"Une errance du Mornemaux."
« Le temps passé de la fête des étoiles avait l’air d’un doux rêve entre deux problèmes. Nous avions tout de même un œil sur les apparitions possible du Tree Barar, aussi pouvait-il gâché la fête à tout moment ! Mais ce fut à la place, un moment de convivialité et de repos entre compagnons que rien ne vint heurter avec disgrâce pour nous gâcher tels instants. C’est ainsi enivrée quelques peu par une paisible soirée agrémentée de crevettes offerte par Livio, et me saisissant du Arachi no Ikari qui avait fini d’être réparé tandis que je laissais de côté le sabre de Maladriel en cas de besoin – Tout en le mettant en sécurité pour qu’il ne lui arrive rien pour ne pas que Maladriel m’éparpille aux quatre coins d’Hydaelyn façons puzzle – Me laissant prête à protéger les terres de Doma que nous sommes venu défendre. Il fallait rester attentif, et c’est aux moindres premiers signes à Monzen que nous sommes intervenu en vitesse, car les premiers à agir furent les renégats, ceux qui avaient rallier le Tree Barar par soif de pouvoir étreint par la folie imposée quand les murmures de ce monstre leurs firent miroiter des milliers de vérités sur leurs grandeurs fictives. Facile est de succomber à l’appel du pouvoir, bien moins peut-être offert le pardon après les conséquences de leurs actes, autant de beaucoup étaient aussi des subjugués appartenant aux Telophores qui avaient survécu aux derniers conflits contre l’être aux autres rouges, la machine de combat Landfust 024.
Se remettant à créer des forces de combats, si le Tree Barar souhaitait récupéré quelques « soldats » de cette façons, il serait déçu de voir tout ceux le poursuivant intervenir en vitesse avant qu’il ne puisse devenir une véritable menace pour Doma. Nous devions donc rejoindre rapidement les ruines de Monzen où ils s’étaient trouvés un recoin à réactivés des anciennes fabrications impériales datant de l’époque du contrôle d’Yanxia par Garlemald. C’est une petite équipe d’intervention qui pu agir cette fois là, plusieurs de nos compagnons encore blessés ou ayant pu s’éloigner un peu pour voir un proche. Mais nous avions tout de même une bonne force de frappe avec la présence de Runne et Lucian pour tout les effets de magies en cas de soucis. Pour veiller sur nos maux, Aerlin pourrait guérir nos blessures et nous rendre vitalité tandis qu’Alaric serait notre protecteur en ayant apporté avec lui une bien belle armure locale qui lui donnait un air très noble. Fort de cette équipe d’intervention, nous nous sommes rejoins à la muraille abandonnée et brisée des étendues de Doma où nous observions un fort beau ciel d’Hiver où des lourds nuages vagabonds chargés de pluies rôdaient sans déverser quoi que ce soit au sol, laissant les rayons du soleil les magnifiés en leur donnant l’impression de mastodonte errants dans les cieux. Progressant sur les grands routes menant aux ruines abandonnés avec un air tranquille, les bruits d’un moteur se firent entendre de plus en plus fortement en laissant apparaître l’Aigle d’or où Stanislas nous saluait en riant, agitant son chapeau et braillant pour donner des nouvelles à Sorn en lui disant qu’il allait le dépassé. Runne en fut effrayé à l’idée de monter dans cet Aeronef et d’avoir encore des problèmes comme il est coutume de l’être une fois à bord d’une embarcation où Stanislas se trouve.
Rassuré de voir le bâtiment volant s’éloigner au loin de là, traversant amas rocheux pour disparaître derrière des hauteurs de pierre, il fut rapidement découvert qui Stanislas avait amené ici peu après qu’Anoko ait bondit dans les bras d’Alaric. Nous guidant à eux, nous avons pu faire quelques retrouvailles avec Moko, la mère de Yone venant des îles roses, et l’ensemble dirigé par Okoi ayant mené les combattants que nous n’avions pas revu depuis les conflits du Castrum Fluminis, ayant répondu à l’appel pour protéger Doma. Il faut dire que ce fut agréable de revoir autant de visage, bien sûr, plusieurs n’apparaîtraient plus et certains n’étaient au moins pas mort mais simplement en convalescence, et nous avons été invité à boire une coupe de thé avec Okoi le temps de discuter de la stratégie : Le plan était simple, nous allions prendre un chemin plus secret dans une forêt de bambou très dense tandis qu’il mènerait un assaut plus au nord pour nous laisser le passage.
Laissant nos alliés partir tenir le front, nous avons pu progresser avec notre équipe à l’intérieur des fourrés et des passages isolés que rare connaissaient comme route. Il fallait connaître comment déplacer des fourrés, manipulés des plantes, et ce fut au début complexe mais les indications d’Okoi comme ancien combattant survivant de Monzen étaient suffisamment claire pour se déplacer tout en profitant de la lumière qui nous tombaient dessus à travers les plantes. De la beauté se succéda à l’inquiétant en trouvant quelques pans de racines maudites qui furent rapidement détruire pour écarté la présence du Tree Barar qui ne parvenait pas à brisé les défenses mentales de Lucian. C’est en approchant des ruines, qu’un captif signala un mouvement, et aussi tôt les défenses magitek anciennes se mirent en mouvement. Des drones avec de la végétation dessus émirent des lueurs rouges en observant les environs, cherchant une proie qu’ils ne voyaient pas, tout ne laissant plusieurs barricades et patrouilles apparaître. Il fallait agir vite, mais discrètement pour une fois, ou la diversion d’Okoi n’aurait servit à rien. Créant une bulle d’air supprimant les sons, Aerlin nous offrit un moyen de déplacement rapide sans avoir à être particulièrement gêné par le barda. Il tourna la tête le temps de me voir avoir profiter de ce manque de son pour laisser une patrouille de subjuguée interne par terre après les avoir assommés, tandis que Runne créait des bruits de fissures et autres qui alertaient les passant. Plusieurs des lumières furent éteintes par Gladys, utilisant le dispositif de brouillage d’Alaric, qui prit le risque de foncer vers un canon antique qui tirait au loin vers la bataille qui venait de commencer. Hors de question de laisser Okoi et les siens sous ses tirs, c’est ainsi sous l’obscurité de l’ombre de Lucian qui parvint à désactivé le canon, jusqu’à ce que le Tree Barar intervienne.
Forçant Alaric à frapper au mauvais endroit, le Canon éclaté dans un bruit immense, enflammant tout les environs en donnant une impression de monde orange sous les flammes du choc. Nous étions vu, malheureusement, mais nous avions une route vers sa source d’énergie menant à l’usine improvisée. Fonçant dans le tas, tranchant les machineries et les énormes golems d’acier avec de grandes lames. Alaric fut sauvé de celle qui le tenait par une grande pointe de pierre blanche traversant le golem de part en part tandis que je tranchais la jambe et le torse de celui qui avait piétiné Runne. Dans un effet de chaud froid, Runne avait enflammé la grille que Lucian venait de refroidir en provoquant une forte explosion qui ouvrit la grille. C’est dans une atmosphère enflammée, laissant une machine volante impériale en piteuse état s’écraser proche du groupe quand elle fut percutée par une cage déviée par Aerlin, que nous avons pu rejoindre l’usine que les Telophores du Tree Barar avait rendu actif, afin de se préparer une nouvelle force de frappe.
Le passage pour la rejoindre avait été intense, je dois dire. Il restait encore l’écho des couleurs des flammes dans notre dos ondulant doucement, autant que le bruit des vacarmes de quelques machineries brisés mêlés aux braillements des subjugués qui étaient passés par nos lames le temps du passages. Plusieurs avaient mutés, trop transformés pour être secouru je le crains. Je m’amusais du principe de voir la grille tomber tout de même devant nous, malgré l’énorme trou dedans qui nous permettait de passé aisément sans avoir le moindre soucis. C’est proche de la base qui était bien visible une fois à côté notamment à cause des câblages et des lueurs rouges de l’énergie qui s’y accumulait, que l’on pouvait déjà y voir les bourrasques enflammées s’élevant lentement. Éteindre cette source d’énergie serait ce qui permettait d’arrêter la plus part des assaillants frappant les combattants d’Okoi, nous donnant une raison de nous hâté un peu plus. Ici, les ruines étaient un peu moins dévastés, le sol fragmentés de pierres et des tuiles brisés un peu partout, mais les demeures étaient encore debout ainsi que les murs, laissant des amas de bois refermant plusieurs endroits en certifiant que des habitants s’étaient installés ici. Ils pensaient sûrement que rien ne viendrait les menacés maintenant, hélas, c’était prématuré et ils en avaient certainement payés par leurs vies tragiquement. Des sortes de flocons noir tombaient en donnant l’impression qu’il neigeait, mais ils rayonnaient d’un vert inquiétant donnant la tonalité du pouvoir du Tree Barar illuminant doucement les environs où les bruits des mécanismes sifflaient et grondaient.
Pourtant, en tendant la corne, j’avais vaguement l’impression de pouvoir entendre la peine et la peur dans les flocons qui provenaient de ce qui voulait permettre la manipulation de masse et étendre le pouvoir du Tree Barar par la peur. Les flocons tombaient d’une immense fleur puant la souillure qui s’élevaient en fendant la terre au milieu de l’usine d’armement improvisé dans les ruines. Ils devaient attirés par ici les citoyens qui se réfugiaient pour extirpés de leurs psychés des horreurs de leurs mémoires afin de renforcer le pouvoir d’un Tree Barar atrophié depuis la destruction du Mornemaux. Il fallait s’en occuper d’urgence, tandis que tous partaient rapidement s’occuper des problèmes autours de nous : Ce qui comptait le plus, c’était les machineries faisant sortir des armes de combats magitek, même si elles étaient en piteuse état, il ne fallait pas qu’elles soient fonctionnelles. L’Hexadrône recouvert de végétation brisa la demeure dans lequel il était abandonné en passant brusquement devant nous dans un puissant vrombissement, le sifflement d’alarme alertant les griffes magitek flottant dans les airs, cessant d’apporter des amas de métaux vers l’usine pour en faire des nouveaux combattants pour les Telophores.
L’énergie rouge me faisait pensé à l’être aux yeux rouges, me laissant craindre qu’il soit encore en vie. Fonçant en vitesse en avant, il me fallait ouvrir la route pour Aerlin en luttant contre deux subjugués qui bloquaient le passage vers la fleur immense. Leurs corps recouverts d’amas de végétation monstrueuses leurs servant d’arme de bois pourrissant. Esquivant les griffes et les lames de bois, frappant de ma lame dans des éclairs s’écrasant brusquement contre mes deux opposants pour les écartés de mon passage et celui d’Aerlin. Je fus épargnée des problèmes quand les tirs de la pistolame d’Alaric frappèrent la griffe magitek me tombant dessus en des fortes déflagrations envoyant des morceaux d’acier un peu partout. Parant les deux armes de mes opposants en les faisant reculé dans un choc foudroyant, ils étaient en parfaite position ainsi pour les tranchés en morceaux en plusieurs coups, me débarrassant de mes adversaires. Atteignant la fleur, la seconde griffe magitek reçu d’Alaric une nouvelle fois plusieurs chocs d’éther quittant sa pistolame pour briser la machinerie au dessus de l’élémentaliste avant qu’elle ne s’écrase proche de là, s’enflammant, donnant un aspect de plus en plus chaotique aux environs où nous luttions. Se concentrant sur la purification, il débutait dans une profonde lueur blanche autours de la fleur de pouvoir et de peur, mais il comprit rapidement qu’il lui fallait plus.
Se concentrant, essayant de rassuré le corps en piteuse état qui était de toute façons condamné mais dont la frayeur risquait d’être de plus en plus source de pouvoir. Tournant la tête, Aerlin perçu notre groupe en péril. Si ce n’est moi qui était sur le point de trancher mes ennemis en deux, les autres risquaient d’être frappés par divers menaces. Fermant les yeux en marmonnant une incantation, le bâton d’Aerlin frappa le sol plusieurs fois et il diffusa une énergie toute autre dans la fleur émettant un rayonnement incroyable traversant les environs en tournoyant de plus en plus vite. Pendant quelques instants, tout ne fut que sublime beauté, et des racines semblable à des flux aqueux apparaissaient un peu partout, laissant l’emprunte qui resterait même après notre départ, de cette fleur de pouvoir blanche. Une racine traversa de part en part une griffe magitek peu après que Runne soit sorti de la machinerie créatrice d’arme. Il venait de briser le cœur de contamination infâme qui pulsait à l’intérieur, n’en laissant de la poussière une fois purifié tout en interrompant ainsi les flux d’énergie rouge qui alimentait l’ensemble. Débarrassé ce problème, il profita du support d’Aerlin pour venir en aide à Lucian. Notre compagnons luttait contre l’Hexadrone, et l’avait cloué au sol en libérant de nombreuses pointes cristallines s’écrasant un peu partout sur la structure d’acier, et quant celle ci vint à bondir pour l’écraser sous les lames, il n’eus qu’à claquer des doigts. Des chaînes jaillirent et vinrent retenir brusquement la machinerie se débattant en vain pour essayer de l’avoir. Fonçant à droite et à gauche pour esquivé les tirs se fracassant dans son sillage, il fini par se préparer à donner un grand coup de faux pour propulser une force sombre là où Runne venait d’ouvrir l’accès à sa carlingue intérieur en fracassant l’acier qui le retenait.
Une sorte de missile magitek aurait bien pu essayer de se briser du Lucian, si les racines blanches d’Aerlin ne l’avait pas repoussé dans une grande explosion qui fit tremblé la terre environnant, peu avant que le coup de faux ne tombe et ne se débarrasse définitivement de cette machinerie. Nous avions pu lentement tous nous retrouver, Alaric et Gladys avaient pu mitigé la présence des créations magiteks de la taille d’un hyurois bien portant, à grand coup de pistolame. Frappant quand Gladys balançait tout un tas d’objet trouvé aléatoirement avec une stratégie de diversion toujours aussi étrange, pour une tourelle ayant des armes de pointes à l’intérieur – Sauf si Sorn les à retiré ? Note à moi même, lui demande ce qu’il en à fait – jusqu’à ce qu’il n’ait à tirer sur les griffes. Plutôt que d’être taillé en pièce par les deux survivantes, les racines blanches jaillirent et se mirent rapidement à tournoyer autours des deux créatures d’aciers restantes pour les faire disparaître sous le sol dans des grands bruits de fracas. C’était fait, plus aucunes machineries ne seraient répétés et maintenant que les lumières diminuaient, on pouvait clairement voir d’où tout ça provenait : Comme une aurore boréale faites de lueurs rouges intenses, le grondement de l’orage stimulé par cette énergie fit choir la pluie dans les environs. Une pluie plus agréable que nous ne l’aurions espérés, entendant les bruits de cloches des Namazu suggérant qu’Obito et les siens aussi c’étaient joint à ce combat. Nous avions une destination, là où la source de ce pouvoir grandissait pour s’offrir à la vengeance du Tree Barar. Tout nos compagnons se rejoignant en contemplant l’aurore d’un rouge de sang, menant aux territoires les plus ravagés de Monzen où aucunes des structures n’avaient pu survivre aux anciennes batailles contre l’Empire.
Plus nous tarderions à coupé cette source d’énergie, plus les victimes s’accumuleront chez les guerriers d’Okoi. J’avais bien plus envie de les voir revenir chez eux après toutes la bravoure que ses héros parmi ce peuple avait offert que de les savoir perdu si proche de la victoire contre le Tree Barar. Aussi cela me poussa à me hâté, rapidement suivie de mes compagnons, abandonnant aux flammes et aux petites déflagrations apparaissant ici et là dans l’usine, autant qu’elles pouvaient jaillir du nord où nous étions conscient qu’un combat était livré. Quel courage que de lutter sans même savoir si ils ne le faisaient pas en vain – nous aurions pu échoué, et ils auraient pu s’épuiser et périr pour un rien, c’est alors une motivation supplémentaire pour ne pas condamné quiconque pour une cause perdue. Et c’est ce qui nous à conduit droit vers ce qu’indiquait l’aurore rouge tombante sur ce qui apparaissait derrière les ruines être une sorte d’ancienne machine de guerre volante impériale écrasée sur la ville pendant la guerre de libération. Les étendues autours de nous étaient de plus en plus délabrés autant que l’on pouvait y voir des rayonnements rouge provenant de trop nombreux câblages tirés autant sous qu’au dessus des gravats.
Mais rien rapidement, ça n’allait pas être des pierres perdues qui deviendraient notre plus grande problématique, plutôt les grands murs jaillissant d’un coup en fracassant le sol pour nous couper la route. Plusieurs jaillirent d’un coup, Alaric qui frappait les subjugués approchant de notre équipe fonça un peu trop vite et en percuta un de plus fouet. Tandis qu’il faisait le deuil de l’état de son nez, envoyant quelques coups de pistolame sur les créatures mutés qui étaient jadis des domiens fervant d’un Empire dépassé, la lueur obscure de la faux de Lucian qui crépité de plus en plus la lame sous le sur-chargement de ce pouvoir accumulé jusqu’à ce qu’il ne le fasse jaillir droit en avant en explosant le mur devant nous laissant le métal s’écrouler plus loin. Voyant la menace des mines sous le sol, devant nous, quand un muté sauta en milles morceaux sous un coup de malchance, Runne rapidement chercha dans l’espacement rocheux les emplacements où les mines pouvaient se trouver jusqu’à essayer de transformer en sable tout ce qui se trouvait autours des mines afin de les faire tomber plus profond pour ne pas qu’elles ne nous sautent dessus. Les pointes de roches balancés par Aerlin frappant brusquement les emplacements nous donnait une bonne position à suivre, pour esquivé les endroits qui n’avaient pas été sabotés par Gladys et le Namazu qu’elle traînait sous elle envoyant des gils un peu partout.
C’était bien la plus grande curiosité de cette mission, Obito et les siens n’étaient pas loin et délivraient leurs aides comme ils le pouvaient, jusqu’à ce que nous puissions avancer au milieu des trouées de terres provoqués par autant de saccages sous une pluie s’amplifiant légèrement. Au moins celle ci, bénie, lavait nous blessure et nous rendait un peu de force et de courage dans ce qui était un de ses désordre militaire dont le rayonnement enflammé au milieu d’une obscurité journalière causée par la pluie me donnait l’impression d’avoir remit un pas à l’intérieur de Ghimlyth. Taillant les derniers adversaires en pièce, ma lame tranchant ceux s’opposant à nous, nous avons finalement pu atteindre directement l’ancien aéronef Garlemaldais dont les rayonnement rouge inquiétant frappaient les environs.
C’est là que tombait l’Aurore écarlate, donnant l’impression que les cieux s’étaient fendue sous son influence, qui n’était que le miroitement de la lumière foudroyante de l’énergie active dans ce qu’il restait de cet aéronef. Après un instant de contemplation, nous avons pu approcher en laissant le chaos derrière nous tout en faisant face à celui qui dirigeait cette tentative de prise de pouvoir. Marchant difficilement, progressant de quelques pas vers nous, la silhouette mécanique ayant un aspect humanoïde avait toujours sa cape rouge qui ondulait autours de son corps en se tenant à sa lance. Son nom était à peine visible sur la carcasse dévasté qui avait été tant maltraitée par Runne, mais le Landfust 024 était encore opérationnel. Dans une dernière tentative de rendre ses forces au Tree Barar pour qu’il agisse dans l’intérêt des Telophores, le voilà proche des Portes de Doma pour mené le reste des mécaniques contre la cité-état orientale. Proche de la carcasse, rôdait une affreuse créature dont l’œil énorme servait au Tree Barar à contempler l’accomplissement de ce laquais servile, tandis qu’après un bref instant d’observation, le sol se déroba sous nos pieds. Sous nous, une arme blindée impériale s’extirpait du sol. Elle était encore recouverte de bien des amas de terres et d’herbes en parties pourries par l’influence de l’esprit fou, mais cette pauvre carcasse avait du être abandonnée dans une forêt de bambou perdue d’Yanxia avant d’être réactivé par les Telophores. Massive, ça n’est jamais bien heureux de tomber sur ce genre d’engin de mort, qui nécessiterait toute la force de Lucian et Alaric afin de s’en débarrassé. Esquivant rapidement les pinces s’écrasant sur son passage pour essayer de le réduire en poussière, Alaric poursuivit sa route avec plusieurs coups de pistolame jusqu’à parvenir à bondir sur la carcasse énorme de l’arme pour y planter son épée.
L’éther déchargé de la cartouche eu un effet foudroyant résonnant tout le long de l’entité d’acier, jusqu’à ce qu’il ne rebondisse plus loin en recevant un coup de pince dans sa lame parant le choc avant de finir plus loin. La sphère d’obscurité de Lucian s’écrasa contre son haut, l’écrasant au sol, alors qu’il se remettait déjà lentement en place en tirant un peu partout dans des grandes déflagrations suivant les deux compagnons pour essayer de les atteindre. Fonçant vers les rayonnements qui frappèrent les deux, repoussés par des boucliers de cristaux, Alaric dévia l’énergie atteignant Lucian avant de frapper les pinces de l’arme pour permettre à Lucian de fuser vers les cieux, perçant encore et encore de ses javelots de cristaux jusqu’à ce que l’arme n’explose en milles morceaux. Plus loin, Aerlin avait commencé à repoussé avec de nombreux amas de pierres et autres pointes de roches s’écrasant contre l’entité. Voyant Runne en difficulté, il abandonna la créature à son sort pour produire des grandes pointes de pierre s’écrasant autours du cœur principal de l’aéronef que Runne venait de rejoindre. Coupant les flux d’énergies et déviant les réserves de pouvoir, au début, il bloqua toutes ses forces jusqu’à créer des nombres cercles de pouvoirs tournoyant autours de ce dernier, envoyant l’énergie droit vers ses compagnons tandis qu’Aerlin permettait de jugulé cet amas de pouvoir.
L’ensemble se vidant finalement, mon combat avec le Landfust 024 s’acheva malgré un tir à la jambe qui m’est encore bien douloureux, avant qu’en retour il ne soit tranché en une dizaines de morceaux différents. Cette fois, j’espère bien qu’il ne reviendra pas, après l’avoir tranchés en petites morceaux. Haletante, m’installant au sol pour contempler une Monzen en flamme où les étendards d’Okoi frappaient dans les vents, symbole de sa victoire maintenant que toutes les machineries se désactivaient. On entendait les complaintes du Tree Barar qui voyait autant d’espoir dans ceux qu’il affrontait, sans parvenir à y instiller la moindre peur. Nous étions enfin sur le point de nous débarrassé de lui, au mieux, avant qu’il ne provoque le moindre malheurs sur Doma et dans les étendues d’Yanxia.»