"Un dernier chant d’espoir."
« Si de tels notes existes, c’est vraisemblablement après avoir survécu à la situation catastrophique où nous étions jadis. De tels notes sont une joie à rédiger, comme l’ultime récompense de tant d’efforts, de missions, de sacrifices, et de sang versé. La pression depuis le tir sur la Lune avait eu du mal à rechuté, et entre temps, difficile de retrouver le moment où nous étions pas en train de tirer l’épée pour affronter d’absurdes horreurs que l’Apocalypse fit naître. La fin du Monde semble avoir un sens tout compte fait : Pouvons nous dire que le monde de demain ressemble vraiment à celui d’hier ? Beaucoup de choses vont changer. Peines, douleurs, conflits, haines. Les armes ont été baissés et beaucoup ont cessés de vouloir attisé le feu de la colère. Pourtant, il reste un monde tout aussi vaste, et Hydaelyn n’est pas prête de cesser de nous surprendre. Pour l’instant, cette histoire est dédié à ce dernier instant, où nous pensions que tout était perdu, jusqu’à ce que le destin de la planète décide qu’il en serait autrement. Le temps d’attente jusqu’à ce que le bouclier ne faiblisse et ne se taise à jamais n’était qu’un sinistre décompte jusqu’à ce que notre mort nous soit apportés par les griffes et les crocs de chaque créatures qui se trouvaient à l’extérieur. Pour autant, ceux présent restant ce qu’ils sont, ils n’eurent de cesser de chercher quelques activités pour savoir ce qu’ils pouvaient faire afin de déjoué le mal qui risquait de se produire au-delà des cristaux de la protection face à nous. C’est Javius qui fini par nous offrir ce qui ressemblait à une dernière mission : Quelque chose de très mauvais se tramait en ville et aurait pu poursuivre vers Bris-de-Glace tout en ayant des conséquences sur des civils approchant d’un pâle inquiétant.
Quoi qu’il s’y passait, ça n’était pas bon signe, et il fallait s’y rendre pour l’instant du plus grand nombre. Pour cet ultime assaut, nous nous préparerions à lutté avec Finaen et Runne offrant leurs pouvoirs magiques. Sorn avait récupéré tout ce qu’il pouvait pour faire parler ses gadgets, et Greil avec moi trancherions tout ceux s’opposant à nous. Cette fois, la ligne allait être tenue par des spécialistes : Livio était bien présent avec sa pistolame, ainsi que venu à notre secours en passant à travers le linceul de mort. Un jeune Paladin ne souhaitait pas la chute de l’Aube Obscure : Ika Rifter serait à nos côtés ce soir. Nous contemplions le ciel rouge une dernière fois, conscient des horreurs qui nous attendait tandis que passaient les dernières conversations. Il était temps de partir, de traverser le bouclier, et de subir tout ce qui nous attendait. Une dernière estocade contre l’Apocalypse. Avant de disparaître, ou de lui survivre. Contemplant le bouclier, il fallait surtout observer notre objectif infâme qui se faisait des plus inquiétants au loin. Une sphère de pure noirceur s’étendant au dessus des masures brisés impériales. Celle ci réunissait les maux de ce fameux Dynamis dont parlait Atlas, l’obscurité tournoyante du désespoir brisant les sommets de certaines habitations tombant en fragment s’élevant en l’air comme une constellation de pierre flottant au dessus de nulles part. L’onde de choc frappa, brisant notre bouclier et enflammant les ruines d’un coup donnant l’impression que le ciel de feu avait imprégné la terre même.
Tout s’enflammait, s’illuminait d’un or des plus inquiétants, et il ne nous restait plus qu’à progresser dans les ruelles brisés avec un objectif : arrêter l’accumulation de pouvoir de la sphère, qu’importe ce qu’elle pouvait bien produire de néfaste. Une mécanisme éveillée par l’onde de choc fut broyée par une créature de l’Apocalypse. Naturellement, elles jaillirent de partout, sortant de tout les côtés en rugissant avec le désirs de nous tailler en pièce. La route se brisait tout le long du passage, des grandes sphères de noirceur détruisait tout et risquait de nous emporter jusqu’à ce que Finaen n’en décide autrement. Formant des grandes lueurs d’ambres, s’entremêlant avec le pouvoir de Runne, les deux firent de leurs mieux pour créer des espaces retenant les sphères de noirceur et créant de nouveau un passage sans avoir à nous mettre en danger dans les masures environnantes. A toute vitesse, nous nous engouffrions sur la route, Runne envoyant plusieurs pointes de vent sifflante à toute allure pour essayer de protéger quelques civils venant d’apparaître à notre vue. Malgré les pointes de vent, et les tirs de Sorn s’acharnant sur sa cible en tirant sans cesse après avoir aider à repousser les débris, une créature s’écrasa dans son dos pour rétamé Sorn au sol, un instant avant que Livio ne l’exécute. C’est Greil qui parvint en premier jusqu’aux civils, coupant en morceaux les adversaires autours d’elle, jusqu’à ce qu’une créature ne soit trop prête à lui arracher le crâne. S’interposant brusquement, Ika créait principalement des égides de métal et de lumière pour couvrir nos compagnons, les troupes et les habitants. Arrêtant d’un coup la créature jusqu’à ce que Greil ne le massacre, les deux se retournèrent d’un coup pour voir une jeune fille dans sa panique, avoir été transformée en monstruosité sur le point de massacrer ses parents.
Sans les bouclier d’Ika, elle y serait parvenue, mais cela me laissa un temps pour fuser jusqu’à elle et décapité rapidement celle qui n’était un instant plus tôt, qu’une jeune fille. Laissant les habitants aux forces d’arrière-garde, il fallait poursuivre malgré le chaos s’étendant de plus en plus, Livio nous retrouva après avoir été encastré dans un mur jusqu’à s’écraser dans une ancienne chambre après l’explosion d’une sphère. Après une petite potion de soin, il décida de se venger, fusant hors de là par le même trou en rejoignant Ika à toute vitesse avant d’envoyer plusieurs terribles coups de sa pistolame, brisant plusieurs des créatures pendant qu’on était en pleine course : Une étrange vision nous avait fait voir un même type de citée en flamme. Et l’instant d’après, la réalité s’y croisait, revoyant Garlemald en feu alors que plusieurs des bâtisses s’effondraient vers nous. L’avant allait être dégagée par Livio et Ika, des lames de lumières jaillirent en s’écrasant plusieurs des créatures en se plantant pleine tête tandis que Livio massacrait de sa pistolame ceux arrivant de front. Les boucliers d’énergies avaient été nombreux, Livio et Ika en avaient créer, mais aussi Finaen formant de nombreuses glyphes pour empêcher les décombres de nous broyer.
Ce qui lui sauva la vie, quand une grande pierre brisa la grande barrière d’énergie de Livio, Finaen fut écrasé par un décombre bien trop gros, chutant au sol en se redressant dans les gravats, sonnés et légèrement blessé, mais entier grâce à la fracture des boucliers. Ses éclairs rouges se brisaient dans la foule en même temps que les décharges d’éther neutre de Runne, dévastant les créatures à distance. Sorn attrapa Runne, se propulsant avec son canon à gravité, les deux traversant une pierre ensemble dans un choc puissant, avant de rouler par terre un peu sonné par l’impact mais arrivés jusqu’au bout de la route. Je bondissais d’une pierre qui chutait des hauteurs à une autre, tranchant dans les airs les créatures, tout comme Greil fendant ses adversaires à toute vitesse. Elle semblait se bloquer un instant, comme si elle avait vu quelque chose de mauvais, un reflet de son propre désespoir jusqu’à ce qu’un tuyaux d’acier ne l’écrase. Du moins l’aurait fait, si je ne l’avais pas couper en deux rapidement pour l’épargner de cet impact. Rejoignant nos compagnons au sol, la dévastation s’achevant dans notre dos. Les habitants étaient en sécurité en arrière garde, avec les blessés et ils pourraient s’approcher dans les décombres, au moins avions nous faire une percée dans ses terres chaotiques aux milles adversaires. Mais il fallait s’occuper de l’objectif du cumul de Dynamis en urgence. On ne pouvait que contempler alors l’immense sphère de noirceur au dessus de nos têtes. Qui étrangement, avait fini par déployer ses ailes.
Être sous cette sphère donnait tout de même l’impression que tout allait se terminer maintenant. Que nous ne quitterions jamais cet endroit et qu’il était temps de disparaître avec le monde. Il y avait cette perfide impression qu’elle grandirait et engloutirait toutes choses, ou se diviseraient en d’innombrables par delà la planète pour tout détruire. Bien heureusement, ce n’en fut guère le cas, mais l’esprit humain animé par la peur fait tournoyer toutes ses impressions néfastes que tout sera bientôt achevé quand il ne nous reste pratiquement plus de solution pour nous débattre contre la fatalité. Tout était en flammes dans les environs, malgré le froid et la neige, la chaleur avait fini par l’emporter par une présence malsaine qui consumait de plus en plus les environs. Les pierres brisées tournoyaient et parfois se cristallisaient pour devenir d’un mauve inquiétant, formant une spirale presque stellaire au dessus de nos têtes s’entremêlant à une impression de noirceur tournoyante en une malveillante tâche dans la réalité dont les étendues malsaines créait une forme de désespoir incarné autours de la sphère amplifiant l’aspect maudit du ciel de feu qui était devenu comme d’une force écœurante. Au dessus de nos têtes, sous ce cratère brisé au milieu de nulles part, s’y tenait pareil puissance qu’il nous fallait arrêter pour que jamais ce qui se trouvait dedans n’aille s’abattre sur des pauvres gens tout en ouvrant ainsi le passage à tout ceux récupérés au passage pour partir droit vers le sud. Si nous voulions avoir le choix de fuir, de partir loin d’ici, de survivre. On devait combattre cette chose, qu’importe ce que celait nous coûterait. En dessous, s’y trouvait une sorte de vieil artefact tournoyant donnant une sens au désespoir tel un vieil artefact captant le Dynamis avant de le renvoyer vers la sphère, ce qui renforçait indubitablement ce qui se trouvait dedans.
Tristement, cela évoquait pour certains la tristesse qu’incarnait la présence de Dalamud – Et heureusement, ça n’en avait ni l’ampleur, ni la taille, mais à chacun sa petite catastrophe après tout. La présence d’un tel artefact évoquait certainement l’impact des Fragments d’âmes, si mystérieux encore soient-ils. Un des vaisseaux impériaux fusa dans les airs, criant qu’ils avaient enfin retrouver Javius pour le sortir de là, avant que la navette n’éclate en l’air en s’écrasant brutalement contre le cratère fumant un peu. Ceux à l’intérieur devaient être sorti de là avant d’être tous dévorés, et ainsi, notre équipe se dispersa vers toutes les créatures de l’Apocalypse installés un peu partout dans un cri de bataille final, tandis que Runne allait sauver les Impériaux rapidement, Finaen lui avait pour objectif d’arrêter ce qui se passait dans les environs au niveau de l’artefact pour cesser de nourrir la sphère en espérant que ça la brise. Fusant à toute vitesse, esquivant les combats éclatant partout, le miqo’te arriva jusqu’au vaisseau qui fumait encore en cherchant à trouver un moyen de les rejoindre. Usant de l’éther de roche, se mêlant au céruleum à l’intérieur, il manipula la pierre pour stabiliser l’ensemble et forma un choc puissant qui éventra d’un coup le mur d’acier. Ce dernier forma un grand trou dans un bruit béant qui surpassa toutes les autres sonorités environnantes. Les impériaux en jaillirent rapidement, heureux de retrouver l’air extérieur – qui dans les faits n’était pas mieux, mais au moins ils n’étaient plus dans une boite d’acier risquant de se faire massacrer, jusqu’à ce que le dernier ne sorte sous la forme d’une créature de l’Apocalypse après avoir paniqué. Il écrasa Runne au sol lourdement, et la tête de la créature éclata après le tir de Javius. Soutenant Runne, il lui demanda un peu de temps face à la ruée de créature arrivant vers les blessés, et il offrit cet instant.
Un mur de pierre dressé bloqua le passage, empêchant l’accès aux créatures qui n’avaient que Runne et sa rapière enflammée. Tranchant encore et encore au milieu des tirs des Impériaux le soutenant, un coup d’épaule fit traverser Runne son propre mur de pierre, s’écrasant au sol douloureusement. Les bêtes furent détruite, au prix de bien des douleurs. Et partout autours du cratère, nous achevions de détruire les bêtes affreuses à débuté par celles qui tournoyaient dans les cieux. Ika avait crier qu’il fallait à tout prix s’en débarrassé, ce à quoi Sorn et Livio répondirent par un barrage de feu fantastique. La cérulame envoyait des pulsations d’énergie céruléenne provoquant des chocs dans les cieux en amplifiant chaque détonations provoqués par les tirs de Sorn et les grenades de Gladys. Ils noyaient un ciel déjà enflammé par leurs propres moyens, mais s’échappa des flammes la silhouette de femme aux quatre bras tentaculaires avant de nous atteindre. Son bras fracassa Livio contre un mur d’acier, et pu le maintenir, jusqu’à ce que Sorn ne lui tire dessus encore et encore en le mitraillant de son arme formant des tirs enflammés. En retour, si il laissa l’opportunité à Livio de tranché la tentacule le retenant, il reçu un faisceau de noirceur le rétamant lourdement par terre, un œil ne s’ouvrant plus, saignant du crâne. La femme de l’Apocalypse ne s’en tira pas à si bon compte, puisque Livio bondit d’un coup en transperçant sa cible de sa pistolame, chutant avec en la rétamant lourdement au sol. Débarrassés des adversaires dans les cieux, je m’étais charger de celles provenant du sol. Trois massives créatures sortant de toutes part, me forçant à esquivé à chaque fois qu’elles croquaient dans le vide, un jeune soldat impérial ayant été dévoré vivant dans un hurlement quand elles jaillirent hors de là.
Après quelques échanges, ma lame parvint à en trancher un en deux d’un grand coup, mais un mouvement inattendu m’envoya m’écraser plus loin dans les décombres. Un temps d’attente qu’elles m’arrivent dessus pour me dévoré me laissa l’instant nécessaire pour me redresser dans un éclair d’argent, et le temps d’une petite pirouette, je fendis mes adversaires en plusieurs morceaux en reprenant difficilement mon souffle. Tels créatures n’étaient ni facile à trancher, ni facile à esquivé, mais à cet instant il ne restait que le zèle d’un combat des plus intenses que Ika avait vécu non loin de là aussi. Sa lame fendit une sorte de créature dans la brume aux cents visages, m’évoquant le voleur de visage de Thavnair, laissant une faille le long de son corps un instant avant que son autre main ne créait une lumière grandiose aveuglant l’autre adversaire. Plusieurs faisceaux de noirceur frappèrent l’armure d’Ika dans des grands bruits résonnant, sans parvenir à réellement le blessé, et il ne fut pas des plus concilient avec de tels choses qui osaient s’en prendre à lui. Des cieux, chutèrent plusieurs lames de lumières, celles ci n’eurent de cesse comme une pluie d’épée grandiose tranchèrent le bras qui le retenait avait de se planter dans plusieurs adversaires encore et encore en des impulsions d’énergie. Cela repoussa l’être qui le retenait en avant, et son épée fendit l’air en se plantant en plein dans le corps de son dernier adversaire dans une estoc fatale avec un petit cri soulevant la difficulté pour usé du pouvoir afin de détruire des bêtes aussi tenace.
Se dissipant en poussière après l’impact, les brumes s’éparpillaient aussi, en ayant ainsi pu couvrir tout les passages que les bêtes auraient pu prendre afin de rejoindre Finaen élevé dans les cieux qui était en pleine bataille contre l’artefact. L’espoir et le désespoir luttaient, une forme de lumière d’or tournoyaient contre les forces mauves tombant de la sphère en provoquant des éclatements un peu partout autours de nous. Greil luttait devant lui pendant que le déversement continuait en illuminant les environs de plus en plus fortement, la Samouraï aux éclairs rouges tranchait sans cesse en avait après sa première charge : La ruée puissante avait trancher le bras-aile gauche de son adversaire, une sorte de très puissante bête en forme d’humanoïde-oiseaux monstrueux. Pourtant, même avec un bras en moins, il lui fallait danser avec son adversaire en des coups se confrontant encore et encore, jusqu’à ce que les deux soient prêts à en finir. Formant deux formes d’assauts, les « cornes » de Greil avec ses deux lames contre une posture étrange de son adversaire, ils se ruaient l’un contre l’autre sans cesse donnant l’impression d’un éclair rouge contre un éclair noir. Ayant tranché son adversaire en quatre morceaux, Greil chuta sur les deux genoux en recevant une bien terrible blessure de l’épaule à la hanche, du sang glissant de ses lèvres après un tel coup. Qu’importe la douleur, elle avait triompher de son rôle, car Finaen avait juste derrière elle achevé son duel et sa magie s’amplifiait dans les environs. Il avait saisit qu’il se trouvait un fragment d’âme dans cette sphère de noirceur, tendant doucement le bras en formant des éclats d’énergies tournoyants un peu partout autours de lui, plusieurs légers éclair se formant jusqu’à ce qu’il parvint à attirer jusqu’à nous la créature dans la sphère. Celle ci s’ouvrit d’un coup, formant une grande onde de choc nous soufflant un instant sans nous faire valser dans tout les sens. Même en soutenant nos compagnons les plus blessés, on ne pouvaient s’empêcher de regarder vers les cieux. Vers ce fragment d’âme qui avait été irrémédiablement transformer en un être de désespoir incarné.
L’ouverture de la sphère donnait l’impression d’avoir laisser une tâche sombre-mauve aux aspects stellaires tournoyantes magnifiquement, mais dont les volutes donnaient l’impression de flammes violettes rugissantes dans les cieux. C’était une vision dont nous arrivions bien mal à nous détaché, pendant que les blessés s’éloignaient avec les civils avec une échappatoire vers le sud, on ne pouvait que contempler cette puissance malveillante qui se trouvait juste au dessus de nos têtes. Du moins cette malveillance n’était pas celle habituelle de forces du néant ou d’autres entités infâmes. Il s’agissait là d’une impression due à toute cette peine qui existait à l’intérieur de cette créature qui descendait lentement vers nous avec un air bien plus humain que toutes créatures de l’Apocalypse jamais vue. Il était bien entendu modifié pour former un être pâle avec des impressions de créatures modifiants un peu son corps, et on ne pouvait que le laisser descendre doucement en amplifiant l’impression de désespoir incarné dans les environs comme si une tempête tournoyait dans les cieux doucement en émettant des sonorités lointaines de quelques gémissements. Obscure était pareil malice, et tout débuta par la peine de la perte : Car l’entité n’arriva pas simplement dans une lente descente, plusieurs de ses lames noires jaillirent dans tout les côtés comme les plumes de ses deux grandes ailes noires, et une pointe se planta en plein dans le torse de Javius. Le choc était mortel, aucuns soins qui ne soient miraculeux n’auraient pu le sauver, s’effondrant à côté de Runne en tendant une main difficile vers son camarade Miqo’te. Les derniers pensées de Javius furent vers son père, Landfust, demandant à Runne de lui faire tôt ou tard entendre raison avec un léger sourire. Ce dernier se grava sur sa dépouille, donnant la clair impression qu’il périssait sans l’ombre d’un regret : Javius ne périrait pas en laissant derrière lui quelconques remords, il partait satisfait de son impact sur le monde, sur les siens, et il ne nous restait qu’une chose à faire. Le venger.
L’entité vint s’installer devant Finaen là où était l’artefact, mais il eu une sueur froide importante en reconnaissant vaguement quelques traits. Cette chose était née d’un des fragments d’âmes anciennes, mais celle ci n’était pas aussi antique que nous avions jadis perçu avec le récit du passé de Yone. Ce dernier était un fragment de l’âme de Selm, arraché jadis lors qu’il avait « périt » lors d’une autre vie, avant même le mur d’or, saisit par les adversaires d’une légende qui nous attendrait le jour où il conviendra de les affrontés. Pour l’heure, il n’y avait qu’un constat amer à faire : Ils avaient envoyer ce fragment d’âme devenir une créature de l’Apocalypse d’une toute autre ampleur, et celle ci capta les forces du désespoir encore présente autant en nous que dans les environs pour faire naître ses « alliés » : Deux entités jaillirent des ténèbres, tournoyantes lentement dans les environs en formant des créatures des plus inquiétantes : Une incarnait la présence de Shion, le mentor de Greil et celle qui avait provoqué involontairement la présence du Lotus mauve dans Thavnair. Et de l’autre côté, la silhouette distordu et infâme de Thanatos lui donnait l’air d’une créature de l’Apocalypse monstrueuse. Ce « Selm » ne cesserait d’incarner de nouvelles créatures de cette sorte, pour débordé les environs de leurs propres ennemis en usant du désespoir jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien que le chaos et la dévastation, mais tous se préparent à un dernier combat acharné pour le détruire à tout prix. Shion, du moins cette vague incarnation de désespoir décidé à faire usage de ce qu’elle était jadis, avait pour opposition naturellement Greil et Ika.
Ce dernier fit en sorte que Greil soit protégée de tout assaut, une grande lumière gagnant la Samouraï comme d’innombrables reflets éclatants et émettant des lumières splendides et des plus efficaces : Quand la lame de « Shion » traversa Greil pour la fendre en deux, elle s’en tira indemne comme dans des reflets miroitant annulant le coup en formant d’innombrables brisures dans les cristaux environnants. Quand Greil s’échappa des fragments, sa lame frappa plusieurs fois l’incarnation de Shion en laissant des failles de lumières sur son incarnation difforme et infâme en des traits rayonnant. Se redressant d’un coup net, elle jaillit jusqu’à Ika, fendant l’air en tranchant brusquement ce dernier, brisant une partie de son équipement en l’écrasant au sol après avoir tournoyer en l’air. L’impact avait du être des plus violents, et il décida de repartir immédiatement à l’assaut pour protéger Greil et lui permettre de frapper ensemble. La vague d’énergie tranchante aurait du couper Greil en deux, et les environs, jusqu’à ce que les chocs s’opposent en quelques éclats d’énergies. Les dents serrés, il tint comme il le pouvait jusqu’à un cri de douleur quand l’énergie le frappait de plus en plus, offrant le temps au Iajutsu de Greil de trancher son adversaire en deux morceaux, fendant la vague de noirceur et Shion, se dissipant lentement après l’impact. Débarrassés d’elle, nous nous chargions avec Sorn et Livio de l’incarnation de Thanatos, ce dernier tournoyant en l’air un instant en provoquant des explosions sans cesse d’une noirceur inquiétante. Il était sous l’oppression des tirs se répétant encore et encore provenant de Sorn, s’étendant sur toute sa carcasse tandis que nos lames ne cessaient de l’oppresser en le blessant un peu partout, Livio et moi frappions avec alternance de tout nos coups laissant à chaque fois une marque d’éclair ou de cristal.
Étendant une griffe tournoyante en ravageant tout au passage, des morceaux de pierres et d’aciers valsant en l’air en nous rétamant au sol tout les deux tandis qu’il repoussait lourdement Sorn à terre. S’élevant un peu dans les cieux, préparant une sorte de magie incarnée de ce Dynamis aux éclairs sombres crépitant dans les environs. Je lui fonçais dessus pour l’arrêter en des myriades de reflets, tranchant sans cesse avec les échos de ma présence passant d’une pierre à une autre, jusqu’à ce qu’une sphère n’explosa en me repoussant soudainement. Il aurait voulu faire plus, mais la foreuse de Sorn formant une myriade de flammes bleues transperça l’incarnation de Thanatos, tournoyante encore et encore dans un rugissement jusqu’à ce que la lame de cristal créer par Livio en plantant sa pistolame au sol, s’étendit d’un coup comme une lance transperçant son adversaire de part en part. Après un instant, il en renforça l’effet avec le pouvoir du Duc de Cristal, étendant des runes tournoyantes de plus en plus jusqu’à ce que « Thanatos », ce reflet infâme, ne soit plus qu’une statue de cristal s’effondrant lentement en quelques éclats de lumières explosant sur le sol brusquement dans un choc puissant. Les créations du Fragment transformé de Selm avaient été brisées, mais il pourrait en refaire encore et encore avec toute la source de noirceur environnante, si il n’était pas trop occupé à se battre avec Finaen.
La glace s’étendit de plus en plus autours de son corps, Runne faisant de son mieux pour le retenir, le congeler de plus en plus en formant des éclats de glaces jusqu’à ce qu’il ne se redresse d’un coup en rugissant. Brisant la glace retenant ses membres alors que Finaen s’acharnait à frapper de ses noulithes formant des lames rouges s’opposant à toutes les épées sombres du Fragment de Selm. L’impulsion fit s’écraser Runne contre un amas de métal, le sonnant brusquement, alors qu’il ne restait plus à Finaen de tout faire pour l’arrêter. Essayant de soutenir son ami, la glace continuait de plus en plus à agir en voulant bloquer le plus possible en empêchant la plus part de ses mouvements, jusqu’à ce qu’il ne se débarrasse de Runne en l’envoyant traverser une plaque d’acier dans son dos. Se retournant vers Finaen, il avait tiré sa lame noire en laissant les noulithes dans son dos tels des ailes de cristaux, le Teclis propulsé par Sorn tournoyant autours de Finaen en d’innombrables amas de technologies fantastiques formant une protection parfaites contre toutes les lames obscures de Selm. L’épée sombre traversa son adversaire, l’achevant enfin, les deux se regardant un instant en laissant à Finaen comme l’intensité d’une dernière vision partagé avec ce fragment. Selm quelque part, était encore là, mais ce fragment arraché de lui fut libéré du Désespoir qui ne laissa rien de son incarnation. Qu’un grand vide. Nous étions éreintés, épuisés et blessés. Tel combat avait laisser à tous de sérieuses traces, et nous contemplions les environs du cratère tandis que la sphère se dissipait de plus en plus. Ika avait raison, il fallait partir, mais nous observions les créatures de l’Apocalypse innombrable s’installer autours du cratère.
Ainsi, comme le calme avant la tempête, comme dans l’œil du Cyclone, nous contemplions la mort nous observer de toutes part en nous laissant plus que quelques mots. C’était fini, notre ultime baroud d’honneur allait avoir lieu avec tous le sentiment d’avoir triomphé du mal. Pourtant, même si il était évident que tout allait être terminé dans ce combat sanglant, personne n’avait envie de se laisser tenter à la fatalité : Le fil de la logique et du destin n’avait en rien une raison d’exister en affrontant autant d’adversaire. Il fallait se battre, et pour la dernière fois de nos vies comme on pouvait le penser, il fallait nous battre. Ika créa des immenses barrières de métaux, abandonnant ses armes en façonnant avec sa magie dans une grande lumières les remparts de fer qui empêchaient la vague de nous assaillir. Cela accompagna parfaitement les étendues fantastiques de Finaen formant des reflets de soins comme des puissantes lueurs blanches étendant des tentacules de lumières partout dans les environs dont l’infusion fantastique régénérait nos blessures et faisait oublier la fatigue et la douleur. Il fit tout pour nous tenir en vie et nous permettre de combattre, surtout quand finalement des trous furent formés partout dans les remparts par les créatures arrivant bien trop nombreuses.
Greil tranchait les plus part, une tempête écarlate aux innombrables coups de sabres au milieu de la déferlante, tandis que je m’occupais des créatures aériennes. Tournoyante dans les airs, tranchant sans cesse sous les éclairs d’argents qui tombaient encore et encore en essayant de me battre à la hauteur de mes compagnons. Quel chaos nous formions ensemble, et explosèrent d’innombrables sphères rouges provoqués par Runne dévastant toutes créatures assaillies par Greil. C’était une formation de combat fantastique, jusqu’à ce qu’un grand impact n’ouvre le passage à côté d’Ika derrière une énorme créature de l’Apocalypse. Elle rugit, mais fut prise dans les flammes de Sorn levant le canon de son lance-flamme frappant une bête tel un ogre géant se consommant dans le feu bleuté lui et ceux derrière. Jusqu’à ce qu’une bête dans un bond n’écrase Sorn au sol, le laissant regarder Gladys qu’il avait mit en sécurité, qui criait pour le rejoindre. Le bras retenant Sorn au sol fut tranché par Livio, un instant après que Finaen n’ait été balancé au sol par une épaule massive d’une créature. Il forma den ombreux boucliers, et tranchant toutes créatures sur son passage en protégeant Runne sur son trajet, jusqu’à atteindre Ika pour renforcer tout les endroits où ça cédait. Malgré tout, on tenait. Des minutes durant, on tenait. Ça semblait sans fin, et nous aurions été débordés, mais petit à petit les créatures cessèrent de venir.
Quoi qu’il ait pu se passé, d’un coup, l’assaut s’acheva sans que ça n’ait le moindre sens. Nous contemplions les environs, inconscient de ce qui se produisait, avant de tous observer le ciel : Un trou était apparut. Pas un trou inquiétant dans la réalité, pas une faille du néant. Un trou dans le ciel de feu, qui petit à petit disparaissait en nous rendant le ciel bleuté éclatant. Quel paix, quel impression fantastique d’une fin grandiose que de contempler les cieux revenir à eux en annonçant la fin de l’Apocalypse. Regardant tous les ciels, nous observions l’Aigle d’or qui nous recherchait avec Marlithe et Stanislas à son bord, descendant petit à petit vers nous alors que la plus part étaient écroulés par terre. Au loin de là, encore plus dans les nuages, passait la silhouette du transport surprenant ayant conduit des héros au bout de toutes créations. C’était fait. La fin de l’Apocalypse nous tendait les bras tandis que nous profitions d’être en vie. Cette page incroyable de l’histoire, de notre histoire, s’était éteinte. On ne pouvait que savourer l’idée d’être en vie après un si incroyable parcours. Le repos nous tendait les bras, mais tandis que dans l’aéronef, mes yeux se fermaient pendant notre trajet vers Sharlayan en direction de la demeure d’Atlas. Je ne pouvais que me demander quel serait notre prochain voyage, notre prochaine aventure, qui ne saurait tarder. »