[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 28 août 2022, 03:08

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le destin des Observateurs."

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Trois-centième Entrée - « Acte 14 – Façonner le monde par la Foi et la magie.»
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« Celle qui veut la vie d’Aerlin m’inquiétait particulièrement. Je dois dire que son apparition aurait pu être critique et fatale si Runne n’avait pas pu intervenir d’un coup, et même si je reconnaissais facilement l’Observateur aux cheveux bleu qui avait souvent affrontés Finaen. Cette femme n’avait jamais été vu jusque là, ce qui était plutôt inquiétant. Ça veut dire qu’il en reste peut-être plus qu’attendu ? En tout cas, la destruction du Fer-Tyran était déjà particulièrement agréable. Si il avait pu être détruit en avance, on pouvait essayer de faire de même pour tout ses derniers compagnons avant de pouvoir atteindre Shigma que Atlas traque encore et toujours. Détruire le Fragment d’âme de Shigma était pour Atlas, une façons de se faire pardonner beaucoup de choses dans son existence, il allait pouvoir réduire en poussière celui qui jadis avait causé autant de problèmes qu’il avait pu aider à rendre plus puissante, plus inquiétante. Une sorte de repentir, qui le mènerait à aller enfin mieux. Cette scientifique pour autant ne fut pas si difficile à retrouver quand Shiningway s’y mit sérieusement. Enquêtant sur toutes technologies apparues ou volées, cela mena droit à une vieille caverne plutôt petite, loin d’être le complexe rocheux rempli de lave verte qui avait coulé un peu partout.

Mais cette présence mettait mal à l’aise Armingway puisque visiblement, il y avait un lien avec ce qui à valut à Killingway de se retrouver directement emprisonné dans une stase dont il ne pourrait sortir que quand les Loporites seraient sûr d’avoir un moyen d’apaiser sa sorte de vengeance. Des outils de morts qui étaient censés être détruit, et qui à la place avait été cachés, isolés, avec des fonctions des plus inquiétantes. Notamment sur ce que la magie créatrice de ce peuple pouvait permettre pour essayer d’engendrer des créatures et des transformations, afin de déjoué la condamnation à jouer le rôle qu’Hydaelyn à offert aux Loporites. Le grand Exile. Un outil inquiétant du nom de la « Façonneuse. » De tels outils ne devaient pas tomber entre de mauvaises mains, et je suis sûre que cette scientifique n’avaient pas vraiment celles les plus adaptés pour parvenir à en faire quelque chose de constructif. Ainsi, il était question de l’arrêter le plus vite possible, tout en restant méfiant. Ce qui sortirait de ce lieu pouvaient être de toutes natures différents. Et ce qui était évident, c’est qu’elles seraient le fruit des recherches de ce Fragment d’âme afin de trouver les créatures dignes d’agir en leurs noms. Il était alors possible, que nombreuses des bêtes n’appartenant pas au domaine du Néant, ni à quelconques autres domaines, soient liés à ses inventions. Il nous fallait nous attendre à abattre celle qui causait autant de soucis et celui qui la protégeait, et cette retrouvaille entre l’Observateur aux cheveux bleu et Finaen risquait d’être quelque peu explosive, je dois l’admettre !

Ainsi, nous nous sommes retrouvés au sommet du passage menant vers le Halot de Bestway. Ce passage qui avait reçu la bataille des failles lunaires avait encore quelques traces, mais avec le temps les Loporites finiraient de faire disparaître les marques des violents combats, nous ayant menés à arrêter le projet du Vaisseau-monstre. Notre objectif étant plus à l’Ouest, nous avions une bonne partie de notre équipe pour nous y rendre. En vérité, la même que la dernière fois pratiquement – Greil et moi avions à nous occuper des problèmes par l’épée, en ayant Sorn pour nous épauler de son fusil et de ses tourelles. Mais c’était surtout nos capacités magiques qui furent renforcés par la présence de Lucian se joignant à Runne, Finaen et Aerlin. L’élémentaliste avait ce lien étrange et inquiétant avec le Tree Barar que la scientifique semblait comprendre. Pour lui, cette mission était alors un moyen d’apprendre quel était la finalité de ce lien, et nous voilà en route pour essayer d’atteindre cette curiosité technologique. De prime abord, la route se fit au milieu de marques au sol émettant quelques lumières, il fallait vite concevoir que celles ci s’entremêlaient à une impression d’un sort, de glyphes, formant une forme titanesque et neutre gravé par terre qui donnait l’impression d’avoir étendu le cercle de la cage du Dieu mort. C’était fantastique à voir, nous marchions littéralement sur le sol lunaire où d’innombrables effets de magies tournoyaient autours de nous. Celle ci fut particulièrement calme. Pas de menace sur la route, même si Lucian détestait se trouver ici, grognant en ressentant la présence de toute cette énergie ombral s’extirpant des glyphes. Cette route curieuse nous mena petit à petit vers la caverne facile à voir, surtout qu’une sorte de colonne de lumière en sortait. Mais parmi ses glyphes se liant à la grotte et à la colonne d’énergie.

Apparaissait vous vous en doutez, les premiers problèmes. D’un coup, se générant par une magie créatrice, plusieurs sortes de combattants à l’épée et au bouclier se générant tels des formes humanoïdes sveltes mais pas forcement achevée. Ceux ci se relevant, mélange de fragment de magie errant et d’acier, en se préparant à nous assaillir tandis que brusquement des structures mi-construire jaillir dans tout les sens, se formant à toute vitesse en émettant un effet de magie créatrice curieux jaillissant de partout pour créer des bâtiments. En quelques secondes, nous étions retrouvés dans une sorte de ville à moitié fabriquée, me donnant l’impression d’être de retour dans une Garlemald brisée et bien curieuse. Mais les mouvements des bâtiments se déplaçant rendait l’ensemble parfaitement chaotique, surtout que certains bâtiment valsaient aussi en l’air, nous forçant à progresser envers et contre tout tous ensemble. Pour atteindre la tour avant la caverne. Lucian disparut dans une lueur d’obscurité, pour essayer d’esquivé les nombreux déplacements de structures autours de nous, ce que fit aussi Greil en passant d’un lieu à l’autre à toute vitesse dans des lueurs étoiles de ses Gyotens. La route principale était formée par Finaen et Runne, notre duo faisait usage de leurs talents pour ouvrir le passage – Tandis que Finaen identifiait les créations magiques pour trouver le passage le plus aisé, Runne faisait disparaître une bonne partie de ceux ci en les faisant tomber en poussière quand la roche lunaire s’incarnait, dévoilant une lueur bleue de magie de la création instable et s’effaçant bien vite.

Il nous fallait les rejoindre pour nous sortir de là rapidement avant que les bâtiments ne nous écrases, Sorn fusait en avant accroché à Gladys au milieu des innombrables tirs. Faisant ses quelques farces, alors que les tirs vermeilles sortant des noulithes de Finaen explosaient littéralement partout contre les presques-formés décochant leurs flèches d’énergies. Les combats étaient intenses, et Aerlin semblait offrir un renfort important en passant au dessus d’un mur avant de propulser une vague de magie éolienne envoyant de nombreux adversaire s’écraser par terre sous la vague aérienne. Mais en progressant, une cage lui tomba dessus, comme plusieurs tentaient de nous avoir, en espérant nous coincés. Cela aurait pu e^tre mortel quand il fut totalement encerclé, mais Lucian détruisit plusieurs de ses assaillants d’une faux de l’ombre avant de s’écraser plus loin quand un rayonnement puissant explosa sur lui, brisant son bouclier, en le rétamant contre un mur s’élevant déjà en l’air. La cage fut néanmoins fendue en morceaux par Greil, apparaissant à toute vitesse, et avant que le flot d’énergie ne les écrases aussi. Aerlin en profita pour soulever une grande protection de roche en avant, laissant une terrible explosion d’argent sur la pierre lunaire incarnée, leur offrant la possibilité de nous rejoindre.

J’allais rester auprès de Finaen tout le long, ayant tranché plusieurs décombres lui tombant dessus, fendant adversaires aux lames étranges d’acier à peine incarné par la magie de la création Loporite. Nous sortions des structures au loin pour avancer dans des schémas de maisons loporites qui n’étaient que des lumières bleues apparaissant un peu partout autours de nous. La colonne de lumière était devant, mais il nous fallait ouvrir un passage d’urgence en fonçant vers l’emplacement, tandis que les créatures surprenantes nous tombaient dessus. Attendant autours, cachées comme elles pouvaient, les Pampas Séléniens n’avaient ni été envoûtés, ni enchantés. Ils agissaient parce qu’ils le voulaient pour protéger cette tour, et des épines fusaient dans tout les sens. Dans notre dos, une grande explosion fit choir en morceaux une des demeures où il était perché, tombant sur de nombreux pampas sous ses pieds. Se téléportant pour nous rejoindre, se préparant à ouvrir un passage. Je surveillais de mon côté Finaen qui empêchait plusieurs demeures instables de nous exploser dessus soudainement. Surveillant l’éther, créant des boucliers ayant sauvés toute l’équipe d’une explosion, trancher quelques pampas ne fut pas si difficile en repoussant leurs épines, jusqu’à ce qu’un faisceau d’énergie que je ne pu dévié m’envoya manger mes navets contre un mur plus loin. Sonnée, je ne pu rien faire contre l’autre faisceau bien plus puissant, s’arrêtant contre Aerlin formant des flots aquatiques déviant la magie soudainement dans balais artistiques des flots tournoyant en guidant l’énergie ailleurs, permit à Finaen de se retourner. Sorn retenait les Pampa restant en tirant des chaînes dessus, nombreux avaient été fait captif par les sorts de Runne et Aerlin en les coinçant dans la pierre soudainement.

Plusieurs roches fusaient contre le passage pour l’ouvrir, les détruisant en poussière, mais cela affaiblissait le passage. Et quand Sorn forma une grande explosion dedans, il ne resta qu’à Finaen et Lucian d’envoyer des flots d’énergies entre l’obscurité du sorcier et les noulithes du Sage en devenir, formant un échos ondulant de pouvoir explosant quand la lame de Greil fendit l’accès. En nous laissant l’opportunité de passer rapidement. Derrière nous, tout ce qui fut créer disparaissait, laissant clairement comprendre que tout ça n’était que la magie issue de la volonté d’une personne. Dont la voix de la Scientifique se fit entendre, souhaitant à Aerlin la bienvenue, comme si elle le connaissait personnellement.
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Laissant derrière nous les problèmes et les structures mi-créer qui se dissipaient lentement, une fois arrivé dans une sorte d’amas de glyphes tournoyant, c’était fantastique d’être au milieu de sorts ondulant dans les airs bien plus construits que les autres comme si l’éther s’était cristallisé et en avait fait des dignes constructions flottantes en l’air et se déplaçant lentement comme donnant l’impression d’une tour. C’était ça, cette colonne de lumière au loin floue, qui était bien plus construite d’ici comme si ils voulaient réellement créer à l’avenir une tour qui n’était pour l’instant qu’un amas de cercle d’une complexité fantastique. Ce n’était pas là qu’ils usaient de la grande façonneuse pour essayer de créer des créatures et des bâtiments comme l’avaient fait les Loporites pour généré des structures d’habitations pour le grand Exile, mais il y avait quand même une grande trace de cette magie fantastique et ils feraient en sorte que cela nous empêche de passer au vue de la porte qui coinçait le passage vers la grotte. Je ne pouvais que prendre un instant de contemplation malgré tout, les tracés irréels formant d’innombrables lumières en laissant tomber des lueurs bleutés un peu partout autours de nous en formant des sifflements du vent magnifique autours de nous.

Quel beauté, si seulement tout ça n’était pas destiné à provoqué des malheurs dans les peuplades au caprice de nos ennemis. Cette tour semblait être comme un point de défense pour empêcher quiconque d’atteindre la façonneuse, mais il devait y avoir quelque chose d’autre au vue des énergies tournoyantes formant une sorte de création curieuse au centre de tout ça. De ses observation, elle avait certainement pu voir ce qui l’intéressait en Hydaelyn pour créer quelques entités qui allait être problématique pour l’avenir. Mais dans l’instant, tout ne ressemblait qu’à une sorte de lieu de culte étrange, dont des marques apparaissait un peu partout, et y concentrait l’éther comme par l’action de Foi ayant tendance à créer des Primordiaux. Au grand déplaisir de Finaen agacé par ce qu’il voyait. Beaucoup des gravures me faisait pensé à Shigma, comme si ils voulaient ici en faire, l’incarnation d’une divinitée par une foi forcée. Heureusement ça n’allait pas en créer, mais si ils formaient comme une de ses maudites Tour de l’Apocalypse, pour en créer ? Autant ne même pas savoir si elle pouvait parvenir à cela, et il nous fallait l’arrêter, même si pour cela il nous fallait comprendre et peut-être réorienté ce lieu de culte plutôt que de le détruire avec moult brutalité. Mais n’étant pas celle qui m’en occuperait je dois dire, que je me laissais à nos magiciens le soin et l’expertise de décidé de son devenir. Et autant vous dire qu’il ne fut pas fameux.

Bien entendu, des adversaires allaient nous empêcher d’atteindre la réussite de notre quête. Celle qui descendait installée sur une sorte de socle volant comme apprécie le faire Shiningway, ressemblant à une sorte de conception laissant paraître un humanoïde fait de lumière dans des couches de cercles avec un drapé mauve étincelant autours de lui. Portant un grand sceptre dans une de ses mains, les deux bras supplémentaires dans son dos avait des sortes de sphères au dessus de leurs paumes rayonnante d’énergie. Il avait l’air d’un grand prêtre, et je suppose au vue du lieu de culte, que tout cela avait un lien. Ceux qui prieraient à l’avenir, ressemblaient à ses créations qui nous avaient attaqués de prime abord, laissant apparaître une dizaine de ses chanteurs étranges qui mêlaient une langue ancienne pour chanter les louanges d’une divinité n’existant pas encore. Ils n’avaient été créer que pour ça, et la petite foule, défendrait l’autel envers et contre tout, levés par un guerrier plus massif avec une lame tel un chevalier vertueux de la table ronde. Derrière nous, jaillit un grand Pampa aux allures royales tournoyante dans des mouvements sveltes, mais qui était sûrement maîtresse des pampas séléniens affrontés jusque là. Pas de signe de domination, elle agissait parce qu’elle était en accord avec la Scientifique. Et ses épines ne disaient rien de bon. C’était déjà suffisant, si il ne fallait pas ajouter un peu de difficulté, quand des tourmenteurs des Observateurs. Sortes de créatures sans jambes avec des chaînes partout autours d’eux, jaillirent pour essayer d’épargner les créations des Observateurs, en envoyant des chaînes pour nous attraper et dévoré notre éther. Il était temps d’agir, et rapidement, nous affrontions la foule avec Aerlin dans un combat déchaîné. Ils étaient nombreux je dois dire.

Comme des parodies de dévots infâmes, et Aerlin forma une grande pierre en la fracassant sur la foule dont les pointes rocheuses jaillirent en venant en frapper plusieurs. C’était une belle réussite, mais rapidement dans tout le chaos, ils se mirent à émettre des son affreux, gênant Aerlin jusqu’à ce que trois tirs ne le frappent en le faisant tomber sur les deux genoux. Du sang glissant de ses lèvres et de son nez, un des guerriers leva son visage pour le décapité, mais je parvins à le trancher en deux avant de combattre avec acharnement pour trancher nos adversaires à toute vitesse. Ils grandissaient de plus en plus, soumis aux pouvoirs récupérés par l’autel proche de là, et bientôt, le chevalier à la lame épique allait être bien plus dangereux. Voyant que j’avais du mal à le contenir, Aerlin fonça à mon aide, envoyant son bâton faire exploser un assaillant sur mon flanc tandis que je tranchais celui qui voulait l’abattre lui. Mais la lame imposante déviée par la pierre d’Aerlin, parvint quand même à nous trancher tout les deux en nous laissant au sol, sérieusement blessés. L’épée allait retombée, mais Aerlin la bloqua dans une grande lumière protectrice, avant que je ne parvienne à le couper en morceaux. C’était un fantastique jeu d’équipe, et même si nous étions blessés, j’étais fière de nous.

A côté, Lucian avait surpassé le haut prêtre pendant que Finaen s’occupait des fantômes des fragments d’âmes ratés. La sphère écarlate explosa sur le haut prêtre à moitié incarné, en l’envoyant lourdement au sol, tandis qu’il se relevait avec ses bras supplémentaires pour bondir en avant. Des chaines similaires à celles que Lucian à tendance à user jaillirent et se mirent à tournoyer autours de Lucian pour le contenir et ponctionner son éther. Il tentait d’imiter ses sorts, lui en voulant de ne pas être devenu lui aussi l’instrument des futurs prières qu’ils auraient pu créer dans cette sinistre tour faites pour la Foi. Mais alors que le Haut-prêtre se retournait vers Runne qui était arrivé au lieu de culte pour le déjoué, il du se retourner rapidement en voyant Lucian briser les chaînes, envoyant un flot des siennes comme des serpents. Les deux se frappèrent en même temps, mais si Lucian fut propulsés en arrière, blessé. Son adversaire explosa en morceaux d’énergie et de roches valsant ici et là, se désintégrant à cause de son manque de contenance, laissant le tissu mauve choir au sol. Vide. Pendant que Lucian triomphait, Finaen se défendait de chaînes envoyés par les fragments d’âmes ratés voulant se défendre en le broyant. Il voulait libéré leurs esprits, et y arrivait petit à petit, mais ce n’était pas sans souffrance quand les chaînes parvinrent à écraser le bouclier de Finaen contre lui, en le broyant petit à petit en lui laissant un flot de douleur difficile à géré. Finissant par poser ses mains sur les chaînes, il remonta droit vers les esprits, et créa une vague de purification directement à l’intérieur d’eux. Leurs formes se brisèrent , redevenant quelques instants ceux qu’ils furent avant d’être ainsi raté.

L’un tourna la tête, remerciant sincèrement Finaen, avant de disparaître pour retourner à la Mer des étoiles. C’était une belle chose, et Finaen pu nous rejoindre afin de nous soigner moi et Aerlin, et Runne allait empêcher à Greil des conséquences désastreuse. Il avait envers et contre tout empêcher que le sorte de lieu de culte usant de la magie créatrice pour créer comme un sanctuaire continue son effet. Et lentement, il apprenait, comprenait, et déjouait toute la magie à l’intérieur sous les cris de la Scientifiques lui demandant d’arrêter immédiatement ce qu’il faisait. Des fissures naquirent un peu partout, quand le lieu de culte perdit de ses pouvoirs, et Runne fusa à toute vitesse de façons alarmée pour essayer d’atteindre Greil. Elle combattait la Magistrale Pampa avec Sorn en diversion qui leur avait évité des flots d’épines reçue dedans en envoyant son brouilleur de vision. Et quand celui ci cessa de faire effet, il rendit la créature immense et nébuleuse perplexe en se mettant à danser, tournoyant dans des mouvements fantastiques, avant de se prendre un grand coup de pied sous les applaudissements de Gladys ayant tiré une chaîne pour empêcher le coup d’être trop dangereux. Bien que s’écrasant en arrière, Greil eue le temps de frapper de sa lame en lui laissant une immense blessure, reculant quand les épines tombèrent sans cesse dont une se planta dans son épaule douloureusement.

Luttant contre les autres épines, les deux compagnons esquivant sans cesse ce qui leur tombait dessus. Sorn faisait diversion encore dans un spectacle littéral de danse, avant de se faire attraper par la jambe en pleine démonstration fantastique. Avant de se faire écraser en avant et en arrière. Le libérant d’un grand coup de sabre, Greil vint à son aide en assommant le Pampa, mais un flot de magie infâme jaillit d’un coup. Comme si le Pampa allait se transformer en une créature proche du Tree Barar, cette contamination arrivait sur Greil rapidement et risquait de la transformer aussi. Mais Runne s’interposa, dans une grande lueur des glyphes libérés, ce qui protégea Greil haletant à cause des effets intenses, et désintégra littéralement la Pampa souillée. Bien que nous en avions fini de la tour, qui était sur le point de se briser, nous n’en avions pas fini avec le façonneur. Et celle qui était derrière tout ses malheurs jusque là.
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La destruction de la tour restait une vision fantastique et irréel de tout ce qui se ravageait autours de nous. Il était insensé de voir un pareil bâtiment se détruire dans des grands rayonnement inquiétant, tandis que tout donnait l’impression d’être révoqué vers un autre espace dans des sifflements puissants. On ne pouvait que contempler les environs, le temps que ça se déroule dans des sifflements puissants, alors que la porte plus loin elle aussi, avait décidé de disparaître sous l’effet de tout cet éther perturbé. La magie chutait un peu partout ,et nous étions prit dans cette tempête émettant des puissantes déflagrations sans que cela ne nous fasse réellement du mal. L’éther tombait sur nos membres, ondulait autours de nos corps alors que nous en profitions pour nous offrir quelques soins comme toujours avant de nous préparer à en finir. Mais les flux d’éther arrivant de la destruction des énergies formant la tour, nous glissait dessus en nous rendant un peu d’énergie. Renforçant nos corps, nous rendant un peu de puissance là où nous étions épuisés de tout ce qui avait été déployés pour parvenir à vaincre nos ennemis. C’est comme si nous nous gorgions du pouvoir abandonné et brisé qui retombait et s’accrochait à ce qui pouvait être revitalisé. Sans malveillance, sans malédiction. C’était une simple revitalisation si plaisante qui nous tombait dessus en plus d’une vision fantastique. Nous observions alors ce monde se brisant sous des sonorités brisés se fracassant encore et encore autours de nous, en profitant quelques secondes d’une paix fantastique qui était enfin accordée jusqu’à ce que la porte ne cède et n’explose dans une lumière nous aveuglant brusquement. « Quoi encore ? » pensais-je d’un coup, comme si nous allions être attaqués à toute vitesse par des horreurs infâmes pour nous tailler en pièce.

Et petit à petit, quand la lumière s’estompa, l’ouverture vers la grotte était grande ouverte en laissant voir d’innombrables fragments de cristaux errant dans les airs doucement sous l’effet de la magie bloquée après la grande explosion d’énergie. Les morceaux de verre errant, comme si une vitre s’était brisée, flottaient dans les airs dans des déplacements particulièrement lent orbitant dans les environs. C’est comme si nous nous risquions à progresser dans un monde de verre brisé, laissant apparaître nos reflets régulièrement à mesure où nous marchions au milieu de ses derniers. Contemplant les morceaux de verre errant dans les environs, notre marche allait nous entraîner vers les profondeurs de cette petite caverne dont l’effet semblait largement agrandit par cette magie errante autours de nous. C’était une marche plutôt agréable, mais plus nous progressions plus nous étions au milieu d’innombrables fragments abandonnés un peu partout fait de ce verre brisés errant dans les airs. Au début, tout n’était que reflet et curiosité, nos pas s’illuminaient d’un éther bleuté paisible et neutre sous nos pieds, et cet effet n’était pour une fois pas du à nos ennemis. C’était là le contre-coup de la nature brisée de la magie, et nous entendions la voix de la femme se plaindre de ce qui avait été fait.

Ses actes furent déjà interrompu par nos soins, et il nous restait plus qu’à les atteindre pour en finir. Mais tandis que nous finissions dans un monde de cristaux brisés errant, ils se tenaient au bout de ce dernier, laissant Varas se tourner vers nous. Varas, c’était donc la nom de ce fragment d’âme, se tournant vers nous en faisant tournoyer de plus en plus son immense épée avant de l’écraser au sol, tendant le bras vers nous. D’un coup, d’innombrables armes différentes jaillirent comme un flot constant, passant un reflet de verre autours de nous à toute vitesse en essayant de passer sur nous pour nous massacrer. Ici, les morceaux de cristaux n’allaient pas être facile à rejoindre, nécessitant plusieurs bonds pour arriver jusqu’au bout à toute vitesse, mais les gardiens des observateurs jaillirent. Les fragments d’âmes ratés jaillirent, tels des spectres inquiétant attrapant des armes au vol, sous les bruits des chaînes résonnant autours d’eux. Il était temps de combattre une nouvelle fois cette menace, et nous nous donnerions à fond pour nous ouvrir un passage droit vers Varas et l’étrange Scientifique. Fonçant ensemble, Greil et Sorn étaient au milieu d’une vague d’explosion apparaissant dans tout les sens en formant des puissantes déflagrations partout où ils couraient. C’était efficace, les tranchant du sabre de Greil fendait tout au passage et Sorn tirait avec acharnement vers les spectres s’approchant. Les fragments d’âmes ratés étaient nombreux, mais ils passaient, jusqu’à ce qu’un flot d’armes ne les atteignent, balayant lourdement Greil et Sorn au sol, en les étendant par terre, blessés un peu partout. Deux ratés jaillirent pour les achevés, mais je parvins à les tranchés de ma lame, bien que le couteau planté dans ma cuisse allait être douloureux, c’était une juste conséquence pour protéger mes compagnons. Tandis que Sorn m’aidait à marcher alors que Sully m’offrait un peu de soin. Les autres soins arriveraient plus tard, pour l’instant, Aerlin et Finaen ouvraient la voie.

Les vents puissants provoqués par Aerlin envoyait valser des adversaires un peu partout autours de nous, pendant que Runne fonçait en avait à toute vitesse dans une sorte de sphère de roche comme une boule de destruction. Ça aurait pu continuer ainsi longtemps, mais un coup d’épée de Varas l’envoya valser en arrière en détruisant la sphère, et Runne fut rattrapé en l’air par Lucian, dont les pointes de cristaux dissipaient tout nos assaillants avec une grande efficacité. Pendant cette couverture, la lame de Varas et celle que Finaen avait récupéré dans les airs pendant qu’ils coinçaient avec ses noulithes de nombreuses vagues d’armes valsant ici et là. Cette épée et celle de Varas s’écrasèrent l’une contre l’autre, avant que le prochain coup ne se prépare à être bien plus dangereux. Aerlin vint se mettre devant, et le coup s’arrêta contre une explosion de feuillage blanc fusant dans tout les sens, envoyant Aerlin et Finaen s’écraser contre les plaques de verre d’éther autours de nous. Revenant à sa place, tous purent récupérer et se redresser. Nous étions enfin sur place. Et personne malgré nos blessures, ne voulait manquer ce combat contre les deux Observateurs. Et le meilleur outil de Shigma. L’emplacement où ils avaient installer le Façonneur, cette machinerie si cruelle créer par Killingway pour échappé à son destin, n’avait rien de commun et me faisait penser un peu à cette cage forcée de Shinningway pour empêché les conséquences de son échec lors de la demi-vie. Des failles et des failles montraient bien que tout était sur le point de se briser depuis la chute de la tour, mais le lien avec l’outil aux forces énergétiques tournoyantes dans les environs. Mais ce qui était plus marquant que la machinerie elle même, qui formait quelques mouvements étranges, c’était surtout les sphères flottantes dans les environs dévoilant à l’intérieur comme des reflets de créatures et autres conceptions dont certaines que nous avions déjà affrontés dans les légendes du Livre de Shigma, voir même des êtres modifiés par ses pages.

Je cru même voir brièvement le phénix noir, dans une des sphères, ce qui était des plus inquiétants. C’était là où ils réfléchissaient à ce qu’ils pouvaient créer, concevoir, et libéré sur le monde par la suite pour se nourrir de tout ce qu’ils pouvaient acquérir en vue de faire usage du vaisseau-monstre. Ce qui était pour l’instant, un échec, n’allait pas empêcher Shigma de réagir, et pour l’instant nous avions à nous débarrassé de celle qui lui servait de servante pour toutes ses œuvres dépravés et monstrueuse. Se tournant vers nous avec un sourire, Varas se tenait déjà prêt aux combats en soulevant sa grande lame. Malgré les impressions que Finaen pouvait avoir de lui, je me demandais vraiment comment il allait finir. Le fragment d’âme aux Chakrams avait protégé la vie de Runne, mais cela faillit lui coûté la sienne en retour. Là, Varas n’avait jamais trahi Shigma, même si il ne donnait pas l’impression de faire autre chose que servir de force. Sortant de la machinerie, une créature de bois aux innombrables bras et lianes tournoyantes autours de lui, faisait particulièrement pensé au Tree Barar. Comme si cette chose en était une évolution, un projet, une création possible de ce qu’aurait pu être le Tree Barar. Nous étions déjà conscient que sa genèse provenait de quelque chose de bien plus ancien que sa transformation dans les pages du Livre de Shigma il y à fort longtemps. Et cette chose en était une « possibilité » rugissante et riante d’innombrables visages. Devant ce dernier, la femme fit tombé sa capuche en arrière. Souriante, un visage fin et charismatique avec les lèvres légèrement rouge, et des lunettes de vision, contemplait surtout Aerlin en était satisfaite de le voir. Satisfaite de voir le « travail » fourni par ce qu’il lui manque d’âme toujours présente en Hydaelyn. Elle n’était pas un des fragments d’âmes originels, comme Selm, ce devait être une âme brisée par Shigma bien après le sacrifice. Et elle avait attendu que son autre partie offre naissance à celui qui serait l’opposant de sa création.

Mais aussi potentiellement, son porteur. Aerlin était devant une des raisons pour les Observateurs d’être attentif à son parcours. Sans le savoir, le voilà jeté dans la gueule du loup. Il allait devoir affronter le fragment d’âme de sa propre mère. Et peut-être, quand nous reviendrons en Eorzéa, comprendre quel conséquence cela pouvait bien avoir en Sombrelinceul. Pour l’heure, il fallait se battre et arrêter la Façonneuse de Foi avant qu’elle ne tente de construire les sorts de la Tour. Greil allait affronter l’horreur aux lianes, qui rugissait comme un vrai petit enfant du Tree Barar. Fonçant dessus avec plusieurs Gyotens, faisant fit de tout les parages, elle parvint à trancher sans cesse en donnant l’impression que son adversaire avait été griffé plusieurs fois par des grands coups de lames. Ce fut efficace, mais en retour, Greil fut attrapée après un grand coup de griffure et écrasée contre le mur de verre se brisant au passage en la contenant dessus. Visage devant visage, les deux s’observaient dans un instant de haine intense. Et alors que la griffe remontait pour broyer Greil, ses bras eurent à l’opposé la brume rouge et les éclairs d’argents, s’infusant de ses deux énergies maîtresses pour trancher le bras qui la retenait. Le coup souvent, plus violent encore, jaillit en avant et trancha sa proie littéralement en deux depuis la tête. A elle seule, elle s’en été débarrassée en limitant la casse, ce qui était une parfaite démonstration de courage et d’expertise !

A côté, Runne et Sorn avaient tout fait pour briser la façonneuse. Les deux Observateurs occupés avec le reste de l’équipe, ils purent trouver des moyens technologiques et magiques de l’arrêter : Alors que Sorn faisait de son mieux pour décortiquer la machinerie afin de trouver ses systèmes, Runne étudiait les glyphes et commençait à comprendre leurs effets. Hélas, la voix de Shigma retentit en activant des protections, et deux des sphères aux reflets furent ouverte. L’une tenta d’aspirer Runne vers le ciel du Coerthas dans un souffle puissant, s’accrochant difficilement comme il pouvait en ayant Gladys le retenant. Pendant que des griffes d’horreurs frappèrent Sorn en l’écrasant. Activant le Teclis dans un rayonnement bleuté, Sorn se dégagea d’un coup, et utilisa le rayon d’attraction du Teclis pour aider Runne à revenir pendant qu’il se propulsait. Utilisant son contrôle de l’éther pour tisser un lien avec la sphère aspirant tout, celle ci détruisit littéralement la machinerie en laissant Sorn atteindre son cœur, qu’il brisa d’un coup net. C’était fait, le Façonneur était détruit, même si Sorn valsa plus loin en sauvant une nouvelle fois sa petite Sully d’une explosion en volant au loin à cause d’un débris de la machinerie venant l’écraser plus loin au sol. Ils avaient fait du très bon travail, et l’espace environnant se brisait déjà pour laisser voir de nouveau la réalité, et dans celle ci, nous affrontions encore les Observateurs. Varas fut harcelé par les coups de lames de Finaen avec une grande expertise, envoyant l’épée récupéré sans cesse pour créer une faille à Lucian, les sphères de noirceurs projetés par Lucian jaillirent grâce au passage ouvert par le duel intense entre Finaen et Varas, l’atteignant dans le dos en des puissantes explosions d’énergies.

Alors que Varas reculait, haletant. Son visage fut recouvert d’un casque et son bras tenant sa lame, d’une grande armure noire, l’aura inquiétante devenant plus forte encore. Fonçant en avant, dans un affrontement bien plus intense avec Finaen qui fit naître des lames rouges sur chacune des noulithes autours de lui tout en usant de l’épée récupéré, Varas devait se battre contre toutes les lames, en subissant la gravité provoqué par Lucian l’écrasant de plus en plus. Envoyant une coup dont l’onde de choc écrasa Lucian contre un mur de verre éthéré, cela n’arrêta pas Lucian, et il ne pu rien faire quand l’épée récupérée par Finaen trouva son cœur. Le casque se brisant au sol, haletant. Il recula lentement et eu le temps de sourire. Comme si il était satisfait de ce qu’avaient fait ses deux « amis ». Comme il les nommaient. Varas fut vaincu, mais Sepheris allait être bien plus difficile à vaincre pour Aerlin et moi. Découvrant les traits de sa mère, réalisant qu’il s’agissait peut-être d’un fragment d’âme de celle ci, Aerlin ne fit rien quand il fut frappé par les énergies essayant de poussé l’incarnation du Tree Barar à renaître en lui. Alors que la griffe s’approchait de son cœur, pour finir la transformation. Je me retrouvais devant Sepheris en la repoussant, et je dois dire qu’en plus d’être déjà blessée, elle était particulièrement forte. Et un premier coup arracha une de mes épaulières et me laissa une blessure difficile à géré. Mais je devais tenir. Aerlin derrière moi allait s’en remettre, il me fallait contenir un adversaire même aussi fort. Les éclairs d’argents fusèrent encore plus fortement, ma lame s’écrasant plusieurs fois contre elle, jusqu’à lui faire perdre ses lunettes et la blessé un peu partout. Mais la magie frappa, un énorme poing me soulevant hors du sol et m’écrasant un peu. Elle m’avait repoussée, mais c’était trop tard.

Utilisant le cristal contenant les brumes des Fragments d’âmes purifiées, Aerlin s’en servit pour repousser d’un coup la présence du Tree Barar, reprenant sa forme normal, en se redressant. Plus magnifique qu’il ne l’avait jamais été, comme un héros ancien dont l’énergie tournoyait autours de ce dernier. Tendant le bras, il frappa de toute cette énergie en plein au cœur du fragment d’âme, l’élevant, en la laissant gémir que tout ce qui est arrivé jusqu’à maintenant ne devait pas finir ainsi. Se débattant dans le désespoir de tout perdre. Elle fut brisée dans un ultime cri formant un puissant écho de lumière ondulant dans les environs. Quelque soit les effets que cela aurait pu produire sur la famille à Aerlin. Nous n’en serions conscient qu’une fois rentré en Hydaelyn. Ce serait là, le départ d’une nouvelle quête, mais il nous fallait toujours en finir avec Shigma et les siens. Notre prochaine cible serait quelque chose de particulièrement important, et dont le nom à une grande symbolique. Il est temps d’essayer de lui arracher son propre ouvrage. Le Livre de Shigma. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 31 août 2022, 06:19

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le destin des Observateurs."

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Trois-cent-et-unième Entrée - « Acte 15 – Le légendaire Livre de Shigma.»
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« Le livre de Shigma. Cet artefact qui depuis longtemps nous à faire vivre des cauchemars à nous, comme à bien d’autres. Dans ce vieux grimoire, des maléfices anciens ont été gravés dedans, et auront laissé des pouvoirs fantastiques aux mauvaises personnes. Nombreuses sont les missions qui découlent de la simple existence de ce livre, dont les pages ont été éparpillés en Hydaelyn. Et si hélas, cela ne pouvait pas rattraper tout ce qui reste encore dans notre beau monde. Briser le Livre de Shigma lui même, pouvait au moins faire espérer qu’il n’y aurait plus qu’un nombre limité de ses malédictions sur parchemins existant en ce monde. Avant de pouvoir atteindre Shigma, Atlas était convaincu qu’on ne pourrait pas lui faire grand-chose tant que son Livre était entre ses mains. Du moins, entre les mains de celle qui avait été envoyé pour accomplir un dessein qui était censé permettre à Shigma de rester à jamais inaccessible. Alerté par la chute de Varas et Sepheris, il ne restait plus beaucoup de Fragment d’âme, bientôt, il ne resterait plus que lui, mais il avait encore cet outil fantastique qui lui permettrait de s’échapper. Hélas pour lui, Atlas reste attention à ses moindres actions, et il repéra bien rapidement l’apparition de l’ouvrage hors de là où il était voilé à tout regard, entre les mains d’une des Observatrices aux cheveux roses que nous avions déjà vu notamment en Thavnair.

Difficile à dire quel était réellement l’implication de Adaelonya qui était censée ne pas spécialement être très convaincue par tout ce qu’il se passe. Et contrairement à Varas, elle montrait clairement ce désaccord mais avait une sorte de principe de soumissions que Shigma appliquait sur elle pour qu’elle agisse envers et contre tout. Et si elle avait entre ses mains le Livre de Shigma, ça n’est pas simplement pour nous qu’il fallait s’inquiéter, mais énormément pour son esprit à elle. Quoi qu’il risquait de lui arriver, elle avait beaucoup de risque qu’elle soit prise dans la tourmente comme beaucoup des fragments d’âmes étaient prêts à très mal finir en vertu de cette quête quelque soit la façons dont ils s’imaginent finir. Notre quête était donc simple : Arrêter Adaelonya et mettre la main sur le Livre de Shigma afin de s’en débarrassé définitivement. Même si il y aura toujours des risques que ses pages fassent du mal en Hydaelyn, nous aurions au moins retiré des griffes de notre adversaire ses moyens de se protéger de nous. Surtout qu’il voulait l’utiliser d’après Atlas pour utiliser les incantations installés dans les tours brisés de la Tombe du Dieu mort. Ils avaient déjà essayé jadis de s’en servir, avec la force des Sitiens et de la Brume rouge, mais désormais c’était quelque chose de bien plus ciblé et inquiétant. Peut-être que si le Livre de Shigma parvenait à ses fins. Nous n’aurions plus de moyen d’arrêter le maître des Observateurs. Pour cette mission, nous profiterions ainsi des forces d’une bonne partie de notre équipe. Une nouvelle fois, les compétences magiques seraient mises en avant avec la présence de Finaen, Runne et Aerlin ayant tendance à faire usage de leurs forces avec la même orientation de leurs magies.

S’y joignant, les outils de Sorn ont tendance à vraiment aider à réglé les types de soucis magiques, étant bien polyvalent. Nous laissant avec Greil et moi le soin de tenir bon et de trancher nos adversaires en milles morceaux. Ainsi, dès que la situation fut traitée, je leva l’outil offert par Atlas pour parvenir à progresser dans la bonne direction, et celle ci émit une grande lumière nous dirigeant vers l’Ouest comme si nous étions guidés par une aurore boréale juste au dessus de nos têtes formant des lueurs de différentes tonalités de rouges et de mauves fantastiques. Nous progressions ainsi sous cette lumière, marchant à travers l’astre, et pendant quelques temps le voyage fut calme, et tranquille. C’est comme si des petites lumières nous tombaient dessus dans des léger sifflement chantant. La route n’était pas désagréable, comme si nous progressions dans des dunes de neiges du Coerthas sans qu’il ne se passe alors grand-chose. Un peu de paix bienvenue. Et alors que nous progressions, vous vous en doutez, les problèmes advinrent brusquement car Shigma n’avait aucune intention de nous laisser l’atteindre. C’est comme si dans la magie au dessus de nous, une entité conscience ondulait et riait, en braillant que jamais nous n’atteindrons un artefact aussi sacré que le livre de Shigma. D’un coup, des filins d’énergies jaillirent, donnant l’impression que des mots tombaient des cieux et frappèrent la terre, lui donnant l’impression d’être infectés.

Des bras d’énergies jaillirent un peu partout de ses tâches, essayant de nous atteindre, et nous devions alors parcourir rapidement la route, poursuivit par les innombrables lettres fusant dans les airs. Il nous fallait avancer, assaillit par les mots, et bien entendu plusieurs adversaires vinrent à notre rencontre en tombant de ses fissures d’énergies dans l’aurore boréal, laissant choir brusquement des sortes de chevaliers en armure mauve, avec des yeux rayonnant d’un pouvoir inquiétant. Immédiatement, Sorn fonça en avant, quelque peu trop surdosé par la potion de Lucian en ayant un plein d’énergie fantastique. Il bondissait, esquivait, passait à travers les obstacles et les bras voulant le saisir en étant très vite rejoint par Greil. Les deux avançaient ensemble en direction de ce qui semblait être notre passage guidés par l’artefact d’Atlas, mais ils faudrait pour eux dégager le chemin des Fragments d’âmes le long de la route. Au milieu des explosions et des bras sortant de partout, Sorn tirait sur tout les adversaires approchant en même temps que ceux arrivant au corps à corps furent tranchés subitement par la lame de Greil afin d’essayer de progresser dans des lueurs étoilés apparaissant un peu partout. Bien sûr, ils risquaient de se faire massacrer par les mots fonçant dans tout les sens, mais heureusement nos magiciens veillaient sur eux. Le sol fut recouvert d’éther ondulant encore et encore s’entremêlant entre celui de Runne et d’Aerlin, éloignant les zones d’obscurités et les bras en sortant quand ils furent notamment frappés par les forces éoliennes de Finaen afin de garder pas mal de distance avec ceux ci. C’était comme essayer de mettre de l’ordre dans le chaos, un grand mur de pierre créer par Runne s’éleva en l’air en laissant des explosions de nombreuses lettres magiques s’écraser dessus subitement en nous offrant un barrage contre toutes ses explosions.

Les vents convoqués par Finaen en repoussait de nombreux, elles comme les mains, ce qui avait au moins tendance à nous créer un véritable barrage au milieu de la tempête qu’Aerlin épaulait aussi efficacement. Vous vous en doutez, les armures animés qu’incarnaient les fragments d’âmes leur foncèrent dessus rapidement. Mais nombreux furent tranchés par ma lame, passant d’un adversaire à un autre en les traversant de quelques coups d’épées, laissant ses derniers se désincarnés subitement. Sûrement Finaen avait-il était bien plus bienveillant avec leurs destins, car ce dernier se contentait de créer des puissantes lueurs vermeilles et or venant atteindre les fragments d’âmes, les purifiants de l’intérieur en renvoyant leurs parties droit vers la Mer des étoiles. Cette ruée avait au moins le bénéfice de nous faire avancer au milieu du chaos de l’aurore maudite. Mais Aerlin s’arrêta un bref instant, regardant en arrière pour voir l’énorme bras sortir d’une faille obscure pour attraper le sceptre noueux. Déclarant que l’Artefact l’intéressait, Shigma en personne envoya valser Aerlin au sol en lui volant le sceptre, et l’onde de choc jaillissante à la suite de ce pillage, fit naître autours de nous des amas de végétation faites entièrement d’énergie Astral. C’est comme si il avait décidé de créer une petite forêt de pouvoir ondulante dans les environs, il n’y avait pas réellement de verdure, uniquement des silhouettes voulant simuler cette force végétale totalement chaotique dont les énergies astrales formaient des mouvements pas vraiment rassurant.

Progressant de nouveau en tête, Greil et Sorn tentaient de se dégager de là, ils étaient éloignés de nous et de toute façons on avait tendance à être quelque peu éloignés les uns des autres à cause de cette végétation soudaine. Des formes de Treants jaillirent de cette espace que Sorn brûlait et Greil tranchait, deux furent fendu par la lame de la guerrière avant qu’elle ne tente de rejoindre Sorn, se faisant écrasée au sol par un énorme coup de griffe inquiétant. Il allait bientôt se faire massacrer, elle le savait, tandis qu’il abandonna ses flammes n’arrivant pas à déjoué la végétation, mais Runne et Finaen purent intervenir. S’écrasant sur le Treant, Runne le tailla en pièce en formant des coups enflammés tranchant végétation et adversaire, se noyant avec le feu ravivé de Sorn par un Finaen usant de la vieille bénédiction du Phénix noir pour tout détruire. Ils avaient ouvert la voie, et j’étais aller chercher Aerlin rapidement pendant qu’il tombait dans un trou béant avec une grande gueule à l’intérieur. La végétation voulait le dévoré vif pour renforcer son pouvoir, ce qui était hors de question. Le sortant là rapidement, formant quelques éclairs pendant qu’il créait des pointes de roche pour nous ouvrir le passage vers nos camarades. C’est tous réuni que nous avons pu progresser droit à travers la végétation qui s’estompait en même temps que le pouvoir de cette malédiction. Enfin, nous voilà face à une grande volute d’obscurité, le passage était condamné, et au loin Adaelonya débutait le rite. Il nous fallait rapidement le traverser, même si l’accès était condamné. Et rapidement, nous constations que nous n’étions pas seuls.
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La vague d’énergie ondulait devant nous comme une impression de ténèbres constantes ondulant face à nous comme si il y avait un barrage que nous ne pourrions jamais franchir. Je me souvenais de tels fluctuations derrière Orcha que nous avions poursuivie la créature qui avait décidé de prendre le contrôle des Sitiens de la Brume rouge. Mais cette fois, ça n’était pas simplement là pour être un rayonnement provenant du sol que nous devions interdire à Orcha. A la place, il y avait d’innombrables sorts et rites tournoyant à l’intérieur, donnant l’impression d’une magie d’une complexité monstrueuse où des échos de magies tournoyaient lentement dans les environs en formant des effets un peu partout. Au milieu de toute cette magie, ce dont j’étais curieux, c’était le reflet de ce masque noir émettant quelques effets de pouvoirs comme au centre de tout ça, me faisant pensé au masque de Lakraedas, que je n’avais pas vu depuis fort longtemps. Le passage était condamné, on ne pouvait pas atteindre le glaive et ce qui se préparait là-bas, mais au vue des impressions de nuages apparaissant et tournoyant, ce qui n’arrivait jamais normalement sur l’astre lunaire – ce qui était surprenant car je n’avais pas vu de nuage ainsi depuis longtemps maintenant. C’était une tentative de nous arrêter et au vu de la complexité de la chose, c’était sûrement tout autant lié au rituel. Je doute qu’ils auraient manipulés autant de force simplement pour nous arrêter, c’était bien plus que ça. Ce lieu servirait à nourrir le glaive et l’incantation du Livre de Shigma lui même.

Et tout indiquait que ça s’amplifiait au fur et à mesure. C’est comme si des petites lumières s’extirpaient du sol, et s’élevaient doucement dans les airs en formant des énergies mauves magnifiques autours de nous. Tout serait bien plus agréable, et grandiose, si il n’y avait pas ce risque de mort immédiat et nous devions absolument arrêter les forces incantatoires pour nous ouvrir un passage rapidement. Ce masque était au cœur de tout, au milieu des énergies astrals ondulantes face à nous, ce qui n’allait vraiment pas être aisé à atteindre par nos amis magicien, et encore moins à réglé. Nous allions devoir nous battre une nouvelle fois, car les protecteurs du Livre n’allaient clairement pas se laisser faire, et plusieurs entités du néant furent incarnés au milieu de glyphes proches des créations plus liés aux forces astrales. Dans un côté, ce furent deux Ahrimans qui naquirent dans des lueurs du néants formés par les sorts ondulant sans cesse, les créatures apparaissant dans deux grands claquements inquiétants en émettant des cris. De tels êtres sont une spécialités des écrits de Shigma, comme on avait pu le voir en poursuivant Killingway quand un des leurs nous avait sauté dessus. Mais l’adversaire à l’opposé était plus inquiétant. Soulevant ses deux ailes noires, en brandissant une grande lame en arrière. Ce genre de chevalier aux allures d’ange noir dont l’énergie du néant ondulait hors de son arme et autours de son épée, devait être l’inspiration des créations qui nous étaient tombés dessus au milieu des lettres anciennes lors du début de notre voyage. Tels créatures étaient inquiétantes, mais celui ci était bien plus massif et fait par le néant. Il n’y eu pas que des démons invoqués brusquement par leurs effets infâmes. Proche du passage et du masque, les Fragments d’âmes ratés allaient tout faire pour nous empêcher de passer. Ils étaient trois, et ceux ci avaient l’air légèrement plus incarnés.

Portant tous un casque de fer et des haillons, ils semblaient user de leurs propres énergies, pour prodiguer des sorts et créer des armes disparaissant après un coup en se dissipant. Ce qui laissait un adversaire inquiétant : Se formant dans des lueurs rouges, digne des Sitiens en usant de ses vieilles techniques. La créature donnait l’impression d’un homme muté en dragon. Une inspiration démoniaque mutante, et ce dernier rugissait et ses quatre bras frappèrent en même temps le sol, arrachant un morceau de pierre pour s’en servir d’arme. Lui n’allait pas être facile à vaincre. Et nous voilà de nouveau dans un combat acharné pour se débarrassé de nos adversaires. Les démons furent rapidement assaillit par Greil et Runne. Ces deux là n’apprécient pas vraiment de tels créatures, ce que je ne peux que concevoir. Voyant un adversaire à sa taille, Greil fusa vers l’espèce d’ange inquiétant pendant que Runne fonça vers les Ahrimans. Il les déteste, ceux là. Laissant à Sorn le soin d’affronter seul l’énorme créature aux quatre bras qui lui hurlait dessus. Les coups entre Greil et son adversaire s’enchaînaient encore et encore, formant des échos puissants à chaque fois qui se partageaient, comme si ils avaient décidé de tout détruire en plus de s’assaillir. Envoyant un endroit sensible, elle parvint à faire un enchaînement trop rapidement pour son adversaire et l’épée accompagné des étoiles du Getsu, trancha le bouclier tentant de se mettre devant, avant de fendre le flanc de son adversaire. En réponse, elle fut percuté brutalement par le bouclier, l’envoyant s’écraser en arrière, les deux adversaires s’observant avec hargne. Décidée à en finir, elle fonça vers son adversaire et frappe de ses deux lames contre le bouclier et la lance de l’ennemi.

Celui ci voulu prendre son envol, mais elle frappa de ses deux lames croisées et trancha brutalement sa cible en deux morceaux, chutant des cieux en quelques plumes noires tombant avec elle. Détruite sur le coup. Des faisceaux partant ici et là. Runne avait l’envie d’en découdre avec les Ahrimans. Les pattes des deux premiers furent tranchés, les empêchant de voler autant que leur privant d’une partie de leurs magies quand ils s’écrasèrent lamentablement au sol pendant leurs combats. Mais le dernier bloqua la lame de Runne, formant un écho de pouvoir entre la rapière et ses pattes, avant de lui tirer dessus. Heureusement, Sully mit le Teclis actif sur Runne, formant un bouclier d’urgence qui créa une balle autours de Runne, le faisant rebondir deux fois avant de s’écraser un peu plus loin, ce qui était très amusant à voir du coin de l’œil ! Se redressant en laissant la bulle disparaître et le Teclis partir vers Sorn, Runne créa une ombre de lui même fonçant droit dans la direction des Ahrimans, tranchant sans cesse en essayant de les gênés. Pour parvenir à créer les lances de glaces, fonçant en plein dans les yeux de ses cibles.

Les tirs d’énergies oculaires ne purent rien faire pour empêcher cela, et les créatures démoniaques furent transpercés de toutes part. Le dernier adversaire massif dans notre dos était le géant, que Sorn esquivait sans cesse en passant d’un coin à un autre, sortant de là où il risquait de finir en purée. Bondissant, esquivant, il laissa des grenades qui firent exploser deux des bars de sa cible dans un hurlement. Pour se venger, celle ci lui fonça dessus, mais les poings qui auraient du broyer Sorn s’arrêtèrent contre des glyphes rouges créer par Finaen lors d’un regard à la situation pendant qu’il travaillait avec Atlas. Les tirs de Sorn sortant du Teclis autours de son bras, n’eurent aucun mal à faire disparaître la tête de notre adversaire dans une lueur intense et bleutée. Le corps chutant au sol, laissant réapparaître la triste dépouille du Garlemaldais ayant périt après avoir été enlevé, nous rappelant la monstruosité de nos adversaires. Finaen ayant atteins le masque, voyant Atlas apparaître de l’étoile dans une explosion intense en lui criant qu’ils peuvent ensemble créer une route droit vers le Livre de Shigma. Les fragments d’âmes tentèrent bien d’user de leurs essences pour l’arrêter, mais ils durent se battre contre un Aerlin déjà au milieu de ses derniers. Ainsi, Finaen pu atteindre le masque, débutant une incantation en ayant comme rencontré étrangement quelqu’un, dont nous ne saurons la vérité qu’un jour lointains, qui sait ? Mais le temps qu’il finisse l’incantation fantastique auprès d’Atlas, déjouant la magie nous arrêtant, pour nous créer un accès.

Je fusais pour trancher le fragment d’âme qui avait attraper Aerlin dans le dos pour l’arrêter. La lance d’énergie blanche formée par Aerlin était surprenante, voir magnifique, je ne lui connaissais pas ce genre de magie mais j’en étais plutôt fière de ses capacités à improvisés ainsi. Ayant blessés les fragments d’âmes de sa lance, celui qui le tenait fut facile à couper en morceaux, me laissant dans un éclair d’argent trancher le sort qui voulait le tuer. Deux explosions apparurent là où le sort fendu éclata soudainement. Aerlin reprit courage, et fonça en avant avec sa lance, essayant de l’abattre avant de rouler au sol avec son adversaire. Je combattais le mien, ne pouvant pas vraiment l’aider quand mon sabre et l’épée de noirceur s’entrechoquaient jusqu’à ce que je ne le déstabilise d’un coup violent, suffisamment pour tournoyer et le trancher d’un coup net dont l’éclair brisa l’incarnation. Mais l’élémentaliste, lui, était roulé au sol comme dans un combat acharné et sanglant d’un champs de bataille. Plantant encore et encore sa dague dans ses flancs avant de levé sa dague et de la planter en plein cœur de son adversaire. Il était vaincu, laissant mon camarade haletant un peu, mais c’était une réussite et nous tournions ensemble la tête vers le passage grand ouvert, ressemblant à une gueule énorme. Atlas et Finaen avait fini leur sort, ce dernier debout dans le vide comme si il y avait un sol invisible s’étendant vers le lointains, et il nous restait plus qu’à l’emprunter à toute vitesse pour foncer vers notre cible. Il était temps de rencontrer le Livre de Shigma lui même. Et je ne peux pas vraiment dire que j’avais tant hâte que ça arrive.
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Le passage était des plus sinistres. Après la disparition du masque et la fin du sort d’Atlas, formant des ondes d’énergies apparaissant encore et encore, il nous disait d’entrer là dedans, mais j’avais du mal à avancer dans les ténèbres même. Ce que certains n’avaient pas vraiment quand je vis Runne bondir dedans à toute vitesse. On ne peut pas dire que c’était quelque chose de facile à se dire, qui à envie de plonger dans l’obscurité en se disant qu’on s’en sortirait à merveille ? Pourtant, c’était le seul moyen d’atteindre suffisamment vite le Livre de Shigma pendant son incantation, et de l’empêcher de finir ce sort qui pouvait permettre de créer une ouverture à son créateur afin qu’il ne s’échappe. Je me demandais à ce moment, est-ce qu’il y avait la moindre chance de sauver Adaelonya à ce moment là ? Hélas, je pensais rien qu’à ce moment que je ne serais pas la plus adaptée pour lui donner une chance de survivre. Ma lame est douée pour prendre la vie, par l’épargner, mais j’ai toute confiance envers les puissances de mes compagnons afin qu’ils parviennent à trouver une solutions. Pour l’heure, après les soins habituels entre quelques potions et soutiens, nous contemplions le passage avec l’idée qu’il fallait le traverser rapidement afin de finir notre mission. Hésité ne pouvait rendre la situation que plus dangereuse, alors nous voilà fonçant en avant, traverser l’obscurité qui gagnait les environs, en donnant l’impression de progresser dans un tourbillon de noirceur. Ce n’était pas la première fois que j’avais en visuel un tel effet, mais c’était plus régulier avec de l’eau, ou du vent, pas de l’énergie astral formant des spirales encore et encore sous les effets de la magie. Des mots passaient à toute vitesse, comme si nous étions en train de courir au milieu d’une page d’un livre géant, ce qui était de toute façons très adapté à notre situation pendant cette pleine course à toute vitesse. Nous traversions ce passage fantastique, mais alors que au loin on pouvait voir la silhouette du Glaive brisé et les sorts autours ainsi que la petite silhouette aux cheveux roses. Vous vous en doutez, personne n’allait nous laisser faire si aisément.

La voix de Shigma bien plus agacée, nous ordonna de cesser, de partir. Et brusquement la spirale se mit à avoir des mouvements brusques et à faire perdre la gravité qui nous fit valser dans tout les sens. On tournoyait en l’air difficilement, de façons quelque peu confuse, et il fallait nous dégager de là rapidement, et comme vous vous en doutez les adversaires n’allaient pas vraiment nous laisser traverser cette spirale tel une tornade sans nous assaillir sans cesse. Provenant d’impression d’écrits et de glyphes, des créatures s’incarnent dans des lueurs d’obscurités en formant des démons de différentes formes, comme si nous étions à l’intérieur des écris les plus lugubres aux milles et une créatures nous fonçant dessus. Ce n’était qu’une impression, la plus par n’étaient alors que des formes sinistres, et nous voilà essayant d’avancer en nous battant, et en esquivant des « pages » apparaissant essayant de nous tomber dessus et de nous faire disparaître à l’intérieur. Qui veut finir sa vie dans une page d’un livre, je vous le demande ? Au loin, Adaelonya était devant le livre dont les mots sortaient rapidement en formant des énergies autours du Glaive. Il fallait la rejoindre et en finir, malgré tout les obstacles. Rapidement, Aerlin et Runne firent usage des vents pour se trouver un moyen de progresser rapidement, fonçant en avant ensemble en nous guidant tous pour parvenir à esquivé les menaces. Si Aerlin repoussait brusquement les créatures du néant et nous offrait la vitesse et un passage, Runne repoussait les livres et les pages en volant dans tout les sens propulsés par les vents qu’il utilisait.

C’était des plus efficace, et rapidement, Aerlin se retrouvait lance en avant avec Finaen, les deux taillant nos adversaires en pièces entre la lance d’éther blanc et l’épée bleutée de Varas que Finaen avait en héritage. Et même si ils s’en sortaient bien, les deux partirent rapidement nous aider quand Runne eut l’épaule blessée par une griffe mêlée à une explosion, et quand pendant que je les taillais en pièce, un démon m’attrapa par le dos et me fracassa contre l’énergie du tourbillon soudainement. Tandis qu’Aerlin parvint à atteindre Runne, repoussant le démon d’un grand coup de lance d’énergie en l’envoyant s’écraser plus loin., afin de récupéré le miqo’te et de filer avec. Finaen lui vint me récupéré, tranchant le démon en deux d’un grand coup d’épée, utilisant déjà quelques soins sur mon œil que j’avais bien du mal à ouvrir après l’impact. C’était bien douloureux, je dois dire. Mais Greil eue peut-être pire encore. Tandis qu’elle utilisait le Ka pour fuser à toute vitesse, et les éclairs mêlés au Getsu pour trancher ceux sur sa route. Une page vint l’atteindre et la faire disparaître soudainement sous nos yeux. Elle fut plongée dans un monde en noir et blanc, recouvert d’innombrables monstruosités, dont je parvenais à peine à voir l’étendu. C’était fait pour lui dévoré l’esprit, lui laisser un traumatisme profond, mais Sorn qui luttait contre une créature le tenant pendant que Gladys hurlante lui détruisait la tête à coup de faisceau d’énergie. Permettant à Sorn de foncer vers la page, et de sortir rapidement Greil de là. Celle ci était haletante, ce qu’elle avait vu devait être affreux, se donnant un tel coup de poing qu’elle se fit saigner du nez. Mais progressant envers et contre tout, la voilà retrouvant notre équipe bien mise à mal, alors que la situation se stabilisait, et qu’on pouvait enfin remettre pieds au sol. Échappé de cette folie, et enfin arrivé droit vers notre objectif.

Le Livre de Shigma était devant nous. Dans des vagues d’énergies, la tornade dans notre dos ressemblait plus à une mer d’énergie errante tournoyante légèrement avant de se dissipé . L’effet de la magie d’Atlas s’estompait quand nous n’étions plus présent pour en profiter, et le calme reprenait relativement lien, car comme si nous étions encerclés par une mer de feu, il y avait le sentiment d’un grand cercle flamboyant de flammes mauves ondulantes autours de nous. Et des flammes montantes, le nuage sombre émettant comme des fausses explosions à l’intérieur sans bruit, donnait l’impression d’être sous une tempête dont la pluie n’est pas encore tombée. Autant vous dire que l’ambiance était déjà terne et inquiétante, pour ce début d’incantation ondulante autours de l’immense glaive dont les fragments d’énergies l’atteignait doucement. J’aurais préféré ne pas les savoir une fois de plus menacés. Les Sitiens avaient déjà voulu en faire une arme pour ce qu’il leur restait d’éther, mais ils n’avaient pas une ambition grandiose. Là, le Glaive, ressemblait à une sorte d’épée plantée au sol défragmentés dont les lueurs tournoyantes autours essayaient de lui redonner du sens. Un sens nouveau dont il prendrait la responsabilité une fois le sort achevé. Les cristaux qui tournoyaient autours du glaives étaient des Hicor. Plusieurs de ses faux cristaux d’âmes, portaient des impression de silhouettes travaillant sur le Glaive, pour essayer de préparer le sort.

Si il nous fallait arrêter rapidement tout ça, c’est devant le Glaive que le problème advint. Adaelonya était là, se retournant doucement vers nous, le regard rose perdu et fatigué se redressant vers nous, avant de faire un sourire délicat, en nous disant qu’elle est sincèrement désolée. Le Livre de Shigma dans son dos forma des effets puissants, la soulevant lentement du sol, en tournoyant autours d’elle avant de la transformer de plus en plus. Face à nous, Adaelonya devint une sorte de créature aux griffes immenses, une gueule de démon effrayante avec deux ailes d’anges s’étendant en arrière. Portant une auréole tranchante derrière la tête de l’horreur, tandis qu’on voyait encore le corps aux yeux clos d’Adaelonya dans le buste de la créature, servant d’ancre à son pouvoir. Mais le pire était dans son dos, la créature qui défendait le livre : Une sorte de serpent tournoyant en émettant des sifflements affreux, un serpent corrupteur ayant jadis susurré tant d’idée aux pauvres mortels pour leur promettre milles et une victoire avec sa puissance. Et le Livre de Shigma, était depuis le début lui même, un monstre. Grandissant d’un coup, le Grimoire donnait l’impression d’avoir des dizaines de visages cherchant à sortir de ses pages en gémissant, deux bras immenses sortant de la couverture, et se préparant à créer des sorts dont les sphères tournoyaient autours de lui. Le Livre avait de sa propre volonté, offert de sa pages sur Hydaelyn.

Il était un monstre, le familier créer par Shigma, et ferait tout pour nous résisté et protéger son maître. Laissant à Runne le soin de tout faire pour détruire le Livre de Shigma. Greil et Sorn jaillirent vers le Serpent protégeant l’ouvrage pendant que Aerlin et moi aurions à faire à la transformation d’Adaelonya elle même, tandis que Finaen lui, empêcherait le Glaive de devenir le pouvoir même de Shigma. Le combat contre Adaelonya fut intense dès le départ, esquivant son auréole tranchante passant entre nous deux, nous fîmes formation avec Aerlin en frappant ensemble sans cesse. Quand l’un se préparait, l’autre frappait, nous permettant d’avancer tout en l’accumulant de plus en plus contre ses quatre bras. Je tentais d’offrir mon expertise à Aerlin, guidant tout les mouvements de sa lance aux côtés de mon sabre, dans un jeu d’équipe parfait en lui laissant de nombreuses blessures. Écartant ses deux bras de deux coups synchronisés, on allait l’avoir, mais il générait un flux d’éther astral si intense et puissant qu’on n’eut le temps que d’être surpris avant de nous écraser au sol par terre sous le flux de pouvoir du Fragment d’âme des plus inquiétants. Je tentais de le parer, mais rien à faire, nous voilà mordant la poussière en nous relevant difficilement face à l’horreur qui flottait en l’air portée par ses ailes noires. Le temps que je me redresse, Aerlin fonça à sa rendre, et bondit droit vers elle pour la transpercer de la lance d’énergie blanche en la forçant à retomber au sol. Mutant l’énergie en une vague d’éther maîtrisée, il fit lever en appuyant avec acharnement, pour sortir d’un coup Adaelonya de là, laissant la jeune fille aux cheveux roses inconscientes choir dans ses bras. Le Fragment d’âme était sauve, mais l’horreur voulu la poursuivre et la tuer elle et Aerlin. Ça n’arriverait pas, en me prenant une partie de la griffure me blessant au passage brusquement, je parvins à trancher le bras qui voulait abattre mon camarade tout en finissant par utiliser une technique de mon école. « L’orage d’une seule lame », frappant avec la vibration de l’épée de façons si intense que l’éclat de l’onde le trancha en deux.

La créature se désintégra petit à petit, et je fini par choir au sol, épuisée. Le Livre de Shigma et son protecteur serpentin allaient avoir le même sort. Pendant que Runne tissait encore et encore des glyphes de protections autours du livre de Shigma pour arrêter tout espoir de ce dernier de faire usage de magie. Bien sûr, ça ne serait pas si facile, et des lueurs serpentines mauves jaillirent en brisant en de nombreux point la protection du miqo’te avant de l’envoyer valser brusquement au sol sous le poids de la magie. Se redressant douloureusement, le serpent aurait voulu aider le livre, mais il combattait contre une Greil insaisissable jusqu’à ce que les tirs de Sorn ne s’écrase encore et encore dessus en plus de quelques explosions envoyés par une Gladys hurlante. Fonçant vers elle pour essayer de le mordre, Greil parvint à frapper la gueule de la bête avant qu’elle ne tournoie brusquement dans une lueur mauve en envoyant d’un coup Greil s’écraser au sol, sonnée. Se redressant difficilement, elle fusa en tirant sa lame dans un Higenbana endommageant sérieusement la tête de la créature, qui s’en sorti en écrasant Greil au sol en essayant de la mordre et de la broyer, les deux canines bloquées par le sabre dans des lueurs d’énergies en serrant les dents. Ça aurait pu mal finir pour Greil, du sang glissant de ses blessures, jusqu’à ce que d’un coup Sorn n’inverse la balance de la force en laissant un serpent de flammes bleutées tournoyer un peu partout autours du serpent, le calcinant brutalement en lui laissant des blessures affreuses. Permettant à Greil de se redresser, et de le fendre en pleine tête en le laissant s’écrouler au sol. Vaincu par la frappe terrifiante. Ce qui fut au même moment qui signa la destruction du légendaire Livre de Shigma.

La purification aspectée par les flammes de Runne passait partout dans l’ouvrage, le consumait de plus en plus en formant des échos terrifiantes de cette force flamboyante intense dévorant les pages les unes après les autres, ainsi que toute son incarnation. A l’agonie, toute la magie préparée explosèrent subitement les unes après les autres dans des chocs puissants en envoyant des ondes d’énergies là où ils échouèrent. Rugissant de douleur et de folie, le livre menaça Runne. Lui hurlant qu’il ne pourrait pas empêcher les pages éparpillés dans le monde de provoquer tant de malheurs, et d’un jour peut-être, le recréer lui même. Riant et hurlant. Ce fut la fin pour cet ouvrage maudit, cette malédiction n’est pas encore levée, mais pour l’instant et pendant longtemps certainement, elle ne pourrait jamais reprendre ses desseins et faire apparaître plus de ses pages. C’était étrange de se dire qu’il avait finalement disparut. Mais pour Finaen, il restait aussi l’objectif de mettre la main sur Shigma. Installé contre le Glaive, les ondes purificatrices jaillirent et brisèrent les hicors autours en les envoyant valser au loin dans des lueurs puissantes. Se concentrant pour protéger le glaive brisé, des reflets mauves de lueurs miroirs jaillirent de tout les côtés, formant une sorte de cocon titanesque, qui lentement cherchait à s’installer autours du Glaive et de Finaen pour l’entourer dans un cristal immense. Finaen allait devenir le cœur, comme une punition pour ne pas avoir rejoint les Observateurs et avoir aidé Shigma dans ses desseins. Mais il n’était pas d’accord avec ça.

S’élevant en l’air, Finaen concentra tant d’énergie qu’il allait être éreinté et à plat juste après ce sort. Purifiant la formation de cristaux de plus en plus, Shigma jaillit en voyant ses intentions et les deux lames noires que les deux portent s’entrechoquèrent. Atteignant l’épaule de Finaen, le blessant petit à petit, Shigma lui rugit qu’il n’y arrivera jamais avant de se prendre la pointe de lumière en le marquant définitivement pour pouvoir le poursuivre où qu’il aille. Nous avions un lien droit vers Shigma lui même, il ne pourra jamais nous échapper. Disparaissant au dessus du Glaive, la mer de feu s’éteignant lentement, et le nuage sombre s’éparpillait avant de cesser simplement d’être. Nous en avions fini, Adaelonya en pleurs était dans les bras d’Aerlin avant de s’endormir contre lui. Le Livre de Shigma détruit, notre voyage trouvait enfin sa finalité. Il ne nous restait plus qu’à atteindre Shigma lui même, et à en finir avec ce terrifiant adversaire. Mettant un terme définitif aux projets des Observateurs et à tout le mal qu’ils avaient engendrés en agissant ainsi. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 02 sept. 2022, 02:24

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le destin des Observateurs."

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Trois-cent-deuxième Entrée - « Acte 16 – Les Observateurs de l’Astre lunaire.»
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« Une dernière mission en Mare Lamentorum. Cet endroit de légende avait été foyer de nos nombreuses expéditions depuis quelques temps, et nous y avons fait de formidables rencontres. Quelques Sharlayanais préparant ce lieu à devenir un domaine de science. Les Loporites bien entendu. Et quelques Garlemaldais, donc ce très sympathique Bais le créateur de jouet pour les enfants habitants sur l’astre. Bien entendu, plus que des bonnes surprises, il y eu les adversaires terribles et les menaces. Il fallait se préparer à nous battre pour notre survie et celles de nos nouveaux pairs, mais cela en valait le coup et nous plongea dans des histoires ayant eu des influences depuis longtemps sur nos missions. Les œuvres de Shigma avaient eu des répercussions depuis longtemps en Hydaelyn, mais le fait d’arriver au bout de cette tâche avait quelque chose de vraiment agréable. Pour autant, avant d’être à ce moment où je contemple une dernière fois Hydaelyn depuis sa lune en me disant qu’il est temps de rentrer « à la maison », je ne peux que me dire qu’avant le départ, mon sang était bouillant et je me sentais inquiète de tout les problèmes qui nous attendaient sur le terrain. Après tout, Shigma et ses desseins avaient été des ennemis fantastiques et effrayant, ils avaient causés bien des maux, et ses pages continueront de tourmenter quelques lieux en Hydaelyn jusqu’à ce que des aventuriers les retrouvent et ne fassent tout pour arrêtés les malheurs qu’ils convoquent. Et l’affronter directement revenait à mettre un terme à un combat qui avait commencé depuis plusieurs années. Il nous reste bien des ennemis, des menaces qui nous attendent, fusent-ils humains ou démons, ou tout autres entités. Mais nous reviendrons de ce bien long voyage en Mare Lamentorum avec ce poids en moins, et pourtant tellement d’autres péripéties à vivre. Chaque étapes traversés est l’introduction de la suivante. Pour l’heure, je me contenterais de raconter ce dernier combat face aux Observateurs et la conclusion à leurs destins.

Atteindre Shigma n’allait pas être si difficile que ça je dois dire. Finaen l’ayant marqué avec sa propre magie, il portait encore ce sceau et notre camarade pourrait retracer le chemin menant directement à lui afin de lui mettre la main dessus. Il ne nous restait qu’à le suivre, mais il ne serait pas si aisé d’en finir, car Shigma était bien entendu conscient de cette marque. Et rien qu’au loin, on pouvait voir les effets de ses préparations pour notre accueil, afin de ne pas se laisser disparaître si facilement. L’équipe fut constitué des habitués des combats en Mare Lamentorum depuis quelques temps : Finaen, Runne et Aerlin formerait le trio bien préparés à faire usage de toutes leurs magies possibles pour contrecarrés les horreurs, tout en ayant pour Aerlin, le désirs de remettre la main d’urgence sur le sceptre noueux que Shigma lui à volé de façons si peu courtoise, je dois dire. A nos côtés, comme toujours, Sorn offrirait une couverture efficace avec ses armes à distance tandis que Greil et moi trancherions toutes cibles sur notre chemin. Cette équipe, identique à celle de la traque du livre de Shigma, allait être renforcée par la présence de Livio afin de nous protéger lors de notre progression avec sa Pistolance. Mais au vue de nos désirs de potentiellement enfermer le fragment d’âme de Shigma, peut-être que les pouvoirs hérités de Maladriel allaient tout autant servir notre cause. Une fois le rapport de mission effectué, sous le regard d’Atlas et de Shiningway qui se tenaient prêts en contemplant au loin, inquiets de ce qu’ils voyaient, alors que nous contemplions tout autant les problèmes qui nous attendaient. Des éclairs mauves zébrant les cieux, frappant sans cesse une sorte de monticule sombre au loin où il fallait se rendre.

Progressant en direction des éclairs, guidés par la marque de Finaen qui prouvait que Shigma avait semble t-il abandonné tout espoir de se dissimulé, nous avons pendant un temps progresser dans les étendues lunaires, de façons désagréable. Une demi-heure à progresser péniblement, le souffle de la régolithe nous frappant sans cesse comme pour essayer de nous envoyer valser, et des ondes d’énergies contre nos jambes laissant un sentiment de crampes désagréable qui rendait tout nos pas difficiles. Et alors que nous étions en pleine marche. D’un coup, de la fumée s’est mise à apparaître partout autours de nous. Ondulante doucement, de façons inquiétantes, c’est comme si il y avait autours de nous des miasmes s’étendant de plus en plus. Au fur et à mesure, cela recouvrait tout. L’horizon, le ciel, et cela donnait l’impression de se balader dans un monde qui changeait, jusqu’à réalisé que c’était de plus en plus le cas. Le sol tomba en poussière sous nos pieds, pour nous faire choir dans une étendue infinie, mais un puissant claquement de cristal fut audible loin derrière nous. Adaelonya se tenait plus loin, les mains tendues, formant des grands hexagones d’éther astral en nous offrant une route nous menant droit vers notre destination. Progressant sur les plateformes lumineuses se solidifiant rapidement, il fallait s’attendre à ce que l’ennemi réagisse : Des miasmes naquirent des énormes bouches, qu’il ne fallait pas toucher au risque d’exploser, mordant les plateformes dans des grandes explosions les brisants. Plusieurs démons invoqués, des créatures ailées portant des faux, jaillirent de toute part.

Et si nous voulions progresser, il allait falloir nous ouvrir le passage d’urgence. Ainsi, Runne fit de son mieux pour faire exploser en l’air les énormes gueules nous arrivant dessus. Rapidement soutenu par des bourrasques aériennes puissantes créer par Aerlin et plusieurs Empi envoyés par Greil, les déflagrations mêlés aux vents donnait l’impression d’un chaos impressionnant dans les cieux, formant des chocs puissants ici et là. Plusieurs gueules parvinrent à passé, mais bien peu, et encore d’autres furent arrêtés par des colonnes de pierres formés par Finaen dans des lueurs d’énergies telluriques repoussant tout ce qui voulait essayer de s’installer sur le pont pour nous coincés. Des pointes de roches fusaient un peu partout, Finaen volant en l’air esquivant les effets tels un ange gardien, parvint à voir rapidement le terrible danger qui planait sur Sorn et moi. J’essayais de trancher les maudits démons dans le dos de Livio qui progressait, lance en avant, dont la déflagration avait repoussé tout les adversaires en avant dans l’effet de sa pistolance. Il y parvenait sans peine, mais ce serait mieux qu’il ne soit pas transpercé par une lance dans le dos, et les démons furent soit fendu par ma lame, soit se faisant tirés dessus par Sorn réapparaissant après que l’effet de sa grenade illusoire qui nous avait camouflé le temps de notre « réponse explosive » ne cesse de faire effet. C’était une bonne équipe que nous formions, Greil tranchant plusieurs adversaires non loin de là. Mais celle ci fut brutalement repoussée quand un étrange fragment d’âme aux innombrables couteaux jaillit de nulles part. Ses lames tentèrent de trouver un chemin dans les défenses de Greil, et heureusement, la force éolienne d’Aerlin créa un choc puissant devant elle, protégeant Greil qui fut tout de même balancer fortement contre l’élémenatliste en s’écrasant tout les deux au sol dans une onde de choc.

C’était douloureux, mais ils s’en remettraient, nous avons de toute façons du être concentrés sur la chance de survivre qui nous était offert à Sorn et moi quand Sorn bondit pour me rattraper, après qu’un démon m’ait balancé dans le vide. Me récupérant au vol, Gladys faisant de son mieux pour essayer de nous faire remonter, et même si je l’aidais, l’énorme gueule dans notre dos n’allait pas nous laisser nous en sortir si aisément. Arrivant rapidement vers nous, nous aspirant, comme une bouche des ténèbres elles même. Nous étions fichu dans un petit cri partager mais une énorme colonne de roches recouvertes de nombreuses glyphes rouges l’écrasa en pleine tête, le dispersant en morceaux, nous laissant sortir de là avant de rejoindre le reste de l’équipe sur une grande plateforme. Même pas le temps de remercier Finaen, qu’Adaelonya sur sa plateforme hocha la tête en nous faisant brusquement remonté droit vers des amas de roches dans les hauteurs. Ce qui était une course effrénées au milieu des explosions et des coups de lames, devinrent d’un coup un très bref moment de repos où le grand cercle de magie faites de lueurs nous amenait rapidement droit vers des pierres flottantes où nous pourrions retrouver le passage vers Shigma. Elle était concentrée, et on prit un très bref instant de repos, Finaen relevant rapidement Aerlin, mais il fallait s’atteindre à ce que les ennuis nous soient balancés dessus rapidement.

Une pluie de « Mousse », des créatures lunaires écœurantes mais complètement corrompue par l’énergie astral en les rendant mauve. La plateforme était petit à petit contaminée par cette force, Shigma décidé à nous arrêter pendant le trajet, ce qui fit que Runne rapidement posa ses mains dessus pour empêcher l’ensemble d’être volé en serrant les dents, des lueurs blanches s’échappant de ses paumes. Nous luttions avec acharnement contre les mousses, Greil en tranchaient sans cesse dans des lueurs du Getsu formant des étoiles partout où elle tranchait, me laissant la rejoindre dans son carnage en même temps que la lame de vent créer par Aerlin qu’il redirigeait d’un adversaire à un autre à toute vitesse. C’était impressionnant, mais nous fumes rapidement repoussés par un coup de poing dans le ventre pour Aerlin et un rayonnement m’écrasant au sol avant que Runne ne soit frappé à son tour. Livio trancha la mousse responsable, et fusa aider Finaen qui formait un bouclier fantastique pour arrêter d’énormes griffes de cristal s’écrasant vers nous. Les poings de Cristaux blancs de Livio ne suffirent pas, et le bouclier de Finaen était sur le point de cédé, risquant de l’écraser lui, de briser Adaelonya et son cercle, et de tous nous abattre. Mais Sorn glissant entre les deux, tira avec le Teclis un tel faisceaux d’énergies que cela traversa tout les bras de cristaux mauves, les brisant en nous aveuglant tous, avant de laisser une lueur bleue dans les cieux, tel une cicatrice entraîné par son tir. C’était merveilleux à voir, et Greil trancha le dernier mousse pendant que les cheveux de Sorn s’éteignait du feu bleu qui s’animait dessus. Nous étions sur le point d’atteindre les hauteurs, malgré les blessures et la fatigue. Pour y affronter les défenses du domaine des Observateurs.
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Arrêtés au sommet du passage avec une décélération soudaine, nous avions que quelques pas à faire, pour nous retrouver dans une lande brisée, comme si nous marchions dans une étendue morte des plus inquiétantes. Des fragments de pierres mauves flottaient un peu partout autours de nous, errant à leurs guides, et des lumières apparaissent des cieux avant de faire tomber des boules de feu mauves un peu partout. L’endroit me faisait cruellement pensé à l’Apocalypse, comme une sorte de réminiscence d’un tel domaine qui aurait été préservé dans la mémoire des Observateurs, laissant dans ce domaine maudit, une impression que tout à été brisé là où ils vivent. Des reflets d’énergies passaient à travers les miasmes dans les cieux, semblables aux effets de lumières entre les nuages après une tempête, éclairant les environs tristement en donnant des effets de splendeurs un peu partout. Au lieu d’avoir simplement l’air magnifique, cela renforçait peut-être l’aspect attristant de cet endroit, mettant souvent en valeur de nombreuses statues de pierres. Des personnes figés à jamais, portant d’antiques tenues longues et soyeuses, tels des représentations d’anciens dont il ne restait en vérité que de la pierre pour symboliser la peur, la peine, la panique. L’effroi. Entremêlés entre ce décorum fantastique mais évoquant le calme après la fin des temps, les statues de pierres tels des représentations de ceux qui disparurent jadis et ce lieu fragmenté au milieu de nulles part, je dois bien avoué avoir clairement ressenti que nous n’étions pas à notre place, dans cette tombe réservé aux souvenirs d’anciens malheurs.

Et à de tels malheurs, naquirent des espérances cruels et abominables ayant créer le destin des Observateurs. Des formes d’énergies jaillirent en préparant un sort inquiétant, digne d’essayer de nous abattre de toute urgence, jusqu’à ce que brusquement un Chakram ne passe, et ne brise la magie d’un coup. Arrivant en récupérant son arme en l’air, le Fragment d’âme aux cheveux pâle se mit devant, et débutait la création d’un sort puissant en s’entremêlant avec la magie locale, afin de déjoué ce qui avait tenté de nous détruire, tout en espérant avoir de quoi nous mené à Shigma sur une sorte de pierre flottante dans les airs bien plus loin. Se tournant vers Runne, il lui dit se nommer Srein, et que quitte à avoir trahi son ancien maître, autant qu’il le fasse jusqu’au bout puisque même Adaelonya finie par lui montrer la voie véritable qu’ils auraient tous du osé tentés depuis bien longtemps. Bien entendu, ça n’allait pas se passer comme ça, et rapidement les serviteurs de Shigma jaillirent pour essayer de l’arrêter. Et il nous faudrait nous battre alors que le sort de Srein était en préparation qui risquait de lui voler sa vie. C’est comme si des tentacules de noirceur tournoyaient autours de lui, serrant un peu ses bras et son corps, laissant une sueur noir glisser de son visage. Il allait périr en usant de son sort, et ce n’est même pas dit qu’il y parviendrait. Mais visiblement, il en avait cure, car il était au bout de sa route à ses yeux. Et sur le point de devenir libre. Des créatures enlevés que ça soit en Hydaelyn ou dans Mare Lamentorum pour devenir des serviteurs transformés s’incarnèrent.

Proche de lui, jaillit trois adversaires qui l’encerclèrent rapidement. Il s’agissait de trois sortes d’entités créer par Shigma inspiré des œuvres orientales, portant tout des grands chapeaux ronds avec des sabres en main. Noyés dans des tissus glissant autours d’eux comme des ombres, leurs têtes tremblantes, il avait du s’exercer à créer quelques formes de Oni. Laissant comprendre pourquoi il avait même agit jusqu’en Orient où plusieurs pages du Livre de Shigma avaient créer quelques malheurs. D’un cratère, des flammes fusèrent brusquement en créant quatre silhouettes de ses sortes de créatures provenant des profondeurs de la Lune, mais devenue des incarnations de flammes mauves ondulantes devenant des silhouettes effrayantes dont des chaînes tournoyaient pour les tenir. Elles obéissaient aux ordres d’une sorte de création de roche dont les pierres tournoyaient dans tout les sens, formant un golem de Régolithe sans jambes comme une petite tempête de pierres tournoyantes sous lui, émettant un rugissement profond avant de se préparer à défendre son domaine. Et à ses côtés, se tenait enfin la conséquence du vol du Sceptre noueux. Il était là, greffé dans une silhouette d’un Liéchi énorme avec des bras fins et finissant sur des griffes énormes. Des larmes blanches glissait du torse d’incarnation du néant, tout n’étant que puissance infâme, donnant l’impression que le sceptre lui même pleurait. Il fallait nous débarrassé d’eux d’urgence. Ou ils tueraient Srein, compliquant grandement la tâche de pouvoir accéder au trône de Shigma. Runne fusa naturellement vers Srein pour l’aider dans l’accomplissement de son sort. Se concentrant sur la tâche, formant des énergies offertes vers le fragment d’âme en lui envoyant son éther, son œil s’activa en laissant des glyphes à l’intérieur pour comprendre ce qu’il se passait.

Tranchant dans un Iajutsu, les trois lames de Greil jaillirent en usant d’un Tenka Gokken, tranchant brusquement ses trois adversaires dont un ne pu survivre au tranchant de sa lame. Si les deux reculaient subitement, elle parvint à foncer droit vers Runne dont les tentacules de noirceur pointues comme des lances vinrent essayer de le tailelr en pièce. Tranchant la plus part, une pointe poignarda Srein et l’autre passa par la hanche de Greil avant de transpercer l’épaule de Runne en les empâlant tout deux avant de disparaître. La blessure était affreuse, mais ont ne pouvait pas les aider. En regardant vers eux, Finaen voulait les sauver, mais il allait recevoir en retour un poing en pleine figure, après un instant d’inattention. Greil du frapper sans cesse de ses deux lames, luttant comme elle le pouvait contre les deux terribles adversaires, se prenant un coup du tranchant à la cuisse et dans le dos. C’était fini, elle allait être décapitée, mais la lueur de brume rouge jaillit d’elle, comme deux bras dans son dos, repoussant les lames avant qu’elle ne réapparaisse plus loin. Un pas de Samouraï. Deux coups tranchants comme des cornes de démons, et les deux démons furent fendu en deux, vaincu, permettant à Runne de s’échapper de la noirceur qui le noyait sans cesse, et de permettre à Srein de finir son sort. Il restait de nombreux ennemi, et nous fimes de nos mieux pour les repoussés, Sorn se débarrassant des créatures de feux en donnant des coups de pieds dans le tas pour les repoussés, essayant de les écrasés pendant que les grenades de Gladys explosaient ici et là. Une tomba dans la bouche d’une créature, qui fut vaporisée par le coup, mais voyant que ça ne serait pas suffisant, Sorn attrapa une des horreurs par ses chênes et l’écrasa lourdement sur le côté.

Tirant dessus pour l’achever, cela n’avait pas suffit et quand il se dirigea vers les autres, celui ci c’était redressé, et bondit sur Sorn pour l’écraser au sol. Frappé sans cesse par les créatures, il aurait été encore plus tabassé si Gladys avec son petit tanto ne se mit pas devant eux, toute tremblante de peur. Juste avant que les trois créatures ne lui bondissent dessus, Sorn s’était relevé, et venait de les abattre de plusieurs tirs, s’acharnant un peu dessus pour avoir osé chercher à détruire sa fille. A côté, j’avais été protégée par le bouclier d’or de Livio qu’il créa sur Aerlin et moi. Les pierres propulsés vers moi furent explosées par le contact avec l’or de la protection d’éther, me permettant d’atteindre l’énorme golem purifié par Finaen qui l’affaiblissait de plus en plus à mesure du temps. Tranchant sans cesse, il perdit des nombreux morceaux Mais à l’intérieur, renaissait déjà les créatures, dont le poing s’écrasa brutalement contre Finaen en l’envoyant valser au sol. Il lui fallait du temps, et j’allais lui accorder en tranchant sans cesse de mon sabre dans quelques explosions de la foudre d’argent, brisant des morceaux de ce dernier où s’infiltrait les sorts vermillons de Finaen sortant de ses noulithes, faisant exploser notre adversaire de l’intérieur dans des grands amas de dévastations envoyant des pierres valser un peu partout dans une grande onde de choc. C’était efficace, mais pas aussi beau que ce qu’avait produit Aerlin. Le combat contre le Leishi du néant n’était pas aussi aisé qu’attendu pour récupérer le sceptre noueux.

Protégé par Livio, Aerlin n’eu pas trop à s’en faire des amas de racines du néant frappant contre lui sans cesse, avant de renvoyer un tas de frappes de roches brisant le sol et abîmant grandement le Leishi venant de se prendre un Livio dessus à toute allure, ce dernier cristallisant une partie de la créature, avant de reculer. Il fut engloutit par la végétation du néant, apparaissant hors du sol, le faisant tournoyer en l’air en se préparant à le broyer. Voyant son camarade en péril, cela du créer un lien dans la psyché d’Aerlin, serrant les dents, avant de tendre la main. Formant une connexion avec le sceptre, et l’Arbre blanc, jaillit brusquement une fantastique lueur blanche éthérée en même temps que la bourrasque de vent projetée, donnant l’impression d’un arbre blanc planté là où était le Leishi. Libérant Livio, la créature hurlante ne pu rien faire quand le Pistosabreur leva sa Pistolance en la plantant dans le reste de son corps, la fantastique explosion le brisant en libérant le sceptre, tombant au sol d’un coup. C’était fait, nos ennemis étaient vaincu, et le sort de Srein, actif, nous offrit le passage tant attendu. Pour en finir une bonne fois pour toute avec Shigma qui nous attendait juste en haut.
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Des tremblements apparaissaient autours de nous encore et encore. Formant des chocs puissants, laissant des fissures apparaître, jusqu’à ce que le sort de Srein fut actif. D’un coup, des pierres se mirent à sortir de tout les côtés, parfois de la brume, avant de s’accumuler en donnant un véritable accès vers une sorte de plateforme bien plus haut. Il avait offert beaucoup de son énergie pour créer ce passage, et n’aurait sûrement pas réussi sans l’aide de Runne l’ayant tant soutenu, et pendant que tout le monde se soignait d’urgence, apaisant nos maux, on ne pouvait rester ici longtemps. Désormais, le passage était ouvert. Des éclairs tombaient régulièrement proche de l’accès, ses fameux éclairs que nous observions de loin et qui rendait déjà inquiétante notre progression droit vers ce domaine où la marque de Finaen certifiait qu’il se trouvait bien et bien là-bas. Et même maintenant, nous en étions sûr. C’est là-bas que se jouerait le destin des observateurs, en ayant deux solutions : Soit Shigma allait échoué ici, et les Observateurs disparaîtraient avec lui. Soit nous serions vaincu définitivement, et nos âmes seraient fragmentés pour qu’une partie de nous servent l’intérêt de Shigma pendant que notre conscience partirait droit vers la Mer des étoiles. Ce n’était pas un destin très enviable, je dois l’avouer, de disparaître de cette façons. Aussi m’y refusais-je, et je suis sûre que mes compagnons étaient de cet avis. Nous préparant à progresser d’une pierre à une autre, celles ci flottant cruellement dans les environs en demandant tout de même un peu d’expertise pour se déplacer dessus.

Certains comment Finaen n’aurait pas vraiment de tels problèmes, après tout quand les noulithes dans son dos forment des ailes, et qu’il s’envole, ce n’est pas si difficile de progresser dans les cieux quand on à pas besoin de bondir d’un bout à l’autre. C’est peut-être Greil qui maudissait cette malédiction d’avoir si régulièrement le besoin d’être en escalade, prouvant qu’une bonne forme physique et athlétique est plus que nécessaire pour les missions de cette volée. Même si cette tentative ne serait pas suffisante pour arriver jusqu’au bout de ce périple aisément, puisque tout se déplaçait et formait des effets de gravités se modifiant parfois selon les pierres massives qui se déplaçaient et selon des sphères d’énergies qui risquaient de nous aspiré et de nous désintégré sous la puissance des sphères entropiques qui n’étaient là qu’une résultante du chaos de l’éther manipulés essayant de se former. Quelques éclairs tombaient, frappant dans les environs, laissant là un risque que l’aléatoire décide à se débarrassé de nous si on était prit dedans. Il fallait autant se protéger ainsi des effets de l’entropie magique que des éclairs chutant autours de nous, tout en progressant rapidement avant que le sort de Srein ne se dissipe, et ne nous fasse choir dans le vide.

C’était une question de temps alors, mais les trois gardes du trône de Shigma n’étaient pas vraiment d’accord avec l’idée de nous laisser passer. Portant des tenues sinistres, les trois gardes formaient une sorte de trinités des derniers fragments d’âmes qui semblaient moins conscients et « complets » pour le peu qu’ils le sont, mais suffisamment puissants pour servir. Comme ses fragments d’âmes ratés n’ayant servi que de sbires infâmes, pour donner à la place présence à des véritables et dangereux adversaire. Des plaques d’armures étaient portés par ses derniers, tous portant une capuche ne laissant rien voir de leurs visages. La combattante se tenait droit devant nous, une boule à pointe et un bouclier se tenant vers nous en nous interdisant d’entrer dans la demeure de leur maître. Tandis qu’un second plus loin jouait avec une dizaine de lames tournoyantes autours de lui avec efficacité. La dernière était un Lalafell, du moins au vue de sa taille, se tenant avec de nombreuses machineries tels des canons se déplaçant de technologies mêlés de celles des Loporites et d’Allag. La plus grande de ses machineries était dans son dos, ressemblant à une créature infâme d’acier et de magies, me faisant vulgairement pensée à une forme horrible qu’aurait pu avoir Gladys. L’avant-garde ne serait pas aisé à traverser, mais nous voilà en plein combat acharné pour essayer d’atteindre le trône.

Faisant de son mieux pour repousser les pierres et former un passage efficace, repoussant les sphères dévorantes au loin, Finaen fit de son mieux en volant à droite et à gauche pour éloigner tout les effets malveillants, soutenu par Sorn, en étant notre principal support que je vins aider en déviant quelques roches noires tout en tranchant les trop gênantes. Nous épaulions nos pairs, et Greil me rendit la pareil en repoussant les couteaux me fonçant dessus avant de fuser droit vers celui aux nombreux couteaux. Les coups des dix dagues et du sabre de Greil se partageant sans cesse, jusqu’à ce que brusquement un coup de la lame d’azur de Finaen ne brise l’équilibre, Greil fendant son adversaire d’un coup en continuant sa route d’une pierre à une autre. Le combat entre Aerlin, Sorn et le Lalafell était fantastique. Des tirs partant dans tout les sens, ravageant l’ensemble pendant que Runne et Livio s’occupaient de celle à la masse. Repoussant son bouclier après des coups de lances partagés, Runne la poignarda de sa dague en formant des éclairs dans la plaie encore et encore jusqu’à ce que Livio n’écrase sa pistolance contre elle, l’envoyant disparaître en chutant dans le vide dans un hurlement, dévastée par le coup. De l’autre côté, Aerlin fut touché pendant qu’il gênait le Lalafell, risquant de tomber dans le vide avant que l’araignée d’acier n’explose grâce à un explosif de Sorn dans une grande déflagration. Tirant une balle incroyablement précise à travers le Lalafell, surchargée d’énergie, il vint secourir Aerlin, laissant toute l’équipe nous rejoindre, alors que Shigma nous avait repoussé. Le faisceau d’éther Astral m’avait écrasé contre une pierre, sonnée par le choc, tandis que les éclairs qui tombaient sur Finaen furent repoussés par Runne dans un combat intense et foudroyant.

Nous bloquions ensemble avec nos épées, le coup de Shigma, qui ria et disparut pour rejoindre sa demeure, juste au dessus de nous. Finissant de bondir, arrivant sur la plateforme, il était temps de découvrir le lieu où il avait provoqué tant de malheurs en Hydaelyn. C’était ici que tout allait se jouer. Le trône de Shigma était installé au milieu d’une véritable petit demeure où il avait installé ce qu’il lui fallait pour vivre convenablement. Des bureaux pour travailler avec de nombreux ouvrages. L’ensemble installés comme une véritable petite chambre sur un domaine fissuré mais dont le sol ici était particulièrement bien taillé. Du marbre noir comme on pouvait en trouver dans une grande demeure se rependait au sol avec quelques ouvrages abandonnés par terre et autres affaires. J’avais presque l’impression d’être dans une confortable chambre, il n’aurait manquer qu’un lit, un foyer paisible et certainement des murs. Mais le toit était comme une sorte de dôme d’observation où nous contemplions les étendues lunaires comme si nous n’étions qu’un grain de sable au milieu d’innombrables autre. Difficile de se dire qu’on aurait pu le retrouver autrement si depuis le début nos ennemis étaient cachés en quelque chose dans une poche dimensionnelle où il restait à couvert de tout intrus possible.

Caché tel un grain de régolithe parmi les immensités d’une lune, Shigma fit de son mieux pour se cloître là où personne ne pourrait le retrouver, jusqu’à ce que nous mettions pieds dans son domaine afin d’en finir. Se redressant lentement de son trône pour nous faire face, il était heureux de pouvoir essayer de se débarrassé de nous définitivement. Quitte à périr, il voulait nous emporter avec lui et nous perdre dans la mer des étoiles pendant que ses desseins continueraient son objectif : Provoquer le chaos. Le crâne avec un masque ancien dessus qui était installé sur son trône, s’éleva lentement en l’air en formant de plus en plus de glyphes et d’effets de magies au sol se dessinant sur le marbre noir d’une façons impressionnante. Il se préparait à nous assaillir avec sa magie, à tout détruire, et malheureusement il allait être difficile de l’affronter lui, ses dernières forces, et empêcher l’explosion de ce domaine en nous emportant tous avec. Jaillissant de l’obscurité à ses côtés, un reflet fait uniquement d’énergie astral sombre jaillit de lui même. Mais portant une grande armure noire, comme le Chevalier noir qu’est devenu le Shigma originel errant en Hydaelyn. Levant l’épée énorme pendant que ses yeux apparaissaient d’un rouge intense. Il allait offrir à son « maître » de puissantes capacités. Il est possible qu’il l’ait déjà envoyé accomplir des horreurs à la place du vrai Shigma, ayant peut-être aidé à le faire sombrer dans la folie. De derrière nous, jaillissant dans des claquements d’ailes noires, vint à notre rencontre une silhouette de femme démoniaque. Celle ci portait une tenue de cuir et de maille proche du corps, et volait avec la brume rouge derrière elle. Cette puissante créature du néant avait du être l’inspiration pour ses sorts et même l’incarnation des Sitiens. Souriante, elle avait été nourrie si longtemps qu’elle n’allait pas imaginer laisser son meilleur moyen de se nourrir se déborder sous ses yeux. Et puis. Nous étions sûrement des mets de qualités ?

Il était temps d’agir. Et mes compagnons fusèrent rapidement vers leurs cibles. La démon fut vaincue par Greil et Sorn dans un intense duel, alors que des tirs partaient dans les ailes sans cesse en l’empêchant de s’envoler tandis que brusquement, Sorn tira une chaîne pour l’attraper, permettant à Greil de la fendre à plusieurs endroit en brisant son armure. Cassant les chaînes autours d’elle, une griffe frappant brusquement Greil en l’envoyant s’écraser au sol, elle jaillit droit vers Sorn qui tirait dessus sans cesse pour donner le temps à Greil d’agir, jusqu’à ce que les deux ne se traversent. Un coup tranchant fit choir Greil à genou quand les griffes à lueur rouge l’avait frappée, pendant que le sabre de la guerrière elle l’avait taillé sur tout le flanc. Permettant à Sorn de levé son canon modifié, formant un tir fantastique sous le rire de Gladys, désintégrant brutalement notre cible dans un effet radieux et puissant en laissant une tâche de lumière et un écho du cri de notre adversaire. Formant un dôme d’éther immense aux symboles gravés au sol, les météores de noirceur digne d’un sort d’un Mage noir, furent arrêtés par le blocus éthérés en d’innombrables Hexagones créer par Runne et Livio. Les chocs tombaient sans cesse dessus en plusieurs explosions terrifiantes, mais ils avaient donner une tel intensité à cette protection qu’envers et contre tout, elle tenait, formant des reflets fantastiques en laissant un grand trou dans le ciel lumineux des plus inquiétant. Le sort s’estompa lentement en laissant nos deux compagnons tenir, et dès que ce fut achevé, ils foncèrent nous aider pour finir avec nos proies.

Je luttais avec acharnement contre l’avatar de noirceur de Shigma, mon sabre et sa lame s’entrechoquant sans cesse en des myriades de coups formant des ondes de chocs à chaque fois que nous les relancions avec acharnement. On cherchait à se dépasser l’un l’autre absolument, essayant de faire tomber l’autre en envoyant nos coups sans cesse, jusqu’à ce qu’après l’avoir endommagé un coup ne m’écrasa au sol brusquement. Livio apparaissant d’un coup, son coup de pied envoya en arrière l’ombre aux yeux rouges qui fusa pour essayer de trancher mon protecteur en deux. Hors de question que ça n’arrive, ma lame formant un éclair dévia le choc qui fut quand même suffisamment intense pour nous envoyer nous écraser par terre. Progressant pour nous achever, il leva sa lame, et ça lui fut fatal. Fusant dans un éclair en le transperçant en pointe, il fut coincé par l’éclair et l’épée le transperçant, permettant à Livio de bondir au dessus de moi pour fracasser sa lance dessus dans une déferlante flamboyante en l’achevant définitivement. Vaincu, il se dissipa dans un hurlement d’obscurité, nous laissant au sol, alors que Shigma plus loin, allait être vaincu. Atteignant le Crâne et le masque, Finaen fit de son mieux pour en déjoué le sort pendant qu’Aerlin livrait un combat mortel contre Shigma. Se liant à ce dernier, il parvint à empêcher une dévastation mais l’ensemble se liait à lui, était en train de petit à petit essayer de s’intégrer à lui pour faire ce que Shigma préfère : le corrompre. Il luttait, dans des grandes lumières, brisant le crâne et purifiant de plus en plus le masque avant de se retourner droit vers Aerlin qui était en plein combat acharné. Son bâton, le sceptre noueux, plus que lumineux sous l’effet de l’éther convoqué autours de ce dernier.

Il aurait du se faire empalé par la lame noire de Shigma, mais le Teclis fut actif quand Sorn parvint à l’envoyer à temps, protégeant d’urgence Aerlin avant qu’il ne recule. Reprenant l’assaut, plantant sa dague dans le flanc de Shigma. Il en rit, s’en amusa, se moqua de lui en le repoussant lui et Runne qui était venu l’aider en essayant de le gelé le plus possible avec sa rapière pour gêné ses mouvements. Les deux furent repoussés d’un coup, puis les trois quand Finaen intervient avec la lame de Varas pour essayer de l’arrêter. Écrasés au sol, sonnés et blessés, Shigma ria jusqu’à constaté que le piège d’Aerlin s’était refermé sur lui : Utilisant sa dague comme catalyseur pour orienté le sort, il fit usage du cristal-piège créer par Livio, Finaen, Shiningway et Atlas avant que brusquement Srein et Adaelonya ne fasse apparaître justement le Loporite et le Sharlayanais. Tous sembles, ils activèrent le cristal, laissant hurler Shigma essayant de s’échapper. Le dernier observateur luttait, mais ne parviendrait pas à s’en sortir, il ne restait rien pour parvenir à fuir désormais. Il était condamné, et les barrières de sa nouvelle prison finirent par avoir raison de lui, le coinçant dans cette barrière d’énergie avant de redevenir un petit cristal au sol. Le fragment d’âme de Shigma, le maître des observateurs, était perdu. Ce domaine se brisa, disparaissant petit à petit en s’évaporant sous nos yeux, nous laissant réapparaître sur un visage immense fait de Régolithe quelque part en Mare Lamentorum. C’était fantastique, le calme et l’impression de tranquillité qui se dégageait de ce lieu était une véritable bénédiction. Nous avions terminé notre longue tâche, ce grand voyage finissait par l’enfermement de Shigma, et la fin des Observateurs en ayant libéré les deux qui pouvaient encore l’être. Étalés au sol, nous reposant, éreintés par autant de combats. Tous n’avaient que pour idée que notre prochaine mission serait en Eorzéa. Il était temps de rentrer, désormais. Gardant dans nos mémoires tout ce qui fut passé, le triste destin des Observateurs, et ce fantastique voyage. Qui resterait à jamais, une partie de notre histoire. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 04 sept. 2022, 10:39

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-troisième Entrée - « Acte 1 – Tortue des tourbières.»
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« Une terre faites de végétation, des arbres, de la verdure, des plantes. Quel surprise et plaisir de nouveau explorer notre propre monde, sans le voir de loin. Goûter le ciel bleuté, le vent qui nous caresse et l’impression fantastique que nous sommes à la maison. Qu’il est étrange de se sentir de nouveau en Eorzéa, avec une nouvelle tâche en Sombrelinceul pour parvenir à découvrir ce qu’il était advenu du mystère de la mère d’Aerlin depuis la chute de son Fragment d’âme. Bien entendu, une première tâche ne pouvait encore nous donner toutes les résolutions à cette histoire, mais il nous fallait découvrir en quoi l’appel de Grim envoyé par l’Atrofakt concernait une étrange histoire de tortue. Ce dernier parvint rapidement à nous contacter malgré sa détention à travers la Sylve, son corps petit à petit se noyant dans cette dernière comme une façons de réparé ses torts. Bien qu’il soit encore loin de cette condamnation, il parvint à découvrir comme une sorte de souffrance dans la Sylve dont les indices traitait étrangement d’une femme aux cheveux argentés conduites comme par une lueur blanche dans les tourbières. Depuis, une Adamankhélone aurait semé le trouble et massacré une caravane de chocobo en un instant, s’échappant d’un trou d’eau minuscule comme si elle s’enfouissait plus que la logique ne serait possible. Si ce n’était qu’un monstre affreux, il y aurait là une quête digne des Centurio.

Mais à la place, il y avait sur cette créature des amas de végétation sinistres et toutes autres maudites présences digne du Tree Barar. Nous étions sûr d’avoir de nouveau une piste nous menant vers des histoires concernant la genèse de cette abomination, et si Sepheris était vraiment responsable de sa naissance. Alors nous pourrions peut-être remonter la piste de cette créature, droit en direction de la mère d’Aerlin afin d’essayer de la sauver le plus vite possible. Après tout ce qu’il s’est passé il y à peu, c’était peut-être quelque peu cruel de nous lancer si vite vers une nouvelle mission. Mais j’admets que pourchasser ce qu’ils nommèrent la « Tortue des Tourbières » était certainement bien moins affreux que nos derniers objectifs. Et il fallait intervenir pour Aerlin, hors de question de laisser ce dernier sans notre aide. Même si ce dernier allait être occupé avec sa famille, pendant qu’il prenait des nouvelles et veillait sur eux, enquêtait sûrement sur les affaires de sa mère et les indices abandonnés. Nous voilà sur les traces que Grim nous à annoncé en espérant que nous aurions de quoi découvrir ce qu’il s’était passé. Notre équipe malgré tout était complète, gardant les capacités magiques des plus efficaces de Runne, Finaen en y ajoutant le pouvoir destruction de Lucian dans notre formation. Pour nous protéger, pendant que son frère jumeaux était en train de profiter du bon temps avec Marlithe, Alaric s’était décidé à venir nous aider en prenant le rôle de première ligne, nous laissant Greil et moi en support pour trancher tout les adversaires en morceaux. Après le rapport sur la situation, nous nous sommes mit ensemble en route en descendant le grand escalier du Camp des Sentes tranquilles, dans la Forêt du Sud. Il était temps d’entrer dans les marais, qui nous semblaient reluisant de bien des lumières alors que la nuit tombait doucement, donnant un aspect plutôt agréable à cet endroit.

Le voyage fut désagréable. Plusieurs fois nous chutions dans les flots, comme si il fallait difficilement grimper des énormes traces de pas d’une créature énorme. Mais plus que l’aspect peu confortable, c’était la vision qui était moins savoureuse. Des corps abandonnés, des cadavres de pauvres personnes dont le destin fut d’être massacré par cette bête. Humains, chocobos, morceaux de bois brisés. Si la route était calme, elle n’était pas réellement ce qu’on pourrait appeler « joyeuse. » Bien entendu, le calme non plus ne durerait pas, car si nous étions en quête d’une menace, celle ci n’allait pas laisser atteindre son foyer si aisément. Ses lumières comme des feux-follets se mirent d’un coup à croître et à devenir innombrables. Ce n’était plus des champs de lumières, c’était une invasion qui finit par nous recouvrir presque entièrement comme si nous étions perdu au milieu de lueurs dorées fusant dans tout les sens en nous bousculant légèrement. Il fallait progresser malgré toutes ses fleurs brillantes qui nous empêchait d’y voir, couvrant ainsi cruellement les menaces qui entraient avec elles dans les environs. Plusieurs silhouettes jaillirent, portant des capes et des tenues faites de ses fleurs lumineuses pour essayer de nous avoir, camouflés ainsi. Des Hyurs et des Elezens, jaillirent en petit nombre pour nous avoir, et il fallait ainsi défendre nos vies alors que parfois des trous d’eau risquaient de nous faire tomber subitement dans l’eau.

Ce qui était une marche dans la tourbière, devint d’un coup un combat pour nos vies. Et immédiatement, le groupe fit de son mieux pour se défendre contre les assaillants et empêcher d’autres de choir dans les trous d’eau qui apparaissaient régulièrement, peu après que nous ayons sorti Lucian et Finaen d’où ils étaient tombés. Alaric surtout l’avait fait, Greil se tenait prête à soutenir qui chuterait, mais dès qu’ils furent libérés il n’y avait plus autant de problèmes que ça pour le sol : Dans des bruits de roches puissantes, le sol fut envahit d’amas de pierre formant des plaques pour reboucher l’ensemble possible des trous, arrivant encore et encore à mesure où Runne empêchait les soucis de nous arriver dessus une nouvelle fois en étant aidé par Finaen. Tandis qu’ils manipulaient les forces telluriques, les lames de vents de Finaen partirent vers ce qu’il devinait être des silhouettes, sans y voir grand-chose. Là était notre plus gros soucis : Personne n’avait de moyen de nous libéré la vue, et cela allait entraîné des immenses difficultés. Comment se battre face à des adversaires qu’on ne voit même pas, malheureusement ? Ils n’étaient que des mouvements, des silhouettes, les moins efficaces étaient visible parfois où faisaient trop de bruit, permettant à Runne de les faire choir dans le vide en se focalisant sur son ouïe. Les lames de Finaen faisaient quand même des dégâts, malheureusement ceux au contact du plus gros de leurs forces ne s’en tireraient pas aussi bien. C’était un combat inégale au niveau de la vision, ce qui devait être contre-balancé par la compétence et l’entraînement. Mais au vue de ce que venais de recevoir Alaric, nos ennemis n’en manquaient hélas pas tant que ça, alors qu’il les repoussait de sa pistolame dans des grands claquements des cartouches provoquant des coups puissants, une frappe venant de nulles part fit valsé le pistosabreur en laissant une douloureuse blessure lui barrant le torse de l’épaule à la hanche.

Nos mystérieux assassins auraient voulu l’achevé, mais les déferlements d’obscurités jaillissant brusquement de la part de Lucian non loin d’eux leurs firent revoir leurs ambitions à la baisse quand ils eurent la chance d’être balayés par l’assaut du sorcier. Rejoint rapidement par Greil et moi, je tenais les flancs en fendant ceux que je ressentais autours de moi en leur laissant aucune chance quand des éclairs d’argents brûlèrent tout au passage en laissant des corps choir lors des coups. Mais un instant après, le cri de douleur de Greil et une grande explosion nous parvinrent, démontrant qu’elle était tombée sur un adversaire bien plus dangereux. Il nous fallait vite la rejoindre, et nous voilà fonçant à travers les pétales, éliminant les derniers assaillants au passage en leurs faisant goûtés la sympathie de nos armes. Il n’en restait presque plus à ce moment là, et je me doutais que tous n’avaient pas été tués : Devant l’échec de cette tâche, plusieurs c’étaient certainement enfuis pour rapporter à leurs maîtres qu’ils n’avaient pas pu faire grand-chose de plus que de se faire tailler en pièce pendant notre progression. Et j’ignore si c’est cela qui déclencha la suite, mais elle était un peu trop impressionnante à mon goût, cette contre-offensive. D’un coup, le sol se fissura en deux, formant une grande faille nous empêchant de passer, dont des racines et des amas de pierres et de bois sortaient des deux côtés. Il était encore possible de bondir d’un bout à l’autre, difficilement je vous l’accorde, pour atteindre une grande lumière bleue jaillissante au loin.

Voilà un objectif qui nous offrirait peut-être des réponses, et nous avons fait de notre mieux pour progresser malgré des pierres nous fonçant dessus et de bien trop nombreux poissons sortant des cascades d’eau formés par la faille qui bondissaient pour essayer de dévoré chacun d’entre nous. Alaric en fit les frais, mordu à plusieurs emplacements en les tranchant sans cesse, avant que Lucian ne l’attrape pour disparaître à ses côtés, proche de Runne. Le miqo’te venait de se prendre une planche de bois dans le ventre alors qu’il formait pas mal de pierre et congelait les poissons. Et tandis que je parvins à lui offrir un moyen de s’échapper en fusant vers les cieux après avoir été tranchés par lueurs amas de bois coupant, nous voilà partant vers les hauteurs, où Lucian et Alaric nous attendaient après que le sorcier l’ait téléporté avec lui en ayant faillit se faire dévoré par un énorme serpent de mer dont les dents se brisèrent d’un coup contre une grande barrière créer par Finaen. Infusant le plus de soin possible sur le ventre de Greil ayant subie une terrible blessure, les deux avançaient ensemble, le sabre de Greil tranchant les obstacles tandis que Finaen lui formait des lames avec ses noulithes pour couper à son tour tout ce qui nous menaçait. Voyant une grande lueur jaune apparaître sous les jambes de Greil, provenant de l’étrange silhouette qu’elle avait vu, il parvint à dévié l’énergie en empêchant sa camarade d’exploser avec, avant de nous rejoindre. Les pétales se dissipaient au loin, même si la fosse restait pour nous empêcher de fuir. Il nous fallait combattre, et découvrir quel était donc l’utilité de cette étrange sphère bleuté formant des lueurs aqueuses.
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Sur place, nous contemplions autours de nous les innombrables fleurs jaunes émettant quelques douces lumières. Quel fantastique endroit pour qu’il y ait des possibles problèmes, et je n’imaginais pas vraiment qu’on pouvait nous attendre à voir des problématiques là où tout était relativement splendide et sans soucis. Bien sûr, si Grim nous avait averti qu’il serait bien de nous rendre ici, c’est qu’il y avait une raison. L’homme avait peut-être causé des troubles important par le passé, ne trouverait je pense aucune raison de poursuivre de la sorte plus tard. Ce dernier avait gagné une mentalité bien plus agréable, et ce qu’on y trouvait allait rapidement confirmé ce pourquoi il s’inquiétait. Sur ce petit « îlot » au milieu de l’eau de la tourbière, se trouvait comme une sorte d’amas de végétation tournoyante au milieu d’une pierre ancienne qui semblait faire couler de l’eau depuis plusieurs glyphes dont il n’y avait pas réellement de magie se dégageant d’elle. C’est comme si l’eau avait décidé d’apparaître à l’intérieur, sûrement par un bienfait élémentaire, et coulait dans les environs en infusant les environs donnant une vie magnifique à ce petit recoin. Du moins, ça aurait était ainsi comme un petit sanctuaire isolé si il n’y avait pas cette curieuse végétation tournoyante autours.

Elle ne semblait pas aussi infâme que celle du Tree Barar, mais elle portait cette même vitalité que celle qui nous avait empêcher d’atteindre ce lieu. Se nourrissant comme une sorte de grande veine buvant les eaux et grandissant à vue d’œil, je ne saurais dire si c’était quelque chose de maudit ou de fait d’énergies obscures. Il y avait là un danger indubitable que nous devions arrêtés pour qu’elle ne se nourrisse plus de cette source élémentaire. Mais au moins, ça ne ressemblait pas à un problème de nature aussi corrompue que nos dernières missions. Il y avait de la pureté dans ce lieu, une pureté que certains êtres vinrent défendre pour essayer de laisser croître cet élément de la nature qui semblait avoir rendu vaguement fou les bêtes qui s’y liaient. Fou, ou au service de quelque chose. Y avait-il une conscience derrière tout ça ? Alors que plusieurs créatures arrivaient vers nous pour se préparer à nous empêcher d’arracher cet amas naturel de la pierre des flots qui nourrissait ce lieu. Nous devions nous défendre, mais plus la liane se gorgerait d’eau, plus elle serait tenace, et nous voilà une fois de plus à nous défendre pour nos vies. D’un côté, jaillit un insecte géant avec des amas de fleurs autours d’elle, brillante de la même façons, comme une sorte de grossière et énorme luciole qui s’envola légèrement en fournissant des vents puissants. Sortant de son sillage, plusieurs bête locales jaillirent, sortes de reptiles grognant à quatre patte dont les six qui étaient plutôt gros se ruèrent vers nous en sortant de l’eau, tous ayant un peu de végétation autours d’eux, donnant l’impression qu’ils étaient guidés de cette façons. Mais depuis la liane, s’incarna lentement une créature végétale massive qui avait un dos énorme, et une toute petite tête d’oiseau curieuse. La tête tremblante de droite à gauche, en ayant à ses côtés, trois des combattants portant encore quelques fleurs brillantes sur leurs tenues.

On pouvait les voir bien plus facilement maintenant, ils avaient des équipements de combattants dignes et une sorte de symbole portant sur leurs armures, une représentation d’un visage de femme dont les cheveux seraient des feuilles étreignant une graine. Ils ne donnèrent même pas l’intention de nous expliquer pourquoi ils essayaient de nous massacrer, leurs regards n’étaient que haine et agacement, mais si leurs projets pouvaient provoquer du mal aux Sombrelinçois locaux, hors de question de les laisser poursuivre ainsi. Surtout qu’ils n’avaient pas vraiment de pitié pour les pauvres bougres massacrés, en espérant simplement que la mère d’Aerlin dans tout ça, ne soit pas trop concernée par leurs actes, et nous voilà de nouveau à combattre face à des cruels adversaires. D’un coup, Finaen fusa vers la sphère avec l’intention de comprendre ce qu’il se passait et d’essayer de réglé le problème. Et il nous fallait le défendre de toutes les menaces environnantes le temps qu’il découvre quel était la nature de ce problème. Immédiatement, Alaric et Greil vinrent protéger nos flancs des bêtes qui nous fonçaient dessus. Tandis que l’une allait attaquer l’énorme luciole difforme dont les lueurs d’or étaient tout sauf rassurantes, Alaric lui sous les déprimantes constatations de son possible décès provenant de sa tourelle – la sœur de Gladys, qui soupirait à l’idée qu’il n’avait aucune chance avant de se retrouver au milieu des sortes de crocodiles à envoyer des grands coups de pistolame dans le tas avec acharnement. Une tête fut empalé par un sacré coup de lame, puis tournoyant à toute vitesse, ce fut la gueule d’un autre au sol qui rugit en essayant de l’atteindre en se faisant abattre au sol. Prit d’un coup de colère pour celle qui devait l’aider, Alaric lui hurla de venir immédiatement lui rendre servir, et celle ci vint avec tout les signes de la désapprobation.

Arrivant au milieu des bêtes, une grande lueur jaillit et forma une fantastique explosion, dévastant les bêtes en les envoyant valser dans tout les sens, tandis que Alaric acheva les dernières bêtes de sa pistolame. C’était efficace, mais inattendu, choquant même Alaric alors que Greil venait de couper son adversaire en deux. La première frappe parvint à faire choir son adversaire au sol, la laissant descendre brusquement des cieux alors qu’elle errait en formant des lumières ici et là, le choc puissant l’envoya se rétamé par terre en ayant une grande blessure, Greil restant en position de défense. Fusant à une vitesse inattendue, l’insecte géant la frappa plusieurs fois, fusant sans cesse dans des lueurs jaunes puissantes en la percutant, avant de reprendre encore et encore sa route pour l’atteindre. Jusqu’à ce que Greil ne l’anticipe, et ne la tranche en deux en utilisant la propre vitesse de ce stupide insecte, l’envoyant valser en deux parties avec violence et au loin de là, nous débarrassant des adversaires dans notre dos. Ne restait que les protecteurs directs, dont l’énorme élémentaire à tête d’oiseau fut rapidement assaillit par une création de Lucian. Formant hors d’un œuf d’éther, une sorte de serpent, l’envoyant tournoyer autours de l’élémentaire de végétation émettant un bruit d’oiseau, les flammes jaillirent tout autours de lui en le dévorant brusquement, laissant de grandes blessures sur l’entité. Soulevant le poing, le fracas de ce dernier fusa jusqu’à Lucian et l’envoya s’écraser lourdement par terre après un choc terrifiant en laissant un instant au sol notre camarade.

Le prochain coup ne tomberait pas, il était désormais occupé à essayer de survivre à l’assaut de mon sabre, tranchant plusieurs fois l’adversaire monstrueux en laissant des tracés de lumières là où je le pourfendrais. Ça ne suffirait pas, et Lucian redressant un bras transforma brusquement le serpent toujours enroulé autours de son adversaire en un grand amas de chaînes se resserrant soudainement autours de sa proie. Serrant de plus en plus, la créature décida d’en faire de même et chercha à broyer Lucian sous les lianes tirées du sol dans un duel de qui parviendrait à broyer l’autre en premier. Je décidais de mettre un terme à ce duel avec une petite aide pour Lucian, tranchant plusieurs fois la créature jusqu’à ce qu’elle ne cède et ne soit écrasée par les chaînes brusquement en finissant par être totalement dévastée. Je ne pu pas m’arrêter là dessus, et rebondissant sur la créature, me voilà fusant droit vers les adversaires de Runne qui combattait les trois acolytes de la Dame de la graine. Il avait tout fait pour les tenir, pour les désarmés, mais ils étaient plus que conscient et renforcés par ses lianes. Ce n’était pas des ennemis forcés. C’était des adversaires tout à fait conscient de la cruauté de leurs actes et qui étaient là pour nous faire du mal, envers et contre tout. Finissant la manière douce, il allait se prendre une sorte de rafale provenant d’un amas de bois soulevé par les trois ensembles, et je décidais de lui offrir le temps d’agir en coupant le bras d’un des adversaires tout en fendant l’amas de bois enchanté. Runne parvint ainsi à atteindre nos ennemis et à les calcinés pratiquement vivant en passant lame dessus avant que l’éther de fut n’en laisse plus que des adversaires gémissants vaincu, s’effondrant au sol les uns après les autres.

Ainsi, Finaen parvint à isolé la sphère aisément. De prime abord, l’eau ne coulait plus que dans la protection en la noyant, formant une grande bulle d’eau qu’il identifiait et pu reconnaître comme étant pure et paisible. Ce n’était pas là, la menace, mais bel et bien l’amas de végétation dont une fini par attraper la jambe de Finaen avant de l’écraser soudainement au sol. Vexé par cette violence et voyant les lianes frapper contre le bouclier pour l’ouvrir et atteindre l’eau de nouveau. Il s’enflamma, montrant la présence de ce feu noir qui pourrait tout dévoré, et lui donna une chance de partir sans faire d’histoire. La conscience incarnée dans ses plantes feula, et disparut à l’intérieur de la terre. Après un instant de menace en contemplant le sol, le bouclier à cause de la pression de l’eau fini par céder, éclaboussant et nettoyant Finaen. C’était cocasse, quant à ce qui allait lui tomber dessus très bientôt, mais nous avions alors un instant de paix pour guérir nos blessures. Et les problèmes allaient bien vite nous tomber dessus, ça, je peux vous le dire.
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L’eau reprenait de plus en plus sa place, formant des reflets un peu partout bénéfique et surprenant, comme si il y avait dans le chaos instillé par la présence élémentaire, une sorte de compréhension, de régulation de l’espace qui avait un sens nous échappant. De prime abord, ce moment de beauté donnant des reflets bleutés en éveillant quelques fleurs était agréable malgré les corps des vaincus et la fatigue des combats. Quelques soins comme souvent permirent de se préparer à la suite, mais celle ci allait nous arriver en pleine poire un peu brusquement : Ce lien d’alimentation avait coupé ce qui permettait à la « Tortue des tourbières » d’acquérir un moyen de grandir encore plus, de grossir et de répondre aux attentes de qui l’envoyait attaquer des petits campements et des caravanes de voyages. Un grondement puissant se fit entendre, et si la terre trembla légèrement, ce furent surtout les eaux, élevant une grande vague en venant nous choir dessus brusquement en nous envoyant un peu dans tout les sens. Quelque chose avait bouger au loin, et une forme dans les eaux entre des grands arbres se déplaçaient. C’était là ! La présence de l’énorme Adamankhélone avait l’air d’être là-bas, et il nous fallait nous y rendre rapidement avant qu’elle ne s’échappe, ou pire encore, qu’elle n’attaque des innocents en étant dérangé par ce manque soudain de nutrition si particulière qui l’avait fait grossir jusque là. Fonçant en avant, à travers la boue et les flots, ce ne fut pas si aisé de l’atteindre que l’eau n’arrêtait pas de revenir nous frapper brusquement en cherchant comme à nous empêcher de passer. Des vagues montaient, s’écroulaient sur nous, formait une certaine confusion pendant notre tentative pour grimper surtout que le terrain semblait de plus en plus glissant, coulant étrangement sous nos pieds comme si il avait mystérieusement décidé de devenir de plus en plus impraticable.

Il y avait quelque chose qui l’influençait, c’est certains, mais dans cette présence on ne voyait qu’une maîtrise de la nature des plus efficaces plutôt que quelque chose qui la manipulait en la déformant affreusement. Toutes ses habitudes d’affronter le Mal et la noirceur allant des ténèbres au néant m’habituait un peu trop à la voir là où d’autres sources de pouvoir pouvaient intervenir, et celle ci, qui créait les coulées de boues et les glissements difficiles entre les puissantes vagues qui jaillirent avait un tout autre instinct tout comme cet étrange culte à la Dame de la graine. Ainsi, nous voilà pataugeant dans la boue en ayant été quelque peu forcé d’en arriver là, formant des flots tournoyant autours de nous avec fureur mais avec une impression plus naturelle. Bien sûr, ça n’avait rien de logique, pour autant il fallait tout de même faire le constat qu’une force avait décidé d’essayer de nous écraser, donnant presque l’impression de la colère de la Sylve, que je n’espérais pas vraiment portée sur nous. Il devait y avoir quelque chose s’en approchant, mais les acolytes ne semblaient pas vraiment digne des habitudes Gridanienne et du respect de cet équilibre entre les humains et la nature de Sombrelinceuil. Aussi faillit-il alors avancer, pour atteindre cette maudite tortue, recouverts de nombreuses questions sans réponses. Pendant que nous subissions la fureur de la nature qui tentait de nous repousser sous l’influence de la Tortue des tourbières, entre le risque de nous noyer dans la boue ou d’être repoussé par les flots.

Jaillirent des créatures faites de lianes, de boues et d’autres éléments trempés comme des algues, quelques végétaux aquatiques que l’on trouve dans les marais. Elles ressemblaient à des petites créatures proches des formes de Tréants mais en plus petit – et heureusement – et avaient presque l’air de petits élémentaires de boues en formes complètes. Elles tentaient de nous submerger en apparaissant de partout, parfois directement en dessous de nous dans des gémissements qui ressemblaient à des éboulis intense. Et une fois de plus, alors qu’on tentait d’atteindre la rive où était visible des remous fantastiques dans les flots, nous voilà essayant de nous dégager le chemin les armes levés face au chaos de ce qui ne semblait pas vouloir faiblir autours de nous.. Formant un bouclier puissant ,les premières vagues furent brisés par la tourelle d’Alaric qui rouspétait pendant que le pistosabreur renforçait encore et encore son bouclier dans d’intense lumière. On pouvait ainsi avancé, bien plus aisément quand Runne et Finaen formèrent des amas de roches en créant un véritable chemin sur lequel avancés alors qu’Alaric prenait la tête en envoyant des grands coups de sa pistolame sur toutes les créatures boueuses qui nous fonçaient dessus avec acharnement. Cela fonctionnait bien, même si plusieurs rayonnement en arrière frappèrent brusquement Lucian pendant qu’il congelait les flots et renvoyait des grandes lames de glaces frapper les créatures pour nous soutenir, le sonnant tandis que j’étais écrasée par un amas de ses horreurs qui me frappèrent plusieurs fois. Les Empis de Greil finirent rapidement par me libéré, m’offrait une possibilité de me relevé en tranchant le dernier au dessus de moi, voyant Greil bondir alors d’une pierre à une autre en reprenant ses lames tranchantes projetées au loin, tout en nous laissant progresser en vitesse.

Criant le nom de sa disciple, Yladada Ylada fit de son mieux pour essayer de nous offrir le passage, et il ne nous restait alors plus qu’à grimper les pierres créer par nos deux camarades tandis que Finaen transformait l’eau des vagues en armes s’écrasant sur les derniers adversaires, et que les vagues brisées contre le bouclier d’Alaric étaient atténués grandement par Runne. C’était efficacement, à n’en point douter, et nous nous retrouvions rapidement à grimper sur la hauteur d’un recoin où notre dernier combat contre la bête qu’il nous fallait atteindre allait avoir lieux. Nous attendaient au bout du chemin, Grim dans ses autours recouverts de feuillages et de plantes, le Hyurgoth semblait plus fin et plus courbé que jadis, mais il tendait la main vers nous alors qu’il semblait sur une plateforme de terre épargnée par les eaux. C’était le fait d’une jeune élémentaliste, une Lalafell qui marmonnait des prières en faisant tournoyer son bâton, du nom de Yladada Ylada d’après ce que Grim disait rapidement en souriant. Elle offrait une protection contre les flots, et nous allions pouvoir en profiter enfin de nous installer pour attendre notre combat final. La créature allait sortir des flots. Attirés par la présence qu’apportait Grim, en tendant au dessus de lui l’étrange pierre avec un symbole gravé dessus, celle ci formait des rayonnements d’une lueur blanche plutôt paisible dont les spirales donnait l’impression que cela canalisait les essences naturelles sans pour autant leur voler comme un sortilège de Magie Blanche. Ça n’était qu’une balise, une sorte d’échos de ce pouvoir, pour indiquer des passages aux égarés à la manière d’un phare, mais pour sortir ceux coincés dans les forêts profondes. Mais ici, cette pierre, ressemblait presque un met délicieux pour cette chose qui grandissait des forces naturelles, alors que le sol tremblait de plus en plus autours de nous et que les eaux tournoyaient en se fendant autours de la protection apporté par la jeune élémentaliste. Celle ci formait des spirales avec son bâton, les yeux clos, en marmonnant une prière tout en essayant de rester focaliser sur l’incantation.

Mais alors que nous nous préparions en étant enfin dans un recoin paisible en voyant les conséquences autours de nous de son arrivée, c’est comme si d’un coup une colline aquatique se redressait en formant le haut de la carapace immense de la créature. Progressant lentement vers nous à travers les flots qui chutaient un peu partout en nous aveuglant, tournoyant avec le sort de la jeune élémentaliste qui accentuait un peu plus son effet, c’est la pierre qui l’attira directement. Mais je pense qu’elle ne voyait pas en mal non plus l’idée de s’offrir un casse croûte en nous dévorant au passage. Arrivant jusqu’au rivage brusquement en s’y écrasant en risquant de tous nous faire choir au passage. Sa tête était énorme, sortant de sa carapace recouverte de végétation naturelle, mais il y avait quelques racines le long de sa nuque, comme si la tortue petit à petit s’entremêlait avec des éléments naturels. Une de ses pattes était faites de végétation et de quelques branches avec des feuillages, comme si il s’agissait d’un bras de nature entier qui se trouvait là, mais c’est l’autre qui était bien plus curieux. Comme si il avait jadis était coupé, ce dernier à été alors remplacé par des amas de pierres blanches avec des glyphes lumineuses doucement comme les golems dans les vieilles ruines Amdaporii, donnant l’impression que quelqu’un à usé de vieilles magies et de beaucoup d’efforts pour lui apporter ce terrifiant apport qui lui donnait un être encore plus terrible. Nous contemplant un instant, une voix jaillit comme en faisant usage d’une télépathie étrange et résonnant dans les environs, nous déclarant une sorte de propos respectueux en s’excusant du fait qu’elle allait nous faire disparaître pour le bien de la Dame de la graine.

Était-ce seulement une référence à la mère de Aerlin ? Celle ci était-elle manipulée ou nous voyait comme des ennemi ? Dans tout les cas, cette immense créature restait un danger, sa gueule en partie transformée n’allait pas vraiment aider à nous offrir un combat aisé, surtout que Yladada Ylda n’arrivait pas à tenir face à autant de fureur. Il fallait l’aider, pendant que Grim gardait son intérêt à rester sur place grâce à la pierre blanche en serrant les dents, n’ayant plus autant de puissance qu’avant pour essayer de nous soutenir. Il était temps de vaincre la Tortue des tourbières, qui nous avait apporter hélas plus de questions que de réponse. Pendant que tous combattant, Finaen fusa auprès de la Lalafell pour l’épauler et renforcer la terre et les environs d’un puissant bouclier. Sans céder, il fit de son mieux pour tenir une grandiose protection tournoyante autours du groupe pour repousser les flots déchaînés formant presque des bras tournoyant autours de notre combat en guettant l’opportunité de choir afin de nous emporter. Il tenait bon, mais la menace venait d’en dessous. Regardant en bas soudainement, il perçu l’arrivée des racines innombrables qui voulaient jaillir du sol pour essayer de nous massacrer, et laissa des noulithes au sol afin de tout faire pour essayer de les calcinés soudainement en convoquant dans l’intérieur des terres le feu noir du phénix qu’il voulait amplifier. Détournés par ma chute après un coup puissant, il fut assaillit par plusieurs lumières de lucioles s’écrasant contre son torse en formant plusieurs explosions, avant de déchaînés ce feu laissant un couinement puissant sortir du sol de toutes cette végétation subissant cette chaleur les dévastations.

Rien ne viendrait à l’aide de la tortue des tourbières, et il était temps pour nous de s’en débarrassé. Alaric et moi frappions la tête de cette bête pendant que le reste de l’équipe faisait de son mieux pour essayer de briser ses énormes pattes afin de nous permettre de s’en débarrassé rapidement. Fusant à travers les innombrables racines, esquivant toutes celles qui essayaient de les attrapés et de les écrasés, Lucian et Greil firent de leurs mieux pour parvenir vers la patte végétale en esquivant tout ce qui aurait pu les broyés soudainement avec une grande vitesse. De prime abord, Greil fendit tout pour essayer de créer un passage comme un tourbillon rapide jusqu’à ce que l’onde de choc provoqué par sa lame ne dégage le passage afin de laisser les innombrables traits de feu envoyés par Lucian exploser partout dans les environs dans des chocs puissants. Ils tenaient le coup, et repoussaient les racines, bien que Lucian n’eut pas grand-chose à faire quant la lame de Greil fendit tout ce qui approchait d’eux tel une tornade fusante encore et encore. Deux lunes rouges jaillirent, l’une provoqué par l’intensité du Getsu créer par Greil dans une lueur rouge intense afin de trancher la patte en deux dont les chaînes de Lucian qui la tenaient lui laissait une ouverture fantastique. Coupée en bonne partie, Greil pu taillé dans le tas tandis qu’une lune rouge créer par Lucian broyait l’ensemble dans un effet de gravité des plus puissante. Fendue, écrasée, la patte fut dévasté par les deux compagnons sans avoir pu faire grand-chose, et de l’autre côté, Runne allait être tout aussi efficace.

Ce dernier esquivant les rayonnements sortant de l’amas de pierre blanche tournoyante formant la patte « golem » qui avait été ajouté, et il fit tout pour la blessé en envoyant quelques lueurs d’éthers à l’intérieur pour la déstabilisé tout en essayant de détruire en poussière le granite blanc autours de celle ci. Concentré pour tout dévasté, il ne s’attendit pas à ce qu’un grand rayonnement ne lui fonce dessus pour essayer de le balayé soudainement, et du reculé sans pouvoir esquivé, ce que le bouclier de Finaen fit à sa place en formant un grand rayonnement autours de lui afin de le défendre. Sous couverture, il fit apparaître encore et encore des explosions dans toutes les fissures. Rien ne pouvait plus se régénéré car tout explosait encore et encore dans des chocs terrible, jusqu’à ce que la patte golem à son tour, n’explose en milles morceaux. Il ne restait plus qu’à vaincre sa tête rugissante, et elle nous donnait du fil à retorde. Essayant de me créer une ouverture, Alaric fit l’appat de prime abord en étudiant tout ses points faibles avec sa tourelle qui grognait de ne pas avoir été prévenu d’un tel adversaire en passant plus de temps à rouspété qu’à travailler. Attirant son attention, je pu aller frapper plusieurs fois de mon sabre, les éclairs d’argents s’écrasant au passage en laissant des grandes failles à utilisé partout où je tranchais en laissant des grandes blessures au passage.

Continuant ainsi, me déchaînant avec adresse et rapidité, l’onde mentale dégagé par la psyché de la tortue géante me paralysant suffisamment pour que l’onde de choc ne m’envoie m’écraser plus loin, un instant après que la tortue n’ait gobée Glados avant de se faire brisée une dent par Alaric pour la faire sortir. Récupérant le Teclis de la part de la tourelle, un cadeau de Sorn à son frère, il l’activant sur son bras et sa lame qui devint bien plus grande avant d’envoyer un terrible coup sur le crâne de son adversaire. Sonnant la bête après une onde de choc dévastatrice, il l’enchaîna de coup dont les cartouches claquantes formait des explosions à chaque impacts, jusqu’à bondir en l’air pour traverser la tête de la tortue. Elle fut tuée sur le coup, s’effondrant au sol brutalement en renversant des eaux dans tout les sens. L’adversaire terrible qu’elle incarnait n’était plus, et c’était notre première victoire qui nous apportait hélas, de bien nombreuses questions. Qui était la Dame de la Graine, pourquoi nous vouloir du mal à nous et aux autres ? D’où cette conscience dans la végétation provenait et quel rapport avec la mère d’Aerlin ? J’ai bien peur que tout ça, ce soit à nous de le découvrir. Et ça ne se fera visiblement, que par le temps et l’épée. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 07 sept. 2022, 02:45

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-quatrième Entrée - « Acte 2 – Une nuit aux vives racines.»
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« Après toutes les interrogations possibles issues de notre dernière mission, nous avions le droit tout de même à un peu de repos. Il faut dire que les enchaînements depuis notre retour de l’Astre allait être plutôt vif, le monde n’est jamais vraiment à l’abri de l’arrêt des combats, mais tout de même, il était temps d’y retourner et nous voilà sur le point de remonter la piste de cet étrange conscience que Finaen avait découvert. Et qui était peut-être lié à cette silhouette aux feuillages tourbillonnants qui semblait être lié à ce que Greil avait pu voir. Nous devions rapidement comprendre ce qui offrait une telle force à ses étranges acolytes de la Dame de la graine. Car si ils étaient bel et bien une gène, ce qui les rendait si fort était encore plus inquiétant car on ne pouvait pas encore savoir à quel point cela pouvait être puissant. Nous voilà alors avec une piste : ayant prit tout ce temps pour l’étude de tels énergies, Grim fit de son mieux pour essayer de remonter la piste vers cette fameuse conscience qui avait permit à l’Adamankhélone de croître autant, et qui sait, peut-être même d’acquérir cette forme de puissance mentale qui lui permettait de parler et d’exercer du pouvoir ? Et il avait remonté une piste vers un domaine aux grandes racines dont l’obscurité semblait être resté, mais pas comme une corruption tel des ténèbres infinis qui seraient due à une malédiction. C’est plutôt comme si la nuit ne voulait quitté l’endroit, s’était installé là pour que ses habitants, fussent-ils de la faune, la flore ou même des humains, s’y installent un peu mieux.

Tel endroit était un refuge paisible habituellement, jusqu’à ce que certains convoite l’éther si particulier découlant d’un pareil domaine. Alors peut-être allait-il être bon d’y faire un petit tour pour voir qui avait la volonté de s’accorder cette force. Il nous fallait donc rentrer dans ce domaine à quelques lieux du Camps des Sentes tranquilles, en espérant peut-être découvrir de nouvelles informations sur la Dame de la Graine. Et de plus en plus, j’espérais que ça ne serait pas la mère d’Aerlin qui serait impliqué. Ce dernier était présent cette fois. Si Runne et Finaen avaient à faire, et auraient du retard pour nous rejoindre au vue d’un objectif offert par Yladada Ylada pour nous permettre d’entrer dans ce domaine sans trop de soucis. Il faudrait faire avec une petite partie de notre équipe qui était constituée d’Aerlin pour nous offrir sa magie et son soutiens élémentaire indispensable dans un lieu pareil. Tout en profitant du support d’Alaric et de sa tourelle grognante, toujours aussi efficace contre les menaces. Et comme toujours avec Greil, nous étions là pour trancher net les problématiques à grand coup de lames, étant donc une petite équipe de quatre de prime abord jusqu’à l’arrivée de nos compagnons. Les autres avaient besoin de repos, il faut dire, que tout s’enchaînant plutôt rapidement, c’était certainement mieux ainsi. Dès que le rapport de notre objectif fut fait à notre quatre compagnons, discutant un peu avant de nous mettre en route, nous voilà sur le sentier d’un chemin qui lentement allait diminuer en intensité. Les regards des locaux se changeaient doucement, la disparition de la tortue des tourbières ayant été appréciés, nous laissant nous éloignés ainsi avec plus de convivialité tandis que nous quittions les lieux au milieu des lumières dorés des plantes entourant le sentier afin de nous enfoncer sur la route menant droit au domaine caché.

Le voyage fut agréable. Des pierres nous permettaient de progresser facilement au milieu de la boue sans avoir vraiment besoin de finir les jambes dans l’eau. Les senteurs plaisantes, une impression d’un voyager tranquille, et même si nous approchions de notre destination. Il était plaisant de voyager ainsi en forêt. Et bien entendu, tandis que la nuit même fictive tombait sur ce domaine, les problèmes allaient lentement apparaître alors que nous découvrions d’innombrables champignons bleutés. C’est comme si nous étions dans un bois nocturne aux milles couleurs bleutés différentes, quelques insectes rôdant dans les environs donnant l’impression que nous étions observés. Plusieurs rires furent entendu, mesquins, tout en entendant des voix nous dire que le Fils ne nous souhaite pas la bienvenue. Et alors que nous étions en marches, des spores explosèrent un peu partout, délivrant une brume cyan sous nos jambes, en formant des petites explosions et des nuages dans les environs. Il ne fallait surtout pas les respirés, c’était toxique ! Et nous voilà au milieu des miasmes, essayant de progresser sans finir enroulés dans des toiles tissés d’un coup qui essayaient de nous enlacés. Se laissant chuter des tissages de soies propulsés vers nous.

Les araignées aux reflets bleutés jaillirent pour essayer de nous couper la route au milieu des rires qui provenaient d’ici et là. Maudits insectes géants, ceux ci réagissaient à l’appel de qui ne voulait pas de nous. Et si ce Fils était prêt à essayer de nous faire dévorer vivant pour ne pas atteindre son chez lui, il allait le regretter. Amèrement. Alors d’un coup, Alaric attrapa Glados, et se mit à courir quand celle ci activa un bouclier pour essayer de le protéger efficacement des effets de fumées s’accumulant autours de nous pour essayer de nous étouffer. Courant rapidement, une araignée s’écrasa sur son bouclier, et il la fendit en deux d’un grand coup de pistolame à toute vitesse. Mais la seconde à lui tomber dessus le fracassa brusquement au sol quand elle tomba sur le bouclier de sa tourelle. En le sonnant un peu sous le choc violent. Se redressant avec urgence, envoyant sa pistolame fendre toutes ses bêtes s’accumulant autours de lui avec acharnement. Elles étaient un peu trop nombreuses, et ils auraient fini débordés, sans l’astuce d’Aerlin. Utilisant les vents, envoyant des puissantes bourrasques tournoyantes dans les environs, les vibrations dans certaines toiles créèrent dans leurs consciences des ennemis inexistants et de nombreuses de ses bêtes se firent avoir. Pendant qu’Alaric repoussaient toutes ses créatures de sa pistolame dans des chocs puissants, Aerlin lui avait plutôt à cœur de s’occuper du poison en envoyant des bourrasques de vents tournoyantes autours de l’équipe dans des lueurs d’émeraudes. Les gaz furent ainsi repoussés rapidement, empêchant le poison de nous atteindre et créant un véritable dôme protecteur afin de nous offrir un passage sûr.

J’ai faillis me faire sérieusement empalée, quand mes deux bras furent coincés par des tissages de soies collantes. Dès lors que des éclairs jaillirent, dévastant mes entraves et mon adversaire, Greil avait coupée la pointe me fonçant dessus en ne laissant les deux parties que nous frôlés en laissant de légères blessures saignantes un peu. Sans avoir le temps de la remercier, nous voilà fonçant en avant rapidement, tranchant toutes ses maudites bêtes qui tentaient de nous arrêter à grands coups de sabres en nous taillant un passage jusqu’à Alaric et Aerlin. Une fois fait, Greil envoya un grand coup de sabre en avant dont l’onde de choc jaillit te fendit brusquement les tissages qui nous coupaient la route dans une lueur étoilée puissante. Abandonnant les araignées dans notre dos, en fusant vers la suite de la route, celle ci nous mena sur une sorte de sentier de ponts abandonnés au dessus d’un grand bassin d’eau qui semblait pas forcement la plus rassurante. Tout pouvait se trouver dans les flots, surtout maîtrisée par nos ennemis, alors le mieux était de ne pas tomber. En bondissant d’un rondin à un autre, le trajet nous apparaissait facile de prime abord, jusqu’à ce qu’on se sorte de voix étrange comme chantante se fit entendre. Il y avait quelqu’un dans les environs, qui maîtrisait les forces élémentaires, et il fit jaillir un vent puissant en se mettant à déplacer l’ensemble des rondins de bois se déplaçant brusquement tous ensembles en nous balançant dans tout les sens. C’était vraiment pu agréable, et je craignais pour les moins agiles, mais Aerlin allait montrer son ingéniosités hors pair pendant qu’on était en train d’essayer d’assommer nos assaillants : J’ignore qui et comment pouvaient maîtrisés les lunaires, mais ceux qui n’étaient pas inconscients, pleuraient à l’idée d’être ainsi transformés en petits soldats pour essayer de nous abattre.

Personne n’en tua un seul. Personne ne prit la peine de les abattre en les considérant comme des cibles. Greil cessa d’envoyer des Empi foudroyant contre des feuilles qui explosaient au contact de quoi que ce soit, soutenue par les vents d’Aerlin et les explosions de Sorn formant des ondes repoussant les feuillages allant éclatés au loin, et Aerlin fit en sorte que ce soit loin des miqo’tes lunaires du village volé. Formant des flots sous les rondins, de plus en plus important, Aerlin réuni de nombreux rondins détachés que je tranchais pour lui afin qu’ils tombent dans les flots, au lieu de tanguer dans tout les sens. Et nous voilà fusant à toute vitesse sur ce bateau improvisé. Je récupérais les miqo’tes rendu inconscient par les coups de Greil et paralysés par Alaric afin de ne pas les laissés périr dans les flots. Mais un flash puissant aveugla involontairement Greil et l’enfant qui tenait brusquement celle ci en pleurant, lui disant de l’aider. Chutant vers les flots, Greil fut rattrapée un peu lourdement par l’embarcation d’Aerlin pendant que je parvins à mettre la jeune fille en sécurité une fois inconsciente. Aucun des civils ne furent tués, même involontairement, et nous continuons notre route une fois qu’ils furent mit en sécurité, avant d’enfin atteindre la berge un peu brusquement. Descendant de l’amas de rondin de bois. Nous progressions doucement vers le village aux lueurs brillantes plus loin devant nous. Il fallait découvrir ce que ses pauvres miqo’te avaient subit, mais derrière nous, il restait encore des chants étranges se dissipant doucement dans le vent. Qui avait pu produire tout ça ? En tout cas. Il ne voulait pas de nous ici. C’est certains.
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Le grand cocon ressemblait à une installation qui avait prit vie à l’intérieur d’un village de quelques pauvres bougres qui n’avaient rien demander et qui s’étaient retrouvés mêlés à ses histoires bien contre leurs avis. C’était un petit village de miqo’te, minuscule je dois dire même puisque les pauvres lunaires devaient provenir d’un clan de miqo’te particulièrement petit, et n’ayant que quatre maisonnées faites d’éléments environnants et de champignons brillant pour se tenir dans un endroit où la nuit était toujours présente. Quoi de mieux pour eux ? Chasser des gros insectes, manger les chairs d’araignées géantes, et s’occuper d’eux à leurs désirs. Mais ils ne s’attendaient sûrement pas à finir recouvert d’innombrables tissages un peu partout, ce qui expliquait cruellement l’attaque des miqo’tes lunaires qui avaient voulu nous arrêter avant de tomber dans leur petit village, ainsi que leurs larmes et leurs tenues de soies d’araignées. Les environs furent recouverts d’innombrables toiles formant parfois véritablement un tissage parcourus parfois de lueurs bleutés glissant autours comme une vague d’énergie éthérée ravissante tournoyante entre les racines et les demeures en formant un véritable nid de pouvoir. J’ignore ce qu’ils cherchaient vraiment à faire, mais ça avait un lien avec l’énorme champignon se trouvant au milieu du village. Au vu des installations, les miqo’tes ne semblaient pas spécialement avoir été surpris par ce dernier, ils semblaient bien s’en occuper. Mais il ondulait de cette énergie qui parcourait les toiles, et permettait visiblement de faire grossir aussi bien les fils de soies et les environs. Était-ce due à ce dernier qu’ils furent assaillit par les araignées géantes, ou est-ce parce qu’ils furent malheureusement contraint de voir cet emblème maudit avant de faire jaillir les horreurs autours de nous ?

Nous n’avions pas vraiment de quoi attendre paisiblement et regarder ce champignon jusqu’à ce qu’il ne nous réponde – ce qui aurait été très étrange d’ailleurs pour un champignon, quoi que dans de tels situations, ça ne serait peut-être pas le plus fantastiques. Et nous voilà entourés de quelques adversaires qui jaillirent de tout les côtés au milieu des toiles et des huttes brisés. C’est comme si des vibrations apparaissaient sur toutes les toiles ondulantes d’un coup, et en un instant, nous fumes encerclés par les horreurs. Autours de ce champignon dont il fallait s’occuper selon les capacités de qui allait se résoudre à le comprendre. Bien entendu, trois de ses énormes araignées jaillirent dans notre dos, en apparaissant soudainement dans des explosions d’énergies. Elles étaient animés d’un éther puissant les traversant, leur donnant un aspect éclipsant en ayant plusieurs sifflements effrayants tout en s’approchant de nous. Bien plus lumineuses que les autres, leurs capacités à se téléporter allait être une véritable plaie. Deux des créatures étaient de ses amas de bois et de tissages de soies, formant comme des espèces de goules desséchées fait de bois morts et de tissus de soies d’araignées, parvenant à en tirer brusquement. Ils passaient dans les environs et sortaient des huttes régulièrement, jusqu’à faire le constat qu’il y avait les restes des corps de deux miqo’tes lunaires à l’intérieur dont un rituel les avaient menés un peu trop loin dans la transformation abominable. Jusqu’à ce que la « reine » de ses bêtes n’apparaisse brusquement. Ses mandibules se déplaçaient, hurlante que personne n’approchera le Fils des vives racines qui leur offrira ce qu’ils pourraient rêvés, et les protégera de tout maux et de tout aventuriers.

Dans le fond, elle voulait survivre, mais nous étions une des bonnes sources de ses denrées. Et on ne pouvait pas la laisser dévorer autant de gens, même pour sa survie. C’est triste, mais c’est ainsi, et ce qui était jadis une énorme araignée avait grossie et s’était déformée avec des sortes de bras griffus fait de lianes et de bois, une partie de son visage couverte de bois reluisant de ses reflets bleutés passant le long de sa carcasse. On ne pouvait pas se laisser manger si facilement, et immédiatement, tous réagir à toute vitesse face à nos assaillantes. Laissant Aerlin s’occuper du grand champignon. Et même si il était en difficulté. Cela ne l’empêcha pas en plein pendant sa pratique de frapper brutalement du bâton au sol en formant une onde d’énergie puissante dans une lueur d’argent. Cela lui coûta d’être comme assaillit par les effets d’éthers autours de lui, le laissant souffrir lors de cette connexion après qu’il ait tranché avec une lame de lumière les racines qui était autours du champignon, tout en isolant les colifichets dans une bulle d’eau. Il restait encore à faire pour le champignon, mais au moins en formant ce choc, il offrit des boucliers autours de Greil et Alaric pendant leurs affrontements.

Pour ma part, je parvins à abattre les deux créatures passant d’une maison à une autre, dans des coups s’enchaînant encore et encore en des petites ondes de chocs partagés dès qu’on se bondissait dessus. Ils étaient tenace, je dois l’avouer et nos armes s’entrechoquaient sans cesse jusqu’à ce qu’un d’entre eux fanfaronne un peu trop. Je dois avouer que je ne suis pas la plus aimable des adversaires, alors qu’il déclarait qu’il serait bientôt quelque chose d’imbattable. Et je fus décidée à lui envoyer un grand coup de sabre en pleine tête pendant son laïus en le détruisant d’un coup puissant. Son allié fut accablé de chagrin et d’horreur, notre affrontement devenant encore plus violent en des coups partagés formant des échos à chacune de nos frappes d’urgences. Mais il voulu en faire trop, et en se créant une gueule de bois énorme pour me dévoré, il me suffit de rejeté sa gueule vers le haut, pour ensuite le trancher brutalement en deux avec un coup des plus puissants, fendant l’adversaire et une partie de la masure sur laquelle nous étions, au risque de foudre d’avoir encore un peu trop tranché le terrain. Débarrassé d’eux, Greil quant à elle parvint à vaincre les araignées qui n’arrêtaient pas de se téléporter à courte distance, en analysant leurs habitudes et leurs mouvements. C’était efficace comme type de concentration, et des plus honorables, contemplant bien comment elles se déplaçaient et les esquivant sans cesse, jusqu’à parvenir à envoyé une onde tranchante brusquement en avant, tranchant une des araignées en deux et blessant les autres. Celle vaincue éclata en envoyant des amas de tissages partout, recouvrant Greil, qui fut assaillie par les deux autres créatures tombant dessus.

Le bouclier de l’arbre blanc ondula et empêcha Greil de se faire empalé par leurs pattes, mais le choc puissant l’écrasa lourdement par terre, sonnée par le choc. Se redressant, crachant le sang à ses lèvres plus loin. Elle se mit en position, et il y eu un moment d’attente et d’observations. Comme si les trois étaient des inquiétant prédateurs, attendant le bon moment. Et dès qu’il fut saisit, les créatures jaillirent brusquement, mais Greil fut la plus rapide. Tirant sa lame qui attendait en posture de Iaijutsu, elle avait cet avantage et le Tenka Goren les tranchèrent sans cesse en les faisant choir en milles morceaux au sol. Ce n’était pas la plus propre façons de les tués, mais elles avaient au moins été vaincue, et Alaric fini son adversaire d’une façons aussi peu gracieuse. La matriarche horrible avait été contenue par sa pistolame dans une grande explosion. Profitant de son attention, il frappa sans cesse, essayant de la transpercer en la blessant encore et encore, faisant couler de son mucus au sol à mesure qu’il la blessait jusqu’à ce qu’un coup puissant ne le frappe. Il aurait été sévèrement blessé sans la protection d’Aerlin, et il se contenta de voler en l’air, brisant plusieurs branches, avant de finir dans les hauteurs, sonné par le choc. Coincé contre une branche alors que la créature tirait des amas de poison acide fonçant vers lui. Ratant Alaric, un seul tir ferait fondre notre protecteur, et Glados fit de son mieux pour couvrir d’insulte la matriarche avant de devoir esquivé en roulant et en criant dans la panique les divers fluides acides lui fonçant dessus.

Apparaissant en l’air, Alaric se laissa tomber et transperça de sa pistolame la matriarche dans une des blessures subies. Appuyant encore et encore sur sa pistolame, provoquant bien des explosions dans la carcasse de sa proie, celle ci finie par exploser de l’intérieur en envoyant des morceaux un peu partout, à force d’appuyer sur ses cartouches volant dans tout les sens. Après un moment d’épuisement, retirant sa lame, un peu de l’acide à l’intérieur de la créature avait finie par sortir en frappant l’épaule de notre camarade, glissante le long de sa protection en fumant un peu. Heureusement, son sang ne fut pas mêlé à l’acide, ou ça aurait été critique, mais la douleur était présente, mais au moins, Aerlin avait réussi. Le champignon fut libéré de la présence à l’intérieur, formant une explosion d’énergie alors qu’Aerlin, les yeux légèrement larmoyant, se tenait devant lui en laissant des échos de magies fusant dans tout les sens. C’était magnifique, mais les visions subies par Aerlin avait été des plus violentes, jusqu’à ce qu’une présence ne l’apaise. D’un coup, une onde de choc jaillit, et libéra le champignon protecteur qui forma des effets magnifiques dans les environs. Les miqo’tes lunaires furent libérés, ceux éveillés revenant doucement, une jeune fille approchant de Greil pour la remercier. C’était une réussite, et après un instant d’attente alors que le champignon reprenait des forces. Il émit une lumière. Et se prépara à nous montrer la route, pour sauver la Nuit des vives racines.
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Cette lumière tournoyait encore et encore, en passant le long des amas de tissages collant qui formait un passage couvert. Je ne l’avais même pas remarqué, c’est dire, à ce moment là qu’un route très particulière avait été bloqué par des amas de toiles bien trop dense et nombreux pour être coupés aisément. Surtout si ils étaient ensorcelés comme maintenant. L’énergie provenant du champignon était cette fois à notre bénéfice, formant des spirales n’arrêtant pas de tournoyer encore et encore en essayant de faire disparaître les tissages de soies. Et cela y parvenait, au fur et à mesure, le passage était ouvert et nous pouvions contempler la suite de notre trajet qui s’offrait à nous en laissant une route faites d’innombrables lumières et de racines tournoyantes qui avaient prit beaucoup plus de place qu’elles n’auraient du le faire. C’était aussi inquiétant que magnifique, et nous avions au moins un espace pour progresser droit vers l’intérieur de ce passage afin de comprendre ce qui pouvait se passer ici. Les Lunaires épargnés dans tout ça revenaient doucement, petit à petit, et sortant d’une tente la vieille matriarche advint, et nous regarda un instant. Il eu dans son regard tant d’émotions, allant du doute, de l’inquiétude, de l’incompréhension, de la reconnaissance. Tout ce qui pouvait être confus pour ceux habitués à vivre isolés, et cela allait rester ainsi. Nous quittions ce lieu pour rendre cette liberté de vivre paisiblement aux miqo’tes habitant ici, afin de nous engouffrés d’un coup dans le passage en progressant quelques instants dans le calme. De prime abord, ce n’était qu’une route au milieu des champignons innombrables avec la plaisante impression de découvrir un domaine qui était simplement de toute beauté.

Contemplant les environs, nous profitions des effets lumineux de tout ce qui nous entourait comme des peintures de différentes tonalités bleutées particulièrement bien mise en valeur par la présence de toutes ses lueurs et les végétaux nocturnes bioluminescent que l’obscurité nocturne laissait éclatant autours de nous. Par contraste, nous apparaissions tous bleutés ce qui était des plus distrayant. Alors que nous progressions de la sorte, observant attentivement les environs, le soit disant Fils des vives racines n’allait bien entendu pas vraiment chercher à nous laisser un moyen de l’atteindre et d’en finir avec lui si facilement. Il fallait s’attendre à des pièges, et bien entendu, ils agirent quand des flux d’énergies bleutés jaillirent brusquement des environs. Comme des serpents tournoyant les flots d’énergies vinrent essayer de nous écraser en passant de plus en plus vite dans des sifflements d’une énergie intangible. On ne pouvait pas espérer la trancher, ni la briser, ou la combattre. Il fallait y échapper, et nous voilà progressant rapidement alors que des sonorités musicales se firent entendre de plus en plus, des amas de végétations essayant de nous attraper pour essayer de nous faire disparaître dans la forêt en distordant un peu nos visions. Un égarement, et nous serions perdu dans les ténèbres de ce bosquet à jamais, et au vue des énergies valsant ici et là, elles nous broieront bien rapidement une fois qu’elles nous auraient atteintes.

Progressant à bonne vitesse au milieu de la végétation, essayant d’échapper à l’obscurité de ce domaine, nous voilà d’un coup assaillit par la présence de quelques adversaires sortant de tout les côtés. Les insectes étaient des formes mutés des araignées mêlés aux corps abandonnés de ceux égarés dans les environs. Quelques habitants et deux vipères, vigiles sombres, avaient littéralement transformés en horreurs arachnoïdes comme le Tree Barar semblait s’amuser à le faire. Ici, il y avait enfin visiblement une grâce de ses jeux abominables. Et nous allions devoir massacrer ses créatures pour passer, directement, une grande lumière jaillit et fit apparaître l’inattendu. Le champignon n’avait pas guidé que nous, mais ceux qui erraient dans les environs en suivant la mission confiée par Grim. Et c’est ainsi que Finaen et Runne vinrent se joindre à nous, recouvert de racines et autres amas naturels un peu partout les recouvrant, en venant à notre rencontre satisfait de s’être échappé des dédales nocturnes de cette forêt. Mais bien vite, les problèmes nous rattrapèrent, avec eux en tête, et nous voilà courant pour nos vies alors qu’Aerlin chuta au sol soudainement en se faisant attraper par une branche d’obscurité comme une griffe. Il la brisa d’une lame de pierre, mais une des créatures arachnoïdes l’écrasa au sol d’un pied puissant en plantant ses griffes dans son dos. Il allait subir pire, mais la lame de foudre d’argent frappa quand Finaen décida de se débarrassé de cette chose en libérant Aerlin d’un coup. Aidant Aerlin blessé à se relevé, ils manipulèrent ensemble les énergies telluriques dans des puissants reflets d’énergies tournoyants autours d’eux, et alors que Finaen repoussait les végétations sombres que Runne repoussait avec les vents puissants, Aerlin forma de nombreuses lames de pierres, et les propulsa en avant. Celles ci vinrent percutés les créatures encore et encore, les repoussant brusquement, permettant à Alaric et Greil de progresser ensemble en se taillant un passage soudain, avec le bouclier d’Alaric en première ligne.

Attrapé à la tête par une énorme horreur, celle ci se fit coupé un bras par Greil qui se prit un coup de l’autre bras l’instant d’après, l’écrasant contre un arbre soudainement. De nouveau récupéra par le crâne, serrant fortement pour essayer de lui broyer le crâne en serrant de plus en plus avec un Alaric se débattant un peu, du sang glissant de ses lèvres. Mais la créature eue le torse fendue par un grand coup de rapière de Runne. Transperçant le corps de sa cible, Runne extirpa soudainement sa rapière du torse de la créature s’effondrant lourdement en libérant Alaric retombant sur le fessier. J’avais ouvert le passage à Runne, quelques éclairs autours de ma lame et de mes adversaires fendu en morceaux, tandis qu’Aerlin et Finaen arrivaient vers nous en continuant de finir d’ouvrir le passage avec des roches fusantes ici et là. On était sur le point d’atteindre notre cible. Il ne suffisait plus qu’à découvrir où elle se cachait à la fin de ce passage égaré au milieu de l’obscurité. L’emplacement aux pieds des racines d’une vieille demeure avait quelque chose de plus inquiétant que ce que nous avions vu jusque là. Bien sûr, les menaces de morts, les insectes géants, ce n’était pas vraiment quelque chose de très attrayant. Mais ici il y avait tout de même quelque chose de sombre qui laisse une pression sur l’esprit, une impression d’étouffement qui n’était pas comme plongé son regard dans les ténèbres, plutôt comme si nous nous étions trop éloignés de la beauté des étoiles et de la lune, pour s’effondrer aux tréfonds d’une nuit de plus sombre. Des bruits du vent se faisaient entendre, comme gémissant, s’entremêlant aux craquements de racines venant doucement à s’ouvrir pour faire apparaître quelque chose qui se dévoilait petit à petit. Dans ce domaine égaré, le fils des vives racines avait été installé pour occuper ce domaine béni par la nuit afin de pouvoir s’en accorder son pouvoir.

La créature approchait doucement avec un prêtre, portant des autours qui laissait rapidement apparaître le symbole de la Dame de la Graine. Ses gens étaient venu apportant les fruits de ce qui avait rendu si grande la tortue, mais à la place, c’était directement une entité qu’il avait apporter. Pourquoi ? Était-ce une des expériences pour renforcer quelque chose qui ressemblerait fatalement au Tree Barar ? Ou pire ? J’en ignorais la raison, mais on ne pouvait guère faire autrement que les arrêtés alors que le prêtre tendait les bras en sortait. Des lumières jaillirent un peu partout, comme se liant à son rite et ses propos, des murmures répétant ses maux un peu partout une fois la forêt fantastique autours de nous unifiées à ses dires. Il avait un connexion des plus pures à cette partie de la Sylve, ce qui restait inquiétant de sa part. Un vrai contrôle, une vraie union, qui la rendait des plus inquiétantes en possédant des pouvoirs dignes d’élémentaliste, et peut-être même d’un Druide. Mais cette force environnante avait-elle vraiment envie de lui répondre et de s’assombrir de la sorte ? Ce n’est pas ce que donnait l’impression l’étrange artefact qui se trouvait au dessus de nous. La voilà, la raison de la nuit qui plongeait cet endroit. Une sorte de grand arbre dont les branches s’étendait et formait des feuillages qui n’étaient pas si nombreux, mais dont les effets des feuilles semblait produire un tel effet.

Ce dernier avait quelques lumières ondulantes contre son écorce, et un peu des racines ondulantes perçues autours de la sphère d’eau découverte. C’est ce qui forçait ce liens, et nous devions l’aider à s’en débarrassé. Brusquement, sortant de notre dos, une grossière araignée jaillir en étant en partie difforme, abominable en rugissant sans cesse avec une écume glissante d’une gueule monstrueuse. Des amas de racines un peu partout autours d’elle, montrant que celle ci était consciente et les échos de sa voix dans les environs formait des « Manger ! » dans nos esprits qui lui donnait un être presque plus horrible encore. Le fils des vives racines, une sorte de fine silhouette avec un visage sans nez ni bouche, seulement deux lumières à la place des yeux et une couronnes de végétations derrière son crâne formant des cheveux, se prépara à jaillir vers nous pour user d’une vitesse fantastique afin de nous avoir, pendant que le Prêtre de la Dame de la Graine chantait les psaumes à la nature en tendant les bras, son catalyseur devait être son collier s’élevant autours de lui, en tournoyant autours de sa tête. Le dernier combat pouvait commencer brutalement. En espérant y trouver enfin quelques traces de la mère d’Aerlin. Pendant qu’Aerlin commençait à communiquer avec l’arbre habitant l’esprit qui était encore confus et servait les intérêt sans vraiment comprendre pourquoi, du Prêtre et du Fils des vives racines. Il fallait défendre nos arrières, et Alaric livra un combat acharné contre l’araignée géante dans notre dos en faisant de son mieux pour l’arrêter. La créature débordait de haine, rugissante dans des chuintements odieux en agitant ses pattes pour essayer de l’écraser tout en couinant mentalement des désirs de le dévorer. Usant d’un moyen de camouflage, Alaric se déplaçait sans cesse en étant presque invisible, frappant en laissant des nombreuses traces sur son adversaires en lui laissant des blessures affreuses jusqu’à ce qu’un coup ne l’atteigne quand il râlait auprès de sa tourelle qu’elle ne faisait rien.

En la comparant à Gladys, celle ci s’énerva, disant qu’elle est bien meilleure et plus efficace, avant de se mettre à tirer sans cesse de son canon interne pendant qu’Alaric se remettait du coup. Fonçant vers sa cible déboussolée par les tirs, le pistosabreur jaillit et fendit l’air en atteignant les points blessés de sa cible, écrasant sa pistolame plusieurs fois au milieu des explosions provoqués par la tourelle. C’était une véritable dévastation, et rapidement, la créature ne fut plus qu’un tas de bouillie terrassée au sol, Alaric blessé dessus en restant triomphant de son ignoble adversaire. Le prêtre ne fut pas aisé à vraiment, protégé comme il était, et Runne tenta immédiatement de lui voler son collier de bois lui servant de catalyseur. Bloqué dans les airs, coincés par sa protection, cela fit grandement rire l’homme jusqu’à l’apparition de Greil. Sa technique aux sabres fendit encore et encore la protection en s’arrêtant contre la lumière du bouclier, sans parvenir à l’atteindre derrière, jusqu’à ce qu’une faille n’apparaisse. Riant bien moins d’un coup, il repoussa Greil d’un choc terrestre puissant dont l’impact la fit valser plus loin lourdement, alors que Runne en profita pour briser la protection tout en s’échappant avec le collier. Si les insultes pouvaient tués, Runne aurait été broyés sous le flot de juron que cela créa de la part de son adversaire. Et en se retournant, il était temps pour l’ultime insulte, quand Runne calcina le collier sous les yeux du prêtre serrant les dents en voyant son catalyseur principal partir en poussière. Condamnant les jambes du prêtre dans la boue, il ne pourrait pas s’échapper, et l’explosion de roche dans le dos de Runne l’envoya valser au sol jusqu’au Prêtre, du sang glissant de ses lèvres.

Levant sa lame pour abattre le miqo’te, il fut tranché par la croix projetées par Greil, envoyée brusquement en avant, ayant massacré son adversaire soudainement. Celle ci fendit le prêtre, sans défense, coincé, occupé avec Runne. Il n’avait simplement aucune chance, et s’effondra lourdement en arrière tué sur le coup. Débarrassé de ce maudit magicien, Finaen et moi luttions contre le fils des vives racines et sa vitesse incroyable. La créature ricanante avec plusieurs voix, comme le Tree Barar, fusait dans tout les sens poursuivi par les éclairs de Finaen frappant encore et encore en essayant de le rattraper pour l’arrêter. Il l’avait, mais la créature tenta de l’atteindre pour le massacrer en levant sa griffe droit vers son visage. Dommage pour lui, ma lame dévia la griffe brusquement sur le côté en l’écrasant au sol, avant que les éclairs de Finaen ne finisse par s’écraser sur la créature en la foudroyant brusquement. Coincées par les éclairs, ma lame trancha trois fois en lui laissant de nombreuses blessures lumineuses, et la foudre de Finaen devint une véritable cage la contenant. Voulant s’échapper, je fis de mon mieux pour la contenir et la griffe qui se contenta de me blessé à l’épaule m’aurait fait bien plus de dégât si Finaen ne l’avait pas contenu avec les éclairs le retenant soudainement avant de faire plus. Décidés à en finir, ma lame ouvrit un passage vers son cœur que Finaen prit immédiatement en le traversant de sa lame où les glyphes rouges vermillons s’y trouvaient gravés. L’horreur gémit qu’elle devait devenir l’avenir des esprits disparut, la renaissance d’une Sylve brisée, avant de s’effondrer au sol, vaincue.

Voulaient-ils donc remplacer les esprits brisés par le dernier fléau ? En tout cas, Aerlin fini par repousser la magie qui était présente et désorientait l’esprit, utilisant tout l’éther présent pour généré des effets de soins dans les environs afin d’épuiser la source de Magie blanche qu’il y avait découvert. S’effondrant épuisé et blessé, il fallait le ramener inconscient vers le Campe des Sentes Tranquilles désormais que le village miqo’te et ce recoin nocturne était sauf. La nuit des vives racines pouvait ainsi continuée, mais nous devions enquêter d’urgence sur cette présence de Magie blanche. Qui était vraiment celui qui voulait renouveler le pouvoir de la Sylve, un être infâme née de Sepheris ? Ou quelque chose de lié à la nature, tout en ayant rejeté ses codes ? Je crains que ça soit à nous de le découvrir, lors de nos prochaines aventures. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 09 sept. 2022, 06:21

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-cinquième Entrée - « Acte 3 – La bataille des Sentes tranquilles.»
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« Les conséquences de nos actes entraînent souvent des représailles quand des adversaires se sentent de plus en plus acculés. La destruction de la Tortue des tourbières, du fils des vives racines et de leurs dernières tentatives ne devait pas être le plus populaire auprès de ses maudits servants de la Dame de la Graine. Et depuis la découverte des fragments de connaissances Amdapori, cette potentielle magie blanche, nous avions plus de raison de rendre alerte Gridania quant à cette affaire tout en espérant que la mère d’Aerlin n’aurait pas un lien trop inquiétant avec notre affaire. Et le temps qu’un Padjal très particulier s’y intéresse, Ae-Lenil-Arami. Un homme qui jadis vécu les mêmes initiations que Aerlin mais ce dernier lui eu le destin exceptionnel qu’attendait un être de sa caste. Il était un padjal, son histoire allait avoir un tout autre sens que celui de notre camarade. Et pourtant, je ne cesse de lui dire, mais je suis certaine qu’un jour Aerlin pourra concevoir quel fantastique voyage il à fait là. Et quel genre d’homme cela à pu faire de lui. Mais plutôt que de noyer de compliment notre très cher élémentaliste, il était temps qu’il renvoi le Padjal qu’il avait jadis envié, et qu’ils travaillaient ensemble pour découvrir ce qui existe vraiment derrière les étranges informations concernant les acolytes de la Dame de la Graine. Si ils voulaient vraiment remplacer des esprits par des formes pures mais toujours aussi belliqueuses des créations du Tree Barar, on ne pouvait pas vraiment s’attendre à ce qu’ils entendent raison. Mais si la magie blanche de notre temps était entre les mains, c’est qu’ils avaient en leurs possessions des pouvoirs inquiétant et plus puissant qu’on n’aurait pu soupçonner.

C’était donc à un envoyé de Gridania et représentant de la Sylve de garder conscience de ce qu’il se passait. Et avant même de le rencontrer, les problèmes allaient le frapper de plein fouet. Ae-Lenil-Arami était perçu immédiatement comme un trouble en devenir pour nos ennemis, pas étonnant au vue de sa condition, et ils n’allaient pas laisser faire ça si aisément. Nous allions recevoir une petite visite de nos ennemis peu envieux que le Padjal ne découvre quoi que ce soit, ou peut-être simplement pour le récupérer lui afin d’accomplir un peu plus facilement leurs desseins ? Les deux étaient possibles, les deux étaient de mauvaises choses, et alors que nous l’attendions. Personne ne se doutait de ce qui allait nous tomber dessus brusquement. Notre équipe fut directement complète cette fois, ayant à nos côtés les habituels compagnons. Aerlin décidé à apprendre ce qu’il se passe était naturellement là, regardant les environs en profitant de la nature environnante mais avec l’inquiétude de cette affaire. Et il profiterait de la présence de Runne et Finaen pour offrir leurs puissances à nos objectifs. L’équipe magique était bien constituée, et nous avions pour rôle de nous débarrassé de tout les problèmes autours de nous avec Greil, tandis que Livio serait bien là pour encaisser les problématiques.

Le rapport de l’attente fait, et de la mission qui serait transmit par le Padjal, allait être bien court. On pouvait attendre, et profiter de l’ambiance locale. Celle ci était relativement morose. La pluie tombait et les nuages grisonnants n’offrent pas vraiment de vision de grand-chose que des couleurs ternes et des bottes salies par la boue. Surtout qu’avec les dernières disparitions, pas mal des personnes manquaient à l’appel, plusieurs faisaient des expéditions sous la pluie pour les retrouvés, mais les échecs répétés entraînant ainsi un moral descendant de plus en plus bas, hélas. D’un coup, un des deux vigiles sombres percuta sans le vouloir l’épaules de Runne en chutant au sol alors qu’il courait avec son camarade, se redressant en s’excusant. C’était déjà étonnant, mais le pire fut alors de le voir être prit dans une puissante déflagration quand une lueur verte chuta des cieux et s’écrasa dessus dans un puissant choc verdoyant. Il n’y avait d’explosion, c’est comme si un surplus d’éther vert jaillissant du ciel en s’écrasant un peu partout, essayait de saccager le campement. Des gens couraient un peu partout d’un coup, ce fut un moment de panique signalant un assaut, et immédiatement les forces des Vigiles sombres réagirent, laissant voir des flèches lumineuses partir dans les cieux pour essayer d’interrompre ce qui tombait du ciel d’un coup. Il nous fallait réagir vite, arrêter le bombardement inquiétant tout en mettant les civils en sécurité, et soignant ceux qui étaient blessés. Le foules partaient dans tout les sens, cela m’évoquait quelques situations d’attaques sur un petit campement ou sur des villes. Mettre les gens en sécurité, diminuer la menace, et par les Kami devoir repoussé des assaillants jaillissant de toutes part.

S’incarnant dans la boue et les flots locaux, les créatures boisées n’ayant pour visage qu’une plaque de bois avec une lumière tel un œil, ressemblait à des petites incarnations spirituelles faites pour rendre le chaos. Elles jaillissaient de toutes part, l’une traversant un des Vigiles sombres d’un bras formant une pointe en le soulevant en l’air sous les cris de peur d’une jeune fille. Ils allaient payés pour ça. Et immédiatement, Livio souleva sa lance en provoquant un puissant reflet d’énergie quand le bouclier fut actif, tournoyant autours des environs pour essayer de limité les chocs et les dégâts. Voyant des enfants en danger, il fonça dans leurs directions pour essayer de les protéger le plus rapidement possible. Au milieu de sa course, des explosions se répétaient dans les cieux, Finaen fit jaillir des boucliers un peu partout avec ses noulithes pour arrêter le bombardement. Il restait des tirs passant, mais beaucoup se brisaient sur les murs de roches qu’Aerlin produisait tout en formant des puissantes bourrasques afin de repousser les autres – à deux, ils donnaient un temps précieux aux défenseurs locaux de s’organiser et de mettre en sécurité les civils sous les cris de Livio qui venait de faire exploser la créature ayant assassiné un vigile sombre sous nos yeux. Le grand dôme protecteur du Pistosabreur empêcha les enfants d’être frappés par quoi que ce soit, mais cela dévia de peu un choc qui m’aurait exploser dessus, se contentant de me faire valser plus loin en traversant un amas de linge abandonné sous la pluie. Sonnée, mais encore entière, c’est Aerlin qui était sur le point de se faire avoir.

Alors que Finaen s’était occupé de soigner des blessés avec ses noulithes, bombardant de lames de vents produites par ses armes toutes créatures s’approchant de ses patients. Aerlin voulu le rejoindre, traversait aisément le champs de bataille dirigé par Greil et Runne : Tandis que Runne les attiraient avec une forte lumière, solidifiant la boue les incarnant en permettant à Greil de les trancher en morceaux et de produire une onde de choc fantastique en faisant exploser plusieurs, ils étaient dépassés, et c’est ce qui allait arriver à Aerlin. Coincé par des racines, des voix ne cessèrent de dire « Celui qui erre dans les racines » en espérant le submerger par toutes ses sortes de racines étranges qui contenait son pouvoir, des lueurs blanches apparaissant sans cesse, jusqu’à ce qu’il ne se mette presque à hurler. Juste avant, Runne vint l’attraper, des glyphes tournoyant autours d’eux alors que Runne fit de son mieux pour bloquer la magie bien avant qu’elle ne cause du mal à Aerlin. Les dents serrés, cela s’arrêtait mais quelque chose se préparait, et Runne fit de son mieux pour le sortir de là après avoir empêcher la magie de le submergé. Ce fut le tranchant de Greil qui coupa les racines, et les trois s’effondrèrent au sol un instant avant qu’une colonne de magie blanche n’apparaisse, ayant bien faillit massacré Aerlin. Le camp reprenait de son contrôle, mais on devait arrêter ça rapidement .Criant de me rejoindre, je fonçais sur le pont bien rapidement suivie de mes compagnons essayant d’atteindre la position de tir de nos ennemis, tout en entrant dans un grand nuage qui tournoyait autours du camp en empêchant de voir ce qu’il se passait, et ce qu’il y avait dans les environs.

Comme perdu dedans, on allait bien rapidement s’en sortir, surtout que le pont qui voulait être dissout fut renforcé d’un coup : Il se mit à briller, comme si le pont était fait d’un or magnifique, rayonnant paisiblement en offrant des reflets de pouvoirs dans toutes les directions. Aerlin et Finaen l’avait rendu bien plus résistant et tenace. Changeant de forme, Livio fut dans les airs, les éclairs passant à travers la forme de coeurl qu’il avait prit grâce à l’artefact, foudroyant la plus part des insectes dans les airs qui s’approchait de lui. Il aurait continuer aisément ainsi, mais tandis que les vents puissants créer par nos trois magiciens dont les énergies éoliennes jaillissaient pour repousser les éclats de puissances verdoyants et les insectes monstrueux qui nous fonçaient dessus, comme d’énormes papillons de nuit responsable de ce nuage de fumée, un cavalier sur un énorme scarabée passa au milieu de nous tous, et nous percuta brutalement Greil et moi dont les lames fendaient tout ceux essayant de s’approcher. Greil repoussait les inspectes de plusieurs Empi, et tranchait même l’énergie vive d’un vert puissant quand ça risquait de nous atteindre. Et même si nous avions essayer de trancher net le scarabée immense, le choc nous envoya au sol brutalement, sonnée, alors que le pont tremblant dans tout les sens. Cela suffit à nous désorienté, et à voir Runne se prendre de plein fouet un amas d’énergie vert, valsant hors du pont, avant d’être récupéré par Livio qui pour le secourir, fut aussi prit dans un de ses flux de pouvoir détonnant, chutant dans le vide. Ramenés par les vents maîtrisés par Finaen et Aerlin, nous couvrions nos alliés de nos lames le temps qu’ils s’installent, quelques sorts de soins offert en urgence avant de progresser. Il était temps d’atteindre l’installation où les Vigiles sombres se battaient avec acharnement. Et de continuer d’urgence, à participer à cette bataille advenue de façons si inattendue.
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L’assaut avait été arrêté de ce côté. Les Vigiles sombres étant là pour sécurisé les lieux, jamais ils ne permirent à la créature qui devrait approcher d’atteindre le centre du campement et les habitants. C’était une bonne chose, même si j’espérais que ce ne fut pas au prix de trop de vies. Des racines entouraient les lieux, comme si elles avaient comme profond désirs de remplacer le bois et toutes installations par des amas de végétation diverses et variés. Une fois de plus, j’atteste que ça ne ressemble pas spécialement à ce que nous avions l’habitude avec le Tree Barar. C’était une forme plus naturelle et plus pure de la nature, sans cette impression malsaine Mais on ne peut pas dire que c’était très accueillant pour ceux qui vivaient ici malheureusement, les affaires étaient comme dévorés par la nature et il y avait même un habitant qui se retrouvait les deux jambes en l’air, les agitant de plus en plus. Tout ça provenait d’une sorte de présence étrange s’échappant d’un amas d’écorce lumineuse, qui avait presque l’air désorienté. Était-ce vraiment une invasion volontaire, ou un effet de la magie blanche utilisée par notre ennemi ?

Les doutes étaient permit mais pas de rester à enquêter sans rien faire, puisque les Vigiles sombres allaient finir par se faire tuer lors du violent combat les opposants aux Acolytes de la Dame de la Graine. Ceux ci braillaient sans cesse des sortes d’incantations ressemblant à des cantiques, des moyens de faire prévaloir leurs désirs en chantant qu’ils ont raison d’agir ainsi et que si ils ne les soutenaient pas, les Vigiles sombres ne seraient alors que des hérétiques à leurs yeux. Je trouve que c’est toujours facile de dire ça quand on est en train de massacrer des personnes sans vraiment se remettre en question. Mais peut-on vraiment essayer de parlementer avec une personne aveuglée par son désirs alors qu’il à une hache dans les mains ? Quoi qu’ils tentent de faire, ça c’était arrêté grâce aux efforts des Gridanien, mais ils finiraient tôt ou tard par être écrasé pour qu’une horreur de mousse et de végétation puisse atteindre la ville. Il était donc temps de les repoussés, en espérant pouvoir atteindre la route où Ae-Lenil-Aramis était censé nous rejoindre. C’était un moyen de nous arrêter, il restait évident, et d’une bien cruelle façons : Allions nous abandonner les habitants et les combattants du camp, même si ils s’en sortent, à la mort de certains, ou allions nous lutter ? Il fallait rapidement empêcher la végétation confuse de prendre le dessus sur les environs, au milieu de lueurs vertes tourbillonnantes autours de nous à toute vitesse en formant des reflets magnifiques. Mais ressemblant un peu trop à mon goût, à ce qui avait bombardé la ville de prime abord.

Rapidement, nous voilà alors en position de défense afin de laisser le temps à la purification de la conscience qui prenait de la place ici, tout en essayant d’éloigner les horreurs autours de nous. La plus évidente était celle qui avait été coincée par des élémentalistes, qui en progressait venait d’en absorber un dans un cri poignant, le jeune Hyur essayant de sortir de la mousse en se débattant en vain. Comme une sorte d’énorme gelée de mousse et de végétation dégoulinante d’un liquide verdâtre provenant des marais. Proche de cette créature, bondissait plusieurs gros insectes ressemblant à des moustiques immenses. Ils étaient trois, fusant en tournoyant en l’air, en amenant quelques lueurs vertes dans leurs voyages, mais leurs dards comme des rapières, risquaient d’en empalé plus d’un. La menace la plus magique provenait certainement d’un élémentaire tournoyant autours des environs. Les amas de pierre formant un soutient solide et inquiétant, concentrant l’éther avant que les salves d’énergies vertes servant d’artillerie n’explosent plus loin. Et bien entendu, il fallait aider les Vigiles sombres contre les combattants de la Dame de la Graine. Des insurgés entraînés, habillés de blanc et de bruns, comme des héros de leurs histoires. Il y avait tant de raisons pour eux d’imaginer que le peuple vivant dans la Sylve ne convenaient plus à leurs attentes, mais autant pour nous faire notre choix, et défendre nos alliés. Ainsi, la bataille débuta, et immédiatement nous foncions avec Greil en plein dans la mêlée afin de nous débarrassé de la horde d’adversaires et des deux contremaîtres semblant bien plus fort que les autres. Un massif Hyurois dont le bois avait visiblement décidé d’en faire une arme de guerre, et une Lalafell arrogante et pénible empoisonnant nos alliés. Nous offrant un passage droit vers nos adversaires, tranchant plusieurs des combattants tout en laissant Greil faire une explosion d’éther puissante les envoyant valser ici et là.

Elle voulue les avoir avec un Iaijutsu, mais la Lalafell l’avait empoisonnée et le coup fut largement atténué, ne les blessant qu’à peine. Se prenant un choc en retour, valsant plus loin, je fis tout pour la rejoindre mais le Hyur massif après quelques échanges de coups, lui laissant des blessures souvenir, me frappa avec tant de force qu’on s’écrasa au sol avec trois Vigiles sombres dans un bruit puissant, deux ne se relèveraient pas, mais heureusement, ils vivaient encore. Nous remettant sur pied, ils allaient payer pour ça, et en reprenant nos lames, nous foncions pour en finir rapidement avec eux. Repoussant ceux essayant de l’achevé au sol pendant que je tournoyais au milieu de la mêlée d’un coup de sabre à un autre, Greil forma une brume rouge se mêlant à plusieurs éclairs d’argents, tirant un coup d’une violence fantastique fendant le sol, et atteignant le Hyurois massif. Le bois le protégeant fut coupé avec lui sans aucune pitié il s’écrasa au sol lourdement, en deux partie. La Lalafell hurla de peine et de panique, se concentrant sur un sort de maladie encore plus violent pour se venger et faire souffrir Greil, mais son bras tendu était une invitation, et je lui tranchais sans vergogne avant que ça ne soit sa tête qui soit coupée nette. Laissant Greil poursuivre en allant aider Livio, je me retrouvais vers nos derniers adversaires, prête à nous en débarrassé avec les Vigiles sombres. Bondissant dès le début du combat dessus, Runne fini sur l’élémentaire de terre. C’était plutôt surprenant à voir du coin de l’œil, il s’y accrocha fortement et rien de ce que pouvait faire l’élémentaire ne le décrocha. Au début c’était sûrement de la confusion pour cette entité de magie tellurique d’avoir un Runne dessus. Mais la confusion devint bien rapidement un sentiment de panique, quand Runne perça brutalement sa carcasse pour se préparer à atteindre le noyaux élémentaire, essayer s’en débarrassé. Fonçant dans tout les sens, il traversa les airs, même là où Finaen luttait contre les énormes moustiques, tournoyant dans tout les sens en vol grâce à ses noulithes dont les lames rouges rayonnaient.

Tombant sur un des moustiques immenses, il le transperça de ses deux noulithes en le tuant sur le coup avant de repartir en l’air, mais il fut intercepter par les deux survivants, se prenant deux coups et bloquant le dernier pour ne pas être empalé, une pointe juste devant le torse, risquant à tout même de le tuer sur le coup. Repoussant son adversaire brutalement, Finaen tournoya dans les airs, et frappe de son pied un des moustiques immenses en produisant un puissant éclair lors de l’impact de son pied, pour l’envoyer valser contre son camarade en les faisant tournoyer ensemble. Ils n’allaient pas pouvoir profiter d’un moment de repos, car les noulithes de Finaen partirent immédiatement à leurs poursuites, les poignardant sans cesse jusqu’à ce qu’ils soient plus qu’un tas de chair tombant des cieux. Juste à côté, Runne venait de se faire percuté par une poutre quand l’élémentaire cherchait à se débarrassé de lui, coupant les liens avec le noyaux et son énergie jusqu’à voir des cieux, s’écrasant brusquement par terre avec le noyaux élémentaire vite dans ses bras, en roulant au sol, ayant gagné le noyaux élémentaire tandis que l’être fut finalement vaincu. Attrapant le jeune élémentaliste avant qu’il ne soit dévoré, Livio l’arracha de là, et usa d’une cartouche Aurore dans un grand claquement de sa pistolame pour le guérir, laissant un effet d’éther reluisant autours de notre allié, le laissant se redresser doucement, soupirant d’aise, et de joie d’être en vie pendant que les éclairs de Livio repoussait la créature. Aerlin à côté essayait de communiquer avec l’esprit tout en déviant les énergies, et alors qu’il le faisait doucement de prime abord, arrêtant la progression de l’esprit en ce lieu. Un choc provenant du champ de bataille explosa d’un coup contre son dos, le forçant à mettre un genou à terre douloureusement après s’être prit l’impact soudain et sûrement douloureux.

Repoussant l’énorme blob qui voulait dévoré Livio et Aerlin, la foudre frappait sans cesse la créature, jusqu’à ce que Livio ne tente de reculer après son premier coup. Sa jambe fut attrapée, et lentement enlacée, mais le tranchant de Greil parvint à l’en libéré d’un coup en blessant sauvagement leur adversaire. Frustrée d’être ainsi fendue, la créature fit de son mieux pour essayer de leur couler dessus, mais l’élémentaliste sauvé la retenait, permettant ainsi à Livio de créer avec le pouvoir du Duc de Cristal, faisant tournoyer sa lance, le grand reflet d’un bras de cristal jaillissant des glyphes pour attraper le blob. Et la main serra, serra, serra sans cesse jusqu’à une grande explosion provoqués par l’éclat de la créature dont les morceaux coulèrent un peu partout. Ce n’était pas une façons très propre de périr, d’un autre côté, ce n’était pas vraiment ce qu’on lui demandait ! Au milieu des pointes de pierres, Aerlin même blessé et sur les deux genoux, avait frapper son bâton au sol. Des roches jaillissaient sans cesse, comme si cela sortait involontairement du corps de Aerlin qui écartait la conscient lui d’ici. Celle ci était comme douce, paisible avec l’élémentaliste et presque familière. J’ignore ce que cela voulait dire, quand toutes les racines s’écartaient lentement. Mais tôt ou tard, je pense que nous apprendrons ce que cela veut dire, qu’être « Celui qui rôde dans les racines. » Et pourquoi Aerlin est-il concerné. Mais pour l’instant, la bataille n’était pas achevée. Et on devait encore sauver le jeune Padjal.
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Le nouveau grand pont fut libéré de toutes ses racines et ses liens, s’agitant un peu, prouvant sa résistante dans sa conception même si elle pouvait semble rudimentaire. On ne brise pas un pont gridanien même semblant être fait de cordes et de lianes, aussi facilement, c’est certains ! Il bougeait à droite à gauche et nous avions désormais l’accès vers le passage sud, où on pouvait voir quelques reflets blancs tournoyant dans les cieux provenant d’un sort intense. Visiblement, de la magie blanche était en activité, quelqu’un n’avait pas vraiment envie de se faire attraper et on ne pouvait qu’imaginer de qui il s’agissait. Les locaux mettaient en sécurité les blessés, débutaient les soins et s’assuraient que le calme se retrouvait de nouveau sur place, mais nous observions tout de même que quelque chose envoyait encore les grandes lueurs vertes droit vers le campement qui avait acquit bien plus de moyen de se défendre. Les explosions de lumières témoignaient des boucliers vifs et puissants orchestrés par les défenseurs quand ce n’était pas des flèches fusantes qui parvenaient désormais correctement à percés les amas d’énergies en les faisant exploser en l’air. Parfait, ils se débrouillaient à merveille, alors autant leur offrir un moyen d’arrêter ça en fonçant vers la menace au loin, après l’immense pont de corde et en ayant acquit quelques soins pour apaiser nos mots acquits pendant les combats. Fonçant en avant, à travers le grand pont en essayant de ne pas nous bousculer, la progresser de base fut rapide et relativement tranquille malgré les mouvements de tangages important, mais je dois dire que ça n’allait pas durer réellement longtemps. Des lueurs vertes s’accumulaient provenant de divers effets naturels plutôt agréable à voir autours de nous, donnant l’impression de progresser au dessus d’une infusion dont l’énergie s’extirpait paisiblement autours de nous en laissant une senteur de verdure fraîche à vous en faire tomber à la renverser pour faire une sieste dans l’herbe.

Et ce qui apparaissait comme quelque chose de béni et paisible, devint rapidement une menace sérieuse, quand brusquement tout se mit à s’agiter dans tout les sens. Des pierres formant plusieurs points de passages sur le pont furent fendu, écartant le passage par des amas de végétation, empêchant de progresser sans bondir de racines en racines pour retrouver l’autre accès afin de continuer notre route. Mais le plus difficile restait le fait que ça bougeait énormément. Les vibrations étaient terribles, prompt à nous balancer au sol subitement en nous forçant à progresser sur quelque chose en mouvement constant. Et pour avoir combattu sur un train Garlemaldais à toute vitesse, je peux vous le dire, c’est un exercice affreux ! Bien entendu, les troubles n’allaient pas en rester là. Ils allaient faire de leurs mieux pour nous coincé avant notre arrivée, et voilà que les ennuis furent ajoutés aux autres quand des adversaires vinrent être apportés par des grandes racines, accrochés à celles ci. Plusieurs des combattants de la Dame de la Graine jaillirent, mais ceux ci étaient différent. Une partie de leurs corps étaient mêlés au racine, comme si ils étaient entremêlés de toute cette végétation qui les accompagnaient. Cela me faisait pensé à la malédiction de la Sylve punissant les coupables comme Grim l’est, mais ceux là ne semblaient pas vraiment en peine au contraire. Un choix qui leur convient pour gagner la force afin d’essayer de nous casser la figure.

Plusieurs lueurs vertes violentes jaillirent, formant des bourrasques de vents terribles passant parfois comme quand nous étions sur les rondins dans la forêt nocturne, brisant parfois des marches du pont de cordes en nous fonçant dessus. Il fallait progresser malgré tout ce qui nous empêchait de passé. Car au loin, le Padjal semblait tout faire pour ne pas être atteint par ses adversaires. Partant en tête, Greil, Livio et moi profitions aisément des vents puissants créer par Aerlin, Runne et Finaen formant une magie fantastique tournoyant autours de nous. Une fois de plus, le pouvoir éolien partagé entre les trois magiciens avait quelque chose de véritablement puissant et efficace, formant des spirales sans cesse les unifiant et les renforçant de lus en plus. Ils allaient pouvoir nous guider aisément dans le tumulte et le chaos, repoussant les vents et les planches partant dans tout les sens, et nous permettant de progresser d’une étape à une autre. Le grand bouclier d’or de Livio tournoyant autours de tous allait être utile, même si je volais plus loin une fois prise dans une déflagration d’énergie verte en m’écrasant à côté de Finaen, la planche qui aurait fracassé la tête de Runne s’écrasa sur le bouclier en le laissant indemne. Le miqo’te en retour, refermait les failles, coupant le passage aux racines et aux adversaires qui se faisaient taillés en pièce par Greil et Livio dont la croix d’éther en happa plusieurs. Une lame parvint quand même à taillé le flanc de notre protecteur, laissant un peu de sang glissant de sa blessure, Greil était là pour le soutenir en bondissant dans son dos, tranchant celui qui voulait l’empalé avec sa lance, laissant les deux compagnons combattre dos à dos les derniers adversaires.

Les renforts n’arriveraient jamais, brûlés par les flammes noires de Finaen, il consuma les racines qui se retournèrent tous contre lui en reconnaissant ce feu noir influencé par la vieille bénédiction. Toutes voulurent le massacré, mais elles s’interrompirent, dès que Aerlin se mit devant. Il était Celui qui rôde dans les racines. Et par ce fait, elles obéiraient en retournant d’où elles venaient, laissant un Aerlin aussi surpris que nous l’étions tous. Cela aurait des réponses, tôt ou tard, mais après avoir offert quelques soins pendant que Finaen me relevait et guérissait mes blessures. Nous progressions pour bondir hors du pont avec mouvement aérien, jusqu’à arriver là où le combat de magie blanche essayait de surpasser notre nouvel allié. Tournoyant dans les environs comme avec une puissante spirale, les feuillages formaient des mouvements fantastiques s’entremêlant parfaitement aux pétales de fleurs brillantes qui valsaient avec elle. Il y avait une grande beauté dans de telles mouvements, formant une danse fabuleuse autours de nous dansantes en envoyant des reflets de lumières un peu partout. C’était une danse de la nature fabuleuse, dont les illuminations me donnait l’impression d’être au milieu d’une spirale fantastique où les feuillages étaient guidés par un vent irréel.

Cela aurait pu être bien plus formidable, si ça n’était pas là pour désigné une menace inquiétante qu’il nous fallait confronté. Car au milieu de tout ça, le Padjal était là. Ae-Lenil-Aramis se débattait au milieu d’énergie d’un blanc fabuleux, la formant d’elle même pour essayer de repousser tout ce qui tentait de l’atteindre et de le contenir afin de l’enlevé. Devant lui, se tenait comme une silhouette de feuillages tournoyant de plus en plus autours d’elle dont la forme féminine était des plus inquiétantes. Elle était intangible, on ne pouvait ni l’atteindre ni la combattre, mais elle usait de sa conscience ici pour parvenir à avoir cette confrontation avec l’envoyé de Gridania pour qu’il n’interfère pas avec ses projets. Et potentiellement, pour acquérir son cristal d’âme afin de voler son pouvoir. Nous devions absolument arrêter ça, ou les problèmes dont nous avions déjà eu la charge d’arrêter allaient s’avérer devenir de pire en pire si ils devenaient plus fort encore. Mais au moins, la courte conversation entre Ae-Lenil-Aramis et son assaillante avait de quoi nous donner quelques informations. « Tu as été bannie ! Ta graine n’a pas le droit de s’éveiller, elle est contraire à tout ce que.. » mais elle lui imposa le silence d’un cri, en un échos puissant. La graine de la Dame était la cause de sa punition, de son bannissement, mais cela n’incluait pas encore la mère d’Aerlin puisqu’elle n’a jamais été bannie de Gridania. Qui était-elle, et pourquoi la mère d’Aerlin avait-elle disparue ? C’était encore à savoir, mais pour l’instant, il nous fallait arrêter le processus du sol, en regardant tristement les Deux vipères de sont escortes étalés au sol, tués par les adversaires l’ayant arrêtés. Face à nous, vint s’installer un combattant de la Dame de la Graine.

Un Elezen Sylvestre portant une armure de bois avec des tissages blancs flottant ici et là, en faisant tournoyer rapidement les deux épées qu’il possédait. Son regard vif et inquiétant, démontrant de la force d’un adversaire inquiétant et entraîné. A ses côtés, un énorme insecte local jaillit pour se tenir juste à sa droite, laissant une sorte de scarabée immense à la pointe aiguisé dont les amas d’armures installés un peu partout témoignait que cette créature lui servait habituellement de monture de guerre. Elle devait être terrible pour des charges de cavaleries, celle là, mais même ainsi ça allait être un adversaire effrayant, autant que ce qui jaillit d’un côté par les marais. Conduit ici par les influences et comme guidés, je ne pense pas qu’ils en avaient totalement le contrôle, mais l’énorme Morbol restait tout de même un adversaire inquiétant dont le rugissement et le gaz apparaissant dans sa gueule, témoignait d’une chose : Il fallait esquivé son souffle absolument. Car personne d’entre vous ne veut expérimenté le souffle d’un morbol aussi massif et poisseux. Moi la première ! Le combat s’engagea alors brutalement, et c’était à nous d’aller affronter ce maudit Morbol. Finaen l’avait fuit, comme je le comprenais, et ce n’était pas de gaieté de cœur que Runne et moi allions nous charger de cette horrible créature puante à souhait. Elle nous aurait bien souffler dessus, mais Runne envoya le noyaux élémentaire volé, des roches partout autours, jusqu’à le dynamiser brutalement dans la gueule de notre adversaire.

L’instant du souffle, et le voilà avec une énorme pierre dans la bouche, coinçant se dernier dedans en le bloquant subitement, le faisant quelque peu paniquer quand ses tentacules se mirent à frapper dans tout les sens en se débattant brusquement. Atteindre son corps avec tout ce chaos n’allait pas être chose aisée, et tandis que Runne esquivait aisément, je tranchais de ma lame plusieurs tentacules, et les flots tournoyant autours de moi créer par Aerlin m’évita de me prendre un choc trop douloureux une fois que le morbol brisa la pierre dans sa gueule en donnant un coup fantastique dans le sol, me faisant valser plus loin douloureusement. Ce n’était pas fini, malgré tout ce qui le renforçait, il était temps d’en finir. Runne me demandait du temps, et je fis tout pour lui offrir en frappant sans arrêter notre cible, envoyant des coups encore et encore de mon sabre pour essayer de le surpasser. Au bout d’un moment, il céda, et Runne forma un énorme trou dans le sol. Un éclair avec mon prochain coup de sabre le fit choir en arrière, en plein dans le trou. Runne commença alors à totalement le refermer, me laissant trancher toutes tentacules arrivant jusqu’à ce qu’il soit enterré vivant. Une tentacule sortie du sol, attrapant Runne par la jambe, et l’agitant un peu pendant qu’il calcinait la créature dans le sol. Une épée de cristal lancée par Livio trancha la tentacule, et je rattrapa Runne en l’air en glissant au sol pendant que la créature agonisait sous terre. Bien fait, me dis-je, nous en avions fait de la cendre, malgré les odeurs. Le cavalier et sa monture luttaient côtes à côtes, par l’un contre l’autre, et si Finaen avait rapidement assaillit l’Elezen, Greil et Livio se chargeraient du scarabée géant pour laisser à Aerlin le temps de s’occuper de son ancien camarade lorsqu’ils n’étaient que deux jeunes élémentaliste de la Guilde. Fonçant avec son grappin pour l’atteindre, peu envieux de se faire charger par une telle corne, Livio fusa à toute vitesse jusqu’à arriver dessus. L’adversaire l’avait vu venir, et le choc de la corne frappa brutalement le flanc de Livio, lui laissant un terrible impact contre son flanc blessé, le laissant atteindre difficilement la carapace.

Il aurait chuté au sol, si Greil n’avait pas tranché brutalement plusieurs des pattes de la bête, apparaissant d’un coup dans une lueur étoilée, en formant des mouvements rapides et puissants jusqu’à fendre ses pattes en les envoyant valser plus loin. Se remettant en position de combat, Greil fit de son mieux pour se préparer à la suite alors que Livio enfonçait sa lance dans un amas d’éclair en plein dans sa carapace, la foudroyant encore et encore. Elle voulu s’envoler, partir à cause des reflets électriques passant encore et encore, mais Greil bondit à toute vitesse dans une lueur d’éther pour préparer ses deux lames afin de frapper en même temps. La technique puissante tranchant les ailes endommagées et laissa une sérieuse blessure à la bête en formant une petite onde de choc au moment de l’impact. Repoussée par un coup puissant, Greil fut balancée en l’air, et Livio la croisa en planta sa lance dans un souffle de feu fantastique, dévastant la créature de l’intérieur. Il n’en resta rien, ils furent très coordonnés, et Finaen acheva le cavalier au moment instant d’un grand coup d’épée. L’empêchant d’atteindre Aerlin qui luttait dans un flot aqueux allégeant la pression sur le jeune Padjal, et lui rendant brusquement son cristal d’âme, Finaen attaquait sans cesse son adversaire en revenant vers lui en des charges puissantes dans des lueurs des noulithes tournoyantes avec lui. Il l’oppressait, le foudroyait, le tranchait, mais quand l’aura verdoyante de son adversaire lui coupa le passage, il se retrouvait à lutté pour sa vite dans un espace confiné serré en frapper encore et encore de ses noulithes avec les lames rouges. Croisant les lames, avant de se faire tuer, il fut agacé par les provocations de son adversaire insultant ce « maudit crépusculaire » avant qu’une lame de roche ne le frappe dans le dos.

Déviant encore et encore ses coups, jusqu’à ouvrir sa garde. La lame noire fusa et transperça son adversaire plein torse en passant dans son dos. Il était fort, mais il n’était pas à la hauteur de Finaen, s’effondrant sur le côté en disant que la grain éveillera une nouvelle Sylve. A l’image de ceux qui la défendent. Serrant la garde de sa lame sortie du torse de son adversaire, Finaen observait Aerlin prit de rage. La silhouette de fleurs et de feuillages lui dit que sa mère était morte, qu’elle voulait le préservé de quelque chose que sa naissance aurait entraîné. Frappant encore et encore de son bâton, confus, prit de rage et de folie, il dispersa le sort et brisa les moyens à la silhouette d’une traîtresse de continuer à provoqué le mal autours d’elle. C’était fini. Elle avait été repoussée mais Aerlin frappait encore, jusqu’à ce que le jeune Padjal ne le prenne dans ses bras en lui disant que c’était fini. Notre mission était achevée et Ae-Lenil-Aramis allait pouvoir commencer sa recherche pour mettre la main sur les chefs de ce culte à la Dame de la Graine. En espérant que la mère d’Aerlin soit réellement en vie, quelque part. Et que nous la trouverons avant tout malheurs possible. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 11 sept. 2022, 02:08

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-sixième Entrée - « Acte 4 – Au milieu des fleurs et des feuillages.»
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« Après la bataille du Camp des Sentes Tranquilles, je peux vous dire que les Vigiles Sombres furent renforcés et des Deux vipères vinrent à notre rencontre. L’Officier Juslenoix restait à l’affût des nouvelles menaces et partageait avec moi les informations avec une sorte de monotonie d’un homme plus habitué à trier des documents qu’à se battre avec une épée pour survivre à une mort affreuse. Qu’à cela ne tienne, désormais, le Padjal était là pour essayer de retrouver la piste de la traîtresse et c’est ce qu’il fit avant tout. Les acolytes de la Dame de la Graine avait un chef, mais son nom avait été interdit à la prononciation comme si il s’agissait d’une malédiction de la Sylve. Quel situation inquiétante, je dois dire, mais cela dit on ne pouvait qu’essayer de l’arrêter dans ses infâmes projets : Remplacer les esprits perdu par de nouveaux bien plus belliqueux et agressif. Faire en sorte que la Sylve gagne la même force que jadis, et devienne certainement une force qui n’accepterait plus grand moins qui ne soit pas dominé par eux. Le plus inquiétant restait que les forces d’animations des esprits restait concordant avec la méthode de naissance du Tree Barar. De tels êtres ne devaient pas voir le jour et encore moins avoir le moindre choix ou poids de décision sur qui que ce soit, ça serait une catastrophe. Alors avec un peu de chance, nous aurions pu découvrir la graine et la mère d’Aerlin lors de cette mission.

Mais la réalité fut que ce serait certainement pour une autre fois, il nous fallait pour l’instant avancer et essayer de découvrir ce que la Bannie avait bien pu faire pour devenir la Dame de la Graine et avoir autant d’acolyte. Notre mission était donc « simple » : Remonter la piste d’Ae-Lenil-Aramis qui s’occupait encore des blessés et de reprendre des forces après ce qu’il avait subi, pour essayer d’arrêter ce flux de violence avant qu’il n’y ait d’autres victimes. C’était notre chance de ne pas avoir se répété de batailles dans des zones civiles, et nous allions la saisir en cherchant à la faire démentir, espérant que la mère d’Aerlin ne soit pas réellement morte lors de sa tentative de protéger son fils de la Graine. Réunissant notre équipe, celle ci fut composé comme souvent de nos compagnons actuels, sans que cela ne change beaucoup, en ayant une bonne capacité magique avec le trio des mages en présence de Lucian, mêlant ses pouvoirs destruction à ceux de Runne et Finaen pour déjoué les problématiques magiques qui pourraient avoir lieu le long de notre mission. A cela, s’y ajoutait notre force de combat avec Greil, prêtes toutes deux à trancher nos adversaires en ayant pour nous défendre, la présence d’un Alaric dont la pistolame serait là pour briser les défenses ennemis. Derrière ce protecteur, nous aurions de quoi nous débarrassé de toutes les menaces pour atteindre la Bannie dont le nom est tabou. Et pour cela, il suffisait de suivre ce que nous offrais Ae-Lenil-Aramis. Il était trop dangereux de faire venir le jeune Padjal avec nous, même si il reste une entité puissante, ça ne serait encore que pire si il finissait par être entre les griffes de nos ennemis. Nous partirions tout les six, mais c’est guidés par ses lumières qui nous guiderait vers notre cible. Régulièrement des oiseaux brillants faits de lumières blanches jaillissaient des cieux magnifiquement.

C’était fantastique à voir, mais l’incarnation de sa magie était de tels oiseaux, et ils nous guideraient à travers la forêt, pour trouver la tanière de celle qui fut bannie. Progressant en quittant la ville, avec beaucoup plus d’encouragement des locaux cette fois, les vigiles sombres nous demandant de venger leurs pairs en levant leurs lances. Il était temps d’accepter de faire payer nos ennemis, et nous voilà en route derrière les oiseaux chantant. La route fut alors des plus désagréable. Une trentaine de minute passé à progresser dans des recoins de forêts qui n’étaient plus censé être ouvert, ni utilisables. Les animaux étaient des plaies, entre les odeurs de fruits pourris et ceux que des singes nous lançaient dessus en riant bêtement, je dois dire que c’était encore plus gênant car il n’était pas facile de grimper dans les hauteurs d’arbres pour passer efficacement. Même si il ne pleuvait pas. C’était une route interdite et oubliée, compliquée à utiliser. Et quand la conscience de la Bannie, la Dame de la Graine était informée de notre venue. Les feuillages et les fleurs se mirent à tournoyer d’un coup dans tout les sens, ainsi que nos perceptions. A mesure que les vents déformaient les environs, les arbres se mirent comme à bouger à leurs tours, se déplaçant rapidement en formant des impressions que la forêt n’arrêtait pas de se déplacer. C’était à devenir fou, comme si nous étions encerclés par des arbres qui n’arrêtaient pas de tromper nos sens et de couper la route. Les oiseaux blancs disparurent, comme happés dans les feuillages, mais il était toujours possible de les retrouvés. Néanmoins les effets de magie formant des floues un peu partout n’arrêtait pas de tournoyer dans tout les sens et d’empêcher toutes observations claires.

Dans les faits, il nous fallait progresser sans être happés dans les arbres ou isolés les uns des autres, coincés par des obstacles apparaissant sans cesse, tout en combattant tout les effets d’illusions empêchant de retrouver notre chemin. Mais bien entendu. Vous vous doutez que ça ne s’arrêterait pas là. Brusquement comme sortant du sol, plusieurs adversaires jaillirent. Des silhouettes faites d’énergies aériennes formant des amas de feuillages portant des épées rayonnantes d’énergies blanches, fait comme uniquement de magie à l’intérieur. Des avatars, et ils étaient nombreux, feraient tout pour nous couper la route droit vers le domaine de la dame. Ils voulaient nous arrêter ? Soit. Hélas, ça n’était pas une option acceptable, et directement nous avons commencer à réagir. De suite, Runne fit de son mieux pour retrouver les oiseaux. La boussole qu’il avait montrait que nous étions déplacer régulièrement, mais au moins, on pouvait se diriger grâce à eux. Activant son œil, il les indiqua à Alaric qui parvint ainsi à envoyer des traceurs dessus, laissant Runne garder un œil dessus en progressant rapidement pour ne pas les perdre, malgré les difficultés du terrain toujours aussi désagréable à utiliser. Il fallait bondir au dessus des racines, briser les arbres – l’un fracassé par Alaric dégageant le chemin par la force pendant que sa tourelle vola plus loin en râlant. Gardant un œil sur Runne, ils fonçaient, et Greil avec Finaen étaient dans les airs : Pendant que Greil usait du Ka pour se déplacer facilement sur les branches, Finaen avait ses noulithes dans son dos, essayant d’éviter les obstacles naturels qui s’accumulaient, même si un déplacement aérien le coinça entre d’innombrables branchages un peu soudainement.

Celles ci furent toutes tranchés par des lueurs rouges, et on constata étrangement que Lucian envoyait des pointes de cristaux mauves ici et là. Ce n’est que là, que les fameuses créatures feuilles et d’énergies, furent vues. Certaines s’envolant sans peine, atteignant Greil et Finaen en l’air, en débutant un combat acharné contre eux. Lucian détruisit les premiers arrivés, mais un mouvement de la forêt l’encastra en partie dans un arbre avec un cri de douleur. Revenant vers lui, brisant l’écorce qui le contenait dedans, Alaric le libéra d’urgence en soutenant ce dernier pendant qu’il envoyait des pointes de cristaux, laissant Runne les guidés tout en détruisant tout les adversaires sur leurs passages. Je vins vers les branchages. Progressant brusquement en plusieurs éclairs pour atteindre le plus massif qui attrapait la jambe de Greil. Avant qu’il ne s’en serve comme un hochet de guerre, ma lame fendit l’horreur au moins six fois, avant de retomber au sol dans une roulade pour retourner auprès de Runne. Couverte par mon sabre, et par Finaen, Greil reprit sa route en fendant les dernières entités en mêmes temps que les noulithes aux lames rouges, jusqu’à arriver sur un chemin paisible. C’était un grand sentier calme, servant probablement de lieu de passage pour le culte vers leur « Sylve parfaite » comme nous allions l’entendre dire. Mais alors qu’on profiter du passage bien dégagé et paisible, voyant une lumière au loin vers où les oiseaux nous guidaient.

La terre dans nos dos s’éleva, et se mit à nous foncer dessus comme si il y avait un énorme ravage de pierre volant dans tout les sens. Si on ralentissait, pensais-je, on est mort. Alors nous voilà courir le plus vite possible, propulsés par les vents convoqués par Finaen et Runne formant de puissances bourrasques dans notre dos, en formant des énergies des plus vives accélérant notre pas. Les adorateurs de la Dame de la Graine jaillirent en rugissant, hurlant que ce lieu de paix ne serait pas souillé par notre présence, alors que les arbres se mirent à danser un peu partout. Certains s’avançaient pour nous couper la route, ou chutait pour nous écraser, et Alaric qui se retrouva étrangement avec Sully dans les bras quand Glados lui apporta, passa à travers un arbre en explosant celui ci d’un coup de pistolame, avant de combattre au milieu de la foule, laissant Sully à Glados, pour affronter efficacement les fanatiques. J’étais dos à dos à côté de lui, ma lame tranchant plusieurs de ses brigands acharnés dont les corps étaient couverts de bois, et les armes volés aux Vigiles sombres donnait un sinistre constat sur leurs crimes. Mais il fallait avancer, et nous voilà en pleine percée à la tête du groupe, tranchant ceux qui arrivaient vers nous, alors que leurs archers souhaitaient nous tailler en pièce. Mais jamais leurs flèches ne purent nous atteindre, quand Lucian jaillit des ombres en formant un grand coup de faux, les formes ténébreuses explosant dans le dos de nos adversaires en les broyant au sol.

Un arbre mesquin exerça sa vengeance, se laissant tomber sur le sorcier, avant d’être repoussé par Runne dans un puissant coup de vent. Ce dernier usait de sa rapière pour repousser nos adversaires, vint avec Lucian nous rejoindre, arrivant vers la lumière. Ça allait fonctionner, tous allaient passer, mais Greil fut écrasée au sol par un adversaire alors qu’elle formait brusquement des ondes de chocs stellaires pour les assommés au lieu de les tiens. Mais un hurla en la retenant au sol, qu’elle disparaîtrait et lui retournerait à la terre pour devenir un nouvel esprit. Se prenant un pilier de roche de Finaen, ce dernier en volant attrapa le bras de Greil et fusa dans les airs avec, la laissant courir à côté de lui tout en repoussant les obstacles de ses piliers de pierres. Ils fonçaient le plus vite possible, tranchant et repoussant tout sur leur chemin, et furent emportés par la vague de roches qui finissait de choir en les propulsant en avant, roulant par terre douloureusement. C’était un choc désagréable, mais ils étaient vivant, et nous nous préparions à découvrir ce lieu illuminé, où les adeptes pensaient y trouver cette « Sylve parfaite » que leur offrait cruellement la Dame de la Graine. 
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La grand clairière ressemblait à une sorte de petit îlot de lumière paisible où quelque soit le temps qu’il pouvait faire, des rayons de lumières tombaient sans cesse en ce lieu. Cela me fit un instant pensé ironiquement à la dernière demeure de Shigma, où de tels effets tombaient de façons bien plus inquiétante et malveillante dans les environs. Là, ce n’était pas aussi affreux, c’était simplement un effet paisible et tranquille de lumière s’installant sur ce domaine en l’illuminant doucement de sa présence. On profitait des senteurs, de l’impression d’un été paisible où les fleurs nimbaient les environs d’une aura de bienfaisance à vous en faire pâlir n’importe quel amoureux de la nature qui aurait entretenu son jardin pour en faire un petit domaine de bien-être le plus agréable qui soit. Ici, nous n’étions pas simplement en sécurité, nous étions dans un lieu fait pour accueillir la vie et ceux qui pourraient en profiter. Cela aurait été si plaisant, si c’était notre cas. Mais vous vous en doutez, nous n’étions pas vraiment là pour être bienvenue dans une Idylle des fleurs et des feuillages tournoyant doucement autours de nous, tombant dans cesse des environs, jusqu’à ce qu’une voix nous souhaite la bienvenue. C’était un homme l’air souriant, accompagne de deux disciple tous portant des toges de prêtre de la Dame de la Graine tels des élémentalistes zélés. J’étais surprise d’à quel point les deux acolytes à ses côtés avaient l’air jeune. En tout cas, ils n’étaient certainement pas des menaces, et pourtant ils allaient bientôt devenir gênant à mon grand regret, quand ils finiraient par perdre leurs chairs. Mais je m’avance, pour l’heure, il prit un temps de prière chantant que la Sylve résonnant avec le cœur de ses vrais habitants offrira un foyer au monde qui sera parfait sauf pour ceux qui le craignent.

C’était une façons de voir une vie dénués de menaces que l’Apocalypse et les Fléaux avaient quelque peu fait subir au monde. Las, épuisés, ils étaient nombreux les personnes vaincues par la fatigue morale entraînés par de tels atrocités. Pour autant, rares étaient à se point devenu fou pour croire qu’une traîtresse avait finalement raison et que l’extermination de tout les gêneurs pour finir dans un monde de paix et de nature serait la solution. Au milieu de cette clairière, s’animait un sortilège fait d’amas de racines et de ronces tournoyantes autours de ce qui semblait être une pierre provenant des ruines Amdapori. L’énergie à l’intérieur en était ôtée, transformée, et fournie aux entités environnantes pour essayer de faire grandir leurs pouvoirs en usant de la puissance brute des anciennes magies blanches pour en faire une force naturelle. Il y avait quelque chose de forcé dans cette pratique, de particulièrement soutenu, mais cette pierre pouvait nous servir ou au moins, être détruite pour les empêchés de gagner en force. Certes, cette clairière ne serait jamais plus un endroit aussi féerique. Mais je dois admettre préféré plus de morosité si cela pouvait évité à un domaine fantastique de ne pas être aussi tout à fait mortel. Réalisant que nous étions une menace, ce qui était au moins un signe de clairvoyante chez ce prêtre, ce dernier posa ses mains sur les deux jeunes et leurs corps se mirent à se transformer.

Du bois, de la végétation, l’ensemble poussant en faisant une créature faites de bois dont les « têtes » des corps des plus jeunes finissaient sur les épaules du premier, donnant une créature sans visage si ce n’est un point de lumière, dont le rugissement appelait les siens à réagir. Quatre combattants de la Dame, des vétérans survivants de la bataille, jaillirent en dressant leurs lames de bois en nous fonçant dessus à toute vitesse dans un cri de guerre, tandis que roulant brusquement une sorte d’énorme bousier tournoyant jaillit d’un coup. Il roulait en une sphère passant sans cesse pour nous écraser, mais l’énorme insecte était plus que renforcé par le bois et autres protections chitineuses le rendant bien difficile à atteindre. Et si ce n’était pas suffisant, d’un coup arriva brusquement proche de la pierre, le reste des deux défenseurs qui jadis la soutenait. Les deux golems de pierres n’arrêtaient pas d’onduler à droite et à gauche, comme si ils étaient saccadés et qu’ils n’arrivaient pas vraiment à se mettre en place. Ils n’étaient plus vraiment des gardiens de ruines, mais les lianes et les herbes sortant de leurs corps témoignaient de la présence bien décidés à s’en servir, et à ponctionner ce flux d’énergie. Pour qu’il lui appartienne, à elle. Désormais, nous devions nous battre pour lui volé la source de son pouvoir, et pour faire disparaître je l’espère cette perfidie de cette clairière. Tant pis pour la beauté et le charme de ce domaine.

Mieux valait-il le savoir libre que maudit par la mort. Fonçant vers la sphère, Finaen allait avoir besoin de notre couverture pour pouvoir efficacement s’en sortir avec cette source d’énergie blanche, et nous foncions avec Runne et Lucian tout les trois vers les obstacles les plus proches, pendant que Greil chargeait les membres de la Dame de la Graine. Laissant Alaric se charger de l’énorme bousier qui se préparait à foncer de nouveau vers nous. Les combattants de la Dame ne s’attendirent pas malgré une sacrée coordination à ne pas réussir à prendre le dessus sur Greil, pas une seule fois. Les lames s’entrechoquaient sans cesse, mais elle était plus vive, plus rapide et réagissait aux moindres coups jusqu’à ce qu’un bond ne s’achève brusquement pour planter sa lame dans le crâne d’un des leurs, l’onde de choc repoussant et sonnant tout ses adversaires dans une lueur stellaire. Choqués et surpris par cet impact, l’un d’eux retira son armure pour agir plus vite, attrapant une immense épée de bois, et chargea à couvert des sorts innombrables de ses deux alliés provoquant des explosions sans cesse vers sa cible. C’était efficace, et quand la lame de Greil fut repoussée puis la guerrière, les explosions qu’elle subie dessus sans cesse l’envoya s’écraser lourdement sur le dos. Sonnée par le choc, et en sang, la pointe de l’épée venant l’achever faillit la transpercer mais elle se redressa juste avant. Coupant le plus massif en deux, le gyoten qui la propulsa plus loin, parvint à la faire tournoyer en tranchant ses deux prochains adversaires, chutant lourdement au sol. Vaincu en même temps qu’elle chuta sur ses deux genoux. Au départ, Lucian aussi eu quelques difficultés avec les golems gardiens. Détournant l’attention des activités de Finaen, lequel était en train de brûlé les racines avec un feu noir pour bloquer l’accès aux énergies à toute cette force naturelle pour pouvoir commencer à arrêter cette source de magie blanche. Celle ci prit un air entropique relativement violent, et le consumait légèrement en formant des lueurs autours de lui.

Si il n’arrivait pas à arrêter l’onde de choc qui risquait d’en jaillir, je crains qu’on ne finisse tous en poussière. Et les golems eux, n’eurent pas de difficulté à frapper de leurs deux poings un Lucian bloqué comme si il était coincé dans un moment de confusion le rendant étrangement gris. Se réveillant, les poings l’envoyèrent au sol en brisant sa magie, avant qu’il ne se redresse douloureusement, du sang glissant de ses lèvres, formant un grand cercle de glyphes rouges. Un serpent jaillir, fait de magie d’un noir profond, s’enroulant autours d’un golem en le serrant jusqu’à le faire éclaté en milles morceaux pendant que sa morsure ponctionnait l’éther de l’autre. Quand le Golem marchant difficilement, envoya un coup vers Lucian. Il avait déjà perdu toute la magie à l’intérieur de ce dernier. Et il s’écroula lourdement sur le côté, vide. A côté, Nous nous occupions de l’horreur de prêtre ayant consumé ses jeunes disciples cruellement pour devenir massif et effrayant.

La rapière enflammée avait endommagé sérieusement le bois de l’horreur, et je luttais avec elle en des multitudes de frappes tranchantes dont les éclairs d’argents n’eurent de cesse de le coincer. Runne était certains : c’était fini pour les jeunes, on ne pouvait pas les sauver, ils n’existaient déjà plus, et l’horreur en était bien renforcée si bien que le coup de pied envoyant valser Runne en l’air l’écrasa terriblement dans les branchages. J’aurais voulu l’aider, mais la vague d’explosion verte me fit valser à mon tour plus loin, roulant plusieurs fois en sol, avec l’impression d’avoir été écrasée. Se sortant des branchages, Runne n’eut même pas le temps de s’extirper de là, qu’un poing l’envoya s’écraser encore plus fort dans tout ça, retombant à peine conscient en étant en bien mauvaise état. Le prochain coup se voulait fatal, mais je parvins à trancher le bras assassin d’un bon coup de lame, avant de frapper trois fois notre adversaire en lui laissant des terribles fissures partout sur le torse. Il ne resta alors qu’à Runne de lui planter sa rapière dans le torse, s’enflammant brusquement, en le brûlant entièrement jusqu’à devenir un tas de bois noircit en finissant ses hurlements comme des sifflements dévasté de ce qui était en train de le détruire. Au vue de ses actions, c’était tant pis pour lui, mais Alaric se retrouvait bien plus blessé que nous lors de son combat. Arrêtant le bousier géant dans ses manœuvres, il se mit devant pour évité qu’il nous charge, ce dernier lui fonçant dessous en roulant sans cesse, le bloquant avec sa pistolame en envoyant des étincelles dans tout les sens.

Forçant dans l’impact, une fissure sur son épée, Alaric fut écrasée contre un arbre brutalement, en piteuse état, avant de se relevé difficilement malgré le sang qui coulait un peu partout de ses blessures. Le bousier poursuivait les deux tourelles, et allait détruire Sully qui hurlait, si les lames bleutes projetées par Alaric ne l’avait pas frapper. Chargeant encore une fois, Alaric allait baisser les bras, une jambe ne réagissant pas. Mais c’est comme si une silhouette bleu était apparut proche de lui, posant une main sur son épaule. Se redressant en serrant les dents, il envoya un grand coup de pistolame avec un cri puissant. Il voulait vivre, il voulait défendre ses compagnons, et dans une grande explosion quand la lame et la créature s’entrechoquèrent. Alaric valsa loin en arrière en même temps que la créature s’effondra au sol, la pistolame plantée en plein cœur ressortant de son dos. Il était sérieusement blessé, et avait besoin de soin, c’est ce qui allait être offert à tous. La sphère de magie blanche finie par tomber en poussière quand Finaen dévia la magie et l’orienta pour en faire un puissant effet curatif. Pendant quelques instants, le monde environnant fut d’un blanc magnifique, les perles de lumières jaillirent partout pour nous guérir. C’était bien beau, mais alors que nous en profitions des effets, le monde autours de nous changeait, et le passage menant au domaine de la Dame de la graine allait s’ouvrir, entre les feuilles et les fleurs volantes.
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Comme il fallait s’en douter, les feuillages et les fleurs cessèrent de tourbillonner et finirent par chuter dans tout les sens, certaines même se noircissant et devenant de plus en plus écœurant. Triste était ce constat, mais la chute de cette effet de magie entraînait non pas la mort de la clairière mais la chute de la vitalité fantastique qui lui permettait d’être un lieu aussi beau. Le ciel redevenait lui même, les senteurs et la sensation de plaisance aussi – Quoi que souffrir en se battant avec acharnement contre de terrible adversaire n’était pas vraiment la meilleure façons de se sentir en joie, vous y conviendrez. Ce n’était cependant pas encore fini, et alors que nous contemplions la dégradation du domaine se faisant à toute vitesse comme si tristement d’un coup, tout avait décidé de se ternir, nos petites guides revinrent à nous. Boire quelques élixirs, offrir quelques soins, c’est un conseil de vétéran pour qui lit mes notes : Si vous avez un instant pour vous l’octroyer, permettez vous de soigner vos plaies et d’évité de vous retrouver encore en sang face à des adversaires mortels. C’est mieux pour votre sécurité ! Les oiseaux d’éthers blancs provenant d’Ae-Lenil-Aramis tournoyèrent alors dans les airs, pour essayer de nous donner une nouvelle indication, comme si ils s’enfonçaient dans une gueule béante des plus inquiétantes. Là où ils allaient, la Sylve avait laisser un domaine fort peu rassurant comme pour punir celle qui s’y était installé, ainsi que ses actes. Le bois tournoyait comme si il s’agissait de crocs et autres amas, formations de bois tournoyantes, nous donnant presque l’impression de rentrer dans un immense tronc d’arbre. Ça n’était vraiment pas la chose la plus rassurante, contrairement à la clairière, mais ce domaine restait caché de tout jusqu’à ce que le moyen de nous couper le passage fut soudainement ouvert par la fin de la bénédiction de la clairière. D’un domaine chatoyant, nous voilà en un lieu effrayant fait pour que rien n’y personne ne puisse atteindre la Dame de la Graine, en tant que Bannie.

Hors, nous nous y tentions, et elle n’avait même pas besoin d’essayer de nous arrêter cette fois : les gardiens de sa punitions s’en chargeaient en pensant certainement que nous étions là pour essayer de la sortir de là. Un souffle froid puissant passa, et brusquement, des effets de présences jaillirent sans cesse ainsi que des mots, ne cessant de dire « Elle résidera ici… » en émettant des grondements inquiétants qui, même moi, ne me laissait pas des plus rassurée quant aux créatures qui pouvaient se trouver autours de nous. Il fallait faire attention à ne pas être embarqué par les reflets d’énergies des voix essayant de nous faire tourner la tête et de nous éparpillés dans les brumes de noirceur un peu partout. Mais le sol n’était pas tout à fait sûr non plus, comme si un amas de goudron se trouvait sous nos pieds, se déplaçant rapidement et sans cesser en essayant de nous balancer un peu partout dans tout les sens. Ce n’était vraiment pas agréable, et les déplacement étaient difficile, mais il fallait ajouter à ça que les créatures gardiennes étaient affreuses. Les anciens adhérant aux idées de la Bannie étaient devenu ses gardiens, mais pour qu’elle ne s’échappe jamais. Des masques Sombrelinçois installé sur des amas de cette gélatine noire avec du bois un peu partout dessus, formant comme des reflets de spectres punis à jamais et essayant de se pardonner ainsi. Ils ne concevaient pas qu’ils laissaient passer l’influence de la Bannie jusqu’à l’extérieur.

Alors il nous faudrait nous en débarrasser pour avancer. Ainsi, immédiatement, je tentais de bondir pour fendre quelques de ses gardiens liquides, mais une force m’écrasa brutalement au sol et se mit en tête de me broyer. Par les Kami, ce fut douloureux et frustrant de se sentir coincé, surtout qu’une de ses choses me fonçait dessus avant de se prendre la pistolame d’Alaric dessus en la traversant brutalement dans un coup rapide. Se redressant en me relevant, venant m’installer sur la pierre, Runne forma un grand pont de roche pour ne pas marcher dans la brume comme de la gelée, créant un grand mur de roche pour y bloquer pas mal des lueurs bleus nous hurlant de quitter ses lieux et que nous n’avions rien à faire là. Progressant rapidement sur ce pont de roche, Alaric et moi formions la première ligne alors qu’il protégeait ses tourelles tremblantes, la pistolame fendant plusieurs adversaires que j’achevais souvent à coup de lame, laissant nos compagnons derrière nous rejoindre. Une énorme de ses horreurs jaillit, proche de celles désintégrée par la frappe de noirceur provenant de Lucian, qui souffrait de quelques difficultés avec des chaînes étranges apparaissant ici et là. Avant que la chose qui venait d’écraser Runne contre son propre mur, ne massacre Finaen qui foudroyait la brume gélatineuse pour se libéré, la lame de Greil fendit l’air et trancha l’énorme créature brusquement pour s’en débarrassé afin de le laisser choir en plusieurs morceaux de gelée au sol soudainement. Pendant que Finaen libre fonçait vers le plateau de pierre, ses noulithes nous couvrant avec Alaric en tranchant les créatures grâce aux lames rouges infusant leurs pointes, les chaînes autours de Lucian purent être brisées par Greil, mais l’explosion étrange jaillit en faisant volé Lucian et elle au sol, sonnés par l’impact.

Soutenu par Finaen, les soignant et aidant Lucian à se redresser, ils purent venir nous rejoindre, et nous aider à nous échapper de cet endroit maudit, où j’avais trop peu envie de rester, afin d’enfin découvrir la tanière de notre cible. Le domaine de la Bannie était une vieille installation Gridanienne abandonnée depuis un temps. Ce devait être chez elle, ainsi que là où elle pratiquait sa magie et tout ce qu’elle voulait offrir à la Sylve sans concevoir qu’elle en brisait tout les tabous. Des amas de bois brisés se trouvaient un peu partout, d’innombrables gravures dessus de tentatives de créer des forces magiques qui n’avaient que détérioré les environs. Vu ainsi, tout ressemblant clairement à l’œuvre d’un fou, et de l’ensemble avait été saccagé pour ne laisser aucun lieu de vie correct si ce n’est du bois brisés et des amas de fournitures fracassées. Au milieu de tout ça, elle était là. Sous des restes de structures, installées sur un trône fait d’innombrables feuillages et autres fleurs si compact qu’ils tenaient, tandis que d’innombrables autours fleurs ondulaient dans les environs. Ce domaine aurait du être isolé, des amas d’énergies sombres ondulant en une sphère comme un sorte de dôme fait par la punition de la sylve. Mais dans les cieux, on pouvait voir la grande fracture de lumière blanche émettant quelques impulsions. Quelque chose avait brisé cet endroit, et cela avait révélé alors la Bannie qui avait pu commencer immédiatement son petit jeu de corruption des esprits de nombreux fidèles pour en faire des adhérant à sa cause dépravée.

Mais cette fissure d’énergie qui ressemblait à un coup mit sur une cloche de erre en ayant laissé cette grande cassure. En tout cas, la force qui avait provoqué ça savait ce qu’elle faisait, et depuis la Bannie avait beaucoup fait pour devenir cette Dame de la Graine. Elle qui veille sur la fameuse graine, qui n’était je le crains pas là. Ni la mère d’Aerlin, ni la Grain,e ne se trouvait en ce lieu. Qu’en était-il donc ? Où étaient-ils passés ? Celle ci était alors visible, une très vieille hyuroise comme rattrapée par le temps, installée contre l’amas de feuillage en montrant presque les dents dans un habit particulièrement blanc avec des décorations rouges. Celle ci tendit un doigt tremblant vers nous, comme accusateur, et déclara que Celui qui rôde dans les racines n’aura jamais accès à sa destinée. Son cristal d’âme n’est plus là, et jamais il ne pourra le trouver. L’ayant offert à un être qui chassera les perfides idées bienveillantes de Marielline. Tout ça était un peu contradictoire, mais elle accusait la mère d’Aerlin d’avoir eu cet enfant dans un but de paix et d’harmonie, ce qui n’était pas vraiment le désirs de la Bannie, ni de cette graine qu’elle espérait faire pousser avec son cristal envoyé jusqu’à elle. Si nous ne pouvions pas encore en finir avec cette histoire, au moins la Dame pouvait être vaincue. Mais elle ria aux éclats en nous voyant sur nos gardes, alors que la magie formant des reflets blancs partout autours d’elle, s’accumulait dangereusement pour la protéger. S’emballant brusquement comme sa magie à tendance à le produire, les feuillages et les fleurs se mirent à tournoyer dans tout les sens dans des passages puissants et inquiétants, recouvrant à toute vitesse les environs, prouvant qu’on aillait devoir prendre quelque peu au sérieux cet affrontement.

Surtout quand une puissance création fait de bois brisé, d’énergies blanches et de feuillages forma comme un massif chevalier à l’épée fantastique, qui se dressa contre nous. Sortant brusquement du sol, quatre bras d’une créature en partie insectoïde et en partie végétale, sortie alors de là en rugissant, s’agitant de droite à gauche comme si elle était folle, laissant la Bannie rire et dire d’observer comme la Graine ne la laissera pas mourir. Ça, c’est ce qu’elle croyait, et il était alors grand temps de lui donner tort et de l’arrêter pour toutes les vies qu’elle à si cruellement prise. D’un coup, Runne fonça droit vers l’artefact avant qu’il ne soit plus utilisable. Concevant ce que ce dernier pouvait être, le responsable de la fissure, il la retourna dans tout les sens en utilisant son œil jusqu’à voir qu’une sorte de lueur sinistre en sortait et risquait de finir tôt ou tard par lui faire du mal. Il allait continuer l’identification en concevant qu’il pouvait peut-être remonter le fil de cette énergie faisant pensé grandement au premier Tree Barar pour savoir d’où ça pouvait provenir. Cela ne l’empêcha de se retourner pour créer un mur de glace afin de protéger Alaric non loin de là. Se concentrant de nouveau sur ce qu’il avait en main, une sphère de pierre naquit en ayant plusieurs couches d’éther le protégeant des effets extérieurs pour ne pas que l’artefact ne fasse de mal à qui que ce soit de nouveau.

Le conservant en sécurité, l’observant, il fut comme plongé un peu brusquement dans des visions où il parcourut les racines. J’ignore parfaitement ce qu’il à pu voir, mais alors que l’artefact se cassait sous l’effet de sa présence et de sa magie. Il avait le nom d’un lieu à nous donner : Le moulin de la carrière, prédisant alors vers où seront nos prochaines missions. Il fallait déjà cela dit survivre à nos adversaires, et Greil envoya un Enpi fendant en deux la roche qui m’arrivait dessus à toute vitesse afin de me laisser le passage ouvert. Tranchant la roche, je bondis sur ses morceaux et rebondit au dessus de l’horreur aux quatre bras, frappant plusieurs fois de mon sabre en le foudroyant après mes coups. Les éclairs le tinrent en respect, et quand Alaric fusa pour le frapper, il était pratiquement immobilisé sous les chocs électriques en parvenant à l’endommager de grand coups de pistolame s’écrasant plusieurs fois dessus. Les quatre poings allaient fondre sur notre camarade encore en piteuse état, mais le mur de glace congela ses bras et le coinça d’un coup. C’était le moment pour en finir alors que le mur de glace explosait. Le sort qui aurait du me frapper fut détruit par Greil pendant son combat contre la Bannie, et cela me permit de trancher sans cesse le dos de mon adversaire, tournoyante en l’air en retombant à côté d’Alaric. Frappant en sol dans un éclair puissant, redressant l’énorme carcasse de cette horreur quand il frappa à mon côté en le tenant en hauteur bien droit. Voyant Glados foncer vers lui, je lui ouvrais le passage en tranchant plusieurs fois en formant un gros trou vers l’intérieur, et elle se glissa dans ses entrailles sous le cri de peur de Sully. L’explosion fantastique jaillit de son torse envoyant des morceaux un peu partout en faisant tombé Sully à la renverser, Glados sortant de là avec un petit chant de la victoire alors qu’il ne restait que des tas de morceaux d’insectes et de végétation s’écrasant par terre. Victoire contre l’horreur ! Et Lucian allait se venger de son adversaire avec une force grandiose.

Créant des glyphes un peu partout vers le protecteur de la Bannie, il forma des flammes puissantes déferlantes contre l’entité en dévastant une bonne partie de son incarnation, la laissant en flamme. Mais l’énorme forme de chevalier aux cornes d’élan jaillit, levant sa lame et la frappant brutalement au sol dont l’onde de choc jaillit droit vers Lucian. Ça aurait été bien plus douloureux si le bouclier de Finaen n’avait pas eu le temps d’apparaître, rayonnant juste devant, et se brisant subitement sous l’impact en envoyant Lucian en arrière s’écraser un genou sur le choc. Se redressant lentement en serrant les dents. Il n’attendit pas que la silhouette de chevalier ne lui fonce dessus pour l’acheter, et forma trois sphères. A chaque naissances d’une sphère élémentaire, cela paraît un coup de lame fonçant vers Lucian, jusqu’à se rassembler en une lueur obscure avant de créer brutalement un envoie de la sphère en plein contre la silhouette. Ce dernier fut écrasé par cette force fantastique, repoussé en arrière et littéralement désintégré quand toute son incarnation fut brisé par le sort allant même fissuré le dôme qui isolait la bannie dans un grand bruit de dévastation.

C’était tout de même quelque chose, cet impact ! Et il nous avait débarrassé du Gardien, laissant ainsi Greil et Finaen en finir. Volant dans les airs, Finaen essayait de faire de son mieux pour repousser le bouclier protecteur autours de la Bannie, formant des effets de vents puissants s’éloignant d’un coup un peu brusquement pour essayer de repousser ce qui risquait de la laisser inaccessible. En voulant protéger Lucian, il ne vit pas venir un choc de lumière provenant d’un sort puissant en l’envoyant au sol, serrant un peu les dents dues à la douleur, tandis que la Bannie elle reçue brutalement la vague de pouvoir rouge et argenté provoqué par Greil usant de sa brume et des éclairs d’argents. Blessée, elle aurait sûrement été tuée si elle ne s’était pas tant protégée et soignée en recevant le coup. Formant des sorts encore et encore, des roches s’élevant en l’air en explosant un peu partout. Finaen fit tout pour arrêter le sort fantastique émettant une radiation de lumière intense. Il aurait fait pas mal de dégât, si il était parvenu à ses fins, laissant un combat entre Finaen et elle formait des effets tremblant dans toutes les directions quand elle voulait déchaîner son sort sans y parvenir, des glyphes rouges apparaissant un peu partout, la laissant couiner sous l’effort. Traversant le passage, esquivant les explosions, toute la magie écrasante, Greil bondit au milieu de tout ce chaos et fendit l’air de sa lame, planta son sabre jusqu’au torse de la vieille femme. S’accrochant à l’épée, elle dit que Aerlin nous causera du torts tôt ou tard car les racines qui aurait du faire de lui un héros, furent maudites. Une grande lumière jaillit, envahissant notre vision en irradiant de plus en plus.

Quand celle ci finie, le corps de la Bannie était au sol. Autours de nous, les feuilles et les fleurs dansaient doucement et le chant des oiseaux de lumière sifflait paisiblement comme une forêt des plus simple. Nous étions de nouveau simplement en forêt, la punition de la Sylve s’était levée par la mort. La bannie était libre. Libre de se reposer à jamais. Il nous fallait encore retrouver la mère d’Aerlin, et comprendre qu’est-ce qui avait bien pu maudire les fameuses racines. Et cela, depuis le Moulin de la Carrière. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 14 sept. 2022, 02:09

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-septième Entrée - « Acte 5 – Ceux qui profitent des mauvais pouvoirs.»
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« Je dois dire que la ville du Moulin de la Carrière à une ambiance bien différente de se retrouver au dessus des marais au nord du Bas-chemin. Je n’ai rien contre l’ambiance des marais, mais cela évite les innombrables insectes, les odeurs, l’eau qui vous mouille et les risques de se faire sauter dessus par des Morbols. Maintenant que la Dame de la graine à été vaincue, on aurait pu s’attendre à ce que ses suppôts décident d’arrêter les frais. Mais dans ce genre de culte, il y à ceux qui y adhérer, et ceux qui en profitent. Et bien entendu ceux dont les promesses de puissances les avaient rendu relativement fou avaient d’autres objectifs que d’éveillé une graine étrange dont ils ne connaissent finalement rien. Celle ci reste une priorité, Grim et la lalafell qui le surveille promirent d’essayer d’en trouver la trace avant qu’elle n’éclose et que la marque de Sepheris ne transforme ce doux rêve d’une Sylve belliqueuse et meurtrière, en une réalité d’une douce Sylve meurtrière et maladive qui aurait emporté même ceux voulant s’y reposer paisiblement. Il faut dire que ce sont des sacrés projets, mais pas besoin d’attendre qu’ils risquent d’être plus grave pour s’en occuper avant que cela ne soit une véritable menace, mais à cet instant, nous ne savons pas encore quel impact aura la présence de cette graine. Et si nous arriverons à retrouver Marielline, la mère d’Aerlin, en vie. Avant de poursuivre ses traces, c’est l’Officier Juslenoix qu avait été désigné par l’Ordre des Deux vipères pour garder un regard sur nos missions tout en nous assistant au mieux, qui nous fit la demande de se charger des éléments de la Dame de la Graine qui avaient tiré de l’adoration des disciples un moyen de se renforcer et de provoquer des désordres bien plus dangereux alors comme les brigands apprécient particulièrement le faire dans la région.

Plusieurs avaient un lien avec les Ventrerouge, c’est certains, mais ce qui allait bien mal se passer pour eux c’est qu’ils ne pensaient sûrement pas que les instruments gardés pour eux allaient se retourner contre eux. Non pas qu’ils fussent tous massacrés, mais c’est pire. Ils avaient été changés, transformés par les influences et les énergies de pareils outils jusqu’à en faire des adversaires bien plus dangereux. Et des ennemis en soif de pillages et de gains. Ainsi, notre équipe fut rassemblée au Mouline de la Carrière peu de temps après le pillage d’un groupe de Vigiles sombres occupés à escortés un Druide qui était là pour entendre ce que les esprits avaient à dire au sujet de la graine. Ce dernier à survécu, mais dans son état, il ne pu que divaguer au sujet des cris, des rires et des apparitions sinistres, ayant voulu répondre à un appel au secours, jusqu’à ce que ce dernier ne mène son équipe dans une embuscade. Cela ressemblait beaucoup trop à mes yeux à ce que pouvait s’amuser à faire le Tree Barar, le premier que nous avons connu, et bien différent de ses entités que nous avons affrontés jusque là. Toutes, mêmes folles, agissaient comme si elles le faisaient pour le bien. La mort de la Dame y avait-il changer quoi que ce soit ? Réuni proche de l’éthérite de la ville, Juslenoix vint nous parler rapidement de la mission en inclinant la tête, avant de nous laisser partir. Ce fut rapide : Une position, une menace, et une demande, puis nous voilà en route pour essayer d’avoir la tête d’un certains « Kran le Brusque », un ancien aventurier Xaela à la tête de ce groupe de pilleurs.

Notre équipe fut constituée de pas mal de capacité magie comme souvent, avec Runne, Finaen, dont les magies une fois de plus se mêleraient à ravir avec les capacités d’Aerlin bien décidé à savoir ce que sa mère avait pu devenir dans tout ça. Si une fois de plus, Greil et mois avions à charger de nous occuper de tailler les menaces en tranche, c’est pour garder à Alaric le soin de protéger notre équipe, nous mettant ainsi tous en route pour savoir ce qu’il s’était passé. Quittant les lieux, il était temps de partir en forêt, et l’ambiance du voyage fut des plus agréable. La lumière tombait doucement autours de nous, traversant les feuillages comme de l’or passant à travers les cieux et bénissant les environs. Quelques ruisseau qu’il fallait voir en bondissant au dessus, même un camp de gobelin très gêné et un peu paniqué alors qu’ils jouaient avec une bombe avant de nous faire des grands salut de la main. C’était une belle journée, et peut-être aurait-elle pu continuer de la sorte, et si nous n’étions pas en pleine mission dangereuse vers des adversaires sanguinaires. Et quand on pense à un voyage en forêt, on ne s’attend pas toujours à ce que les problèmes ne nous arrivent dessus, mais les voleurs de Kran n’étaient pas vraiment décidé à laisser quiconque les approchés désormais. Et avec leurs butins, avaient laisser quelques des créations contrôlés par ce qu’ils avaient volés s’en prendre à nous. C’était au début des mouvements rapides, puis des lueurs du vent un peu plus forte, et d’un coup depuis les cieux plusieurs amas de filets jaillirent pour essayer de nous enlacés.

Cela avait fait longtemps qu’on n’avait pas tenter de me pêcher à la ligne, et nous devions nous échapper avant d’être solidement coincés et laisser à la merci de nos adversaires. Il fallait faire attention, car plusieurs passages étaient bloqués par des amas de roches soulevés, qui parfois se soulevaient brusquement sous nos pieds quand un élémentaliste caché devait agir, et les deux mages furent visibles d’un coup, un Hyur et une Elezen, essayant de nous coincés pour se faire avoir par leurs alliés : Des petites boules blanches formant des minuscules golems se mettant en boule, fusant dans tout les sens, bondissant parfois, pour essayer de nous écraser. Trois cadavres de vigiles sombres montraient qu’ils n’avaient aucune pitié avec les intrus. Nous n’en aurions donc aucune envers eux. Et directement, des lames de vent fusèrent vers les cieux de la part de Runne, s’acharnant quelque peu à détruire tout ce qui nous tombait dessus en les fendant en morceaux.

Sauvant même la tourelle d’Alaric qui allait se faire avoir, essayant de réduire les filets en morceaux, c’est les pierres qui le gênait et il se mit à les faire exploser en frappant du pied au sol dans des grandes dévastations. Je l’aidais à couper les filets, les tranchant dès qu’ils arrivaient de quelques coups de sabres, et ceux que nous n’arrivions pas à arrêter furent brisés par Alaric dans des explosions de sa pistolame. Laissant des morceaux de filets partir dans tout les sens, ils arrivaient sans cesse, mais nous pouvions nous échapper d’ici rapidement, sauf que les pierres gênaient encore et encore. La plus part se mirent alors à exploser dans tout les sens, envoyant des pierres dans tout les sens quand des fragments de pierre ici et là. Frappant du pied au sol, Runne frappa du pied par terre en se joignant aux ondes de chocs créer par Finaen se cassant en partie en figure par terre. Aelrin allait les aider, il aurait bien fait ça depuis le début, mais un filet lui était tombé dessus et il s’agitait dans tout les sens en tirant sa dague pour essayer de s’échapper. Mais la pointe de la pistolame apparaissant, tranchant brusquement les liens qui le retenait, venait de le sortir de là en laissant ainsi Aerlin brisé le pouvoir des amas de roche pour les renvoyer sur les golems. Ils étaient bien en peine de nous atteindre, surtout les explosifs, car pendant que nous progressions derrière Runne qui faisait exploser les passages affaiblit avec l’aide de Finaen dans des puissantes lueurs telluriques, nous progressions avec Greil qui avait bondit à trancher à gauche, fendant les premières pierres qui la gênait en tournoyant, avant de partir en avant avec Alaric.

La pistolame massive brisait un golem par mouvement, l’un voulu brusquement se remette en position normal sans rouler pour s’écraser et s’accrocher à Greil, mais un énorme pique de roche créer par les mages en les élevant brusquement en détruisant le golem qui explosa dans les airs. Pas besoin de trop s’embêter avec ça, et nous pouvions donc poursuivre les bandits à toute vitesse au milieu du saccage des pierres afin de les empêchés d’atteindre leur campement et de nous en couper l’accès. Derrière Alaric et Greil, dévastant les derniers golems restant, envoyant des morceaux un peu partout. C’est proche de la grande porte qu’ils s’arrêtèrent après un instant de ruée dans la nature, passant au milieu des arbres et de tout le chaos environnant. Frappant de leurs sceptres au sol, les deux élémentalistes firent jaillir de nombreux bras de pierres nous fonçant dessus, formant comme des énormes mains nous fonçant dessus encore et encore pour essayer de nous atteindre. Ils étaient innombrables nous fonçant dessus, essayant de nous attrapés, et se mêlaient à merveilles à la ruée des brigands sortant de la porte en agitant leurs armes, braillant qu’il allait mourir en nous fonçant dessus pendant qu’une grande pierre fermait la porte.

Le bouclier hexagonale d’énergie rayonnait brusquement face à nous pour créer un grand bouclier afin de clore le lieu. Il n’allait pas le rester bien longtemps, autant que l’avantage qu’ils avaient. Greil et Alaric foncèrent en avant, mais les deux récurent quelques coups au passage autant qu’Alaric faillit être tué. Attrapée par une énorme main de pierre alors qu’elle en avait trancher un bon nombre, Greil tirait un peu sur son bras, mais reçu un coup de fléau d’arme plein visage, laissant du sang glisser de ses lèvres, légèrement sonnée. Le poing qui la tenait la relâcha d’un coup, et fut envoyé en plein vers les adversaires, se brisant en morceaux en se mêlant à l’eau créer par Aerlin. Les flots et les pierres se ruèrent dans tout les sens, inversant brusquement les forces déchaînés, brutalisant les ennemis que Alaric, Greil et moi fendions en morceau. Alaric fut attraper par deux adversaires, et il allait se faire arracher le cœur par une griffe faites de végétation moisie. Mais je parvins à trancher son porteur en deux, ce qui n’empêcha pas le choc de m’envoyer valser par terre avec Alaric. Nous redressant rapidement, pour voir l’eau converger en explosant brutalement contre le bouclier fissuré par un coup tranchant envoyé par Alaric au début du combat. L’éclair que j’ai ajouté à cette frappe amplifia la fissure, et quand Finaen tomba des cieux, ses deux pieds en avant, il fit brutalement exploser le passage dans une onde tellurique une fois que tout les piliers de pierres créer par l’impact jaillirent en de bien nombreux béliers. Le bouclier d’éther explosa en milles morceaux. Et nous investissions ainsi les lieux, laissant derrière nous un tas d’adversaires vaincu, et bien des problèmes face à nous.
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Un campement de brigand est toujours quelque chose de très simple, habituellement. Des tentes installés un peu partout, des caisses abandonnées avec des affaires visibles, parfois de la nourriture en train de cuire devant le feu comme à cet instant en donnant un air délicieux à l’air ambiant. C’est une certaine ambiance chaleureuse de nuit forestière que les habitants de ce recoin avait entre plusieurs projets de voler la vie des simples habitants pour leurs voler leurs bien. Après tout, ne sont-ils pas des gens comme les autres mais avec une tendance à vouloir faire du mal à son prochain en espérant le piller brusquement et lui dérober tout ses biens ? Mais à la différence, c’est que dans les camps de brigands, il y à rarement des pierres flottantes dans les environs formant des lueurs diffuses un peu partout de la magie formant des concentrations d’énergies puissantes. Ressemblant à des balises de lumières, dont les forces élémentaires formaient des énergies tournoyantes dans les environs et alimentait le pouvoir naturel. Il y avait clairement quelque chose qui en modifiait les effets, ce n’était sûrement pas fait pour ça, et on pouvait concevoir que cette puissance provenait visiblement de ce qui avait été installé au milieu du campement : Une sorte d’autel, ressemblant à quelque chose qui pourrait offrir de la Foi, de la croyance. Une forme de bois tournoyante en donnant l’impression d’être une stèle avec plusieurs visages se formant, me rappelant cruellement le corps abominable du Tree Barar tel que nous l’avions vu lors de notre combat en Yanxia contre cette horreur.

Les prières envers lui semblait permettre d’évité que l’influence putride de sa présence ne s’étende, et ne forme des cristaux d’éther corrompu autours de la stèle. C’était un moyen de profiter de son pouvoir, tout en évité d’être submerger et de pouvoir ainsi rendre actif à leurs bons vouloir les pierres volées des vieilles ruines. Il y avait pas mal d’outil d’élémentaliste qui servait à ça. Et un élémentaliste, tristement condamné. L’homme était le jeune que Finaen avait sauvé lors de la bataille du camp des sentes tranquilles. Le corps muté, en partie intégré dans l’autel, il ouvrit lentement son seul œil encore visible en tremblant un peu en lui disant avec un sourire sombre, qu’il était sincèrement désolé d’avoir gâché la vie que Finaen lui avait laissé, une larme glissant lentement de sa joue, avant de refermer lentement son œil pour rester inactif et continuer à servir l’intérêt de l’autel. Je pense que cette vision fut suffisamment affreuse pour notre pauvre camarade pour lui donner envie de tout fracasser, et des adversaires, il allait en avoir plusieurs à affronter tandis que les combattants de Kran le Brusque jaillirent autours de nous pour protéger leurs affaires. Ils ricanaient, s’imaginant déjà que la source des pouvoir volés allaient leurs permettre aisément de nous mettre à terre.

C’était le moment de leur montrer qu’ils se trompaient amplement, et jaillit brusquement d’un recoin caché, le second de Kran. C’était une Roegadyn massive, portant un haillon et juste un soutiens-gorge, dont les mains étaient entourés de pierre blanche en ayant le contrôle du golem de guerre ancien sur laquelle elle se trouve, avec un grand plateau de pierre blanche en forme de corps avec des bras et des jambes. Émettant un rire, hurlant aux siens de sortir. Deux créatures de bois noir putrides jaillirent de proche de l’autel, les sifflements écœurant en laissant de la mousse noire en sortir lentement comme des loups monstrueux fait de bois et de champignons lumineux. Les bêtes étaient odieuses, autant que les brigands arrivant de nos flancs. Ils étaient nombreux, une dizaine à affronté, tous portant quelques traces de végétations comme les adeptes de la Dame de la Graine, mais bien plus putride et dégoûtant. Leurs dents étaient noires, ainsi que leurs yeux, portant de nombreuses armes, témoignant qu’ils se gavaient de cette corruption rendant leurs muscles absurdes et leurs veines visibles. Le dernier adversaire était dans une hauteur, frottant doucement un ours grondant un peu, montrant les crocs, en laissant voir un élémentaliste portant une vieille tenue d’un prêtre de la Dame de la Graine, et un bâton fait de pierre blanche volée à une des ruines. Kran n’aura pas eu de mal à le convaincre de faire partie de sa petite équipe de voleurs de reliques, mais il y avait bien plus que ça. La graine avait visiblement trouvé un moyen de leur offrir des forces, et ils s’en nourriraient. Dommage qu’ils soient tombés sur nous avant de pouvoir en profiter, et il était temps de les faire payer. A toute vitesse, Greil offrit le passage vers le totem pour Finaen, arrivant droit vers les deux loups pour essayer de s’en débarrassé en vitesse.

Arrivant contre les créatures, elle tira sa lame en un Iaijutsu puissant tranchant subitement leurs corps en fissurant ceux ci, les laissant s’écraser au sol. Mais même blessé, ils se relevèrent pour foncer vers Greil, la mordant au bras et à la jambe en la tenant brusquement. Les mâchoires furent terribles contre ses membres, mais elle était prête quand les deux loups voulurent l’achevé : Ses prochains coups formèrent des éclairs puissants, tranchants en des lueurs écarlates ses adversaires fendu en plusieurs morceaux volant un peu partout après son mouvement comme une danse gracieuse, repoussant son épée sur le côté après s’être débarrassé de ses adversaires. Si elle s’en était bien sorti, Alaric avait au moins pu vaincre la dizaine de brigands maudits qui nous fonçaient dessus en braillant encore et encore. Progressant droit vers lui, il forma un premier coup de sa pistolame en envoyant en envoyer plusieurs valser plus loin. Plus les coups étaient violent, sa tourelle en percutant plusieurs en les insultants, il devait parer sans cesse se retrouvant même avec au moins cinq épées contre lui en essayant de les repoussés. C’était quand même pas mal, de tous les bloqués en même temps ! Repoussant les coups, il décida qu’il n’allait pas les tuer, et frapper au sol en formant une puissante onde de choc. Valsant par terre, les ennemis furent sonnés par le choc et les éclairs produit par Glados les atteignant encore et encore.

Seuls quelques uns s’en tirèrent relativement bien, mais en prenant l’attention qu’il avait à la maintenir en vie, cela fit qu’un n’avait pas été suffisamment sonné. Levant une pointe d’os, il planta brutalement celle ci la jambe d’Alaric. En retour, Glados écrasa plusieurs fois la tête de son adversaire en rebondissant plusieurs fois dessus jusqu’à finir de le rendre inconscient, malgré la douleur pour sa jambe. Ils n’étaient pas mort, mais reste à voir si ils pouvaient vraiment être sauvé. Ce dont je doutais ! Avec Runne, nous affrontions l’énorme Roegadyn sur son golem, et je prenais le temps de me battre avec le golem pendant que Runne fit tout pour atteindre la Roegadyn dessus. Elle était occupée à me repousser, les poings de pierre m’écartant de la trajectoire en tranchant régulièrement en avant pour laisser des fissures un peu partout. Et cela fit que Runne parvint à la gêné jusqu’à détruire une des pierres de contrôles à son bras. Ne pouvant plus agir avec son golem, elle venait de perdre une bonne partie de ses forces avec son bras gauche. Ce qu’elle utilisa pour mettre le coup de poing de sa vie à Runne.

Valsant dans les airs après l’impact puissant, tournoyant un instant sous le choc avant de s’écraser lourdement au sol, la Roegadyn voulait l’achever d’un énorme impact du poing du golem, ce dont il était simplement hors de question. Arrivant devant le poing, je parvins à le fendre en morceaux de mon sabre, pour qu’il ne lui reste que ses jambes. Et ses yeux pour pleurer. Elle voulue alors nous écraser, bondissant en plusieurs fois pour essayer de nous passer sous les jambes immenses de son golem. Refusant le statut de crêpe, on esquivait rapidement, et c’est après un grand bond que Runne décida d’en finir. Me laissant la guerrière sauvage, il se concentra sur le golem, avant qu’une grande lueur tellurique ne le traverse jusqu’à ce que brusquement, le golem entier ne finisse en amas de poussière. C‘est donc une Roegadyn qui s’écrasa sur un genou, la poussière un peu partout, avant de se redresser pour foncer vers Runne en le retrouvant d’insultes très imaginative. Peu envieux d’être simplement là pour se faire insulter, il aurait réagit certainement avant de se faire tabasser, mais c’était mon tour, et je parvins jusqu’à elle en frappant sans cesse de mon sabre. Saisissant une ouverture feintée, le coup de pied qu’elle envoya fut trancher, puis son buste, la fendant en deux. Je ne partageais pas pour elle les sentiments d’Alaric, au vue des cadavres des Vigiles sombres trouvés devant le passage, et nous voilà avec deux compagnons traumatisés. Le combat entre l’élémentaliste et la purification de l’autel par Finaen trouveraient un lien sinistre, alors que Aerlin avait été attrapé par son adversaire. Formant des flots puissants, ceux ci jaillirent avec le sceptre d’Aerlin, frappant à ses côtés plusieurs fois en essayant de percer sa garde. Écrasant le ventre du vieillard aux multiples amas de végétation dessus, celui ci releva la tête en le provoquant, demandant à Aerlin si c’était tout ce dont était capable Celui qui erre dans les racines.

Levant la main, Aerlin fut balancé en l’air brusquement en tournoyant dans les flots, coincés par sa propre magie en se débattant, resserré petit à petit. Finaen de l’autre côté avait débuta la purification, découvrant le corps du jeune élémentaliste à l’intérieur, lui priant d’en finir d’un ton agonisant, les lueurs et les pétales de lys blancs tournoyant formaient des effets fantastiques purifiants petit à petit là où avait fini les corps, pour les renvoyer à la Mer des étoiles tout doucement. Formant un grand cadre de purification, la lueur blanche désintégrait brutalement le totem, laissant dans un sourire disparaître le jeune élémentaliste envoyé se reposer à jamais. Mais des bras du Tree Barar, fait de végétation puante, jaillirent sans cesse en attrapant Finaen, l’écrasant un peu. Forcé de regarder vers Aerlin, il vit son ami essayer de faire s’empaler sur sa dague son adversaire. Les vents ne furent suffisant, mais la force du Tree Barar, si. Propulsant l’élémentaliste vers une dague bien plus grande faites de bois pourri, le vieillard ricana en lui disant que maintenant, il était Celui qui erre dans les racines, avant que sa tête ne s’abaisse sur le côté. Délivré, Aerlin retomba au sol avec les flots, tout comme Finaen s’arracha des bras fait de bois. Ils avaient vécu une expérience choquant, car ce n’était que le début. A peine le temps de se voir et de se parler. Que le sol se déroba sous nos pieds. Et tout s’écroula en nous envoyant droit vers les profondeurs en dessous.
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Les tremblements ne cessèrent, et s’amplifiaient de plus en plus. Cela suggérait quelque chose de bien mauvais, et si nous avions l’habitude de recevoir quelques soins pour profiter afin de partir aux combats. D’un coup, ce désirs allait finir bien mal quand le sol sous nos pieds s’écrasa soudainement dans un choc puissant en laissant choir des pierres et pas mal des affaires dans tout les sens. En dessous de nous, le sol n’était qu’un amas de trou, de ronces et d’amas de végétations pourries. Si l’autel était la surface, en dessous ça restait véritablement un amas de pourriture et de nature écœurante qui s’était accumulé de plus en plus. Si ils pensaient réellement que cela était simplement une présence de surface qu’ils contrôlaient, maîtrisaient sans conséquence, je pense qu’ils se mettaient clairement le doigt dans l’œil jusqu’à traverser leurs boites crâniennes. Cruellement, les profondeurs gagnaient de plus en plus en forces et en présence, et alors que nous chutions au milieu des pierres, des tentes et des installations, on pouvait contempler autours de nous de nombreuses des amas de plantes vivantes émettant des étranges impulsions autours de nous en ayant de nouveau l’impression d’être dans un domaine de pourriture et de putrescence infâme. Autant le dire comme ça l’est, les impressions environnantes était infâmes, c’était comme si toute cette végétation n’était que le corps d’une seule et même entité dont les battements me donnait vaguement l’impression d’être dans un corps humains. Des liquides noires glissaient doucement comme des plaies, tout en voyant l’ensemble remuer en essayant d’avoir un certains sens.

Au milieu des décombres et des ravages qui nous avaient fait choir dans le vide, tout en subissant la fumée s’étendant autours de nous en laissant des quintes de toux de nos compagnons quelque peu prit dans la fumée, il nous fallait progresser en espérant que leur chef ne parviendrait pas à en profiter pour s’enfuir, mais j’avais un doute quant à son désirs d’abandonner un tel pouvoir qui avait du avoir le temps de le corrompre sans cesse en lui parlant au creux des oreilles qu’il deviendrait encore plus puissant. Et parvenir à remonter tout en haut n’allait pas être si aisé, vous vous en doutez. Pour escalader, il nous fallait trouver des moyens de bondir brusquement des morceaux à d’autres tout en subissant la présence humide et crasseuse de cette bile noire, sans compter certainement tout les effets maladifs qu’on risquait de subir en mettant la main dedans. Rien de très appréciable, au milieu d’un environnement particulièrement instable et se déplaçant parfois un peu à mesure que la végétation avait des sortes de déplacement autours de nous comme si les environs grondaient furieusement. Et si ce n’était que ça, les déplacements seraient certainement plus facile, mais je dois admettre que j’avais très, très peu envie de laisser cet endroit entier alors que nous y progressions.

Ça s’alimentait des sources de pouvoir volés par les brigands et quand ça n’en n’aurait plus, je doute que cette présence chercherait à se tarir et à disparaître sans trouver d’autres sources de puissances. Il fallait provoquer le plus de dégât possible autours de nous, tout détruire tout en nous sortant de là pour faire perdre entièrement la vitalité de cette présence écœurante. Et les forces en présences n’allaient pas nous laisser faire. Les tristes corps des consumés, des victimes comme ceux s’étant donner d’eux même sans savoir qu’ils finiraient ainsi, laissèrent apparaître plusieurs vieilles carcasses de combattants mêlés de toute cette pourriture de bois et de végétale souillée, leurs visage devenue des sombres silhouettes sous un crâne d’animal aux grandes cornes, émettant des rugissement humains avant de nous foncer dessus avec l’espoir de nous planter leurs griffes dans leurs corps. Certains avaient des ailes, et ils avaient des forces provenant des animaux de la forêt comme s’intégrant à leurs êtres. C’était inacceptable d’être arrêté ici, alors il nous fallait nous débarrassé d’eux et de rapidement atteindre leur chef pour qu’il ne s’en réchappe pas. Rapidement, Greil bondit à droite et à gauche pour remonter de ses propres moyens, formant des lueurs du Ka puissante autours d’elle afin de se propulser vers le sommet. Les créatures lui arrivant dessus furent taillés en pièces, la laissant fuser de plus en plus vite, sa lame se plantant brusquement dans un amas de végétation pour remonter, envoya du liquide noir la frapper. La blessant sur le coup. Rattrapée par mes soins, et renvoyée vers le sommet, je progressais proche de Finaen formant des mouvements fantastiques dans les airs, les noulithes éclairées de lumières rouges formant quelques tranchants au niveau de ses noulithes, coupant en morceaux ses adversaires en des spirales rapides finissant par pourfendre ceux lui sautant dessus encore et encore en émettant des grondements.

Nous progressions bien vite, dévastant tout sur notre passage pour ne laisser à cet endroit par une once de vitalité putride, et nos trois autres compagnons arrivant légèrement après nous furent guidés par Runne. Ayant créer une grande passerelle de pierre, il ne se concentra que dessus, les guidant comme un de ses ascenseurs impériaux en grondant fortement, progressant vers le sommet petit à petit à mesure de sa maîtrise élémentaire formant la roche sous ses pieds en restant focalisé sur le sol. Alaric recevait tout ceux qui arrivaient sur la plateforme d’un coup de pistolame violent, pendant que Aerlin formait des torrents purificateurs. Mais trop nombreux, ils finirent par blessé Alaric en le griffant sans cesse, le débordant en le noyant de leurs présences, jusqu’à ce qu’Aerlin ne se retourne pour former un vent purificateur puissant en détruisant littéralement toutes entités se trouvant sur Alaric, le libérant de ses assaillants. La route finit relativement calmement, quand Runne acheva de déplacer tout ce beau monde jusqu’au sommet en laissant des combats encore acharnés mais plus facile aux deux Elezens entre la pistolame et la puissance purification. Mais ce n’était que le début des soucis. Et notre entrée dans la grotte allait s’accompagner, de bien des problèmes à venir. Une grotte où s’y trouvait bien des lumières provenant d’insectes grossier se baladant dans les environs en laissant voir des éclats radiants provenant de leurs corps plutôt épais. Des lucioles paisibles qui ne nous voulaient pas de mal pour une fois, rôdant dans les environs en nous permettant d’y voir quelque chose à nous, et à celui qui s’était installé ici.

On voyait des effets d’eau glissant dans les environs, donnant des reflets dans les environs en laissant des miroitements de lumières dans tout les sens et des bruits de gouttes qui tombent un peu partout, en y voyant des ombres sans qu’il n’y ait vraiment des présences d’eau autours de vous. Comme une impression de flot fantôme qui se trouverait dans les environs, et parfois même des silhouettes de personnes qui se déplaceraient sous des ombres de racines. Ce n’est là que des reflets autours de vous, comme si ses lieux permettaient de voir ailleurs que là où vous vous trouverez, s’entremêlant à pas mal de colifichets et autres objets abandonnés partout provenant de masques, et autres totems effigies des plus inquiétants. Ils tentèrent de créer pas mal de sortie d’épouvantail relativement effrayant, certaines ayant la bouche grande ouvertes, abandonnés un peu partout comme des futurs monstres qui auraient pu nous attaquer. Mais là, ils sont tous inactif, abandonnés autours de nous en donnant un air des plus effrayant. C’est au fond cette grotte que nous attendait notre adversaire, installé en ce lieu offert aux noirs puissances qu’il avait décidé d’adorer. La Dame de la Graine lui avait donné un idéal, quelque chose qu’il pourrait certainement user pour rendre la Sylve bien meilleur, mais cet aventurier à décidé d’aller bien au-delà de la nature de cette offre, pour changer complètement de nature profonde. Dans des lueurs verdoyantes, se trouvait au bout de notre chemin, une sorte de grand crâne de bête qui surplombait un monticule d’os. Ses innombrables os comme des cadeaux, formaient des effluves de magie créant des sinistres miasmes, jusqu’à ce qu’en dégage une première créature.

Faites d’un crâne d’os, avec du fluide noire se glissant à l’intérieur pour former une bête affreuse, cette incarnation du pouvoir présent donnait l’impression d’être une des ombres sous les racines, et formait des glyphes sortant de la tablette volée gravée de magie blanche se trouvant au cœur de cette formation. La pierre s’écroula dans notre dos, et d’un coup, un ancien élémentaliste bien plus contaminé que le précédent, jaillit. Des pierres blanches corrompues orbitaient autours de son corps, donnant l’impression d’être des effets de déplacements vifs de roches se mêlant parfaitement à son pouvoir et à ce qu’il pourrait déchaîné. Ce n’était pas vraiment et plus rassurant adversaire, mais le pire était à venir. Il ne restait de Kran le Brusque, qu’une silhouette du Xaela qu’il fut. Un de ses bras était devenu simplement énorme, se traînant dans son dos lentement en se préparant à nous charger, hurlant que personne ne déroberait son pouvoir, agissant presque comme une drogue dans sa psyché perdue dans les miasmes de sa propre soif de sang. Il en était devenu fou. Et il tenterait sous peu de nous massacrer en espérant que cela le rendrait plus puissant. Runne et Finaen allaient s’occuper de l’élémentaliste, en commençant par ses maudites défenses. S’arrêtant sur le deuxième vieillard, sûrement le deuxième des élémentalistes ayant essayer de nous arrêter lors de notre ruée, les deux se concentrèrent pour dévasté les défenses de leur adversaire qui les regardait comme un enfant émerveillé en leur envoyant des pierres sans cesse. Emprunt de la folie, il n’était même pas agacé du flot de purification brisant l’intégralité des roches formant son armure, chutant toute au sol autours de lui en ne lui laissant rien pour se protéger. Qu’à cela ne tienne à ses yeux, il utiliserait autre chose pour les massacrés. Ce qu’il fit en bondissant brusquement, attrapant le visage de Runne et la jambe de Finaen qui était dans les airs avec ses noulithes pour atteindre la pierre et les purifier en formant des effets telluriques d’un blanc puissant.

Courant dans tout les sens en traînant les deux compagnons partout, tenu fermement, Runne fut balancé s’écraser contre un mur en le sonnant brutalement, et pour Finaen ce fut bien pire. Si il fut balancé contre un mur subitement, sonné un instant, l’adversaire bondit les deux jambes en avant en les écrasant sur le torse de Finaen dans une explosion tellurique, le broyant contre le mur, se moquant quelque peu de lui. Malgré les dégâts reçue, il allait le payer très cher, même si Finaen était sonné par le coup. S’effondrant par terre, n’arrivant presque plus à respiré, la frappe avait été véritablement terrible, c’était déjà un miracle qu’il n’avait pas été tué par le coup. Se redressant un peu en serrant les dents, vengeur, il resta allongé mais les éclairs envoyés dans tout les sens allaient tout faire pour attraper son adversaire. Un peu de la foudre frappa l’épée d’Alaric pour soutenir sa frappe, mais le reste se figea autours du vieillard fou en formant une nappe foudroyante encore et encore. Cela perdura quelques instants, le temps que la colonne de lumière créer par Runne ne décide de le réduire en poussière quand il ne fit plus qu’un tas d’ossement dévasté par toute la purification d’éther qui dévastation sa contamination. Quelques instants plus tard, et il ne chutait au sol que des os fumant encore un peu. Il était vaincu. Pour Greil, hors de question que ce géant de noirceur et d’ossement ne soit une menace pour Aerlin qui arrivait jusqu’à l’autel.

Fusant à toute vitesse, elle esquivait les coups trop lent pour l’atteindre, et sa frappe amenant une puissante lueur stellaire s’écrasa au milieu des éclairs en détruisant une de ses pattes dans un choc puissant, formant un coup terrifiant tranchant la patte en faisant reculé son adversaire. Gémissant en partant en arrière, l’horreur se redressa malgré la patte manquante et frappe de son poing au sol largement avant Greil. Ce n’était pas son but, car il fit naître de nombreuses pointes sortant brutalement du sol, levant les lames noires droit vers lui pour la trancher. Une pointe passa dans son dos, lui laissant une blessure furieuse, et quand Greil se reprenait, l’horreur en profita pour écraser Aerlin qui isolait les pierres subitement pour arrêter les flux d’éther. Des roches arrêtant la magie, lui laissant une ouverture vers la pierre pour acquérir son savoir et son pouvoir, mais étalé ainsi au sol, ça serait difficile ! Tranchant subitement la jambe de l’entité qui recula, la jambe chutant en un tas d’os et d’amas écœurant. Greil acheva sa manœuvre en tournoyant, formant quelques éclairs mêlés à la brume rouge, frappant dans la silhouette d’un dragon rugissant en fendant son adversaire. Il fut tranché suffisamment pour que son incarnation se brise, et ne sera là alors qu’un tas de gélatine sombre, dévasté. Vaincre Kran fut plutôt physique je dois dire, car il n’arrêtait pas de frapper dans tout les sens en essayant de nous broyer. Alaric prenait le temps de le provoquer en le poussant à l’attaquer lui, frappant brutalement à la tête de son ennemi avant que sa pistolame ne s’écrase encore et encore dessus. Ça fonctionnait un temps, mon sabre laissant des blessures affreuses dans des lueurs blanches le long de son incarnation, mais il agitait ce bras énorme si vite qu’un coup fini par me balancer brutalement en arrière en me sonnant un peu.

La tourelle d’Alaric vint me presser à me bouger en me disant qu’on mourrait sinon, et je vins bondir sur elle, rebondissant en fonçant vers Alaric pour avoir son adversaire. Il n’allait pas réussir à bloquer le coup énorme me fonçant dessus, jusqu’à ce que les éclairs de Finaen ne fusant, jaillirent autours de la lame d’Alaric en accélérant brutalement sa vitesse et son impact, plantant la lame dans le bras de son adversaire en l’écrasant au sol. Coincé par la pistolame comprimant ses mouvements, je pu alors passer aisément au dessus, envoyant un grand tranchant de mon sabre pour décapité notre adversaire. Sa tête valsa plus loin, roulant contre la poussière, et les parties obscures de son corps finirent par disparaître à leurs tours. C’était une façons violence de mettre à mort, mais efficace, et le destin de Kran le Brusque, aventurier des Steppes, fut de se perdre dans sa soif de revenir chez lui bien plus puissant, pour écraser les autres. Aerlin, au sol, parvint à rejoindre la tablette avec son éther. Unifier avec celle ci, des échos de lueurs blanches puissantes jaillirent. Il eu comme une vision, partagé entre le Tree Barar et les échos de sa mère, acceptant sa main en maîtrisant l’éther jusqu’à rejoindre la tablette. La radiance s’échappait d’elle, dévorant les miasmes néfastes des plantes autours de nous, pour ne laisser qu’une chose entre les mains d’Aerlin. L’emprunte de sa mère, et la carte gravée dessus lui indiquant l’emplacement dans les Ruines, où il nous fallait la rejoindre. Prochaine destination. Des ruines abandonnées de la Citée d’Amdapor. Comme dirait Aerlin : J’ai hâte. C’était pas ça ? »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 16 sept. 2022, 06:33

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-huitième Entrée - « Acte 6 – L’inquiétude d’une mère aimante.»
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« Nous avions peut-être enfin une piste pour retrouver la mère d’Aerlin. Je dois dire que c’était rassurant, au moins depuis tout ce temps il nous fallait imaginer qu’elle aurait pu périr véritablement ou dans les temps à venir. Mais finalement, sa présence serait lié aux artefacts volés et aux viles tentatives de ce qui se trouve sous « les racines » faisant écho à notre ami élémentaliste. Nous avions pu voir sur la carte de la stèle volée de Kran la présence de cette étrange indication montrant les ruines, et celle ci bien loin d’être naturelle, pouvait être autant un piège qu’un espoir d’être sauvée pour ne pas disparaître de la vie de son cher enfant. Il était donc temps de donner un sens à cette quête en accomplissant l’essentiel, plus que de réduire à néant des vieilles histoires de prophéties des racines ou qu’en sais-je suggérant l’héroïsme supposé d’un enfant à naître. Mais bien déjà d’offrir à un fils la chance de ne pas perdre un parent en retrouvant là-bas potentiellement Marielline. Maintenant qu’une destination avec l’idée qu’il pourrait y avoir la mère d’Aerlin était trouvée, nous pouvions laisser Ae-Lenil-Aramis et Grim s’occuper de trouver l’histoire des racines et ce qui pouvait encore y rôder.

Le plus important était de mettre cette femme en sécurité, tout en parvenant peut-être à arrêter la récupération de vieux artefacts Amdapori avant qu’ils n’opposent à nos tentatives d’empêcher l’ouverture de la « graine », une résistance absurde qui finirait par nous tailler tous en pièce. Cette mission ne serait pas la plus aisée, pour autant avec le bénéfice du recul, je me dis qu’elle offrait encore un temps à un de nos compagnons de se centré un peu sur lui même et son histoire. Sa famille. Aussi en valait t-elle plus que le coup. Ce n’était dès lors plus une simple mission de découverte et de destruction. Mais bien une mission de sauvetage pour ramener Marielline en sécurité loin des affres de cette fameuse graine. Dont les conséquences me font malheureusement de plus penser à la présence du Tree Barar, tout en ayant vu l’artefact que Runne à vue. Cette chose était lié à Sepheris, la dernière perfidie de l’Observatrice n’était peut-être pas de corrompre l’esprit de sa mère. Mais bien d’essayer de faire souffrir la Sylve et l’univers d’Aerlin au risque de le voir devenir ce qu’il ne veut surtout pas être. Réuni au Moulin de la carrière une nouvelle fois, se préparant au départ, nous avions une petite partie de notre équipe le temps que Runne et Finaen nous rejoignent. Les deux avaient encore à faire avant de venir, sûrement le Padjal s’était-il dit qu’il pouvait nous privé de deux compagnons le temps de se faire massacrer pour ses occupations. C’est une fois qui arrive, c’est ainsi !

Et nous voilà au moins avec à nos côtés la présence de Livio avec nous pour nous protéger. Un Sorn vint nous rejoindre, au début sans arme puisqu’il fut piégé par Alaric pour le forcer à partir en mission malgré tout – Le sens de l’humour de son frère était toujours très spécial. Je m’occuperais de protéger ses flancs avec Greil, tranchant tout ceux qui pourraient essayer de nous assaillir en milles morceaux, tout en ayant quand même les capacités d’élémentalistes d’Aerlin. Les pouvoirs de l’élémentaliste serait plus qu’appréciable pour s’occuper de nous, il n’y avait pas tant de soucis à se faire, mais là où nous allons cela serait rempli de mystères et des forces du passé de la nation qu’il aime temps. Mettant ainsi les pieds dans des ruines laissées par Amdapor. Quittant le moulin après un temps de discussion sur notre prochaine mission, nous voilà en route droit vers le sud avec pour objectif de suivre cette carte qui nous mènerait à la mère d’Aerlin. Du moins à ce moment là, je l’espérais, car ça pouvait réellement finir par nous faire tomber dans un piège grossier prompt à tous nous tuer dans des souffrances affreuses. Mais que voulez vous ? C’est ça aussi, l’aventure !

Ainsi, le voyage jusqu’aux ruines fut plutôt agréable à vrai dire ! Nous progressions à travers la forêt sous les couches de lumières dorées donnant l’impression de nous noyé dans cette beauté en avançant doucement jusqu’aux premières ruines. Elles n’étaient pas si loin, et rapidement comme prenant un bain de lumière revivifiant notre vue, nous nous sentions comme des explorateurs d’un domaine méconnu, qui était en vérité totalement connu puisque plusieurs furent les véritables archéologues à venir ici avant nous. Et après avoir profiter des environs et de la vue de toutes ses pierres, ses gravures, tout ce qui était sympathique à noter dans les environs. Il fallait bien entendu se prendre en pleine poire que si les Archéologues évitait ce recoin, c’est bien parce qu’il était encore protégé. Les ruines quant à elles, n’allaient pas vraiment nous laisser passer si facilement. J’ignore comment ils ont fait pour voler autant d’artefact et récupérer autant de pouvoirs en laissant plusieurs des défenses actives. Celles ci jaillirent un peu partout autours de nous, formant des puissants reflets d’énergies à mesure que les protections étaient en mouvement. Il avait suffit d’un pas, et les échos de l’énergie traversait toutes les pierres, créant des reflets un peu partout dans les environs, comme si nous observions la vie et la magie revenir en ce domaine, mais pour nous tailler en pièce. Comme des vents de magies éthérés jaillirent, formant brusquement des puissants faisceaux d’énergies blanches quittant des reflets d’énergies, frappant un peu partout autours de nous comme des puissants lasers cherchant à nous désintégré. Il fallait bouger rapidement, car plusieurs des pierres se déplaçaient, comme pour nous faire tomber dans des trous, et ensuite nous broyer brutalement en un jeu de case sous nos pieds.

Mais il aurait été presque trop beau de progresser sans adversaires pour nous arrêter dans cet amas de pierre. Sortant d’un mur, petite armée de pierre qu’ils étaient, quatre golems plusieurs massifs sortirent de là, comme des grosses boules avec des bras et des jambes, pour essayer de nous casser la figure. Il nous fallait agir rapidement. Car sinon, on en sortirait jamais en vie. Et directement, pendant que Livio formait des boucliers d’or autours de nous pour nous protéger, Aerlin s’opposait au sol en formant des ondulations dans la roche tremblant sans cesse dans les environs quand sa maîtrise se battait contre la pierre, tout se cognant l’un contre l’autre en essayant de nous donner le temps de progresser. Il fut attraper par Sorn, utilisant la gravité du Teclis en courant à toute vitesse, traînant Aerlin dans tout les sens alors que Sully lui donnait du yaourt en pensant que ça l’aiderait. Mais il était surtout concentré à envoyer l’énergie tellurique maîtrisée pour parvenir à faire choir les golems dans leurs propres trous en s’agitant un peu, chutant pour se faire broyé. L’un eu les jambes tranchées par Greil qui passait à côté de nous, mais alors qu’elle se préparait à une autre manœuvre, un golem la prit de vitesse. Elle allait être écrasée par ses poings, mais le grappin de Livio fut plus rapide. Fusant à toute vitesse, la pointe de sa lance s’écrasa brutalement contre sa cible dans une explosion foudroyante immense en envoyant le golem déjà fendu par le sabre de Greil en milles morceaux. S’attirant lui même contre un golem, se cognant dessus, Sorn paniqua et envoya une grenade dessus en s’enfuyant.

Le choc brisa la pierre, et je passais à travers en le tranchant en deux, peu heureuse de le voir dans ma route. Nous progressions ainsi tous ensemble, le passage ne semblait plus vraiment éloigné, et d’un coup en quittant ce maudit lieu piégé, nous étions arrivé dans un espace d’un blanc profond. Tout était blanc, comme si nous étions arrivé dans une zone où il n’y avait plus rien. Nos pas résonnant en écho au sol comme sur du verre parfait. Et une silhouette nous rencontra en s’inclinant, expliquant que nos cibles sont plus loin, en espérant s’en débarrassé. Ses mots étaient étrange, en échos, et le fantôme de cet ancien esprit d’Amdapor avait encore son destin lié à ce sort, comme pour voir comment avancé la suite et l’avenir des ruines de sa citée-état disparue. C’était un mystère fantastique, qui ne réapparaître peut-être jamais, pas sans son désirs. Mais nous n’avions pas le temps d’en faire l’étude. Il fallait sortir de ce passage créer par son sort, qui était déjà en train de se briser brusquement. Sortaient de tout les côtés des créatures du Tree Barar, des plantes carnivores monstrueuses et écœurantes en formes de silhouettes humanoïdes monstrueuses. Fonçant à toute vitesse malgré les brisures, droit vers la sortie remplie d’herbe, Aerlin envoyait des lames de vent puissants trancher les végétations gênantes Dès que les créatures étaient repoussés, il y allait plus fort en envoyant de nombreuses pierres vers elles pour les transpercés.

Et soutenant Greil, dont les lames envoyaient des Enpi vers tout ceux s’approchant d’un peu trop proche, celle ci entendit Aerlin gémir de douleur avant de le voir : Attraper par les nombreuses plantes, scandant à Celui qui erre dans les racines, il fallait le sortir de là d’urgence et elle fonça pour trancher tout ce qui le retenait à toute vitesse de sa lame, pour le dégagé de ce qui voulait le transformer. Progressant ensemble, j’envoyais un éclair d’argent frapper brusquement le passage pour l’endommager, et nous progressions derrière Livio formant des effets de flammes puissantes donc la bénédiction ancienne de l’esprit de feu aidait grandement à sa puissance. Tout était consumé, ouvrant le passage jusqu’à ce que Greil ne tranche tout nous gênant le passage, nous délivrant la route en finissant à l’extérieur, enfin de nouveau à l’air libre, alors que brusquement Livio observait vers Sorn. Le Teclis énergisant le sort, formant des fantastiques ondes dans tout les sens quand les échos rayonnaient un peu partout pour dynamiser l’éther afin que tout ne s’effondre pas. Récupérant une de ses tourelles ayant eu du mal à avancer avec le lance-flamme, il allait disparaître à son tour, essayant de fuir, mais c’était trop tard. Livio créa un puissant passage fait de cristaux, ave le pouvoir du Duc de Cristal, permettant à Sorn de s’en tirer d’urgence avant de tomber de l’autre côté. C’était de justesse, mais on y était. A l’intérieur d’une fleur géante !
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Ce recoin avait l’air d’un domaine égaré que la nature aurait essayer d’investir, mais un peu trop investir. Je dois dire que le ciel recouvert des titanesque pétales aux airs moisies n’avait rien pour être très rassurante. Vous avez déjà imaginé, que d’un coup, vous étiez minuscule à l’intérieur d’une fleur et que vous observiez le monde recouvert de ses pétales ? Cela me donnait le même effet, ce qui peut vous laisser imaginer la taille de ses maudites plantes. Au moins, l’effet restait formidable si on se dit qu’avoir l’air d’une petite abeille peut-être une expérience amusante. Mais nous n’étions pas tant là pour en rire, car les étendues de végétations formaient dans les environs des effets bien plus inquiétants de cette invasion des forces bien plus noires provenant du Tree Barar. C’est comme si au centre de cette formation, on retrouvait une énorme gueule qui dégorgeait parfois un peu de ce liquide sombre en formant une impression d’un passage où traverser à travers une sorte de végétation organique. Ça ressemblait un peu à ce que nous avions vu alors que tout s’écroulait dans le campement de Kran, découvrant sous le totem purifié par Finaen, une sorte de présence vraiment écœurante de cette chose. C’est de là qu’ils apparaissaient, volaient des artefacts, et repartaient sans avoir à ce soucier des mystères d’Amdapor qui ne leur aurait jamais offert le passage. Cette partie des ruines était alimentés par un peu d’énergie magique, mais la magie blanche ne parvenait simplement pas à prendre place. A chaque fois qu’elle tentait de former des défenses pour repousser l’invasion des plantes bien plus vivantes et inquiétantes, l’ensemble était absorbé et transformer pour alimenter la noirceur des forces du Tree Barar apporté ici avec sa présence. C’était pas vraiment la situation la plus rassurante qui soit, mais nous devions au moins arrêter cet accumulation d’urgence si on voulait avoir un espoir d’approcher la position de la mère d’Aerlin : la grande porte qui empêchait l’accès de s’ouvrir était recouvertes de plantes collées à l’accès.

Bougeant au rythme de cette gueule, la détruire pourrait certainement faire se tarir ses maudites ronces pour ne pas s’épuiser à essayer de détruire les protections. De toute façons, il était hors de question de laisser tout ça là : Tant que cette gueule parviendrait à attraper les artefacts se trouvant dans les environs, ça restait une grande menace pour la suite et on ne pourrait accéder à ce « Domaine sous les racines » où la Graine de la Dame semblait avoir trouver refuge d’après les dires de tout ses esprits malades. Dans tout les cas, le choix nous était forcé, en plus de l’intérêt de détruire cette chose il y avait bien tout les adversaires qui s’intéressaient à l’idée de nous tailler en pièce en se dirigeant droit vers nous. Provenant de là où il y avait le plus de gélatine sombre et autres obscurités provenant bien plus du Tree Barar, pas mal de cette gélatine se glissant dans des amas de pierre alimentés d’énergies, et formèrent d’eux même des golems à taille humaine forcés, en créant trois, avec de l’agglutinement dégoûtant en laissant des reflets de pouvoirs blancs puissants former des lignes un peu partout sur les roches. J’admets que les voir se former me faisant froid dans le dos, mais les autres n’étaient pas mal non plus. Car jaillirent des cieux des créatures habitant les parties des ruines sans plus aucunes protections où les anciens cultistes se sont installés.

Formant des frappes puissantes de leurs ailes, les Vodorigas s’étaient incarnés dans des explosions d’obscurités dans les cieux, nous tombant dessus brusquement en rugissant dans des échos puissant en formant des reflets de forces du néants le long de leurs griffes. Les habitants locaux avaient une connivence avec ce Tree Barar, mais pour l’instant, ce n’était que de la surprise et des craintes de les voir nous foncer dessus. Mais la créature maîtresse envoyée ici était un des fils du Tree Barar. Un de ses maudits enfants nés sous les racines devenu des horreurs sans nom qui arpentent les environs en ayant cette fois prit grandement vie dans le corps d’un ancien géant de plâtre. Qu’il était ridicule à observer, mais effrayant, de voir une forme musculeuse de pierre comme avec une décoration d’une vieille armure en traînant son épée titanesque derrière lui, formant des étincelles contre la pierre. Mais la tête de la statue fière et fantastique avait été remplacée par une planche carnivore monstrueuse, des amas de crocs à l’intérieur de la fleur d’un rouge vif, laissant une langue odieuse glissant au sol. Cette créature absurde empêchait que quoi que ce soit de mal n’arrive à la gueule de végétation, ayant même écrasé un Imp curieux au passage. Et cette chose allait s’opposer à nous. Alors en vitesse, Livio fonça vers les Vodogira, peu envieux d’imaginer ses maudites créatures nous assaillir avec les forces du néant, lançant immédiatement son grappin vers le visage d’un démon pour l’attirer à lui brutalement, levant sa lance, avant pour le détruire dans une explosion puissante lui traversant le torse en l’envoyant en morceau au sol. Mais le second avait agit, la griffe lui fonça dessus pour essayer de lui arracher la tête, et celle ci fut repoussée par un courant d’éther protecteur envoyé par Aerlin pendant qu’il se concentrait.

Les deux furent repoussés, et le Vodoriga dévora son ancien ami, avant de foncer vers Livio à toute vitesse. Plantant sa lance au sol, Livio se prépara à l’enfermer dans le cristal en formant un effet de plus en plus diffus. N’ayant pas eu le temps de l’enfermer directement, il reçu deux coups de griffes puissants, l’un lui lacérant la cuisse et l’autre l’épaule en laissant un peu de sang glisser au sol. Redressant la tête, plutôt mécontent de son traitement, les dents serrés. Il forma finalement l’énergie du cristal dans un puissant éclat, et quand le bruit de sifflement grandit de plus en plus, tout éclata finalement. Et la créature fut enfermée et envoyée dans les prisons de Maladriel, qui du avoir une mauvaise surprise, alors que Livio se reprenait de ses blessures. Après avoir soutenu Livio, Aerlin se concentrait de nouveau vers le trou, envoyant de plus en plus de roches vers l’intérieur pour essayer de faire céder celle ci dans la pierre et la boucher entièrement. Mais alors qu’il était en train de renforcer son sort pour la laisser coincée, une aspiration puissante jaillirent dans un vent puissant, inquiétant, formant un souffle si intense que Aerlin fut attiré à l’intérieur. Se retenant de justesse, il ne pouvait qu’essayer de remonter, et alors qu’il se préparait à s’échapper malgré les vents pour ne pas tomber dans cette gueule immense, un bras lui attrapa soudainement la jambe en le tirant un peu vers le gouffre sans fond risquant de l’attirer vers la mort.

Les dents serrés, un coup de bâton le libérant soudainement, il chuta contre son propre sort avant de fuser dans les airs, tournoyant à toute vitesse sur son amas de roche en bondissant pour arriver plus loin. Roulant un instant au sol, il toussa un peu avant avant de se concentrer pour que la pierre finisse son office. S’effondrant encore et encore dans la gueule de la créature, se nourrissant involontairement de toute cette roche, étouffant de plus en plus. Celle ci finie par céder, pas mal d’amas de noirceur s’échappant et apparaissant en l’air, se noyant dans la bile avant de se faner, libérant tout les amas d’énergie dans les environs, se remettant à être actif. Nous foncions avec Greil à toute vitesse vers le géant, essayant de tout faire pour s’en débarrassé, esquivant et déviant son énorme lame nous arrivant dessus en brisant la terre avec une maîtrise inquiétante, mais une lenteur rassurante de prime abord. Les jambes tranchées en partie par le sabre de Greil, celle ci l’avait déjà sévèrement endommagé, me permettant de le trancher au torse plusieurs fois dans une lumière blanche puissante en même temps que Greil frappa dans une onde stellaire en pleine tête de notre adversaire. Il valsa plus loin, grandement affecté par nos premiers enchaînements de coups tombant en même temps, mais dans un grondement d’agonies il se redressa immédiatement, pour essayer de nous tuer, frappant encore plus vite qu’avant.

En bondissant, je parvins à détruire son corps de pierre en envoyant une technique de frappe faites pour détruire les créatures massives, l’éclair frappant après les coups de sabres le brisant en milles morceaux. Mais par les Kami ! J’aurais du lui trancher le bras, car il m’envoya un coup m’envoyant m’écraser contre la pierre à côté, sonnée par l’impact puissant. L’entité satisfaite de son coup, se mit alors à s’effondrer en morceaux, bondissant de ce corps en étant plus qu’une plante carnivore affreuse, que Greil traversa dans une lueur rouge. La fendant en milles morceaux, il ne restait que des bouts tombant un peu partout, s’effondrant en même temps que les adversaires de Sorn. Il était devant les golems de roche et de liquide noire, plusieurs congelés par une grenade givrante balancée par une de ses tourelles pendant qu’elles s’amusaient et se faisaient disputer par celle d’Alaric pour leurs comportements. Il en faisait fit, tirant des traits perçant brisant un des golems en formant de nombreuses explosions un peu partout, de plus en plus puissante. Mais un des adversaires s’échappa, et tournoya autours de Sorn en prenant la forme d’un serpent inquiétant de pierre et de noirceur en le coinçant brusquement pour l’écraser de plus en plus, pour le broyer lentement mais sûrement. Grondant sur ses tourelles faisant des bêtises plus loin, le rugissement sorti par Glados forma un coup puissant pour le serpent, surpris, qui ne vit pas venir les flammes bleues de Sorn. S’enflammant d’un coup, ce feu bleuté frappa plusieurs fois l’entité, la dévastant entièrement en formant de ce feu intense, mais calcinant les mains de Sorn. Quelque soit le pouvoir de ce feu bleu si étrange, il commençait à lui faire du mal. Et pendant qu’il soignait ses mains, la silhouette de l’esprit nous sourit. Heureux. Alors que la porte se préparait à s’ouvrir. Pour nous laisser l’accès là où la carte nous menait, espérant y trouver la mère d’Aerlin.
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Partir rejoindre la mère d’Aerlin qui l’appelait devait se faire rapidement, et nous voilà en pleine course pour l’atteindre avant qu’il ne soit trop tard. Dès que la porte finie par s’écarter en des grondements puissants formant des déplacements de la roche grondante de plus en plus fortement, levant la poussière en créant quelques reflets magnifiques, le passage se dévoila à nous, se formant brusquement dans une puissante onde d’énergie passant face à nous. C’était simplement merveilleux, imaginez que d’un coup, une radiation d’énergie passait dans une ruine et lui donnait alors l’impression de renaître, de reprendre vie d’un coup face à notre équipe en donnant des effets de cathédrales s’étendant devant nous dans des grands reflets d’énergies. Des bruits de cloches se firent entendre en échos dans les environs, formant un effet magnifique de cathédrale et nous voilà avec l’accès vers l’intérieur des terres, comme si elle s’était ouverte à nous dans un cérémoniel excessif. Bien entendu, personne n’était spécialement ravi de nous voir, ce n’était là que l’effet du sort certainement destiné à donner du panache à l’accueil d’une personnalité officielle, importante, ou autres. Mais il fallait quand même se sentir flatté, dommage que ça ne restait pas ainsi très longtemps. Car si de prime abord, nous marchions au milieu des pierres et des reflets formant des formes de ce que ce domaine était jadis en des lueurs blanches et bleutés donnant presque l’impression de regarder des domaines fait d’une eau pure et agréable. On allait pas rester ici sans avoir à nous défendre pour nos vies, car cette magie si splendide fut t-elle n’était plus vraiment d’actualité de nos jours. Progressant quelques instants, un lourd bruit fut entendre comme quelque chose se brisant en des multitudes d’amas de verre, et dans une sorte de couloir alternatif menant vers une autre ruine non loin de là, firent apparaître brusquement deux de nos compagnons. Runne et Finaen fuyaient rapidement, Yldada Ylda sous le bras de Finaen s’agitant un peu de peur comme si elle ne pouvait pas courir d’elle même mais qui restait paniquée, voilà brusquement une sorte d’avalanche de magie blanche qui fusait sans cesse.

Cela ne détruisait rien, mais supprimerait l’éther de n’importe quoi. Si nous étions prit dedans, il ne restait que nos vêtements s’étalant par terre brusquement et rien de plus. Peu désireuse de disparaître en tas de poussière, il était donc temps de continuer rapidement avant de se faire rattraper par cette énergie tout en étant rejoint par nos deux camarades au milieu de cet amas fantastique d’énergie. Mais fusant brusquement des cieux, une silhouette féminine jaillit dans un petit bruit sensuel en ayant un claquement de fouet. Répondant à cet appel, plusieurs Bronchotaurus, des créatures du néant et vraiment pas des plus sympathiques jaillirent un peu partout de là où elles se cachaient. Ses maudites ruines depuis les invasions de cultistes avaient encore quelques démons dans les environs, et les horreurs allaient nous empêcher de passer, répondant à l’appel de leur maîtresse qui se mit sur notre route. La succube riait, après nous avoir dit que son maître était en pleine négociation, et je sentis son rire essayer de faire naître en moi des désirs que je n’avais pas réellement. Ce fait m’énerva tellement que j’avais l’impression que j’allais exploser de colère au risque d’essayer de tout détruire sans être réellement affectée par ses tentatives perfides. Elle claqua des doigts, et les colonnes éphémères se mirent à apparaître un peu partout, créant de nombreux obstacles explosant en amas de verre quand on les percutait au risque de nous blessés, nous gênant simplement sur notre route si on ne mettait pas suffisamment de force pour les traverser.

Elle riait aux éclats, mais il était temps de faire disparaître ce rire, une fois que nous arriverions pour lui faire payer son outrecuidance. Immédiatement, Runne envoya une puissante énergie nous pousser pour essayer de nous pousser à aller bien plus vite, même si l’énergie utilisée est vraiment pas agréable à recevoir comme ça d’un coup. Nous envoyant à toute vitesse un peu difficilement, Runne s’occupait de briser tout les amas de cristaux volant dans tout les sens, pour ouvrir le passage avec Greil en brisant les amas de lueurs étoilées formant des fragments explosant dans tout les sens. Observant Finaen dans les cieux, celui ci envoyant des lames de vent droit vers tout les Taurus en bas, il allait se prendre un terrible tir de barrage fusant encore et encore vers lui, croisant Aerlin projeté en l’air pour échappé à un des créatures au sol après avoir été écrasé par terre – Que j’avais sympathiquement décapité pour le libéré, mais je pense qu’il échappait surtout à la vague de magie avant de finir en poussière ! Runne parvint à fuser droit jusqu’à Finaen, formant un cocon de roche avant le tir de barrage en provoquant de nombreuses explosions de noirceurs, encore et encore, sous des chocs répétés formant des effets de fumées incroyables. Les deux rechutant contre une colonne en se redressant difficilement après l’impact. Il nous fallait avancer, et atteindre la succube, alors que Sorn se reprenait de son influence en tirant sans cesse sur elle après avoir laisser sa tourelle tirer sur les Taurus.

Attiré par un coup de fouet à la gorge, le ramenant jusqu’à elle en l’embrassant sur sa joue subitement avec un petit sourire, en voulant dévoré son éther. Son garde du corps, le seul survivant, fut attraper par le grappin de Livio retombant dessus en plantant sa lance dedans, explosant de l’intérieur dans une déflagration foudroyante puissante, la retirant dans une lueur puissante quand ses jambières l’avait propulsé jusqu’à elle. Elle voulue réagir, mais ses gardes avaient été fendu en morceaux, et les éclairs de Finaen frappèrent brutalement celle ci dans un cri de douleur parfait comme une chanteuse d’opéra, avant que Greil ne jaillisse. Tirant sa lame, elle coupa la succube en plusieurs morceaux, laissant celle ci disparaître en poussière d’énergie sinistre, tout en brisant la porte de verre dans des milliers d’éclats. Il était temps de rentrer à l’intérieur de ce domaine, en espérant alors, y trouver réellement la mère d’Aerlin. Et en vie si possible. Ce lieu où elle avait trouvé refuge n’était pas vraiment très agréable. Elle devait mourir de faim, la pauvre, mais elle allait mourir tout court si nous ne faisions rien pour la sortir de là. Passant le passage d’une porte fictive sans qu’elle ne nous fasse grand-chose que nous traverser dans une lueur bleutée profonde, nous jaillissions à travers en observant les lieux, avant de contempler ce domaine qui devait être un sanctuaire pour préparer des sorts d’une puissance bien différente que ce dont nous avions l’habitude. C’était comme une sorte de domaine fait pour préparer la magie, et quoi qui ait pu amené Marielline jusqu’ici, c’était lié au fait de pouvoir créer une magie si grandiose qu’elle pouvait effectué la seule chose qui l’avait amener jusqu’ici : Trouver un moyen de sauver son fils du cruel destin qui menait à être Celui qui errait dans les racines.

Jusqu’ici, Aerlin avait vécu simplement, jusqu’à ce que son destin fut confondu avec bien des compagnons jusqu’à découvrir d’innombrables quêtes et périls pour essayer de lui faire découvrir un monde de danger. Sans se douter que c’était peut-être tout ses efforts, ses années passés à se battre et à agir, qui allait le sauvegarder d’un destin des plus inquiétant. Plutôt que de devenir un monstre, il s’était retenu jusque là d’être confondu avec le Tree Barar, et elle était là pour trouver une solution durable car après ce qu’on avait pu voir, le sort d’Aerlin était encore une épine de Dalamud au dessus de sa tête, risquant de choir à tout instant et de le transformer à jamais en un monstre qui aurait voulu consommer notre âme pour son plus grand délice. Hélas, ce qu’elle ne savait pas, c’est que ce domaine avait déjà un occupant. Et qu’il n’était pas très partageur, mais avait vu en sa venue un moyen de commencer à négocier avec celui qu’elle était venue combattre. L’essence de la Graine, ressemblait de plus en plus, à un moyen de réincarné le Tree Barar, le vrai. Et installée au centre de ce domaine formant une magie d’un or magnifique, l’Elezen aux cheveux blancs était installée au milieu en étant particulièrement affaiblie, respirant doucement, en essayant de garder ses mains en position de prière afin que rien ne puisse l’atteindre et la tuer. Elle utilisait le sort qu’elle était venue préparer pour Aerlin, sur elle même, afin que les forces mentales qui ondulait autours d’elle ne le tue pas. Mais le sort était des plus faibles, et la magie autours de plus en plus puissant, il nous fallait inverser la balance et la sortir de là tout en lui redonnant un peu d’énergie. Sans ça, elle pourrait bien être consommée par son propre sort et disparaître à jamais.

Ce qui aurait rendu tout ce passage parfaitement inutile. Deux gardiens jaillirent pour nous en empêcher. Brusquement sortant d’un mur, la silhouette affreuse d’une créature démoniaque jaillit en ricanant, sa tête ayant un masque de bois avec deux yeux d’un mauve effrayant seulement dessus, comme si elle s’était mêlé au pouvoir de la végétation du Tree Barar pour essayer de se donner des forces, émettant quelques rires infâmes en sortant des murs, des végétations, de partout en essayant de nous arrêté. Le second était quant à lui, une sorte de chevalier formé par un corps de pierre tel une vieille statue, se redressant en ayant la taille d’un Elezen plutôt grand, en formant autours de lui une armure faite de reflets lumineux aux airs arcs-en-ciels lumineux reluisant autours de sa silhouette. Brandissant un bouclier tel un écu fantastique et une lame tenue vers nous. Il aurait été crédible comme défenseur des lieux, si il n’y avait pas comme une pâte noire dégoulinant de sa carcasse de statue fantastique, en se préparant à nous atteindre. Il était sous contrôle du « Maître » de la succube, sortant lentement de sa cachette dans un reflet sombre. Je vous souhaite de ne jamais faire face à un de ses maudits Flagelleurs psychiques, ses créatures du néant ressemblant à des magiciens avec un visage aux multitudes de tentacules, nous contemplant en brandissant son spectre, en un grand rire puissant. Il était l’entité qui convoitait les pouvoirs du Tree Barar. Et par grand malheurs, Marielline était tombée dessus au risque de se faire tuer par ce dernier. Nous devions agir vite, car ses pouvoirs mentaux risquaient de nous affecter subitement, et le combat acharné s’engagea contre nos adversaires. En premier, Livio envoya son grappin attraper le démon dans le mur, le tirant de là brutalement en le coinçant à l’extérieur.

Il ne pouvait plus s’échapper, agitant de plus en plus pour essayer de sortir. Les coups tombant contre les protections de Livio voulurent le sonner avec force, sans y parvenir, et ce dernier envoya sa lance en échange provoqué une explosion contre son adversaire en formant un effet de détonation puissante. Les coups de Greil plurent alors, formant des tranchants encore et encore, laissant des lueurs rouges apparaître en le fendant un peu partout, rugissant de douleur sous l’impact des lames subies. Il ne pouvait pas rentrer, Livio ayant bien du mal à le retenir en serrant les dents. Mais il ne devait pas rentrer. Il fallait l’abattre maintenant. Ses griffes lacéraient les environs, essayant de tout détruire autours de lui, mais l’onde de choc stellaire de Greil le frappa soudainement, l’empêchant de pouvoir se mouvoir. Prit de court par le coup de Greil, la créature rugit de colère de de frustration, ne pouvant rien faire quand la lance de Livio tomba dans un rugissement enflammé, détruisant la créature et le mur, n’en laissant simplement rien. Avec Sorn, on allait affronter le terrible chevalier. Je ne peux pas dire qu’il fut si utile que ça de prime abord, puisqu’il se débattait avec Glados lui ayant volé son fusil pour le modifier. En résultant, il se prit un fantastique coup de bouclier en plein ventre, valsant dans les airs quand son adversaire le renvoya plus loin dans un coup puissant. Je parais sa lame pour ne pas qu’il soit tué au passage, Sally n’arrêtant pas de me donner des indications, me laissant le fissurer plusieurs fois grâce à quelques indications sur ses faiblesses, l’endommageant plus facilement.

Mais même avec la protection de Finaen formant un bouclier, l’impact de l’épée m’envoya à terre, récupérant la petite tourelle dans mes bras pour qu’elle ne se casse pas, en roulant au sol tout les deux par terre, douloureusement. Je devais tenir, le temps du tir de Sorn, me relevant en frappant encore et encore contre mon adversaire, nos échanges de coups formant des lumières puissantes à chaque fois qu’on se s’affrontait de nos épées. Prenant le dessus en allant de plus en plus vite, le bouclier fut tranché en milles morceaux, pile quand il fallait pour que Sorn ne tire. Le faisceau d’énergie frappa la statue animée, la détruisant entièrement en laissant de la poussière un peu partout sous l’impact, détruite sur le choc. Le Flagelleur Physique avait été écarté subitement du bouclier de Marielline, Aerlin repoussant toutes forces provenant de sa mère dans une puissante énergie formant des reflets lumineux fantastiques, pendant qu’elle tremblait dedans. Surmené par les flammes de Runne, frappant en essayant de l’enflammé de l’intérieur, il voulait attirer l’attention mais la créature était un peu trop intelligente pour ça. Formant un choc puissant sur Finaen passant en l’air avant de l’atteindre, il s’écrasa au sol, mais il parvint à créer des éclairs formant des explosions là où la rapière de Runne l’avait touché un peu partout, formant quelques explosions amplifiant ses blessures encore et encore. Rugissante, une noirceur naquit autours de sa tête d’une force fantastique de plus en plus puissante, agitant la tête de façons dérangeante, jusqu’à ce que l’horreur ne se déchaîne.

Son combat de magie avec Runne était fantastique, l’ancien occultiste parvenant à user de l’encre pour créer les sceaux afin de le contenir, mais il avait bien du mal à contenir pareil pouvoir, qui frappa vers Finaen formant un sort bien plus puissant. Greil jaillit, fendant la magie, et bien que les deux saignaient du nez, la colonne de pouvoir frappa et dévasté brutalement l’adversaire, hurlant de douleur en disparaissant en poussière finalement en maudissant le Tree Barar. Et ce dernier tenta de gagner. La mère d’Aerlin levait une dague, prête à abattre son fils, pensant qu’il était condamné. Et il su la convaincre qu’ensemble, une solution se trouvera, et qu’il était beaucoup plus fort et vaillant qu’avant. Mais subitement, un trou béant se forma quand le visage de Aerlin se déforma d’un coup. Un monde de racine noire apparaissant dans le sol, le monde rêvé du Tree Barar, laissant l’horreur en bas, se préparer à saisir sa mère pour la condamner, et entraîné Aerlin à se transformer. Mais les faisceaux puissants tirés par Sorn le repoussé, les cheveux enflammés, serrant les dents pour le repoussé. Le trou fut refermé et la mère d’Aerlin tirée de là. Nous avons repoussé ce mal et sauvé la mère de notre camarade. Ce n’était pas encore fini, mais au moins, un grand objectif de cette quête c’était achevé. Soulagés, ce n’était plus aussi pressé qu’avant, mais notre prochaine mission nous mènerait dans un domaine bien différent:: Il était temps de partir à l’intérieur du domaine même du Tree Barar. Sous les Racines où il erre. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 18 sept. 2022, 02:33

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Celui qui rôde dans les racines."

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Trois-cent-neuvième Entrée - « Acte 7 – Une ombre d’un monde rêvé.»
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« Réunir une mère et un fils à quelque chose d’émouvant. Je ne parle pas du fait qu’elle ait hésité à planté une dague dans le cœur de son enfant de peur panique à l’idée qu’il soit condamné à vivre sa vie en tant que monstre affreux tueur d’enfant, n’en arrivons tout de même pas jusque là, mais simplement le fait qu’il ait pu la convaincre que tout n’était pas perdu et qu’ils pourraient faire quelque chose ensemble pour aller de l’avant. C’était beau, du moins, ça aurait été plus émouvant sans ce risque de mort soudain en voyant apparaître le domaine « Sous les racines » où erre cette chose voulant toujours voler le destin d’Aerlin. Et plus tard, alors que nous avions quitté cette ruine infestée de quelques restes de démons dues à ses maudits cultistes, je demandais au final à Grim ce que pouvait bien être ses racines noires et ce monde en dessous de nous. Cette végétation putride, toute cette malédiction, proviendrait tristement de la mort des esprits lors de la chute de Dalamud. Ce n’était pas la première chose que cette chose créait des immenses problèmes, rien que l’histoire de Grim était lié, mais l’état de la Sylve n’avait pas entraîné que la faiblesse et la crainte d’être assaillit. Et cette chose attendait de naître, sous l’influence de Sepheris, laissant naître ce domaine sous les racines qui n’attendait qu’une personne afin de faire renaître quelque chose qui n’était pas un esprit, rien de ce que la Sylve aurait pu offrir, rien de ce que la Dame bannie aurait pu croire jaillir de l’essence du Tree Barar. Une horreur prévue par un esprit fou d’une âme brisée, un fragment d’âme, désireuse de faire jaillir de ses pensées sa meilleure création : Aerlin. Une âme née pour être déformée, transformée, manipulé. Il avait trouvé naissance de la pleine saine façons, mais les idées de ce qu’il pourrait devenir était déjà prévu par les misérables ficelles d’un désirs de créer le mal. Cependant, rien ne s’était passé comme prévu. Si Aerlin avait eu un destin plus simple, il serait certainement devenu une créature fantastique et très dangereuse. Mais à la place, il était devenu un héro, quel ironie ! Cela le défendit de bien des malheurs et des condamnations.

Et il était pourtant ironiquement temps d’atteindre les tréfonds d’obscurité où siège ce qu’il reste de cette infamie. Elle ne pouvait pas perdurer, seul un être parviendrait à s’échapper de ce destin, et il était sûrement préférable de donner bien des efforts pour que cet être soit Aerlin, vous ne pensez pas ? Ainsi, notre équipe fut prête à être guidés par Grim droit vers les profondeurs, Ae-Lenil-Aramis nous accordant un instant pour nous saluer et nous dire bonne chance, réellement inquiet. En posant sa main sur l’épaule d’Aerlin et lui disant que le Cristal de la Bannie doit se trouver auprès de la graine. Et de faire ainsi particulièrement attention aux pouvoirs que le Tree Barar en tire. Notre équipe avait pour rôle de découvrir ce domaine, et essayer de trouver un passage vers le Tree Barar lui même. Et celle ci était complète dés le début cette fois : Aerlin, Finaen, Runne et Lucian mêleraient leurs forces avec efficacités pour s’offrir des puissantes importantes. Leurs magies mêlés auraient des grandes capacités, me laissant à moi le soin de s’occuper de toutes adversités au corps à corps en ayant le support de Sorn. C’était un bon groupe, les plus présents pour l’instant, et j’espérais alors que nous ferions du fort bon travail. Surtout là où nous allions être guidés.

Nous attendant pour le départ, Grim nous fit venir tranquillement en direction d’un domaine qui pouvait nous mené vers l’ombre des racines, ce domaine où nous pourrions peut-être enfin trouver le Tree Barar. Et nous voilà en route, traversant des sentiers égarés, des passages secrets dans les herbes, se dévoilant selon sa présence et sa demande. La route fut alors particulièrement désagréable, non pas parce qu’il pleuvait ou qu’il ventait, mais bien parce que nous avions déjà l’impression de présences autours de nous. Le Tree Barar devait être conscient de notre approche, et laissait dans nos consciences, de noires impressions d’être observé, guettés par ses horreurs en murmurant des mots et en formant des mouvements. Dans le ciel, comme des racines noires immenses apparaissaient parfois avant de disparaître. Donnant presque déjà l’impression de se retrouver où il ne fallait pas. Et tandis que nous traversions un dernier amas de fleurs de toutes les couleurs, Grim s’arrêta en levant un bras. Les sourcils froncés, ressentant que quelque chose ne va pas, il se mit en position et des rires se firent entendre brusquement. Partout autours de nous, des ricanement se partageaient, et brusquement des visages naquirent sur plusieurs des arbres autours de nous. Des visages, des bouches, des tentatives de cris et de rugissements nous sonnaient un peu, formant des tonalités d’énergie mentale de plus en plus puissantes à mesure qu’ils cherchaient à faire usage d’une puissance étrange. Ils modifiaient les lieux pour nous empêcher d’atteindre le passage, cherchant à transformer le sol en un marais noir s’agglutinant de plus en plus en essayant de nous enfoncer dans le sol pour nous noyer soudainement au milieu des grondements et des rires.

Jaillirent de ses marais, brusquement, parmi les derniers éléments des acolytes de la Dame de la Graine. Gémissant, nous criant que la Dame ne devait pas être atteinte comme si elle était encore en vie, les yeux devenu d’un noir écume sous la folie les animant. Il nous fallait avancer, car la faille pouvait être fermée à jamais si on ne faisait rien pour progresser. En vitesse, nos compagnons mages usèrent de leurs talents en formant des puissantes énergies rocheuses. Comme souvent, Runne Finaen et Aerlin eurent des reflets telluriques identiques s’entremêlant de l’un vers l’autre, avant de faire usage de leurs forces. Aerlin envoyait plusieurs pierres en avant, se frappant brusquement au sol pour bondir de l’une à l’autre afin de ne pas choir dans la vase noire. En esquivant dans un mouvement de justesse un adversaire, l’homme se noyait dedans en hurlant de peur et de colère. Visiblement, même eux risquaient de mal finir, ce qui était à mes yeux une bien douce ironique de les voir subir leurs propres magies.

Aerlin progressait rapidement, mais sa magie était il faut dire amplifiée par la présence des sorts de Runne et Finaen. Si Runne solidifiait la roche et la rendait bien plus puissante, Finaen avait fait usage de ses noulithes pour que la magie créer un pont s’élevant au dessus du niveau des eaux visqueuses, nous permettant de progresser sans avoir à craindre d’être attrapés par les filins écœurants et les bulbes de noirceur. Fusant vers une grotte, Grim criait qu’il fallait s’y rendre, et nous voila en progressant rapidement en ayant des tirs de Gladys s’entremêlant aux innombrables flèches et sorts passant un peu partout autours de nous. Elle guidait Sorn, devenu pratiquement aveugle à cause de tout les effets mentaux frappant notre petite équipe en pleine course, l’évitant de choir de façons fatale en étant véritablement celle qui s’en occupe. C’est amusant parfois, de me dire que Gladys est celle qui s’occupe de son maître, et pas l’inverse ! Mais c’est une habitude, après tout, elle à bien évoluée si j’ose dire. Je restais tout de même non loin d’eux, tranchant leurs adversaires à toute vitesse, ayant même pu bondir sur la tête de Sorn pour fendre en morceaux quelques de ceux ayant décidé de l’assaillir. Usant d’une technique pour qu’il ne sente pas plus qu’une plume sur sa tête. Au moins, Lucian avait eu de quoi se défendre tandis que sa faux frappait une vague d’adversaires dans un déchaînement d’obscurité, cela l’empêcha de voir les trois faquins lui bondissant dessus depuis les arbres, arrivant à toute vitesse vers sa tête, avant qu’ils ne se prennent une vague de glace les congelant avant de les faire exploser de la part de Runne. Des flocons de glaces tombaient. Même si c’était de la glace d’être vivant, si sinistre soit ce principe même !

Se rejoignant tous ensemble, il était temps d’entrer finalement dans la grotte juste derrière Grim, en voyant dans notre dos les rares survivants de l’attaque, disparaître dans les gelées noires en se débattant et hurlant. Ce n’était vraiment pas une belle façons de mourir, mais ils étaient en plus d’être totalement souillé, parfaitement cinglé, personne ne voulait risquer de mourir pour des tels adversaires. Pendant quelques instants, nous progressions au milieu de cristaux verdoyant formant des magnifiques lumières, Grim s’arrêtant un instant, en disant que ce domaine ne s’ouvre alors qu’à ceux qui peuvent le trouver. Frappant de son bâton au sol dans une grande lueur verte. L’appel fut annoncé, mais pas reçu de la façons dont on aurait pu s’y attendre. Le Tree Barar riait, nous souhaitant bienvenue chez lui, avant qu’une énorme main n’apparaisse brutalement. Ce n’était qu’un reflet d’ombre, et elle nous attrapa comme dans une géode d’obscurité, avant de nous faire descendre toute vitesse droit vers ce qui semblait être à travers le sol, une sorte de domaine avec un peu d’eau. Définitivement, ce devait être le domaine des racines, et nous voilà essayer de survivre pour ne pas être tas d’aventuriers déjà mort ou tués par la chute qui était particulièrement lourde quand elle nous guidait. Il nous fallait rapidement intervenir pour ralentir l’impact, en voyant des essaims immenses de Kalong nous arriver dessus avec les piaillements de chauves souris inquiétants se mêlant à leurs désirs de nous dévoré.

Surtout que les cristaux verts sur la route risquaient d’exploser et de nous faire bien du mal. Formant de nombreux boucliers, dans des lueurs puissantes, Finaen fit tout pour nous protéger en des effets fantastiques ce qui protégea Runne d’un choc intense. Des éclats apparaissaient un peu partout, et Lucian de prime abord envoya une vague fantastique de cristaux mauves frapper les Kalong, en tuant tout un tas en se mêlant aux tirs de Gladys paniquée envoyant des reflets bleutés frappés toutes les créatures avec Lucian. C’était magnifique, toutes ses énergies partant en avant, alors que Sorn et Aerlin firent de leurs mieux pour ralentir notre chute. Formant ensemble entre la gravité du Teclis, et la puissance éolienne, une grande bulle verdoyante ayant quelques reflets de pouvoirs, nous tombions ainsi bien plus lentement vers le sol, que j’arpentais en tranchant les Kalong en formant quelques éclairs d’argents, tournoyantes dans les airs pour essayer de dégager la route. Tout aurait bien pu se passer, si un cristal n’avait pas explosé contre Finaen en l’envoyant tournoyer quelques instants, rattrapé par Lucian pour ne pas qu’il ne tombe hors de la zone de ralentissement. C’est Runne qui finalement, fini notre voyage en formant une véritable tornade tranchante taillant tout nos adversaires en pièces, formant des cercles et des cercles de pouvoirs, jusqu’à notre chute final. Il était temps de découvrir ce domaine abominable et fantastique. Un royaume destiné à des esprits qui sont hélas, tous détruit depuis maintenant quelques années.
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La terre sous les racines. Là où les visions menèrent ceux priant des esprits défunts, désireux d’imaginer que la place serait de nouveau rempli par de nouvelles forces spirituelles qu’ils pourraient vénéré et être renforcés par leurs présences, mais comme on avait pu le voir, les ignares ayant décidé de croire qu’ils se considéreraient élu de forces les dépassant, et nombreux sont ceux qui font un tel choix au risque de se transformer en simple ressource pour être ensuite dévoré afin de renforcer des horreurs. Ce domaine autours de nous avait tout pour être effrayant, le sol semblait comme de l’eau ondulante avec pas mal de végétation apparaissant un peu partout, sombre et inquiétante, contemplant les immenses racines comme des formes dans les environs. Le ciel n’était fait que de ça, de ses maudites racines s’étendant partout comme si nous étions en dessous du monde, en dessous de tout. Quel domaine inquiétant, l’obscurité régnant partout là où la lumière ne tomberait jamais. Mais ce lieu résonnait selon les règles qui les avait vu naître, et peut-être que jadis, des esprits habitaient ses lieux furent bien plus sein et portés dans l’équilibre et la raison de la Sylve. Ce n’était plus le cas. Les cendres des flammes de Dalamud avait tout détruit, et il ne restait qu’un lieu abandonné ayant trouvé un nouveau maître bien décidé à agir dans les environs. Mais il fallait avant tout trouver un moyen de l’atteindre, et pour ça, le chemin vers une sorte d’immense arbre mort au loin sous l’embranchement principale des racines donnaient l’impression de remonter vers les cieux.

Sa demeure, son « arbre-foyer » là où il trouvait une raison d’attendre Aerlin pour savoir enfin qui sera d’eux deux qui existera au dépend de l’autre. Et l’entrée n’était pas vraiment quelque chose de très rassurant, il nous fallait faire bien attention à ce qui nous entourait. De plus en plus, ce qui avait été amené ici risquait de créer des amas de fumées intenses se resserrant sur nous au risque de nous entourer et de nous asphyxier. Je dois dire que je n’étais pas tellement rassurée par les fumées s’approchant rapidement, et on pouvait surtout voir d’où sa provenant : L’espèce d’étrange artefact devait être un cadeau avant sa destruction du Flagelleur physique, comme une relique ayant de l’énergie du néant s’en dégageait, formant des effets de magie un peu partout. Contrôlant la fumée pour sympathiquement nous accueillir et petit à petit essayer de s’écraser sur nous pour nous abattre. Se tenant devant l’artefact, frappant brusquement sur le côté de son marteau de guerre, le massif combattant Elezen semblait plutôt musculeux et serrait les dents. Ses yeux n’étaient plus que de la fumée noire formant des énergies intenses déferlant vers les cieux en mettant son marteau contre son épaule, dans une armure d’acier fantastique avec des pans de tissus blanc provenant de ma Dame de la Graine. Mais on voyait bien que là où il aurait du être tué, remplacé par des parties végétales suintantes lentement. Rugissant que la Graine va éclore, et qu’il ne reste rien qu’on ne puises faire, pour que le Premier des Nouveaux esprits ne naisse et ne prenne le trône de ce domaine. Jaillissant des environs, des adversaires vinrent à notre assaut en répondant à son appel. D’un côté, deux limons noirs jaillirent d’un passage en ayant de nombreux yeux apparaissant, clignant un peu en laissant de la fumée acide le long de leurs corps.

Arrivant de derrière nous, une main de végétation jaillit et s’écrasa dans notre dos, laissant apparaître brusquement quatre être de bois putrides et de végétation pendouillant autours d’eux, en forme de quadrupède effrayant. Du bois claquant un peu partout en agitant leurs membres, tels d’anciennes créatures des bois maudites et mises sous la coup de nos adversaires. Et le dernier ennemi jaillit dans un rugissement puissant. Apparaissant d’un coup en braillant, la créature était une de ses bêtes errantes inquiétantes de Sombrelinceul, une sorte d’énorme Puk vert dont une bonne partie de son corps est avec beaucoup d’amas de végétation putride le long de son corps, crachant une boule de gelée acide au sol, comme le vomissant. Bondissant à droite et à gauche, rugissant de colère et de gargouillement comme si il allait vomir partout, avant de rugir en faisant apparaître une langue écœurante ayant un visage de monstre croquant dans le vide. Si on voulait se sortir de là, il faudrait briser l’artefact comme un sceptre planté, et pour ça, on avait bien des ennemis autours de nous. Runne s’occupa de retenir les maudites créatures presque humaines qui nous fonçait dessus, et pour ça rien de tel que le feu dans toute sa puissance et son chaos. D’un coup, une vague de flammes immenses jaillit et happa les adversaires en une colonne de feu fantastique s’étendant vers les airs. Concentré vers le feu ravageur détruisant tout, il regarda un instant vers Lucain en le voyant en péril, mais les êtres ne lui laissaient pas le temps pour ça.

Esquivant plusieurs griffes, les parant en vitesse, il se retrouva presque en pleine danse martial avec ses adversaires en essayant de ne pas être surpassé par ses maudites créatures à mesure où il luttait avec, sa rapière enflammée repoussant et taillant les deux survivants de la colonne de flammes en ayant consumé deux dans le groupe en arrivant, ne restant plus qu’un tas de cendre et de déchets enflammés. Et directement, il bondit vers l’arrière pour échapper à une charge, et son piège était déjà prêt. Quand les créatures pensaient pouvoir massacrer Runne, c’est que Runne était déjà sur le point de se débarrassé d’elles. Bondissant bêtement sur le jeune mage rouge, la langue de lave jaillit du sol et passa au milieu des deux créatures boisées, s’effondrant par terre en fondant tranquillement dans quelques effets de chauffes, dévasté par leur adversaire. Voyant les gelées, Lucian avait la bonne idée de les congelés. Formant des amas de glaces, celles ci devinrent de plus en plus importante à mesure du temps, réduisant lentement ses adversaires à l’état de glaçon. Mais quoi qu’il ce soit passé, ceux se regardèrent Lucian figé quelques instants, profitant de cet instant pour tirer de leurs rayons oculaires en frappant plusieurs fois notre camarade sorcier s’effondrant en arrière douloureusement. Il avait été prit un instant dans le doute, ou dans une vision, mais en se redressant il créa deux nouvelles sphères en se préparant à les envoyés. Le temps de former une protection pour Sorn, deux autres rayons passèrent dont un contre son épaule bien douloureusement. Mais pour se venger, il envoya brusquement les deux sphères contre les deux gelées en formant des grandes explosions dans une grande dévastation en brisant les deux gelés dans les ondes de choc. En tout cas, c’était sûr, il était bien énervé ! De notre côté, je pensais filer avec Finaen pour l’aider contre le chevalier au bras muté formant comme une gueule de monstre. Mais en voyant le danger sur Sorn, il me fallait finalement lui foncer dessus pour l’empêcher de se faire dévoré par le Puk abominable. Les flammes qu’il lançait partout devait surtout le protégé des amas d’acides lui arrivant dessus en serrant les dents.

Les chaînes de Gladys fondaient en l’atteignaient et les explosions de lumières provenant de ses grenades détonante ne parvenaient à rien. Arrivant dans le dos dans un mouvement fantastique, au désarroi de Sorn, il allait se faire dévoré sous mes yeux, mais je m’étais dis qu’il était hors de question qu’il finisse ainsi. Arrivant depuis les airs, mon sabre fendit en un éclair la gueule du monstre, lui laissant une fantastique blessure tout en l’envoyant s’écraser contre le sol la tête la première. Retombant auprès de Sorn, prête à en découdre, Gladys fusa pour tirer dans tout les sens pendant que les scies de Sorn fendaient la gueule énorme de notre adversaire. Mais le Puk n’était pas vraiment envieux d’en rester là malgré les blessures s’accumulant. Fonçant en avant, il attrapa Sorn par la jambe et le traîna quelques instants un peu partout avant de le balancer par terre. Restant au sol un instant, le Puk envolé lui cracha un amas d’acide, qui éclata brusquement contre la protection de Lucian en une grande Glyphe rouge, le laissant indemne. Il eu un instant immobile, et je rebondissais sur Gladys en l’air, pour lui trancher la tête dans un mouvement vif, l’éclair passant avec ma lame, le laissant tomber en deux morceaux. C’était fort bien de vaincre les adversaires, mais ça n’arrêterait pas la fumée assassine, que Aerlin et Finaen firent en sorte de comprimer. Le chevalier Elezen tirait des vagues de flammes vertes droit vers Finaen en essayant de le consumé vivant pendant que Aerlin pouvait atteindre l’artefact. Il utilisa avec violence dans une puissante tellurique, son bâton pour parvenir à créer une force tellurique toujours surprenante provenant de notre ami élémentaliste et médecin.

C’est comme si votre médecin habituel vous donnant un bonbon en vous disant que ça ira mieux après quelques soupes au nouilles sortant un marteau de guerre pour commencer à détruire un objet maudit par la force. Mais cela servit à le briser, fracturant l’artefact en laissant voir le néant à l’intérieur, même si la radiation envoya Aerlin s’écraser lourdement sur le dos. Commençant sa purification, l’Elezen avait perdu presque l’usage de son bras tant l’énergie blanche formés par les effets de Finaen commençait à l’envahir. Pour pouvoir le tuer de son épée, il prit une liane et l’envoya pour attraper Finaen en l’air, et ce dernier se saisit de l’opportunité pour la saisir aussi. Attrapant la liane, Finaen voulait parcourir cette dernière pour purifier encore plus l’Elezen, mais celui ci tira de toute ses forces, une puissance monstrueuse attira Finaen droit vers une pointe de bois sortant de la gueule de son bras monstre pour essayer de l’embrocher. Arrivant à toute vitesse, il allait se faire tuer, mais le bras et la pointe de l’Elezen avait disparut, ainsi que tout le bois maudit : Le flot purificateur qu’Aerlin était en train de créer en puisant dans le Vent, les eaux et la terre, avait consumé finalement en rejoignant la purification de Finaen, l’ensemble de l’Elezen qui vacillant, et remercia Finaen avant de disparaître, ne laissant qu’une armure choir au sol. Le reste de l’éther intense fusa droit vers l’artefact, explosant subitement dans sa purification, formant une grande onde de choc. Aerlin nous avait tous libéré et sauvés, les ondulations jaillissantes sans cesse jusqu’à nous permettre d’y voir quelque chose. L’ombre du grand arbre. Et la cosse qui le protégeait.
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Alors que la fumée s’estompait, formant un reflet puissant et des ondulations de lumières disparaissant, un passage naquit à notre regard, comme si des racines s’étaient brisés en morceaux en formant un accès vers une sorte de grande cosse. Se redressant en toussant, Grim jaillit en ayant visiblement créer la voie, criant qu’ils peuvent atteindre le Maître des écorces, celui qui empêchait encore l’accès au Tree Barar. Si on ne pouvait pas encore l’atteindre, lui et la Graine, on pouvait au loin atteindre cette maudite horreur et gagner un accès à venir vers notre objectif final. Progressant ensemble après un instant de soin, nous découvrions un passage d’innombrables racines et de ronces noires laissant de la fumée un peu partout, dégoulinante de gelée dans les environs formant la magie volée à tout ceux ayant été mut de malchance. Des bras sortaient parfois de tout ça, des jambes, des moitiés de corps voir plus infecte encore, des visages. Tout ceux ayant été mené sous les racines, étaient dans cet état pathétique de souffrance atroce qui les rendait affreux à voir, à supporter la vision de leurs cadavres dans un tel état. Autant ne pas trop s’attarder sur les visages, me dis-je, c’était un coup à avoir de nombreux cauchemars qu’on ne voulait pas garder trop longtemps. Marchant quelques instants dans ce triste domaine, en direction d’une énorme cosse comme un bourgeons abandonné donnait l’impression d’une petite maison, il fallait bien entendu que nos adversaires ne tentent de nous arrêter. Sortant lentement de la gelée, d’innombrables insectes jaillirent en s’élevant lentement, formant quelques espèces différentes. Scolopendres, araignées, fourmis, tout ce qui était affreux nous arrivant rapidement dessus dans des chuintements effrayant.

Ils avaient plus de carapaces que la normal, bien plus de ténacité visible, et il nous fallait partir rapidement avant que ses vagues d’insectes semblant sans arrêter ne nous assaillir, comme si ils étaient pas simplement innombrables. Mais plutôt illimités. Il nous fallait se battre avec acharnement, et partir, surtout que des plus gros arrivaient alors, d’énormes scarabée progressant dans la masse, mais les ronces voulaient lentement se refermer, Grim criant qu’ils voulaient tout faire pour nous bloquer le passage, progressant ainsi rapidement pour nous échapper d’ici. Et c’est là que l’horreur advient : Des appels à l’aide. Quelques personnes étaient encore en vie. Ça n’était même pas une tentative d’appel à l’aide du Tree Barar faussée pour essayer de nous piégé, mais bien des personnes n’ayant pas été consumés, étendue dans les gelées. Ils nous criaient dessus, nous appelant à l’aide, et ce fut alors une horreur de voir une jeune fille se fait dévorer en quelques crocs par plusieurs insectes géants après avoir fait trop de bruit. Toutes ses visions étaient une des situations les plus effrayantes possible, j’avais l’impression de nager en plein cauchemars et mon esprit parfois voulait refuser ce qu’il voyait. Bien des combats furent menés, affreux comme héroïque, mais de tels présence là où le Tree Barar fait naître ses horreurs étaient absurdes, horrifiantes, et pourtant si on arrivait pas à l’arrêter. On ne pourrait simplement pas atteindre la Cosse dans l’ombre d’un monde rêvé par un monstre infâme. Ainsi, immédiatement, notre équipe fut comme divisée en deux. Ceux progressant avec Grim, laissant Aerlin Runne et Lucian partir en avant, et ceux sauvant le plus de civil possible, avec moi, Sorn et Finaen. Mais dans tout les cas, les flammes furent fantastiques, animées par le bleuté de celles tirées par Sorn absolument partout en gardant Gladys contre lui pour ne pas qu’elle assiste à tout ça et que son intellect toujours en développement ne grave pas de tels atrocités dans son mental, il ne restait plus qu’à sauver le plus de civil possible.

Les ronces elles étaient noyés dans les flammes provoqués par Finaen et Runne, usant de la vieille bénédiction du Phénix noir, celles ci étaient d’un noir intense s’accumulant en détruisant simplement tout, permettant d’avoir un accès efficace pour s’échapper. En tête, formant un halo de puissance d’un blanc pure, Aerlin accueillait avec lui tout ceux que nous lui envoyions afin de les protéger en repoussant les insectes et les ronces comme un phare au milieu des ténèbres. C’était un effet simplement fantastique, et j’avais hâte de le rejoindre pour être en sécurité, alors que Runne consumait les insectes en progressant avec Lucian qui les avait congelés, brisant le passage avec des pointes mauves explosives. Cependant, d’un coup, pas mal de sortes de liens attrapèrent Runne en le blessant sans cesse à cause des ronces, arrivant rapidement jusqu’à lui pour le coincé, l’empoisonné, tout en voyant subitement l’ombre d’un Ixali chercher à le tuer. La griffe fut bloquée par la faux de Lucian, repoussant l’horreur en libérant son camarade. Et nous fimes de même avec Finaen, balancé par des mandibules au milieu des innombrables horreurs. Sa jambe blessée, les noulithes formant des éclairs n’arriveraient pas à tous les repoussés. Mais au milieu des flammes bleues et de toutes les victimes que je faisais à coup de sabres dont les éclairs grillaient ses créatures, ce fut suffisant pour s’échapper avec Finaen, et tous rejoint le halo d’énergie lancé par Grim à son tour. Il criait de passer, qu’il pouvait se charger des habitants en repoussant tout les insectes. Il nous fallait entrer dans cette cosse, et en finir avec ce qui protégeait l’arbre-foyer du Tree Barar. Car c’était notre seule voie pour enfin le faire tomber.

La cosse ouverte, l’intérieur semblait plus grand visible à l’intérieur qu’à l’extérieur, l’effet de la fumée le long des murs les faisaient disparaître comme si ils n’existaient pas. Au fond de là au moins, il y avait notre récompense alors que nous progressions doucement dans ce domaine maudit, voyant des présences de veines étranges parfois dans la fumée et dans le vide comme si nous étions dans une énorme plante. Encore une fois, l’impression d’être une petite fourmis dans un bourgeons immense, n’était pas une agréable expérience avec les combats menés jusque là. L’horreur sous les Racines était bien difficile à géré, mais sans y parvenir, Aerlin resterait en danger et nous fûmes au moins là où l’essence du pouvoir permettait au Tree Barar de protéger sa demeure : Face à nous, se tenait une sorte de petit arbre comme l’essence d’un esprit mineur captif, formant des reflets d’énergies dans les environs qui furent captés droit vers l’arbre-foyer immense sous les racines. Cette force tirée régulièrement n’était pas faites pour la vider entièrement. Toutes forces qu’elle reprenait, lui était volée, pour alimenter cette force et permettant à garder des défenses de plus en plus intensément. Si ce lieu restait déjà effrayant par la présence de cette noirceur et du souffle du vent comme si nous étions étrangement en extérieur, où les insectes survivants, les rares, retournaient se cacher là où ils devraient jamais revenir tandis que Grim sortait les habitants sauvés de là. Il ne restait qu’un seul obstacle pour atteindre l’arbre de pouvoir et nous débarrassé de ce problème avant d’atteindre le Tree Barar : Une horreur sans nom. Une forme comme un gobbue, le bas de son ventre n’était qu’une bouche bardée de crocs, claquante dans le vide de façons monstrueuse en progressant vers nous comme un cauchemars incarnés.

Apparaissant à ses côtés dans des ondulations de lumières, jaillirent deux créatures de la sorte. Une Adamankhélone bien plus moisie et affreuse que la Tortue des tourbière, progressant en émettant des écumes noires au sol en claquant de la mâchoire régulièrement. Heureusement, elle n’était pas aussi énorme que la Tortue vaincue dans les marais, sinon nous aurions beaucoup plus de problèmes Se roulant d’un coup en boule, nous fonçant dessus à toute vitesse en passant brusquement entre Runne et Lucian en ayant faillit les percutés soudainement. Il restait encore à apparaître l’autre horreur, jaillissant brusquement en s’agitant de droite à gauche. Des grandes ailes d’une noirceur inquiétante, et un visage hideux, le Ixali devait être un massif guerrier en remuant la tête de droite à gauche. En tout cas, le Tree Barar lui avait offert des ailes, émettant des claquements de son bec, un souffle de pouvoir apparaissant le long de son incarnation dans des grandes lumières vertes avant d’envoyer un barrage de sphère d’énergie intense exploser dans tout les sens. C’est en ce domaine verdoyante à l’étendue immense que nous aurions à nous battre face à de tels atrocités. Mais au moins c’était un départ pour en finir définitivement. Et ils allaient payer pour nous avoir sous-estimés. Directement, Lucian disparut en voyant la tortue lui passer à côté. Visiblement, ça n’allait pas bien finir pour elle, car il n’avait certainement pas vraiment apprécier d’avoir frôlé de se faire écrasé par cette chose. Se tournant d’un coup, il envoya une grande bordée de cristaux mauves fusant droit vers Aerlin et son adversaire pour le protéger des vagues de lueurs vertes lui arrivant dessus. Il n’était pas question de laisser Aerlin se faire blessé par tout ce qui lui fonçait dessus, provoquant de nombreuses explosions dans les airs. Quant à la tortue qui allait l’écraser en roulant vers lui, les chaînes jaillirent brusquement en se plantant brutalement partout dans la carapace en la brisant en de nombreux endroit.

Coincée, claquant des dents juste devant Lucian en espérant le dévoré, il ne pouvait rien y faire si ce n’est subir cet état lamentable jusqu’à ce que brusquement, Lucian ne la libère non pas pour lui faire une fleur mais pour en finir. Dans une grande formation d’énergie s’extirpant des chaînes, envoya son pouvoir tournoyant autours de Lucian quelques instants dans des flux de pouvoir, qu’il fit revenir droit au dessus de lui. La formation de pouvoir gagna de plus en plus de puissance en s’amplifiant à chaque secondes, jusqu’à ce que la tortue reculant brusquement reprit sa charge. Mais trop lent, elle fut alors accueillie brusquement par une lance de cristal mauve puissante le traversant entièrement, laissant une tortue écœurante s’écraser à côté de Lucian qui la regarda avec dédain, s’effondrant lourdement en deux amas de végétations sur les deux côtés, vaincue subitement. Elle n’avait eu aucune chance, et Aerlin avec Runne purent s’occuper d’une façons très étonnante de l’Ixali. Au début, pour Aerlin, c’était surtout un combat de protection en formant des amas aqueux autours de lui pour empêcher les explosions de l’atteindre en envoyant les flots tournoyant. En utilisant sa rapière enflammée, Runne gardait le contact de plus en plus avec l’Ixali, le frappant et reculant subitement pour essayer de tenir sa compagnie et sa focalisation droit vers lui. Permettant à l’horreur de lui montrer son dos, l’homme bête ne s’attendait pas à se prendre brusquement un flux purificateur dans le dos détruisant une de ses ailes et une partie de la contamination.

Aerlin avait de la pitié pour l’homme bête, et décida de faire de son mieux pour le sauver. Malgré tout, en frappant son bâton au sol, Runne devinant ses intentions gardait son adversaire face à lui en luttant avec sa rapière tout en esquivant les boules d’énergies vertes dont plusieurs frappèrent brusquement Aerlin. Il continua sa route en attrapant son bâton, et l’énergie diffusée dedans forma deux bras de pierre sortant des flots pour attraper les bras de l’Ixali pile quand il tenta d’étrangler Runne subitement. Le retenant en le mettant en position de soumission, le pouvoir purificateur fut si puissant qu’il fini toujours sur les deux genoux, les flux de pourritures disparut en le laissant la tête baissée tout en sanglotant. Il pleurait que le prix à payer pour ses ailes avait été bien trop excessif, en se lamentant. Mais il était en vie, et peut-être se reprendrait-il un jour ? Difficile à dire. Mais au moins, nous étions sur le point d’en finir, car Sorn et moi avions vaincu le Gobbue monstrueux pendant que Finaen rejoignait rapidement l’artefact dans les airs pour le désactivé. Il parvint en restant en l’air, ses noulithes le portant, à ouvrir ce dernier en formant d’innombrables glyphes rouges d’une complexité sans nom, pour commencer à essayer d’arrêter cette dernière. Il fallait avoir le Gobbue pour le protéger en cas de soucis, et Sorn provoquait d’innombrables explosions dans des déflagrations d’une grande puissante, ses grenades et ses tirs formant d’innombrables impacts en s’acharnant quelque peu pour essayer d’en finir en serrant un peu les dents. Mais le Gobbue jaillit des explosions et l’avala dans sa gueule visible sous son corps monstrueux, le faisant disparaître à l’intérieur de son corps.

Coincé dedans, il allait être broyé et fondu, mais je fusa à toute vitesse en tranchant subitement le ventre du Gobbue avec plusieurs frappes jusqu’à ouvrir le passage à Gladys qui entra en hurlant pour attraper son maître et disparaître avec dans un claquement d’air aux lueurs rosées. Revenant brusquement à côté de moi en tombant au sol, Sorn se sentait encore mal, voyant sa tourelle pleurnicher contre son torse en l’apaisant un peu, se préparant à la contre-offensive. Je préparais mon éther, concentrant celui ci pour une frappe bien plus puissante, ne pouvant empêcher le gobbue de frapper Sorn. Le tir à toute puissance dans un reflet de pouvoir fantastique, brisa une bonne partie du visage du Gobbue, laissant une blessure abominable à la créature, qui progressa malgré tout vers lui. Une grande claque frappa Sorn et l’envoya à terre subitement, le laissant sonné quelque instant, avant que la bête ne s’approche pour le dévorer de nouveau. Prenant son Tanto offert par Greil, Gladys resta devant l’horreur toute tremblante, prête à se battre. C’était brave, mais j’allais lui faire l’honneur de nous en débarrasser. Me mettant devant, j’usais de la Technique de l’aube, une attaque meurtrière pour fendre un adversaire de cette nature. Le coup trancha en deux à l’apparition du tonnerre d’un éclair jaillissant avec ma lame, laissant une forme d’aube là où l’horreur fut fendue en deux, s’effondrant en deux partie après avoir été tranchée.

Je félicitais un instant Gladys, elle l’avait bien mérité c’est certains ! Nos adversaires furent vaincu, et Finaen avait fini par trouver un moyen d’arrêter l’artefact de Sepheris. Mais la magie le broya de plus en plus, une explosion apparaissant aurait pu le faire choir lourdement au sol, mais Lucian l’avait rejoint pour l’aider dans son aide, empêchant Finaen de s’écraser et retombant ensemble lentement pour revenir à terre avec l’artefact éteins chutant brusquement. Quelques instants plus tard alors que nous reprenions notre souffle et nous occupions des blessés, Grim arriva avec Ae-Lenil-Aramis et la jeune Yldada Ylda tremblante un peu ainsi qu’avec plusieurs habitants venu contempler ce qu’il se passait. Formant un mouvement de sa main, le jeune Padjal fit apparaître hors des brumes de la cosse, l’immense pont menant à l’arbre-foyer du Tree Barar. Là où il siégeait, dans l’ancien habitat des esprits morts depuis quelques années maintenant. Il faudrait quelques jours pour préparer notre départ là-bas. Mais Ae-Lenil-Aramis était conscient d’une chose : C’est là-bas que se jouerait la chute du Tree Barar définitive, et le secours du cristal de Mage blanc ayant appartenu à la Bannie. La dame de la Graine avait offert cet force à sa graine. Et il fallait aussi le libéré désormais. »
Akayane Kosenjobi.

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