[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 16 avr. 2020, 14:12

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquantième Entrée – « Acte 4 – Défendre la Petite Alah Mhigo.»
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« Nous y sommes. Après la découverte il y à environs une semaine d’une troupe de combat voulant passer sous couvert d’un voile de poussière, nous avons avoir le temps nécessaire à des préparations avant que l’ennemi ne puisse attaquer la Petite Alah Mhigo. Pas mal de mystère étaient encore entier avant l’assaut, dont certains auraient enfin des réponses pendant le combat à venir pour protéger la ville. Notre lieu de rendez vous était le cœur même de la ville, déjà les Immortels étaient en place et avaient fini de barricader les passages en organisant tout ce qu’il faut avoir les volontaires et les membres des Lames de cuivre. Dentelion avait naturellement été chargé de la protection de la part des Immortels en contact proche avec les Mhigois vivant encore là-bas. Devant l’entrée sud, notre petit groupe s’est alors réuni, pour la plus part des habitués à se battre ensemble maintenant dont notre camarade Amy et ses talents d’Astromancie combiné à ses chakrams seraient bien plus que précieux. Des combattants purs et dur avaient répondu à l’appel de la défense de la ville, avant tout : Merethir, Iashta, Astrelle, Amasar, Vinus et Ika.

Tel serait notre équipe pour préparer la protection de la ville. Merethir fit un passage pour s’assurer que toutes les entrées étaient bien défendue, constatant aisément les forces de protections éparpillés un peu partout. Dentelion connaissait son affaire, et avait placer des forces en bon nombre pour tenir efficacement les passages sans se marcher dessus non plus derrière des barricades de fortunes simples, mais avec le temps de préparation rendu bien efficace. Astrelle passa en revue les armements en s’assurant qu’il n’y ait pas encore de passant « gênant » risquant de saboter les armes de guerre prévue pour la défense de la ville. Au moins, nous notions la présence du massif canon. Amy fit son travail en vitesse, en identifiant le lieu prompt à s’occuper des soins, avec toutes les affaires, pour s’en charger. Alors que ceux s’y travaillaient, je me préparais à faire le débriefing de la situation pour nos compagnons pendant que le soleil se levait depuis le sud. Il fallut un instant de discussion, et beaucoup trop de temps de constatation, pour voir que ce n’était pas du tout un soleil mais une boule de feu nous tombant dessus.

Les préparations face à cette boule de feu n'étaient pas suffisante, nous n’avons faire pas grand-chose que partir en bondissant, Iashta et Merethir se mettant rapidement à couvert, alors qu’avec Ika et Amasar ont chuter au sol sous l’intensité de la déflagration. Les soldats fuyaient partout, Vinus fut envoyé plus loin recouvert de gravas. Rapidement ceux blessés furent traités par les soigneurs ainsi qu’Amy venant en aide de Vinus. Mais la bataille avait déjà commencer, et avec ça, les complots. Un Miqo’te en grande tenue vint, portant dessous un totem explosif qui voulu faire sauter dans la zone faite pour les soins. Vinus l’écarta brutalement dans une grande déflagration pendant qu’Astrelle et Amasar ralliaient les présents pour remettre en place les barricades brisées, la présence de Merethir sur les hauteurs était un sérieux poids pour observer la progression ennemie : Voyant bien en haut de leurs préparations, il vit le Chaman Amalj’aa fait avancer un nuage de poussière avec toute l’armée adversaire, et les flots de flèches fonçant vers la barricade. Où Ika avait dressé son bouclier pour empêcher les projectiles de faire des massacres.

Au début de la bataille, Iashta fusa pour rejoindre la Pierre de Rhalgr présente au coeur de la ville pour prier un instant le pouvoir du Dieu de la destruction, inspiration des moines dont elle fait partie. Nombreux furent les Mhigois à rejoindre la pierre pour prier, appelant à l’aide au pouvoir grandiose lié à ce lieu béni. Elle vit cependant que cette activité alors qu’une lueur faisait s’échapper au loin la corruption du Primordial , le Seigneur des Enfers, elle y voit la lueur rouge dans l’obscurité d’une petite araignée de métal magitek. Ceux qui tiraient les ficelles allaient bientôt se dévoiler, mais pour l’instant, il fallait repousser l’ennemi. Merethir allait pouvoir débuté l’engagement quand le nuage de poussière et les troupes Amalj’aa seraient arriver aux portes de la Petite Alah Mhigo, retardé par Astrelle et Ika le plus possible. Amasar s’était rué avec moi pour protéger le coin des soigneurs, de nombreux subjugués miqo’tes sortaient de tout les côtés à toute vitesse, attaquant les points sensibles en arrière pour déstabilisé toute l’organisation. Protéger Amy et les guérisseurs devenait une priorité, Vinus nous ayant fournit un peu de temps. La défense de la Petite Alah Mhigo venait de commencer.
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Iashta prit un peu de temps pour discuter avec la petite araignée de métal avant de la briser, mais un des croyant présent lui offrit un objet des plus précieux : Une des pierres bénies tombée du site se gorgeant de la force du destructeur. Elle revint vers nous en vitesse, surtout quand le front quand Merethir eue une action très brave, mais qui aurait été suicidaire sans la réactivité de ses compagnons. Il arriva au milieu de l’armée ennemie en envoyant s’écraser le Chaman Amalj’aa hors de son propre sort, qui s’effondra brusquement d’un coup en dévoilant toutes les troupes qui furent reçu par de nombreux traits de flèches. La plus part essayèrent de massacrer Merethir, mais les boucliers d’Ika et Astrelle dans des lueurs mêlant les cristaux bleutés et l’obscurité sinistre du Chevalier noir en synergie pour sauver leur compagnon. Ce qui créa un sacré désordre dans la situation actuelle, plusieurs Amalj’aa bondir sur la ligne de défense et le combat éclata dans un grand hurlement de guerre. I

ashta fonça et résistant à la lueur enflammée du Chaman essayant quelque chose d’inutile visiblement, jusqu’à ce qu’elle le massacre à toute puissance en brisant la pierre derrière, chutant sur les Amalj’aa dans des énormes fracas. Tous progressaient, Ika fut désarmé par un coup de lance brusque, et Vinus avait fini par rejoindre le front, bondissant sur lui pour le sauver d’un énorme jet de pierre meurtrier d’un titanesque Amalj’aa qui rugissait au milieu de la mêlée. C’était une bataille furieuse, Merethir avait pu se défendre et tout le monde se ruaient en avant pour essayer d’atteindre le fond de la foule et les tambours étrange qui semblaient tant galvanisé les Amalj’aa, presque d’un niveau mystique. C’est Iashta qui les atteins, elle massacra les porteurs de tambours avec grâce et agilité, esquivant les coups avec finesse et efficacité jusqu’à ce que tout les tambours purent se taire.

Merethir avant littéralement éclaté le bras du massif guerrier après un temps de mêlée, sa lance lui perforant l’épaule en laissant le bras choir au sol, elle n’eus de choix que d’essayer d’abattre le plus des notres possible. Fonçant vers Ika qui venait de récupéré son arme, Astrelle et Vinus purent s’échapper au choc en s’écartant, Astrelle lui tranchant l’autre bras d’un geste puissant de l’épée, mais sa réponse fut étouffée par un coup de griffe de Vinus en déchirant littéralement la gorge quand le métal passa tout le long en retirant un grand morceau de peau. Le moral adverse avait disparut, ils étaient bien en passe de gagné le combat. Du côté de l’intérieur de la ville, les assaillants ne cessèrent de se débattre pour essayer d’atteindre nos guérisseurs. Plusieurs étaient aux ressources d’armes, un Amalj’aa ayant pu apparaître grâce à un totem proche essayait de faire fondre littéralement le canon massif en le faisant surchauffé.

Vinus avant qu’il ne parte sur le front, m’aida à nous débarrasser des Miqo’te sous la pression du poids augmenté par la maîtrise d’Amy. Après un tir sur les hauteurs, des rochers tombèrent et Vinus se jeta vers Amy pour briser les pierres et la protège. C’est là qu’il pu rejoindre le front. Amasar parti affronter l’Amalj’aa massif qui joua d’expertise pour essayer de faire fondre le Xaela comme il voulait le faire avec le canon, mais la puissance entraîné par les cartes d’Amy lui offrit la force de s’en débarrassé, jusqu’à égorgé la bête. Je m’occupais du Miqo’te dont la peau était devenue noir écailleuse tant il était imprégné, après un combat difficile et expert, mon sabre lui fendit le torse en deux, mais il avait mit le feu aux réserves, et si les tonneaux de poudre explosaient, c’était fini du canon, et de nous. La machine magitek, qui traînait au dessus de nos têtes, en déversant son flot de Miqo’te subjugué braillant, reçu un alourdissement conséquent d’ami ce qui le mit en place pour qu’Amasar lui balance à la force des bras, et de l’éther il me semble, un boulet de canon qui explosa brutalement sur le flanc de la machine. Préférant se replier, il fallait encore se débarrasser des miqo’te une fois le canon mit en sécurité.

Mais le problème était leur cible : l’éthérite. Ils avaient installé quatre totem dont des lances de feu tombaient lentement pour essayer de les alimentés, et ainsi, corrompre l’énergie de l’éthérite de la ville. Amy avait découvert qu’il fallait qu’une personne par totem retienne les lances, et elle s’acharna à nous offrir le temps de les atteindre en usage d’un bouclier intense. Finalement, ceux arrivant nous aider furent Ika, Merethir, Amasar, Amy et moi, mais Ika n’avait pas compris à temps, ce qui fit que pendant une dizaine de minutes, c’était de pire en pire ! Astrelle resta seule avec tout les défenseurs ralliés sur la ligne de front, observant la drake de guerre massif des Amalj’aa, distordu par la manipulation génétique, elle ferait tout pour tenir avec le courage des troupes, mais risquait d’être rapidement débordée par la violence de la bête. Iashta et Vinus entendirent un échos venir de là où pouvait être la pierre. Se retrouvant face à une invasion immense d’araignée magiteck les attaquant en des lueurs de tirs au céruleum dans tout les sens. Et nous étions coincés par les maudits totems, souffrant à mesure qu’ils n’étaient pas tous occupés. Mais une fois que ce fut fait, grâce à Amasar, ce fut une grande libération.
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Cette réussite est grandement due à Amy, qui se concentra tout se temps pour maintenir un bouclier empêchant les lances enflammées de choir. De notre côté, nous avons du subir et parvenir enfin à faire en sorte qu’elles se dissipes quand toutes furent canalisées jusqu’à ce que les totems, alors inébranlables, cèdes en amas de charbon s’écroulant au sol, encore chaud et fumant. L’éthérite était protégée, je fonçais aider Ika à manœuvrer le lourd canon de guerre vers la première ligne pendant que Merethir fonçait vers là où Iashta et Vinus étaient parti, découvrant des nuées et des nuées d’araignées mécaniques à l’œil rouge reluisant dans l’obscurité.

Passons rapidement par la réussite de la première ligne : Astrelle avait bloqué un certains temps la bête immense de son bouclier d’énergie ténébreuse, mais le souffle enflammé d’une telle créature brisa cette fumée infâme en faisant reculé la ligne de défense. Elle pu grièvement le blessé d’une déferlante noire en pleine bouche, mais le coup de patte l’envoya s’écraser plus loin. Il fallait l’arrêter le temps du tir du canon d’Ika, qui prenait de plus en plus de temps, jusqu’à la détonation après que le tranchait sa mâchoire et Amy projeta ses chakrams sur ses pattes. Le boulet entra dans une gorge déformée par les pouvoirs d’Astrelle, avant de faire explosé l’intérieur de son corps.

Elle s’écroula alors, au milieu du passage, sous les cris acclamés des soldats ayant enfin un peu de répit. Mais nous, non : Amasar venait de se relevé dans l’eau autours de l’éthérite, reprenant conscience avec Amy à ses côtés, pendant qu’Astrelle se traînait difficilement avec Ika et moi vers l’intérieur. Ils avaient bien temporisé, courant en esquivant la plus part des tirs avant de se mettre en position favorable pour briser les machineries, Vinus, Iashta et Merethir nous avaient offert le temps nécessaire pour remonter en vitesse et atteindre ce qui pouvait bien se passer là-haut. Progressant à grandes enjambées, tous brisèrent les dernières petites mécaniques dont la plus part avaient déjà été bien malmenée par les cristaux de foudre brisés de Iashta. Ce n’est qu’en arrivant en haut que tout fut plus clair : Un massif Amalj’aa et deux de ses camarades encerclaient la ronde des croyants Mhigois qui priaient encore Rhalgr, le cercle reluisant d’une lumière magnifique toujours présent et ayant prit bien de l’ampleur. Ils voulaient le pervertir, le contaminé par toute l’énergie de leur propre foi, celle du Seigneur des enfers. Pour s’assurer que cela arrive, un Hyurois en tenue serrée sombre se trouvait derrière l’énorme araignée magitek juste à l’avant. Il se mit directement à partir vers le trou menant à l’extérieur, pour observer la situation, qui en vitesse dégénéra.

Ika fonça pour repoussé les myriades d’araignées restante, mais de peur que le flot ne cesse d’en faire venir, il s’échappa sur le côté rapidement en se laissant poursuivre par la multitude dans une galerie proche. Plus tard, il réapparut alors qu’une partie de l’intérieur s’effondrait sur les araignées, couvert de poussière et de terre. Ce fou avait déclenché une petite explosion de sa gunblade, et du échapper aux pierres chutant du plafond. Iashta avait envoyer un énorme coup de poing contre la machine pendant que je tranchais une des pattes de la lame, tout l’avant de l’araignée de métal renfoncé en laissant voir des câblages endommagés et grimaça, Vinus ayant reçu l’énergie d’Amy par une carte tirée, pu dévié un coup avant qu’il ne soit mortel pour Iashta. Les Amalj’aa prirent feu, sacrifiant leurs vies dans une tentative désespéré de parvenir à leurs fins, car le superviseur avait tout bonnement été empalé par la lame d’Astrelle, lui ayant explosé le torse, avant de prendre une balle en pleine tête de la part du Hyurois. Les cartes tombèrent, alors que plusieurs Eques Impériaux envahissaient les lieux depuis le passage en s’assurant de se préparer à « récupéré » ce qui allait être souillé dans le rituel.

Le temps pour réfléchir nous manquait : Amasar et Merethir se ruèrent au contact des Impériaux en écrasant déjà les premiers d’entre eux à leurs portés, tandis que l’araignée fut définitivement brisée par Astrelle dans un grand choc, accompagné par mon sabre, ce qui relâcha Vinus qui était écrasé par une patte contre un pilier de terre. Il fallait tenir, tenir jusqu’à ce que Iashta et Vinus se remettent de leurs blessures pendant qu’Amy contenait la douleur que j’avais moi même reçu pour me tenir en combat. Tout alla à ce moment, vraiment très vite : Amasar qui venait d’être sauvé in extremis d’un coup fatal au visage par son camarade Merethir, essaya à la dague de jet en même temps qu’Astrelle d’atteindre le Hyurois protégé par quelques Eques, mais il était trop haut, trop bien protégé, ce qui l’interrompit dans son étrange pratique cependant. Le temps offert pour les deux Miqo’tes de se concentré, une immense radiance lumineuse envahit la pièce en y laissant une étrange musique, ravissante et agréable, envahir l’espace.

Tous furent touché par la piété dégagé par cette force, jusqu’à parvenir à en finir aisément avec les Impériaux présent, pendant que tous repoussaient les forces du Seigneur des Enfers à l’extérieur. La victoire était offerte, et malgré la douleur, les pertes et les dégâts matériels, ce lieu avait été protégé de toutes souillures. Nous effondrant au milieu du petit terrain de bataille improvisé, au milieu de la puanteur de l’huile rance et du sang, c’était enfin le bon moment pour respirer en éprouvant enfin une bonne victoire qui mettait en déroute l’ennemi ici. Le prochaine objectif sera visiblement de s’intéresser à faire disparaître le Nunh dévoyé ayant provoqué la perte de sa tribu. Pour l’instant, il était bien temps de respirer un peu, et de s’occuper de nos blessures. »

Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 03 août 2020, 22:44, modifié 1 fois.

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Message par Akayane » 17 avr. 2020, 13:59

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Culte de l’Arbre-en-Deuil."

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Cinquante-et-unième Entrée – « Acte 8 – Une fissure dans le Cristal.»
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« Notre invitation à rejoindre Adel’Delroy avait quelque chose d’étrange. Pressé, particulièrement, pour discuter de ce que le Hicor pouvait faire et où il pourrait être placé, je me doute qu’il s’agissait d’un sujet important mais il craignait vraiment que le cristal puisse être menacé rapidement, et à raison, car il suspectait une action rapide du Corbeau Mauve. Nous nous sommes rejoins un peu plus loin au sud du Quartier général des Immortels avec les concernés par la rencontre. Olorion vint, toujours intéressé à la disparition de ce qu’il se passe autours de l’Arbre-en-Deuil, ainsi que Merethir, Ika, Astrelle, Sakuhane, Ewia et revint Ergun aux côtés de son amie au carbuncle. Discutant un instant, notre objectif était plutôt simple : Aller voir Adel’Delroy, et parler ! C’était une belle fin de journée, Ika avait faillit se faire volé par un enfant toutes ses cartouches d’arme, le soleil au loin descendait tranquillement et certains se remettaient encore un peu de la protection de la ville hier. La plus part de nos camarades s’étaient courageusement défendu étaient maintenant au repos et nous étions avec de nombreux autres compagnons.

Traversant doucement la ville, au début, tout était des plus actifs dans l’habituel scène de vie de la citée Uldienne, des locaux se baladant tranquillement ici et là en s’occupant de leurs affaires quotidiennes. C’était paisible, un bon recoin de vie agréable, mais rapidement l’ambiance se fit terne. Traversant une ruelle menant à l’enclave de Delroy, il y à eu rapidement une ambiance de fatigue intense, bien que nous n’étions pas spécifiquement dans une ruelle sombre ou malfamée, mais les locaux semblaient parfaitement fatigués de tout. Le vendeur de choux qui fit tomber dans les escaliers sa cargaison ne semblait pas plus concerné, Ewia essayant de sentir les bonnes odeurs habituelles n’eu le droit qu’à du souffre puant dans les environs. Rien d’agréable, et Olorion pu constaté qu’il ne se sentait pas si à l’aise que ça avec son propre corps aussi. Astrelle faillit étouffé un civil qui l’avait légèrement bousculé en faisant attention, le soulevant légèrement avant de le relâché rapidement. Définitivement, quelque chose de mauvais était en place, et notre rôle était malheureusement de découvrir quoi, et de faire en sorte qu’on puisse atteindre la demeure d’Adel’Delroy.

Sur une place devant sa demeure, deux statues de chevaliers barraient la route et la grande porte était close. Les locaux étaient morose et fatigués, des étudiants discutant dans un coin, et il fut décidé d’inspecter les lieux juste après qu’Olorion purgea nos compagnons d’une lueur blanche magnifique, provoquant le départ d’un vieillard touché par ça qui se cassa la figure dans les escaliers, un peu trop agité, glissant sur un choux. Tous se dispersèrent pour trouver comment ouvrir la porte, puisque Delroy ne répondait pas, des bruits étranges sortaient de son contact et il fallait vraiment l’atteindre en vitesse. Mais pour ça, il fallait déjà comprendre ce qui mettait les locaux dans cet état, et trouver un moyen d’ouvrir la porte. Ika discuta avec les étudiants occultistes, ne gagna pas grand-chose que des personnes blasées pendant qu’Astrelle et Ergun inspectaient les statues de chevalier, qui n’avaient visiblement rien à faire là et dont ils cherchaient la raison de leurs présences. Merethir inspectait un chariot de provision appartenant visiblement à un vieux Lalafell absent, éloignant un peu les enfants qui se demandaient ce qu’ils allaient voler,

Finalement, Merethir découvrit efficacement qu’un chargement avait été acheminé vers l’espace de Delroy avec bien plus de ressources qu’attendu, et tous furent récupérés et apportés, mais il y avait le plus important : La liste de voyage du Lalafell qu’il pu récupéré. Sakuhane sous la surveillance d’Ewia inspectait une sorte de pierre en hauteur, découvrant que celle ci avait six cristaux résonnant à l’éther sur la myriade d’autres, prenant des couleurs élémentaires quand elles étaient infusés, sans pour autant changer grand-chose à la situation au niveau de la porte. Olorion quant à lui se concentrait sur les miasmes qui avaient rendu tout le monde aussi dépité, en cherchant quel pouvait être la cause avec acharnement. Il était bien possible que la réponse soit précisément ce qui nous permettrait de libéré l’espace, et d’empêcher bien des problèmes à venir. Encore une fois, le temps à partir de notre arrivé, été compté.
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Pour commencer, la situation la plus surprenante était du côté d’Olorion. Venant s’asseoir au sol sous ma surveillance, pendant que tout le monde travaillaient, il essaya de faire en sorte que les mânes locaux même si peu présent ici puissent lui donner leurs impressions sur la brume invisible servant à rendre maussade tout ceux affectés. Les esprits durent lui répondre, il fut agité un instant, et l’eau de la petite fontaine en sorti pour passer autours d’Ewia, Sakuhane, Ika et moi en se déversant rapidement autours de nous, sans même nous mouiller, nous laissant intact tout en tournoyant autours du Druide quelques instants jusqu’à ce que la dite eau retourne vers la fontaine, Olorion se réveillant d’un coup en reprenant son souffle, comme si il avait vraiment plongé la tête dans l’eau. Évoquant de sa main un petit feu-follet reluisant d’un blanc verdoyant, se mettant à tournoyer dans une zone, il commença à prendre en compte le mot « Respire » pour ce qu’il était en guidant Ewia vers un recoin pour la faire respiré.

Inspirant grandement, avant de se mettre à toussé à cause d’une odeur simplement infâme, lui dévoilant vaguement quelque chose devant elle. D’un coup, elle ôta le tissu enchanté qui couvrait la statue de pierre : Un Lalafell, d’un visage trahissant l’effroi, essayant de s’enfuir hors des flammes le happant. Une fumée sortant de sa bouche, et des larmes perlantes le long de ses joues. Merethir avait essayer d’apaisé un étudiant avec Ika, mais c’était ce qu’il ne fallait pas faire. Les guérir trop vite. Un Elezen s’effondra au sol en bavant en essayant de parler avec Ika et Merethir tout tremblant, expliquant que les gemmes élémentaires découvertes par Sakuhane devaient permettre à être installé dans six encoches devant se trouver sur la même stèle, bien qu’à l’opposé du versant qu’on voyait pour l’instant. Tout avança très très vite quand Astrelle infusa d’énergie obscure les statues de chevalier ayant des morceaux cachés d’insignes de serres, n’inspirant rien de bon, avant d’essayer de faire exactement ce qu’elle avait vu apparaître en passant sa lame pour essayer de les brisés.

L’énergie des ténèbres passa en relais dans les différentes statues, et les quatre s’éveillèrent doucement de la léthargie de manière prématurée, des chevaliers du Corbeau Mauve installé ici comme retrait, dans des étranges stases les ayant transformés en pierre. Olorion était bien occupé à sauver la vie du jeune Elezen en lui permettant de respiré avec une bulle d’air pour réadapté son corps à une respiration normale, alors que Sakuhane avait fait récupéré le livre du jeune homme, il fallait trouver absolument les six encoches pour comprendre l’ordre élémentaire des six cristaux. La fumée sortant de la bouche du Lalafell était la cause de l’aspect maussade des locaux, mais comme le découvrirent Astrelle et Ergun en frappant leurs adversaires dans des blessures graves, elle gagnait les plaies des chevaliers maudits pour soignés leurs blessures à toute vitesse, les empêchant de faillir. Merethir empêcha un archer de décoché vers Ewia, qui venait de briser d’un coup de bouclier la statue du Lalafell, du sang tombant en trombe des fissures alors que de la fumée sortait de là où la « statue » représentait du feu. Colmaté tout ça était devenu sa priorité, jusqu’à ce qu’Olorion puisse lui venir en aide rapidement. Mais elle nous avait donner le temps de pouvoir contre-attaquer efficacement, et les Chevaliers du Corbeau Mauve ne firent vraiment pas long feu.

J’en abattit un grâce à Ika quand il fit explosé son arc avec sa pistolame, et un autre aux côtés de Merethir sur les flancs quand il le planta contre un mur. Ergun avait proprement décapité son adversaire de ses chakrams tandis que le dernier se sacrifia pour essayer d’emporter Ika – Qui vola plus loin en s’écrasant contre une rambarde, ainsi qu’Astrelle et Ergun qui survécurent grâce aux protections d’énergie confiée par nos camarades. Il fut exécuté d’un coup net, son corps n’étant plus qu’une carcasse maudite, avant que tous ne s’intéressent à la porte. Il y avait des lueurs mauves en dessous, n’augurant rien de bon, Ewia sous le stress de la situation. Olorion avait littéralement brisé la statue du Lalafell, libérant l’âme du pauvre souillé dont le spectre disparut en l’air dans un cri de souffrance qui était horrible à voir, et toute la fumée cessa d’un coup. Les six encoches représentaient la logique élémentaire, une des grandes bases de l’occultisme, qui fut rapidement complété par les six gemmes. Un cercle se mit à tournoyer d’un cristal à l’autre dans une lueur blanche magnifique, et les portes se mirent à avoir une ligne blanche passant du haut des portes, en glissant doucement, délicatement, jusqu’en bas. Dans un bruit de bois bousculé lentement, elles s’ouvrirent, laissant voir l’obscurité absolue, trahie par des formes nous fonçant dessus.
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Tout le monde se préparaient à recevoir des ennemis de plus. Astrelle levant bien haut son épée pour frapper, tandis qu’Ika générait en vitesse un bouclier cristallin d’une énergie incroyable. Ewia fut en première ligne, levant son bouclier pour le rendre plus imposant encore grâce à l’éther, Les autres nous rejoignaient après avoir fini avec la fresque des éléments pour voir à l’intérieur alors que les silhouettes arrivèrent, Olorion attrapa Ewia d’un sort pour l’attiré d’un coup vers lui, afin que les étudiants paniqués puissent effectivement sortir, Astrelle déviant son coup en l’écrasant par terre, et deux pauvres étudiants se cognant sur le bouclier d’Ika en se sonnant légèrement. Heureusement, bien plus de peur que de mal au final, mais ça aurait pu être dramatique ! Levant la lanterne d’Ewia, Olorion fit reluire une lumière d’argent qui éclaira les environs plus efficacement en encore en infusant ce qu’Ewia portait à la main.

Laissant voir des couleurs tachés d’un sang qui était en train d’écrire de très nombreuses runes et autres souillures tout seul. Les lueurs mauves plus loin indiquaient la présence du Hicor, mais les bruits de métaux, et les quelques cris, eux n’indiquèrent rien de bon. Nous hâtant dans cette destination, nous avons pu voir la scène suivante : Notre venue avait du amplement précipité les actions prévues du Corbeau Mauve, et ils tentèrent le tout pour le tout en essayant d’atteindre l’Hicor. Deux massifs chevaliers du Corbeau mauve erraient, cherchant encore des étudiants qui généraient, alors qu’un occultiste gisait sur le cercle prévu pour renvoyer toutes entités du néant voulant s’introduire ici, peu efficace puisqu’il avait presque fini le cercle et que plus personne n’était dessus depuis son décès. L’emblème de Nald’Thal présent par respect pour la divinité maîtresse des Occultistes siégeait devant l’autel des rituels d’Adel’Delroy, qui était couvert dans champ de protection où l’Hicor se trouvait à l’abri des chevaliers. Une brume de plus en plus fournie, laissant suggérer l’apparition imminente de quelque chose de très mauvais, gagnait en grandeur devant le cercle.

Mais directement, le spectre qui ressemblait à un sorcier, se tourna vers nous. Ce fut sûrement Ewia qui nous protégea tous, en frappant avec son bouclier infusé par la lumière d’Olorion en lui traversant le visage, écrasant sa mâchoire comme si elle était devenue palpable. Ce qui l’empêcha de hurler dans un cri aigus terrible qui nous aurait tous envoyés à terre si rien n’avait été fait, en distordant la forme du spectre en une brume obscure. Dans une ruée fantastique, les deux chevaliers du Corbeau Mauve ne furent largement pas de poids, l’un reçu un sort de ruine et une pierre de Sakuhane et son petit camarade dans un grand bruit de terre brisé, peu avant que la lance de Merethir ne l’empale là où je profitais pour trancher net. Le second fut dévasté par les impacts fournit par les chakrams d’Ergun tandis qu’Ika trouvait une faille pour frapper aux côtés d’Astrelle dont l’obscurité comme des griffes lacérèrent sont armure.

Cela nous laissait du temps pour agir en retour, un jeune occultiste épargné de la mort par ses actions rapides, mais la chose qui désirait sortir de là s’incarnait de plus en plus. Un bras de métal jaillit, passant à travers la protection d’Adel’Delroy dont les blessures le faisait de plus en plus souffrir, essayant de saisir le Hicor au milieu de la protection. La lame immense d’Astrelle retint le dit bras en le désincarnant brutalement dans un grand vacarme d’acier, réapparaissait doucement là où il fut brisé en laissant le buste métallique du premier serviteur d’Arun’Brakkar. L’ancien sorcier du premier L’inrien. Hector Spencer, cette âme déchirée n’étant plus qu’une armure emprunte de douleur et de colère.

Il fallait absolument trouver un moyen de le renvoyer, le Spectre ne put pas faire de mal de plus quand Olorion déposa ses mains emprunt de lumière sur son corps en se mettant volontairement en danger, avant que Merethir, Ika – Après qu’il ait soigné Delroy d’une cartouche Aurore, Ewia et moi même ne le transpercent une fois qu’il fut incarné. Disparaissant en poussière, ce fut pile le moment où il était le temps d’en finir, car Sakuhane ayant pu finir le cercle de Renvoie en se concentrant pour l’activé afin que ce monstre rentre d’où il venait. Olorion quant à lui infusait la statuette de Nald’Thal, chassant l’obscurité qui à travers les marques de sang souillait ce lieu sacré, la statuette s’animant doucement dans une lueur qui renforça tant le renvoie, un pilier de pierre venant le frapper dans le dos. Mais Spencer était une créature de pouvoir, et de destruction.

Levant ses quatre bras lourdement, Spencer dressa une épée faramineuse en la tenant de ses membres métalliques, les Chakrams d’Ergun frappant brusquement l’acier de ceux ci tandis que Merethir, courageux, vint planter sa lance dans son torse avant d’être ejecté quand il abattit sa lame de toute ses forces. Ewia, Astrelle et Ika luttaient aux coudes à coudes, levant bouclier et lames pour arrêter l’épée qui avait été affaiblie par leurs camarades, tandis que je m’acharnais à essayer de briser l’élan de la lame par mon propre sabre. Les secondes étaient comme des minutes, dans l’intensité du choc, jusqu’à ce qu’il cède et les lueurs d’éthers moururent en même temps que Spencer fut renvoyé dans les limbes abjectes dont il provenait. L’influence du Corbeau disparue, l’obscurité factice disparue avec les cabalistes en laissant les lumières des bougies éclairés les lieux souillés. Le calme, de surface, mais l’Hicor avait reçu une minuscule fissure qui n’augurait rien de bon. Rapidement scellé par Delroy et les Occultistes, notre prochaine objectif serait visiblement de récupéré un des artefacts du Corbeau directement chez eux pour que le Maître-Occultiste puisse essayer de « vider l’hicor » sans créer de faille vers le néant. Et pour les retrouver, Merethir avait trouver un carnet de voyage d’une certaine caravane qui nous serait vraiment fort utile. »
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Message par Akayane » 21 avr. 2020, 01:09

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Diverses missions pour les Crocs de Safran."

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Cinquante-deuxième Entrée – « Acte 4 – Dans un marais infâme.»
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« Heureuse de retourner en mission intégralement pour la compagnie des Crocs de Safran, notre objectif cette fois était de retrouver un Roegadyn âgé du nom d’Abram Proudsong. Celui ci ayant vraisemblablement disparut dans un marais au sud-est de Sombrelinceuil avec deux jeunes aventuriers en escorte pour enquêter sur une sorte de maladie présente dans la nature même. Des racines noires, et autres, il n’avait aucunes informations avant de partir avec son courage, ses deux camarades d’escorte et un éthérimètre pour découvrir quel était la véritable nature de ce qui se passait là-bas proche d’un village rempli de personnage extrêmement close au contact humain. Et vous vous en doutez, malheureusement, il à disparut avec ses deux jeunes compagnons. C’est à partir de là que des mercenaires sont engagés pour retrouver ceux qui ont disparut, la compagnie ayant formé une équipe pour avec comme chef de mission Aerlin, et présents dans l’escouade : Amy, Kiba, L’vinus, Lamahni et moi même.

Hélas ! Moutah n’avait finalement pas pu venir, habituée aux pouvoirs des cieux du Lalafell je me remettais alors aux talents de mes compagnons pour tout de même venir à bout d’une souillure malsaine. L’équipe s’est alors retrouvé proche du Moulin de la carrière avec pas mal d’équipement de voyage dans les marais, il faut dire que la plus grande et première épreuve à défaut de survivre à une contamination possible, c’était de parvenir à supporter les heures et les heures de marche dans des conditions âpres. Des lieux et des lieux où il fallait bien levé les jambes pour ne pas être entraînés par des lianes vers les tréfonds boueux, chutant sur les petites carrières de pierres ou finissant dans les branchages et les brindilles vicieuses, c’était là tout le combat pour progresser ensemble en mitigeant nos efforts en des pauses nécessaires pour ne pas finir éreinté avant même d’être parvenu à destination. C’était donc pour ça que L’vinus avait apporter un casse-croûte ! Lamahni elle nous avait dégoté des bâtons de marche pour s’appuyer sur les espaces irréguliers sans chuter, tandis que pour ma part, j’avais fais venir Wilbert. L’immense Chocobo de bataille prenait son rôle avec le stoïcisme commun d’un chocobo conscient que son rôle est de protéger, servir, et agir. Présent pour transporter les blessés, son rôle serait minime malgré son envie évidente et habituelle de foncer dans le tas en écrasant ses ennemis de ses énormes pattes.

En finissant de distribuer nos affaires, nous nous sommes mis en route en passant à travers différentes étapes – Un long passage sous la roche où il fallait correctement se tenir pour ne pas choir, dedans la luminosité n’était pas vraiment de mise mais les bioluminescence de la flore merveilleuse aidait tout du moins jusqu’à ce que nous quittions l’enceinte de la Sylve et de ses esprits influençant la beauté des lieux. Progressant désormais dans un domaine fongueux, les moustiques tournoyant dans tout les sens dans le cri de guerre désagréable en essayant de dévoré ce qu’ils voyaient de peau. Amy se concentra sur sa perle, dont nous avions l’interdiction de les mettre en commençant à entendre les vagues murmures lointains de milliers de milles pattes se déplaçant en vitesse dans des grésillements.

Et ce sont les pouvoirs d’élémentalistes qui furent utilisés d’Aerlin qui se concentra sur les environs en soulevant son bâton, essayant de sonder les besoins de la nature et des mânes environnant avant de constaté la lourdeur, l’oppression, comme nous commencions tous à ressentir comme si nous étions loin d’être les bienvenues. Cheminant de nouveau sur la route de pierre avec cette impression que tout était prompt à nous sauter dessus en nous emportant dans les eaux boueuses avant de nous étouffé avec moult brutalité, le passage fut relativement calme malgré une présence rapide passant d’une branche à une autre à une vitesse inquiétante. Définitivement, l’instinct de la plus part se mettait en route avec l’impression que tout pouvait devenir une menace dans l’immédiat. Continuant notre route vers le village des personnes comme jugé « extrêmement peu ouverte » d’après les propos d’Oriol, il fut aisé de découvrir que nous étions arrivés trop tard. Puisque le village était en cendre.
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Difficile au loin de pouvoir jugé de ce qui avait bien pu se passé ici, tout à été dévasté avec la fureur d’un feu dévorant en ne laissant que des décombres fumant de ce qui furent quelques masures et des palissades pour se protéger de l’extérieur. Plusieurs furent surpris d’une telle dévastation, il était donc temps de comprendre ce qui avait pu se passer en espérant avoir des informations sur Proudsong dont le devenir était de plus en plus incertains puisqu’il était maintenant plus probable de le retrouver en poussière enflammée que prompt à répondre à nos questions.

Avant de nous avancer vers la ville, il était nécessaire de faire une petite investigation : Lamahni, Kiba et L’vinus restèrent à l’affût en guettant les environs tandis que j’observais de ma longue-vue là où la jeune combattante miqo’te désigna deux personnes plus loin. Ils avaient l’air de fouiller les environs armés de fourches ou de bâtons en repoussant les cendres des bâtiments effondrés, vêtues de fripes moribondes, je doutais alors qu’ils n’agissent de menace en informant notre chef, Aerlin, qu’il s’agissait probablement de survivants de la catastrophe. Lui pendant ce temps avait inspecter les lieux magiquement, en comprenant bien que la souillure était désormais vraiment proche comme ayant gagné les lieux par ses profondeurs à la manière de milliers d’insectes installant leurs galeries souterraines pour conquérir l’extérieur par la suite. D’après la perle, Amy était consciente que le bruit s’accentuait de plus en plus, alors que nous approchions du lieu avec pour idée de discuter avec les deux personnes qui furent simplement identifiée comme étant des benêts.

Amy était légèrement en arrière sous la surveillance de Lamahni et L’vinus pendant son inspection des lieux grâce à ça perle tandis que je venais m’installer sur un rempart brisé plus loin. C’était le moment le plus tranquille du voyage, en profitant pour sortir un sandwich et ma gourde d’eau en un goûté remotivant agréable en prenant bien soin d’observer les environs de ma longue-vue. Il ne se passa rien, Aerlin discuta avec les deux personnes qui lui indiquèrent une voie à suivre pour essayer de retrouver Proudsong mais aussi une vérité sensible : Le chaos qui à submerger la ville semblait provenir du puits au milieu de la ville. Me faisant signe de revenir, le groupe se retrouva pour aller voir ce que pouvait abrité le dit puits en guise de mystère et de problèmes à venir. Ceux ayant les meilleurs yeux pour regarder au fond furent désigné pendant que d’autres montaient la garde, mais l’investigation ne semblait que révélé un problème avec les eaux. Problème qui fut rapidement mit de côté pour un plus urgent quand deux créatures hideuses et non-naturelle foncèrent vers nous.

Leurs peaux d’un noir goudron avec de nombreuses épines, un crâne animal mais un corps bipède humanoïde bien que hautement déformé, seule notre vigilance permit de les empêchés de nous atteindre et de nous étripés avec une furieuse brutalité. Amy directement prépara des cartes d’astromancie pour nous offrir du support, et Kiba et moi formions la ligne en les attendant. Ils furent accueillit à grand coup de lames en leurs laissant des blessures sérieuses : Le bras de mon adversaire vola en l’air, tranché net. Aerlin était hors-combat, sa concentration sur l’eau du puits l’avait trop plongé dans la souillure et s’en extirpé l’avait bien sonné. L’Vinus explosa brutalement son adversaire d’un coup de poing renforcé par Amy dans un excès de violent punitif, laissant l’ichor noir en sortir et éclaboussé les environs. Une dague peu après avoir esquivé une griffe hideuse cherchant à me tailler en pièce, cognant sur mon épaulière dans un grand bruit d’acier, mettant cela de côté pour frapper d’estoc grâce à la puissance conférée par Amy. La foudre fit le reste dans un éclair vengeur, le carbonisant de l’intérieur en le laissant choir proche de son camarade. C’était inattendu, voilà sûrement les créatures qui sautaient depuis les branches à notre venue, et pendant que j’inspectais l’emplacement d’où ils venaient, Amy m’appela pour reprendre la route : La piste d’Abram Proudsong nous menait vers le cœur du marais. Pour y trouver sûrement enfin nos réponses.
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Reprenant notre route en quittant cette pauvre ville brisée par les flammes, laissant au petit bonheur la chance la survie à ceux qui ont si courageusement fuit dès les premiers hurlements étranges des créatures que nous avons tués, afin de retourner dans les marais loin des routes humaines. On suivait dès lors les informations des voyageurs mais aussi le filin tendu d’une présence particulièrement nocive sûrement coupable de ce qu’il s’est passé dans la ville. Bien que nous n’en avons pas de preuve : En élément même de la nature qui mettrait le feu à la nature ? C’était pourtant ce que semblaient dire les deux lurons, même si j’avais du mal à me convaincre moi même. Cependant, mon rôle était avant tout de protéger ceux qui inspectent les lieux, alors en route vers un lieu de marais bien plus sauvage encore. Il devenait difficile de ne pas enfoncer nos bottes dans l’eau, d’immenses racines s’extirpant de la fange nous permettant d’avoir un moyen de progresser sans finir à nous noyer dans la vase. La pression dans la perle d’Amy était de plus en plus forte, comme si nous approchions du nid même de cette chose qui demeurait ici sans qu’on ait encore de nom, de forme, ou de force à concevoir.

De toute façons, notre rôle était avant et surtout de rejoindre Proudsong qui espérons le ressemblait encore à quelque chose et n’était pas disparus sous sol, au quel cas trouver son corps serait quelque peu difficile. Mais alors que nous avancions dans ce maudit lieux de plus en plus oppressant, un immense arbre aux racines noires comme le centre mère d’innombrables passages menant vers les eaux en de multiples vaines presque organiques cherchant possiblement de la nourriture qui pourrait nourrir la damnation vivante qui est en train de prendre de l’ampleur. Kiba trouva sur une des grandes racines internes et non-noire infâme le carnet de Proudsong tandis que son corps lui était légèrement plus loin étalé sur une berge proche des eaux puantes. Il avait les jambes brisés, mort depuis quelque temps, l’état du bras de son corps enroulé dans les racines était tout sauf rassurant car c’était à un stade de nécrose beaucoup plus avancé qu’ailleurs. Amy continuait de vérifié la perle et les bruits mais c’était assurément là où on pouvait avoir l’impression de frapper à la porte du mal même, Aerlin bien décidé à au moins accomplir notre mission.

Il n'y avait plus qu'à récupéré le corps, ses recherches, et son matériel. Mon sabre trancha net les racines enroulées autours des jambes de Proudsong ce qui produit alors plus loin un chuintement abominable qui s’éleva doucement en l’air dans un cri de souffrance semblable à des mandibules cognant contre du fer forgé. Les efforts à fournir pour purifier cette terre était au-delà de nos préparations, nous avons rapidement récupéré ce que nous devions en installant sur mon chocobo de guerre le corps de Proudsong en l’attachant bien avec ses affaires comme son carnet de note et son éthérimètre. Il était grand temps de partir avec l’accomplissement de notre quête pour Oriol en revenant avec le corps et les ressources, tout en pouvant signaler ce qui se trouvait là et à quel point il fallait de l’aide pour évité de nouvelles contaminations. Récupérant derrière nous un peu de tout : Le mucus noir écœurant, des morceaux de racines, je récupérais par moi même un bras et une tête de bêtes du village pour pouvoir faire des études approfondies avec quelques contacts, dont Olorion, de ce que cela pouvait définitivement bien être. Notre mission s’est alors conclue sur la disparition des deux jeunes aventuriers dont je suspecte être devenu les créatures immondes du village, et notre brave Proudsong quant à lui, Paix à son âme et puisse t-il se reposer dans la mer des étoiles tranquillement désormais. »
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Message par Akayane » 23 avr. 2020, 15:34

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un loup qui hurle à la Lune noire."

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Cinquante-troisième Entrée – « Acte 5 – Le repos de l’Esprit-Loup.»
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« Les lieux n’étaient pas à sous-estimé, vraiment. Un des dragons envoyés par les alliés de Marass de l’Annexe Trime chuta depuis les cieux pour s’écraser dans un lieu de neige irréelle au sommet d’une montagne Dravanienne où le froid avait conquit la terre comme une vieille malédiction. Conscients qu’ils n’auraient que plus de victime à essayer d’approcher l’emplacement indiqué par la carte récupéré là où ils préparaient les loups-blancs de la chasse, nous avons été contactés afin d’être envoyés une nouvelle fois au sol pour essayer de se charger de découvrir ce qui est arrivé au jeune dragon ayant chuté dans une brume illusoire, et atteindre le Haut-Prêtre du culte afin de définitivement nous en débarrassé. Là-bas, il ne fallait pas se fier spécialement aux murmures ou à ce que la folie pourrait nous inculper comme pensée forcée dans nos mémoires, être affectés dans nos sens pour y voir une réalité piégeuse et mensongère.

Et pourtant, alors que nous étions inquiets de tomber sur bien des problèmes, sans le savoir encore toutes ses images seraient le début de la solution pour arranger bien plus la situation qu’elle n’aurait pu l’être. Bien plus que tout les morts et les sacrifices n’auraient suggérés pouvoir accomplir. Nous nous sommes retrouvés alors dans l’Idyllée à notre coutume pour discuter un peu avec Marass avec notre équipe de plus en plus réduite en ce moment. Amy était présente avant moi, et nous avons été rejoins par les habitués concernés par cette affaire que nous avons rencontrer à travers cette affaire, Sjrn et Aristide. Discutant un peu de notre objectif, nous avons finalement pu prendre le voyage avec nos chocobos en direction du lieux en parcourant la beauté Dravanienne et les grandioses ruines d’une société ancienne. Jusqu’à ce que petit à petit, gravissant les hauteurs rocheuses sous l’effort des braves compagnons de monte qui nous guidèrent sans faillir, aux premières brumes s’étendant doucement face à nous en laissant les neiges envahir nos jambes.

On ne pouvait pas y voir à un Yalms de distance, mais Sjrn avait raison, il fallait quand même s’y rendre quoi qu’il en soit et je fus prompt à répondre à cela en organisation une colonnade de notre petite équipe pour que tous ait toujours quelqu’un à voir devant lui. Sauf moi, puisque j’étais devant ! Et ça c’est des plus stressant, progressant doucement à travers le flot frappant sur mon visage et ma tenue avec un froid inattendu pour moi étant habituée à ça. Après un temps passé où nous avons bourlinguer sans y voir grand-chose en quelques conversations, une lueur blanche naquit et l’écho de voix incompréhensibles se mirent à jaillir de nulles part. C’était peut-être là enfin les fameuses illusions, et je m’apprêtais à dire de passer au travers sans y faire attention mais il y avait un sens, très intéressant. Ce n’était pas le début de la folie mais bien le début des énigmes qui nous permettrait de comprendre ce qui se passait ici de la part d’un allié inattendu.
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Prenant petit à petit forme dans des lueurs presque spectrale en gagnant les silhouettes de personnes lors d’une scène du passé qui était sur le point de se joué devant nos yeux. Deux adeptes marchèrent un peu en arrière, comme horrifiés par ce que l’homme s’apprêtait à faire avec un orbe d’énergie en évoquant, maudissant, le nom de son propre dieu. Il était sur le point de voler son pouvoir en trahissant tout ses principes pour en volé la force afin d’acquérir pour lui même la puissance d’accomplir ce qu’il souhaitait. En outre, il était sur le point de corrompre le Dieu-loup, et alors que la scène se préparait à arriver à son point culminant, tout se figea d’un coup.

Comme si on avait décidé de figer le temps pour laisser parler un immense Elezen marchant toujours en contemplant ce qu’il venait de se passer avant de s’adresser directement à nous. Difficile de dire si il était conscient de notre présent ou si ce n’était que l’effet du sort, de la magie en phase se préparant à nous expliquer ce que nous étions censés comprendre, mais il nous dit que celui qui était « Le Fils », le Haut-Prêtre, vola l’essence de son pouvoir et rendit fou l’incarnation du Loup lui même afin de devenir le Père de la meute. Jadis gardien, protecteur des siens, il devient à la place un vulgaire pantin à la solde d’un nouvel Alpha qui pu corrompre le rôle et le devoir qui fut jadis siens. Une porte vint à apparaître de nulle part proche de nous dans un filin de lumière aussi pure que la neige environnante avant que n’y tournoie en son centre quatre symboles élémentaires.

Notre objectif était visiblement de comprendre quel était le cycle incarnant l’énergie élémentaire de cet esprit, et ce qui lui fut dérobé pour être ainsi instable, et pour ça nous avions une arme secrète : Aristide. Il ne mit pas bien longtemps à comprendre le cycle avant d’installer ses mains sur les différentes runes incarnant le Vent, la foudre, la glace et pour finir l’élément extérieur à cette partie du cycle astral : La terre. Tournoyant en vitesse comme réagissant à l’effet de ses doigts, la porte s’ouvrit en laissant derrière uniquement la neige, de la neige à perte de vue mais au moins, des traces de pattes de loup si fortement ancrée dans la neige qu’elles étaient visible malgré la brume. Progressant à la suite de celle ci, de nouveau, le jeu d’énigme nous apparut en une nouvelle scène du Haut-Prêtre face à ses adeptes se préparant maintenant à partager son pouvoir avec ses nouveaux ouailles. Se déclarant du haut de son pic comme étant le Père du nouveau culte des serviteurs de ce gardien, il n’y avait jadis par cet aspect de prière et d’adorateur identique à celle d’un Primordial. Draumr Svartr n’était pas un Primordial, mais un esprit gardien dans des terres perdues de Dravania dont l’ambition de son plus haut représentant, de son plus proche « fils », était de l’élevé à l’état de Divinité en lui volant l’entièreté de son pouvoir pour n’en faire qu’un chien de garde.

Face à ce sentiment, l’Elezen immense réapparut pour de nouveau nous proposer de comprendre et de répondre à son questionnement. C’était visiblement une manière de nous tester pour essayer de savoir si nous étions prêts et digne à comprendre ce qu’il s’était passé et ce que nous pouvons faire pour y remédier sans créer plus de problème que nous étions venu en arrêter. La question cette fois était de comprendre le sentiment proche de la rage, et pourtant opposé, qu’il avait du ressentir quand tout s’est écroulé. Amy tomba presque dessus dès le début, en parlant de compassion, mais ce fut Aristide qui donna le mot juste en prenant juste un morceau du mot d’Amy : La Passion. Une passion dévorante ayant tout fait s’écrouler jadis. La porte s’ouvrit, et dévoila non pas des traces de pas, mais le cadavre du dragon que nous étions venu retrouver. Souillé et dévasté, l’Elezen était proche du corps et étendit un bras en direction du Haut-Prêtre et d’un grand loup noir avec une lune sur le front. Il préparait visiblement la suite, sans avoir conscience de notre présence dissimulée par cette brume créer par cet immense Elezen qui n’était rien d’autre que tout ce qui restait de bon et de contrôlé dans l’esprit de Draumr Svartr. Ainsi, il était enfin temps de frapper le cœur de cette folie.
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Petit à petit, ce qui était un Elezen devint un petit Loup d’un blanc pur, immaculé, à l’image de ceux que nous affrontions jadis avant qu’ils ne se désincarne. Mais lui, il était bel et bien de notre côté, se mettant entre nous et le Haut-Prêtre en fixant celui ci comme prêt à bondir dessus. Notre objectif fut très rapidement discuté, et clarifié : Nous n’étions plus là pour simplement détruire tout ce qui était attrait à l’esprit, mais bien à le libéré. Ainsi le grand loup noir devait être apaisé et son pouvoir rendu, tout comme le Haut-Prêtre quant à lui devait être tué en priorité avant qu’il ne déchaîne quelconques pouvoirs anciens. Sjrn prendrait l’initiation d’éloigné l’immense Loup en servant d’appât, je réfléchissais à la morale d’envoyer un lapin en guise de distraction à une bête sauvage prédatrice pour l’éloigné avant de prendre aisément conscience que c’était peut-être notre meilleur atout.

La danse de Thavnair n’était pas que belle, elle à des vertus éloignant énormément les sentiments les plus violents pour stabilisé de nouveau ceux qui en sont affecté, et peut-être si elle ne se faisait pas manger, pouvait-elle s’en servir pour parvenir à apaisé l’aspect obscure de l’Esprit. Mon katana ayant eu la lame chargée par la foudre d’Olorion crépitante autours de l’acier, je reçu la vitesse d’une des cartes d’Amy pour qu’à la seconde où le Loup fut éloigné, apparaître directement sur le Haut-Prêtre à la vitesse de l’éclair en lui transperçant l’épaule avec aisance. Il vacilla, ma lame dans le bras, avant de m’envoyer paître plus loin d’une grande volée d’un vent cinglant. Les grognements se mêlaient aux sonorités claires des effets de la danse de la Viera plus loin, il était clair que la bête ne se laisserait pas aisément domptée même par des efforts d’une magie aussi paisible.

Olorion se préparant à capturé la foudre, je fis en sorte de l’aider du mieux possible grâce à l’éther dégagé par mon katana toujours à l’intérieur de l’épaule dans un puissant bruit du tonnerre cognant, paralysant ses nerfs pour recevoir les deux Chakrams d’Amy en étant totalement aveuglé par la lueurs blanches. N’y voyant plus rien, je le concentrais sur mes cornes en ressentant qu’il se préparait à lancer un sort quelque part aussi aléatoire, mais le mouvement de sa masse n’indiquait rien de bon pour Olorion, alors que je lançais mon grappin pour lui attraper le bras, et le détourné brusquement vers sa gauche afin qu’il s’oriente vers le Loup sans jamais rien y avoir. Le cercle de feu jaillit et brûla son propre allié dans un bruit explosif, tandis que petit à petit l’image rémanente de l’éclair disparaissait de nos pupilles.

Dévasté par la foudre renforcée par Amy, pendant que Sjrn pu enfin en profiter pour apaiser la bête dans la danse merveilleuse aux chakrams tournoyant l’hypnotisant presque en un mouvement magnifique, je l’écrasa au sol d’un bon coup d’épaule en récupérant mon katana de son épaule. Il s’enferma dans un cocon d’énergie jaunâtre, à l’image de l’éclat de Draumr Svartr pour se transformer en l’incarnation du pouvoir de l’esprit ancien. Ne voulant le laisser faire, j’entaillai un peu plus la faille qu’Olorion avait déjà faite avec son éclair précédent, celui ci renforçant les chakrams d’Amy qui tournoyant de plus en plus vite furent aisément guidée par Amy droit dans le passage ouvert, touchant la cible en dessous en brisant le cocon dans des myriades de fracas de lumières. Il avait commencé à muté, six yeux jaunes sur une figure lupine se hissait face à nous, alors qu’il s’approchait d’Olorion et Amy, des éclairs d’énergies entropiques frappant ici et là en essayant de nous atteindre, en vain. Amy me protégea de tout assauts en générant un bouclier cristallin autours de moi, où les éclairs frappèrent parfois en laissant jaillir la bulle de protection aux cristaux se brisant sous les sorts, tandis qu’Olorion l’affaiblissait de la lumière lunaire de sa lanterne. Ce qui fut exactement le bon moment pour le décapité d’un coup sec du Katana.

C’était fait, enfin fini, et l’esprit de tout ce qu’il y avait de bon de Draumr Svartr nous demanda de briser l’éclat de son pouvoir pour que jamais personne ne puisse en profiter. Olorion, renforcé par Amy, s’effectua d’une foudre d’une grande puissance avant que l’éclat ne se brise, laissant au loup noir son union avec son véritable esprit, son pelage redevenant blanc, installé dans les bras d’une Sjrn attendrie qui tenait son visage contre elle. Pour lui, il était temps de partir se reposer longtemps pour reprendre des forces et que jamais personne ne puisse de nouveau se jouer de lui et distordre l’éther des âmes pour en faire des pantins. Pour nous, c’était la fin de ce périple en recevant les éclats de Draumr Svartr en cadeau : Pure cette fois, des aides quand nous en aurons vraiment besoin, en laissant dans les lueurs nacrées faisant disparaître sa silhouette vers son lieu de repos. Ainsi, la malédiction portée sur le Dieu-Loup disparue, et avec elle, sa prophétie datant d’il y à tant d’année qui ne parlait pas ironiquement de Draumr Svartr lui même. Mais de l’homme qui un jour le trahirait pour prendre sa place. Comme quoi… Toujours se méfié de l’interprétation de toutes ses maudites prophéties ! »

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Dernière modification par Akayane le 19 juil. 2020, 04:09, modifié 1 fois.

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Message par Akayane » 08 juil. 2020, 13:46

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-quatrième Entrée – « Acte 5 – La clé d’une vieille vengeance. »
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« Après quelques temps de voyages, nous y sommes de nouveau. Deux lunes sont passés depuis nos dernières occupations, et c’est rentré d’Hingashi que nous avons rapidement été mit en contact avec nos différents alliés pour rediscuter des différentes affaires. Si une paraissait plus pressée que d’autre, c’était bien la dégradation de la situation dans le Thanalan Meridional. Les subjugués du Nunh manipulé avait formé avec les Amalj’aa ce qu’ils nomment le « Pacte du Feu Vengeur », en vue de parvenir à leur fin quelque soit les mains pensant essayer de les manipulés, qui furent découverte lors de la défense de la Petite Ala Mhigo. Le nouvel objectif pour le Seigneur de guerre à la tête de ce Pacte est ce qu’ils nomment le « Crâne de Sernajj Rah », le nom d’un ancien chaman d’une grande puissance qui jadis servit son Seigneur des Enfers avec dévouement jusqu’à ce que ses tentatives de brisé ses ennemis ne le mène à la tombe. Les adeptes lors, firent de son crâne le joyaux d’un totem installé dans un lieu que nulles ne devrait souillé si ce n’est les plus pures, possédant la bonne clé. Si cette histoire resurgit, c’est bien parce que le dit Pacte avait découvert l’emplacement de la clé et peut-être même du tombeau où devait résidé le totem et le crâne.

Conjoint aux forces des Immortels, toujours auprès du Capitaine Wilfrid Dentelion, notre objectif était donc simple : Attendre que les éclaireurs des Immortels aient fini de suivre discrètement les envoyés du Seigneur de Guerre à l’emplacement de la clé pour les intercepté et récupéré cette dernière. Nous rejoignant pour faire l’inventaire de l’équipement et parler un peu de l’objectif à ceux n’ayant pas pu en discuter ensemble à la salle de réflexion de l’Aube Obscure, le message des éclaireurs même à l’heure de partir, ne vint jamais. Et pire encore, le chargé de transmission censé garder contact signala clairement un fait très peu optimiste : Le contact avait été rompu, même avec l’arrière garde de surveillance. Heureusement, le temps était de notre côté – Du moins, relativement. Le vent soufflait un sable chaud et granuleux sur nos bottes sans que le soleil ne soit un ennemi plus vicieux qu’il ne l’est déjà à supporté.

Notre équipe, première pour notre retour, fut constitué de Merethir, Ika, d’Uldric Seragoix et de son apprentie, une Viera du nom de Lyssid maniant de même la magie de l’invocation sous effort de son mentor. Rapidement nous quittions les zones de vies pour ne faire plus qu’errer dans une terre isolée où Ika trouva rapidement les traces des Amalj’aa qui n’étaient pas spécialement discret. Continuant le cheminement en direction des traces, Uldric avait au moins fait le constat de la présence de plusieurs silhouettes proches visiblement embusqué dans un coin proche des marques de pas. Ika tirant sa pistolame, en se préparant à approcher, nous aurions peut-être du constaté à quel point nos perles de communication étaient brouillés à ce moment là. Un échos douloureux nous parvint, dérangeant la concentration d’Uldric et de sa disciple en ayant faillir faire choir Merethir qui grimpait sur une hauteur pour regarder plus loin. Mais pour Ika, ce fut plus douloureux, car cela l’interrompit quand il fit face à un Amalj’aa massif qui se dressa devant lui dans son approche.

Il y avait là le cadavre de la sentinelle d’arrière garde des Immortels, ainsi que l’étrange rite qui permettait de brouiller les perles. Retirant rapidement la mienne, ce ne fut pas le cas des autres qui furent presque assommés par un nouveau larsen puissant envoyant Merethir s’écraser dans le décors après sa reconnaissance. Vaincre les hommes-bêtes ne fut pas des plus difficile avec une bonne coordination, quand nous avons pu nous protéger des chocs sonores, laissant choir leurs corps après des attaques synchronisés. L’un voulu s’enfuir pour prévenir ses alliés, mais Merethir mit fin à sa course d’un coup de lance net l’empalant au sol. Par terre, le sable noircit, une bille de lumière apparut et le cadavre fut consumé par une haute colonne de flamme s’extirpant à même du sol. Ce qu’Uldric avait découvert en sondant les environs, fut confirmé par deux fois : Merethir avait bien vu ça, quelque chose était clairement en activité sur les lieux. Et notre devoir était d’empêcher que quoi que ce soit de mauvais ne tombe entre les mains de nos ennemis. Tout en allant secourir hélas les éclaireurs dont on entendait maintenant les appels à l’aide depuis que nos perles avaient retrouvé une activité normale, ainsi que les leurs.
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Foncer en avant ne devait pas se faire sans prendre des précautions. Ce qu’avait pu observer Merethir depuis les hauteurs, confirmés par la violence de la destruction du corps devant nos yeux, était un aperçu du chaos de cet environnement menant jusqu’au lieu sacré où devait se trouver la clé. Les carbuncles d’Uldric et Lyssid bondissaient en avant à toute vitesse en esquivant de peu certaines colonnes de flammes tandis que nous progressions dans leur sillage en évitant soigneusement les zones de sabres sombres et toutes billes lumineuses visibles, même si le reflet du soleil était trompeur sur le sable au crépuscule. Des colonnes de flammes jaillirent, et le début des problèmes fut de trouver notre chemin entre les hauteurs rocheuse de pierre. Quelques idées vinrent, mais l’élément le plus logique pour y parvenir était de se laissé guidé par les éclaireurs donnant des indications pour y parvenir. Ika fut notre guide, le Thanalanais s’y connaissant bien dans de telles terres nous évita de passé à des lieux où des vagues enflammées dévoreraient tout s’y trouvant comme le petit carbuncle de Lyssid envoyé par un passage en certifiant quelque chose : Il est impossible d’atteindre le cœur de ce site « sacré » même isolé au milieu de nulle part, sans savoir exactement comment s’y prendre.

Parvenant donc à évité le pire en fonçant en groupe soudé, nous sommes rapidement tombés sur l’emplacement des éclaireurs : Il y avait des nombreux corps de ceux qui furent simplement massacrés par les Amalj’aa, les tenues sombres des Immortels mêlés aux quelques corps des hommes-bêtes qu’ils purent emporter avec eux. Ce combat pour la survie était devenue un jeu de cache-cache malsain où les servants d’Ifriit jouaient à trouver les survivants cachés. La Hyuroise qui nous avait guidé ici agonisait dans un recoin bien caché, se dévoilant à nous, alors qu’un autre était sur le point de se faire exécuté. Ce qui était parmi les objets les plus surprenant, était définitivement une sphère d’os et de bois particulièrement ouvragé qu’un Amalj’aa semblait purifié, ou du moins, scellé en jetant des os sur un cercle de sable noir, provoquant des colonnes de feu régulière qui à chaque fois avait l’air de ressourcer un peu plus la dite sphère.

Nous ne fîmes pas vraiment une bonne impression, la plus part se mettant à rugir et à parler dans cette langue guttural puissante qu’est la leurs, mais je pouvais reconnaître ses insultes à propos des humains misérables que nous sommes à leurs yeux. Ika fit jaillir un bouclier d’une de ses munitions pour protéger l’éclaireur sur le point d’être massacré un peu plus loin, à la grande frustration de son adversaire, pendant qu’Uldric sauvait de peu la vie de celle qui nous avait aidé à venir ici, l’extirpant de là avant qu’une colonne de flamme ne la laisse en tas de cendre tout en s’occupant de ses blessures. Les traits immenses des flèches des Amalj’aa s’écrasaient autours de nous, me laissant une blessure qui aurait pu être terriblement plus grave sans un mouvement de côté, et à Lyssid une douleur à la cuisse puissante quand un trait la frôla en y dessinant un passage sanglant. Ika avait du intervenir en vitesse pour empêcher celui qui envoyait ses os sous la sphère de continuer, après que Merethir l’ait empalé au sol de sa lance, pour pouvoir récupéré plus aisément l’étrange objet flottant doucement dans le vide qu’il semblait vouloir préservé de nous.

Devant le massacre de leurs pairs, les deux archers qui nous tenaient en respect se mirent à fuir vers le passage afin de le faire s’écrouler grâce à un de ses petits totems explosif comme nous en avions déjà tant subis il y à quelques lunes de ça. S’illuminant de plus belle, ils n’eurent pas le temps de faire s’effondrer le passage que Merethir et moi étions déjà dessus, les carbuncles aidant largement à les empêchés de partir trop loin, cela n’empêcha pas le passage d’être sur le point de se clore pour une durée indéterminé quand le sable devint d’un coup d’un noir profond, des billes lumineuses apparaissant ici et là. Si nous étions déjà passé avec Merethir, les autres hésitèrent, ayant faillit oublié de prendre la sphère importante, Lyssid parti la récupéré avant de fondre tout les trois vers le passage pour essayer de nous rejoindre. Les éclats de roches d’Uldric parvinrent à donner le temps à Ika de faire jaillir un bouclier éclatant empêchant les flammes de les réduire en cendre, afin de nous retrouver, bloqué devant un fin mur de flamme comme une lueur enflammée, contemplant l’ennemi sur le point de récupéré la Clé du Tombeau.
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Merethir avait déjà eu le temps d’analyser le passage, un mur de flamme presque douce avec en son centre là où devait certainement être installé la sphère que les Amalj’aa souhaitaient mettre hors de portée de nos mains. Il aurait sûrement été trop aisé de demander à ce que ce soit facile de l’y installer, mais il fallait une corpulence et une forte digne pour parvenir à atteindre l’espace sans que la vapeur intense comme un répulsif ne nous en empêche. Lyssid s’y essaya sans parvenir à atteindre l’emplacement, et le sifflement aiguë de la vapeur se fit entendre partout dans le passage. L’Amalj’aa de tête, un guerrier dans une lourde armure de plaque noire ornementé d’os et autres colifichets rustiques, brailla ses ordres. La Griffe d’Urdhan, voilà comment ses laquais le nommèrent, qui réfléchissait à commencer obtenir la clé qui flottait lentement au centre du site rituel dont l’ambiance reflétait un mysticisme ancien : Comme l’écho de tambours lointains, des drapés déchirés et usés par le temps flottaient au dessus de nous, ainsi que quelques cercles de pierres à la symbolique inconnue. La griffe attrapa un de ses laquais, et lui fit récupéré la clé. Les runes installés autours s’étendirent, et il fut littéralement dévoré dans les flammes en un hurlement puissant, le corps craquelant comme si le feu avait décidé de lui même rentré dans sa carcasse.

Et les deux statues de pierres en formes d’Amalj’aa autours de la clé prirent vie, marchant vers la clé dans l’objectif de la scellé, des stries de laves apparaissant le long de leurs carcasses de pierres noires. D’un coup, les serviteurs de la Griffe mirent un genou à terre pour commencer à prier au Seigneur des Enfers afin de lui demander la légitimité et l’accès à la clé pendant que lentement, les deux statues de roches progressaient vers cette dernière. Nous devions intervenir au plus vite, le carbuncle de Lyssid s’y tenta mais fut brusquement ejecté en arrière à son tour. Impossible d’y parvenir seul, c’est ainsi qu’Ika récupéra la sphère de bois et d’os afin de progresser lentement vers son emplacement tout en étant soutenu par une colonne de ses camarades : Merethir se tenait dans son dos, le poussant en essayant de progresser, et moi tout derrière. Lyssid et Uldric tentèrent d’éloigner la vapeur le plus possible pour lui laisser l’accès, et c’est dans la douleur, dans une chaleur intense produite autant par le mur éphémère que par les colonnes flamboyantes naissances le long de la passe provoqué par les deux archers, que nous avons finalement pu déposé la sphère dans son encoche.

Elle resta un instant dans le vide, avant que ses runes ne s’illuminent, venant capter les flammes environnantes pour nous libéré l’accès. Un nuage de poussière apparut peu après l’extinction du mur, laissant à peine le temps de voir le boulet piquant nous fonçant dessus projeté par la Griffe d’Urdhan. Repoussant cette dernière dans des mouvements instinctif avec Merethir et Ika, notre rôle était d’urgence parvenir à récupéré la clé sans finir dans le même état que l’Amalj’aa ayant essayer de la toucher. Le long du combat, pour ma part, je luttais avec les serviteurs malgré la douleur des différents chocs subis plus tôt. Merethir voulu intercepter la griffe d’urgence, mais ce dernier était un guerrier des plus entraînés – forgé certainement par la survie à de nombreuses batailles, la violence de conflit sanglant et les bénédictions des siens. Soulevant l’Elezen en brisant la protection d’Ika en passant littéralement à travers en éparpillant les cristaux comme si ils n’avaient jamais exister, il guida lentement notre compagnon vers la clé en espérant pouvoir le sacrifier en échange du droit de pouvoir la saisir.

Ika et Lyssid ne laissèrent pas cela advenir, l’apprentie d’Uldric se concentra sur des effets maladifs, affaiblissant de plus en plus le grand guerrier jusqu’à ce qu’Ika puisse frapper son bras de sa pistolame, libérant l’Elezen, dont les jambes percutèrent le plastron dans un bruit de cloche résonnant. Le combat s’achevait doucement de mon côté, tranchant mes adversaires en profitant de la surprise et du soutiens apporté par les sorts d’Uldric dont les flammes nimbaient le sol, il avait cependant subi un contrecoup due au mysticisme des lieux en se remettait doucement. Malgré la violence de la Griffe d’Urdhan, repoussant et frappant Ika et Merethir, jusqu’à ce qu’une manœuvre soutenu par son état de faiblesse, ne puisse lui faire toucher la clé du bras. Celui ci se mit littéralement à fondre sous ses yeux, et avant de parvenir à nous échapper en disparaissant littéralement comme si il avait été consumé, notre dernière vision de lui fut ce dernier se tranchant net le bras pour ne pas succomber au maléfice des runes de protection. Les statues avaient grandement été ralentie par les carbuncles ainsi qu’Uldric en ayant fait explosé une, mais les esprits anciens, ou ce qui y ressemblait, habitant ses gardiens de pierres volcaniques réanimaient lentement les formes brisés.

Ika parvint à prendre la clé sous une idée de Merethir : Les dernières runes furent absorbée par la sphère qu’il tenait en main, au lieu de le consumé lui, cela dévora le feu du mur protecteur en lui laissant la vie sauve. Les golems disparurent en ne laissant que des tas de gravier, et la chaleur retomba si net que cela m’en donna mal à la tête. Il ne restait là que ce lieu antique, le calme, et les tambours raisonnant au loin. Partir en vitesse fut notre choix le plus logique, si la Griffe était vivante, il pouvait signaler ce qu’il s’était passé à son Seigneur de Guerre pour faire envoyer d’autres Amalj’aa ici à toute vitesse. Partant avec les Éclaireurs survivants vers la Petite Ala Mhigo pour mettre la clé en sécurité, la prochaine question était de pouvoir découvrir où peut bien se trouver le tombeau du Crâne de
Sernajj Rah, et comment parvenir à récupéré ce totem avant le Pacte du Feu Vengeur. »
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Message par Akayane » 11 juil. 2020, 11:58

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-cinquième Entrée – « Acte 6 – Trois poussière vers la Tombe. »
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« Une fois la clé en sécurité auprès des Immortels, scellés là où elle ne saurait être aisément atteinte, nous avons déterminé que le plus important était de découvrir où pouvait bien se trouver le tombeau du crâne de Sernajj Rah afin de le détruire ou au moins, de le rendre inaccessible à tous, puisque que ce genre d’artefact à la vilaine tendance hélas de ne pas pouvoir être aisément brisé sans lourdes conséquences, fut-il dit par les occultistes de la Grande Compagnie. Notre objectif afin d’en savoir plus était de se renseigner au lieu qu’Adel’Delroy avait vaguement découvert grâce à divers rituel, en ayant clairement ressentit un lien très vague avec la clé. Outre les problématiques magique de ce genre, c’était au moins une vague piste pour comprendre comment ils ont pu approcher de la clé en espérant qu’ils auront aussi des informations sur la Tombe.

Nous retrouvant à une des sorties de la Petite Ala Mhigo, l’extérieur n’était pas particulièrement chaud mais l’élévation de poussière semblait dévoré toute humidité en laissant une sécheresse des plus désagréable. Vérifiant que nos gourdes étaient bien remplie, voilà un départ sur une demi-heure de route dans une atmosphère de poussière, de sable levé, et autres difficultés rendant la respiration et la route des plus âpres. Néanmoins, c’est en approchant de notre destination que petit à petit cette impression nous échappa comme si nous étions arrivé dans un lieu où il était aisé de faire fit des conditions les plus désagréables. Un Lalafell de la Noscea salua un instant Ika, poursuivant sa route en direction de ce qui semblait être une sorte de regroupement commercial de petite ampleur. Les locaux étaient moins d’une centaine mais tous avaient apportés des marchandises à partagé, échangeaient, profitaient de cela sous les sonorités de différentes musiques venant de différents instruments.

Comme un Oasis nous laissant aisément mettre de côté tout ce qui est désagréable dans le temps présent. Notre équipe était déjà suspicieuse dans l’ambiance actuelle qui semblait particulière puisque même loin des standards des commerces Thanalanais – sans concurrence entres les marchands, ou tentatives absolue de vendre, c’est comme si les locaux étaient plus là pour parler de leurs produits avec un intérêt incroyable que vraiment pour les vendre. Rapidement, l’équipe se dispersa pour comprendre ce qui pouvait bien se tramer ici après les diverses intrigues vagues qui nous venait, pour apprendre rapidement que ce lieu cachait un secret bien présent mais encore voilé à notre regard. Merethir découvrit rapidement auprès d’Uldric le vice de la statue centrale : Celle ci était au coeur d’un étrange procédé pour se faire discrète, mêlé aux tissus illusoires poussant les gens à être dans cet état d’éphorie quant aux produits vendu qui avait même plongé un adepte d’Adel’Delroy du nom de Jérôme dans le même état. Ika ne pu en découvrir grand-chose, mais il fit de son mieux pour retrouver les subjugués du Pacte disséminés dans la foule que Merethir avait déjà repéré d’un regard. A notre présence, ceux ci s’étaient détachés du lien qui les gardait calme pour l’instant, tissé par l’être étrange qu’Uldric fini par repéré à l’échoppe du Lalafell.

Il était enroulé dans une tenue simple, encapuchonné, et s’adressa à lui avec un grand étonnement puisque les tissus de magies ne devaient pas permettre à quiconque de s’intéresser à lui sans qu’il ne le décide. Ika fut attaqué brusquement par un des Miqo’tes, ses derniers avaient visiblement trouvé ce qu’ils cherchaient, et la situation dégénéra rapidement. Se préparant à récupéré un chariot avec deux chocobo pour s’enfuir, le plus surprenant dans ce « combat » était qu’aucuns des locaux ne nous considéraient en continuant à travailler comme si nous n’existions pas ni nous, ni le danger. Il fallait donc se déplacer pour se battre sans tuer un civil innocent tout en les protégeant des subjugués. Merethir avait brisé la statue après avoir brisé l’illusion dessus grâce à Uldric, dévoilant la statue d’un Amalj’aa cachant une trappe. Dessous, Merethir y découvrit un Amalj’aa scellé par des chaînes qui implora son aide. Définitivement, les problèmes venaient de commencer, et au vue du chariot filant vers la route, le temps allait rapidement aussi nous manquer pour empêcher le Pacte de s’emparer de quelque chose avant nous. Restait encore à déterminé ce que ça pouvait bien être.
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Uldric acheva prématurément sa discussion avec l’encapuchonné, celui ci connaissait visiblement l’Amalj’aa comme étant l’un de ses amis, les membres du Pacte avaient découvert l’existence de la clé grâce à lui avant de l’enfermer là où même les pouvoirs étranges de cet être n’aurait pu le trouver : Juste sous son nez. Ils étaient maintenant venu là pour parvenir à remonter la piste directement jusqu’à lui disparaît, puisqu’Uldric ne parlait qu’à un tas de poussière dans des vêtements servant d’avatar à la volonté de l’être ayant mit en scène tout ce commerce isolé. Récupérant l’Amalj’aa dont les chaînes furent brisés par la pointe de la lance de Merethir, l’encapuchonné disparut quand les Miqo’tes finirent par s’échapper avec ce qui leur permettait de suivre la piste. Si eux avant le cœur du pouvoir ayant pu animé la magie de ses lieux, nous avions autant leur piste que le chaman offrait de suivre permettant de nous y rendre.

Se débarrassé des derniers subjugués fut choses facile malgré la difficulté de ne blessé personne au passage, et nous voilà dans un des chariots de transportés tiré par deux des chocobo de monte parti à pleine vitesse sur des routes isolés. Ika était en tête, sur un autre chocobo directement sur son dos, pendant que Merethir et moi étions dans le chariot en avant pour laisser la place à Uldric soignant l’Amalj’aa et se concentrant sur son invocation qui foulait le sable à toute vitesse aux côtés du chocobo d’Ika. Ils étaient alors une traînée de poussière bien loin de notre position, mais la vitesse était avec nous, et petit à petit nous les rattrapions à force d’effort. Cela aurait été plus aisé qu’ils nous laisse les atteindre sans essayer quoi que ce soit, mais était trop demandé. Surtout quand les deux draconides de montes finirent par arriver sur nos flancs, chevauchés par deux des subjugués dont les visages n’étaient que fureur et flammes. Le premier draconide reçu la lance de Merethir en pleine tête après une manœuvre audacieuse, celui ci fut propulsé par sa propre vitesse et écrasa son maître à plusieurs reprises en quelques craquement d’os inquiétant, pendant que le second essayait de me dévoré les jambes à grands efforts de claquements de dents.

Malgré l’avertissement, nous ne pouvions pas faire grand-chose face aux totems explosions qui tombaient dans le sable sur la route, ayant fort peu de marge de manœuvre pour faire déplacé la lourde caravane peu maniable par les deux chocobo en pleine ruée. Ika parvint tout de même à abattre un des archers essayant de lui tirer dessus, et fini par briser les roues de la caravane adverse afin de la faire arrêté avant de parvenir aux étranges ruines qui étaient pratiquement sur nous désormais. Elles sortirent un peu de nulles part, je dois dire, car malgré les sentiers brusques nous brinquebalant dans tout les sens aux humeurs des montées et descentes sèches, nous aurions quand même du la voir de loin. Mais le temps d’y pensé ne nous était pas accordé, puisqu’à peine le dernière draconide vaincu par un bon coup de sabre et une lueur arcanique d’Uldric propulsant la bête blessée et son cavalier dans les pierres, c’était notre tour d’y être brutalement envoyé. L’explosion des totems souleva notre chariot, malgré la tentative de Merethir, en nous faisant percuté les pierres à notre gauche plutôt que nous faire tomber dans un ravin à notre droite.

Expédié dans tout les sens, seul un chocobo survécu pendant que je m’écrasais un peu trop lourdement au sol, sentant tout mon corps me faire mal sur le coup. Ika faisait face au dernier des massifs Miqo’te qui usa des pouvoirs conférés par sa condition pour invoqué ses pairs, s’extirpant dans des nimbes de flammes à l’appel de ce champion pour les siens. Ika finissait de me porter assistance avec des soins qu’Uldric finiraient par me prodiguer, afin de nous préparé à foncer vers l’intérieur de la ruine malgré nos états. Le Chaman Amalj’aa toujours à nos côtés, malgré son état, nous assurais qu’il serait moins risqué d’aller à l’intérieur que de rester ici sous l’assaut innombrable des Miqo’tes du Pacte. Uldric nous avait laissé du temps avant une explosion bien sentie, maintenant, il ne restait qu’à passer en force vers notre objectif.
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Le fer de lance n’était rien d’autre que Merethir, qui fonçait en avant en laissant les lueurs d’éther éclaté autours de sa lance tout en venant danser autours de chacun de nous pour essayer de nous offrir un support puissant. Ika avait joué de parade avec le massif Miqo’te dont le corps flamboyait bien plus encore, avant de lui envoyer du sable en pleine tête avant de partir en vitesse vers nous. L’Egi enflammé d’Uldric se baladait dans les rangs disparates de ceux voulant nous empêché de passé, mais le fracas puissant de la lance de Merethir acheva de nous ouvrir l’accès avant de finir par entrer en vitesse à l’intérieur des ruines. D’un coup, c’était comme si nous n’étions plus du tout en danger, ni même à l’extérieur. De loin, la ruine semblait ouverte, pleine de trou, et pourtant une fois à l’intérieur il ne restait que des ombres voilant tout ce qui aurait permit de voir l’extérieur, la luminosités régulé par les ensembles de runes complexes dignes des arcanistes errantes dans une lueur d’un rouge flamboyant.

Nous étions là dans un lieu d’un mystisicme avancé, lié par les envoûtements de ceux qui y résidaient désormais, mais loin de n’être qu’une magie tribale on pouvait y reconnaître un art bien plus digne des mages de Vylbrand. Néanmoins, si ce n’est l’air enchanteur et la vision magnifique des cercles de magies complexes, les silhouettes sortirent jusqu’au buste de trois êtres prenant la forme d’un Lalafell, un Hyurgoth et une Elezen. C’était d’eux dont provenant l’avatar de poussière ainsi que tout le secret du cercle des marchands étranges, leur servant à récupéré des informations et des curiosités venant des nombreuses contrées d’Eorzéa afin de connaître un peu plus le monde. Les trois poussières, jadis des esclaves à la solde de Sernajj Rah, qui furent puni pour avoir tenté de le trahir.

Depuis, les esprits liés par ses maléfices purent faire de cette torture un espace de vie très spécifique. Plutôt que d’être outré par de tels êtres, nous avons préféré les comprendre et discuter tandis qu’Uldric profitait de la vue merveilleuse offerte par les lieux, Ika lui entendait bien que les subjugués du Pacte essayaient dehors d’entrer quitte à se sacrifier sur les barrières que nous avons visiblement pu traversé par les bonnes intentions des êtres jadis humains vivant ici. Mais cela ne les arrêterait pas éternellement, mais la conversation pu au moins être constructive confirmant que le totem ne pourrait pas être brisé n’importe comment : L’hypothèse était qu’il faille rendre le pouvoir du Seigneur des Enfers à se dernier pour brisé le lien éternelle avec les restes de l’esprit de Sernajj Rah.

Tournant la jarre centrale contenant une flamme ne cessait de jaillir vers le sol, malgré la difficulté, Merethir, moi, Ika et l’Egi de Uldric forcèrent sur les vieux mécanismes pour faire en sorte que la colonne de feu jaillissent vers le plafond, dévoilant alors dans des myriades de stries sur le dôme sombre recouvrant le sommet des ruines, une carte des plus complexes et magnifiques menant vers l’emplacement du Crâne de Sernajj Rah. Uldric prit rapidement son carnet, et se met à noter, et vers l’extérieur les barrières se brisèrent en essayant de consommé le plus des subjugués possible. Quatre seul résistèrent, leurs corps horriblement déformés entre des stries enflammés et la noirceur calciné de leurs carcasses. Nous bloquant à tout les accès de la ruine, la bataille pour essayer de s’en défaire fut des plus rûdes, Ika et moi bloquant les passages sur les côtés pour défendre Uldric qui essayait de prendre note de tout ec qu’il faut pour atteindre le totem. Merethir affrontait le plus massif de tous, l’Egi lui offrant des opportunités des plus grandioses, il le brisa sans peine. Ce dernier du dévoré l’essence de ses alliés afin de survivre aux assauts, et sa hache voulu écrasé Merethir sous le poids de l’arme déformé par le pouvoir de la subjugation en ayant fait un véritable monstre.

Ayant vaincu nos adversaires, me laissant les bras tremblant sous l’effort depuis l’explosion du chariot, nous avons au moins pu ralentir le choc qui passa d’une frappe mortelle au fait d’être tous balancé brutalement au sol, sonnés. Mais il ne pouvait pas continuer ainsi. Les jambes dévastés par l’Egi d’Uldric, il fut empalé par Ika et Merethir pour mettre définitivement fin à son envie de destruction, ne laissant là qu’une carcasse dévasté par la transformation qui dans la mort, fini par le quitté. Nos adieux avec les Trois poussières furent des plus simples, ceux ci partant se reposé, épuisés d’avoir tant fait pour nous aider. Et c’est en nous traînant vers la Petit Ala Mhigo avec les Chocobo restant et le sentiment d’avoir avancer, que nous partions prendre du repos en préparant notre expédition pour atteindre le totem de Sernajj Rah avant tout ceux voulant en faire une arme. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 12 juil. 2020, 11:24

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-sixième Entrée – « Acte 7 – Dans le domaine des Cendrevies.»
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« Ce qui ressemblait à la fin d’une quête n’est visiblement finalement que le commencement. Après nos derniers efforts pour retrouver les éléments nous menant au totem de Sernajj Rah, il ne restait plus qu’à parvenir à suivre la piste d’Uldric pour l’atteindre. Plusieurs de nos compagnons étant blessés, notamment Merethir et Ika, ce fut à leur place l’apprentie deuxième du nom d’Uldric nommé Cristal et mon vieux camarade Corvus qui vinrent à notre aide. Les Immortels n’étaient pas envieux de rester de côté, le Sergent Johnson fut ordonné par le Capitaine Dentelion pour mené son équipe à nos côtés afin d’évité que le Pacte du Feu Vengeur ne nous écrase en récupérant la clé pour ce qu’ils souhaitent d’eux même récupéré. La Petit Ala Mhigo était maintenant habituée à nous voir partir dans les environs afin de poursuivre nos affaires, une petite troupe profitant du temps déclinant d’un crépuscule écarlate devenant lentement la brise fraîche nocturne. Cela aurait pu se poursuivre de la sorte, alors que nous progressions dans les passages désertés loin des routes marchandes, si les problèmes ne s’étaient pas bien vite déclaré.

D’après les passages, c’était là un lieu isolé que même les bêtes évitaient soigneusement, comme si on leur donnait l’injonction de partir loin de là plutôt que de poursuivre. A leurs traces se mêlaient les pieds massifs des Amalj’aa essayant de nous devancer en identifiant nos manœuvres, et au vue des mouvements, il devait en avoir autant en marche devant nous que derrière nous en train d’essayer de rattraper le retard depuis des mouvements incompris. Nos discussions furent interrompues par un choc puissant ayant l’air de provenir des entrailles de la terre, la poussière fut brusquement surélevée en errant autours de nous comme des miasmes encrassant les poumons, mais nulle maléfice là dessus. C’était l’effet que le choc lointains provoqué par le Pacte dans le tombeau pouvait produire. Après un consensus de ce qui était possible de faire, un éclaireur fut laissé en arrière avec une fusée de signal pour annoncer quand les Amalj’aa risquaient de venir nous assaillir dans le dos. Pendant que nous avancions dans les miasmes, les carbuncles d’Uldric et Cristal apparaissant. Dès notre approche de la position adverse, il fut notable que les Amalj’aa du Pacte du Feu Ardent avaient eux aussi été surpris par le choc et la poussière, nous laissant une chance d’une intervention surprise.

Le moral des hommes était l’objectif principal de Cristal en premier temps, pendant qu’Uldric préparait déjà ses sorts. Depuis sa position surélevée, Corvus su malheureusement aisément que l’effet ne durerait même pas : Sur une tour créer par la magie du Chaman installé plus loin proche du lieu de sacrifice, un archer nous avait déjà signalé et s’arrêtait à tirer pour annoncer notre présence. Le tir de Corvus se logea contre lui, offrant l’opportunité de foncer s’écraser dans leurs rangs en créant un véritable passage de fantassins motivés par l’appel au devoir, les carbuncles bondissant entre leurs jambes. La bataille était des plus héroïques, je dois dire de loin, même si ce n’était pas une armée contre une autre, les épées et les cris étaient partagés au milieu d’une explosion en l’air résonna brusquement dans les cieux. Malgré nos tentatives, abattre le Chaman se révéla plus difficile qu’attendu, et je me retrouvais rapidement face au Contremaître massif.

La tour ne dura pas aussi longtemps qu’elle avait du coûté pour être érigé en urgence afin de nous bloquer là, l’explosion d’Uldric jointe à un tir détonnant bien placé de Corvus, fit s’effondrer la structure sur un Amalj’aa dans un grand vacarme. Ça et la mort du Chaman provoqua la fin de la débâclé des Amalj’aa quand ils perdirent l’influence du Seigneur des Enfers sur leurs physiques exagérés. Johnson finissait d’abattre les derniers survivants, dont certains avaient pu frapper lourdement Uldric avant que Corvus ne vienne à son aide, créant une véritable équipe d’arrière garde tout deux pendant que Cristal vint à mon aide pour avoir pu atteindre et achevé le dit chaman. Le Contremaître maniait de lourdes chaînes enchantés essayant de sacrifier plusieurs des citadins qu’ils avaient apporter ici certainement pour se donner une chance d’ouvrir le passage vers le totem même sans la clé. Et nous ne les laisserions pas faire.
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Les chaînes furent brisés par un bon coup d’épée de Corvus après que le carbuncle d’Uldric finissait de ronger ses dernières, relâchant les civils épuisés et affamés. Une des chaînes faisait se déplacé rapidement un des totems explosifs vers ceux encore dans leurs cages, risquant de les faire explosés. Uldric envoya une lueur brusquement sur ce dernier, un instant après que Cristal et son carbuncle aient balancé le Contremaître aux bijoux de familles brisés juste à côté, la détonation l’emportant brusquement en quelques tas de chairs éparpillés. La position était prise, malgré une ou deux pertes à déplorés, ce qui était fort fort peu par rapport à la présence des hommes-bêtes qui furent confrontés à l’inattendu et aux effets du moral et de la magie. Prenant un instant court, qui fut rapidement brisé par un fracas terrestre encore important qui faillit me faire choir après la fatigue de l’instant due au combat venant de se passé. Plus loin, après un instant de plus, la fusée de l’éclaireur éclata en l’air signalant l’approche des retardataires Amalj’aa.

Nous n’avions plus le choix : Les Immortels et les rescapés veilleraient, et devraient survivre en bloquant l’accès à la tombe pendant que nous nous engouffrerions dedans pour mettre la main sur le totem de Sernajj Rah. Nous retrouvant en vitesse à l’intérieur, après quelques soins court, le passage était comme une grotte à peine taillée dont l’accès était rigide, difficile, et aurait été trop sombre si les carbuncles ne rayonnaient pas paisiblement en dévoilant les murs proches de nous. Et une fois fait, ce fut des plus splendides. Il y avait des arabesques, des runes, des nombreuses représentations stylisées dont la lumière donnait l’impression qu’elles flottaient juste devant le mur, gardant dans ce lieu difficile d’accès une impression d’être dans un domaine antique. Là non point d’effet de magie, mais de la manière dont ce lieu à été taillé dans la roche, nous donnait l’impression de rentrer dans un passage conçu par des esprits anciens. La première salle où nous débouchèrent était une antichambre de l’histoire de Sernajj Rah conté sur les murs environnants en autant de fresque de ses conquêtes guerrières que possible. L’icône d’Ifriit au centre pouvait aisément donner mal à l’aise, laissant lentement d’une étrange malédiction présente ici, et alors que tous inspectèrent les histoires et les fables, des six statues de pierre d’Amalj’aa l’un s’avérait à la lueur d’un carbuncle, être une vraie.

Il se redressa brusquement en balançant avec puissance Corvus sur le côté, pour surprendre le groupe avant que nous puissions intervenir en se sachant dévoilé, un rugissement dans sa langue primitive signala notre venue aux siens comme il était prévu qu’ils le fasse. On ne peut pas dire qu’il dura bien longtemps, poignardé par Corvus en retour quand il profita que le carbuncle d’Uldric se jette sur son visage, mais son signalement était son acte le plus important. Et rapidement, nous foncions sous l’arche pour essayer d’atteindre en vitesse l’emplacement final de ce dédale souterrain avant de nous confrontés à un nouveau problème : Ils venaient de briser le pont fait pour l’atteindre. Avant de s’échapper. Corvus balança son grappin pour nous offrir un accès vers l’autre bord avec expertise, vérifiant bien le câble, sous la surveillance d’Uldric.

Cristal fut la première à faire le passage, s’y installant avant de manœuvrer rapidement et efficacement, mais sa présence éveillant le fond de la crevasse. C’est comme si la terre avait ouvert la bouche pour n’y laisser que des flammes infernales en sortir, dans un rugissement flamboyant, la lave coulait doucement au fond en laissant quelques jets de cette dernière en l’air, loin de pouvoir atteindre Cristal et le cordage. Un Amalj’aa venant vérifié que nous étions coincés découvrit la scène, et essaya de nous arrêté avant qu’une boule de lumière et un tir dans le buste ne l’envoie couler dans le flot ardent, laissant à Cristal toute l’initiative de finir sa traversée. Une fois quelqu’un de l’autre bord, il ne fut pas difficile de poursuivre pour tous, avant de sentir de nouveau le sol et le plafond, de la poussière et des petites pierres nous tombant dessus. Des braseros immenses s’étaient allumés au fond, il était plus que temps de rejoindre notre dernière épreuve en espérant qu’il ne soit pas trop tard.
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Fonçant rapidement vers la dernière salle, il y avait à l’intérieur déjà plusieurs Amalj’aa du Pacte. Cet endroit était, plus que les autres encore, pourvue des mêmes lueurs splendides accompagnés par les gravures, sous une musique de tambours lointaine donnant l’impression d’être dans un lieu d’honneur où les sonorités essayait toujours de le mettre en avant. Et au centre de cette formation magnifique servant de sanctuaire tribal, le Totem de Sernajj Rah, ses innombrables runes et ce crâne de draconide installé sur celui d’un Amalj’aa, ne pouvait que représenté notre objectif final. Plusieurs des guerriers et des archers de la Griffe d’Urdhan, le massif Amalj’aa en armure noire dont il manquait maintenant un bras, se mirent rapidement en position. Néanmoins l’étrange colonne installé plus loin n’était visiblement pas l’objet le plus rassurant qui soit, Uldric demandant à Corvus de le détruire au plus vite. Partant vers les archers sous demande de Cristal pour les abattre et récupéré un arc, l’effet de la colonne infusée le offrait des sortes de boucliers enflammés pratiquement invisible à l’œil nu, qui fut brisé par un sort de cette dernière peu avant que je ne puisse le trancher en deux morceaux. Les premiers chocs sur la colonnade brisa grandement son influence, mais le temps de pouvoir fournir l’arc à Cristal pendant que Uldric fit apparaît son Egi au milieu de la mêlée pour assaillir les Amalj’aa.

La griffe avait sacrifié une partie des Lalafell pour au dépend d’une grande partie de sa force, fini par atteindre le totem. Bien que le combat faisait encore rage là dehors, leur protection explosant grâce aux tirs de Corvus et à la magie d’Uldric laissant un immense fracas, la colonne finissant par s’écrouler sur un de leur guerrier, tout bascula quand la Griffe d’Urdhan posa sa main sur le totem. D’un coup, les braseros se mirent à faire jaillir des colonnes de flammes vers les cieux, comme si le monde était inondé d’un rouge sanguin noyant les différentes couleurs pour ne laisser que cette impression d’unicité dégoulinante. Les tambours n’étaient plus une sonorité lointaine mais bien l’accompagnement d’un chant si fort, si résonnant, qu’il n’aurait pas été étonnant de voir les musiciens dans une partie de la pièce. Des voix clamant que tous serons sacrifié au réveil de Sernajj Rah, alors que sortant lentement du sol, des silhouettes d’Amalj’aa que ceux du Pacte nommèrent les « Cendrevies. ». Ces amas de cendres, de pierres volcaniques et de stries de laves coulantes murmuraient dans un chant mêlés des quantiques dédiés à Ifriit et à son serviteur le plus loyal selon eux, tout en essayant de nous massacré tous, que ce soit nous ou les hommes-bêtes d’Urdhan, afin de veiller à ce que notre sacrifice serve le pouvoir du totem.

Corvus extirpant la clé de sa besace qui s'était mise à tremblée, enflammée, en la confiant à Uldric à toute vitesse peu avant de se prendre une boule de feu en plein dans le plastron l’envoyant valsé en arrière, il fut déterminé que celle ci au vue des runes actives et de ce lien se tissant d’un coup à l’éveil du Totem, devait permettre pour son contrôle de jugulé son pouvoir et empêcher le possible éveil de Sernajj Rah. Cristal se tailla un chemin protégé par l’Egi de son mentor, parvenant jusqu’à ce dernier en concevant à quel point il ne pouvait être ni touché, ni détruit, avec nos moyens actuels malgré ses essaies. Recevant la clé balancé en l’air de la main d’Uldric, pendant que mon sabre taillait un passage pour ne pas qu’elle soit menacée par les Cendrevies présents, la Griffe d’Urdhan rugissait sa frustration avant d’être envoyée dans le décors par quelques tirs de Corvus en le laissant choir plus loin. Dès que la clé fut installée sur le totem, une faille s’ouvrit lentement, recouverte de lave, et celui ci se mit petit à petit à descendre dans les entrailles de cette tombe accompagné par les gémissements plaintifs des âmes liés à ce dernier.

Les Cendrevies suppliaient, priaient, pleuraient, tout en attaquant ceux qui pouvaient encore être proche d’eux, mais le grondement de la terre laissant des morceaux de plafond choir indiquait que la tombe s’écroulait sur elle même. Si le Totem ne pouvait pas nous appartenir, il ne finirait pas entre les griffes du Pacte ni ne finirait par invoqué Sernajj Rah, notre rôle pour l’instant touchait à sa fin en nous laissant fuir en vitesse vers la sortie. Ce ne fut pas aisé, des roches tombaient ainsi que de la poussière en encombrant les étroits passage tout comme des Cendrevies essayaient de nous tailler en pièce en errant dans les couloirs. Cristal m’aidant visiblement à trouver les bonnes dispositions pour partir sans être gênée par le terrain, je pu couvrir le passage de Corvus en frappant à même la roche tombante tandis qu’Uldric fut soutenu par Cristal.

Par les épées, les sorts, et la ruse, nous avons pu nous échappé d’ici plusieurs longues minutes avant que tout ne s’écrase en retrouvant enfin le Sergent Johnson et les survivants des Immortels. Ce dernier souriant en nous disant que ce n’était pas trop tôt, malgré la douleur et les pertes subies pour couvrir le passage. Si nous étions au moins sortir d’ici en vie, la légende des Cendrevies elle venait visiblement de refaire surface, et pour parvenir au moins à comprendre ce qu’il en est et ce qui peut-être fait, notre prochaine objectif sera sûrement de découvrir ce qui à bien pu se passer dans cette tombe pour qu’un tel maléfice réside encore. »
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Message par Akayane » 15 juil. 2020, 17:13

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-septième Entrée – « Acte 8 – La légende de Sernajj Rah.»
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« Atteindre l’emplacement où les Cendrevies s’unissent pour attendre la renaissance de Sernajj Rah réclamait de pouvoir atteindre le jeu même où ils prévoient sa résurrection. Un autel, à défaut d’une tombe, et avant que le Pacte ne parvienne à y faire quoi que ce soit d’imprévu à ce sujet. Le chaman sauvé par Merethir avait une piste à nous confié pour en apprendre plus sur Sernajj Rah : Un site de pèlerinage dédié à tout ceux voulant servir ce loyal serviteur du Seigneur des enfers, érigé sur la premier ville du Thanalan brisée lors de son avancée. Nous nous sommes mis en route au crépuscule avec notre équipe. Merethir, Ika, ainsi que Licinia et Ophélia joignant notre groupe afin de poursuivre de telles affaires après avoir pu longuement en parler au détour d’une boisson. La route pour atteindre ce pauvre village perdu et abandonné des cartes ne fut pas la plus longue, malgré ce vent froid à vous donner un mal de crâne désagréable puisque détonnant particulièrement de la chaleur locale. Nous troquions rapidement les routes pleines de citoyens et autres voyageurs arpentant ses dernières avec plaisir pour des sentiers isolés, mais il était rapidement certains que la situation avait quelque chose d’étrange à l’approche de la ruine. Au moins, il n’y avait pas la moindre trace de membre du Pacte dans les environs, bien que cela ne pouvait pas forcément signifié qu’ils étaient absent, mais les traces de la présence d’une activation d’un pouvoir primordial restait des plus gênants.

Une série de totem avaient été installés dans les environs, et tous semblaient avoir été touchés par un phénomène inconnu, et quand Ika en envoya une au sol, elle se désagrégea en particule sombre comme si elle avait été vidé de toute incarnation physique. Malgré quelques visions étrange, et la présence de magie néfaste, nous voilà en progressions avec l’espoir de retrouver certains des Immortels encore en vie comme Ophélia semblait en avoir perçu grâce à son éthérimètre loin de là. Passant par le sentier nous menant à la ruine, l’entrée était l’arche menant à ce qui devait être une belle ville construite en pierre où on pouvait entendre les enfants rires, et sentir les agréables odeurs de nourriture en pleine cuisons. A la place, voilà un lieu brisé et abandonné, des effigies Amalj’aa ballotté par le vent doucement, où il n’y restait que des souvenirs. Et des menaces.

Un grand totem fait de pierre volcanique sortait du sol en laissant un brasier visible en l’air, comme une pointe sortant du sol au milieu de nulles part en brisant la terre. Ika s’y intéressa, et fut prit brusquement d’une vision où il vit ceux qui devaient plus tard devenir des Cendrevies installer le lieu de pèlerinage en annonçant que les intrus eux seraient puni, tout en gravant les indices pour les fidèles le long du passage. Ophélia inspecta un brasero qui semblait bien loin d’être aussi menaçant que les autres pouvoirs locaux, comme si il y avait plus de douceur dans les flammes l’animant, alors que Licinia récupérait le corps d’un des pauvres éclaireurs des Immortels, noyé dans la cendre. Merethir ne pu récupéré la gravure aux indices qu’Ika avait perçu dans sa vision, et après une discussion quant à notre situation, Licinia avançant vers l’intérieur des ruines. Dès qu’elle parcouru quelques dizaines de mètres, le totem émit une grande impulsion dans les cieux, comme si de la lave avait grimpé en l’air avant de sortir à la place une onde enflammée.

Les Cendrevies sortirent de tout les côtés, l’un essaya même de volé la gravure pour nous en privé, mais Merethir la retint en laissant le temps à Licinia d’une frappe net dévastant l’esprit mêlé à la pierre volcanique. Le combat fut déchaîné et nous avons pu nous en sortir avec le minimum de dégâts, ils étaient même inexistant, les quatre combattants massifs redevenu des tas de cendre, Merethir inspectant la pierre en trouvant une gravure du crâne de draconide avec de nombreux adeptes autours. Décidant de récupéré quelques torches pouvant être utile au vue du ressentit à l’intérieur de celles ci, la dernière action avant de partir en vitesse, puisque le bruit des tambours et les ondulations de flammes sortant du totems essayait de faire venir une marée d’adversaire pour nous abattre, fut de gelé celui ci. Ophélia nous offrit pas mal de temps en congelant la masse enflammée voulant grimpé vers les cieux, et l’instant d’après, nous étions alors en train de courir vers le fond des ruines avec l’espoir de parvenir relativement aisément au domaine final du lieu de pèlerinage.
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Les ruines étaient bien vaste, des anciennes masures, des jardins devenu sable et poussière, des fontaines délaissés, et rien à peine de vue que des décombres. Nous foncions en vitesse à travers la ruine pour ne pas être attrapés par une quelconque vague adverse essayant de nous massacrés, mais la route ne fut pas aussi aisée qu’attendu. Merethir et moi en pointe, nous éparpillions avec la protection d’Ika, tout en laissant l’arrière garde à Ophélia et Licinia, les Cendrevies sortant de nulles part le long de la route. Merethir évita un sacré choc crânien quand la Gunblade de Licinia tira plusieurs fois sur une massive pierre prête à se fracassé sur ce dernier. Nous nous protégions en fonçant à travers les dédales de pierres en survivant aux apparitions hurlantes, jusqu’à ce qu’une terrible explosion engendrée par Ophélia pour éloigné un bon groupe d’entre eux ne fit se brisé une des masures entières où nous étions en train de traverser. Courir sur un angle est des plus difficile, il ne fallait pas choir et évité les débris de tout genre prompt à nous tomber dessus. Couverts de poussières et d’écorchures en tout genre, nous sommes arrivés à la prochaine étape après avoir du traverser les dévastations due au fracas des ruines brisés, dans les sonorités de la pierre se fracassant et toujours poursuivit par ses maudits tambours accompagnés les Cendrevies qu’il fallait abattre au plus vite pendant la ruée.

Ce fut une véritable course dans la difficulté et la sueur, mais sans plus de blessure, il fut des plus étonnant quand nous sommes arrivés de ne plus entendre tout le vacarme qui s’était aussi tôt tût. Il n’y avait plus que le calme dans une vaste plaine désertique plate battue par les vents, laissant une couche de poussière au dessus du sol où rien ne saurait poussé, sur un sol craquelé. Le tout, installé sous un ciel sombre sans étoile, dominé par un soleil noir. Il fut comprit que c’était une sorte d’illusion, mais Ophélia paniqua à cause de la proximité avec le Primordial que cela pouvait inspiré, divisant nos esprits entre la peur de la signification de notre présence ici et la concentration sur la réalité. Des traces de bottes des éclaireurs des Immortels furent retrouvés au milieu de la poussière, signe qu’ils étaient bien encore en vie et proche d’ici. Progressant finalement en bonne ordre, les torches brandies comme pour nous indiquer la marche à suivre, c’est Merethir qui vit le grand mur au loin vers lequel nous nous approchions alors à sa suite. Mais ce qui naissait de la poussière autours de nous, comme des innombrables particules noires formant des êtres difformes, essayèrent de s’attaquer à Ika et Ophélia.

Heureusement, les torches acquises les firent se dissipés aisément sans avoir besoin de les affrontés, habilement maniés, elles étaient des protections assurées. L’appel fut néanmoins entendu et au loin les trois éclaireurs des Immortels fonçaient maintenant vers nous avec l’assurance de trouver enfin une protection assurée. Mais ils n’allaient pas s’en sortir, les ombres s’agglutinaient vers eux et leurs stratégies de fuir perpétuellement pour survivre n’allait pas fonctionné cette fois. L’envoie d’une torche à leur côté, réceptionnée par un bond immense de Merethir, éloigna les ombres. Et malgré quelques douleurs comme une griffure dans le dos à Licinia laissant le dos de cette dernière en sang, nous avons poursuivi en vitesse en traînant un des blessés sous le couvert des myriades d’explosions d’Ophélia tout autours de nous, nous offrant un couvert admirable. Les bonnes idées s’enchaînaient, quand Licinia comprenant la manière dont on pouvait enflammé avec le feu du brasero initial, laissant une grande traînée de céruléum tiré de son équipement qui s’enflamma sans en consommé une goutte, comme si le feu n’était pas réel. Mais sa protection l’était, repoussant toutes traces d’ombres, malgré les tentatives acharnés qui en faisaient passés quelques unes, ce n’était rien par rapport à l’énorme vague que nous fonçait dessus.

Le mur était constitué d’innombrables portes différentes, toutes portant des marquages. Usant de la tablette, ou du moins du morceau préservé par Ika, lui et Merethir cherchèrent la bonne : Celle avec un crâne de draconide. La trouvant rapidement avant de l’ouvrir, il y avait derrière un précipice avec une inscription montrant qu’envers et contre tout, les suivants de Sernajj Rah accompagnerait ses pas. Comprenant la finalité, Ika bondit dans le vide d’un ravin sans fin, suivi petit à petit par tout notre groupe, Ophélia partant en dernière dans une grande déflagration pour nous offrir les dernières secondes nécessaires avant que la vague immonde ne nous balaie. Nous étalant les uns contre les autres, extirpés de l’illusion meurtrière, réalisant que nous étions alors devant les portes du Sanctuaire Intérieur au fond des ruines.
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Il fut un bref moment pour nous reposer après ce qu’il s’était passé. Ophélia avait besoin de remettre ses idées en ordre à cause de cette maudite vague, pendant que je traitais rapidement les blessures de Licinia avec ma besace médicale, celle que je possédais toujours depuis ma formation dans l’armée afin d’arrêté au moins le saignement avec des cataplasmes puant et chauffant. Nous avions atterrit devant une grande porte, représentant un Amalj’aa et son cœur où se trouvait l’emplacement pour y poser une main – qui avait l’air un peu grande puisque adaptée aux hommes-bêtes. Deux braseros comme ceux de l’entrée s’y trouvaient, et le mystère ne fut pas bien long à percé pendant que chacun reprenait des forces. Merethir déposa les torches dans les brasero afin de laisser ceux ci s’enflammer, ce qui eu pour conséquence de laisser croître des tuyaux de flammes liquide ondulant le long des moindres reliefs de la porte, dans un cadre merveilleux et radiant. Malgré la beauté de la vision de cette dernière, elle ne s’ouvrait pas, certains d’entre nous commençaient à se poser des questions voir à s’irriter d’être arriver si loin juste pour une porte comme ça, mais c’était en vérité bien loin d’être fini. Déposant sa main sur le passage central, Merethir fut celui qui laissa la porte s’ouvrir sans imaginer ce qui allait se produire.

Les raclements contre la pierre et la poussière étaient cinglant, lent, dans un mécanisme invisible laissant l’accès au sanctuaire intérieur où se trouvait la stèle du Grand Voyage de Sernajj Rah. Mais à l’instant de notre venue, il n’y avait que de la poussière et des marques de brûlures au milieu d’amphore et autres meubles abandonnés depuis si longtemps. L’ancienne statue de Rhalgr avait été brisée en morceau pour devenir une statue du Seigneur des Enfers, Ifrit, faite en cette même pierre volcanique. Un cristal jaillit de ce dernier, saisissant brusquement quelque chose dans une lueur douloureux à Merethir dont la connexion avait été établie, et lentement son incarnation prit une forme liée aux souvenirs et aux menaces affrontés par ce dernier. L’Amalj’aa du nom d’Enox, tel qu’il se présenta, prit la forme d’un Dragon Cendrevie, pas des plus massifs mais suffisamment inquiétant pour faire chaviré l’esprit d’un homme simple. Ce qui arriva d’ailleurs avec les éclaireurs derrière qui reculèrent et se cachèrent, tétanisés face à la vision abjecte du gardien approchant lentement Licinia qui avait engagé une conversation avec.

C’était malin, elle usa de son intérêt et de sa soif de plus de pouvoir pour se faire passé pour une pèlerine en quête de pouvoir, et cela fonctionna alors en nous laissant largement le temps de nous mettre en place autours de lui et de ses gardiens. C’est ainsi que dés qu’il voulu agir afin de s’essayer à subjugué Licinia, nous étions tous prêts à intervenir. Ika fit jaillir en coordination avec Merethir une forte explosion envoyant une partie de ses adversaires au sol, alors que Merethir fit de même dans une déflagration puissante s’extirpant de l’éther de sa lance, à deux ils firent choir les gardiens d’Enox dont le sort éclata dans le vide quand je bondissais pour envoyer Licinia à mon côté au sol. Il fallait avant tout parvenir à créer une diversion pour le rendre moins dangereux, des pierres ayant frappés fortement Ophélia en tombant de la ruine la laissa sans défense si il voulait s’en prendre à elle.

Venant en aide à Ika pour nous débarrassé rapidement du flanc gauche des Cendrevies éveiller, Merethir retenait l’autre côté seul avec plus de difficulté, mais ce n’était qu’une question de temps avant qu’Enox ne cède : Les sorts de l’Occultiste à nos côtés bombardait le plastron de la forme faussement draconnique organisé par les pierres volcaniques en essayant d’atteindre le cristal de focalisation en pierre noire brûlante. Donnant l’impression qu’à l’intérieur, s’y trouvait un monde entier fait d’immolation et de désespoir. Accusant quelques chocs, Licinia tint bon, et le Gardien ne put jamais en finir avec elle puis-qu’après lui avoir tranché une patte avec Ika lors de son assaut, un sort à haute puissante brisa pratiquement son cristal. Toute influence des Cendrevies de Sernajj Rah se dissipèrent dans les environs, les tambours lointains cessèrent de battre, et Merethir poignarda de sa lance le dit cristal pour achevé le gardien ayant volé la forme d’un de ses antagonistes millénaires.

La poussière recouvrant le dernier lieu de pèlerinage s’échappa alors, dévoilant dans les ruines l’immense parcours de destruction de Sernajj Rah, jusqu’à une stèle en forme de marbre s’achevant par l’emplacement où il devait d’après les légendes renaître, avant de poursuivre sur la carte suivante : Une immense représentation d’Aldenard et Ilsabard, qu’il prévoyait alors de mettre à feu et à sang. Même si il n’avait pas les moyens de renaître, le Pacte pouvait toujours tenté quelque chose. Au moins, nous sommes proches d’arrêté leurs projets, bien qu’il faudra tôt ou tard parvenir à en finir avec le Pacte du Feu Vengeur lui même.
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 17 juil. 2020, 12:54

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-huitième Entrée – « Acte 9 – La bataille de la Griffe.»
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« Une équipe d’investigation fut envoyé vers l’emplacement découvert où les Cendrevies attendaient l’éveil de Sernajj Rah afin de déterminé notre capacité à nous y rendre efficacement. Malheureusement, cette dernière fut détourné sans comprendre pourquoi et taillée en pièce par le Pacte du Feu Vengeur avant que celui ci n’installe une position fortifiée en gardant nos prisonniers. Et donc, potentiellement, l’emplacement du Totem. La situation était grave, et le Capitaine Dentelion nous convia en vitesse pour rejoindre la troupe d’assaut déterminé à extirpé le Pacte d’aussi proche d’une zone civile tout en récupérant nos captifs. Les habitués de notre groupe vinrent à l’appel du Capitaine. Uldric, Ika et Merethir, avec qui nous formerions l’équipe destiné aux objectifs mettant à mal l’assaut. Et c’est ainsi que par un temps des plus agréables, où le brouillard ne pouvait nous gêné ni la chaleur du soleil nous épuisés, nous foulions alors les terres non pas avec quelques pairs de bottes mais bien avec toutes celle de la troupe de bataille en marche.

Des jeunes combattants des Immortels discutaient entre eux en se demandant à quel point ce premier combat serait difficile ou glorieux. Rares étaient les vétérans dans cette formation guerrière, avec le conflit actuel avec l’Empire, ce n’était là surtout que des nouveaux fantassins dédiés à stabilisé les terres de la Cité-état pendant que la guerre faisait rage. Il restait que dans les faits nous devions mettre fin aux actions du Pacte, mais notre route fut encombré par de bien tristes visions. Si la populace de la Petit Ala Mhigo était toujours agréable lors des départs, celles affectés directement par le conflit avaient cet aspect désespérés, errant comme des fantômes à côtés des tentes saccagés et des chariots brisés. Il y avait des cris de blessés en traitement et des plaintes de ceux suppliant de leurs ramener leurs enfants. Dans la panique, ils étaient un peu trop collant voir violent, ce qui en résultait l’impatient des soldats les repoussants un peu plus fort mêlé aux braillements du Sergent Johnson leur réclamant de se taire et de s’éloigner pendant qu’ils viennent les protéger. Une femme s’accrochant à Uldric fortement, puis à Ika, comme si elle allait les voir faire apparaître son fils disparut hors d’un grand chapeau. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vécu cet instant militaire où la foule ne comprenait pas qu’on ne pouvait pas sauver des vies sans être là, et nous dépassions cette étape sous des regards lourds, tout en observant avec colère et détermination le chaos laissé par le Pacte.

La ruine choisie pour établir leur campement était face à nous, renforcée par divers barricade de bois et de poutre de métal, ils s’étaient solidement installés dans un lieu où ils pourraient nous repousser en nous acculant sur des défenses. Pour faire chuter notre volonté, ils avaient laissé alors pendu à des lances les corps d’Eques Impériaux envoyés parlementer. C’était encore un des projets de Pyr Sonorion, mais contrairement à avant, il n’avait plus fonctionné. Leur cadeau n’avait été accepté qu’en échange d’un massacre, et le seul survivant, un Eorzéen enrôlé de force, nous expliqua qu’ils avaient au moins garder deux scientifiques captifs pour faire fonctionner une machine justifiant la fortification placée ici même. Car cette machine aurait potentiellement un pouvoir sur les Cendrevies. Tandis qu’Ika récupérait des armements Garlemaldais des plus simples, ceux n’exigeant pas une profonde compréhension comme les explosifs acquits, Uldric étaient en pleine inspection des lignes en faisant un rapport détaillé de ce qu’il ressentait grâce à ses sorts à Dentelion afin de préparé les troupes.

Ce n’est que quand du mouvement fut ressentit qu’Ika tira sa longue vue, observant les archers se mettre en place. Ce qui était une préparation et une inspection devient un tonnerre désordonné de trait renforcé par leurs magies, détonnant au moindre impact. La prévision d’Ika permit à Merethir de sauver le survivant Eques tout en mettant à couvert la plus part des troupes. Malgré les boules de feu suivant et les traits ardents, les boucliers levés par Ika et l’étrange carte d’Uldric parvinrent à limité grandement les dégâts, laissant des fracas autours de nous comme une pluie chaotique s’abattant sur notre force. Il était temps de nous mettre à affronter directement l’ennemi, et c’est sous l’appel à la guerre de Wilfrid que les Immortels se mirent à charger dans une grande ruée glorieuse.
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Dans un premier temps, tout le monde s’assurait rapidement que la situation était stable, laissant encore quelques flèches s’écraser contre les parois cristallines des boucliers de pouvoir, avant de rejoindre la ruée vers l’adversaire. Il y avait des nombreux aspects à défaire avant qu’il ne soit vraiment vulnérable, puisqu’il s’était visiblement préparé aux représailles, une épée enflammée plantée au sol comme un clou leur conférait force et vigueur en des lueurs ardentes comme des tatouages incandescent. Un des sortes totems projetant les grandes gerbes de flammes avait été descendu vers les forces fonçant en avant, pendant qu’un chaman de l’autre côté préparait visiblement une incantation sous forme de diverses prières. Et au milieu des rangs ennemis, un massif Amalj’aa dirigeait l’assaut, mais il était là une cible parfaite pour la ruée des immortels. Celle ci se fit au milieu des projectiles massifs des Amalj’aa, détonnant en emportant plus d’un courageux fantassin. Merethir se dirigeait sur le flanc, annonçant que quelque chose de très mauvais sans avoir pu l’identifier se préparait derrière les murs de pierre des ruines investies.

Le Carbuncle d’Uldric tournoyait dans tout les sens, conférant un bouclier physique à son maître, ce qui intervint juste à temps : Peu après, une flèche explosant sur le buste d’Uldric, le bouclier absorbant une grande majorité du choc avant de choir lourdement au sol. En pleine bataille, peu de temps pour le soutiens de ceux chutant puisque leur ennemi pouvait les achevés rapidement. Profitant d’une ouverture offerte par Ika en approchant le totem enflammé, je pu éliminé ses occupants en vitesse grâce à son aide en laissant quelques corps choir pendant que le totem brutalisa mon pauvre camarade. Envoyant celui ci vers Merethir qui avait littéralement pulvérisé le clou-épée d’une frappe si forte qu’elle détonna à l’instant où elle fut impactée, la force des Amalj’aa avait été grandement divisée quand les forces des Immortels finirent par s’écraser sur leurs lignes à coup d’épées et les noyant sous les jurons au passage. Si Johnson pouvait tuer avec des insultes, il aurait sûrement brisé l’armée ennemie tout seul je dois dire ! Soutenant Merethir dans son offensive, Ika découvrit à la mort du Chaman après avoir pu passé en brisant l’adversité au milieu de la mêlée des Amalj’aa, que le rituel cherchait à récupéré l’essence de ceux tombés pour nourrir quelque chose. Sa mort prématurée engendra une sorte d’entropie dans son rite, et la terre devint de la pierre volcanique dont s’extirpa plusieurs Cendrevies.

Les êtres absurdes qui jaillirent d’une faille au sol furent rapidement attaqués par Ika pour permettre à Merethir de foncer à l’arrière des défenses que j’avais pu contourner afin de découvrir ce qui se tramait derrière. Le draconide avait des veines enflammées, bousculés par des chaînes et ordonnés par le sifflement d’un maître que j’assaillis de toute part pour évité qu’il ne parvienne à faire atteindre nos lignes par la bête enragée. Il fut plus difficile à Ika et Uldric de passé, notre mage laissa disparaître son carbuncle des griffes du chef de la défense adverse après l’avoir harcelé pendant des précieuses longues minutes lui ayant coûté beaucoup d’initiative dans la mêlée. S’ôtant malgré les griffures et les coups, les flèches et les assauts, de la mêlée hurlante, la stratégie offrit néanmoins un gain intéressant. Le flanc gauche des Amalj’aa venait se confronté aux Cendrevies enragés venant essayer de les tailler en pièce en les occupant largement.

Le draconide fut rapidement géré par Merethir, quand il fonça à son contact en délivrant un grand coup de lance, Ika se chargeant d’affronter le Chaman qui venait de planté un totem au sol avec un grondement effrayant. Le souffle enflammé de la bête glissa dans les environs proche, envoyant un coup de tête à Merethir qu’il esquiva d’un geste souple en lui labourant une nouvelle partie du torse. Je me pris un bon coup de pied dans le ventre en venant à l’aide d’Ika grâce à une technique pour évité qu’il finisse carbonisé de l’intérieur comme le Chaman qu’il venait de balancer dans le souffle de la bête. En retour, dès qu’il fut redressé, il parvint à achevé l’éleveur en lui brisant la jambe puis le torse d’un bon coup de gunblade en plein torse. Uldric finissait de se remettre en tout ayant guérit Merethir, il put faire détonné une lueur arcanique dans une des blessures infligés par un bon coup de lance, ce qui résulta d’un assaut final perçant le crâne grâce à l’épée d’Ika, et une aide de ma part pour que la pointe de la lance atteigne la cervelle du draconide. Ce fut comme l’oeil du cycle, le calme au milieu de la tempête, alors que nous observions l’installation Amalj’aa plus lointaine où un faisceau de lumière apparaissait vers les cieux. Prit d’adrénaline, un Immortel chargea pour finir immolé sur place par les défenses vicieuses en ne laissant qu’un tas d’os de sa personne. Et pourtant, il faudrait quand même pouvoir passé.
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Le bref repos fut salvateur pour nous qui avions déjà été éprouvés par une adversité sérieuse, quelques élixirs pour reprendre des forces furent partagés malgré l’écho des tambours résonnant dans nos oreilles mêlés à ceux des affrontements plus rare mais présents autours de nous. Ika envoya sur la bordée de totem gardien une des grenades givrantes dans les affaires des Eques Impériaux, couvrant ses derniers de glaces en limitant grandement leurs effets. Sous les lueurs imprégnant les combattants se hissant de la lance de Merethir, nous reprenions une soif de bataille nous conduisant à partir en vitesse vers le cœur final du campement. Des cendrevies étrangement abîmés par l’effet étrange de ce faisceaux partant vers les cieux s’extirpaient à même le sol au milieu des colonnes enflammées et des Amalj’aa du Pacte tirant leurs lances pour nous assaillir. Les subjugués étaient présent, bien que toujours là en tant que chair à canon pour les guerriers bien plus massif encore. La chaleur nous imprégnait rapidement, les coups de lance et d’épée écartaient les courageux s’approchant de la colonne en ruée, tandis qu’Uldric installé en hauteur sur les ruines bombardait de sort les environs pour ne laisser rien de plus que des cendres nous atteindre.

Au fond de notre destination, se trouvait la Griffe d’Urdhan. Un bras magitek signe de l’offrande des Garlemaldais pour essayer de s’en servir remplaçait celui que nous lui avions déjà tranché, alors qu’il observait une sorte d’armature technologie extirpant de la terre le pouvoir rechercher, créant ce rayonnement partant vers les cieux en voulant capter le pouvoir des Cendrevies. Des prisonniers étaient installés un peu partout, et un Amalj’aa tenait un katana dans ses bras en trésors de guerre volé lors de leurs massacres des forces des Immortels. Nos forces vinrent s’écraser contre les derniers protecteurs de la Griffe, rejointe par l’Egi invoquée qui dans des flammes presque maléfique écartelait ceux s’opposant à elle. Ika chargea le porteur de la lame, mais il fut reçu par une blessure sérieuse le long du torse, qui aurait pu être enchaînée par un coup mortel si Merethir n’avait pas attrapé Ika pour partir d’un bond immense en atteignant les arrières lignes où il pouvait se faire guérir. Uldric fini par nous rejoindre, s’installant auprès du blessé, tout en essayant par divers miasmes magiques d’affaiblir au mieux la griffe et son garde du corps avant qu’ils ne purent faire quoi que ce soit d’autre.

Le gardien des prisonniers, un miqo’te tellement infusé de pouvoir qu’il risquait de produire une sacrée détonation, fut apporté proche des deux chefs quand il fut visible qu’il allait se faire sauter. Merethir dans son action héroïque fut projeté contre le mur de pierre à côté de lui, Uldric ayant tout fait pour essayer de l’aider en rendant le fracas plus terrible encore. Finissant d’en profiter pour libéré les prisonniers, il ne resta rapidement plus que la Griffe et son suppôt pour nous opposer une résistance pendant que le combat faisait rage proche de nous, le Sergent Johnson tenant plus que bien. Ika fini par parvenir à se redressé, venant brisé les câblages et le bon fonctionnement de l’armature magitek pendant qu’Uldric renforça le cristal en voulant le surchargé. J’ignore si ce c’est ça qui provoqua la suite, mais elle fut des plus déroutante. La griffe d’Urdhan parvint à me saisir, Merethir venant de se débarrassé de l’adversaire au katana dont celui ci chuta au sol, et avant qu’il ne m’arrive quoi que ce soit, Ika parvint à me libéré. De la destruction de l’armature magitek, entre les décombres, jaillit une sorte de faille immonde dégoulinante de lave.

De ce passage aux enfers, du moins c’est ce à quoi cela me faisait pensé dans l’immédiat – Bien qu’avec du recul, c’était une faille vers le domaine des Cendrevies, ceux ci dans un amalgame hideux d’esprit enchevêtrés vinrent saisir le responsable d’une telle profanation : La griffe d’Urdhan. Notre dernière vision de lui fut celui d’un guerrier hurlant, suppliant, gémissant, avant de disparaître dans le passage en même temps qu’il se referma sur ses derniers appels, ne laissant plus qu’un calme irréelle. L’exultation de joie des combattants était des plus normal après autant de problèmes dans cette sanglante mêlée. La bataille de la Griffe s’achevait sur une victoire lourde en difficulté et en noble sacrifice afin de faire revenir avec nous les prisonniers rescapés. La fatigue nous rattrapa tous, et il ne resta qu’à évacué nos camarades blessés. Le Pacte avait beau être repoussé, il nous restait encore une étape primordiale : Mettre en sécurité définitivement le crâne de Sernajj Rah.
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 19 juil. 2020, 04:07

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Qui veut voir le Thanalan en flamme ?"

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Cinquante-neuvième Entrée – « Acte 10 – Aux Tréfonds du Sanctuaire des braises.»
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« Le Pacte ainsi écarté depuis la mort de la Griffe d’Urdhan après la bataille portant vaguement son nom, il était nécessaire d’agir au plus vite avant que le Seigneur de Guerre Amalj’aa ne décide de renvoyer de nouvelles forces afin de nous prendre de vitesse. Nous avions toujours le moyen d’atteindre le sous-sol où devait veiller le lieu de résurrection de Sernajj Rah, même sans l’expédition d’avant-garde promi par le Capitaine Dentelion qui fut hélas détournée. Si les Impériaux gardaient un œil là dessus, hors de question de mettre d’autre vie en danger. Ainsi, notre équipe se retrouva à la Petit Ala Mhigo afin de préparer notre départ. La ville festoyait encore un peu des prisonniers revenu en vie, un petit garçon venant même apporter un peu de viande à Uldric pendant que d’autres saluaient Ika. Pour cette opération, le groupe fut constitué de Licinia Valérius qui avait vécu les problèmes de la ruine. Ika et Uldric comme toujours. Corvus Vendex vint remplacer Merethir qui se remettait des blessures douloureuses de la bataille. Et notre guérisseur amical du nom d’Aerlin revenant parfois à nos côtés quand le temps lui permet. C’était un plaisir de retrouver les visages de ses compagnons, et le temps était relativement de notre côté : Un peu de vent frais, un soleil léger, il était ainsi bien plus facile de géré le temps qu’il faisait que de devoir subir la difficulté du trajet.

Ce n’était pas un recoin jadis habitué ou préparé pour la guerre, mais bien l’épreuve de nombreux passage des plus compliqués. Crevasses, amas de pierres à escaladés, nous usions de nos talents respectives afin de ne pas choir dans le vide. Ce qui fonctionna aisément à vrai dire, bien que les quelques chutes douloureuses furent rapidement empêchés par des réactions rapides. Ce qui parut être un voyage difficile n’était alors rien comparé aux épreuves nous attendant dans le Sanctuaire des Braises où siégeait alors le Totem de Sernajj Rah sous la surveillance de ses acolytes. Dévalant une pente sèche en évitant de nous casser la figure, la vision du passage apparue un peu brusquement, faisant réalisé que sans l’exacte carte laissé par le lieu de pèlerinage où Enox guettait, nous n’aurions jamais pu atteindre ce lieu. S’élevant vers un horizon masqué par une nappe de brouillard et de cendre, un pont fait de pierre volcanique comme si une coulée de lave avait pu s’écouler à l’horizon en faisant fit du vide pour créer un véritable pont, des silhouettes figées dans le temps installés dans des moments d’effrois et de paniques à la fin de leur existence.

La chaleur montait, et c’était affreux de subir cette vision. Licinia et Corvus inspectèrent le sol volcanique en constant qu’il serait possible mais difficile de faire un passage, ce en quoi Uldric prit un temps de rendre cette progression plus confortable en envoyant du givre rafraîchir au minimum le passage. Nous progressions en vitesse sur cet amas de pierre fumante sous nos bottes en laissant une petite impression de chaleur à l’intérieur, tout en écoutant les murmures d’un être qu’Uldric avait repéré pas loin de là. Qui cela pouvait-il bien être ? Il fut découvert rapidement par Corvus quand il se détourna vers le son de la voix, mais c’était alors même que les Cendrevies s’extirpaient du sol. Ceux ci n’étaient pas fait de pierre volcanique brisable, mais de lave coulante. Celui nous parlant était une âme d’une des victimes anciennes de Sernajj Rah bloqué dans la coulée depuis sûrement bien trop longtemps. Il était à peine compréhensible, mais nous donna l’indice pour parvenir à atteindre la fin du pont : A ce niveau là, il y avait des runes inscrites au sol, de très nombreuses à même la pierre montrant divers aspects.

Le crâne de draconide était pour les connaisseurs l’accès le plus logique depuis le temps, mais les Amalj’aa gravé risquaient de faire apparaître des Cendrevies déchaînés tout comme les flammes faisait jaillir des colonnes enflammées. Mais Ika en voulant brisé un des Cendrevies de Lave face à nous brisa au hasard une rune qu’il fallait préservé à tout prix. Une des runes incarnant le pont en forme de pierre incandescente. Un grand trou s’ouvrit en emportant le Cendrevie vers le ravin alors qu’Uldric fonça récupéré l’avant-bras d’Ika avant qu’il ne chute dans le vide avec. Des explosions apparaissant dans tout les sens dans des déferlements enflammés, Aerlin repoussant ses derniers par la force des vents hurlant pendant que Licinia suivait un Ika menant la route dès qu’il fut en place. Repoussant les quelques Cendrevies comme nous le pouvions, au milieu de la tempête de poussière et de sable gênant. La route fut longue en suivant les bonnes runes, mais une fois arrivé, il était facile de comprendre que nous avions en face le Sanctuaire des braises au vue des immenses statues trônant l’accès.
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Nous étions couvert de cendre, de suie et de poussière. Les blessures étaient encore très faible à ce moment là, seul la surprise d’Ika en chutant dans le vide avait été très menaçant et l’armure de Licinia l’avait bien protégé de la lave d’un coup dorsal. Le passage était constitué de deux statues de pierre volcanique bien plus lisse incarnant des Amalj’aa grandiose portant des haches. Ce fut un choc de ne plus entendre les explosions et autres résidus de bruit brutaux au fond de nos oreilles, mais le temps ne nous était pas accordé d’attendre pour nous reposer et réfléchir. Des flammes s’allumèrent le long du passage et des tambours se mirent à frapper fortement à l’extérieur au bruit de centaines de bras frappant ensemble. Les statues s’illuminant, lentement leurs bras se mirent en mouvement en risquant de s’abattre pour nous bloquer le passage. Ika avait comprit immédiatement que nous serions coincés et fonça en avant à toute vitesse pour essayer de traverser avant que cela ne chute.

L’erreur fut d’avoir prit trop de temps à parler ou réfléchir et à essayer d’arrêter les monstrueuses haches là où il aurait fallut tout faire pour avancer le plus vite possible. Les coups tombèrent, soulevant le sable et la poussière en nous propulsant vers l’avant à toute vitesse. Je percutais un petit autel avant de choir plus loin, la plus part d’entre nous furent rudement sonnés. Aerlin s’occupa en vitesse d’Ika en une guérison sommaire pour lui rendre ses forces, pendant que tout le monde petit à petit se remettait en place. La poussière retombait doucement, et le bruit se mêlait lentement à celui des tambours retentissant un peu partout autours de nous. Parfois, quelques pierres chutaient du plafond doucement, mais le plus grandiose fut l’étendue de la galerie illuminé par des flammes ardentes quittant des autels. De ce feu, naissant les silhouettes des Cendrevies désincarnés qui s’entraînaient, vivaient leurs « vies » et jouaient sur le second étage en hauteur des centaines de tambours résonnant en échos le long du passage.

Voilà une vision des plus magnifique, mais portant aussi bien son lot d’histoire, que d’inquiétude. Passant tout le long du passage malgré notre état qui irait petit à petit vers le bien pire à force d’épreuves, nous notions alors que la passe était truffée de piège grâce à l’observation de Licinia nous faisant passé à travers la plus part de ceux ci. Mais ce fut aussi la vigilance d’Ika qui nous permit d’être en place quand il constata à quel point nous étions observés par les flammes des Cendrevies. Plusieurs sautèrent de l’étage et s’incarnèrent par des pierres volcaniques pour nous encerclés. Le plus dangereux dans la situation, c’est que ce coin était encore censé être truffé de piège, mais impossible de savoir où ils étaient placés Licinia n’ayant pas eue le temps d’effectué une inspection pour le savoir. La seule chose visible était des cristaux, six cristaux, qui venaient d’apparaître d’après ce que Licinia pu comprendre plus tard qui ondulaient en l’air dans des autels prévu pour les conservés. Face à nous, trois porte avec des iconographies d’un draconide, d’un Amalj’aa et d’un élémentaire de feu. Avant de pouvoir s’intéresser au passage, la bataille éclata.

En premier temps à distance pour ne pas avoir à nous mettre en péril face aux pièges censés être autours de nous, et plusieurs chutèrent face à des frappes puissances comme Ika qui se déchaîna particulière, et les enchaînement d’Aerlin restreignant ses cibles offrit des cibles parfaites à Corvus et à l’Egi d’Uldric. Le combat fut rapidement achevé, il en restait très peu quand Licinia en exécuta un d’un tir en pleine tête alors qu’Ika se retrouvait coincé avec la jambe blessée par une pique d’un piège. Mais le problème était que les Cendrevies avaient comprit qu’ils ne nous arrêteraient pas facilement, en choix drastique ils décidèrent de faire couler la lave en noyant la parcelle où nous étions installés. Plus le temps passait, plus nous risquions de finir sous la lave, et pendant qu’Uldric aidait Ika et moi à nous débarrassé des derniers Cendrevies, les autres inspectèrent les cristaux. Licinia découvrant qu’ils étaient liés à notre présence, pendant que Corvus et Aerlin se servirent de cette information pour les essayer : Les cristaux formaient des sortes de visions étranges se liant aux différentes portes. Un cristal, une clé, un passage. Difficile de dire si c’était pour les pèlerins ou si c’était lié aux inscriptions des personnes sur les gravures proches des cristaux incarnant des humains se révoltant, mais grâce à ça nous avons pu passé les dites portes. Seul problème pour Licinia, elle avait fissuré un cristal en tirant dessus pendant le combat, ce qui affaiblit un instant douloureux les Cendrevie, tout en ayant faillit brisé sa propre clé. Nous reposant un bref instant après le passage, cela me valu le temps de contempler pleinement le lieux où nous étions arrivés.
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C’était une sorte d’immense cavité souterraine, puisque nous avions déjà pas mal descendu vers les tréfonds de la terre, illuminée entièrement par des lacs de lave coulant où on sait où, des fontaines formés par des monticules de pierre volcaniques motivées mettant en valeur des grandes statues, des colonnades cerclant des passages immense plein de décoration menant jusqu’à la salle finale ressemblant à un dôme étrange au milieu de ce domaine incroyable. Dès que nos pairs furent requinqués, bien qu’avec quelques aides rapide notamment de la part d’Aerlin montrant à quel point un soigneur est important lors d’une mission dangereuse, nous nous sommes mis à traverser en bon rythme le grand passage menant à l’intérieur du dôme où devait se trouver le Totem de Sernajj Rah. Progressant facilement dans la contemplation, jusqu’à ce que le danger vint d’une immense statue essayant de capter la grandeur de leur divinité, Ifrit. Celle ci était faite de pierre volcanique lisse comme les statues à l’entrée, essayant de capté l’essence de leur Seigneur des Enfers.

Mais plus que nous observer et nous suivre du regard, cette incarnation nous jugeait, et les stries de lave naquirent de ses flancs pour essayer de nous noyer dans une déferlante immense. Licinia et Corvus réagirent en un instant, l’une tirant une balle aqueuse dans l’œil de la structure l’éteignant quelque peu, tandis que l’autre envoyait une grenade de ce type proche du souffle. Diminuant celui ci quelque peu, l’impact restait quand même terrifiant et mon coup de lame ni le dispersa qu’à peine. Uldric essayait de redirigé leur puissance à l’extérieur pendant le ravage, alors que le souffle percutait le bouclier dressé par Ika et Aerlin en des nombreuses lueurs cristallines qui se brisèrent les unes après les autres en des bruits chatoyants. Finalement, tout cessa brusquement ,et nous partions à toute hâte pour ne pas imaginer que la statue pouvait encore ou non souffler de cette façons. Personne n’avait envie de le savoir !

Entrant par une arche des plus richement décoré en de nombreux aspects lui donnant presque la lueur de l’or, l’intérieur était fait ainsi de telles antiques reliques tribales donnant l’impression d’un trône au milieu de ce domaine de lave dont les reflet de l’extérieur offrait une vision d’un lieu baignant dans la destruction. A l’intérieur, deux statues essayaient de ressourcés le Totem par la pointe de leurs lances, alors que deux Cendrevies titanesque se tenaient de part et d’autres de cette dernière. Au dessus, le même type de cristal qui animait le Gardien Enox dans les vieilles ruines reluisante de mille feux et d’une taille immense par rapport à ce qui animait la force du protecteur antique. Ce qui se trouvait devant le totem était tout aussi surprenant : La griffe d’Urdhan, portant son armure noire mais n’étant en dessous fait plus que de pierres brûlantes, n’ayant que conserver son bras magitek pour une bonne raison : Il l’usait pour frapper la clé qui scellait le totem de Sernajj Rah qu’Uldric et sa disciple avaient déjà réussi à installé dessus. Nous prenions le temps d’analysé les lieux et de mettre en sécurité Uldric dont le manque d’énergie dissipa son Egi et le fit choir au sol. Rapidement mit de côté par Licinia et Aerlin lui offrant quelques soins pour qu’il soit en sécurité , les Cendrevies réagirent et la bataille fit rage.

Je luttais face à celui de gauche pendant qu’Ika maintenait parfaitement bien celui de droite en laissant le temps à Aerlin de brisé les statues tenant les lances grâce à l’aide de Licinia et Corvus tirant sur les dites lances pour détourné les faisceaux enflammés générant du pouvoir supplémentaire pour le totem scellé. Celles ci brisés rendirent bien plus sensible les gardiens, qui furent grandement endommagés avant de nous envoyer paître au sol lourdement grâce à leurs haches immenses. La griffe vit une menace sérieuse en la présence d’Aerlin quand il brisa les statues, et il dut la vie à la présence de Licinia fonçant devant lui pour faire jaillir un bouclier rayonnant arrêtant l’amas de pierre volcanique traversant la pièce pour exploser dessus.

Les murs du dôme se brisèrent en dévoilant les étendues de lave environnant où de nombreux Cendrevies sous forme de lave sortaient, de plus en plus nombreux et de plus en plus gros. La griffe raillaient ses ennemis en présentant son armée, mais le temps de le faire, je bondissais pour frapper rudement les deux gardiens en laissant Ika et Corvus massacrés ses derniers une bonne fois pour toute. Licinia ayant tiré sur le cristal, la résonance de son impact frappa tout les Cendrevies incarnés en nous laissant réalisé que si la source était brisée, ils disparaîtraient aussi. Faisant suivre Ika dans son idée, Corvus souleva une des lances produisant toujours le faisceau de lumière directement pour impacté le cristal qui fini par se briser en milles morceaux en laissant la lave environnante s’éteindre, comme si un royaume avait décidé de disparaître entièrement d’un coup net. La griffe s’effondra quand Ika la perça au cœur, celle ci ayant déjà eue une jambe coupée par mes soins et Aerlin protégea Licinia du choc final après qu’elle lui ait dévasté une main d’un tir net. C’était définitivement la fin de la Griffe d’Urdhan, et nous avions acquit le Totem de Sernajj Rah. Adel’Delroy lui même nous attendait avec ses occultistes, ayant ouvert le passage pour nous faire sortir après avoir été coincés dehors. L’extérieur semblait magnifique après autant de mal à supporter les difficultés là dessus. Ainsi que le paisible sentiment d’avoir achevé une lourde tâche dans cette affaire en privant le Pacte une bonne fois pour toute de la source du pouvoir qu’ils désiraient tant. »
Akayane Kosenjobi.

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