[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un tintement des chaînes rouges."

Centième Entrée – « Acte 13 – La bataille du Radeau de la Calebasse.»

« Il était temps d’arracher des griffes des chaînes rouges ce qu’ils avaient pas audace cru prendre entre leurs mains le Radeau de la Calebasse. Ayant réagit immédiatement, les deux vipères avaient pu sécurisé grandement la population et les infrastructures mais ils se réunissaient encore autours de l’éthérite principale pour visiblement en faire usage. Quelque chose d’odieux se préparait, et ils devaient agir avec la force de désespoir pour prétendre pouvoir avoir les moyens de réussir à accomplir un rite au milieu d’un des villes de la cité-état de Gridania. Grim y avait été aperçu, mais il ne semblait pas avoir un rôle particulièrement important par rapport à ceux s’occupant du rite en lui même, et plusieurs escarmouches avaient déjà été livrée. Sulfur serait en première ligne cette fois, nous attendant en préparant un assaut nous concernant aussi, nous ne pouvions alors pas savoir pendant qu’on se réunissaient qu’eux subissaient déjà le feu et le chaos à cette distance. C’est dans un petit recoin forestier que nous nous sommes réunis pour parler de l’objectif, ce dernier risquait à vrai dire d’être simple, il s’agissait simplement d’atteindre l’éthérite et de mettre cette dernière en sécurité pour que les chaînes rouges ne puissent pas y toucher. Une bataille, voilà ce qui nous attendait, et la dernière véritable méritant ce nom était celle face au briseur céleste lui même il y à quelques temps.

Ainsi, ceux qui vinrent faire équipe était pour la plus part les coutumiers de cette histoire : Finaen et Runne prompt à faire usage de leurs magies rouges tout comme Eloise aurait bien des possibilités en tant qu’invocatrice avec son Egi. N’lamahni prompt à faire usage de ses armes de jets et Sorn avec ses toutes nouvelles tourelles. Pour nous protéger, Livio était comme de coutume en première ligne, et il fut rejoint pas un compagnon qui n’avait pas été vu depuis la chute du Culte de l’Arbre-en-Deuil : Ika Rifter. Arrivant un peu sur le fil, et devant essayer de bien comprendre la situation malgré tout, nous avons commencer par cheminer ensemble sur une route plutôt paisible où il n’y avait pas eu beaucoup de problèmes de prime abord. Les environs étaient doux, agréable, touchés par la lueur solaire offrant une certaine gaieté à la longueur du trajet. Des coccinelles passèrent, mais comme le constatât Runne en venant en voir une s’accrocher à sa tête, elles ne faisaient pas que se déplacer. Elles fuyaient. Rapidement la présence des blessés des Deux vipères furent évidente autant que les marques de luttes qui avaient déjà eu lieu dans les environs. Ils étaient parti bien plus loin que le lieu de rendez vous, et des échos d’explosions se faisant entendre plus loin. Progressant un peu, après avoir fait le constat de la présence de nos alliés en difficulté, il ne fallut pas longtemps avant que le ciel ne s’illumine d’un rouge embrassé éclatant.

Je bondissais sur le côté instinctivement, sous une pression ordonnant à mes jambes de bouger avant que ça ne soit trop tard, ce qui fut pareil pour N’lamahni roulant dans les fourrés plus loin. Sorn allait être un peu trop lent, mais nos compagnons réagirent aussi tôt en soulevant des protections d’éther empêchant ce qui ressemblait à un pylône noir à forme étrange de les écrasés. Ika et Livio avaient dressés leurs défenses renforcées par Finaen subitement, Eloise soulevant un bouclier autours d’elle dans la panique. Si il ralentit, c’était aussi grâce aux éclats givrés de Runne ayant percuté brusquement le pylône avant qu’il ne tombe sur nous.

Traversant tout de même les couches de défenses après un instant à forcer sans cesse, il s’écrasa derrière nous en envoyant valser Runne qui protégea au moins la coccinelle. Celle ci fut libérée et partie en observant le Runne, comme triste de s’en séparé. Alors qu’il acceptait la main d’Ika, on pouvait voir le sillage dévastation entraîné par ce pylône qui était constitué des roches blanches corrompues à souhaites et couvertes de glyphes qu’on avait déjà pu voir dans des ruines où elles étaient bien plus pures qu’ici. Toutefois, il fallait progressé, et une bonne partie de nos compagnons soulevaient déjà les soldats d’arrière-garde en les appelant à partir au combat. Ika et Runne les redressant alors que Sorn le faisant plus brusquement, N’lamahni fonçant avec un Lalafell sur le dos, nous nous sommes retrouvés à foncer droit pour rejoindre le Radeau de la Calebasse, découvrant des flammes contenues par les élémentalistes le plus possible. C’est devant les grandes portes que les combats étaient les plus intenses, ici les chaînes rouges empêchaient les passages des Deux vipères soutenu par d’énormes sortes de scorpions subjugués qui nous fit face.

Le Lalafell sur le dos de N’lamahni provoqua une décharge foudroyante si intense qu’il propulsa ennemi comme allié au sol en se grillant un peu les neurones, celle ci envoyant ses Shurikens se mêlant aux décharges d’éthers d’Eloise et Sorn qui tirait avec sa tourelle dans tout les sens. Runne eu le bon sens de faire éclaté les flammes qui tombaient régulièrement des cieux en un véritable bombardement pour évité que quiconque ne soit touché par un impact enflammé. Au final, Ika avait prit un rôle de support pour produire quelques boucliers lumineux autours de nous évitant plus d’une fois aux deux vipères de recevoir des coups mortels. Pendant que nous nous chargions de la bête subjuguée, malgré le fait que sa mort détonante nous envoyant voler dans tout les sens avec Livio, le plus important fut fournis par Finaen : Sa présence avait quelque chose de rassurant. L’énergie dégagé empêchait aux prières résonnant en échos un peu partout de distordre nos sens en finissant par nous affolé. La route était ainsi grande ouverte, les Deux vipères s’enfonçant dans la brèche en nous laissant être le fer de lance de cet assaut vers les portes de la ville. Sulfur maîtriserait cette force de frappe, mais il restait à savoir alors que les alentours n’était que bois brisé, flammes errantes et combats acharnés, quel sort avaient-ils bien pu réservé à l’état de la ville en elle même.

Deux des chaînes rouges se tenaient sur les hauteurs. Ils nous balançaient ce qu’ils pouvaient, et ça devenait triste de voir l’acharnement qu’ils pouvaient avoir, toute la passion vivante qu’ils avaient au fond d’eux pour essayer de défendre leurs rêves. Ça ne fut pas bien long, et Ika prit un temps pour inspecter les griffes, mais il fut comme prit d’un malaise une fois de plus, et la présence de Livio l’aida à se sortir un peu de ce flou. J’ignore ce qu’il avait, plusieurs fois, quant à notre mission bien que je ne pouvais alors qu’espérer que ça ne soit pas trop grave. Un instant après, les explosifs de N’lamahni sautèrent un instant après que Livio ait envoyé un impact d’éther mêlé à une grenade envoyée par Sorn avec un poulet, involontairement, que lui avait balancé une des chaînes rouges. La détonation fut puissante, mêlée aux flammes convoquées par Runne à l’intérieur de la porte même. Jusqu’à ce que le poing de pierre rappelant la manière dont on été rentré au vieux moulins, les vents d’Eloise tournoyant autours du sort projeté par Finaen n’explose brusquement la porte. Entrant au milieu de la poussière de la dévastation, on pouvait voir le triste état des lieux.

Une brume noire s’étendait un peu partout recouvrant les habitations. Des chaînes rouges, des vraies chaînes, tombaient des cieux depuis des cristaux oranges qui flottaient un peu partout comme recueillant les prières à Bahamut offerte de gré ou de force par la population encore présente ainsi que les forces des chaînes rouges. La ville n’était pas à proprement parlé en ruine, mais l’ambiance y démontrait clairement qu’une activité malveillante s’y préparait massivement : Et ce n’était pas l’espèce de trou béant dans le ciel formé au milieu de nuage de fumée noire élevées depuis le radeau qui me donnerait le contraire. Ika devait encore avoir un peu de soutiens de la part de Finaen, essayant par la présence de sa magie bienfaitrice de lui apporter un apport suffisant pour se mettre en marche afin de traverser le premier pont nous séparant de l’éthérite. Sous les impulsions du vent produite par Eloise, elle éloigna cette fumée gênante qui nous empêchait d’y voir, dévoilant quelques masures en flammes, des corps jonchant le sol des valeureux protecteurs n’ayant toutefois pas pu arrêté les chaînes rouges. Un vieillard encore en vie été resté étalé par terre, nous suppliant de ne pas les laisser prendre les cieux, ce qui résonnait cruellement avec la légende de la lance des funérailles qui avait débuté cette longue péripétie. Arrivant au premier ilôt civil nous séparant de l’éthérite, Eloise se concentra pour éloigné un peu plus la fumée, dévoilant face à nous des billes d’un rouge infâme : Un treant avançant lentement. Son écorce était comme de la cendre et de la suie, des chaînes rouges greffés autours de lui, et quelques de ses cristaux oranges miroitant. C’était un survivant rendu fou par la destruction de sa terre : La forêt de l’Ouest.

Rallié à Grim, il exigeait que le même sort advienne à la Sylve entière en la pensant ainsi bien plus belle. Finaen en était écœurés de voir toujours des protecteurs finir assommé par la haine et la soif de détruire en retour de leurs chutes. Et tout nos compagnons fusèrent réglé les différents objectifs. Eloise vint en vitesse atteindre un invocateur sortant d’une masure à droite qui transportait un homme entouré d’une chaîne rouge ne dévastant étrangement pas son éther. Elle voulu saisir son ouvrage et briser la chaîne qui l’entourait, ce qui était exactement ce qu’il fallait faire. Mais pour éliminé la menace rapidement, N’lamahni et Runne attaquèrent un instant trop tôt ce qui serait pour le pauvre homme, fatal. Malgré la douleur évoqué dans le cœur de mes deux camarades, je me dois de retranscrire ici cette technique : Renvoyant les dégâts subit sur le condamné, sa tenue fut tâchée du rouge que le pique de glace et la lame de jet auraient du produire sur l’invocateur privé de ses forces quand Eloise vola son livre. Il tenta bien de se lié à tout les civils dans la masure, mais Eloise brisa de nouveau les chaînes et fut enfermée dans la demeure. Marchant lentement, l’invocateur chercha à en profiter pour détruire Runne et N’lamahni laissé catatonique pour ce massacre, jusqu’à ce que la jeune miqo’te se reprenne pour envoyer son javelot en plein dans le torse de sa cible. Reculant en se prenant un Runne dans le torse, puis une porte projetée par Eloise pour sortir, les deux roulèrent ensemble jusqu’à ce que Runne ne l’empale encore et encore de sa rapière. Levant la tête sur l’autel dédié à Bahamut, ne sachant plus si c’était sa colère ou celle du Primordial vénéré ici.

De l’autre côté, Ika propulsait un étal d’un choc éthéré en plein dans les brigands des chaînes rouges fonçant vers nous. Ils reculèrent brusquement et un tomba même dans l’eau dans un cri que j’avais que trop souvent entendu. Le tirs de Sorn continuaient sans cesse, pendant que je luttais de mon sabre contre le chef de cette section, mais ils virent tout les deux d’un coin d’œil la hache fonçant vers une vieille femme. Prompt à réagir, Sorn tira dans la hache et Ika la mit en sécurité malgré le choc à son épaule. L’éther dégagé par la vieille femme gagna tout les lieux pour nous guérir un peu, et nous offrir courage, même Sorn écrasé sous un étal qui lui fut renvoyé arriva à lancer une grenade un peu avant qu’Ika ne vienne le sortir rapidement de là. Leur chef passa au fil de mon épée, ne laissant que le treant qui luttait contre Finaen et Livio. Les deux avaient brisé en premier temps le cristal orange au dessus de nous ainsi que les chaînes d’un rouge sanglant pour qu’elles cessent de nourrir le sol de cette énergie infâme. L’explosion envoya des étincelles un peu partout, et le treant réagit en venant les recouvrir d’assaut puissant.

Cela dura un temps, jusqu’à ce que les tirs de Sorn ne s’abatte dessus, Finaen blessé au torse après avoir essayé de le purifié lui demanda pourquoi il agissait ainsi. Il n’avait aucune réponse clair. Que des regrets, du chagrins, avant que la lame de Livio ne le traverse de part en part. Les civils étaient en sécurité, le treant ne restant qu’un tas de bois calciné s’étalant au sol, mais ça n’était là que le commencement. Le pont menant à l’éthérite explosa subitement, dans une grande déflagration. Un faisceau d’énergie rougeoyante s’extirpait de ce dernier pour gagner les cieux mêlé aux chants et aux éclairs zébrant les cieux. Il fallait les arrêtés d’urgence maintenant, où le conseil de Grim mettrait à exécution leur dernier projet.

Plusieurs des nôtres étaient blessés, et mentalement affectés par ce qu’il s’était passé. Pour certains, c’était des peurs profonde remontant au traumatisme du septième fléau, pour d’autres les conséquences d’actes inattendu. Mais il fallait avancer, et ce courage qui se transmet au corps et à l’esprit dévoile alors à nos yeux si nous avons au fond de nous la force pour faire ce qu’on estime devoir accomplir. Ou si nous ne pouvons que compter sur les autres pour y parvenir. Dans l’instant, notre problématique était ce maudit pont ! Runne était dans une étrange phase qui fit immergé une lumière puissante de ce dernier, Finaen essayant de le rassuré et de s’en occupé un bref instant avant de se mettre en route. Ce qui fit qu’en avance, Ika prit la route en empruntant le fil de corde tendu par N’lamahni grâce à son lance grappin atteignant l’autre bord des îlots menant à l’éthérite. Le passage ne serait pas aussi aisé, je le crains ! Et il se défendait dans des lueurs cristallines des traits et des flammes tombant un peu partout autours de lui, mais hurlait bien qu’il aurait besoin d’aide.

Et cette aide fut surprenante ! Passant dans les cieux proche de lui, peu après que N’lamahni ait déployé son matériel aérien en tournoyant pour esquivé les traits et les flammes, fut le passage d’Eloise sur son Egi-Garuda qui propulsait des lames de vent. Sorn était accroché à celle ci aussi, ayant déployé sa tourelle aérienne pour que les traits impactes les subjugués encore et encore qui menaçaient de débordé Ika et Livio qui progressaient ensemble et venaient de rattraper Runne avant qu’il ne fasse une chute mortelle. Leur Egi se prenant un choc enflammé dans les airs, Eloise tomba lourdement au sol pas loin de Finaen et moi qui nous écrasions à nos tours. Finaen dans un choc foudroyant et moi en ayant bondit d’un Subjugué à un autre jusqu’à me prendre un sacré coup de poing dans le ventre m’ayant envoyé m’écraser fortement au sol. Sorn lui ? Il tomba en plein dans une caisse de mousse, amortissant ce choc ! Malgré l’écharde qui lui avait massacré le bras.

Au moins étions nous tous sur place, pour faire face au Conseil de Grim. Ils entouraient à trois l’éthérite, mêlé aux combattants des chaînes rouges priant ensemble le primordial pour offrir force et puissance à l’usage rituel des véritables chaînes rouges tournoyantes autours de l’éthérite en cherchant à capté les énergies intérieurs, mais pire encore, c’était devenu un piège : Tout aventurier prenant l’éthérite pour rejoindre le lieu était récupéré par le catalyseur pour voler son éther, et s’en servir pour ouvrir le trou béant dans les cieux où s’étendaient les glyphes ardentes semblable à celles de la Page du livre de Shigma. Les civils forcés étaient liés à deux choses : Un grand autel de cristal orange d’où se dégageait une force de subjugation inquiétante, et un totem aux nombreuses chaînes venant leur attraper la gorge. Proche du dispositif rituel où était capté l’éther des malheureux à travers l’éthérite même. Se tournant doucement vers nous, un Crépusculaire assis dans le vide comme lévitant entouré de peu de vêtement mais recouvert d’innombrables chaînes rouges tournoyantes autours de ce dernier, portant comme un masque de crâne humain en deuil sur le visage.

Slif, maître du Conseil de Grim, convoqua l’énorme roegadyn de siège dans une armure fumante comme une machinerie magitek sous l’intensité de la chaleur dégagé ainsi qu’un fin Ixali l’air meurtrier, tout les trois subjugués au de là du possible. Malgré les invitations cherchant à appuyé sur nos moindres faiblesses. Le maître du conseil fit tournoyer ses chaînes tout en recevant l’assaut de Finaen cherchant à le foudroyant, poursuivant le mouvement rapide des chaînes pour écrasé notre ami au sol. Ika avait foncé à toute vitesse vers le massif Roegadyn, sa lame ayant brisé son casque dans une forte explosion d’éther en révélant le visage du guerrier : il avait été cruellement modifié par chirurgie pour essayer de ressembler au Briseur céleste, comme un moyen d’honorer ce champion de Grim tombé dans les premiers temps des combats contre les chaînes rouges. Rugissant de colère, essayant de frapper Ika en vain jusqu’à ce qu’un tir de Sorn ne le traverse de part en part. Il essaya bien de subjugué tout le monde en faisant usage de l’autel, hurlant à la subjugation. Mais j’avais détruit l’autel, m’extirpant de ses débris après la lueur foudroyante de mon sabre. La dernière chose qu’il reçu, fut l’épée d’Ika le transperçant de part en part tout en aveuglant le crépusculaire proche d’ici.

Le totem des chaînes avait aussi été détruit, d’ailleurs ! Runne malgré une flèche dans la cuisse, avait sous la couverture du Livio blessant l’Ixali de sa lame, pu fragilisé suffisamment le totem pour que le rayonnement ardent d’Eloise le brise. Son égi avait voulu cassé la chaîne du catalyseur principal, mais il fut absorbé, la laissant choir au sol. La fumée blanche des fumigènes était littéralement partout, envahissant les lieux après que N’lamahni les ait lancé pour couvrir l’échappatoire des civils libérés. L’Ixali, un instant plus tard, fut taillé en pièce par mon sabre et l’épée de Livio en le laissant décapité choir au sol. Tous se concentrèrent en partie sur le Maitre Slif du Conseil, dont le Shuriken fuma brisa les défenses en laissant la rapière de Finaen le transpercer en plein torse. Runne rampant brisa finalement la chaîne du catalyseur, libérant l’Egi et les aventuriers encore en vie hors du passage de l’éthérite, tombant un peu partout autours de nous.

Sous son échec, Grim lui ordonna de ne pas le décevoir, transcendant le corps qu’il possédait Slif fit naître la dévastation autours de lui en un rugissement digne de sa forme subjuguée abominable. Alors que tout n’était que lueur rougeoyante et sol fissuré, le javelot de N’lamahni l’impacta en plein torse un instant avant que je ne fuse pour lui trancher les jambes avec la célérité des vents d’Eloise. Runne essayait de guérir tout le monde dans une lueur blanche puissante, alors que Livio, Ika et Finaen s’en étaient remit à Sorn. Envoyant l’éther déferlé sur ses blessures et à travers l’arme qui chargeait, la foreuse tournoyante au bout de son canon se mettait à surchauffé de plus en plus fort, jusqu’à ce que son tir, tellement renforcé, ne le propulse lui et Finaen en arrière jusqu’à ce qu’Ika ne les rattrape. Passant à travers Slif en le trouant littéralement en deux, il s’écroula au sol, mort. Laissant tout autours enfin trouver un apaisement. Les chaînes disparurent, les combats s’estompèrent pour laisser les plaintes et les gémissements apparaissant. Nous étions victorieux !

Jusqu’à l’apparition de Grim. Il marchait doucement, sa présence fut si écrasante sur nos corps blessés et épuisés qu’on ne pu rien faire d’autre que lui répondre. Brisant son masque, dévoilant le visage d’un Hyurgoth défiguré par le septième fléau. Jusqu’à ce qu’il actionne le rituel en partie : Depuis le trou dans le ciel, un astre miniature d’un noir profond descendait lentement hors de la trouée entouré par les flammes. Il lui faudrait des jours au lieu de quelques secondes pour en sortir, grâce à notre intervention, ce qui nous laissait le temps d’agir. Et peu après le départ de Grim, vint Adel’Delroy dans sa parure de mage noir. Avec son aide, il est donc temps d’arrêter Grim définitivement. Lui, et le météore qu’il veut faire tomber en droit dans le cœur de la Sylve. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La lignée maudite des Delatour."

Cent-et-unième Entrée – « Acte 1 – Sous les illusions du chasseur.»

« Pendant qu’Adel’Delroy et les autres compagnons de Gridania dans la Forêt du Nord s’efforcent de ralentir la progression de l’astre noir de Grim en trouvant une solution pour le faire disparaître définitivement, bien des affaires malheureusement sont encore en cours. Si nous nous interrogeons encore sur la Mort de Fer du désert de Sagoli, Livio m’avait toutefois parlé depuis quelques temps d’une affaire suspecte concernant un homme qui provoquait des catastrophes rien qu’en se baladant. Cela faisait à vrai dire un petit moment qu’il m’en avait parler, et depuis, il avait eu le temps de s’échapper de la surveillance de l’Inquisiteur de Maleterre. C’était donc à nous de parvenir à mettre la main sur lui afin qu’il ne cause aucuns troubles supplémentaires rien qu’en existant, et très certainement en essayant de découvrir de quel façons un Elezen effrayé habillé de rouge nommé Georgios avait bien pu s’attirer une telle ire des forces malveillances du néant. Y avait-il derrière son lignage, comme cela le laissait suggéré les enquêtes préliminaires sur la possession de feu son père ayant laissé une marque ? Pour l’instant, nous ne savions qu’une chose : Imps et autres catastrophes apparaissaient derrière son sillage, et pour les derniers malheureux à avoir du effectué son déplacement pour le mettre en sécurité, peut-être bien quelque chose de plus dangereux encore les ayant tous tués. Il fallait retrouver notre cible vivante, et ne pas non plus le brusquer avec acharnement malgré sa situation de fuyard. Ce sont des réponses qu’il nous faut, pas des plaintes d’une pauvre âme paniquée.

C’est en Brumebleue que cette histoire débute, pratique ! Mais peut-être pas anodin si ce genre de personne à pu être amené dans un lieu où l’éther y est si chaotique et prompt à attiré le regard des forces maudites qui le poursuivent. Nous devons enquêter au nord du camp, et je dois dire que ça faisait bien longtemps que je ne m’étais pas battu par ici. Cette partie du Thanalan me semble tellement éloignée de celles dont j’ai l’habitude à vrai dire ! Et pour cette missions, au moins deux nouveaux compagnons furent intéressés : La Lalafell à la double personnalités nommées Teyteris Teris et Vaule – une histoire quelque peu compliquée ! Namiko des Paladins libres revint à notre aide pour cette affaire la regardant bien plus, puisqu’au Thanalan, et se mêla à nous plusieurs de nos habitués compagnons. Kyuuji pour traiter nos blessés, Uldric et N’lamahni et le tout sous l’observation de mon vieux compagnons de mercenariat : Corvus Vendex. Épaulant Namiko en premier ligne de combat, ce bon vieux Grob était enfin revenu reprendre le travail en nous confiant sa force pour affronter des terribles adversaires.

C’est fort de cette équipe que nous avons suivi la petite machine que Corvus utilisait pour essayer de remonter la piste de Georgios à travers Brumebleue. Le décors poussiéreux n’était pas agréable, alors qu’il n’y avait presque pas de lumière si ce n’est des intensités bleutés diverses, on avait l’impression effectivement d’être dans la moite chaleur du désert malgré le manque de splendeur du soleil. L’endroit possède bien son nom, définitivement, et pendant l’heure la plus part étaient aux aguets à la recherche de plus que les peistes qui nous observaient de loin. Lentement, une trace proche du néant : Celle du manque d’éther, vint à apparaître en même temps que les lacérations d’une bête immense. Elle avait dévasté un basilic de bonne taille comme si ce n’était rien, le corps retrouvé comme desséchés par un être qui aurait aspiré jusqu’à son sang. Si c’était effectivement un démon, comme cela semblait se confirmé pour tout ceux étudiant la bête ravagée, elle devrait être d’une taille immense pour avoir pu tranché en deux nettement le basilic à la manière dont il avait été ravagé. Kyuuji, Teris&Vaule, ainsi qu’Uldric inspectaient par leurs connaissances magiques ce que N’lamahni et Grob ne constateraient pas en observant la carcasse dont tout portait à croire qu’il avait été simplement balayé. Heureusement le sang noir abandonné était une piste supplémentaire sur sa nature, et Kyuuji en fit la récupération d’une fiole.

En observant les environs, Namiko avait été plus ou moins certaines que quelque chose n’allait pas, et de toute façons la plus part des marques qu’elles soient physiques ou dans les puissances locales poussaient à nous faire prendre la route d’une étrange tour qui se tenait plus loin. C’était censé être l’avant-poste d’une force des Immortels surveillant les lieux, ce qui pouvait paraître étrange au vue de la volonté de l’Elezen que nous devions capturé d’échapper aux forces des autorités locales. Quelque chose de grave devait l’avoir mené jusqu’ici, et déjà je gardais une main sur la garde de mon sabre alors qu’avançaient ensemble Grob et Namiko en première ligne. Nous nous enfoncions dans un épais brouillard, dense et froid comme de la glace, sans avoir conscience que nous marchions déjà entre les griffes de l’hôte qui nous attendait au sommet de cette dernière.

En progressant comme ça, pour l’instant, tout semblait relativement calme. Bien que nous nous enfoncions dans une telle brume qu’elle semblait vouloir nous dévoré, empêchant de voir correctement nos compagnons sauf ceux les plus proches. La silhouette de la tour se détachait pourtant cruellement sous nos yeux comme l’antre d’une bête infâme. Aucunes présences des Immortels, malgré la tentative de N’lamahni pour voir si ils étaient là, nous avions rien d’autre dans les environs de cette maudite brume qu’une sorte de murmure nous envahissant de plus en plus. Quelque chose parlait et donnait l’impression d’une lueur rougeoyante éloignée nous observait au loin mais il n’y avait pas de charme dans ses mots qui étaient parfaitement incompréhensible : Non pas qu’il parlait dans une langue ancienne, mais il se murmurait frénétiquement quelque chose. Ce qui donnait, si j’ose dire, une impression écrasante que nous étions en fasse à une entité présente déjà tout autours de nous car la force maléfique était simplement envahissante dans les environs.

Dans un premier temps, j’escomptais faire confiance à mes compagnons tout en me préparant à trancher dans la direction d’où provenaient les dit murmures en concentrant l’éther à l’intérieur de mon sabre. Sans certification, je ne pouvais pas frapper, déjà parce que je n’escomptais pas frapper dans le vide en manquant complètement ma cible et peut-être car je me souvenais des propos de Finaen. Prendre le temps de réfléchir avant d’agir avec zèle quelque soit les conséquences possibles. A côté de moi, Kyuuji essayait d’éloigné la brume par les vents mais sa magie se confrontait à un puissant envoûtement qui faisait tomber l’obscurité de manière si profonde dans une lueur bleutée comme un voile sombre empêchant d’y voir. Non loin, Uldric avait progresser vers N’lamahni et Grob dont le massif guerrier avait été attiré par une senteur de nourriture s’extirpant d’un chaudron. Prenons le temps d’en parler, car ce dernier se pencha pour jouer de la louche afin de prendre une lampée de ce qui pouvait bien bouillir pendant que sa plus jeune camarade inspectait le petit campement. Il devait y avoir certainement des traces des Immortels car il y avait bien des traces de vies relativement récentes en donnant l’impression qu’ils n’ont jamais quitté les lieux et qu’ils ne sont simplement pas loin.

Effectivement, c’était le cas, mais pas comme la Miqo’te craignant que des fantômes ne soient là, s’y attendait. Cela apparu dans la louche de Grob, quand il l’extirpa elle et les doigts des Immortels qui mijotaient affreusement encore dans le grand conteneur d’acier. Ils avaient été massacré, découpés, et mit à cuire à feu doux dans leur propre campement ce qui arracha des moues d’horreurs de la part de ceux en faisant le constat. Définitivement, la présence qui se faisait de plus en plus odieuse dans les environs avait définitivement un sens et à mes côtés, Kyuuji essayait de s’en saisir. Teris&Vaule quant à elles marchaient doucement vers l’emplacement des murmures, essayant de faire avec la vision relativement améliorée par les vents générés en ayant Namiko pour les protégés directement, se tenant à leurs côtés bouclier levé et épée dressée. Se dévoilant lentement face à nous, murmurant à tous de partir, Georgeois fut retrouvé dans un recoin en train de trembler à l’idée de ce qu’il s’est passé pour les Immortels. Et certainement ce qu’il imaginait déjà nous arriver de notre côté. Pour l’instant, si il reculait, il ne s’enfuyait pas à vitesse ce qui ne nous donna pas de raison de le poursuivre et de l’enchaîner.

C’était un moment de conversation, Teris&Vaule lui parlant paisiblement pour essayer de tisser un lien de confiance lentement alors que l’inspection du camp des Immortels s’achevait. A mes côtés, Kyuuji avait bien fini de mettre la main sur le porteur du sang noir ou du moins d’une énergie s’en approchant malheureusement en portant son regard vers le sommet de la tour. Toutefois, plus il essayait de s’appuyer dessus, plus son adversaire essayait en retour de se saisir de lui. Mais avant de lui faire du mal, Kyuuji extirpa sa conscience en haletant un bref instant. J’étais en train d’approcher lentement de la tour pour chercher la moindre trace de problématique lugubre, et je du bondir pour évité de me faire écrasée par un Grob fonçant vers l’escalier en profitant pour bondir sur le mur afin de commencer une progression rapide. Quoi qu’il pouvait y avoir en haut, il était probablement responsable de la terreur de Georgeois ainsi que de la mort des Immortels et certainement du Basilic. Impossible dans cette brume de savoir combien d’ennemi pouvait bien encore rôdé autours de nous, mais ce dernier devait être au cœur de la malice gagnant les environs.

Dans l’instant, Teris&Vaule allaient être occupées à gagner la confiance de l’Elezen pour ne pas qu’il devienne une menace ou pire encore, un élément en fuite continuant de faire apparaître quelques entités du néant dans son sillage tout en restant sous une surveillance strict de Namiko qui n’escomptait ne laisser personne sans protection en regardant néanmoins au sommet de la tour avec inquiétude. Au moins, avant d’aller apaiser à son tour Georgeois tout en prenant soin de loin, Kyuuji fit apparaître une vague lueur mitigée par la présence affreuse en lui envoyant en retour une lueur purificatrice qui arracha à la gorge lointaine du démon présent un hurlement de douleur puissant. Ma progression fut plus rapide encore quand les vents produit par Uldric me gagnèrent alors que j’étais déjà en train de foncer le plus vite possible sur le pan du mur de la tour en voyant du coin de l’œil le mastodonte que j’avais esquivé de peu qui dévalait les escaliers en une silhouette brumeuse. Bien trop rapidement, mes compagnons en bas disparurent de ma vue tout comme Grob n’était qu’une silhouette vague errante dans le chaos au milieu des bruits puissants de son armure en mouvement.

Quoi qu’ils pouvaient préparer, ils attendaient visiblement de pouvoir produire quelque chose tout deux en bas mais le temps passa et nous n’offrions hélas pas de possibilité d’action à ceux qui observaient la tour. Et malgré sa crainte des fantômes, restant bien collée à Uldric, N’lamahni et lui finirent par se mettre en route pour monter vers le haut de la tour alors que Teris&Vaule ainsi que Kyuuji venant lui offrir assistance, partirent tout deux mettre Georgeois en sécurité sous le regard de Corvus qui était resté en bas. Pour eux, il n’y avait que brume et celle silhouette inquiétante formant la tour à travers cette dernière, et pour nous, les couches illusoires du chasseur qui nous observait depuis son sommet. Je ne vais pas vous mentir, mais se retrouver à courir à la verticale alors qu’une illusion apparaît est tout à fait vomitif. D’un coup je me retrouvais au milieu de la végétation, des plantes tournoyantes et d’une verdure qui n’en était pas tout à fait : Le monde était d’une tonalité violine surprenante, comme si je courais dans un domaine des rêves inexistant, on y ressentait un véritable mystère dans les environs tout autant qu’une menace.

En effet, la flore locale était constituée de fleurs carnivores montrant leurs crocs acérés en se tournant autant vers moi que vers Grob qui progressait en grognant, s’énervant. Il avait été essoufflé lors de sa route, bien plus qu’il n’aurait du jamais l’être avant une heure ou deux de telles courses en connaissant le guerrier. Et pourtant ce simple escalier lui avait coupé la respiration ce qui lentement le faisait tourner vers un été de colère profonde. Heureusement les vents d’Uldric m’avait empêcher d’être affectée certainement, et le passage était à mes yeux trop brusque pour finir là. J’avais entendu des claquements d’ailes, et à mes yeux, c’était certainement le coupable. Un Arhiman peut-être ? Dont nous n ‘aurons pas vu l’œil avant qu’il ne nous plonge dans la folie ? Dans l’heure, je cherchais absolument sa provenance tout en bondissant pour frapper de mon sabre au milieu des battements en laissant jaillir un éclair vengeur. Et un claquement de doigt plus tard, la purification de Kyuuji depuis le bas de la tour joua sûrement pour quelque chose après s’être inquiété de notre situation. Le bulbe au cœur de tout ça au milieu des plantes fini par disparaître. Dévoilant dans un claquement d’aile, le démon, le chasseur. La bête était une hideuse créature servante des fortes plus grandes encore à l’intérieur du néant. Comme une gargouille griffues aux multiples écailles, des bouches apparaissant un peu partout sur son corps aux multiples crocs s’y dessinant.

Il nous maudissait pour un tel acharnement à mettre la main dessus alors qu’Uldric et N’lamahni arrivèrent en se débarrassant des lianes et des plantes fictives qui s’échappaient à leurs tours. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit de plus, il fallait intervenir en vitesse pour le mettre à bas. Balançant mon grappin pour l’attraper où que ce soit, atteignant le bras, j’y joignais la foudre pour qu’elle profite des eaux propulsés par Uldric pour le foudroyer plus efficacement encore et l’attiré droit vers Grob. Et après un couteau de jet de la Miqo’te dans une des bouches. Le massif guerrier le désarma en envoyant choir son épée plus loin avant de lui envoyer un grand coup de poing. Ce à quoi il réagit en écrasant lourdement Grob au sol avec un coup de griffe puissant en laissant du sang glisser le long des entailles de son blindage d’acier. L’onde de choc qu’il produisit dans une lueur mauve puissante fut tranchée pour ma part et esquivé pour Uldric, alors qu’il tachait de reprendre ses forces, Teris&Vaule ainsi que sa protectrice Namiko dans un vacarme d’acier arrivèrent à leurs tours peu après un assaut quand Uldric dévoila toutes les faiblesses du démon dans une puissante lueur ce qui nous permit avec Grob de brisé et tranché un de ses bras alors qu’il se débattait furieusement. Un instant plus tard, l’obscurité tomba brusquement et il se mit à envoyer des coups de griffes à tout nos compagnons, m’envoyant moi même au sol en posant une main sur ma blessure au flanc en sifflant de colère, avant qu’il ne soit de nouveau en vie.

Grob l’attrapa en cherchant à lui arracher ses ailes en rugissant, ce à quoi les autres profitèrent pour frapper : Des éclats de glaces des occultistes Lalafell se mêlèrent au Shuriken fuma de N’lamahni. L’impactant peu après que mon sabre ne passa dans une de ses blessures avant un instant plus tard que le marteau d’éther d’Uldric ne l’écrase au sol pour que Namiko puisse l’empaler de sa lame sur le sol. L’achevant définitivement, se mettant à disparaître dans un éclat d’un mauve écœurant du néant en brisant l’obscurité fictive et les brumes environnantes comme dans une puissante onde de choc. Le calme nous revint petit à petit, la lueur d’un blanc agréable propulsée par Kyuuji depuis le bas de la tour pour nous guérir alors qu’il s’occupait de Georgeois, empêcha trop de sang de couler après ses griffures. Mais cela n’empêcha pas le maître de ce chasseur maudit de faire entendre sa voix à travers les maléfices encore présent. La Lignée maudite des Delatour n’avait pas encore achevé son rôle à ses yeux, et pour le chasseur qui venait de perdre son premier limier. Ce n’était que le début de la chasse. Et nous aurions beaucoup à faire pour l’en empêcher même après avoir mit Georgeois en sécurité, car tant qu’il serait à sa suite, trop de vie seront prises pour essayer de mettre fin au dernier de la lignée, Georgeois Delatour. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un tintement des chaînes rouges."

Cent-deuxième Entrée – « Acte 14 – Un sceau pour le cœur du météore.»

« Avant de pouvoir trouver un moyen d’arrêter le météore lui même, il nous faut rapidement les éléments adaptés à ce qu’il disparaisse ou même chute sans faire le moindre mal. Parmi ses premiers éléments, l’un particulièrement intéressant fut découvert dans les légendes des Grimoires des Chaînes rouges usés par leurs invocateurs. Traitant de ce qui jadis fut l’inspiration de Grim pour abattre un nouvel astre sur la Sylve, ils y avaient découvert quelque chose d’important : Un sceau. Ce dernier devait réussir à créer un contrôle avec le météore lui même pour pouvoir le manipulé à la guise du porteur, pouvait alors aisément empêcher qu’un drame ne se produise. Mais il n’était pas n’importe où. Installé dans une vieille ruine encore plus saccagée depuis le septième fléau, il devait servir comme une sorte d’emblème protecteur pour la communauté habitant l’ancien village abandonné depuis des temps plus anciens. Naturellement, les chaînes rouges le convoite encore plus depuis qu’ils ont retrouvés la ruine, toutefois les rapports des éclaireurs traitaient d’un Miqo’te reconnu sous le nom d’Ener Ruchflen aurait dérobé l’amulette aux chaînes rouges tout en se débarrassant en partie d’eux. Au vue de son pouvoir, ce qui était qu’un risque est devenue une réelle menace. Et il faudrait peu de temps avant que Grim ne fasse tout pour récupéré le sceau avant que quiconque n’avorte son projet.

Le récupérer aller donc demander une intervention dans une zone en conflit dont l’accès depuis la forêt central de Sombrelinceul restait sous l’observation des Vigiles sombres signalant bien qu’il y avait du grabuge. Et réglé de tel problèmes reste notre spécialité ! Ainsi, au radeau de la calebasse en pleine réparation notamment depuis les investissement surprenant apportés par Sorn Cordollien pour remettre en place les masures et surtout les commerces, nous nous sommes retrouvés. Une ligne de protecteur des plus surprenante se tenait en place : Le massif guerrier Grob était rejoint par notre habituel défenseur imbattable Livio ainsi qu’Ika venant de nouveau nous rejoindre. A’tinea vint nous offrir ses compétences pour nous guérir, et une fois de plus, nous étions là avec Runne, Eloise, Finaen et moi même pour apporter l’équilibrium final pour dénoué les situations – Enfin moi, c’était surtout des coups de sabres bien placés ! Sous le salut d’un des disciples d’Adel’Delroy travaillant à l’entrée, peu après avoir aidé un des deux vipères à se sortir d’une pancarte qui lui était tombé dessus, nous avons pu nous mettre en route. Rapidement, l’ambiance relativement agréable de la ville prit une tournure bien moins prenante en découvrant l’étendue sud du radeau de la calebasse : Malgré les réparations, ont pouvait ressentir une certaine candeur au milieu de la pression exercée par le météore essayant lentement de trouver son chemin au milieu des glyphes tournoyant lentement dans les cieux. Mais ici, l’œuvre de destruction de la chute de Dalamud avait déjà exercé son sinistre ravage, laissant autours de nous qu’un territoire grisonnant et abandonné.

Quelques pousses de végétations essayaient bien de sortir de terre, mais presque en vain, et les éthérimètres actifs décelèrent en ses lieux une présence des plus étranges. Eloise nous parla d’un fantôme, notamment. En tout cas, il valait mieux ne pas trop se plonger dans les forces environnantes, A’tinea en ayant fait les frais, il y avait une pression douloureuse incroyable dans les maux de la terre même. C’était là les habituels problèmes de cette contrée, toutefois, on pouvait y ajouté que clairement quelque chose n’allait pas. Jusqu’à la rencontre des dépouilles de combattant des chaînes rouges abandonnés au sol. Des traces de fractures d’une arme lourde s’étendait un peu partout proche d’un pont, et la première chose fut de décelé si les corps n’étaient pas piégés.

Il n’en fut rien, heureusement, les Chaînes rouges n’étant pas vraiment connu pour des usages de nécromancies. Ce qui n’empêcha pas une sinistre créature subjuguée de s’abattre devant nous à l’autre partie du pont. Un masque greffé sur le côté du crâne, comme essayant de parler à sa place, l’Elezen n’avait plus grande chose d’humain si ce n’est son visage perpétuellement effrayé. Dans une menace et une prière au maître Grim, il étendit les bras en laissant l’éther de Bahamut envahir les lieux dans une puissante impulsion. Du sol, des geysers se mirent à s’élever en produisant des lueurs enflammées digne des pouvoirs des chaînes rouges. Le plus problématique étaient les failles qui s’ouvraient un peu partout, Ika essayant de produire des boucliers autours de nos compagnons, la distance qui s’étendait d’un bout à l’autre du pont s’élargissait à vu d’œil en laissant voir en dessous des flammes ardentes onduler comme dans la bouche d’une créature infernale. Aussi tôt, Runne et Eloise joignirent leurs forces pour congeler les pans du pont afin de le tenir relativement viable, mais nous perdions bien trop de temps à hésité et à attendre. Ce en plein milieu d’une zone de dévastation.

Runne en fut propulsé dans les cieux par un geyser inattendu avant qu’Eloise n’use de son Egi-Garuda pour venir le récupéré, les deux passant dans les cieux difficilement pendant que Grob, Livio et Ika progressaient aidés par le grappin de Livio dont la corde était sur le point d’exploser en milles morceaux à cause de la pression terrestre. Quel chaos ! A’tinea faisait de son mieux pour nous offrir une puissance de la gravité prompt à nous maintenir au sol tout en se propulsant elle et Ika qui après une chute douloureuse, resta à ses côtés pour la protéger. Au moins avions nous passé le pont qui derrière nous s’effondrait dans l’enfer de la fracture juste derrière nous. La créature au masque parlant à sa place tournoyait dans les cieux, un rire sinistre apparaissant alors qu’il appelait à ses pantins de nous empêcher d’approcher le sceau pouvant mettre en déroute les projets de son maître. Nous étions en pleine course, des geysers ne cessant d’apparaître – tout comme Finaen d’ailleurs qui venait de nous rejoindre en plein milieu de la course après avoir achevé ses investigations personnelles, sortant de nulles part. Lui aussi, pourchassait Ener Ruchtflen, tout ça pour atteindre un seul objectif : Une ruine ancienne où avaient vécu de nombreux des chaînes rouges du passé. La ruine, comme un bastion magnifique, était visible au milieu à travers la fumée des geysers. Mais elle paraissait bien trop belle encore pour ne pas être un mirage, une étrange illusion, où se jouait déjà un puissant combat pour l’acquisition de la clé du météore qui menaçait encore de choir sur la Sylve.

Il fallait atteindre à tout prix cette ruine, malgré les chocs des geysers environnant et les coups déjà reçu par certains. Dans les cieux, à peine visible au milieu du brouillard, le maître des chaînes rouges locales continuait à exhorté à ses forces de s’abattre sur nous avec toute la rage de Bahamut, et si nous ne les avions pas vu pendant un instant, ils déferlèrent sur nous dans l’inattendu en approchant des murs blancs de l’ancien bastion bien trop radieux pour un espace brisé que nous traversions depuis le début de ce voyage. Tous étaient subjugués, ils n’avaient pas l’air des plus puissants et c’est certainement pour ça qu’ils avaient été choisis comme de la piétaille sacrifiable pour essayer de nous arrêté. La plus part furent prit dans les bourrasques des vents hurlants repoussant les envahisseurs alors que Grob, protégé in extremis par Ika dans la lueur d’un bouclier cristallin ayant empêché au massif guerrier de devenir une brochette vivante, un instant avant que conjointement à Finaen manipulant difficilement l’éther élémentaire terrestre, firent apparaître tout deux une déflagration élevant des murs de pierres repoussant brusquement nos assaillant.

Tous, Livio en tête en envoyant sa pistolame frapper à droite et à gauche, pénètrent dans le bastion antique dans la fureur de cette percée. Ce qui était une fureur d’une terre dévasté dont les failles s’ouvraient partout autours de nous, devint un calme plaisant au milieu d’une verdure magnifique. Même les environs semblaient avoir reprit vie, les pierres flottantes errantes due au ravage de Dalamud remplacé par des arbres et de la végétation. Nous étions sous une cloche illusoire générée par la fontaine principale qui était la seule à avoir réellement survécu à tout ce ravage se tenait paisiblement au centre de ce village que nous observions revivre sous nos yeux. La fontaine était surmonté d’une magnifique statue de femme paisible, les yeux ouvert en tendant les bras vers les cieux en portant une étrange amulette dont les eaux tournoyaient autours tout en glissant à l’intérieur du bassin. Néanmoins, elle était déjà en péril, car les chaînes rouges avaient fini par réussir à faire pénétré nombreux de leurs éléments pour essayer d’atteindre l’intérieur de la couche illusoire en voulant récupéré le sceau de maîtrise. Si nous n’avions pas été repoussé hors de ce bastion inattendu en finissant comme les subjugués braillant autours des murailles relevés par l’illusion. C’est peut-être que les anciennes défenses s’attendaient à ce que nous empêchions l’ennemi de venir au bout de leurs projets. Il y avait une force tranquille, étrange, s’extirpant de la fontaine comme une puissance bienveillante bien différente de la statue gardienne de la prison de l’Atrofakt : Celle ci émettait une pure pulsion d’énergie douce et agréable sans la moindre conscience ni spectre lié à cette dernière.

C’était le sort qui avait du bénir et transformer cette fontaine en protectrice de ce vieux bastion qui la rendait si bénéfique, et maintenant, elle était la cible des chaînes rouges : Plusieurs chaînes réelles tournoyaient lentement autours en essayant de l’atteindre sous le regard du golem massif corrompu par les cristaux oranges. Ce dernier essayant d’apparaître dans la réalité hors des couches illusoires, prenant régulièrement la forme de l’ancien treant gardien qu’il devait jadis être, sans jamais vraiment parvenir à rester stable. Nos compagnons choisir des cibles bien différentes et se ruèrent au contact, aussi en parlerais-je objectif par objectif. Le golem massif avait été ma cible avec Grob. C’est A’tinea qui à vrai dire frappa en première dans une lueur rougeoyante puissante s’extirpant de sa carte avant qu’elle ne tourne la tête pour regarder vers Eloise. Elle perdait le contrôle des forces enflammées de Bahamut, ondulante dans des flammes ardentes autours d’elle en émettant un cri de douleur – pendant la route, elle avait déjà cédé en provoquant une déflagration autours d’elle tout en propulsant Runne au sol. Maintenant, elle était tombée par terre en essayant de canalisé les forces corrompues de Bahamut pour ne pas se laisser atteindre. A’tinea vint à son aide, faisant tout pour essayer de l’arracher de cette folie avant qu’elle ne soit emportée et pire, subjuguée, laissant nos deux camarades en arrière le temps de libéré Eloise de cette manifestation de pouvoir nocif.

Pour l’heure, Finaen avait raison, il fallait protéger la fontaine en priorité et je traçais de mon sabre une grand impact pour que Grob ait un lieu fragilisé où frappé de toute ses forces. Le choc de sa hache fut tel que le golem recula lourdement, essayant d’écraser son poing au sol dans une dévastation terrestre qui apparu partout autours de nous en me balançant au sol. Revenant au contact, je lui tranchais le bras avant de le laisser avec suffisamment de choc pour que Grob ne passe littéralement à travers. La menace brisée, je fonça vers Livio et Ika tandis que Grob partait soutenir Finaen. Ils avaient besoin de nous, car rien ne se passait pour le mieux autours de nous. Livio et Ika avaient lutté principalement contre les chaînes rouges essayant de faire traverser l’illusion par de nombreux cristaux oranges. Ils forçaient le plus possible, et les deux pistosabreur luttaient ensemble en repoussant leurs protecteurs tout en dévastant la zone de leurs cartouches d’éther. Eloise avait bien essayé de les aidés, produisant des flammes au lieu d’un éther neutre, peu avant de devoir empêcher ce feu de l’envahir elle.

Finalement, après que plusieurs des cristaux aient fracassé le sol, le dernier invocateur fut écrasé par Livio lui balançant dans la figure son propre camarade en l’écrasant par terre. Tout deux durent lutté contre le choc du dernier cristal tombant des cieux pour ne pas qu’il s’écrase au sol et débute la contamination de cette terre. Alors que Livio essayait de créer une protection autours d’Ika, ce dernier essayait de forcé le choc de sa lame contre le cristal pour l’arrêter. Cela dura un temps intense, jusqu’à ce que je parvienne à passer pour trancher en deux le cristal qui disparut sous une lueur étincelante. De ce côté, la menace avait été arrêtée. De l’autre, Runne avait rejoint son étrange double : Ener Ruchftlen, le Miqo’te guerrier rugissant était bien celui du moulin perdu attaqué par les Ixali d’Eres. Ce dernier avait récupéré le sceau du météore pour le compte du Blanc Linceul, mais Runne parvint à lui arracher et à stabiliser la conversation pour qu’il s’apaise. A la base, il luttait contre des fantômes des habitants de ce lieu ayant complètement perdu l’esprit et commençant à être envahit par des énergies enflammées que Finaen jugulait le plus possible. Il repoussait un masque immense, ressemblant à un sourire moqueur, n’y parvenant qu’avec l’apparition de Grob ayant mit son corps entre lui et les griffes du masque quitte à prendre une sérieuse blessure au bras gauche dans un bruit d’armure dévasté jusqu’à ce que la faille dans l’illusion qui provoquait une immense entropie ne soit close avec le masque repoussé. Les menaces jugulées, la statue avait une nouvelle forme : Les yeux fermés, pleurant doucement du sang, en tendant ses mains vers les cieux. Ses mains vides. Et lentement autours de nous l’illusion essayait de disparaître dans une dévastation de plus en plus inquiétante tout en entendant les moqueries de trois voix venant de partout et nulles part.

A ce moment là, la concentration de nos compagnons n’était pas la plus avancée. Ika venait à peine de se remettre du champs de dévastation provoqué par la chute des cristaux tombant des cieux semblait particulièrement perdu. Laissant Livio aller s’occuper des Qiqirns tout en récupérant une pomme de pin rayonnante d’énergie paisible semblable aux habituels usages de Turlinpin dans son bâton, laissant la famille fantomatique de Turlinpin disparaître une dernière fois alors que l’illusion chutait partout autours de nous. L’inquiétude pour l’état d’A’tinea et Eloise inconsciente au sol était très préoccupante, mais nous avons mit trop de temps à réagir : Des chaînes rouges apparaissaient un peu partout, des véritables chaînes, essayant de distordre complètement l’illusion pour la brisé de l’intérieur. Ener gisait au sol, retenu par Grob l’ayant capturé avec Finaen alors qu’un Runne paniqué ne savait plus quoi faire avec le sceau-amulette récupéré des mains d’Ener. Il la remit à A’tinea qui elle même était tant occupé à guérir doucement Eloise avec le support d’Ika, mais plus le temps passait, plus les lieux étaient malmenés par l’entropie de l’illusion en train de chuté intérieurement. Les flots de la fontaine réclamait son due, et ce n’est que quand il y eu une véritable menace autours de nous qu’ils parvinrent à trouver le sens de l’objectif pour brisé naturellement l’illusion : Ils remirent l’amulette entre les mains de la statue.

Une puissante lueur apparue, chassant les chaînes rouges se désagrégeant autours de nous tout en faisant disparaître l’illusion à son tour. Un instant suivant, nous n’étions plus dans une verdure paisible au milieu d’un bastion de pierre blanche : Il ne restait que des ruines dévastées et grises. Abandonnées depuis longtemps, seule la statue recouverte de végétation envahissante persistait devant nous, l’amulette flottante au dessus de ses mains tendues, tout en entendant les trois voix continuer leurs railleries. Au loin, à travers un passage dans un énorme tronc d’arbre, le subjugué ailé vu au début de notre mission marchait lentement pour rejoindre la forêt central. Si le maître des masques de Grim, celui fournissant ses masques envoûtés qu’avaient portés de nombreux de nos ennemis comme le Briseur céleste, parvenait à s’échapper. Il ne fallait pas imaginer le chaos qu’il pourrait provoqué dans la forêt central et tout les problèmes lié. Il ne devait pas parvenir à s’enfuir, et nous avons laissé à Ika la responsabilité de veillé sur le sceau du météore s’illuminant petit à petit à mesure où il était préparé pour quitter cet endroit à nos côtés. Pendant que nous foncions droit vers l’ancien elezen dont les pas avaient l’air de provoqué la dévastation des geysers s’ouvrant et des fractures au sol que nous avions subi avant d’arriver au bastion blanc.

Autours de lui, des esprits déchaînés mêlés aux flammes rendait le fait de le rejoindre plus difficile et une fois de plus Livio et Grob unirent leurs forces pour foncer droit en avant en repoussant tout ceux pouvant essayer de les arrêtés. Frappant les chaînes rouges subjugués qui s’entassaient autours de nous, les vents produits par Eloise et Finaen permettaient au moins à ce que l’accès soit grand ouvert. Les esprits restant eux, paniqués, furent apaisés par Runne pour ne pas avoir à les affrontés eux aussi. Au loin, nous pouvions entendre Ika commencer son combat avec les subjugués fonçant droit pour récupéré la clé, et quant à nous, nous arrivions faire face au Maître des Masques qui lentement se tournait vers nous. Son visage paniqué essayait de nous dire de partir, de ne pas rester ici, mais le masque draconnique greffé sur le haut de son crâne avait plutôt envie de nous conserver proche de lui avec une farouche envie de nous tailler en pièce. Autours de lui, tournoyaient trois masques immenses aux couleurs ternes reflétant des visages aux caractères bien différents : Une femme l’air paisible et tranquille. Un homme stricte et autoritaire, et le fameux visage railleur et moqueur qui avait blessé le bras de Grob avant d’être repoussé à travers la faille dans l’illusion par Finaen. Au sol se dessinait lentement des lignes d’argents sur un disque noir immense où nous nous trouvions désormais : Comme dans une bulle, tout les environs étaient flou en laissant voir le reflet des masques apparaître un peu partout, autant que l’écho de leurs propos se faisaient entendre.

Le projet du Maître des Masques était de récupéré la clé pour que le météore de Grim soit détourné droit vers Gridania. Maintenant que la clé était en sécurité, elle ne le serait vraiment que si ce monstre était dévasté, et nous foncions à sa rencontre pour définitivement le mettre à bas. Eloise et Finaen firent de leurs mieux pour arrêté la propagation des lignes d’argents dans des lueurs éclatantes merveilleuses. La rapière de Finaen s’y plantant tout en laissant voir des explosions d’éther propulsée par Eloise. Et un instant plus tard, un choc d’éther puissant passa sur Runne, A’tinea et Finaen en les envoyant brusquement au sol sous l’écho d’un des masques tournoyant lentement autours de la sphère étrange où nous nous trouvions. Heureusement, l’immense incantation d’argent avait été arrêté, et déjà un premier masque tombait.

Fonçant en avant, je tournoyais en tranchant de plus en plus le masque de femme de son sabre tout en esquivant les lueurs d’éthers tournoyante autours de moi, essayant de m’enlacer. Livio tenait front avec le visage sérieux, balancé contre le tronc d’arbre immense servant de passage vers la forêt centrale en recevant un contre coup de son choc par celui du masque. Mais celui riant, lui avait déjà été dévasté par Grob explosant sa hache dans la fissure provoquée par Finaen plus tôt, avant que la magie du masque ne le fasse rire sans cesse, et visiblement très douloureusement. Remontant à travers l’éther, Finaen parvint à distordre la cohérence des masques en les figeant un instant, permettant à tous d’agir en finissant avec Livio, Grob, et moi même de briser les masques subitement. Les effets des cartes d’A’tinea aidait grandement encore à cet instant, mais les soins qu’elle et Eloise voulaient fournir furent contre-carrer par le maître des masques qui bondit en avant dès ses défenses brisés en nous frappant lourdement. Runne ayant délivré Grob des rires puissants, jusqu’à ce qu’il produise un éclair : Ce qu’il me fallait !

Livio ayant put nous offrir une ouverture parfaite malgré le choc subit en retour, Finaen avait bombardé mentalement par l’effet de sa propre magie l’Elezen qui se mit à hurler de plus en plus fort, cherchant à s’élever en l’air avec ses ailes. Bien vite rattrapé par la gravité d’A’tinea cherchant à le tenir au sol, Eloise le harcelait avec trois éléments de magie tournoyant autours, jusqu’à ce que mon sabre captant la foudre de Runne, le frappa de pleins fouet. Il fut achevé au sol par Grob, le frappant encore et encore jusqu’à ce qu’il ne reste rien qu’un souvenir – et une bouillie sanguinolente, du Maître des Masques de Grim. Désormais, le sceau nous appartient, Adel’Delroy va pouvoir commencer le début du rituel pour empêcher la chute du météore. D’après lui, il ne reste qu’une chose pour parvenir à nos fins : Un puissant cœur élémentaire affligé par les maux provoqués par Dalamud. Les chaînes rouges avec la mort de celui contrôlant les masques ne sont pratiquement plus rien de la puissante cabale qu’ils étaient. Mais le plus dangereux reste à venir : Grim, tôt ou tard, devra être affronté lui même pour l’arrêter définitivement.

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un tintement des chaînes rouges."

Cent-troisième Entrée – « Acte 15 – L’accord du Maître des roches-mortes.»

« Un dernier élément nous manque, selon Adel’Delroy : Ce qui créera le lien direct entre le sceau du bastion blanc et le cœur du météore. Un lien si fort qu’il permettra un contrôle parfait pour en faire ce qu’on veut. Visiblement, il n’est pas confiance à l’idée qu’il puisse exister une solution viable pour empêcher la chute du météore, mais plus confiant à l’idée qu’on puisse le manipulé pour permettre à ce dernier d’atteindre le sol sans provoqué le moindre dégât. Mais pour ça, il nous fallait bravé les menaces de ce qu’est devenue cette partie de Sombrelinceul brisé par le chaos. Ce lien élémentaire devait provenir d’une sorte de sphère où l’énergie terrestre faisait plus que débordé, digne d’un véritable noyaux de pouvoir qui permettait d’envoyer directement le lien à la source. Je me demandais d’où Adel’Delroy pouvaient bien tirer de tels informations sur un pouvoir de ce genre avant de me souvenir qu’il était parfois préférable de ne pas s’interroger sur les ressources du maître occultiste d’Ul’dah. Mais dans l’instant, nous n’avions aucunes informations quant à l’état des lieux où la dite sphère pouvait nous attendre et encore moins si les chaînes rouges avaient pu laisser quelques surprises à l’image du Maître des Masques au bastion blanc. Au moins nous n’en avions plus vraiment entendu parler depuis la dernière victoire pour arracher le sceau du météore, et en profitions pour nous préparer à cette nouvelle mission. C’est au radeau de la calebasse, bercé paisiblement par les lueurs du crépuscule, que nous nous sommes retrouvés. L’emplacement était encore sous une minutieuse réparation depuis la dernière bataille et Sorn attirait plus que la foule.

C’était essentiellement des marchands venant réclamé l’attention du crépusculaire pour leurs parler de leurs besoins et de leurs projets, il avait reçu une véritable rançon de la gloire après avoir beaucoup investi dans le rétablissement des commerces locaux ! Et même certains bambins commençaient à percevoir mes compagnons comme ses nouveaux héros venu protéger leurs vies. C’était agréable, autant que la scène d’Alued saluant une dernière fois Finaen avant notre départ. Pour nous protéger, une vaillante ligne de Namiko apparue plus tard, Livio comme toujours et Grob de front. Tout en profitant des puissants sorts de Finaen, Eloise et Runne. Nous laissant avec Sorn le soin de porter l’épée et pour lui ses tirs au cœur de l’ennemi ! J’avais toujours un certains baume au cœur en quittant la ville toujours bien portante et se redressant petit à petit. Comme le sentiment si agréable du devoir accomplit. Tout en savourant l’idée qui m’est propre de parvenir à trouver un moyen de les sauvés définitivement. Après l’essor de la foule et des quelques tracas de ville, nous voilà à suivre le parchemin sale et poussiéreux d’Adel’Delroy pour rejoindre la destination de la sphère terrestre afin de complété le rite pour empêcher le météore de Grim de tomber sur la calebasse. Et je dois dire que le chemin était particulièrement gênant et compliqué : Des passages étroits, isolés, nécessitant de la grimpette parfois ou de bien faire attention à ne pas choir de haut. Le lieu était clairement pas fait pour ne pas être aisément découvert, en progressant proche des tréfonds de ce lieu abandonné.

C’est quand nous sommes passés dans un tunnel étroit, qu’une lueur apparu autours de Finaen. Ce n’était pas un éther maléfique, ce qui ne l’empêchait pas de réagir particulièrement à notre présence. Et alors que tout le monde inspectait les lieux, Livio certifiant que l’éther menait à un noyau bien plus lointains, on à tous été emportés. Ça n’était pas un éboulement cohérent. On ne faisait pas que choir vers le bas mais bien dans toutes les directions en une emportement de magie terrestre puissant. A travers Finaen, le « Maître des Roches-mortes » nous avait relativement salué, puisqu’il ne fit que le constat de notre présence, un instant avant ce délire de mouvement plus que dangereux. Livio empêchait les pierres de nous percuter alors que Grom était heureusement en pointe. Tous usèrent différentes méthodes pour essayer de ce tirer de ce guêpier, jusqu’à ce que Grob ne plante sa hache contre le mur en même temps que le grappin de Sorn, nous éclatant tous sur Grob se balançant dans le vide. C’est instant gênant d’entassement ne dira que quelques brèves secondes avant que l’effet magique qui nous baladait sous terre nous expulsa enfin à l’extérieur à l’endroit où il voulait nous mené. Comme si le sol éclatait en laissant un groupe d’aventurier apparaître, on pouvait rejoindre nos esprits en réalisant la beauté irradiante des lieux : C’était vraiment inspirant, une splendeur magnifique baignée dans la lueur du crépuscule tombant sans jamais réellement disparaître.

Des pierres de cristaux de terre errantes doucement dans les cieux en des harmonies de lueurs d’or et d’ambre. Il y avait une arche au loin de la route, après un instant de marche dans cet environnement enchanteur défiant la cohérence réelle quand on voyait les pierres élevées, parfois stable et à l’envers, ne donner aucun sens à ce lieu. Celle ci se trouvait devant strictement rien du tout. Avait-elle oubliée d’être une porte ? La réponse intervint rapidement après une courte enquête. Ce qui était inquiétant, c’est que Finaen reconnu vaguement quelques vestiges d’Allag dans cette magiscologie si étrange. Runne déposant sa main dessus, vit l’arche se mettre brusquement à tournoyer en cercle encore et encore, jusqu’à ce qu’à l’intérieur une lumière paisible apparaisse. Des sphères mêlées de pierres tournoyaient ici et là, pendant que certains s’émerveillaient alors que d’autres œuvraient : les antiques Allagois qui avaient jadis bâtit cela en harmonie avec les forces élémentaires terrestres pour créer une véritable synergie qui n’avaient visiblement pas encore été éteinte.

Du fond de l’arche, jaillit grandement le passage après un instant et encore plus quand nous avons fini par aligner les faisceaux éjectés par les sphères droit vers l’intérieur du portail. Il fallait faire vite, car l’entropie du manque de cohérence dans sa canalisation rendait tout très chaotique, des éclairs vrillant l’espace en frappant aléatoirement un peu partout alors que Grob se tenait devant en jugulant les vents hurlants qui essayaient de nous aspiré en ce lieu sans sens encore défini pour y être déchiquetés. Peu après avoir pu stabilisé le passage, grâce aux connaissances sur l’archéologie Allagoise de Livio et aux efforts de chacun pour mettre en place le portail pendant que Finaen empêchait les vents hurlaient de nous atteindre, Sorn bondissant de sa sphère surchauffée avant de prendre feu. Un visage abominable d’une créature abjecte, mêlée aux pierres d’un élémentaire souillé par la corruption de l’éther de Bahamut, apparut d’un coup. Saisissant Grob d’une griffe monstrueuse, les deux disparurent aussi-tôt dans le passage. Sans atteindre, et malgré la plainte de Sorn quant à l’idée de ne pas savoir où nous finirons. Je dois dire que nous avons tous sauter à sa suite - on abandonne pas un compagnon. De toute façons, notre mission devait se trouver derrière ce passage. Pour récupérer la Sphère terrestre.

A travers ce passage, l’instant ne fut pas si long je dois dire, mais il était particulièrement intense et splendide. Nous étions propulsés à toute vitesse au milieu d’innombrables lueurs bleutés, nos compagnons ressemblant comme à des feux-follets mêlés à ses lueurs cristallines splendides. Sorn semblait bien s’amuser, tournoyant un peu en profitant pour une fois d’un instant véritablement magique lors d’une de nos aventures comme si tout n’était que beauté et reluisante pendant un instant précieux. Mais pour Grob, c’était différent, on le voyait devant nous en train de se battre avec la créature subjuguée en envoyant sa hache chercher à atteindre la pierre et les écailles de l’ancien élémentaire transformé. Jusqu’à ce qu’un poing ne le frappe, l’envoyant valser dans les lueurs éthérés en créant des éclats de cristaux brisés dans tout les sens. Il fallait bien être Grob pour même au milieu du chaos, parvenir à briser tout de même la réalité lors d’un impact puissant ! La sortie nous vint dans un éclair blanc puissant, jusqu’à nous remettre d’un coup sur pied – Sauf Grob qui vola au sol brusquement en créant un petit sillon de terre au sol. Derrière nous, le portail éclata d’une grande lueur, et Namiko fit son apparition inattendue.

Adel’Delroy avait pu faire venir notre dernière camarade auprès de nous, mais involontairement, elle n’était pas la seule à avoir pu atteindre ce lieu depuis qu’il l’avait découvert : Les chaînes rouges de Grim étaient déjà là. Autours de nous, ils investissaient la place du temple du Maître des Roches-mortes veillant sur ses lieux, en préparant diverses odieuses pratiques. Mais l’endroit était époustouflant : On voyait le monde comme si une installation technologique ancienne avait été sortie de sa grotte, et pourtant continuait d’être constituée de la même façons. De la sorte, nombreux étaient les objets flottant tranquillement dans les cieux, l’ensemble conduisant à un étrange dôme de cristal d’ambre avec un pont de ce même cristal qui commençait toutefois à recevoir la charge de l’énergie de Bahamut. Tous se sont rués vers différents objectifs pour les arrêtés, Grob fonçant comme vous l’imaginez bien, vers l’adversaire le plus immense ! Ainsi, prenons les actions de mes compagnons étapes par étapes. Finaen tissa un lien entre les chaînes d’un Raen prisonnier et lui pour apparaître aussi tôt. La rapière brisant brusquement ce qui le retenait en repoussant un élémentaire touché par la subjugation de Bahamut. Il devait se débattre pour ne pas recevoir de contre-offensive de leurs part, tout en délivrant le prisonnier Raen avant que celui ci ne s’écrase dans ses bras. Il avait bien vu que le prisonnier était un fort risque, en voyant les chaînes rouges l’utiliser pour créer une véritable dévastation dans les environs afin d’affaiblir et détruire les antiques défenses. Maintenant libre, il n’était néanmoins pas si sauvé que ça : C’était malheureusement trop tard pour lui, une chaîne rouge passant dans son dos en dévastant une partie de son corps qui tomba en poussière comme si il n’était que cendre intérieurement. Finaen ne pu que le traîner doucement, afin de lui permettre au moins d’accomplir sa dernière volonté.

Dans une lutte acharnée, Namiko et moi avions lutés contre les sortes d’automate de défense du Roches-mortes. Un mélange savant entre des pièces de technologies anciennes et des larges pans de roches élémentaires formant des guerriers quadrupède portant une lame et un pavois. Ils ne furent pas une mince affaire, les sorts et le tranchant de mon sabre ne cessant de tomber dessus. Mais la Paladine affranchie montra l’étendu de sa ténacité et parvint à recevoir les chocs de toutes les lames en même temps avant d’avoir une ouverture pour trancher nos ennemis d’un grand coup de sabre. Les flancs sécurisé, c’est du côté de Livio que le plus gros dégât eu lieu un instant. Assisté par Eloise et Sorn, il avait directement foncé vers les Chaînes rouges qui essayaient d’investir l’endroit en utilisant un de ses simulacres des griffes de Dalamud reluisant encore d’énergie accrochées aux plateformes surélevées dans les airs tout en produisant de cette énergie corrompue. Au milieu de leur formation proche des grappins des brigands installé autours de la griffe cristalline, leur commandant se trouvait juste à côté. C’était un massif invocateur désireux de devenir le nouveau chef du conseil de Grim après la mort de Silf lors de la bataille du rameau de la calebasse. Rieur et charismatique, ses hommes semblaient l’apprécier en agitant leurs épées en résonance à ses appels jusqu’à ce qu’il se tourne lentement vers Livio qui lui fonçait dessus en se préparant à accepter le combat à venir.

Mais il se bloqua sous la surprise en envoyant un coup de poing dans le vide tout en constatant que Livio venait de passé à côté de lui sans interrompre sa route pour continuer son chemin afin de levé sa pistolame, un claquement sec de sa cartouche utilisée pour exploser la source de leur pouvoir dans une ondulation de lumière incroyable laissant les morceaux fissurés partir dans tout les sens. Il était bouche-bée, et ce n’était pas le seul, face à la violence de l’impact. Le temps de réalisé, Eloise avait mené son Egi-Garuda pour rompre les cordes des grappins avec Sorn à côté qui s’employait à tirer vers les survivants. Leurs actions jugulèrent grandement leur arrivée, du moins, jusqu’à ce que leur chef ne fasse tout éclaté dans un faisceaux d’énergie flamboyante. En retour il reçu une myriade de tir venant de la tourelle de Sorn ne cessant d’impacter le massif Elezen jusqu’à ce qu’il chute sur le dos. Elevant doucement sa main en priant à Grim qu’il arrive à offrir la liberté avant qu’il n’use des restes de l’éther corrompu des environs pour tout faire détonné. Il cherchait à remonter droit vers le pont de cristal un peu plus loin. Les déflagrations s’arrêtèrent au mur de glace de Runne qui essaya de son mieux de tenir, après avoir parler à un étrange vieillard en habit brun le recouvrant, qui nous suivait en parlant au nom du maître des Roches-mortes, son but était de parvenir à atteindre la sphère sans qu’elle ne soit touchée par quoi que ce soit.

Grob non loin de là avait livré un combat dantesque face à l’élémentaire de pierre affecté par la subjugation, retenant les coups portés par des poings immenses tout en lui brisant un bras, et ce jusqu’à ce que la hache du massif guerrier fini par traverser chocs après chocs le cristal orange qui avait souillé l’intérieur de cet élémentaire. Installé sur les décombres ravagés, observant les environs, nous avions tous arrêtés les chaînes rouges ainsi que les défenses anciens de ce qui ressemblait de plus en plus à un refuge pour rescapé datant d’après les innombrables fresques reluisantes au sol, de l’époque où l’Empereur Xandes souhaitait conquérir un autre monde. Après qu’Eloise et Livio aient fini de faire usage de la machinerie principale en orientant les cristaux, pour réactivé des pièces et espaces oubliés, une brèche s’est formée dans la sphère même au loin. Dévoilant au coeur de celle ci le noyaux élémentaire terrestre qui alimentait l’ensemble et nous attendait. Mais il fallait encore passé outre la bande d’automate rocheux qui nous barraient encore la route en progressant lentement sur le pont de cristal.

Certains de nos compagnons eurent plus de difficultés à nous rejoindre. Sorn avait été fortement frappé par l’effet des explosions et Finaen qui soutenait encore son rescapé Raen contre son épaule offrit au moins à notre camarade un peu de soin pour le remettre d’aplomb. Mais Namiko veilla particulièrement sur lui jusqu’à même lui attraper le bras pour partir à toute vitesse nous rejoindre alors que nous avions déjà engagé la route vers le noyaux. Quoi qu’il pouvait nous y attendre, le risque était que les forces de Grim, voir Grim lui même se décident à ne pas nous laisser atteindre nos objectifs final après toutes les difficultés à atteindre le fond de ce temple perdu. Cela dit dans l’instant, le problème venait surtout de ses maudites défenses ! Un surveillant descendait lentement de sa lévitation, une sorte de fin automate sans jambe, uniquement des bras et un œil unique brillant d’une lueur d’ambre en nous fixant, agitant doucement les mains dans des cercles bleutés concentriques rassemblant des runes qui servait visiblement à manipuler la cohérence du pont. Il se mit à se déplacer un peu n’importe comment, cherchant à avoir un autre sens, à nous faire tourner, nous élevé, nous abaisser, pour donner l’initiative à ses automates de nous arrêter tout en nous déstabilisant suffisamment pour qu’ils nous massacrent.

Les vents projetés par Finaen, Runne et Eloise aidèrent grandement en premier temps à ce que Livio et Grob progressèrent alors que Sorn et Namiko rattrapaient leur retard. Mais ce vent hurlant devint rapidement une aide pour que nos pas trouvent les bons emplacements afin de ne pas tomber dans le vide. Des tirs frappaient un peu partout venant de la tourelle de Sorn tournoyant en l’air pendant que Livio rapidement accompagné par Namiko soulevant son bouclier en bousculant, frappant les automates tout les deux. Ce fut un instant de combat plutôt radieux, au vue des reflets d’ambres apparaissant partout autours de nous dues aux cristaux, et le superviseur n’à rien pu faire pour arrêter la machine de siège. Le guerrier, le Grob, progressant à toute vitesse en avant en bousculant des automates dans un rugissement laissant un échos de sa bête intérieur résonné dans les environs. Les murs de cristaux ? Il passait à travers. Les combattants en bouclier ? Il passait à travers. Même le superviseur semblait circonspect peu avant que Eloise ne lui tape dans l’œil – avec sa magie, j’entends. Il s’abaissa peu après le déluge de tir de Sorn pour disparaître à nos pieds : Grob en premier, suivi de Livio et Namiko avaient tous ensemble marcher sur le superviseur tout en progressant à toute vitesse vers l’intérieur de la sphère. Ici, le sol était d’une roche brune taillée avec une touche artistique surprenante, mais inquiétante : A mesure du temps, elle s’était modifiée pour devenir une sorte de gravure désignant Grim qui tend un bras vers le nouvel astre. Tout ce lieux avait été fait pour se prémunir un jour des danger de Dalamud, ayant évoqué la possibilité des nouveaux astres naissants jusqu’à ce qu’au moins un apparaisse vraiment. Celui de Grim, et les énergies élémentaires avaient réagit en réaction à cela. Autours de nous, les environs étaient mêlés aux cristaux sublimes nous entourant, créant une distorsion agréable de la vue, mais la problématique n’était pas vraiment autours de nous. Mais bien au dessus.

Une tempête enflammée tournoyait rapidement autours du sommet de la sphère, quelques arcs foudroyant d’un rouge intense dévoilait bien la le pouvoir de Grim qui essayait d’impacter les lieux pour récupéré le noyaux avant nous. A côté du noyaux, le vieillard en habit brun nous réapparut, expliquant qu’il était un fragment de la conscience du Maître des Roches-mortes : L’homme qu’il fut jadis avant d’être sacrifié pour créer cette connexion élémentaire. Pour récupéré le noyaux en toute sécurité, il nous fallait l’accord de sa conscience complète, et pour ça il devait reprendre forme. S’installant en touchant le noyaux, il était en train de lentement être noyé dans les roches quand la sphère éclata soudainement envoyant des myriades de débris de cristaux un peu partout. La tempête nous tomba droit dessus, mais le Raen récupéré par Finaen pu enfin avant de tomber en poussière accomplir sa dernière œuvre. Sacrifiant le peu de force restante dans ce corps mort, étendant l’éther dans une puissante lueur, il disparut en poussière lentement s’éparpillant dans un souffle paisible. Runne en profita pour directement amplifier cet effet, ne voulant pas que ce sacrifice soit vain, empêchant parfaitement que le moindre éclair de cette tornade effrayante ne nous impacte en une lueur purificatrice agréable. S’élevant lentement devant nous, le Maitre des Roches-mortes, un massif gardien de pierre ressemblant à une statue finement taillée levant une étoile du matin en guise d’arme. Livio et Grob chargèrent ensemble en impactant brutalement son torse dans des chocs puissants, je suivais sur le flanc en y frappant mon sabre alors que Namiko cognait de son bouclier contre sa jambe pour distordre son équilibre. Pendant qu’Eloise le bombardait de sort avec Sorn tirant comme il pouvait, Finaen faisait tout pour garder un lien dans l’éther des roches présentes pour essayer de distordre l’incarnation de plus en plus fort.

L’instant d’après, il nous à balayé. Balançant tout nos compagnons par terre d’un choc terrible, tout en amenant les magiciens droit vers lui dans une frappe terrestre. La fumée était partout autours de nous, il levait lentement l’étoile du matin avant que nos assauts ne brisent son arme et son bras, Grob qui avait planté sa hache dans son épaule fut balancé proche de Runne qui fut sorti de là en vitesse par Namiko qui remettait sa propre épaule en place dans un cri de douleur. Il mettait enfin un chemin à terre… Jusqu’à ce qu’une chaîne rouge perça la protection finale. Immense, et reluisante d’énergie, la chaîne tournoya autours de sa gorge et chercha à lui arracher quelque chose de ses entrailles.

L’écho du cri de Grim se faisant entendre en rugissement de rage alors qu’il voulait, d’où qu’il soit, récupéré le noyaux à travers le golem directement. Réagissant rapidement, la chaîne fut brisée par un bombardement de sort ainsi que Livio qui grimpa tout le long de sa carcasse jusqu’à ce que sa pistolame ne s’écrase sur la chaîne grandement fragilisée par Runne, Finaen et Eloise. Ce jusqu’à ce que le tir de Sorn ne traverse le maillon qui éclata en détruisant l’influence de la tornade enflammée, laissant le cri de Grim ne rester qu’un échos éloigné. Le rayonnement d’argent de Namiko frappa en plein torse le golem dont j’avais dévasté le bras pour l’empêcher de nous frapper de nouveau, Grob s’écrasant dessus en le frappant de ses poings, encore et encore, malgré l’état inquiétant de son bras gauche. Quelques instants plus tard, s’en était fini. Il abandonnait dans un rire rauque et puissant, Grob retenu par Finaen et Livio pour ne pas qu’il s’acharne à briser le gardien qui nous offrit ce qu’il fallait pour obtenir la sphère : Son accord. Extirpant de son torse le « cœur » de son incarnation, ce dernier est justement ce qui devra atteindre le météore lui même pour être usé avec le sceau du bastion blanc. Dès qu’il fut récupéré, toute l’installation pu s’éteindre autours de nous en plongeant les lieux dans un calme paisible. Nous profitions la splendeur de cet endroit perdu au milieu de nulle part dans une terre dévastée alors que les éléments technologies tombaient des cieux doucement, privée de l’énergie les rendant actif. Le dernier élément entre nos mains pour en finir avec Grim et son projet. Il est grand temps de s’intéresser à notre dernière mission : arrêter Grim définitivement, et empêcher le météore des chaînes rouges de frapper la Sylve. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’éveil de la Mort de Fer."

Cent-quatrième Entrée – « Acte 2 – La conscience de Byregot.»

«Cela faisait quelques temps que nous n’avions pas entendu parler de la Mort de Fer que l’Eyri souhaite toujours comprendre depuis qu’ils ont fait route jusqu’à l’Oasis oubliée pour en savoir plus sur cette mystérieuse affaire Allagoise. Après l’assaut des Amalj’aa nous accusant d’apporter la Mort de Fer jusqu’à leurs terres même, l’étroite surveillance notamment de Finaen se poursuivait pour empêcher quoi que ce soit de devenir une véritable menace pour Sagoli. Malheureusement, il fallait aussi s’attendre à ce que les Amalj’aa de Zan’rak réagissent eux aussi pour que rien ne quitte le désert pour venir les gênés – quitte à ce que ce soit en massacrant toutes personnes au nom d’Ifrit au passage, ce qui était il faut bien l’avouer, un atout de taille ! Ainsi dans l’Oasis oublié, proche de la caserne des Immortels alors que la tribu solaire locale s’occupait comme de coutume de ses affaire,s nous avons été réuni par Finaen. Visiblement, une troupe des immortels aurait perdu le contact à cause d’un dérèglement de l’éther et il s’agissait d’aller vérifier. A la normale, c’est un petit groupe d’éclaireurs militaires qui auraient du être envoyés. Mais avec les récentes informations quant à la menace de la Mort de Fer, et sa présence en ses lieux, mieux valait être plus que prudent. Il était plus que possible que la foreuse où se trouvait le cœur de cette affliction empêchant les perles des engagés des Immortels de fonctionner serait typiquement là où des problèmes leur étaient tombés sur le nez. Je me souviens qu’ils usèrent comme d’une torche Amalj’aa lors de notre première rencontre avec les scarabée mécaniques de la Mort de Fer, alors pourquoi pas une foreuse ?

Et c’est là que nous irons en travers le désert de Sagoli pour essayer d’en comprendre plus sur ce que les Amalj’aa veulent arrêtés. Notre équipe fut constituée d’un plus petit groupe d’intervention que l’habituel : les compagnons de l’Eyri principalement, constituant Karol, Runne et Finaen tous ensemble. Et nous nous y ajoutions avec ce sacré Sorn ainsi que l’énorme Grob dont la main gauche devait encore être en soin intensif, ne laissant plus qu’à espérer qu’il n’aurait pas trop à s’en servir. Malgré le jour dont le soleil errait bien haut dans les cieux en ce lieu si chaud du Thanalan, une brise de vent frais passait agréablement en travers nos équipements pour nous offrir un peu de fraîcheur agréable. Sauf pour Grob, dont l’armure était trop massive pour réellement être concernée par les vents qui nous accompagnaient. Au moins Runne jouait encore ce petit rôle d’homme de glace offrant le froid en générant quelques lueurs des givrés convoqués autours de nous. Tous s’occupaient en vérifiant les environs tout en progressant doucement le long du désert, alors que pour ma part je progressais régulièrement sur des dunes de sables pour observer les environs avec l’éthérimètre que j’avais très sympathiquement pris à Livio – c’est à dire, attraper sur son bureau sans lui demander ! Afin de retrouver la trace de cette fameuse énergie rose inquiétante que nous avions déjà aperçue la dernière fois. Et si ce n’est les habituels réglages de l’état élémentaire d’un désert que Runne trouva parfaitement logique, cette prédominance du feu allait cela dit être réellement gênante sous peu.

Car au milieu de cet éther se retrouvait les fins filament des énergies roses liés à la Mort de Fer parcourant le sol comme autant de tissu de câblage perdu sous le sol. J’allais descendre de ma dune de sable tout en glissant jusqu’à mes compagnons pour leur en parler, alors que ses derniers apercevaient maintenant la fumée de la foreuse de Byregot qui était notre destination initiale. Mais lors de ma descente, une puissante explosion résonna non loin d’ici lors d’une saturation de cet éther de feu. L’objectif le plus proche primant, nous avons accouru pour découvrir ce qui pouvait bien se passé avant de retrouver après avoir escalader une dune de sable pour arriver dans les hauteurs, une scène des plus curieuse. Il n’y avait strictement rien de visible à l’oeil nue, seulement des bombos flottant idiotement dans les airs en petite bande autours de la trace que l’explosion avait généré. Autours de nous, plusieurs élémentaires de feu étaient sur le point de jaillir ce qui pouvait expliqué que la rencontre des deux aient provoqué des fortes déflagrations.

Pour ma part j’avais immédiatement une pensée : L’explosion n’avait pas spécifiquement quelque chose de naturel, et avant de penser au comment et pourquoi il était possible que des bombos se tiennent là, je préférais en avoir le cœur net. L’éthérimètre décela une présence, et compte tenue des informations de notre dernière mission, cela devenait évident. La machinerie était sous le sol ! Pour l’extirpé d’ici, rien de tel qu’une puissance de la nature comme Grob pour qu’il extirpe l’objet de là pendant que nos compagnons pouvaient nous offrir un soutiens pour empêcher les ennuis les plus proches. Karol et Runne allaient se charger d’empêcher les élémentaires de feu d’atteindre les bombos prompt à nous faire éclaté. Alors que Sorn veillait sur nous avec des bouchons en caoutchouc tirant sur les bombos pour les éloignés comme si il voulait atteindre tout les ballons dans un jeu de tir du Gold Saucer. Arrivés tout deux jusqu’à l’emplacement de l’explosion, Grob écrasa sa hache brutalement dans le sol dans un bruit métallique puissant. La machine était bien là ! … Et le premier bombo à côté de moi explosa.

La déflagration du bombo m’envoya paître dans le sable sans trop de dégât, mais bien sonnée que j’étais, je recrachais au possible tout ce qui était dans ma bouche en maudissant le désert. Grob n’avait pas beaucoup été agité, la déflagration ne le regardait pas tant que ça mais je lui disais de faire sortir rapidement ce qu’il y avait dans le sol. La détruire n’était pas une bonne idée dans une mission d’investigation si on voulait enfin en savoir plus sur la Mort de Fer, aussi eu t-il prit le temps avec moi quand je parvins à l’atteindre de retrouver les premiers morceaux de la machine. J’y installais mon grappin après un sort terrestre quelque peu inutile, jusqu’à nous faire tirer tout les deux le plus fort possible pour le sortir de là. Plus loin, Karol continuait d’essayer d’attiré les élémentaires ailleurs pour les tenir éloignés en leur offrant un point d’intérêt intriguant pendant que Runne qui avait gelé les bombos dans une fine couche de glace au début, vint très rapidement à son aide. La tornade convoqué par les vents du Miqo’te fit tournoyer dans tout les sens les élémentaires ce qui au moins nous offrit un temps considérable pour nous débarrassé de l’effet qui pouvait bien les attirés ici. Malgré ses tentatives, Sorn avait du mal à éloigné les bombos avec ses bouchons sans risquer de les faire explosés. Et en parlant de ça, alors que nous venions de récupéré la machine, une nouvelle détonation secoua bien plus Grob et me renvoya au sol douloureusement en me laissant y voir particulièrement flou.

Au moins peu de temps après, la machine fut dévoilée, et le bouclier de Finaen m’avait au moins permit de bien moins recevoir comme choc intense – si ce n’est ce maudit sable dans ma bouche toujours aussi gênant ! Plusieurs des bombos s’éloignaient maintenant, à cause des bouchons de Sorn pour pouvoir le poursuivre lui à force d’être agacés de recevoir des bouchons encore et encore en venant s’éclater proche du machiniste qui se prit un de ses propres bouchons dans la tête. Quant à la machine, j’avais à vrai dire une idée : Elle usait des énergies élémentaires liées au feu pour l’amener quelque part, l’accumulé, en récupérant la force des explosions dues au choc répétés de la confrontation involontaire des élémentaires et des bombos. Qu’adviendrait-il si je gavais la machine d’un éther bien différent ?

Grob arracha brutalement un câble dont l’énergie volée s’extirpait et partait dans tout les sens un instant avant que je ne fasse apparaître la foudre dans la machine avec une grande intensité. Des salves foudroyantes apparurent au sol autours de nous avant de prendre la direction de la foreuse. Quelque chose là-bas se gavait de cette énergie et avait du accéléré avec notre arrivée. Finissant de récupéré la machine grâce à Grob pour une étude approfondie afin d’en savoir plus sur nos ennemis possédant les scarabées de métal. Au moins, Runne et Karol avaient fini par aider Sorn à se débarrassé des bombos qui n’avaient plus vraiment de raison de s’approcher de la machine tout comme les élémentaires cessaient de jaillir avec le sabotage de la machine que Grob traînait avec lui après l’avoir arraché du sol. Il fallait suivre la salve d’éclair qui menait droit au loin à la foreuse et nous nous sommes prit en vitesse en route. Plus nous progressions, plus les environs étaient dangereux et on pouvait clairement fois les effets sans même avoir besoin de mon éthérimètre alors que tout laissant des chocs explosifs, des arcs foudroyants frappant autours de nous, que Runne et Karol essayaient de canalisé le plus possible pour les empêchés de nous massacrés dans des lueurs magnifiques.

Nous nous occupions de nous défendre face au monde environnant, mais il y à quelque chose que je ne pouvais pas laisser passé : dans le sol, des machines identiques à ce que Grob gardait sur l’épaule – mais loin d’être capable de trancher toutes les machines et leurs câbles sous le sol, je me contentais d’envoyer des kunais les plus voyant possible autours de nous pour montrer l’emplacement où il fallait frapper. Deux de nos compagnons occupés avec la défense de notre équipe pour s’en charger, heureusement, Finaen saisit l’opportunité pour géré des éclairs tombant des cieux droit sur les kunais conducteur en produisant des myriades de déflagrations sur notre chemin. Sorn travaillant au fusil pour que rien ne nous échappe proche de nous, et ce, jusqu’à atteindre la foreuse. Il y avait beaucoup de bruit, et ma première réaction due être de retirer en vitesse mon éthérimètre à cause de l’intensité chaotique de l’éther environnant. Ce fut douloureux, hélas ! Au prix de cette douleur, j’avais découvert que toute l’énergie accumulée depuis les câblages souterrains menaient tous droit vers une sorte de tour à côté de la grande foreuse qui rayonnait de cette force intérieur. Voilà un objectif important, tout nos compagnons finissant d’atteindre les lieux en s’extirpant des problèmes laissés dans notre dos. Il fallait faire quelque chose pour arrêté la tour, et vite, mais nous avions encore un gros problème. Ça aurait été certainement plus facile si les Amalj’aa n’avaient pas déjà investit les lieux en se chargeant d’assaillir les Immortels et les Torches d’Acier qui luttaient pour leurs survies.

Des blessés s’accumulaient autours d’un médecin débordé par les problèmes autours de lui sans pouvoir traiter des vies sur le point de se perdre. A ce moment là à mon grand regret ils n’étaient guère une priorité bien que j’espérais confier à Sorn la tâche de veiller dessus, il se joignit à moi pour assaillir ce que je pensais être un des éléments les plus important et dangereux : le Totem Amalj’aa à l’effigie d’Ifrit. Peu envieuse que quiconque à défaut d’être blessé, finisse par être subjugué ou sacrifié au nom du Seigneur des Enfers, je dispersais quelques objectifs avec une vieille habitude militaire peut-être un peu mal placé - la plus part se connaissant et œuvrant déjà de pair depuis fort longtemps dans l’Eyri ! Et ainsi Runne vint s’installer proche des blessés avec Finaen en commençant pour sa part à essayer d’intervenir à distance sur la grande tour. Ses effets magiques disparurent sur le bouclier entourant efficacement le noyaux même de la tour alors que les scarabées de métal se firent d’un coup bien plus menaçant, envahissant les lieux en affrontant les Amalj’aa juste à côté des Immortels blessés.

Finaen et Runne luttèrent avec acharnement où nous pouvions voir les lames trancher les chairs des hommes bêtes et la foudre ainsi que le vent chercher à repoussé les scarabées. Ils étaient trop nombreux cela dit, et le pauvre médecin n’arrivait pas à se débrouiller pour maintenir efficacement ses patients en vie avec un tel foutoir autours de lui. Si bien je le crains que plusieurs perdirent la vie, une scène atroce même d’un des scarabées de métal rampant sur un blessé pour lui perforé l’oeil d’un de ses pattes. Cela resterait dans mes cauchemars comme une des scènes d’atrocités d’un combat qui me reste encore dans la caboche. Au moins cela permit à Karol rapidement d’essayer de venir en aide, légèrement trop tard je le crains, mais il prit le temps de s’occuper de Runne et Finaen recouvert de nombreux saignement après s’être exposés directement à la menace en les laissant tout deux un genou contre le sol. Pour ma part j’avais en tête d’affronter directement les mages Amalj’aa, trop consciente de ce qu’ils pouvaient produire comme effet de magie, mon apparition permit aussi tôt de trancher deux têtes pendant leurs prières avant de faire face à celui qui se tournait brusquement vers moi et Karol, le Lalafell s’acharnant à brutalisé le totem sur le point d’être détruit, des fissures apparaissant ici et là.

Sorn tirait encore et encore de son arme à feu pour les abattre, mais il fut attraper par une langue flamboyante avant d’être étalé au sol fortement. Le dernier escomptait nous tenir tête le plus possible pour défendre son totem sacré, que Karol fini par investir par des forces terrestres jusqu’à son explosion un instant après que j’ai pu empalé le mage sur son propre totem d’un coup en estoc net. Ceci fait, il pu rejoindre les autres maintenant que les forces du primordial Ifriit avaient grandement été affaiblie dans l’éther environnant. Laissant pleuvoir une véritable tempête de feu autours de nous, ce pauvre Sorn qui luttait pour tirer recevant un trait enflammé supplémentaire alors que je me chargeais de trancher brusquement les derniers mages restant de mon sabre. Le machiniste aux cents charmes qui avait fini par se relevé intervint pour aider Grob. Pendant tout ce temps, notre massif guerrier luttait contre une sorte de création mécanique constitué de myriades de morceaux de métaux rattachés m’évoquant douloureusement les œuvres d’Exstasia. Elle même avait une touche s’approchant d’Allag au vu de son passé, mais celui ci était clairement l’œuvre de la Mort de Fer qui avait créer ce monstre de métal que le guerrier n’avait eu de cessé d’abîmé de plus en plus dans des coups titanesques. Dès que la machine perçue Sorn qui tirait dans sa direction, elle ouvrit grand la bouche pour préparer un rayonnement surpuissant avant de les désintégrés, mais celle ci fut obstruée par le sable de Karol et quelques tirs de Sorn essayait de le perturbé.

Prit en étaux, il reçu mon sabre sur le haut du crâne et la hache de Grob dans la mâchoire pour lui faire fermer la bouche, ayant eu pour effet de le faire subitement explosé de l’intérieur. Ses débris volant ici et là, nous sonnant un peu, il y eu comme une attente paisible après que toutes menaces aient été écartés en nous laissant qu’une cible : La tour. Plus le temps passerait, plus elle générerait de puissance qu’il fallait en vitesse arrêté. Finaen et Karol s’occupaient de leurs blessures et de celle des Immortels pouvant encore être sauvés, il fallait donc faire avec Sorn qui trouva plusieurs des failles structurelles dans la tour permettant de mieux atteindre sa destruction. Les vents d’éther de Runne accompagnait mon sabre, et malgré la douleur intense à mon œil à travers l’éthérimètre pour trouver les câbles sous le sol, nous coupions ainsi l’alimentation et les sources générant le bouclier ce qui fit que quand le choc titanesque de Grob s’éclata contre le bas de la tour, rien n’aurait su la protéger. Elle chuta, s’éparpillant sur le côté dans un grand amas de fer explosant en dévoilant la conscience au cœur de Byregot : Le cristal rose fait de nombreuses lignes concentriques allagoise parlait. D’un ton mécanique rappelant les automates communs à leurs œuvres, mais sans l’aspect saccadé effrayant des créatures d’Exstasia.

Usant d’un protocole de défense, elle voulu se recouvrir de plaque de métaux pour créer une nouvelle machinerie de combat. Repoussant les plaques et essayant de distordre l’énergie, Grob saisit le cristal qui continuait à fonctionné et à parler d’une histoire de citoyen que je ne pu comprendre. Au moins, tout le monde avait commencer à essayer d’extirpé l’énergie du cristal pendant que Grob et Sorn repoussaient les débris. Le problème, pour moi, c’est que je ne pu relâché le cristal : Les lignes concentriques s’agglutinaient sur mon bras désormais, et rapidement tout le monde vint à mon aide pour que je puisse relâché ce maudit cristal. J’avais moi même prit un temps de concentration, et en rouvrant les yeux, le cristal se tenait loin de moi. Runne le récupérant maintenant qu’il était vide d’énergie, la mission au moins malgré les pertes était plus qu’accomplie. Nous n’avions pas seulement empêché la menace de s’éteindre, mais peut-être que grâce à la machine portée par Grob et à la conscience de ce cristal allagois. Nous pourrons enfin avoir une piste sur ce que peut bien être la « Mort de Fer. » Et ainsi l’arrêté définitivement. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"La lignée maudite des Delatour."

Cent-cinquième Entrée – « Acte 2 – Une marque sur une nouvelle proie. »

« Après quelques temps passé et la mise en sécurité de Georgios. Nous aurions pu espérer qu’il ne se passe plus autant de problèmes que nous en avions vu autrefois en Brumebleue. C’était le même genre de soucis : Un fort manque d’éther voir une absence total là où les suppôts du chasseur avaient du faire une ponction et récupéré ce qu’ils voulaient des pouvoirs et des bêtes autours de la tour de garde Est. Il y avait un mince espoir que la garnison soit en vie si les lieux affectés par ce manque d’éther étaient si proche de là, mais j’avais des doutes. Surtout en me souvenant de ce qu’il s’était passé dans le chaudron de la dernière fois en trouvant un véritable ragoût de corps pour les faire disparaître. Mais cette fois, il n’y avait pas de Georgios, alors qu’est-ce que nos ennemis pouvaient bien rechercher en ce lieu ? Je crains que c’était grandement à nous de le découvrir, mais au moins nous avions reçu pas mal d’informations venant de Finaen et Runne lors de leurs enquêtes pendant la semaine passée. Ils avaient découvert la marque d’un œil clos venant d’une vieille mission portant le doux nom de Nocta Ombra. Cela proviendrait donc d’un démon ayant jadis été renvoyé dans leur néant par nos deux compagnons et leur équipe laissant suggéré que ses suppôts sont en train de produire une collecte d’éther pour renforcer leur maître. Quelques intéressantes découvertes furent portés sur leurs faiblesses, notamment celle curieuse de l’affliction de l’eau sapant leurs protections. Pratique ! Il nous restait encore à découvrir comment ils orientaient leurs assauts et pourquoi maintenant que la marque des Delatour de Georgios ils ont pu continuer les chasses.

Pour ce faire, nous avons été rassemblés une nouvelle fois par Corvus au camp de Brumebleue. Le Thanalan septentrional était toujours identique à lui même, sinistre et bleu avec l’impression que tout était sur le point d’exploser, et les Immortels en entraînement dans le camp donnait une impression de guerre à venir. C’est là que Corvus nous attendait, proche de l’éthérite, ou une grande partie de notre équipe vint nous rejoindre : Teris&Vaule attendait depuis un moment en taillant un magnifique petit scarabée en cage, et Kyuuji fut un des premiers à nous retrouver pour s’occuper de nos blessures. Ainsi, Y’koni et N’lamahni arrivèrent en même temps comme les deux amies qu’elles sont suivi de peu des derniers arrivant : Grob avait l’air de bien mieux se porter depuis les dernières missions et Corvus discuta un instant avec nous de l’objectif avant le départ. Rapidement, après avoir quitter les lieux, une impression de malaise nous gagna petit à petit.

Malgré l’hiver, il faisait tout de même plus froid qu’il n’aurait du l’être selon l’ambiance qu’il y avait en ville et elle s’y joignait à une sinistre impression d’être suivi. On ressentait une malveillance certaine, en arrivant de plus en plus vers notre destination, et il fallait bien faire en sorte de ne pas être prit trop vite en dépourvu. La plus part vérifiaient dans l’éther environnant qu’il n’y ait rien de problématique, si ce n’est Grob qui avançait l’air bien heureux de partir de nouveau en mission je dois dire pendant que N’lamahni profitait allégrement de son dos en guise de protection. Y’koni elle senti bien l’odeur du sang, elle était puissant, et de plus en plus à proximité. Un homme en tenue sombre se tenait à genou proche des zones d’éther manquant et semblait en pleine étude, il s’agissait à mes yeux soit d’un occultiste travaillant, soit d’un de ses maudits cultistes ayant voués leurs vies à se lié aux forces du néant. Heureusement, nous n’avons pas choisis la solution préventive d’un massacre et je restais à couvert pendant qu’ils discutaient avec. Teris&Vaule semblaient avoir de nombreuses questions à lui posé, au moins il fut découvert qu’il était plutôt sincère et travaillait tout comme nous à l’étude de ce qui pouvait se passé ici.

Bien que c’était curieux, pas mal de choses furent trouvés dans les environs pendant que je faisais le guet derrière mon caillou à identifier les potentielles menaces. Non loin, Y’koni faisait la même chose en gardant une flèche en corde prompt à décoché si il se montrait nocif, et pour l’heure il ne montrait vraiment rien de tel. Il étudiait une corne, celle d’une chimère brisée au sol, dont le cadavre fut retrouvé par N’lamahni et Grob en fouillant les environs tout en suivant la trace de sang. La bête était agonisante, ce qui déchira le cœur de Kyuuji qui ne pu rien faire d’autre que de laisser le massif guerrier Roegadyn mettre fin aux jours de la bête. Une fois massacrée, Kyuuji prit un instant pour récupéré quelque chose pendant que j’identifiais quelque chose dans la nuque de cet Elezen qui me faisait curieusement pensé à Georgois. J’appris plus tard qu’il n’avait pas l’air d’être un Delatour ni même d’être conscient de quoi que ce soit au sujet de cette famille. Et pourtant ce qui était très inquiétant, c’est que sa nuque possédait la marque identique à celle de Georgois. La marque qui attire les démons du chasseur en ce monde.

Kyuuji récupérait précisément ce qui avait mit à mort la chimère : De la poudre provenant d’épées se désagrégeant dont l’énergie du néant était plus que présente. Rien ne devait être prit au hasard car tout pouvait nous mené à la moindre piste censée nous apporter un moyen d’affronter et détruire le chasseur du néant qui poursuit la marque. Elles ne restaient pas incarnées bien longtemps après qu’elles furent sorties des plaies du corps desséchés, suffisamment pour les voir et s’en faire une idée. Sous le dépit de N’lamahni, Grob balançait des pierres vers le museau d’un basilic qui voulait s’occuper de dévorer la carcasse pour ne pas être gêné, mais il était à mon goût grand temps de partir – Nous ne pouvions simplement pas rester trop longtemps à attendre alors qu’il s’avérait plus qu’évident que la Tour de guet Est était en danger. Teris&Vaule gardait sous le coude cet occultiste du nom de Ludwig, et même littéralement puis qu’elles lui tenaient le manche de sa bure pour ne pas qu’il essaie de s’échapper maintenant que nous étions conscient de sa marque. Y’koni gardant un œil dessus très peu sereine à l’idée qu’il soit vraiment un homme de confiance. Dès que Kyuuji, Grob et N’lamahni revinrent, nous nous sommes tous mit en route vers la Tour de Guet en pressant un temps un peu le pas en espérant nous y rendre, rapidement l’impression de malsaine réapparue. Ainsi que des murmures rappelant ce qu’il s’était passé à l’autre Tour.

Pour l’instant, un schéma était relativement identique : Une cible isolée avec des sbires du chasseurs traquant dans l’obscurité toutes sources d’éthers jusqu’à attaquer la faune locale, cette fois elle avait frappé bien plus fort. La chimère n’était pas une proie facile, et pourtant elle gisait dans son sang plus loin. Et ce n’était pas la seule, bien malheureusement : Pour les Immortels, il était une seconde fois trop tard pour sauver qui que ce soit de plus que la personne marquée. Dans les faits, Ludwig devait partager le sort de Georgois en devenant une balise de chasse pour ses bêtes qui s’étaient installé dans le bastion le plus proche. Les cadavres n’avaient pas été mariné dans un ragoût mais étaient étalés en petits groupes de quatre, leurs corps horriblement desséchés comme si ils avaient été aspirés de l’intérieur ce qui ne manqua pas de créer des sueurs froides pour l’ensemble du groupe. Mais le pire, était la faille plus loin. Elle oscillait entre se clore et s’ouvrir pour laisser passer quelques créatures bien inquiétantes que nous ne pouvions dans l’instant voir mais rien que sa présence me donnait la nausée.

Fort heureusement, Teris&Vaule ainsi que Kyuuji s’intéressèrent aussi tôt à l’état de la faille pour la clore définitivement, notre élémentaliste des bois créant une paroi autours pour que rien ne s’en échappe alors que Grob se tenait juste devant au cas où quoi que ce soit ait le désirs d’en sortir. Le temps était à l’enquête et l’investigation, l’ambiance locale démontrait bien la problématique d’une présence infâme mais on pouvait au moins avoir l’espoir que quelqu’un ait pu survivre dans les environs pour nous expliqué ce qu’il s’est clairement passé. Malgré cet espoir faible, N’lamahni inspecta les hauteurs de la Tour de guet en recherchant le moindre survivant, mais pour l’instant il n’y avait rien d’autre que le calme sinistre et quelque chose qui la bouscula venant de nulles part. Cela se certifiait depuis les murmures : Nous n’étions pas seul. Pour ma part, j’inspectais les cadavres en espérant y déniché quelque chose de plus que le simple fait qu’ils soient mort. Autours s’y faisait ressentir l’infâme trace d’un de ses démons au service du chasseur – autant dans la pression exercée par les environs que dans cette sensation malsaine de proximité avec un être aussi impur. Néanmoins, pendant le travail de sape, le premier à clairement avoir identifier une de ses choses fut directement Ludwig qui projeta une flamme proche d’une des entités invisibles en essayant de l’atteindre dans un petit cri de surprise.

La fermeture de la faille fut doublée d’effort par Teris&Vaule comme si d’un coup elle désirait s’ouvrir de nouveau pour nous faire apparaître des créatures du néant alors qu’apparaissait notre premier adversaire. A vrai dire, il ne fut pas le plus puissant ni le plus dangereux mais possédait bien la forme de la même créature que nous avions découverte dans la tour de garde Ouest. Laissant suggéré que de tels créatures se renforcent énormément selon le nombre de personne qu’ils ont le temps de ponctionner avant d’être affrontés. Heureusement, cela ne devait pas faire longtemps qu’ils étaient là, et il n’était qu’un parmi tout les autres – Aussi tôt, Y’koni éclata une fiole aqueuse dessus avant que Grob et Runne ne laisse, oui, un Runne qui venait d’arriver à la tour à toute vitesse en usant directement d’un sort à son encontre. Elle fut, sous la pression de la purification de Kyuuji qui déjà le paralysait subitement, tranchée en deux par un bon coup de sabre avant de disparaître lentement en poussière. Était-ce déjà terminé ? Ce qui semblait bien facile fut rapidement remplacé par la pression de devoir agir en vitesse. Ludwig cria aussi tôt en levant le doigt vers le tas de cadavre : Petit à petit, bien plus de ses choses apparaissaient un peu partout autours de nous.

La plus menacée était N’lamahni, dont l’entité qui l’avait bousculée dans l’obscurité était un de ses jeunes traqueurs des ombres qui essaya de l’emporter avant de se faire attraper par un coup de fouet claquant pour être écrasé au sol. Elle découvrit rapidement que cette chose méritait de se faire abattre, et après quelques échanges de coups pour essayer de dévoilé et de faire face à son adversaire, elle s’en débarrassa. D’un javelot reluisant d’éther comme une foudre blanche prise en main, elle jaillit pour empalé brusquement sa cible en la laissant choir au sol, et de la même façons que les épées retrouvées par Kyuuji le corps de la créature se désagrégea dans les airs. En bas, plusieurs avaient fait par la suite leurs apparitions alors que Kyuuji se remit à fournir son aide pour la purification finale de la faille auprès de Teris&Vaule dans des impulsions d’éthers puissantes autours de ce qui voulait entièrement la dévoré. Les énergies refluèrent lentement vers le fond de la faille qui après quelques instant d’hésitation comme si elle ne savait pas si elle voulait accepter de se clore ou se débattre, ce ne fut rapidement plus qu’un mauvais souvenir. Les deux dernières créatures suivirent leurs exécutions – L’une écrasée par la présence de Grob qui envoya sa hache brutalement après qu’un sort de Runne ne l’ait frappé, le tranchant de l’acier du Roegadyn dévastant la créature en laissant un sillon de ravage sur la pierre tant l’impact fut intense.

Et la dernière après que j’ai pu la trempée avec ma gourde, reçue une flèche en plein dans un des organes vitaux qui n’était plus protégé par ses défenses habituelles depuis qu’il fut trempé. Si seulement tout nos ennemis pouvaient être ainsi fragilisé par de l’eau, j’emporterais des cristaux aqueux perpétuellement sur moi ! Et les faibles traqueurs des ombres du chasseurs furent tués. Néanmoins, l’entité qui discutait avec Teris&Vaule à travers la faille sans qu’on ne puisse entendre quelconque de ses mots s’éleva d’un battement d’aile puissant au milieu de nulles part. Apparaissait soudainement, tout comme elle fit naître en dessous de Ludwig dans une obscurité infâme qui se joignit à l’ambiance locale. Les lieux étaient déjà terriblement affecté par sa présence : Depuis notre arrivée, les étoiles avaient disparue tout comme la lune en laissant au dessus de nous une cloche de ténèbres comme si il n’y avait rien au monde au dessus de nos têtes qu’un toit sinistre et froid. La luminosité était misérable et voir cette tâche dans la réalité jaillir était des plus inquiétant.

Le chasseur nocturne fit en sorte de nous empêcher d’atteindre Ludwig en abattant au sol une déferlante obscure qui créa un véritable petit raz de marée autours du point d’impact. N’lamahni était déjà bien occupée avec son adversaire et à ce moment là, Teris&Vaule luttaient contre la faille qu’elles allaient éteindre l’instant d’après en l’empêchant de les repoussés. Heureusement cette déferlante n’impacta pas nos alliés qui se défendirent aussi tôt de cette obscurité, pour ma part, je me contentais grandement de la trancher dans une lueur d’éther avant de foncer vers l’occuliste. Pourquoi faire compliqué comme faire du Grob fonctionnait bien efficacement ? Envoyant un bon coup d’épaule au jeune occuliste pour le dégagé avant qu’il ne soit emporté par le chasseur qui volait loin dans les cieux, Kyuuji le rattrapa aussi tôt dans une lueur magnifique d’éther pour l’envoyer droit vers lui – Ce qui fit que le pauvre fut écrasé sous l’occultiste pendant la chute ! Nous observant avec dédain, il esquiva de justesse un lampadaire que Grob sous l’effet de la bête déchaînée au fond de ses entrailles propulsa droit vers sa cible dans un rugissement en échos puissant. Pour lui, nous serions des proies pas encore digne d’être dévorée, sûrement préférait-elle dévoré bien plus d’éther alors, et le chasseur nocturne disparu sous nos yeux en emportant les maléfices locaux avec elle.

Les étoiles, la lune, revinrent en donnant l’impression qu’une clarté magnifique enfin nous gagnait et illuminait la nuit avec bien être. J’observais les cieux quelques instants, comme si je m’attendais à ce qu’il réapparaisse, mais il ne restait que le calme présent alors que tous s’occupaient de leurs maigres blessures ou des corps des pauvres Immortels abandonnés autours des portes. Quelques instants plus tard, nous rentrions vers le camp de Brumebleue pour accompagné Ludwig vers la Guilde des occultistes afin qu’il rejoigne Georgois et soient tous deux écartés de l’influence du chasseur. Pour ma part, avant notre prochaine mission sur ce sujet, je pensais bien à ce qui pourrait être fait pour chasser les marques et tout ceux pouvaient être susceptible d’être affectés : Ils partageaient étrangement le paterne de Georgois, Ludwig ayant le même visage que ce dernier me semble t’il, et tout deux des Elezens. Cette question me tiraillait encore au repos installé sur une table d’une des demeures du camp en travaillant sur ce qui pourrait faire en sorte de retrouver cette marque avant que des personnes ne soient tuées. Comment la malédiction des Delatour pouvait-elle bien être propagée ? J’ai bien peur que sans cette réponse. Nous ne pourrions pas intervenir pour sauver des vies. Mais bien pour les venger. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un tintement des chaînes rouges."

Cent-sixième Entrée – « Acte 16 – La liberté de Grim.»

« C’était enfin le jour. Après tout ses efforts, il était temps de réalisé la fin de notre bien longue mission : arrêter les chaînes rouges, mettre fin aux actions de Grim. Ce dernier espérait encore faire choir le météore convoqué par la vieille page du livre de Shigma au dessus du radeau de la calebasse et elle semblait nous observer depuis le ciel comme si elle n’attendait que le bon instant pour tomber et tout ravagé. Les protections d’Adel’Delroy avaient tenu tout le long, et il avait fini par réussir à préparé le sceau et la sphère du maître des roches-mortes. Si tout fonctionnait correctement le sort catalysé dans l’ensemble devrait pouvoir attraper le météore de Grim et le faire soit disparaître, soit lui permettre d’être suffisamment éloigné pour ne jamais plus en entendre parler. Il était temps en cette journée radieuse d’accomplir ce qui allait être notre dernière mission pour arrêté cette force néfaste ayant déjà provoqué tant de malheurs. Le rêve des cieux d’Eres. La volonté du Briseur céleste. Et le triste destin de Sielda Ambrerune. Tout finirait ce soir. C’est à l’éthérite du radeau de la calebasse que nous nous sommes retrouvés tous ensemble pour parler de l’objectif à venir. Le tout semblait plutôt doux et agréable, quelques nuages errants paisiblement bien que nos regards étaient portés vers la trouée au dessus de nous laissant voir ce sinistre astre sombre. Ça n’était pas un dixième de celle dont elle s’inspirait, peut-être un centième, et pourtant elle semblait si austère dans ce timbre noir et sinistre qu’elle semblait pouvoir choir d’un instant à l’autre. Notre équipe fut constituée pour cette mission de nombreux de nos compagnons habituels en y ajoutant un qui revint depuis fort longtemps.

Gardien d’Himitsu no Taki, le puissant Ugumori Fukusaburu prompt à tenir la première ligne auprès d’Ika Rifter qui revint à nos côtés pour cette mission. Afin de veiller sur nos blessures, Kyuuji serait présent autant que pour respecter sa promesse envers l’Atrofakt et la Sylve entière. Comme d’habitude, nous lutterons avec le soutiens de compagnons proches – Runne, Finaen, Eloise et Sorn plus que concernés par cette affaire. Livio, je le crains, allait être plus prompt à surveillé la ville qu’à venir avec nous. Et pendant que je parlais de l’importance de notre mission, le sol se mit soudainement à trembler. La pression exercée par l’éther venant des glyphes loin dans les cieux émit une force si grande que je faillis défaillir. Le météore était en train de tomber des cieux, déjà des minuscules fragments suffisamment gros néanmoins pour faire des dégâts chutaient en trombe alors qu’Adel’Delroy et les siens faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour arrêté ce dernier. Au milieu d’une terre tremblant de plus en plus, des gens mourraient sous nos yeux sans pouvoir y faire grand-chose. Le seul espoir était d’installé le sceau du bastion blanc « là où tout à commencé ». Au pied du Fragment de Dalamud qui à détruit la Forêt de l’Ouest.

Pendant la course dans la ville vers sa sortie, plusieurs ne purent laissé passé l’occasion de porter secours à quelques personnes sur la route. Finaen et Kyuuji faisant usage de magie pour soulevé des morceaux de plafonds effondrés alors que l’Egi d’Eloise tournoyaient dans les cieux pour frapper les morceaux de pierre dans les cieux. Je me souvins d’Ugumori soulevant les plus fragile pour leur ordonner de partir retrouver les deux vipères dont les archers décochaient des flèches infusés d’éther vers les pierres. Sulfur hurlait qu’il fallait qu’on parte et resterait avec Gobet et Livio protéger la ville de cet ultime assaut. Après avoir protéger et soutenu quelques personnes, Sorn ayant vu une scène affreuse d’un marchand fonçant vers lui en appelant à l’aide avant qu’il ne soit subitement écrasé par un débris du météore plus gros que les autres. Nous avons au moins pu rejoindre la sortie le cœur lourd. La vieille femme que Ika avait protégé chantait paisiblement en laissant Turlinpin nous accompagner tout en générant en nous une lueur dont nous avions tous besoin. Un espoir à travers son chant, une lueur de lumière puissante nous accompagnant jusqu’aux terres affectés par les maux de Grim. C’était une force nécessaire, car derrière nous, nous ne pouvions que contempler la ville qui subissait et résistait de son mieux contre cette pluie de dévastation enflammée. Une fois de plus, Grim avait provoqué un grand malheurs, et il était grand temps d’aller le faire payé pour ça. Parcourant rapidement la contrée, essayant de nous hâté sans nous faire exsangue de force une fois là-bas, la terre elle même était rendue complètement chaotique : Au loin, le fragment de Dalamud avait des lueurs étranges en des lignes concentriques apparaissant régulièrement.

Pour effet, l’éther était encore plus furieux qu’habituellement et cela se constata aisément en voyant l’état de la terre qui cherchait à trouver son sens. Encore et encore, le sol voulait devenir le plafond, et le plafond le sol. Les murs tournoyaient laissant apparaître et disparaître les lueurs solaires au milieu des racines blanches d’anciens arbres calcinés par le septième fléau depuis si longtemps. Les immenses champignons avaient ici été cristallisés en des lueurs oranges digne des forces des chaînes rouges ayant imposé une influence immense ici. Sur la terre, mais aussi sur ce qui «vit. » Tout le long de la route dérangée par les déplacements incompréhensibles les golems d’argiles avaient subi leurs afflictions, et nous avons tout fait pour réussir à traverser sans être massacré par leurs poings immenses. Ika chargea droit un des golems qui avait fini par être subjugué par de tels forces, revenant un coup de poing en retour l’éjectant contre Ugumori qui envoya un grand coup de son kanabo en plein dans la fissure provoqué par son camarade. Difficilement, Kyuuji essayait de faire en sorte que la terre nous offre un accès viable, et y parvint quand Finaen vint à son aide malgré l’intense difficulté mental. Me laissant avec l’Egi d’Eloise tournoyer ici et là pour trancher les potentiels gênant afin que tout le monde puisse finalement passé.

Le dernier obstacle sur la route était ce qui bloquait l’accès au premier bastion des chaînes rouges. Leur tout premier lieu de prière. Un cristal de puissance primordiale ne cessant de rugir dans notre direction en pliant les airs à sa volonté en déformant les environs. Ika et Ugumori ne se tentèrent à charger en restant à bonne distance le temps que nos compagnons ne le brise. Sous l’effet des vents de Runne, la pression s’éloigna le temps que le tir de Sorn se mêle au javelot d’éther d’Eloise. La pique terrestre de Kyuuji entrant en plein cœur de la blessure au cristal grâce à la foudre de Finaen, explosant subitement celui ci. L’accès était ouvert et la pression disparaissait après le puissant choc, on pouvait s’y rendre ! Et moi plus vite que les autres, quand une chaîne rouge attrapa mon bras, et me fit directement partir à l’intérieur de ce maudit lieu de sacrifice.

Ballottée dans tout les sens comme je le fus, je ne peux pas dire que j’ai pris le temps de spécialement appréciée le paysage. Mais ce n’est qu’après avoir fini de mordre la poussière que j’ai pu observer l’endroit. Partout où mon regard se posait, j’y voyais des chaînes rouges balancés doucement par un vent imaginaire. Du plafond, installés sur les murs ou sur les vieilles ruines, à vrai dire cet endroit ressemblait de plus en plus à ce qu’il était jadis. Un village. Ce n’était pas le village de naissance de Turlinpin mais bien celui de Grim cette fois, j’avais presque l’impression d’avoir l’écho des vies passés avant que le territoire ne soit dévasté par la chute du fragment. Une immensité de cristaux oranges s’extirpaient de la statue en visage de dragon d’un noir intense dont la chaîne rouge s’extirpait de la gueule pour m’attraper le bras. Et ce qui était envahissant, c’était les chants des prières des derniers adorateurs qui agitaient les bras doucement sous une incarnation du météore qui tombait sur le radeau comme si ils voulaient offrir leur foi pour rendre le projectile enflammé de plus en plus puissant. Je ne suis pas rester bien longtemps toute seule, rapidement, mes compagnons vinrent me rejoindre et plusieurs se ruèrent aussi tôt à mon aide.

Ika et Ugumori en premier, un bouclier d’éther tournoyant autours de moi alors qu’ils chargèrent les deux massifs bourreaux sur le point de me décapiter. Des guerriers portant les armures des gardiens de l’Atrofakt, des hommes subjugués au-delà de toute rédemption sous leurs cuirasses laissant apparaître des lueurs enflammés sous les heaumes clos. Le premier reçu l’impact de l’épée d’Ika dans le plastron à toute vitesse en brisant son armure en le laissant reculé de quelques pas tout en me laissant le temps de trancher la chaîne qui tenait mon bras, et il n’eut pas grand-chose à faire de plus. Dans un claquement sonore, le tir de Sorn traversa le guerrier de part en part en passant à travers la fissure laissée par Ika en le laissant s’écraser au sol. Il ne pu jamais nous montrer si il pouvait se relevé ou non, l’énorme visage de dragon s’était lentement tourné vers nous, une patte s’extirpant du sol de centre en écrasant un peu involontairement le guerrier au sol dans un bruit effroyable. Cet ancien golem Amdapori avait du être récupéré pour servir les sacrifices envers Bahamut, de plus en plus transformé au fil du temps par le pouvoir sinistre maniés par les chaînes rouges. Derrière, Ugumori avait écrasé fortement le second bourreau contre les amas de cristaux oranges que Kyuuji était en train de dévasté au fur et à mesure. Il fit de son possible pour les fragilisés grâce à des vagues de vents tranchants alors que son massif camarade levait le pied pour abattre définitivement sa cible pendant qu’avec Ika, nous luttions pour trouver une faille dans l’ancien golem qui était en train de s’extirper du sol de poussière. Le coup d’Ugumori fut tel qu’il enfonça brutalement sa cible dans les amas de cristaux avec une telle puissance qu’il fit explosé la plus part de ceux fragilisés en produisant une réaction en chaîne – sans ironie ! - qui brisa la plus part de ceux autours de nous.

Laissant choir des myriades de lueurs mêlés aux pierres flottantes dans une scène magnifique. Aussi tôt achevé, nous avons été balayés au sol sur l’instant par le golem grièvement endommagé qui fit un pas en avant. Le vent hurlant qui tournoyait depuis toutes à l’heure en harcelant nos alliés à l’arrière chercha à apporter les forces des sacrifiés droit vers la création Amdapori dévoyée. Mais avant qu’elle ne soit renforcée et rendue imbattable, nous avons frappés tous ensemble jusqu’à ce que son incarnation ne soit détruite. Tombant dessus, la vague spirituelle échoua dans un fracas puissant nous repoussant en arrière. Cette incarnation était vaincue. Mais nos compagnons n’avaient pas lésiné sur les efforts – A ce moment même, la purification du rituel avait eu lieu. Eloise et Runne s’étaient intéressés au rite de la Dame des Bois dont les prieurs renforçaient la chute du météore sous la supervision d’une femme dont le bas du cœur avait été transformée par la malédiction de la sylve. C’était elle qui avait corrompu l’esprit de Sielda Ambrerune, et sous les yeux de Finaen, qui venait de mettre Runne à mort. Après qu’Eloise ait été éprise par les forces flamboyantes de Bahamut en essayant d’arrêter le rituel, les flammes de sa déflagration tournoyante autours de ceux priant autours du rite, Runne avait directement charger l’ennemi en se retrouvant au milieu de tous.

D’une impulsion, il tâcha de repoussé tout ceux autours pour les empêchés de continuer le rite en envoyant tout le monde au sol. Agacée par son action, sous le regard de Finaen qui venait de purifié une ancienne statue gardienne comme celle de la fontaine du bastion blanc, il vit son cher ami disparaître dans une colonnade de lumière orangée afin de le subjugué. Abandonnant la fleur de lys pure entre les mains de la statue de nouveau elle même, Finaen se rua à l’assaut de la Dame des bois rapière en avant. Les soins de Kyuuji parvint à tous en une lueur d’espoir et de voir nous enveloppant un instant en tournoyant autours comme un vent hurlant, des scarabées bleutés tournoyant avec cette effet de magie sous l’effort de Turlinpin à imité son ami. Et la haine de Finaen s’estompa alors qu’il observait la dame dans les yeux, jusqu’à l’apparition de Runne qui frappa de toutes ses forces du tibias en plein dans le visage de cette dernière peu après le tir en rafale de Sorn. L’ouverture était parfaite, et malgré la douleur du choc des six bras de la Dame faisant tournoyer des cristaux de forces autours d’elle, Runne parvint à lui infligé une blessure mortelle à l’instant où la colonnade de lumière fut purifiée.

Se concentrant sur la force du Lys blanc, ce cadeau de l’agonie de l’esprit gardien de la statue, Kyuuji joignit ses forces à celle de Finaen pour que la purification à travers ce lys soit tel que la force corrompue de l’éther devint d’un blanc nacré. Envahissant les lieux dans une radiance paisible, les chaînes autours se désagrégeaient pour la plus part prises dans de nombreux tintements frappés par ce vent de force. Eloise ayant libéré les prieurs de leurs chaînes pour qu’ils puissent s’enfuir une fois dégoûtés du rite par un curieux sortilège les ayant comme lassés. Il ne restait à la Dame des bois qu’à observer la splendeur grandiose du rituel pure. Malgré ce moment de repos, ou devrais-je surtout dire de calme, la terre continuait à trembler un peu plus et nous n’avions pas encore pu arrêté le météore. Du plafond au dessus de nous se multipliaient les fissures laissant apparaître le ciel dans une lueur magnifique, et le passage menant vers le pied de Dalamud n’était pas bien loin – comme une arche de cristaux oranges tournoyant. Il était temps d’en finir une bonne fois pour toute avec la fausse-liberté de Grim.

Derrière nous resterait cette colonnade de lumière pure qui se diffuserait à travers tout les fragments de cristaux brisés. Tout comme Livio protégerait le rameau, Ika resta en arrière pour qu’aucun des subjugués malveillant des chaînes rouges n’essaient de faire usage de ce pouvoir pour eux. Restant auprès de la Dame des bois dans ses derniers instants alors qu’elle se désagrégeait petit à petit en fixant avec un sourire cette force d’un blanc si pure, si agréable pour son regard. Et pendant qu’il resterait ici se battre, nous tous étions face à cette arche tournoyante en des myriades de cristaux d’un orange reluisant donnant l’impression d’autant d’étoiles brillantes menant vers une lumière lointaine où se trouvait le rite. Passant tous relativement en même temps, nous avons été comme propulsés vers l’avant à toute vitesse par l’éther en cherchant à atteindre le bout de l’arche. C’était un instant aussi dangereux que fantastique, des fragments de pierres blanches errants autours de nous dans un espace sombre illuminé par les cristaux flottant dont la vitesse leur donnaient des aspects d’étoiles filantes. Si il fallait ne pas s’écraser sur un des fragments, dont un percutèrent Eloise et Sorn douloureusement, les subjugués ailés ne manquaient pas non plus d’errer dans ce domaine final menant à leur maître tant vénéré. Ugumori étant notre dernier protecteur présent, il fonça droit devant en percutant les masses de pierres comme les subjugués de son énorme kanako en les envoyant choir ici et là.

Pour ne pas se dispersé ou pire nous perdre dans cette dimension de voyage, Runne fit de son mieux pour nous garder les uns auprès des autres en tenant la main de Finaen qui propulsait les vents autours de nous pour que les subjugués restent à bonne distance. Plusieurs étaient simplement tétanisés par ce qu’ils avaient déjà subit ,et ce qu’ils se mettaient à vivre maintenant, les tirs de la tourelle de Sorn fusant dans tout les sens en alignant les subjugués déstabilisés et fragilisés par l’Egi Garuda. Je bondissais d’un débris à l’autre, tranchant au passage ceux qui escomptaient agir de ma lame, avant que tous ne finissent par atteindre la lumière à toute vitesse en nous aveuglant de plus en plus. Passant de l’autre côté de l’arche, certains chutant au sol à cause de la vitesse et de la pression exercée lors de ce voyage, la première chose qui ne pouvait qu’être observée était le pied de l’immense Fragment de Dalamud. D’ici, c’était semblable à un poignard planté dans les flancs du monde s’élevant vers un ciel baigné d’un orange profond sous l’usage du sort qui propulsait le météore vers le radeau. Avec la perspective au vue de notre distance, on avait l’impression au lointains qu’il s’était déjà écrasé sur le radeau de la calebasse, il ne restait donc que peu de temps malgré ce temps de repos et de discussion nécessaire avec Grim. Les deux voulaient s’offrir du temps : Pour Grim, le temps que le météore s’écrase sur la Sylve, et pour nous, que la sphère de contrôle soit mise en place. Il y eu comme un temps irréel de calme alors que Finaen décortiquait les mystères de ce lieu tout en approchant la sphère tenue par Runne de la chaîne rouge primordiale. La première qui fut créer, des lignes concentriques la traversant sous l’influence des anciennes connaissances allagoises qui allait en cette période créer toute la folie des chaînes rouges.

Si Kyuuji avait espoir de le ramener à la raison ainsi acculé et à la fin de son périple, il refusa cette main tenue pour nous affronter. Partant à son contact rapidement, j’accompagnais Ugumori dans deux puissants coups qui laissèrent des marques sur son corps comme si il était constitué de bronze reluisant d’éther, nos assauts renforcés par le pouvoir de la foudre qu’Eloise rendit plus puissant encore. Il n’était cela dit pas si facile à abattre, et fonça en nous repoussant pour atteindre à son tour la sphère de contrôle que Runne avait rendu actif. Écartant les pierres brusquement en dévoilant le cœur de lumière à travers le sceau du bastion blanc, les yeux de Runne devinrent un blanc reluisant d’énergie tandis qu’il se concentrait pour expédié le météore loin dans les cieux. Au loin, on pouvait le voir revenir vers le ciel, mais Grim faisait tout pour essayer de l’atteindre mentalement après avoir brisé la protection de pierre de Kyuuji qu’il avait essayer de dresser devant ses compagnons.

Essayant encore de l’arrêter, Ugumori et moi avons frappé dans un coup en duo tel le marteau et l’enclume laissant une faille immense que Sorn exploita en un tir parfait dans son torse d’une foreuse lui laissant une grave blessure. Relevant lentement la tête avec une fureur grandiose, écartant brusquement Finaen qui faisait barrage de son corps en lui laissant le torse lacéré par une griffe enflammée. Il leva la main d’un coup, et une lueur nous envahit tous. Dès que l’effet de distorsion s’acheva, nous nous retrouvions au centre même du météore. L’intérieur était ouvragé et magnifique, des colonnades éparpillés un peu partout au milieu des nombreuses gravures éclairées par le cœur enflammé du météore d’où tournoyait des cristaux oranges. Toujours connecté à ce dernier, Runne continuait d’avoir une influence sur celle ci tant qu’il n’était pas massacré, ce que les gardiens du cœur semblaient vouloir accomplir : Deux énormes golems de cristaux et de pierres noires tirant des lames d’un noir sinistre. Juste avant que le miqo’te ne soit massacré, l’un des golems fut détruit par Ugumori peu après que Finaen ait mit un genou au sol sous un choc, la foudre gagna l’Elezen avant de se joindre au poing passif du Roegadyn explosant l’adversaire. Il en advient de même du second quand Eloise le brisa intérieurement avant que mon sabre ne puisse le trancher, un instant avant qu’hélas la lame noire ne laisse une sérieuse blessure sur le flanc de Sorn.

Même au sol, il trouva le courage de tirer sur un des piliers nous maintenant au centre du Météore, offrant à Kyuuji le temps de nous renvoyer au pied du fragment de Dalamud. Juste avant de nous révoqué, Runne parvint à retrouver l’esprit du maître des roches-mortes. Retrouver l’espoir de tout ceux qui jadis ont lutté pour que ce qui était en train de se dérouler n’advienne jamais. Une lueur grandiose mêlées aux chants d’espoir s’unirent et quand nous sommes réapparut, le météore reluisait d’un blanc paisible. Les pierres avaient reprit les mêmes splendeurs que les ruines que nous avons régulièrement retrouvées. Grim était hébété, tout ce qu’il avait conçu, créer, fut vain. Empêchant qu’il agisse pendant notre disparition, l’Atrofakt s’était sacrifié sous le regard impuissant de Turlinpin et Kyuuji qui virent l’épée de Grim, l’artefact que L’vinus avait extirpé du sol il y à quelques temps lors du Sang de la sève, se planter dans le cœur de l’Atrofakt. Le cristal animant l’esprit se brisa en deux, et l’instant d’après, tous se ruèrent à son encontre. Les sorts bombardèrent la forme distordue par l’énergie maîtrisé de Bahamut le protégeant des chocs, entre les lames d’éther de Finaen et le tir puissant de Sorn usant de sa tourelle comme canon lié à son fusil. Ugumori et moi brisèrent sa protection peu après la déflagration d’Eloise, Runne faisant tout pour faire en sorte de distordre le météore dans une myriades de pierres blanches purifiant les lieux et empêchant Grim de faire usage du pouvoir de quoi que ce soit. Dès lors, Kyuuji pu avec ce pouvoir, définitivement le purifié. Dans un éclat de clarté mêlé à son hurlement de colère et de douleur.

Il y eu un calme magnifique qui gagna les lieux en éloignant lentement de nos esprits l’intensité de ce combat. De cette mission. Non. De notre périple tout entier depuis des jours durant. Les blessés chutèrent au sol et furent rapidement prit en charge pendant que Kyuuji parlait à Turlinpin de son nouveau rôle : Le Qiqirn deviendrait le nouvel Atrofakt, pour veillé avec Sielda sur les Impardonnés. Grim ne fut pas tué, pour tout ses crimes, il fut condamné à croire en son idée de la liberté en œuvrant auprès des Impardonnés malgré la même malédiction qu’il allait partager avec Kyuuji qui le rattraperait à la moindre erreur. C’est dans cette punition, qu’il découvrit sa véritable liberté. Dans notre triomphe, il ouvrit les yeux et disparut auprès de Turlinpin et de nombreuses autres des chaînes rouges dans les ruines de l’Atrofakt. Ce fut un accueil dans la joie et les applaudissement. Enfin, cette longue mission s’achevait, nous laissant un peu de repos. Avant notre prochaine objectif… Concernant le retour d’un vieil ennemi venu d’Orient. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

Cent-septième Entrée – « Acte 1 – Un poison pour l’âme. »

« Après la chute de Grim et de tout ses projets, un grand soulagement pu gagné toute notre équipe. Enfin, nous étions débarrassés d’un terrible adversaire et du mythe des chaînes rouges. Cela étant fait, il restait néanmoins plusieurs affaires pour nous occupé. Plusieurs occupèrent leurs repos d’enquêtes sur le chasseur d’ombre ou encore la surveillance de Sagoli. Mais pour ma part, j’avais déjà notre prochaine objectif de taille en tête : Les murmures sur le nuage noir. Tsakyoki, le démon des émotions d’Himitsu no Taki possède encore de nombreux adepte en Eorzéa. Et vraisemblablement, depuis les signes du Kami des tempêtes de l’île, tout laissait présagé qu’il avait définitivement décidé de revenir à la charge en ne laissant personne l’écarté de son projet de quitter Himitsu no Taki. Si un jour, il faudrait tôt ou tard l’éliminé définitivement, nous avons pour l’heure le devoir au moins de l’empêcher de nuire tout en ayant une cible importante. Son bras droit. Ses tentatives seraient directement menées par celui dont il à le plus d’espoir de réussir à le faire sortir de sa cage à ciel ouvert. Ainsi, pour remonté la piste, il nous fallait enquêté sur les sinistres mutations des transformations dues aux émotions maîtrisés par le démon. Sur son sillage, il allait nécessairement provoqué bien des maux, et il était de notre devoir de l’arrêter avant que son maître lui même n’apparaisse en Sombrelinceul. Nous retrouvant dans la forêt central, à la porte du blaireau bleue, l’équipe se reconstitua petit à petit avec nos compagnons habituels.

Ugumori serait notre gardien prompt à arrêter les chocs et à les rendre, et il fut rejoint dans cette tâche par une ancienne camarade. Aranaelle était venu à notre aide pour tenir les chocs en l’absence de soigneur dans notre équipe. Petite curiosité amusante : Livio vint cette fois avec des armements de soutiens à l’image de Sorn, et les deux portaient la même tenue ! Et auprès de nous, vinrent de nouveau Eloise, Finaen et Runne. Une fois l’équipe réunie, je pris un instant pour leur expliquer que notre mission serait de remonté les pistes des disparues en commençant par un passage après une route empruntée régulièrement au sud de Gridania. Quittant les lieux, on ne peut pas dire que c’était la joie la plus agréable dans les environs. Les nuages sombres chargés de pluies se traînaient régulièrement devant le soleil donnant l’impression que le monde avait que des teintes d’un gris sombre se mêlant à la morosité ambiante. Des voyageurs marchaient comme si ils avaient le poids du monde sur les épaules, on ressentait une vraie lourde ambiance chargeant les environs d’une pression détestable. Certains murmuraient sur notre chemin des questionnement pleins de doutes sur notre présence et même les marchands de la grand route fuirent les demandes de Finaen en refermant des étals devant ses yeux. Personne ne voulait parler avec l’Elezen alors qu’on ressentait pourtant qu’il y avait bel et bien un problème : Insidieux, des murmures se faisaient entendre en échos de ceux des gens autours de nous. Un des deux vipères supplia Finaen de découvrir ce qui pouvait bien se passé, rendant les lieux si terne et inquiétant alors qu’il disait visiblement qu’il n’y à pas deux soleil, tout allait bien mieux par ici.

Une piste d’éther avait été découverte dans les environs, comme une brume noire s’étendant droit depuis le passage où certaines personnes avaient finie par disparaître. Mais à peine avions nous commencer par progresser dans la forêt que rapidement Eloise avait découvert d’où provenait en partie cette force mentale qui voulait nous aussi nous affecté. Une sorte de petit autel : Un bol d’eau noire intense avec au dessus une clochette mauve émettant quelques sons à mesure qu’un vent imaginaire la déplaçait. Runne se figea d’un coup, brusquement affecté, Finaen faisant tout pour essayer de récupéré l’esprit de son compagnon égaré dans un espace où il n’y avait que le vide, essayant de se rattraper à Finaen en ayant l’impression de choir à chaque instant. De son côté Anja qui surveillait nos arrières contempla ce que nous ne pouvions voir : Ika, visiblement, devait se trouver à ses yeux au milieu d’une petite foule des gens de la grand route qui nous avaient suivi.

Des regards mornes et vides sous le contrôle du démon qui avait instillé le doute en eux, levaient les bras pour saisir Anja qui lentement progressait vers la vision de l’être aimé qui ne devait pas réellement être agréable à saisir. Et face à nous se dévoilait une ombre. Ugumori ne pouvait simplement pas être affecté par la force du démon, entraîné et puissant comme il l’est, mais celui ci chercha à attisé son courroux d’une autre façons. Un Gardien d’Himitsu no Taki immergea d’une ombre baignée dans les flammes de Sorn qui essayait de la repoussée en déferlant un feu coinçant la silhouette de brume noire qui extirpa son masque lentement. Il s’agissait d’Ashizen, un des plus vaillant gardien de l’île qui avait résisté des années durant à toutes corruptions. Vraisemblablement, ça n’était là qu’une ombre de son incarnation, les flammes bleutées ondulante autours de sa tête comme un feu effrayant, mais il devait être là. Quelque part. En sombrelinceul. Disparaissant peu après que l’autel n’ait été détruit par Livio et Eloise saccageant le petit lieu d’offrande dédié au démon. Promettant de l’arrêté avant qu’un quelconque mal ne soit fait, il fallait déjà délivré la grand route de l’influence insidieuse qui avait poussé Gobet à intervenir quand Anja fut libérée par Sorn et Livio venant la chercher en repoussant les habitants, devant même tué un des locaux qui s’était finalement transformé en un de ses monstres incohérents et affreux d’Himitsu no Taki à cause de la jalousie qui l’avait totalement submergé.

Tous finiraient ainsi, si nous ne les arrêtions pas rapidement, et nous avons commencer à courir droit vers la source en suivant les lueurs mauves à travers l’obscurité d’un jour sans lumière. Récupérant nos compagnons malgré cette épreuve inattendue, nous nous sommes rapidement mit en marche malgré les ombres qui dansaient autours de nous en offrant milles murmures et promesses vaines qu’Ugumori nous hurla d’ignorer. La plus part chassaient la brume autours de nous, soutenant Anja qui se remettait doucement de sa vision tout comme le faisait Finaen pour un Runne qui sifflotait un air presque apaisant, doux, se mêlant à l’énergie que Finaen produisait autours de nous pour apaiser l’équipe. Je tournoyais dans les fourrés avec l’Egi d’Eloise pour brisé au fur et à mesure les autels, qui menaient droit vers un avant-poste isolé dans les bois d’où provenait cette fumée noire. Et pourtant, qui semblait plutôt paisible.

Avec un bref instant pour reprendre notre souffle, un soldat des Deux vipères nous saluant en nous invitant à rentrer à l’intérieur, on pu profiter alors de quelque chose de parfaitement inattendue. C’était un relais de voyage pour les caravanes et notamment les chocobo venant de la Brancharquée. Ont y retrouvait des chariots de marchandises installés proche de quelques barricades ayant que quelques lieux fait pour s’endormir en sécurité entre quatre mur pour ceux ne pouvant pas progresser plus et pour les soldats en faction. Des échoppes avaient été installés autours d’une scène de fortune usée par les artistes itinérants pour se faire quelques gils et que le repos des voyageurs soit apaisé par bien des spectacles. Toute une petite installation, mais il s’y trouvait alors déjà quelques mystères qui méritaient un coup d’oeil, car tout allait bien vite dévoilé les projets de l’ombre voulant s’étendre sur ce lieu. Nous avions cela dit sous les yeux exactement ce qui avait empêché jusque là les forces du démon de prendre lentement place en ce lieu même : Sur la scène s’y trouvait deux danseurs Thavnairois. Dans des habits typiques de chez eux, ils tournoyaient sur la piste en laissant derrière eux des filaments d’éther splendide envahissant l’espace en apaisant les esprits et chassant les mauvais songes.

Nous même furent touchés par une telle force dans leurs manœuvres gracieuses et accompagnée par une puissance magnifique dans leurs gestes, leurs intentions d’une pureté paisible. L’une se nommait Esmeralda, l’épouse du Hyurgoth qui se déplaçait avec elle du nom de Rodrigo, ce fameux capitaine d’équipage déjà rencontré il y à certains temps. Une nouvelle fois, nombreux furent les compagnons qui vinrent à la rencontre des différents objectifs, aussi seront-ils traités au cas par cas. Finaen alla découvrir ce qui n’allait pas avec le sanctuaire d’Oschon en pensant bien que désacralisé les lieux sacrés était une pratique habituelle parmi les forces ennemies. Si il n’y avait pas de présence de corruption, certains avaient visiblement prit beaucoup d’effort pour creusé sous la statue juste derrière celle ci à l’abri des regards. J’y été resté proche un temps, suffisamment pour entendre les tambours et les échos des murmures sans cesse se répété en des prières envers la divinité. L’elezen luttait contre son propre esprit pour ne pas défaillir, et fut rapidement rejoint par Runne qui fit tout pour le soutenir et l’empêcher de choir. Conscient de cette présente, il fit écarté brusquement les pierres dans une articulation rapide des roches pour atteindre une sorte de vase Hingashien. Ce dernier avait volé les prières destiné à la divinité dont les murmures se faisaient entendre. Sous les lueurs intenses de mots gravés de Runne fait pour purifier les environs, où se mêlèrent les feu-follets des myriades de prières s’échappant du vases brisés par Finaen. Cette force gagna les environs, repoussant la noirceur de la brume, et il ne pourrait pas utilisé ce qu’il avait volé.

Et à ce moment, tout avait fini par s’agiter, mais avant de vous parler de ça. Eloise et Anja s’étaient intéressé à un étrange pylône qui changeait sans cesse de forme et apparaissait aux yeux de qui l’observait comme une colonnade commune selon l’endroit d’où on venait. Pour Anja, il ressembla alors à un pylône de Skatay et ne cessait de changer de forme jusqu’à ce que l’Egi d’Eloise se mette à tournoyer rapidement autours pour chasser une brume qu’elle avait pu observer à l’éthérimètre. Repoussant la fumée et l’illusion qu’elle conservait, elles purent voir une sorte d’opale de feu bleuté rayonnant au cœur de ceci. Laissant son Egi tournoyer, elles mirent un temps à hésité sur ce qu’elles devraient en faire, jusqu’à comprendre que l’opale était en proie aux ombres qui défendaient les regards de se poser dessus. Il fallait le récupéré ! C’était une force possible face au nuage noir et ses serviteurs, autant qu’Eloise comprit qu’il y avait une forme de conscience à l’intérieur. Tirant dessus le plus possible avec sa magie, Anja bondit dans l’eau et progressa en se défendant des serpents de ombres noires qui l’assaillaient encore et encore dans un bouclier d’éther radieux. Tranchant celui qui fonçait vers Eloise, se mettant en danger pour que sa camarade n’ait pas l’ombre d’un soucis, elle coupait sans cesse les têtes de serpents de brume jusqu’à ce que Eloise parvint à décroché l’opale. Dedans, il était censé y avoir une forme de conscience endormie, et cela l’intrigua au plus haut point. Dès qu’elle s’extirpa du pylône, il se fractura dans une déflagration créant une grande vague en brisant le reste de la fumée, propulsant Anja brusquement à côté d’Eloise qui toutes deux furent trempées et balancées au sol. Un poisson dansant sur la tête d’Anja, balançant plus loin ce dernier en se redressant après une mission réussie. Et là où un combat éclata, fut autours de la scène et proche des pêcheurs.

Livio et Sorn s’étaient intéressés aux danseurs, en essayant de leur parler un instant. Ils chassaient visiblement les maux de l’esprit des gens environnant, mais cette danse là amplifiée au début par Runne, était sur le point de faire sortir les ombres des vices qu’ils étaient en train de purger. Après avoir comprit qu’ils aidaient les lieux, jusqu’à ce que des ombres ne s’extirpent en s’incarnant en de vicieuses créatures dont une pleine de tentacule d’obscurité se traînaient maintenant sur scène. Le chef des deux vipères hurla de mettre les gens à l’abris, les deux danseurs bondissant en cherchant à mettre en sécurité les civils tout en propulsant leurs chakrams contre les infections du démon. A leurs aides, Sorn éliminait encore et encore des ombres de son arme jusqu’à avoir été confronté à son propre vice envers les femmes, lui logeant une balle en pleine tête ce qui fit disparaître cette noirceur d’un coup. Livio quant à lui affrontait l’incarnation de mal de sa pistolame céruléenne, jusqu’à ce que les munitions trouvent le cœur de la chose qui se dissipa sous un coup bien placé. Proche d’ici, Ugumori avait découvert que le démon avait fini par faire contaminé les gens de la ville grâce aux poissons pêchés rempli de son ombre. Hurlant à tous d’arrêter de se nourrir, une femme perdit les pédales et mordit brutalement un garde. Sortant de l’eau, une sorte de démon en forme absurde de poisson s’extirpa lentement en cherchant à assaillir le Roegadyn, dévorant le pêcheur l’air perdu qui lui souriait.

J’affrontais cette chose avec Ugumori, jusqu’à ce qu’il soit repoussé fortement en arrière. Tranchant le flot aqueux nous fonçant dessus, mon camarade parti en vitesse pour fracassé la tour de bois qui s’effondrait sur le chef du village pendant que nous luttions dans une immense déflagration. Me laissant pile le temps grâce aux crocs de glaces de Runne envoyé dans la créature, de le trancher en amplifiant le pouvoir de la foudre sur ma lame. Coupé net en deux, il ne restait autours plus de menace, Finaen était en train de brisé les clochettes mauves qui apparaissaient un peu partout autours de nous. Celles ci menaient visiblement au bout du cours d’eau vers un nuage noir qui était en train de se former en l’air. Fonçant tous vers l’embarcation du maître du village, une grande barque gridanienne de mauvaise qualité et pourtant très décorée. Il était temps de foncer à travers les flots pour atteindre le nœud du problème directement.

Et je dois dire que la traversée ne fut pas des plus tendre pour être franche. Rapidement, l’eau qui n’était pourtant pas bien profonde eu un élan bien plus rapide au bout d’un moment et simplement surnaturel. Elle n’aurait jamais du nous mené si vite vers notre objectif tout en nous mettant bien plus en péril que cela n’aurait du le faire. Les flots étaient déchaînés, faisant tournoyer le navire un peu trop vite droit vers des roches un peu trop proche en devant nous faire valdinguer à travers les passages à toute vitesse. Peu envieux de nous ravager sur les rochers, Ugumori plongea son kanabo dans l’eau brusquement pour ralentir le plus possible notre vitesse. Cela permit à Livio de prendre la barre que le Roegadyn avait saisit, lui allégeant le travail tout en permettant au navire de bouger relativement efficace pour ne pas qu’il se fracasse. Ce qui était magnifique, c’était le passage de l’eau tournoyante autours du navire quand Finaen faisait en sorte de guider les flots convenablement pour qu’on s’y adapte parfaitement afin qu’en tournant, l’eau nous pousse d’elle même pour esquivé les pierres. L’ensemble était soutenu par le bouclier de protection maintenu par Anja qui faisait de son mieux pour que les ombres sortant des flots ne parviennent pas à bord tout en protégeant nos compagnons des chocs qu’ils auraient pu subir. Tous faisaient en sorte d’écarté les menaces, dans des lueurs de magies venant de Runne et d’Eloise envoyant plusieurs javelots jusqu’à ce qu’une manœuvre un peu trop brusque ne l’envoie s’écraser au fond du bateau. Il y avait quelques unes des personnes qui avaient été contaminées et condamnées par la transformation totale des maléfices de Tsakyoki, donnant en résultat des hommes et des femmes avec plusieurs bras, têtes, leurs corps déformés au-delà de toutes possibilités de retour arrière.

Pour Ugumori et moi, c’était un cruel retour en arrière droit vers Himitsu no Taki et ce que nous affrontions depuis toujours, alors que je bondissais pour courir sur un pont pendant un bref instant, tranchant tout sur mon passage. Rebondissant de l’autre côté du pont malgré la douleur d’une griffure à la hanche, nous étions le point de nous échappé des forces infâmes qui avaient arrêté de harcelé le bouclier reluisant d’Anja tout en parvenant droit vers une horizon s’arrêtant céant devant nous. Tout le monde fut surpris à l’approche un peu trop rapide d’une cascade, et ils firent en sorte que le précipice ne nous explose pas en bas. Sous les vents usés par Eloise et Finaen, tournoyant sous la barque en l’air qui fut arrêtée nette dans sa chute quand Ugumori attrapa littéralement une pierre. L’ensemble descendit donc bien paisiblement dans un angle efficace grâce à Livio, finissant au bout de la route dans la petite cloche d’éther du bouclier d’Anja. Nous étions arrivés juste en dessous de la formation du nuage noir tournoyant rapidement au dessus de nous, descendant de la barque dont la piètre cassé fit qu’elle se brisa à fort d’être utilisé sur les eaux rapides, ayant de toutes façons pieds à partir de maintenant.

Face à nous se tenait une Raenne venant d’Himitsu no Taki, la pauvre avait été vendue par Onotsaku depuis la chute de l’île et nous observait avec douleur. De son corps, s’extirpaient des pierres noires avec une ondulation sinistre autours déformant son physique horriblement, mais semble t-il lui laissait sa propre conscience. Les pierres se servant de sa conscience, pour lui faire revivre des atrocités encore et encore afin d’animé la faille du néant au dessus d’elle à l’intérieur du nuage noir, que Tsakyoki utilisait pour offrir de son pouvoir depuis l’île lointaine. Identifiant le maléfice et l’utilité des environs, Finaen découvrit rapidement que nous étions encerclés par les démons-poissons protégeant cet endroit. Deux s’extirpant des flots sur les côtés lentement alors qu’une énorme créature du même genre s’extirpa de la cascade en observant le groupe en se demandant qui elle allait dévoré en premier. Observant la peine et la souffrance d’une jeune fille de l’île dont il est le gardien, Ugumori apprit que le maître de la première Aube Obscure, le Dojo de l’île, était rien d’autre que celui que Tsakyoki avait envoyé ici pour trouver un moyen de l’invoqué en Eorzéa. Notre adversaire final ne serait rien d’autre que mon maître, mon mentor. Ikijin.

Fonçant se mettre entre nos compagnons et l’énorme créature, Anja trancha la tête d’un serpent de fumée qui entourait la créature alors qu’il avançait. Se préparant à frapper en retour, les piques de givres de Runne s’extirpèrent un peu partout pour essayer de le transpercer de toutes parts, jusqu’à ce qu’Eloise ne le couvre littéralement de givre. D’un tir de foreuse bien placée, Sorn l’éparpilla en milles morceaux, et les deux autres démons furent aussi tôt brisé : L’un tranché en deux par moi même grâce aux tirs de Livio, et l’autre littéralement brisé en deux par une prise d’Ugumori le laissant choir au sol. De la faille, s’extirpa six yeux qui observaient Finaen pendant qu’il essayait de purifié la jeune Raenne, de la sortir de là ou au moins d’alléger ses souffrances pour qu’elle puisse enfin périr. Et de la faille, vint des filaments d’obscurités touchant les cadavres des démons-poissons. Des silhouettes se formant à partir des cendres de leurs carcasses créèrent des entités de fumée noire formant les mêmes silhouettes avec des runes mauves reluisantes comme des tatouages tribaux. Ils vinrent nous assaillir, écrasant Ugumori au sol et m’envoyant paître par terre alors que le déchaînement de puissance du néant frappa Anja, l’envoyant s’écraser avec Sorn au sol lourdement.

Tous étaient revenu à la charge sous une forme spectrale infâme digne des contes d’orient, et au moins Eloise et Runne purent récupéré du sang du démon principal pendant que Anja contenait sa fureur du mieux possible en voyant Sorn laisser sa tourelle tirer perpétuellement contre la chose pour brisé son incarnation. Ugumori explosa le crâne fait d’un masque d’Oni de son adversaire réanimé en se prenant l’ancre dans le bras tout en étant propulsé sur le côté en même temps. Au même instant, je tranchais brusquement de nouveau mon adversaire en le laissant disparaître, observant Livio qui fit éclaté la roche suffisamment pour que Finaen ait une emprise dessus. Entendant ses bras, elle s’arracha brutalement de la jeune Raenne qui tomba immédiatement morte dans l’eau, cessant d’être torturée. Sous le contact du sang de démon, la brèche se referma en attirant de nouveau le nuage noir tournoyant lentement avant de disparaître. C’était fait, les créatures maléfiques se dissipèrent après les dégâts intenses reçue et rien pour les tenir entière, laissant voir que l’obscurité partaient vers le Bannock. Visiblement, c’est là bas qu’il faudrait essayer de découvrir où pourrait se trouver l’avant-garde d’Ikijin. Mettre la main sur le joueur aux clochettes qui avait provoqué tout ça. Pour ce soir nous rentrions à Vertégide notamment pour comprendre et découvrir quels maux s’immisçaient dans l’étrange marque que le démon avait laissé sur Runne avant de disparaître. En espérant qu’il n’ait pas été condamné. Et pour ma part, je m’interrogeais quant à une chose : Ikijin avait-il encore mon cristal de Samouraï ? »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Diverses missions pour la Guilde des Aventuriers."

Cent-huitième Entrée – « Acte 4 – A la chasse dans Sagoli.»

« Après les danger de Grim et la chute des chaînes rouges, l’apparition du nuage noir et ses complots. Il était presque reposant d’avoir une mission relativement simple et agréable. - Du moins agréable, si errer dans le désert en glissant dans des dunes tout en étant attaqués par les bêtes de la faune chassée est agréable ce qui est un point de vue qui se défend ! Alors que la mort de fer continuait d’avoir un impact sur les environs proches. Le problème s’approchait maintenant les voyageurs de Sagoli notamment la Tribu des U : Les bêtes que leurs chasseresses gèrent et éloignent se retrouvaient un peu plus déchaînées chaque jours à cause de la présence de la machine allagoise dont on ne sait hélas pas encore grand-chose. Et avant de retourner traquer la Mort de Fer, nous voilà avec un simple mandat comme lors des jeunes époques des aventuriers ayant une quête à accomplir. Chasser. Afin d’empêcher les conséquences de la mort de Fer d’avoir un poids pour les locaux en plus d’essayer tôt ou tard de l’arrêter malgré nos nombreuses missions. Nous voilà réuni à l’Oasis avec néanmoins quelques contraintes : Il ne fallait pas faire en sorte que les dépouilles soient impropres à la consommation.

Puisqu’il s’agissait de bêtes qui devaient être dévorées plus tard – en j’espérais sous forme de pot au feu, j’en avais l’étrange envie. N’lamahni et Y’koni vinrent un premier temps avant d’aller au contact des U pour ramener les carcasses des premières bêtes chassées, mais dans l’ensemble les chasseurs du jour furent les deux Lalafells camarades de l’Eyri : Karol Korol et Lalavyr Lavyr. Ainsi que les habituels Runne et Finaen, tout en me laissant moi et Ugumori les accompagné pour cette simple tâche. Il y avait déjà un aspect repos à l’idée de se retrouver dans une mission sans avoir besoin de s’inquiéter pour l’état de nos âmes ou de notre éther vital bien que comme Finaen, j’avais du mal à ne pas y penser. Esperant que cette mission me changerait les idées, je n’ai pas l’impression que ça soit si fonctionnel que ça pour ma part. Et quant bien même nous débutions en arpentant les sables du désert et les dunes pendant un temps, la chaleur frappant nos équipements en essoufflant les bien moins préparés. Il me restait en tête l’envie ici de me débarrassé de la mort de fer avant toutes autres choses qui pouvaient bien se trouver dans cette terre.

Néanmoins, cette chose de métal n’est pas la seule problématique de ce monde, et pour l’instant le soucis provint d’un trou dans le sable. Il aurait été bien moins gênant si Lalavyr n’avait pas été happé à l’intérieur, disparaissant sous une couche de sable à l’abri de nos regards en ne laissant plus qu’une sorte de renfoncement sans personne de visible. Karol aurait bien aimer nous aider, mais il glissa et se mit à rouler tout le long d’une dune de sable ce qui en soit l’avait peut-être épargné ! Car dès lors nous nous mettions à gratter le sol avec l’aide de l’immense Ugumori repoussant le sable bien plus efficacement alors que je sentais les vents de magies de Finaen m’aidant à essayer de l’atteindre en vitesse, se dévoila Lalavyr qui fut propulsé en l’air et rattrapé par le massif Roegadyn. Hélas, d’un coup, le trou s’élargit grandement dans un hurlement affreux du ver des sables qui se trouvait à l’intérieur ! Finaen se mettait à glissé sur le côté mais il fut rattrapé par le Kanabo d’Ugumori rapidement pour le tirer de là. Dans un souffle enflammé d’un blanc agréable, les flammes fusèrent dans la bouche du ver des sables qui s’extirpa de nouveau en rugissant de colère. Des trous apparaissaient un peu partout autours de nous, embarquant brutalement Runne à son tour alors que les maudites bêtes au cuir solide ne cessaient d’apparaître pour nous assaillir.

L’une essaya de manger la jambe de Runne quand il fut tiré aussi tôt hors de là par Finaen, Karol et Lalavyr en même temps en le faisant volé hors du trou de sable avec la bête à la jambe. De l’autre côté, celle que je n’avais pas pu entaillé encore avec les kunais s’extirpa de sa trouée pour essayer de nous frapper avec Y’koni en envoyant des grands coups de son corps massif jusqu’à essayer de me foncer droit dedans. Esquivant d’un pas sur le côté avant que ma lame ne tranche subitement en dévoilant ses entrailles. Ugumori l’acheva d’un grand coup eu plein centre si puissant qui résonna encore dans un coup de tonnerre, proche de la flèche l’ayant transpercée rendue foudroyante par Finaen. Le dernier ver des sables essayait de s’enfuir rapidement, avant que Karol ne le rattrape d’un sort de secours en la renvoyant droit vers sa paume, permettant à moi et Ugumori de la frapper en l’air. Voilà les premiers sources de nourritures récupérées, laissant les deux solaires rejoindre l’Oasis oublié pour aller chercher les stocks. De notre côté, nous nous intrigions pour des bruits audibles plus au nord de notre position.

En laissant Runne aux mains des Lalafell le temps de s’occuper de l’état de sa jambe ayant été consciencieusement mâchouillée par le ver des sables, il nous fallait déjà découvrir ce qui pouvait bien se passé en entendant des bruits de bêtes sauvages rugissants. Tandis que tout était plus calme au niveau des vers des sables et profitant que personnes n’aient été mangés, nous partions directement avec Finaen et Ugumori en avant-garde pour nous installer sur une petite hauteur rocheuse. Tirant une longue vue pour regarder ce qui pouvait bien se tramer plus loin, en vérité elle n’était pas si nécessaire que ça : L’Amalj’aa et ses drakes de batailles était tout à fait visible. Les bêtes néanmoins avaient du mal à rester sous son contrôle à sa grande peine alors qu’il faisait de son mieux pour leur dire de rester là et de se rassembler. Certaines avaient envies de se battre, mais d’autres papillonnaient un peu bêtement et je n’aurais pas été surprise que l’un tire la langue sur le côté et chasse des scorpions du désert. Suffisamment bien caché, nous avions alors l’initiative de choisir ce qu’on pouvait en faire.

Dans un hurlement, l’Amalj’aa défia la Mort de Fer et ses suppôts même, ce qui aurait du laissé suggéré qu’il aurait pu être en quelque sorte un allié si lui et les siens ne s’étaient pas mit en tête que les humains étaient des serviteurs de la Mort de Fer. Après discussion, il fut décidé effectivement de parlementer avec. Sortant de l’abri en levant les bras bien loin de mes armes – bien qu’il ne fusse pas suffisamment malin pour se douter que j’en avais de toute façons partout sur moi, même dans les poignets. Ugumori vient à mes côtés en croisant les bras tout en se tenant fermement à mes côtés prompt à réagir si ils nous assaillaient. Pessimiste, j’avais imaginé que les drakes m’auraient foncé dessus en masse dès notre première apparition mais bien curieusement, il n’en fut rien. La discussion avec lui n’était que dans un sens, il nous demandait une preuve que nous n’étions pas du côté de la Mort de Fer mais nous n’avions rien de ce qui fut récupéré lors des précédentes missions. Pas de morceaux de métaux brisés, ou autres fragments abandonnés.

Une habitude Hingashienne de confiance et aussi parce que je voulais qu’il voit que nous n’étions pas de métal mais fait de chair et de sang n’eus pas l’impact que j’attendais voir. Il était trop borné, et cela ne m’attira que l’ire des deux guérisseurs devant l’entaille saignante légèrement à ma main en les laissant venir rapidement s’en occupé en apparaissant. Le nombre le fit défaillir et les mots d’Ugumori eurent pour impact de le laisser douter pour que nos deux Lalafell puissent lui parler. Pour ma part, c’était une mauvaise idée de poursuivre, l’agacement avait fait naître dans mon regard la froideur assassine qui à tendance à effrayer ceux qui s’imagine passer par le fil du sabre d’un samouraï. Aussi je laissais mes compagnons achevé la discussion en cherchant dans les environs si il n’y avait pas de l’agitation. Les Amalj’aa avaient barricadés bien plus les environs, montrant bien qu’ils craignaient l’approche de la Mort de fer. Avait-elle déjà agit auparavant pour qu’ils la craignent tant ? Quel était donc le fin fond du mystère de cette incarnation allagoise perdue dans le désert ? Maintenant, je pense clairement que nous n’avons pas à faire à une nouveauté mais bien à une renaissance. Il n’y eu pas grand-chose d’établit lors de la discussion qui déçue quelque peu Ugumori par la suite.

On ne parvint pas vraiment à une alliance contre la mort de fer ou même de leur fournir des conseils cohérents pour frapper les machines et non les hommes, mais seulement à un consensus : Nous ne devions pas rentrer chez eux, et ils ne viendraient pas trouver vengeance pour nous abattre. Ramenant ses drakes pour rentrer chez lui après avoir discuter avec Karol des noms de leurs familiers pendant qu’un drake cherchait à avoir des papouilles. On ne pouvait que l’observer partir avec au moins l’impression de ne pas avoir du nous battre face à lui mais seulement à percevoir la tension que les Amalj’aa ont aussi. Ils ont peur. Ils craignent la résurgence de cet enfer de métal. Mais il nous restait de notre côté une mission à finir – si nous avions aider un peu au contrôle de la population des vers des sables en ramenant la nourriture, il était temps de faire de même pour les lottes. Ses espèces d’énormes poissons rampant sur les sables aux airs quelques peu stupide. Et alors que je revins auprès de Finaen pour lui demander ce qu’il nous restait à faire, nous pouvions observer au loin le bazars stupide qu’elles foutaient. Quel joie. Il était temps d’aller découpé des poissons débile.

Nous regroupant après un instant tout en laissant les drakes rejoindre l’Amalj’aa en partant retrouver les siens tranquillement sans que le sang n’ait eu besoin d’être versé, nous avons donc poursuivi droit en direction du foutoir qui pouvait bien se produire loin de là. Après un peu de marche ensemble, ne perdant cette fois pas nos lalafells entre les dunes et les vers cachés dans le sable, ce fut aisé d’atteindre la position de ses bêtes idiotes qui luttaient l’une contre l’autre. Car quel boxon ! Une lotte tomba brusquement à côté de nous en roulant par terre tout en nous fixant un instant, avant de foncer droit en direction de la mêlée d’où il venait d’être éjecté. C’est en nous approchant que nous avons découvert pourquoi les lottes se tapaient dessus pour mérité toutes la même chose. N’étant pas cannibale, elles ne se dévoraient pas entre elles mais cherchaient toutes à manger le cadavre de la miqo’te abandonnée au sol. Ses armes étaient étranges, ne correspondaient pas à ce que les chasseresses possèdent à l’Oasis oublié. Elle avait été massacrée et abandonnée au sol, j’ignore encore ce qui à provoqué cela ayant manqué de demander à mes compagnons ce qui avait bien pu se passé, mais je savais une seule chose.

Finaen avait directement foncé vers le corps pour essayer d’en savoir plus en inspectant à travers l’éther si il y avait quelque chose de suspect. Je pensais bien qu’il doutait de voir la présence de l’énergie rose de la Mort de fer dans la carcasse, mais à la place il y eu quelque chose de plus inquiétant. Son éther de l’âme n’avait pas rejoint avec celle ci la mer des étoiles, et ne trouvait donc pas la paix. Soit son spectre rôderait dans le désert de Sagoli tout en accumulant haine et puissance, soit elle avait été absorbé par quelque chose qui s’en servait pour alimenté son propre pouvoir. Dans les deux cas, trouver un cadavre avec une telle information n’est pas quelque chose de très agréable, et pour l’instant cela reste encore sans réponse de notre côté. En voulant les repoussés dans un vent violent, Karol avait bousculé un peu les lottes qui se retournèrent toutes vers nous : Les maudites bêtes avaient visiblement décidé qu’elles n’auraient pas besoin de se partager la dépouille si elles se décidaient à venir nous manger nous. Ugumori et moi foncèrent droit vers le corps pour couvrir Finaen et protéger la dépouille. Repoussant, frappant les bêtes rapidement, les deux Lalafell restèrent un peu plus en arrière notamment pour soutenir Runne qui s’était fait attrapé par plusieurs d’entre elles et se retrouvait à tournoyer dans tout les sens bizarrement en surfant sur les lottes et le sable.

Le pauvre, rien ne lui était épargné ce soir ! J’aurais bien dit que je n’avais pas eue de problème, mais le temps de regarder, une lotte m’avait bondit sur le visage. Ses dents ne me firent pas de mal, mais ses lèvres s’étaient collées comme un langoureux baiser m’englobant la tête entière. Retirant la bête pour la balancer brutalement au sol en espérant que personne n’aille dire ça à Livio – Tout en réalisant qu’il le lirait sûrement dans ce journal. Livio, si tu vois ses lignes, sache que je n’étais pas consentante ! Laissant choir un éclair au sol en même temps que Ugumori faisait naître la foudre pour repoussé les lottes en les faisant paniquée, ma cible était un peu trop idiote pour se laisser avoir par un tel effet de pouvoir. Me rentrant en plein dans le ventre tout en me propulsant par terre. C’est là que je commençais vraiment à considérer les bêtes comme des créatures à abattre. Mon sang ne fit qu’un tour, mon regard devint glacial, et je me relevais en faisant tournoyer mon sabre tout en passant d’une des lottes à une autre. Profitant de l’impact d’Ugumori et du sable tranchant soulevé par Lalavyr, un instant plus tard il ne restait que des morceaux de poisson stupide tombant ici et là. Ugumori prit un temps pour inspecter le corps et chercher la raison du décès, pendant que nous avons retirer en tranchant nettement la bestiole qui était en train de mordiller soigneusement le bras de Finaen en ayant engloutit sa main.

Heureusement, me direz vous, il n’a rien perdu si ce n’est des traces de dentition dans le bras. C’est Runne qui fut récupéré saignant d’un peu partout et balancé au sol après que les dernières bêtes furent chassées en vitesse. Aussi si le mandat était effectivement accomplit, nous discutions de la manière dont ramener le corps à l’Oasis en pensant que les chasseresses voudraient effectivement retrouver celles que le désert avait volé à leur tribu. Récupérant ainsi le corps se préparant à chercher un voile en arrivant là-bas pour ne pas leur montrer à toutes et surtout eux enfants un cadavres mâchouillés. L’objectif était achevé, au moins paisiblement, et nous n’avions pas vraiment eu de grosses difficultés si ce n’est pour Runne qui avait été balancé dans un trou, puis par des lottes, le pauvre. Mais quelques questions se trouvaient encore – certaines concernant l’état de la Mort de Fer en attendant de retourner en mission à ce sujet, tout comme je m’inquiétais du jour où quelqu’un tomberait sur ce qu’est devenue l’âme de la chasseresse. Puisse t-elle un jour rejoindre la mer des étoiles. Dussais-je l’y conduire en libérant ce qu’elle est devenue en ce monde qui n’est plus le siens désormais. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Sous l’ombre du Nuage noir."

Cent-neuvième Entrée – « Acte 2 – Dans l’obscurité du Bannock. »

« Après avoir empêcher les énergies infectes de trouver racine dans toutes les personnes passant par le sud de Gridania en traversant la porte du blaireau bleue. Il fut visible à cet instant que toute l’influence extirpée du rituel ayant maudit la pauvre Raenne reflua à toute vitesse en direction du Bannock. Rapidement, les autorités réagirent pour empêcher les gens de s’y rendre pendant quelques temps tout en récupérant ce qui pouvaient l’être, mais les envoies un peu trop enfoncés à l’intérieur de la ville ne permettait que de faire disparaître des personnes supplémentaires entres les griffes de ce qui s’était installé ici. Les serviteurs de Tsakyoki devaient avoir une grande confiance en leurs créations pour ainsi osé s’en prendre à un lieu civil si proche de Gridania et bien rapidement l’endroit fut de lui même isolé pour évité que quiconque ne soit affecté. Bien entendu, il était déjà trop tard pour ceux présent là-bas, aussi avions nous au moins l’espoir de pouvoir les libérés avant qu’ils ne soient transformés en infectés par leurs émotions. Sans tarder, nous nous sommes retrouvés à la porte du blaireau bleue désormais bien plus agréable à emprunter avec une grande partie de notre équipe. Ils seraient nombreux à veillé sur nos blessures ce soir là ! A’tinea, Kyuuji et Aerlin ensemble veilleraient sur nous et pourront offrir une assistance efficace en cas de besoin. Enfilant sa tenue de protecteur, Livio tiendrait tête à ceux s’opposant à nos aux côtés de l’immense gardien qu’est Ugumori. Et pour l’instant, Sorn et Eloise étaient à nos côtés en plus pour fournir leurs expertises en guise de destruction, bien que nos deux compagnons Finaen et Runne soient pour l’instant occupé avec la demande de Rodrigo Bigmuscle. Cela concernait visiblement notre mission, et eux iraient chercher quelque chose de leurs côtés pendant que nous aurions à partir droit vers le cœur du Bannock où les ombres avaient refluer.

Et si je peux dire quelque chose sur la première partie du voyage, c’était qu’il était plutôt agréable en soit. Des rayons de lumières traversaient les feuillages en des milliers d’éclats plaisant donnant l’impression que notre route était un voyage au milieu de cette lumière chatoyante. Rapidement, vinrent des élémentaires d’eau, ils étaient comme guidés par les forces de la Sylve pour offrir ce qui fut décrit par nos élémentalistes comme étant un vaste cercle de protection pour que les ombres du Bannock n’en sortent pas. Les habitants étaient installés par les flèches divines dans des tentes alors que les commerçant en profitaient pour installé leurs étals autours des routes menant à la ville condamnée. Au moins avaient-ils ce qu’ils leurs faillaient mais nombreux étaient ceux qui gémissaient en demandant de l’aide, exigeant de revoir un fils, une fille, un père, un époux.

Il était difficile de ne pas leur promettre d’y arriver, Kyuuji prit du temps pour offrir de l’aide à ses gens que ce soit avec un peu de guérison ou des mots apaisant. De la même façons, Sorn découvrit que des marchandises Hingashiennes avaient été amenées au Bannock quelque jours avant ce gâchis que nous venions de subir. Il était possible alors de savoir que les séides d’Ikijin avaient pu préparer leurs jeu depuis un certains temps avant que cela n’apparaisse. Si les environs étaient en paix, l’influence de l’eau permettant grandement de créer une sorte de refuge, ce qui nous attendait était malheureusement bien différent. Plus nous quittions les lieux en sécurité, plus le monde devenait quelque peu terne et morne. En se penchant, Ugumori se saisit d’une bonne poignée d’herbe qui se désagrégea dans sa main brusquement en une cendre noire. Dans ce lieu, si la Sylve n’était pas menacée, le terrain toutefois était affecté par ce que Livio me décrit à travers son éthérimètre comme une tempête de sable figée au milieu de nulles part, s’étendant jusqu’aux cieux, d’un noir profond. La vision avait du être effrayante, et pourtant c’est bien dans cet endroit que nous nous sommes lentement mit à marcher conscient d’après Ugumori et ma propre expérience que cela ne voulait vraiment rien dire de bon. Il avait accumulé trop de puissance, trop vite, et cela ne pouvait qu’en inquiéter plus d’un. Il fut difficile de comprendre à quel point le soleil avait disparut au dessus de nos têtes, comme si d’un battement d’œil à l’autre il avait décidé de faire nuit quelque peu brusquement. Les couleurs variaient en nuances de gris terne et de mauve léger faisant pensé aux clochettes malsaines. Rapidement, Kyuuji et Aerlin établirent une véritable protection de purification autours de nous empêchant les murmures et les forces mentales de nous affectés. Nous apparaissions ainsi certainement dans les environs comme un phare dans les ténèbres. Et la première personne que nous avons vu était une vieille dame qui marchant lentement, un collier avec de nombreuses clochettes mauves.

Tout le monde se préparait, observait les environs, et l’Egi d’Eloise dévoila le passage en écartant des brumes chassant ce qui pouvait s’y caché. Et cela permit autant de nous protéger des afflictions mentales que de l’approche relativement furtive des abominations infectées. Tout ses villageois, voyageurs, voir soldats avaient été brisés par leurs émotions en devenant des choses animées par leurs vices. Voyant que le piège ne serait pas utile et sous la panique de la vieille femme, l’une l’éventra sous nos yeux avant de laisser son corps choir au sol. Une grande cloche mauve se fit entendre, l’entrée du Bannock était enfin visible, et nous avons pu foncer en avant en gardant la protection mentale active. Les distorsions dans l’air auraient du nous rendre fou, mais à la place, nous nous sommes contentés d’arriver en repoussant nos maudits adversaires jusqu’à ce que le choc d’un sort d’Eloise mêlée à un grand coup de pistosabre de Livio ne brisent la cloche. Ceux qui n’avaient pas été massacré après avoir percuté un peu fortement Aerlin et A’tinea, se mirent à gémir à l’unisson avant de partir à toute vitesse ici et là. Au moins étions nous arrivés dans la ville sain et sauf, quelque peu fatigués, mais au moins mentalement entier cette fois.

Le Bannock n’était pour sa part pas vraiment dans le même état : Ceux n’ayant pas pu s’échapper marchaient et vivaient leur quotidien comme si rien n’était avec une morosité absolu. Leurs peaux étaient devenu d’un terne absolu, presque blanche poussiéreuse, et cela se mêlait trop bien hélas à l’ambiance d’une vielle fantôme où les cieux avaient l’air de tournoyer comme sous un voile de deuil. Sorn essaya bien de communiquer, mais il fut ignoré la plus part du temps jusqu’à voir une jeune fille se mettre à hurlé brusquement en se tenant la tête. Elle revivait une horreur qu’on lui faisait subir pour se gorger de la force du néant que la souffrance faisait jaillir et alimenté quelque chose qu’on ne pouvait voir. Au moins, Kyuuji nous assura que ses gens pouvaient être sauvés, bien que la source de tout ce mal devait se trouver quelque part. Sous nos yeux, rien, cependant les étranges cristaux flottant dont l’impression « Fainéantise , Obstination , Léthargie , Ironie, Erreur ainsi qu’un cristal formant un visage à six yeux. Le mot Folie avait été trouvé rapidement, cependant la destruction des clochettes entraîna la colère de l’entité qui se trouvait au-delà du voile. Plongeant le Bannock dans le chaos.

Du sol, s’extirpèrent des tentacules de fumées donnant des illusions à qui elles frappaient, dans des impacts sinistres nous ayant fait visualisé Aerlin se désagrégeant en poussière étape par étape avant de le revoir étalé contre un tonneau où il avait été vraiment envoyé. Un stratagème vicieux, et les infectés ressortaient de leurs trous alors que toutes les clochettes sonnaient comme pour imiter celui de la grande cloche maintenant en morceaux. Un amas d’obscurité s’amoncelait grandement alors que A’tinea et Kyuuji essayaient de repoussé de tels effets, Sorn ramenant Aerlin à nos côtés proche du portail étrange et gluant qui était apparut quand la bonne harmonisation des cristaux fut usée. Cette vague de noirceur était trop puissante pour être arrêtée, et le chemin arrière était coupé, nous laissons qu’un choix : Entrer à l’intérieur ou disparaître comme l’Egi-Garuda d’Eloise qui fut submergé par les forces malsaine l’ayant complètement brisé. Elle fut d’ailleurs la première à faire la traversée, bondissant dans la sorte de glu infâme bientôt suivie par tout nos autres compagnons. Petit à petit, Ugumori en dernier qui avait, peu après que je n’arrive en ayant tranché quelques infectés, fait jaillir la foudre dans un impact surpuissant au sol qui ouvra la brèche pour A’tinea et Kyuuji.

Le passage était désagréable, la fraction de seconde parut pour des minutes à se débattre dans la gélatine gluante et écœurante avant d’en sortir, parfaitement propre. La vision néanmoins du versant obscure du Bannock fut un rappel à la réalité de notre mission bien sinistre quand fut perçu les aspects horrifiant et absurde de ce lieu isolé dans les ombres du démon. L’horizon avait comme disparut dans une tempête de sable noir isolant le Bannock en un petit espace, le sol semblait fracturé et mêlé de lueurs mauves et grises comme si il avait reçu d’innombrables malédictions. Des clochettes tournoyantes lentement dans les cieux, des sortes de fantômes d’ombres noires errant en tenant chacune des clochettes. Si il y avait pas mal d’objectifs gênant autours de la silhouette d’une femme sans jambe remplacée par des brumes noires et avec seulement un rouleau Hingashien. Une surprise nous apparue : Finaen et Runne, portant des capes autours d’eux, Finaen levant une lanterne pour chassé l’obscurité jusqu’à avoir rejoindre ce lieu. Ils avaient été poursuivi par un chasseur des entre-phases, un sinistre cavalier sur un cheval d’orient aux airs d’un fantôme sinistre avec dessus un puissant cavalier au nodachi. Ce dernier leva son arme en souhaitant décapité Runne à toute vitesse en arrivant vers lui, mais les pattes de la monture furent aussi tôt congelées et brisées dans une force incroyable par l’impact du kanabo du Roegadyn. Ejecté au sol à toute vitesse, se relevant pour faire face à son adversaire lentement malgré l’impact ahurissant. La lame du Nodachi fusa, cherchant à trancher ses adversaires en laissant une blessure au bras de Runne, qui se paya cher : L’instant suivant, le miqo’te infusa l’arme par les vents jusqu’à ce qu’elle impacte brutalement le cavalier en l’envoyant valser dans les airs. Il disparut, brisé par le choc, et on entendit plus jamais parler de lui.

J’affrontais pour ma part les fantassins hingashiens dans leurs armures sinistres, leurs corps mêlés de brumes noires et de marques mauves, soutenu par les forces d’Aerlin. Le pauvre devait tirer l’énergie naturelle dans cette phase sinistre du Bannock en le faisant souffrir à chaque tentative, mais ça me permit de littéralement balayer quand les vents frappaient et la terre se soulevait, les rangs de nos ennemis à la pointe de mon sabre. Non loin d’ici Kyuuji libérait les prisonniers : Esmeralda s’y trouvait, celle que Finaen et Runne cherchait au nom de Rodrigo. La cage se disloqua au fur et à mesure, et il du néanmoins se protéger des fils archéens qui tournoyaient autours de sa personne : La femme, ce démon d’orient, essayait de l’empêcher d’atteindre son objectif jusqu’à ce que Kyuuji ne l’assaille à son tour. Profitant d’un javelot d’éther de la part d’Eloise qui le percuta fortement, sa lame d’une lumière paisible lui laissa une importante blessure au torse.

Et proche de là, Livio avec Sorn et Eloise juste avant s’étaient débarrassé de la source d’énergie qui alimentait la créature incarnant l’obscurité même ayant envahie le Bannock tout entier. Il s’agissait d’une sorte de pylône de pierre noire immense où étaient installés les corps des personnes qui avaient finalement été tirés dans ce royaume infâme avant d’être glissés à l’intérieur des pierres noires, leurs corps se fondant à l’intérieur. Quand il fut détruit, les corps chutèrent avec des nombreux morceaux manquant ce qui laissa une vision des plus affreuses de ce qui était devenu de ses pauvres êtres. Des sortes d’ogres de fumées aux marques mauves comme des tatouages reluisant s’occupaient des transports des carcasses. Livio affrontant ses derniers avec Sorn en tir d’appui qui ne cessait de faire usage de son arme même après qu’un choc éthéré ne l’ait balayé avec Eloise et A’tinea qui toutes deux se reprenaient rapidement alors que l’Astromancienne essayait d’offrir des soins un peu partout. La problématique provenait encore et toujours de cette sorte de visage de pierre aux six yeux reluisant d’un mauve infâme, qui connectait visiblement la réalité à cette étrange phase plongée dans le versant obscure du Bannock. Après avoir soutenu la magie d’Eloise pour la rendre plus puissante encore, Finaen se rua à toute vitesse à travers la ville au milieu des conflits pour planté directement sa lame dans l’un de ses yeux pour y diffusé un sort explosif.

Les puissances vermeilles du mage rouge détonnèrent à l’intérieur en une puissante déflagration interne qui balaya la pierre et envoya valser le lien puissant de cette connexion. Des fissures apparaissaient un peu partout autours de nous, dans les airs, sur le sol, laissant un vent de destruction autours de nous peu après une sorte d’impulsion mentale. Grâce aux protections générés par Kyuuji, A’tinea et Aerlin depuis le temps que notre Raen amoureux des arbres se concentrait en des prières répétitives. Cela porta ses fruits à cet instant net en empêchant ce pouvoir de transformer nos émotions en armes contre nous, la contamination de Tsakyoki passant loin de nos personnes et même des prisonniers libérés sous la cloche protectrice de Kyuuji. Néanmoins, les fissures elles entraînaient un danger terrible – Ugumori en fit les frais en ayant à moitié chuté dans une d’elle, ne sortant que bien douloureusement tout en recevant rapidement les soins d’Aerlin. Mais on avait pu voir les effets sur un corps humains quand un des deux vipères chuta dans une faille. Son hurlement disparut, après avoir été de plus en plus rauque et affreux, lorsqu’il ressenti son corps entier être disloqué par la magie néfaste à travers les failles. Grandissant brusquement, la femme au visage de parchemin et le dernier des ogres furent galvanisés par le pouvoir provenant de l’ombre au sommet du tronc du Bannock. En voyant une sorte de mosaïque apparaître en des fragments de verre sombre tournoyant en l’air, il était net que dans sa colère quelque chose se préparait. Autant l’arrêter en vitesse avant qu’il n’y parvienne.

Avec une sorte de reflux d’une eau noire infâme d’où des formes s’extirpaient en essayant de sortir dans des gémissements, l’accès vers le tronc d’arbre était proscrit sans une solide préparation. Il était toutefois des plus urgent de parvenir à s’y rendre, Pendant que nous portions le coup fatal aux dernières entités galvanisés par le pouvoir qui débordait des fractures, Runne essayait tant bien que mal de protéger Ugumori se relevant lentement après les soins d’Aerlin en purifiant les flots noirs qui ondulaient autours de lui. Un bras sortant d’une silhouette impure passant le long de la jambe de Runne en happant avec son contact comme une silhouette de sa jambe arrachée à son porteur. Quand cela était fait, on avait l’impression qu’une partie du corps cessait d’être et ne répondait plus aux appels pendant quelques secondes, ce qui était particulièrement dangereux ! Finaen intervint juste avant que Runne ne soit submergé dans une déferlante puissante qui repoussa l’obscurité en créant une faille le long du passage. Il fallait l’emprunter en vitesse ! Un instant avant, l’ogre s’était fait happé par une griffe enflammée de Livio en le laissant un genou à terre, sous l’impact d’une balle de Sorn, il ne pu réagir pour repoussé ses assaillants quand Ugumori frappa si fort en profitant du choc de Livio pour lui enfoncer la tête jusqu’aux entrailles. Et quant à celle qui veillait sur l’accumulation de pouvoir de l’aspect obscure du Bannock, elle se débattait avec Kyuuji en le harcelant avec des fils d’araignées.

Un tir de Sorn percuta son visage en me laissant de mon sabre trancher ses bras pour offrir à Kyuuji une opportunité. Déposant une sphère de lumière au cœur de la créature, celle ci détonna en plein centre de son incarnation en se dissipant définitivement. Les derniers gardiens du passage s’étaient évaporés et les prisonniers sous les directives d’Esmeralda cherchaient à sécurité les habitants à travers la faille en abattant les ombres et leurs clochettes. Tous se réunirent aussi tôt jusqu’au passage, Eloise ayant empêché nos compagnons d’être happés par un vol d’éther provenant du tronc alors qu’à ses côtés les cartes de Tinéa fusèrent ici et là pour que nous ayons encore quelques forces au moment de la confrontation. L’aspect gélatineux et effrayant ne donnaient clairement pas envie de s’y rendre avec l’impression qu’on allaient être happés par cette immonde glue, mais le danger n’était pas simplement pour nos corps. En vérité, les protections d’Aerlin et Kyuuji suffiraient amplement à dégagé le passage alors que Livio et Ugumori marchaient de tête. C’était une menace pour nos esprits : Le long du passage, les formes ondulèrent pour se transformer en des personnes que nous avions connu jadis. Toutes ayant l’évocation d’une grande souffrance en laissant percevoir des fragments que nous préférions oubliés. J’observais à droite et à gauche, les sentiments partagés de mes compagnons qui avaient luttés et murmuraient aux formes soit des excuses, soit quelques mots leurs appartenant. Et ceux paraissant indifférent luttaient intérieurement avec fatalité sur la tentative de séduction de tels apparitions les blâmant ou leurs demandant de les rejoindre pour se faire pardonnés.

Effaçant le regard de mon mentor de ma mémoire, j’eus au moins une facilité : Ikijin n’était pas mort, il était même coupable, pour ce qu’il restait de sauf de son âme, des folies qui se déroulaient cette terre. Mais l’apparition du vieil ermite de la montagne eue quelque chose de plus poignant. L’autre effet avait été de parfois se mettre à avancer au milieu des terrains qui nous étaient familier. Parfois une institution solitaire ou une ruelle impériale avec des enfants jouant. Je tombais à genou peu après l’apparition d’Himitsu no Taki, les prairies de fleurs magnifiques m’évoquant Tata Pobo eurent un effet inattendu sur ma psyché. Pendant que je vomissais quelques flots noirs infâme, Aerlin vint me soutenir et m’aider à me relevé en purifiant cet effet pour poursuivre ensemble la route jusqu’au tronc principal. Il avait été difficile de nous y rendre tous ensemble pour nos esprits, mais la récompense fut de s’opposer directement au maître des lieux.

Le plafond des cieux était caché par une immense mosaïque de cathédrale ressemblant à la forme de Tsakyoki, le nuage noir. Quant à l’horizon, il était masqué par d’innombrables fragments de verre prenant la forme d’autres mosaïques ressemblant aux scènes que nous avions vécu. Finaen fut particulièrement affecté de se voir sur le trône d’un dragon blanc, comme si il avait jadis été sur le point de commettre la faute qui le tourmentait il y à longtemps de cela. C’était la, une des meilleures armes du démon : Nos propres échecs. Deux antiques samouraïs d’Himitsu no Taki apparurent sur les côtés, dégainant lentement leurs sabres, des armures hingashiennes installés sur des formes de brumes noires prenant un aspect de hyurois. Ils protestaient l’incarnation de l’obscurité du Bannock : Un amalgame de noirceur se stabilisant lentement pour prendre la forme d’un démon d’obscurité. Cela advient quand celui au sommet d’un arbre qui sonner les cloches de son chapeau plat. Il s’agissait du joueur de clochette, l’horreur envoyé dans les berges de jade pour parvenir à corrompre les populaces civiles. Signalant sa cible à l’amalgame, l’étrange démon aux clochettes disparues après son signal en laissant la forme de sa création prendre vie. Fin, portant une armure Hingashienne d’un terne mêlé à des intonations de mauves donnant l’impression de gravure d’oni partout sur ses surfaces. Levant le bras, son terrifiant nodachi apparue avant de se mettre en garde.

Ses deux protecteurs furent vaincu rapidement. Le premier jouant du sabre face à la rapière de Runne dans des chocs répétés sans cesse jusqu’à ce que l’éther d’Eloise ne le perturbe l’instant suffisant pour que la rapière du miqo’te ne passe dans son armure en émettant une lueur puissante de purification. Quant à l’autre, il affronta un instant Livio en parvenant à blessé le pistosabreur jusqu’à ce que la gravité de Tinéa ne le bloque brusquement. Recevant en retour le choc de la pistolame du protecteur, il fut envoyé droit en place pour recevoir un tir surpuissant de Sorn le traversant de part en part avant de le laisser disparaître en poussière. Finaen avait foncé droit vers le démon majeur, l’obscurité du Bannock incarnée, qui s’extirpait difficilement du bain de lumière tombé des cieux pour les impulsions d’Aerlin et Kyuuji. Eux deux avec Tinéa offraient un spectacle de pouvoir laissant apparaître doucement la silhouette derrière eux d’un Arbre blanc, alors que Kyuuji dont des ailes de lumière apparurent dans son dos offrit son pouvoir à toutes personnes en ayant besoin pendant que ses deux compagnons offraient des soins aux blessés. Mais l’obscurité était déchaînée. Ayant faillit abattre Finaen qui tomba à genou une main sur le crâne après l’intensité de la pression mentale exercée par les visions des mosaïques, Ugumori et moi intervinrent un instant avant qu’il ne soit tué en bloquant le nodachi que je pu brisé en deux. Runne et Livio arrivant dans son dos pour frapper brusquement, en même temps qu’un tir de Sorn, il était débordé par les enchaînements coordonnés.

Repoussant malgré tout ses assaillants, plantant son nodachi au sol en laissant des lames d’obscurités apparaître en happant plusieurs d’entre nous. Jusqu’à ce que Finaen ne gave le kanabo d’Ugumori comme si le Kami des tempêtes lui même lui avait offert la force. Bloquant le démon un instant, il frappa si fort que le choc dévasta l’entité dont la lumière d’Aerlin et Kyuuji avait offert une faille. Celle ci disparue brusquement dans des rugissements de nombreuses voix, le ciel tombant littéralement sur nous quand la mosaïque du nuage noir d’Himitsu no Taki s’évapora lentement sous nos yeux. C’était fait, l’obscurité du Bannock avait été bannie à jamais et les œuvres du joueur du clochette avait été arrêtée. De plus en plus, les pantins d’Ikijin seront mit en échec, nous profitions alors du retour de l’éclaircie crépusculaire d’un jour s’achevant enfin. Notre mission ici s’achevait, mais il fallait encore poursuivre le responsable de tout ça. Au moins avant, maintenant que des vies sont mises en sécurité, nous pouvons prendre au minimum un peu de repos avant d’être trop vite renvoyé nous battre pour empêcher qu’un jour. Ce soit au nuage noir d’apparaître en Eorzéa. »

Akayane Kosenjobi.