"L’éveil de la Mort de Fer."
« Quelques enquêtes eurent lieu depuis notre dernière intervention. Comme promis, j’essayais de me concentré sur le cristal conscient, mais il n’y eu rien de très informatif à acquérir : En tout cas, pas les réponses finales ! Car nous n’avons fait que découvrir que ce dernier était une pièce d’un réseau beaucoup plus étendu qui doit s’étendre dans le désert même. Ils cherchent à se gaver d’éther, une quantité des plus larges, pour que Sagoli devienne une sorte de ferme à éther accumulé en vue de provoquer un effet encore inconnu. Quels genres de projets pouvaient avoir les partisans de ce malade qu’est l’Empereur Xandes ? Au moins, les recherches de Karol avait permit d’atteindre une cible plus au sud-ouest où les Amalj’aa errent dans le désert et se confrontent directement à la Mort de Fer. Mais cette fois, la diplomatie risquait d’être bien plus compliqué au vue de la nature des acolytes d’Ifrit bien plus belliqueuse et sans avoir le soutiens de l’éleveur de draconides débiles. Sorn aussi avait fait envoyer un de ses hommes de main enquêter dans les environs, ayant découvert que les chasseresses avaient été lourdement éprouvée par un des cristaux identiques à celui que nous avions analysés ensemble pour en découvrir les mystères.
Définitivement, il y à quelque chose de pourri dans cette situation, et pourtant je suis sûre que nous pouvons en faire quelque chose pour prendre l’avantage. Si on pouvait avoir le contrôle d’un cristal nous donnant l’avantage tout en le connectant à ce relais, y aurait-il un moyen de lui faire parler pour nous offrir les secrets de la Mort de Fer ? Sans avoir préparer le cristal, notre objectif le plus clair restait l’enquête de Karol. Elle avait un lieu, et une action récente, mettant pour l’instant les informations de Sorn pour une autre mission. C’est à l’Oasis oublié que nous nous sommes réuni comme toujours avant d’entrer dans le désert de Sagoli. Après une journée paisible au piano pendant que Sorn et Finaen discutaient à Vertegide, l’Eyri se retrouva proche de l’éthérite. Lalavyr devait être hélas occupé, mais Karol nous attendait dans sa belle tenue orientale jaune, et nous nous sommes bien vite retrouvé en grande partie avec notre équipe. Sorn qui avait oublié quelque peu en partie des habits pour le désert de nuit ! Ainsi que Runne et Finaen tous remit de notre dernière altercation avec un maudit Morbol. C’est lors du départ que Namiko pu finalement nous rejoindre, légèrement en retard, pendant que j’étais en train de négocier une grande cape du désert faites pour que Sorn puisse s’enrouler dedans et ne pas craindre le froid. Un élément vicieux de la nature, surtout en Sagoli, et les U eurent un plaisir à nous fournir en échange de quelques gils.
C’est ainsi que lors d’une bien fraîche nuit, nous nous retrouvions à arpenter ce grand désert vers une destination approximative. Karol avait une grande entre les mains, et nous usions de nombreux matériaux pour essayer d’orienté une direction correct : Des boussoles pour partir vers le Sud-Ouest, et un compas pour bien utilisé les distances et nous orienté encore plus efficacement encore. C’est cette petite compagnie en voyage qui pu dès lors esquivé les mouvements des vers des sables en finissant par évité la plus part des problèmes de ce désert, jusqu’à ce que des débris de métaux firent surface un peu partout autours de nous. Sous la surveillance de Sorn, celui ci observait que les sables mouvant ne nous gène pas, installé sur les hauteurs avec Finaen et Karol, ils observaient que rien ne nous gène ou encore n’apparaisse sous la protection de Namiko. A vrai dire, c’était calme, visiblement les décombres d’une vieille pyramide-faille de la mort de fer que les Amalj’aa auraient fini par détruire. Les hommes-bêtes s’arrachant donc quelques victoires sur l’ennemi hait, autant à notre joie qu’à notre malheurs : Car ceux ci en voulaient toujours aux humains. Il y avait deux pistes relative – Karol et Finaen, ainsi que Sorn, perçurent plus loin les panaches de fumée menant droit vers les Amalj’aa que nous avions rattrapés, ainsi qu’une traînée de lumière mauve qui se dilatait petit à petit.
Plutôt que de ne rien faire et de foncer, c’est avec Runne canalisant l’éther de glace que nous avons provoqué une congélation des câbles menant droit à la tanière de l’ennemi afin de le bloqué. Ça ne produit pas un effet immédiatement visible, mais on ressentait au moins avec l’éthérimètre et tout autres outils que la glace avait permit d’empêcher en partie que des problèmes n’apparaissent bien avant notre venue. Il était temps de rejoindre les Amalj’aa, à mon grand malheurs, puisqu’ils ont tendance à avoir du mal à accepté notre présence quand nous n’avons pas réussi très difficile à parlementé avec. Abandonnant les morceaux de métaux afin de nous mettre en route, traversant encore un morceau de désert ensemble jusqu’à rejoindre le lieu suivant après qu’ils aient détruit la pyramide de métal avec violence. Ils étaient désormais installés sur une sorte de relais d’énergies de la Mort de Fer dévasté par leurs efforts. Des scarabées de métaux brisés se trouvaient une fois de plus ici, écrasé par la violence des Hommes-bêtes dont l’un glorifiait son nom pour sa prouesse. Ayant mon éthérimètre sur l’œil – Enfin, celui de Livio ! Je pouvais voir parfaitement hélas, que l’activité de l’énergie de la Mort de Fer elle dans les entrailles de la terre n’avait pas diminuée.
Malgré la nuit nous recouvrait, il serait difficile de ne pas se faire voir par les archers qui guettaient en avant. Des flammes éclairaient les environs et la beauté nocturne laissant de toute façons la lune et les étoiles rayonné en travers quelques rares nuages errants. Ils surveillaient bien les lieux, des lanciers se pavanant un peu de leurs réussites un peu plus loin proche des morceaux de métaux dévastés. Ce qui passait complètement de côté de la considération des deux Chamans qui eux essayaient d’étudier une sorte de console de contrôle de la Mort de Fer. Je doutais qu’ils y comprennent grand-chose, mais je dois dire que je n’ai pas le meilleur avis non plus sur les Amalj’aa depuis le conflit contre le Pacte du Feu vengeur. Sorn essayait de nous mettre en vitesse à couvert, mettant notamment Finaen au sol et Namiko – Ou est-ce cette dernière qui avait plongé avec nos deux crépusculaires immenses ? Pendant que Sorn envoya une grenade à une distance opposée à la notre afin de faire distraction. Hélas à mes yeux, nous devions prendre l’initiative rapidement sans escompter parvenir à rester très discret notamment avec l’équipement de Namiko rayonnant de lumière. Envoyant une boule de fumigène éclatant au milieu des archers, c’est en courant vers ma cible : Le quart de cercle de métal au sol, que j’observais ses maudits Amalj’aa décoché dans tout les sens malgré la fumée. Propulsant quelques kunais vers leurs traits, ça ne serait pas suffisant pour les arrêtés j’en ai bien peur, un trait passant le long de la jambe de Finaen.
En retour, il était temps pour nous d’intervenir en vitesse, et je ne pouvais que soulever l’ironie de voir Runne se catapulté littéralement dans une lueur d’éther vers les deux Chamans en braillant que nous ne sommes pas là pour les abattre. Agité et en soif de victoire, j’ai bien peur que les convaincre n’ait exigé une toute autre manœuvre, mais le propos de base était que cette fois ils ne seraient pratiquement pas possible à raisonné. Ainsi, pendant que Runne disait aux chamans que nous n’étions pas leurs ennemis, j’entendais Sorn tirer dans tout les sens avec son arme à feu droit vers les archers pour essayer de les arrêtés, puisque aucuns n’est mort, je suppose qu’il visait des parties non létales pour les faire ployés pendant que Finaen détournait les lanciers et tentait de les paralysés avec la foudre. Alors que je m’installais sur le quart d’acier, Karol était introuvable, il fut découvert peu après qu’il était littéralement passé sous terre grâce à sa maîtrisé des forces terrestres.
Manipulé le sable devait être bien plus simple, hélas, si ça n’est pas des vers des sables qui furent une menace pour notre ami Lalafel. Il du tout de même s’opposer à des câblages essayant de l’attraper pour le vider de son éther, car pendant que les Amalj’aa fêtaient leurs victoires, ils étaient littéralement installé au dessus de la base de la Mort de Fer. Cette dernière continuait à accumulé de plus en plus d’énergie, et après avoir tailler en pièce l’accès de métal menant vers le coeur d’énergie qui rayonnait sous nos pieds. Attrapant au grappin le catalyseur Amalj’aa qui menaçait Runne de le brûlé net, je propulsais le dit catalyseur droit vers l’intérieur du passage fendu par mon sabre en essayant le faire exploser avec un éclair pour saborder toute l’installation. Ce dont je ne m’étais pas douté, allait être l’ampleur de l’explosion. Si Runne n’avait pas trouvé un moyen sur la console pour provoquer une fermeture d’urgence des portes que je n’avais pas trancher, la déflagration nous aurait tous balancé dans tout les sens. A la place, la terre s’agitait brutalement en bousculant les Amalj’aa en produisant un grondement terrible, Namiko avait tenu la ligne jusque là contre les archers en faisant précisément comme les autres : Aucuns de ses coups n’étaient fait pour tuer. Dans un sens, heureusement que je n’ai pas eue à me battre directement avec nos ennemis. J’ai tendance à avoir bien moins de retenue, et ma cible était dès lors toutes formes de la Mort de Fer qui pouvait faire surface autours de nous.
Après un instant de pression supplémentaire face aux Amalj’aa, tous finirent par être vaincu, Namiko soutenu par Karol avait fini par faire plier l’échine des archers autant que Finaen avait maîtrisé les lanciers, tous soutenu par les tirs de Sorn qui avait fini par diriger son arme droit vers les Chamans pour touché dans les parties non-vitales. Ils étaient blessés, inconscient, paralysés, mais vivant. Et pour ma part j’ai bien faillis avoir bien pire comme choc si Runne n’avait pas ralentit ma chute quand l’un de leur chaman me propulsa dans le trou béant qui s’était formé après la déflagration immense qui avait propulsé un amas de débris dans les cieux. Saisissant l’éther, le Miqo’te força pour m’empêcher de choir et de m’empaler sur les morceaux de métaux tranchants éparpillés au milieux du passage ravagé. Me permettant de faire usage de mon bijou du totem aux milles bêtes afin de battre des ailes sous cette forme de Harfang que je fis disparaître rapidement après avoir rejoint Runne au sommet, heureuse de ne pas m’être cassé la figure un peu trop brutalement grâce à son sauvetage. Lentement, nos compagnons venaient s’installer autours du trou béant. Malgré la fatigue et les quelques blessures, nous venions au moins d’atteindre précisément notre objectif : Trouver un lieu secret où la Mort de fer est installée. C’est dans les profondeurs du désert que s’étend son réseau, aussi sous-terre aurions nous plus de chance d’en comprendre plus sur notre ennemi. Il était donc temps de descendre vers le passage qui s’était dévoilé sous nos pieds. En espérant enfin trouver des réponses sur la genèse de notre ennemi.
Je pensais que mon grappin allait être pratique pour descendre jusqu’au passage, habituée à l’escalade que je suis, en accompagnant Runne qui s’était propulsé droit vers le passage au milieu des débris grâce à l’éther. Mais Karol fit usage de sa magie pour créer un véritable petit escalier terrestre au milieu des décombres d’aciers. Ce qui empêcha Sorn de se casser la figure brusquement vers la fin de la marche quand Finaen étendit brusquement la roche pour lui rendre pied. Grâce à lui, Namiko, Finaen et Sorn n’eurent pas besoin de peine à nous rejoindre en bas avec Runne alors que nous observions un passage intérieur de métal ressemblant à une de ses vieilles installations Allagoise qui n’auraient jamais du être de nouveau active. Des lignes concentriques mauves erraient sur les parois autours de nous montrant bien l’activité de l’énergie en place venant droit vers ce qui ressemblait de plus en plus à un centre de commandement. Et cela allait se confirmé une fois que la porte d’accès fut ouverte à notre passage, entrant dans une salle austère isolé sous la roche. Il n’y avait pas la moindre forme de pierre ici même, au grand dam de Karol et de sa maîtrise de la terre, uniquement du métal autant sous nos pieds qu’au dessus de nous.
Parsemé de ses lignes concentriques et de lueurs technologiques provenant de divers matériaux actifs. Une machinerie étrange ressemblait presque à un gorille manipulait de nombreux cristaux rose me faisant pensé à ceux de la conscience de Byregoth, reluisant doucement dans leurs coins, permettant certainement d’avoir fait usage de leurs machineries ainsi qu’ayant peut-être permit l’ouverture de la faille encore close un peu plus loin. Une ligne, un fil dans la réalité même donnant l’impression d’une déchirure affreuse qui marquait le réel même. C’était éprouvant et atroce à observé, ma pression montait doucement d’autant que malgré l’affection que je lui porte, j’avais envie de balancer Sorn du haut d’Ishgard pour lui remettre les idées en tête quand il suggérait sa déception à l’idée de ne pas voir une Démone langoureuse se jeter dans ses bras. Si seulement il connaissait les atrocités de telles créatures. Pour ma part, je m’intéressais justement au démon qui se trouvait devant une machinerie aux propos incompréhensibles – De l’Allagois, difficile d’y comprendre quoi que ce soit. Mais cela ressemblait à une table de rapport étendant des recherches certainement sur la Mort de Fer. La dernière menace était une sphère Allagoise, une de ses créations perdues depuis la chute de l’Empire continuant de veiller sur ses anciennes installations. Runne avait une sorte de haine envers de telle création, car il fusa encore plus vite que moi droit vers la sphère pour essayer de la saboter de sa magie en étant rapidement rejoint par Finaen pour que les deux mages ne diffusent la foudre et les énergies vermeilles essayant de dévasté la dite sphère. De l’autre côté, Karol soutenait Namiko en divers tentative de bloqué la machinerie que notre protectrice combattait de son épée dans des grands bruits d’acier résonnant.
Bien que ma haine du démon était comme vous vous l’attendez immense, ma cible n’était pas seulement ce dernier, en tournoyant vers cette chose en essayant de le massacrer de mon sabre en divers entailles, c’était premièrement pour récupéré les Mémoquartzs installés sur la machine au cas où ils seraient détruit par le combat à venir face à cette chose. Les tirs de Sorn épaulaient mon duel au sabre contre ses griffes aiguisés, permettant à mes coups de porter plusieurs fois en l’entaillant de plus en plus. Le combat avec la sphère faisait rage derrière moi, des lueurs d’énergies frappaient un peu partout en essayant de repoussé les deux mages rouges bien que cette dernière était clairement en train de s’éteindre au fur et à mesure. Peu envieuse qu’elle n’ouvre de nouveau la faille du néant dans un geste désespéré, Sorn pu paralysé le démon avec une grenade spécifique me laissant précisément faire ce que je désirais. C’était certes salissant, mais efficace, et j’éventrais le démon brusquement en rependant son sang le long de la faille pour provoquer sa fermeture avec ce qui est censé permettre de l’arrêter, comme je l’avais appris de Runne. Namiko avait fini de briser la machine après un combat acharné, celle ci s’était littéralement effondrée dessus mais on évitait le pire quand Karol grâce à sa magie la déplaça soudainement pour ne pas qu’elle soit écrasée. Sorn vint aussi à son aide, permettant à la combattante de venir empalé brusquement le démon dans son dos, le bloquant pile le temps de le décapité aussi net quand Karol nous infusa de son chants rayonnant permettant à nos forces d’être usés avec bien plus de facilité.
La tête du démon roulant au sol, toutes cibles gênantes avaient finie par être détruite, ce qui nous permit d’inspecter le centre de commandement rapidement. Le temps restait compter, les Amalj’aa ne resteraient pas définitivement inactif après la raclée qu’ils avaient reçu, entre les inconscients et ceux qui s’étaient simplement enfuis avec le risque de venir avec des renforts. Namiko et Sorn récupéraient des nombreux cristaux d’énergies pendant que nous inspections la faille. Avec nos éthérimètre, Sorn et moi estimions bien que le démon bien plus grand que celui que nous venions de détruire avec sa faux, devait être parti de ce lieux après que fut permise son invocation à travers la faille. Quel déplaisir de savoir qu’en Sagoli, ce genre d’être arpente les environs de nouveau. Finaen lisait en partie les rapports, mais avec les Mémoquartz, je pense qu’il sera possible de prendre une longue session chez Corvus et cet accro aux légendes d’Allag qu’est Livio pour en savoir plus sur ce qui intéressait tant le démon avant que je ne le décapite. Nous avons beaucoup de chose à découvrir, avant la prochaine mission. La question sera : Qu’est-ce qui nous permettra d’enfin atteindre la mort de Fer, et de découvrir la finalité de ce dont il s’agit ? Pour ma part, j’en suis encore à mon idée d’une conscience démoniaque transférée dans une machine par ses fous de serviteur de l’Empereur Xandes avant la chute de l’Empire. »