"Celui qui rôde dans les racines."
« Nous voilà au moment d’en finir avec le destin qu’un adversaire vaincu avait souhaité pour Aerlin. Ça restait une bonne idée, l’idée qu’il puisse être délivré de ce fardeau, et aurait en conséquence l’acquit de la confiance des siens, et d’une évolution bien plus profonde alors. Mais cette mission si souhaitable était-elle, était encore à faire au moment où nous devions nous retrouver sous les racines noires afin de discuter de notre prochaine objectif. Bien qu’il n’y ait pas grand-chose à redire au fond. Un arbre-foyer au fond de là, nous observant comme une relique perdue, et un immense pont y menant. Qu’y avait-il vraiment à redire, si ce n’est contempler le destin d’une quête périlleuse qui risquait de nous entraîner vers bien des maux ? Le Tree Barar, cette chose qui à survécu de nombreuses fois à des combats intenses, qui en vérité, n’était qu’un observateur de ses desseins et à provoqué des malheurs infâmes. Au fond, pour Sombrelinceul et Aerlin, ce Tree Barar était presque l’équivalent du nuage noir qui tourmente parfois encore mes pensées. Heureusement, notre adversaire n’a jamais réussi à provoqué pareils saccages que sur mon île, malgré ses tentatives, il pu être arrêté. Mais comme Hanbei me le disait : Il ne faut pas simplement le repousser. Il faut le détruire, que jamais il ne recommence pareils folies, qu’il ne recommence à tourmenté les pauvres gens, et c’est un devoir que nous nous sommes confiés. Celui de retenir ce malheurs incarné bien loin des autres, et cela débutait ici par la contemplation de l’arbre-foyer au loin, au-delà d’une brume provoqué par sa simple présence, et par l’absence de ceux qui se trouvaient jadis ici. Un fléau avait rendu cet espace bien malheureux, les esprits de jadis ne sont plus, c’est ainsi.
La Sylve affaiblit, tout les espaces ne furent comblés. Rien qu’à voir le triste état de la forêt de « l’ouest » si j’ose dire. Où Grim se trouvait en contemplant jadis un domaine qui était sa terre aimée avant que tout ne soit simplement ravagé par un fragment de Dalamud. Et ici comme ailleurs, cette plaie restait présente et montrait aux autres, ce qui peut naître de blessures qui ne sont pas traités. Un musc infâme, fait de malheurs, et de tristesse. Ce soir, seule deux routes étaient envisageable pour Aerlin : Vivre libre, ou disparaître pour laisser place à un monstre. Et ne me parlez pas de sacrifice héroïque aux aspects de noble quête, je ne laisserais pas mourir un compagnon même pour une histoire de « destin. » Ainsi, c’est là où la cosse fut brisée qu’une bonne partie de notre équipe s’est rejointes. Si toute l’aube Obscure décida d’agir, même quelques alliés allaient nous rejoindre, du présent et du passé. Il faudrait attendre un peu avant de voir Finaen et Runne arrivés, occupés qu’ils étaient afin de parvenir à nous ouvrir le passage vers le Tree Barar. Mais leurs efforts seraient dérisoires, si ils étaient tués par toutes les horreurs qui allaient protéger leur maître. Il nous fallait agir, leur offrir ce temps. Et cela débuta par se réunir avec Greil et moi seulement pour lutter contre les lignes adversaires, en ayant Sorn afin de s’occuper de nos ennemis à distances. Mais ce furent surtout plusieurs magiciens qui eurent le rôle de déjoué les menaces, avec Aerlin et Lucian comme compagnons habituels, mais il fallait ajouté à ça, Uldric venu pour mettre un terme à la vie du Tree Barar l’ayant connu il y à bien bien longtemps, et Hanbei présent pour s’occuper du sort de cet esprit dégénéré. Ce qui était accordé à ses attributions de Geomancien. Même si il nous rejoignait vraiment pour une tâche très délicate.
Dès que notre rapport fut préparé et conversation achevée, nous voilà en route droit sur l’immense pont au-delà de la brume, afin de nous préparer aux horreurs attendues, alors que les élémentalistes du jeune Padjal responsable, attendaient d’avoir un moyen de nous rejoindre. Le voyage fut relativement tranquille sur le pont, au départ. Progressant quelques temps, nous découvrions à travers la brume, des vestiges de ce domaine laissant voir des amas de flots s’étendant un peu partout, dont le teint était d’un terne inquiétant, comme si à l’image de ce que le Phénix noir pouvait apporter, ses domaines avaient été affectés par un mal qui le retirait toute lumière. Toute vie. Et comme si d’un coup, un œil titanesque s’était ouvert. Se posant lentement sur nous, comme un œil immense et malsain, laissant des lueurs de cet éther onduler doucement le long de ce regard monstrueux, avant de nous donner l’impression qu’il se moquait. Les rires jaillirent de tout les côtés, et des ombres brusquement se mirent à apparaître, des créatures comme des amas de capes sombres avec des visages souriants se mettant à se moquer de nous.
Plusieurs sphères noires chutèrent un peu partout, et dans des explosions, faisaient naître pas mal de végétation dans tout les sens. Si elles sautaient toutes, nous ne pourrions jamais passer, il fallait vite s’en débarrassé ! Mais tout n’allait pas être si simple. Les deux énormes bras comme des ombres au loin apparurent provenant de l’Arbre-foyer, avant de se joindre, et de frapper le pont brusquement. Le choc résonna jusqu’à dans nos os, brisant brusquement le sol, et fracturant ce dernier flottant vaguement en l’air. Entre la difficulté du sol brisé, les sphères, et les assaillants formant des lames d’ossements. Les combats allaient être périlleux, mais immédiatement, Sorn se mit à tout brûler. Il faut dire que c’est sa spécialité après tout ! Les flammes jaillirent sans cesse, formant des torrents dans les environs pour dévoré les graines qui tombaient sans cesse pendant que ses tourelles analysaient le terrain pour essayer de lui fournir de l’aide. Voyant en lui une menace irritante qui dévastait un peu trop le passage sous le feu ardent, les horreurs se mirent à hurler « Cordolien ! » avant de lui foncer dessus. L’attrapant et le soulevant d’un coup en l’air pour le massacrer. Uldric, qui avait laisser son carbuncle ejecté les graines restantes comme un véritable balais sortant tout de là rapidement, parvint à affaiblir les trois esprits suffisamment pour qu’il le lâche. Sorn alla se casser la figure sur le pont, un peu brusquement, mais ça l’épargnait un coup trop rûde. Continuant à affaiblir les créatures sombres, une passa en riant au dessus de l’épaule d’Uldric, fendant celle ci de sa griffe avant de continuer sa route. Mais elle passa devant Greil, et fut tranchée en deux d’un coup. C’était un geste agile dans les airs, Greil continuant ainsi rapidement en passant d’un adversaire à un autre, nous ouvrant la voie au milieu des innombrables tirs provenant des cristaux mauves explosant dans les airs, des amas de vents puissants projetés par Aerlin, et des flèches lumineuses des deux vipères fendant les airs.
Mais une griffe quand ils furent trop nombreux tailla la cuisse de Greil, mettant brusquement un genou à terre en ayant un peu de sang glissant de celle ci. La blessure fut immédiatement traitée : A côté d’elle, l’invocation d’Hanbei veillait sur Greil, lui permettant de repartir au combat. Hanbei et Aerlin étaient ensemble, les vents repoussant les adversaires se collant au grand bouclier carré du Geomancien, serrant un peu les dents, jusqu’à ce qu’il n’ait vu la menace provenant de deux graines formant des explosions fantastiques. L’une me frappa de plus fouet, sonnée et essayant de tout faire pour ne pas perdre consciente, je volais plus loin dans le vide mais Aerlin utilisa les vents comme il s’y préparait : En me rattrapant, je pu revenir d’un coup sur le pont pour retrouver au sol, rapidement traitée par Hanbei qui venait de sauver Lucian. Fonçant vers lui, bondissant d’une plateforme de pierre à une autre, il forma d’un coup un bouclier face à l’autre graine. L’énergie fusa sans cesse dans une déferlante explosive, tournoyant autours du spectre de sa protection, se fissurant de plus en plus.
Mais la détonation d’énergie verdoyante ne fut pas suffisante, et le boucler tient le choc, permettant à ce dernier épuisé de reprendre rapidement la route avec Lucian, nous laissant tous progressais en vitesse vers l’intérieur de l’arbre-foyer. Il était comme un trou béant vers une abîme profonde et très peu rassurante, comme entrer dans la gueule d’un monstre, mais il fallait y parvenir en vitesse, ce qui n’était pas vraiment de l’avis du Tree Barar : Les énormes poings ayant brisés le pont allaient tout faire pour tenter de nous écrabouiller en vitesse, filant pour se fracasser sur nous. Ici, l’espace était bien plus déformé, formant des reflets d’énergies reluisant un peu partout en des lumières vertes, d’où des voix apparaissaient. Des voix de nos proches, de nos amis, nous appelant à l’aide pour être sauvé. C’était une des meilleures ruses du Tree Barar, et être déstabilisé un instant pouvait simplement nous massacrer. Et de cet antre, dans la crasse et l’eau perdue, jaillirent des grenouilles immenses, osseuses et infectes, comme si elles étaient osseuses, ayant l’air particulièrement monstrueuses. Nous les affrontions de face avec Greil, tranchant les premières en morceaux de nos lames, tandis que des bras d’eaux jaillirent avec les chaînes de Lucian. Aerlin allait les contenir avec Lucian, formant des liens entre les flots contrôlés et les chaînes les retenant brusquement, pour que nos lames les tranchent à toute vitesse.
Plusieurs fois, je perçue Gladys envoyer ses explosifs en rigolant, une grenouille ayant même gobé une des grenades avec sa langue, avant d’exploser de l’intérieur en mettant un peu de son corps partout. J’aurais pu être blessée, quand une langue m’attrapa en me faisant valser sur le côté et en m’écrasant au sol, mais l’énergie formant un bouclier intense de Yesei, l’invocation d’Hanbei, me soignait et me protégeait déjà. C’était une belle manœuvre, et il ne s’arrêta pas là. Fonçant vers Aerlin et Uldric qui préparait un sort puissant, il allégea encore et encore un des bras énorme tombant vers eux, et bloqua ce dernier avec une grand barrière d’énergie crépitante. Serrant les dents pour tenir, il tourna la tête dans sa stupeur, Sorn était sur le point de se faire broyer brutalement par l’autre bras. Ne pouvant rien faire, Greil parvint à fuser vers Sorn qui se retournait. Le coup tranchant était si puissant, que ça trancha le doigt qui était sur Sorn avant de l’écraser, envoyant le doigt valser au loin. Mais le moment de joie de le savoir en vie fut interrompu brutalement par le souffle fantastique de l’Egi d’Uldric. La tornade incarnée nous fit valsé à toute vitesse à toute vitesse droit vers l’intérieur pour investir enfin ce domaine. Il était temps pour nous d’en finir avec les dernières défenses nous empêchant d’atteindre notre cible. Le Tree Barar.
L’antichambre du Tree Barar était déjà un endroit bien inquiétant, le dôme ouvert formant comme une sorte d’étendue de cathédrale baignant dans une sorte de lumière diffuse si étrange, me donnait l’impression d’être contemplé par un œil énorme nous regardant et s’amusant de ce qui était prévu pour nous arrêter, entre des mauvaises surprises et des rires de nous rendre fou. C’était un domaine inquiétant entre les murs qui nous encerclaient de toute part, et on ne pouvait qu’imaginer être dans une sorte de domaine où le Tree Barar avait une influence sans pour autant pouvoir en sortir. Ou simplement le vouloir ? Car le passage sous nos pieds étaient scellés, formant des sortes de tourbillons de noirceur comme une fumée en forme de flammes noires inquiétantes dont les mouvements étaient hypnotiques. C’était aussi bien apaisant qu’effrayant à voir, ce qui n’est jamais une très bonne chose dans ce genres de cas, mais l’œil comme une lumière de cathédrale au sommet de ce lieu était tout aussi fascinant que gênant. Des lumières tombaient dans les environs, comme si nous étions au dessus de quelque chose de brillant d’une façons formidable, et tout ça mettait particulièrement bien en valeur ce qui se trouvait autours de nous. Néanmoins, cela formait surtout des lueurs vertes maladives qui elles n’étaient pas du tout rassurante, ce qui ne permettait pas vraiment de se sentir au milieu en ce lieu chargé d’histoire qui furent jadis passés. De tels histoires, nous risquions de les recevoir en pleine dents, alors que les élémentalistes arrivaient rapidement dans notre dos.
Sans les horreurs les empêchant de passé, l’œil du Tree Barar concentré sur nous, ils eurent plus de facilité à passé même si cela avait entraîné des pertes : Plusieurs des Deux vipères les escortant n’étaient plus là, ayant sûrement été massacrés par les bras de l’arbre-foyer qui protégeaient encore l’accès. Au moins, le jeune Padjal et Grim étaient là, et pourraient nous permettre de commencer à faire usage de leurs sorts pour brisé l’accès menant vers le bas. Cet effort allait prendre du temps, de la concentration, et de la vivacité d’énergie formant des puissants reflets de pouvoirs autours des élémentalistes usant de l’éther comme une sorte de jeu de l’esprit magnifique dont les illuminations rendait un peu de vivacité à cet endroit. C’est comme si ils redonnaient un peu de vie à cet arbre pendant quelques instants, ce qui était simplement formidable à observer. C’était comme contempler une puissance incroyable se mettre à l’œuvre, mais en émettant des profonds ricanement, certains des êtres dans les environs n’allaient pas vraiment laisser faire tout ça si facilement. Nous le craignons, et c’était vrai, mais les griffes du Tree Barar étaient certains habitant de ce domaine ayant jadis appartenu à ce monstre pour devenir les serviteurs de ses desseins.
Alors que nous étions en pleine préparation, le cri d’un des Deux vipères se fit entendre quand brusquement un amas de végétation jaillit et l’attrapa comme en le mordant, filant dans les ombres avec avant que son agonie ne s’échappe dans un râle final. Brusquement, laissant apparaître des yeux serpentins, des sortes de serpents fait uniquement d’amas de végétations jaillirent en roulant autours de nous lentement, sifflant avec cruauté en se préparant petit à petit à essayer de nous encercler pour nous massacrer. Et ils n’étaient pas les seuls menace autours de nous. S’extirpant de l’obscurité, s’élevant lentement avant de descendre sur la plateforme. Plusieurs anciens protecteurs de ce recoin de la Sylve, des Gridaniens choisit guidés par un antique Druide, dont il ne restait qu’un corps pâle particulièrement maigre dans une tenue sombre de feuillages en tenant son bâton, deux anciens combattants Gridanien l’épaulant en levant leurs lances. Il était le protecteur jadis de la créature qui apparut dans notre dos en rugissant, laissant voir un énorme Treant jaillit brusquement de l’autre côté, des glyphes gravés un peu partout dessus donnant l’impression qu’il avait reçu des gravures censé le bénir, n’étant désormais plus que des moyens de le faire souffrir. Rugissant de colère, se préparant à nous massacrer. Son cri était aussi un cri d’appel puissant. Pour faire venir plusieurs des derniers insectes errant dans les environs. Laissant des bonds de trois araignées sifflantes de colères tombant non loin de nous, claquant des mandibules dans notre direction. Il fallait protéger le rituel, hors de question qu’ils parviennent à l’arrêter !
Et tandis que certains vinrent le soutenir, immédiatement, Uldric prit un temps de repos et une de ses fioles de mana en laissant son invocation fondre vers sa cible. Progressant rapidement pour essayer d’atteindre les araignées géantes dans un balais agressif des créatures luttant avec l’invocation d’Uldric dont l’essence d’Ifrit lui permettait d’être une créature de flamme ondulante autours de sa carcasse. Les coups pleuvaient sans cesse, mais en fin de coup, la griffe de l’invocation finie par trouver le crâne d’une des araignées, la consumant brutalement de l’intérieur. Des jets d’acides volaient cela dit vers Uldric, frappant proche de ses jambes. Il risquait tôt ou tard d’être attaqué, et directement, il prépara une transe, une énergie effrayante passa dans son dos, formant un reflet du Seigneur des enfers incarnés. Le temps de se préparer à des combats plus violents encore, son Egi parvint à détruire brusquement l’araignée face à lui, mais pas celle qui se téléporta sur lui. L’écrasant d’une patte pour le blessé, brisant le bouclier arcanique en encaissant une partie du coup, il retenait les crocs essayant de le dévoré, jusqu’à ce que son Egi ne détruise l’araignée brutalement de ses griffes, libérant son maître d’un destin funeste. Envieux de briser les serpents, le premier fusa droit vers les élémentalistes pour les dévorés. La tête du premier serpent s’écrasa brutalement contre le bouclier créer par Hanbei pour le contenir, mais Lucian n’allait pas le laisser tenter une deuxième fois. Tandis que le serpent était sonné, agitant brutalement la tête, il se retourna vers Lucian pour se prendre les sphères enflammées qu’il avait créer, explosant encore et encore dessus, prenant feu subitement dans une déferlante enflammée n’ayant eu de cesse de l’atteindre. Il était détruit, mais l’autre serpent n’allait pas laisser passer ça, encerclant déjà Lucian en espérant le broyer rapidement. Mais il s’était déjà téléporté dans une explosion d’ombre.
Cherchant sa proie, le serpent frappa encore le bouclier d’Hanbei sans pouvoir atteindre ceux dedans, avant de retrouver Lucian. Dans un bond en arrière, le sorcier échappa aux dents en envoyant des multitudes de pointes de cristaux explosant sur sa proie, la tordant de douleur, avant qu’elle ne s’effondre au sol subitement, dévastée par les assauts. Ce maudit Druide pâle aurait pu être un adversaire fantastique au vue de sa maîtrise des forces locales, formant des amas de végétations moisies à son commandement, mais se déconcentrant de sa tâche d’arrêter Aerlin, il tourna subitement la tête vers Greil qui lui arrivait dessus à toute vitesse. Pensant que ses lanciers feraient l’affaire, il ne lui prêta pas attention, mais le Iaijutsu surchargé de Greil fendit l’air, et trois lames jaillirent. Tranchant en deux un des gardes du Druide s’effondrant sur le côté, blessant l’autre et blessant le Druide lui même. Ce dernier enragé, envoya son survivant en l’accompagnant d’innombrables amas de végétation pour la poursuivre, formant des combats intenses en l’air. Greil esquiva sans cesse, et bondit en l’air en atteignant le sommet.
Se concentrant soudainement après un tas de parade et d’esquive, elle se mit alors à tirer encore et encore des Enpi. Les lames pleuvaient du ciel, frappant dans tout les sens, en tranchant tout au passage. Le lancier n’eut simplement aucunes chances, fendu en milles morceaux par les lames tranchantes lui arrivant dessus, et le Druide enragé frappa le bouclier. En vain. Les lames purent le trancher à son tour. Notre duo avec Sorn pouvait reprendre ! Pendant qu’il esquivait, passait dans tout les sens sous les griffes en tirant sur sa cible sous le regard de ses tourelles, Gladys envoyant du jus de pampa sur son frère. Les scies remplaçant les balles, fusantes à toute vitesse en blessant le Treant à de nombreux endroit, jusqu’à ce que brusquement, je ne parvienne à le trancher à plusieurs reprises. Me remettant aux côtés de Sorn. Il planta plusieurs paratonnerres d’argents avant d’enflammer totalement notre adversaire. On pensait qu’il était vaincu, ainsi en feu, mais il approcha quand même en envoyant ses griffes fendre l’air, me blessant sur le coup lourdement tout en attrapant Sorn pour l’écraser au sol. Il voulait nous achever ? Il aurait une petite surprise, car si la fée d’Hanbei parvint à soulager ma douleur, me soignant un instant, je fusa alors directement vers les éclairs actifs de Sorn pour trancher partout où ils éclataient. Notre adversaire ne s’y attendait pas, et il fut tranché en milles morceaux, nous laissant ainsi le soin de tomber au sol, fatigués. Le rituel était sur le point de finir. Derrière, Hanbei et Aerlin l’avait nourrit grandement et protéger.
Formant des boucliers intenses, Hanbei défendait fermement ce passage pendant qu’Aerlin usait des flots pour le renforcer. Mais prit dans une sorte d’onde d’énergie provenant de l’œil, Hanbei reçu une terrible vision. Un sort mental particulièrement intense, reprenant conscience soutenu par Aerlin, l’empêchant de choir en ayant usé des flots pour lui rendre des ressources. Il se reprenait bien vite, malgré l’intense choc, et Aerlin lui laissa le temps de respirer pour amplifier la force tellurique dans le sol. De grande ‘énergie jaillirent, tournoyante en dessous de nos pieds, Mais un liquide noire jaillit du sol et glissa le long des bras d’Aerlin, en l’oppressant énormément, le blessant petit à petit en lui laissant une douleur aigu. Mais la contamination ne l’aurait pas bien longtemps. Renforçant son bouclier, Hanbei refusa cette présence en laissant des énergies intenses apparaître à l’intérieur des défenses. Des échos de pouvoir jaillirent sans cesse, et d’un coup, Aerlin fut libéré. Finissant la préparation du rituel. Tout le monde se reprenait, se soignant un peu, s’offrant un temps de soin. Il nous reste quelques brèves minutes avant de pouvoir descendre enfin en bas. Ou un combat parmi nos pires affrontements nous attendait sous nos pieds.
Se descellant lentement, le passage s’ouvrait petit à petit dans des lumières blanches puissantes en formant des reflets de pouvoirs. Comme si l’accès avait décidé d’éclaté au fur et mesure où la magie blanche se confrontait à celle qui avait décidé de créer l’accès à l’Arbre-foyer. On allait enfin pouvoir entrer, et je n’ai pas peur de mentir, je craignais déjà ce qui serait vu. Tout ce que nous avons subis jusque là n’était alors qu’absurde horreurs, et ça n’allait pas vraiment devenir mieux avec le temps. Progressant doucement, derrière nous le jeune Padjal criait qu’il allait tenir l’accès et les environs saint et sauf, laissant à ses côtés Grim les dents serrés et encore inquiet. Yldada Ylda n’était pas apparue. Et hélas, le pire était à craindre. Mais on ne pouvait qu’observer pour l’instant l’obscurité s’éloignant de plus en plus en formant quelques spirales. Dès qu’elle parvint à s’écarter, on put voir en dessous comme des escaliers apparaissant avec des marches volantes dans les airs en formant ce passage menant vers le bas. Ça n’était pas très rassurant et je suis sûre que ce n’était normalement pas ainsi jadis, mais tout ce qui formait avant un moyen de descendre pour aller à la rencontre de qui vivait là, n’était plus que l’ombre de jadis donnant lieu à la présence d’un passage des plus inquiétants. Progressant doucement, les uns à les suites des autres dans cet espace pouvant à peine nous permettre de passer deux par deux, nous observions les amas de fumées et les déferlantes nous laissant petit à petit l’impression de progresser dans un domaine plus en profondeur touché par une lumière verte.
De l’eau se mit à apparaître, glissant doucement en cascade se formant avec plusieurs cristaux légèrement illuminés, portant tous comme de la fumée à l’intérieur laissant une impression des plus néfastes se formant à l’intérieur des cristaux. Il avait eu plus que le temps de s’installer convenablement, de scellé ses accès pour se nourrir de ce domaine et de ceux qui lui était offert. Et désormais, il était temps pour lui d’affronter ceux bien décidé à lui annoncer qu’il est perdu et qu’il est grand temps de disparaître à jamais. Avec en tête, Aerlin, dont le destin allait changer à jamais en la présence de la Graine que la Bannie vénérait tellement pour y trouver refuge. Et un espoir pour l’avenir de la Sylve, qui n’était qu’une illusion futile, il faut le dire. Et brusquement, les derniers défenseurs du Tree Barar vinrent à notre rencontre, pour essayer de nous broyer et de s’attirer les faveurs en lui apportant Aerlin directement dessus. Sortant des brumes sombres entre les pierres et la lumière des cristaux, des sortes de bras fins et sombres jaillirent en essayant de nous attraper brusquement, des bouches visibles sur les bras d’obscurités formant de nombreux rires pour essayer de nous saisir. Il fallait s’échapper à tout ses bras nous arrivant dessus encore et encore, et le terrain n’allait pas être si aisé à prendre en main, car brusquement des sortes de plateformes jaillirent en s’écrasant dans les environs en envoyant des morceaux de marches volant dans tout les sens à mesure des impactes, en déversant des flots de nouveaux adversaires.
Sur les plateformes, jaillirent brusquement des sortes d’adversaires comme des pantins de bois dans des grandes capes sombres faites de feuillages les formant, sortant quatre bras de leurs affaires en ayant des armes différentes à chaque fois. Ce qui était affreux, c’est que des visages figés comme collés sur le bois au niveau de la tête, donnait l’impression de visage vaguement connu. Des Deux vipères, des alliés des Vigiles sombres, des personnes que nous avions connu en laissant voir même le visage complètement ravagé de Kran, le Xaela sur un des pantins bien plus grand que les autres. Si nous ne voulions pas finir de la même façons, il fallait se battre en avançant dans l’allée des horreurs et des peines. Au moins ça n’était pas d’innombrables insectes cette fois, et immédiatement, nous avons vu Finaen et Runne apparaissant sur une des pierres avec tout un tas de cristaux, foncer pour nous soutenir au milieu de toute cette folie. Ouvrant le passage ensemble dans un élan vermeille fantastique, Greil et Finaen fusèrent en avant tout les deux. Si Greil usait de son sabre tranchant tout adversaires au passage, passant à travers les explosions provoqués brutalement par les sorts de Ruines enflammés de Uldric repoussant les roches dans tout les sens en formant des impacts puissants un peu partout sur le passage. Nous progressions alors à toute vitesse, derrière les pantins tranchés par Greil et Finaen dont les noulithes formaient des pointes acérés fendant ses adversaires en morceaux tout le long du passage. Et d’un coup, Uldric fut attrapé par une main de noirceur au visage riant, se moquant en le tenant fermement. Essayant de se dégager, ni son bouclier ni celui de Lucian qui avait créer une protection sur tout le monde dans des lueurs rouges, ne purent empêcher la pierre lui fusant dessus de briser les défenses, l’ayant presque fait tomber inconscient.
Le temps de s’en remettre, Runne jaillit à ses côtés, et dévia les pierres censées l’achevé droit vers ses adverasires, les broyant au passage sous l’impulsions des roches projetées droit vers les pantins écrasés dans les impacts terrifiants. Aerlin n’était pas loin de là, ayant renforcé toute la structure de roches, et les deux furent envahit d’innombrables pantins, leurs fusant dessus pour les écraser par le nombre. Si Runne fut protéger par un Lucian agacé dont la puissance repoussa les Pantins, les dévastant de sa faux en formant des puissants reflets de noirceurs envoyant des carcasses valser dans tout les sens. Le bras tendu paniqué d’Aerlin blessé par les griffes l’attrapant pour le corrompre, fut attrapé brusquement par Hanbei d’un coup en passant au dessus de lui. Installé sur Yesei, son Shikigami avait prit l’apparence d’un fantastique oiseau bleu illuminé, passant à toute vitesse en récupérant Aerlin au passage avant de l’installer sur le dos de sa monture, partant ensemble à toute vitesse poursuivit par l’ensemble.
Je fis de mon mieux pour détruire les entités, les foudroyant au passage les unes après les autres en des éclairs d’argents, tandis que Gladys tirait sur toutes les créatures autours d’elle. Fusant rejoindre Sorn, émerveillé par ce qu’il voyait, ce dernier délivrait des tirs puissants en descendant sur le passage stable et ouvert, brisant les créatures à mes côtés, à chaque fois que je risquais d’être blessée, il tirait. Et à chaque fois qu’il allait être blessé, je tranchais son adversaire. C’était du beau travail d’équipe ! Et en un tour de main. Nous étions alors enfin arrivé. Dans l’antre de la bête, si j’ose dire. Y être me donnait quelques frissons, je n’ai pas peur de l’admettre, car se retrouver dans la tanière d’un monstre ayant attendu tant de temps pour se sentir complet n’était pas vraiment agréable. Sa forme de jadis n’était qu’un avatar imparfait, que le Culte de l’Arbre-en-deuil voulu faire naître et croître pour lui donner la même allure que ce dernier. Ça n’était jamais arrivé, car il attendait qu’une personne le porte vers sa forme la plus pure. Ici, il attendait Aerlin, car ce dernier était celui qu’il aurait pu être. Celui qu’il aurait dû être. Mais ce dernier caprice n’adviendra pas, car notre volonté n’était pas de perdre notre compagnons. Piégé aux profondeurs de l’antre de l’Arbre-Foyer sous les racines, ce devait être jadis le domaine de repos d’un esprit de la Sylve, abandonné depuis bien longtemps. En vérité, sans tout ça, l’endroit devait être très tranquille et sûrement plus moins vaste, les étendues donnant des impressions d’innombrables racines noires s’étendant partout autours de nous, laissant des mouvements ici et là comme si quelque chose avançait en vitesse en nous observant.
Un grand cristal avait perdu de sa lumière depuis longtemps, là où l’esprit de jadis avait vécu avant qu’une grande fissure ne se voit dessus. Mais ce n’est pas simplement qu’un morceau de Dalamud qui à brisé ce cristal. Profitant du dernier fléau, visiblement, quelque chose à été enfoncé dans le cristal. Une sorte d’arme étrange, qui pour les autres, laisserait pensé à une arme de Sepheris. Tout avait trouvé son projet à ce moment là, quand le Fragment d’âme que vous avez détruit, avait planté sa lame dans ce cristal pour que le fil des malheurs s’entame, tandis que se trouve juste devant, la fameuse Graine. Celle ci ressemble vraiment à une graine immense, avec quelques fissures colmatés par des lueurs d’énergies comme si la conscience qui voulait s’en échappé voulait donner naissance à un esprit qui jamais n’a pu en sortir. Ses flux de puissances glisse hors de la graine et tombe dans les environs, guidés par ce que vous voyez être un objet des plus intéressant qui lévite au dessus de la graine. Ce pourquoi ils eurent tant de moyen de créer des forces et l’objet de la traque du jeune Padjal avec vous. Le cristal de la Bannie, le vieux cristal de mage blanc flottant doucement au dessus, dont des lueurs s’échappait face au triste état de la magie autours se glissant dans les environs. Et alors que nous étions en contemplation, brusquement dans notre dos, Yldada Ylda en sang apparue en tremblant un peu, des larmes noires glissant de ses yeux en murmurant doucement qu’elle était désolée avant de nous faire un sourire triste. Et l’instant d’après, le Tree Barar l’attrapa et la fit disparaître en arrière dans un cri et un bruit qui devait être fatal. Ne laissant d’elle, qu’une tâche de sang. Sortant lentement de l’obscurité, le Tree Barar nous fit face, l’horreur ancienne jaillit en ayant un visage infâme comme celui d’une parodie de visage, en ayant deux autres têtes à sa droite et à sa gauche.
Des chaînes tombant un peu partout, comme si il les avait brisé il y à longtemps et qu’elles avaient étés liés à lui, faisant frémir un instant Lucian en les voyant. Comme si il les reconnaissaient. Cette chose avait quelque chose de simplement insupportable à la contempler, de la fumée sortant lentement de sa forme ici et là, démontrant que son éther spirituel mêlé à sa forme avait bien du mal à garder clairement un aspect sans se nourrir de l’éther de la graine et des environs. Des rires se fit entendre un peu partout, sa taille énorme en faisait un adversaire déjà monstrueux, des oiseaux apparaissant un peu partout comme des corbeaux de mauvaises augures. Ce combat allait être intense, et difficile. Mais il fallait faire face. Il était temps enfin, que le Tree Barar disparaisse à jamais. Envoyant brusquement son invocation en l’air, devenu une boule d’éther pure. Celle ci fusa dans les cieux, et éclata pour former une sphère de feu fantastique orbitant au dessus de nos têtes en formant des flammes intenses tournoyantes brusquement. Uldric ne se servirait pas encore de tout ce pouvoir. Il n’était pas prêt, laissant des échos de flammes tournoyer de plus en plus au dessus de nos têtes, grossissant à vue d’œil en vue de s’écraser sur le Tree Barar, afin de le détruire.
J’ignorais encore ce qu’il allait en sortir, et je ne doutais pas qu’Uldric avait poussé ses arts à ce point. Qu’à cela ne tienne, au moins, ça allait être efficace ! Mais fonçant rapidement dans sa direction, tous firent de leurs mieux pour l’arrêter, et avant que le Tree Barar ne balance un rayonnement de pouvoir vers Uldric, il reçu deux éclairs à toutes vitesses. Formant comme une gueule de dragon lors de sa frappe, générées par l’éther affluant dans ses lames avant de frapper brutalement le Tree Barar en laissant une fissure le long de son visage. Je le tranchais sur son flanc, le touchant de plusieurs coups, et il tenta de nous massacrer, nous laissant à chaque fois à quelques instants de la mort. Frappant encore et encore, Lucian et Sorn se déchaînaient dessus, les chaines créer par Lucian s’écrasant dessus en le coinçant par quatre chaînes tandis que Sorn tirait dessus sans cesse, envoyant des scies en même temps que les grenades de Gladys jaillirent et les tirs de Glados, tout explosait sans cesse contre notre cible dans des fracas qui ne s’arrêtaient pas en provoquant un balayage fantastique de notre adversaire. Hanbei fusant dans les cieux après avoir coller une sorte de talismans sur Aerlin avant de tournoyer dans les cieux rapidement, fusant en l’air sans cesse sur son Shikigami devenu un oiseau géant fantastique fait de lumière vive, esquivant rapidement les projectiles de magies le poursuivant sans cesse. Il gardait ainsi un œil sur Aerlin, le protégeant, pendant que brusquement une pointe infusée d’une énergie purificatrice frappant brusquement la créature. On l’avait bien frappé, mais elle allait réagir, voyant Finaen et Runne installé au niveau de la graine et du cristal, pendant que Runne formait des effets puissants pour purifier la graine et écarter le lien du Tree Barar, Finaen avait tissé un cocon d’éther autours du cristal pour le récupéré. On allait l’avoir, ça allait être fait !
Mais juste avant d’attraper le cristal et de le retirer, brusquement, le Tree Barar contre-attaqua. Attrapant Finaen, il le broya dans sa main et envoya son cadavre plus loin dans un jet sanglant, avant d’attirer Sorn à son pied pour le broyer par terre, fracturant son cadavre, tout en fendant Lucian par la tête et le buste. Trois compagnons venaient de périr à nos yeux, mais c’était une spécialité du Tree Barar. Les illusions de leurs morts étaient censés nous brisés mentalement, même si les trois avaient vraiment étés blessés et balancés au sol, ils étaient loin d’être mort, et Aerlin fut brutalement soulevé en l’air en formant des effets d’énergies fantastiques tournoyant autours de lui en le retenant en l’air. Formant des effets d’énergies puissants le retenant de plus en plus dans les cieux. Il contenait notre camarade, mais il fallait agir à tout prix avant qu’Aerlin ne soit entièrement consumé et transformé en avatar d’une pareil horreur. D’un coup, tombant de la sphère de feu brusquement, jaillit l’invocation d’Uldric. Une sorte de création d’Ifrit, plus petite que le vrai Primordial, mais vraiment monstrueux. Fonçant sur le Tree Barar en rugissant tel le Seigneur des Enfers pour s’accrocher dessus et émettre un souffle de feu monstrueux dessus. Dévastant une de ses te^tes et une grande partie de son corps, l’invocation s’estompa et le Tree Barar, vengeur, créa un lien autours d’Uldric pour le broyer.
Ce dernier s’arrêta avant la mort d’Uldric quand les flammes bleues de Sorn s’unirent aux éclairs suivant la sphère explosive de Lucian, le tourmentant encore et encore. En regardant en arrière, il devint fou, dévoilant alors Finaen au sol amplifiant le pouvoir de Runne de plus en plus, le gavant d’énergie tournoyante autours de lui, formant des effets d’énergies fantastiques se glissant autours de lui. Ainsi, il arracha le lien entre la Graine et le cristal, ainsi qu’avec le Tree Barar. Isolé de tout son pouvoir, l’esprit de la graine fusa vers le jeune Padjal arrivé avec les deux vipères. Des flèches partaient encore et encore, mais le Tree Barar envoya ses pointes se planté dans le corps de deux soldats et un jeune élémentaliste, mais le Padjal gardait l’esprit hors d’atteinte. Devenant fou de rage, ne voyant qu’une alternative alors que Greil et moi l’avions encore terriblement blessés de nos lames, Greil lui tranchant une de se têtes et moi un de ses bras. Il hurla, écrasant Sorn et Lucian au sol dans une grande énergie verte, avant de balayer Runne et Finaen plus loin dans une fantastique onde d’énergie les envoyant en piteuse état s’écraser plus loin avec la graine brisée. Si je n’avais qu’était écrasée en arrière, Greil fut broyée au sol, une griffe plantée dans son épaule, tandis que le Tree Barar tenta de rentrer dans la conscience d’Aerlin pour le possédé définitivement, le stratagème d’Hanbei était déjà en place. Partant brusquement vers le pantin qu’il avait créer et la fausse source d’éther, il fut désorienté et son sort se cassa. Revenant à lui, ayant faillit fini dans un pantin, il hurla vers Hanbei, l’accusant de tout ses maux, de l’avoir brisé de son destin. Une explosion frappa le jeune Geomancien en l’air, dans une déflagration intense l’envoyant au sol, sonné par terre après l’impact. Il était inconscient, et le Tree Barar lui fonça dessus pour le tuer envers et contre tout.
Les chaînes créer par le Teclis de Sorn et la magie de Lucian le retinrent d’un coup, tirant le plus fort possible pour essayer de l’arrêter, tandis que Greil et moi plantions nos lames dans son corps pour le faire cédé. Mais c’est quand Aerlin se retourna que tout fut fini. Il avait accumulé l’éther de tout les environs, de toutes les sources d’énergies, et le déversant d’un coup sur le Tree Barar. Le flot fantastique le frappa, en des couleurs magnifiques, s’amplifiant dessus de plus en plus. Après quelques instants, il ne resta rien de lui. Pour toujours, définitivement, le Tree Barar disparut alors, laissant des perles de lumières tombés du plafond. Ce lieu retrouvant lentement sa splendeur, écartant les racines noires, la sphère de l’esprit chuta à l’emplacement de la fin du Tree Barar, laissant une petite pousse. Une pousse naissante, un symbole d’espoir, de lendemain. Aerlin venait de briser les chaînes de son destin. Venait de vaincre les maux rendant si dangereux la suite de sa vie. Il était en vie, ses amis, sa famille aussi. Et brillant entre ses mains le cristal, resta dans sa paume, où le jeune Padjal sourit en disant qu’il y resterait. Ainsi s’acheva la longue histoire du Tree Barar. Et nous laissant chuter au sol. Tous épuisés ! »