[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Répondre
Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 15 sept. 2019, 17:25

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Entrée du Journal – Introduction - «A la naissance de l'Ordre du Faucon.»
Image
«Je vous salue, à ceux qui liront ses lignes. Chez moi, la manière de me nommer serait « Kosenjobi no Akayane », mais en cette terre qui est désormais mon foyer, Akayane suffira amplement. Née dans l’orient, j’ai longtemps voyager et peut-être un jour mettrait sur parchemin la raison qui me guida jusqu’à cette bonne terre qu’est Ishgard. Fertile et prospère ? Le malheurs du Septième fléau ôta de nombreux essors des courageux agriculteurs devant s’adapter à ce froid mordant. Et pourtant, il y retrouve tellement d’âme courageux, travailleurs chevronnés et envieux de bien faire malgré l’enchaînement des malheurs qui s’écrasa les tentatives de ceux ayant voulu toujours plus pour cette nation. La révélation du grand mensonge ne fit pas naître que le trouble, mais aussi l’espoir. Et sous cette belle république à qui il faudra du temps pour renaître correctement, je suis fière de m’être attaché à ce lieu et de me sentir Ishgardaise désormais. Aussi dépendante sois-je du Seigneur Melestian de Lameciel, la dévotion et l’honneur qui attrait à ma vague éducation provenant de ses ruines dévastées que sont Himitsu no Taki me pousse à tout faire pour mérité cette acceptation en suivant les codes moraux de ce que le noble Elezen souhaite voir jaillir de ce qu’il à créer.

Depuis quelques jours, le jeune Merethir de Voltarme, apprenti du Seigneur Melestian, et moi avons parcouru les traces des combattants des Lameciel quant à leurs nombreuses missions concernant la trahison des Hautepointes, cette conspiration n’ayant fait coulé que trop de sang. Après avoir bataillé et enquêté, nous rejoignons le même point, mais je reviendrais à ce sujet. Pour l’instant, notre situation à encore été flou dès notre retour, épuisés de ce qu’il s’est passé sur cette terre maudite qu’est Ghimlyt. L’endroit n’a clairement pas besoin d’être surnommé « les ténèbres », ni même encore de recevoir un des pires champs de batailles connu entre Aldenard et Ilsabard, pour être un lieu où il n’y fait pas bon vivre. L’éther dans ce lieu est vicié, assombris, voilant le ciel d’une obscurité éternelle qui empêche à la lumière de donner naissance à la vie. On y trouve que les cendres, l’oublie, la mort.

Et alors qu’avant il s’agissait d’une façons de voir le monde d’une morne plaie dans la terre, les cadavres des soldats sacrifiant leurs vie pour empêcher aux forces Impériales de souiller de nouveau les étendues Gyr Abanaises et tout le reste d’Eorzéa souillent le sol en une étendue de dépouille vaincue. Je me souviens du visage d’Elwenne m’observant un instant, alors qu’elle décrochait sa vue de sa longue et fine lame qui avait dernièrement envoyé des âmes dans la mer des étoiles au plus intense des combats. Si une telle formulation peut imaginer que ce fut de beaux instants où des lueurs scintillantes quittait des corps vers les cieux, la vérité est crue, dégoûtante, pouvant faire sombrer dans la folie ceux qui se tardent sur ce qu’ils provoquent. Survivre, c’était poursuivre avec les fardeaux de nos propres actes, et s’attarder sur les détails, c’est imprégner sa rétine de l’absurdité de ce qu’un conflit peut apporter comme tuerie.

Après avoir accomplit notre devoir, je me souvins du soulagement des templiers autours de moi, assise sur l’immense carcasse de la machinerie Magitek qui avait été vaincue au prix de plusieurs vies, je partageais une outre avec Elwenne dont le regard était déjà posé sur ses diagrammes magiques pour faire en sorte qu’ils soient utilisable. Même allégés du fardeau de la guerre, prête à rentrer chez elle, elle était toujours sur ses gardes en cas d’assaut. Et le pire, c’est qu’elle avait raison : Il fallait faire attention, car c’est ainsi que la vie en ce monde fonctionne. Si tu te relâches. Tu meurs.
Image
Nous sommes rentrés en Ishgard il y à quelques semaines, se reposer fut une des priorités pour faire en sorte que l’esprit soit aussi aiguisé que le corps. Il fallait faire disparaître cette épine au fond du crâne, cette voix qui te suggère mentalement encore et encore de te soutenir de ce que tu as vu récemment. Arlsang, toi qui aime le combat, je ne te suggère pas d’y chercher ton compte dans l’honneur du conflit et la richesse de la bataille. Il ne reste rien que le courage fou, et la chance. Quel combattant voudrait vouloir dépendre sa vie d’un coup de hasard, d’un jet de dès du destin ? L’honneur devrait être dans nos actes, et jamais dans notre bonne fortune. Effaçant les tirs et les explosions, c’était lors d’un dîner à une table confortable où les denrées furent d’une qualité plus élevée que d’habitude pour profiter d’un bon repas. Notre Seigneur, Melestian, tenait à ne pas ramasser des épaves traumatisée pour les projets qu’il avait à notre encontre. Elwenne était déjà partie soutenir les combattants des Lameciel, de mon côté, il m’avait charger de soutenir ce combat dans l’ombre quelques temps jusqu’à ce que soit complète l’idée qui venait à naître dans son esprit pour former une faction plus efficace encore que ce pourrait faire de simples soldats. Il était dos à moi quand il en parla la première fois, installé devant un vitrail représentant le blason de la Famille Lameciel : Un Faucon étendant ses ailes au devant des couleurs de la noblesse de la Sainte Ishgard. Ce qui voulait voir apparaître, ce sont des chances d’accomplir de nombreux actes ensembles dépendant de la volonté d’agir partout en ce monde, tout en restant les premières armes d’Ishgard.

Il voulait plus que des soldats qui se battent et luttent ensemble, mais bien parvenir à créer une entente avec ceux qui prêteront un serment strict, sérieux, sincère. La discipline était le cœur de cette requête, un aventurier aux nombreux rêves de gloire personnelle ne pouvait pas accéder à cette attente, puis qu’il s’agissait de dépassé ce simple stade de mandat lors de ses nombreux voyages. Il voulait des personnes prêtes à accepté d’être au service d’un intérêt commun. Cette gloire, c’était celle de l’Ordre qui allait naître de cette volonté, et par le biais de ce blason, tous seraient unis dans le même honneur. Si quelqu’un grandit, il tire les autres avec lui. Mais si quelqu’un faute, il entraîne les siens vers le déshonneur et les suspicions. Tel à toujours été la raison de faire très attention à nos camarades, nos proches, ceux qui seraient notre « univers. » Mais il rêvait de ce qu’un tel ordre pouvait accomplir. Il parlait avec passion pendant un instant, celui de quelqu’un visualisant déjà ce que d’autres pourraient faire par une simple jetée vers une étendue de possibilité.

Faire de ceux qu’il avait sous son aile, les héros des quêtes qui formeront les histoires de demain. Piochant dans mon plat de viande en écoutant ses possibilités, des idées se formaient dans ma tête, mais dans l’instant je dois avoué qu’il n’y avait parfois pas grand-chose d’autre que des tentatives de souvenirs viciés des problèmes vécu il y à peu. Une mission est comme une guerre, à une échelle infime, mais ceux qui y participent y découvriront leur lot de gloire. Et d’atrocités. Me soulevant de table dès que le repas fut fini, je me préparais à quitter les lieux alors que le principe avait fini par prendre forme pendant qu’il discutait avec son jeune disciple, Merethir. Il y avait de la complicité dans le regard des deux Elezens, alors qu’il lui parlait clairement de la confiance qui lui accordait pour poursuivre de face la mission de son jeune frère. Jereck de Lameciel reviendrait avec sa seconde, le Capitaine Lhayn, prendre place au Manoir pour s’occuper des affaires bien plus militaire. Quant à nous, il était de notre devoir de donner forme à cette idée qui emmargeait de son esprit.

Le temps de prendre acte de cette responsabilité et de partir voir le Maître Siroix au collège Saint Guenriol, il nous fallut quelques instants pour réalisé que nous étions instigateur d’une nouvelle forme de faction au cœur de la Sainte-Citée. Il était question de défendre la République, de défendre son évolution, sa valeur, sa Foi religieuse, tout ce que j’avais appris à craindre ou à aimé les années durant à m’adapter à cet espace. L’Ordre du Faucon est sur le point de naître, et il prendrait forme avec ceux qui feront de cette naissance, leur nouvel objectif de vie.
Image
Mais il est temps de reprendre là où ce journal nous mènera : Les missions ! Je reprendrais directement à la suite de celle qui me précède, la capitaine Lhayn, pour vous parler de notre situation. Dame Pheniria de Hautepointe est morte, et les agissements de son père, le Baron de Hautepointe, continue d’être inquiétant et aurait même gagné certaines ruelles en ruine de la Sainte-Citée où il tenterait tant bien que mal de garder des informations sur notre avancée ayant déclenché des combats à l’intérieur même de celles ci pour repoussés des agents infiltrés. Quoi qu’ils préparent, ils ont besoin en urgence d’information pour parvenir à nous arrêté, et il fallait rapidement parvenir à les abattre une bonne fois pour toute. Apaisé le feu de la conspiration n’a pas fait cessé de faire brûlé du bois, ses ressources perdues sont des vies volées et des efforts en vain. Concernant les agents de Naraam Aan Oronir, ce monstre des Steppes souillés au plus au point par une malsaine présence d’un être ignoble, ils continent d’essayer de récupéré tout ce qui est attrait au Maître des étoiles avant que nous ne parvenions à récupéré un accès fiable vers son Domaine-prison. Daegan Kir Rufus à encore des fantassins qui fouillent les recoins perdu, mais l’étendue de ses forces depuis la Bataille du Pont du Fer noir s’est considérablement amenuisé.

Si il veut frapper fort, ce sera avec ce qui lui reste, dans un dernier carré honneur. Vaincre ou périr. Ou périr pour vaincre après tout, les zélotes ont cette capacité de ne pas prendre en considération la qualité de leur vie pour l’offrir désespérément à la cause qu’ils servent. Parfois un avantage tactique quand ils se suicident littéralement vers une levée de lance ! Mais notre mission actuelle est de parvenir à construire la clé qui ouvrira l’accès au Maître des étoiles. Voilà quelques jours que celle ci est en train de se charger de toute l’énergie volatile du sort abîmé par les imbéciles des Hautepointes ayant provoqué un désastre là-bas. Dès que cela sera achevé, nous partirons du Convictoire pour partir dans un lieu sans nom où résiderait la matière qui pourra accepté la présence de toute cette force afin de parvenir à créer une clé stable, utilisable, et surtout véritable.

La première expédition ayant été avortée hier, mes camarades ont menés une enquête menée par Landrin Hautelame. Un Astromancien un peu maladroit – extrêmement maladroit – mais dès plus sympathique qui était présent à cause d’une vague rumeur étrange sur des bruits de métal au loin. Des échos tels n’auraient pas du effrayer autant des Chevaliers du Convictoire, ceux là présent pour chasser des créatures affreuses après avoir été légendaire pour être reconnu comme étant des tueurs de dragon. Il y en avait de moins en moins depuis la fin de la Guerre du Chant des Dragons, mais ceux restant étaient alors pour la plus part des vétérans entraînés et triés sur le volet. Comment des simples sonorités lointaine auraient pu les effrayés à ce point ? Je décidais d’interroger Landrin à ce sujet autours d’une tasse fumante de café à côté du feu de camp. C’est fou comme cette mixture est plaisante, mais je m’égare. Il m’expliqua que celui ci avait été envoyé par la Famille Maleterre, ayant à sa tête un Inquisiteur ayant un lien de vassalité avec la Maison Dzemael, le dit Inquisiteur se liait de plus en plus avec le Seigneur Melestian et risquait de devenir un allié précieux pour notre jeune Ordre à peine naissant dont la première épreuve étant de mettre la main sur le Maître des étoiles. Ils voulaient rechercher quelqu’un dans les étendues proches du Convictoire, en compagnie de Sire Elwenne Ailecendre et le jeune Almire Myste, assistant de ce très cher Moutah Pontah, dit « Le plus adorable des Lalafell. »

Ils devaient tous ensemble retrouver au moins un corps, et c’est ce qu’ils ont finalement trouvé, mais ce n’était pas le bon. Un corps d’un des Chevaliers du Convictoire, horriblement massacré, encore pire qu’une dépouille simplement taillé en pièce pendant un champ de bataille, quelqu’un avait simplement usé de ce corps pour des expériences obscures. Des crochets étaient enfoncés dans sa gorge, tout comme on plante cela dans un quartier de viande saignante, ayant été totalement vidé de son sang bien après avoir été tué par on ne sait quoi. Des traces vitales, il n’en restait aucune, tout avait été vidé bien trop vite de l’intégralité de son énergie vitale ou simplement de son sang. Il ne restait strictement. Rien. De lui. A la place c’était la présence d’une énergie immonde qui restait en ses lieux, quelques traces profanes de l’énergie du néant disposée dans les environs proches. Et les inspections ne manquèrent pas de déranger la bête hideuse qui fit tranchée en deux par l’épée d’Elwenne dès sa sortie du ventre du cadavre, une créature maigre et blanche avec des ailes, pas plus grande qu’un gros minou. Les chevaliers à leurs côtés furent déphasés un instant, et ils parlaient comme d’un appel mental, dès qu’ils reprirent leur esprit. L’appel d’un cocon qui voulait les attirés à lui. Quel genre d’entité peut bien souillé les étendues des Jumeaux dans le Coerthas Occidental ? J’ai bien peur que ce soit à nous de le découvrir, en attendant que la moule de la Clé du Maître des étoiles ne nous permettre d’accéder à sa création. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:22, modifié 5 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 16 sept. 2019, 15:00

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La Légion du Cocon-Mère."

Image
Premier Entrée – « Acte 1 - Les enfants du Cocon-mère.»
Image
«Le début de l’enquête suivant directement ce que nos compagnons ont découvert hier pendant la soirée. Il était question de comprendre mieux ce que représentait la dite vision de l’espèce de cocon et où il pouvait bien se trouver, aussi avons nous décidé de retrouver un des lieux où une « chasse » à été effectuée par les entités du néant ayant provoqué tout ça. Un endroit spécifique avec été désigné, il ne serait pas bien difficile à atteindre, proche de Rêvedragon, cette île d’une splendeur venant d’un autre temps tellement elle est indéfinissable de beauté. Tout en étant particulièrement inquiétant, et ça l’était encore plus de savoir qu’il fallait s’y rendre pour de nouveau enquête sur des histoires de créatures infernales sortant du ventre de personnes tués. Malgré tout, je préparais en vitesse mes affaires, installant mes Maléfioles dans leurs encoches à mes bracelets tout en vérifiant que mon sabre était aussi affûté que prompt à recevoir les elixirs de mauvais sorts. Toujours vérifier l’état de ses matériats quand vous avez la chance d’avoir pu en sertir sur un de vos équipements, la lueur d’énergie interne me confirmant que l’état d’esprit brillant encore en son sein, et nous pûmes partirent tous ensemble pour découvrir ce qui avait bien pu être trouvé au milieu des landes enneigées.

L’équipe fut constitué de Sire Lavalette et Sire Arslang menant les véritables Chevaliers, ainsi que l’ensemble de notre équipe en nous organisant ainsi : Un protecteur avec un Astromancien, et je m’occupais pour ma part de la défense de Moutah Pontah, mon ami de toujours. Lavalette était avec Almire, parvenant à mettre les deux passant leur vie à se taquiner, et Arslang s’occuperait de Landrin de Hautelame ainsi que de la surveillance de la mage de bataille, Neshushu Neshu. Notre équipe progressa tranquillement dans les landes glacées alors que le mauvais temps apparaissant doucement sous la forme de lourd nuage rapide chargés de quelque chose de plus vicieux encore que de la neige. Une épreuve inattendue, qui en seccoua plus d’un, mais on ne s’attend pas toujours à une chute inattendue de grêle en plein sur nous en débutant par ce pauvre Arslang en ayant reçu un de la taille d’un casque qui explosant sur le siens. Merci aux heaumes protecteurs, pensais-je, car le miens m’évita aussi de me faire fracassé le crâne au passage. Nos deux amis Astromanciens nous firent honneur d’un spectacle de lumière radieux, alors que Moutah nous offrait une protection en de nombreux cristaux luisant, Almire fit en sorte que la grêle ne soit que de l’eau molle une fois chutant sur les cristaux, et nous pouvions admirer au dessus de nos têtes pendant une grande partie de l’heure et demi de voyage une sorte de reflet sur les éclats d’un bouclier extrêmement fragile, mais suffisamment pour nous protéger de ça.

Le voyage aurait pu être agréable, et paisible, si l’arrivé n’était pas faite pour nous faire découvrir les dépouilles autours de la zone annoncée. En tout, quatre corps : Celui d’un Tursus étalé au sol, la bête n’était clairement pas locale, elle avait du être traînée ici. Ceux plus plausible étaient le corps d’un ours massif, et celui d’un yack effondré au sol. Le plus majestueux restait celui d’un dragon aux écailles bleutées, mais par chance – Du moins, cela est très relatif pour des Ishgardais – la bête était encore en vie. Foncer à sa rencontre était une mauvaise idée, malgré la volonté de la plus part de venir l’inspecter en vitesse pour ne pas la laisser succomber, il fallait cependant ne pas se jeter dans la gueule du loup bêtement. Des corps, cela correspondait à ce qu’avait découvert notre groupe d’expédition la première fois, et il pouvait en sortir de nombreuses créatures. Trois équipes, trois objectifs. Le Dragon ne pouvait pas être abandonné, Moutah, grand ami de ce peuple, devait se rendre auprès de lui pour venir guérir ses blessures. Les deux autres équipes déjà prédestinés par le « Capitaine Arlsang » comme il reçu ce nom pour cette histoire – et peut-être plus longtemps si il œuvre bien qui sait ? Et les problèmes pouvaient enfin commencer.
Image
Ma lame au clair, j’entendais les chatoiements de l’énergie provoquée par l’astromètre de Moutah venir appliquer les vertus régénératrices sur les plaies de la bête, faisant de son mieux pour lui rendre sa vigueur, Neshushu sous la supervision d’Arslang avait commencer quelque chose de très malin : Scellé les corps par des sorts de glace les installant dans des véritables tombeaux les coupant de l’extérieur, peut-être qu’en nous nous ressentant pas, ni nous, ni de l’agitation, elles éviteraient de sortir nous faire du mal le temps de sécurité les lieux. Si le premier corps, celui du Yack, avait été coupé du monde, des soucis apparurent peu avant le début de la naissance de la tombe pour le second. Lavalette ne se sentait pas bien, entendant les bruits de métal au loin, il avait un de ses sortes de galopins avec un long dard d’un blanc os immaculé camouflé dans un sort d’invisibilité, installé sur la nuque de Bedivere. Almire l’en décrocha d’un coup, mais la bête lui bondit sur le visage en restant installé dessus, prête à lui planter son dard pour ponctionner son énergie, un vent chaotique de panique s’installa de ce côté, si bien qu’Arslang fini par foncer vers eux à toute vitesse. Je gardais position, c’était vain de tous partir pour cette maudite bête, et je devais protéger Moutah d’une éventuelle menace, c’était ça mes ordres, mon rôle, ma mission, et elle s’accomplit bien plus efficacement que je ne m’y attendais, mais j’y viens.

Neshushu finissait son travail avec le Tursus, alors que Lavalette voulu ponctionner l’énergie de la bête en retour avec un de ses étranges sortilèges de magie bleue. Mais la bête était maligne, ou au moins ce qui la poussait à se mettre là, et elle se déplaça de sorte à ce que ce soit Almire qui fut sous l’emprise du maléfice pendant quelques secondes, ponctionnant l’énergie vitale de son camarade involontairement en cessant rapidement, ce fut la main de Arslang qui attrapa cette chose avant de littéralement la déchirée en deux. Il ne décida pas simplement de l’écrasé, ou de la tenir, mais il usa de la force colossal de ses bras pour en faire des petits morceaux épars. Voyant la détresse de la situation, les « surveillants » du « Repas » présent ici même pour leur génitrice était en train d’être isolé et prompt à être détruit. Tout les corps étaient désormais hors d’utilisable, et d’un coup, deux créatures apparurent à peine mes cornes purent décelés leurs présences. Et me voilà chargée par deux créatures immenses qui allait me tailler en pièce, mince. Par Halone, c’était rapide comme condamnation !

Mais mes compagnons réagirent eux aussi rapidement. Je voyais l’énergie bleuté du bouclier appliqué par Moutah autours de moi, qui dans les lueurs étoilés, avait fini par démotivé une des bêtes à l’idée de m’assaillir. Almire était plus loin, faisant tournoyer ses deux cercles de planisphères de fortunes pour aider l’assaut d’Arslang, pendant que le jeune Elezen était sous la protection de Lavalette. Un coup de foudre, et instantané, réuni les deux créatures chitineuses aux caparaçons obscures insectoïdes à Neshushu qui les foudroya littéralement sur place, me permettant de frapper avec mon sabre. La pointe de la lame n’en toucha qu’un, mais c’était peut-être suffisant. Non. C’était beaucoup trop suffisant. Après avoir glissé une maléfiole dans mon katana, la lame était affectée d’un sort de confusion intéressant, qui comme Landrin me l’expliqua, fit quitté la bête immonde de ce qu’on nomme « l’esprit de ruche », cet essaim n’ayant qu’une seule connexion ne peut exister sans ce lien, et en brisant leurs mental, ils ne sont pas immunisés à cette sortie du rang.

Ils y sont très sensible, et une des bêtes s’écroulait lourdement sur le dos, inactive, vaincue. L’autre se détourna à cause de l’éther céleste autours de moi, pour assaillir Arslang qui tint le coup face à un assaut. Neshushu et Almire ayant pu faire usage de sorts l’ayant affaiblit, l’épée d’Arslang écrasa la créature lourdement en sol, dévastée en nombreux petits morceaux, alors que je décapitais proprement l’autre inactif. C’était fini, il n’y avait plus une seule menace, et le dragon s’éveilla pour nous parler de ce que nous venions de subir. Légion, l’Essaim est Légion, et le cœur de cette folie se trouve quelque part en Dravania sous le contrôle du Cocon-Mère où une créature terrifiante pourrait venir à naître si nous la laissons faire. L’abandonnant derrière nous, nous étions sur le point de rentrer avec toute cette affaire en tête et cette histoire sinistre de Légion qui nous attendait, ainsi que les enquêtes nécessaires pour le retrouver. Mais nous avons pu apprendre aussi que nous n’étions pas les seuls à sa poursuite.
Image
Elwenne Ailecendre avait fini par parvenir à nous rejoindre, après le gros des combats, elle pu apparaître pour nous aider à rentrer correctement au moins, et c’est tout en son honneur. Progressant avec pleins d’idées en tête concernant toute cette affaire, et notre mission accomplie, il était pas vraiment attendu que nous soyons victime d’une embuscade au retour vers le Convictoire. Mais ce n’était pas la conspiration des Hautepointes ou même les Garlemaldais de Kir Rufus. C’était bien pire que ça dans un sens, et nous allions le découvrir rapidement. Plus nous progressions dans la lande enneigée du Coerthas Occidental, plus petit à petit nous avions l’impression que le vent se levait pour couvrir l’étendue glacée et le ciel chargé de nuage obscure devenant lentement un voile grisâtre de cette brume enneigé qui s’étendait autours de nous. Mais il fallait remarqué quelque chose d’intéressant dans cette levée obscure qui nous empêchait de voir autours de nous, c’est qu’il n’y avait pas vraiment de vent, cette impression n’était que visuelle, mais le vent n’avait pas fini par souffler.

Marquant une pause, nos camarades observèrent dans les environs proches avec une vague impression que quelque chose les rendait nostalgique, et moi aussi je fus prise dans cet élan de souvenir qui aurait pu être agréable, mais qui pour plusieurs étaient des songes de moment violent où ils subirent bien des problèmes. Et si cela aurait pu rester au fond de nos pensées, nous empêchant de réfléchir correctement, il n’y eu pas que ça malheureusement. Les souvenirs, les songes réalisés, s’extirpaient lentement de nos consciences pour se mêlés dans une sorte de globiboulga où différents aspects de nos pensées créaient une histoire. Des Lalafells se baladant au milieu de ce qui ressemblait à l’orient, une Xaela étalée plus loin dans la neige, ignorée par les templiers riant d’elle, pendant que deux Astromanciens discutaient plus loin, et encore, et encore différents aspects, mêlant vie commune et guerre violente en renvoyant des soldats de l’Alliance se faire tirer dessus par des lueurs magitek. Mais quelqu’un s’était souvenu de la Brouilasse, de l’assaut de Coeur de Glace quand des dragons survolèrent brusquement les cieux au dessus, la morsure subie par Almire, et surtout, la silhouette des bêtes qui se mirent à être reflété dans nos pensées communes. On voulait faire en sorte que nos songes se portent sur les Dragons avant tout, quelqu’un voulait nous forcer à penser aux dragons. Et tous se mirent à avoir quelques pensées quant à des rencontres draconniques.

Sylvermendrgr, et bien d’autres, poussèrent dans les esprits de tous. Mais l’erreur involontaire fut celle de Arlsang, qui lui repensa au dragon aux écailles bleutés que nous venions de rencontrer sur les lieux du combat contre les créatures connectée à l’Essaim de Légion. Les yeux d’Arslang s’illuminèrent d’un blanc nacré, et il tomba à genou en hurlant, une voix humaine braillant qu’ils tenaient ce qu’ils voulaient, et ils tachèrent d’extirper de cette conscience tout ce que nous avions découvert au sujet de Légion. Notamment son emplacement possible, pendant que le Xaela souffrait de plus en plus. Les efforts furent usés par les Astromanciens pour le protéger de plus en plus, découvrant une fumée obscure s’extirpant de la brume autours de nous, pendant que Neshushu partageait la douleur de Arslang en se tenant à ses côtés. Almire eu une idée un peu étrange, mais vraiment efficace : Faire usage d’une concentration surhumaine pour essayer d’imaginer quelque chose de stupide. Et voilà que le dragon de la vision d’Arslang se mit à avoir une tête de poulet, bien d’autres de ses bêtes apparaissant en cette lueur vaguement bleuté d’une vision mentale. J’essayais de retenir un rire, mais Elwenne était déjà passé à l’attaque, sortant rapidement de la brume en suivant l’échos de la voix entendu. Elle affrontait un homme que nous allions découvrir en sortant tous d’ici, portant une tenue sombre, une coule digne d’un cultiste portant la marque de la serre d’un corbeau sur un nuage tournoyant : Le culte du Corbeau mauve.

Ils nous avaient encerclés, et pillaient nos songes au sujet des informations reçues sur Légion un instant plus tôt, Almire et moi fonçant vers plusieurs de leurs cultistes, cela ne suffit pas à arrêté les autres qui depuis que Moutah avait brisé la connexion à Arslang et Neshushu, avaient changés d’incantation. Le corps dévasté de leur chef était toujours de bout, malgré des coups hallucinant, ses yeux trahissant une lueur mauve, et de sa bouche ne sortait qu’un noir abîme effrayant. Sa voix, n’était pas la sienne, mais bien celle de l’entité qui fut reconnue par Moutah comme étant celle d’un vieil ennemi. Ce corps faible lui servait vaguement d’Avatar, de connexion à notre monde, incarnant la présence d’Hector Spencer. L’Homme qui devint un monstre. Après avoir pu repoussé les déluges de feu entraîné par leurs magies, ils furent tués les uns après les autres, nous envoyant au sol avec Almire après que le pauvre fut prit dans une déflagration, et moi sous l’effet de la foudre me balançant à terre. L’incarnation de Spencer fut détruite, l’âme de celui possédé hurlant d’une douleur infâme, consumé par les flammes provoqués par la magie. Elwenne avait su défaire son ennemi avec l’aide des étoiles tournoyantes autours d’elle, généré par Moutah. Il ne resta de ce combat, que des corps brisés, et nos camarades vinrent soulagé nos blessures afin de pouvoir finalement atteindre le Convictoire.

Tout en pensant à ce qui nous attends en Dravania, dans les environs de la Penne. Une grande enquête allait devoir être faite pour empêcher l’éclosion du Cocon-Mère de cet Essaim. De cette « Légion ». Mais pour l’heure, il fallait laisser au temps de nous apporter des réponses. Car nous attendait encore la création de la clé du Maître des étoiles, au Mont de l’œil-Vigilant. Et nous demandant comment cette région allait encore nous surprendre. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:23, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 18 sept. 2019, 16:14

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Deuxième Entrée – «Acte 1 - Une matière ancienne.»
Image
« Récupéré la substance pour pouvoir créer la clé de la cage du Maître des étoiles était une quête qui pouvait paraître des plus difficiles, mais il y avait aussi des chances certaines pour que ce ne soit qu’un voyage paisible où rien ne mauvais ne pouvait nous y attendre. Comme Moutah le disait, « béni sera le jour où un voyage se déroulera exactement comme il pourrait le faire : Simplement. », et c’est dans cette optique que nous sommes parti en sachant au fond de nous que ce ne serait pas simple. Du tout. Au départ, notre groupe était constitué du Maître de l’Ordre du Faucon, le Chevalier-Dragon Merethir de Voltarme. Le Chevalier Arslang des Adarkim et Moutah Pontah, notre Astromancien, étaient présent. La fine équipe ! Qui serait rejointe lors du voyage plus tard par le chevalier Elwenne et l’assistant de Moutah, Almire Myste. Dans les premiers tous, nous voilà progressant tous ensembles dans une partie du territoire rapidement oublié de ceux préparant les cartes des voyages pour ne pas partir dans une zone enneigée trop cruelle, trop sauvage à leur goût. Mais si on était conscient des dangers, cela empêchait-il des voyageurs de s’y perdre ? Jamais.

Mais nous avions un vrai objectif, et c’est sous un ciel nocturne relativement paisible que nous avons parcouru l’étendue enneigé en repoussant de nos bottes celle ci qui s’accumulait au début de plus en plus, avant de nous laisser avancer relativement correctement. Ce qui ne m’empêcha bien entendu pas de m’enfoncer à moitié dans un trou, coincée à l’intérieur. Extirpée de là par les efforts d’Arslang et Merethir, allégée par Moutah, celui ci observait une étrange écharde de quoi qui quand on la laissait à certains endroit, faisait naître de la poudre brillante magnifique. Il ne savait pas qu’à ce moment, il venait de mettre la main sur un élément essentiel pour la suite de notre voyage car après l’avoir testé avec de l’éther, l’écharde devint bien plus grosse. Un vrai morceau de bois dans sa paume. C’était impressionnant, même si j’étais occupé à retirer la neige en ce temps plutôt calme, mais le plus incroyable allait arriver sous peu.

Le début fut l’immense monolithe découverte en plein sur le trajet que Merethir avec découvert en suivant la trace de l’énergie de Sylvermendgdr. Elle était grandiose, d’une ténacité à toute épreuve, autant abandonné l’idée de la faire exploser d’une manière ou d’une autre, et gravé dessus, une histoire. Des gnathes chassant des dragons pour sauver des humains, et les humains fout de joie, chassant le dragon en haut de la montagne avec qui les gnathes parlaient, jusqu’à ce que les hommes-bêtes pleurent la mort du dragon pendant que les humains danse. Typique de la guerre du Chant des dragons, c’était une histoire émouvante, mais rien qui ne décortiquait le mystère qu’Arslang débloqua d’une manière parfaitement hasardeuse. Il parla d’humain présent ici, et l’icône des hommes se mit à reluire de milles feux. Chaque mots permettaient de faire reluire une image. Humains, Gnathes, Dragons. Sylvermendrgr – Que seul Merethir prononça efficacement au final – faisait brillé le tout alors que le monolithe s’écroula en petits morceaux éparpillés dans tout les sens. A l’intérieur, une garde, qui semblait ne pas avoir de forme stricte, ainsi que la prophétie de qui la manierait le ferait avec le sens de la justice pour celui qui est tombé. Merethir fut choisit pour tirer l’arme, qui prit en modèle sa Gae Bholg tout en s’extirpant de là ce qui pourrait être un atout très efficace mais particulièrement instable.

Les guerriers jugèrent que l’arme pourrait bien se briser au premier coup, mais sa puissance serait fantastique. Qu’importe ce qui se dresse face à nous, on avait un atout de poids maintenant. Et nous avons continuer notre progression bien heureux de cet instant de découverte, et peu inquiet de la suite, ce jusqu’à voir le sol derrière nous se mettre à s’écrouler brusquement. La neige était peut-être instable, et on risquait de se mettre à tomber dans le vide, aussi nous nous sommes rués le plus vite possible en avant, le pas allégé par Moutah. Mais arrivé en bordure de falaise, il fallait bien prendre en compte la vérité : C’était quelque chose qui nous suivait sous le sol. Moutah préparait une échappatoire en urgence en préparant le pouvoir de sa magie, alors que Merethir fit usage de l’énergie draconnique projeté en avant sous la force d’une lueur bleuté de dragon s’enfonçant là où la bête se terrait. Sortant du sol non sans préparer la falaise à tomber, avec nous dessus, la créature avait une allure draconnique monstrueuse, le regard non pas emprunt de colère, mais de folie pure, celle d’une panique intense. Arslang la repoussant d’un énorme revers de sa lame, une giclée de sang apparue avant que la bête ne disparaisse dans le tréfonds de la terre d’urgence. Le sol se mettant à trembler dangereusement sous nos pieds, il était grand temps de partir d’ici !
Image
Descendre devait être rapide, heureusement Moutah nous avait déjà bien alléger, sous une forme de lévitation. Pour ma part, tout se passa très bien, même particulièrement confortablement en créant un nuage grâce à une maléfiole installé dans mon sabre, étalée dans le confort, me voila tombant lentement des cieux en suivant la progression des autres. Moutah descendait paisiblement de son côté aussi, dans une lévitation le laissant en l’air dans des lueurs de magies autours de lui, alors que le bond de Chevalier-Dragon de Merethir le rendit encore plus agile grâce à la magie, tombant à nos côtés. Celui ayant eu le plus de difficulté fut Arslang, plantant son épée en passant d’un côté à l’autre tout en descendant par bond jusqu’à finir au sol. Fonçant vers nous. Merethir m’attrapa pour me soulevé et m’éloignai à toute vitesse, alors qu’Arslang fonçait pour récupéré Moutah, l’énorme Xaela faisant tournoyer son épée en coupant une pierre en deux en plein vol alors que tout s’effondrait, la magie du Lalafell quant à lui nous offrit ce dont nous avions le plus besoin : Du temps ! Les pierres voltigeantes, grandement ralentie, alors que nous nous éloignions en vitesse de la zone se fracassant dans la neige et la glace, soulevant des eaux gelées et de la pierre brisée.

Almire et Elwenne purent nous retrouver avec tout ce vacarme, nous concernant un instant avec nous alliés alors qu’ils étaient enfin à nous côtés, nous avons pu reprendre notre route, en nous demandant où tout ça allait nous mené. Marchant une bonne heure, si ce n’est plus, il n’y avait plus qu’une lande de neige perdue au milieu de nulle part, le vent ayant fini par se levé soufflait une brume rendant impossible d’y voir au lointain, on était perdu au milieu de nulle part. Isolés par cette neige sans pitié. Mais le fil de l’énergie draconnique était toujours présent, Merethir pouvait le sentir, et ça nous donnait la direction. C’est là, que au milieu de nulle part, un Lalafell apparut. Il portait un chapeau de gentlemen et un monocle, des habits fort bien taillés ainsi que plusieurs caisses et affaire. « Felix », tel était sur surnom, était un magicien de la « Société du Régulus » dont nous ne savons strictement rien si ce n’est un lien puissant avec Atlas, celui ci en chemin pour les vieilles ruines Dravanienne avait fini par se perdre et attendait à un ce point de passage, la venue de la « Carrousel ».

Impossible de savoir ce dont il parlait, jusqu’à ce qu’une caravane n’apparaissait tirée par deux esprits de Chocobo, un petit personnage en robe sombre avec un grand chapeau pointu et des yeux en billes jaunes luisant dessous, s’occupant des rênes. Piko, Maître de la « Carrousel », était un « sauveur de voyageur » s’égarant dans les environs et risquant de tout perdre. Une vieille histoire de vie sacrifiée pour créer ce sort incroyable donnant vie à cet objet merveilleux, jadis des mages ayant perdu la vie à cause du froid intense du Coerthas, il y à quelques années à peine, prirent ce qu’ils restent de leurs vies pour sauver celle des autres. Et nous auriosn aimer qu’elle nous atteigne, mais l’énorme patte de la créature nous ayant poursuivie jusque là fit explosé la caravane, la réduisant en petit bois, bois qui s’estompait déjà dans des lueurs magiques. Moutah fila protéger le cocher, le petit Piko, sonné par le choc. Alors que tous assaillirent la bête, mais cela me fendait le cœur : L’effet du sort du Mont de l’œil-Vigilant avait éloigné la faune et la flore, grandement, et la bête s’était retrouvé sans nourriture. Elle n’attaquait pas par cruauté, mais car elle était affamée, plus que la raison ne saurait lui rendre justice.

La violence des chocs provoqués par Merethir et renforcé par Elwenne laissa une marque impitoyable dans son crâne, Arslang frappant de sa lame, ne pu l’atteindre plus d’une fois avant que la bête en se mette à volé à cause de l’effet entropique d’un sort de Moutah. Prononcer le nom complet de Félix n’était vraiment pas une bonne idée, aussi ne vais-je pas le mettre dans ce journal, pour ne pas provoquer de catastrophe dans ma chambre ! La bête volant à cause de l’effet de magie hasardeuse, elle s’écroula finalement au sol plus loin. Terrassée, vaincue, et résignée à mourir. La faim n’était plus aussi intense que la douleur et l’instant fatidique où elle serait tuée. Mais Merethir lui parla, dans la langue draconnique sifflante, et elle fut convaincu qu’elle ne devait plus nous faire du mal. A son grand étonnement, tous l’aidèrent un peu, les soins de Moutah permettant aux blessures de ne laisser que de bien vilaines cicatrices alors que Elwenne lui donnait du courage, Arslang ouvrant la cantine enchantée de Felix envoyant de la nourriture partout, même sur nous, ce qui me fit gagné au passage une tartelette à la fraise, dé-li-cieuse. L’écharde était la clé de tout, c’était une graine inattendue pouvant faire renaître la Carrousel, Almire, Felix et Moutah se mettant au travail pour la gorgé d’éther jusqu’à ce que celle ci renaisse. Piko fout de joie, bondit dessus pour se préparer à nous emmener à notre destination, alors que la bête qu’Almire nomma… « Pouic-pouic » (vraiment bizarre!) - resta ici. Repue. Et Merethir lui avait dit de se diriger au nord pour trouver de la pitance, mais le nord. C’était aussi notre destination !
Image
Installés dans la caravane magique, la route ne fut pas bien longue laissant ceux intéressés discuter avec Felix de toutes ses histoires de magies, d’enchantement, et de la Société du Régulus en nous annonçant que nous ne tarderions pas à nous revoir, juste avant que la porte ne s’ouvre, nous laissant sortir pour voir le lieu perdu au milieu du nord du Coerthas. Un passage difficile, entre deux hauteurs rocheuses, l’intérieur du passage rempli d’innombrables fresques sur des histoires des Gnathes, un peu semblable à ce que nous avions vu sur le monolithe lors de notre route. Mais Almire avait vu juste : Une sorte de tête étrange dans les cieux se cachant en vitesse, Elwenne ayant entendu un bruit de magitek. Nous n’étions pas seuls ici, et peut-être que l’ennemi avait déjà ce qu’on voulait. Mais à notre grande surprise, après le passage étroit de glace et d’illustrations, il n’y avait rien d’autre qu’un lieu perdu, un grand espace magnifique avec de l’eau chaude fumante, des lueurs féeriques, et une tranquillité à toute épreuve. Au milieu de tout ça, un autre monolithe, mais sans gravure. Ici, sur chaque face, on y retrouvait un Gnathe portant des lames comme gardant l’endroit. Elwenne prit le temps de faire une inspection minutieuse avec son éthérimètre installé sur ses yeux pour voir ce qu’il pouvait se trouver dans les environs, rien de néfaste cela dit, il y avait quand même des protections installés dans l’eau chaude. Comme des lueurs formants des épées, mais toute cette puissance « rôdaient » dans les environs, telle une brume éparse, et il était maintenant au vue de l’éclat grandiose et étoilé qui se trouvait à l’intérieur du monolithe, que nous avions découvert ce qu’il fallait retrouver.

La matière pour généré la clé du Maître des étoiles, nous y étions enfin après ce long et difficile voyage, même conscient que des Garlemaldais de Kir Rufus pouvaient se trouver autours de nous. La situation se débloqua après une inspection minutieuse, découvrant des traces d’explosions et de lames – ils avaient quand même essayer de tout faire sautés les bougres, c’est bien des Impériaux – mais c’est en saluant correctement la statut de la manière d’un duelliste que celle ci se laissèrent toucher, une rune centrale attirant le regard. Tous mirent leur main en même temps, et lentement, leur énergie vitale fut petit à petit ponctionné par la puissance interne du monolithe. Mais elle ne leur volait pas pour son propre profit, c’était pour parvenir à offrir cette force générant les esprits de quatre Gnathes se tenant derrière chacun d’eux. Moutah les aidait à tenir, et des questions furent posés face à l’écho mystérieux des quatre voix finissant leurs phrases les un après les autres, en nous racontant de nous méfiés avant tout de ceux qui vivent une demi-vie. Ce qui concernait avant tout Loraedas, le Maître des étoiles, ainsi qu’une autre personne bien plus proche. Ceux qui ont leurs vies liés à un sort, rapprochant cette histoire de l’esprit d’un certain dragon nous ayant donner cette quête. Mais après la fin de la conversation, le monolith se désagrégea pour ouvrir l’accès, la matière à l’intérieur reluisante de milles feux.

Nous avions été mit en garde, il ne fallait absolument pas y toucher, c’était un risque énorme de finir massacré comme nous allons le voir avec un Garlemaldais. Car au moment où Almire brandit le moule de la clé pour que la matière s’y intègre dans une grande rivière de métal liquide reluisant qui s’installe à l’intérieur relativement rapidement, ils réagirent. Des Eques nous encerclèrent, et je vis même un des Hyurgoth Gyr Abanais génétiquement modifié par les expériences de Naraam en Dravania. L’avant-garde magitek suivit d’une troupe nous bloquèrent la sortie, et l’étrange sonde volante tournoyaient autours de nous. Le calme suivit quelques explosions des premiers tirs de la machine, Moutah préparant déjà sa réponse. Mais l’Officier progressant, l’air condescendant à souhait, en s’installant devant le chef de notre Ordre, Merethir. La discussion fut courte ,et je ne m’attendais pas – quoi qu’attendu quand on connaît son grand frère Vulkaroix – à le voir lui dire d’aller se faire mettre avant de bondir dans les cieux pour détruire la sonde. Le choc du Chevalier dragon amplifié par un effet magique d’Elwenne fit chuté la sonde dans une grande explosion envoyant des débris ici et là, - et écrasant un éques au passage, le pauvre, le chaos de la bataille pouvait commencer. Arslang, Elwenne et moi combattions pour protéger Almire alors qu’il récupérait la matière en vitesse.

La situation de l’avant-garde avait été stabilisé par Moutah en ayant provoqué un désordre total avec un sort de confusion parfaitement involontaires, usant des effets entropiques de Felix. Les Eques tournoyaient dans tout les sens, se cognaient dessus, et il fit chuté une grande pierre qui attira la bête que Almire avait surnommé « Pouic-pouic ». Merethir l’avait envoyé au nord, droit sur notre direction, et elle jaillit pour massacré l’Avant-garde et les Eques autours, obéissant strictement à Merethir. Rapidement, les Impériaux furent massacrés, Elwenne et moi avions abattu les Eques alors que Arslang avait littéralement tranché en deux le Gyr Abanais modifié. Et le centurio lui, qui avait pu plaqué Almire et volé le moule, eu sa tête plongé à l’intérieur, au contact de la matière. Son visage se désagrégea, en millier d’étoile, en poussière, comme ceux condamnés par les sorts du Maître des étoiles, à l’image du Shinobi sous le Pont du Fer noir.

S’en était fini, les Impériaux battaient en retraite sous le hurlement de l’officier ayant eu l’injonction de partir prévenir Kir Rufus de ne jamais remettre les pieds ici. Je me doutais que ce serait aussi facile, mais au moins, il ne restait plus qu’à atteindre le Mont de l’œil-Vigilant pour créer la clé du Domaine-Prison de Loraedal. Satisfait de la fin de notre mission, Moutah appela Piko d’un grand « cri » - sa voix modifié par la magie. Et nous avons pu savourer le bruit de clochette au loin. Au moins, le retour serait particulièrement facile ! »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:23, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 20 sept. 2019, 12:29

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Troisième Entrée – « Acte 2 - Créer la Clé du Maître des étoiles.»
Image
«Notre mission au Convictoire s’achève. Cela fait environs une semaine que nous y sommes, et entre temps, l’Ordre du Faucon à vu le jour. Les chevaliers des Lameciel sont restés les mêmes, à la poursuite de la même affaire sous la coupe du Chevalier-Dragon Merethir, il s’agissait tout de même d’une façons de célébré cette naissance que de tout faire pour lui donner un sens maintenant. Notre destination : le Mont de l’Oeil-Vigilant afin de créer la clé nous permettant d’accéder tôt ou tard au domaine-prison de Loraedal. Notre équipe fut formée du Maître de l’Ordre Merethir de Voltarme, Arlsang fut désigné en tant que chef d’équipe pour mettre en place les tactiques, et accompagnés d’Elwenne, Moutah, Almire, Neshushu et bien entendu moi. Nous avons prit un instant pour suivre la messe du Père Amauroix prononcée au nom de la Sainte-Déesse Halone pour les guerriers allant se battre en Son nom, et nous voilà sur le départ en formation de combat serrée en espérant qu’il n’y aurait pas trop de difficulté, et que celle qu’il fallait vaincre, seraient pourfendu par la bénédiction de la conquérante. Le temps n’était pas des plus agréable sur le trajet, des gros flocons de neiges nous tombant dessus en trombe, rendant la visibilité plutôt désagréable, mais le pire le long du trajet n’était pas forcément dans la qualité du temps qu’il faisait, que dans les visions subies qui pouvaient affectés le moral.

Surtout à la vue du cadavre d’un ours éventré qui avait du donner naissance à une des créations de « Légion », le cocon-mère. Essayant de ne pas trop y penser, nous avons progresser jusqu’à atteindre l’étendue du Mont, et même à une bonne heure de route de voyage manquante, la vision était déjà des plus sublimes. Il fallait savoir que nous aurions de grand péril à affronter jusqu’à parvenir à son sommet, mais au moins avions nous profiter de la splendeur du ciel nocturne où brillait une étoile comme un phare nocturne tout en haut du Mont comme nous montrant son œil vigilant qui veille sur les contrées proches. C’était peut-être là au fond, d’où lui venait sur surnom, et plusieurs en profitèrent pour apprécier le spectacle en discutant de ce qui pouvait être fait, pendant que Merethir aperçu une silhouette étrange que personne n’avait eu le temps de voir. Ce fut confirmé par l’éthérimètre d’Elwenne qui, après avoir entendu de la musique jouée par quelques clochettes scintillantes, telle une musique des plus agréable. Décidant ensemble après de nombreuses hésitant quant à ce qui devait être fait, nous sommes finalement parti pour rejoindre là où des rivières d’éthers – aussi petite soit-elle, pouvaient bien menés.

Progressant un peu, la musique devint audible à tous, et nous écartions quelques pierres avant d’atteindre l’intérieur d’une trouée où la lumière des étoiles se captaient à merveille sur les parois de glaces en laissant apparaître des reflets fabuleux. Le lieu devait déjà être intriguant et magnifique, mais il l’était devenu encore plus mystique par la présence de nombreux esprits et souvenirs du passés. Des caravanes où s’y trouvaient des nombreuses marchandises ainsi que des tapis au sol, c’était typiquement une festivité locale avant que le grand froid ne fasse naître la neige éternelle du Coerthas, où les gens riaient, s’amusaient. Mais tout ce qui était à peine visible, n’existait que dans notre vue, nous traversant, un bras passant à travers Elwenne pour saisir un plat de nourriture par exemple. La seule qui existait vraiment, c’était la jeune femme. La seule qui avait conscience de notre présence, c’était elle. Discutant avec plusieurs des nôtres, elle expliqua que tout n’était que des souvenirs attirés par le sort chaotique se trouvant sur le mont, mais que tout ce qui était vraiment dangereux, était ce qui vivait à Demi-vie. Cette demi-vie, la prophétie des gardiens Gnathes en parlaient déjà, et il fallait nous méfié de tout ce qui pouvait relire d’un simulacre de vie dans les environs.

La vision du souvenir s’emballa à l’approche de deux dragons, mais tous pensaient que cela n’était qu’une vision, rien d’inquiétant ou de gênant pour nos vies. Nous avions bien entendu tort : Un des dragons était animé de cette étincelle de présence, si la première vague de flamme ne fit que brûlé les images du passé, la seconde s’écrasa sur le bouclier d’énergie que Moutah eu l’intelligence de former, chacun ne s’en sortant que de justesse des flammes bleutés dévastant le réel aussi, - je me souviens avoir été tirée d’urgence par Almire avant que je ne suis cuite. Arslang protégé par Neshushu et Elwenne ayant pu leur offrir de l’aide d’urgence. Tout fut fait de manière très efficace, et après un instant de discussion, nous nous sommes mit en vitesse en route pour rejoindre le Mont. La lueur de la jeune fille s’estompa au loin. Il fallait prendre sérieusement en considération ce qu’elle nous avait dit : Prendre garde à la Demi-Vie. Et cela allait nous retomber dessus d’une manière très forte. Cruelle même.
Image
La marche pour rejoindre le bas du Mont de l’œil-Vigilant ne fut pas bien difficile, reprenant un peu notre souffle en essayant de réfléchir à la bonne marche à suivre, il fallait prendre en considération tout ce qui avait été vécu cette semaine entière de déploiement au Convictoire pour ne pas tombé dans des pièges stupides. Un lac était présent, de glace gelé, et il s’y trouvait de nombreuses carcasses de dragons mêlés à des ossements de templiers, des flèches plantés au milieu du vide ainsi que des lances perdues. Quelques drapeaux d’Ishgard, volant au volant poétiquement. C’était les restes de la vieille bataille ayant mené à la mort de Sylvermendgrd il y à bien longtemps de cela. Des sortes de cristaux de neiges immense étaient présent, éparpillés un peu partout comme des champignons oubliés, nous faisant aisément pensé à la corruption que le sort avait pu entraîné lors de sa déstabilisation par les Hautepointes. Un essaie de Moutah fit apparaître de la glace impure le long de sa main, et tous prirent les armes en comprenant qu’il s’agissait visiblement de contaminés se cachant dans les neiges en attendant la présence de ceux qu’ils massacreraient à leurs tours. Mais pendant notre approche, une lueur bleutée immense apparue sous nos pieds, comme un poisson tournoyant dans l’eau jusqu’au lac, ce qui produit une formidable explosion.

La glace se fissura en laissant un immense trou menant vers l’eau glacé, soulevant la neige dans une grande hauteur comme si quelque chose en était sorti, mais rien. Rien d’autre qu’une lumière intense, et merveilleuse. Ce qui néanmoins permit de faire naître le début des problèmes – La scène de la bataille se mit à être rejouée, partout des souvenirs apparaissaient, pour la plus part des souvenirs inoffensifs, certains brillaient légèrement comme le dragon qui avaient pu nous atteindre. Jusqu’à voir une solution pour grimper sur les premières hauteurs du mont : Des échelles de bataille étaient amenés par plusieurs spectres, c’était difficile de comprendre pourquoi elles reluisaient en étant utilisable, mais il fallait y voir une aide de Sylvermendgrd qui avait pu rejoindre ce lieu pour nous permettre d’atteindre le dit sommet. Fonçant en formation, la tactique avait été efficace pour essayer de les atteindre, mais l’adversité se révela nombreuse. Pour nous, nos adversaires, c’était les myriades de contaminés s’extirpant du sol en venant nous encercler à toute vitesse. Arlsang pendant notre mise en formation pensa à tout, sauf à nos arrières. Elwenne avait été très maline, ayant balancé une dague entre deux des amas de cristaux, il lui suffit d’enclencher ses gravures pour que le sort d’entrave attrape rapidement les mort-vivant congelés avaient qu’ils ne nous atteignent.

C’était soit des Garlemaldais de Kir Rufus, soit des Hautepointes, peut-être même c’étaient-ils entre tués pour atteindre le dit sort. Merethir en propulsa plusieurs au loin, la brèche permit à Moutah, Neshushu et Almire d’atteindre les échelles en se mettant en vitesse à grimper dessus. Le temps nous manquait, il fallait les atteindre et je fuyais après avoir trancher un bras d’un bon coup de sabre, voyant néanmoins Arlsang s’effondrer au sol recouvre de ses maudites horreurs. La boule de feu de Neshushu les repoussa en permettant à Merethir de frapper de toute ses forces de sa lance, c’était un bon travail d’équipe, car Moutah attrapa le Xaela en l’attirant vers nous grâce à la magie céleste. Fuyant vers les échelles, il y avait un grand problème : Le trou dans le lac. Les souvenirs allaient avancer au dessus, mais ceux qui ne seraient pas sur des échelles allaient avoir une grande difficulté à faire le tour – Et sur les côtés, des morts-vivants en nombre les attendraient. C’était maintenant ou jamais. La plus part se ruant sur les échelles, seul Arslang manquait, et il fit en sorte d’utiliser son épée comme une planche pour glisser sur les amas de plateforme de glace que créait Almire sur l’eau glacée, le pauvre Almire devant se concentré avec Moutah pour faire en sorte que les fines pellicules gelées ne s’effondrent pas.

Une technique un peu improvisée, mais passable, et c’est là que je me suis mise à paniqué. Une des échelles s’était écroulé dans le souvenir quand un dragon la fit exploser subitement, Moutah se faisant traîné par son grappin pour ne pas tomber dans le vide, accroché à une autre échelle. Deux créatures avaient bondit pour essayer de nous atteindre alors que les fantômes marchaient littéralement dans le vide en portant les échelles. Une explosa par la pointe de Merethir, et l’autre m’attrapa à la jambe. Je n’ai jamais eue aussi PEUR de ma vie, la bête rapidement massacrée par mes camarades, tout ça pour voir que beaucoup d’autres nous attendaient plus loin. C’était le chaos, car il fallait faire atteindre les échelles à Arslang, qui fini par pouvoir être installé dessus après une pirouette acrobatique soutenu par la magie d’Almire et Moutah. Neshushu essayait de dégagé la route avec Elwenne, ce qui fonctionnait même très bien, dans des rayonnement de magie intense, et ce jusqu’à ce que les échelles atteignent finalement le bord rocheux.

Il y avait peu de temps pour grimper, une des échelles s’effondrant déjà alors qu’Almire fut récupéré par Merethir qui bondit dans les cieux, d’un bond digne d’un Chevalier-Dragon. Elwenne elle bondit sur Moutah en s’agrippant à lui, son grappin virevoltant au dessus fut récupéré par Neshushu et Arlsang, arrivé avant nous tous, pour bien installé celui ci. Enfin, nous voilà dans les hauteurs enneigés, un regard en arrière laissant entrevoir la terrible bataille qui n’était un songe, où des entités écœurante contaminé par la magie néfaste voulaient en vain nous atteindre. Pendant notre repos, une pluie de flèche spectrale tomba, mais aucune n’était mortelle, plongeant au sol, certains même à des emplacements où elles étaient encore de nos jours. C’était poétique, mais le repos fut de courte durée : Une silhouette spectrale atteins finalement le mont, et le sort s’activa de plus belle, la terre grondait. La montagne gémissait. C’était maintenant ou jamais.
Image
Il fallait progresser, des veines bleutées naissante faisaient explosés des jets de vapeurs et d’énergies volatiles tout le long du trajet, déjà rendu difficile car il fallait grimpé jusqu’en haut, cet effort fut rendu plus facile par les utilisables de sort d’allégement nous permettant de ne pas nous épuisés à la tâche. Un jet de vapeur allait s’écraser sur Merethir, et je sautais dessus, roulant plusieurs fois en ayant subit la chaleur de cette sorte de vapeur nous tombant dessus. C’était si désagréable à vivre ! Mais nous avons pu relativement bien nous en sortir tout le long de la course, Neshushu récupérée par Elwenne pour ne pas que la pauvre soit abandonnée derrière. Arlsang servait efficacement de bélier de charge en tranchant littéralement la vapeur au passage, jusqu’à ce que nous arrivions tout en haut du mont. Là, nous attendait l’étoile qui n’était rien d’autre qu’un amas de schéma d’une complexité affolante. Un véritable sort du Maître des étoiles, actif, ayant été concrétisé contrairement aux ébauches malsaines que les astromanciens stupides des Hautepointes avaient tombés d’utilisés jusque là. Le noyaux interne ondulait doucement, pulsant comme un coeur avec de nombreux anneaux bordés de glyphes. L’esprit de Sylvermendgrd arriva, tournoyant doucement autours de cette amas d’énergie en nous félicitant pour notre vaillance, notre persévérance. Almire déposant le moule, en sortie toute la matière récupérée qui lentement s’éleva en l’air en formant une sorte de sphère parfaite où des glyphes s’y greffait déjà.

Ce serait le foyer de l’esprit du dragon qui allait accomplir la tâche déjà discutée avec les deux Sharlayanais il y à longtemps, Atlas et Loraedal. Moutah évoquant le sort du camarade du Maître des étoiles, celui ci actionna le mécanisme et le sort majestueux se greffa à l’intérieur de la sphère de métal splendide. L’esprit du Dragon nous remercia à nouveau, acceptant que ce soit la fin de notre quête. C’était un sentiment de joie qui m’envahissait à ce moment, la fin de notre mission dans le Coerthas Occidental et le retour au foyer jusqu’à ce que nous attends la suite des opérations. De la joie, du repos. Puis de l’incompréhension, et une peur dévorante quand Sylvermendgrd expliqua qu’il refusa de vivre plus longtemps une « Demi-Vie » comme il était condamné à le faire en devenant le catalyseur interne de la Clé du maître des étoiles. Et que pour nous félicité de cet effort, il allait tous nous tué pour arracher sa liberté avant de souffrir plus longtemps. La prophétie des Gnathes avait raison, l’ami avait perdu l’esprit, celui qui n’était qu’à demi-vie était rongé par la colère et la haine.

La sphère transforma lentement un corps draconnique osseux, comme un cadavre éveillé fait d’énergie tournoyante, les yeux brûlants d’une lueur presque malsaine dans un crâne effrayant, et son hurlement nous balança tous au sol. Le combat pour notre survie allait commencer, il nous fallait affronter l’esprit du Dragon auquel nous avions fait confiance jusque là. Survivre, c’était le vaincre, et cela même qui pourrait réglé toute notre quête, mais dans mon esprit je ne me visualisais pas affronter un créature fantastique. Avant de réalisé que je ne le ferais, je ne serais pas en train de combattre cette chose, mais je lutterais avec mes camarades pour parvenir à vaincre cette entité. Divers sorts jaillirent en des explosions, Neshushu frappant ses flancs dans un grand fracas, pendant qu’Elwenne et Almire se focalisèrent pour essayer de réduire l’énergie et la faire détonné dans sa gueule, lui arrachant un hurlement de colère, ou de souffrance ? C’était difficile à dire. Il passa en bondissant le mur de neige que Moutah avait levé pour nous rendre invisible, ce qui lui fit assaillir Arslang qui se tenait devant lui. A ses côtés, renforcés par l’énergie d’Almire, nous bloquions les griffes acérés parcourues d’étoiles reluisantes taillant le sol, la neige et la pierre. La contre-attaque fut terrible, comprenant l’intérêt de nous battre ensemble, Arlsang le focalisa sur sa lame pour que les autres parviennent à l’affaiblir. Son corps parsemés d’explosions, j’en profitais pour frapper ses flancs alors que Moutah, Almire et Elwenne firent naitre divers sorts pour le mettre en bonne position : Ce, afin que la lance de Merethir se plante dans sa nuque en faisant jaillir une lueur incroyable dans son torse avec un grand fracas. Son cri de souffrance s’éleva, ses ailes faites d’énergie pure le basculant en arrière en envoyant Merethir s’écraser brusquement contre une roche glacée.

Accumulant la puissance pure au sein de sa gueule, il nous fallait une protection des plus puissante pour ne pas que cette fureur nous happe et nous transforme en pâté qu’on nous sert dans les boites de rationnement, et un peu trop cuit. Installés autours d’Arlsang, plusieurs tentèrent de détourné la créature de ce jet en envoyant divers sort s’écraser sur lui, Neshushu faisant explosé son visage alors que la pointe de la lance de Merethir se cogna sous sa mâchoire. Une étoile d’Almire rentrant dans sa gueule dans une grande lueur interne. Il hurla, déchaina cette force droit sur nous en balayant le sol en cette puissance magnifique. Les boucliers d’énergies de Moutah renforcés par Elwenne cédèrent les uns après les autres, des cristaux brisés dans des bruits de verre qu’on casse jusqu’à ce que le choc s’approche. Je fendis le sort au dernier moment de mon sabre, Arlsang finissant le travail en frappant de son énorme épée, déviant le pouvoir jusqu’à ce qu’il en reste plus une goutte. C’était le moment de frapper, et le mieux était de le faire ensemble, tout le monde travailla de pair pour permettre à Merethir d’utiliser poétiquement la Lance de la Vengeance des Gnathes découverte dans le premier monolithe lors de notre voyage il y à deux jours de cela.

Arlsang renforcé par une carte d’astromancie de Moutah qui fit naître une lueur bleuté autours de son corps, écrasa son épée dans le bas de la gueule de Sylvermendgrd, ce que j’essayais d’aider à produire. Almire renforça Merethir qui avait bondit dans les cieux, brandissant la lance qui allait s’abattre en même temps que le pic de givre invoqué par Neshushu pour qu’il s’écrase sur le haut du crâne de la bête. Des flammes d’un bleuté pure tournoyante autours de la pointe quand Elwenne fit jaillir ce renfort, la pointe se fracassa sur le crâne en l’embrochant littéralement, l’empalant à terre en le renvoyant au sol dans un choc si puissant qu’il nous fit virevolté en arrière, finissant de nouveau au sol. C’était fait, fini, les derniers mots du Dragon avait perdu cette peur reflété dans la condescendance de ses paroles, sa conscience s’épuisant au fur et à mesure où la matière reprenait son aspect pour retourner dans le moule, arrachant dans cette dernière conversation beaucoup de regret de tous, mais la fatalité de ce qui devait lui arriver. Il avait perdu l’esprit, et c’était une triste condamnation de redevenir soit même en devant être puni pour ses actes.

La clé du Maître des étoiles était née, au sommet de ce mont qui voyait sa malédiction disparaître aussi tôt le sort rompu. Atlas pouvait être libre de ne plus le contenir, et nous avons enfin le moyen de rentrer dans le Domaine-Prison de Loraedas. Il était temps pour nous de retrouver Ishgard, en nous préparant à ce qui suivrait. Il restait bien des ennemis à affronter, et à vaincre, avant que cet arc de notre vie ne soit clos en laissant tout de même bien des traces de cette péripétie. Qui auront nous à vaincre, désormais ? Voilà la bonne question, mais j’espérais profiter un peu de nos vies lors de ses jours de repos à venir. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:23, modifié 4 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 23 sept. 2019, 18:48

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Quatrième Entrée – « Acte 3 - La bataille de la Vieille garnison.»
Image
« L’assaut des Hautepointes tomba à un instant des plus malvenu, alors que j’entrai dans la caserne, je ne pu que constater à quel point la situation était folle : Des chevaliers et des templiers passant d’un coin à l’autre en criant les ordres retransmit par leur supérieur. Vulkaroix était en danger de mort, à la Vieille Garnison d’Âtrepaix, ce qui devait être un village perdu par le grand froid du Coerthas, à l’Ouest du territoire. Des écuyers venant à toute vitesse rechercher les membres de l’Ordre du Faucon pour une mobilisation d’urgence, nous nous sommes équipés et préparer à toute vitesse alors que nous étions en train de finir de mettre Rhaiq dans les rangs en l’habituant à la tenue. La pauvre arriva pour une bataille des plus sanglantes et compliquée. Il ne fallait pas tenir de position ou assaillir une position ennemie, mais brisé la ligne d’assaut des Hautepointes pour atteindre le cœur de la garnison d’Âtrepaix avant la mort de tout ses occupants. Une troupe de la Maison Fortemps fut réunie à toute vitesse, la trentaine de chevaliers fonçant déjà vers Nid du Faucon avec leurs équipements de guerre tout en réunissant ceux que nous pouvions amenés avec nous. Les Chevaliers de l’Ordre, Sire Gaedon Sorel, Elwenne et Arlsang se mirent en place auprès de Rhaiq, nouvelle Lame, des Astromanciens Moutah et Almire, avec le chef de notre Ordre à la tête, le Maître Merethir de Voltarme.

Nous sommes parti à toute vitesse en parcourant le territoire pendant des heures. Le temps pressait, et nous avions le devoir de raccourcir le plus possible l’insupportable situation qu’est de devenir retenir une armée bien plus nombreuse que votre petite troupe dans une position à peine défendable. La neige tombait paisiblement, il n’y avait pas grand-chose sur la route qui pourrait être un obstacle, la vie avait reprit doucement son cours jusqu’au Pont du Fer noir, des chariots et des citadins repartant rapidement vers le sud en ayant découvert qu’une bataille était en cours à la vieille garnison. Certains nous offrirent quelques denrées, peu, mais de quoi nous ressourcer avant d’atteindre le champ de bataille en regonflant un peu un moral ébranlé par l’urgence de la situation : Atteindre le plus vite possible un champ de bataille n’est une des meilleurs conditions pour guerroyer, mais il le fallait. Arrivant finalement plus loin après le grand pont qui avait vu apparaître une de nos premières batailles, les premières traces de l’assaut purent être visible. Des corps, les cadavres de vaillant éclaireurs étalés au sol après avoir été massacrés d’une façons des plus malsaine, ils avaient été massacrés à coup de hache et de marteau, des insignes retirés de leurs tenues pour récupérer de quoi s’infiltrer dans le camp. Mais les courageux avaient eu le temps de signaler l’assaut, avant qu’ils ne soient tués.

Inspectant les environs, des traces de pas furent visible en direction de l’arrière d’un rocher à notre droite, et Gaedon avait bien repéré l’éclaireur qui nous avait vu depuis les hauteurs. Seul Merethir pouvait atteindre cette position, même si j’ignore encore si cela nous aida, on perdait de plus en plus de temps à se préparer en essayant de comprendre la situation. C’est peut-être là notre défaut, notre erreur, de ne toujours parvenir à nous mettre en mouvement en tenant compte de ce qui à été observé ! Mais hors de notre vue, Merethir se débattait avec un scorpion de guerre, la machine de siège avait de quoi tirer cinq trait les uns après les autres avec une efficacité terrifiante, soutenu par quelques archers. Ils n’auraient pu nous attaquer depuis bien plus longtemps, mais ils ne l’avaient pas fait, difficile pour l’instant de comprendre pourquoi, c’est après s’être débattu quelques instants avec ceux au dessus que Merethir redescendit en même temps que l’éclaireur qui s’était fait empalé par un trait de scorpion, l’envoyant en l’air en une sanglante démonstration aérienne. Ils étaient définitivement sans pitié, en face.

Progressant en toute hâte en constatant que ses détails nous avaient arrêtés, il fallait rejoindre les hauteurs, et l’empressement nous mena droit vers notre premier combat. Elwenne et Rhaiq suivirent les traces pour passer derrière le grand rocher glacé à notre droite pour y découvrir un amas de guerriers en fourrure et en cuir qui équipaient des sortes d’étranges bracelet. Nous n’avons jamais réellement pu identifier ce qu’ils produisaient, mais ils accordaient la rage du massif Roegadyn qui nous surplombait d’un coup en la partageant avec tout ses camarades. Elwenne pu les retenir suffisamment longtemps pour qu’ils nous attaquent au compte goutte, noyant leurs guerriers dans la masse de chevaliers qui essayaient de se protéger aussi des tireurs sur les hauteurs qui venaient de réapparaître. Merethir retourna dans les hauteurs, brisant le scorpion en milles morceaux pendant que le rugissement des combats se faisaient entendre en bas. Rapidement, la situation tourna à notre avantage, surtout quand on fini par abattre le Roegadyn habité par sa bête intérieur qui fut transpercé au cœur par l’épée de Gaedon Sorel. Tout le monde se retrouvèrent, les blessés installés sur le côté pendant que les forces encore prompt à l’assaut se préparaient. Discuter ? Nous n’en avions plus le temps, le signal de détresse éclata dans les cieux en une lueur écarlate. La garnison était sur le point de tomber, leurs défenses submergés, et c’est pendant notre ruée que je pu m’apercevoir du visage livide de Rhaiq. Qui pour la première fois, venait de donner la mort à quelqu’un.
Image
Progressant en toute hâte, nous avions à peine eu le temps de ressentir les effets du soulagement de Moutah qui pour autant essayer de rendre cet assaut supportable, en espérant atteindre le garnison sans heurt. Mais l’ennemi n’était pas stupide, à défaut d’être acharné, il savait que le canyon que nous allions empruntés était la seule issue rapide pour parvenir à atteindre l’ennemi suffisamment vite pour l’empêcher de produire un massacre dans nos rangs. Et ils allaient le protéger en conséquence, et si il n’avait pas spécialement les moyens de le faire exploser pour empêcher un accès, des chevaliers-parjures furent au moins installés en arrière-garde pour hissés quelques défenses. La première protection se souleva de la neige d’un coup à notre approche, des amas de barricades formés de bouts de bois cassés, de boucliers attachés à des lancés levés comme des pointes de pieux fait pour nous empalé dessus. Ils espéraient que dans la précipitation, nous nous tuerions nous même sur les pointes. D’un autre côté ils espéraient sûrement surtout que les berserkers nous aient taillés en pièce en même temps que le scorpion installé sur sa montagne. Rien en fut, avec suffisamment de réactivité, et là encore nous ne pouvions l’emporter en nous battant. Bien sûr, ils étaient bien moins nombreux que nous, et les massacrés serait facile, mais ils n’avaient pas à nous abattre ou à nous faire fuir pour triompher. Ils devaient gagner la même chose que le Roegadyn avait réussi à nous prendre grâce à son embuscade « presque » réussie : Nous voler du temps précieux.

Moutah fit jaillir des boules d’énergies d’un blanc immaculé qui submergèrent la vision de nos ennemis, leurs arrachant des râles alors qu’ils ne voyaient strictement plus rien. Ce qui permit à nos camarades de créer un véritable trou dans leur barrière : Almire envoya une sphère d’énergie dessus qui fut accompagné des rayons arcaniques de Elwenne percutant la surface fragilisée. Et comment une protection rendue instable aurait pu protéger de la technique du chevalier-dragon envoyant la puissance draconnique sous la forme d’une lueur bleutée dépassant Sorel en venant se fracasser à toute puissante sur les protections. Au milieu de la brume de neige, du bois brisés, et d’un corps dévasté, Gaedon et moi prenions places en repoussant les pauvres combattants choqués par l’intensité de l’impact qui se remettaient à peine de leurs craintes, balancés au sol par le sabre et l’épée partagés avec le chevalier. Ils ne faisaient pas le poids, et mes compagnons prirent la meilleure décision possible : Poursuivre la route. Le temps nous avait été pillé, nous ne leurs offrirons pas une seconde de plus. Partant à toute vitesse, laissant les chevaliers du Capitaine Lhayn s’occuper de ceux derrière nous, nous voilà à traverser le canyon épaulés par l’énergie de Moutah nous apaisant le temps de parvenir à nos fin. Mais un dernière obstacle nous attendait. Merethir avait déjà pu bondir dans les cieux pour nous faire un rapport sur la Linkperle de ce qu’il voyait, et ce n’était pas très rassurant : L’ennemi avait totalement débordés la garnison, et les survivants de débattaient dans les ruines en essayant de ne pas être engloutit dans les flammes d’une machine de guerre.

La neige du canyon était trop parfaite, alors qu’une armée était passé par là, cela ne serait qu’expliqué en découvrant ce qu’il y avait sous les fausses couches de neiges aux deux extremités, en hauteur, à la sortie du canyon : Des chaudrons remplies d’un liquide acide qui nous transformerait en tas d’os si rien n’était fait. Celui à droite fut dévié par les énergies de Moutah, le Lalafell nous donnant un répit pendant qu’Almire et Elwenne usèrent de magie pour empêcher l’autre d’être renversé, juste assez pour que notre passage soit sécurisé. L’élémentaliste ayant créer les amas de neige voulu réagir à cette action, mais elle trouva la lance de Merethir tellement à son goût qu’elle fut ni plus ni moins embrochée au sol pendant que nous laissions au canyon cette liquidité qui nous aurait transformer en squelette. A l’entrée de la garnison, se trouvait la dernière arrière-garde, ceux qui bloquaient la porte. Un massif chariot de guerre contenant du bois enflammé fait pour être renversé dans le canyon était sur le point d’envoyer ses rondins pour bloquer notre accès à nous, et sûrement aux forces de Lhayn bien plus loin qui devaient avoir fini de vaincre les opposants de la barricade.

Mais le plus inquiétant était le golem céleste, cette chose était inactive jusqu’à ce que Merethir essaie de faire usage de son énergie, répondant à cette tentative par le jet d’une étoile fusante voulant le percuté. Sauvé de peu par Moutah, Arslang lui avait pu empêcher l’envoie des rondins en éclatant ceux s’en occupant, alors qu’Elwenne tenait en respect les quelques chevaliers à l’entrée grâce à sa magie. Almire, quant à lui, c’était occupé de chariot à feu contenant une tête de dragon semblable au piège de la Tour-prison où Pheniria avait trouvé la mort. Explosant une de ses roues d’un sort d’une bonne puissance, le chariot se renversa sur le côté en envoyant une nimbe de flamme sur les archers des Hautepointes. Voir un tel spectacle n’est pas une activité très appréciable, et je m’ôtais de cette vue en pouvant encore subir le son de leurs cris d’effroi digne de vous donner des cauchemars. Fonçant avec le chariot volé, Arslang et moi ouvrions littéralement une grande place en écrasant ou bousculant les chevaliers immobilisés par Elwenne. Et ce, un instant après que le golem maltraité par les assauts de nos compagnons venait d’envoyer Moutah et Merethir au sol dans une grande impulsion. Quelqu’un dirigeait ce golem, et il ne le faisait de pas bien loin. Mais qui ? Pour l’instant, ce n’était pas la question la plus préoccupante.
Image
Investissant à notre tour la garnison, la bataille avait encore lieu avec les résistants courageux luttant dans un baraquement détruit, des morceaux de bois et de pierres ayant été écrasés par des explosions et des jets à toute puissance de trait d’un autre scorpion à cinq trait. Je venais de venir en aide à Elwenne pour abattre le golem bien amoché par les assauts d’Almire, Moutah et Merethir à son encontre, laissant celui ci s’effondrer en pierres brisés alors qu’Almire avait déstabilisé les merveilleux schéma à l’intérieur, nous permettant une frappe rapide et puissante mettant fin à son envie de nous casser la figure. Guérissant rapidement Merethir quand il bu une potion de soin de Moutah, il ne pouvait simplement pas rester au sol : Si la bataille avait lieu avec acharnement au niveau du baraquement détruit, c’est au milieu de la garnison qu’une scène effroyable eu lieu. Sebaroix de Hautepointe, celui épargné par Jereck Lameciel, se retrouvait pendu à une corde au milieu de la place où ils essayaient de pendre Vulkaroix et ses proches camarades qui avaient été captif. Almire et Elwenne envoyèrent plusieurs sorts tranchants depuis leurs positions en visant les cordages, faisant tombés autant Vulkaroix que le corps du pauvre camarade pendu pendant notre absence. Arlsang fonçait dans le tas, à mes côtés, nous nous sommes tailler un chemin sanglant au milieu des quelques combattants choisis pour cette activité odieuse.

Merethir dans les cieux fut confronté au problème du second scorpion déchargeant ses traits vers lui, en esquivant certains, ceux qui allaient faire mouche furent arrêtés, déviés par les sphères de magie que Moutah propulsant en l’air à toute vitesse dans des grands bruits de chocs d’acier envoyant des traits tournoyer dans tout les sens se planté sur le champ de bataille. Les prisonniers avaient été libérés, Vulkaroix cassant d’un coup la nuque de celui qui s’opposait à Arslang, il n’y avait plus grand-chose à faire que les soulevés, mais la cible de Merethir venait d’agir. Le Baron de Hautepointe, Dalphanaud Tirien Lorcroix de Hautepointe, contrôlait la bataille de loin installé dans une armure blanche splendide et épaulés par ses gardes du corps. Le scorpion se trouvait derrière lui, mais il fut vite fracassé par un assaut à toute puissance, surtout quand une carte lui fut délivré pour que l’attaque de Merethir soit renforcé par la puissance de nos Astromanciens. Mais le mal était fait, l’explosif installé dans le corps sans vie de Sebaroix allait sauté, Almire se précipitant pour installer une couche de glace qui ne suffirait peut-être pas au milieu des prisonniers. Récupérant le chariot, Arlsang se mit à toute vitesse à foncer en direction du Baron de Hautepointe qui perdait son temps à discuter avec Merethir alors qu’il se préparait à le défié au milieu de ses gardes, dans un aspect extrêmement théâtral, peut-être même un peu trop. Je rejoignais Elwenne dans la bataille, frappant les soldats en allant nous confrontés à l’officier en charge qui massacrait les survivants de la garnison. De notre côté, on ne peut pas dire que la bataille ne fut pas plus ou moins courte, frappant et repoussant ceux autours de nous, jusqu’à avoir pu frapper ensemble en même temps dans un coup de ciseau impeccable.

Le guerrier se séparant en deux morceaux, la mort de l’officier créant un poids sur le moral qui serait achevé par ce qui allait se passé plus loin : Le chariot récupéra par Arslang s’était vu déposé dessus le cadavre de Sebaroix dans sa couche de glace, pour venir exploser à toute puissance à côté du Baron et de ses gardes du corps. Des rondins de bois volant dans tout les sens, écrasant deux des gardes et envoyant plus loin au sol Arlsang et Merethir. Ainsi que Vulkaroix qui fini la tête la première dans une caisse de poisson. Mais j’ignore ce que faisait Moutah à ce moment, toutefois, sa tentative avait réussie : Il brisa le prisme mirage installé dans l’armure du « Baron », dévoilant la supercherie. Redroix de Fuseloi, un noble censé être mort depuis quelques temps, apparu à sa place. Tout penaud de voir la supercherie disparaître, comme si les ordres reçu n’avaient maintenant plus de sens, les hurlements d’Arslang demandant à ce que tous cessent de se battre firent taire les épées, n’y laissant des bruits du combat que les cris de blessés dont les médecins pouvaient rapidement s’occuper maintenant qu’il n’y avait plus qu’à voir cette scène absurde où ils réalisaient que le « Baron » n’était qu’une supercherie. Récupérant un étrange cristal de sa besace, il tendit celui ci vers Merethir pour laisser apparaître une silhouette brumeuse.

La première voix qui fut entendu n’était pas celle de la silhouette, mais celle du véritable Sebaroix hurlant que nous ne devions pas écouté un seul mot de l’homme qui allait nous parler. Siroix, le vieil astromancien, dévoila son identité qu’il avait à grand peine caché par moult tromperie. Le Baron de Hautepointe avait caché son fils, et nous parla avec démence du parchemin qui prédisait la destruction d’Ishgard de la part de cet être ancien qu’est Lakraedas. Une conversation s’engagea, ne débouchant en bien peu de réponse que de comprendre que depuis qu’il avait vu ce « parchemin », il avait tout fait pour parvenir à atteindre le Maître des étoiles. Almire essaya de comprendre ce qui pouvait bien affecté le cristal pour parvenir à fonctionner, mais cette vision le maudit, s’effondrant au sol il était prit d’une telle panique que les battements de son cœur risquaient à un moment ou un autre de le faire céder. Une crise cardiaque, une mort bien peu enviable, et tous s’intéressèrent à lui en achevant la conversation avec Siroix. Le cristal se fendilla, avant de se briser en laissant une petite fumée obscure qui investie directement Redroix. Nous aurions pu agir, mais l’état d’Almire était bien plus inquiétant que ce que pouvait subir quelqu’un qui allait être mit au fer par les chevaliers des Fortemps. Lentement, il se mit à devenir plus épais, sa peau craquelant en laissant apparaître de la fumée : Contaminé par le nuage obscure, il perdit conscience pour laisser parler la voix d’un vieux démon vivant bien loin d’ici.

Tout se rapprochait de ce parchemin, un des parchemins ayant été amenés par les voyages d’Onotsaku en Eorzéa. Siroix, le Baron de Hautepointe, avait été rendu complètement fou par le Démon des émotions Tsakyoki essayant toujours de sortir de son île-prison où je suis née. Le corps de Redroix disparut en cendre après avoir tuer deux soldats, laissant face à nous plus qu’un tas de fumée, et le calme revenant doucement alors qu’Almire avait été soigné par Moutah. Il ne restait que des décombres de la garnison brisée, des soldats pleurant ou rageant de ce qui avait été découvert. Même si le Baron reste en vie, il est au moins certains qu’il n’avait pas perdu simplement un assaut lors de cette attaque. Il venait de perdre sa conspiration, et la seule chose qui nous reste à faire le concernant, est de protéger Sebaroix de sa folie. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:24, modifié 8 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 25 sept. 2019, 15:29

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Des Puks assoiffés de sang."

Image
Cinquième Entrée – « Acte 1 - Sauvetage en forêt.»
Image
« Une mission bien différente nous attends – Les enquêtes concernant « Légion » sont en court, et nous avons encore à en finir avec l’histoire du maître des étoiles. Et pourtant, alors que le maître de l’Ordre, Merethir de Voltarme, est parti pendant quelques jours en Dravania pour poursuivre une formation avec son mentor Melestian concernant son développement en tant que Chevalier-Dragon d’une nouvelle ère pour notre nation, nous voilà à partir dans la forêt de Sombrelinceul quelques jours avec l’Ordre du Faucon pour retrouver des nobles. La famille Udariel, vassaux de la grande maison Dzemael, ont eu l’envie de partir pour « explorer » les terres de leurs alliés, mais il était déjà douteux qu’ils aient à ce moment l’envie de récupérer quelque chose au passage. Et petit à petit, cela se confirmerait. Nous réunissant à l’Observatoire, une bonne partie de nos effectifs furent présents pour le départ : Les Astromanciens Moutah Pontah et Almire Myste, les chevaliers Arslang et Gaedon Sorel, l’éclaireuse Hermeline Eurelt dont nous venions de faire la rencontre aujourd’hui même, ainsi que Elwenne qui devait nous rejoindre plus tard pendant la mission. Quitter notre région fut effectuée non sans peine, puisqu’il y eu le choc de température différente le temps de lentement quitter les terres enneigés du Coerthas pour nous rendre compte qu’il n’y aurait pas la grande végétation attendue dans cette partie de la forêt. Là où jadis, un fragment de Dalamud avait, on pourrait presque le dire, distordu la réalité après le septième fléau.

Arrivant finalement sur une grande route peuplée, vers la bordure du Coerthas, un petit relais de commerce à quelques distances d’une tour de guet avait vu le jour pour facilement commercer avec les Ishgardais sans subir le grand froid, et prévoir des caravanes réchauffés pour les voyageurs en partance pour Ishgard. Il y avait de bonnes odeurs, quelques appels pour des dégustations et des troupes des Deux-vipères en place pour surveiller efficacement le tout, la grande compagnie faisant particulièrement en sorte que tout se passe bien ici. Un d’entre nous prit un chocobo pour partir en nous voyant arriver, alors que la vie continuait, je ne pensais pas que nous allions faire une halte ici parce qu’un marchand de choux semblait agacé. « Cabbage », comme il était surnommé, le bien vieux hyurois ramassait ses légumes en disant qu’il en avait assez que tout le monde les renverses. Rapidement, tous se dispersèrent pour enquêter ici et là : Almire et Arlsang discutaient avec le vieillard qui expliquait que des Ixali avait bousculé brusquement son chariot en étant poursuivit par les deux vipères, et qu’il y avait des problèmes de plus en plus répétés dans les environs. Des voyageurs disparaissant, la garde avait rapidement été doublée, et nous étions là parce que parmi les voyageurs se comptaient des nobles Ishgardais. Moutah avait fait usage de son éthérimètre durant la route, et pu enfin prendre le temps d’inspecter soigneusement l’emplacement où une tâche étrange, sous la surveillance de Gaedon Sorel, avait bien pu laisser par terre.

Des traces d’une contamination, ce n’était pas le néant, ou une quelconque utilité non. C’était de l’énergie primordiale résiduelle, peut-être un sort avait-il été usé, mais rien de tout ça n’était présent. Finalement, Arslang vint discuter avec l’officier en charge des Deux-Vipères pour parler de la situation et du comportement suspect du fuyard. Grâce à ses talents, il avait pu repéré l’emplacement du corps, et ont apprit ainsi qu’il s’agissait d’une victime des Ixali. Le mort était une offrande à leur primordiale odieuse, Garuda, et cette énergie devait être ce qui nourrit sa puissance. Ce qui était suspect, c’est que l’Officier était certains de ne pas avoir donner d’ordre, et toutes ses troupes avaient devant nous, ce qui laissa suggérer à une infiltration, et petit à petit la compréhension vint avec la découverte de ce qu’il y avait sur le corps enterré qu’ils avaient bien caché : Une lettre, une proposition de récupérer un article très rare et très cher offrant prestige à des riches. Lui n’était qu’un valet, il ne fallait pas s’attendre à retrouver l’escorte des De Udariel en vie sur ce principe là.

Il restait un suspect en place après avoir rassembler nos informations, et il ne fut pas bien difficile à retrouver après une inspection correct : Hermeline trouva sa trace rapidement en découvrant que le bougre s’était caché en vitesse pendant que l’Officier rassemblait ses troupes, dans un chariot à choux. Il avait déjà été remarqué à bien revoir notre trajet, et comptait parmi ceux qui n’étaient pas normalement dans la troupe, alors se cacher ainsi, c’était comme se mettre une flèche au dessus de la tête pour dire « Je suis coupable. » Encerclant le dit chariot pendant qu’Almire détournait le marchand de là en lui parlant de lui, essayant d’en comprendre plus sur son histoire, Arlsang donnait ses sommations en lui ordonnant de sortir, essayant de le tirer de là, mais ce n’était pas évident avec autant de choux au dessus de lui. Balancez ce chariot au sol, pensais-je, on à l’habitude de voir des choux par terre. Mais le mal était fait : Un sifflement puissant se fit entendre en nous vrillant les oreilles, avec force, ce qui devait être le signalement qu’il lui fallait un repli d’urgence.
Image
Ce son était d’une force telle que plusieurs tombèrent au sol, Gaedon nous mit en garde qu’il devait s’agir d’un cri de Mandragore, le genre de bête à vous exploser les tympans si vous la prenez à la légère. Agités par l’impact sonore, nous nous sommes petit à petit remis de ce choc pour parvenir à correctement prendre nos positions. Moutah et Hermeline agissaient en sentinelles en regardant littéralement tout les passages possibles vers l’intérieur du campement, à l’extérieur, entre les pierres et les arbres morts de la contrée. Rien ne vint, jusqu’à ce qu’Almire agacé par ce petit jeu fit tombé le chariot en avant en délivrant tout les choux au sol – à la grande consternation du marchand – alors que le faux Deux-vipère chutait par terre en roulant deux fois au milieu des choux, finissant aux bottes de Gaedon Sorel qui l’attendait, prenant un peu de place pour levé son épée face à lui, lui ordonnant de ranger sa dague avec laquelle il avait légèrement fait saigné le bras d’Arslang. Moutah avait par instinct libéré un bouclier autours de nous, il ne fallait pas prendre un risque à la légère, et c’est peut-être à cette protection que j’ai du ma survie, ou au moins ma santé. Car alors que tout le monde semblait prêt à tout, une pluie de flèche nous tomba littéralement dessus. Des traits percutant ici et là, touchant parfois même un civil ou un des deux-vipères qui levèrent d’un coup la tête en remarquant enfin le ballon Ixali qui avait prit soin de se mettre au dessus de nous. Nous nous étions préparés à tout, mais pas à ce qui allait venir au dessus de nous.

Une corde tombant à côté du brigand que nous étions sur le point de capturer au milieu des choux, Almire ayant été percuté par une onde de vent projetée par le Prêtre Ixali, il fallait absolument parvenir à l’empêcher de s’échapper. Il nous fallait les informations que ce rat pouvait avoir sur lui, ce qui entraîna un combat complexe entre lui et un Gaedon essayant de lui faire lâché cette maudite corde. Tout le monde avait résisté notamment grâce au bouclier de Moutah, mais l’archer avait eu de la chance et m’avait bien touché dans le dos au niveau de l’épaule. Et une flèche dans le corps, ça fait vraiment mal, Arlsang la cassant pour s’en occupé plus tard, j’allais passer chez Moutah le boucher après qu’Almire me soigna rapidement pour que je sois prompt au combat à la fin du combat. Mais là, nous n’y étions pas encore. Almire faisait de son mieux pour empêcher les archers de tiré, ne disposant pas de boucliers, les soldats eux furent envoyés rapidement mettre tout le monde en sécurité, ce qu’ils firent rapidement et efficacement, après quelques échanges de politesse à coup de flèche avec les Ixali dans le ballon. Hermeline était là notre atout, l’archère Ishgardais avait gravement blessé leur prêtre d’une flèche dans l’épaule, ce qui allait l’empêcher de faire usage de quoi que ce soit, et dès qu’il fut touché, les hommes-bêtes décidèrent de s’enfuir. Après avoir attraper sa jambe, Gaedon mit au sol très brutalement le brigand vicieux qui avait voulu fuir, un instant avant que Moutah ne coupe la corde d’une sphère tranchante, ruinant définitivement ses chances de survies.

Les Ixalis accélèrent, à cause d’Almire qui provoquait des dégâts inquiétants en usant de réactions intelligentes, ils offrirent néanmoins une dernière nuée de flèche avec la lance qui alla empalé un soldat des Deux-vipère qui décochait avec Hermeline, qui elle avait esquivé le jet d’un pas habile. Un civil était mort, d’une flèche dans la gorge, mais Cabbage fut sauvé de justesse par Arslang qui m’avait mise en sécurité pendant le combat, et le voilà à faire le bouclier humain, les flèches le percutant sans trop de problème. Le ballon était de plus en plus loin, et le brigand attaché des mains aux pieds par Gaedon avec la corde fendue fut traîné jusqu’à nous, déclarant qu’il était trop tard. Les Hommes-bêtes lanceraient le rituel si ils voyaient qu’ils étaient compromit, et c’était le cas, tout les prisonniers seraient tués avant notre venue. Nous n’y comptions pas, et nous voilà déjà en formation après avoir saluer le départ du soldat mourant à cause de la lance l’empalant. C’était une scène triste, mais aussi une aubaine : Le pauvre avait été sacrifié, et l’énergie primordiale glissait hors de lui en donnant une vague direction que Moutah s’empressa de suivre. Reprenant la formation du Capitaine Arlsang, comme il fut désigné pour nous mettre en rang, nous voilà quittant ce relais de commerçant laissé dans un sacré saccage, gardant un contact avec l’Officier des Deux-vipères par perle.

Il fallait traverser un espace relativement court, à travers des pierres levés et des arbres morts dénués de branchages. Une nuit magnifique aux milliers d’étoiles au dessus de nos têtes, quelques uns éternuant à cause du changement de température. Et pendant le trôt déclaré pour aller vite sans nous épuisé à la tâche, certains prirent des précautions, ou se ressourcèrent comme ils pouvaient pour soulager nos peines, mon épaule me tirant tellement que j’avais l’impression d’avoir un crétin qui m’avait attraper essayant de m’attirer en arrière pour me dire « viens, viens on est bien. » - et pendant la route, c’est Hermeline qui eue la bonne idée de levé la tête pour voir les deux éclaireurs Ixali installés à la cime de deux arbres morts.
Image
Je peux vous dire qu’ils ne firent pas long feu. Hors de question de faire une halte pour deux colporte, car chaque secondes comptait pour ne pas revenir à la sainte Citée avec un tas de cadavres de la noblesse ayant été sacrifié à la maléfique Garuda. Les ordres d’Arslang furent clair, Gaedon levant son épée en la faisant flamboyer dans un flash aveuglant qui les perturbèrent suffisamment longtemps pour nous permettre d’agir sans qu’ils ne s’enfuient. Le premier prit une flèche renforcé par Moutah qui le transperça de part en part, et le second fut coupé proprement en deux d’un coup de Katana quand Arlsang me propulsa dessus, Almire l’ayant bousculé en le mettant en bonne position pour une coupe nette. Belle réussite ! Mais il n’était pas le moment de nous arrêté ici pour en parler. Progressant à toute vitesse, pas une seconde ne fut accordée à cette passe d’arme, jusqu’à atteindre finalement le site des sacrifices. Il était installé à un lieu dégage, très singulier, où dix sacrifices étaient divisés en deux autours d’un trou où ils seraient sûrement balancés une fois tués. Les exécuteurs, deux Ixali svelte, portant des lances, étaient en train d’aider le prêtre blessé à accomplir leur rituel nécessaire depuis l’intérieur de sa bulle d’un vent puissant le protégeant de tout assaut. Ses deux énormes gardes, des Ixali tout en muscle, empêchant d’essayer de l’atteindre même si il était déjà dans une cloche.

Une réponse nous vint quant à l’implication des brigands, en un tas de cadavre autours d’un totem en or massif : Ils s’étaient vu promettre richesse dans leurs collaborations, et avaient tous été bêtement sacrifiés et abandonnés comme une décoration macabre autours de ce qui allait accueillir les sacrifices des innocents – Riche, un peu naïf, et grassouillets, mais innocents quand même. Le ballon quant à lui, était attaché à une corde, les quatre archers restant dedans discutant tranquillement, nous avions l’initiative d’agir sans avoir été vu, mais il ne nous restait que quelques secondes : Le premier bourreau levait déjà sa lance pour tuer un des captifs, mais une flèche glissant le long de sa joue en lui ôtant des griffes l’arme du sacrifice macabre qui fut projetée dans le vide par un sort de Moutah. Le Lalafell avait fait en sorte d’attirer sur lui toute la vindicte des Ixali, bien que rapidement rejoint par Arslang qui m’avait propulsé bien plus loin pour que je coupe le lien du ballon afin de les éloignés dès le début du combat – Ce qui fut efficace, une fois la corde rompue, le ballon non-préparé se mit à s’éloigner à toute vitesse surtout après une déferlante de tempête s’extirpant de l’essence de mon arme. Le combat avait commencer, un trait d’Hermeline ayant protégé Moutah d’un coup de lance sanglant, le massif Xaela qu’est notre Capitaine se rua dans la masse pour les projetés au sol, finissant cela dit lui même en difficulté quand un des hommes-bêtes se mit à l’étrangler.

Nous étions en position, le second bourreau fut tué par ma lame après une intervention d’Elwenne et Moutah l’ayant mit en bonne position pour le tranché net. Almire faisait tout pour renforcer les traits d’Hermeline qui s’acharnait à essayer de passer outre le bouclier tournoyant d’un vent de moins en moins puissant à mesure de son duel mental face au Lalafell essayant de dévié ses sorts pour qu’ils ne puissent pas broyer les prisonniers. Cela provoqua des effets entropiques un peu partout, des trombes de vent se déchaînant en m’envoyant au sol brusquement, bien sonnée. Elwenne fut éjectée bien loin après avoir taillé en pièce un des Ixali massif qui étranglant Arslang, le pauvre finissant sous une carcasse massacrée en devant se sortir de là rapidement, car son dernier adversaire essayait de détruire le pont pour empêcher les autres de passés. Le ballon s’était remit à envoyés plusieurs traits, les flèches déviés par mes soins et ceux de Moutah, mais rapidement la situation devint catastrophique quand le duel entre l’astromancien et le prêtre se mit à avoir des effets inattendu. Un des pauvres Gridanien s’éleva lentement au l’air et fut mit au dessus du trou au milieu de la place des sacrifices, le planisphère d’astromancie de Moutah tournoyant devant déviant les effets qui l’auraient broyés, ce n’est que quand une flèche d’Hermeline perça une nouvelle fois la couche de protection qu’elle m’offrit une chance.

Passant mon Katana dans la faille, j’empalais soigneusement le prêtre en le soulevant légèrement, dans un cri de bataille épuisé par la douleur notamment dans mon épaule à gauche de la flèche. Tout s’estompa d’un coup, les prisonniers furent libérés, et j’entendais au loin le dernier Ixali tombé dans le vide après que Arslang fut protégé par une flèche d’Hermeline et un sort d’Almire, les deux ayant joint leur force en véritable tour de guet, Almire s’occupant d’une blessure à l’éclaireuse touchée par une hache de jet. Le prisonnier installé au dessus du vide fut propulsé par Elwenne sur le prêtre, un peu involontairement, mais ça l’empêcha au moins de chuter dans le vide. Le totem brisé par quelques traits et projections de magiques, laissant un bruit sourd montant de plus en plus comme ceux d’une cage se brisant au loin, entraînant un instant après l’apparition d’une silhouette massive. Comme un puk forestier, mais milles fois plus gros, la bête tournoyant dans les airs en passant littéralement en travers le ballon Ixali avant de partir vers le nord.

C’était là l’objectif des Hommes-bêtes : Tout ses sacrifies devaient forger un sort suffisamment puissant pour subjuguer cette bête et en faire une arme de guerre contre Sombrelinceul. Si les Ixali étaient maintenant mort, la bête elle venait de disparaît et fut le fléau de l’Officier des Deux-Vipères quand elle explosa une tour de surveillance sur la grand route. Escorter les prisonniers jusqu’au radeau de la Calebasse était une priorité, mais il fallait aussi s’attendre à venir en aide aux locaux. On ne peut simplement pas partir en laissant ce monstre dans les environs, et il sera alors notre devoir d’être là en support aux Deux-vipères pour l’arrêté. Voilà que notre séjour en Sombrelinceul s’alourdit de quelques jours ! »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:24, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 27 sept. 2019, 14:39

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Des Puks assoiffés de sang."

Image
Sixième Entrée – « Acte 2 - Grainemousse la Peste empoisonnée.»
Image
« Un objectif peut parfois signifier qu’il nous faut de nombreuses préparations avant de se lancer tous ensemble vers un danger pouvant être important. C’est ce qui change la donne, entre aller se mettre en danger sans considération pour sa propre vie, et avoir une préparation intelligente pour accomplir notre objectif sans perdre la vie de nos compagnons. Et c’est cette préparation qui rendit sûrement beaucoup plus efficace notre intervention. Avant même de partir, nous étions conscient de quel type de créature nous attendant. Surnommé par les Sombrelinçois, Grainemousse la Peste, l’énorme puk forestier avait déjà dévalisé des ruches et dévoré des frelons, entraînant une paniquée des dits insectes rapidement contrôlés par les autorités locales ayant mit efficacement en sécurité les habitants. Nos alliés avaient largement préparé le terrain pour que les habitants n’aient pas à souffrir de sa chasse, et nous avait équipé en conséquence des recherches établies par Arslang et Elwenne, même Almire s’y est mit il me semble !

Une bête dont les yeux étaient très difficilement atteignable, la queue produisant le venin qui l’expulsait par la gueule ou par l’appendice caudale elle même, et des ailes de chauve-souris pouvant être déchirées pour lui faire perdre le sens de l’équilibre. Raffolant de miel, et des abeilles en règle général. L’immense appât nous attendait pour être délivré là où nous pourrions l’affronter sans trop de heurt, et nous voilà sur le départ avec notre équipe, prêt à rejoindre les troupes des Deux-Vipères pour combattre ensemble. Les chevaliers Arlsang, Gaedon et Elwenne formant une fière ligne de guerre, en compagnie d’Hermeline en tant qu’éclaireur, Almire notre guérisseur Astromancien, et Rhaiq accompagnée de moi même en tant que Lames prompt à tout tailler en pièce. Le soleil était éclatant, un voyage en pleine journée risquant de nous abîmer les yeux tellement celui ci irradiait l’espace en nous fatiguant le regard à chaque fois que nous le levions, j’en venais à jalouser les lunettes de protections oculaires de Rhaiq tiens ! La plus part choisirent différents moyens de s’en protéger, rajustant leurs casques, leurs tenues, Arslang nous proposa de mettre de la cendre de charbon sur nos yeux, allégeant ainsi le poids de la luminosité en captant cette lumière si vive.

Et nous voilà, progressant dans la forêt en formation de combat tout en vérifiant que les environs n’étaient pas trop problématique. La discussion avec le Capitaine des Deux-Vipères assurait que la situation était idéale pour lancer l’appât, et nous avons pu à peine ressentir les nombreux archers disposés dans les arbres de la forêt, voilés à notre vue comme seul des experts de leurs trempes pouvait procéder. Mais à toute défense, il pouvait toujours y avoir un seul défaut, et c’est quand Arslang ressenti le poids d’une menace que nous avions fait halte. Ceux s’assurant que leurs ouïes ne les trahissaient pas, contrairement à leurs vues agressées par les éclats solaires, repérèrent un peu trop facilement le plus jeune des éclaireurs de la troupe, un certains « Rupert » qui se releva quand l’officier gronda sa mal position en tant qu’éclaireur. On s’en était inquiéter, à cause d’une trace fumante d’énergie semblable aux sacrifices des Ixali, mais nous ne savions pas encore à quel point cela signifiait que la bête était proche. Nous préparant à le faire descendre en vitesse, sous son incompréhension visible, c’est en y allant doucement que nous n’avons pas pu empêcher Grainemousse de jaillir de nulle part en l’attrapant d’un coup à la jambe, ses crocs lui lacérant en lui mâchouillant pensivement.

Arslang voulu l’en empêcher, frappant dans le vide de son espadon alors qu’il fonçait déjà bien loin de là. C’est en l’électrocutant par le biais d’une flèche d’Hermeline en plein dans l’aile qu’il percuta brutalement un arbre. Un jeu d’équipe lui fit ouvrir la gueule, après que le bouclier de Gaedon lui percuta la figure dans un grand bruit résonnant d’acier, une nouvelle flèche renforcée par Elwenne cette fois, et le sort d’Almire éclatant dans sa bouche le fit lâché le Deux Vipère qui se tortillait au sol en hurlant, la jambe en miette. Poursuivant la ruée, il était impossible de parvenir à suivre la bête efficacement vu sa vitesse, mais il était certains d’une chose : Elle partait droit vers l’appât, les Deux Vipères l’ayant relâché pour l’attirer à elle. Il fallait les rejoindre en vitesse pour se battre côté à côté, Gaedon rejoint par Arlsang, Hermeline et Rhaiq se ruèrent dans la direction de l’appât pendant qu’Almire soignait le pauvre jeune éclaireur sous la surveillance d’Elwenne. Ce n’était que le début, mais nous aurions à en découdre très rapidement.
Image
Arrivant sur place, l’appât était une sorte d’énorme ruche artificielle qui avait déjà reçu quelques coups de crocs, des corps de frelons massacrés, tout ça au milieu d’un grand bosquet où les arbres ne nous gêneraient pas. Un lieu idéal pour le combattre efficacement. Gaedon et Arlsang avançaient ensemble, les deux chevaliers prêts à tout, pendant que Rhaiq et moi nous encerclions sa probable future possible position, sur l’observation d’Hermeline veillant sur nous. D’un coup, la ruche céda et explosa au sol, aspergeant de son miel nos deux camarades en envoyant des morceaux ici et là, diffusant l’odeur encore plus fort. Installé en l’air, Grainemousse fit gonflé ses joues d’un coup prêt à souffler une vague de son poison vicieux vers les deux chevaliers. Les flèches fusèrent dans toutes les directions, des traits percutant et enfonçant les écailles envoyés par les Deux Vipères essayant de lui provoquer le plus de dégâts possible en espérant trouver une faille dans son armure naturelle, ce qui nous aiderait à avoir plus d’impact lors de nos propres assauts. Hermeline décocha un de ses traits en plein dans la gorge, ce qui offrit à Arlsang l’opportunité de rouler sur le côté en vitesse pendant que seul Gaedon fut prit dans la vague empoisonnée comme dans une déferlante qui le fit tomber à genou, son bouclier hissé, il s’était prémunir d’un choc violent. Mais pas du poison.

Étourdit par le choc, il essayait d’attraper rapidement une des fioles alors que la bête s’écrasait au milieu du bosquet, observant ici et là pour savoir quel serait sa cible, tandis que je voyais enfin Almire et Elwenne arriver après avoir soigné le pauvre soldat blessé. Le combat pouvait commencer, un déchaînement de lames et de sorts au milieu de la furie de cette bête. Rhaiq esquiva la queue passant au dessus en taillant de son katana là où on pourrait essayer de lui trancher net afin qu’il n’utilise pas son souffle une nouvelle fois. Arlsang jouait de l’épée pour détourné l’attention de Gaedon qui se préparait à réagir en taillant de sa lame dès que les effets de la potion anti-poison put faire effet pour le remettre d’aplomb. Quand la magie du duo fit effet, les vents tournoyant d’un coup au milieu de la foudre frappant le long de l’aile droite, là où je me mit à tailler dans tout les sens. J’avais l’impression de frapper dans une toile de jute perdue au milieu de cette tente d’un tissu organique, mais c’est le coup de Rhaiq qui lui entraina la plus intense des douleurs. Roulant d’un coup sur le côté, la bête nous écrasa avec Arlsang, je cru mourir sur le coup ! Nous étions étalés par terre, sonnés et le corps choqués par l’impact, la plus part durent esquivés en vitesse alors qu’il voulait foncer vers Hermeline dans les arbres.

La flèche de l’archère transperça sa bouche pendant son rugissement, le perturbant suffisamment pour qu’il s’écrase contre un arbre, faisant tombé un des soldats dans un cri de panique. Almire l’intercepta en vitesse, une lueur magnifique le récupérant en l’air vol pendant qu’il descendait bien plus doucement, nos compagnons en profitèrent pour frapper vraiment fort sur une cible unique : La queue. Celle ci fut tranchée nette par Rhaiq et la vague de vent tranchante d’Elwenne laissant l’énorme appendice blessé rouler plus loin dans une giclée mauve fumante. Colère, souffrance, une haine pure galvanisa la bête et son envie de massacrer celle qui lui avait envoyer son sort. Percutant Rhaiq en l’envoyant au sol nous rejoindre en se retournant, elle chargeait à toute vitesse vers Elwenne dans un rugissement. Un trait lui transperça la patte, la flèche de Hermeline faisant mouche, alors que Gaedon arrêta le mieux possible la ruée en finissant épaule contre épaule avec Elwenne, la lueur du bouclier arcanique de la crépusculaire aidant à soutenir l’impact, jusqu’à ce que la bête s’arrête complètement.

L’odeur fini par nous faire payer le prix : Des énormes frelons tournoyaient ici et là, attirés par les senteurs, ils se mirent à être prit de frénésie en s’approchant trop de nous. Les flèches des Deux Vipères s’orientèrent rapidement vers les insectes pour les repoussés, des carcasses d’énormes insectes s’écroulant par terre au milieu des étendues boisées. Après avoir percuté à toute vitesse d’un coup de tête le bouclier, envoyant Elwenne et Gaedon au sol, nous avons encerclé la bête en la perçant de part en part, taillant notamment son aile gauche : Après la haine, la bête fut prise de panique, et se mit à bondir pour s’échapper. S’enfuyant vers un cours d’eau plus lointain, l’énorme problème était celui ci : La bête partait droit vers les zones de vies couvertes par les deux vipères. Il fallait l’intercepter au plus vite.
Image
Nous ruant à sa suite, il nous fallait passer l’obstacle inattendu de la vague d’insecte géant vrombissant comme une grande vague de bestiole déchaînée. Rhaiq du être laissée derrière, blessée lors de la fuite par un grand choc, les Deux vipères s’occuperaient d’elle pendant qu’ils tâchaient de nous ouvrir le passage autant que possible alors que nous voilà à nous enfoncer dans la masse. Arslang et Elwenne frappaient tout les deux en tranchant les bêtes s’approchant trop, Hermeline dans les arbres progressait bien avant nous sans la moindre difficulté, et quand Gaedon fit jaillir une grande lumière de son épée dans un flash aveuglant, cela nous ouvrit la voie alors que Almire fit jaillir une brume foudroyante pour toucher toutes bêtes aveuglées s’approchant de nous. S’extirpant de la nuée de frelon, la course fut frénétique jusqu’à parvenir à une grand rivière. Le temps d’arriver, Grainemousse avait bondit contre les deux ponts, ainsi que sur la barque où deux pêcheurs et cinq habitants locaux discutant entres eux qui fut gravement endommagée. Si nous ne passions pas le pont maintenant, ils allaient s’écrouler en les rendant quasiment impossible à traverser. Hermeline avait de l’avance, et en profita pour traverser le pont à toute vitesse à la poursuite de la bête qui s’était enfin mise à avancer bien plus lentement depuis ses bonds, mais de notre côté nous ne pouvions pas laisser les habitants se noyés et la barque se fracturé au sol, l’eau de la rivière étant bien trop déchaînée pour leurs permettre de se sortir de là. Pas sans des morts en tout cas.

Arlsang s’occupa d’offrir sa lame immense comme une perche, s’entaillant les mains pour offrir le manche de l’épée aux habitants dans la barque pour la tirer rapidement vers nous. Elwenne avait pu balancé un des habitants sur la berge opposée grâce à un sort, et à Almire qui approcha les habitants des deux berges opposés, le second pu attraper la branche d’arbre tendue par Gaedon qui avait pu récupérer celle ci au sol. Comme si la branche c’était présentée à nous pour accomplir cette digne mission envers un habitant de cette forêt. Elwenne ayant aidé Arlsang à tirer la barque, la voilà étalé sur le côté en laissant tout les habitants sortir de là, il n’y eu pas une seule perte, on avait définitivement pu limité la casse mais au prix de voir le pont s’écrouler littéralement devant nos yeux. Il fallait traverser, et très rapidement, car Hermeline était en danger. Elle avait pu joindre l’autre berge, et la menace était que Grainemousse attaque une taverne proche où une activité riante et paisible se faisait voir au loin, de la musique audible ainsi que des lueurs chaudes, la bête saignante s’approchant lentement de l’établissement, jusqu’à ce que l’éclaireur fasse jaillir l’appât d’urgence qu’elle balança par terre. Grainemousse se retournant subitement en fonçant vers elle, dans un jeu d’esquive et de trait percutant sa cuirasse arrière, c’est la que la situation devint catastrophique pour elle.

S’approchant comme un jeu de prédateur devant sa proie, doucement, en position de faiblesse, Hermeline voulu bondir au dernière instant pour atteindre une branche mais alors que ses doigts effleurait le bois, elle prit un énorme coup de griffe l’envoyant percuté un arbre, le sang glissant de sa plaie en laissant une petite flaque au sol dans les herbes. Nous étions en pleine ruée, installés dans une barque brisée qui par seule l’effort de la magie d’Almire et Elwenne à tenir le bois en place, propulsés par Arlsang et moi le plus fort possible pour atteindre l’autre rive. Atténuant le choc pour ne pas nous exploser non plus la figure sur la berge, comme installés sur une bulle d’air enchanteresse provoquée par nos deux mages, Arlsang planta sa lame au sol pour nous offrir la stabilité nécessaire pour sortir de là. Gaedon fut le premier dehors, fonçant en avant en balançant son bouclier en pleine tête de Grainemousse. Fonçant à son contact alors que la bête était sur le point de dévorer Hermeline qui levait sa dague dans la force du désespoirs, elle fut attrapée par le Xaela qui l’éloigna en vitesse des combats après qu’Almire lui ait prodigué un sort de soin rapide. La bête se déchaînait, m’envoyant percuté notamment un arbre, c’est après son dernier assaut que nous avons pu en finir.

Gaedon fonçant à son contact en plantant sa lame dans son torse, renforcée par la puissance d’Elwenne, cela fit reculé le monstre suffisamment pour qu’un arbre s’écrase dessus, le tronc mort bousculé par Arslang pour le bloquer par terre lourdement, comme une aide de la Sylve offerte au guerrier. C’est une fois renforcée par la magie, que je puisais dans les réserves intérieur, cette concentration qui vous puise au fond de vos entrailles, sa force personnelle pour trancher d’un coup net la gorge de la bête. C’était fini, sa tête décapitée roulant au sol, la plus part restant au sol. Épuisés par ce long combat. Les deux Vipères ne mirent pas longtemps à nous rejoindre pour sécurisé le corps, et rassurer les quelques ivrognes sorti de la taverne à cause du bruit. Ce combat avait été mené par nos deux forces, triomphantes de ce Puk monstrueux qui aurait pu provoqué un saccage. Il était temps de rentrer vers Ishgard pour nous, après une bonne nuit de sommeil, afin de reprendre ce qui à été laissé derrière nous dans le Coerthas : Retrouver et mettre fin définitivement aux œuvres du Baron de Hautepointe. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:25, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 29 sept. 2019, 20:54

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Septième Entrée – « Acte 4 - L’héritage de Pheniria.»
Image
« Les dernières cartes sont en passes d’être jouée pour celui qui tire les ficelles. A Siroix, il ne reste plus rien, ni le mystère de son identité, ni même la force de sa conspiration. Et pourtant, dès notre retour, ce fut pour rapidement entendre qu’il avait encore jouer des pions pour essayer d’atteindre sa réussite finale. Mais il en était de plus en plus loin, ce n’était pas un de ses adversaires qui plus il est combattu, plus il parvient au bout de son chemin. Là, le voilà au fond du gouffre, mais il voyait encore une lumière que son esprit malade ne pouvait faire disparaître, et celle ci s’incarnait dans cette famille qu’il avait pourtant sacrifié depuis longtemps. Sebaroix aurait pu être tué lors des combats de Deux-Rivière, mais la vie lui à été offerte par les Lameciel, et le voilà enchainé par son propre père. Sa sœur Pheniria, est morte, mais il persiste à vouloir la faire vivre. D’où le nom de cette force qui s’attaque maintenant à l’étendue des Cadenas entre l’Observatoire et le Camp de la tête de Dragon. « L’héritage de Pheniria », des brigands de toutes natures portant des drapés bleutés sur des armures des plus simples. Organisés, disciplinés, les rescapés des éclaireurs envoyés découvrir leurs camps d’embuscades ne parlèrent que d’un fanatisme effrayant, un zéle aveugle. Nous ne pouvions pas en savoir plus en nous rendant là-bas par compte-goutte en laissant des éclaireurs à nous mettre leurs vies en périls.

Nos effectifs n’étaient d’ailleurs pas des plus élevés : Peu préparés, l’Ordre du Faucon s’était mit en place trop rapidement, et seuls Arslang ainsi qu’Almire furent présent pour recevoir les ordres. Discutant un instant de la marche à suivre, il était clair qu’une des meilleures solutions était de joué l’appât : Nous prenions quelques temps à la Tête de Dragon pour équipé un chariot de lances harpons – ça ne tire qu’un coup, mais c’est extrêmement dévastateur. La toile de juste au dessus de la caravane allait nous faire passé pour des ravitailleurs engagés rapidement pour apporter des vivres et des habits aux personnes de l’Observatoire. Etant le premier lieu de halte principal du Coerthas en quittant Sombrelinceul, c’était des plus logiques quand on à pas la fortune de voyager sur un Aeronef. Et pour l’ennemi, c’était une opportunités. Le piège était prêt, et nos alliés de secours aussi : Antegyss et Valahad, mercenaires à la lance du Coeurl et du Mandragore, tout deux porteur de bien d’autres talents que de levés leurs armes et paraître différent de nos soldats habituels. Ils étaient présent sur nos flancs, surveillant la droite et la gauche, un vieux citadin sifflotant avançant doucement sur la grand route de pierre vaguement tracée au milieu de la neige parcourant le nord vers le sud.

Arslang était quant à lui caché sous un drapé de pèlerin partant vers l’œil de la conquérante, laissant uniquement l’immense épée apparaître à son dos, dans l’idée d’un de ses violents prêtres-guerriers ayant abandonné le châle sacerdotale pour une bure digne d’un vœux de misère. J’étais avec Almire, à l’intérieur de la caravane au milieu des canons, Vulkaroix et plusieurs jeunes soldats observant dans tout les sens un peu inquiets. Et aux cimes, se mouvant d’un pic à l’autre en le faisant le plus discrètement possible : Bien que c’était de base difficile ! Merethir de Voltarme, maître de notre ordre, était de retour. Et nous étions sous la surveillance du Chevalier-Dragon pendant que notre caravane descendait vers l’Observatoire sous un vent léger. Le temps était relativement tranquille, très commun pour cette partie du Coerthas, ce qui n’empêchait pas à nos troupes de surveiller les environs.

Il y avait quelque chose de bizarre, comme si les lieux des anciennes attaques que nous croisons étaient couvert de traces n’ayant pas de sens. Disparaissant d’un coup, net, en laissant des vagues traces de pas et des décombres de bois. Jusqu’à ce que surveille vers nous des éclaireurs de la Maison Fortemps. Les chevaliers nous faisant signe de faire halte, une jeune femme un peu nerveuse se mit à discuter avec Arlsang qui se faisait passé pour un Xaela des Steppes sauvages étranger sur cette terre venu vendre des grigris. Merethir avait vu dans les cieux une silhouette disparaître, et lentement, le désordre allait succéder à notre premier affrontement. Et la vigilante de Valahad allait nous permettre de prendre l’initiative.
Image
Les deux Elezens étaient de notre côté, Antegyss ayant bien découvert que l’homme lui essayait de lui montrer l’Hyurois avenant qui essayait de faire en sorte que tout se passe bien en riant comme un commerçant ayant ferré sa proie. Dans un petit désordre, le femme ayant rentré dans Arlsang pour lui glisser quelques mots, lui suggérant de fuir, Antegyss avait percuté quant à lui directement le Hyurois en lui volant un objet primordial : Le sifflet d’alerte pour l’assaut. Ayant vu un visage ouvrir une trappe à notre flanc droit, Valahad fit usage d’élémentalisme pour convoqué les vents et soulevé la neige brusquement, ainsi que les trappes. Aussi tôt, les soldats après un temps passé à ne pas comprendre ce qu’il se passe, se mirent à jaillir de leurs cachettes. L’embuscade venait de nous tomber dessus, la bataille pouvait commencer avec un énorme désavantage pour nos ennemis. L’autre flanc gauche n’avait pas débuté sa sortie, le Hyurois écrasé au sol après avoir été assommé par Antegyss lui ayant suggéré de rencontrer rapidement la caravane en lui attrapant le crâne, l’autre chevalier libre de la menace à pu lui désigné les autres trappes qui rapidement allaient s’ouvrir. Mais nous étions prêts, et dès que nécessaire, les canons tirèrent leurs harpons. Plusieurs firent un carnage dans leurs rangs, Une trappe même s’effondra en faisant disparaître dans un cri alarmant les archers en dessous, ce qui devait être à mon avis la pire des morts qui soit dans le Coerthas : Noyé dans la pierre et la neige, disparaissant lentement, sous terre.

La vague du flanc droit avait perdu toute vélocité sous la salve des lances-harpons, la bataille inégale faisaient tombés les combattants comme des mouches, Almire à l’intérieur de la caravane imprégnant les tirs qui produire des impacts encore plus massif. Après quelques passes d’armes, c’était déjà fini. Nous nous retrouvions à ramassés les rescapés pour les attachés, qu’ils soient blessés, inconscients, ou ayant du déposés les armes face à une menace de mort imminente. Tout les captifs balancés dans la caravane, pas un seul ne pu s’échapper, mais nous ne pourrions pas poursuivre avec autant de prisonnier. Renvoyant la dite caravane vers le Camp de la Tête de Dragon, décidant de suivre ce que les chevaliers secouru qui étaient utilisés sous menace pour détourné les caravanes en ayant des « visages reconnaissables », nous donnant la destination d’une chaumière où des jeunes filles blondes étaient menés. Celles récupérés lors des attaques des voyageurs par les héritiers de Pheniria. Sans attendre, nous nous sommes mis en route en nombre réduit, reprenant la formation tout en quittant la grand route pour passer à l’intérieur d’une forêt éparse, il y avait peu d’endroit pour se caché, à moins que l’ennemi n’ait installé d’autres trappes intérieur sous le sol pour y cacher des assaillants.

Rien ne vint, que le calme, et après une petite marche nous sommes parvenu jusqu’à l’emplacement que les bandits de l’héritage avaient prit sous contrôle. Difficile de dire combien ils pouvaient encore être, mais une bonne partie de leur force était désormais captive – ou éparpillé aux quatre coins d’Aldenard façons puzzle depuis la bataille de l’embuscade. Installés en forêt après le voyage, il y avait visiblement un fortin de refuge comme de nombreux sont présents dans cette partie du Coerthas, ainsi que la chaumière installée sur une dangereuse hauteur rocheuse. La patrouille passant de là-bas au fortin devait être interceptée en même temps que la sentinelle sur le dit fortin. Et c’est là qu’apparu notre plus grande boulette faite depuis fort longtemps. Arlsang avait pu arrêté très peu de temps la patrouille, ne l’intriguant en rien avec son cri de chouette, mais ils s’arrêtèrent qu’un bref instant pour discuter. Antegyss et moi devions attraper brusquement la sentinelle sur le fortin pour la faire taire, mais dès que nous nous sommes approchés, nous avons tout les deux glissés en nous cassant la figure avec la sentinelle en contre bas. S’écroulant au sol devant la porte, juste devant les deux gardes de l’entrée du baraquement. Sonnés par le choc.

Les autres se ruèrent vers la patrouille pour l’empêcher de faire sonner le cor de garde, mais le mal était fait. Arlsang et Merethir combattaient les patrouilleurs dans une mêlée puissante, pendant que Valahad et Almire contournaient le baraquement pour venir nous aider. Ce fut une fine équipe, car pendant qu’on faisait le mort avec Antegyss pour croire que la chute nous avait rompu le coup, ils purent les prendre en tenaille et les surprendre. Valahad faisant diversion en les aveuglant avec un peu de neige, permettant à Almire d’en abattre un avec un de ses anneaux fusant à toute vitesse vers lui. Antegyss poignardant le dernier, nous voilà relativement en sécurité, si à l’intérieur les soldats n’étaient pas en train de se réveillé en masse pour venir nous assaillir. Le premier à ouvrir la porte pour voir ce qu’il pouvait bien se passé fut accueillit par un jet de pierre l’envoyant s’encastrer dans une table en renversant un de ses camarades. Ils allaient sortir, et on devait les contenir, tous préparant leurs plans pour faire autant chuté leurs morales que leurs capacités offensives. Arslang et Merethir partirent à toute vitesse quand ils entendirent les cris des jeunes filles venant de la demeure au dessus du promontoire de pierre et de neige. Il fallait se hâté, mais nous ne pouvons pas laisser leurs combattants se mettre en place.
Image
Refusant de sortir immédiatement, leur officier hurla qu’il serait stupide de foncer dans le tas en tombant droit sur nous qui les attendions de pied ferme. Mais prendre des précautions ne veut pas toujours dire les prendre correctement, et voilà que leur officier balançant une grande volée de poudre noire. Almire fit éteindre directement les torches, et Valahad renvoya la poudre à l’intérieur, un instant avant que l’éclat de feu balancé par l’officier n’explose subitement en mettant le feu à la plus part des objets en bois à l’intérieur. Nous étions sonnés un instant, voyant les soldats sortir en panique, ayant goûtés aux propos d’Antegyss, leur moral était au plus bas. Les trois massifs chevaliers s’occupant de ses brigands de bas étages tirèrent leurs armes, et un combat débuta dans des cris de batailles, les lames se cognant les unes contre les autres, au milieu des bougres s’étant rendu sortant de la bâtisse dans le noir sillage de la fumée d’un feu grandissant. Les vaincre ne fut pas sans dégât, Antegyss ayant été écrasé contre la pierre du baraquement lourdement, moi même ne m’en sortant qu’avec difficulté, ce n’est qu’avec le jeu d’équipe de Almire et Valahad que nous avons pu nous débarrassé rapidement de nos adversaires. La lance du Sombrelinçois perçant les armures, en venant empalé son premier adversaire, avant de se rué au contact de celui de Antegyss pour le libéré. Ce n’est qu’une fois sa lance venant frapper mon adversaire, qu’il me permit une faille à l’instant où un poignard d’Antegyss glissa contre son genou, pour lui tranché simplement la tête.

Nous étions au milieu des corps ensanglantés, des décombres et des flammes sortant du baraquement comme une bouche infernale. Et pourtant, ce n’était pas fini. Arlsang et Merethir avaient défoncés la porte et le meuble derrière en finissant dans la demeure, des copeaux de bois et des ouvrages balancés un peu partout au milieu des serviteurs paniqués et haineux. Ne faisant pas état de ceux ci, ils se ruèrent à la rencontre de Dame Pheniria devant se retrouver à l’intérieur, pénétrant dans une salle où de nombreuses jeunes filles étaient installés. Toutes blondes, voulant vaguement ressemblé à la première Pheniria, celle morte à la tour perdue. Voyant qu’ils étaient épiés par un sortilège, Arlsang lit une lettre qui fit paniqué Merethir, mais il était trop tard. Tout le bas du promontoire explosant quand les réserves internes sautèrent, et lentement la falaise tombait en emportant la maison avec elle. Il fallait fait évacué les filles avant que tout ne se fracasse au sol bien plus loin en bas, des serviteurs sortant dans tout les sens, nous nous ruons en tenant nos blessures afin d’atteindre relativement rapidement la scène de ravage où Merethir et Arslang faisaient tout pour sortir les jeunes de là, même se prendre des meubles en pleine figure dans des grands fracas de bois ! Quel désordre ! Valahad resta à la porte pour les réceptionnés et les sortir de là en vitesse pendant qu’Antegyss profitait de ses bonds pour en sortir le plus possible. Éloignant les flammes, Almire jetant de la neige, épuisé qu’il était le pauvre.

Après quelques instants de désordre et de chute dans des grands fracas, nous avons pu faire sortir de là le plus de jeune possible. Aucune n’ayant fini par chuté, par chance, c’était très, très juste. Surtout pour une qui ne due sa vie qu’à un porte manteau en bois tenace. Mais il ne fallait pas s’arrêter, souffler n’était pas un luxe que nous avions, et nous voilà à partir en fonçant, bousculant les jeunes filles pour évité l’effondrement le plus possible. Jusqu’à finalement rester en bas du promontoire, pour voir les restes s’effondrer dans une fumée sombre mêlée à la brume de neige ondulante lentement avec le fracas. Le chaos s’effaçait lentement de nos esprits, la tentative de meurtre de Merethir avait échouée, et nous étions simplement épuisés, lessivés d’avoir autant subit et encore plus dans le chaos de la maison qui s’effondrait, nous couvrant de suie et de copeaux de bois. Almire s’était littéralement effondré contre un arbre, allant s’endormir tant la fatigue l’éreintait, et la présence de Dame Pheniria, deuxième du nom, n’aida en rien. Elle était venue en pensant pouvoir nous achevé après tout ce que nous avions subit, mais n’avait pas fait connaissance de ses forces lui restant.

Elle n’avait plus rien. Ni ses chevaliers, ni ses soldats, ni quoi que ce soit si ce n’est son porte bannière et sa folie personnelle. Elle voulu engagé le Coeurl et la Mandragore pour nous trahir au moment fatidique, ceux ci jouant le jeu trahir la garce après qu’Arlsang se soit effondré au sol à cause d’un jet de lance détourné par cette maudite. Moi, j’étais étalée dans la neige, l’épaule en sang, vaincue lors de notre affrontement avec ses duellistes hors-pair. Elle n’était pas simplement douée, elle était bien équipée, préparée, mais seule contre tous, elle ne pu que subir. Après les premiers assauts triomphant, la lance de Valahad dans les mains d’Antegyss lui ayant laissé une blessure aberrante au flanc, Merethir libéra rapidement son camarade d’un coup de lance, avant qu’Arlsang n’écrase sa lame contre la combattante. Elle plia devant la violence de l’épée, d’un coup si rude, qu’il ne resta de sa carcasse qu’un cadavre brisé. C’était rude à voir, comme scène, mais nécessaire, et le dernier soldat de l’héritage présent quitta les lieux en hurlant.

Il préviendrait les siens de ce qu’il venait de voir. Et nous, nous étions sur le point de rentrer avec toutes les prisonnières vers l’Observatoire. Nombreux d’entre nous devaient être soignés, et vite, car nous arrivons visiblement aux dernières tentatives du Baron de Hautepointe. Il ne restait plus qu’à lui mettre la main dessus, avant qu’il n’essaie de faire naître d’autres « Pheniria » pour prendre la place de sa fille perdue. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:25, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 03 oct. 2019, 01:35

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Le Maitre des étoiles."

Image
Huitième Entrée – « Acte 5 - La folie du Baron de Hautepointe.»
Image
« Voilà quelques jours que nous vivions à l’Observatoire depuis les évènements de l’héritage de Pheniria pour en trouver toutes traces de la conspiration ayant bloqué les accès sud du Camp de la tête de dragon. Les patrouilles étaient nombreuses, mais rien de critique. Si ils s’étaient cachés, ils étaient prêt à ne plus réapparaître. Jusqu’à ce soir. Nous étions réunit pour faire un point sur la situation à l’Observatoire, au beau milieu de la ville, pour se rappeler ensemble que nous n’avions aucune piste spécifique justifiant la nécessité de quitté la ville pour aller quelque part. Le temps était doux, et visiblement l’humeur était à la fête puisque des joyeux lurons faisaient en sorte que tous profite d’une festivité organisation de manière inattendue par le « Noble charmeur ». De l’alcool fut partagé, ainsi que de nombreuses denrées, les gens se rassemblant au débit de boisson de la ville pour se sustenter de confortable met que tous s’offraient sans vergogne. Et les chevaliers des Durendaire étaient de plus en plus nombreux à suivre le mouvement, si bien que tout ça devenait intriguant. Un peu trop même. Almire se dirigea vers la taverne pendant qu’Arlsang servait de garde du corps de Merethir. Je me dirigeais quant à moi vers Rhaiq qui partait vers la porte nord, avec Gaedon, elle avait décidé d’inspecter les environs là où les chevaliers avaient pu créer des trous dans la surveillance.

Si à l’Est, rien de nouveau, ça n’était pas la même chose par le nord. Mais le désordre était déjà plus ou moins en place en ville à l’instant de la constatation : Il y avait un seul vigile encore présent, et il était suffisamment inconscient pour laisser approcher les troupes de l’héritage de Phéniria progressant lentement dans les neiges en formation de combat, les scorpions de guerre dans leur dos prêt à déverser leurs immenses traits dans la ville pour la saccager. Du côté de la place du village, les larrons responsable de l’agitation firent passé la joie au chaos en envoyant Arslang danser avec Menphina quelque seconde d’un énorme coup de chope dans son casque en faisant réalisé qu’ils avaient organisé tout ça au nom du « Noble charmeur », dit bien entendu, le « Baron de Hautepointe. » - Almire avaient fait en sorte d’intercepter les deux brigands qui fonçaient pour fermer la taverne en balançant une torche dans le tas. Ça ne tuerait sûrement pas tant de monde le temps de les extirpés de là, mais ça aurait été une bonne diversion pour les sauvés tous. Heureusement, il n’y eu pas besoin de sauvetage, Almire interceptant le porteur de torche en prenant le temps de hurler qu’il fallait sortir. Un effet de foule monstrueux naquit et fit sortir tout le monde dans une grande panique. Des gens fuyaient dans tout les sens, et quelques uns furent blessés par un des larrons sortant des couteaux kukris, mais ils furent rapidement éliminés, leurs corps piétinés au milieu des foules. Moutah avait découvert que l’Observatoire était compromis, les Astrologues à l’extérieur, il dut soigner en urgence un vieux Hyurois ayant été poignardé.

Découvrant que quelque chose de vraiment obscure avait lieux là-haut, bien plus que n’importe où, il essaya de monter vers les hauteurs, en vain. C’était protégé. Il fallait tous nous réunir pour parvenir correctement à nous intéresser à la situation là-bas, mais se désengager de la bataille était dangereux, car effectivement, ne manquant pas de courage, Gaedon s’est libéré aux affres de la guerre. Ralliant les chevaliers des Durendaire ayant eu le temps de l’atteindre, peu avant les premiers tirs des scorpions s’écrasant en ville. Ils ne voulaient pas prendre la ville, ils n’en avaient pas les moyens, ni les effectifs, ni l’envie visiblement, mais c’était une diversion suffisamment importante pour nous empêcher de nous réunir afin de grimper à l’intérieur de l’Observatoire pour empêcher le projet du Baron. Tenant la ligne avec Gaedon, nous frappions l’ennemi quand sa première vague s’abattait sur nous, offrant une ouverture direct à Rhaiq qui chargea leur officier. Les ordres furent interrompu, créant une certaine confusion, alors que de plus en plus de chevaliers des Durendaire venaient nous rejoindre. Et pendant cette bataille furieuse, un hurlement de bataille fut audible s’élevant dans les cieux comme un appel au carnage résonnant dans nos oreilles.

Pendant quelques secondes, j’essayais de me convaincre qu’il ne s’agissait pas spécifiquement de la charge samurai ivre fonçant vers un tas de brigand en criant « Malandrin ! » mais il s’agissait de la ruée de la Mercenaire Gyr Abanaise, Bryda, que nous avions rencontrer à l’Observatoire pendant notre déploiement. Elle saccagea les porteurs d’un des scorpions, et pu se joindre à la bataille qui était devenue : Il faut nous replier et récupérer Rhaiq. J’étais déjà partie en vitesse, soutenue par Gaedon, mais Rhaiq ne se désengagea pas. Prise par la folie de la bataille, elle vint achevée l’officier général avant d’être secourue par Bryda et Gaedon qui brisèrent les lignes ennemis pour abattre ses opposants. C’était nécessaire, et ils firent tout pour se replier. Je venais d’atteindre le groupe de la Tour, Moutah et Arlsang avaient disparut en voulant rentrer à l’intérieur comme si ils s’étaient désintégrés. Merethir essayait de faire en sorte de ne pas tous partir au suicide sans être sûr, mais le sort rendu dangereux par son accumulation faisait tombé des étoiles se fracassant dans des explosions dans les hauteurs proches. Il fallait agir maintenant. Et nous voilà à bondir vers l’inconnu sans savoir ce qu’il nous attendait.
Image
Nous retrouvons d’un coup dans champs, j’ai eue rapidement une impression de déjà vu. Des fleurs magnifiques, de toutes les couleurs et cette senteur agréable. Tous finirent par se rejoindre, dans ses champs à perte de vous, en nous remettant du chaos de la situation vécue en ville. C’était cela dit incompréhensible, mais pour les connaisseurs, c’est là une des compétences préférences de la corruption de Tsakyoki : Être plongé dans les souvenirs de quelqu’un pour le perdre et dévoré son énergie. Nous étions au milieu d’Himitsu no Taki, mon île natale, peu heureuse d’avoir été cible de ce pouvoir. Mais j’imagine qu’il était plus facile pour le démon de se baser sur quelqu’un ayant vécu sur son île-prison, et je fis en sorte de faire disparaître la nostalgie des fleurs magnifiques balancés par un vent léger. Merethir s’était déjà mit en route vers ce qui ressemblait à une cascade, un des seuls lieux ayant un intérêt quelconque, surtout depuis que le nuage noir s’élevait depuis les montagnes, celui qui incarnait à l’époque le démon qui à dévasté l’île quelques heures plus tard. Partant dans cette direction ensemble, Gaedon fit l’arrière garde en vérifiant bien qu’il n’y avait rien de mauvais dans notre dos, ce qui fut utile : Des ombres rampantes rapidement nous fonçaient dessus et le temps allait rapidement nous manquer. Discutant avec l’Ermite, le vieux Xaela qui m’avait apprit tant de chose à l’époque, je restais sceptique quand à la situation, mais je n’avais pas le temps d’en parler d’une quelconques façons.

Nous voilà parcourant à toute vitesse en étendue de roche, pour atteindre la grotte où l’ermite jurait avoir un moyen d’arrêté le nuage qui allait se déverser sur cette île. Ça ne pouvait pas se produire, ça ne s’était jadis pas produit, était-ce là un simulacre dégoûtant d’une possibilité qui allait nous montrer une alternative réussie au sauvetage de mon île ? Je n’y croyais pas trop. Et les ombres sortant des champs de fleurs se révélèrent être des créatures infâmes sautillante à quatre pattes comme des loups affamés à l’aspect inhumain. Trop les observer, c’était se mettre en face de l’incarnation de la dégénérescence humaine. Et je préférais me focaliser sur la course, comme tout le monde. Une fois arrivé sous la cascade en vitesse, à l’intérieur de la petite grotte où j’avais passé tant de temps à m’entraîner dans ma jeunesse, Moutah leva directement une protection d’énergie reluisante d’un bleuté cristallin, là où les bêtes qui nous avaient rattrapés se heurtèrent en griffant autant que faire se peut le bouclier qui ne tiendrait pas bien longtemps. Et pour nous donner un peu plus de temps, Arlsang avec l’aide d’Almire fit exploser la paroi rocheuse au moment où Merethir propulsa son éther en une force de frappe qui chassa les ombres vicieuse en les dispersant. La grotte était écroulée, cela nous donna du temps, et l’Ermite se concentrait à l’idée de nous dire qu’il fallait absolument mettre nos mains sur le plateau central.

Un grand plateau où des traces de mains pouvaient signifier que c’était là qu’on pouvait les mettre, une sphère au milieu éteinte, comme un futur soleil à naître quand elle rayonnerait de pouvoir. La plus part d’entre nous mirent les mains sur le plateau, leurs forces petit à petit volées par ses méfaits alors qu’ils s’épuisaient doucement. Certains, comme si la table était gelée, préférèrent retirer leurs mains en urgence. Mais Arlsang était convaincu que c’était la bonne direction, je ne pouvais simplement pas le croire. Je ne voulais pas le croire. A cet instant, l’Ermite était censé être mort, et cette table, n’avait jamais existé. J’essayais de l’exprimé, et cela fini par emballé le cœur de Rhaiq qui frappa la sphère, lui laissant une fissure qui apparue aussi sur le vieil Ermite. Celui ci reculait en continuant à dire la même chose, écarté par Merethir, le Chevalier-dragon vit qu’il n’était pas dans son état normal, et que la sphère était peut-être la solution. Les plusieurs coups partagés par nos compagnons firent s’effondrer brutalement la sphère en milles morceaux, surtout quand la hache de Bryda fila dans l’air pour percuté l’orbe et le détaché en milliers de morceaux voltigeant autours de nous.

Mais ça n’était pas fait, nous n’avions que détruit la source de ce qui avait épuisé nos camarades, les ombres reformées des créatures ayant passés outre l’éboulement finirent par nous assaillir. Plusieurs furent traversés par leurs griffes, sentant leurs rythmes cardiaques accélérer de plus en plus. C’était douloureux, bien que je n’ai pas eue à le subir ce soir, je me souvenais de l’atrocité de cette douleur il y à longtemps de ça. Mais Gaedon avait pu trouver la bonne faille, en poignardant de son épée le Xaela lui même, la lame ressortant dans son dos d’un coup, en le laissant choir. Se désintégrant lentement, lui, tout comme le reste de l’illusion profane. La tour nous réapparut, des Astrologues blessés, inconscients, gisant ici et là. Et le bruit des étoiles quittant le sortilège en venant se briser en ville. Il était temps d’agir en vitesse, après les soins sommaires pour apaisé la douleur de nos compagnons affectés. Atteindre le sommet de la tour était notre priorité.
Image
Grimper tout le long de la tour fut un exercice qui nous sembla épuisant à cause des ressources perdues pendant les combats et le fil illusoire du piège de la Tour, mais il nous fallait tout de même parvenir en vitesse jusqu’à son sommet. Croisant au passage quelques malchanceux inactifs, peu étaient sans vie, et Gaedon se donna pour responsabilité de venir s’occuper des blessés afin de les faire descendre en vitesse les escaliers, pour les menés aux soigneurs attendant en bas. Des livres balancés par terre, quelques tables renversés, les dégâts étaient cela dit bien mineur. Le Baron de Hautepointe n’avait pas de raison de saccager l’endroit, puisque la seule chose qu’il voulait, s’était atteindre son sommet pour le lancement de son sort inquiétant. Elwenne avait pu nous rejoindre, elle avait vu qu’à l’extérieur, la situation dérapait de plus en plus et le temps nous manquait cruellement pour parvenir à sauver le plus de vie possible. Elle prit la tête pour se mettre en route, rapidement suivi par tout ceux qui le pouvaient encore, et nous voilà après une grande ruée dans les salles de l’observatoire, pour nous retrouver dans un lieu aussi splendide qu’inquiétant. Le ciel était magnifique, mais on avait quand même l’impression d’être ailleurs, comme si on avait du mal à reconnaître les étendues célestes qu’on connaît chez nous. Déformés par l’influence du sortilège, et difficile de savoir lequel il était en train de produire.

Une tablette, un plateau ressemblant trait pour trait à celui du Maître des étoiles indiquant plus ou moins sa prison. Celle ci était nouvelle, naissance, et c’est comme si sa création était en train de perturber la réalité autours en voulant créer un nouvel espace à cet endroit même où une nouvelle « prison » pourrais jaillir. De là à en comprendre son utilité, difficile à dire, mais il restait hors de question de le laisser parvenir à ses fins. Ce qui alimentait la naissance de la tablette était une sorte de « canon » fait des matériaux blancs étranges, cette espèce de granite sans aucune impureté, propulsant l’énergie céleste au coeur de la dite tablette. Sebaroix était là, attaché et appellait à l’aide, non loin du trône où un Siroix maladif se tenait étalé dessus comme au bout de son existence. Il avait l’air bien plus vieux, brisé par le temps comme si il ne parvenait plus à contenir son existence aussi longtemps qu’il l’aurait voulu. Son regard était vague, et lentement, une sorte de nuage s’ombre s’en extirpait petit à petit comme une obscure menace. Les immenses Elezen, la garde du Baron, tirèrent leurs lames en s’approchant doucement de nos. Arlsang et Bryda se ruèrent vers leurs ennemis pour les interceptés, et le combat pour la protection des habitants de l’Observatoire, pour la fin du Baron de Hautepointe, pouvait définitivement commencé. Bryda contenait son adversaire en le repoussant d’un grand coup de hache dans l’armure, alors que Rhaiq essayait désespérément de faire tomber cette masse de muscle et d’acier bien plus lourde que la normale, en vain. De tels adversaires ne se battaient plus simplement avec des moyens humains.

Partout les combats étaient déchaînés, alors que Merethir essayait de comprendre le fonctionnement du canon, Almire avait tiré Sebaroix de là alors qu’il venait d’être libéré de ses chaînes par plusieurs sortilèges, le ramenant à lui d’un sort avant qu’une ombre étrange, semblable à celle de la vision, ne se mettent à jaillir de tout les côtés. Moutah après un temps avait fini par parvenir à se mettre à isoler la tablette, essayant de l’écraser le plus fort possible avec les liens d’énergies se resserrant de plus en plus, fonçant ensuite vers la machine pour essayer de l’utiliser pour changer les étoiles de constellations, ce qui changea les effets grandissants en finissant par arrêté brutalement le sort. Les chevaliers finirent par être tués. Merethir ayant bousculé notre adversaire de sa lance en nous donnant le temps de lui écrasé le crâne à l’intérieur de son casque, l’autre eu la tête fendue en deux par la hache de Bryda qui venait de profiter de la chute de son adversaire entraînée par Rhaiq. Mais les ombres elles, ne cessaient maintenant de se déversé de tout les côtés. Elwenne faisait en sorte d’en éloigner le plus possible en faisant nimbée un flanc de la tour par les flammes, alors que Almire et Merethir qui venaient d’aider Bryda dans son assaut, luttaient contre les autres venant de tout les côtés. Rhaiq était en mauvaise état, il lui fallait partir rapidement, et Moutah fit tout pour que le canon se remette à fonctionner quand le nuage abominable se rua vers la tablette pour commencer à essayer de s’en emparer.

Lentement, elle voulait se reformer, et la première attaque solitaire d’Elwenne ne parvient pas à l’atteindre. Des éclairs d’énergies frappèrent ici et là, la force obscure du néant cognant le sol, s’écrasant sur Bryda qui protégeait Rhaiq de son corps, Arlsang en l’envoyant brusquement au sol, et Elwenne la renvoyant d’un coup par terre. Mais quand Moutah au péril de sa vie, fit usage du canon, le nuage fut repoussé suffisamment longtemps pour qu’Elwenne frappe de sa lame, enflammé les restes de nuage présent, l’impact de mon katana pu parfaire le choc intense de la Lance de Merethir qui brisa définitivement la tablette. Il ne resta rien de plus que la poussière chutant, les corps massacrés des chevaliers des Hautepointe, et les ombres s’effaçant autours de nous. Siroix y vit plus clair, et pu avoir un instant de lucidité emprunt d’un très profond regret. Manipulé par tous, il avait été le chaînon du mal ayant provoqué tant de désordre.

Nous avions le choix, le punir pour ses crimes, ou faire en sorte qu’il puisse essayé de les faire pardonner. Mais trop de mal avait été fait, trop de souffrance, et il fut tué pour ses actes. Tel fut le Jugement d’Halone. Nous restions un instant pour nous occuper des blessés, avant de descendre lentement de la tour. Conscient, au fond de nous, qu’enfin la conspiration des Hautepointe venait définitivement de s’achever auprès des mois de problèmes. Et alors que le repos allait nous gagner, nous étions aussi conscient que demain, il fallait parler d’un sujet tout aussi grave : Légion. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:27, modifié 3 fois.

Avatar de l’utilisateur
Akayane
Messages : 636
Inscription : 13 avr. 2018, 20:20

[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 04 oct. 2019, 15:06

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La Légion du Cocon-Mère."

Image
Neuvième Entrée – « Acte 2 - Une grotte aux milles souillures.»
Image
«Après la réunion quelque peu mouvementée sur la fin concernant les informations recueillir par tous concernant l’affaire « Légion », nous avons pu commencer à nous préparer pour le départ en mission en Dravania. Là où jadis, pendant notre déploiement dans le Convictoire, nous avions eu quelques informations quant à la présence du Cocon-mère risquant de faire éclaire l’esprit ruche. Envoyés directement à La Penne, notre objectif était de sécurité le sud-est de l’avant-pays avant de rendre les voies terrestres de nouveau accessible pour les chasseurs, voyageurs, habitants, et surtout et avant tout : Protéger les Chocobo, ses bêtes loyales et précieuses pour toute notre société Ishgardaise. Ainsi, nous voilà en une petite troupe prompt à partir détruire l’entité qui pouvait bien provoquer ses ravages : des traces de cadavres, de la contamination, des arbres viciés et des ailes de créatures de l’esprit-ruche. Définitivement une piste, surtout avec l’odeur de souffre imprégnant les lieux de plus en plus fort. L’équipe fut donc formée, avec le maître de notre ordre, Merethir. Arlsang et Elwenne en tant que Chevaliers. Almire et Moutah, les Astromanciens ayant une grande place dans cette mission au vue de leurs pouvoirs éloignant les entités néfastes. Le Père Amauroix, de l’église de la Sainte-Citée, Prêtre de la Déesse Halone, vint avec nous en tant qu’exorciste à l’idée qu’il saurait éloigné la vilenie du néant grâce aux secrets des pouvoirs de son libram.

Je trouvais ça au fond très rassurant, de le savoir à nos côtés, même si petit à petit l’ambiance allait se dégradé au fur et à mesure de notre approche. Le temps était des plus neutre, il ne faisait pas si flamboyant que ça, la nuit tombante doucement en laissant jaillir les étoiles, mais le temps était loin d’être mauvais. C’était agréable de voyager dans de telles conditions, même. Cela dit, c’était jusqu’à arriver dans les recoins où la pourriture montait et où la contamination était certaines, Amauroix observait avec fort intérêt les lieux sûrement pour comprendre comment pouvait-il purger la malfaisance locale, mais les lieux étaient clairement désagréable pour l’esprit lui même. On se préparait à progresser après une inspection rapide des présences environnantes et de ce que l’éthérimètre pouvait donner, mais je fit une petite expérience qui emballa rapidement la situation : Déposant une patte de chocobo restante vers un des arbres maudits, celui ci ne fut pas absorbé comme je mis attendais par les branchages souillés, mais attirant un des chasseurs, une créature écœurante que nous avions déjà dans le Coerthas : Petite, rapide, fragile, mais efficace.

Des outils des relais de l’esprit-ruche. Celui ci ignora tout de notre vie, et se contenta de récupérer la patte pour filer à toute vitesse avec, lui laissant le temps de le faire en disant à tous de ne pas y toucher : L’atteindre, c’était comme appeler la créature du coin en lui disant « Salut, on est là ! » mais la suivre pouvait être très intéressant. Notre éclaireuse n’était pas là, c’était à ma charge de la suivre, passant en vitesse en avant pour ne pas la perdre de vue avec tout nos camarades. Moutah dans l’empressement voulu bien faire, mais il fit sa seule erreur de la soirée : Utiliser un sort sur la créature. Attirée brusquement en arrière, sa conscience de son objectif fut déréglé et toutes les entités locales purent savoir que nous étions là. La tranchant en deux nette de mon katana, le mal était fait, et l’énorme créature sorti de son trou pour venir tournoyer dans les cieux en vitesse comme un cauchemars ambulant.

A cette vitesse, difficile de savoir ce que ça pouvait bien être, passant dans les feuillages et tournoyant rapidement dans le ciel nocturne, des boucliers furent rapidement hissés par le Père Amauroix et Moutah. Rayonnants d’énergies cristallines, et au pouvoir d’une belle clarté, les « traqueurs » de Légion, des créatures aux ailes de chauves-souris effrayantes, percutèrent les pavois d’énergies en étant perturbé par les sonorités d’Elwenne. Arlsang hurlait les positions, mais nous étions bien trop statique, il fallait se mettre à l’abri ! Mais heureusement. Almire débloqua d’un coup la situation.
Image
Perturbant l’entité aérienne, celle ci cessa céans de nous harcelé en rechutant d’un coup, avant de disparaître : Mais elle pu être vue. C’était un dragon ! L’immense créature draconnique poursuivant sa route à l’intérieur de sa tanière, cela devait être due aux capacités des Traqueurs indiquée dans le briefing de mission : Ils peuvent contrôlés les entités en s’accrochant à elles. Humains, bêtes. Dragons. Le calme réapparut lentement alors que nous avions survécu à cet assaut puissant, avant de reprendre lentement la route pour atteindre la grotte sans que rien ne nous assaillit de plus, guettant tout ce qui pouvait être autours de nous d’un œil inquiet. A cet instant, tout pouvait arrivé, et nos ennemis pouvaient revenir à la hâte. Et c’est une fois certains que rien ne pouvait nous assaillir dans notre dos que nous avons commencer à nous interesser à la grotte. Pas sans que certains d’entre nous se mettent presque à vomir un peu partout.

L’odeur était infecte et l’ambiance moite, écœurante des lieux, aurait pu faire dégobiller un Roegadyn bien massif habitué à travailler dans le purin. La vision des chairs et des ossements n’était pas à laisser à la vue de n’importe qui, il y avait un aspect malsains supplémentaire qui dans les lieux pouvait donner l’impression d’être de plus en plus enfoncé dans les ténèbres de notre propre conscience. Avançant lentement dans la cavité rocheuse, sous les lumières éclatantes des Astrosphères de nos compagnons, qui permirent d’illuminer les parois de pierres autours de nous, jusqu’à ce qu’elles soient de plus en plus remplies par ses horreurs. Des chasseurs de la Légion, inactif, qui se contentaient d’émettre d’innombrables murmurent qu’Amauroix fini par comprendre : « L’Essaim vous veut. Rejoignez nous. » désireux de faire de nous des futurs serviteurs décérébrés à cette cause macabre, je pris le temps de trancher le plus de ses créatures possible le long de notre chemin. Je ne voulais pas qu’ils puissent nous prendre en tenaille au plus profond, et m’appliquait en jouant de leur inactivité à les tailler en pièces les uns après les autres. C’était peut-être acharné, mais je laissais les investigations et les protections à nos camarades, coupant tout ce que j’avais sous la main dans une fureur justifiée, et ce jusqu’à ce qu’une sphère mauve s’écrase sur Arlsang dans une grande explosion. La déflagration fusant dans tout les sens à toute vitesse, mais le massif Xaela nous avait protéger de la plus part des énergies volatiles. Se redressant lentement, du sang glissant de ses lèvres, Almire fut aussi être remit sur pieds alors que les murmures s’amplifièrent d’un coup.

Autours de nous, le monde nous paraissait plus serré, plus effrayant. Comme si il y avait des présences là où il ne devait pas en avoir, pour nous parler en milliers de murmures. On venait lentement de se remettre de l’attaque et petit à petit, il fallait se positionner à nouveau. Mais petit à petit j’étais prise par la fureur de l’instant, la peur que cela puisse nous retomber dessus en puissance et être bien plus efficace cette fois. Le sentiment que nous n’étions plus en sécurité m’envahissait, et mon sang-froid ne suffit plus à m’empêcher d’agir avec précipitation. Arlsang ne se déplaçait pas, il avait besoin de temps pour rassembler ses camarades avant d’avancer, mais dans mon esprit trop pressé par la situation, il était trop lent. Il fallait agir, et maintenant, et je me retrouvais à me rué en vitesse malgré son bras retenant mon épaule. Je lui cracha à la figure qu’il fallait vaincre le mal maintenant avant d’être massacrés à notre tour par ce qui se renforçait pendant qu’on avait pas encore la force mentale pour nous jeté dans l’antre la bête. Forçant le passage, ils m’ont suivi pour ne pas m’abandonner à mon sort – ce en quoi je les remercies. Poussant jusqu’au fond de la grotte, le Dragon s’y trouvait. La bête massive portant sur son torse un des traqueurs parasites qui contrôlait sa psyché, l’empoisonnant jusqu’aux racines de ses pensées, deux guerriers de la Légion, les sortes d’insectoïdes étranges bipèdes que j’avais pu abattre dans le Coerthas grâce à un sort de confusion. Et enfin tout au fond, un œuf, couvert d’une membrane orange étrange qui ne semblait pas avoir l’avoir affecté.

La priorité était de parvenir à atteindre le dragon pour détruire le parasite, et les entités semblaient nous attendre, ce qui nous donna le temps en un instant d’établir un plan censé. Porteuse d’un katana, j’étais celle qui pouvait le mieux être déplacé pour atteindre le parasite et le trancher en morceau en utilisant les atouts de mes camarades. J’aurais préféré envoyé quelqu’un d’autre, comme Merethir, mais l’envie d’en découdre prit le pas sur la peur de servir de chair à canon, et me voilà propulsée dans les airs par l’espace d’Arlsang. Le massif Xaela fit face aux deux guerriers pour les contenir, ceux ci paralysés par les énergies des diagrammes d’Elwenne, alors que le Père Amauroix priait en utilisant un de ses sorts pour qu’ils ne puissent définitivement plus faire un mouvement. Je n’ai jamais pu atteindre le parasite, puisqu’en tirant dessus, Almire et Moutah le délogèrent de son torse très légèrement. Rendant la raison pendant quelques secondes au Dragon, qui en profita amplement pour nous aider.
Image
Ce ne fut pas un soutiens titanesque, mais il nous avertit des maudites créatures, d’autres traqueurs, fonçant vers son œuf. Il ne fallait pas qu’ils puissent s’enfoncer à l’intérieur de la chitine de l’œuf pour affecter l’enfant à l’intérieur, où il serait condamné par le même poison vicieux permettant de briser l’esprit de ceux qui sont attrapés par les membranes infâmes des Traqueurs. Une de ses choses ne faisait pas que vous contaminer en prenant le contrôle de votre corps, c’était une condamnation à mort, si ils parviennent à vous atteindre. Aussi les trois créatures tournoyantes étaient autant une menace pour l’œuf que pour Moutah qui s’approchait comme si il se trouvait au petit marcher aux choux en pleine Noscéa : Sûrement les effets du lieu était-il encore plus dévastateur pour lui, et il tâchait de focalisé son attention sur l’enfant à naître qui était en ce moment menacé. Elwenne combattait l’un des guerriers de la Légion pendant que l’autre fut brutalement attrapé entre les crocs du Dragon pendant son cours laps de temps où il acquit de nouveau toutes ses facultés mentales. Une ouverture était faite, Almire essaya de soutenir la protection de l’œuf le temps que nous puissions nous charger des créatures frappant contre les cristaux défensifs alors que les traits arcaniques fusaient en l’air, cognant lourdement contre les bêtes. Je ressentais, la liberté accordée par le pouvoir qu’Amauroix m’avait confié, mon katana tranchant les créatures étourdies avec bien plus de facilitée que je n’aurais cru possible.

Et c’est dans ce zèle du combat que je fis une erreur que je juge importante : Abandonner un camarade à sa tâche en le laissant seul. Moutah était auprès de l’œuf, en échos dans mon souvenir, j’entendis son appel lointains mais mon esprit était déjà totalement focalisé sur l’idée de poursuivre le traqueur survivant qui alla s’installer sur le dos du Dragon. Nos efforts conjugués firent tombés les traqueurs installés autant sur son dos que celui qui était resté accroché sur son torse, tranchant rapidement là où ils pouvaient être tués sans blessé le dragon, il fallait s’attendre de toute façons à ce qu’il s’écroule par terre, mort, une fois les contrôles sur son esprit écartés par la mort des créatures. Et nous commencions à fatigués de faire usage de nos forces pour parvenir à repousser les entités de Légion, aussi ce fut un soulagement de voir le Dragon s’écrouler sur le côté, vivant, mais l’ombre de l’Alpha s’extirpa du plafond dans une obscurité sinistre. Comme l’incarnation de la malchance, elle déploya ses ailes pour se tourner vers l’œuf du Dragon qui venait d’être extirpé par Moutah qui, à l’usage de son poignard, avait décroché la membrane filandreuse avant de partir rapidement avec vers la sortie pour quitter les lieux. Je venais de le rejoindre en m’ayant rendue compte de ma faute, pour me rendre à son service, mais cela me mit aussi en danger.

Heureusement, nos compagnons n’avaient pas tarder à réagir, et Elwenne ainsi qu’Almire avaient fait en sorte de le diminuer, Amauroix le laissant choir au sol d’une de ses incantations bien choisie. Le traqueur restant cloîtré par terre avant son assaut : Il avait essayer de frapper de ses membranes contre Arslang qui se ruait vers elle, avant d’envoyer une sorte de flots de ce mucus orange dégoûtant qui envahit l’espace. Glissante le long du sol, nous risquions d’être bloqué voir pire, et je parvins à m’échapper en tirant une essence de colle au plafond, m’envoyant en l’air – ce n’est pas à sortir de son contexte ! - afin de parvenir à trouver une faille pour frapper l’ennemi en pleine tête. Arlsang le retenait, me donnant le temps nécessaire à ce que mon katana, reluisant de la force conférée par Amauroix, ne se lance dans son crâne en l’épinglant au sol. C’était fini, la bête venait d’être écrasée, et l’influence de l’entité qu’est « Légion » pu lentement s’effacer dans les environs proche.

Notre mission venait d’être effectué, mais il restait le devenir du Dragon, celui ci était étalé dans un coin, ne constatant pas de lui même que l’effet vicieux du poison était en train de le tué. Il n’y avait strictement rien à faire pour le sauver, condamné à mort, on ne pouvait qu’observer tristement ce pauvre être dépérir petit à petit jusqu’à rejoindre la mer des étoiles. Décidant de quitter ce lieu, en prenant avec nous son œuf tout en l’accompagnant vers l’Annexe Trime. Si notre devoir était accomplit, il nous restait encore à retrouver la Tablette parlant de la légende de la naissance de « Légion », cet être infâme. Et nous voilà pour quelques jours supplémentaire en Dravania, pour un court et dangereux voyage. »
Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 09 sept. 2022, 16:28, modifié 3 fois.

Répondre

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 9 invités