[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 12 févr. 2021, 16:35

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-dixième Entrée – « Acte 3 – Un vice dans les flots noir.»
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« Avoir arrêté à l’obscurité du Bannock nous offre quelque chose de précieux : Du temps. Quelque chose est la cible clair d’Ikijin et sa harde amené par les forces du nuage noir, mais au moins les afflictions aux civils furent contraintes de plus en plus. Le joueur de clochette, nous n’avons pas entendu parler d’autres entités usées par Ikijin pour les œuvres de corruption comme ils se plaisent tant à provoquer au sein des forces malsaines que nous affrontons. Alors que le Bannock était en train de s’en remettre rapidement sous la surveillance de Sulfur, les deux vipères traquaient déjà d’où pouvaient bien provenir les ressources Hingashiennes amenées ici. Et les chariots menaient à l’est, vers des lieux complètement isolés et difficiles d’accès où on ne trouvait que quelques villages solitaires. Les tracés fournis par les déplacements des éclaireurs à suivre étaient chaotique, et naturellement si on nous à demandé d’intervenir sans preuve exacte de la présente du Joueur de clochette, c’est que le groupe des trois éclaireurs avait disparut d’un coup. Peut-être avec un peu de chance et une intervention rapide, ils seraient rapidement retrouvés, et en vie ! Pour l’instant, nous nous retrouvions pour nous mettre en route directement au Bannock.

Comme toujours, Eloise nous attendait sur place et nous avons été rapidement rejoint par Runne. Ugumori serait le seul gardien massif présent pour nous protéger car Livio avait prit sa pistolame céruléenne pour des tirs à distance et des frappes au céruleum. Dans une tenue bien plus légère me faisant pensé à ce brave Sorn qui n’était pas des nôtres cette fois ! A’tinea et Aerlin seraient de nouveau là pour prendre soin de nous, ce qui ne serait pas un mal au vue de la difficulté de tels missions. Au moins, l’équipe était préparée à ça avec ce qu’il s’était passé au Bannock quelques jours plus tard, et nous nous mettions en route à travers la forêt dans des recoins solitaires. Si ce n’est la difficulté du terrain, du moins pour ceux moins adaptés à de l’escalade et des mouvements attentif, sous la clarté de la fin du jour se noyant lentement dans l’obscurité nocturne. Il fallait grimper des hauteurs de pierres, de mousse et de bois, tout en passant à travers au moins un immense tronc d’arbre qui craquait sous nos pieds en faisant parfois quelques trous. Vu la cascade en dessous, c’était pas une très bonne idée de choir dans le vide à ce niveau là. Si ce n’est les lianes à grimper, Livio aidant avec son grappin notamment, il y eu un insecte quelque peu surprenant. L’énorme bourdon de la taille d’une bête domestique menaçait Aerlin, et peu avant qu’il ne soit tranché et incinéré par Livio et Runne, un visage se dessina à l’intérieur de sa peau dans des hurlements puissants. Il n’eus pas le temps de faire grand-chose, mais il était certains qu’un effet des plus néfaste avait court dans les lieux et nous avons finalement atteins la route solitaire perdue au milieu de nulles part.

Repoussant les feuillages, se dévoila à nous un passage usés par les locaux habituellement pour quelques passages, mais qui était désormais bien plus animé. Un campement de fortune servant de relais de marchands y avait été installé, et de nombreuses personnes discutaient, riaient, chantaient et s’amusaient en tournoyant sur une piste de danse improvisée. Il y faisait bon vivre, mais l’horreur du bourdon avait été un rappel strict pour bel et bien voir que rien n’était normal surtout pour un endroit aussi isolé. Le premier réflexe de la plus part de nos compagnons furent d’inspecter les lieux dans les magies possibles ayant un effet dans les environs. Au moins si la Sylve ne souffrait pas réellement, les forces élémentaires des eaux étaient touchés par quelque chose de néfaste qu’Aerlin avait clairement identifié, il y avait une force qui souffrait et il répéta quelques fois le mot de Locae. Pour A’tinea, elle avait bien ressenti les tissages illusoires autours de nous, démentant bien toutes les offrandes autours de nous apportant des tas de viandes de toutes natures pour nous poussé à manger. Ugumori avait bien raison de se méfié, la dernière fois ils s’étaient servit des fruits de la pêche pour essayer de corrompre les habitants. Qu’est-ce que c’était cette fois ? Hélas la vérité n’avait rien eu de joyeux, et le Roegadyn avait au moins identifié la viera – du moins, ce qui avait prit le visage d’une viera, qui nous observait au loin. Reconnaissant les souillures locales, nous sommes aller voir le spectacle au centre de la ville qui dévoila d’un coup ce qui ressemblait à une créature du néant. Installée dans une cage, comme si elle avait été capturée à l’instar d’un sanglier impressionnant et sans danger.

C’était plus que suspect, il était toujours armé et la cage s’ouvrit d’un coup sans réelle explication sous le regard du Lalafell bien heureux qui agitait un peu les bras en montrant de venir s’amuser qu’on ne risquait rien. Les trois éclaireurs avaient été retrouvés dans la masse, ivre mort, et très heureux de se retrouver là mais quand Ugumori houspilla l’un d’eux, ils dévoilèrent un peu rapidement qu’ils se sentaient vraiment mal. Malheureusement, ils avaient ingérés le piège motivés par le bruit d’une cloche mauve agitée par la cuistot. Dans une lueur de purification, A’tinea avait fait apparaître la véritable nature d’une des charmantes servantes qui offrait les denrées, devenant une odieuse créature. La gourmandise, c’était cette émotion qui avait distordu les personnes transformées en monstres à travers leurs désirs de se nourrir et d’acquérir toujours plus. Et au même moment, Eloise avait sécurisé le passage vers le démon et fait en sorte que personne ne l’assaille jusqu’à ce que Runne n’aide ce dernier à retirer l’illusion autours de lui.

Comment Finaen avait-il fini dans cette situation et sous cette illusion ? Difficile à dire. En tout cas, il était de retour, et la foule paniquait grandement à cause de l’apparition des infectés et la plus part étaient souffrant à cause du poisons qu’ils avaient ingérés. Des œuvres de purifications avaient été débuté par Aerlin et A’tinea pendant que nous étions en train de repoussé ses maudites créatures, les explosions d’Eloise améliorée par les vents de son Egi dévastaient ses horreurs alors que nous libérions un instant avec mon sabre ce pauvre Runne qui s’était fait avalé en un éclair. Ugumori se débattait en balançant des assaillants à droite et à gauche pour s’en débarrassé alors que Livio avait frappé la chef cuistot avant qu’elle ne soit empalé proprement au bout de son épée. Il fallait mettre en sécurité les civils, surtout qu’ils étaient protégés par les forces de nos guérisseurs afin qu’ils ne se transforment pas à leurs tours. Réagissant, les deux vipères contactèrent Sulfur pour avoir de l’aide d’urgence pendant que nous nous préparations à partir : Comme Aerlin en parlait, Finaen était régulièrement contact par une voix nommée Locae essayant de le faire venir à lui. Si on intervenait pas vraiment rapidement, l’agonie de l’élémentaire le pousserait simplement à la mort. Et si c’était ce que nos ennemis voulaient, ça ne serait pas sans une très bonne raison. Bonne pour eux, mais bien plus mauvaise pour nous. Ainsi, après une percée rapide, on se mettait en route.
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Il y avait un court d’eau un peu plus loin. Visible depuis la hauteur qu’on avait prise pour arriver jusqu’à la route marchande qui se remettait petit à petit de ce qu’elle venait de vivre. Pourtant, j’avais l’impression qu’elle était beaucoup plus loin qu’attendu sûrement à cause des horreurs qui s’y trouvaient le long de la route. Des corps avaient été abandonnés dans des chariots en attendant d’être utilisés par ce que la cuisinière nommait le « Goret », le surnom maudit de l’entité du néant que le joueur de clochette devait utilisé dans un projet qui nous reste encore inconnu. Tout ce mal provoqué était néanmoins plus qu’une raison de punir leurs actes et de les arrêtés, parfois hélas, même si nous sauvons des vies. Je me sens plus comme étant une simple vengeresse au lieu d’être u ne protectrice. Mais les gènes de la route ne s’arrêtaient pas aux civils perdu, et aux mornes visions, mais bien à ses sortes de gelées noires qui erraient sur la route. Cela faisait pensé aux flux qui coulaient en empêchant notre passage vers le tronc où siégeait l’obscurité du Bannock. Si elles ne provoquaient pas autant de vision, les entités monstrueuses voulant en sortir étaient légions. La première sortie de nulles part eue le crâne fracassée avant de pouvoir atteindre Ugumori quand le poing d’un golem gardien s’écrasa sur son visage en l’écrasant au sol. Les protecteurs de Locae étaient des sortes de pierres tournoyant dans les airs mêlées à des trombes d’eaux traçant ce qu’elles essayaient de représenté : une massive silhouette guerrière. Pourtant, le gardien s’écroula après avoir protéger Ugumori en restant contre le sol, on pouvait y voir mêlée à l’eau cette même sorte de gelée noir qui nous était apparue clairement sur le commerce de la route.

Les infectés de la gourmandise mourant se transformaient en cette eau noire à mesure qu’ils fondaient au sol en permettant en quelque sorte un contrôle sur les flots. C’était la troisième fois lors de nos missions qu’il y avait une représentation de l’eau parmi les forces de nos ennemis, ce qui n’avaient rien de rassurant. Que peuvent-ils bien rechercher en parvenant à sa maîtrise ? Pour l’instant, nous progressions sous la cloche des protections de Tinéa et Aerlin chassant et purifiant ce qu’il y avait de mauvais autours de nous, L’astromancie de Tinéa avait un effet des plus efficace sur cette noirceur ambiante alors qu’Aerlin lui faisait jaillir une eau pure là où certains gardiens s’en trouvaient démuni. Nous étions en train de tailler la route de toutes oppositions malgré la vague de ce flot infamant ayant frappé nos flancs et passé en partie outre les protections. Une fois de plus, c’était Runne qui en avait subit les conséquences et il se mit à tousser fortement après en avoir ingéré un peu. Les purifications actives, il en serait vite lavé, mais ça n’avait rien d’appréciable pour son état de santé.

Nous sommes parvenu jusqu’au bout du chemin après avoir été confrontés à ses vagues déposant à chaque fois au milieu de nos rangs plusieurs de ses démons fait de l’eau impure. A chaque fois, il fallait les repoussés malgré quelques griffures qui passèrent notamment dans le dos de Livio, les déflagrations de magie d’Eloise permirent avec mes coups de sabres de les dispersés le plus possible. Ce fut donc dans un effort de concentration pour ne pas être noyés par l’inattendu que nous avons rejoint Locae. Si elle était visible de loin, c’était bien à proximité qu’elle resplendissait le plus dans toutes les lueurs environnantes se mêlant à son incarnation. Des immenses sphères d’eaux tournoyant autours de son noyaux central. Elle était l’incarnation de cette rivière, la force élémentaire consciente qui animait jadis ce court d’eau si on pouvait en suivre quelques légendes locales sur les prières des habitants du coin. Pour l’instant, elle était surtout sur le point d’être détruite : Aerlin et Finaen avaient ressentie son agonie, qui était visiblement due à une sorte d’immense bras fait de nombreux morceaux des cadavres réunis pour le former. Il essayait de saisir le cœur même de l’incarnation élémentaire bloquée par les eaux noirs environnante sous la directive de la Viera sur la tour de guet vue au commerce. Tournant brusquement la tête, son sourire s’élargit beaucoup trop et son corps était mêlée à des formes de chitines noires lui donnant tout son aspect maléfique à l’instar des Oni Hingashien.

Plusieurs combattants transformés en ombre en armure surveillaient le traître Gridanien qui avaient du les menés jusqu’à Locae tout en surveillant un parchemin où s’y traçait une carte. De nombreux kanji d’orient apparaissant dans le vide à mesure qu’ils fouillaient dans la force élémentaire dans le but d’atteindre un objet bien précis. Ce qui apparaissait pour l’instant, qu’une bouillie d’encre sur le parchemin. Dès que nous sommes arrivés, Tinéa essaya de nous rendre quelques forces dans une puissante lumière tournoyant autours de nous pendant que Finaen, Ugumori et moi foncions ensemble droit sur la Viera. Elle se débrouillait vraiment bien, l’ondulation de force apparaissant quand elle agitait sa clochette était en train de happé Finaen jusqu’à ce qu’elle soit interrompue par nos assauts. Esquivant les chocs plus puissants du Roegadyn, ce qui ne lui fit pas raté mon sabre entaillant son torse, son déchaînement ne lui permit pas de nous atteindre alors qu’elle tournoyait dans tout les sens en frappant toutes les directions. A côté de nous, le bras reculait lentement sous l’intensité de la purification d’Aerlin qui nous offrit du temps pour agir. Les chairs s’enflammant due à l’incinération de Runne avait grandement simplifié sa démarche, et si la Viera voulu y faire quelque chose, ce fut vain, Ugumori lui broyant et arrachant ironiquement le bras tenant la clochette avant que Finaen n’use des eaux pour la couper en morceaux. De l’autre côté, les démons-poissons sorties des eaux ne purent pas faire grand-chose une fois bloqués par la cage d’éther d’Eloise, offrant à Livio des cibles dont il profita pour largement les taillés en pièce. Il observa avec colère et confusion le dernier survivant dévorer ceux qui étaient tombés pour gagner en force et briser la barrière, avant de venir s’écraser sur le Raen.

Difficilement, il s’en débarrassa malgré le balayage qui lui fit subir, et pu se redresser pour voir le gros problème qui s’annonçait. Malgré le choc du néant l’atteignant presque, Eloise avait tout fait pour s’approcher de la carte. Je taillais en pièce à mesure les spectres hingashiens avec l’aide au début de Runne puis des tirs de Livio, et le traître Gridanien avait été mit hors de combat par une trombe d’eau s’écrasant sur son visage ainsi qu’un brouillage de la magie. Le rire gras du démon de la gourmandise se fit entendre partout autours de nous, et les morceaux de cadavres s’extirpèrent du ventre du magicien parjure. Cherchant à rejoindre la carte comme le noyaux, vu l’intensité de ce sort, on devrait se focaliser sur un des deux et au grand malheurs d’Eloise qui parvient tout de même à faire massacré les chairs par son Egi-Garuda avant d’atteindre la carte pour l’observer un instant. Le reste de nos compagnons choisirent la défense de Locae. Quatre éléments furent conjoint entre la foudre, l’eau, la terre et la glace tournoyante autours du noyaux en repoussant ce mal, Aerlin soutenu par Tinéa dans sa maîtrise élémentaire, jusqu’à ce qu’elle soit définitivement protégée. L’esprit de cette rivière était sauf, et les forces de la première et dernière créature du Joueur de clochette, et après tout le mal qu’elle avait provoqué jusqu’aux frontières de la porte du blaireau bleu. Il était temps que ce démon paie pour ses crimes.
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Pendant un bref instant, nous avons eu le droit à l’éveil élémentaire qui anima les eaux autours de nous. Des flots surgirent d’autres boules de lumières bleutés aqueuses qui se mirent à tournoyer un peu partout en finissant de désagrégée tout les maux environnant qui avaient tant voulu prendre place. Lentement rejointe par les gardiens survivant se traînant vers la rivière pour se faire purifier à leurs tours. Le cœur de Locae rayonnait doucement et nous offrit l’infusion de sa présence. Une puissante irradiante qu’avaient convoités nos ennemis, qui nous suppliait néanmoins d’atteindre la corrupteur dans sa demeure isolée. Ce devait être jadis une maison familiale pour des chasseurs au plus proche de la nature en tuant uniquement ce qu’ils devaient pour se nourrir et nourrir les autres. Quoi qu’ait pu faire le joueur de clochette, il l’avait utilisé pour corrompre tout les gens à l’intérieur en leur donnant une envie exacerbée, transformant la gourmandise en une force démoniaque. Après avoir profité des eaux pour reposer nos esprits pour ceux qui étaient touchés par la vision, ou avoir le droit à un bref lavage pour notamment ce pauvre Runne qui avait été souillé deux fois par cette gelé noire. Propres et revigorés par quelques effets de magie, nous n’avions dès lors pas le temps de contempler ou de se reposer plus que nécessaire : Ugumori l’assura d’un ton ferme, il fallait rejoindre la demeure solitaire dont avait parler – si on peut nommer ça « parler » au vu des sensations usées pour faire comprendre un message – Locae en désespérant de voir cette chose disparaître.

Ce qui fut une splendeur offerte par les flots, devint rapidement en suivant Ugumori qui s’était déjà élancé en avant, une morose scène. Les environs étaient plongés dans l’obscurité en empêchant le voile lunaire d’offrir une clarté d’argent. Une brume infâme ondulaient dans les environs générée par les ondes des cloches mauves frappant ici et là, créant des illusions liées à la gourmandise. De la nourriture illusoire apparaissait sans cesse le long du chemin, essayant d’attisé en nous l’envie qui avaient fini par atteindre les esprits de ceux rôdant dans l’obscurité. C’était rare qu’ils s’approchaient pour nous attaquer, mais au moins furent t-ils rapidement mit de côté par les sorts d’Eloise et le kanabo de Roegadyn mettant de côté ses pauvres esprits affligés. Peut-être pouvaient-ils encore être sauvé ? Dans l’instant, nous nous concentrions à isolé de nos esprits toutes notions de tentation généré par le démon de la gourmandise. C’est ce qui nous fit arrivé sain d’esprit, et sauf de corps, devant la demeure illuminé par quelques lampes frappés par le vent illuminant l’espace. La porte était bloquée par l’incarnation de chair du démon qui empêchait l’accès en des ondulations et mouvement organiques de la protection immonde. Hors des absurdités mentales nous transformant en dégénéré affamés, on ne pouvait pas vraiment trouver charmant les écœurantes incarnations du « Goret », comme ils avaient nommés le démon lui même.

Nous avions le choix d’essayer de trouver un moyen de le faire sortir, d’entrer lentement en se protégeant, mais nous avons fait celui de la destruction totale. Se préparant à empêcher que l’écho de dévastation ne se répercute sur la nature environnante, et j’espère qu’au loin un Kyuuji nous en remercie d’avoir tout fait pour que les arbres n’aient rien ! Aerlin et A’tinea se concentrant, ayant du mal à retenir pour autant l’amas de destruction provoqué par les flammes de Runne s’élevant par le céruleum détonnant projeté par Livio et les vents d’Eloise attisant la déflagration. S’y mêlait la foudre que nous concentrions avec Ugumori et Finaen. L’instant après la puissance brutale du choc, l’entrée n’était plus qu’un amas de décombre où des flammes bleutés ondulaient doucement en ayant projetés des débris de bois un peu partout dans les environs. A l’intérieur, le démon de la gourmandise attendait. Trois têtes difformes collées aux parois se tournaient, posant sur nous ses six yeux mauves – trois à droite, trois à gauche, la tête principale n’ayant qu’une immense rune lié à Tsakyoki même.

Entrant à l’intérieur, constatant que l’étendu du démon était celle de la maison elle même et que nous y avions détruit la bouche principale. Il était temps de frapper, et aussi tôt nous avons commencer à ravager les deux têtes sur les côtés. Appelant ses serviteurs avec l’immense cloche mauve au dessus de la demeure, les affligés avançaient en traînant des grands morceaux de chairs afin de lui permettre de reprendre des forces. Repoussé par les vents d’Aerlin dans une lueur verdoyante, ce fut un jeu d’enfant pour Livio de les coincés au sol par des tirs bien placés les sonnant sans les blessés. De la glace apparue dans les bouches différentes du démon, arrêtant les bruits infâmes qu’il produisait et plus clairement le gênant, tout simplement ! Alors qu’une de ses têtes fut dévastée par Finaen dans une myriade de lueur d’épées d’éthers se plantant dans sa gorge même. La tête principale était sur le point d’être détruite, l’impact enflammé d’Eloise dans un grand choc se joignit au choc du Gardien Roegadyn désireux de sonner le glas pour cette créature. Elle ne pouvait plus se régénéré, et les chocs intenses étaient en train de dévasté son incarnation déjà bien mit à mal depuis l’explosion initiale. Envoyant Runne et Finaen s’écraser au sol dans une sorte d’amas de gaz verdâtre s’écrasant sur eux en vague. Tous purent se défendre de tels effets jusqu’à ce que les têtes disparurent pour laisser apparaître la forme réelle du démon de la gourmandise.

Une fine créature aux bras démesurément grand, qui hurlait à la faim qui intérieurement la consumait. Sa tête s’étendit et ses dents s’enfoncèrent proche de la carotide d’Ugumori, laissant son cou saignant à défaut de parvenir réellement à lui arracher. Pour ma part, je reçu un coup d’un sabre noir m’envoyant m’écraser fortement au sol, blessée sérieusement et directement prise en charge par Aerlin et Eloise traitant dans l’urgence ma blessure alors que Tinea elle étendait ses soins et le pouvoir des astres partout pour faire saturé les énergies du néant de notre ennemi. Ses deux bras arrêtés – L’un par Livio qui reçu en retour un choc l’envoyant contre un mur, et l’autre dévasté par Finaen laissant un grand passage pour le coup d’Ugumori, il écrasa son arme si fortement sur le crâne de la fine créature qu’était devenue le démon de la gourmandise éclata sous le choc. Tout ce qui était mauvais autours de nous, s’estompait enfin. La brume partait en même temps que les chairs et les eaux noires. Les personnes affectés reprenaient lentement conscient, en se plaignant de leurs maux d’estomacs qui prendraient du temps avant de guérir, au moins étaient-ils sauf. On pouvait enfin voir les éclaircies de la lune s’étendre dans les environs à travers les feuillages, et les élémentaires d’eau vinrent tournoyer dans les environs recouvrant parfois ce qu’il y avait sous eux d’une fine pluie. Notre prochaine objectif sera certainement plus à l’Est encore, dans les recoins perdu. Où il restait encore celui qu’Ikijin avait charger de tout ça : Le joueur de clochette. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 14 févr. 2021, 16:32

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-onzième Entrée – « Acte 4 – Sous les flots, résonne le glas.»
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« Après avoir pu débarrassé l’Est des Berges de Jade de cette abomination qu’était le démon de la gourmandise, nous avions enfin de quoi nous abattre sur le cœur même du problème. Toutes leurs intentions sur les flots avait quelque chose de très suspect, et nous allions vite constaté à quel point l’attrait des flots étaient important pour eux. Au moins, nous savions où aller désormais en espérant que les quelques informations récupérés lors d’un rapide coup d’œil par Eloise sur la carte du traître gridanien allait nous permettre de réellement atteindre le Joueur de clochette. Il était l’envoyé d’avant-garde d’Ikijin lui même et sa destruction ne pouvait qu’être favorable à l’arrêt des hostilités et des menaces sur les habitants locaux. Encore fallait-il hélas le trouver, mais pour l’instant, ça correspondait : au fur et à mesure nous nous dirigions droit vers l’Est de la contrée. Il était donc tout naturel de poursuivre dans la même direction pour mettre la main sur notre cible. L’emplacement qu’Eloise avait pu apercevoir était donc les Rochenues, un territoire bien plus agrémenté de pierres que de forêts. Cela restait logique au moins par rapport au placement du dernier démon que nous avions affrontés de sa part. Aussi c’est sous un soleil agréable que nous nous sommes préparés à partir en route en observant une dernière fois le Bannock où nous nous étions rassemblés.

Les lieux reprenaient vie, c’était des plus agréable à ressentir la joie et le confort petit à petit gagner les cœurs des habitants après ce que certains ont pu vivre. Pour une fois, je suis arrivé avant Eloise, un miracle ! Rapidement rejointe par nos compagnons de ce soir. Runne et Finaen vinrent rattrapé peu de temps après par Sorn avec ses armes à feu et Aerlin prompt à nous offrir soins et guérissons le long de la mission. Aussi étions nous bien protégés par la présence immense d’Ugumori, notre protecteur, et Livio se permit de prendre son arme à feu nommé Ouragan pour jouer un rôle de support au fusil avec Sorn. Une équipe équilibrée entre la magie, la force de frappe physique, les protections et les soins, autant que nous étions maintenant tous des compagnons habitués aux uns et aux autres. Ne laissant plus qu’à annoncer notre départ ! Quelques plaisantes conversations adoucirent un peu le ton, personne n’avait envie de réellement revivre certaines horreurs que le démon de la gourmandise avait fait subir à tous. Cette avarice éloignée, nous profitions d’un voyage bien plus agréable que celui nous ayant mené à lui. De ce côté, rayonnait la vie du Sombrelinceul en laissant nombre des voyageurs, marchands, aventuriers et gardes arpenter les grandes routes que nous usions pour rejoindre l’Est. Certains reconnurent des membres de notre groupe, quelques cadeaux furent offert en échange de l’aide apportée. Mais après la dernière mission, personnes ne s’osa à accepté des morceaux de nourritures quel qu’elles soient après tout les usages de celle ci pour nous faire du mal. Sauf Sorn, qui en profitait allégrement pour huit. Si ce n’est quelques coquillages protecteurs et une frappe sur le fessier de Runne d’une vieille femme un peu spéciale. Ce n’était pas la partie la plus agréable du voyage après avoir traverser un temps les lieux citadins.

Le plus éblouissant fut une fois que nous en étions sorti. On restait encore loin de Rochenue, mais la traversée de la rivière alerta Locae que nous partions visiblement poursuivre notre combat contre ceux ayant tenté de lui faire tant de mal. Passant au dessus de nous en ouvrant littéralement une cascade, la vue des eaux passant au dessus de nos têtes en une rivière s’étendant d’un coup. Mêlés aux élémentaires guidés par cette influence, les lueurs furent simplement sublime à regarder. Comme une éternité passé à observer des étoiles qui n’étaient en vérité que les reflets de chaques sphères élémentaires, nous ressentions en nous cet héroïsme qui pousse les aventuriers à partir accomplir ce qu’il ne saurait réussir seul. Ce qui doit être fait, au détriment parfois, de sa propre vie. C’était un présage quant à ce qui nous attendait, bien qu’à l’instant, nous ne pouvions pas encore comprendre clairement le message et son pourquoi. Bien qu’après un instant passé à la contemplation, refroidit quelque peu quand l’influence de Locae et de ses suivants laissa rechuté en grande partie l’eau de la cascade qui nous trempa de la tête au pied – ce qu’Ugumori n’apprécia pas du tout ! La suite du voyage allait être rapidement de moins en moins joyeuse.

Au fur et à mesure les sons se distordaient pour devenir des troubles gênant à nos oreilles. Ont entendaient des murmures, et avaient l’impression que nos compagnons disaient certaines choses qu’ils n’auraient jamais d’eux même imaginer penser. Ce qui au début était une gène, devient très rapidement une menace. On commençait à y voir flou, plongé dans les miasmes mentaux d’une affliction dangereuse, alors que le monde autours de nous se distordait doucement à mesure des menaces qui se révélaient les unes après les autres. C’était le son, définitivement, qui était maudit. Aerlin et Eloise inspectaient l’éther environnant en retrouvant ses maudites cloches mauves qui sonnaient mais semblaient être là de manière éthérée. En se bouchant les oreilles, Runne et Finaen s’étaient libérés de tout les maux sur le point de nous rendre fou et Aerlin fini par s’inspirer d’eux en distordant l’air environnant à son tour. Lui ne le maudissait pas, il le supprimait tout bonnement, et sans rien entendre nous nous offrions de ne plus avoir de raisons d’être menacés par quoi que ce soit provenant du son lui même. Écrivant sur un parchemin, Eloise nous révéla que nous étions attendu par des démons.

Et ils ne tardèrent pas à se montrer : Parfaitement aveugle, les créatures ressemblaient à des corps humanoïdes rendu plus fin et plus loin, entièrement fait d’énergies d’un sombre mauve écœurant et leurs visages fait uniquement d’une tête portant une bouche immense. Elle rugit en ressentant la présence du non-son d’Aerlin et bondit brusquement dessus. Progressant en les éloignant par l’épée ou par la malicieuse astuce de Sorn de faire explosé des grenades plus loin pour les attirés ailleurs. Le maître des lieux n’escomptait pas nous laisser faire. Nous avions oubliés une chose occupés comme nous étions à défendre Aerlin dans le calme le plus parfait puisque nous n’entendions rien, personne ne s’était chargé de la raison de la malédiction. Le sigil de malédiction d’une cloche affectant les sons, dont la cloche fini par apparaître au dessus de nous. Résonnant avec une grande puissante, l’équipe fut écrasé au sol – si ce n’est Runne, brisant la défense d’Aerlin. Au moins n’étions nous plus affectés par les sonorités transformant l’espace en donnant l’impression que le monde remuait avec incohérence en ce lieu rendu étrange par les cloches. Mais toutes les créatures refluèrent vers nous en rugissant, créant une véritable petite marée de formes voulant nous massacrer. Attirés par Runne un premier temps, il y avait une ouverture nette grâce aux explosifs de Sorn même si ce dernier avait trouvé un moyen de se cogné le front en laissant une bombe. Alors que tout le monde partait en avant, Livio et Eloise ont faillit être happés avant que Finaen ne créer une titanesque déferlante d’eau pour emporté tout ce petit monde qui fut attiré par d’autres effets. On pu aider Aerlin qui en avait souffert pour progresser vers l’avant qu’Ugumori et moi avions ouvert par nos armes. Arrivant enfin aux Rochenues, du moins, ce que l’ennemi avait fait de cette partie des Rochenues avant notre arrivée.
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L’emplacement isolé disposait d’une de ses immenses cloches ouvrageait dépeignant des scènes sinistres où des entités démoniaques, des infectés, dominaient les êtres humains et les forçaient à finir de leurs façons : transformés. Pour l’heure, elle ne sonnait pas, ce qui aurait produit certainement des effets aussi néfaste que les protections œuvrant sur les sons que nous avions subi jusqu’ici. Comme attendu, le lieux était dépourvu de grande végétation mais on y retrouvait tout de même des éléments de la nature, quelques arbres, des pierres, et toutes avaient un point commun. Elles étaient rendues étranges par les effets de la magie sombre en œuvre en ce lieu. Des lignes traçant au sol comme des marquages complexes voir incompréhensible pour une néophyte comme moi de tels arts occultes. Cela donnait une atmosphère des plus inquiétant à ses lieux, surtout qu’une impression grandissait que quelque chose n’allait pas : on avait presque l’impression que deux réalités essayaient de se chevauchés, comme si il tentaient d’attiré quelque chose en ce lieu. Ça n’était pas une faille du néant, les impressions et les effets surtout à une telle ampleur auraient été plus que visible. Mais bien l’effet d’une magie puissante qui se connectait à quelque chose de bien éloigné. Suffisamment éloigné pour me permettre de reconnaître des ruines Hingashiennes abandonnés un peu plus loin.

Elles étaient couvertes de différentes végétations aquatiques, pas seulement comme si elles étaient sorties de l’eau il y peu. Mais comme si elles y étaient toujours. Des sortes d’ombres passant en grattant, cherchant quelques choses jusqu’à réalisé ce qu’ils faisaient. Sous la direction d’un de ses immenses démons poissons avec une ancre en guise d’arme, ils récupéraient des corps de noyés depuis fort longtemps. L’ensemble, sous la surveillance du visage aux six yeux de Tsakyoki, le nuage noir, généré par les eaux noirs qui créaient les marques un peu partout. Donnant l’impression que le monde avait un tatouage fait d’une eau noire reluisante parfois d’une énergie mauve des plus inquiétantes. Rapidement, l’équipe se mit en route, il y avait des personnes à sauvés et un effet infâme à arrêté qui était heureusement encore loin de sa réussite. Pour une fois, nous n’arrivions pas sur le fil d’une problématique, mais bien avant ! Livio et Ugumori partirent affronté l’énorme démon.

D’un tir, il fut rapidement gêné, suffisamment pour que le Roegadyn n’écrase son kanabo si fort qu’il l’envoya s’encastrer brutalement dans un mur de pierre. Ce qui était surprenant, c’est qu’ils étaient plus ou moins réel. En tout cas, on pouvait avoir un impact dessus, la dévastation laissant apparaître un panache de fumée dont une pierre de la ruine fut projetée droit vers Livio. Ce dernier l’esquivant dans un mouvement rapide, observant par la suite Ugumori écrasé sur le dos. Le démon s’était extirpé pour bondir sur le roegadyn en essayant de le frapper sans cesse de ses poings énormes, cognant encore et encore. Ce qu’il n’imaginait pas, c’est qu’Ugumori aussi pouvait jouer à ça – renvoyant coup sur coup, écrasant son visage, jusqu’à ce que la foudre traverse ses paumes. Profitant d’un tir de Livio bien placé qui l’immobilisa suffisamment pour que les éclairs jaillissant ne le carbonise sur place. Une fois éliminé, ils partirent arrêtés les ombres grattant les pierres pour préservés les corps des noyés, et même si Livio en brisant un pour ne pas qu’il soit emporté, nos deux compagnons virent un lieu, une faille, à l’intérieur des ruines. Le passage disparaissant lentement, à mesure que les créatures avaient été détruite. Pourquoi avaient-ils besoin des noyés de l’île ? Il nous fallait encore comprendre leurs intentions. Mais pour l’instant, il fallait déjà sauver des vies !

Une troupe d’Ixali empêchait l’accès, des ralliés sans même avoir été corrompu par les pouvoirs offerts. Quoi que furent les promesses faites, ils seraient désenchantés de se voir assaillir par des aventuriers expérimentés : Les vents soufflent brusquement empêchaient leurs flèches d’être décochés efficacement, Aerlin contenant leurs forces alors que Eloise venait de frapper à leurs jambes pour les faire choir au sol, c’est Sorn, qui s’en donna donc à cœur joie ! Des tirs fusaient, éliminaient les Ixalis à mesure qu’ils essayaient de se défendre tout en frappant le flanc d’Eloise qui cherchait à dévié les flèches à son tour. Heureusement, la pointe ne fit que glissé sur son flanc sans se planté dedans ! Alors qu’elle vint en aide à mon aide en envoyant ses traits d’énergies sur les flancs de mon adversaire, Aerlin se concentra cette fois sur les roches elles même, bien que ce sentiment était étrange, comme si il déplaçait des pierres venant de si loin. Celles ci se levant empalèrent les Ixalis en les bloquant d’un coup, laissant à Sorn toutes joies de s’en débarrassé définitivement. Nous étions à l’abri de leurs traits, pendant que Runne et moi avions frappé au cœur de l’installation – J’affrontais le gérant de la cloche, une sorte d’aberration au dos voûté portant le même chapeau que le joueur de clochette. Il était tenace, mais pas imbattable, et cela offrit l’opportunité à Runne d’arrêter les sacrifices de sang permettant de faire usage du visage aux six yeux gravés dans la roche.

Bien que difficilement, il brisa les protecteurs spectraux dans une forte explosion tout en les éloignant des cibles. Jusqu’à parvenir à repoussé brusquement, quand Eloise avait brisé dans une myriade de cristaux ses défenses, permettant au Miqo’te de faire jaillir la foudre dans son corps lui même. L’impact fut si intense, ajouté par une pique de roche de Finaen, qu’il fini par être écrasé avec le sigil impure. Se brisant en milles morceaux au sol. Finaen qui d’ailleurs pendant ce temps essayait de tout faire pour arrêter l’impression d’un typhon tournoyant autours de la cloche qui s’aggravait de plus en plus pour la mettre en mouvement. Il faisait tout pour essayer de l’arrêter en faisant usage des eaux, mais à chaque fois, cela se retournait grandement contre lui. Jusqu’à ce que le monstre que j’affrontais, blessé, ne frappe encore et encore la cloche de son énorme poing. Le typhon s’orienta vers Finaen, et se prépara à le taillé en milles morceaux dans une fureur surpuissante. Mais il n’était pas seul. Je ne pu qu’observer alors que ma lame décapitait mon adversaire d’un tranchant net. Et si je ne pouvais rien faire de plus, Eloise, Sorn et Aerlin vinrent auprès de Finaen à toute vitesse, déployant des protections pour essayer de contenir le typhon. Ce ne fut pas suffisant pour l’arrêté, mais au moins assez pour ne pas être écrasés tout ensemble par son impact. Les lieux libérés des influences néfastes, les prisonniers purent être sauvés en leur demandant d’attendre ici pour les escortés. Le passage, fait d’arches de pierres Hingashiennes, était maintenant visible vers le sommet des Rochenues.
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Les soins d’Aerlin irradiaient autours de nous en une forme pure qui déforma un peu l’espace en laissant des lueurs miroités jusqu’au sommet des cieux illusoire ressemblant au fond de l’eau. Comme si la forme d’un arbre blanc s’était dessiné au dessus de celle d’Aerlin, laissant des lueurs tomber lentement autours de lui en des feux-follets blancs incarnant ses feuillages. Cette force, splendeur, chassa l’obscurité qui était de plus en plus prendre le pas sur nous en nous engloutissant lentement. Quand tout semblait sombre, Aerlin rapporta la lumière dans une lueur radiante. Les soins fournis nous firent disparaître la fatigue, la douleur, et quelque peu des restes des tourments du son que nous avions subi jusque là. Après le choc du typhon, c’était plus que nécessaire de recevoir quelques soins et nous avons pu concentré notre attention sur ce qu’il nous attendait. Perplexe, Ugumori cherchait à comprendre si nous étions seulement en Sombrelinceul ou si nous étions désormais bien loin d’ici, vers Himitsu no Taki. La réponse était bien entendu que nous n’avions pas quitté la forêt, mais cela ne nous empêchait pas d’avoir une interaction avec ce qui se trouvait là-bas. Mystérieuse ambiance, presque incompréhensible, tournoyant autours de nous en laissant ses mystères apparaître au fur et à mesure des marches empruntés. Nous passions sous les grands arches en observant les étendues environnantes, voyant de nombreuses ombres, spectres, de coraux immenses et d’algues cherchant à atteindre la surface qui n’étaient là que des sombres silhouettes comme si toutes couleurs avaient été avalées.

Progresser ici avait quelque chose de perturbant, les experts en éther concevant qu’il y avait un rapprochement puissant entre deux lieux essayant de se mêlés, ce qui donnait un effet magnifique. Pouvait presque croire marcher au fond des flots environnant d’Himitsu no Taki même, découvrant quelques ruines des parties de l’île engloutie depuis longtemps maintenant. Et ce jusqu’à découvrir ce qui nous attendait au fond du passage. Tout ce qui était vivant n’étaient que reflétés par des lueurs spectrales, mais ils cherchaient les corps pour une raison encore obscure. Cela dit, une chose était net : Il n’y avait pas eu autant de personnes noyées lors de l’exode de l’île il y à sept ans de cela maintenant. Ils devaient chercher à accomplir quelque chose avec les dépouilles, tout en finissant par en créer des nouvelles. Et le grand passage aux arches nous menèrent droit jusqu’à une sorte d’antique temple. Je n’avais que des brides d’histoires à son sujet, il s’agissait là vraisemblablement du premier lieu de l’invocation du nuage noir il y à fort longtemps où un culte s’était réuni en convoitant le pouvoir et les moyens de l’acquérir. Des colonnades Hingashiennes anciennes installés un peu partout, toutes structures mêlées par des végétations aquatiques devenues étranges.

Si l’architecture aquatique était impressionnante, l’ajout des quatre cloches mauves n’avait cela dit rien de rassurant. Bien qu’installés sur les structures, elles étaient vraiment présente ici dans une distorsion étrange de la réalité. Déjà actives, elles sonnaient et créaient une mélodie à la cloche d’une splendeur incroyable. Mais c’était cette même musique, venant des arts d’orients, qui produisait précisément l’effet de l’entre-monde nous menant droit à ce qui devait être vu : La première faille. Là où le démon est passé pour la première fois en ce monde, ayant laissé même des années et des années plus tard une trace dans ce monde. Même inactive, on ressentait toute la malveillance et la folie s’extirpant de ce passage même si ce n’était là qu’une vision de ce qui se trouvait proche d’Himitsu no Taki. S’installant tranquillement auprès de nous, parlant de tout ce qui pourrait être fait si il n’y avait plus aucunes brides aux sentiments, le Joueur de cloche apparut. Lui, et la création qui intervint en entendant les bruits de cloches : Un serpent de mer géant. Une créature du néant sous cette forme tout en y ajoutant des amas de chairs odieux un peu partout sur son corps. Celle ci nageait dans les flots imaginaires comme un prédateur de l’entre-phase qui commençait à tournoyer autours de nous à toute vitesse, mais hélas, bien palpable. Personne ne voulait négocier réellement avec lui, car malgré sa demande, il avait déjà débuté son assaut.

Eloise et Sorn frappèrent contre les cloches, et si l’une explosa en milles morceaux en commençant à laisser disparaître les illusions environnantes, le tir de Sorn suivant n’eut pas l’impact suffisant et fit un échos puissant résonna jusqu’à lui en déformant l’air. Pris par cette force, un effet mental le fit mettre un genou à terre, les yeux en larme, comme si il avait vécu quelque chose d’intense avant de se le faire arracher d’un coup. Nous luttions avec Finaen contre le joueur de clochettes, il faisait naître des lames du néant encore et encore face auxquelles nous luttions. Malgré la synergie que j’avais avec Finaen, je fus balancée au sol avec la jambe saignante un peu, observant non loin de là Livio et Ugumori installé sur le serpent de mer, au dessus, après l’avoir brusquement frappé l’un d’une balle et l’autre de son kanabo. Ses yeux, à la créature, étaient gelés. Ses six yeux aveugles, elle tournoyait dans tout les sens après avoir prit le mur de pierre d’Aerlin en plein dans la figure. Tout nos compagnons faisaient en sorte de créer une faille dans sa chitine, jusqu’à ce qu’il n’expulse de sa gueule un faisceau du néant cherchant à happé Runne, Eloise et Aerlin. Maintenant que les cloches furent brisés par Sorn malgré la souffrance subie avant, toute l’illusion de l’entre-phase disparaissait en laissant le serpent de mer empalé par les piques de givres et de pierre d’Aerlin et Runne, coincé juste là. La tête ravagée par un tir de Livio, cela ouvrit une faille pour qu’Ugumori frappe dans la blessure qu’ils avaient ouvert dans son dos : Eloise l’avait aggravé en empoisonnant son éther jusqu’à faire apparaître des myriades de piques de glaces dans son corps même. Là où la foudre du gardien frappa en dévastant tout les organes de la bête qui se mit à lentement partir en fumée. On ne pouvait lire qu’une sorte sur son flanc, un Kanji représentant la Légion. Ce qui ne pouvait rien dire de bon.

Le joueur de clochette avait perdu son chapeau dès le début de l’engagement, laissant voir des nombreuses visages avec des émotions différentes. Mais quand il retira le masque principal, dévoilant la figure d’un crépusculaire, Avant que la colonne de lumière ne s’abatte sur lui, ses défenses percées par un tir de Sorn tout comme j’en profitais pour le trancher brusquement malgré le contre coup qui m’envoya m’écraser sur une pierre. Il révéla de tout faire pour protéger la Forgeronne de la montagne, avant que la lumière ne gagne sur son corps maudit. Disparut à jamais. Ce qui laissait de nombreuses questions : Quel était le rôle de l’artefact sombrelinçois manquant pour essayer d’attirer dans la forêt la première faille ? Pourquoi la marque de la Légion se trouvait-elle sur le corps de ce monstre ? Et qu’en est-il de la forgeronne ? Nos prochaines missions seront alors de découvrir ce qu’ils cherchaient à accomplir ici. Retrouver et comprendre l’artefact qui semble lié à l’eau. Et surtout. Reussir une bonne fois pour toute à arrêté Ikijin et ses maléfices. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 15 févr. 2021, 15:05

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’éveil de la Mort de Fer."

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Cent-douzième Entrée – « Acte 3 – Un héritage d'un Empereur fou.»
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« Cela faisait quelques temps que nous avions pas eu de nouvelles de la Mort de fer, malgré tout j’avais quelques rumeurs du rapport – enfin « rapport », de Runne concernant leurs recherches. Il était au moins véridique que les Amalj’aa œuvraient pour essayer d’arrêter la machine allageoise qui sévit encore dans le désert de Sagoli. Je ne pouvais être donc qu’impatiente de découvrir ce qui pouvait nous attendre sans savoir que j’allais en payer le prix d’une sacrée raclée à mes dépends. Proche de l’éthérite de l’Oasis oublié, notre équipe s’est retrouvé notamment en redécouvrant l’Eyri au grand complet. Hélas, le vent soufflait plutôt fort et apportait avec des myriades de grains de sable rendant les traversées pratiquement impossible, ou du moins vraiment désagréable aux yeux des chasseresses locales expérimentées. Pourtant, malgré ce vent qui soufflait fortement, on ressentait une certaine anxiété qui se confirma petit à petit rapidement quand une jeune Miqo’te l’air plutôt embarrassée vint à notre rencontre. Elle dit qu’un Amalj’aa nous attendait, parlant de notre groupe avec une description relativement peu surprenante depuis la rencontre avec le jeune éleveur de drakonïde lors de notre chasse. Le groupe fut constitué ainsi donc de l’Eyri, ce qui donnait Runne, Finaen, et les deux lalafells que j’avais souvent l’impression de ne jamais voir l’un sans être prête à voir l’autre – Lalavyr et Karol Korol. Se joignant à nous, l’inimitable Sorn toujours entier et prompt à revenir en mission malgré les difficultés de la veille et notre compagnon guérisseur, Kyuuji, venu nous porter secours. Il était donc temps de rencontrer un membre de la famille de Renahjj Boh qui semblait bien avoir du mal à se trouvé ici. Ce n’était pas étonnant, pour un fervant de Zan’rak qui aurait pu tout aussi bien nous affronter dans d’autres conditions.

Mais nos propos sur l’ennemi commun avaient enfin porter leurs fruits, et c’est dans l’espoir de nous envoyer affronter la mort de fer qui à assaillit les siens que nous avons été contactés. Visiblement, les Amalj’aa sont en conflit actif avec les scarabées de métal et il craint que son frère ne soit tué lors des conflits dans les camps au sud-est du désert de Sagoli. La traversée n’allait pas être facile à cause de la tempête de sable, aussi après une conversation plutôt simple, nous avons pu commencer à longer les montagnes. Hors de question de rester trop longtemps dans la tempête, nous couvrant en progressant là où le vent était coupé par les grandes pierres, Runne et Karol firent usage de leurs magies pour manipulés les vents et les empêchés de trop nous harcelés. Cette vue dégagée était bien pratique, cela me permit de repéré les premiers scarabées de métal qui rodaient dans la poussière dans une direction bien précise. Commençant à les suivre, espérant qu’ils nous guident droit vers là où ils affrontaient les Amalj’aa, il fallait effectivement s’y attendre : En progressant, c’est sur nous qu’ils finirent aussi par tomber. Sortant des sables en des milliers de scarabées de métaux grattant la surface pour apparaître soudainement autours de nous.

Dès lors, Lavyr fit apparaître un bouclier de cristal d’éther ondulant autours de nous subitement pour arrêté leurs avancées en un dôme puissant tournoyant autours de nous. En réponse à cela, ses maudites bêtes se mirent à gratter les parois que Kyuuji tentait de renforcer avec l’éther terrestre environnant. Il fallait toutefois parvenir à les arrêtés alors que certaines de ses choses continuaient d’arriver en bondissant vers nos jambes. Karol et Finaen usèrent des vents et de la magie pour les repoussés le plus possible, et pour bloqué les survivants, on jouait de l’épée avec Runne en taillant en pièce nos derniers assaillants. Le plus à craindre n’était cela dit pas en provenance des environs même, c’était bien sous nos pieds qu’ils souhaitaient faire surface pour nous atteindre directement. Courir serait difficile, puisqu’ils ne cesseraient d’essayer de nous tomber dessus, et rester ici était un piège mortel. Il fallait gagner du temps, et en frappant le sol d’un sigil pour scellés l’arrivée des machines, ce dernier ne fut actif que lorsque Runne l’anima par la foudre dans un déchaînement de puissance foudroyante se mêlant aux autres effets. Pendant que Karol repoussait plusieurs des bêtes qui étaient arrivées jusqu’à nous, Kyuuji solidifia la terre en se concentrant brusquement dessus.

Bloquant définitivement le sol. C’était bien à ce moment que nous nous sommes dis qu’il convenait de partir vers l’avant en suivant le tracé des scarabées. Pourquoi nous mettre en danger et courir le long du désert dangereux toujours sous la pression du sable soulevé par les vents, alors qu’on pouvait être harcelé par les créations de métal encore et encore ? Seul le sol sous nos pieds avait été rendu imperméable aux possibles assauts sous-terrains. Et nous allions plus qu’en profiter je dois dire. Si j’y pensais, c’est Karol qui réagit aussi tôt en accomplissant ce que je voulais proposer à Kyuuji. Soulevant la pierre en un disque contre le sable. En profitant de son sort, Kyuuji qui avait déjà manipulé cette terre la renforça encore plus pour la rendre utilisable aisément et avec beaucoup plus de force. Sous le dôme préservé de Lalavyr qui continuait de défendre les environs en une ondulation de lumière puissante, le disque de terre renforcée se mit en déplacement à toute vitesse droit vers notre destination. Bondissant sur la proue de ce navire des sables improvisés, tranchant tout intrus et balançant quelques kunais ici et là pour protéger notre plateforme improvisée. Tous en profitaient pour nous défendre jusqu’à ce que nous arrivions droit à notre destination quand la terre devint trop dur pour poursuivre notre route. Les corps des Amalj’aa gisaient au sol, tous n’étaient peut-être pas mort, et nous aurions peut-être pu en savoir plus. Si soudain. Le monde ne s’était pas brusquement mit à changer en créant un nouvel espace autours de nous.
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Un voile d’obscurité s’était abattu, nous laissant ne plus rien voir pendant un bref instant en nous recouvrant de tels ténèbres sans que nous sachions même où étaient nos alliés. C’était déconcertant, bien que j’avais une triste habitude des effets magiques donnant au monde environnant une nouvelle structure. Après le passage qui était au fond, fort distrayant du surf sur sable tout le long du désert nous menant vers le campement Amalj’aa, je me pensais directement au contact de l’ennemi dans les flammes d’un lieu en pleine bataille. A la place, tout était d’un calme apparent et tout semblait être fait pour nous pousser à nous apaiser de la même façons. Les corps, les tentes, le sable autours de nous, tout s’était modifié pour devenir l’intérieur d’une grotte solitaire installé on ne sait où. Cela ressemblait encore au Thanalan, et pourtant, impossible de comprendre précisément quel était cet endroit. Des piliers Amalj’aa fait de métal comme ils ont l’habitude d’en construire se trouvaient autours de nous, quatre installés autours d’une grande colonne à l’effigie d’Ifrit reluisant de pouvoir où plusieurs Amalj’aa semblaient prier docilement, paisiblement. De mon entraînement sur l’île, je n’aimais pas nature pas ce que je voyais autours de moi. Tout ce qui est attrait à modifié vos sens de force est pour moi contre-nature : l’apaisement découle d’une saine réalisation que tout va bien, mais là, tout était fait pour que nous ayons l’impression que tout aille bien. Et l’adrénaline du passage dans le désert m’ôtait que difficilement le goût de me laisser tenter par du repos dans ce lieu perdu. Tout le monde inspectait les environs et certains discutaient avec les Amalj’aa, essayant de comprendre ce qui pouvait bien se passé ici sans réellement avoir les réponses. Tout le monde observait ce qui diffusait la magie dans les environs autant que je fini par déposé mon éthérimètre – enfin, celui de Livio – priant intérieurement pour ne pas encore me faire mal à l’œil tout en observant les environs.

Une grande partie de mes doutes se dissipèrent bêtement en réalisant que je ne voyais pas l’énergie rose qui formait habituellement la puissance de la Mort de Fer. Uniquement des enchevêtrement d’énergies vagabondes errantes autours de nous. Et c’est durant cette inspection que malheureusement, je m’étais trop éloignée pour regarder un des piliers tout en m’intéressant aux gravures. Le fin filet d’éther que Kyuuji observait et semblait vouloir l’attiré avait rendu nerveux Karol, essayant de le convaincre de ne pas s’en saisir et rester attentif à ses besoins. Il avait eu plus que raison de se méfié, car un instant plus tard, les fils d’éther vinrent nous enserrés pour commencer à ponctionner nos ressources vitales. Le plus gênant était que nos sentiments aussi étaient récupérés par les puissances des quatre piliers. Nos émotions, ainsi que nos souvenirs. Et cela devenait une fâcheuse habitude, je le crains, mais d’un coup le sol et l’horizon même se modifièrent pour laisser apparaître les champs de fleurs magnifiques d’Himitsu no Taki, quelques bâtiments hingashiens apparaissant autours de nous comme si ils avaient littéralement poussé du sol. D’innombrables arbres et forêts naquirent au milieu de l’île là où elle n’auraient du être, comme si une fracture lentement apparaissait alors que mes souvenirs se mêlaient à ceux de quelqu’un d’autre ayant à cœur des magnifiques et luxuriantes forêts.

On se débattait tous contre les lumières d’éther qui semblaient lors d’un premier regard relativement normale, comme un nœud de nombreux éthers se mêlant, aussi aurais-je du comprendre qu’il en était ainsi parce qu’elles étaient absorbées par cette force. Réagissant pour nous arrêtés, un Amalj’aa vint m’écraser au sol pendant que j’essayais d’atteindre le nœud même de ce qui était en train de m’ôter mes forces. Lalavyr et Karol sortaient Kyuuji de là tout en laissant Runne et Finaen se défendre rapidement,ce pauvre Sorn attrapé par un Amalj’aa qui voulait l’écraser sur un des piliers pour voler son énergie de force. Ils commençaient à les repoussés brusquement, ce qui n’empêcha pas Runne de convoquer les vents pour m’offrir de l’aide jusqu’à ce que Finaen puisse briser le pilier endommagé. Ma lame tranchant mon adversaire comme le pilier brusquement coupé en deux après qu’ils aient été tout deux repoussés par mes alliés, s’effondrant lourdement au sol. Sorn avait fait de même, ne laissant qu’aucune chance à son adversaire et à ce qui le retenait, dévastant tout au passage dans une forte explosion qui réduit autant l’Amalj’aa que le pylône derrière lui en poussière. Quelques morceaux de pierres volant ici et là et percutant les environs. Usant de la lave pour Lalavyr et des vents pour Karol. Les derniers piliers finirent par être brisés et le monde autours de nous commençait à disparaître à mesure que les couches terrestre se déplaçaient en laissant un voile d’obscurité apparaître de nouveau, comme celui qui nous avait mené ici.

Dès lors que la lumière vint de nouveau, nous nous retrouvions de nouveau au camp dévasté des Amalj’aa. Plusieurs gisaient au sol, mais certains pouvaient sûrement encore être sauvé. Ceux qui devaient être contrôlés, je suppose, par les machines de la Mort de Fer essayaient encore d’atteindre Karol et Runne avant de se faire apparaître avec le soutiens de nos autres compagnons. Pour ma part, les vents tournoyant de Finaen autours de ma lame, je pu trancher la colonne de métal aux lumières roses bien présente alors que Runne récupérait le coffre qui avait remplacé l’effigie d’Ifrit. Bien entendu, cette maudite colonne nous explosa à la figure en m’envoyant m’écraser lourdement dans le sable tout en crachant ce qui m’était rentré dans la bouche. J’étais déjà en mauvaise état à cause du pylône, et cela n’aidait en rien. Forçant quelque peu mon esprit à reprendre conscience, il me restait à tourner la tête vers Finaen qui observait un peu plus loin. Un instant avant qu’il ne soit happé par un câble.
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Tout le monde était en train de s’occuper de leurs quelques blessures et de la confusion général qui régnait. Si Runne observait l’intérieur de la boite ou attendait de le faire plus tard, je ne l’ai jamais su, mais Kyuuji du rester ici pour s’occuper des agonisants avant qu’ils ne perdent la vie. Ce n’était pas simplement une question de choix, si il partait, il n’y aura pas de survivant. Seulement des cadavres des victimes de la Mort de Fer et avec un pragmatisme un peu plus froid, des potentiels ennemis réincarnés par cette infâme énergie rose. Peu de temps fut offert à ce repos tant attendu en laissant Kyuuji à son œuvre, car la jambe de Finaen fut brusquement attrapé par un câblage et envoyé droit vers ce qui avait prit le contrôle du campement des Amalj’aa. On y trouvait une véritable petite fabrique de guerre improvisée utilisant le métal en guise de ressource de fortunes, bâtissant ainsi à partir des outils de leurs ennemis. On retrouvait plusieurs éléments important – Des créatures de métal de différentes formes protégeant les deux éléments important installés ici. Une sorte de chacal de métal errant entre les objectifs, tournant brusquement la tête vers nous. Et plus loin un buste de fer parlant visiblement au nom de l’Empire d’Allag malgré sa disparition il y à bien longtemps de cela. Karol semblait connaître un nom, et l’identifiait au nom de cette chose qui avait produit cette création récente qu’ils nommèrent eux même « la mort de fer. » Rhadamante, dit-il, représentant une menace qu’ils auraient connu jadis à Azys La ayant poussé l’Eyri à partir précisément découvrir ce qui se passait dans le désert de Sagoli.

Peut-être ont-ils désormais une preuve clair que leur cible à lié à ce qu’ils ont déjà connu ? Mais pour l’heure, cette entité du passé exigeait une soumission pour un avenir bien plus glorieux à ceux qui courberaient l’échine face à eux. Deux points étaient important : Bien entendu délivré Finaen qui était guidé droit vers une créature de métal qui défendait une sorte de pyramide où les Amalj’aa étaient connectés par des câbles et ponctionnés lentement. Et la fabrique de scarabées de fer dont les créations sortaient sans cesse pour assaillir les survivants. Ce n’était qu’un amas de métaux dont les rouages pourtant avaient été rendu actif et sous la bonne garde d’un golem observant Renahjj Boh et ses drakes en étant prêt à en finir avec leurs vies. Alors que Lalavyr et Runne essayèrent de venir en aide rapidement à Finaen pour décroché les liens tout en se confrontant à l’adversaire de métal qui protégeait les lieux tout en évoquant encore l’attrait de l’Empire. Leurs dires, leurs usages des esclaves pour en faire des sources de pouvoir depuis les câblages, et leurs effets. Il y avait à mes yeux un attrait aux forces du néant que jadis l’Empereur Xades essaya de s’offrir, de conquérir, pour Allag. Au dessus de la pyramide peu après la libération de Finaen, apparue une faille brusquement ouverte par l’usage du néant en laissant un bras essayer d’en sortir. Pour Lalavyr, il n’en était pas question, ses deux compagnons luttaient face à la machine gardienne pendant que le lalafell fit naître une véritable coulée de lave dans la faille elle même. Je doute que les créatures derrière devaient vraiment s’y attendre, à fondre sur place en essayant de progresser ! Il lutta, lutta et lutta encore contre les protections alors que les projectiles de Runne s’écrasaient sur la pyramide inébranlable, tandis que le buste tirait sur l’équipe pour essayer de les arrêtés.

Du côté opposé, Karol s’était rué à la protection de l’Amalj’aa et de ses bêtes, je suspectais que le fait qu’il soit dompteur ait créer un élan de protection paternel dans le cœur du Lalafell. Les vents tranchant frappaient les scarabées de métal en les repoussant, et je profitais des tirs de Sorn droit sur la machine pour faire une glissade en passant sous ses jambes, mon sabre venant trouver brusquement la machine de fabrication pour tailler en pièces toutes les installations où elle semblait en fabrication des scarabées. Tranchant peut-être un peu trop, c’est la machine qui tombait en morceau au sol brusquement tandis que Sorn esquivait la ruée du golem massif. Bloquant la charge du chacal, Karol me soutiens avant de faire déferlé une grande puissante sur le golem qu’on venait d’assaillir avec Sorn, j’arrivais à ses côtés après avoir rebondit sur le chacal de métal avant de rejoindre mon camarade pour frapper à ses côtés. Mais Karol l’ayant dévasté, il s’effondra lourdement sur nous et les tirs du buste de métal n’était pas des plus joyeux. C’est là que j’ai pris de nombreux chocs, entre les morceaux de métaux nous tombant dessus après la déflagration et les tirs d’éther, ça n’allait vraiment pas bien.

Sorn me fit boire un peu de ses fioles d’éthers pour me préparer à y retourner malgré tout. Le chacal se contentait de fondre quand Karol et Lavyr s’en chargeaient pendant que le monstre d’acier quadrupède poursuivait le Lalafell. J’essayais encore et encore de trancher et d’esquiver le buste pour ne pas qu’il continue ses tirs pendant la destruction de la pyramide et la sécurisation des environs. Essayant de trouver son cœur à l’éthérimètre, ce ne fut que quand de nombreux bras jaillir en envoyant des sorts et des effets sur tout le monde qu’il y avait enfin une faille. Droit vers son cœur de cristal mit à nue par les chocs de magie jusqu’à ce que la balle de Sorn ne le brise en le traversant de part en part. Le buste s’effondrait brusquement, et nombreux furent ceux qui ont été sauvés. L’énergie rose me faisait bien trop pensé aux forces du néant maintenant, il est possible que la Mort de Fer ait été inspiré par les connaissances et les inspirations liés au Néant lors du dernier Empereur. J’ignore encore qui est vraiment Rhadamante et son implication envers la mort de fer. Mais si on voulait atteindre tôt ou tard la mort de fer, il fallait déjà savoir où l’unité de la Mort de Fer avait été généré en Sagoli, dans quelles ruines. Et comment venir à bout. Cela dit, je ne me pose de tels questions qu’en écrivant ce rapport. Dans l’instant, j’ai été tabassée, fracassée et étranglée. Dès lors j’ai chu inconsciente avant de passé une journée de convalescence au repos. Après ses deux dernières missions enchaînées. J’en avais bien besoin ! »
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 17 févr. 2021, 14:37

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La lignée maudite des Delatour."

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Cent-treizième Entrée – « Acte 3 – Le Cocon de la Colère.»
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« De nombreuses investigations furent menées sur l’affaire des Delatour. La marque de l’œil poursuivant cette légende gardait toujours un impact sur les environs tant que le chasseur d’obscurité se trouverait des nouvelles proies. Maintenant qu’il ne pouvait plus avoir Delatour, il s’acharnerait certainement jusqu’à ce que lui soit rendu. Et l’occultiste rencontré plus au nord de Brumebleue à quant à lui malheureusement disparut. Est-ce si difficile d’exiger à des personnes de ne pas s’enfuir quand on essaie de leur sauver la vie ? Les recherches ont menés à comprendre que ce chasseur restait lié à une entité plus grande encore, et toute une hiérarchie découverte sur des vieux livres obscures traitant de sujet trop noir pour le commun mortel. Symboles sinistres, et infâmes créatures, ça n’était pas la meilleure méthode de se sortir de l’esprit les œuvres du nuage noir, et pas tant que ça les affres de la Mort de Fer. Cette fois, les enquêtes de Runne et Finaen nous conduirait droit vers la ville d’Horizon, dans le Thanalan occidental. Les dernières fois où nous nous y sommes rendu, c’était pour nous occuper des créations mécaniques de L’Inrien, et maintenant, des vents de disparitions liés à cette obscurité infâme. C’est donc aux portes du levant, à l’entrée de la ville que nous connaissons déjà fort bien maintenant, que l’équipe s’est en majorité réunie. Runne et Finaen instiguaient un peu plus loin grâce à leurs sources, et nous avons pour rôle d’aller directement au moins condamné par les Immortels pour que puisse rentrer.

N’lamahni et Uldric vinrent nous retrouver après un petit moment sans les voir, et il y eu plusieurs habituels compagnons : Tinéa pour veiller sur nos blessures, ainsi que ce sacré Sorn. Corvus, chef de la mission s’occupant de nous informé et de nous guider vers les Sources de Nophica, arriva rapidement. Et pour nous défendre, l’immense Ugumori et son puissant kanabo. Après avoir discuter un instant de la situation, quelques informations furent dévoilés dont une que je retins particulièrement : Leurs méthodes de développement. Visiblement, les investigations nous ont fait découvrir qu’ils reproduisent des entités démoniaques directement dans le coeur de leurs victimes. Même si ce n’était pas très gracieux, semble t-il que c’était efficace. Et je restais à l’affus de la moindre personne rencontré en m’imaginant déjà ce qui pouvait se trouver sous leurs peaux.

Sous une paisible éclaircie du crépuscule, donnant un aspect magnifique d’un orange de miel aux cieux, nous progressions sur la grand route en direction du sud sous les salutations des Immortels. L’ambiance y était plutôt morose, si j’ose dire, car les locaux n’osaient pas vraiment nous parler ou s’approcher de nous. Sorn et Ugumori discutèrent avec ses derniers, et ils découvrirent que la pression exercée était dues aux disparitions. En effet, de nombreuses personnes ayant été enlevés, ils étaient agacés par la peur alors qu’ils exigeaient plus d’effort pour parvenir à rentrer avec leurs compagnons. Toujours, des civils manquent à l’appel dans ce genre de situation, c’est une des tristes vérités impossibles à arrêté bien souvent puisque les aventuriers sont généralement appelés parce qu’une menace à frappé. Bien que je préfère agir quand elle pourrait le faire. Un Lalafell attira ma curiosité devant sa nervosité, et je parvins à le retenir pour observer sa nuque. Il était mou, si mou, ne pouvant se plaindre et se débattre, mais portant hélas bien la marque des Delatour : Une nouvelle proie. Le remettant aux mains des Immortels, Ugumori leur dit bien de veiller à ce que toutes les personnes soient auscultés pour vérifier qu’ils n’aient pas la même marque sur la nuque. Et si il n’y avait eu que ça, mais l’obscurité tombait et le voile donnait l’impression que les étoiles avaient du mal à percé.

Une fois de plus, nous nous sentions épiés, observés par quelque chose agissant dans les ténèbres alors que tous observaient les environs avec un sentiment d’agacement. N’lamahni était aux aguets, mais comme A’tinea, les deux Miqo’tes malgré leurs vigilances avaient l’air effrayées à l’idée d’affronter un démon. Ce qui est une saine pensée, je dois vous le dire. Ce sont sur nos oreilles que nous comptions avec Sorn pour décelé ce qui pouvait être invisible autours de nous, comme les créatures du chasseur des ombres avaient la cruel habitude de faire. Rien, si ce n’est l’oppression et l’obscurité gagnant lentement les lieux jusqu’à approcher des sources. Même la discussion avec la garde empêchant les accès avait quelque chose de gênant : Eux parce qu’ils étaient inquiets et désiraient nous empêcher premièrement de passé, jusqu’à ce qu’on leur annonce bien provenir de la Guilde des occultistes. Et nous, puisqu’à partir de maintenant, n’importe quels éléments pouvait être un piège mortel se refermant sur nous. Plus nous nous étions enfoncés dans ses lieux maudits, plus l’obscurité laissait imaginer que des murmures nous poursuivaient tout en ayant des regards braqués sur nous. Sans pouvoir s’en débarrassé réellement par les sorts et l’épée, on devait tenir avec ce maléfice sur les épaules en essayant de ne pas devenir fou. Le tout serait de faire en sorte de ne pas être happé trop facilement pour le mal qui régnait en ce lieu.
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D’après les traces au sol, fusent-elles des coups de griffes comme des restes d’un sang noir éparpillé, on pouvait concevoir aisément que les monstruosités du chasseur des ombres étaient passés par là. Cette fois encore, allions nous découvrir un amas de corps voir une marmite remplie d’une soupe aux malheureux ? Pour un bon moment, rien si ce n’est une vague piste difficile à suivre si ce n’est pour les experts en la matière. C’est sous les regards inquiets que l’équipe s’est mise en route afin de descendre l’immense escalier menant droit aux sources de Nophica. Pour ma part, je bondissais d’une pierre à une autre sur les hauteurs environnantes à l’affût de la moindre trace supplémentaire, du moindre explorateur solitaire nous guettant dans les ténèbres. Pour l’instant au moins étions nous en sécurité jusqu’à la descente, rien ne suggérait qu’un assaut était sur le point d’être lancé. Mais les marques de leurs crimes étaient visible autours de nous. Lors du briefing, l’enlèvement de plusieurs personnes gardait tout de même un bref espoir qu’ils puissent être retrouvés en vie. Au fur et à mesure du temps, cet espoir m’échappait, et les premières inspections purent être menées. Ugumori et Sorn observaient de leurs côtés la carcasse écœurante d’un crapaud qui avait été tué depuis un moment maintenant. Ils observaient autours de la carcasse tout ce qui pouvait dénoté de nouveaux éléments, et on pouvait faire le constat qu’il n’avait pas été massacré de la même façons que les autres bêtes lors des missions précédentes.

Ça n’était pas une source de pouvoir volé par les créatures du néant, mais bien un nid pour les créations des séides du Chasseur des ombres. Etait-il là pour concevoir une armée au cœur même de la source ? Les marques gravés ne laissaient pas tant de doute quant à l’ampleur de la menace qu’ils pouvaient avoir ici. Mon interrogation était telle : Les démons ne rôdent pas si aisément en notre monde, je me demandais si ce n’était pas une main humaine qui avait pu gravé les marques qu’Uldric et Tinéa inspectaient ? - Bien que Tinéa était surtout cachée derrière son compagnons sous le regard de Corvus qui inspectait les lieux pour surveiller nos arrières. Elles représentaient des éléments du néant lié au chasseur et possiblement à des forces supérieurs retrouvés dans les documents de Finaen et Runne, dévoilant ici la marque de la colère. Les gravures sur le bois furent recopiées par Uldric pour en garder une trace, et pendant ce temps, nous observions les marques de pas avec N’lamahni.

La trace menait clairement vers une lueur malsaine où devait se retrouver le maître des lieux. Quelque soit l’entité qui pouvait nous attendre, ce n’est pas seule moi et une camarade simplement tétanisée à l’idée d’affronter de tels entités que nous irions le vaincre. Et de toute façons dans mon dos, tout s’emballait rapidement. Des sortes de créatures issues des brumes s’extirpaient de l’obscurité ambiante avec comme une nappe de brouillard mauve recouvrant à la manière d’une cape ses monstres légèrement rose chitineux. Elles apparaissaient de nulles part et assaillaient Tinea et Uldric qui parvint à repoussé une griffe avant qu’elle ne décapité sa jeune camarade. Aussi tôt, Ugumori et Sorn réagirent pour leur venir en aide et N’lamahni envoya quelques projectile Shukiren à distance, un peu trop effrayée par ses choses pour avancer. Elles étaient fines, comme des membres atrophiés et pouvant être déplacés pour être arachnéen. Les couches de brumes absorbaient les chocs et l’éther, les rendant pratiquement immunisés à nos attaques jusqu’à ce que Ugumori n’en balance une au sol. Par terre, la brume s’échappait, et elle fut brisée par la lumière des colonnes de force d’Uldric et les tirs de Sorn. Pour ma part, notre magicien ayant déjà recopié les runes, j’en profitais pour les détruire de mon sabre jusqu’à ce que ma lame ne se coince dans le bois. Agacée par mon acte, une ombre faillit me taillé en pièce et je luttais contre le bois et ses griffes en usant de ma lame cachée pour ne pas la laissé me taillé en pièce.

Jonglant entre les deux, jusqu’à ce qu’un tir de Sorn et un javelot de N’lamahni ne me laisse une ouverture, ma lame ne parvint pas à trancher ce nuage de brume mauve me laissant de mauvais souvenir par rapport à Tsakyoki. Envoyant mon grappin autours de sa jambe, pour tirer brusquement et lui trancher la jambe au passage, l’entité chuta au sol à la merci des tirs de Sorn qui la massacra au sol pendant que sa dernière alliée était brisée par Tinea, Ugumori et Uldric qui usait surtout de ce même sort de lumière puissante. Il fallait réussir à les éloignés de la brume infâme, et le mieux était de parvenir à les mettre au sol pour cela. Mais vu leurs aspects et leurs forces, c’était plus facile à dire qu’à faire. Autours de nous un calme s’installait alors que nos adversaires avaient été vaincu, mais les brumes tournoyaient et se modifiaient aux grés de leurs envies comme si le monde se déplaçait en vitesse. Tournoyante face à nous, jusqu’à s’ouvrir comme éveillant un accès vers un plan qui était jusque là isolé. Apparurent Finaen et Runne qui luttaient contre un de ses monstres à la brume mauve tournoyante autours. Ils étaient tous en piteuse état, montrant que leur combat avait duré un petit moment alors qu’ils cherchaient tout les deux des indices supplémentaires pour nous aider à parvenir jusqu’à ce que nous avions trouvés avec N’lamahni. Et je suis sûre que la créature ne s’attendit pas à voir la déferlante leur tomber dessus aussi tôt.
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Il fut brisé à toute vitesse. Runne et Finaen frappant pour la purifié subitement et ses protections cédèrent quand Ugumori frappa de son kanabo dans un coup puissant, laissant à nos compagnons plus en arrière d’envoyer de nombreux sorts pour s’en débarrassé pendant que Tinea elle filait s’occuper des blessures du massif gardien d’Himitsu no Taki. Celui ci avait subit de front les assauts des écorcheurs au brouillard mauve pour que personne ne soit blessé, si ce n’est lui, mais pour ne pas faire dans l’excès en attaquant aussi la créature qui fut réduite en poussière. Il me fallait récupéré un explosif – qui bien entendu était surprenant de la part de Sorn, une sorte de bombe artisanal de toutes les couleurs ayant une drôle de forme. Ce qui ne l’empêcha pas d’éparpillé la carcasse du crapaud aux quatre coins de la source de la Nophica façons puzzle une fois installé à l’intérieur. De ses entrailles, s’extirpèrent trois de ses créatures aux brumes s’effondrant lentement au sol dans des cris d’agonies distordues par le fait qu’ils n’étaient clairement pas encore entièrement formés. S’évaporant lentement en poussière, révélant qu’effectivement mon instinct avait vu juste : Les cadavres humains n’étaient pas les seuls utilisés pour créer des monstres. Comme quoi, l’écoute lors d’un briefing reste essentiel – c’est un conseil pour vous, jeunes aventuriers qui liront peut-être un jour ses notes !

Retrouvant Finaen et Runne en essayant de voir si tout va bien, eux même étaient impatient d’atteindre le fin fond du problème présent en ce lieu. Nous n’avons alors pu que parler en avançant, N’lamahni envieuse que tout ça s’achève bientôt tant la peur l’étreignait tout en laissant une Tinea s’accrochant à qui le pouvait. L’obscurité ambiante était de plus en plus pesante, appuyant sur les épaules de l’équipe cruellement pour faire choir notre santé mentale à tous. J’essayais de parler un instant à Finaen, qui m’assura que ce n’était rien, et pourtant je ne pouvais que me sentir un peu coupable des épreuves qu’ils durent affrontés tout les deux jusqu’à notre arrivée. Ayant fait disparaître runes et corps derrière nous, c’est avec une certaine sécurité pour nos arrières que l’équipe advint jusqu’à la cible ayant provoqué tout ses problèmes dans la source et commençait à faire naître des marques de l’œil du chasseur sur les habitants. Une sorte de cocon strié de nombreuses marques d’un rouge inquiétant apparaissant comme des veines avant de disparaître lentement au rythme d’un cœur qui bat dont le grondement se faisait entendre en échos dans les environs. Plusieurs cages s’y trouvaient, enlacées par des ronces rouges et noir afin d’attrapé les prisonniers à l’intérieur, et si nous étions arrivés trop tard pour une des cages, la seconde était encore bien remplie. J’avais un grand doute sur ce que je devais faire : Mon instinct de Samourai de l’Aube Obscure me poussait à partir trancher l’infamie immédiatement, mais l’aventurière qui s’était ancré dans mes sens exigeait que les personnes soient mises en sécurité avant tout.

Heureusement, ce fut Ugumori qui trancha pour moi en allant secourir les habitants en arrachant littéralement les racines pour leur offrir un moyen de se libéré. Me laissant l’occasion d’aller tailler en pièce le cadavre formés de nombreux corps différents avant que quoi que ce soit n’en sorte. Uldric ayant soulevé ses points faibles, et Sorn y déposant un explosif, je tranchais rapidement en laissant le corps être réduit en pièce. Au moins, le cercle rituel d’un rouge intense proche du cocon fini par disparaître quand Finaen se concentrait dessus avec l’aide d’un cristal de vent de N’lamahni pour empêcher ce dernier de continuer le renforcement de la créature enfermé dans le cocon. Runne se déchaînait dessus en essayant de le faire disparaître avant qu’il ne sorte, mais rien n’est jamais si aisé.

Dans une impulsion de lumière rougeoyante, la créature quadrupède comme un béhémot enragé s’arracha de son cocon. Un esprit de la colère, animé par les sentiments de fureur généré par ce sigil lié aux forces du néant affrontées. Le chasseur avait donc pour ordre de parvenir à créer et laisser évolué jusqu’au bout l’incarnation de la colère, mais elle fut au moins libéré avant que cela ne parvienne à la fin de sa transformation. Je dois dire que cela ne nous sortait cela dit pas encore d’affaire – Il rugit brusquement à en faire trembler le sol, laissant un effet très particulier : Celui d’inversé nos sens. La gauche devint la droite et inversement.Ce qui était des plus perturbant je dois dire, et en essayant de fuir la charge de la bête, je me retrouvais à rentrer brutalement dans Sorn. Poussant un peu plus, pour empêcher la bête de le piétiné au passage. Tous s’écartèrent avant de frapper brusquement la créature en essayant d’ouvrir des failles dans sa chitine. Tinea essayait de nous défendre, de nous soigner, alors que N’lamahni ne cessait de propulser diverses armes de jets vers la créature. Elle essayait de nous étripé avec une rage intense, envoyant des ondes d’une lumière rouge puissante ravager les environs. Déviant ses assauts, j’observais les hauteurs pendant que tous empêchait la lumière de les atteindre : Ugumori avait fissuré la roche en essayant de la faire tomber sur le démon. Il fut immobilisé d’un coup par Uldric en usant des vents renforçant sa maîtrise de Runne, et paralysé par les éclairs de Finaen en laissant Tinea l’aveuglé dans une étoile merveilleuse. Assaillit par les tirs de la machine de Sorn mêlé au Shuriken de N’lamahni, c’est quand sa jambe explosa avec le passage d’un kanabo que je fis choir des hauteurs rocheuses de nombreuses pierres en tranchant la fissure sur la rouge créer par Ugumori.

Écrasant le démon sous tout ce poids alors qu’il était paralysé. Des lumières cloches naquirent dans les cieux lentement, et des impressions, des émotions paisibles et agréables nous remerciant de les avoir libérés émergèrent de la carcasse évaporée. L’obscurité, les ténèbres environnantes, s’échappèrent à leurs tours en dévoilant les étoiles en un ciel rendu presque mauve. Alors que tous se reposaient et reprenaient leurs forces, j’observais la silhouette sur les hauteurs en m’interrogeant. Était-ce donc vraiment l’œuvre d’un humain que d’avoir gravé ses marques et fait jaillir l’intérêt de l’œil clos ? Était-ce Ludwig lui même qui s’était échappé de la guilde des occultistes ? Au vu de sa ressemblant avec le père de Georgeois, de nombreux doutes commençaient à s’installer. Quel mal encore allait provoquer la lignée des Delatour, si il s’agissait vraiment d’un membre de sa famille ? J’ai bien peur que la réponse ne soit déterminée par nos actes à venir. »
Akayane Kosenjobi.

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Message par Akayane » 19 févr. 2021, 13:21

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-quatorzième Entrée – « Acte 5 – La bataille de la Tour de Galvanth.»
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« Après avoir pu réglé un peu plus nos différentes affaires dans le Thanalan, Sulfur nous contacta pour plonger de nouveau la tête dans les œuvres d’Ikijin et de ses forces. La dernière inscription vue, celle de « Légion », était plus que préoccupante et j’ai passé quelques temps dans mes vieux rapports de l’Ordre du Faucon ainsi que dans les ouvrages des Maleterres parlant de ses odieuses créatures. Hélas, je ne parvenais qu’à trouver une seule chose : Si le cocon-mère à été restauré par une force extérieur, il serait difficile de mettre la main dessus. Et probablement plus puissant encore, surtout si Tsakyoki à décidé de s’en servir cette fois. Hors pour l’instant, nous en avions qu’un premier symbole, sans savoir à quel point cette force serait utilisé pour essayer de nous empêcher d’atteindre le sud de la contrée. Sulfur enquêtant dans les environs, il fut le premier à constaté les problèmes environnant et encore plus encore quand tout contact avec la Tour de Galvanth fut soudainement perdu. L’endroit étant essentiel, pour surveillé des recoins plus inquiétants comme ce qui mène vers Tam-Tara. Les deux vipères ont donc réagit aussi tôt en envoyant des troupes à la tour. Sans avoir conscience qu’elles aussi, finiraient sous la menace de ce qui empêche jusqu’aux appels des linkperles tant l’endroit semblait saturé par les énergies malsaines.

C’est donc au Ranch de la Brancharquée que nous devions nous retrouver avec pour objectif d’atteindre le sud de la région en espérant y retrouver Sulfur avec une piste pour mettre la main sur l’artefact Sombrelinçois que les séides d’Ikijin convoitent tant. L’endroit était quelque peu en fête, ce qui était des plus agréables, et c’est proche de l’éthérite que notre équipe s’est constituée. Runne était présent en premier ! Mais Finaen devait déjà être parti rejoindre justement Sulfur en essayant d’établir un contact avant notre arrivée. Pour nous guérir, Kyuuji et Aerlin formaient de nouveau la pair de choc, les deux élémentalistes ayant plus que l’habitude de travailler ensemble et de joindre leurs forces en multipliant les effets de leurs pouvoirs respectifs. Et pour nous protéger directement, Livio avait récupéré sa pistolame et serait accompagné du gardien Ugumori pour recevoir ensembles les chocs. Finissant notre équipe avec un Sorn qui ne s’attendait pas encore malheureusement à être autant concernés par notre mission à venir. Certaines vérités allaient être découvertes. Mais rien ne laissait suggéré tout ce qui allait se dérouler pour le pauvre bougre. Pour l’instant, au moment de notre départ, l’ambiance était des plus festives. La populace était occupée par un Druide produisant de nombreux effets de magies dues aux splendeurs de l’élémentalisme qui se conjuguait parfaitement aux danses d’Esmeralda et Rodrigo tournoyant autours des effets magiques avec une synchronicité impressionnante. Cette force vitale dégagé autant par les lueurs solaires traversant les feuillages que par l’ambiance si puissante fit jusqu’à chanté quelques chocobos avec la dresseuse qui tournoyait avec ses bêtes en s’amusant bien. Tous en profitèrent quelque peu, s’inspirant de cet instant précieux, Sorn en dansant en étant conduite sur la piste par Esmeralda tout en me balançant des fleurs dans les cheveux avec Runne. Kyuuji piocha quelques chocolats au passage d’un geste rapide, c’était amusant de voir tout le monde candide le long du passage au milieu des feuillages blanches tombant des cieux comme des milliers de flocons inoffensifs.

La joie, l’inspiration, tout ça n’était qu’un moyen de détourné l’attention de la peuplade pour qu’ils ne s’inquiètent pas de ce qui se déroulait plus au sud d’ici. Le regard de la danseuse nous suggérait de prendre soin de nous, que nous aurons vraiment besoin de ce « bonne chance » offert par cette simple vue. Et ce fut vite confirmé en observant le nuage noir aux reflets mauves qui grandissait vers notre destination. Les deux vipères d’arrière garde était des plus tendu, tout le long du chemin nous rencontrions des pauvres bougres blessés installés au sol ou contre les arbres, des brancards ramenant les malchanceux ou les installant dans des haltes de fortunes avant de pouvoir rentrer au camp pratiquement vide qui les attendait. Bien entendu, Kyuuji et Aerlin s’occupèrent de la plus part des blessés en purifiant, guérissant leurs blessures, jusqu’à trouver une jeune femme qui ne pouvait simplement pas être sauvée. A l’intérieur, vivait quelque chose. Ce n’était plus la corruption des émotions de Tsakyoki qui agissait, mais elle avait due déjà être vaincue en combat, et les choses qui nous attendaient plus loin firent de ce corps le cocon pour la créature qui allait en jaillir. Purifiée avant que ça n’arrive, c’est en paix qu’elle pu rejoindre la Mer des étoiles, bien qu’hélàs bien d’autre auraient à la rejoindre avant que ce combat ne cesse. Venant auprès d’un des traumatisés par les combats, Ugumori essaya de soutenir un jeune membre des Flèches Divines qui avait été traumatisé par ce qu’il avait vu. Murmurant sans cesse à propos de Légion, que tous n’en forment qu’un, les forces ennemies s’étaient donc déjà déployés dans les mêmes méthodes que nous avions déjà du subir lors de nos missions il y à longtemps de ça en Dravania.

Et c’est là que Sorn fut directement concerné : Sortant des bois, un Lalafell fonça vers lui et fut littéralement propulsé par Kyuuji dans les bras de l’Elezen. Il était poursuivi par des esclaves qui avaient rompu leurs chaînes, et Livio constata rapidement par son éthérimètre que ceux ci n’avaient simplement rien. Bloqué par Runne un instant, qui vient les libérés de leurs entraves les plus gênantes notamment à la gorge. Cela permit rapidement de les apaisés permettant à Sorn de parler avec ce Nunulupo. Visiblement, il avait fait vendre des esclaves d’Onotsaku via les marchandises des Cordolien, œuvrant au nom de ce qu’il nommait le « Conseil de Styx ». Ce dit conseil avait alors décrété que Sorn devait disparaître il y à un moment avec l’espoir que les Chaînes rouges le tuerait. Sans y être parvenu, ils avaient visiblement déjà commencé à usé des ressources de Sorn dans son dos comme si il était déjà mort. Libérant ce Nunulupo, il disparut le pantalon souillé par son urine dans un gémissement de peur. Difficile de savoir si nous aurons à le revoir, mais pour l’instant, Ugumori et Livio avaient repéré la présence des démons autours de nous. Ils se dirigeaient tous vers les arrières de Sulfur, et les soins d’Aerlin et Kyuuji avait permit qu’aucuns des blessés ne se transforment derrière nous à leurs tours.

Progressant tous en vitesse, nous avons du repoussés ses sortes de hordes de démons arachnoïdes qui formaient des tissages noirs grouillant donnant l’impression que le monde autours de nous grouillait de milliers de pattes, jusqu’à en occulté le ciel à travers les branchages. Les coups ne s’arrêtaient jamais, les créatures essayant de percés le bouclier élevé par Kyuuji et Aerlin dans l’espoir de nous massacré en dessous. La foudre de Runne permettait à Livio et Ugumori de frapper exactement où il le fallait, même si le Miqo’te fut propulsé par un choc en étant rattrapé en l’air par son camarade Roegadyn d’un mouvement expert. Les flammes du lance-flamme de Sorn léchait les formes noires en épargnant au moins les arbres dans une fureur flamboyante puissante, pendant que j’empêchais Aerlin de se faire tailler en pièce par plusieurs coups de sabres. C’est dans ce flot de monstruosité à la conscience commune que nous avons fini par atteindre notre objectif : Droit devant, s’étendant le champ de bataille de la Tour de Galvanth.
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Le conflit avait déjà éclaté depuis un petit moment surement. Nous avions vu la fumée apparaître depuis le lointains là où Sulfur et les Deux vipères affrontaient les créatures de Légion mêlés aux combattants esclavagistes. Un peu partout, les silhouettes en jaune des combattants de la Grande compagnie partageaient les coups d’épées face aux adversaires parfois déformés par les transformations lugubres. Heureusement, la tour semblait relativement tenir, mais grouillait autours comme un flux d’eau parfaitement synchronisé des araignées noires de la conscience collective de Légion. La porte restait bloqué par les deux vipères repoussant ceux qui essayaient d’approcher, et autours, c’était le chaos des lames et des épées. Plusieurs des collaborateurs d’Onotsaku dont les bandages mauves visible sur les bras permettait de reconnaître cette affiliation, et plusieurs avaient déjà quelques mutations les poussant à ressembler aux fameux guerriers de Légion en des sortes de créatures bipèdes hideuses dont les bras n’étaient plus que des sinistres faux. Pas de signe de Sulfur un premier temps, l’étendu environnante n’était constitué que par des feux inquiétants à cause de la teneur des combats mêlés aux hurlements des voix et des épées.

La première chose visible fut une explosion vermeille puissante qui apparue au dessus de la tour, dans des éclats de magies crépitantes autours du vacarme qui venait de frapper brusquement une sorte de poing d’onyx noir qui formait une main s’extirpant du sommet de la tour de façons irréelle. Lentement, la poigne se desserra et fit apparaître ce qu’il avait dans la paume : Un Hicor. Le cristal de pouvoir mauve rayonnait de la force du néant tournoyant lentement autours de sa structure, connecté directement à la sorte de nuage noir qui continuait d’essayer d’avance lentement vers la tour, comme avec pour idée de s’installer au dessus pour l’assombrir subitement. Il était la clé pour empêcher l’ouverture de ce nuage maudit, une des forces principales de Tsakyoki, et le responsable de l’explosion vermeille fini par apparaître : Finaen, tenant Sulfur contre son épaule, brandissant sa lame dans une lueur de magie s’effaçant petit à petit. Dès lors, tout nos compagnons fusèrent vers divers objectifs éparpillé un peu partout, et c’est là que j’ai vu Sorn avoir d’un coup une sueur froide. Son regard devint de glace pendant un instant, voyant rouge, quand il découvrit que les chariots ammenant les prisonniers possédait justement le nom de « Cordolien » dessus. C’était ses affaires qui avaient détourné des vies humaines, et il vit un peu plus loin, un Thanalanais souriant discutant paisiblement avec le Géomancien parjure qui s’occupait des forces infâmes. Dès que nous sommes arrivés, Runne à rapidement essayé de couvrir Finaen pour que le torrent de lames de vents frappant les flancs de la tour en envoyant valser les araignées. Ça n’était pas suffisant, elles grimpaient de plus en plus vite en tirant dans une lueur d’énergie ondulante autours du Hicor pour l’extirpé de la main d’onyx en un tremblement puissant dans son environnement.

Essayant de défendre Finaen, Sulfur faisait de son mieux pour frapper les créatures approchant sans pouvoir empêcher le bras de Finaen d’être blessé par une faux tranchante chitineuse. Malgré tout, quand Runne passa des vents à la glace après avoir esquivé une lueur malveillante dans une explosion du néant proche de lui, finissant par bloqué l’afflux des créatures que devait vaincre Sulfur difficilement. L’attrapant pleine main, le hurlement de Finaen résonna dans les environs brusquement au moment où l’énergie malveillante gagnait douloureusement son bras. Usant d’un fil d’éther pour se catapulté aussi tôt auprès de lui, Runne vint purifier Finaen le plus possible jusqu’à ce qu’il explose l’Hicor dans une fracas créant une ondulation qui vit voler les créatures de Légion dans tout les sens. Au moins, la création nuageuse s’arrêta subitement plus au sud, là où Kyuuji était conscient que quelque chose nous attendait. Il avait directement rejoint l’arbre ancien qui semblait avoir dépérit proche de la mêlée furieuse où je luttais auprès d’Aerlin contre les guerriers de Légion. J’ignore ce qu’il s’est passé, mais tombant à genou, un effet puissant secoua notre compagnons brusquement en commençant à prendre ses forces pour le forcer à voir au-delà de son regard : Voir l’entité rôdant dans les souterrains qui était lié à cette incantation. Un rejeton du chaos, une créature abjecte. Un des fils du Cocon-mère de Légion avait été incarné proche de la Tour pour créer cette avant-garde tant attendue.

Revenant lentement à lui, il parvint à rejoindre Aerlin qui s’acharnait à guérir les combattants des Deux vipères dans des lueurs merveilleuses. Empêchant les blessés de périr, et permettant à tous de reprendre le combat avec plus de force, mon sabre taillant en pièces tout ceux voulant s’approcher d’Aerlin servant de véritable balise de soin dans les environs proche. Ce qui nous menait, petit à petit, à atteindre leur chef. Le Géomancien qui étendait lentement ses bras pour nous accueillir en fixant Kyuuji dans les yeux après avoir détourné son sort, créant des myriades de pierres d’un noir infâme comme de l’Onyx striée de mauve s’élevant de terre en transperçant autant nos alliés que ses propres forces. Livio et Ugumori n’étaient pas loin, les deux combattants protecteurs affrontaient un énorme scarabées de combat, du moins ça y ressemblait, l’horreur chitineuse voulait forcer le barrage des deux Vipères menant droit vers la tour de Galvanth. Détournant son assaut en provoquant une blessure effrayante dans son crâne quand la pistolame du Raen la perça. Livio brisa une patte ce qui arrêta la charge de la créature qui voulait piétiné Ugumori reculant au fur et à mesure en lui tenant la tête, permettant au poing du Roegadyn de passé dans la blessure et de lui faire explosé le crâne littéralement. Hélas, les flammes avaient atteints des réserves de poudre qui détonnaient, enflammant la tour et propulsant des combattants au sol ici et là. C’était quelque peu le chaos, et les débris tombaient de la tour ici et là pendant que Finaen et Runne arrêtaient le feu depuis le sommet de la tour en gelant les environs. La victoire était à portée de main, enfin.

Maintenant que les Deux vipères avaient retrouver leur chef, Sulfur, et que leurs combattants étaient au mieux remit en forme par Kyuuji et Aerlin, Sorn finissait son combat avec le Thanalanais en des myriades de tir lui ayant coûté son arme à feu, heureusement que sa tourelle Gladys lui en fournit une de rechange rapidement pour qu’il puisse forcé le repli du Thanalanais avec ce qui ressemblait étrangement à un Shinobi oriental. Disparaissant dans une lueur de fumée. Laissant le Géomancien seul, quand j’avais fini de tailler en pièce sa garde, essayant de réagir à nos sorts à venir. Il hurlait d’exécuté les esclaves à la créature étrange flottant comme sur un bol d’air. Avant qu’elle n’ait pu commencé, Livio la bloqua d’un coup de sa lame jusqu’à ce que l’énorme Kanabo d’Ugumori renforcé par la foudre ne passe à travers éparpillant ses morceaux ici et là. Sa magie bloqué par les vents d’Aerlin, il ne pu que recevoir le javelot des flots de Kyuuji en plein dans le torse avant de s’écrouler lourdement au sol. Vaincu. Par terre, le sol remuait brusquement, récupérant les corps des sacrifiés tout en partant vers le Sud. Le rejeton rôdait encore. Et pendant que certains hésitait à savoir si il avait une victoire ou non à célébré, nous foncions à sa poursuite pour abattre cette créature une bonne fois pour toute afin de détruire le nuage infâme au dessus de nous.
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Sulfur prit un instant pour se reposer, blessé comme il était, mais fit partir Gobet avec les volontaires droit vers le sud afin de nous épauler. En arrière, les blessés s’étaient accumulés, et il fallait sécurisé les environs. L’ombre du nuage rôdant encore au dessus de nous inquiétait bien trop nos forces pour qu’il y ait la moindre forme de célébration. Tant que cette chose rôdait encore, ce Rejeton de Légion, la Tour et ceux s’y trouvaient étaient encore sous la menace d’une résurgence des forces infâmes. Décidant de s’occuper avant tout des blessés et de l’arbre meurtri, Kyuuji resta en arrière pour prendre soin de Sulfur en permettant de débuté les rapatriements des blessés et des esclaves libérés droit vers Gridania. Malgré son absence, Aerlin veillait encore sur nous pour s’occuper de nos blessures. Et dans l’instant, il faisait en sorte que nous chutons pas par terre ! Le soleil disparaissait à mesure que nous étions entré dans la zone recouverte par ce nuage beaucoup trop bas. Donnant l’impression d’un orage ne produisant pas d’éclair quand des lueurs mauves apparaissaient des cieux, avant de se mettre à jaillir au sol en percutant brusquement les environs, voir les arbres. Au moindre choc, la lueur violette donnait l’impression que la terre et le bois devenaient lentement une forme d’onyx noir strié de mauve, se mettant lentement à se désagrégé. Il fallait empêcher ses accumulations de chocs continuant autours de nous avant qu’ils ne nous atteignent. Livio en bloqua la plus part en progressant jusqu’à ce qu’une trop forte dose ne l’envoie valser contre Sorn et Finaen en les faisant tombé au sol, pendant que Sorn tirait dans tout les sens vers les araignées de Légion qui continuaient de tournoyer autours de nous.

Le problème restait le Rejeton, qui rôdait en sous-sol, faisant ondulé la terre se déplaçant brusquement en envoyant paître au sol plusieurs d’entre nous jusqu’à ce qu’Aerlin parvienne à au moins stabilisé ce qui se trouvait sous nos pieds pour avancer bien plus facilement encore. Sous les mouvements irréelles des plaques au sol, nous progressions donc à bonne vitesse alors que Finaen projetait ses éclairs dans le sol même, laissant apparaître des créatures tombant sous les effets purificateurs d’Aerlin et Runne avant d’être taillés en pièce dans notre progression. Livio et Ugumori naturellement en tête repoussant les assaillant nous permettant d’atteindre le fond de la passe proche de la Tour, et laissant les combattants de Gobet affronter avec courage tout ceux que nous n’avons pas vaincu. Plus cela tarderait, plus leurs vies resteraient en danger, aussi avions nous hâte de détruire le Rejeton pour mettre un terme efficacement à l’influence de Légion en ce lieu. Et je dois dire que l’emplacement où il avait été créer restait des plus surprenant même pour moi. Les environs formaient comme des plaques octogonales de pierre noire comme de l’Onyx strié de mauve créant des lignes hésitantes traversant en des rayonnements les roches avant de s’éteindre, revenir, et s’éteindre, à la manière d’un fil d’eau. Au milieu de tout ça se trouvait une pierre aqueuse ondulante au dessus du sol, soulevé par un torrent d’une eau noire ébène. Cette pierre, nous l’avions déjà vu quelque part. C’était une des pierres proches du Temple de la première invocation d’Himitsu no Taki que nous avions aperçu lors de la chute du joueur de clochette.

Des eaux noirs s’extirpa un démon chitineux ressemblant vaguement à une créature aqueuse qui semblait portera avec lui quelques morceaux de pierre d’une vieille ruine. Visiblement, elle cherchait l’artefact manquant à l’invocation de Tsakyoki en Sombrelinceul, et ne l’avait simplement pas encore trouvé. Ce qui surpris cela dit le plus Sorn était un Elezen pâle en habit du Thanalan. Il se releva, un cigare en bouche, évoquant l’intérêt du Conseil de Styx à obeir à l’injonction de son frère jumeaux : Alaric, afin de faire disparaître définitivement Sorn. Jetant son cigare au sol, ce dernier derrière lui se fissura brutalement en laissant apparaître le Rejeton. Une sorte d’énorme ver monstrueux s’agitant brusquement en nous observant avant d’émettre un rugissement mental, ouvrant ses six yeux pour nous contempler. Sans attendre un instant de plus, Sorn tira droit vers le visage de son adversaire du conseil de Styx avant que la balle ne s’arrête droit devant son visage. Réagissant aussi tôt en frappant au ventre de Sorn en l’envoyant valser au sol. Se redressant, doucement, proche d’Aerlin qui luttait alors contre le Rejeton, il balança des Gils en s’amusant comme pour le payer, ce à qui son adversaire réagit en l’étranglant. Le soulevant doucement, il était si proche d’abattre Sorn qu’il ne vit pas l’explosif que l’ingénieux crépusculaire. Détonnant à ses pieds, Sorn fut éjecte plus loin en laissant la dépouille fumante de son adversaire au sol, carbonisé par la déflagration.

Et la brume noire qui avait arrêté la balle ne l’avait pas protégé car au même instant, Finaen venait de détruire la pierre des flots. Concentré dessus depuis le départ, il essayait de la détruire en faisant fit de l’étrange démon qui tournoyait autours de lui à toute vitesse en glissant sur les flots comme si il les contrôlait. Le frappant une fois, deux fois en l’envoyant brusquement au sol, et quand il allait bondir pour l’achevé avant que Finaen ne puisse détruire la pierre dans une explosion vermeille, il fut reçu par la lame de Livio le tranchant net dans une explosion d’éther due à sa pistolame, protégeant son camarade. Des trous commençait à se former dans le nuage, laissant de nouveau apparaître la lumière, mais le Rejeton ne se laissait absolument pas faire. Runne et Ugumori luttaient ensemble face à l’énorme créature pendant que je tourbillonnais en frappant de mon sabre encore et encore. Aerlin tenait de le bloqué, élevant des énormes piques de pierres le transperçant de part en part, jusqu’à soulever un énorme pique de roche qui le traversa de part en part en le bloquant net. L’entité démoniaque n’allait pas se laisser faire si aisément, absorbant Ugumori et Runne à l’intérieur de son corps après que ceux ci ne l’aient transpercés et foudroyés grâce à la rapière de Runne. Nous avons essayer de les sortir de là, ignorant ce qu’ils vivaient, mais Runne nous expliqua par la suite qu’il n’était en rien dans un estomac.

Ils étaient dans une sorte de phase sinistre, entièrement faites de lueur mauve différentes, où ils virent tout deux de nombreux sortes de chevaliers sinistres endormi autours d’un énorme ver gesticulant dans son sommeil. Bien. Bien plus grand que le Rejeton, incarné en ce seul chevalier éveillé disant à Runne et Ugumori qu’ils étaient choisis pour devenir de nouveaux rejetons en sommeil. Ils parvinrent à se débarrassé du chevalier, une lueur de purification apparue brusquement alors qu’à l’extérieur, Finaen se concentrait pour créer une purification dans les immenses plaies formés par mon sabre, ainsi que Livio aidé par la tourelle de Sorn qui tranchant tout son flanc gauche. Aerlin faisant tout pour nous offrir des soins dans des lueurs magnifiques. Le Rejeton purifié disparu dans une lueur blanche magnifique, laissant choir au sol Ugumori et Runne ainsi que la carcasse du chevalier sinistre. Le ciel redevint lumière, et tout assaillant avait du cédé au vu des cris de joies venant des soldats plus au nord. La bataille de la Tour de Galvanth venait de s’achever, et pourtant, il nous fallait nous préparer à la suite. Tant que nous n’aurons pas retrouver l’artefact avant eux, ils continueront de faire usage des forces de Légion pour mettre la main dessus. Et la provenance du Rejeton menait droit vers un Arbre de l’Orée existant proche de la tour. Précisément là où nous devrons commencer en vitesse l’enquête. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 21 févr. 2021, 16:22

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-quinzième Entrée – « Acte 6 – Un totem aux milles bêtes.»
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« Une aventure. Voilà le goût que laissa cette mission : Une aventure. Bien que nous étions encore sous la menace de Légion, cette entité du néant endormie que Tsakyoki souhaite usé à son service, l’aspect de notre péripétie eu une impression joyeuse d’épopée lyrique fantastique. Un arbre de l’orée était visiblement menacé, c’est ce que laissait suggéré la manœuvre du Rejeton ayant été retrouvé pendant la bataille de la tour de Galvanth. Mais le rejoindre n’était pas chose aisée, il était dit que ce fut un endroit prévu pour des rites de compréhension de la nature sauvage, et encore plus vis à vis de sa faune, et qu’il ne s’agissait pas de le rejoindre sans être assuré de ce que nous voulons. Car en Sombrelinceul, les mystères sont souvent bien plus menaçant que les adversaires qui rôdent dans les bois. De toute façons, nous n’avions pas le choix, si les forces d’Ikijin s’intéressaient à l’arbre et à la légende du totem qu’il abritait, c’était peut-être car il pouvait avoir un rapport avec l’artefact lui permettant d’invoqué le nuage noir. C’est alors que nous nous sommes retrouvés une fois de plus à la Brancharquée, autours de l’éthérite locale, où le groupe se constitua petit à petit. J’arrivais presque en retard, et pas en retard contrairement à ce que les autres disaient ! La plus part étaient déjà présent : Runne et Finaen déjà là en duo de magie des plus efficaces, ainsi qu’Eloise ayant retrouvé la forme. Sorn était bien entendu là, dans son gambison qui lui allait le mieux, tout comme Uldric qui je dois dire n’avaient pas rejoint notre équipe depuis un certains temps ! Ce n’est qu’un instant plus tard en parlant de la situation que Livio et Ugumori, nos deux protecteurs, sont arrivés.

Et dès que le point fut terminé, il était grand temps de partir. Le ranch était sous la pluie, il n’y avait cette fois presque pas d’activité mais les soldats des deux vipères nous saluèrent en une brève ovation heureux de retrouver ceux avec qui ils avaient lutés avec acharnement à la Brancharquée. Certains comme Sorn furent plus qu’heureux de les recevoir, je dois dire, que ça n’était de toute façons pas désagréable comme salutations malgré un voyage sous les flots constant d’une pluie qui ne voulait cessé mêlé aux éclairs d’un orage inquiétant. La boue s’accumulait le long de la route où nos bottes pataugeaient, alors que les deux vipères en faction étaient plus qu’inquiets de se retrouver à leurs places de garde. Il faut dire, personne n’aurait été très ravi d’avoir comme fonction d’être le premier à hurler à mort une fois que sortait des ténèbres les créatures de Légion rôdant encore dans les environs. Fort heureusement, pas de menace sur la route que cette aspect terne et gris de l’étendue du voyage où nous nous couvrions autant que possible de la pluie tambourinant sur nos épaules.

Tout suggérait une route simple, jusqu’à ce que nous parvenions à l’Arche. L’instant d’avant, un filin de lumière où se dessinait d’étrange silhouette difforme et inhumain tentait de nous y mené lors d’un passage un peu rapide. Je ne peux pas déterminé ce dont il s’agissait vraiment, mais ceux portant un équipement ou ayant des dons voués à la compréhension magique perçurent aisément l’aspect bénéfique et paisible : Au milieu d’un monde gris frappé par les averses, elle avait parue aux yeux de tous comme un détachement de nombreuses couleurs agréables traversant la route. Et si cela était une bonne nouvelle pour nous, que ça ne soit pas une menace direct, ça n’était pas une bonne nouvelle pour ce qui pouvait nous attendre. Car le passage des couleurs ressemblaient un peu trop à un appel à l’aide. Cette force semblait être partagée avec l’Arche de bois que nous avons découvert, servant d’entrée vers le sanctuaire de l’Arbre de l’Orée de ce côté de la forêt. Les nombreuses gravures anciennes parlaient visiblement d’une épreuve consistant à comprendre les effets de la nature, son immersion, la force même de la vitalité de sa faune. Finaen en posant sa main sur le bois et les gravures, perçue à travers son énergie qu’il y avait comme une force de changement, de renaissance. Une force guide, bienfaisante, à laquelle s’y mêlait déjà hélas une certaines noirceur que les éthérimètres détectaient dans les environs proches : Quelque soit la façons dont elles pouvaient se cacher, les créatures de Légion se trouvaient ici. A l’affût du moyen d’atteindre ce qui pourrait leur permettre de saisir l’artefact d’invocation. Des tambours se faisaient entendre, frappant de plus en plus fort à mesure où nous progressions après le passage de l’arche, marchant dans des environs semblant de plus en plus féerique.

Des lumières naissantes de feux-follets tournoyant mêlés aux lueurs de plantes, de fleurs rayonnantes, alors que tous se laissaient étreindre par cette force vitale. Peut-être un peu trop ? C’est en avançant que nous constations le changement, et la nature de l’épreuve : Elle ne faisait pas que nous confronté à la compréhension de la faune, mais aussi à en faire partie ! Tous avaient prit un aspect animal qui s’approchaient de leurs représentations morales. En avant, marchaient les plus impressionnants : Sorn sous la forme d’un Cerf majestueux aux côtés du Tigre blanc aux yeux d’ambre que Livio incarnait. Les deux aux côtes à côtes de l’Ours protecteur que fut Ugumori, qui étaient à eux trois une belle représentation de force et de grandeur. Et du reste, Uldric fut peut-être le moins chanceux ! La boule verte avec une tige au bout de la tête gambadait à toute vitesse dans les herbes, poursuivit tantôt par une araignée, ou par je ne sais quoi ! Alors que Runne sous la forme d’un chat gris-bleuté progressait avec un Finaen d’une teinte d’ébène sous la forme d’un renard aux yeux bicolor. Et nous arpentions les cieux, au dessus, avec Eloise. Du moins, après s’être habituée et avoir été séparée de l’équipe quand les épreuves débutèrent ! J’ai bien essayé, mais je peux vous dire que vous prendre des branches à répétition par manque de coordination aérienne n’a rien d’amusant. Ou si, quelque peu, car la sensation de prendre son envol à quelque chose de délicieux. Les épreuves restaient toute fois dangereuses, même pour le Harfang que j’étais auprès de la chouette aux reflets d’ambres et aux éclats verdoyant. Car s’y étaient immiscés les créatures de Légion.

Elles avaient été transformés, mais ne pouvaient avoir de forme définie, elles étaient comme des agglomérats de possibilités formés en boules de poils dont sortait parfois une griffe, un dard, des pinces. Elles nous assaillaient dans tout les sens, et Livio rattrapa Finaen avant qu’il ne tombe dans le vide par la nuque comme un chaton qui se serait jeté d’un précipice involontairement en faisant tombé les séides de Légion poursuivant Runne. Ils veillaient eux trois les uns sur les autres, pendant que nous progressions dans les branchages en tournoyant pour esquivé nos assaillants avec Eloise. En happant quelques uns avec mes serres au passage, ce qui me donna l’impression de me battre avec une lame à mes pieds ! Sorn et Ugumori dégageaient un chemin dans les fourrés, écrasant un arbre, et les créatures derrière, ayant pu récupéré Uldric sonné après un voyage un peu dangereux, installé dans la fourrure de l’Ours. Tout nos chemins avaient été formés par l’épreuve pour nous mettre au défi. Et au bout nous attendait la récompense : L’arche qui en retour nous rendrait nos formes. Et nous feraient accédé à l’Arbre de l’Orée.
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Même de loin, il était magnifique. Une sorte d’arbre tout simple et parfaitement droit dont les feuillages avaient l’air de résonné au moindre impact du vent. Une incarnation de la vitalité de la Sylve, pouvant paraître si incroyable et simple en même temps. Il n’avait pas besoin d’être plus glorieux, il lui fallait simplement ressembler à ce que la nature est. La nature, tout simplement. L’autre arche fut traversée en vitesse, tous se ruaient en dégageant encore les créatures de Légion coincé dans le passage, les écrasant ou les bousculant tout en étant en retour pas mal agités, mais aucunes blessures grave n’était pas à craindre. Ce n’est qu’une fois l’arche passé que nous reprenions nos sens humains ainsi que nos formes, et je dois admettre avec fierté que je n’ai pas du tout réussi mon atterrissage en me prenant l’arbre dans le bec, avant de m’écraser dans la boue. Mais au moins, je n’ai pas fais un plat direct comme Eloise ! J’étais encore un petit Harfang quand je suis tombée ! Nous reprenant doucement, Lily sourit en se tournant vers nous. La jeune protégée de Kyuuji tenait une fleur blanche dans ses mains, comme prenant soin de cette dernière, et semblait veillé sur l’arbre. Difficile de savoir comment elle avait été convoquée jusque ici, mais nous savions qu’elle partageait un lien fort avec les Arbres de l’Orée depuis que nous l’avons découverte dans la forêt du nord. Cependant, avant de se parler, elle ouvrit grand les yeux et convoqua une protection d’éther autours d’elle et l’arbre. Le dôme miroitant laissait voir les reflets mauves des assaillants sortant enfin du passage, profitant de sa fragilité produite par notre arrivée. Délivrant le pouvoir qu’ils préparaient à usé pour atteindre l’arbre et le totem qu’il cachait, un éclair mauve quitta les cieux avant de s’écraser à la bordure de la clairière. Il venait d’une sorte de trouée gracieuse laissant naître un filet de lumière de lune sur l’arbre uniquement, à travers les nuages chargés de pluies, mais dans les airs s’étaient dessinés les six yeux mauves de Tsakyoki.

L’éclair se figea brusquement, restant une sorte de fourche d’énergie constante crépitant un peu d’où sortaient des créatures de Légion grosse comme des abeilles formant de plus en plus un essaim hideux qui se préparaient à assaillir le bouclier. Pour le dévoré. Des espèces de fine créature blanche sur des nuages noires tournoyant autours de leurs formes vinrent auprès d’un amas de bois pour commencer une fouille. Ils cherchaient un moyen d’atteindre le Totem des milles bêtes, et hélas, nous avions réussi l’épreuve : Son accès c’était ouvert. Une faille dans un grand arbre s’ouvrit dans une lueur bleuté, laissant apparaître quelques feu-follets, et à l’intérieur, la sphère permettant l’ouverture du passage vers le totem. Aussi tôt, tous intervinrent pour arrêté les forces de Légion avant qu’elles ne fassent de ce sanctuaire un nid conçu pour, comme le dit un Rejeton plus tard, « faire libéré un cérébrate de leur maître. »

Profitant du jet d’eau que Uldric propulsait sur les guerriers aux bras en faux qui progressaient vers la faille, Sorn leur tirait dessus encore et encore en espérant les abattre. Arrachant le bras-faux d’une des créatures d’un tir puissant. Mais avant que ça ne soit à son tour de manquer d’être dépecé, Livio apparu soudainement en plantant sa lame si fort qu’il l’écrasa au sol dans le mouvement. Générant la zone de dévastation, celui empalé fut littéralement évaporé sous la force de l’éther tandis qu’un autre reçu de plein choc la plus part de l’énergie restante dans une vague de fureur intense. Les deux derniers hésitèrent un instant, et se ruèrent sur Livio dès que le Rejeton présent leur ordonna d’agir à travers la conscience collection. Un combat intense fut partagé, alors qu’Uldric essayait de protéger la faille, dont des brumes ne cessaient d’apparaître en une fumée noire essayant de lentement les submergés. Après que Sorn et Livio n’aient abattu leurs derniers adversaires malgré quelques blessures légères, ils furent tout les trois submergés par la fumée. Si Uldric s’en sorti efficacement, les deux autres allaient se noyés à l’intérieur, avant d’accepter les énergies sortant de la faille pour se sortir de là. Révélant un Cerf et un Tigre de blanc de nouveau s’extirpant de la fumée.

Eloise avait arrêté les créatures blanche fine et les dévastaient les unes après les autres, la première massacrée par l’Egi-Garuda avant qu’une cage ne les bloques, et l’autre enflammée quand le créature se jeta au visage d’Eloise. A son côté, Runne congelait les essaims, et les deux luttaient contre ses teignes d’abeilles du néant qui ponctionnaient l’éther de leurs sorts pour libérés leurs confrères et laisser les mages exsangues. Ce fut difficile, mais le flot devait se tarir, et pendant qu’Eloise et Runne protégeaient l’amas de bois et la barrière de Lily, Finaen faisait de son mieux pour détruire l’éclair. Il était la présence infâme du Rejeton désincarné qui essayait de grandir au sein de ce monde, que Finaen tenait de repoussé sans cesse malgré des fourches foudroyants apparaissant sans cesse. Au moins le bloquait-il, faisant face à face avec le visage aux six yeux essayant de prendre forme dans l’éclair, alors que son champion, un des samourais spectraux d’Ikijin, luttait contre Ugumori et moi. Le massif gardien le tenait en respect, son Kanabo contenant les chocs encore et encore tout en brisant sa garde, jusqu’à ce qu’il mette le Roegadyn en difficulté. Par deux fois, il me laissa une ouverture, par deux fois je frappais. Si la première fissura son armure, le second choc le coupa littéralement en deux un instant avant que le spectre ne lève sa lame vers le visage de mon compagnon d’arme. A l’instant où il venait d’être achevé, Runne avait appuyé l’effort de Finaen jusqu’à ce qu’ensemble, ils ne révoquent l’éclair.

La déflagration m’envoya valser brutalement dans la brume noire qui essayait de me contenir à mon tour. Blessée, sonnée, Finaen prit soin de moi en me dégageant de la fumée en se retrouvant l’un contre l’autre, alors que tout était en train de nous submerger. Je vis d’un coin de l’œil Ugumori profiter de la foudre de ses compagnons pour détruire les derniers insectes du néant en une forte déflagration foudroyante, pendant que le Tigre et le Cerf, Livio et Sorn, n’abattent définitivement la dernière des créatures blanches qui avait fissuré l’amas de bois, laissant une myriade de couleur en sortir. Uldric extirpa la clé de l’arbre, puisant dans son effet purification pour y mêlé son propre éther, l’onde de pouvoir fut tel que les ombres furent chassés brusquement en nous offrant du temps considérable. Elle revenait déjà, essayant de s’emparer de nous en des centaines de griffes de fumées naissant de nulles part, et nous progressions pour mettre la sphère dans l’encoche de l’amas de bois afin d’ouvrir le passage. Et ce, de nouveau sous nos formes animales. Livio et Runne se rentrant dedans comme un énorme et un petit chat cherchant à jouer avec la même balle. Et quand la sphère fut installée par les serres d’Eloise en quelques coups d’aile. Le monde autours de nous ne devint qu’un millier de couleurs dansante.
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Les silhouettes qui se dessinaient à travers elles furent des reflets de nombreux animaux, c’était les mêmes couleurs qui nous avaient amenés jusqu’ici en nous appelant à l’aide : La force du totem des milles bêtes était vraiment en péril, et nous avions pu ouvrir la voie en arrêtant les forces de Légion. Le passage qui se créait écartait subitement l’obscurité en générant cette source magnifique de formes et de lueurs se mêlant aux tambours et aux échos de voix merveilleuses comme des chants accompagnant cette route signifiant la réussite de l’épreuve. Lily se tenait à côté de nous, inquiète de savoir ce qui pouvait bien nous attendre en observant en direction du totem tout en serrant Runne dans ses bras qu’elle n’avait pu que trouver adorable sous cette forme féline. Se dégageant d’elle pour ne pas qu’elle ait à venir avec nous, malgré sa patte douloureuse, il se joint à nous afin d’avancer en vitesse vers notre dernière destination à travers les milliers couleurs dansantes. Malheureusement, celles ci étaient naturellement assaillie par les forces de Légion, naissante en des brouillards noirs incarnant des créatures de Légion n’arrivant pas à prendre forme une fois de plus. Des dards, des pinces, des griffes essayaient de nous assaillir sans cesse en se mêlant à des éclairs d’un mauve frappant fortement en avant dans des puissantes déflagrations. Sous le regard inquiets de Lily, nous nous éloignons dans cette phase incroyable en combattant avec les attributs animaux de nos formes.

Ce qui nous laissait parfois peu de moyen, mais certains trouvèrent des moyens extrêmement malin de faire usage de leurs formes, comme Uldric. Je dois dire que le voir courir dans tout les sens, tout petit, poursuivi par des créatures pour faire en sorte qu’elles se frappent les unes les autres ou qu’elles se mettent involontairement sur le trajet d’un éclair se préparant à choir était une vision surprenante. Et des plus hilarante. Sauf si il s’était fait tailler en pièce, ce qui en l’occurrence et heureusement, n’advint pas. Alors que tout se passait relativement bien, un éclair survint au milieu du groupe. Eloise parvint à bousculé Finaen rapidement sur le côté avant qu’il ne soit prit dedans, mais pour ma part, je fus frappée de plein fouet avant de choir au sol. L’ombre, l’obscurité, le flou du regard pour observer le museau de Finaen qui essayait de me pousser un peu pour me relever avant de finir dans la gueule de Livio en progressant en avant. C’est là qu’il découvrit que nos pouvoirs étaient encore présent, au fond de nous. Nous étions si concentré à l’idée d’être des bêtes, que nous avions oubliés que nous étions bien plus que ça : C’était le cœur de l’épreuve, comprendre que même sous des formes de bête, nous restions toujours nous même. Des marquages vinrent apparaître ainsi que le symbole de sa cartouche aurore, se guérissant et guérissant mes blessures avant que Finaen ne vienne à mon aide à son tour en voyant précisément l’effet que cela avait produit, pendant que nous découvrions les lieux après le passage magnifique.

Les environs étaient fait de nombreuses silhouettes en marches, dont certaines hélas disparaissaient quand un éclair passaient au travers brusquement. Tout ses effets, que ce soit cette musique cristalline ou les lumières mêlant formes animales et couleurs, étaient générés par l’immense totem du même bois que celui de l’arbre de l’orée. Le totem aux milles bêtes, formés littéralement de milles visages d’animaux différents venant d’innombrables contrées différentes. Il était simplement magnifique, et rien qu’en l’observant, on pouvait ressentir quelque chose de bien plus proche et admirable que l’observation d’un simple totem. Il y avait une connexion profonde entre lui et nous, plus que les mots ne pouvaient le concevoir, et d’une façons agréable et bienfaisante. Tous avaient apprit cette leçon, et les marques de magies apparurent sur la plus part d’entre nous en nous préparant à affronter ce nouveau Chevalier-Rejeton : Il avait une forme indéfinie. Ce n’était pas l’immense ver de Galvanth, mais bien une sorte de créature ressemblant à un scorpion géant se mêlant à des formes d’ours et d’autres bêtes comme si elle ne parvenait pas clairement à garder une forme à cause des influences locales. Et il avait déjà vu ce qu’il était venu chercher : Une vision lui apparaissait, au dessus du totem, celle d’un Halo magnifique d’une facture très ancienne qui se trouvait dans les eaux de la Pierre du Nénuphars. Voilà ce qui ouvrirait la porte du nuage noir une fois le bon rituel accomplit, mais nous n’avons pas laisser le serviteur de Légion atteindre ses maîtres avec l’information. Les rejetons n’ayant pas de quoi fournir avec la conscience collective des informations trop aisément entre eux, ils fut assaillit par Ugumori sous une ruée incroyable des éclairs passant à travers son pelage.

Sorn fonçant en avant à toute vitesse, ramures en avant, pour le percuté subitement en laissant Livio et Ugumori le prendre à revers, une explosion se mêlant à la foudre brusquement se déchaînant peu après que Runne lui ait littéralement craché une boule de feu. Eloise tachait de tracer un diagramme avec son bec, mais elle fut quelque peu interrompue par un rayonnement de pouvoir du néant la frappant depuis le dard du Rejeton, que je tranchais en passant littéralement à travers dans un éclair puissant. Il balança Sorn sur Finaen après avoir reçu un pique terrestre de la part du renard sombre, arrachant ce dernier avant de poser sa main sur le totem. Brusquement, il reprit sa forme, celle d’un chevalier sinistre avec une armure chitineuse et six yeux sur un visage lisse. Reluisant d’un mauve puissant, sa lame s’extirpa comme un feu du néant inquiétant en la brandissant vers nous. Écrasant son pied au sol, des flammes mauves naquirent et dévastèrent la terre sous nos pieds, soulevant des piques de roches impurs un peu partout en brutalisant nos compagnons, essayant de nous frapper de son épée de feu alors qu’Ugumori lui tenait le bras entre ses crocs. Frappant encore et encore de son poing contre le crâne de l’ours, Livio attrapa sa jambe et Sorn s’écrasa dessus sur son autre flanc. Finissant son diagramme, une explosion de lumière parvint en son cœur alors que Finaen reproduisait un effet puissant de magie renforcée par la diminution de résistance provoqué par un sort d’Uldric. Ce dernier courait partout en essayant de nous guérir, de soulager nos blessures, jusqu’à ce que je puisse passer à l’intérieur des éclairs de Runne afin de traverser de part en part notre adversaire.

Son armure brisée, ôtée par Finaen, et son corps vaincu, il s’éparpillant en morceaux sous l’emprise des trois qui le retenait avant de finir lentement en poussière. S’en était fait, la nature reprenait doucement ses droits alors que Lily approchait lentement de nous. Runne remit la main sur le totem pour reprendre la forme d’un chat, afin de ne pas être délaissé par le regard d’une sorte de visage de femme au dessus du totem. Cela nous faisait – ou au moins ME faisait grandement pensé l’Atrofakt, mais avec des traits bien plus lisse et paisible. Elle était satisfaite que Légion ait été éloigné de ce sanctuaire, mais consciente que le Halo représentait encore une menace. Nous rendant nos aspects, avec des bijoux totems symboles de la réussite de notre mission. Il était temps de partir et de laisser ce sanctuaire en paix. Bien que cette mission s’achève, il reste encore bien trop de question. Et alors qu’il nous fallait vite organisé un voyage pour atteindre la pierre du nénuphars, restait quelque chose d’important : Qu’en est-il du Conseil de Styx ? Avec l’enquête de Sorn en cours. On risque de bientôt le savoir. »
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 23 févr. 2021, 12:24

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’éveil de la Mort de Fer."

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Cent-seizième Entrée – « Acte 4 – Les pyramides-failles d’Allag»
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« Nous ne sommes jamais à l’abri d’une performance que nous estimons médiocre. Les menaces deviennent de plus en plus dangereuse, et que nous pouvons nous attendre si nous ne parvenons pas à plus que l’on estime réussir ? La confusion est une chose qui menace nos sens, et notre progression. La ressentir est une étape qui permet de transformer la frustration en méthode pour aller de l’avant. Ce cruel jugement est parfois, voir même souvent, injustifié. Car nous aimerions tous parvenir parfaitement à faire ce que nous désirons. Pour autant, il faut toujours se préparer à ce que ça ne soit pas aussi aisé. La Mort de Fer sévit encore, et il est difficile de savoir quand elle pourra être arrêté. Néanmoins, nous devions découvrir d’où provient cette énergie à grâce les câblages permettant l’utilisation du pouvoir reluisant d’un rose inquiétant. Il fut proposé de suivre les câbles pour atteindre la provenance de ce qui avait alors permit à la Pyramide du camp Amalj’aa de s’éveiller en essayant de créer une faille, et si Runne se demandait si il s’agissait vraiment du néant, je craignais n’en être convaincue.

Néanmoins l’idée hélas pas la même notion que la vérité, il nous fallait à défaut découvrir ce qu’il en était vraiment, et au mieux parvenir à arrêter tout afflux en provenance du lieu ayant provoqué le saccage de la dernière fois. C’est en cet objectif que nous nous sommes retrouvés en une fin de journée particulièrement froide. Malgré le fait que la nuit n’était pas encore tombée, les nuages assombrissaient les cieux en donnant un vent froid, presque glaçant. Si j’en remerciais mes compétences à m’adapter à l’environnement, certains claquaient un peu des temps avant de se mettre en condition de voyage. Au moins l’obscurité propagé par les nuages allaient nous être utile, car tout débutait par un dilemme : Se laisser voir ou non par les Amalj’aa ? Si j’avais espérer que nous n’aurions pas de contact avec eux, car nous avions choisis la discrétion pour ne pas réveillé le feu du conflit, surtout car j’essayais de ne pas imaginer si le moindre de leurs guerriers reconnaissait les tueurs de Sernajj Rah. C’est à l’Oasis oublié que nous nous sommes une nouvelle fois retrouvé. J’attendais l’arrivé de nos compagnons. Retrouvant Karol dans un fort bel habit Hingashien avant l’arrivée de Lavyr, Runne et Finaen pour partager quelques vagues plaisanteries en nous préparant à partir, dès que notre protectrice, Namiko, fut présente. De quoi être relativement en sécurité des blessures avec nos deux guérisseurs, tout en ayant un rempart devant nous, le groupe était plutôt bien équilibré et c’est ainsi que nous sommes parti pour la proposition effectuée : Retrouver le camp brisé des Amalj’aa là où la pyramide avait été détruite.

Le voyage dans le désert se fit donc à travers les hautes dunes de sables tout en devant lutter contre ceux qui s’enfonçaient dedans. Ainsi que la présence des vers des sables rôdant encore sous nos pieds pour ne pas qu’ils nous assaillent. Runne cherchant dans les environs toutes traces de cet éther rose inquiétant tout en m’aidant à me débrouiller avec cette maudite carte. Je cherchais dans mes notes les repères à l’aide d’un compas et d’une boussole pour retrouver efficacement notre chemin, pendant que Namiko veillait sur tout le monde afin qu’ils ne chutent pas. Le chant de Karol avait cet effet de nous offrir vigueur et chaleur contre le froid mordant, et c’est en voyant apparaître le campement qu’il s’est lentement tut, surtout parce que visiblement le campement était de nouveau habité. Le contact avec les Amalj’aa était donc obligatoire, afin d’approcher les câbles. Si nous tentions uniquement une approche furtive, et que l’un d’entre nous était repéré, cela pourrait très mal finir. Les plus discrets seraient au moins utile pour ça ! Et ceux ayant tendance à faire du bruit, comme l’armure massive de Namiko, seraient mieux à essayer un peu de diplomatie. Consciente que parler à des Amalj’aa me trouvant généralement effrayante, - et peu envieuse du danger cité plus haut, j’ai été parmi les furtifs avec Runne et Lalavyr, nous éparpillant dans les environs.

C’était Karol qui était le plus enthousiaste à l’idée d’aller leur parler directement, avec Namiko à ses côtés pour s’assurer qu’il ne se passerait strictement rien et Finaen proche d’eux. Il fallait découvrir exactement ce qu’ils pouvaient bien faire ici, le plus logique était simplement qu’ils avaient reprit du terrain pour ne pas qu’il soit abandonné à la mort de Fer. Mais un tel comportement reste dangereux, et rien qu’à distance, on pouvait entendre le martellement du fer par un marteau Amalj’aa. Ils réutilisaient le métal touché par la Mort de Fer, ce qui n’était à mes yeux pas très malin mais plutôt compréhensible : Les ressources ne sont pas éternel, surtout en période de conflit. Si je m’intéressais à essayer d’atteindre les câbles, rejoindre la pyramide n’allait pas être aisé puisqu’il fallait traverser en partie le campement. Et une réalisation très sinistre me vint en observant cette dernière. Car je fis le constat rapidement que la pyramide était toujours en activité, ou du moins le pouvoir l’alimentant, était toujours bien présent dans les environs.
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A l’entrée, les guetteurs étaient méfiants mais accueillirent Karol et Namiko aisément pendant que Finaen surveillait les environs. Visiblement, il y avait une certaines confusion – malgré notre intervention bénéfique, Sekahjj Boh n’avait pas eu l’autorisation de venir nous demander de l’aide face à la Mort de Fer, ce qui entraînait nécessairement un certains début de conflit, et pourtant. L’éloquence de Karol fit qu’ils n’en virent pas aux mains, et purent rencontrer leur Chaman. Ce dernier devait être particulièrement ouvert d’esprit pour ne pas avoir déclaré que quoi qu’on raconte, nous n’étions que des aliments de choix pour le Seigneur des enfers. Et ils purent déjà tout deux s’approcher de la pyramide pendant que certains comme moi étaient en pleine infiltration. Ce fut Lavyr me semble t-il qui fut repéré par Sekahjj Boh qui travaillait aux forges. Heureusement on ne peut pas dire qu’il nous voulait du mal, et il ne fut pas signalé, parvenant un peu plus tard avec Runne à rejoindre le passage des câbles menant droit vers la pyramide censée être éteinte. Prenant un temps pour creusé, pendant que le Chaman discutait avec nos autres compagnons installés proche de la pyramide directement, l’opération de sabotage pouvait commencer. Ce qui pouvait laisser la culpabilité du chef des Amalj’aa en doute : Etait-il seulement conscient que cette énergie persistait dans ce qu’il maniait, ou était-ce pas pure désirs de s’en servir qu’il maniait le métal ?

Pour l’instant, j’avais de fort doute, mais il y avait un élément pouvant être efficace alors que je scrutais les environs avec l’éthérimètre de Livio. Renahjj Boh n’était pas loin de moi, je m’étais infiltré au cœur du campement au niveau de rocher isolés après avoir truquer dans un coup de vent une partie de dès entre des sentinelles montant la garde, profitant de leur dispute pour passer. L’éleveur de draconien avait le moins de raison de s’en prendre à nous que tout les autres encore, et il me fallait simplement réussir à parvenir à lui faire passé un message. Faisant venir le draconide dont il s’occupait un peu brutalement involontairement, dans un coin isolé, j’apparus à peine à travers l’obscurité pour qu’il soit conscient de qui il s’agissait. Et malgré la crainte inspirée, au moins m’à t-il écouté sans trop de suspicion. Peut-être enfin conscient que si j’avais voulu essayer de lui trancher la gorge, ça aurait déjà été fait depuis un moment ! Retournant à mon isolation, pour observer le dialogue qui allait avoir lieu après lui avoir donner l’information. J’étais toujours plus que certaine que le chef des Amalj’aa, un immense combattant, était directement coupable. Triste préjugé d’après guerre qui me restait en tête, je dois dire. Venant avec crainte lui signalé le problème, mon équipe qui inspectait les environs découvrit bien rapidement que l’énergie était brusquement en train de reprendre de l’activité à l’intérieur des machineries.

Runne et Lavyr avaient creusé de leurs côtés, le Lalafell essayant de noyé les câblages sous la lave pour tout faire fondre, mais de nombreux autres fils étaient encore connectés ici et là. Dans une puissante levée de terre, Karol parvint à levé un bouclier qui se mêlant à la parfaite défense de Namiko dressant son pavois de bataille contre une griffe sortant d’une faille apparaissant lentement au dessus de la pyramide. Elle était encore fragile, faiblement constituée, et pour ma part j’avais propulsé mon grappin pour retirer de ses mains le morceaux de métal tenu par Sekhajj Boh avant qu’il ne lui saute à la figure. De partout, des scarabées d’acier de la Mort de Fer s’animèrent comme naissant de l’acier abandonné pour sauter à la gorge des Amalj’aa. Ils cherchaient de l’éther, je pense, pour ce qui se préparait à l’autre bout des câbles. Bien que les sentinelles réagirent plutôt vite, certaines vinrent essayer de nous attaquer nous jusqu’à ce que le hurlement du Chaman ne résonne dans les environs. Braillant à ses guerriers que nous étions des alliés, et pas des ennemis, c’était bien enfin une occasion de ne pas s’entre-tuer et me voilà à bondir d’une tête de draconien à une autre pour essayer de trancher le plus possible de Scarabées.

Mais ses maudites créations d’aciers étaient trop nombreuses, et je me retrouvais rapidement submergée par le nombre d’assaillant jusqu’à ce que ce soit le chef des Amalj’aa qui ne me sorte de là. Moi qui n’avait qu’imaginer que ce soit lui le traître, me voilà secourue précisément par celui que je pensais devoir tuer il n’y à pas quelques minutes. Passant outre l’effet doux-amer, alors que je cherchais à arrêté l’afflux d’énergie en voulant trouver des trancher des câbles ou en déviant l’énergie, rien ne serait suffisant. Soit la source était coupée, soit nous serions submergés. Runne avait pu aider le Chaman à se mettre en sécurité avec Namiko dont le bouclier ne cessait de frapper des scarabées tout en massacrant les plus petit à l’épée. Le miqo’te criait de se regrouper, car ils avaient précisément trouver d’où venait la source, et tous s’étaient déjà rejoint en se préparant à partir maintenant que les Amalj’aa avaient une chance de s’en sortir d’eux même. Il restait toute une étendue désertique à traverser, mais au moins avions nous directement un moyen d’atteindre un nouveau lieu perdu au milieu du désert de Sagoli. Aussi pour ne pas avoir besoin de s’épuiser tout en allant le plus vite possible, la technique qui était en passe de devenir habitude du disque des sables fut utilisé en s’installant tous dessus. Sous l’impulsion de Karol, il était temps de partir découvrir quel était la véritable nature de cette menace. Sans pouvoir encore s’attendre à une telle ampleur dans le danger à venir.
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Une traversée rapide et efficace. L’amas en mouvement était plutôt stable, aussi Karol avait au moins déjà de l’exercice à l’usage de ce sort précisément malgré le fait que la dernière fois, il pu le faire avec l’aide de Kyuuji directement. De la même façons, Lavyr dressa un bouclier d’énergie cristallin autours de notre petit sanctuaire amovible en essayant de suivre ce que Runne à vu au niveau des câblages. Néanmoins, la problématique était de parvenir à être parvenir jusqu’au bout sans être désintégré par les arcs foudroyant d’un mauve puissant s’extirpant du sol. Pour découvrir d’où les explosions allaient apparaître, l’éthérimètre de Livio m’aidait à voir précisément où les concentrations d’énergie allaient se déclencher. Envoyant un Shuriken exactement là où cela risquait d’éclaté, j’y propulsais les ressources dont j’avais le moins besoin – et les plus remplaçables ! Esquivant tous ensemble les rayonnements souterrains explosant un peu partout, progressant à toute vitesse, nous n’avons pas mit bien longtemps avant d’atteindre notre destination sans risquer plus que ça nos vies. C’est là que les véritables problèmes allaient éclatés, en voyant d’où provenait le pouvoir utilisé par la Mort de fer. Une sorte de tour de métal ancienne, qui n’était cette fois pas comme les autres installations généralement utilisée par cet esprit Allagois fonctionnel, qui n’étaient que des amas de métaux collés les uns sur les autres.

Là, il s’agissait d’une structure ancienne abîmée par le temps au cœur d’une ruine d’une ancienne ville brisé par un antique Fléau, ayant survécu ou ayant peut-être été déterré depuis le temps pour extirpé les artefacts de pouvoir ? Quoi qu’il en soit, la problématique était que son effet était précisément ce que je craignais, ce dont nous avions discuter avec Runne, ouvrir une faille avec le néant. Au dessus de la tour, s’y trouvait un passage en train d’être lentement arraché à la réalité pour laisser l’accès à ce qui pouvait être, au vue de la taille de la fracture, un démon majeur certainement. Trois pyramides se trouvaient autours, identique à celle du campement des Amalj’aa, dont chaque essayaient de faire apparaître une des fractures. C’était leurs protecteurs qui étaient tout autant menaçant. Maintenant, il s’agissait véritablement de démons typiques – des fines créatures caparaçonnées portant des faux et des ailes de chauves souris. Cela me laissait un instant pensé aux créatures de Légion, mais il s’agissait là bien et purement de démon dans le standard de leurs formes. Ils protégeaient les pyramides, nourrissaient leurs pouvoirs, alors que la machine bipède principale qui dans des craquements d’aciers fit apparaître ses quatre bras porteur de lames. Tournant brusquement la tête vers nous, annonçant de sa voix mécanique que nous, citoyens de l’Empire, devaient se livré aux exigences du pacte de Xandes.

Il fallait rapidement arrêter l’acheminement de pouvoir, et la plus part débutèrent l’explosion des pyramides pour qu’elles ne puissent continuer à nourrir la faille majeur. Une bouche de sable convoquée par Karol voulu mâcher consciencieusement une des pyramides tandis que Finaen se concentrait sur une autre. Et si Runne voulait essayer de directement atteindre la faille en la refermant, hélas, un des démons se détourna de Namiko qui tentait de tenir le front pour assaillir le Miqo’te en l’empêchant d’agir. Sous le couvert des boucliers générés par Lavyr dans une myriade de lueurs cristallines, je me ruais vers la machine principale pour essayer de la dévasté. Mon premier assaut lui ôta deux de ses bras, avant qu’elle ne s’acharne en des coups bien trop vif et rapide pour une création de cette taille.

Blessée par ses assauts, mon sang se glaçait à mesure où je réalisais que mes coups n’étaient pas suffisant, l’acier ne parvenait pas à se trancher suffisamment pour l’abattre jusqu’à ce qu’il envoie une vague tranchante en avant. A cet instant, au moins un des démons avait fini par être dévasté par la lame de Namiko profitant d’une ouverture due aux projectiles de Lavyr. Et ceux ci s’intéressaient à la destruction des pyramides, celle mâchée ayant finie par disparaître. Toutefois, Karol appelait à l’aide, le démon face à lui ne cessait de vouloir le massacrer et personne n’était en mesure de lui venir en aide. Bien que mon désirs de détruire la machine était trop grande, battant dans mon crâne fortement, je laissais ma place à Namiko et Lavyr pour qu’ils puissent achevé cette maudite machine. Tranchant dans le dos du démon subitement, Karol l’acheva de nombreux piques de roches dévastant l’entité en finissant par la réduire en cendre. D’une des dernières failles, s’extirpant d’innombrables insectes du néant envieux de voler notre éther sous le contrôle des deux yeux rouges qui forçaient le plus possible pour ouvrir la faille avant qu’elle ne se referme.

Propulsant mon sabre pour que la foudre frappe brutalement pendant que Finaen et Runne luttaient contre le démon, la dernière pyramide fut brisé définitivement en mettant de nous concentré sur la grande tour pendant que Karol aidait les deux mages rouges à se débarrassé du dernier démon d’une flèche de sable. Pendant que Lavyr faisait fondre la tour, j’ai fais jaillir un éclair à travers les Shikigami d’éther céleste de Moutah Pontah pendant que Namiko laissait une lueur de purification pour faire disparaître définitivement la faille. Quand tout s’acheva, il ne restait dès lors que nous au milieux des décombres. Observant la base d’une tour ravagé par la lave. Les réponses dès lors ne pouvaient qu’être suggéré : Était-ce bel et bien une œuvre Allagoise usée à la fin du règne de Xandes, alors que le démon faisait mention du pacte de l’Empereur ? La Mort de Fer était-elle une incarnation démoniaque née dans l’acier d’Allag ? Avions nous arrêté quelque chose d’important, ou simplement le présage de bien pire ? Peut-être, après la discussion avec Finaen, que la réponse se trouverait alors dans le cristal conscient que nous avions trouvé à Byregoth. Après un peu d’enquête, nous devrions pouvoir agir. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 24 févr. 2021, 14:17

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-dix-septième Entrée – « Acte 7 – Un Élu noir au conseil de Styx.»
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« Même si nous étions conscient d’où se trouvait le Halo des profondeurs, les impératifs concernant les actions de Légion étaient plus important que la récupération de l’artefact. Pour l’instant, ils n’ont pas spécialement les moyens de l’atteindre, ce qui nous laisse une longueur d’avance pour se charger de ce qui semblait avoir cause du trouble dans les affaires à Sorn. Le Conseil de Styx reste une organisation mystérieuse dont nous n’avons que le nom, et pourtant, son implication dans les efforts d’Ikijin ressemblait encore et toujours à la recherche de la moindre opportunité de gagner en puissance et en grandeur. Il avait fait envoyé son garde du corps personnel, un Roegadyn du nom de Brave, à la recherche de Nunulupo afin de pouvoir en savoir le plus possible sur le Conseil et ce qu’il devait accomplir en ce nom. Hélas, bien avant que cela n’advienne, le Lalafell semblait avoir été récupéré vivant par les créatures de Légion et Brave lors de son enquête à soudainement disparut, ne suggérant rien de bon. Quoi qu’ils cherchaient à accomplir, c’est au dessus de Tam’Tara qu’ils souhaitaient le faire. Le lieux jadis souillé par les adorateurs de Dalamud portait encore les séquelles de leurs noires invocations, et ils s’en serviraient pour gagner encore en forme. C’est au début avec une équipe relativement diminuée qui devait se renforcer au compte goutte quand nous sommes parti.

Ugumori vint pour nous protéger en premier ligne de son immense carrure alors que Kyuuji était quant à lui présent pour s’occuper de nos blessures. Bien entendu, puisqu’il était le premier concerné, Sorn était présent tout comme N’lamahni qui était plutôt contente de revenir en mission après une semaine d’absence. L’équipe pu se rejoindre lors d’une nuit agréable où les filets de lumières de lune tombaient à travers les branchages du Sombrelinceul en éclairant les environs doucement. De nuit, le Ranch semblait des plus calmes alors que les locaux s’occupaient de finir leurs dernières tâches peu conscient de notre prochaine objectif. Des odeurs de ragoût se faisaient sentir, nous en offrant un peu nous nous réchauffer lors d’un voyage la nuit, alors que les Vigiles sombres saluèrent notre départ d’un signe de tête. C’était d’un calme simplement féerique, le vent qui passait ne faisait que chanter les feuillages en donnant l’impression que la nature même saluait notre départ. Je me laissais aller pendant la première heure de route en tout cas, aller à un confortable sentiment de repos à travers les rayons de lune tout en étant que trop consciente que notre arrivé proche de la Tour de Galvanth changerait grandement la donne. Pour l’heure, il y avait de la beauté dans notre présence ici et même la boue s’était petit à petit éloignée, sans avoir besoin de salir nos bottes en progressant sur les chemins. Plus nous progressions cependant, nous éloignant de la saveur de la ville – et de Sorn fanfaronnant devant les belles dames, plus nous nous retrouvions avec des informations gênantes. N’lamahni était particulièrement angoissée à cause d’une conversation avec Kyuuji sur l’équilibre éthérique et craignait que cela ne puisse être mortel.

La jeunesse s’inquiète si vite, mais quand on ne conçoit pas parfaitement une chose, il est difficile de s’en détaché. C’est donc particulièrement nerveuse qu’elle débuta la mission, découvrant en inspectant les environs, un corps. C’était un des Deux vipères, un protecteur local, qui semblait avoir été pendu haut et court. De leurs côtés, Sorn et Ugumori suivirent rapidement celui qui venait d’être attrapé et traîné dans l’obscurité dans un cri de panique, en essayant de lui empêcher le même sinistre trépas. La sylve émettait un message pour Kyuuji qui savait la comprendre : Une inquiétude venue droit de notre destination, quelque chose se déroulait mal, et tous le ressentaient dans les environs. Même les animaux et les insectes avaient préférés partir loin d’ici. Inspectant le corps, Kyuuji constata aisément qu’il avait été tué par une main humaine avant que son cœur ne lui soit retiré. Le dit coeur n’était pas si loin, contre une sorte d’autel installé en honneur des entités de Légion au vue de la sorte de créature chitineuse faisant pensé à ses guerriers. Ils étaient en train d’essayer de se faire accepté et de scellé un pacte avec les forces de Tsakyoki grâce à de l’adoration et des sacrifices, comme on le ferait d’un primordial. Les responsables étaient des humains de différentes ethnies portant des immenses masques Gridanien avec de nombreux plumages tombant tout autours en recouvrant leurs silhouettes.

Avant que le soldat ne soit tué, Sorn tirait dans tout les sens en même temps qu’il venait de faire explosé la tête du corps face auquel était Kyuuji : Il s’était animé pour lui parler, et quand le corps fut détruit, Kyuuji accompagna son esprit vers la Mer des étoiles pour qu’il se repose, ayant le temps de lui dire qu’ils désiraient créer un cérébrate grâce aux agents du Styx, pour avoir le contrôle de Légion. Partiellement. Des chants apparurent et s’étendirent tout le long du passage alors que nous venions de secourir le jeune soldat, et nous réalisions que ses chants magnifiques s’il en est, provenaient de tout les corps pendu de la même façons un peu partout le long du chemin. Créant une sorte d’amas de feux-follets mauves lointains menant vers Tam’Tara, ou une aurore boréal d’un mauve inquiétant se dessinait dans les cieux proche d’une lune merveilleuse belle cette nuit. N’lamahni déjà stressée avait complètement partie et s’était enfuie dans les bois. Essayant de la contacté pour la faire revenir, nous traversions les ruines de pierre menant droit vers notre destination avec Ugumori en tête dévastant les roches pourpres jaillissant du sol pour nous arrêtés, sous le couvert des tirs de Sorn et de mon sabre. Kyuuji faisait de son mieux pour nous protéger, quand bien même je fus propulsée contre lui brusquement en nous sonnant un peu tout les deux après un choc.

Ce n’est qu’une fois arrivé que nous pouvions voir l’immense Aurore Boréal, d’un mauve magnifique, ondulant dans les cieux en provenant d’une sorte de pique de métal noir installé dans les hauteurs. Les deux vipères luttaient déjà dans les environs contre les envoyés de l’Esclavagiste, Onotsaku, afin de les empêchés de scellés le moindre pacte. Et dans une lueur de dévastation, ce fut Livio qui rejoint en vitesse le groupe alors que depuis tout ce temps il luttait justement avec Sulfur. Les laissant se battre derrière nous, il fallait poursuivre en vitesse, pendant que Sorn était parti chercher N’lamahni qui avait disparue dans les bois à cause de sa crise de panique. Mais l’ennemi était déjà en place, et hélas, il ne nous donnerait pas le loisir d’être prêt ou non.
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Au moins ils sont arrivés à temps. Sorn traînait quelque peu N’lamahni par la main après l’avoir retrouver dans les bois, celle ci ayant due se défendre des guerriers de Légion comme elle le pouvait en essayant de géré sa crise d’angoisse. Les nombreux autres corps chantant, plus ou moins vieux, ne la firent au moins pas tourner de l’œil. Plusieurs durent être détruit avant d’arriver sur place, plus ils étaient installés proche des créations de Légion, plus une sorte de fumée noire apparaissait et rendaient leurs présences dangereuses comme si y rayonnement du néant s’extirpaient de leurs corps pendu à des poteaux. Livio et Kyuuji s’en débarrassant entre les lames de vent et les lames d’éthers, ils ne purent offrir qu’une prière pour les âmes disparues car nous n’avions hélas pas le temps d’en faire vraiment plus. Du ciel, de cette aurore boréale magnifique, tombait des lueurs d’énergies dont une explosa littéralement au milieu de notre groupe en m’envoyant paître au sol fortement. J’allais devoir débuté les combats, hélas, déjà en piteuse état. C’est en arrivant dans les lieux principaux que Sorn et N’lamahni arrivèrent d’un coup pour découvrir ce que l’ennemi pouvait bien produire. Il y avait deux sortes d’installations avec des gravures Hingashiennes tournoyantes, des moyens pour canalisé et s’offrir le pouvoir environnant afin que la tour de métal noir principal puisse continuer à créer l’aurore boréale. Elle avait pour effet de préparé la terre environnante et l’éther à l’ascension du membre du Conseil de Styx : Ydan. Celui que Sorn avait blessé à la jambe il n’y à pas si longtemps maintenant.

Ainsi, l’herbe semblait être mauve, presque grise, et ayant des lumières se reflétant depuis les cieux comme le fond marin sous un soleil à travers les vagues. Il y avait un aspect des plus inquiétants à ce domaine offert à la souffrance et au chaos, et pourtant, sans intervenir rapidement de nouvelles personnes rejoindrait cette manie des sacrifices de nos ennemis. Plusieurs des masqués traînaient leurs dernières proies vers les poteaux de bois destinés à les pendre haut et court afin de créer plus de chanteurs dont les intonations ressemblaient de plus en plus à des prières. Des prières envers le nuage noir. Face au pilier de métal noir, se trouvait une sorte d’élémentaliste Gridanien qui devait avoir fait défection de tout ce qui est bon pour être en grande partie transformé par les forces de Légion. Ses jambes n’étaient plus que quatre pattes noires chitineuses et son visage laissait voir le bas de sa bouche, le haut ne ressemblant qu’à un voile obscure avec six yeux mauve dessus. Les six yeux de Tsakyoki partout se gravait sur les effigies de la monstruosité endormie qu’est Légion, signe de cette dominance que souhaite le nuage noir. Il était rapidement temps d’intervenir, et Livio se rua à l’assaut à toute vitesse de ceux qui traînaient les futurs pendu. Le choc foudroyant provoqué par sa lame transperçant au passage un des masqués permit de les paralysés suffisamment pour qu’ils lâchent leurs proies tout en commençant à ferrailler face à ceux qui se relevaient déjà. Seul de son côté, il luttait encore et encore quand ceux ci lui bondissaient dessus et essayaient à son tour de le maintenir pour en faire le prochain pendu directement contre le grand poteau non loin de lui.

Pour soulager nos maux, Kyuuji se tenait au centre de tout en produisant des effets de lumière d’un blanc radieux afin de faire disparaître la douleur. En esquivant les carreaux d’arbalètes des adversaires de Sorn qui luttait contre les agents du conseil de Styx qui maintenaient Nunulupa pour le délivré avant qu’il ne soit installé sur une sorte de stèle étrange. Notre guérisseur fut directement impacté quand l’ancien élémentaliste qui était alors l’opposé direct de toutes les croyances de Kyuuji, produit grâce à la flèche noire un tel effet que le monde ne devient plus que du noir et du blanc. Nous étions tous paralysés, et il souhaitait ce servir de cet instant pour massacrer Sorn pendant qu’il tirait et luttait contre les anciens mercenaires qui avaient jadis servit la cause du Thanalan. Ugumori et moi luttions un instant avant contre des sortes d’Acarus, mais créer directement par les forces de Légion. Du moins, encore sous le choc d’une puissant explosion du néant pendant la route, je fus surtout balancée au sol en essayant encore de me relevé, alors que Kyuuji essayait régulièrement de me soutenir ! Le premier Acarus massif fut balancé sur le côté par un coup de Kanabo en offrant l’opportunité à N’lamahni de lui dévasté tout le flanc d’un Shuriken fuma bien placé, tant au second, hé bien, c’est l’apparition de nos derniers alliés qui allait faire toute la différence. Dans une explosion de lumière, chassant le noir et le blanc de l’effet paralysant, les deux danseurs Thavnairoise – Rodrigo et Esmeralda, vinrent nous soutenir pour chasser l’obscurité.

Leurs chakrams tournoyant autours de nous, et dans ce même éclat de lumière, jaillir Runne et Finaen tout deux prêts au combat. Si Finaen se rua en avant, esquivant la déflagration qu’il fut envoyé sur Runne et N’lamahni en pleine poire, avant de pouvoir faire naître de nombreuses lames de vent vers le sorcier qui les fit disparaître avec cet échos de puissance noir et blanc. C’est à partir de ce moment là que tout changea, N’lamahni avait pu se libéré de cette influence en propulsant un javelot de lumière blanche droit vers le mage qui se fit percé l’épaule brusquement. Se redressant, Runne bondit en l’air et profita de l’éclair d’Ugumori frappant le dard du dernier Acarus pour le fendre en deux littéralement avant de tomber dans ses entrailles ouvertes, je m’interrogeais sur le fait que Runne tombe toujours dans ce qui est dégouttant ! Kyuuji et Finaen avaient été libérés par les deux danseurs, d’eux, sortaient une sorte de silhouette de fumée leur disant quelque chose doucement avant de s’échapper en libérant de leurs entraves. Pendant que Kyuuji s’occupait de faire naître de ses nouvelles fleurs de lys blanc, un de ses symboles magnifiques sur chacun d’entre nous, Finaen vint à mon aide pour reprendre des forces après avoir été tant frappée par l’adversité.

C’est à cet instant que tout changea. Une sorte de puissance foudroyante s’échappa de Livio, ses yeux émettant une lueur foudroyante, comme une silhouette d’un dragon aux quatre ailes faites de plumes passant dans les cieux à travers l’aurore boréale qui se nappa d’une intonation d’un blanc pure. Son cri de rage se mêlant à celui du rugissement du Kami, la foudre se dégageant de sa munition bien plus puissante encore en frappant ceux qui étaient autours de lui, se débarrassant définitivement des masqués. Occupé par le dernier projectile de N’lamahni, je fis en sorte que Finaen bondisse avec moi dans un Gyoten pour abattre l’élémentaliste transformé tout les deux. Nos lames le taillant littéralement en pièce, arrivant auprès de la Flèche de métal noir qui lentement croulait sous les effets du changement de force de l’Aurore Boréale. Nous laissant observer Sorn qui s’était débarrassé de ses adversaires, tendre le bras vers Nunulupa. Un instant avant qu’il ne soit emporté à l’intérieur de la stèle au sol, dont le visage gravé dessus avait fini de se modifier. Pour devenir l’abominable incarnation du visage de Tsakyoki. Les six yeux mauves.
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C’était sous cette stèle que devait être installé Ydan, installé dans une des salles de Tam’Tara la plus proche de l’extérieur qui semblait avoir été investie par les forces d’Ikijin afin de préparer un sanctuaire pour le Pacte avec le conseil de Styx. C’est ici qu’ils préparaient donc les forces conçues pour essayer de se saisir du Halo des Profondeurs installé à l’Est d’ici. Quoi qu’il pouvait s’y trouver, les forces gardiennes seraient donc suffisamment grande pour les obligés à prendre autant de précautions ainsi que le fait qu’ils aient besoin de se faire des alliés. Dans les environs, un calme apparent se fit sentir pendant que Kyuuji s’occupait rapidement des blessés de chacun en profitant de l’accalmie, les deux vipères arrivant avec Sulfur dans les environs pour commencer à sécurisé les lieux et les prisonniers libérés. Une brève inspection d’Ugumori des environs lui fit comprendre rapidement que les installations, mêlés aux gravures Hingashiennes, était justement un immense rituel fait pour scellé le pacte – quelque chose qu’il n’avait déjà que trop vu sur Himitsu no Taki même. Ce genre de chose poussant les êtres humains à devenir des monstres sous l’influence du nuage noir, ceux que Livio avait dévasté étaient déjà en train de se transformer au fur et à mesure du temps en aberrations des émotions. Sorn était paniqué, cela se ressentait, une colère mêlé à une crainte, et peut-être un fond de tristesse ? Quand il aperçu la chemise déchirée de Brave, son garde du corps, abandonnée proche de la stèle.

Nunulupo aussi avait été happé à l’intérieur, et il désirait tant savoir ce qu’il s’y passait qu’il tentait d’ouvrir la stèle à la force de ses propres bras en serrant les dents. Finaen était déjà concentré à essayer de briser la stèle dans un échos terrestres la fragilisant de lui en plus, qui se mêla au givre convoqué par Runne laissant le passage de plus en plus cassable. Et de même, Livio avait brisé la pierre autours du passage sur le côté, fragilisant encore plus ce que produisait Finaen, tandis que mon sabre avait laissé une grande fissure là où le pique de roche d’une lueur orange étincelante de la force terrestre vint s’écraser, Kyuuji créant le clou qui briserait le passage. C’est là qu’Ugumori fit tomber la foudre, ce qui envoya quelque peu valser notre pauvre Sorn à côté de N’lamahni qui se préparait à intervenir en vitesse. Quand la foudre fut s’enfoncer la pointe de roche dans une stèle plus que sensible. Explosant en milles morceaux, le sol se fissura et ouvrit une grande faille qui emporta à l’intérieur Livio, Ugumori et Sorn dans ce qui ressemblait être une grande fumée sinistre. Tous jaillirent à leurs côtés, retombant habillement au sol dans la grande salle, seul Kyuuji préféra se tenir dans les hauteurs afin de veiller sur tout le monde et nous donner une porte de sortie au cas où il fallait fuir en vitesse.

Au milieu de nous, se tenait les vestiges de ce qui devait être une salle d’expérimentation pour les sorts des Survivalistes pendant qu’ils essayaient de convoqués de noirs pouvoirs en hommage à Dalamud même. Mais sur ce qui était des tapisseries, et des colonnades, se trouvaient maintenant des symboles Hingashiens et autres runes évoquant le nuage noir lui même, autours de ce qui semblait être un ver géant endormi. A travers ses brumes, laissaient apparaître les silhouettes des prisonniers installés sur les poteaux de pierres noires. Enchaînés par du fer sinistre identique à la flèche noire au dessus de nous désormais. Et le plus gênant pour certains, était que Gobet se trouvait à une de ses chaînes lui aussi ! Devant eux, dans la fumée, se trouvait des silhouettes de brumes ayant vaguement leurs tailles et leurs formes, et cette connexion avec leurs propres silhouettes semblait être des plus douloureuses. De plus en plus pâle, de plus en plus en piteuse état, ils se dégradaient au fur et à mesure du temps et de l’affliction généré par la présence de tels êtres. Face à un grand miroir, au coeur des formations du rituel, se trouvait Nunulupo. Quand il parlait, sa voix était bien celle d’Ydan lui même. L’un des conseillés du Styx de Thanalan avait des grands projets, envoyé notamment pour devenir un des cérébrates cherchant l’éveil de Légion au nom du nuage noir. Brusquement, l’obscurité gagna les environs et le sol se mit à rayonné, tournoyante en des myriades d’éclats de lumières laissant naître quelques étincelles. Peu après, une vision naquit. Comme si nous étions au niveau des nuages, haut au dessus d’Ul’dah. Dans le cœur du Thanalan, s’éveilla l’immensité de Légion comme une montagne naissante au milieu du dôme de la citée-état pour la brisé et la réduire en morceaux pendant que la silhouette du titanesque ver du néant s’y installait. La vision s'estompa bien vite, renvoyant les environs au milieu de la fumée et des colonnades de Tam'Tara.

Sans savoir encore réellement pourquoi, le Conseil de Styx souhaitait visiblement obtenir ce pouvoir pour se débarrassé du Thanalan, et cela devait commencé par la mort de Sorn. Il devait être intrinsèquement lié à toute cette affaire, autant qu’au nom de son jumeau qui organisait et orchestrait tout ça : Alaric. Dès que la vision s’acheva, une forme spectrale naquit au dessus du Lalafell dans un tourbillon d’obscurité. L’Elu noir, une des pièces maîtresses de Tsakyoki, naquit au dessus de la forme du Lalafell possédé. Ydan n’avait simplement plus rien d’humain, le pacte avait été conclu au moins avec lui et il se préparait à se déchaîné. Pour offrir une ouverture à mes compagnons, je me ruais droit vers l’Elu noir. Mon sabre et sa faux se vinrent sans cesse être confrontés au milieu de la fumée autours de lui.

Pendant que tout le monde libérait les prisonniers – Finaen le comprit rapidement. Pour les sauvés, il fallait cassés leurs chaînes le plus vite possible tout en parvenant à détruire les ombres devant eux. La plus part furent rapidement mit en sécurité, notamment Gobet que Ugumori et Livio parvinrent à faire les deux objectifs en même temps, pour que ce dernier puisse aller libéré celui dont l’ombre avait disparue grâce à une malice de Runne. Sorn fut protégé d’un coup de griffe violent d’une des ombres par l’apparition direct de Brave, son garde du corps, toujours en vie. Ensemble, ils purent libéré le dernier prisonnier peu après Finaen, qui avait été protégé in extremis par une lame de jet de N’lamahni avant d’être lui même blessé. Nous avions essayé de l’empêcher de faire usage d’une forte incantation, Livio, Ugumori et moi frappant ensemble l’ombre gênée par la brume foudroyante de Runne. Cependant, nous avons tous été balancés au sol au milieu, comme attiré par une force grandiose, pour que la déferlante d’énergie du néant tombant des cieux en un faisceau de pouvoir ne nous désintègre tous. Passant outre le mur de glace créer par N’lamahni, ainsi que nos assauts avec Runne, Sorn, et moi essayant de trancher et de briser le faisceau. Kyuuji depuis les hauteurs poussait le plus possible dans sa protection pour le retenir et arrêter l’énergie, qui parvint à atteindre les protections de Livio et Ugumori qui tout deux tenaient le choc dans une lueur d’argent venant de leurs défenses. Si Finaen avait pu nous offrir soulagement et soins après avoir été fortement écrasé au sol, nous étions lentement écrasé par le sort, plus rien ne pouvait être fait. Ce. Jusqu’à ce qu’il émette une puissante lueur qui acheva le pouvoir du faisceau du néant. Libéré de ce joug, l’Elu noir Ydan bondit en rugissant de colère avec sa faux à la main.

Le tir de grenade de N’lamahni explosa brusquement dessus, dissipant quelques peu la fumée autours en l’empêchant de frappé, se mêlant aux vents de Runne et à l’impulsion de magie de Finaen. Sorn tirait dessus, précisément, passant à travers cette créature en l’hébétant un instant. Le revers de son chocs propulsant N’lamahni et Runne au sol, bousculant un peu Finaen, et envoyant Gladys – la Tourelle de Sorn, droit contre le crâne de son maitre. Une petite bosse en perspective ! Ugumori et Livio jaillirent en avant, une grande explosion foudroyante apparue lorsqu’ils frappèrent tous deux, dévastant la moitié du corps de l’Elu noire en me permettant de trancher en plein cœur de son incarnation. Ydan ne pouvait que hurler, jusqu’à ce que son être disparaisse lentement. Il nous observait, et c’est comme si quelque chose l’attirait. Dans son état, il n’avait peut-être pas encore été totalement détruit. Mais notre victoire sur les opportunistes de Styx et ce pacte mené fit pleurer de joie une des prisonnières pendant que nous nous chargions de remonté tout le monde à la surface. S’en était fait. Nous pouvions rentrer vivant malgré les nombreuses blessures et la fatigue accumulée notamment pour ceux ayant confrontés la Mort de Fer hier. Il nous fallait un peu de repos désormais. Car notre prochaine objectif ne serait pas des moindres. Celui de se saisir du Halo des Profondeurs. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 26 févr. 2021, 13:42

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-dix-huitième Entrée – « Acte 8 – Le Halo des Profondeurs.»
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« L’artefact convoité par Ikijin, il était enfin temps de mettre ce dernier en sécurité en l’empêchant définitivement de mettre la main sur ce qui lui permettrait d’aisément invoqué Tsakyoki en Eorzéa en permettant au nuage noir de commencer à sévir sur des terres bien plus vaste que sa petite île isolée au nord d’Hingashi. Même si il pouvait s’échapper et aller dans l’archipel, ça ne serait jamais aussi grand qu’Aldenard et Ilsabard jusqu’à Doma même. Il était néanmoins loin d’y parvenir, avec nous sur son chemin, cependant nous avons été informés que tardivement qu’il avait fait envoyé ce qu’il restait d’Ydan droit vers la pierre du Nénuphars où était isolé le Halo dans les flots même, normalement hors d’atteinte de tous. L’isoler, le scellé, trouver un moyen pour que personne ne l’atteigne même pas nous au mesure du possible devait être fait, mais pour l’instant, nous devions au moins nous y rendre en vitesse. Et la mission allait être longue, surtout en voyant que l’ambiance morose se dégradait petit à petit. Ça n’était pas la tempête, ni une forte pluie, mais tout le monde préférait rester chez eux. Ils avaient été informés par Esmeralda de ne pas sortir et de rester sur place tant que les miasmes d’une présence infâme ne seraient pas disparue. On ne savait pas encore ce qui allait se produire, et quand cela advint, nous même n’étions pas prêt par l’ampleur de la contre-offensive. C’est au Ranch que nous nous sommes retrouvés avec des membres de l’équipe habituel.

Pour nous guérir, une belle équipe fut formée entre A’tinea et Aerlin dont ce dernier proposa de suivre un peu plus nos compagnons afin de tenir des suivis de santés. Pratique ! Je n’avais plus cela depuis que Moutah est à la retraite ! Tandis qu’Ugumori pourrait nous protéger de sa carrure immense, Livio ayant préféré prendre sa cérulame nommé « Ouragan », et ses outils de machinistes. Runne se tenait à nos côtés avec Sorn, tout ce petit monde avait simplement fini par devenir des amis à mes yeux. Il n’était donc que tant confortable l’idée de nous retrouver tous ensemble à partir vers notre nouvelle mission. Nous préparant tout en discutant un instant de projet possible et autres sujets, avant qu’il ne soit temps de se mettre en route. En ville, l’ambiance était morne et les passants nous esquivaient en général rapidement – on était bien loin de la convivialité agréable vécue lors des dernières missions, donnant l’impression d’être de retour en plein dans l’obscurité du Bannock ! Et je n’aurais jamais voulu être aussi proche de la vérité qu’en ayant une telle pensée vagabonde. Une femme en coule passait non loin de nous, avant qu’elle ne tourne subitement la tête dans nos directions, son visage lentement se mettait à changer pour devenir celle d’une horreur infâme nous hurlant qu’elle était jalouse de nous. Dans le Ranch, la force de Tsakyoki avait frappé les âmes les plus faibles et sensibles qui ne s’étaient pas mises en sécurité, et quant bien même ça n’était pas grand monde, la force des créatures étaient néanmoins bien réelle.

L’assaut fut si soudain que Sorn était en train de faire une farce, avant d’être entraîné dans un recoin prompt à se faire étripé par un infecté par ses émotions sous le regard d’un agent du conseil de Styx. Son bras gelé d’un coup par Runne, avant que je ne taille ce monstre en pièce et celui qui pensait le maîtrisé tout en aidant rapidement Sorn à se relevé, partout autours de nous l’enfer des mouvements et des hurlements se déchaînait sous les lueurs d’étincelles mauves jaillissant de toutes part. Donnant l’impression que le monde même était d’un mauve poignant. Au moins avions nous débarrassé grandement les environs de ses choses qui se sont entassés vers nous, pour essayer de nous écrasés. Les tirs de Livio et Sorn avaient l’air de poursuivre sans discontinuer en brisant leurs lignes jusqu’à ce que Livio ne soit assaillit et mit au sol par une nuée d’infectés. Avant qu’il ne lui arrive grand-chose, le Kanabo d’Ugumori frappa dans un coup de tonnerre en envoyant valser ses opposants ici et là peu après qu’Aerlin n’ait rattrapé Tinéa qui était traînée plus loin par une sorte de bras tentaculaire. Pour s’en sortir, il nous fallait agir de pair, et Aerlin avait décellé ce qu’il se passait vraiment : Faisant apparaître depuis la brume une sorte d’immense tentacule de fumée, ce dernier s’étendait dans les cieux droit vers le Ranch depuis la Pierre du Nénuphars. En sortant d’ici, nous avions pu observer depuis le ciel l’identique nuage noir qui avait jadis erré au dessus de la Tour de Galvanth. Cette fois, il était actif, la bouche ressemblant à celle d’un Atomos était ouverte au dessus de sa cible, et il ne fallait pas lui laisser récupéré le Halo des Profondeurs pendant qu’il se nourrissait des villages environnants pour détourné l’attention de tout les défenseurs locaux.

Progressant sur la grand route, les Deux vipères repoussaient les créatures errantes de Légion qui s’étaient déchaînés dans les bois sous l’injonction de leur maître. Nous n’avions pas de grandes difficultés à progresser, Tinéa et Aerlin s’occupant de nos blessures pendant que l’élémentaliste cherchait à trouver la moindre faille dans les puissances locales. Jusqu’à ce qu’une explosion vermeille n’apparaisse dans les cieux brusquement, coupant la tentacule de fumée en laissant choir plusieurs personnes qui était emporté à l’intérieur droit vers le nuage. Ainsi que le responsable du sort : Finaen n’était pas en suffisamment bonne état pour géré sa chute, et encore moins celles des habitants qui étaient en train de tomber des cieux avec lui. Aussi tôt, tous se ruèrent en avant pour les rattrapés, avant que ce ne soit des créatures de Légion qui ne les attrapes pour ne rien en faire de bien joyeux. Ugumori et moi luttions et repoussions les démons chitineux de la conscience collective pendant que tous s’occupaient de nos alliés – Runne et Aerlin maîtrisant les vents dans une lueur d’éther verdoyant puissant. Leurs chutes ralentirent considérablement sans non plus les découpés en morceaux, alors que la gravité de Tinéa les maîtrisa soudainement en une impulsion étoilée. Nous laissant toute opportunité de nous en saisir tandis que Sorn récupérait Finaen tel une princesse tombant des cieux.

Passant outre ce moment digne d’un histoire quelque peu érotique – ce genre de livre que je ne lis pas du tout, Livio dressa son bouclier d’énergie qui se fractura sous le coup de griffe de la bête chitineuse pour protéger ses deux camarades. Laissant l’immense Kanabo faire son office pour se débarrassé des plus teigneux, nous avions au moins fini par repoussé les assaillant tout en aidant doucement les habitants à reprendre conscience de leurs environnements. Nous avions au moins récupéré Finaen, mais le filin tentaculaire fait de brume se reformait déjà au dessus de nos têtes : Tant que nous ne brisons pas le coeur de cette formation démoniaque, le Ranch et quelques petits villages seraient toujours menacés par les transformations malsaines des émotions. Après avoir mit un instant les habitants en sécurité en s’organisant avec Sulfur qui d’une main de maître avait fait en sorte que les Deux Vipères défendes les locaux, nous observions tous le passage vers la Pierre du Nénuphars enfouie dans l’obscurité, sous une cloche de brume que nous connaissions bien avec Ugumori. Quoi qui nous attendait derrière, la première arme de Tsakyoki serait nos propres instincts, nos propres doutes, nos propres peurs. Nos souvenirs les plus amers.
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Donnant quelques indications, le massif Roegadyn traversa en premier. On ne pouvait pas y voir grand-chose à l’intérieur, bien que le passage fut relativement court, alors qu’à l’intérieur de ses masses de brumes divers visages se formaient lentement comme si on modelait l’obscurité même pour lui donner une forme précise. J’essayais de ne pas trop me concentré dessus, mais au fond, l’observation de tels formes me donnait l’impression de sonder l’âme de mes compagnons – Les moqueries des Sharlayanais sur Tinéa lui rappelant des tourments de ses études. L’ombre du second plan pour Aerlin qui ne pouvait qu’observer ceux promit par la naissance à un avenir grandiose tandis qu’il était mit de côté. Les Garlemaldais oppressant de Rocasterne pour Livio, et des regrets gravés sur des grandes statues gardiennes du Sombrelinceul pour Finaen. Sorn voyait la forme d’une personne qui lui ressemblait beaucoup, et seulement son sourire même fait de fumée suffisait à être comme oppressant. Runne quant à lui tiraillé par deux Elezens se moquant de lui. Pour Ugumori, les visages étaient bien plus nombreux, des innombrables citoyens d’Himitsu no Taki lui criant dessus qu’il à échoué, qu’il les à tous trahis. Qu’il à échoué à protéger l’île et ceux qu’il avait juré de sauvé. Malgré l’avertissement du Gardien, beaucoup étaient très affectés par ce qu’ils voyaient, même Aerlin que je connaissais pourtant si stoïque face aux menaces semblait avoir reçu un coup au coeur pendant un instant avant que ses techniques de méditation ne lui permette de se reconcentré un peu sur notre objectif actuel qui se dévoilait sous nos yeux : La menace qui s’étendait sur le Halo des Profondeurs. Dès que nous avions quitté les brumes, nous pouvions observer depuis une petite plateforme avant un des grands ponts menant droit vers le cœur du sanctuaire, des flots déchainés et rugissant.

Les eaux habituellement si paisible, montaient et redescendaient subitement en provoquant des ravages autours, des colonnades de flots se brisant dans les environs en créant des remous puissant, le tout conduisant à une immense sphère d’eau ondulante autours d’un passage menant à la pierre. Mais l’eau de la bulle semblait infectée, des reflets mauves y apparaissant et ondulant autours comme si quelque chose voulait à l’intérieur devenir presque organique. S’installant sur le pont, la menace s’incarnait en des nombreuses créatures de Légion qui avaient été transformés par les énergies de Tsakyoki : Les formes des monstruosités prenaient celles d’habitants d’Himitsu no Taki. Elles n’avaient pas de couleurs, uniquement des formes noires lisses et chitineuses essayant de devenir de cruelles et pâles copies partageant les expériences et les pensées volées à ce qui essayait de tourmenter Ugumori. Fonçant en avant, faisant tout pour passé outre en chassant nos mauvais souvenirs. Les chocs puissants du Kanabo ouvrait la route rapidement dans des coups de tonnerres alors que tous essayaient de progresser sous les tirs de couverture de Sorn et Livio, nos compagnons magiciens partant en vitesse en avant tout en soutenant Aerlin qui faisait en sorte que les déchaînements des flots ne fassent pas grand-chose de mal outre que nous trempés de la tête au pieds. Et ce, jusqu’à ce qu’une faille apparaisse droit devant nous, permettant d’entrer dans la bulle d’eau maudite sans avoir besoin de la toucher.

Tout le monde s’engouffrant en vitesse à l’intérieur, laissant le chaos derrière nous pour retrouver un lieu relativement stable donnant une fois de plus l’impression d’être sous l’eau. Tout ondulant en des myriades de lueurs offrant parfois comme une vision de kaléidoscope, la forme du nuage noir tentaculaire était devenue une grande tache floue au dessus de nos têtes ondulante légèrement. Ici, sous la supervision d’un démon-gardien portant une armure Hingashienne, les créations de Légion avaient prit forme de nos cauchemars le temps qu’ils fussent volés dans les brumes noires. Les citoyens paniqués étaient commandés par la forme de Silius, un Garlemaldais provenant des souvenir de Livio tout en étant accompagné par une sorte de Sorn – Qui semblait peut-être même un peu plus beau ? Non. Pardon. Tu es magnifique Sorn, bien plus encore ! Mais cela ne changeait rien à son expertise au sabre qu’il possédait alors. La bulle d’eau était formée par une flèche noire, du même métal que ce qui avait produit l’Aurore Boréal au dessus de Tam’Tara, générant les forces du néant qui renforçait tout les rituels environnant. Deux étaient actif plus loin : Celui qui cherchait le Halo des Profondeurs au centre de tout, et celui conduit par des Sharlayanais – du moins, des créatures de Légion transformés avec les souvenirs de Tinéa. Pendant que l’ensemble des transformations étaient effectués par une forme de Padjal assis sur de la fumée noire venant de la jalousie d’Aerlin.

Fonçant brusquement en avant, Ugumori parvint à tenir le front en brisant les lignes de créatures tout en percutant brutalement les officiers. Le Garlemaldais ne fit pas long feu, hurlant à Livio que Landfust arrivera tôt ou tard en se prenant un tir de Sorn qui acheva définitivement ce dernier. Avant qu’Ugumori n’ait à affronté ce « Sorn au Sabre. » Le combat fut difficile, surtout que dans son dos, la flèche noire avait chuté sur Aerlin et Finaen qui ne parvinrent à s’en dégagé que bien difficilement. Prenant l’aspect du Maître d’Ugumori quand ce dernier le tenait par la gorge en bloquant son attaque, se préparant le frapper encore et encore et encore de ses poings et de son sabre en rugissant avec intensité. Au moins, les pierres levées bloquèrent l’adversaire suffisamment longtemps pour que le poing d’Ugumori renforcé par Tinéa ne le percute d’une telle violence qu’il fut balancé de l’autre côté du pont qu’il gardait, dévasté.

Livio avait directement pu atteindre l’autre côté avec son grappin, en ayant dévasté les faux Sharlayanais jusqu’à ce que le dernier ne lui parle comme si il s’exprimait avec des souvenirs enfouies de Tinéa bien plus respectueux. Visiblement, ils ont lancés un rituel de transformation se préparant à créer une monstruosité qu’il fallait arrêté rapidement. Combattant le démon-gardien, ce dernier traversé par les vagues céruléennes d’énergies et par un tir bien placé de Livio fini par se jeté à l’eau, des taches d’un sang noir apparaissant alors qu’il était dévoré par ce qui se trouvait sous l’eau. Le rituel fut dévasté par Sorn et Livio tirant sur les moindres cristaux en création, ce qui convint bien au moment où je finissais par achevé mon adversaire. Rendue plus rapide et tranchante par une carte de Tinea, même si il ne fut pas facile à vaincre, le faux Padjal n’était en rien aussi puissant qu’un vrai. Les pierres d’Onyx noir levée tournoyant autours de nous jusqu’à ce que je ne le tranche littéralement en deux, ce dernier accordant un dernier regard, et un dernier sourire, à Aerlin. Avant qu’il ne disparaisse à son tour. Le rituel central lié au Halo crépitait d’énergie dévastée, Finaen faisant tout pour essayer de le saboté, peu après avoir convoqué celle qui avait parler dans sa psyché tout en venant en aide à Aerlin – Le bouclier d’énergie de Tinea nous avait tous protéger, mais avait surtout empêché que notre élémentaliste ne soit devenu une crêpe plate. Locae était devenue maîtresse de ses eaux, installés au dessus de nous avec la lueur de ses élémentaires-liés reluisant d’une douce lumière. Et quand Finaen aidé par Runne finit par dévasté le rituel, dans une forte explosion vermeil, ce qui rôdait sous les flots fini par sortir. Une forme immense d’une création de Légion, faites pour accueillir l’essence d’un cérébrate de la conscience collective, passant dans les cieux avec l’aspect d’un dragon aux quatre ailes, l’incarnation du Kami des tempêtes. Il fusait dans les cieux, blessant grièvement Locae au passage ce qui dévasta la bulle d’eau devenue pure en laissant choir les flots comme une cascade se tarissant d’un coup autours de nous. La bête fonçant vers la dernière plateforme, produisant une sorte d’effet de ravage avec lui, progressant droit vers le Halo des Profondeurs.
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La situation stabilisée, je pu observer qui Runne s’était empressé de partir secourir dès le début du combat, en se propulsant en avant quitte à se casser la figure par terre : Ener, Le miqo’te ressemblant énormément à Runne, ainsi qu’un membre du Linceul Blanc du nom de Spark. Les deux avaient été envoyés par leur organisation pour découvrir ce qui pouvait bien se produire au niveau du Halo des profondeurs, avant d’être capturés par les forces démoniaques et « mit de côté » afin de voir ce qu’ils pourraient plus tard en faire, et potentiellement gangrené toute l’organisation du Blanc Linceul à son tour. Cassant leurs chaînes, ils expliquèrent à Runne et à ceux autours d’eux que le Halo était une création Amdapori servant de « solutions de repli » en cas de victoire de Mach par les anciens mages blancs vivant par ici. Ayant formé ce halo à partir d’une antique création d’Allag en remplaçant les énergies par leurs propres sortilèges. Avec ceci, ils pourraient donc attiré avec le bon rituel, directement le nuage noir jusqu’ici. Si nous avions arrêtés le rituel, nous ne pouvions pas laisser l’instrument entre leurs mains, et après quelques soins offerts par nos guérisseurs pendant que tous se reprenaient des assauts, il nous fallait progresser dans le chaos provoqué par l’envol de ce « dragon ». Les pierres noirs ressemblant à de l’Onyx veiné par des lueurs mauves ne cessaient de choir des ceux en même temps que les flots se déchaînaient encore plus, agitant le dernier pont dans tout les sens où quelques des créatures de Légion essayaient encore de sortir. Ugumori progressant en avant tout en propulsant ses adversaires ici et là, nous avons faillit choir dans le vide quand le pont fini par céder brusquement. Rattrapé par Finaen dans un énorme grondement terrestre, des levées de roches s’installant là où il le fallait pour tenir le pont en train de choir.

Cela n’empêcha pas Aerlin de tomber dans le vide – Heureusement, Tinéa avait créer des protections autours de chacun de nous, et ce fut surtout les barrières qui cognèrent Aerlin dans tout les sens qui ne savourait pas du tout l’ironie d’avoir essayer de les arrêtés pour finir dedans. Mais avant que ça ne soit trop grave, Runne avait congelé l’eau au sol où Livio parvint à mettre le pieds pour récupéré notre compagnon balancé à l’eau, le remontant avec tout le monde en vitesse jusqu’à atteindre notre destination tous ensemble. Sous les tirs de Sorn qui avait notamment abattu un des mercenaires du Conseil de Styx qui lui hurlait dessus que son sang permettrait à tous de débloqué la clé. Ils étaient devenu complètement fou, pensais-je, mais c’était pire. Les mercenaires Thanalanais qui s’étaient impliqués dans l’œuvre du conseil de Styx avait en partie été mutés par les déformations de Légion, des sortes de mandibules au visage et de la chitine un peu partout sur le corps. Les odieux difformités ne nous empêchèrent pas de les taillés en pièce jusqu’à parvenir au bout du passage.

Ici, étrangement, tout semblait relativement plus calme. Comme si le monde environnant n’était qu’une fureur mue par les flots que Locae ne parvenait plus dans son état à contrôlé, autant que par l’élévation du Halo tournoyant doucement en lévitation face à nous. Il était magnifique, fait de pierres blanches reluisantes avec de nombreuses gravures et des lignes concentriques bleutés s’illuminant régulièrement, et alors que Spark était en train de s’extasier devant cette création antique, Livio vérifia qu’elle n’était pas encore souillé. Heureusement, nous avions pas seulement une chance de la mettre en sécurité – nous avions une chance de nous en servir directement contre le nuage d’invasion rôdant encore au dessus de nos têtes. La création de Légion, ce faux-dragon incarnant la silhouette du Kami d’Himitsu no Taki tournoyait dans les cieux en rugissant sous le regard de ce qu’il restait de l’élu noir.

Ydan avait été envoyé ici malgré son échec pour devenir le vaisseau du pacte qu’il devait respecté en apportant le Halo contre le corps du « dragon » prompt à devenir un cérébrate de Légion. Riant, criant, déformé entre la fumée et des aspects chitineux affreux, il étendait doucement ses bras en braillant qu’il était enfin sur le point de réussir, mais Finaen ne l’écoutait certainement pas. Il était déjà en train de se diriger vers le halo pour essayer de trouver un moyen de le faire fonctionner auprès de Spark qui ne cessait sans cesser de lui parler en expliquant ses diverses possibilités. En soit, Finaen essayait de se préparer à en faire un usage défensif avec une cible direct : Il était fait pour abattre des entités aériennes de Mach. Là, il serait fait pour viser la cible essentielle. Le nuage lui même dont la bouche d’Atomos qui s’ouvrait semblait vouloir dévoré directement le Halo pour l’offrir à son maître. Dans une explosion foudroyante, Ugumori se propulsa subitement en l’air en cherchant à s’écraser directement sur Ydan après un choc de son Kanabo au sol. Il aurait bien voulu réagir, mais le tir de Sorn était passé en travers ayant bloqué sa faux spectrale suffisamment longtemps pour qu’Ugumori n’écrase un éclair comme un choc du tonnerre proche de son adversaire en le propulsant au sol. Se redressant, ils reprirent un combat déchaîné en des frappes ne cessant sans cesse d’être partagés entre les deux. Mais Ugumori avait un support de choix pour l’aider dans son combat : Les tirs de Sorn arrêtaient parfaitement l’entité en le traversant régulièrement de part en part, jusqu’à ce que le pied du Roegadyn n’écrase le visage de l’entité obscure.

Face au Dragon, ce dernier s’était écrasé au sol sous un choc des vents puissants convoqués par Aerlin, la déflagration l’ayant fracassé par terre fortement, peu avant de recevoir un tir de Livio droit dans une faille permettant d’ouvrir un accès vers son cœur que je m’efforçais d’ouvrir un peu plus de ma lame. Tinéa essayait de nous renforcer, et simplement de nous guérir quand en retour il nous balançait ici et là. Les piques de glaces de Runne percutèrent les ailes sans cesse de la créature pour l’empêcher de se relevé, bien qu’en retour, il fut propulsé plus loin à côté d’Aerlin sous un rugissement surpuissant. En venant l’aider et le soigner en vitesse, Aerlin protégea Runne tout en recevant autant à sa place la déflagration d’éther puissante que Livio lui même transformé en Tigre blanc grâce à l’artefact du Totems aux milles bêtes pour ravagé la gorge de son adversaire. La forme draconnique reprit son envol, produisant un effet de dévastation en même temps qui percutèrent ceux au sol, jusqu’à ce que sous les lueurs des renforcements de Tinea, tous purent essayer de porter le coup fatal. Bondissant d’un jet d’eau à un autre, d’une pierre d’Onyx à une autre dans les airs, jusqu’à planter mon sabre en laissant une grande faille. Le tir de Livio passa à travers, de part en part, en le laissant lentement choir vers le halo quand en même temps Ugumori envoya avec puissance le katana d’Ydan passant à travers la créature de Légion. Dévastée, elle chutait lentement, à l’instant où Finaen malgré la douleur et le manque d’énergie, parvint à faire usage du Halo quand Runne et Sorn lui offrirent la vitalité pour.

Tournoyant autours du Halo des Profondeurs qui se mit à se déplacer de plus en plus vite, les forces des vents, de la terre et de l’eau furent usés par l’élémentalisme d’Aerlin afin d’infusé l’ensemble de plus en plus de force. Un rayonnement passa à travers le dragon dévasté en le réduisant en poussière, avant d’atteindre l’incarnation d’Ydan : Le nuage d’invasion. Se disloquant dans un hurlement de douleur terrible, comme si il calcinait de l’intérieur, les lueurs des esprits de ceux libérés s’élevèrent lentement dans les cieux. Prompt à rejoindre enfin la mer des étoiles. C’était fait, le Ranch et les environs étaient en sécurité, autant que l’artefact lui même. Lentement, sous l’émerveillement de Spark qui ne pouvait plus se taire en parlant d’à quel point c’était formidable. Le halo retourna doucement sous l’eau avant que Locae ne refasse son apparition pour s’installer au dessus. Envieuse de scellé ce dernier définitivement, et d’en être la gardienne, récupéré le Halo des profondeurs ne se ferait pas sans d’immenses difficultés laissant largement le temps aux esprits de la protéger des moindres intrusions. S’en était fait. Tsakyoki ne pourrait sûrement pas être invoqué. Sauf si Ikijin trouve une nouvelle façons d’y parvenir, et c’est avant qu’il n’y parvienne, qu’il était temps pour nous de mettre la main dessus. Pour l’instant, notre première et importante cible reste le Gardien maudit qui l’accompagne : Il est temps pour nous d’abattre Ashizen, de le laisser enfin profiter du repos de la mer des étoiles à son tour. »
Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 28 févr. 2021, 14:20

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

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Cent-dix-neuvième Entrée – « Acte 9 – Un culte voué à la Guerre.»
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« L’artefact désormais en sécurité, nous pouvions profiter du fait que l’ennemi avait une grande partie de son plan brisé en milles morceaux pour agir avec précaution. Ikijin n’est pas une entité que nous devons prendre à la légère – il fut même le fer de lance dédié à la destruction de Tsakyoki pendant longtemps en tant que maître de l’Aube obscure originel. Le vaincre ne serait pas chose aisé, - autant que récupéré mon cristal entre ses mains depuis trop longtemps. Mais pour y parvenir, il fallait ôté son combattant le plus puissant qui l’avait accompagné jusqu’ici. Ashizen, un des camarades de Ugumori en tant que Gardiens d’Himitsu no Taki, était devenu une des armes du nuage noir en cette terre provoquant destruction lors de son passage. Il se trouvait, semble t-il, vers l’Ouest de la contrée après que ses adorateurs aient prit le contrôle de la Tour de Dunstan pour y établir une sorte de relais aux épreuves. Cela concernait un « Culte voué à la Guerre », adorateur d’Ashizen, dont les guerriers étaient cruellement sélectionner pour servir parmi les destructeurs de l’ancien gardien. Avec la Tour de Dunstan, il était possible de surveillé tout le Havre des Renouées. Mais tant qu’elle serait entre les mains des serviteurs stupides d’Ashizen, nous ne pourrions même pas passer pour intervenir efficacement. C’est à la Brancharquée que nous nous sommes retrouvés, pour certainement l’avant-dernière fois au grand soulagement des habitants qui avaient un peu trop subis et qui étaient ravi que tout s’apaise certainement enfin. Il n’en fallut que peu pour les voir paniqués une fois que la terre se mit à trembler d’un coup, au grand dam de plusieurs personnes alors que plusieurs fois, la terre remua brusquement. Quelques étals volant ici et là, de choux balancés à droite et à gauche ainsi que quelques morceaux de toits.

Nous étions à l’éthérite, préparant la mission avec notre équipe du soir : Finaen et Runne étaient comme toujours présent, ainsi que notre amie Eloise qui semblait bien portante après ses dernières semaines d’activités. Complétant l’ensemble, une N’lamahni bien moins angoissée et prête à l’action avec Sorn doté de son habile parure de combat. C’est uniquement Livio qui devait nous protéger ce soir, Ugumori préparant ce qui est nécessaire à la défaite d’Ashizen, comptait sur nous pour que l’avant-garde de notre mission se mette en place avec la récupération de la tour. Les tremblements de terre étaient bien entendu malvenu, et alors qu’Eloise usait des gens pour soulevé les tôles et le bois de ce qui s’était effondré sur des gens, soutenu par Livio, Runne avait foncé avec Finaen qui soutenait le vieux druide local qui réclamait notre attention. Venant nous montrer la sorte de nuage verdoyant qui était apparut dans la direction de la Tour, ce qui suggérait que rien de bon ne s’était produit là-bas après les récentes manœuvres de Sulfur pour préparer le terrain et avoir une avant-garde. Nous mettant en route sans plus tarder, inquiets pour les vigiles sombres en espérant que rien ne leur arrive, nous avons directement fait route vers la tour malgré l’ambiance locale qui se dégradait de plus en plus. Ce n’était pas normal, ce lieu était une forêt paisible et en rien ce qui ressemblait à un marais. Comme si une couche de réalité avait été conjugué, superposé sur une autre, les odeurs étaient déjà un problème en plus du fait qu’il était empoisonné, cet air.

Des jeunes aventuriers fuyaient sous la surprise en toussant fortement, alors que nous indiquions des lieux où partir pendant que plusieurs aidaient ceux qui avaient été malmenés par les problèmes de l’apparition trop soudaine d’un marais là où tout les locaux œuvraient paisiblement. Runne soutenait une jeune fille, soulevant un arbre qui était tombé – enfin, le faisant roulé sur le côté pour l’aider à se levé. Ce sont les vents de Finaen qui ramener les vigiles sombres et quelques civils vers le bord de l’eau fangeuse pour que Livio les récupères tous et les sortes de là rapidement. Des tentacules tournoyaient autours de nous, sortant du sol, d’un aspect vert écœurant comme poisseux et dégageant une légère fumée verte. Ils tentaient de nous attraper brusquement, apparaissant au milieu de la fange en sortant de l’eau, si les environs paraissaient aussi inquiétant que fantastique, les tentacules elles avaient l’air de gratter le sol en envahissant l’espace environnant.

Venant des feuillages, des insectes blancs fins avec des ailes membraneuses installés sur de la fumée sinistre, comme ayant de créatures de Légion contrôlées par l’instinct de nuées qui déferlait autours de nous. Il fallait abattre de telles créatures démoniaques, avant qu’elles ne se mettent à ponctionner l’éther des gens autours de nous, tirant mon sabre, je laissais à mes compagnons le soin de s’occuper des gênes environnantes notamment les eaux fangeuses et cet air malsain, Finaen aidant déjà à ce que la terre soit un peu plus utilisable pour ne pas nous enfoncer dans le sol. Gelant le tentacule qui allait achevé la jeune fille, Eloise se tenait derrière en envoyant des lames d’éthers ici et là pour les dévastés en même temps que Sorn avait décidé revêtir l’aspect du Cerf de son totem. Frappant de ses bois tout en fonçant en avant, pavanant avec orgueil, il du s’enfuir rapidement quand derrière lui les tentacules s’élevaient brusquement en cherchant à le saisir. Au moins étions nous à l’abri du poison – La bulle d’air créer par le petit golem gardien de N’lamahni soutenu par les vents manipulés par Eloise nous empêchait d’étouffé, la miqo’te restant régulièrement au milieu du groupe parvint à soutenir le travail de Finaen quand il fallait réussir à passé : Un cristal de terre envoyé au sol, et notre ami mage pu enfin tirer correctement ses marais écœurant qui n’étaient pas réellement ici. Nous foncions en avant en formation, après avoir mit tout ceux croisés sur notre route en sécurité en des actions coordonnés, mais les maudites créatures ne semblaient pas vouloir nous laisser faire. Se mettant sur notre route, les hordes infâmes, notamment des chasseurs de brume, se tinrent face à nous avant qu’ils ne soit assaillit par Livio, les tirs de Sorn qui avait reprit forme pour bondir en tirant vers eux, une fois que leurs protections cédèrent due à une explosion intense d’Eloise. Après avoir tailler un chemin dans les chasseurs des Brumes apparaissant au milieu des nuées enragées, leurs lames blanches claquantes, le monde s’est mît à se déplacer autours de nous.

Comme nous engouffrant dans un tube formé par la nuée nous entourant donnant l’impression que le monde était fait de formes vivantes se déplaçant à toute vitesse. Une sorte de requin, si j’ose dire pour une entité démoniaque, se déplaçait dans la nuée comme dans de l’eau alors que nous étions emportés dans ce tube que Finaen repoussait avec les vents. Livio en tête, frappant la bête en l’écartant de notre chemin dans une explosion, elle fut achevée par un javelot de N’lamahni après que j’ai pu la frapper de mon sabre en étant protégé de justesse par un bouclier reluisant autours de moi. Et c’est là que tout à explosé. Runne soutenant le lance-flamme de Sorn en une langue de flamme puissante, conduite par les vents d’Eloise droit vers le tourbillon protecteur de Finaen. L’instant suivant, nous nous retrouvions dans une véritable tornade enflammée où les créatures de Légion furent littéralement réduite en poussière. Agités dans tout les sens dans cet instant de célérité inattendu, nous observions l’immense tronc d’arbre servant de passage vers la tour. Arrivant un peu trop vite, je dis dire !
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Après la projection enflammée, ayant achevé le passage dans les marais conjurés par ce qui produisait certainement ses tentacules un peu partout en faisant gronder la terre tout en produisant ses tremblements de terre qui pour l’instant n’étaient que des présages de malheurs lointains. Nous reprenant lentement, Sorn hilare et heureux alors que nous étions pour la plus part sonné, ce pauvre Livio grognant en demandant qu’on arrête de l’écraser, j’en profitais pour observer les environs. La Tour de Dunstan était visible au loin, s’étendant sur les hauteurs rocheuses en même temps que le reste de la forêt. Autours de nous, des troncs immenses s’étendaient, qu’ils soient grand ou fin, tous s’étendaient autours de celui où nous étions arrivés, simplement titanesque. Il permettait de créer un pont naturel pour grimper sur les hauteurs, et semblait malheureusement avoir été investit. Pour une fois, nous étions précisément au plus profond de la forêt – les broussailles étaient nombreuses, à perte de vue, autant que les lianes tombant des branchages un peu partout. Des bruits de cris de combats et de grognements guerriers étaient partagés un peu partout autours de nous. Au milieu de la végétation, des blasons avaient été déposés ici, ainsi que des torches reluisant d’un feu bleuté. On voyait sur l’étendard principal, une sorte de symbole d’un poigne voulant enserrer le monde entier, avec au dessus de ce poing, six yeux mauves. Ce fameux Culte de la Guerre, les adorateurs du pouvoir d’Ashizen mut par la destruction pure et simple appelant les simples d’esprits à se laisser envahir par l’envie simple de dominer, de détruire, ce qui se trouve autours d’eux.

Ainsi, ils avaient fait en sorte que les étendues boisés servent d’innombrables airs d’exercices pour que les guerriers puissent s’exercer et mérité ou non de recevoir les tatouages de sang leur permettant de s’approcher un peu plus d’Ashizen lui même. Et ceux qui échouaient serviraient quand même la cause, autrement. C’est proche d’un immense Roegadyn qu’un jeune homme fut balancé dans le vide dans un hurlement, en dessous l’attendait comme des nappes de brumes mauves faites pour l’enlacé, et le transformé. En des créatures au corps rouge vite dans un manteau violet de pouvoir et doté de fines lames blanches. Des chasseurs des Brumes, exactement ses mêmes entités qui protégeaient le Cocon de la Colère que l’œil ouvert de Mach avait essayer de créer dans le Thanalan, lorsque nous pourchassions la malédiction des Delatour. Il y en avait déjà eu quelques uns sur la route menant ici, Eloise avait dévasté leurs protections dans un souffle explosif puissant avant qu’on ne les massacres une fois que la brume anti-magie les avaient quittés. Les œuvres démoniaques étaient intrinsèquement mêlées, et Tsakyoki semblait profiter des moindres forces en présence pour renforcer la sienne. Peu envieux qu’il ne s’écrase au sol – ou qu’il ne lui arrive certainement bien, bien pire - , Finaen fonça en premier droit en direction du lieu où ils balançaient les échecs.

Utilisant les vents pour le rattrapé en l’air avant qu’il ne soit récupéré par des forces maléfiques, tout en parvenant à lui faire attrapé la corniche à côté, les guerriers qui auraient pu le gêné s’était fait taillé en pièce. L’explosion provoquée par le lance-patate de N’lamahni les avaient déjà éparpillés, permettant à l’Egi-Garuda de faire son office en les taillant en pièce. Et pour ma part, je faisais face au massif Roegadyn en armure qui dirigeait les compagnons, et jugeait de qui méritait ou non son traitement par une sorte d’hideuse sorcière qui imprégnait les guerriers élus par les tatouages de sang. Ses mêmes tatouages qui s’enflammèrent dans un bleuté spectral comme le visage d’Ashizen lorsque le combat venait d’éclaté autours de nous. Identifiant les brumes que Finaen observait en bas, Eloise découvrit qu’il s’agissait d’une sorte de moyen d’offrande pour la « Bête de guerre d’Ashizen », qui avaient créer toutes ses tentacules dont une énorme tournoyait autours du tronc d’arbre sur lequel nous étions.

En arrière, Sorn tirait régulièrement de son arme à feu pour essayer d’abattre ma cible, avec à ses côtés Runne et Finaen qui ensemble luttaient contre les chasseurs des brumes ainsi qu’avec un homme portant un masque, n’ayant qu’une partie de son visage visible, avec trois yeux apparent. Ce dernier semble t-il était responsable des créatures, que Runne et lui parvinrent à dévasté rapidement vu qu’ils venaient à peine d’être créer malgré les difficultés du Miqo’te à parvenir à atteindre ses cibles à cause de leurs protections, l’opposant direct de Livio prit la fuite peu après un choc immense avec la tentacule. Il voyait aussi bien que Livio ne serait pas facile à abattre, et qu’il ne pouvait pas nous avoir avant de le tailler en pièce, comme je venais de le faire avec le Roegadyn grâce à N’lamahni et Sorn. Le tir parfait du machiniste qui avait été protégé par N’lamahni avant qu’une hache ne le coupe en deux, traversa son épaule en même temps que le cristal de foudre de la miqo’te ne passe dessus. Me laissant une ouverture pour le trancher en milles morceaux, avant que le sol ne se dérobe à moitié sous mes pieds. C’est à côté, que Finaen avait été ejecté dans le vide un peu plus tôt, par un des survivants de l’hécatombe de l’Egi-Garuda d’Eloise. Cette dernière même parvint à rattraper Finaen avec l’éther, autant qu’il se propulsa en l’air, convoquant une purification droit dans ce « système nerveux » de la bête de guerre d’Ashizen. La douleur fut si intense que la tentacule broya le tronc, ayant faillit tous nous faire tomber immédiatement, mais il ne fallait pas traîner ici ! Sorn et N’lamahni courraient en avant, après un jet de Shuriken fusant sur la tentacule que Eloise et Livio massacrèrent ensemble à toute vitesse en nous laissant une ouverture. Runne était venu à l’aide de Finaen qui avait réussi à tombé deux fois au même endroit, permettant à ce dernier de se propulser vers la sorcière en même temps que j’étais arrivé sur son protecteur, un des samouraïs spectral d’Ikijin.

Propulsée au sol par l’éclat vermeille de la rapière, elle s’était transformée en une sorte de démon oriental difforme à la tête beaucoup trop grosse, mais n’avait pas prévue de se faire taillée en pièce. Essayant de cloué nos compagnons dans la partie du tronc qui tombait dans le vide avec des flèches du néant. Celle destinée à la gorge de Runne fut arrêté par des. Gils. Oui, des gils, que Sorn avait balancé en l’air avant qu’ils ne retombent brusquement sur la sorcière confuse qui tenait un gils brisé dans sa main en clignant des yeux. En retour, dans un choc foudroyant de Livio passant avec un couteau de jet de N’lamahni, elle finie par se faire taillée en pièce par l’Egi-Garuda et la rapière reluisant d’énergie vermeille de Finaen tant qu’elle ne pouvait rien faire à cause des sorts de Runne. Finissant de trancher son protecteur, malgré la difficulté pour le vaincre, le passage était ouvert et l’influence sur les combattants du Culte de la guerre disparue. Ceux qui n’avaient pas été volontairement amené ici se révoltèrent, et ceux offert en toute conscience à Ashizen étaient en train de se battre contre les révoltés. Des combats éclataient un peu partout, mais nous observions là où les tentacules se rétractaient. Droit vers la Tour de Dunstan.
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Laissant les combattants se fracasser les uns les autres, pour ne pas se mêlé à cette révolte afin d’atteindre le plus rapidement la source du problème, certains firent tout de même l’effort de bousculé ou de fracassé des guerriers visiblement concentrés volontairement par l’œuvre d’Ashizen, pour aider ceux qui avaient été manipulé. L’étendue n’était pas facile à prendre en main : Il fallait bondir, sauter, rebondir sur des racines immenses et des troncs penchés, couvert de mousses tout en ayant une vision relativement floue. Plus nous nous enfoncions, plus le nuage brumeux provoqué par la bête de guerre à la Tour était intense – et les protections du petit gardien de N’lamahni bienvenue. Certains usèrent de leurs symboles du totem des milles bêtes pour prendre les aspects qu’ils eurent mérité après les épreuves quelques jours plus tôt. Eloise tournoyait sous la forme d’une petite chouette en frappant des visages de ses serres, jusqu’à venir en aide à Sorn. Ce dernier avait fait usage tant de son arme à feu qu’il ne vit pas venir dans son dos le trou entre deux écorces dans lequel il chutait après un tir en plein visage. Se prenant de nombreuses lianes, Eloise tomba dessus en le voyant enroulé dans les lianes un peu bizarrement, avant de couper celle qui retenait l’ensemble, le laissant retomber sur le tronc d’arbre juste en dessous de lui. Un peu sonné, il se remit en route en dessous de nous pendant que nous progressions en vitesse.

Livio avançait avec N’lamahni, côtes à côtes, la Miqo’te ayant fait usage d’une technique surprenant alors que les vents tournoyaient autours de ses membres, et notre protecteur avait prit la forme du tigre blanc infusé par les foudres du Kami des tempêtes. Les deux progressaient à toute vitesse en repoussant nos ennemis, et purent venir nous aider quand je fus propulsée par une explosion de flammes bleutée en m’encastrant dans un tronc d’arbre : Je venais de trancher le bras et la tête de celui qui avait attraper Finaen sous la forme d’un petit renard. Il avait prit sa forme là pour passer entre les jambes et faire diversion avec tout les guerriers jusqu’à être saisis, et l’enroulant dans les bras quand la déflagration apparue, nous avons rapidement été récupéré par N’lamahni et Livio qui saisit Finaen par la nuque. Un jour, je me demande si Finaen ne va pas nommer Livio « grand-frère » à force. Le dernier à nous rejoindre fut Runne, qui se tenait les parties. A force de frapper dans les roubignoles de tout ceux passant sur son chemin, un des guerriers lui avait fait la même chose en le propulsant en l’air. « Roubignoles pour roubignoles, » pensais-je, mais j’avais de la peine pour notre courageux compagnons ! C’est en parvenant finalement jusqu’à la tour, après les épreuves de ce passage dangereux, que nous avons pu voir le malheurs arrivé à ses protecteurs. Hélas, perdre un lieu signifie bien souvent que ses gardiens ont été vaincu, et nous retrouvions le corps des Vigiles sombres empalés à des piques de fers. Ils n’étaient pas bien nombreux, mais quel joie peut-on en tiré d’être aussi barbare, tout cela pour honoré l’emblème de ce Culte de la Guerre d’Ashizen ? Les environs étaient noyés dans cette brume verdoyante qui s’étendait dans les environs et provoquaient ses formations de marais inattendues un peu partout. Comme des feux-follets de lumières verdoyantes, à l’images de milliers de lucioles, tournoyaient doucement autours de nous.

Et sortant de nulles part, illuminant l’espace, des flammes bleues permettaient d’y voir un peu mieux. Un vieillard se trouvait contre le rebord d’un énorme trou à côté de la tour, observant ce dernier l’air un peu absent avant de levé la tête vers nous. Chauve, ses cheveux étaient formés par les flammes bleutés à l’image de l’ardent drapé dont était mue Ashizen lui même autours de sa tête. Et de sa voix, apparaissait celle de l’ancien frère d’arme d’Ugumori qui parlait avec un échos spectral envahissant les lieux. Vraisemblablement, il ne désirait pas qu’on s’occupe de sa bête de guerre faites pour enfermé tout le Havre des Renouées sous la coupe de son maître, Ikijin. Sortant brutalement du trou, dans une ondulation d’énergie qui fit paraître le monde en bleuté enflammés comme si tout avait soudain prit feu, un énorme Morbol jaillit. On ne voyait que sa partie supérieur, ses tentacules enfouies dans l’énorme trou cerclé par des plateformes en bois, et pourtant il nous dépassait tous largement. Pour un Morbol, sa peau ressemblait à la chitine des créatures de Légion, sûrement transformés par les usages des forces de Légion tant qu’elles existaient encore plus au sud avant la destruction d’Ydan et du cérébrate en devenir. Six yeux, toujours ses six maudits yeux démoniaques, sur son visage était envahissant. Et avant que tous ne se ruent au contact, Finaen fit apparaître une explosion de lumière inattendue – Des cercles concentriques jaillirent autours de lui, dans un élan bénéfique destiné à la guérison, après quelques instants de concentration du sort, il rayonna et nous aveugla en offrant des forces à tout ceux qui avaient été blessés, dont moi et Runne, nous permettant de souffler et de combattre. Mon sabre laissa une grande fissure proche de là où Livio ayant gardé sa forme de tigre déchirait de ses griffes la bête.

N’lamahni s’était mise à couvert en fauchant un des yeux du monstre, installée sur la Tour de Dunstan elle même en envoyant ses projectiles renforcés par l’éther – Et Eloise fit usage de manière surprenante de sa forme. Elle essayait d’empêcher absolument le vieillard de faire usage de la moindre magie, jusqu’à ce qu’agacé, le hyurois âgé possédé par Ashizen essaya d’écraser avec son livre la chouette qui le harcelait. Jusqu’à ce que sous le regard horrifié de Runne, Sorn ne fasse quelque chose de surprenant. Efficace, mais très dangereux, il envoya une langue ardente de son lance-flamme vers le Morbol alors que Runne lui gelait la bouche de plus en plus. Le gaz explosif qui essayait de sortir détonna, et l’explosion fut si violente que moi même j’ai volé plus loin en brisant une barrière, disparaissant en bas. Sorn, lui, fut littéralement catapulté contre la tour en s’écrasant dessus, proche d’une tentacule qui serrait lentement la tour en ayant voulu attraper N’lamahni. Serrant de plus en plus fort après l’intensité de ses blessures, une partie de la tour fut abîmée jusqu’à ce que le tentacule ne soit tranché brusquement par un shuriken fuma de N’lamahni, la partie coupée frappant contre l’endroit où la Miqo’te était, Sorn eu tout juste le temps de la rattrapée. Il avait envoyer Gladys soutenir l’assaut, alors que Runne essayait encore et encore de congeler cette bouche tandis que chaque failles en profitait pour que la tourelle de Sorn y lâche un explosif. Dans un mouvement inattendu, brisant la glace dans sa gueule, le Morbol dévora la tourelle en se penchant ensuite lentement sur Runne, signe qu’il était le suivant.

Mais avant que cela n’arrive, Livio fini par s’installer au dessus de sa tête. Je plantais mon sabre devant le tigre blanc, avant d’être éjecté par un coup de tentacule qui m’envoya m’écraser dans les branchages d’un arbre. En un rugissement félin, l’onde foudroyante fut tant concentré que lorsque que Finaen fit tombé un éclair des cieux, tout se mêla dans mon sabre planté en venant carbonisé littéralement le Morbol de l’intérieur en profitant des nombreuses blessures provoquées par l’explosion un instant plus tôt. Le vieillard était au sol, inconscient, non loin de la créature calcinée – Eloise avait pu le paralysé avec de l’électricité, arrêtant ses tendons, ses nerfs, son corps bloqué, l’esprit d’Ashizen n’eut d’autre choix que de partir en frappant Eloise au passage. Les Deux vipères avec Sulfur vont pouvoir prendre le contrôle de la Tour, et surveiller les environs. Mais d’après nos enquêtes, sur l’ouvrage du vieillard, notre prochaine destination risque d’être un lieu lugubre. Pour en savoir plus, nous devons découvrir le secret de l’ouvrage de ce vieillard et ce qu’Ashizen peut bien convoité dans un tel endroit pour ses forces. Il nous faut découvrir quel sont ses projets dans la Prison des Esprits. »
Akayane Kosenjobi.

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