"Le Maitre des étoiles."
«Je vous salue, à ceux qui liront ses lignes. Chez moi, la manière de me nommer serait « Kosenjobi no Akayane », mais en cette terre qui est désormais mon foyer, Akayane suffira amplement. Née dans l’orient, j’ai longtemps voyager et peut-être un jour mettrait sur parchemin la raison qui me guida jusqu’à cette bonne terre qu’est Ishgard. Fertile et prospère ? Le malheurs du Septième fléau ôta de nombreux essors des courageux agriculteurs devant s’adapter à ce froid mordant. Et pourtant, il y retrouve tellement d’âme courageux, travailleurs chevronnés et envieux de bien faire malgré l’enchaînement des malheurs qui s’écrasa les tentatives de ceux ayant voulu toujours plus pour cette nation. La révélation du grand mensonge ne fit pas naître que le trouble, mais aussi l’espoir. Et sous cette belle république à qui il faudra du temps pour renaître correctement, je suis fière de m’être attaché à ce lieu et de me sentir Ishgardaise désormais. Aussi dépendante sois-je du Seigneur Melestian de Lameciel, la dévotion et l’honneur qui attrait à ma vague éducation provenant de ses ruines dévastées que sont Himitsu no Taki me pousse à tout faire pour mérité cette acceptation en suivant les codes moraux de ce que le noble Elezen souhaite voir jaillir de ce qu’il à créer.
Depuis quelques jours, le jeune Merethir de Voltarme, apprenti du Seigneur Melestian, et moi avons parcouru les traces des combattants des Lameciel quant à leurs nombreuses missions concernant la trahison des Hautepointes, cette conspiration n’ayant fait coulé que trop de sang. Après avoir bataillé et enquêté, nous rejoignons le même point, mais je reviendrais à ce sujet. Pour l’instant, notre situation à encore été flou dès notre retour, épuisés de ce qu’il s’est passé sur cette terre maudite qu’est Ghimlyt. L’endroit n’a clairement pas besoin d’être surnommé « les ténèbres », ni même encore de recevoir un des pires champs de batailles connu entre Aldenard et Ilsabard, pour être un lieu où il n’y fait pas bon vivre. L’éther dans ce lieu est vicié, assombris, voilant le ciel d’une obscurité éternelle qui empêche à la lumière de donner naissance à la vie. On y trouve que les cendres, l’oublie, la mort.
Et alors qu’avant il s’agissait d’une façons de voir le monde d’une morne plaie dans la terre, les cadavres des soldats sacrifiant leurs vie pour empêcher aux forces Impériales de souiller de nouveau les étendues Gyr Abanaises et tout le reste d’Eorzéa souillent le sol en une étendue de dépouille vaincue. Je me souviens du visage d’Elwenne m’observant un instant, alors qu’elle décrochait sa vue de sa longue et fine lame qui avait dernièrement envoyé des âmes dans la mer des étoiles au plus intense des combats. Si une telle formulation peut imaginer que ce fut de beaux instants où des lueurs scintillantes quittait des corps vers les cieux, la vérité est crue, dégoûtante, pouvant faire sombrer dans la folie ceux qui se tardent sur ce qu’ils provoquent. Survivre, c’était poursuivre avec les fardeaux de nos propres actes, et s’attarder sur les détails, c’est imprégner sa rétine de l’absurdité de ce qu’un conflit peut apporter comme tuerie.
Après avoir accomplit notre devoir, je me souvins du soulagement des templiers autours de moi, assise sur l’immense carcasse de la machinerie Magitek qui avait été vaincue au prix de plusieurs vies, je partageais une outre avec Elwenne dont le regard était déjà posé sur ses diagrammes magiques pour faire en sorte qu’ils soient utilisable. Même allégés du fardeau de la guerre, prête à rentrer chez elle, elle était toujours sur ses gardes en cas d’assaut. Et le pire, c’est qu’elle avait raison : Il fallait faire attention, car c’est ainsi que la vie en ce monde fonctionne. Si tu te relâches. Tu meurs.
Nous sommes rentrés en Ishgard il y à quelques semaines, se reposer fut une des priorités pour faire en sorte que l’esprit soit aussi aiguisé que le corps. Il fallait faire disparaître cette épine au fond du crâne, cette voix qui te suggère mentalement encore et encore de te soutenir de ce que tu as vu récemment. Arlsang, toi qui aime le combat, je ne te suggère pas d’y chercher ton compte dans l’honneur du conflit et la richesse de la bataille. Il ne reste rien que le courage fou, et la chance. Quel combattant voudrait vouloir dépendre sa vie d’un coup de hasard, d’un jet de dès du destin ? L’honneur devrait être dans nos actes, et jamais dans notre bonne fortune. Effaçant les tirs et les explosions, c’était lors d’un dîner à une table confortable où les denrées furent d’une qualité plus élevée que d’habitude pour profiter d’un bon repas. Notre Seigneur, Melestian, tenait à ne pas ramasser des épaves traumatisée pour les projets qu’il avait à notre encontre. Elwenne était déjà partie soutenir les combattants des Lameciel, de mon côté, il m’avait charger de soutenir ce combat dans l’ombre quelques temps jusqu’à ce que soit complète l’idée qui venait à naître dans son esprit pour former une faction plus efficace encore que ce pourrait faire de simples soldats. Il était dos à moi quand il en parla la première fois, installé devant un vitrail représentant le blason de la Famille Lameciel : Un Faucon étendant ses ailes au devant des couleurs de la noblesse de la Sainte Ishgard. Ce qui voulait voir apparaître, ce sont des chances d’accomplir de nombreux actes ensembles dépendant de la volonté d’agir partout en ce monde, tout en restant les premières armes d’Ishgard.
Il voulait plus que des soldats qui se battent et luttent ensemble, mais bien parvenir à créer une entente avec ceux qui prêteront un serment strict, sérieux, sincère. La discipline était le cœur de cette requête, un aventurier aux nombreux rêves de gloire personnelle ne pouvait pas accéder à cette attente, puis qu’il s’agissait de dépassé ce simple stade de mandat lors de ses nombreux voyages. Il voulait des personnes prêtes à accepté d’être au service d’un intérêt commun. Cette gloire, c’était celle de l’Ordre qui allait naître de cette volonté, et par le biais de ce blason, tous seraient unis dans le même honneur. Si quelqu’un grandit, il tire les autres avec lui. Mais si quelqu’un faute, il entraîne les siens vers le déshonneur et les suspicions. Tel à toujours été la raison de faire très attention à nos camarades, nos proches, ceux qui seraient notre « univers. » Mais il rêvait de ce qu’un tel ordre pouvait accomplir. Il parlait avec passion pendant un instant, celui de quelqu’un visualisant déjà ce que d’autres pourraient faire par une simple jetée vers une étendue de possibilité.
Faire de ceux qu’il avait sous son aile, les héros des quêtes qui formeront les histoires de demain. Piochant dans mon plat de viande en écoutant ses possibilités, des idées se formaient dans ma tête, mais dans l’instant je dois avoué qu’il n’y avait parfois pas grand-chose d’autre que des tentatives de souvenirs viciés des problèmes vécu il y à peu. Une mission est comme une guerre, à une échelle infime, mais ceux qui y participent y découvriront leur lot de gloire. Et d’atrocités. Me soulevant de table dès que le repas fut fini, je me préparais à quitter les lieux alors que le principe avait fini par prendre forme pendant qu’il discutait avec son jeune disciple, Merethir. Il y avait de la complicité dans le regard des deux Elezens, alors qu’il lui parlait clairement de la confiance qui lui accordait pour poursuivre de face la mission de son jeune frère. Jereck de Lameciel reviendrait avec sa seconde, le Capitaine Lhayn, prendre place au Manoir pour s’occuper des affaires bien plus militaire. Quant à nous, il était de notre devoir de donner forme à cette idée qui emmargeait de son esprit.
Le temps de prendre acte de cette responsabilité et de partir voir le Maître Siroix au collège Saint Guenriol, il nous fallut quelques instants pour réalisé que nous étions instigateur d’une nouvelle forme de faction au cœur de la Sainte-Citée. Il était question de défendre la République, de défendre son évolution, sa valeur, sa Foi religieuse, tout ce que j’avais appris à craindre ou à aimé les années durant à m’adapter à cet espace. L’Ordre du Faucon est sur le point de naître, et il prendrait forme avec ceux qui feront de cette naissance, leur nouvel objectif de vie.
Mais il est temps de reprendre là où ce journal nous mènera : Les missions ! Je reprendrais directement à la suite de celle qui me précède, la capitaine Lhayn, pour vous parler de notre situation. Dame Pheniria de Hautepointe est morte, et les agissements de son père, le Baron de Hautepointe, continue d’être inquiétant et aurait même gagné certaines ruelles en ruine de la Sainte-Citée où il tenterait tant bien que mal de garder des informations sur notre avancée ayant déclenché des combats à l’intérieur même de celles ci pour repoussés des agents infiltrés. Quoi qu’ils préparent, ils ont besoin en urgence d’information pour parvenir à nous arrêté, et il fallait rapidement parvenir à les abattre une bonne fois pour toute. Apaisé le feu de la conspiration n’a pas fait cessé de faire brûlé du bois, ses ressources perdues sont des vies volées et des efforts en vain. Concernant les agents de Naraam Aan Oronir, ce monstre des Steppes souillés au plus au point par une malsaine présence d’un être ignoble, ils continent d’essayer de récupéré tout ce qui est attrait au Maître des étoiles avant que nous ne parvenions à récupéré un accès fiable vers son Domaine-prison. Daegan Kir Rufus à encore des fantassins qui fouillent les recoins perdu, mais l’étendue de ses forces depuis la Bataille du Pont du Fer noir s’est considérablement amenuisé.
Si il veut frapper fort, ce sera avec ce qui lui reste, dans un dernier carré honneur. Vaincre ou périr. Ou périr pour vaincre après tout, les zélotes ont cette capacité de ne pas prendre en considération la qualité de leur vie pour l’offrir désespérément à la cause qu’ils servent. Parfois un avantage tactique quand ils se suicident littéralement vers une levée de lance ! Mais notre mission actuelle est de parvenir à construire la clé qui ouvrira l’accès au Maître des étoiles. Voilà quelques jours que celle ci est en train de se charger de toute l’énergie volatile du sort abîmé par les imbéciles des Hautepointes ayant provoqué un désastre là-bas. Dès que cela sera achevé, nous partirons du Convictoire pour partir dans un lieu sans nom où résiderait la matière qui pourra accepté la présence de toute cette force afin de parvenir à créer une clé stable, utilisable, et surtout véritable.
La première expédition ayant été avortée hier, mes camarades ont menés une enquête menée par Landrin Hautelame. Un Astromancien un peu maladroit – extrêmement maladroit – mais dès plus sympathique qui était présent à cause d’une vague rumeur étrange sur des bruits de métal au loin. Des échos tels n’auraient pas du effrayer autant des Chevaliers du Convictoire, ceux là présent pour chasser des créatures affreuses après avoir été légendaire pour être reconnu comme étant des tueurs de dragon. Il y en avait de moins en moins depuis la fin de la Guerre du Chant des Dragons, mais ceux restant étaient alors pour la plus part des vétérans entraînés et triés sur le volet. Comment des simples sonorités lointaine auraient pu les effrayés à ce point ? Je décidais d’interroger Landrin à ce sujet autours d’une tasse fumante de café à côté du feu de camp. C’est fou comme cette mixture est plaisante, mais je m’égare. Il m’expliqua que celui ci avait été envoyé par la Famille Maleterre, ayant à sa tête un Inquisiteur ayant un lien de vassalité avec la Maison Dzemael, le dit Inquisiteur se liait de plus en plus avec le Seigneur Melestian et risquait de devenir un allié précieux pour notre jeune Ordre à peine naissant dont la première épreuve étant de mettre la main sur le Maître des étoiles. Ils voulaient rechercher quelqu’un dans les étendues proches du Convictoire, en compagnie de Sire Elwenne Ailecendre et le jeune Almire Myste, assistant de ce très cher Moutah Pontah, dit « Le plus adorable des Lalafell. »
Ils devaient tous ensemble retrouver au moins un corps, et c’est ce qu’ils ont finalement trouvé, mais ce n’était pas le bon. Un corps d’un des Chevaliers du Convictoire, horriblement massacré, encore pire qu’une dépouille simplement taillé en pièce pendant un champ de bataille, quelqu’un avait simplement usé de ce corps pour des expériences obscures. Des crochets étaient enfoncés dans sa gorge, tout comme on plante cela dans un quartier de viande saignante, ayant été totalement vidé de son sang bien après avoir été tué par on ne sait quoi. Des traces vitales, il n’en restait aucune, tout avait été vidé bien trop vite de l’intégralité de son énergie vitale ou simplement de son sang. Il ne restait strictement. Rien. De lui. A la place c’était la présence d’une énergie immonde qui restait en ses lieux, quelques traces profanes de l’énergie du néant disposée dans les environs proches. Et les inspections ne manquèrent pas de déranger la bête hideuse qui fit tranchée en deux par l’épée d’Elwenne dès sa sortie du ventre du cadavre, une créature maigre et blanche avec des ailes, pas plus grande qu’un gros minou. Les chevaliers à leurs côtés furent déphasés un instant, et ils parlaient comme d’un appel mental, dès qu’ils reprirent leur esprit. L’appel d’un cocon qui voulait les attirés à lui. Quel genre d’entité peut bien souillé les étendues des Jumeaux dans le Coerthas Occidental ? J’ai bien peur que ce soit à nous de le découvrir, en attendant que la moule de la Clé du Maître des étoiles ne nous permettre d’accéder à sa création. »