une impression que l’éther en découlant se mêlait quelque peu au notre tandis que nous progressions sous un ciel sans nuage devenant presque conjoint avec l’étendue bleuté de la mer.

Et ce chant commençait petit à petit à se tarir alors que Livio lui était resté sur ses gardes – éthérimètre à l’œil, observant les environs, il vit rapidement la dégradation provenir d’Okinoiwa en dévoilant le passage corrompu ayant mené la créature des flots à s’y terrer pour servir l’intérêt du Temple du Feu noir. Alors qu’une explosion vint apparaître proche d’un rocher, Finaen surgit en l’air et glissa au sol proche de Livio en ce réceptionnant, dévoilant qu’il était poursuivit par une sorte d’amas de détritus des mers à la forme serpentine. Le monde se mettait doucement en mouvement : Tout ne devenait que vase visqueuse et collante, algues pourries, et autres déchets du fond des eaux qui bougeaient comme des vagues et énervaient la mer : nous en étions ainsi conscient, parvenir au bout signifiait qu’il faudrait nous ouvrir un chemin dans tout ses amas visqueux qui nous barrait la route.

Avec Livio et Kohaku, nous bondissions sur les hauteurs brusquement. Nos lames tirés, tranchant de mon sabre et de sa pistolame plusieurs de ses colonnes de déchets ayant l’air vivantes en laissant Kohaku envoyé de nombreux Shuriken de vent éclata et repoussant la masse , cela nous permettait de surveillé notre équipe en bas qui progressait rapidement grâce au chemin ouvert par Finaen : les roches soulevés, laissant un passage pour Runne faisant éclaté des vagues aériennes pour éloignés les détritus dévastés par des feux d’artifices tirés par Sorn. Ses derniers renforcés par Lamymyr qui s’était littéralement accroché à sa jambe. Ainsi, éloignant les menaces, nous sommes arrivés particulièrement agités par les vagues de déchets en s’ouvrant un passage jusqu’à la plage menant vers Okinoiwa. La pierre immense était rongée par les coraux et la mousse aquatique en donnant l’impression que le fond de la mer voulait remonté avec les flots. Cela dit, nous ne nous attendions pas non plus à arrivé au milieu de deux armées se préparant à l’affrontement : Nous attendant devant, à peine sorti des eaux, des amas de navires et cadavres animés par des corps de crabes sortant partiellement de leurs êtres en se préparant à nous accueillir.

Le colosse issue d’un ancien bateau de pêche se préparait à tiré, mais une fusée le percuta de plein fouet en le faisant reculé. Cette dernière avait été tirée par Saiko Kazan, le samouraï repentit bondissant d’un des bateaux de pêche de la confédération et bientôt rejoint par les pirates soulevant leurs sabres dans un cri de guerre mêlé à celui de la joie et de la moquerie. Soutenant la ruée que nous partagions alors tous ensemble, Kohaku convoqua les signes nécessaires à un sort fracassant la terre sous les tas de créatures infâmes. Protégeant Runne même si cela l’envoya s’écraser dessus en soulevant une protection ressemblant à une grenouille de pierre et de sable, tous se ruèrent au milieu des combats sous les explosions dues aux grenades de Sorn et aux éclairs de Finaen, donnant l’impression que le monde éclatait au milieu de notre ruée. Saiko mènerait ce combat, nous avions nous à rentrer en vitesse à l’intérieur d’Okinoiwa tandis que Lamymyr soutenait Sorn en restant accroché à ce dernier. Ouvrant la voie avec Livio, tranchant comme on pouvait, je fus secourue par ce dernier quand une pince de crabe m’attrapait d’un coup avant que le monstre me tenant ne soit taillé en pièce. Quitter le champ de bataille, déjà bien agités et légèrement blessés par l’intensité du combat, avait quelque chose de difficile – Il fallait détruire le serpent d’Okinoiwa en vitesse, pour venir en aide à nos alliés de la confédération avant qu’il n’y en ait trop sacrifiés lors de cette bataille.
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Il y avait un passage de pierre sur les flancs menant à une grande ouverture qu’un pont permettait d’accéder depuis d’immense coraux. Les bruits de la bataille s’étouffaient lentement dans notre dos, à mesure où nous progressions, mais c’était aussi à cause d’un effet dont nous avions déjà une vague impression et qui s’intensifiait à mesure. Dès que nous sommes passés à une certaine hauteur, c’est comme si nous venions de plongé dans l’eau – ce qui à quelque chose de particulièrement curieux quand on est en pleine course à la verticale, je trouve. Mais malgré cet effet, ce n’est pas comme si nous étions parfaitement dans l’eau, nos mouvements étaient à peine ralentit et notre respiration une fois concentré à l’idée que l’air était là cessait rapidement d’être comprimé par cet effet mental des plus désagréable. Arrivant au bout du passage, c’était comme trouver une caverne sous marine entièrement sous les flots. Des bulles erraient autours de notre regard comme si nous étions vraiment sous les flots, et même les algues greffés à la pierre étaient agités doucement dans les airs en était soulevés comme elles le seraient sous l’eau. Ce qu’on pouvait voir, tandis que je me redressais en cessant d’être soutenue par Livio, était derrière un amas d’algue noire contenant l’éther et empêchant les bénéfices de la mer nous ayant gagnés lors de notre voyage de venir « contaminé » ce sanctuaire d’effluves éthérés bénéfiques.

A la place, observer trop longtemps cet amas de végétation donnait l’impression de s’y perdre, et Sorn avec l’aide de Lamymyr allait faire en sorte de nous ouvrir en grand la voie pour nous permettre d’entrer vers l’intérieur pour y découvrir une sorte de temple en construction avec des morceaux de ruines sorties des flots. Pour ce faire, Sorn avait généré un gaz puissant avec son canon qui envahissait les lieux, il ne fallut que quelques étincelles de puissances provenant du pinceau de Lamymyr le long de l’encre à son bout faisant détonné le gaz dans une grande explosion dévorant les algues et les plantes risquant de voler notre éther à notre tour en essayant de passé. Le puissant coup que reçu Sorn en retour n’envoya sur le dos une fois qu’un kanabo d’un des gardiens du passage s’écrasa sur son ventre. Deux Roegadyn du clan Kazan, morts pendant les combats d’Onokoro, et dont les corps étaient utilisés par les parasites de l’esprit-serpent local qui leurs donnaient l’impression de se transformer lentement en Coquoraille monstrueux. Soulevant son arme pour achevé Sorn au sol, il fut balayé par Livio d’un énorme coup de sa pistolame en le réduisant en morceaux éparpillés un peu partout tandis qu’il s’effondrait en arrière, laissant Livio rapidement en pleine confrontation avec le second soulevant sa pince de crabe. Renforcé par Lamymyr, en une aura flamboyante, il écrasa son pieds contre la mâchoire de son adversaire avec un bond vers l’arrière en envoyant le Roegadyn s’écraser au sol. Le corps dévasté, le parasite comme un liquide noire écœurant sorti à toute vitesse en percutant Livio fortement jusqu’à s’enrouler autours de Lamymyr en cherchant à l’écraser. Continuant d’infusé Livio le plus possible, cela lui donna la force de passé outre le pied écrasé sur son torse pour détruire définitivement le corps d’un grand coup de pistolame avant de foncer vers Lamymyr pour la libéré du parasite de vase noire d’un grand coup de lame.

Nos arrières débarrassés, c’est en avant que nous nous étions occupés en vitesses de toutes les problématiques qui entouraient la tentative de créer un lieu de prière au phénix noir, un de ses parchemins avec une peinture magnifique du kami déchu brûlait d’un feu noir ondulant le long du dit parchemin. Finaen fonçait vers plusieurs coraux où s’y trouvait indubitablement une présence mauve laissant songé aux lueurs des Hicors, et il débuta la purification en urgence en se concentrant sur ce qui pouvait se trouver à l’intérieur pour le purifié. Dans un premier temps, un sort le frappant dans le dos de la part d’un des adeptes du Temple du Feu noir l’avait déconcentré, mais il se reprit rapidement une fois que Runne se laissa tombé dans l’amas de cultiste pour les arrêtés, et il parvint à purifié rapidement les coraux dans une lueur magnifique comme irradiante là où il se concentrait. De l’autre côté, les énormes scolopendres marins sur le plafond furent grillés par Kohaku. Elle propulsait plusieurs boules de feu depuis son masque en laissant les déflagrations créer des flammes un peu partout, certains de ses insectes bondissant du plafond pour essayer de lui tomber dessus furent rapidement esquivé, la laissant littéralement danser au milieu des insectes immenses en les carbonisant.

Tant que le temple était actif, d’autres apparaîtraient sans cesse dans des lueurs de flammes noires intenses, mais elle bloqua toutes tentatives d’apparition en noyant littéralement les environs dans les flammes. Toutes créatures cherchant à apparaître tombaient sans cesse dans ce feu hurlant, dévastant la végétation maudite sur son passage. En tournant la tête, elle découvrit alors à quel point Runne et Finaen furent mit en difficulté : Alors que Runne avait pu écrasé deux des cultistes à toute vitesse, me laissant affronté le Hyur en grande tenue couverte de plume noire dans un duel de sabre que je n’avais pas eue depuis longtemps. Les autres avaient fini par le débordé pour essayer de le sacrifié au nom du phénix noir afin d’en faire un appel pour attirer les faveurs de leur Kami infâme. Mon combat fut plus aisé qu’il n’aurait du l’être seul tandis que je partageais de nombreuses frappes, un premier tir de Sorn avait ricochet involontairement un peu partout tandis qu’il essayait de récupéré Gladys coincée dans une algue, avant de se prendre un semblant d’Empi de la part de notre ennemi, il n’en resta pas là en prenant le temps d’un tir bien plus puissant. Quand le prêtre allait observer la chute de son temple, le tir de Sorn le traversa de par en par en m’offrant l’opportunité d’une frappe bien plus concentrée en éther en le laissant tranché en plusieurs morceaux avant qu’il n’use quelconques malédictions sur notre ami. Quant au temple, Runne avait été sauvé par Finaen rapidement : Tombant au milieu des cultistes dans une lueur arrière, sa rapière fendit tout ceux tenant le miqo’te qui pu s’en libéré en convoquant des lames de vent tournoyante dans tout les sens.

Éparpillant les cultistes, les derniers se jetèrent dans les flammes noires en hurlant au Phénix noir de venu à leur aide. L’image du Kami s’étendait contre la toile brutalement en essayant presque d’en sortir. Avant que le feu noir ne dévore nos alliés, Kohaku apparue au dessus de ses derniers en tranchant de haut en bas la toile en se laissant tombé dans des lueurs magnifiques de plumes entre le roses et le rouge de hérons, retombant auprès de ses compagnons tandis que les magies du Temple s’échappaient. Un hurlement provient des profondeurs d’Okinoiwa, une menace de mort de nos alliés dehors se fit entendre en même temps que la caverne tremblait de plus en plus. Nous avions énervés quelqu’un, l’entité du fond de la mer qui avait tant fait pour le Temple du Feu noir, et il fallait l’arrêté rapidement avant qu’il ne provoque une tuerie chez nos alliés de la confédération luttant encore.
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Ressortant chacun de nos côtés respectifs – Sorn, Lamymyr et Livio revenant de l’entrée, sale et blessés, autant que nous quittions les environs des morceaux de ruines de temple en préparation dont les feux noirs s’étaient éteins, nous n’avons pu que prendre quelques fioles et laissés quelques soins d’appoint nous offrir la vitalité pour progresser après ses dernières épreuves. Une nouvelle fois, Sorn prit Lamymyr avec lui, accrochée à son dos pour se déplacé aisément et soutenir son camarade en un duo plutôt amusant à observé. Le temps était compté, et après quelques vagues discussions sur notre état, nous nous sommes mit en vitesse en route droit vers un passage qui semblait mené droit vers l’intérieur des plus profonds passage d’Okinoiwa. Et même si elle aspirait le danger, et les odeurs étaient très inégales entre des odeurs écœurantes de ce qui se trouve de pire dans la mer comme des odeurs bien plus agréable et rappelant les fleurs et tout ce qui peut-être bon sous les flots. Il fallait constaté le passage donnait l’impression que toute la mer avait suivit le passage de l’esprit-serpent lors de son éveil jusqu’à ce lieu, étendant tout le long des innombrables fleurs des mers rayonnantes d’un doux bleuté apparaissant au milieu de la noirceur des profondeurs où nous nous enfoncions dès lors. Des amas de bois, des cadavres du passés, le corps d’un pauvre samouraï tenant son sabre dans ses bras comme si il s’agissait de son dernier trésors avant la noyade fatale au milieu de la mer de rubis. Profitant des lieux aussi bien pour sa beauté que pour son impression étoilés du fond des mers, cela aurait pu être profitable bien plus longtemps si des explosions ne faisaient pas apparaître des flots d’un coup net qui lentement était en train de faire monter le niveau d’eau sous nos pieds.

Nous n’aurons pas énormément de temps avant de finir noyés à l’intérieur de ce passage, et à toute vitesse Runne et Livio s’appliquèrent à essayer de bloqué la plus part des trous et des corps essayant d’être animés par les énergies spectrales qui se diffusaient dans leurs corps. L’étendue de glace jaillit en s’éparpillant partout sur les roches en arrêtant l’ensemble des flots qui cherchaient à jaillir sans cesse, et dès qu’un trou se rouvrait, Livio remettait des grenades de glaces sur tout les passages en des puissantes explosions nous offrant de plus en plus de temps. Mais il ne pu pas faire grand-chose de plus : Il devait fondre vers les serviteurs du temple du Feu noir, des adorateurs déchaînés tombant de sorte d’alcove un peu partout en se ruant vers nous dans des cris de guerre mêlés à des braillements incohérents de leurs désirs de nous abattre. Après les avoirs brusquement repoussés, la pointe d’un bisento se planta dans le ventre de mon protecteur en nous laissant l’instant d’après venir à son aide. Les kunais de Kohaku courant sur les parois de roches tombaient dans la foule, permettant à Sorn de laisser Gladys s’éveillant un instant de tirer dans la foule sans cesse renforcées par Lamymyr en envoyant des projectiles puissants dans la masse. Fonçant dans la foule, tranchant l’adversaire de Livio en progressant à toute vitesse, il fallait faire vite désormais : Finaen ayant reçu un tir enflammé d’un noir profond, dut rapidement éteindre ce feu sinistre mais relâcha son sort sur les flots et ceux ci se remirent brusquement à monté. Notre sortie fut plus faites à la nage qu’en courant, s’entraidant de diverses façons pour se sortir d’ici rapidement, nous quittions une sorte de trou nous faisant tombé au sol dans la cavité intérieur d’Okinoiwa en reprenant rapidement notre souffle sous l’agitation de ce que nous avions subit bien malgré nous.

Le calme nous offrit un instant de contemplation de ce domaine isolé avec un énorme trou d’eau permettant de partir dans des canaux profonds menant à l’intérieur de la mer de rubis. Il y avait d’innombrables lueurs magnifiques en sortant, mais la silhouette serpentine à l’intérieur n’était pas réellement rassurante. Nous redressant doucement en contemplant les environs l’espace d’un instant, ce fut le temps pour constaté qu’un Raen se trouvait au milieu de l’eau, debout. Tournant lentement la tête vers nous, nous pouvions contemplé la corruption rougeoyante dans son regard ondulante doucement au milieu de ses traits. Affecté par le Phénix noir lui même, il était plus que possible que ce dernier ait été la conséquence de l’apparition du Temple du Feu noir dans les environs, mais ce qu’il avait amené avec lui était bien plus terribles encore : L’esprit-serpent jaillit des flots. Devant une sorte d’arche domienne recouvertes d’histoires et de glyphes que maîtrisait un Kojin de Tamamizu corrompu par une transe forcée, l’énorme créature à quatre tête rugit et nous insulta pour notre audace de venir jusqu’ici essayer d’arrêté ses projets perçu à ses yeux comme un moyen de faire cessé la douleur du phénix, et à l’eau de rougir du feu de sa colère.

Tous avaient espoir qu’ils puissent chacun être purifiés de leurs souillures, et Kohaku vola dans les cieux comme si elle était littéralement le Héron qu’elle avait jadis convoqué, des plumages d’un rose magnifique tournoyante autours d’elle en lui permettant ce bond recouvert de lueur de feu follet jusqu’à atteindre le dos du Raen dans un instant aussi vif que gracieux. Enchaînant ses bras pour le tenir coincés, il fut aussi tôt rejoint par Livio qui frappa plusieurs fois de sa pistolame en essayant de le contenir pendant que le Héron de Kohaku fut invoqué dans son dos et se mit à décoché rapidement plusieurs flèches vers l’esprit-serpent. L’une m’empêcha d’être gobée par l’une des têtes, pendant que je bondissais d’un visage à un autre en tranchant au milieu des tirs de Sorn s’écrasant sans cesse en des éclats de feux d’artifices apparaissant sans cesse renforcés par la foudre de Lamymyr provoquant des énormes déflagrations foudroyantes. Livio tombait dans l’eau avec le Raen, l’ayant frappé plusieurs fois de sa lame pour l’arrêté, mais c’est en dessous qu’il réalisé que ce dernier ne pouvait être sauvé.

Sortant le plus possible de l’eau, poursuivit par le Raen dont les forces du phénix noir prenait de plus en plus le part sur son corps, ce dernier fut congelé d’un coup par Lamymyr en l’arrêtant net pour permettant à Livio de planté sa pistolame dans son torse afin de le libéré de sa condition. Au moins le Kojin lui, un certains Nobukoto, fut délivré de la transe forcée par des lueurs de purifications puissantes que Runne et Finaen firent éclatés sur son corps dans un lys blanc magnifique jaillissant dessus. Tombant inconscient, il ne restait que l’esprit serpent qui détruisit l’arche de domienne pour en volé le pouvoir. Tentant de faire explosé Sorn et Finaen, les déflagrations d’eau noire furent jugulés par notre présence en essayant de se tenir à leurs côtés jusqu’à ce que celle ci s’échappe. Kohaku et moi malgré les coups reçu, retournions bondir sur le corps du serpent en cherchant à le frapper plusieurs fois, la dague de Kohaku se plantant dans son dos en essayant de laisser le pouvoir reçu de la mer s’immiscer dans son corps tandis que les chants revenaient et envahissaient les lieux. Runne en même temps se concentrait pour essayer de renforcer cet effet, pour le coincé, le temps que Finaen ne plonge dans les flots renforcés par le Teclis de Sorn qui lui offrit une protection contre tout retour de l’esprit-serpent une fois dans l’eau. Un duel entre purification et volonté cruelle débuta, l’esprit ne désirant pas perdre son lien avec le phénix noir, rugit sans cesse en approchant de Finaen. Il ne fut pas que forcé un peu sur ce lien, il le fit beaucoup trop.

Tant qu’il cédé au final, et se désagrégea. Ce n’est pas qu’il ne pouvait être sauvé. Il ne voulait pas être sauvé, c’était notre mort qu’il désirait, et il éclata en d’innombrables lueurs d’un blanc magnifique. Ne laissant de sa présence qu’un vague souvenir perdu d’une entité spirituelle ayant voulu faire disparaître sa gène et sa souffrance en rependant celle ci partout où il le pouvait. Nous remettant lentement, Finaen flottant sur l’eau, sur le dos, comme une planche abandonnée dans la mer. Les malheurs d’Okinoiwa disparaissaient en des multitudes d’éclats de lumières blanches tombant du plafond et de partout autours de nous. Ce calme brisé par le chant marin résonnant dans nos oreilles avec une douceur grandiose nous laissait vaguement songé en observant Nobukoto au loin qui reprenait petit à petit ses esprits : Notre prochaine destination serait droit chez ceux conscient de ce qu’il s’était passé sous les flots. Les Kojins de Tamamizu. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 20 oct. 2021, 15:03

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"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-quatrième Entrée - « Acte 5 – Au portail de fer scellé.»
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« La chute de l’Esprit-serpent succéda à un peu de calme, sans avoir l’oppression possible des créatures viciés de la mer, nous étions certains au moins que ses maux là ne viendraient plus gênés nos alliés de la Confédération. Cela dit, Nobukoto était particulièrement inquiet, ses derniers souvenir ne remontant pas vraiment très loin avant qu’une lueur rouge n’apparaisse, et qu’il ne se réveille d’un coup dans une grotte avec des aventuriers blessés et fatigués venant de défaire notre ennemi. Il lui fallut un peu de temps pour s’en remettre, et ce fut une journée paisible tandis que nous étions allés récupéré des coquillages rarissimes sous les flots grâce aux diagrammes de respirations d’Eloise Soufflecor. Avec Finaen, Runne et Aerlin, nous avions du confrontés des murènes foudroyantes géantes dans des cavités rocheuses pour revenir avec le précieux trésors pour la sympathique Nagxienne du nom de Jiao Luwei, que nous rencontrerons peut-être de nouveau le long de ce grand voyage en Orient. Mais pour l’instant, notre destination était toute autre : il fallait partir chez les Kojins, directement sous les mers, pour découvrir ce qu’il pouvait bien se passé là-bas. Nous attendant sur l’île plus loin où le passage sous la terre devrait pouvoir nous mené à notre destination, Nobukoto serait notre guide bien qu’il était particulièrement nerveux.

Observant une dernière fois Onokono, et la vie de la confédération continuant habituellement son rythme désormais protégé par nos dernières œuvres, il était temps de lui dire « à bientôt » en espérant que rien ne se passe durant notre périple sous l’eau. Si Aerlin avait encore des traitements à achevé et à apprendre à ceux qui lui succederont pendant notre départ, il fallait faire sans notre soigneur cette fois. Notre équipe fut dès lors constituée principalement de compagnons magiciens – Runne, Finaen, Lucian et Lamymyr formaient cette avance garde magique habituelle dont les sorts essayeraient d’abattre les obstacles devant nous. Et au devant des problèmes, ma lame se tiendrait auprès de celle d’Alaric, le frère jumeaux de Sorn. Mais c’est le renfort d’un protecteur inattendu qui nous offrit son aide : Mordred, un chevalier noir du Coerthas ayant entendu quelques rumeurs sur nos batailles dans la Mer de Rubis, venu traquer les responsables des affres du Phénix noir. Les navires nous attendaient à quai, deux barques de pêches prompt à nous mené sur une bonne heure et un peu plus de trajet vers le sud-est de là. Si le pêcheur était bien heureux avec Finaen, Runne et Lamymyr en se sentant à l’aise et joyeux, il était beaucoup plus effrayé par la présence d’un chevalier noir, de la froideur d’Alaric ou de l’aspect inquiétant de Lucian. Autant vous dire qu’il se tenait au fond de sa barque à faire usage de sa rame l’air de ne pas vraiment vouloir faire de faux mouvement comme au milieu de bêtes enragés.

Si la première heure fut confortable, un vrai voyage sur les flots d’une mer splendide au temps paisible, tout se compliqua rapidement quand le monde autours de nous trouva des obstacles au dessous de nos pieds. L’embarcation à notre droite fut agité brusquement comme si un morceau de métal venant de sous les flots l’avait heurté, ouvrant un trou en dessous en laissant des flots monté brusquement, le passage fut obstrués de nombreuses vicieux pièges pratiquement invisible sous les flots. Rapidement, alors que Lamymyr se cassait la figure, Runne bloqua d’une couche de givre les trouées tandis que Finaen se concentrait sur les flots pour que nos barques soient dirigés dans la bonne direction afin de ne pas être percutés dans tout les sens. C’était confus, mais il était possible d’orienté notre voyage pour qu’il ne finisse pas en catastrophe totale. De notre côté, Lucian c’était contenté de créer une barrière de glace ondulante alors qu’Alaric et Mordred se tenaient, agacés par la difficulté des voyages en mer et le manque de contrôle que l’on peut avoir sur le temps. Mais si le seul était radieux, quelque chose ne désirait pas que nous puissions atteindre une terre qui se trouve sous les flots. Après de tels mouvements, la plage paraissait accueillante, et nous n’avons pas prit beaucoup de temps à descendre des embarcations laissés en réparation avant de rejoindre Nobukoto qui nous attendait en agitant un peu les bras.

Le Kojin heureux de nous voir nous fit signe de le suivre, se dirigeant droit vers un passage plutôt étroit dans les montagnes et c’est encore un peu mouillés par le périple sur l’eau qui aurait pu être bien plus agréable si il n’avait pas été si agité, n’avait été qu’une préparation maigre avant la prochaine étape : Rapidement, Nobukoto s’était perdu. Non pas qu’il ne connaissait pas le passage, mais qu’il semblait avoir changé, d’étranges runes poussaient la pierre dans un échos de métal autours de nous. Se penchant sur une des glyphes, Finaen se perdit quelques instants dans la contemplation de cette dernière avant de lentement laissé son esprit dérivé. Quoi qu’il ait pu voir, ça le ralentit un instant dangereux tandis que tout se déplaçait autours de nous. Une onde bleutée se repentit d’un coup autours de nous en cherchant à refermer le passage pour écrasé tout le monde en nous laissant aussi fin que des crêpes. Frappant du pied, Finaen fit tout pour contrôlé et arrêté la roche alors que Runne nous infusait pour nous rendre bien plus vif, les vents tournoyant autours de nos membres nous propulsant vers l’avant. Les pierres chutant des hauteurs qui n’étaient pas tranchés par Alaric et moi tombaient sur la protection obscure de Mordred ondulant au dessus de nous, tenant bien mieux encore quand Lucian y ajouta quelques renforts en le laissant emettre une pulsion supplémentaire.

Suivant Runne et Lamymyr qui progressaient bien plus vite, nous sortant de ce traquenard chaotique où il fallait grimpé et dévalé des pentes. Jusqu’à attendre le passage : A notre vue, il se mit à le clore en laissant apparaître des lame de fer comme des portes cherchant à fermé l’accès, l’immense Kojin en tenue de prêtre recouverte de plumes noires hurla sa haine en envoyant les siens nous assaillir. Mordred en avant, luttant dans un déchaînement de lame et de poing, au milieu des sorts de glaces de Lucian s’écrasant dans la foule pour l’écarter le plus possible de notre passage. Tout s’orientait pour atteindre la porte avant qu’elle ne tombe, gênée par la roche que Finaen faisait s’accumuler dans l’interstice. Une formidable explosion jaillit quand Alaric gela la porte d’un coup de lame infusée qui généra une grande déflagration une fois que Lamymyr fit tout éclaté dessus. En retour, un geyser sorti du sol, convoqué par le prêtre, les balayant brutalement au sol en les laissant étalé par terre ou contre un mur de pierre. C’était peu après avoir décapité l’un de ses guerriers que Runne avait purifié : Sans la bénédiction, ils ne méritaient pas de vivre à leurs yeux, c’était quelque chose de particulièrement cruel mais nous devions rapidement passé la faille ouverte. Récupérant nos compagnons, tout le monde jaillit à l’intérieur en laissant Mordred gêné les Kojins jusqu’à ce que le passage soit clos. Nous laissant découvrir un lieu vraiment magnifique.
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Ce n’était pas encore la splendeur de sous les mers, mais cette caverne nous en donnait un avant-goût. Des stèles laissaient à leurs sommets des lueurs verdoyantes provenant de végétations de la mer installés dessus pour en faire de véritables lampes naturelles qui émettaient des rayonnement illuminant les environs et permettant d’y voir. Leurs reflets déposés sur un bassin d’eau en contre-bas, il y avait une magnifique impression que l’eau reflétait efficacement la lumière ondulante en donnant l’impression d’une mer aux vagues puissantes apparaissant sur les roches autours de nous. Les flots coulaient doucement, dans un air apaisant, pendant que nous progressions pour voir l’eau en bas avec les lueurs rouges de coraux installés à l’intérieur qui brillaient doucement due à la présence de la lumière issue des torches végétales que les Kojins avaient installés ici pour guidés les voyageurs jusqu’à leurs terres. Bien que nous ayant eu besoin d’un temps de soin rapide, quelques élixirs partagés et fioles de soins pour s’en remettre, nous avons pu marcher un instant en entendant l’écho tambourinant derrière nous de quelques adversaires abandonnés qui seraient plus tard après la mission chassés et tués par Mordred. Pour l’heure, cette marche nous mena à découvrir la sinistre affaire se déroulant sous nos pieds : Ils avaient installés une sorte d’autel de fer.

Ce n’était pas comme les lieux religieux du Temple du Feu noir, loin de là, il s’agissait plutôt d’une sorte d’amas de métaux disposés ici en formant une sorte de rituel magique détournés d’un aspect religieux qui rendit pâle Nobukoto, pensant aux vieilles légendes de Susanoo. L’amas de métal était renforcé par un rituel entraîné par un jeune Kojin, l’enfant apportant de l’encre dessus pour nourrir l’acier et la magie afin de la rendre docile. Il fut néanmoins plaqué contre le fer en constant que notre groupe était juste au dessus d’eux – Trop loin, le détour serait trop long pour Mordred si il escomptait atteindre le prêtre en urgence. Heureusement, une équipe est là pour s’aider : Attrapant le pan de tissu du chevalier noir, Lamymyr fusa droit avec un sort d’attache jusqu’à l’autel en lui permettant de faire usage de ce déplacement pour arriver au milieu du métal, sa lame tombant dans le crâne du cruel bourreau qui fut honoré de sa fonction en se faisant à son tour dévasté le crâne. Se tournant vers les hauteurs, pendant que Mordred luttait à paré et repoussé des chocs sans cesse, la Lalafell du venir en aide à Lucian à son tour : Il était en train de dévasté d’énormes crustacés bien plus long vivant dans les environs et manipulés par les Kojins aux plumes noires.

Après la dévastation d’une des bêtes, sans voir que l’une grimpait proche de lui, il fut attrapé par la jambe et balancé vers l’eau en serrant fort contre sa jambe, douloureusement. Rattrapé par Lamymyr, tournoyant en l’air en tombant proche de Mordred, il pu aussi tôt réagir en propulsant de nombreux éclats de glaces vers l’un des Kojins noir ayant récupéré des plaques de métaux de l’autel pour se protégé. Lucian brisant la défense, il fut dévasté par les amas d’obscurités que Mordred fit jaillir en transperçant sans cesse cet adversaire, laissant le dernier dans la panique, récupéré un énorme morceau de fer pour le faire tomber sur les deux compagnons. Protégeant le petit Kojin et les autres, Mordred fut écrasé par le choc avec Lucian dans un impact de plus brutal en les envoyant au sol dans un coup résonnant en l’air. Sonnés par la puissance de ce choc, Lucian pu se redressé un peu en coupant les liens d’éther de l’encre infâme qui sortait du passage proche de nous pour l’empêcher de faire usage de ce dernier pour se défendre. Désarmé, il ne pu contenir le coup de Mordred ,qui le fendit en deux après un combat brutal pour s’en protéger. Proche de là, nous avions achevés notre adversaire avec Alaric. Dès le début en bondissant à droite et à gauche sur des pierres, nous avions atteins deux armures animés ressemblant vaguement à des kojins semblant être le summum de leurs arts.

En les ouvrant à coup de lame, il fut découvert que dedans il s’agissait étrangement de vrai Kojin ayant sacrifiés leurs corps pour que leurs esprits hantes des armures comme une ultime solutions pour survivre aux feux du phénix noir. Dévastant une des premières armures malgré quelques coups reçu nous sonnant un peu, un choc brutal m’envoya m’écraser par terre brusquement proche de la mêlée, poursuivie par mon agresseur qui voulait se débarrassé de moi. Heureusement, passant entre ses jambes, Alaric intervint de nouveau, et nous avons pu frappé en même temps, tranchant en plusieurs morceaux la création de nos lames tombant deux fois, nous laissant blessés et essoufflés tombés à genou à cause des chocs répétés nous faisant mal dans tout les os. Au moins ses terribles gardiens étaient vaincu, autant que Finaen et Runne semblaient avoir fait du fort bon travail. Assaillant un prêtre du Feu noir, ce dernier semblait aidé les Kojins en ayant corrompu une perle des mers au pouvoir intérieur des plus curieux comme une fumée se déplaçant à l’intérieur avec un aspect cruel et malfaisant.

Elle n’était pas condamnée, et Finaen rapidement vint la purifié en se concentrant dessus avant tout dans une lueur magnifique devenant de plus en plus puissante. Peu envieux de laisser faire, le prêtre se détacha de l’emprise de Runne qui l’avait empalé, avant de se faire de nouveau attrapé par Runne. La rapière se planta dans son torse, et lui planta sa lame dans son flanc, s’observant un instant avant que Finaen ne percute le prêtre d’une lame de vent dans le dos. Sur le point de tomber, quand une onde de choc tomba hors de la perle purifiée récupérée par Finaen. Runne et le prêtre furent balancés brusquement dans l’eau tandis que ce dernier mourrut pendant la chute alors que le miqo’te fini à l’eau. Essayant de fuir au milieu des crustacés, l’un bondit même hors de l’eau vers Lamymyr mais Finaen s’était concentrés pour prodigué un sort puissant lié à l’eau. Runne l’avait aidé en congelant une partie des crustacés, mais c’est quand ils furent emprisonnés dans des bulles d’eau qu’ils se mirent lentement à dérivés en l’air condamnés par l’emprise du mage et observant la perle faire effet sur son sort : Comme un chant magnifique, que nous connaissons vaguement elle aidait semble t-il les aider à s’apaiser et à s’endormir lentement. Tous se retrouvant, buvant quelques potions de soins, s’assurant que le jeune Kojin était en bonne santé, nous observions le passage menant à la porte de Tamamizu, encore peu conscient qu’ils y avaient greffés une porte de fer, porteuse de tout le mal qu’ils désiraient aux Kojins ne servant pas l’intérêt d’un maître inconnu.
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Les soins furent rapide, mais nous n’avons pas prit beaucoup de temps avant de partir, il faut dire que les bruits étranges de tambours comme des frappes sur des coquillages avaient reprit d’un timbre plus inquiétant, me rappelant les tambours Amalj’aa de jadis autours de la légende de Sernajj Rah. Ceux ci suggérant toujours qu’un pouvoir est en place, et nous nous sommes mit en route afin de descendre le dernier passage bien plus étroit de la caverne qui nous mènerait vers le fond de l’eau. Déjà, des trous dans les parois laissaient voir l’intérieur de la mer – notre domaine de vie pour la semaine à venir. C’était d’une rare splendeur, contemplant les environs poussés par les flots doux au fond de l’eau au milieu des milliers de plantes aquatiques et des poissons errant autours, l’impression d’une infinité de beauté digne d’un autre monde. Sur le fond de l’eau pouvait être une terre vivable et fertile, peut-être pourrions nous y trouver un monde d’une grandeur incroyable, mais c’était le domaines de toutes autres espèces et nous nous apprêtions à rentré dans la demeure de l’une de ses espèces : Les Kojins. Pour l’heure, il fallait craindre que son accès ne soit pas des plus aisés, et la première problématique fut dans la présence d’innombrables coraux rouges poussant d’un coup. Au début, nous avons été balayés dans tout les sens, bien agités et bousculés en essayant de s’en remettre en vitesse du chaos environnant.

Il faut dire qu’il n’à pas duré si longtemps : Lucian se concentrant fit jaillir une vague de glace qui s’amplifia en atteignant la plus part des coraux pour les gelés net et les rendre bien plus fragile alors. Bien qu’ils cassaient plus aisément quand on les repoussaient, c’est Finaen qui émit une impulsion terrestre puissante portant une onde dans les environs qui fracassa tout les coraux en les envoyant s’écraser dans tout les sens. Runne faillit choir dans le vide, emportés par la masse, mais Lamymyr le rattrapa de son pinceau alors qu’elle veillait sur le petit Kojin et Nobukoto en arrière afin de les tenir en sécurité en brûlant ce qui s’approchaient d’eux. Se rétamant au sol, ils évitèrent un drame et purent lentement remonté tandis que Mordred finissait de brisé le passage avant de dévoilé les protecteurs de ce lieu. Des sortes d’armures de crustacés, sans hôtes, animés par une lueur spectrale comme si elles étaient hantés par un bien sombre procédé ayant sûrement créer les deux golems de fer gardien que nous avions affrontés. Une sphère d’obscurité frappa l’avant, Mordred bien décidé à les attirés à lui tandis que sa lame frappait sans cesse les vagues s’opposant à ce dernier. Les entités étaient gelés intérieurement par Runne, ce qui faisait un ravage quand les pointes de glaces de Lucian les percutait en les envoyant valsé en morceaux. Mais peu envieuse de laisser Mordred seul sur le front, nous sommes arrivés de part et d’autres avec Alaric, me laissant trancher l’une de ses armatures animés tandis que Alaric dévasté les autres à en brisé une nouvelle fois un sabre qui vola en milles morceaux.

Observant la création spectrale coincée dans la glace quand Lucian me protégea d’un coup sévère, le saluant au passage, nous avons poursuivi en vitesse en passant outre les morceaux d’aciers éparpillés et l’aspect féérique de ce lieu tandis que Lucian fournissait une nouvelle position de soin à Mordred après que ça jambe ait reçu un mauvais coup de pince. Pour y découvrir enfin ce qui bloquait tout contact avec Tamamizu : La porte de fer scellé. Un visage gravé dessus particulièrement austère lui donnait un air de domaine hanté et maudit, ce qui dans un sens devait être le cas. Avec toute l’encre usés dans leurs sortes gravés dessus sans parler des lueurs bleutés ondulantes sur sa surface, ecla pouvait expliqué pourquoi même l’éthérite locale n’était pas atteignable tant qu’ils en bloquaient l’accès par cette porte-artefact. Les responsables étaient visiblement des Kojins provenant d’un village caché sous les flots, refusant la politique de leurs autres confrères pour avoir leurs propres modes de pensés, et il n’était pas joyeux. Plus hostile encore que les adorateurs de Susanoo, ses derniers percevaient dans leur quête un moyen de conquérir et de grandir au dépend des autres. Encore plus quand le fameux Uryuki d’Hingashi leur aurait donné les moyens de participer à l’appel du Phénix noir. Ils étaient donc les premiers responsables, ceux ayant provoqués tant de chaos dans la Mer de Rubis quitte à désiré la voir devenir réellement rouge. Rouge sang. Et Mordred ne déclara pas vouloir entendre plus en provoquant l’immense armure animé devant la porte.

Celle ci ressemblait à un Kojin, copiant comme ils leurs inspiraient les légendes sur le Kami de la fougue des Kojin. Il rugissait, et parlait des complaintes et des désirs de conquête de son peuple : Ils ne faisaient pas ça par injustice, ça n’était ni les adeptes du sauveur de la lumière ou encore les méradiciens du mur d’or. C’était uniquement des êtres pleins d’ambitions quitte à dévasté des vies pour parvenir à leurs fins. Soulevant son épée, Mordred opposa à la violence du fléau d’arme qui s’abattait sans cesse dessus un bouclier obscure rayonnant devant lui quand les runes rouges se mirent à pulsés en avant en le protégeant des coups qui pleuvaient. Prêt à cédé, la douleur visible dans un tremblement de son bras, Alaric se rua pour bloqué le coup de trop avec lui en l’empêchant de les atteindre, abîmant le fléau d’arme de sa lame, tandis que des projections de javelots de Lucian s’écrasaient sans cesse sur lui en le repoussant brutalement. Proche de là, nous étions en train d’essayer d’abattre une sorte de boule de vase à plusieurs yeux et de nombreuses tentacules pointues qui se baladait sur le plafond. Runne faisant tournoyer du sable surchauffé pour essayé de la cuire littéralement en l’air, s’efforçant de la coincé en faisant tant chauffé l’ensemble que du verre se formait. Plusieurs fois, elle en explosait les couches, jusqu’à attrapé Runne en le baladant ici et là pour le fracassé contre les roches autours.

Finalement, en bondissant, ma lame se planta d’un coup dans la tête de cette créature pour la fendre en deux, la laissant choir des hauteurs en nous tombant dessus douloureusement avant que la bête ne se repousse sur le côté. Me redressant difficilement, je fusais rapidement vers Finaen qui combattait le fameux prêtre Kojin qui avait écrasé Alaric et Lamymyr quand nous étions en train d’essayer de nous créer un passage c’est l’intérieur de la fosse. La rapière de Finaen le poignarda au milieu de lueurs foudroyantes en esquivant les geyser de vapeur sinistre comme si un noir encre s’était glissé dedans. Il en profita pour éjecté plus loin Lamymyr qui était en train de faire surchauffé la porte pour la fragilisé. Se retournant, tandis que Lamymyr nous renforçait comme elle pouvait, il tenta bien de nous arrêté avec Finaen avec un autre geyser, mais il sous-estima notre ténacité. Ma lame tranchant son bâton, laissant le passage à Finaen dont la rapière se planta dans son torse en le faisant explosé intérieurement en des multitudes d’explosions rougeoyantes l’envoyant s’écraser plus loin. C’était fait, mais nous avons été aveuglés par l’explosion du géant de fer conquérant. Runne cherchait à amplifier le gel que Lucian avait déjà créer avant alors qu’Alaric glissait autours du géant, sa lame frappant en infusant l’énergie environnante comme de notes de musiques dans les airs.

Tous furent confus un instant, mais l’énorme cri de Kupo fut interrompu depuis la nature surprenante de l’épée – et sûrement une très mauvaise farce des Mog à Gladys, aussi suis-je en train de me demander ce que Gladys à fait pour avoir attiré des Mogs ! Alaric reçu un énorme coup, ce qui ouvrit le passage à Mordred. Envoyant une énorme frappe dans une lueur obscure crépitante d’énergie autours de son bras, le fléau d’arme se brisa ainsi que ses bras, jusqu’à ce que Lucian fit jaillit dans son torse une explosion surpuissante en une sphère de trois énergies qui nous brisa la vue, et l’audition. Lentement, tout nous revint, confus par le chaos environnant due au choc puissant subit. Constatant que nos ennemis étaient vaincu, et que la grande porte de fer avait été brisée par les Kojins de Tamamizu. Nobukoto conduisait le jeune garçon vers l’intérieur de la ville, où nous nous préparions à vivre quelques temps sous les salutations joyeuses de ceux que nous avions aidés. Beaucoup de questions et de menaces perdurent : Comment arrêtés ses Kojins, et le mal qu’ils ont appelés, là où tout à commencé ? La conclusion de cette histoire, risque d’être déterminé par le poids de nos actes. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 22 oct. 2021, 15:16

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-cinquième Entrée - « Acte 6 – L’ombre sous la mer de Rubis.»
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« Face à la difficulté d’une mission particulièrement dangereuses, je dois dire que je fus surprise d’à quel point nos compagnons furent nombreux à répondre à l’appel. L’ombre étendu sur la sphère de Tamamizu parvenait aisément à nous faire perdre le goût plaisant d’une soirée agréable passé auprès du Ralliement à écouté des histoires avec une plaisante compagnie. Mais dès notre retour, les mauvaises nouvelles s’enchaînèrent autours de la bulle des Kojin, en dévoilant dans les cieux marins des lueurs d’un rouge inquiétant comme si la mer voulait se contaminé d’un sang s’éparpillant dans l’étendue immense autours de nous. Cela était semblable à ce que les serviteurs du phénix noir qui avaient provoqués l’invocation dans les fonds marins prophétisaient : faire en sorte que la Mer de Rubis corresponde à la couleur de son nom, d’un rouge sang qui n’épargnera que les conquérants. Une ombre immense était passé, laissant une légère fissure sur la bulle, mais ça n’allait pas être la seule chose qui correspondait aux troubles du fond des eaux qui allait nous montrer que ça n’allait pas. En plein dans la journée, l’entrée de Tamamizu fut traversée brusquement par un Raen qui transportait dans ses bras une Xaela venant de l’eau qui cherchait à atteindre les terres Kojin et qui s’était égarée dans les flots en créant une bulle autours d’elle. La Udgan Setska de la tribu Oronir avait été secourue par un protecteur de Sui-no-Sato, Hai Ito. Les deux avaient été inquiétés par les forces du Phénix noir, notamment car ses derniers avaient frappés Sui-no-Sato en « volant » un temple dédié à l’animal sacré Suzaku.

Tous avaient dès lors la volonté de se débarrassé de l’ombre qui arpentait les eaux et provoquait cette étrange contamination s’approchant de Tamamizu, d’autant que les études des perles des mers que Finaen recherchait traité d’être conscient dans ses perles, protégeant les eaux, et qui en ce moment même avaient plus que besoin d’aide. C’est une bien grande équipe que nous avons réunit pour cette mission, nombreux purent répondre à l’appel afin de partir affronter cette ombre et mettre en sécurité Tamamizu. Nous réunissant à la sortie, pour recevoir la bénédiction, Mordred parviendrait à nous offrir protection et à jugulé les forces grâce aux forces de sa part sombre. S’y joignait un très grand potentiel magique, avec Runne, Finaen, Lamymyr et Lucian, tandis qu’Aerlin et sa nouvelle alliée Setska de pouvoir nous offrir du soutiens et des soins. Du reste, nous serions là avec Sorn Kohaku et la fine lame des flammes de Sui-no-Sato, Hai Ito, de frapper fortement quiconque s’opposeraient à nous. Fort de cette troupe combative avec de nouveaux compagnons d’armes, les Kojins avec la présence de Nobukoto et le petit Kojin apportèrent les éléments nécessaires à la bénédiction : les uns après les autres, ils nous firent pleuvoir une poudre bleutés depuis une carapace d’un crustacé sur les plages de l’île lié à Tamamizu et de quelques coquillages rares. Amplifiant nos sens, nous donnant un lien avec la mer, ce fut la découverte des flots merveilleux qui nous attendirent en rentrant sous la mer tout en sentant notre corps est parfaitement lié à l’eau autours de nous comme si nous étions dans un élément qui nous acceptait, nous comprenait. Ce ne fut pas évident pour certains de parvenir à s’y mettre, Setska et Aerlin liant déjà leurs pouvoirs pour qu’un vent léger et un courant paisible nous poussent dans chacun de nos gestes, nous laissant découvrir un monde sous-marin formidable.

C’était comme progresser dans une forêt de végétation aquatique, des herbes, de la mousse, des algues comme des arbres. Tout était fantastique autant que les poissons qui tournoyaient un peu partout au dessus de nous et autours de nous. Mais cette candeur s’effondra rapidement alors que Lucian repérait la corruption qui approchait en aidant Mordred à se redressé après avoir été propulsé au dessus d’obstacles par un geyser indiqué par Ito. Les poissons fuyaient, et le sol sous nos pieds s’effondrait littéralement en laissant de la poussière choir dans tout les sens dans un chaos ambiant absolu. Ce qui était beau disparaissait sous nos pieds, et nous étions en train de voyager au milieu d’innombrables poissons comme un typhon dans lequel nous étions emportés. Frappant dans ses mains, Kohaku fit rapidement en sorte que l’ouverture entre les poissons reste grande afin de ne pas être broyés par la masse pendant qu’Aerlin ramenait l’ensemble correctement en place dans une sphère créer par Setska.

La première brume rouge nous avait atteins, et nos esprits en furent fortement affectés par cette intensité rougeoyante – mais Mordred lui fut plus affecté que les autres. Récupéré par Ito pendant sa dérive, Setska le purifiant comme elle pouvait en ajoutant cela aux fleurs de Lys blanche née de la purification globale de Finaen. Nous avons été tous projetés par Aerlin et Lamymyr forçant sur les courants marins pendant que dérivaient des poissons dévastés ou gelés sur le passage de Runne et Lucian, avec Sorn se débattant avec un poulpe côté sur sa figure. Sortant de cette zone de contaminations qui approchait lentement à une heure de route de là de Tamamizu, il était temps de découvrir d’où tout cela provenait. Ici, pas de végétation, rien de beau ni de bon, uniquement la roche terne et une ambiance de fond marin inquiétante où des algues noires dérivaient silencieusement. Mais à ce bruit fut rapidement mêlé l’assaut des Kojins de Fer. Les serviteurs du phénix noir ne désiraient pas nous laisser atteindre deux perles d’un rouge vif comme le regard du Kami déchu. Une volée de lance fut propulsé vers nous, s’écrasant sur la protection de Mordred s’étendant en de nombreuses runes inquiétantes avec un cri de fantôme pendant que tous se ruaient à la rencontre de cette petite armée. Ito, protégé par Mordred qui fit explosé une lance allant vers lui, frappait du poing sur tout ceux qu’il rencontrait dans un craquement de ses bras avec Kohaku à ses côtés faisant tournoyé une armure animé d’un Kojin de fer.

Tous furent petit à petit congelés par Runne, Lamymyr et Finaen étendant leurs pouvoirs avec le renfort de Setska sur les vents, provoquant une immense lame de fond qui souleva et balaya la petite force armée devant nous qui n’avait pas été dévasté par les deux combattants soutenu par les déflagrations d’un feu mauve comme des geyser volcaniques sous marin de Lucian. Je suivais pour ma part les piques de roches d’Aerlin qui éclataient les protections des boucliers lances-javelots qui avait fait pleuvoir les pointes vers nous, tranchant aussi tôt ses porteurs au milieu des déflagrations explosives des feux d’artifices de Sorn soutenant ce passage. Les Kojins de Fer avaient été balayés avec une force surprenante, personne n’avait été blessé lors de notre avancée. C’était un instant de synergie et de bataille incroyable, mais qui allait rapidement être remplacé par la douleur alors que nous arrivions au cœur d’un lieu merveilleux, où s’abritait l’ombre rôdant sous la mer de rubis.
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Ce domaine isolé dans des eaux plus profondes où nous nous étions enfoncés lors de l’effondrement du passage au milieu de la brume rouge et du chaos d’un voyage difficile, n’avait rien de la splendeur du voyage vécu sous les flots au milieu des poissons et de la végétation ressemblant à un domaine boisé comme les recoins les plus beau possible que nous pouvions visités dans Sombrelinceul. L’incroyable y était la différence et la bioluminescence varié mais claire de cette vie sous-marine, était ici remplacée par un rouge austère provenant de nombreux coraux identiques à ceux qui étaient poussés pour nous entravés lors de notre dernière mission. Ce dernier rayonnait doucement, formant une immense alcôve tournoyante autours d’un cratère où les deux perles de la mer d’un rouge puissant se trouvait exactement dans son centre. Des vieilles ruines avaient été apportés ici par les mouvements sous-marins, comme si avec le temps elles s’étaient enfoncés dans le cratère – mais je me doutais que certaines entités avaient finie par amenés les anciennes ruines de Suzaki ici, au vue des flammes noires ondulantes doucement dessus avec un aspect corrupteur. Nombreux étaient les Kojins de Fer et les poissons, d’énormes Ango aux dents acérés nageant au dessus de l’ensemble tout en arpentant les flots pas loin d’une sorte de crustacé scorpion tournoyant lentement autours des perles des mers rouges illuminant les environs.

Chacun s’espacèrent rapidement vers des objectifs différents, laissant Kohaku chercher à rapidement empêché les Ango de nous foncer dedans en vague. Utilisant son habilité sous l’eau, elle les laissa s’approcher d’elle rapidement avant de frapper plusieurs fois dans ses mains pour créer un Hyoton – ce qui était parfaitement efficace dans l’eau, congelant plusieurs des poissons énormes en furent gelés net en se glissant en l’air, mais le plus loin gagna en puissance quand une lueur rouge apparut brusquement. Pas le temps de s’intéresser à lui, alors qu’elle était poursuivie par le poisson énorme, mais devant elle Finaen semblait avoir de gros problèmes. Coincés par les flammes noires qu’il essayait de purifié dans la ruine, sans pouvoir s’en détaché, il fut percuté brutalement par Kohaku pour s’échapper et reprendre conscience afin de se libéré du feu noir tandis que son poursuivant s’écrasait dans les ruines. Libre, mais pas encore triomphant, il retourna aussi tôt purifié les environs en chassant le feu noir malgré les crocs du Ango qui lui laissa une blessure tout le long du torse. Il ne pu revenir à la charge, tandis que les ruines furent purifiés, Kohaku s’était mise sur le trajet du poisson et le découpa en milles morceaux avec ses lames en tournoyant sous son ventre, ce qui fut plutôt impressionnant !

De l’autre côté, naturellement, Mordred avait foncé vers le Contre-maître des Kojins de Fer. Une armure animé plus grande et monstrueuse, qui arpentait le fond des flots en donnant ses ordres aux esclaves pour l’usage de l’encre maudite qui jusque là leurs permettait de concevoir les armures. C’était une parfaite diversion pour Aerlin et Lamymyr qui en profitèrent pour passé sur le côté, afin de brisé les chaînes des Kojin qui purent s’échapper pendant que Lamymyr les guidaient vers un lieu sûr, Aerlin lui empêcha les coraux de s’étendre pour les attrapés avant la fuite en les contenant dans une lueur blanche purificatrice. Aucun des Kojins de Fer n’avait le temps de les arrêtés : Mordred fonçait vers le contre-maître, des javelots de glace passant à sa gauche comme à sa droite en frappant les armures animés souhaitant l’en empêché en les envoyant s’écraser brutalement contre le sol de poussière au fond de l’eau. La lame de Mordred brisa les défenses du Contre-maître et laissa une blessure immense le long de sa carcasse, tandis qu’une chaine de corail attrapa la jambe de Lucian en l’envoyant s’écraser de toute ses forces contre une pierre au fond de l’eau. Utilisant sa maîtrise du Fer maudit, une vague de lames et de plaques vint percuté le flanc de Mordred en l’envoyant s’écraser brutalement contre la pierre proche de Lucian, arrachant un morceau de métal enfoncé dans sa cuisse légèrement en imprégnant les flots de son sang. Mais ce n’était pas autant de quand il reçu une blessure à la place de son camarade : Lamymyr avait fait fondre l’encre qui permettait à l’acier d’être maniable, le laissant sans défendre quand Mordred envoya brutalement une vague d’énergie obscure pour le réduire en morceau.

Propulsant son épée à son tour, la vague détruit brusquement le contre-maître et les autres Kojins de fer restant en finissant en petit morceaux volant dans tout les sens. Mais la lame du Contre-maître se planta dans l’épaulière du Chevalier noir au lieu de finir dans la tête de Lucian, le faisant reculé lourdement contre le fond de l’eau, pour observer ce qui allait arrivé à Aerlin qui contenait encore les coraux. Quant tout allait mal finir. Pour l’heure, Runne avait provoqué une immense lueur d’argent nous permettant d’y voir bien mieux, irradiante dans les environs en ondulant dans les environs. Setska en avait profité pour essayer d’interrompre le rituel du Kojin aux plumes noires qui provoquait un tourbillon, créant un véritable duel de force des flots entre la Udgan et le perfide sorcier. Duel qui fut interrompu quand Ito jaillit en percutant brutalement le sorcier et le parjure de Sui-no-Sato à ses côtés d’un grand coup de fourreau de sa lame en l’envoyant valsé plus loin. Nous étions juste en dessous d’eux avec Sorn, qui avait coincé les pinces de l’énorme scorpions des eaux pendant que ma lame l’endommageait sur tout le long de sa carapace. Ce qui ne l’empêcha pas de brisé les chaînes comme il le pouvait ne percutant Sorn et moi nous nous repoussés.

Craignant sa queue, Sorn effectué un tir surchargé de son convertisseur pour l’éloigné net avant qu’il ne puisse nous faire du mal, cherchant à chassé Gladys qui lui montrait son étoile de mer en lui collant sur la tronche. Et je pu profité que Runne l’avait éblouit, m’évitant de me faire empalé par la pointe, pour l’achevé d’un grand coup de lame coupant enfin en deux cette créature qui ne pouvait plus nous gênés, et pendant qu’Ito contenait le Kojin et le Raen dans un véritable balais martial après avoir reçu un choc puissant l’ayant écrasé au fond de l’eau. Les deux furent écrasés l’un sur l’autre dans un combat plutôt beau à observé si sa finalité n’avait pas été aussi inquiétante : Découvrant qu’il y avait quelque chose sous l’eau, Runne créa une lame de glace qui fut largement amplifié par Setska pour poignardé le sol en cherchant à délogé ce qui se trouvait en dessous. Et après un temps, comme si le temps s’était figé, un hurlement monstrueux apparut en faisant tremblé tout le flots et la terre environnante. Laissant jaillir l’ombre, un énorme monstre marin bien trop grand pour être concevable aisément qui sorti des flots en dévorant le Kojin et le Raen sonnés par Ito qui étaient juste en haut d’un claquement de dent. Fusant en l’air en bousculant Setska qui fut douloureusement coincée dans ses écailles, la créature immense fila rapidement vers le nord. Tout en, d’un seul coup de croc, dévorant Aerlin qui venait visuellement de mourir sous nos yeux.
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Du courage et de la témérité succéda rapidement à la panique pour de nombreux d’entre nous. Cette créature des fonds marins devait être une de ses bêtes ayant trop vécu et n’ayant cessé de grandir pour devenir cette chose effrayante digne des histoires sur ce qui fait coulé les navires. Il ne serait pas étonnant qu’elle soit responsable de quelques des épaves de la Mer de Rubis, mais pour l’instant, le problème étant que nous étions littéralement à côté de cette créature tant qu’elle se déchaînait. Aerlin venait de disparaître sous ses crocs et Setska était traîné dans son sillage avec sa jambe coincée dans les écailles avec une certaine panique intense. Tous réagirent, s’interdisant de la laissé fuir alors que Kohaku et Finaen s’agrippèrent pour se propulsé droit vers la bête. Kohaku l’atteignant sur les flancs opposés où Finaen pu planté sa rapière dans son corps peu après avoir reçu un choc puissant d’un Geyser s’ouvrant à mesure que l’énormité marine avait tout bousculé dans les fonds marins. Laissant des évasions de flammes noires jaillir vers les cieux en frappant un peu partout, cognant Finaen qui malgré tout pu s’accrocher comme Runne un peu plus loin se tenant avec sa lame dans son corps. Il ouvrit grand les yeux en voyant un amas de roche, et le reçu de plein fouet en tombant dans les flots, perdant connaissance quelques instants avant de s’éveiller non loin de Setska. Celle ci écrasée sur la roche quand elle avait pu s’échapper, avait elle aussi perdue connaissance en restant étalée contre la pierre après l’intensité du choc reçu quand elle déroba sa jambe des écailles.

Tous parvenaient sur son dos ou ses flancs, j’étais le long de son dos avec Ito qui laissa une immense blessure tout le long de son dos en ayant enfin tiré sa lame laissant des plumes d’un rouge presque doré faisant pensé aux flammes de Suzaku ondulante le long de la lame bénie. Je soutenais son initiative de mon sabre, mais il fut éjecté brutalement par un mouvement en percutant une roche plus loin, ce qui fut que fatalement, tous allaient finir par descendre pour récupéré nos compagnons blessés une fois qu’Aerlin parvint à sortir. Son épaule avait reçu un sacré choc, imprégnant sa tenue de sang, mais il s’était accroché à une des dents acérés avant de se sortir de là dans un pique rocheux, réceptionnant Mordred dans un amas de végétation née de l’influence de son sceptre quand le chevalier noir fut éjecté brutalement alors qu’il dévastait mentalement la psyché de l’énorme poisson pour le contraindre et l’arrêté. Bien qu’évitant un choc physique important, la confusion mentale le laissait reprendre doucement conscience en voyant que tout le monde était autours de lui. Lucian et Lamymyr s’en étaient sorti pour s’accrocher, ainsi que Sorn qui avait soudé des coraux pour créer une chaîne et s’attacher aux nageoire de l’entité, il nous fallait mettre Setska en sécurité tout en soignant nos blessures. S’y attardant, Aerlin laissait infusé une lueur d’un blanc puissant gagnant chacun de nous en essayant de contenir les blessures les plus graves de prime abord.

Après toute cette agitation, d’innombrables coquorails aux carapaces écœurantes remplies de détritus abandonnés voir même de ce qui avait échoués sous les eaux s’entassaient autours de nous. Lucian cherchait les repoussés dans des vagues de dévastation tandis que Runne, sa rapière encore planté dans la créature, plantait sa dague dans leurs jointures en passant des unes aux autres rapidement. Avec Ito, au milieu des vagues de dévastations et des tirs de Sorn qui avait fait éclaté un de ses énormes crabes juste au dessus de Mordred pour lui venir en aide, nous tranchions ceux trop proche de là pour laissé les soigneurs faire leurs offices en protégeant nos compagnons pendant les soins nécessaires au milieu de ce recoin perdu dans le fond des flots : Au loin, était visible un navire échoué depuis fort longtemps où les nombreuses Perles des mers illuminait les environs d’une douceur paisible, mais avec un sentiment qu’elles étaient effrayés par quelque chose proche de ses derniers. Dès que les coquorails furent dévastés, ou éjectés dans les profondeurs quand Kohaku aidée par Lamymyr fit finalement tombé les derniers crabes dans une trouée profonde grâce à une face aquatique d’un Suiton, un amas de lueurs rouges comme des éclairs fusant se brisèrent sur les protections de Finaen. Seul, il ne pu les contenir, et tous furent frappés par ses éclairs en nous rétamant un peu partout en faisant revenir les douleurs subies par les combats.

Cela reviendrait sans cesse, tant que la créature dont les yeux étaient les deux perles rouges que nous avions observés au loin de là. Laissant Setska en sécurité, proche de Mordred toujours affecté par ce que la force mentale avait provoqué dans sa psyché depuis son duel au fond de l’esprit du monde marin, nous nous sommes tous approchés du navire en cherchant ce dernier. Mais à vrai dire, c’est plutôt lui qui jaillit d’un coup dans un hurlement surpuissant faisant de nouveau trembler les environs entier. Les trois têtes de l’ombre de la mer de rubis claquaient en cherchant des proies à dévorés pour se régénéré des blessures importantes qu’il avait déjà subit. Pour protéger les perles qui pouvaient être à leurs tours dévorés par cette bête, Aerlin les éloignait rapidement en les rapatriant sur le côté pour les éloignés de tout ça tout en tirant un peu de sa puissance pour renforcer Ito qui se préparait à frapper de sa lame en laissant d’innombrables bulles apparaître autours de lui.

Fusant pour essayer de le contenir le temps de cette frappe, Lucian le bombardait dans d’énormes explosions envoyant des morceaux un peu partout ne cessant d’apparaître en le gênant particulièrement, permettant à Runne et Kohaku de s’approcher. Récupérant sa rapière planté, Runne débuta un gel intérieur de la bête dont la glace s’étendait de plus en plus tandis que Kohaku foudroyait l’intérieur de sa carcasse après que plusieurs Kunai furent plantés à l’intérieur de son corps. Il se déchaîna en retour, Runne se prenant un choc l’envoyant valser contre le pont plus loin en se rétamant sur un morceau de bois pendant que Kohaku fut éjectée ailleurs en brisant un mât en deux sous un terrible choc après l’avoir foudroyés. Fonçant avec Finaen, notre rôle était de le distraite tandis qu’il s’occupait de la partie droite des têtes de la créature j’étais de l’autre côté. Nous esquivions en tranchant sans cesse, harcelant ce monstre pour ne lui laisser aucune chance quand Ito allait frapper. Lamymyr le renforçant encore plus, l’essayant l’éther parcourir son esprit émettant une lueur un peu plus puissant, c’est quand nous avons frappé en croix avec Finaen en laissant son torse dégagé et blessé qu’il décida de frappé. Les défenses de la créature était énormément affectés par tout ce qu’elle avait subie, le point final fut la lueur céruléenne incroyable s’extirpa du canon de Sorn de façons surprenante que je n’avais jamais vu encore. Son arme était-elle réellement censé pouvoir faire ça ? Était-ce un pouvoir du Teclis, ou une nouvelle invention ?

Quand le rayonnement toucha l’épée d’Ito pendant le mouvement, sa lumière éclata et l’Empi fonça droit vers l’ombre de la mer en créant comme l’impression d’un phénix naissant sous l’influence de la bénédiction de Suzaku à travers la lame, laissant des plumages flamboyants sur son passage. Le coup dévasta tout sur son passage, laissant la créature fendue en deux s’effondrer en deux parties contre le navire échoué au fond de l’eau. Les perles purent être récupérés, sauvés, tandis que nous quittions rapidement les lieux en venant récupéré nos compagnons blessés ou inconscients. Il fallait retourner à Tamamizu, maintenant que l’Ombre sous la mer de rubis avait été enfin vaincue. C’était une grande étape pour nous débarrassé de ses maudits Kojins de fer qui souhaitaient conquérir les fonds marins en laissant la surface noyés sous le feu noir. Un conflit nocturne allait nous attendre quand ils se vengeraient, jusqu’à ce qu’à l’aube, il ne nous reste que la paix et le repos. Laissant derrière nous pour les explorateurs ce navire échoué avec cette créature marine écrasé au milieu de son pont et le récit de ce combat pour la vaincre. Tamamizu pourrait respiré, notre prochaine étape nous mènerait de là où Ito provient et nous à prévenu du mal provoqué par notre ennemi : Notre destination est Sui-no-Sato. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 25 oct. 2021, 12:42

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-sixième Entrée - « Acte 7 – Dans le dôme de Sui-no-Sato.»
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« Après le combat d’ampleur contre l’Ombre de la mer de rubis, plusieurs étaient éreintés de cette confrontation aquatique. Sous les flots, c’était bien différent de tout autres combats, et nous l’avons bien ressenti dans un conflit ayant exigé la présence de toute notre équipe à ce qui me semble. C’est donc à un plus petit nombre que nous nous sommes préparés à partir pour Sui-no-Sato maintenant que la ville de Tamamizu n’avait plus à craindre la présence de cette horreur et des maudits Kojins de fer désireux d’en faire quelque chose. Ils ont réagit aussi tôt, attaquant la ville la nuit même après la mort de l’ombre de la mer pour essayer de se venger dans la détresse totale d’avoir vu mourir l’entité qu’ils escomptaient utilisé précisément pour que la prophétie de l’eau rouge ne soit réelle. Celle où ils finissaient de conquérir les flots de la mer pour enfin devenir une grande tribu, voir qui sait, une nation peut-être même. Repoussant les envahisseurs, aidant les Kojins du mieux que faire se peut, il nous fallait toute fois après deux soleil de repos continuer la route droit vers la ville d’où provient Hai Ito. Ce qui se trouvait là-bas suggéré avec une certaine inquiétude la présence de maléfice, si Tamamizu n’était plus une cible, la plus évidente était de retrouvé vers la ville qu’ils avaient déjà jadis attaqués. C’est à la sortie de Tamamizu que notre équipe s’est donc retrouvé, nous nous mettions en place pour le départ dans les flots, profitant de pouvoir encore respiré sous l’eau et surtout d’avoir un guide en la personne d’Hai Ito qui nécessairement était conscient de comment nous y rendre facilement.

Si Setska devait nous rejoindre un peu plus tard, c’est pour l’instant Aerlin qui allait prendre soin de notre santé et de notre sécurité après avoir laissé ses dernières instructions aux locaux pour les traitements des Kojins blessés. L’équipe fut constitués de Runne et Finaen en tant que magicien, et nous avions au moins une bonne équipe d’avant-garde pour une fois ! Livio avait prit ses autours de combat et sa pistolame pour nous protéger avec Ito et Sorn à nos côtés dont ce dernier était prêt à faire usage de son arme pour nous couvrir. C’est avec cette bonne équipe de combat que nous avons quitté la sécurité paisible de Tamamizu sans savoir qu’avant les conflits et le bazar des affrontements nous aurions le droit à un lieu sous les flots simplement magnifiques prompt à nous faire rêvé pour les années à venir. C’est dans un recoin égaré parmi les broussailles et les algues que Ito nous à fait traverser un passage après avoir salué une dernière fois Nobukoto et les Kojins en leur demandant de prendre bien soin d’eux. Après un petit passage pratiquement dans le noir complet, nous avons pu profiter d’un peu moins d’une heure de route sur un recoin simplement magnifiques. Des plantes et des coraux formaient comme des arbres immenses au milieu d’herbe aquatiques dansant doucement à mesure de l’eau qui les accompagnaient. Des poissons de nombreuses formes erraient paisiblement en laissant les reflets de la lumière passant entre les immenses coraux comme à travers des branchages d’une façons simplement irréelle.

Ce voyage était d’une incroyable beauté, et nous avons rapidement reçu la visite d’un être tout aussi curieux et admirable : Un énorme poisson aux airs de crustacés s’adressait à nous sans avoir besoin de parler, directement dans nos têtes. Ce devait être le gardien du passage, plusieurs comme Runne étaient inquiet de la taille de l’être, mais il nous confia l’inquiétude qu’il avait pour Sui-no-Sato. C’est vers un promontoire aquatique que nous nous sommes dirigés après qu’il nous ait confié des sortes de corail infusés d’éther en nous disant qu’ils renforceraient nos sorts et gestes si nous l’usions au bon moment. Ils étaient magnifiques et luminescent, tous en récupérant un en faisant confiance au gardien magnifique aux couleurs d’écailles changeantes comme des vagues ondulantes. Sur le promontoire, nous pouvions observer au loin de là Sui-no-Sato, une sorte de cercle de magie provenant d’un sort m’évoquant d’anciens maléfices vu en Eorzéa mais avec une calligraphie et un ajout domien dans son usage.

Il fallait faire vite, les Kojins de Fer étaient sûrement intervenu il y à quelques cloches de ça et avaient pu pénétré dans Sui-no-Sato. Foncer à notre vitesse aurait été peu suffisant pour essayer de rejoindre la ville en urgence, et c’est le gardien qui nous confia un moyen de nous y rendre à toute vitesse : passant juste en dessous de nous, créant une véritable vague de fond, cela nous fit tous tombés dedans et nous voilà guidés dans le fond marin à toute vitesse par cette vague nous propulsant droit vers la ville. C’était impressionnant, mais plus inquiétant en voyant que l’ennemi ne souhaitait pas que ça arrive si aisément : Tombant de ce ciel marin magnifique aux innombrables reflets, des boucliers de fer chutèrent sans cesse pour nous bloqué la route en dévastant tout sur son passage, soulevant brusquement la poussière tournoyante dans tout les sens autours de nous. C’était le chaos pendant quelques instants, mais notre guide serait Ito encore une fois. Fracassant de son poing enflammé un bouclier, il s’en servit comme appuie pour contrôlé son déplacement à haute vitesse en constatant que Runne s’était accroché à lui. Finaen avait attrapé le bras de Runne. Sorn se tenait à la jambe de Finaen. Et Aerlin avait eu la tenue attrapée par Sorn. Tout les cinq fusèrent d’un coup dans tout les sens en agitant déplacé par Ito aisément grâce à la maîtrise d’Aerlin et Finaen sur les flots lui permettait de se déplacé aisément. Nous arpentions le passage avec Livio aisément, ce dernier protégeant de quelques boucliers nos alliés, tandis qu’ils esquivaient les boucliers dans ce chaos monstrueux autours de nous. Sortant de la poussière et des chocs de bouclier, cela nous fit rapidement constaté que les Kojins de Fer avaient clos l’accès à Sui-no-Sato avec une de leurs portes de fer aux aspects maudits.

Peu envieux de nous faire arrêté dans notre lancé avant d’engagé le combat avec les gardiens, Aerlin nous propulsant littéralement dans la mêlée à toute vitesse quand la vague de fond s’écrasa dans l’ensemble des combats, tout nos compagnons bondissant dans une synergie parfaite pour affronter l’ennemi tous ensemble. Sorn s’accrocha à un crustacé de monte, délogeant son porteur en lui tirant brusquement dessus alors que Runne venait de planté d’un javelot de glace celui qui voulait le frapper, reprenant son œuvre à la rapière proche de moi qui tranchait nos ennemis en morceaux. Les deux Raens formaient le corps principal, Livio et Ito frappant du sabre et de la pistolame tout ceux qui arrivaient après la vague avant que le gardien de la porte ne s’éveille. Coinçant Ito et Livio dans le fer, il les soulevèrent lentement en cherchant à les écrasés, mais Finaen s’était préparé. Son sort renforcé par le corail du gardien, il écrasa une sorte de monstrueuse pierre en plein dans le torse du gardien ainsi que la porte derrière qui éclata avec. Tous purent sortir de l’eau, et investir Sui-no-Sato, qui avait semble t-il encore bien des soucis.
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La porte n’était plus qu’un amas de décombre au sol, il faut dire que le choc que Finaen avait provoqué était des plus terribles, et dès que nous nous étions extirpés de quelques adversaires vaincu haut la main sans avoir été brutalisés d’une quelconques façons, il était enfin temps de sortir de l’eau pour atteindre cette nouvelle bulle incroyable où une grande ville au style domien se trouvait tout comme on en parle dans les légendes des lieux. Mais cette légende là était en train de se faire assaillir par les Kojins de Fer, au nom de celui que nous allons apprendre se nommé Qao, leur chef. A peine étions nous sorti de là, trempés, il fallait rapidement découvrir que les lieux étaient investit par nos ennemis en sortant de notre esprit la confusion du combat déchaîné l’instant suivant ce grand voyage sur la vague aquatique du fond marin étant encore quelque peu résonnant dans notre tête. Au milieu des combats s’y trouvait un Kojin à la carapace noire qui parlait aux foules en les remerciant de leur avoir offert les enfants de la Famille Ito, ainsi que la jeune fille devant être la Raenne d’où c’était incarné le phénix noir au pilier des cieux. Protégés par quelques serviteurs du Feu noire, des domiens en armure de guerrier d’orient, il marchait au milieu de quelques cadavres des protecteurs alors qui se traînait non loin de là une sorte de canon de corail où ils condensaient des sphères d’eau suffisamment pour essayer de faire exploser les demeures. Tout ça semblait empêché le passage vers les hauteurs rocheuses, où quelque chose d’incroyable semblait se produire. Du cercle rituel que nous observions au loin, c’était comme si un temple apparaissait littéralement à l’envers et cherchait lentement à atteindre le haut du pic rocheux.

Le Raen aux cheveux de feu, le père d’Hai, patriarche du clan Ito, se trouvait sur son sommet en nous observant d’un regard aux yeux rouges. Sa corruption était visible, mais était-il pour autant condamné ? Sans nous confié à une fatalité, nous avons débuté rapidement d’investir les lieux alors que Finaen et Ito partirent immédiatement pour sauver les vies des citoyens locaux : Nombreux étaient installés dans une tour fragilisée. Des flammes noires ondulaient dessus, et si Ito passait par l’extérieur en bondissant à la verticale sur les murs de pierre en éteignant les flammes, Finaen lui était à l’intérieur pour s’occuper de celles dedans en ralliant les habitants pour leurs offrir une échappée. Percuté par un geyser puissant du Kojin noir, Ito s’écrasa à l’intérieur avant de ressortir sur le toit en envoyant une vague de flamme puissant droit vers lui. Cela tombait bien, car il était sur le point d’abattre un nodachi sur Sorn qui avait percuté ce dernier avec un crustacé avant de foncer pour offrir une potion de soin à un samouraï de Sui-no-Sato gisant au sol protégé par sa bien-aimé dans une petite bulle d’eau. Se protéger les uns les autres était l’essentiel, et rapidement, le Kojin du tourner la tête droit vers Livio qui allait arriver dessus sous la forme du Tigre blanc provenant du totem des milles bêtes.

Lui et Aerlin avaient dévasté le canon des Kojins de Fer qui se préparait à tirer vers Aerlin en même temps que ce dernier avait créer une sphère d’eau puissante pour éclaté dessus. Sortant des flots du fracas de la sphère contre le tir du canon, Livio écrasa sa pistolame en plein dans le projectile au contact du canon qui explosa en milles morceaux avec ses occupants. Propulsant Livio brutalement sur le dos à côté d’Aerlin, ce dernier protégé par son camarade pu lui offrir quelques soins avant de foncer stabilisé la tour en urgence avant qu’elle ne s’effondre fatalement en émettant des lueurs d’ambre tout le long de la tour. Livio s’écrasa contre le Kojin noir, il parvint à repoussé le tigre autant que Sorn qui tirait dessus sans cesse en enchaînant les chocs contre son adversaire. Sacrifiant son dernier garde du corps, il passa en une sorte de transe le recouvrant de plumes noires en rugissant vers Livio et Sorn légèrement blessés. Envoyant une grande déferlante droit vers Aerlin qui offrait guérison à ses compagnons autant qu’au samouraï pour lui sauver la vie, le choc fut mitigé quand Sorn infusé par la foudre de la forme de Livio en se mettant droit devant le choc. Percuté par ce dernier, il eut le temps de tirer une lueur infusée droit dans la tête du Kojin avant de valser plus loin avec Aerlin quand les deux furent brutalement impactés. Au moins était-ce ça dans notre dos, car à l’avant les combats faisaient rage.

Je luttais contre une énorme création de métal hanté ressemblant à un mélange de langouste énorme au torse de Kojin portant de nombreux parchemins des âmes accumulés des guerriers de Qao sacrifié. Au début, je parvins à le contenir en lui laissant des tranches dévastatrices le laissant en piteuse état tout en l’empêchant de tuer quiconque de plus parmi les défenseurs de Sui-no-Sato. Au milieu de ce combat, Finaen intervint en apparaissant d’un coup tout en frappant de sa rapière contre l’entité pour essayer de le contenir et de brisé le flot des âmes, mais nous avons été tout de mêle écrasés en arrière subitement quand il fit un pas en avant déchaînant son pouvoir. Proche de nous, Setska était enfin arrivée. Depuis une bulle perdue dans les flots jusqu’à descendre depuis le plafond du dôme, elle observait les lieux surprise mais intervint tout de même immédiatement. Levant son bâton, elle créa une sphère d’eau tournoyante brusquement autours de l’entité que je retenais pour l’empêcher de sortir de là en frappant encore et encore de mon sabre, permettant à Finaen de créer d’innombrables lames à l’intérieur de la sphère. La dévastant en brisant tout les parchemins, ne laissant qu’un amas de métal choir au sol alors que des feux-follets s’élevèrent lentement dans les cieux une fois que cette chose fut détruite. Les combats s’achevaient, Runne et Ito ayant formé une incroyable équipe face au traître qui avait du permettre aux Kojins de Fer d’entrer en ville : L’ancien habitant de Sui-no-Sato portait l’insigne du Clan Uryuki, prouvant son affiliation au responsable de la venue du Phénix noir, et fut directement assaillit par Ito. Runne l’avait grandement aidé quand il avait pu arraché la lance qui produisait des geyser un peu partout dans des amas de dévastation, jusqu’à ce qu’il la lance droit vers le parjure dans une onde de choc puissante au milieu des défenses de ce dernier.

Privé de toutes protections, la lame d’Ito le transperça de part en part, leurs regards se croisant entre la surprise mêlé à la douleur de celui qui réalise qu’il à fait tout ça pour périr en vain dans son vieux foyer, et la fureur flamboyante de celui qui le défend. Retirant sa lame, Ito fut protégé par la rapière de Runne et les deux se débarrassèrent en simultané en se mettant dos à dos pour abattre net les deux gardes du traître qui venait d’être transpercé, tombant exactement en même temps sous leurs coups. Tous n’eurent qu’un bref instant de répit, les combats continuaient un peu partout en ville, mais la pointe du temple venait d’atteindre les hauteurs rocheuses en produisant une grande onde de choc qui fit tremblé la terre pendant un instant. Le rituel venait de débuté, et le temps nous était désormais plus que compté pour évité qu’ils n’attirent peut-être encore une fois le Phénix en Sui-no-Sato.
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Plusieurs s’inquiétèrent pour ceux en arrière, prenant le temps de s’offrir quelques soins et quelques hochements de tête pour des actions coordonnés afin de se préparer à la suite. J’attendais un peu plus loin, trépignant d’impatience que de pouvoir foncer à toute vitesse vers le sommet, mais il serait particulièrement irresponsable de partir droit vers l’ennemi toute seule en pensant que je pourrais les vaincre sans mes compagnons. Aussi, était-ce moment où ils avaient besoin d’un instant de repos, mais quand on ressent notre âme hurlé de partir et de tout détruire chez nos ennemis après avoir vu tant de souffrances dans les habitants locaux. J’observais les marques au sol que des enfants avaient laissé d’un jeu qu’ils utilisaient tout en réalisant qu’ils avaient du s’enfuir en vitesse dans la panique de voir la ville être attaqué, et ma main se resserrait encore un peu plus contre mon sabre tant mon désirs de justice me brûlait la poitrine. Arrivant à nos côtés, ragaillardit par les quelques soins offerts, nous nous sommes mit en direction des hauteurs en réalisant rapidement qu’ils ne nous laisseraient pas aisément faire. Le sol se déplaçait brusquement, changeant les dispositifs du passage en nous faisant risquer des bonds un peu dangereux tout en s’agitant dans tout les sens alors que depuis les hauteurs, les décombres de morceaux de temple – tuiles, pierres et autres nous tombaient dessus à des vitesses différentes nous donnant l’impression de courir entre deux mondes qui seraient presque collés entre le ciel et la terre. Il fallait que l’esprit s’y attache un peu, Aerlin ayant quelques difficultés en bondissant plusieurs fois d’une pierre à une autre en me rattrapant quand j’étais en partie tombé dans le vide après un coup sérieux d’un de nos ennemis qui nous attaquaient au milieu de ce chaos : des combattants domiens portant les armures de fer hanté des Kojins de Qao.

Leur permettant d’avoir des bras supplémentaires usant d’armes, dans un style de combat impressionnant mais pas adapté à leur niveau de force. Ils furent pour ainsi dire écrasé, mais nous avons été frappés avec Livio dont le flanc fut blessé par un katana pendant qu’il passait d’une pierre à une autre en repoussant nos ennemis. Certains étaient concentrés sur les chutes de pierre, les vents de Finaen frappant brusquement en l’air en même temps que Setska contrôlait les roches pour les renvoyés ici et là bien qu’elle reçue un éclat de pierre dans la tête lui laissant une belle bosse quand elle se mit à rire due à une farce de Sorn qui la fit visiblement bien rire. Les pierres chutaient sans cesse en avant en des décombres de pierre en repoussant ce qui pouvait nous entravé, Ito vint se joindre à tout ce ravage en frappant de ses poings enflammés pour propulsé les décombres contre les guerriers qui s’accumulaient devant nous, peu avant qu’il ne s’écrase au milieu de ses ennemis affaiblit par Setska qui cherchait à apaisé les Kojins hantant leurs armures pour les rendre bien moins vif. Entaillés sans cesse par les lames de vents, ils furent finalement balayés peu avant de pouvoir frapper Ito brutalement en retour quand il fut retenu par l’un des leurs, quand Runne déchaîna une magie des plus puissantes. Créant une sorte de zone aérienne puissante, il les envoya tous valsé dans le vide dans un amas de hurlement paniqués des guerriers chutant dans le vide. Progressant en avant rapidement, plusieurs se remerciant dans un moment de cordialité surprenant pendant notre ultime ruée pour atteindre le sommet, nous sommes finalement arrivés tout en haut pour y voir la pointe du vieux temple dévasté et souillé par d’innombrables sacrilèges qui ont mit à mal toutes les représentations de Suzaku que la famille Ito prie pourtant avec adoration.

Sous des toiles, le patriarche poursuivait son œuvre sous la maîtrise du phénix noir tandis que plusieurs adversaires s’accumulaient devant nous : Le Hikagiri, une sorte de magnifiques serpent de mer avec de grandes ailes aux couleurs incroyables tournoyait un instant autours de nous dans les cieux avant de descendre, portant une armure hanté qui semblait le renforcer tout en émettant un rugissement puissant. Signalant à la Roegadyn d’orient en armure magnifique notre présence, celle ci cessa sa prière pour lentement marcher vers nous, ordonnant au patriarche de poursuivre. Mais le maître des lieux était déjà connu : le Gardien de la porte s’incarna d’un coup devant nous. Une sorte de haut de corps de Kojin sans jambe autre qu’un amas de fer tournoyant lentement, étendant ses bras tout en attrapant l’épée qui venait de choir depuis le temple à l’envers au dessus de nos têtes. Se présentant comme étant Fo Gan, la lame du général Qao responsable des Kojins de Fer.

Le rituel débuté, il fallait agir vite et aussi tôt Livio jaillit pour frapper brutalement la tête du Hikagiri quand celui ci fut maîtrisé par les vents d’Aerlin. Prenant plusieurs coups, Aerlin fit choir sa tête au sol brutalement en même temps qu’il avait été écrasé sur le sol par un coup de la créature. Redressant la tête, encore sonné par le choc, la créature tournoyait sans cesse pour échappé à Livio qui regardait à cet instant tout le reste de notre équipe à terre et en péril. Se retournant vers la bête, Aerlin malgré une pointe de fer se plantant douloureusement dans son ventre parvint à soulevé la roche pour contenir d’urgence la créature qui se bloqua d’un coup net. Immobilisée, elle ne pu faire grand-chose quand la pistolame lui dévasta le visage en le laissant choir des hauteurs presque au même instant où Finaen et Runne eux aussi avaient triomphé de leurs adversaires. Fonçant vers la Roegadyn, les deux la prirent de revers tandis que Finaen lui transperça la cuisse quand Runne l’avait immobilisé, avec une diffusion de la foudre puissante autours d’elle, elle éleva des ailes de plumes noires semblables au Phénix en envoyant s’écraser plus loin Runne avant de balayé Finaen de l’autre main. S’accrochant d’une main pour ne pas tomber dans le vide, Finaen était sur le point de choir alors que la Roegadyn se préparait à en finir en levant lentement le pied pour lui écrasé la main. S’y refusant, Runne fusa pour la transpercé de part en part de sa rapière en frappant exactement au bon moment, celle ci se retournant brusquement avant que Finaen ne frappe avec sa lame noire en détruisant ses ailes et une partie de son dos au passage. Tombant dans le vide, elle ne pu même pas attraper Finaen pour choir avec lui quand la rapière de Runne lui interdit d’un geste net. Cela nous laissait encore Fo Gan, dont le métal se déchaînait autours de lui pour le protéger de nos assauts.

Setska était en pleine affrontement contre ce dernier, frappant des vents enragés sans cesse dessus alors qu’un tir de Sorn traversa le corps de notre ennemi de part en part alors qu’il essayait de remettre en marche son canon, Gladys l’accusant de ce méfait. Avant de rendre les coups, Ito enflamma brusquement les morceaux de métaux en les rendant de plus en plus fragiles dans des lueurs intenses d’un rouge vif, me permettant de les tranchés bien plus aisément en coupant une bonne partie de son incarnation en enchaînant les coups rapides et puissants. Il fit choir sa lame, et nous écrasa tout les quatre au sol subitement dans un choc massif tout en laissant la douleur à Sorn d’avoir un morceau de métal enfoncé dans l’épaule. Au vu de tout nos compagnons au sol, pour Setska, c’était le moment de livré le plus de pouvoir possible dans un élan spirituel surpuissant s’étendant autours de nous. L’eau montait, montait, et formait comme des symboles tribaux et des silhouettes de totems des Steppes. Une grande lumière apparut et l’eau coulant comme de la pluie avait une forte puissance régénératrice pour nous offrir force et support. Fo Gan tenta bien de l’arrêté, mais je fis tout pour le contenir en plusieurs coups de lame foudroyante le temps que Sorn tire avec l’usage de son Teclis.

Le faisceau ardent d’un bleuté puissant le transperça dans une puissante lueur qui s’écrasa contre son incarnation en continuant son chemin quelques instants supplémentaires, jusqu’à atteindre le haut du dôme dans un amas de dévastation incroyable qui donna l’impression que le haut du dôme s’était enflammé d’une couleur bleuté magnifique rayonnant sur les gouttes d’eau de la pluie. Ito en profita pour passé sous Fo Gan en plein affrontement pour rejoindre son père. Malgré la difficulté due au rituel, il pu l’assommé d’un grand coup de poing dans le ventre, son père le remerciant en sentant comme la présence qui s’emparait de sa psychés s’échapper et le liberté. Tous levèrent le regard vers les cieux, observant le rituel se brisé et la silhouette du temple à l’envers disparaître lentement. Le combat sous le dôme de Sui-no-Sato venait de prendre fin, nous contemplions depuis cette hauteur la ville incroyable qui allait nous abrité quelques soleils le temps d’en finir avec notre prochaine mission. Chez la Famille Ito, vassaux des Sui, nous trouverons logis. Conscient que notre prochaine adversaire serait le maître lui même des Kojins de Fer menaçant le fond des eaux : Il est temps d’abattre Qao, et son ambition monstrueuse désireuse de voir la mer de rubis soit lui appartenir. Soit partir en flamme. »

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Message par Akayane » 27 oct. 2021, 13:38

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-septième Entrée - « Acte 8 – Qao, le général des Kojins de Fer.»
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« L’affrontement avec Qao était devenu un impératif bien plus personnel après ce qu’il à fait. La nuit avant notre départ pour la confrontation, ce dernier se livra à un grand harcèlement des habitants de Sui-no-Sato en cherchant à faire enlevé le plus possible de ceux sortant un peu trop de la bulle pour la pêche. Des équipes de secours parvinrent à en ramené de nombreux, mais à peine plusieurs d’entre nous étaient rentrés avec certains habitants encore effrayés par ce qu’il s’était passé, qu’un coup d’une entité de métal immense avait créer une faille légère mais extrêmement dangereuse de la bulle. Nombreux furent ceux réussi pour la clore, restaurant cette dernière en contenant les guerriers de fer de Qao en profitant pour jaillir en plein milieu d’habitation. Ce fut une nuit simplement éprouvante, aussi périlleuse que celles que nous avions pu faire à Paglth’an contre les forces des Telophores il y à maintenant quelques lunes de ça. Hors, il y avait aussi des civils innocents ici même, et rares mais quelques uns ne purent être trouvés si ce n’est empalé au bout d’une pointe de fer plus tard dans les flots menant au repère de Qao.

Fatigués, mais déterminé, c’est une bonne partie de notre équipe qui s’est réuni à l’extérieur pour suivre la piste des forces du chef des Kojins de fer afin de mettre un terme à sa folie et à ses désirs conquérants. Une fois de plus, c’est en bonne partie sous l’eau que nous aurons à accomplir cette tâche, rendant parfois difficile les déplacements, mais nous avions eu l’exercice des dernières missions notamment face à l’ombre de la mer de rubis restant une expérience mémorable. L’avant-garde serait assurée par ma lame auprès de celle de Hai Ito, prompt à frapper fort pendant que Livio mènerait la garde avec sa pistolame. L’effort magique allait acquérir le soutiens de Finaen et Runne, tout en y ajoutant les efforts toujours surprenant des nouvelles tactiques de Sorn ayant créer l’effet d’un serpent de feu pendant la défense de Sui-no-Sato qui fut de toute beauté. Revenue de Tamamizu, Kohaku serait présente pour nous offrir ses techniques, et Setska nous offrait un support plus que primordial en lieu et place d’Aerlin pour nous offrir des soins. Et ce soir, cela allait être important. Après un instant de palabre et un discours pour le moins peu inspiré de ma part, la fatigue et le désirs d’en découdre était plus grand que celui de faire des phrases aussi avons nous plongés dans les flots afin de suivre la piste.

La route n’était pas la plus agréable qui soit, rapidement nous nous sommes éloignés des immenses algues et des coraux rendant l’ensemble habituellement splendide pour arriver à des zones mortes. Il n’y aurait pas la beauté irréelle que nous avions observé lors du passage avec Ito. Ce dernier avait au moins pu avoir un instant avec son père, lui remettant une boite contenant une queue de phénix sans savoir que ça allait sauver la vie de son fils face aux malheurs à venir. Progressant dans les flots, laissant passer un banc de crabe qui fascina Gladys au moins d’en balancer un peu sur tout le monde pour s’amuser – surtout sur Setska. Nous avons rapidement du subir les visions des cadavres des malheureux ayant été entre les griffes des serviteurs de Qao. Empalés sur des pointes de fer, comme pour nous menacé d’être les suivants, Kohaku les libéra des pointes en les attachant à un corde en vue autant de les ramenés aux familles qu’à les purifiés du mal. Laissant Finaen par la prière offrir le repos et la guidance aux âmes vers la rivière de la vie, heureusement que plusieurs étaient en pleine inspection, malgré le fait qu’ils ne purent avertir qu’un instant trop tard pour esquivé un bras immense fait de fer qui jaillit du sol en m’écrasant plus loin avec Finaen.

Ce bras entrait et sortait sans cesse en essayant de nous frapper ou de nous écraser, identique à celui ayant frappé la nuit dernière la sphère de Sui-no-Sato, et qui maintenant jaillissait sans cesse. Sorn essaya bien de le contenir le hasard de ses approches avec plusieurs explosions au sol, mais il ne fit qu’apparaître plus proche cette dernier en l’envoyant valser dans les flots douloureusement plus loin. Se moquant du sable que Runne infusait dedans, pendant que Setska aidait dans des ondes aqueuses les efforts de Finaen et Kohaku à densifié les flots pour que les ondes prodigués par son arrivée monstrueuse ne nous fasse pas simplement explosé les organes internes. Le bras essaya d’attraper alors Ito qui avec mon aide et celle de Livio frappant pour dévié le bras pendant que nous tranchions au passage, avait déjà coupé un de ses doigts et grandement endommagé le métal. Avant d’être réduit en bouillie, Setska sorti rapidement Ito de là en lui évitant une mort lugubre entre les doigts monstrueux. Notre échappée du chaos entraîné par son assaut nous mena droit vers notre cible : le village Kojin aquatique où les renégats d’autres tribus s’étaient isolés pour vivre loin des soucis avant de devenir eux même un problème grave.

Les masures étaient mêlés de métaux, et d’autres végétations aquatiques qui sous les bancs de poissons innombrables et la clarté du ciel au crépuscule aurait pu être magnifique, si lors d’un défilé nous y menant les Kojins de fer ne nous avaient pas tendu une embuscade. A peine remit de la fuite, que les filets de fer nous tombaient dessus en même temps que des guerriers en voulaient à nos vies. C’était une jeune raenne de Sui-no-Sato, paniquée de l’attaque d’hier soir qui les avaient prévenu en cherchant à rejoindre l’ennemi pour survivre. Dès qu’Ito fut attrapé par deux chaînes, elle essaya même de le tué mais son harpon fut désintégré ainsi que ceux tenant Ito par le tir surchargé de Sorn ayant fait usage du Teclis pour tirer en vague sur les guerriers de fer. Ce fut un massacre pour nos ennemis, les frappent ne cessant pas tandis que Kohaku et Runne étaient déjà arrivé d’urgence là-bas, Runne ayant reçu un mauvais mais habituel coup de lance dans le flanc en recevant des soins rapides de Setska après qu’elle ait cessé de renvoyé les filets à leurs propriétaires. Sous la force magique des assauts de Finaen et Kohaku, nous écartions la menace de nos lames avec Livio et Ito au milieu de l’ensemble dans des chocs ordonnés et des frappes ajustés à un effort d’équipe. C’est bien agité, mais relativement indemne, que nous sommes arrivés au village de Qao. Peu conscient de l’ampleur de la menace qui pesait déjà sur nous, et des quelques révélations à venir sur certains compagnons.
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Le destin de la jeune traîtresse fut choisis par Ito lui même, sous le regard de Setska. Elle n’avait pas été possédée, ni corrompue, c’était la peur et la folie, l’horreur de la mort qui l’avait mené jusque là. Tétanisée par l’idée qu’Ito la tuerait désormais pour ses actes, elle fut renvoyé vers Sui-no-Sato d’un air impérieux par ce dernier pour qu’elle y reçoive punition appropriée, la retrouvant plus tard effectivement en prison le temps que son sort soit jugé par les protecteurs de la ville. Cela nous laissa quelques temps pour les soins, ainsi que pour finir le voyage nous menant droit au dit village. Les masures étaient nombreuses, l’ensemble fait des moyens sous-marin lui donnait un air splendide avec l’ombre des poissons. Mais le tout était reflété par des coraux rouges où s’y trouvaient plusieurs perles d’un rouge lumineux brillant un peu partout autours de nous. Comme là où se cachait l’ombre de la mer de rubis, un navire avait échoué depuis quand plus longtemps et se mêlaient maintenant parfaitement aux coraux et à la végétation rouge de ce domaine. Mais nous avions déjà beaucoup à faire, de nombreuses choses étaient accumulés devant la carcasse du navire échoué là où se trouvait un artefact en forme de cercle. Un des Halo des profondeurs, comme la mystérieuse création que nous avions découverte en Sombrelinceul il y à longtemps de ça maintenant. Quoi qu’il ait pu jadis provoqué, cela les avaient poussés à s’installer juste ici et provoqué bien des soucis dans les environs. Nous nous sommes espacés sur de nombreux objectifs à toute vitesse afin d’affronter nos ennemis pour trouver un accès nous menant droit à Qao. Par la route, Livio, Kohaku et moi se ruèrent vers des menaces dont une sorte de tour domienne ancienne avec de nombreux parchemins. Le maître-sage Kojin utilisant les parchemins devait être en quelque sorte le nécromancien ayant permit autant de rituel au nom de Qao, s’exerçant pour leurs avec quelques cadavres animés de combattants domiens de différentes natures.

Les premières lames de vent de Kohaku fendit le parchemin sur le visage d’un ancien géomancien dont le cadavre s’écrasa au sol tandis que j’empêchais le maître-sage de le réanimé avec un autre parchemin. Mais rapidement, le corps de samouraï vint opposé sa lame à la mienne tandis que le shinobi en profitait pour me blessé au flanc et pour frapper rapidement Kohaku dans le dos en apparaissant derrière elle. Nous avions été rudement frappés par nos ennemis, mais hors de question d’être arrêtés par ceux ci – Setska n’était pas loin de là, et décida rapidement de faire jaillir un puissant sort de soins qui ferma nos blessures et nous offrir le pouvoir de nous débarrassé rapidement des cadavres animés des combattants domiens. Tandis que je décapitais net l’archère en m’offrant quelques passes d’armes avec le samouraï jusqu’à le fendre en deux net, cela offrit tout le temps qu’il fallait à Kohaku de retirer les parchemins autours de la tour domienne en laissant celle ci choir dès que la magie permettant de la laisser en place s’estompa avec le retrait des maléfices, achevant d’y parvenir quand elle planta sa lame dans le torse du ninja qui la poursuivait sans cesse. Ne laissant que le maître des parchemins, il tenta d’ensevelir sous les parchemins maudit notre notre pauvre Kohaku quitte à l’affecté mentalement pour la contrôlé, jusqu’à ce que ma lame tranche certains parchemin, nous permettant de le décapité net ensemble de deux coups de lames.

Non loin de là, Livio avait quelques difficultés à abattre d’énormes armures de calamars des fonds des mers maudites pour se déplacé encore sans les créatures adaptés, jusqu’à parvenir à planté sa lame une ultime fois dans celle qu’il avait déjà brisé plusieurs fois quitte à être balancé un peu partout en se faisant écrasé au sol. Voyant que Runne avait une grosse difficulté, il orienta la chute depuis les cieux de l’armure détruite droit vers un Kojin aux plumes noires que Runne affrontait pour couvrir Finaen, le dernier survivant des tirs de Sorn et de la lame de Runne, Sorn avait bien essayé de le transpercé de part en part mais ça n’était pas suffisant. Cela dit, se prendre une armure d’acier immense à toute vitesse même sous l’eau fut cela dit fatal quand cela l’écrasa plus loin en le rétamant par terre pour sauvé Runne qui en profita pour aussi tôt essayé de gelé les bras du Kojin qui cherchait à transpercé Finaen. Cherchant à purifié rapidement l’autel de fer pour empêcher la quelconque utilisation de ce métal souillé par l’encre leur permettant de manipulé cet acier à leurs guises.

La perle des mers corrompue par l’obscurité à l’intérieur était précisément ce qui l’inquiétait le plus, cherchant à dégagé cette obscurité à l’intérieur, il était harcelé par le Kojin aux plumes noires l’étranglant en cherchant à l’empalé net des griffes de son bras droit. Les mains congelés, il reçut en même temps la foudre que Finaen lui rendait gentillement en retour tandis que Setska était venue lui offrir de l’aide en envoyant une grande lueur d’un vent puissant projetant le corps du Kojin massacré plus loin, percutant bien malgré lui Runne. Il aurait pu se déplacé, mais à ce moment nous étions prit par une sorte d’onde de lumière sortant du Halo des Profondeurs que la perle des mers avait visiblement activé. Livio avait pu atteindre la dernière armature de fer maudite pour la détruire, malgré un choc reçu à cause de cette immobilisation. L’ensemble arriva en même temps que le terrible combat avec Ito venait de prendre fin. Ce dernier luttait contre un immense guerrier dans une armure empêchant totalement de le voir, maniant une énorme ancre dans des rugissements terrible de bête sauvage.

Malmené par les énergies de Setska, cela ouvrit la voie à Ito pour le blessé de deux grands coups de sabres afin de l’immobilisé le plus possible, ce qui ne l’empêcha pas de faire venir Setska droit vers lui avec son ancre en la blessant au passage. Se retournant vers Ito quand il continuait un assaut soutenu pour lui faire perdre son ancre, il se défendit en repoussant Ito au sol avant de l’écraser de son pieds dans les fonds marins en provoquant une puissante onde de choc au sol en cercle concentrique encore et encore. A ce moment là, Setska nous avait offert guérison à Kohaku et moi, mais cette étendue avait offert des soins nécessaires à Ito qui se releva pour reprendre le combat. Tandis que le guerrier repoussait Sorn et sa foreuse s’écrasant contre ce qui semblait être une protection de lueur rouge autours de lui, écrasant le crépusculaire avec son ancre à distance jusqu’à la ramené droit dans le ventre à Ito, le transperçant de part en part. Il aurait du mourir, à cet instant là, la vie allait le quitté. Mais la queue de phénix de son père fut utilisé et lui évita une mort certaine quand il rouvrit brusquement les yeux comme infusé de ce pouvoir. Envoyant son coup de poing déchargeant tout ce qu’il avait accumulé depuis qu’il avait frôlé la mort, son coup fini par brisé l’armure fortement abîmé depuis le début du combat en l’ouvrant enfin. Nous allions réalisé qui était à l’intérieur, mais surtout, ce fut au moment de l’activation du halo des profondeurs qui ouvrit un grand trou béant dans le sol nous aspirant brusquement vers une caverne souterraine, nous menant droit vers l’antre de Qao.
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Nous avions été aspirés soudainement, Kohaku s’était accrochée à moi pour ne pas choir, mais vu que je tombais aussi, je ne pouvais pas faire grand-chose d’autre qu’agité bêtement les bras en essayant de ne pas tout couper en morceaux avec mon sabre sur ce qu’il y avait autours de moi. Chutant tous ensemble vers le passage, c’est comme si nous étions descendu du cascade aquatique avant de tomber dans une formation de bulle en tombant dans un intérieur souterrain simplement incroyable. Le Xaela dans son armure fissuré était inconscient, Setska prenant rapidement soin de lui en vérifiant son état de santé tout en réalisant que c’est bon, il allait bien. Torako Qerel était visiblement un vieux compagnons de Finaen et Runne datant d’une ancienne équipe, et ils en prenaient soin le temps qu’il reprenne des forces. Pendant que chacun offraient des soins en constatant avec plaisir et soulagement qu’Ito était sain et sauf, je fis progressé l’équipe à l’intérieur d’un passage droit vers ce qui semblait être la profondeur de la ville de Qao qui avait ici un air impérieux. Mais le plus incroyable était simplement que l’eau coulait comme une cascade qui se fendait en deux de façons irréelle juste au dessus de nous. C’était incroyable, l’eau se diffusait illuminant par la bioluminescence bleuté des méduses et des plantes le long du passage les environs. Rayonnant sur les plaques de métaux de masures ressemblant à des bulles flottant un peu partout autours de nous, comme si sous la terre s’y trouvait le véritable « royaume » de Qao qui n’était rien qu’un petit village mais dont la manière d’être et la structure était tout simplement merveilleuse. C’était peut-être la dernière merveille de sous les flots qui nous attendait si nous parvenions à vaincre Qao afin de rejoindre la confédération dans son combat contre le clan Kazan. Mais si nous étions candide de la traversée, ça ne serait pas aussi facile tandis que des sortes de serpents d’eau sans conscience passait à toute vitesse autours de nous en tournoyant autours de l’équipe.

Jusqu’à ce que cela arrive un peu trop, risquant de nous emporté vers l’eau autours de nous entre plusieurs trous formés dans le passage rocheux souterrain nous menant droit vers le trône des lieux. Tandis que Finaen cherchait à les contrôlés, pendant que Sorn se tenait en place pour soutenir quiconque serait emporté l’air vif avec Kohaku non loin qui venait d’envoyer une vague tranchante droit vers ceux qui nous fonçaient dessus. Une énorme main jaillit, celle qui nous avait assaillit pendant notre ruée vers ce village, et détruisit brusquement le passage en faisait choir Finaen, Kohaku et Sorn, presque inconscients sous le choc, Runne lui fut secourut d’urgence par Setska qui manipulait les vents pour les écrasés sur les espèces de chevaliers de fer en forme de Kojin qui se ruaient vers nous. Soulevant un de ses serpents d’eau, Finaen fit choir les compagnons tombés dans le vide au sol malgré sa propre douleur, tandis que nous ouvrions la voie. En tête, comme souvent, Livio écrasait sa lame en arc de cercle en provoquant une vague de destruction au milieu des guerriers sonnés par les déflagrations de Runne et les effets magiques de nos compagnons. Autours de Livio, Ito et moi étions arrivés d’un coup pour trancher tout ceux ayant survécu en nous ouvrant la voie.

Passant le long des pierres fracturés et de l’impression parfois de courir littéralement sur l’eau en progressant à toute vitesse dès que nos compagnons eurent reprit leurs esprits, nous sommes finalement arrivé dans le dôme de Qao au fond de la mer de rubis. Ce lieu était merveilleux, et avait du jadis servir aux Kojins rouges comme domaine de foi pour leur Kami de la fougue : Susanoo. Le rouge des coraux magnifiques étaient mêlés à des grandes griffes de fer ornés de runes ayant sûrement été créer par le Raen en tenue infâme d’un noir profond, aussi magnifique qu’elle était austère, veillant sur le rituel usé par un grand cristal bleuté comme une sphère parfaite qui illuminé de glace les environs, des chaînes autours de ce dernier. Mais devant ce rituel servant à manipulé toutes les énergies qu’ils maniaient au fond de l’eau, se tenait enfin le général d’un village qu’il avait condamné lui même par son désirs ardent de conquête. Quelque soit la manière dont il avait été rencontré par des personnes infâmes, Qao avait décidé d’abandonner la chair, le cuir, la peau pour ne devenir que fer et acier. Sa carcasse était d’obsidienne, créer à travers l’usage maudit d’un corps formé par les anciens artefacts dédiés à Susanoo, les bras infusés de quelques éclairs passant le long de sa carcasse, mais dans son dos plus terrible encore jaillissait : Le golem de fer immense jaillit dans son dos, presque haut comme le plafond et on ne voyait que la moitié de son corps, étendant ses bras dans un bruit de métal puissant faisant même résonné l’air autours de nous pour garder son maître qui déclara vouloir le sang de Livio et Hai pour recevoir la bénédiction dans le sang du clan Ito.

Malgré la curieuse révélation sur Livio, il voulait le sang de ceux liés à Suzaku pour infusé le rituel d’une énergie qui nourrira et peut-être dominera le phénix noir. Refusant cette fatalité, nous nous sommes élancés alors que le sorcier Raen fut rapidement dévasté par Finaen et Kohaku. Ce dernier essayant de bloqué Runne qui arrivait vers la prison de glace. Bien avant d’être bloqué, le bras énorme du golem fut d’un coup fracassé par plusieurs flèches et l’apparition soudaine de Kojiro écrasant son nodachi contre le bras pour le dévié. Continuant dans les cieux, Kohaku arriva derrière le mage en gardant sa lame sur sa gorge pendant que Finaen provoqua la purification et la destruction du Hicor sur le torse du Raen qui se mit à hurler alors que son corps était de plus en plus affecté par l’énergie néfaste le frappant soudainement. Tombant en poussière en jurant que le maître du corbeau mauve triomphera, c’était en même temps que Runne et Setska purent ouvrir la cage délivrant ainsi celle qui servait de catalyseur.

Une de leurs amies, Chijiyu Uryuki, s’effondra inconsciente au sol au milieu des débris de glaces. Si le rituel était interrompu, le combat acharné contre Qao continuait tandis que je luttais soutenue par Sorn dans des lueurs enflammés passant aux moindres de mes coups de sabres en laissant des passages dévastés partout sur le golem de fer dont les parchemins témoignaient des nombreuses âmes utilisés pour l’animé : C’était le peuple de Qao, ceux ayant refusé de se soumettre, ayant fini dans cette création que nous ne pouvions que libéré. Prenant brusquement un coup, Setska vint rapidement me guérir alors que elle et Runne gelaient et enflammaient l’ensemble de l’entité pour la faire choir. Après avoir brutalisé Runne d’un coup en l’incrustant dans les coraux derrière. Cela me laissa le temps de lui trancher un des bras de l’entité avant qu’elle n’écrase Setska, tandis que Finaen recevait les pouvoirs des tirs de Sorn tournoyant autours de sa magie afin de provoqué d’immenses lueurs de lys vermeille qui firent éclaté les morceaux d’armures du golem, libérant enfin les âmes dans une magie impressionnante provoquant des cercles de magies incroyables autours de nous. Son peuple libéré, il était temps pour Qao de payer qui affrontait dans un combat symbolique les deux descendants du sang des Ito. Livio lui tenait tête, sa pistolame frappant sans cesse tandis qu’il trouva l’ouverture de Hai tranchant au niveau du bras de Qao peu avant de recevoir un coup le balayant au sol. Soumis au choc intense de la pistolame, il se remit en place pour affronter Livio en un déchaînement de coup partagé, jusqu’à ce que Kohaku intervienne avec un clone d’une technique de ninjutsu. Les deux Kohaku frappèrent sans cesse de leurs lames sa carcasse, jusqu’à ce qu’il en attrape une en lui brisant la nuque – heureusement, c’était la fausse, faisant expérimenté à Kohaku le principe de se faire frapper par son propre cadavre avant de valser plus loin. Livio en retour reçu un coup puissant dans le torse peu après lui avoir dévasté les jambes, le faisant mettre un genou à terre pendant une parade puissante entre le bisento magnifique de Qao et la pistolame de notre protecteur.

Cela offrit le temps aux flammes d’Hai de joindre l’énergie de Livio, les deux frappant en avant, quand Hai apparut dans un gyoten le propulsant à côté de Qao pour le trancher net en deux. A ce coup, la pistolame de Livio une seconde plus tard en lui transperçant le torse, le faisant lentement choir sur le côté, vaincu. Il jura de revenir, que son âme ne rejoindrait pas la mer des étoiles, mais s’en était fait. Plus jamais, ce monstre ne tourmentera le fond des eaux de la mer de rubis, et pourtant ce n’était pas encore fini de notre périple en cette terre. Après cette aventure au fond des eaux, il était temps de revenir vers la surface. Un peu de repos à Sui-no-Sato serait nécessaire, mais il nous faudrait remonter bientôt vers Onokoro. Afin de les aider à vaincre définitivement le clan Kazan, peut-être les derniers et plus dangereux à convoités le pouvoir du Phénix noir. »
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 29 oct. 2021, 13:25

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-huitième Entrée - « Acte 9 – La bataille navale du Rasen Kaikyo. »
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« Le retour à la surface avait quelque chose de particulièrement bénéfique. La vie pendant plus d’une semaine sous l’eau avait eu quelque chose de plutôt étrange dans la psyché que de se sentir aussi émerveillé qu’écrasé par la présence de l’eau autours des bulles incroyables. La vie sous-marine à quelque chose d’inquiétant, puisque pour y vivre correctement il faut quelques bulles d’air afin de s’y reposer, manger, tout y faire ! Sans être des poissons, ça n’était pas facile, ajoutant à cela tout les conflits qu’il à fallut réglé contre Qao et ses Kojins de Fer qui était maintenant de l’histoire ancienne. Et si nous nous étions débarrassé de ce solide adversaire, rien n’était hélas fini avec l’apparition du clan Kazan qui se préparait à assaillir de nouveau le nord pour atteindre le pilier des cieux. Mais cette fois, avec bien plus de guerrier que n’avaient amenés Saiko, pour agir sans avoir besoin des anciens Kojins noir ni de quiconque du temple du Feu noir devant encore sévir quelque part. Pour l’heure, notre préoccupation était cette flotte mené d’après les rumeurs par Ukiten, un guerrier massif qui effrayerait aisément un homme du moindre regard. Ce dernier contrairement à Saiko, ne souffrirait pas du moindre doute quant à l’idée de tué tout les pirates, toutes les personnes qui se mettraient en travers du chemin du Seigneur Kazan. C’est sur des mantas que nous avons été guidés par Nokuboto et les Kojins de Tamamizu droit hors de l’eau dans la journée, afin de nous préparer depuis Onokoro au départ vers le sud. La confédération contre les Kazan, cela allait provoqué une bataille impressionnante, aussi avions nous mit les chances de notre côté tout en récupérant nos affaires conscients qu’il faudrait rester un temps dans un territoire hostile.

L’équipe serait plutôt complète ce soir, une nouvelle fois : Bien que seul Ito et moi étions prompt à tenir relativement l’avant-garde, Aerlin serait là pour nous offrir quelques soin ainsi que la surprenante apparition de Moutah Pontah, allié et ami de très longue date. L’offensive magique compterait les efforts de Finaen, Runne, Lalavyr et Lucian, tandis que nous aurions les capacités de Sorn et Kohaku afin de nous offrir un large choix de techniques variés pour nous couvrir. Comme vous vous en doutez, nous étions donc des plus préparés : les navires étaient armés, un groupe plutôt étendu prêt à en découdre, et nous voilà sur les flots en direction du sud. Les longues cloches de voyages furent des plus plaisantes, découvrant les merveilles juste au dessus de l’eau après l’avoir fait directement sous les flots avait quelque chose de magique. Plus le temps passait, plus le soleil déclinait vers un crépuscule donnant l’impression que le ciel était fait de couleurs rouges, oranges et mauves à mesure où le ciel étoilé cherchait sa place. Des poissons passant au dessus de notre navire en volant un instant avant de nous laisser observer les coraux et cristaux de lumières sous les flots rayonnant à de multiples endroits en créant quelques feux-follets errant vers les cieux aux nombreux couleurs. Cette splendeur s’estompa à la vue de plus en plus proche de la flotte des Kazan, autant qu’à l’apparition du petit navire de Moutah Pontah.

Venu visiblement pour inspecter les tortues et leurs pouvoirs, peut-être les Kojin il me semble ! Cela fut particulièrement ironique quand les Kazan déclenchèrent leur piège. Conscient de notre approche, ils avaient fait en sorte que nous soyons dans la partie du Rasen Kaikyo abritant d’immenses tortues comme des petits îlots de la taille de grande roche qui sortirent dans une grande confusion des flots. Des coulées de laves glissant de leurs carapaces avaient rendu folle les flots autours, des geysers de vapeur volant vers les cieux, rendant totalement chaotique la situation. Et si ce n’était que ça, ils avaient fait pleuvoir du feu noir pour essayer de nous incendier sans l’espoir de pouvoir efficacement éteindre ce dit feu afin de dévorés les bâtiments et les barques de la Confédération. Hors de question de se laisser faire aisément, nous étions aussi tôt dans la maîtrise du terrain alors que Runne et Kohaku soulevaient flot et glace pour intercepter la chute du feu noir dans des lueurs d’éthers puissantes, si Runne restait sur notre navire, Kohaku courait un peu partout d’un navire à un autre, et toutes les flammes tombés, ce qui n’était pas tant que ça, étaient rapidement éteintes par Lucian pour qu’elle ne provoque pas d’autres maux.

Les protections de nos Lalafells allaient être essentiels – Lamymyr créant un dôme d’énergie ondulante autours de notre navire, ce dernier fut agrandit et renforcé par les efforts de Moutah magnifiant l’ensemble en laissant voir de puissantes lueurs dès que notre navire glissait un peu trop proche d’une bordure de la carapace d’une des immenses tortues perdues. Mais il fallait aussi sécurisé nos alliés, comme le faisait Kohaku, c’est ainsi qu’avec Ito nous avons bondit des embarcations pour aller déviés les barques qui risquaient de s’écraser sur les carapaces de lave. Lui allait au plus vite jusqu’à la dernière embarcation, fonçant sur l’eau avant de frapper ses deux pieds contre sa proue pour la déviée. Et les flots eux même étaient domptés par Finaen et Aerlin, si ils étaient déchaînés par la fureur de l’apparition soudaine de la chaleur, des geysers et des tortues, nous avons ainsi pu nous déplacé avec une aisance incroyable alors que Sorn lui guidait une des embarcations avec Gladys. Sortant de la zone de l’eau complètement confuse, cela laissa le temps aux Kazan de se préparer à notre approche. Noyant les environs dans la brume, donnant l’impression d’être au milieu d’un nuage de fumé errant autours des flots où quelques flammes noires ondulaient cruellement en noircissant le ciel devenu plus sombre, plus rougeoyant, comme si il assistait au futur massacre. Les Kazans cherchaient à nous affaiblir avant que la bataille n’éclate : Des courageux abordeurs utilisaient les courants chauds pour se laisser choir sur nos barques avec des deltaplanes.

Ils étaient presque suicidaire, mais leur conviction envers les intérêts de leur seigneur dépassait tout et ils se jetèrent dans la mêlée avec acharnement quand ils n’étaient pas balayés par les Empi d’Ito ou les lames de vents de Runne. Pour ma part, je bondissais sur notre navire en massacrant la plus part en quelques coups de sabres, là où ils s’étaient introduit pour essayer d’abattre nos magiciens, un tir de fusée valsant contre la protection de Lalavyr qui sauva Lucian dans une grande déflagration contre son bouclier en les envoyant valser au sol pendant que le lalafell coupait des genoux. Moutah, concentré à offrir son éther à tout ceux autours de lui dans une lueur puissante d’énergie s’éparpillant un peu partout, fut protégé par un des clones de Kohaku qui éclata devant la chute d’une roche de pierre destiné à l’écrasé, avant de ne laisser que quelques pierres le frappant lui et Finaen. Eux s’occupaient des brûlots, des petits navires vides destinés à explosés et qui avaient emportés une des barques de la confédération dans une horrible scène. Kohaku et Sorn les repoussaient et les faisaient explosés de leurs mieux autant que Lucian et Finaen les éteignaient et les brisaient, mais ce fut Aerlin qui en réuni le plus pour les renvoyer à leurs possesseurs dans une grande explosion quand ils touchèrent un navire des Kazan de tête. Sortant tous d’une partie de la brume, tout les navires allaient se faire face. Il était temps pour la bataille du Rasen Kaikyo de se déchaîné dans toute sa violence au milieu de la mer de rubis.
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Une bataille navale, c’est énormément de bruit, une confusion général, des navires qui s’entrechoque et dans cette situation, pas mal d’explosions. Nous venions à peine de nous en remettre, tandis que tous aidaient rapidement plusieurs des blessés et des sonnés tout en se débarrassant des derniers courageux ayant chercher à nous affaiblir. Potions, soins, rapides traitements étaient de mises tandis que tous observaient les navires prompt à débuté une bataille acharné avec les moyens du bord : Harpons et lances-fusées allaient être usés dès le départ, des explosions de feu d’artifice jaillissant un peu partout en des grands fracas envahissant l’espace. Le chaos des épées, des sabres, des explosions, se mêlaient à ceux du craquement du bois quand des navires s’entrechoquaient. L’une de nos grandes embarcations se cognant à leur navire amiral tandis qu’un de leur massif bâtiment se cognait au notre en l’agitant dans tout les sens dans une onde de choc ayant faillit faire tombé des gens hors du navire si Finaen n’avait pas tissé un cocon d’éther pour les empêchés de choir. Les abordages se mêlaient aux nombreuses déflagrations des tirs partagés, laissant voir déjà plusieurs barques des deux côtés coulant lentement tandis que leurs anciens possesseurs bondissaient d’un morceau de bois à un autre pour aller se battre. C’est ce qui rendait le combat spectaculaire du côté de Ito et Sorn.

Les deux compagnons luttaient au dessus de l’eau face aux embarcations ennemis alors qu’Ito bondissait d’une barque à une autre en se déplaçant à toute vitesse avec la technique du Gyoten en tranchant des adversaires au passage, cherchant à détruire l’énorme sac dans le dos d’un Roegadyn en armure d’artificier oriental incroyable. Il déchaînait une puissance de feu considérable, et je crois que l’instant où il fit disparaître la jeune fille qu’Ito venait de protéger le condamna à mort. Sorn non loin, lui avait balancé un coup de foreuse dans ce paquetage, le dévastant en le forçant à tiré toutes ses rafales dans tout les sens. Gladys et Sorn furent touchés, tombant dans l’eau, alors que le machiniste mit sa petite tourelle consciente dans son dos le temps qu’elle se répare pour bondir d’une barque à une autre, échappant comme il pouvait aux déflagrations répété pour ne pas être prit dedans en continuant de tirer dessus. Le temps qu’Ito se reprenne, ayant reçu un tir en plein dans le ventre, il lui fallut un bref instant pour s’en remettre avant de réapparaître dans les airs en aveuglant le Roegadyn tout en tournoyant en l’air comme un phénix en plein piquet pour planté son sabre dans son torse. La bataille des barques tournait en notre faveur, surtout que Kohaku avait fait interrompre les danseurs avec l’apparition de Kojiro, son crapaud gardien. C’étaient des religieux utilisant quelques danses rituels pour propagé le feu et le rendre plus puissant, mais maintenant aux arrêts, ils n’étaient que des civils effrayés, aussi créa t’elle une embarcation de fortune avec de la glace pour les éloignés des conflits, Kojiro déplaçant la barque droit vers les navires de la confédération afin de mettre ses pauvres gens en sécurité loin du clan les ayant forcés à faire ça.

Ils purent revenir en ayant sauvé quelques personnes de la noyade et ramenés quelques corps à la surface, peu après que nous ayons détruit
l’embarcation principale qui nous avait abordé. Celle ci c’était écrasée contre notre flanc, préparant autant des archers pour nous cribler que les deux énormes crabes de laves allaient nous vomir leurs langues enflammés plus que dangereuses. Runne et Finaen parti assaillir le navire amiral des Kazan, de notre côté, il fallait se débarrassé d’eux en urgence. Ils ne purent pas faire grand-chose de prime abord quand tout s’enchaîna un peu trop vite : Une vague aqueuse fut soulevé par Aerlin, largement renforcé par les efforts de Moutah à lui confié un puissant éther en utilisant une carte, la vague d’Aerlin déferlant et emporta plusieurs de leurs guerriers vers les flots tout en arrêtant la ruée. Cela dura un temps, mais ils revinrent rapidement en masse dans plusieurs hurlements pendant que leur chef, une hyuroise hystérique, blessa Lucian d’un coup de sabre au flanc peu après que ce dernier ait ravagé les archers d’une sphère d’énergie. J’avais pu tranché la vague de lave avant qu’elle n’atteigne Lalavyr, atteignant les crabes dont le premier fini en plusieurs morceaux en ayant subi le fil tranchant de ma lame, me laissant affronter le second en un étalages de quelques techniques jusqu’à ce qu’il subit à son tour, un coup suffisamment puissant pour le couper net lui et une partie du navire adverse.

C’était à ce moment qu’ils fuyaient tous leur propre navire en constatant que Lalavyr était en train de faire monté de la lave juste en dessous de leurs pieds tout en dévastant le navire. La panique les conduisit rapidement à envahir notre embarcation, provoquant un combat d’une grande conclusion qui se conclut brusquement quand Aerlin dévia un coup qui était destiné à Moutah avant de se débarrassé de son énorme en l’écrasant avec une vague aqueuse. Lucian, soigné par Moutah, enchaîna la sauvage et la laissa entre les mains de la confédération en la tenant en vie tandis que Lalavyr finissait de détruire leur navire qui coulait lentement avec un rire inquiétant en me laissant au moins bondir hors de là en tranchant les liens qui nous y rattachait. La bataille de ce côté se concluait par une victoire, d’autant que leur navire amiral était en fuite : Runne et Finaen avaient dévasté la sorte de armure dont de la lave coulait comme un Shikigami qui avait pu essayer de les repoussés, ayant chercher à abattre Finaen après que Runne ne lui ait écrasé un grand pique de glace dans le dos. Gelant l’armure avant qu’elle ne frappe, les éclairs de Finaen se diffusèrent dans tout son être en provoquant une grande explosion de sa carcasse volant dans tout les sens, avant de s’entre-aider pour se relevé. Ils ne purent rester cela dit bien longtemps sur le navire, en tournant la tête, voyant la vague de dévastation apparaissant un peu partout du navire-amiral qui faisait demi-tour, ils durent se projeté de nouveau sur notre propre bateau de guerre afin d’échapper aux flammes. Ukiten constatait que sa flotte n’avait pas suffit, et cherchait à s’enfuir, mais il ne fallait surtout pas qu’il y parvienne. Tous revenaient rapidement sur notre navire avec qu’une seule idée en tête : Poursuivre ce couard, et le faire payer pour ses crimes. Bien que pour ça, nous ne savions pas encore vers quel terrible danger nous venions de foncer.

Tous avaient pu rejoindre l’embarcation principale. Éparpillés lors des combats, ils restaient bien quelques affrontements mais la confédération avait un avantage tellement écrasant qu’ils n’auraient aucun mal à achevé quelques adversaires afin de pouvoir rallié leurs navires restants et ceux de ravitaillement pour partir tous ensemble vers le sud afin de monté le campement. Notre rôle n’avait pas encore été joué, puisque de notre côté la priorité restait de faire en sorte que le navire amiral de l’ennemi ne retourne jamais auprès des Kazan tout en empêchant absolument Ukiten de pouvoir remonter une quelconques force pour mettre en péril Onokoro. Sa perte serait un coup dur dans le moral de nos ennemis, ainsi, il ne devait simplement pas s’échapper. L’effet de flamme puissante autours de leur navire le rendait étrangement bien plus rapide en nous laissant la nécessité de trouver un moyen d’accélérer la cadence tout en voyant autours de nous les décombres accumulés sur l’eau au milieu des flammes noires errantes encore sur les flots de la bataille déchaîné qui avait eu lieu ici. C’était impressionnant, d’autant que nous pouvions imaginés quels furent les navires qui eux ont coulés en laissant dans le fond marin que nous avions visités il y à quelques temps auparavant.
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Mettant de côté ce que nous venions de vivre, tout en prenant un bref instant s’occuper de nos blessures, c’est Sorn qui nous offrit la poussée qui allait permettre de gagner en vitesse avant de rejoindre leur magnifique embarcation qui restait néanmoins des plus inquiétantes même après que Finaen ait éteins les flammes noires qui l’alimentait. Surchargeant la machine à vapeur qui nous propulsait, l’agitation aurait pu faire tomber des gens dans le vide si nous ne les avions pas retenu en urgence. La course-poursuite dans la bruit fut des plus dangereuses, nos opposants ne cessant de faire tomber des pierres volcaniques explosives en essayant de nous écraser au passage, si Aerlin et Finaen ne s’étaient pas mit en vitesse à maîtrise les flots et les vents pour les repoussés sur le côté en urgence loin de là où elles pourraient provoquer une grande déflagration. Celles passant trop proche, s’opposaient aux protections de Moutah sur les deux proues de notre bateau, rayonnant de cristaux à chaque fois que cela se fracassait dessus, pendant que nous repoussions nos assaillants. Plusieurs des guerriers des Kazan chevauchaient de ses longs poissons comme des serpents flottant au dessus de l’eau avant de chercher à bondir sur notre embarcation. Les combats furent intenses, voyant Lucian et Runne envoyer de nombreux sorts pour les éloignés dans des puissants fracas tandis qu’avec Ito et Kohaku, nous les interceptions de nos lames, Ito bondissant sur un des serpents pour se battre littéralement dessus contre quelques adversaires. La sphère de protection dense de Lalavyr jaillit en offrant un couvert aux marins face aux créatures se fracassant dessus.

Si notre navire était gravement endommagé par plusieurs langues de feu, le leur aussi avait été maintes fois transpercés en laissant une réalité sinistre : Tout les deux, nous allions nous écrasés contre la plage de sable noir. Runne se préparait à retenir le choc, mais ce qu’il s’est passé dépassa toutes nos prévisions dans une horreur profonde. Le triomphe de notre combat repoussant les Kazan mena droit à une problématique inattendue et bien différente : Quoi qu’il pouvait bien faire dans le volcan du couvercle des enfers, le Phénix noir s’y trouvait. Rugissant, il descendait brusquement en se laissant choir sur notre navire, s’écrasant dessus dans un braillement de pouvoir nous renversant sous le poids de sa présence. Ses plumes enflammés d’un noir profond se mêlaient à ses griffes terrifiantes, qui frappèrent Runne et Kohaku qui chutèrent au sol, inconscients. Nous avions tentés de nous opposés à sa ruée avec Finaen, mais il se contenta de nous balayés tandis que nous nous sommes encastrés dans le fond du navire en un choc puissant. Tous furent écrasés, Sorn ayant réussi à attraper Aerlin malgré un choc dans leurs dos pour qu’ils puissent s’écraser dans la sphère protectrice de Lalavyr qui avait tenu le coup. Sans chercher à réellement nous achevé, comme si il avait été simplement prit de frénésie, le Phénix noir jaillit de nouveau dans les cieux en laissant notre navire qui n’était plus qu’une épave s’écraser contre le navire amiral des Kazan qui s’était déjà fracassé sur la plage, le laissant s’écrouler sur le côté. Lorsque nous ouvrions les yeux, c’était sur cette plage de cendre et de sable noir où nous errions confus sous le choc intense qui venait d’apparaître.

Tous étaient blessés, si ce n’est peut-être Lalavyr, Sorn et Aerlin ayant eu le plus de chance, mais nous blessures et cette fatigue allait pouvoir être oublié le temps d’en finir quand Moutah malgré la douleur et Aerlin purent joindre leurs forces pour créer une grande lumière paisible tombant sur notre équipe. La splendeur radieuse jaillit, nous offrant calme et repose, tandis que nous observions cette partie du couvercle des enfers où nous nous étions écrasés, proche d’une rivière de lave. La cendre et la poussière dansait proche des décombres de notre navire, la chaleur étouffante gagnait lentement l’espace autant que des quintes de toux due au souffre se firent entendre. Pour autant, Ukiten nous attendait. Il n’était pas un homme, pas même un être humain, la salamandre enflammé effrayante avait des jambes serpentins comme une coulée de lave et un buste humanoïde effrayant dans une armure de Samouraï particulièrement ornementé. Tirant ses sabres, un par bras, et la problématique était qu’il en avait quatre, il nous insultait et nous maudissait d’avoir survécu au pouvoir de son dieu qui s’était cristallisé à ses yeux quand une des plumes du phénix noir était tombé dans la rivière, créant une roche de lave noire volcanique.

Les deux combattants, une jeune femme et son frère, étaient venu chercher Ukiten d’urgence avant de s’opposer à nous, laissant apparaître la créature qui sous l’eau déplaçait leur navire : une des énormes tortues magmatiques émettant un grondement puissant. Il devait être vaincu, avant de pouvoir relancer un quelconques assauts, prompt à affronter un groupe épuisé et blessé depuis l’attaque sauvage du Kami déchu. Se concentrant sur la tortue de guerre, nos magiciens brisèrent sa carapace rapidement. La glace de Runne et Lucian se mêlent dans tout les passages où des geysers sortaient en cherchant à fendre sa carapace de l’intérieur, cumulant le gel, jusqu’à ce que Finaen envoie la foudre en dévastant l’ensemble créant un grand trou dedans permettant de voir son cœur battant. La tortue énorme frappa le sol, l’onde de choc faisant valsé au sol Finaen, et ne s’en arrêta pas là. Quand les javelots de glaces de Runne, magnifiés par l’éther vermeille de Finaen, ouvrait la voie pour que Lucian ne l’achève. Il fonça en les renversant, écrasant Runne et Finaen pratiquement inconscient plus loin, laissant Lucian bondir en l’air en plantant l’ultime javelot qui fendrait son cœur en le brisant en morceaux. De l’autre côté, alors que la tortue s’écrasait au sol, Lalavyr avait brutalement attiré la jeune fille qui avait été protégée par son frère d’un grand coup de sabre alors que Sorn cherchait à l’arrêté, envoyant une chaîne pour la contenir avant que celle ci ne soit coupée nette. La pierre d’Aerlin les avait rapidement déconcentrés, mais le guerrier attrapa sa sœur pendant qu’elle fusait vers la protection de Lalavyr pour qu’elle se fracasse dessus, voyant hélas le guerrier frapper brutalement Aerlin au torse d’un coup de son sabre et Moutah qui venait de rendre conscience à Runne et Kohaku, à l’épaule.

Levant sa lame vers la gorge de Lalavyr, c’était hors de question pour notre compagnons de mourir mais Sorn voulu absolument que ça ne se passe pas dans le sang. Tandis que le guerrier mit un genou à terre une fois que Lalavyr ponctionnait son énergie, il se débattait alors que sa sœur, retenue par Sorn, lui criait d’arrêté et qu’ils avaient une chance ainsi de survivre. Luttant contre les chaînes et contre les sphères de magie de Moutah qui cherchait à brisé sa lame, son katana fut cassé en deux, la pointe de la lame brisée transperça en deux sa propre sœur, en lui lâchant un hurlement de chagrin. Il venait d’assassiner sa sœur dans son acharnement, et je crois que maintenant, il est encore auprès de Saiko. Traumatisé, achevé par le chagrin, et désireux de se venger en sa mémoire. De son propre Seigneur ayant causé tout ça. Quant à Ukiten, nous luttons avec lui dans un duel magnifique des quatre lames contre celle d’Ito avec la mienne. Arrivés peu après la volée de flèche du héron invoqué de Kohaku, laissant Kojiro l’énorme grenouille au nodachi jaillir en risquant de se faire décapité si Ito ne l’avait pas protégé d’urgence malgré un coup dans le bras. Ito fini par lui coupé une main quand celle ci cherchait à s’infuser du pouvoir de la plume cristallisée en laissant voir la lave l’incarnant devenir de plus en plus noir. Balayant de deux coups de sabres Ito, j’en profitais pour frapper sans cesse avec Kojiro en mêlant parfaitement nos attaques, le nodachi lui tranchant tout les bras avant que la grenouille énorme ne lui vomisse dessus.

Le bloquant net, la flèche immense comme un pilier de bois fusa du héron en écrasant et arrachant la tête et le buste d’Ukiten ainsi qu’en brisant la plume cristallisé dans un choc intense. Mort, le maître de la flotte des Kazan ne serait plus jamais une menace. Observant l’étendu du couvercle des enfers, voyant au loin les navires de la confédération nous rejoindre pour préparer le campement de guerre. C’est ici, dans cet environnement mauvais et vicié, que nous vivrons jusqu’à la chute des Kazan. Mais après la ruée du phénix, aussi bien mentalement que physiquement, il nous fallait tous du repos salutaire. Me laissant veiller sur mes compagnons endormi, tandis que la nuit d’un rouge flamboyant s’éteignait lentement à l’horizon en imaginant tout les combats qui nous attendaient encore jusqu’à enfin pouvoir vaincre de maudit Kami déchu. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 01 nov. 2021, 13:30

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’envol du phénix noir."

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Cent-quatre-vingt-neuvième Entrée - « Acte 10 – Autours des coulées de lave.»
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« Vivre dans le couvercle des enfers est une situation des plus désagréable. La fatigue et la toux s’accumulaient à cause de la cendre et de la chaleur dangereuse, tandis que la confédération avait pu installer le campement à la bordure de l’eau. Les nuits furent longues, vécues à subir des assauts et des problèmes répétés qu’ils fallait s’occuper d’urgence, nous poussant à errer parfois dans l’obscurité à chercher ceux des Kazan qui se trouvaient autours de nous. C’était des nuits affreuses, je fini même par récupéré une des armures un peu plus renforcés des combattants Domiens, prenant le temps de me vêtir à mon tour comme ont le fait en Orient afin de participer à ce conflit qui allait s’alimenter de plus en plus. Mais le plus gênant resterait malheureusement tant que ça ne serait pas réglé, les forces enflammés environnantes. Nous avions bien essayé de faire baissé la température, ou de conditionner le campement pour le mettre à un lieu parfait, mais il y avait bel et bien quelque chose de malin et de pernicieux dans les pouvoirs de la flamme autours de nous. Si nous devions vaincre le clan Kazan, peut-être serait-il bon de vaincre leurs liens avec les forces du couvercle des enfers qui les rendaient si dangereux et arrogant.

Pour cela, nous étions sûr qu’il existait une sorte d’artefact dans le couvercle ayant un tissage presque proche des élémentalistes se trouvant là-bas. Réunissant une équipe afin de s’y rendre, malgré une journée particulièrement mauvaise où l’obscurité était maîtresse même au milieu de l’après midi à cause des cendres omniprésentes. Il fallait tout de même se mettre en route avec une équipe principalement constitués de magiciens en tout genre. Aussi me sentais-je un peu fragile et inquiète d’être sur une ligne de bataille, mais j’avais conscience que Runne et Finaen pouvait me rejoindre immédiatement avec leurs rapières, tandis que Lucian et Sorn veilleraient sur nous avec leurs compétences destructrice. Si elle du rester auprès des civils plus tard, Setska nous fit au moins l’honneur de nous accompagner un long moment en nous offrant son support et ses compétences. C’est avec une plus petite équipe, mais toutes aussi efficace, que nous nous sommes mis en route droit vers l’adversité conscient qu’il serait certainement très facile de tomber sur des effets nous menant droit là où les Kazan avaient installés leurs domaines. Mais pour autant, quel folie, quel horreur que ce périple ! Des clochettes paraissant des cloches, des longueurs sur des yalms et des yalms de marche dans les enfers. L’obscurité était éclairée par les cristaux et les flammes environnantes, tout suggérant la folie et le danger, tandis que la sécheresse était de plus en plus rapide à nous étreindre en nous faisant essayer de faire un rationnement de nos gourdes en urgence, pour ne pas être à sec.

Ce fut nos voies respiratoires qui furent rapidement affectés, aussi ai-je fournis un de mes masques à Setska pendant que j’enfilais le miens pour ne pas être trop affectées par les miasmes à causes de mes difficultés respiratoires. C’est en approchant enfin d’une sorte de petite bâtisse en nous traînant les pieds, souffrant de ce périple salissant nous couvrant de crasse, qu’on était conscient d’approcher de notre but. Si notre but n’avait pas soudainement éclaté brusquement en provoquant une grand rivière de lave qui fusait vers nous. Passant juste devant nous, bloquant le passage, des énormes crabes de magmas jaillirent et furent aussi tôt frappés par les tirs puissants de Sorn se fracassant dessus. Il reçu un coup de la première bête, mais des javelots de glaces vinrent se cogner contre les bêtes en même même temps que Finaen faisait de son mieux pour envoyer des explosions apparaître ici et là pour les repoussés. Nous arrêtions des grandes roches volcaniques, Lucian en les arrêtant d’une barrière au dessus de nous pendant que j’essayais d’en trancher plusieurs, me rétamant une fois au sol à cause d’un excès de projectiles.

Mais le plus surprenant avait été les parfaites actions de Runne et Setska ! Apaisant ceux en arrière, et gelant leurs carapaces ou du moins les refroidissant, nous avons pu nous installer dessus afin de remonté la rivière de lave. Ce fut une expérience aussi dangereuse qu’unique, deux par chacune des bêtes afin que personnes ne tombe dans la lave et ne finisse d’une façons aussi horrible que cruelle, remonter le long de ce fleuve fut long et difficile. Après un temps d’observation et de splendeur, il fallait très vite s’y mettre et nous voilà en train de brisé les obstacles devant nous. Je passais d’un morceau de roche gênant à un autre en les tranchant, profitant que Finaen diminuait l’intensité de la chaleur environnante en laissant une puissante lueur de pluie et de vent rafraîchissant tournoyant en nous affectant tous. C’était vraiment plaisant, je dois dire, et au moins Lucian et Runne eux gardaient la fraîcheur des carapaces apaisés pendant que Sorn m’aidait à faire exploser les obstacles de roches volcaniques et parfois de cristaux de magmas. Quoi que faisait Setska, elle était dans un état second, Sorn la tenant bien contre lui en tirant de son fusil vers tout ce qui se trouvait un peu partout. Cela nous fit remonté la piste aisément, nos montures dociles d’une façons surprenante sûrement dues à Setska, tandis que Runne s’occupait très bien de la sienne en l’ayant même renommée « Pot-au-Feu ».

Tandis que nous traversions une arche de pierre blanche domienne, arrivant dans l’avant-demeure des Kazan en cette terre protégeant leur relique de lien avec les élémentaires de feu, il fallait bien entendu s’attendre à ce que les problèmes arrivent. Et les problèmes nous sont arrivés dessus à une vitesse incroyable et surprenante. D’un coup, des colonnes de pierres et d’obsidiennes jaillirent avec des Anala dessus. Des salamandres moins massives et puissantes mais toutes aussi inquiétante qu’Ukiten. Cherchant à nous atteindre, je reçu un coup qui m’écrasa contre un pilier tandis qu’il ne me restait plus qu’à bondir d’un pilier à un autre en venant trancher tout ceux que Sorn n’abattait pas de tirs plus que précis. Coincés entre la glace de Runne et la magie de Lucian, Finaen était en train de les dévastés jusqu’à ce que l’un des Anala ne créer une lance de flamme pour s’en débarrassé. Peu avant qu’elle ne fuse, Setska trancha d’une rafale de vent comme elle le faisait à d’autre pour briser les piliers, jusqu’à ce que l’Anala ne chute avec sa lance provoquant une grande déflagration, dont les pierres frappèrent Finaen et Setska brusquement en retombant. Ils me trouvèrent à la fin de la route, étalée au sol couverte de suie en me relevant doucement, mais pas que moi : Une pierre volcanique lancée vers nous avait été fendu en l’air, laissant le responsable atterrir au milieu de notre équipe : Hai Ito venait de nous rejoindre.
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Le passage du fleuve de lave était enfin passé, nous avions un sol solide, chaud, mais qui n’était pas prompt à nous faire fondre dans d’horribles souffrances en cas de chute involontaire. La roche volcanique et la cendre était simplement partout, mais ils avaient quand même fait parvenir de nombreuses pierres pour établir des domaines de pierres blanches Domiennes avec une allure de petite bourgade tranquille où ils préparaient des armes dédiés aux batailles de leur clan. Toutes avaient l’air quelque peu avancée dans le maniement du feu, pas étonnant de retrouver les fameuses lances-fusées ayant provoqués tant de dégât lors de la bataille navale, malheureusement. Autrement, il y avait des logis, de quoi vivre « confortablement » pour ceux se donnant le rôle d’exister dans un endroit aussi infernal et critique. Les années d’acceptation et le lien unique tissé avec certaines entités empêchaient certainement les fameux « démons » de les massacrés car ils les trouvaient utile en tant que serviteur coopératif. Retrouvant Ito qui se mit directement en garde, pendant que Setska se concentrait pour faire naître la pluie partout dans ce lieu en créant une impression d’un nuage grondant au dessus de ce lieu, aspergeant d’eau les environs pour apaiser la colère du feu. Pour l’heure, ce que nous observions tous, c’était le totem qui avait projeté la pierre volcanique sans savoir immédiatement qu’il était précisément la source de l’immense pouvoir détenu dans le clan Kazan depuis fort longtemps. Depuis un temps de sacrifice.

Ito fonça directement droit vers les réserves d’armes tandis que Sorn lui gardait l’attention du grand canon aux quatre pattes sur lequel était installé une Hyuroise déchaînée qui passait son temps à brailler. Les chaines frappant les pattes de la création, les tirs effectués fusèrent en l’air brusquement sans pouvoir vraiment atteindre le machiniste qui courait à toute vitesse, proche de l’énorme déflagration des réserves d’armes. Ito, tranchant les archers et leurs armes au passage pour protéger Runne, avait détruit les réserves de lances-fusées et autres chariots avec plusieurs Empi enflammés qui firent tout éclaté. En le voyant, au moins un habitant reconnu les histoires sur la famille Ito et les flammes du phénix, les forçant à s’enfuir en se rendant immédiatement. Fusant vers la machine, Ito vient à l’aide urgente de Sorn qui avait été brutalement impacté par un jet enflammé après avoir tué plusieurs des guerriers qui lui fonçaient dessus. Inconscients, ce sont ses tourelles – Gladys et Glados qui s’occupaient de le caché, jusqu’à ce que le canon se prépare à lui tiré dessus. Ito apparaissant en dévastant les jambes du canon, ainsi que ce dernier en grand partie, se retrouva en combat avec la Hyuroise et sa lame magitek – sûrement un vestige de l’occupation impériale.

Se dégageant du contact, il reçu un tir de la lame dans le flanc en se paralysant un instant. Sans voir que les chaînes de Lucian se mirent à encerclé son adversaire en l’enlaçant brusquement jusqu’à ce qu’un tir du canon ne frappe le magicien en l’envoyant valser plus loin. C’est Sorn qui détruit le canon définitivement avec un tir surchargé, Ito caché derrière venant écrasé ses poings contre les plaques surchauffés en rétamant la Hyuroise écrasée dessous en un cri qui s’acheva d’un coup net quelque peu sinistre. De mon côté, j’étais proche de Runne qui luttait contre les magiciens, sûrement des prêtres du Feu Noir, qui furent percé sans cesse par les premiers javelots de cristaux de Lucian. Cherchant à se débattre et à enflammé Runne, il fut ponctionné par Lucian en brisant toutes ses défenses tout en permettant au final un accès à Runne pour qu’il le tranche en deux net. C’était un affrontement net et rapide, sans pouvoir infusé la force du kami sinistre au totem ils n’auraient peut-être pas autant de pouvoir qu’ils ne le devraient et nous pourrions nous débarrassés d’eux plus vite. Ce qui ne fut pas le cas avec les maudits Shikigami, d’énormes armures de fer et de lave mêlés en des créations arcaniques sinistres. Les deux gardiens me repoussaient plusieurs fois, malgré les innombrables fissurent laissèrent sur leurs corps, et il me fallut toutes ma concentration pour survivre à leurs assauts jusqu’à ce que dans un éclair d’argent, ma lame ne suffise à les détruire. C’était un instant avant que tout ne soit réglé, quand Finaen pu intervenir après qu’il ait visiblement apaisé un Geyser.

Quoi qu’il ait pu faire là-bas, sa présence avait grandement permit à une entité dans le geyser de s’apaiser, mais il ne pouvait pas réellement se concentré sur sa tâche harcelé comme il était par une créature aux allures démoniaques mais faites entièrement de lave qui sortait du sol et revenait à l’assaut sans cesse, encore et encore. Ne se laissant pas faire, il fini par récupéré une gemme de feu magnifique comme héritage de l’être qu’il avait apaisé dans le geyser, laissant la créature frustrée et hurlante atteindre le totem pour empêcher quiconque d’y toucher. Tournoyant autours du dit totem, personne ne pouvait à ce moment là réalisé que cela renforcerait bien trop son corps, et qu’il s’en retrouverait pratiquement insensible aux assauts. Pour autant, ceux de Finaen et Runne auraient du être dévastateur : Les éclairs de Finaen frappèrent toutes les surfaces que Runne en retour avait gelé, les faisant explosés les unes après les autres en de fortes déflagrations qui éparpillèrent son corps en le laissant sérieusement affecté par les chocs puissants. Le corps éclata sans cesse, mais il se réanima brusquement d’un coup quand il tira son pouvoir du totem qu’il souillait et amplifiait de sa présence. La cible aurait du être ce totem, non le corps de cette créature, et ce fut notre première erreur.

Reculant ma lame du dernier Shikigami qui s’écrasa brusquement au sol désassemblé, je perçu la créature monstrueuse qui se laissait fondre dans le sol avec le totem pour s’éloigner. Non sans provoquer une grande onde de choc qui nous envoya tous valser brutalement dans les demeures des Kazan environnante. Ma conscience me revint quand Finaen retirait les débris autours de moi, et saisit mon bras pour m’aider à me relevé couverte de graviers et de poussière ainsi qu’un peu de potage au légume à l’odeur extrêmement suspecte. Tous se remettaient de leurs combats, autours de nous, jusqu’à ce que nous nous préparions rapidement à poursuivre notre adversaire qui était en train de s’enfuir juste en dessous de nos pieds droit vers les terres des Kazan. Si il nous échappait, tout ce que nous avions fait n’aurait servit absolument à rien.
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Heureusement, si plusieurs étaient blessés, aucuns n’étaient handicapés. Peut-être Sorn qui avait tout de même perdu un bref instant connaissance quand l’onde de choc s’extirpant du totem avait fini par le frapper – même onde de choc dont Finaen m’avait protégé de peu pendant mon combat contre les Shikigami. Les habitants étaient dociles, peut-être heureux que nous ne nous occupions pas d’eux, et ils profitèrent de la présence de Setska afin de partir vers un lieu de repos réel où ils ne seraient pas de nouveau ordonnés de faire des armes pour participer à ce conflit. Quant à nous, le déplacement de l’entité était trop rapide en sous sol pour se permettre réellement de lui donner l’avantage de s’enfuir, alors nous nous sommes mis rapidement en route pour le poursuivre. Comme vous l’imaginez, le territoire était des plus sinistres. Peut-être un peu plus que ne l’était alors la traversée calme mais étouffante de notre premier voyage dans ce territoire de cendre et de poussière. Ici, on se retrouvait bien plus dans une zone active alors que le chaos s’intensifiait petit à petit comme si c’était directement la terre qui ne désirait pas nous voir. Des trous se formaient en laissant voir en dessous la lave coulante lentement, l’activité volcanique faisait gronder la terre elle même dans des tremblements parfois difficiles à géré. Il y avait un sentiment que nous n’étions pas du tout les bienvenues, quand des geysers de chaleur et de lave s’activaient brusquement depuis des monticules de roches noires à proximités de notre équipe en les passant.

Des cieux sombres aux reflets écarlates d’un monde en feu, tombaient des flammèches et des pierres incandescente venant choir sans cesse en venant se briser sur les protections de Lucian en autant de lueurs miroitantes créant des ondulations au dessus de nos têtes. Et du sol sous l’effet du vent chaud, remontait la poussière à toute vitesse en se mêlant aux flammes dans une impression d’être écrasés entre terre et cieux ardent. Mais les Kazan n’avaient pas dit leurs derniers mots, pas question pour eux de perdre le totem que nous observions dans une lueur rougeoyante sortant du sol arpenté par la créature qui le menait loin de là. Des samouraïs jaillirent de partout, avec des lances fusées, cherchant à tout faire éclaté autours de nous autant pour nous abattre que pour réactivés certaines coulées de lave afin de nous ensevelir. Peu envieux de laisser faire, nous nous attaquions à eux avec Ito en tranchant ceux qui osaient se mettre sur notre route afin de dégagé d’urgence la voie. Mais sur le côté, tandis que Runne redirigées les flammes et les fusées loin de notre équipe en faisant plusieurs amples mouvement dont la magie rayonnait d’un vent puissant. Il fut plus que visible un Sorn qui retirait les protections de nombreux des Kazans : Colifichets, épaulières, colliers, tout ce qui leurs permettaient d’être insensibles aux flammes à une certaines mesures avant de venir nous les mettre. Gladys fit par la suite même tombé l’un des leurs dans la lave, un spectacle qui n’était pas prêt d’être oubliés – je pense que j’en ferais sûrement un cauchemars, mais avec les années, j’ai hélas vu pire qu’un être humain se disloquant dans un liquide extrêmement chaud, à mon grand malheurs.

Au moins ce fut efficace, nous aidions nos camarades au sol notamment Runne qui avait été brusquement percuté, tandis que Finaen exerçait un étrange contrôle sur le feu lui même avec une sorte de gemme de pouvoir acquit dans le geyser qu’il avait apaisé en ville. Aussi tôt, les coulées et les geysers vinrent s’éteindre, la menace environnante diminuait grandement et même la soif harassante nous semblait qu’un souvenir éloigné. Ce fut un peu de réconfort paisible, avant d’atteindre notre objectif : Le totem venait de sortir de la lave plus loin, et avec lui, la créature qui enfin dévoilait sa nature viciée. Les légendes en parle comme étant un « Nurikabe » sorte de créature spirituelle incarnée dans la lave en fusion elle même, la créature se dressant sur notre route depuis une vague de lave figée en l’air en venant en sortir en partie. Un golem gardien de roche volcanique jaillit de derrière nous, autant que le Roegadyn que Ito avait pourtant mit en pièce à coup de poing, son corps maudit se glissant vers nous dans des râles immondes et gutturaux. « Arau », premier de la lignée du clan Kazan, avait été sacrifié par sa famille pour créer le lien entre le feu du volcan et sa famille. Et il était fier d’avoir été une offrande pour le pouvoir de sa famille.

Aussi tôt, nous nous sommes débarrassés du golem et du roegadyn maudit : Finaen fonçant droit vers le Roegadyn, vint planté brusquement sa rapière dans le flanc de se dernier afin de diffusé un éther purificateur pour libéré son esprit. Levant une étoile du matin magmatique, il faillit l’écrasé sur Finaen avant qu’Ito n’intervienne en tranchant le bras porteur, avant de fendre le corps en deux : faisant un effet de ciseaux avec l’arme de Finaen, ce dernier fut aussi tôt tranché et son esprit pu rejoindre la mer des étoiles sereinement. De mon côté, je ne pu faire aussi bien qu’Ito : Sorn après un tir fracassant de foreuse qui dévasta une bonne partie du golem, fut attrapé et mâchouillé qu’un bref instant par le corps du golem tandis que les deux tourelles réagissaient pour le protéger. Intervenant au sommet, je taillais la structure du golem en pièce jusqu’à trouver une échappatoire pour Sorn, le récupérant en nous sortant de là, pour constaté la difficulté avec le combat contre Arau : Une fois de plus, le totem l’avait rendu insensible. Runne cherchait à libéré son esprit, mais il était ancré dans le totem, tandis qu’il s’échappait des chocs reçu par Lucian, il fini par balayés brutalement nos deux compagnons avec deux mouvements de bras, ayant essayé d’écraser Lucian en pulpe avant qu’il ne s’échappe. Leur offrant rapidement le temps de réagir, Finaen utilisa encore sa connexion avec le feu environnant pour nous donner force, guérison, et protecteur tandis que nous étions infusés de cette lueur chaude ondulant autours de nous.

Plus qu’en profitant, Ito déchaîna une véritable petite tornade de feu qui s’écrasa en plein dans le torse en tranchant plusieurs fois au passage, le bloquant suffisamment pour que Lucian l’ancre dans une cage aux tons pourprés le rendant simplement inopérant le temps que Runne créer une immense vague de purification pour le purifier en utilisant le totem lui même. Hurlant, se débattant, l’activation du Teclis de Sorn avait doté Runne d’un pouvoir suffisant pour avoir cure de ses tentatives afin d’aller jusqu’où bout, me permettant d’utiliser la blessure d’Ito pour trancher brutalement deux fois en le fendant en morceaux. Arau Kazan, premier des siens, allait rejoindre contre son gré la mer des étoiles. Mais lentement le totem épargné retourna dans la lave, et serait de nouveau auprès des siens. Ce combat achevé, nous rentrions avec une partie des civils libérés ainsi qu’avec « Pot-au-Feu », le crabe de Runne, à nos côtés. Pensive, il était difficile à dire si c’était une bonne nouvelle ou non que le totem ait survécu. Si j’étais craintive de voir les Kazan utilisé son pouvoir contre nous, Finaen me suggéra un espoir : Et si nous faisons en sorte que son légataire, soit le fils du clan, Saiko Kazan ? »

Akayane Kosenjobi.

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