"L’envol du phénix noir."
« Le départ vers l’Orient fut préparer dans les jours suivant l’échec de la tentative du mur d’or. Bien que Finaen eut à souffrir des conséquences de la découverte de Selm et d’un passé commun, derrière tout les actes immondes procédés par les entités que nous combattions, il fallait passé outre les maux et se préparer pour ce long voyage. Le temps de dire au revoir à quelques personnes avec qui j’appréciais passé un peu de temps, et ce fut en Abalathia que nous observions les cieux avec nos compagnons conscient que nous ne reverrions en rien l’étendue d’Eorzéa avant un long moment. Mais l’Orient est d’une richesse incroyable, et ce que nous allions découvrir seraient en tout point merveilleux, c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés avec notre équipe auprès d’une populace bienveillante et sous le regard de l’ambassadeur Cirmo. Notre responsable auprès de la guilde des aventuriers était heureux de nous savoir sur le point d’accomplir un long périple, même si il l’était moins de se séparé de quelques de ses éléments sur lequel il veille le plus ! Prenant le temps de discuter avec ce dernier, de parler à la populace et de nous adresser quelques propos quant à la démarche, l’usage irrégulier d’un sort allait provoqué un départ pour le moins surprenant. Afin d’être accompagnés de quelques de nos compagnons vers l’Orient, il fallut bien trouver une dérive, et de cette façons nous nous penchions sur le cercle où chacun se saisirent d’une lame, prompt à faire usage de l’éthérite pour retomber dans le même cercle identique qui nous attendaient proche d’Onokoro.
Ce qui était hélas moins attendu, c’est les conséquences que la mise en place de ce dispositif engendrerait. Prompt à se mettre en route, fit des impressions de ne pas revoir ses terres avant un bon moment, les quelques signes incantatoires furent tracés et c’est comme dans un éclair que l’éther se saisit de nous afin de nous propulser directement sur place. Plusieurs en étaient craintif, et d’autres admiratifs, une fois de plus Finaen et Runne allaient nous offrir leurs compétences magiques bien que si Finaen semblait vraiment être fasciné par ce moment de voyage. Runne lui se décomposait à l’idée du pouvoir que peut avoir une éthérite sur le corps. Aerlin s’occupera guérir nos blessures et bien d’autres façons de nous aider, tout en laissant à Salarios le support apporté par ses multiples pouvoirs. Quant à Lucian et Sorn, hé bien, je n’ai plus réellement besoin de dire qu’ils apprécieront toujours autant provoqué tout un tas de problèmes et de destruction ! C’est fort de cette équipe que nous nous retrouvions comme propulsés dans un tube de cristal. Ce dernier rayonnant de bien des milliers de couleurs alors que nos corps étaient propulsés par l’éthérite droit à proximité de celui qui nous attendait un peu plus loin de la ville d’Onokoro, à l’emplacement du cercle rituel.
Ce sort détourné nous permit de voir la splendeur un instant de ses aspects cristallin se déplaçant à toute vitesse, comme si toutes énergies possible se reflétaient autours de nous. Au milieu de cette impression de grandeur et de vitesse, apparut deux yeux rouges, et une bien obscure silhouette : Il était conscient de notre approche. Quoi que nous pourrions faire, cette entité agirait en conséquence et c’est en revenant à nous une fois apparut sur place que nous avons pu l’observer : Onokoro était attaquée. La fumée se dégageait visible derrière la vapeur produite par notre apparition soudaine et chaotique. Plusieurs sortaient de l’eau, à peine immergé, mais toujours particulièrement confus et malmené par ce qu’il s’était passé sur la fin. Mais à peine fut le temps de nous en remettre que je fonçais dans sa direction.
Vu le corps abandonné de l’agent envoyé produire le cercle, il était clair que son installation avait poussé nos nouveaux ennemis à assaillir les lieux, et tout mes compagnons me suivirent rapidement. Produisant des vents et manipulant la terre, Aerlin et Salarios écartèrent la poussière des environs pour révélé tout pièges possibles, tandis que Finaen et Lucian délivraient des pêcheurs risquant d’être dévorés par un feu noir inquiétant. Ce feu, que Runne voulu gêlé, semblait ne pouvoir être arrêté aisément : généré par un éther spirituel spécifique, il fallait bien plus d’effort pour l’éteindre, et il était présent un peu partout autours de nous. Fonçant dans une masure, Sorn en ressorti en ayant libéré quelques habitants avant que la demeure ne chute et ne s’écrase au sol sur les roches d’en bas. Il fallut peu de temps pour découvrir les responsables : Bien qu’ils n’avaient pas l’air de sinistres cultistes délivrant un feu noir, les combattants orientaux domiens avaient l’air sans pitié. Le Mon n’avait pas été reconnu toute de suite, mais nous avons découvert par la suite qu’il s’agissait de combattants du clan Kazan. Ils usèrent d’une sorte de canon à flèche envoyant une immense salve dans les cieux autant vers nous que vers les défenseurs de la Confédération leur tenant encore tête – mais aussi tôt, Runne et Salarios déployèrent plusieurs sorts détruire cette volée de flèche.
Éclatante dans les airs en des multitudes de lueurs magiques où elles se frappaient contre les barrières éthérés d’or, Sorn en profita pour tirer sur les derniers projectiles, ce qui courrouça quelque peu leur chef. S’armant de tube en tête de dragon d’orient prompt à tirer des sortes de feux d’artifices éclatant, les premières s’écrasèrent vers les hauteurs proches de Lucian en l’envoyant valser plus loin après qu’ils ait empalés plusieurs des guerriers Kazan, tandis que le rester détonnèrent sur les boucliers formés par Aerlin et Finaen. Les deux s’était précipités pour soignés les blessés grave de la Confédération avant qu’ils ne périssent de leurs plaies, et se retrouvaient à défendre la vie de Sorn avant qu’il ne soit dévasté par les détonations. Subissant le choc, repoussés, les boucliers tombèrent en me laissant passé en tranchant leur officier tout en laissant un éclair choir avec ma lame, fonçant en avant avec les combattants de la confédération en émettant un cri de bataille puissant. Le canon à flèche ayant explosé brusquement grâce à Lucian, ils n’avaient rien pour se protéger de cet assaut. Et il était temps pour la confédération de rendre coup pour coup.
Fonçant avec ses derniers, entrant dans la ville non loin des passages menant aux hauteurs sur les échafauds installés autours du légendaire pilier des cieux s’étendant au-delà des nuages. Nous observions ce qui devait être une magnifique ville si il n’y avait pas ses cris, ce chaos, qui s’étendait petit à petit due à l’assaut de ses fameux guerrier Kazan qui avaient apportés avec eux bien des maux et des problèmes dues à ses flammes noires. Ce n’est que là, que nous allions découvrir réellement leur implication auprès de forces bien plus néfastes que leurs simples désirs de conquêtes et haines des pirates de la Confédération. Finissant de guérir quelques des habitants et des combattants, bien que l’un des plus courageux se mit à se rué vers l’ennemi en chutant par terre un peu fortement, sonné. Ils voulaient tous vraiment protéger les leurs, impliquant un désirs de préserver la vie et leur village plutôt admirable. L’honneur, quelque soit le train de vie, à toujours quelque chose de sincère en Orient, et nous souhaitions dès lors offrir à ses derniers le support nécessaire pour rendre leurs souhaites de sauver le plus de monde possible réel.
Et c’est à l’éthérite que nous observions les premières problématiques, au milieu des différents conflits opposants les braves de la Confédération et les guerriers domiens d’un clan parjure. Il y avait beaucoup à faire, mais l’une des plus urgentes était autant de secourir quelques aventuriers malchanceux qui avaient fait usage de l’éthérite locale avant de se faire capturé, filer vite vers l’éthérite elle même où plusieurs sinistres personnes orientaient un cristal fumant mauve – un de ses Hicors datant de bien vieux périls, ce qui ne fut pas étonnant de voir apparaître des symboles ressemblant un peu trop à ce qui fut visible dans les pages du livre de Shigma. Et Lucian lui fila leurs ôtés en vitesse les ressources de la confédération qu’ils aient en train de brûlé tout en transformant une partie de leurs affaires en ressources de magies due à ce que l’éther des flammes noires consumaient. Apparaissait d’un coup derrière l’immense Roegadyn qui orientait son kanabo droit vers nous, il rugit de douleur quand les pointes de javeline mauve s’écrasèrent dans son dos en outrepassant des sortes de plumes noires jaillissantes en tournoyant dans son dos, renforcées par Salarios qui offrit un pouvoir aérien de plus intenses aux pointes. Sa vengeance fut soudaine, écrasant Lucian au sol plus loin d’un choc puissant de son crâne en bondissant proche de lui, il tournoyait en forçant un de ses guerriers à tirer un projectile contre l’Egi-Garuda de Salarios qui vola plus loin dans une forte déflagration.
Il fallait tout faire pour l’arrêté, Lucian prit un temps pour ôté l’éther des flammes et des parchemins flottant dans les cieux pour les faire chuter au sol, tandis que Salarios le protégeait comme il pouvait en gardant ses arrières dans une puissante lueur. Quoi qu’il tendait de produire, le Roegadyn était coincé alors que je m’occupais d’abattre deux de ses guerriers – heureusement pour moi Aerlin veillait et bloqua d’un coup le choc d’une protection de ce bâton de fer qui s’écrasa brusquement contre ses défenses et son bras dans une fulgurante douleur alors qu’il tentait d’aider Sorn plus loin de là. Profitant de son inattention, Lucian fit apparaître son sort soulevant les chaines du sol qui ne cessèrent de condamné ses membres et avorta le choc qui allait écrasé Salarios à son tour, les deux magiciens se concentrant pour faire jaillir les flammes à l’intérieur même du Roegadyn. Ne laissant plus qu’un tas de cendre au milieu des morceaux d’équipement domiens à l’honneur du Clan Kazan. Bien qu’en piteuse état, il me fallait tout faire pour essayer d’aider Sorn qui était parti à l’assaut d’une de ses immenses bêtes locales, un Gyuki, sorte de bête aux dents immenses qui avait été attirée ici pour provoqué le chaos. Avant qu’elle ne dévore les aventuriers, Aerlin parvint à les libérés avec des pinces de roches soulevés par l’élémentaliste en vitesse. Mais ce fut Sorn qui l’attirait au loin avec plusieurs tirs, cherchant à faire en sorte que la bête ne l’atteigne pas – bien qu’il reçu un coup de patte l’écrasant contre un pilier de bois proche du passage vers l’intérieur de la ville.
Se dégageant dans une lueur enflammée utilisé son convertisseur, Gladys parvint à essayer d’éloigner la bête en tirant dessus sans cesse avant que le Gyuki n’essaie de dévoré sa tourelle en retour. Appelant son maître avec de la détresse, Sorn attrapa rapidement son fusil en visant correctement la tête, la munition lui traversa le crâne ce qui fit paniqué la créature qui devait sentir la vie lui disparaître avant de foncer pour dévoré Sorn en retour. Ma lame s’enfonça dans le visage de la créature, et la tranchant en grande partie en deux, même si je récoltais alors une dent pointue enfoncée dans mon épaule. C’était douloureux, mais nécessaire, et Sorn pu s’occuper de la blessure tandis que du côté de l’éthérite tout semblait être réglé. Finaen avait tout fait pour essayer de repoussé le Hicor en le purifiant de l’énergie du néant capté à l’intérieur. Le repoussant comme il pouvait, le Kojin noir aux allures d’un invocateur maudit mêlés aux quelques cultistes orientaux marchant à ses côtés, ne le perçu pas comme ça. Repoussant les vents convoqués par Runne, cherchant à le taillé en pièce, il convoqua les flots soudainement pour submergé Finaen et Runne, envoyant notre camarade miqo’te valsé plus loin en s’écrasant contre une masure plus en hauteur.
Sortant de là, un combat acharné débuta entre le Kojin et Runne : L’un rendait la glace en eau, et l’autre transformait l’eau en glace, et si aucun ne semblait prendre l’ascendant en se blessant mutuellement c’est quand Finaen intervint dans un soulèvement de vent puissant que Runne parvint à dévasté le Kojin avec des multitudes d’épines de glaces. Les derniers invocateurs paniquèrent ,et se saisirent du Hicor malgré le hurlement et la douleur que cela devait infligé à son porteur en commençant déjà à le consumé à petit feu. Cherchant à noyé Finaen fonçant dans une lueur infâme qui lui tombait dessus, ressemblant à ses flammes noires inquiétante, il en sorti sans la moindre égratignure dans une lueur d’argent quand il fut constaté qu’Aerlin venait de tout faire pour le protéger en puisant dans l’éther de l’eau environnante. Il l’avait fait pour soigné son bras, mais s’en servit tout autant pour protéger son camarade en ayant vu la silhouette curieuse d’une femme qui semblait être faite d’eau. Sortant de cette confusion, il se concentra sur Finaen pour le défendre tandis que Runne purifiait le reste de ce qui se trouvait dans le Hicor qui ne devint plus qu’un cristal inutile qui se fissura au sol. La rapière de Finaen frappant en deux ondulations rouges tranchant les quelques cultistes, chutant au sol, vaincu. Nous avions repoussés les plus grandes problématiques au milieu de la ville, mais tous tournaient la tête vers le Pilier des cieux. Où à ses fondations, des chants se faisaient entendre de ceux qui convoquaient le pouvoir d’un Kami déchu.
Plusieurs s’occupaient des blessures de nos compagnons, moi même je vis Finaen et Sorn s’occuper de mettre un bandage et de nettoyé rapidement là où un croc s’était enfoncé dans mon épaule afin que ça ne me gêne pas trop – et aussi parce que rester avec une blessure n’était jamais très sérieux pour survivre. Des potions furent partagés, et plusieurs avaient offert des sorts de guérisons et de renforcement vers les combattants de la Confédération qui avait enfin reprit le dessus sur les guerriers Kazan qui reculaient ou se rendaient à mesure où ils voyaient l’espoir d’un triomphe s’effondrer de ce côté. Quant à nous, notre rôle était de foncé vers l’intérieur de la ville pour empêcher une quelconque invocation spirituelle quelque soit son lien tenté avec le Pilier des cieux. Partant en vitesse dès que nous étions renforcés et prêt à reprendre le combat, il fallait avant appréhender l’état de la ville pour la traverser rapidement – un état qu’il fallait se préparer à aider aux réparations plus tard, puisque c’est ici que nous allions vivre, et une des premières problématiques était déjà l’état des escaliers qui semblaient être en piteuse état dont certains passages manquaient simplement de marches pour les traversés.
Certaines s’écroulaient même, faisant tombé Finaen dans le vide avant qu’il ne soit rattrapé par Runne et moi même en cherchant à le remonté en vitesse. Nous infusant par les vents, Aerlin et Finaen opta pour l’efficacité aérienne afin de rendre nos pas et nos bonds plus léger et bien plus efficace afin de passé d’un recoin à un autre pour escalader les recoins brisés pour atteindre les hauteurs en vitesse. Plusieurs des flammes noires ondulaient en ville et empêchaient à des habitants de s’enfuir, quelques membres de la confédération nous demandant de l’aide au passage et celle ci ne pu être apportée qu’en urgence. Produisant les vents puissants cherchant à saturé d’éther ses flammes si spéciales qui finirent par être écartés par Runne afin d’être enfin repoussées, Sorn cherchait à empêcher les pilleurs de récupéré des affaires ne leur appartenant pas. Mais le plus grand soucis était peut-être l’instant où une demeure nous tomba littéralement dessus, c’était aussi impressionnant qu’effrayant mais Finaen et Aerlin toujours concentrés sur les vents ensembles écartèrent celles ci en partie tandis que Salarios fut partiellement écrasé pour protéger Runne d’un amas de pierre chutant vers le Miqo’te, soulevant une protection comme des glyphes d’or au dessus d’eux avant que les deux ne se rétament un peu au sol. Contrôlant les gravas, il les propulsa droit vers d’étranges créatures ressemblant à des Oni orientaux.
L’avenir me donnerait tort, mais ils ressemblaient à des créatures du néant semblable à des créatures mêlés entre des bêtes affreuses et des oiseaux aux plumages noires flamboyants. Ils furent directement impactés par les débris de la masure que Salarios avait conserver après le choc dans un amas de destruction, mêlés aux pointes mauves propulsés par Lucian cherchant à les repoussés rapidement. Progressant en tranchant les créatures sur notre chemin dont l’une avait pu blessé Finaen au flanc d’un coup de griffe, nous ouvrions de nous même le chemin pour parvenir aux pieds du Pilier des cieux où se trouvait précisément ce que nous pensions retrouvé en ce domaine : Une sorte d’invocation aux esprits.
La musique produisait des chants venant de nulles part, mais l’ensemble était due à la flûte qu’une petite Raenne jouait depuis un pilier flottait au milieu d’un cercle incantatoire où des parchemins ouverts erraient dans les airs lentement en produisant des pulsations d’énergies sinistres semblable à ce que les invocateurs cherchaient à créer au niveau de l’éthérite pour en récupéré l’éther si particulier et puissant. Ici, c’était une Elezen avec un parchemin sur le visage et une tenue magnifique de magicienne orientale qui canalisait les puissances locales tout en convoquant l’énorme Kojin noir derrière noir. L’homme bête était plus grand qu’il n’aurait du être, jusqu’à constaté l’effet néfaste qui l’habitait : ça n’était pas une corruption réelle du néant, il avait été comme forcé de subir une transe identiques aux magies des invocateurs où le pouvoir du Phénix noir lui fut accordé. Il était monstrueux, mais celui qui nous adressa la parole était un Hyur installé sur une sorte de crabe enflammé. La bête provenait du sud de la mer de rubis, là où devait être installé le clan Kazan, « ceux qui viennent du Volcan. » Et n’était autre que le fils de leur Seigneur. Seiko Kazan, troisième héritier du seigneur Jumônji Kazan, venu ici pour dompter ses quelques pirates malgré la trahison que cela engendrait. Il souhaitait apporter le pouvoir du phénix noir, mais face à la réalité imposée par la trahison que Finaen mit en avant, il hésitait. Réalisant à quel point il avait été trop loin, avec les alliés de son Roi, la confédération. C’est l’implication de l’invocatrice qui le fit sortir de ses doutes avant de se rué vers nous à toute vitesse.
Directement, Lucian souleva une immense cage de chaînes s’extirpant de pilier convoqué par un sort qui lentement fracassa le sol ne se saisissant des bras et des jambes du Kojin maudit. Tirant sur les chaînes en rugissant, il brisa finalement l’une des chaînes pour saisir Runne avant de le propulsé plus loin peu après que le miqo’te ne lui ait brisé le visage d’un puissant coup de rapière. Cherchant à s’échapper, il fut impacté par plusieurs tirs de Gladys se fracassant dessus subitement en l’arrêtant dès qu’il chercha à atteindre Lucian. Bloqué, il fut consumé par les flammes subitement dans une déflagration immense qui s’éleva de plus en plus vers le ciel en laissant en lieu et place du corps la carcasse d’un Kojin vert qui avait été maudit par la transe. Arrachant les plumes noires qui lui avait été envoyé, ça n’était pas le moment de s’émouvoir de ceux qui avaient été maltraités de la sorte. Et avec Finaen nous avons au moins pu arrêté le crabe de lave venant du couvercle des enfers quand mon camarade écrasa ses articulations avec des pointes de pierres.
Seiko bondit de sa monture bloquée, frappant Finaen plusieurs fois de son katana en le blessant à l’épaule, sa lame formant comme une flamme tangible au lieu d’être de fer, mais je pu l’écarter d’un coup de pied dans le torse. Fonçant sur ses deux flancs, je pu trancher définitivement le crabe nous fonçant dessus tandis que Finaen paralysant en un arc foudroyant Seiko directement tandis qu’il s’écroula par terre prit de convulsion. Dans les airs, le combat était sur le point d’être achevé : Aerlin tentait d’arrêté avant tout le rituel en faisant tournoyer les vents dans un sens inverse que celle du rituel en faisant volé les parchemins et la magie dans tout les sens en un chaos visuel aussi merveilleux qu’effrayant. Au final, Sorn pu ainsi atteindre l’invocatrice et lui arracher d’un coup le parchemin de son visage, laissant une magnifique femme choir contre le sol sous la surprise et la confusion mentale. D’elle s’extirpa une ombre monstrueuse ressemblant à sa silhouette ressemblant à une parodie d’une Elezen ayant les traits d’un oiseaux monstrueux. Celle ci voulait protéger la petite Raenne comme pour la préserver, avant de se prendre de plein fouet les tirs de Gladys surchargée par la clé du Teclis quand elle l’arracha des mains de Sorn.
Les canons propulsèrent d’innombrables lumières contre la silhouette qui venait de recevoir un brasier de mort de Salarios pour couvrir Runne dans une grande déflagration qui l’avait bloqué l’instant suffisant pour n’en laisser que de la poussière tournoyante un peu partout. Runne atteignant la jeune fille, celle ci lui demanda de l’aide et de prévenir sa famille en pleurant un instant, sous les eaux, faisant sûrement référence à la légendaire Sui-no-Sato. Son lien avec la légende de Suzaku devait en faire le vaisseau parfait, car c’est à travers sa force qu’elle devint l’incarnation du Phénix noir. Le Kami déchu repoussant Runne qui tomba brusquement avant d’être réceptionné par Finaen en bas, s’éleva par la suite en tournoyant autours du pilier des cieux. Tous à Onokoro purent observer cette chose aussi belle qu’aberrant de par sa nature déchue s’abreuver en partie du pouvoir du Pilier, avant de rugir comme si elle avait été repoussée par la tour-artefact, partant dans les nuages sombres agglutinés par les flammes. Toutes ses flammes purent s’éteindre maintenant que son influence s’échappait avec sa silhouette. Le Phénix noir invoqué, nous observions les cieux alors que le calme regagnait enfin les lieux, tous conscients que notre périple venait de commencer. Afin de vaincre ce Kami déchu avant qu’il ne provoque le moindre mal dans la Mer de Rubis. »