[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

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Akayane
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 26 nov. 2021, 14:13

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-centième Entrée - « Acte 5 – La bataille de Kusakari.»
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« Les jours suivant la mort du Dakugurasu et la fermeture du halo des profondeurs caché d’Yanxia, nous avons pu profiter d’une Namai heureuse et tranquille. Qu’il était bon profiter d’un peu de temps de calme, deux nuits reposantes où nous avons pu pour certains œuvrer tranquillement en ville pour aider les locaux dans leurs occupations du quotidiens. Un labeur simple, agréable, où il s’agissait de remettre un peu d’ordre dans les demeures des sans le sous brisés autant que d’aller travailler un peu dans les rizières pour chasser tout résidu de souillure dans le sillage des créations du Tree Barar. Je m’interroge parfois sur la possibilité de m’installer dans ce genre de ville, ressentir une impression comme jadis lorsque mon sabre protégeait Himitsu no Taki, d’observer la vie qui se poursuit tout en ayant quelques missions. Mais mon devoir m’entraîne par delà les frontières désormais, ce qui ne retirait en rien l’agréable aspect de se tenir sur un rebord d’un toit en regardant les enfants jouant ensemble dans les rues de Namai. Cependant, nos regards se portaient vers les bannières frappantes dans le vent à l’emblème de Doma. Les guerriers du Royaume se préparaient, ils n’étaient qu’une poignée de ceux qui n’étaient pas en train de lutter auprès du Seigneur Rijiin, et pas les plus expérimentés.

Les vieux samouraïs braillaient sur les jeunes guerriers de se tenir mieux ,de travailler plus rapidement, plus efficacement, aucun ne pouvant réellement caché l’anxiété d’un combat aussi inattendu que malvenu : De son lien avec les Telophores, il fallait s’attendre à ce que les Lupins subjugués menés par ce maudit Tengus soient accompagnés de quelques entités moins agréable à l’œil au vu des créatures qui arpentent les étendues d’Yanxia. Notre rôle était de tout faire pour que rien ne puisse atteindre les chaînes du Gensui, tout en brisant tout désirs de leurs guerriers depuis les ruines de Kusakari. Si ils s’y réunissaient, ça n’était certainement pas pour rien, découvrir ce qu’ils pouvaient bien préparer était alors une priorité. Quittant la tranquillité des jours de paix, aussi court et peu nombreux soient-ils, notre équipe s’est formée afin d’aller se préparer à défaire la menace : Au moins cette fois, Aerlin serait bien là pour s’occuper de nos blessures. Et dans une bataille, parmi les nombreuses déjà vécue, cela serait essentiel pour mitigé les risques et les pertes alliés. Les sœurs Isamu toujours présentes pour agir de pairs, épauleraient avec grâce duo de magiciens qu’allaient formés Runne et Finaen. Me laissant essayer de parvenir à assaillir nos ennemis de ma lame rapidement pour trancher quiconque s’oppose à nous tandis que Livio sera notre première ligne face à toutes menaces devant nous. Cela dit, nous serions avec toute une foule de combattant de Doma, ce soir, et tous avaient pu prendre un temps de discussion avant qu’il ne soit temps de rejoindre ce qui inquiétait tant les locaux qui regardaient vers le sud : Le camp de bataille d’Okoi, un Raen venu tout faire pour abattre la menace gênant Doma.

Le crépuscule tombait doucement, un vent irréel passant lentement en repoussant la brume ce qui permit de dévoilé les environs curieusement comme nous ne l’avions pas vu depuis quelques temps. Dans les environs, sur les hauteurs comme vers le bas, des lumières des lanternes et des demeures éclairaient un peu partout la chaîne du Gensui en donnant l’impression qu’elle reprenait lentement vie pour contempler la bataille se préparant à se jouer cette nuit. Progressant à travers le grand pont, plusieurs soldats passèrent dont l’un sur un grand chocobo qui bouscula un chariot à choux volant dans tout les sens, pendant que nous avons pu rejoindre le camp des guerriers d’Okoi. Des gémissements des blessés dues aux escarmouches se mêlaient à ceux qui râlaient de voir une tente brusquement prendre feu, ne cessant de parler avec superstition de ce Tengus errant dans les airs. Aussi tôt, Aerlin souleva les flots en éteignant les flammes, venant par la suite guérir quelques des fantassins qui écoutaient autant la musique de Kohaku qui venait de faire tomber de sa monture le pressé ayant fait tombé un chariot à choux, que les ordres venant de Livio. Préparant la bataille avec Okoi, il ne restait qu’à Finaen d’inspecter les cieux : Visiblement, le vent curieux était manipulé, ils préparaient quelque chose d’énorme, littéralement une tornade pour nous tomber dessus.

Le vent prit de l’ampleur, et il nous fallait partir en vitesse pour contrer nos ennemis. Fonçant tous ensemble, Livio en tête en ordonnant aux soldats de le suivre, il aurait été balayé lui et les troupes par les surprenant canon à vent ressemblant à des totems écroulés que des lupins installaient sur la brèche du mur que nous devions protéger. Hors les vents s’écartèrent quand Aerlin ouvra grand un passage, permettant à Livio de bondir en détruisant le premier canon dans une grande lueur d’éther, accompagné par une chute de pierre conséquence de Mitsuko un peu plus loin. Des explosions apparaissaient ici et là, Kohaku détruisant les totems créant des flèches de vents qui avaient transpercés plusieurs des soldats avec nous, m’empêchant aussi de finir en brochette. La remerciant en me ruant avec les autres dans la brèche, la tornade elle fut brusquement arrêté par Runne et Finaen. Le miqo’te créant une immense couche de glace bloquant d’un coup les vents tournoyant malgré la douleur de plumes tranchantes qui le blessèrent. Cela laissa le temps à Finaen de brisé la vélocité de la tornade, éclatante dans une onde de choc aérienne déplaçant les nuages en donnant l’impression d’un cercle de nuage irréelle et magnifique. Les nuages s’accumulaient, bien que la pluie ne tombait pas, c’est dans une obscurité teinté de miel que la bataille allait commencer : Traversant la brèche du mur des chaînes du Gensui, nous observions les lupins subjugués en petite troupe de guerre approchant. Guidés par des guerriers en armure noire, plusieurs installés sur d’immenses oiseaux nommés des Bucorves tournoyait dans les airs en arpentant la troupe de guerre où deux vieux golems de batailles comme des armures vivantes progressaient dans le lot comme elles le pouvaient. Okoi soulevant sa lame, dans un cri de guerre résonnant, il leva son nodachi en braillant un terrible cri de guerre en menant les guerriers domiens droit vers le combat. Ils n’étaient pas les plus fort, des jeunes combattants entraînés pour surveiller le territoire pendant que les autres suivaient leur seigneur dans des immenses conflits.

Pour beaucoup, c’était leur première bataille, mais l’ennemi lui était entraîné et impitoyable. Des sphères de vents explosaient en même temps que des déflagrations des géomanciens, Livio chargeait en avant au milieu des éclairs que Finaen prodiguait en provoquant des ravages un peu partout. Bien que Finaen reçu une sphère de vent le repoussant net, cela permit à Livio de traversé le corps de l’officier de charge ennemi tandis que des levées de pierres se soulevèrent un peu partout dressé par Aerlin pour bloqué les frappes aériennes. Un Bucorve traversa une barrière de pierre en frappant le flanc d’Aerlin en le blessant légèrement. Tous furent frappés à certaines mesures, Mitsuko dans la ruée reçue un choc contre la mesure qu’elle venait de volé à son porteur en s’écrasant plusieurs fois par terre, tandis que Runne soulevant la poussière en aveuglant tout les Lupins fini par se prendre un grand coup de pied dans le torse avant de s’écraser lourdement sur le dos. C’est au milieu d’une bataille des plus difficiles et mal engagés que nous avons du guerroyer pour protéger, j’avais pu trancher un des golems de fer, mais un coup puissant me propulsa au milieu de la mêlée ennemie. Tous progressaient rapidement vers le passage menant au cœur de la menace pour les arrêtés au plus vite, je devais m’ouvrir la voie. Encerclés de toute part, ma lame trancha encore et encore, si bien que pendant un instant la confusion et le règne de la violence me fit tranché sans plus me rendre compte de combien je devais en tuer pour atteindre mes compagnons. Couverte de blessure, et de sang ennemi, d’un aspect plutôt effrayant. Nous nous sommes sorti de la bataille intense, tous derrière Livio et Kohaku qui frappait brusquement tout ceux aux jambes pour les immobilisés rapidement. Nous permettant d’atteindre les ruines de Kusakari, et l’usage du Mornemaux.
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Des nombreux chocs avaient entraînés des levées de poussières et autres déchets provenant de la cendre tournoyant ici et là avec des flammes errantes. Nous nous étions ralliés autours d’une bannière de Doma qu’un jeune soldat avait eu le temps de planté avant de perdre la vie. Plusieurs avaient vu des scènes aussi rudes à vivre que violente, notamment quand Kohaku perçue hélas un alliés être transpercé dans le dos alors qu’il voulait juste s’enfuir d’ici. La réalité d’une bataille nous frappa tous, vétéran comme jeunes combattants, mais nous pouvions au moins faire une chose : Tout faire pour triompher de nos ennemis. S’extirpant des fumées nocives au milieux de flammes vagabondes provoqués par le chaos ambiant, soutenant nos compagnons et laissant Aerlin et Finaen m’offrirent des soins laissant disparaître les maux et la douleur tout comme ils s’occupèrent de chacun très rapidement alors que pratiquement tous avaient subis quelques dégâts si ce n’est Livio qui avait pu encaissé le gros de la charge pour nous offrir une ouverture, l’emplacement où nous sommes arrivés avait quelque chose de malsains sans pouvoir réellement mettre de mots dessus. La jarre était plus petite que celle qui se trouvait en dessous de Namai, mais devait contenir suffisamment de Mornemaux pour provoqué bien des problèmes, et si elle était complétée par le pouvoir scellé sous les chaînes de Gesui, ils pourraient certainement décuplés les pouvoirs récupérés alors par le Tengus œuvrant visiblement dans l’intérêt du Tree Barar.

Une fissure dans les sceaux laissaient se diffusé lentement des impressions de poussières tombant au sol, créant un cercle parfait de roche gagnant de plus en plus en intensité à mesure où il était nourri par le pouvoir caché dans la jarre. Les premiers morceaux de ruine du village de Kusakari étaient affectés, mais ils nourrissaient certaines de leurs créations comme si ils dévoraient cette magie goulûment afin de grandir et d’acquérir de la force. Il nous fallait agir, et récupéré cette jarre avaient qu’ils ne s’en servent pour amélioré cette troupe dédiés aux Telophores. Directement, ce qui intéressa Aerlin peu après avoir pu m’offrir des soins me permettant de me déplacer correctement en même temps que Finaen, c’était de scellé la jarre. Tendant le sceptre noueux droit vers la jarre, des carcans de roches jaillirent brusquement en se soulevant d’un coup en une pierre bien plus pure qui tournoyait rapidement autours de la jarre en créant un carcan de pierre de plus en plus solide. Au moins, si ce n’était qu’un palliatif éphémère, cela nous offrait un peu de temps afin de trouver une solution pour que peut-être, Finaen répare le sceau.

Mais eux ne l’entendaient pas ainsi, ils se préparaient à contre-attaquer, autant vers nous que pour renverser le cours de la bataille en menaçant Okoi d’être assaillit par les flancs. Conscient de ce que cela pourrait provoqué, Finaen jaillit droit vers les montures en créant une lueur d’ambre puissante, laissant des pierres rattrapé les énormes Bucorves chevauchés pour qu’ils ne décollent pas. Coincés par les roches générés par Finaen, une impulsion aérienne faisant choir ses ennemis, une créature réagit à son arrivée et se rua dans sa direction. Avant que l’incarnation de bois et de végétation moisie ne puisse l’atteindre, Livio était sur lui. Son grappin l’accrochant à la créature lui permit de tournoyer en l’air pour donner un premier coup de pistolame créant une lueur puissante comme une onde de choc rayonnante autours de lui. Restant sur son dos, ce fut un rodéo chaotique alors que la bête saccageait tout au passage en s’écrasant un peu partout contre la route en cherchant à se libérer d’un Livio bien accroché dans son dos, émettant d’étrange couinement à mesure qu’il voulait se libéré. Rapidement, Finaen tournoyait en esquivant les lames et autres coups jusqu’à contre-attaquer, frappant et tranchant de sa lame en se retrouvant complètement encerclé, voyant du coin de l’œil Livio mettre à mort son adversaire, avant qu’une intervention de nos alliés ne le sorte de là. Peu après avoir reçu un genou dans le ventre, Obito et Okai arrivèrent avec plusieurs guerriers Domiens échappés de la bataille pour tailler en pièce les Lupins subjugués avant qu’ils ne nous attaquent.

De ce côté, c’était fait, pour ma part j’avais bondis en tranchant un faisceau d’énergie mauve malgré un coup me frappant l’épaule douloureusement avant d’atteindre mon ennemi. Il s’agissait de combattant portant comme des totems façonnés en protections autours de leurs corps, manipulant des vents dont l’essence élémentaire avait une souillure évidente au vue des couleurs formés dans les vents éthérés. Tranchant en pièces le premier malgré tout, me laissant m’orienter droit vers celui qui venait d’expulser plus loin Runne qui condamnait un curieux artefact. Ayant une vague allure de ce qu’ils pouvaient créer avec les Tours de l’Apocalypse, ils façonnèrent une griffe sinistre permettant la subjugation jusqu’ici d’autres Lupins qui étaient conduits devant la Griffe pour devenir des nouveaux combattants serviles. En créant une sphère de verre autours pour en condamné l’accès, cela ouvrit la voie rapidement au Lupins captif de s’enfuir avant de devenir des menaces, s’éloignant le plus loin possible d’un objet dangereux pour quelqu’un n’ayant pas les premiers degrés de l’Echo. Etalé au sol, le jeune Tengus aux ailes noires comme j’en avais entendu parler en Kugane tournoyait et contemplait la griffe. Soulevant son bras, il créa une sorte de pression puissante qui jaillit hors de la griffe pour provoqué un faisceau puissant droit vers la sphère de roche qu’Aerlin avait créer pour empêcher l’accès à la Jarre au Mornemaux. Essayant de la brisé, quelque soit l’effet que ça provoquerait, personne ne voulait le savoir et Aerlin souleva d’un coup un mur de pierre pour arrêter le faisceau. L’intensité fut si grande qu’il lâcha un cri, un peu du sang glissant du nez d’Aerlin contre ses lèvres sous les impulsions répétés de plus en plus puissantes, jusqu’à ce que Runne parvienne à tout arrêté.

Le Tengus aurait voulu l’arrêter, mais après avoir repoussé les sœurs Isamu une première fois en essayant de lui trancher une aile, le blessant dans des assauts coordonnés sans cesse jusqu’à ce que ses ailes soient réellement ravagés par Kohaku, le laissant à la merci du sabre de sa sœur. Mitsuko le poignardant au sol, empalé par terre après un grand coup de sa lame. Quant à moi, mon duel contre l’autre Lupin suréquipé s’acheva par sa mort, dès que sa garde s’ouvrit s’en suivit un instant plus tard de son visage sous un grand coup de sabre afin de permettre à Runne de créer la fin de son sort dans une lueur incroyable, ayant bloqué les sorts du Tengus l’instant d’avant pour l’empêcher de frapper les sœurs Isamu dans des lueurs éclatantes tournoyantes magnifiquement à mesure de la progression de cette magie ravissante. Se retournant vers la griffe, il trouva les bons accès vers l’artefact pour en détruire les artifices, créant un rayonnement puissant qui acheva d’un coup de brisé la magie intérieur de cette griffe, la laissant choir au sol. Un calme pendant quelques instants donnait à notre situation un air irréel, puisque la bataille faisait encore rage autours de nous à ce moment là. Quelques subjugués nous arrivaient dessus, vaincu aisément avec le surnombre des samouraïs autours de nous. Plusieurs vinrent offrir des soins rapides, nous soutenant pour se préparer au départ, alors que tous observaient le cœur des Ruines de Kusakari où il y avait une impression d’œil de cyclone tournoyant brusquement. Quoi qu’il pouvait se produire là-bas, c’était la raison pour laquelle ils menèrent les subjugués ici et ce pourquoi ils étaient prêts à tout tenter pour le préserver envers et contre tout. Au milieu des petites tornades comme des typhons tombant des cieux, nous sommes aller confrontés nos ennemis dans une ultime passe d’arme.
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Autant vous dire que la tension n’était toujours pas réellement retombé, des combattants luttaient encore de façons éparpillés autours de nous, laissant parfois une grande déflagration aérien ou enflammé jaillir en laissant parfois tombé un Bucorve enflammé des cieux s’écrasant contre le sol. Des quintes de toux se faisaient entendre, quelques blessés reculaient lentement escortés par leurs camarades pour se sortir de cette bataille confuse qu’Okoi tentait envers et contre tout de maîtrise malgré le chaos ambiant. Les quelques rares demeures de ce petit village étaient visibles autours de nous, du moins ce qu’il en restait : Ni murs, ni toit, que des décombres vagues au milieu de grandes roches et de pousses de bambous immenses à côté des eaux du bassin rutilant coupant l’accès terrestre en deux.

Pendant un temps, ce trajet ne fut pas des plus compliqué, aussi prit par notre propre constatation du malheurs que pouvait entraîner de pareils conflits tout en contemplant les cieux donnant l’impression qu’ils voulaient fendre le ciel pour qu’une lance aérienne mêlés de tout les tourbillons ne nous tombent dessus en un sinistre jugement du ciel. Mais bien rapidement, il fallait se rendre compte que nos adversaires allaient nous tomber dessus. Peu de lupin, mais tous des subjugués, ses derniers étaient recouvert des fragments de pierre signe du Mornemaux étreignant leurs chairs en essayant de les étendre. Donnant une impression d’aile, et de pâle imitation de Tengus. Comme si ils voulaient acquérir d’autres guerriers de son espèce par un moyen détourné des plus curieux, mais témoignant d’une maîtrise inquiétant du Mornemaux. Au vue de la créature perçue dans le bassin de pierre, le Tree Barar y était pour quelques chose dans l’ensemble. Nous allions devoir nous battre, mais leurs activités particulièrement chaotiques quand ils brisèrent les pierres et agitèrent le terrain en nous forçant à bondir d’un morceau de ruine à une autre, d’une pierre en début de chute à un vieux toit se brisant lors de notre bond, en même temps que les tornades miniatures tombaient des cieux en frappant un peu partout autours de nous. C’est ce qui inquiétait le plus Aerlin et Finaen, en voyant ce que cela allait vite provoqué.

Aerlin offrit une maîtrise des vents de plus en plus accrues à Finaen et Runne, des lueurs verdoyantes puissantes naquirent en grandissant petit à petit en illuminant son corps puis ceux de ses alliés en conjuguant leurs forces. Après un instant d’accumulation, Finaen pu ainsi manipulé les vents en créant un grand dôme nous protégeant nous et nos alliés des vents violents dans une puissante ondulation. Je n’ai eue le temps que d’entendre son cri, alors que je tranchais plusieurs ennemi, quand il perçu Aerlin se prendre un coup de lame qui lui traversa le ventre en une blessure affreuse. Le responsable fut aussi tôt puni par Kohanu bondissant dessus en plusieurs coups de tantos avant de passé à une autre cible, elle et sa sœur progressant avec la ruée intense de Livio qui bondissait d’une pierre à une autre en fracassant sa pistolame sur tout ceux qui osaient progresser vers nous. Ils purent aussi nous récupérés avec Runne, quand ce dernier détourna une petite tornade, il fut emporté d’un coup et moi avec lui en le suivant pour trancher les faux tengus au passage jusqu’à ce que Runne ne parvienne à me saisir, pour nous propulser hors de là, quittant l’influence de la tornade avant d’être taillés en pièce pour nous écraser lourdement contre un mur de pierre, gisant au sol quand nos compagnons furent sur nous. Ils avaient récupérés Aerlin, des soins d’urgences produit pour le remettre d’aplomb, il aurait besoin de repos mais il nous fallait notre guérisseur à nos côtés au vue du critique de la situation.

Au moins, cette dernière estocade et le détournement de la tornade nous avait ouvert la route, pour découvrir enfin ce qui se trouvait dans l’oeil du cyclone : Dans les derniers ruines, se trouvait une sorte de totem défragmenté. Comme si d’innombrables morceaux de ce totems flottaient dans les airs, essayant de le garder actif à l’image d’un artefact brisé il y à longtemps. Dans les cieux, la forme d’un masque apparaissait, ressemblant à celui du Dakuguresu, constatant qu’ils cherchaient peut-être à recréer cette entité mais avec le pouvoir accordé aux Telophores. Après un bref instant d’observations, nous sommes tous parti rapidement à l’assaut : Les sœurs Isamu avec Livio se ruèrent vers l’énorme panda monstrueux incarné en partie par des plantes et des lueurs mauves, symbole d’un membre de la famille Isamu éveillé de la mort pour servir leur cause. Envoyant un grand coup de pistolame en retombant, Livio fracassa le dos de l’Ours d’orient immense dans un choc puissant créant une ondulation et une fissure tout le long de son flanc. Les deux sœurs le percutèrent à leurs tours, Mitsuko voyant un coup de griffe qui allait lui arracher les yeux être bloqué par Livio qui rapidement reprit l’initiative malgré Kohaku qui s’écrasa plus loin à cause d’un mouvement brusque après avoir planté ses lames dans son dos. Tandis qu’il rugissait sans cesse dans une colère montante, Livio parvient à le bloqué d’un grand coup de lame, la pistolame le fendant en le bloquant dans les roches que Mitsuko avaient créer à ses jambes pour le coincés, jusqu’à ce qu’elle ne balance son sabre et Kohaku un kunai.

Soumis aux flammes et à la foudre lui tombant dessus en même temps, il explosa soudainement en une grande boule de feu avant de disparaître dans un rayonnement d’argent en remerciant ceux l’ayant libéré. Cela arriva un instant après la chute de Sozo, le faux-Tengus portait une tenue magnifique digne de celle d’un noble parjure revenu dans son village natal pour retrouver le totem. Aux ordres du Tengu céleste, celui qui était responsable de tout ça : Noitaika des Trois vents. Les pointes de pierre d’Aerlin le bloqua net, permettant à Runne de l’atteindre de sa rapière en le frappant sans cesse de sa pointe surchauffé en essayant de lui tailler le flanc. Arrachant une pointe de pierre d’Aerlin pour la planté dans l’épaule de Runne bien douloureusement, il fonça vers le totem pour s’en servir mais fut rattrapé par Aerlin qui l’écrasa lourdement au sol, permettant à son camarade de lui trancher les ailes avant de l’achevé au sol dans un grand coup de lame une fois bloqué dans la roche, trouvant exactement où était son cœur d’énergie, pour le coupé net. Il ne restait qu’à vaincre la douce jeune femme souriante d’un air pernicieux, laissant les pétales de roses du Ka tournoyer autours d’elle avec grâce et beauté. Progressant sur ses talons vers nous, maniant trois sabres à la fois en jonglant littéralement avec, essayant de nous débordé.

Notre maîtrise était supérieur, mais elle avait une arme en plus : Utilisant les énergies du totem, un masque jaillit en partie devant son visage ainsi que ce mucus noir ressemblant au corps du Dakuguresu, parvenant à m’écraser au sol en me blessant sérieusement sur le coup. A genou, du sang glissant de ma plaie, cette dernière cessa de me nuire quand Finaen m’offrit support dans une lueur magnifique de son catalyseur qui parvint à me soigner. Pendant qu’il m’offrait guérison et force, il s’opposa seule à la guerrière aux trois lames, essayant de le déborder avec d’innombrables coups sans y parvenir quand des marques rouges jaillirent sur son visage s’illuminant de plus en plus. Me redressant, utilisant du plein potentiel de mon cristal d’âme, je tranchais en laissant plusieurs échos de mon passage en taillant la samouraï en pièce avant de rengainer ma lame, m’effondrant lourdement au sol. Je ne repris consciences qu’un peu plus tard, découvrant le ciel qui se déformait pour briser le cyclone convoqué tandis que la bataille avait été achevée. Triomphant, au prix lourd aussi bien physique que moral, cette bataille n’était que le départ de bien d’autres conflits à venir contre le Tree Barar, à commencer par essayer de tout faire pour arrêté Noitaika avant qu’il n’use des Telophores pour créer quelque chose de dangereux pour les chaînes du Gensui, et bien plus encore je le crains. »

Akayane Kosenjobi.
Dernière modification par Akayane le 30 nov. 2021, 15:59, modifié 1 fois.

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Message par Akayane » 29 nov. 2021, 11:15

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-et-unième Entrée - « Acte 6 – Dans des nuages errants.»
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« La bataille de Kusakari fut des plus éprouvantes, si bien que nombreux furent laissés au repos après un conflit aussi intense si bien physiquement que mentalement, j’ai peur que Kohaku ait beaucoup de mal à s’en remettre pour être franche. Plusieurs étaient encore au lit, se reposant, notamment ceux qui avaient réellement besoin de laisser leurs corps au repos. Néanmoins, malgré le calme après la nuit infernale subie alors que nous venions d’achever la bataille, à devoir repoussé des envahisseurs sans cesse et autres horreurs venant des cieux essayant d’achevé les blessés, le moral commençait à remonté lentement. Pour essayer de comblé la fatigue mentale et les difficultés vécues dernièrement, nombreux furent ceux qui offrirent des repas délicieux et quelques spectacles improvisés. Namai revivait et devenait des plus chaleureuses pour les braves qui revenaient des combats et avaient besoin d’un peu de soutiens. Sous la surveillance d’Okai, nulles ne franchiraient les passages menant à la chaîne du Gensui sans qu’il ne le sache, laissant de nombreux protecteurs observer les environs en essayant de voir si le moindre subjugués risquaient de venir. A la grande surprise, ceux qui vinrent furent des fameux Samouraïs du Ka, proposant quelques duels et affrontements pour commencer à résoudre un conflit mais qu’avec les volontaires. Les combats ne finirent en rien dans le sang, et ils partirent après avoir été en partie vaincu avec un semblant de bonne humeur qui avait offert un spectacle combatif qui était loin des traumatismes des batailles contre les subjugués.

Mais que cherchaient-ils vraiment à faire ? C’était curieux, toutefois, je restais focalisée sur les problèmes que nos ennemis pouvaient faire apparaître pendant de notre repos, et cela allait rapidement nous mené à découvrir qu’un immense totem avait été installé au nord des ruines du Castrum Fulminis. De tels totems cherchaient à convoqué les vents, dans nos autres missions et si les rapports d’éclaireurs parlaient d’un totem d’une pareille ampleur cela signifiaient qu’ils pourraient provoqué un véritable chaos. Surtout qu’ils traitaient d’une curieuse maîtrise des nuages en laissant comme des nuages bien plus denses errer autours. Si ils y instillaient le Mornemaux, personne ne voulait voir des chutes de nuages de pierre partout en ville. Nous avons donc réuni ceux qu’on pouvait, à savoir notre guérisseur Aerlin malgré tout son travail et nos deux compagnons magiciens toujours en duo – Finaen et Runne. Mais l’équipe fut surtout renforcés de nos deux nouveaux compagnons ayant rejoint l’Aube Obscure : E’nijoh que je connais depuis longtemps et qui nous à déjà bien aider autours de Namai ainsi que sa bien-aimée, Helena Dalmikiel en nous offrant ses puissants talents de future érudite ainsi que la présence de son carbuncle me laissant un petit souvenir de Seragoix. Nous avions tout de même une bonne équipe, malgré l’état de notre groupe en lui même, et le voyage qui allait nous mené au totem installé sur une pierre solitaire élevé dans les airs, était tout aussi morne et épuisant. Il restait bien des marques des escarmouches, aussi bien des cratères fumant où des déflagrations avaient creusés le sol que des passages de griffes et autres résidus chaotiques de combats acharnés.

Ce sont des locaux la tête baissé qui marchaient vers Namai, s’éloignant le plus possible de là où ils risquaient d’être la cible des guerriers du Seigneur des Trois vents en espérant qu’ils retrouveraient leurs demeures. Un jeune soldat vint remercier Aerlin d’avoir sauver son petit frère, s’écrasant presque sur lui, laissant sourire Finaen un instant avant que lui et l’élémentaliste n’aillent soutenir un chariot à choux coincé dans de la boue pour l’élevé et secourir le marchand qui demandait à l’aide. Runne marchait dans les environs en regardant tout ses gens affamés et fatigués, partageant ses onigiris restant à tout ceux qu’ils pouvaient, laissant E’nijoh proche de moi froncer un peu les sourcils en inclinant la tête vers un des gardes barrant le passage. Visiblement, tout cela le mettait quelque peu mal à l’aise, autant que sa femme : Helena avait réellement l’air désolée pour ses pauvres gens. Sous ce ciel tranquille aux quelques nuages, passant le long de routes sur des levées de pierres comme sur des chemins entre les rizières, la boue et tout ce qui rendait les lieux moins heureux. Essayant tout de même d’offrir un peu de sérénité, Finaen et Helena furent cela dit inquiété par une silhouette qu’ils perçurent dans un nuage au dessus de nous. Comme si un homme s’y tenait debout.

C’est pour cela qu’ils se montrèrent aussi vif et alerte quand les problèmes commencèrent vraiment à se déclarer autours de nous. Ce fut après avoir traverser la grande porte devant les guerriers d’Okoi, avant de nous engouffré dans une forêt de bambou. C’était un paysage agréable et surprenant pour les non habitués, marchant sur des routes naturelles difficiles à empruntés à causes de la surabondance des bambous, jusqu’à ce que ce qu’ils craignaient ne survienne : Un nuage massif nous tombait dessus. Comme si d’un coup, il était manipulé et rendu bien plus lourd à en faire ployé les immenses pousses de bambou. Révelant les autres petits nuages qui se déplaçaient comme des gelées pour nous engloutir, la priorité fut de nous sortir de là avant d’être écrasé par l’énorme nuage chutant des cieux dans une impression magnifique. J’attrapais Helena pour forcer la course, tranchant bambous et nuages de ma lame au passage en progressant derrière E’nijoh qui repoussait brusquement les nuages quand il passait les bambous qui s’écartaient à mesure où Finaen et Aerlin créaient des chemins en ligne droite dans des fracas terrestres. Le bras d’Enijoh fut bien attrapé un bref instant par un nuage, mais Runne le trancha aussi tôt, nous permettant de fuir en ayant le carbuncle convoqué par Helena qui bousculait un peu tout le monde, notamment Finaen en plein ventre en tombant au sol avec lui quand le nuage fini par s’écrouler alors qu’il maintenait le passage avec une protection.

Nous observions enfin au loin l’endroit où ils produisaient de tels nuages, mais il fallait tout avant l’atteindre : Progressant sur d’immenses pousses de bambous inclinés servant parfois de pont, l’ensemble fut solidifier rapidement par Finaen créant des protections de plus en plus en cumulant la roche sur le bambou. Proche de lui, Runne concentrait les vents pour créer une petite tornade afin d’emporter les adversaires qui se ruaient vers nous sur des nuages. Des subjugués de natures différentes, couverts de la pierre du Mornemaux, souhaitant nous arrêtés. Beaucoup fonçaient vers le carbuncle, mais la plus part se ruaient vers nous en se prenant des chocs éthérés d’Helena les repoussant, en broyant un qui fonçait vers E’nijoh quand ce dernier vola l’un des nuages en envoyant valser au loin son porteur. Bien que ses pirouettes dans les cieux étaient impressionnante, il nous restait encore beaucoup à faire pour progresser notamment quand une lame faites de nuage chuta subitement en écartant les bambous et en fracassant celui où se trouvait nos compagnons. Runne fut écrasé sur une pierre, réveillé par le carbuncle et Helena venant voir si il va bien, tandis que Aerlin avait été retenu d’une chute mortelle par Finaen malgré ses blessures, tenant une main sur le bambou au dessus de lui et l’autre tenant son camarade. J’avais moi même été blessée par plusieurs chocs de magie envoyé par nos ennemis avant de les taillés en pièce, jusqu’à trancher les derniers bambous nous menant à une plage. Dès que tous furent en sécurité, nous nous y sommes rendu, envieux d’en finir avec ce qui se trouvait ici.
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Et il faut dire que c’était étonnant. L’endroit n’aurait pas du être plus surprenant que ça sans l’effet d’une étrange structure dont la magie gravée créaient des nuages de densités différentes. Nous nous étions traînés difficilement hors de la forêt de bambou où s’étaient écrasés bien des malheurs, après l’assaut des subjugués. Des anciens domiens portant des kimonos bleutés qui pourraient peut-être être sauvés pour ceux inconscient. Quelques soins furent de rigueurs, et E’nijoh apprenait rapidement à comprendre comment le nuage qu’il utilisait pouvait être manié : Il avait les méthodes de déplacements plutôt facile à saisir, dommage qu’il n’ait jamais réellement découvert comment il pouvait essayer d’arrêter sa course. Au moins, au moment d’agir, il interviendrait avec force, mais dans un bref instant nous observions la beauté incroyable de ce lieu irréel : Plus tard, j’apprendrais qu’il s’agissait de curieux concepteur s’amusant à créer des nuages vagabonds, suffisamment dense pour être pendant quelques temps des structures avant de se dissipé. Mais au vue de l’habitation avec une sorte de fontaine se trouvant sur un nuage devant faire tomber de l’eau habituellement dans des tranchées pour atteindre des cultures.

Mais désormais, il y avait des fragments du Mornemaux tombant lentement du nuage en infestant les lieux en contaminant les nuages créer par un énorme dispositif de bambou créant des nuages de plus en plus nombreux et épais. Il fallait absolument arrêté ce qui se déroulait ici, pour bloqué l’afflux des nuages maîtrisés, bien que nous n’avions pas encore vu le grand totem pour l’instant. Il fallait au moins arrêté l’afflux du Mornemaux, et pendant que Finaen et Runne s’introduisaient rapidement vers les sommets nous allions au moins les épaulés au sol. Avec Helena, nous nous sommes attaqués aux forces de leurs combattants sur la plage – Elle envoya son carbuncle attiré l’attention d’une énorme création de nuage ressemblant à un colosse uniquement fait de nuage massif, ce dernier écrasant son poing encore et encore en essayant de massacrer le carbuncle sans y parvenir. En retour, il reçu de plein fouet un sort de ruine puissant qui le fit reculé brusquement et presque choir au sol. Se remit brusquement à assaillir le carbuncle qui le harcelait sans cesse, mais le Telophore qui se trouvait au milieu de subjugués n’escomptait pas le laisser faire aisément. Ordonnant d’un sort à la création d’attaquer Helena en vitesse, j’étais en train de jaillir en tranchant ses protecteurs sans cesse en tournoyant en vitesse tout en coupant ceux qui me fonçaient dessus.

D’un Empi, j’envoyais brusquement une vague tranchante contre une sorte d’armure étrange avec un corps faire de pierre dedans qui allait empalé Runne avec une lame, pour le protéger au dessus de moi. Mais il fallait que j’aide Helena d’urgence : Le sorcier bloquait sa magie, empêchant le sort de Ruine d’Helena d’achevé l’entité. Tranchant brusquement en deux le Telophore dans un grondement, elle reprit le contrôle de sa magie et fit explosé en morceaux l’incarnation qui vola en décombre un peu partout après le choc intense. Cet immense fracas entra en résonance avec celui qu’Aerlin avait provoqué : Soulevant des roches du sol, il les projeta avec violence contre la structure de bambou qui vola dans tout les sens dans un énorme cocassement qui brisa les enchantements et les glyphes envoyant des morceaux de bambous dévastés. Les nuages s’extirpant de la structure furent ainsi bloqués, nos ennemis ne pouvant s’en servir pour leurs propres créations, ce n’était néanmoins au goûts des énormes furets domiens subjugués qui se ruèrent à toute vitesse vers Aerlin pour le déchiré en morceau. Le premier bondit sur l’élémentaliste, mais E’nijoh se laissa tomber dessus dans un fantastique coup de poing qui enfonça le crâne de la bête jusqu’au sol le rétamant par terre.

Se redressant en se mettant en garde contre le second, Aerlin perçu à côté de son camarade ce qui se trouvait dans la structure : Le vieillard subjugué semblait encore pouvoir être sauvé par le porxie de Runne, et il se rua à toute vitesse pour qu’il ne soit pas écrasé par les bambous qui chutaient de la structure. Pour lui ouvrir la voie, E’nijoh bondit pour donner un fantastique coup de pied au visage de l’autre furet restant, mais prit de vitesse, il reçu en même temps un grand coup de patte en pleine tête en tournoyant tout les deux en l’air. Peu envieux d’être dépassé par cette bête, ils se mirent à se frapper sans cesse jusqu’à ce que le dernier coup de pied du miqo’te ne lui brise la nuque. Retombant au sol, il releva la tête que pour tendre la main vers Aerlin qui allait se faire écrasé par tout les bambous lui tombant dessus, ayant pu créer une cage de pierre au dessus du vieillard pour le protéger. Mais d’un miqo’te à un autre, ce fut Runne qui apparut d’un coup dans une lueur bleuté de l’éther le propulsant droit vers lui. Il avait quitté la fontaine sur son nuage pour essayer de sauver Aerlin une fois que ses gardiens avaient été détruit : Des sortes d’armures Domiens avec à l’intérieur, leurs anciens possesseurs subjugués qui avaient été entièrement transformés en pierre.

Etait-ce là, la finalité du Mornemaux ? Voilà comment ceux qui le maniaient voulaient transformer définitivement leurs victimes ? J’avais pu trancher à distance une de ses créations tandis que Runne en avait percuté une autre pour protéger Finaen qui venait d’être écrasé par terre en trouvant la source du Mornemaux au dessus de la fontaine. Changeant de plan, Runne fini par briser la magie les incarnant en brisant la pierre de l’intérieur – se focalisant sur l’intérieur des entités en serrant les dents pendant que ses choses avançaient vers Finaen afin de tout faire pour l’arrêté. Ce n’est qu’une fois brisés qu’il fonça pour sortir de ce petit domaine magnifique dans les airs afin de secourir Aerlin, s’écrasant dessus en roulant plusieurs fois à côté d’E’nijoh en se rétamant sur le sol. Les laissant contemplés le saccage qui avait lieux devant eux. Au moins, le Mornemaux était scellé, Finaen qui l’avait découvert derrière une grande porte Domien ouvragée, bien que brisée par le temps, avant d’observer la sphère de pierre tournoyante comme si elle était vivante et faites d’une roche si molle qu’elle paraissait presque liquide. Se souvenant des glyphes et autres runes de la Jarre de Namai, il se concentra pour l’incarner jusqu’à ce que les flots eux même qui étaient coincés au dessus se mirent à tournoyer avec les créations magiques de Finaen en se mettant à tournoyer de plus en plus vite. Focalisé sur sa concentration, Finaen fini par refermer les mains en incarnant la sphère d’eau où des glyphes de sceaux erraient en conditionnant de nouveau une partie du Mornemaux, errante au dessus de la paume de sa main. En bas, tout le monde se redressait un peu, jusqu’à ce que nous ayons pu voir une sorte d’onde partir d’une hauteur rocheuse en formant une sorte de spirale. La lueur verdoyante laissa voir la vague silhouette de l’immense Totem, nous laissant réalisé que quiconque se trouvant là bas devait essayer de s’assurer que nous ne repartirons pas d’ici en vie, sera vite conscient que c’est nous qui voulions venir à sa rencontre.
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Là-haut, nous avions peu de moyen d’efficacement rejoindre les hauteurs. Bien que plusieurs d’entre nous avaient des capacités de déplacement rapide dans les airs, et je me compte dedans, ça n’était pas le plus pratique surtout pour ceux ne pouvant pas spécialement le faire. Heureusement pendant un bref temps de repos et de soins, tous se retrouvant pour se préparer à partir, Runne avait déjà pu utiliser son Porxie pour guérir le vieillard de la Subjugation. Celui ci se redressa en hurlant dans une sorte de surprise le faisant quitter sa torpeur, alors qu’il perçu au loin le totem. L’empressement le fit se redressé d’un bond, agitant un peu les bras dans tout les sens jusqu’à récupéré plusieurs grands bambous afin de préparer quelque chose avec. Remettant rapidement les enchantements en places, pour ceux qui n’avaient pas été brisés par les pierres d’Aerlin, il voulu visiblement se servir des nuages incarnés comme il semblait pouvoir le faire : Proposant les bambous à E’nijoh, Aerlin et Runne, ceux ci soufflèrent dedans en créant des nuages que le vieux Kurauko se mit à placer en une belle formation afin de créer ce qui ressemblait de plus en plus à un immense escalier qui s’éloignait de plus en plus pour partir vers la hauteur rocheuse.

Je comprenais le scepticisme de Finaen à devoir grimper sur des nuages, j’avais moi de même plein de doute quant à cet usage : Qui pouvait se dire qu’il allait marcher sur des nuages afin de courir sur ses derniers pour atteindre sa destination ? Et pourtant, cela fonctionnait, et nous voilà progressant tous ensemble sur une petite route nuageuse en ayant le totem comme destination. Plus il approchait, plus nous observions les mouvements chaotiques des nuages contrôlés par les totems façonnant des immenses nuages serpentins tournoyant autours de l’ensemble comme si il se préparait à créer des structures comme des arches. Peu envieuse de revoir des conceptions comme l’Arche d’Or d’Abalathia, mais faites de nuage. Nous avions le temps d’intervenir, bien que sous nos pieds nos uniques moyens de ne pas nous écrasé loin en bas étaient en train de se défilé à mesure qu’ils tombaient sous l’influence du totem. Afin de ne pas choir en risquant de nous réduire en pulpe bien plus bas, Finaen étendit son contrôle pour prendre le dessus sur la maîtrise du totem en générant des lueurs d’éthers qui purent maintenir une route cohérente en ligne droite au milieu des déplacements quelque peu chaotiques dans les environs. Progressant difficilement malgré la douleur psychique que cela devait lui faire subir, Aerlin et Helena se tenaient devant lui en se préparant à repoussé tout les assauts d’adversaires s’extirpant des nuages. Ils portaient des armures de bois au style domiens, ainsi que de nombreuses armes, mais leurs corps étaient eux même fait de nuages comme des simples pantins serviles qui désiraient nous arrêtés.

Du côté de Runne, il parvint à jugulé efficacement l’apparition des nouveaux adversaires en les propulsant hors des nuages dans des chocs aériens puissants. Volant dans tout les sens, ceux qui tombaient des nuages se dissipaient lentement dans les airs avant de choir plus bas au sol lointains désormais. De l’autre côté, E’nijoh bondissait en fracassant son poing sur tout ceux qui arrivaient jusqu’à ce qu’il ne soit lui même victime d’un impact. S’écrasant sur le nuage au dessus de lui, il retomba lourdement contre un autre nuage en brisant le visage de celui qui lui avait hélas défoncé les côtes malgré la douleur désagréable. Au moins pouvions nous avancés rapidement, Aerlin ayant faillit être massacré par une de ses entités perçu Helena créer une véritable cage avec un sort aux nombreux diagrammes, jusqu’à ce qu’elle ne fasse éclaté la magie dans un puissant claquement désintégrant son adversaire. C’est la vague de nuage qui fonça pour nous percuter qui m’inquiétait, et si j’eus le temps de la trancher subitement, elle m’emporta d’un coup. J’admets avoir eue un pincement au cœur en entendant tout ses appels inquiets, mais ils purent rapidement me retrouver étalée contre la hauteur du pique rocheux malgré mon piteuse état. Le totem était immense, une structure aux impressions tribales qui était parcourue de lumière verdoyante traçant des lignes parfaites tout son long démontrant qu’il était actif. Rien de réellement malsain, celui l’ayant façonné avait du le faire quand il était encore sain d’esprit, mais le Xaela qui se trouvait non loin lui ne l’était plus du tout.

Yghen, Héraut du Seigneur des Trois vents, le manipulateur des nuages comme il était fier de se présenté. Il avait été envoyé ici par son maître pour s’assurer qu’il aurait de quoi répondre aux exigences des Telophores en utilisant jusqu’au nuage pour brisé le terrain, une fois amplifié par le Mornemaux. Au moins n’avions nous autours de nous pas de présence du Tree Barar, mais bien un élémentaire foudroyant qui passait d’un nuage à un autre en s’amplifiant de plus en plus. C’est lui que nous avons affronté avec Aerlin – Des piques de roches jaillirent du sol d’un coup en essayant de le bloqué. Peu envieux de le voir amplifier les nuages qui tournoyaient autours de nous en donnant l’impression d’une gigue céleste déjà impressionnante. D’innombrables sphères de nuages allant d’une bille à un grand rocher vagabondaient autours de nous et pouvaient lui servir d’autant d’armes que possible en les foudroyant.

Coincés par les pointes, je pus escalader à toute vitesse une fois guérie par Aerlin afin de l’atteindre avec mon sabre. Le tranchant avait été suffisant, jusqu’à ce qu’une étrange silhouette en parure sombre ne l’infuse d’une énergie bien plus noire. Il devait s’agir de la silhouette qui hantait parfois les pensées de Finaen, se demandant qui cela pouvait bien être, mais pour l’instant il venait de créer un être bien plus sinistre à partir du reste élémentaire. Il nous écrasa brutalement au sol avec Aerlin dans un amas d’éclair rouge, formant une sorte de créature aux proportions étranges et aux airs folles. Faisant tout pour l’arrêter, Aerlin le fracassa de nombreuses pointes de roches jusqu’à ce que ma lame ne lui tranche le bras avant qu’il ne touche Aerlin. Je brisais toutes ses défenses, et il fut empalé par la myriade de pointes de roches avant de choir lourdement au sol, dévasté. Proche de lui, Runne et Helena avait vaincu Yghen dans un combat fantastique jusqu’à ce qu’il soit brisé d’une façons spectaculaire. Au début, il avait l’avantage, quand il reçu le sort de Ruine venant d’Helena provoquant une déflagration contre le visage du Xaela en reculant un peu en émettant un râle puissant. Il rabaissa brusquement la tête avant de saisir Runne qui le taillait un peu partout de sa dague, pour l’écraser contre Helena un peu brusquement. Des nuages tournoyaient autours du corps du Xaela, les manipulant, jusqu’à ce qu’Helena se redressa difficilement en le contamina de l’intérieur en le rongeant avec un sort maladif. Ce qui offrit le temps à Runne de préparer un sort tout puissant, des lucioles jaillissant sans cesse, et quand il fut arraché du nuage qui était en train de l’étouffé par Helena il pu finalisé son sort en provoquant une grande colonne de flamme qui dévasta brusquement Yghen dans un hurlement de douleur final.

Le Héraut du Seigneur des Trois vent ne pouvait plus rien faire pour empêcher Finaen de prendre le contrôle du totem de son maître. E’nijoh avait fracassé son poing contre une énorme figure démoniaque sortant des nuages avec plusieurs griffes, lui faisant fermer la gueule énorme qui était sur le point de créer un souffle dévastateur avant qu’il n’y parvienne. Les éclairs rougeoyantes se mêlèrent à la rapière de Finaen qui ouvrit la voie à son camarade, jusqu’à ce qu’ils purent constaté que les nuages convoqués par le Totem le renforcerait sans cesse. Arrivant jusqu’à ce dernier, l’harmonisation entre la psyché de Finaen et le totem se fit sans heurt, laissant des rayonnements magnifiques tournoyer autours du crépusculaire dont une onde lumineuse brisa l’obscurité qui s’étendait de plus en plus sur les incarnations nuageuses autours de nous. Ce qui offrit à E’nijoh l’opportunité, une fois les assauts esquivés, d’arracher les grands bracelets qui stabilisaient l’incarnation en les laissant choir au sol brusquement. Celle ci se dissipa dans un gémissement rauque, ne laissant plus rien qu’un totem purifié dont Finaen quittait lentement l’harmonie précieuse et agréable. Au loin, la silhouette du Tengus céleste s’éloignait après nous avoir observer avec une frustration palpable même à une telle distance. Si le Seigneur des Trois vents venait de perdre une partie de ses forces, nous avions pour l’instant un autre objectif avant de l’atteindre : Se rendre compte de qui sont ses fameux Samouraïs aux pétales de roses, et comment les arrêtés avant qu’ils ne deviennent réellement une menace pour la chaîne du Gensui. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 01 déc. 2021, 12:28

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-deuxième Entrée - « Acte 7 – Sous les pétales des cerisiers.»
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« Les heurts nocturnes nous ont réveillés rapidement lors que le clairon d’alarme fut entendu. Les combattants d’Okoi appelaient à l’aide, signifiant qu’ils avaient été attaqués, et pour les quelques braves volontaires nous nous sommes élancés en pleine nuit droit vers les positions de défenses des combattants de Doma qui ont été attaqués par les Samourais du Ka. Ils étaient déjà venu réclamé quelques duels, mais il n’y avait pas eu de bain de sang. Ce qui advient cette fois, c’était une tuerie sans équivoque en cherchant seulement à massacré les pauvres sentinelles ayant acquit par malchance les postes nocturnes. Une fois qu’ils furent repoussés, le subjugué ayant conduit les siens qui eux semblaient plus en transe qu’avec une quelconque afflictions de l’esprit, nous avons au moins pu déterminé d’où ils venaient. De quelques îles dans les sommets de la chaîne du Gensui, où se trouvaient d’irréelles sources d’eau permettant d’offrir autant de cultures inondés pour les rizières de Namai. Les vieilles légendes parlaient de ses anciens combattants du Ka, des samouraïs aux pétales de roses m’évoquant toujours le style de combat de Yone. Peut-être y aurait-il un fragment de son histoire ? Honnêtement, sans sa présence, ma priorité restait surtout de les arracher aux serres du Seigneur des Trois vents, afin que ce maudit Tengu n’ait plus de force supplémentaire à nous opposer. Pour les atteindre, il nous faudrait un moyen efficace d’atteindre les hauteurs, c’est pour ça que fut convoqué Stanislas et l’Aigle d’or, son aéronef actuel. La populace de Namai aurait la joie de le voir parcourir les cieux de leur village afin de récupéré quelques aventuriers, avec une équipe solidement formée pour vaincre la menace. Le trio des magiciens fut de nouveau de rigueur avec Runne, Finaen et Lucian pour essayer de déjoué les problèmes de différentes natures avec des réactions des plus puissantes. Cela dit, la présence bienfaitrice et efficace d’Aerlin serait un moyen de nous offrir de nombreuses possibilités notamment dans les forces aériennes.

Nous laissant avec Sorn et E’nijoh arrivant juste avant le départ le soin de frapper fort toutes les menaces qui s’opposeraient à nous. Ainsi, discutant rapidement de notre objectif, retrouvant notre camarade Miqo’te au moment où l’Aigle d’or arrivait, il fut prit d’une grande joie de voir la machine aérienne comme si il était plus qu’heureux de retrouver un univers qu’il connaissait. Pour ma part, je m’interrogeais quant à l’idée bizarre de Stanislas d’avoir fait installé de la moquette partout dans le bâtiment – sincèrement, est-ce que c’est vraiment pratique pour l’équipage de déplacer du matériel et d’entretenir une moquette prenant tout le pont ? Au moins était-ce confortable, quand nous sommes monté à bord, laissant Moko et son Père nous faire des grands signe de main ainsi que de nombreux enfants de Namai et autres locaux assistant à notre départ en mission. C’était captivant, comme vision, mais pas autant que celle que nous découvrions en parcourant les cieux droit vers notre destination. Le crépuscule touchait les lieux en animant doucement les cerf-volants et leurs lumières passant à côté de nous ainsi que des demeures sur des sommets rocheux qui s’étonnèrent de voir pareil bâtiment passé à côté de leurs masures. Un marchand voulu même nous vendre des choux, jusqu’à ce que son chariot ne chute dans le vide, partiellement épargné par les efforts d’Aerlin pour ce pauvre bougre. Quel grand cœur ! Sorn instruisait Gladys sur les mécanismes de l’embarcation tandis que Stanislas faisait le tour des lieux de l’Aigle d’or à E’nijoh. Nous contemplions quelques instants la beauté des cieux, des couleurs, de la peinture incroyable que cela dessinait sous nos yeux jusqu’à ce que les Îles roses n’apparaissent enfin. Même au loin, elles avaient l’air splendide, mais un profond malaise nous frappa comme si quelque chose n’allait pas du tout.

Sous la supervision d’Aerlin, Lucian et Finaen étendirent leurs concentrations pour découvrir ce qui n’allait pas tandis que Runne préparait déjà les protections en étendant des rayonnements de cristaux autours de notre embarcation. Aussi tôt, les deux mages chutèrent dans la moquette inconscient, prit dans les filets de l’obscurité qui s’étendaient en ses lieux : c’était un piège. Ils avaient été récupérés par le Tree Barar qui mentalement arpentaient les lieux en les faisaient tombés dans une vision spirituelle des îles roses rendues infâmes par sa seule présence. Il fallait les sortir de là, mais l’Aigle d’or fut d’un coup embourbé dans un amas de fleurs de cerisier rose tournoyant. Au début ce n’était que quelques unes, nous nous sommes retrouvés en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Mince » avant d’être en train de navigué dans des flots et des flots de pétales roses tournoyante autours de nous.

Tout était des plus confus, E’nijoh était en train de soutenir Aerlin et nos deux compagnons inconscients jusqu’à ce que Stanislas ne lui hurle de venir à son secours au plus vite vers le gouvernai. Rapidement, le bouclier de Runne fut éprouvé dans des immenses lueurs apparaissant en provoquant des échos à chaque fois qu’il percutait des pierres que le flot de pétales de roses nous empêchaient de voir. Il voulait nous conduire droit vers notre mort, mais heureusement tous s’assuraient des protections nécessaires à notre échappée : Runne créait un vent puissant pour nous offrir plus de visibilité ,et repéré les pierres environnantes afin de prévenir l’équipage. Celles qui seraient trop dure à esquivé passaient au crible du canon magitek qu’avait récupéré Sorn dans des puissantes lueurs à chaque tir. C’était impressionnant, je m’occupais dès lors de trancher les roches qu’il ne parviendrait pas à atteindre, ce qui ne suffit pas à ne pas se sentir plusieurs fois frappés par quelques roches bien que ça soit loin d’être l’explosion attendue par nos ennemis. Leur offrant une porte de sortie en concentrant l’éther comme pour leur tendre la main dans leurs psychés, Aerlin fini par aider Lucian et Finaen à s’arracher des griffes du Tree Barar pour se reprendre d’un coup. Mais la première chose qu’ils virent, c’est autant les îles roses se dévoilant lentement au loin. Que les nouvelles menaces : Des vagues de pétales de roses durcies par le Mornemaux arpentaient les environs, particulièrement dangereuses, tandis que des ennemis installés sur ses maudits nuages qu’ils avaient gardés nous fonçaient dessus. Je tranchais tout ceux s’approchant du gouvernail et d’E’nijoh qui conduisait l’Aeronef fort bien en esquivant tout les problèmes bien que cela nous agitait dans tout les sens tandis que la plus part furent prit dans les vagues aériennes que Aerlin, Runne et Finaen concentraient de plus en plus.

Recevant une flèche, Runne fut écrasé en arrière et Aerlin arrêta les autres projectiles censés l’achevé pour commencer à renvoyer l’ensemble sur nos ennemis. Tout allait bien, jusqu’à ce que Sorn frôle la mort : Tirant sur tout les nuages approchant, s’en donnant à cœur joie, sa position éclata soudainement quand une vague de pétale durcie s’y écrasa en l’emportant. Sans Finaen pour brisé le tout, il aurait été compacté et broyé rapidement, mais à la place il fut balancé par Finaen dans une caisse remplie de sous-vêtement pour le protéger du tir à venir : Le canon avait été déplacé, orienté vers eux, Finaen vola plus loin avant que ses assaillants ne furent la vague d’obscurité que Lucian propulsa brusquement sur eux. Vaincu, ceux encore sur le pont étaient repoussés brusquement par nos soins ou par l’équipage, souvenant les blessés jusqu’à voir arrivé notre passage sur les îles roses. Nous n’aurions que peu de temps pour descendre, et en plein survol car l’Aigle d’Or endommagé ne pouvait pas s’arrêter poursuivit ainsi par la vague de pétales roses. Il était temps de bondir d’un Aeronef en plein survol. Encore une fois.
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Le passage arrivait à toute allure, mais la conduite d’E’nijoh nous offrait un passage particulièrement efficace. Il suffirait de bondir et de tomber au bon endroit, bien que cela était bien plus aisé à dire qu’à faire. Certains étaient blessés, comme Sorn, et quelques soins furent à peine offert qu’il était déjà temps de bondir de l’Aeronef pour redescendre d’un coup sur la terre ferme. Les premiers à bondir furent Aerlin, Runne et Finaen. Les trois usèrent des vents en créant un espace verdoyant autours d’eux en rechutant doucement au sol, presque paisiblement. Je vins aider E’nijoh et Sorn, le miqo’te ayant récupéré son camarade en piteuse état pour l’aider à sauter d’un geste rapide et net, me laissant les guidé dans les airs jusqu’à retrouver nos compagnons. Le plus aisé fut pour Lucian de descendre, ce faquin se contenta d’apparaître dans une brume sombre au milieu de notre groupe en ayant eu le temps d’un « bond » si j’ose dire avant de bousculer de la main les volutes de fumées autours de son corps.

Tous avaient pu atteindre le sol rapidement, abandonnant derrière nous l’Aigle d’Or qui remonta d’un coup en perçant un peu la vague immense comme un essaim de pétales de roses le poursuivant en tournoyant autours. C’était aussi beau qu’inquiétant de voir cela, donnant l’impression d’être au milieu d’une vague meurtrière où on voyait en sortir les rayonnement bleutés des canons tirant sur les menaces les plus proches à l’intérieur de la vague immense de pétale de rose. Nous ne pouvions qu’espérer qu’ils s’en sortiront, car de nous même, nous aurons déjà beaucoup trop à faire pour s’inquiéter de leurs propres soucis. Progressant à peine quelques pas, offrant quelques soins notamment à Sorn qui avait subit un sacré écrasement, la contemplation des environs nous fit découvrir un espace où tout était fait de nuance de rose si ce n’est le bois qui était d’un blanc magnifique. Balayés par un vent léger, la végétation fabuleuse par les reflets de la lumière laissait l’eau d’un rose identique magnifique et inspirant, aurait du rester simplement de la beauté si les lieux n’étaient pas investit d’une si sinistre présence. De la musique résonnait, mais les sonorités qui devaient être poétique avaient été pervertie, laissant des sonorités affreuses résonnantes d’une sorte de sanctuaire en cercle où des instruments envoûtés émettaient de la musique distordue. Cela générait une sorte de début de soif sanguinaire, comme nous poussant à avoir envie de meurtre, et si cela voulait déjà investir nos esprits je n’osais simplement pas imaginer ce que ça pouvait être pour les Samouraïs du Ka vivant ici depuis un petit moment. Aussi tôt, nous avons investit les lieux pour arrêté les problèmes qui pouvaient se trouver dans les environs.

Aerlin sur un flanc fonça directement vers les élémentaires d’eau ondulant lentement au dessus des flots tout en formant des silhouettes affreuses d’être maléficiés. Ils souffraient, je pense ? Il m’est difficile de savoir si un élémentaire peut souffrir, mais peut-être que l’influence obscure le permettait. La première vague de purification frappa brusquement le premier élémentaire en l’envoyant valsé plus loin, laissant à la place un élémentaire d’eau paisible s’échappant en vitesse loin des maux tandis que les autres se ressemblaient. Le Tree Barar lui même créa une vague, une déferlante prête à engloutir Aerlin de plus en plus haute avec le rire de cette créature. C’est Sorn qui lui sauva la vie, alors qu’il était en train d’arrêter les deux musiciens du Ka qui étaient devenu fou à cause de la musique. Au début, il se contenta de faire choir leurs instruments jusqu’à ce que Gladys ne fasse reculé son maître avant qu’il ne soit décapité net dans un petit mouvement paniqué. Le son étaient un danger, il envoya alors un explosif créant un bruit blanc et une ondulation supprimant toute sonorité dans son rayon jusqu’à ce qu’il parvienne à tirer des chaînes dessus pour le coincé. Se retournant vers Aerlin, il fit usage du Teclis qui créa une défense puissante juste devant Aerlin en bloquant la vague, la laissant s’écraser autours bien plus mollement alors. De l’autre côté, Lucian et E’nijoh avaient agit de pair pour abattre une grande Roegadyn avec plusieurs bras, chacun maniant une arme différente. Combattant ensemble, l’un protégeait l’autre et ils s’offraient mutuellement une couverture parfaite : La sphère de feu de Lucian éclata en forçant la Roegadyn à parer ses effets en soulevant ses armes comme elle le pouvait.

Ce fut insuffisant, le poing d’E’nijoh en fut témoins en s’écrasant contre le torse de la guerrière que le Mornemaux avait transformée en terrible combattante aux bras multiples avant qu’elle ne s’écrase plus loin dans un choc puissant. Se redressant lentement, les yeux d’un mauve malsain, elle fusa de nouveau en hurlant au milieu des flammes la dévorante pour ses parties d’habits et de chairs jusqu’à atteindre le miqo’te. Les coups partagés ne cessèrent pendant quelques instants, envoyant des multiples frappes sans cesse partagé entre les deux adversaires en cherchant chacun la faille. Hélas, la force et les multiples bras de la Roegadyn lui fit trouvé celle d’E’nijoh qui arrêta une hache juste au dessus de sa tête. Prêt à être coupé en deux comme avec un coup de ciseaux, les deux bras de la Roegadyn furent arrêtés par des pointes de cristaux propulsés par Lucian en les repoussant brusquement sur les côtés. Reculant d’un coup, elle fut rétamée par les chocs répétés des poings d’E’nijoh mêlés aux pointes cristallines la percutant sans cesse, laissant notre ennemi choir au sol, en milles morceaux. Cette ouverture permit autant à Runne de venir à l’aide des instruments qu’à Finaen de foncer vers un étrange masque flottant au dessus du sol, dans les flots. La musique avait quelque chose de vicié, et Runne s’appliquait à en réparé l’effet en créant un apaisement de plus en plus profond. Récupérant un instrument comme si il lui fut donné, il se mit à joué des sonorités sans être dérangé par tout le chaos environnant en gardant les yeux clos. Voyant apparaître devant lui des silhouettes brumeuses d’un noir profond récupérant leurs instruments en se mettant à jouer des airs distordu contre lui. S’efforçant de suivre le rythme d’un petit pinçon installé sur son épaule qui lui chantait les notes adaptés, il parvint à éloigné le mal quand Finaen pu finalement créer une vague de purification dans les lieux : Fonçant vers le masque, il avait été percuté par un des Samouraïs du Ka se trouvant dans les cieux, voyageant sur des amas de pétales de roses les guidant dans les environs en tournoyant sans cesse. Venant à son aide, mon sabre en trouva un en le fendant lui et les pétales en deux, jusqu’à ce qu’un coup ne m’écrase contre le haut d’un cerisier local quelque peu sonnée.

Ils allaient tous assaillir Finaen, qui découvrait le masque dans des lueurs de lys blancs magnifique purifiant ce qui l’oppressait. Tandis que ce dernier le récupéra, mettant le masque sur son visage : Ou plutôt, le masque se mit sur son visage, après m’avoir offert quelques soins pour cette nouvelle blessure. Il fut frappé par une force invisible jusqu’à ce qu’un des samouraïs ne plante sa lame dans l’épaule de Finaen. Je n’avais pas pu le protéger, cette pensée m’offrit une rage si dense que j’ai pu bondir d’un adversaire à l’autre en les tranchant net de mon sabre. Laissant les cadavres choir sinistrement des cieux, Finaen blessé pu cela dit créer une vague de purification qui permirent à la musique de Runne de créer une onde qui chassa les mauvais sentiments et le mal-être de ses lieux. Cette partie des îles roses venait d’être purifié, et pourtant nous observions l’immense cerisier au loin où Finaen voyait quelque chose de plus : Il voyait une brèche infâme, d’où se déversait tout cette folie depuis la Souillure du Tree Barar, et il fallait s’en occuper au plus vite avant que cela ne nous dépasse rapidement.
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Nous réunissant rapidement, malgré les chocs reçu, j’avais offert une potion de soin à Finaen qu’il vida d’un coup avant de venir m’offrir quelques lueurs blanches apaisant ma propre blessure en contenant le sang. Il me semble que nous étions les seuls à avoir vraiment subi des lourds dégâts tandis que nos compagnons se félicitaient de s’être débarrassés des menaces derrière eux. Au fond, je n’arrivais plus comme avant à ressentir la moindre honte d’avoir été blessée : En vérité, je me sentais plutôt fière d’être avec des compagnons apte à réussir ainsi même là où je ne me bat pas. Cessant de me focalisé sur cet esprit d’équipe, non pas par envie, mais parce que nous étions encore en danger de mort. L’équipe après un instant quitta l’îlot et progressa les jambes dans l’eau entre les différents îlots afin de partir droit vers la structure greffé dans un arbre incarnant jadis un Dojo domien. Cela nous provient lors de la tombée des pétales de roses. Celles ci comme mue par une volonté qui nous dépasse incarna des structures et des gens se baladant au milieu de celles ci comme si tout ce que nous observions était normal. Finaen était mal à l’aise, à l’idée d’une autre vision du passé, préférant certainement le présence même si il ne s’agit plus que de ruines d’anciennes demeures de ceux qui vivaient jadis dans les îles roses. Nous observions les environs, contemplant ce qui se trouvait autours de nous en entendant une musique paisible d’instrument à vent orientaux donnant l’impression que cette dernière souhaitait simplement nous mettre à l’aise dans la découverte d’un tel endroit.

Bien que ses tentatives étaient louable et pendant un instant l’observation d’autant de couleurs chaudes et rosées tournoyantes à mesure que s’incarnaient le long de notre passage un bon floral. Le menace elle n’allait pas rester bien longtemps inactive, nous coupant le plaisir de la contemplation qui fit ouvrir de grand yeux à Aerlin qui découvrait une nouvelle fois comme la beauté pouvait jaillir de nulles part lors de nos périples. Ce qui nous frappa d’un coup fut la contamination des lieux qui fit frémir le masque spirituel que Finaen détenait encore comme prit de panique sur l’afflux mortel qui s’étendait d’un coup. Des rires furent entendu et la musique d’un coup fut distordu comme si elles cherchaient à joué des multiples glas célébrant la funeste de notre arrivée. Les pétales créèrent plutôt des amas de bâtiments s’effondrant subitement en laissant un chaos absolu en cherchant à faire naître une vision de la ruine et de la dévastation de toute choses. Nombreux furent les pétales à prendre une couleur rouge de sang, ou d’incandescence, tombant depuis les hauteurs en donnant l’impression d’être dans une pluie de flammes et du sang de ceux tombé en ce lieu. Nous qui étions dans un domaine paisible sous les fleurs des cerisiers, nous retrouvions alors mêlés à une vision infâme de comment ils concevaient notre destin : Dans la mort de toute chose. Des véritables ruines jaillirent des flots que pour s’écrouler, les vestiges de ceux qui avaient jadis vécu ici en laissant des fracas apparaître sans cesse. Quel confusion autours de nous, détestable confusion, risquant de nous balayés et encore une fois de nous écrasé sous les amas de feuillages affectés par le Mornemaux les transformant en véritables éboulements broyeur qui avaient presque tué Sorn.

Dans l’ensemble, des subjugués nous fonçaient dessus dans toutes les directions. Ses derniers ayant cruellement mutés en créatures infâmes tout en nous fonçant dessus sabre en main en tirant de nombreuses flèches ici et là. Aerlin tentait de les arrêtés en générant un vent puissant déviant les projectiles, plusieurs nous frappant avec Runne en nous envoyant nous écraser en arrière sans nous criblés pour autant. Se redressant d’un coup, ce n’était que pour voir Aerlin voler plus loin en s’écrasant au sol quand une immense silhouette dans les pétales de roses attrapa Sorn pour essayer de le broyer définitivement alors qu’il tirait dans tout les sens sur toutes les cibles possibles. Pour rapidement coupé son lien, Finaen fit naître une lame de roche et de lueurs spirituelles qui jaillit du sol en traversant le faux bras tout en libérant Sorn d’un coup. Aidé du masque, il avait créer un pont de pierre spirituelle apparaissant d’un coup en traversant le passage pour nous offrir une route sûre sur des roches d’un bleuté brillant translucide où nous pouvions tout de même poser le pieds. Fonçant tous ensembles, Runne repoussant les flèches restante en me laissant trancher tout les subjugués approchant d’Aerlin pendant qu’il se relevait, nous étions dans le sillage de Lucian et E’nijoh. Le premier bondissait en produisant des lames cristallines tranchant tout au passage tandis que le second avait dévasté l’immense amas de pétale d’un grand coup de poing, nous ouvrant le passage droit jusqu’au domaine de l’ancien Dojo. Ce dernier était magnifique, ce n’était que des ruines, mais les cerisiers au milieu des vieilles bâtisses et du Dojo principal lui donnait un air glorieux. Traversant comme une couche infâme de gelée invisible, nous pouvions dès lors voir la brèche effrayante sur l’arbre : Une faille, donnant une impression d’observer au loin à l’intérieur une tour de l’Apocalypse, d’où sortaient des ombres sans cesse.

La musique était effrayante ici, nombreux des disciples étaient à genou le regard vide attendant d’être subjugués, mais en constatant notre arrivée et nos réussites les rares survivant avaient chargé les responsables pour essayer de s’en débarrassé. Plusieurs avaient été tués, d’autres gisaient ici et là, et leur chef était une femme aux yeux roses dont les cheveux d’argent étaient tenu par le Maître du Dojo. Un Raen subjugué aux airs maléfiques tenant une lame sous sa gorge, prêt à la décapité, tandis qu’une créature malsaine tournoyait autours : Comme un Tengus, mais ressemblant bien plus à un démon qu’autre chose. L’ensemble était sous la surveillance d’un arbre animé par le Tree Barar qui s’amusait bien de sa vision. Finaen fonça rapidement vers la brèche, et tissa deux lien d’éther vers celle ci. Récupérant les abord de la brèche, il tira brusquement dans les lueurs bleutés du masque aux esprits en créant plusieurs ondes de choc en essayant de clore cette dernière de toute ses forces. Bien entendu, le faux Tengus monstrueux n’allait pas laisser faire cela si aisément. Des sphères d’énergies pourpres jaillirent, la premier frappant E’nijoh en l’envoyant s’écraser en arrière peu après que j’ai pris appuis sur ses gantelets pour bondir vers le Tengus. Le bouclier d’Aerlin fut ma seule protection dans une lueur magnifique qui me permit de l’atteindre, tranchant ce dernier au torse en l’envoyant s’écraser par terre avec moi. Aucun de mes compagnons n’étant disposé à me venir en aide contre cette créature, j’allais l’affronter seule en chargeant de nouveau lors de plusieurs passes d’armes laissant quelques éclats foudroyants à chaque fois.

La dernière fut décisive, et malgré quelques coups reçu, je parvins à le trancher en morceaux avant de rouler au sol proche de Runne. Ce dernier avait rapidement désarmé le maître subjugué avant qu’il ne décapite la matriarche Ashina. Celle ci fut protégée par un sort envoyé par Sorn pu avant qu’il ne soit frappé par une sphère mauve en s’écrasant sur un amas de futur subjugué. L’éther prenant une forme féminine projeté par Sorn tournoyait rapidement autours de la Samouraï du Ka en l’éloignant du sabre autant que le genou de Runne l’écrasa plus loin. Il fut blessé par plusieurs coups, mais le dernier qui allait tranché Runne en deux trouva sa parade quand la Ashina bloqua le coup dans un amas de pétale de rose, permettant à Runne de brisé la subjugation du maître du Ka en utilisant son Porxie dans une profonde lumière. S’en était fait, ne laissant que l’aberration du Tree Barar qu’Aerlin tenta directement de purifier. Le corps de l’arbre était étreint dans les flammes pourpres de Lucian, le dévastant encore et encore pendant qu’Aerlin concentrait un faisceau d’argent droit dans sa direction. L’arbre tombant en morceaux au sol, s’ouvrit comme un cocon en laissant apparaître une silhouette noir hurlante leur fonçant dessus. Rapidement, les chaînes de Lucian essaya de l’arrêté jusqu’à ce qu’il les brises en frappant le magicien qui s’écrasa plus loin contre un mur du dojo. E’nijoh prenant le relais, distrayant la créature en frappant, tournoyant, esquivant.

Ce dernier bondit en arrière avant que Aerlin largement renforcé par Sorn dans un amas de lumière, créa un faisceau comme une lance qui le transperça de part en part, envoyant son corps se désintégré proche de la brèche qui venait d’être close. Dans une cascade d’énergie bleutée, Finaen venait de finir de scellé la brèche, n’ayant laissé qu’une seule horreur étrange ressemblant à une grossière chenille avec un visage d’Oni en sortir. Celle ci dans les cieux fut accueillie par le Seigneur des Trois vents, avant de disparaître avec elle. Si les Samouraïs du Ka et la mère de Yone avaient pu être sauvés, nous contemplions les cieux devenu paisible en imaginant à peine ce qui pouvait nous attendre. Sans encore savoir à quel point ce signe, représentait le début du chaos qui allait nous frapper sous peu. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 02 déc. 2021, 13:59

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-troisième Entrée - « Acte 8 – Lorsqu’un monde est en proie aux flammes.»
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« Le ciel lui même était inquiétant. Il le fut le matin lui même alors que l’Aube petit à petit pointait le bout de son nez depuis l’horizon en annonçant des combats à venir. Plusieurs n’avaient pas dormi ou peu, et furent éveillés d’urgence une seconde fois. Il ne s’agissait pas des simples samouraïs du Ka cette fois dont certains sont descendu des montagnes pour nous porter main forte. Il s’agissait de monstres tout simplement, guidés par la créature aux airs de chenilles ayant un visage qui rôdait en laissant des flots de destructions flamboyantes dans son sillage. Elle ne resta pas bien longtemps, pas suffisamment pour réellement l’affronter comme si le Seigneur des Trois vent la tenait en laisse. Une aube teintée de sang, pour une nuit qui serait plus terrible encore alors que chacun profitaient de la journée comme ils le pouvaient pour se préparer à notre prochaine bataille. Au vue de ses ambitions, il devenait urgent que le Tengus disparaisse ce soir sans savoir à quel point cela nous mènerait à une situation des plus problématiques. Okoi se préparant aux combats, ce dernier fut renforcé par la mère de Yone et ses samouraïs du Ka descendant des hauteurs montagneuses afin d’attendre de partir au combat tous ensemble. Nous étions censés partir affronter la menace une fois réunit mais il n’était hélas pas prévu que ce soit l’ennemi qui nous prennent de vitesse. C’est après l’enchaînement de trop de confrontation que nous nous sommes réuni proche de l’éthérite de Namai avec nos compagnons pour cette mission. Finaen et Runne furent parmi les premiers, mais c’est le retour de Kohaku rapidement suivie par sa sœur qui nous revint après un temps de trouble due à la dernière bataille.

Elle allait mieux, j’en étais heureuse, après avoir vu comme des combats violents pouvait rendre certaines personnes folle sans jamais qu’elles ne puissent changer d’état d’esprit. L’équipe fut renforcé comme toujours par Sorn et une petite Gladys bien heureuse, la bague enflammé que Finaen avait fait à Sorn allait lui donner des inspirations enflammées tandis que notre groupe serait protéger une nouvelle fois par mon Livio. Ainsi, avec une équipe habituelle des plus efficaces, nous nous sommes préparés à quitté Namai encore inconscient de la menace qui nous attendait et des périls à vivre. Cette nuit nous paraissait normale, le crépuscule illuminait paisiblement un firmament céleste d’une couleur orangée donnant une allure d’or aux pierres et aux rares nuages errants. Les locaux œuvraient avec simplicité en nous souriant au passage, quelques blessés donnant des encouragements tranquille en nous souhaitant de revenir entier cette fois encore, tous inconscient des problématiques à venir. Mais pour eux, c’était devenue une sorte de routine : Voir les aventuriers partir vers les guerriers de leurs nations pour se battre, et revenir éreintés mais ayant sécurisé les lieux de leurs mieux. Travaillant simplement la terre et ce qui devait être réparés, nous entendions alors en quittant les environnement citadins le début d’un vent sifflant de plus en plus. Il restait un air vicié dans les environs difficile à expliqué, comme si quelque chose de véritablement mauvais nous guettait du coin de l’oeil et s’amusait de notre présence. Contemplant les cerfs volants illuminant les cieux, plusieurs lors de la route prirent feu d’un coup et sans aucune raison, nimbant le ciel de nombreuses flammèches tournoyantes au dessus de nous.

Plusieurs s’en inquiétaient, contemplant un paysage toujours aussi magnifique, mais laissant un sentiment de menace grandissant jusqu’à voir apparaître une personne que nous n’avions pas vu depuis longtemps. Se redressant lentement, Lakraedas portait une tenue sinistres mais avait la capuche rabaissée en arrière. Il paraissait troublé, et inquiet, jusqu’à nous offrir quelques présents provenant du reste de l’essence du Phénix noir stabilisée. Ceci devait nous être utile, et il disparut en laissant les cris de Runne lui demandant des explications concernant son œil. Traversant la brèche du grand mur de Doma, contemplant les environs, certains comprirent pourquoi il se nommait le Seigneur des Trois vents, en voyant trois immenses courant aérien tournoyer en un centre névralgique au milieu du pont brisé du Ryurin du levant , portant une dévastation des plus affolantes. Les guerriers d’Okoi fuyaient les flammes et le feu dévorant la terre, vitrifiant le sol en cherchant simplement à instillé le chaos. Quant à nous, s’était simplement notre destination : Il fallait arrêté définitivement ce maudit Tengus et la créature monstrueux qu’il avait extirpé de la brèche. Fonçant dans les miasmes des trois vents, créant comme trois fouets formant une spirale mettant à mal le terrain environnant, plusieurs se concentrèrent pour nous offrir des points de repli à nous comme à nos alliés fuyant en traînant les blessés.

Okoi lui même était dans cette tourmente, nous hurlant d’y aller pendant qu’il s’occupait des siens, laissant voir des grandes pierres apparaître brusquement quand Kohaku créa plusieurs murs permettant aux guerriers fuyant de s’échapper plus vite. Les vents incarnés par Mitsuko autours de tous furent renforcés d’un coup par Runne dans une déferlante incroyable comme si il se saisissait du vent lui même en formant des vents favorables qui renforçait autant les effets de sa camarade que facilitant nos déplacements à toute allure. En tête, se trouvait Livio et Sorn. Le premier avait créer des boucliers de cristaux ondulant autours de nous en essayant de nous protéger tandis que le second éloignait les flammes en cherchant à avoir un contrôle dessus grâce à sa bague et son convertisseur. Sortant son lance-grenade, des explosions furent visible quand il tirait sur des grandes pierres sortant du sol en créant un désordre toujours un peu plus affolant. L’éther naturel était totalement bouleversé, les éléments n’avaient plus autant de sens, et tout finissait par n’être que folie autours de nous. Utilisant les tatouages sur son bras créer par la bénédiction volée du Phénix, Finaen étendit flammes et plumes noires en générant deux grandes ailes. Prenant le contrôle des vents, dévorant le feu commun et la roche, il nous offrit une immense voie d’accès droit vers le pont brisé en permettant à tous de foncer au milieu des miasmes furieux.

Bien sûr, l’ennemi n’allait pas nous laisser faire aisément, dévoilant des subjugués atteins d’un degré de mutation les rendant parfaitement immonde – et impossible à sauvés. Lupins, domiens, tous se ruaient vers nous avec plusieurs créatures infâmes qui descendaient des cieux. Bondissant d’une pierre à une autre, Kohaku atteignait ses cibles de plusieurs grands coups de tanto en offrant une ouverture pour progresser à toute vitesse avec Livio sous la forme d’un grand tigre blanc dont la foudre offrait des puissantes protections tout en s’écrasant sur nos ennemis. Il tenta de protéger sa camarade de flammes chutant des cieux en dévastant tout au passage, jusqu’à choir plus loin sous les chocs répétés brisant ses protections. Non loin de là, Sorn riait et se jouait du feu en laissant des amas de flammes noires jaillir en dévastant tout ceux s’approchant un peu trop tout en observant dans les cieux les lueurs aériennes repoussant le feu tombant du ciel quand Runne et Finaen nous offrirent une ouverture. Dans ce paysage tourmenté, nous avons alors pu rejoindre en vitesse la base du pont du Ryurin du levant, me laissant trancher subitement la créature qui fonçait vers Runne en deux quand l’infusion d’un halo tournoya autours de la garde de la lame en transformant ma lame blanche en une lame noire bien plus inquiétante. C’est en avant que Mitsuko qui nous infusait encore un peu des vents pour nous permettre de progresser, attendait les retardataires en laissant tout le monde traverser les derniers flots de dévastation des trois vents jusqu’à atteindre notre objectif. S’étendait devant nous un lieu chaotique, mais ce n’était que le départ, contemplant au loin les reflets pourpre de la Tour de l’Apocalypse qui paraissaient bien plus menaçant encore comme un œil lointains qui nous contemplait de tout son pouvoir.
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Malgré tout, il fut tout de même surprenant de s’en sortir relativement entier de ce flot surpuissant. L’efficacité de nos compagnons empêcha la plus part des blessures même si Livio avait subit quelques chocs en protégeant ses camarades. Nombreux des domiens furent ainsi protégés lors de notre route, fuyant vers Namai, tous n’avaient pas pu s’échapper et certains se trouvaient au moins dans l’œil de la tempête dont les trois vents fulgurant frappaient encore les environs en faisant miroités l’espace donnant l’impression de ne plus pouvoir comprendre aisément l’horizon tant il semblait être en mouvement sans cesse. Le pont brisé avait été détruit lors de la guerre contre l’Empire, désormais ses vestiges étaient investit d’une toute nouvelle sorte de bataille qui laissait des terribles marques sur les vieilles ruines qui auraient pu être reconstruite en laissant découvrir autant les chocs des flammes tombant parfois encore des cieux, que des marques de la végétation infâme du Tree Barar utilisée par les combattants des Telophores ayant investit cet endroit. Cela ressemblait presque à une cruelle offrande, deux sortes d’arbres de pierres affectés par le Mornemaux servait de catalyse à tout les flux de pouvoir volés permettant à la griffe lointaines qui s’était écrasée sur le pont de fonctionné. Des corps décrépit des malheureux étaient à l’intérieur de la végétation, et cela avait suffisamment énervé Runne pour qu’il s’y intéresse immédiatement. Cela dit, c’est l’ennemi qui s’était surtout intéressé à nous : Au milieu du groupe ayant progressé ensemble en s’offrant quelques soins, s’écrasa une entité monstrueuse représentant une parodie infâme d’un Tengus comme celle qui avait voulu se battre dans le domaine des îles roses.

Rugissant en tournoyant un instant, nous envoyant valser ici et là, Livio et Mitsuko restèrent à l’arrière pour la combattre en nous offrant une ouverture afin de foncer droit vers nos cibles à toute vitesse pendant qu’ils menaient se terrible combat. La première passe d’arme se déroula un peu mieux pour nos compagnons, envoyant un grand coup de pistolame Livio parvint à canalisé le regard de son ennemi vers lui qui fut prit dans la tourmente éthéré un bref instant en levant ses bras pour s’en protéger. Lui envoyant un coup de sa lourde lame en retour, brisant sa défense en laissant une brève blessure au torse de Livio qui venait de lui couper une main pour lui faire lâché une de ses haches. Mitsuko le harcelait en produisant un effet de foudre puissant qui frappa les chaînes d’ornementations de la créature en la paralysant de plus en plus, émettant de la fumée se mêlant à son cri de douleur. Tournoyant en fixant Mitsuko, qui lui trancha d’un coup une jambe valsant plus loin, c’est de l’autre qu’il écrasa Mitsuko au sol brusquement en essayant de la broyé dans sa terre sous le coup. Se tournant quand il reçu plusieurs éclats cristallins s’écrasant encore et encore dessus pour le repoussé. Il jaillit vers Livio en le transperçant au ventre, fusant dans les airs avec notre pistosabreur en cherchant à l’embroché totalement sans encore y parvenir jusqu’à l’intervention de Maladriel toujours dans les cristaux du « Duc de Cristal ». Des reflets jaillirent sans cesse, transportant encore et encore Livio et son adversaire ici et là jusqu’à permettre à Mitsuko de trancher brusquement l’ennemi lors d’un mouvement chaotique, Livio parvenant à fendre en deux de sa pistolame la créature avant de choir dans le vide.

Reçu par Mitsuko dans les airs en quelques plumes tournoyantes pour ne pas qu’il se fracasse au sol. Le reste de l’équipe luttait à côté du pont, Sorn s’était directement intéressé à l’énorme canon totem avant qu’il ne nous éparpille en morceaux en tirant plusieurs fois vers le canon pour essayer de le brisé avant qu’il ne tire. Ce ne fut pas suffisant en premier lieu, les tirs étaient trop léger face à sa résistance jusqu’à ce qu’un tir de vent comprimé sans cesse provoqua une grande déflagration proche de Sorn en l’envoyant valser plus loin sous l’impact. Se redressant au milieu d’une tourmente de fumée, regardant au loin mon combat contre des sortes de golems formés du chaos ambiant et d’énergie néfaste qui crépitaient autours de ses derniers. Son choix fut de m’offrir un peu d’aide, alors que j’avais bien du mal à m’en débarrassé après qu’un coup m’aie rétamée au sol en retour d’un coup de lame qui en avait fendu un en morceau. Je couvrais Runne qui était en train de purifier les arbres infâmes dans des lumières de glace puissante ayant débuté la dévastation intérieur des dits arbres laissant de la fumée apparaître sans cesse. Si cela permettait de brisé la végétation intérieur, le Mornemaux lui jaillissait ici et là en risquant de tout recouvrir jusqu’à ce qu’il ne s’en saisisse pour essayer de le scellé dans un carcan de Glace que Finaen pourrait tôt ou tard isolé et passé sous les sceaux de la Jarre de Namai afin de contenir cette source.

Tandis qu’il créait le cocon de glace, Sorn parvint à balancé Gladys qui percuta un des artilleurs avant de valser plus loin dans un petit cri, envoyant des explosions en calculant toutes les manœuvres pour que le canon tire cette fois en plein vers le dernier golem qui nous avait balancé au sol Runne et moi quand il brisa la protection de glace de Runne me venant en aide. Bondissant au dessus, j’écrasais mon grappin au dessus de sa tête et je le retins au moins une brève seconde le temps que le coup de canon tombe dessus en provoquant une grande dévastation laissant ses morceaux valser ici et là. La bataille à la base du pont s’achevait à ce moment, Kohaku avait rejoint les combattants Domien menés par la mère de Yone qui luttait contre un terrible Hrothgar subjugué balançant des jeunes combattants domiens ici et là. Tombant dans un éclair foudroyant les environs convoqués par ses forces, Kohaku attrapa un adversaire pour le balancer sur un autre dans un foudroiement puissant en propulsant un subjugué contre un autre en empêchant notamment celui qui allait propulsé sa lance droit vers Finaen avant qu’il ne rejoigne les trois totems. Au vue du nombre, elle fit reculé les guerriers un instants pour créer un Doton puissant avant de laisser des serpents de roches tournoyant sans cesse en ravageant tout au passage dans des grondements monstrueux tournoyant sans cesse au sol en provoquant un ravage significatif qui permit aux domiens d’avoir enfin l’initiative. Et nous récupérions le temps perdu une fois que Finaen rejoint les trois totems tournoyant dans les cieux.

Ceux ci n’étaient pas maléfiques, mais tiraient sur des énergies spirituelles pour apporter les Trois vents à se déchaîné de plus en plus. Si au début, son but était de rassemblait toute l’énergie dans le masque curieux qu’il avait encore. Il fini par enfilé le masque de crainte de voir un être en jaillir comme le Dakuguresu que le Tree Barar pourrait corrompre à son tour. Infusé des énergies spirituelles, le masque illuminant ses yeux, Finaen se laissa redescendre après avoir soigné les blessures de Livio et Mitsuko pour nous rejoindre vers le pont. Il nous fallait atteindre rapidement la griffe, maintenant que les trois vents s’apaisaient. Là où se trouvait leur Seigneur, et la créature qu’il avait fait apparaître en ce monde.
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Tous se réunissaient aux décombres du pont du Ryurin du levant, observant les combattants d’Okoi survivant mené par la guerrière aux cheveux platines souriante vers notre équipe avant de retenir tout subjugués pouvant essayer de nous assaillir dans le dos. Quelques sorts de soins furent partagés afin de nous libérés de la souffrance et de l’épuisement pour ceux ayant déjà bien subi tandis que tous se réunissaient autours de nous. Sans cesse, le passage devait être créer par nous même jusqu’à ce que Runne puisse créer un pont de glace s’étendant de plus en plus droit vers notre destination dans une lueur de cristal magnifique. Cherchant à atteindre l’autre bout la couche devrait être trop fine voir dangereusement tangente au vue de la distance et de l’éther que cela exigeait. Même avec l’effort de son œil actif ayant des cercles concentriques devant comme différents effets de sorts, il cherchait à amplifier la glace jusqu’à ce que Finaen n’use des énergies spirituelles que le masque générait pour créer au dessus de ce pont de glace une étendue magnifique d’un bleuté fantomatique qui jaillit et s’installa au dessus de la création froide en créant un pont aux reflets d’arc en ciel finement ouvragé qui menait droit vers le milieu solitaire du Ryurin du levant où se trouvait la griffe. Bondissant d’une pierre au dessus du groupe, je me mit à courir à toute vitesse sur la glace glissante légèrement au milieu des ses sphères bleutés comme des feux follets errants. Bien que j’aurais aimé pouvoir contempler un peu plus une pareille beauté, force est de se faire un constat que nous n’aurions le temps de profiter d’un ouvrage éphémère qui ne nous menait qu’à un seul objectif : En finir avec cette menace.

Progressant à toute vitesse, cela ne serait comme vous vous en doutez pas aussi aisé que nous l’aurions espéré. Des flammes jaillirent des cieux en frappant d’une manière vengeresse le pont un peu partout en produisant des grandes déflagrations emportant des morceaux de glaces, dissipant les lueurs spectrales en ne laissant qu’une vague de dévastation le long du passage. L’onde émise par la griffe distordit de nouveau l’éther, le rendant bien moins malléable et prompt à la stabilité, brisant le pont en des nombreux morceaux se mettant à flotté un peu partout en nous obligeant à bondir d’un bout de pont à un autre en une situation des plus chaotiques. L’épreuve était autant de survivre aux flammes chutant des cieux qu’au parcours difficile imposé par la fragmentation du pont. Si la situation avait un aspect poétique malgré son aspect mortel, les créatures qui jaillissaient de toutes part étaient bien moins sympathiques. Aux subjugués mutés s’accompagnèrent des monstres aux formes féminines infâmes tournoyantes dans les airs en cherchant à nous attraper, celles ci se ruant autours de nous en laissant des sillages de dévastations derrières elles. S’opposant directement à leurs apparitions, Runne leva d’un coup une nimbée de lames de vents qui fusèrent d’un coup en tranchant tout ce qu’elles pouvaient en essayant de tailler en pièce les apparitions en bondissant d’un bord à un autre, jusqu’à ce qu’une tentacule ne lui attrape la jambe en l’envoyant s’écraser au sol fortement plus loin, le sonnant un peu sous l’impact. Mitsuko jaillit à sa suite, sa lame tranchant les subjugués s’approchant un peu trop tandis que comme toujours, Livio prit la tête en étendant des protections cherchant à arrêté les flammes tombant ici et là dans des chocs puissants lui faisant serrer les dents lors des impacts.

Reprenant le rythme, il perçu Finaen créer des lueurs puissantes soulevant les feux-follets comme des sphères de pouvoir en utilisant l’énergie accumulé dans le masque pour faire partir à toute vitesse les sphères afin d’impacté les boules de feu qui tombaient sans cesse, provoquant des grandes explosions au dessus de nos têtes en laissant des filets de lumières choir lentement des cieux d’une façons plutôt spectaculaire. Accroché à une des créatures flottantes en l’air, malgré quelques coups subi, Sorn avait prit de la hauteur en tirant sur tout ce qu’il pouvait dans des projectiles fusant sans cesse dans la foule en ouvrant le chemin à ceux au sol. Une de ses silhouettes de femmes chercha à le déchiré en deux en se laissant choir doucement vers Sorn essayant de l’attraper, avant que je ne la coupe en morceaux. Avec Kohaku, nous bondissions dans les airs en passant d’une cible à une autre tout en tranchant tout ce qui pouvait passé par mon sabre ou par ses tantos poignardant brusquement les entités jusqu’à créer une impulsion de vent lui permettant de choir au centre du pont dévasté où se trouvait la griffe et nos proies. Tous se réunirent enfin sur place pour la confrontation avec le Seigneur des Trois vents. Il tournoyait autours de l’immense griffe ayant dévasté un toit rouge du pont, s’imprégnant de ce pouvoir, réalisant à quel point il avait fini par muté et devenir informe bien que sa grande tenue lui faisait toujours honneur en lui donnant un aspect impérial. Son serviteur fidèle, une des créatures masquées à l’image du Dakuguresu rôdait autours.

Fournissant la canalise que le Tree Barar offrait à ce laquais des Telophores qui veillait sur l’entité née de tout ce gâchis : Une sorte d’immense limace, avec de nombreux mandibules et un visage ressemblant presque à un masque grossier aux dents affreuses. Une créature infecte. Une créature de l’Apocalypse venant nous défié. Rapidement nous avons trouvés nos cibles, et nous sommes rués dans une dernière confrontation au cœur des Trois vents afin de pourfendre définitivement ceux qui apportaient le malheurs du Tree Barar et du Mornemaux dans les chaînes du Gensui. Aussi tôt, Runne chercha à purifier la créature au masque spirituel dans une lumière d’argent. Concentré sur son office, il tenta bien de réduire en poussière le Mornemaux qui la renforçait mais ne parvenait pas à la maîtrisé spécialement, créant des ondulations d’énergies sur l’entité la rendant distordue avant qu’un coup de griffe ne l’écrase plus loin. Ayant fini de dévasté la griffe, Finaen jaillit vers son camarade pour isolé et se saisir du Mornemaux afin de le scellé, créant les sceaux de la Jarre de Namai dans des florilèges de lueurs d’or qui tournoyaient doucement autours du réceptacle improvisé. Privé de ce pouvoir, il ne pouvait plus se renforcer et contrer les efforts de Runne de le détruire. Mais cela créa en lui une rage sanguinaire si profonde que la créature jaillit vers Finaen en le transperçant d’une blessure particulièrement grave. Voyant notre cher ami dans cet état, la lame de Runne s’infusa de flammes sombres et il frappa sans cesse contre la créature jusqu’à ne laisser que de la poussière fumante tournoyante jusqu’au moment de faire une glissade pour venir soutenir un Finaen meurtri. Le Seigneur des Trois vents fini relativement aussi dans un tel état.

L’assaut des sœurs Isamu fut coordonnés pour essayer de l’atteindre dans les airs à toute vitesse alors qu’il tournoyait rapidement autours de la griffe. Kohaku jaillissant en plantant ses deux lames dans ses clavicules tenta tant bien que mal d’essayer de le carbonisé intérieurement, des flammes s’extirpant de sa bouche en émettant un croisement sinistre avant de repoussé la combattante installée dessus, bloquant Mitsuko qui cherchait à lui arracher une aile comme elle le pouvait de son autre lame. Réalisant le pouvoir du Seigneur des Trois vents, esquivant la mort plusieurs fois dans des vagues de griffes sinistres dévastant le pont au passage. L’invocation de Kohaku – Ce fameux lièvre rouge aux explosifs, fonça avec elle installé un chapelet de bombes autours du cou du Tengus céleste qui tournoya un instant, en attirant brusquement Kohaku à lui quand elle créa une flamme provoquant une forte déflagration. Apparaissant hors du feu, repoussée en s’écrasant enflammée au sol avec avec le lièvre, le Seigneur des Trois vents fut achevés par Mitsuko aux airs d’un phénix noir tournoyant en l’air un instant, avant de se rabattre très brusquement contre la silhouette du Tengus dans une ondulation de magie puissante l’envoyant s’écraser au sol après un instant de confrontation intense.

Il ne restait que cette bête de l’apocalypse immonde qui me donnerait des cauchemars supplémentaire les prochaines nuits pendant que le chaos de notre époque s’amplifie. Runne créa un carcan de glace pour m’empêcher d’être frapper trop fort par une des mandibules alors que la foudre frappait en même temps que la lame noir tranchait un peu partout sur l’entité. Je progressais au milieu des tirs de Sorn attirant absolument l’attention vers lui, en le criblant de balle pour évité que Livio ne soit ciblé pendant son approche. Malgré tout, Finaen du faire un détour en créa une puissante barrière devant lui et Livio pour évité que la bourrasque de dévastation ne l’éparpille en morceau. Livio se prenant un pilier de pierre et Finaen chutant au sol, le pistosabreur pu rejoindre la gorge de l’entité en frappant fortement cette dernière. Finaen quant à lui, parvint à détruire la griffe dans des myriades d’explosions incroyables en brisant toutes sources de pouvoir de l’entité. Elle était à notre merci, Sorn tirait des rayonnement bleutés infusés du Teclis encore et encore contre l’entité, envoyant les lumières bleutés traversant plusieurs fois la bête de l’apocalypse qui créait plusieurs ondes de chocs à mesure de ses hurlements. Je frappais encore et encore, tranchant de cette lame noire le corps de l’entité en laissant de nombreuses blessures, jusqu’à ce que le flot de dévastation comme un vent chargé d’éther ne nous happe en nous rétamant au sol.

Ce fut l’instant pour Livio d’agir, sa pistolame s’étendant brusquement dans une lueur de cristaux bleutés, laissant le petit rire de Maladriel se fait entendre quand il se propulsa vers la créature. Chargée d’énergie, en deux coup, il fendit notre adversaire gravement blessé dans deux lumières incroyables jaillissante au cœur de l’entité avant qu’elle ne tombe en poussière. Se redressant lentement avant de s’écrouler à cause de sa douleur au ventre, je me précipitais vers Finaen pour lui offrir assistance. Nous en avions fini du Seigneur des Trois vents, et des Telophores assistant le Tree Barar. S'était fait de cette fourbe créature, et nous observions au loin la Tour de l'Apocalypse. Conscient que celle ci ne resterait pas inactive, ni ses serviteurs, face à tout ce qui nous attendant encore. A commencé par les mystères de la créature aux yeux rouges. »

Akayane Kosenjobi.
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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 15 déc. 2021, 13:40

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-quatrième Entrée - « Acte 9 – Les envoyés de Fluminis.»
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« La destruction du Seigneur des Trois vents à entraîné quelques brefs jours de repos. Reprenant des couleurs depuis les blessures importantes vécues pour atteindre le défunt Tengus et les mystères arrachés à ce voile d’obscurité que le Mornemaux parvenait à faire jaillir, il n’était hélas pas encore le point final à notre affaire en Yanxia : Toujours, le Tree Barar sévit, et il nous fallait tout faire pour l’atteindre. Avant cependant de pouvoir traquer directement la créature qui souhaite le Mornemaux, notre responsabilité est avant tout de nous débarrassé d’une maudite engeance qui surveillait les actions des chaînes du Gensui. L’ombre sinistre aux yeux rouges que Finaen avait plusieurs fois aperçu et lui laissait quelques sueurs froides. Quoi que pouvait bien chercher une pareille entité, il valait bien mieux qu’elle disparaisse rapidement surtout depuis que les Telophores le suivant étaient devenu aussi actif dans les environs du Castrum Fluminis que nous pouvions voir se réactivé depuis les ruines du Pont du Ryurin du Levant où nous nous étions installés. Quelques escarmouches furent de rigueur, des sauvetages de locaux et d’hommes-bêtes enlevés, une morne routine m’évoquant le Coerthas il y à quelques temps de ça maintenant. Pour autant, cela ne pouvait pas poursuivre ainsi et Okoi en étant conscient : Si il nous fallait rejoindre le Manoir des Yuzuka où Obito devait nous attendre, on ne pouvait simplement pas laisser le Castrum actif avec tout les problèmes que cela pouvait bien provoquer dans les environs.

C’est après deux abominables nuit où nous devions sortir lutté contre plusieurs des envoyés des Telophores tout en fortifiant le petit campement d’Okoi, que nous avons du nous mettre en route avec une équipe de compagnons se retrouvant pour partir. Comme toujours, Runne et Finaen étaient présent tout en ayant en soutiens en guise de support magique le retour de Salarios et de son codex aux nombreux sorts. Lucian serait une fois de plus présent, ayant récupéré un ancien outil de combat des plus surprenant, aussi ai-je prévu de l’interroger sur cette faux qui lui sied tant. Quant au maintient de la ligne, j’aurais à mes côtés Alaric doté désormais d’une Pistolame avec qui il à pu charger ses cartouches grâce à Runne. Une petite surprise allait apparaître à notre aide, mais je raconterais cela le moment venu ! Pour l’heure, nous quittons le campement et le pont après quelques conversations en route pour le Castrum. Les guerriers d’Okoi se relevaient et ceux désignés pour frapper en soutiens à notre intervention nous regardaient les yeux aussi rempli de fierté que d’espoir que cela réglerait pas mal nos soucis. Ils devenaient petit à petit des personnes avec qui un lien léger se tissait, aussi cela était rassurant de les voir nous offrir un peu de thé et autres biscuits de riz.

C’était cela dit moins agréable de pensé à ceux qui ne reviendraient pas de ce genre de mission. Quittant lentement le campement sous une nuit qui s’amplifierait à mesure où nous progressions dans les sentiers sans route. La mémoire d’un instant reposant et agréable laissa petit à petit place à la constatation que les problèmes allaient nous tomber dessus. Une fois éloignés, c’est à environs une heure de route que nous avions déjà découvert le cimetière des carcasses autours de Fluminis. D’innombrables machines et autres résidus d’aciers abandonnés, illuminés de diodes bleutés s’étendaient jusqu’au Castrum en lui donnant l’impression d’un domaine hanté. Rapidement, tous se mirent à identifier les lieux et ses danger, ce qui permit rapidement à Finaen quand Runne chassa la brume, de nous prévenir que les lieux entiers allaient être animés par un réseau curieux d’énergie sous nos pieds. Cela n’y manqua pas, alors que tous étaient sur leurs gardes pendant que Lucian déterminait la curieuse nature de l’éther d’un cristal qu’une machinerie volante transportait droit vers le Castrum, Visiblement, ça n’était pas bon du tout au vue de l’énergie primordiale là dedans, mais progresser allait être compliqué : D’un coup, tout avait prit vie. Non pas que l’ensemble devint une sorte d’énorme robotique impossible, il s’agissait là d’une sorte de vague transportant les amas d’aciers produisant des chocs sans cesse tandis que des lueurs d’un bleue intense cherchait à nous happé l’esprit. Il fallait progresser dans tout ce chaos, frappant les protections de Salarios dans des rayonnement d’énergie en essayant de l’atteindre. Bien rapidement, tandis que Lucian lui pouvait facilement accéder aux hauteurs en se téléportant d’un claquement de doigt, c’est Finaen et Runne qui nous ouvrirent le passage en créant des amas de mur de pierre et de sable donnant l’impression que le monde sortait du sol en d’innombrables cylindres de pierres et de poussières.

L’acier valsant dans tout les sens s’entremêlant aux effets du sol relevé en bloquant les vagues d’aciers alors que je tranchais rapidement tout ce qui produisait la lumière bleue pour ne pas la laisser nous atteindre. Après avoir créer une protection supplémentaire à celles de Salarios nous confiant des pavois d’énergies puissants, Alaric fendit les barrières nous empêchant de progresser là où Lucian avait trouver un passage, jusqu’à ce qu’apparaisse le renfort inattendu : Chargeant dans un puissant rire, Grob se rua toute vitesse jusqu’à défoncé la parois d’acier nous retenant en nous offrant le passage en émettant ce rire significatif. Progressant vers les hauteurs tout ensemble, ce fut infusé par Finaen qui créa autours de nous une puissante énergie aérien qui nous aida à grimper l’obstacle en voyant enfin le portail du Castrum Fluminis. Hors les telophores n’allaient pas laissé notre entrée être aussi aisée : Des subjugués jaillirent de tout les côtés, rares furent ceux qui n’étaient pas mutés pouvant être encore sauvés. Heureusement pour eux ! Runne était là aussi pour leur venir en aide, et il éleva ainsi des grandes pointes de glaces en les gelant en partie à l’intérieur pour les tenir écartés jusqu’à ce qu’ils puissent être sauvés de la subjugation.

Fonçant en avant, Grob et Alaric se tallaient un chemin jusqu’à Lucian qui avait pu happés une bonne partie des adversaires face à lui dans des coups de faux amenant la dévastation à son passage, jusqu’à ce que les vents convoqués par Finaen ne frappe ses adversaires brusquement en les envoyant s’écraser ici et là. Permettant ainsi à Alaric de foncer attirer leur attention. Il tira tout de même une cartouche protectrice vers Grob avant qu’une pince d’acier d’une Avant-garde magitek ne le traverse de par en par, créant une grande lueur cristalline imposant la protection nécessaire pour que le guerrier n’attrape le bras foreuse pour le planter dans le torse de la propre machine sans que ça ne manque d’ironie. Pour ma part, j’avais pu créer un éclair droit sur la machine aérienne que Salarios avait habilement coincé au milieu d’une cage au dessus de nos têtes. La pauvre n’avait aucune chance, et elle éclata contre les protections dans une forte déflagration avant que je ne parte taille mon chemin auprès de nos autres compagnons. Tous bondissaient dès lors à l’intérieur du Castrum en passant par la grande porte une fois la vague de dévastation au milieu de l’acier mouvant s’achevait. Personne n’avait été blessé, ce qui tirait de l’exploit d’autant que notre progression se fit fulgurante alors que Lucian retourna rapidement sur les hauteurs des premières demeures impériales. Il restait à découvrir ce qu’ils tentaient de faire, observant les environs, cherchant à réalisé l’ampleur de la menace des envoyés de Fluminis et ce qu’ils pouvaient bien faire craindre à la contrée pour qu’ils soient une priorité.
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Si ce n’était pas un territoire dangereux, la vision du Castrum aurait pu être magnifique. Aussi inquiétaient soient les impériaux, ils ont le talent pour créer des domaines de toute beauté et celui ci même si ça n’était que l’annexe de cette grande tour sur les flots, s’illuminait déjà d’innombrables couleurs bleutés que la nuit naissante amplifiait merveilleusement bien sous le clair de lune. Des machineries vrombissaient voilés par des couches d’aciers ne laissant apparaître que des lueurs bleutés paisible se mêlant à des schémas qu’il m’était trop complexe pour comprendre sans être ingénieur. Nous progressions sur autant de poussière, de terre, que l’impression de mettre le bas sur des vieilles couches de métaux recouvertes par la poussière. Cet endroit était abandonné depuis la libération de Doma et il ne devait surtout pas reprendre vie, encore moins pour tomber entre les griffes des Telophores quelque soient leurs projets. Plusieurs machineries volantes passaient au dessus de nos têtes et le chaos d’acier loin derrière s’apaisait petit à petit maintenant que nous n’étions plus dans le cimetière des véhicules magitek pour s’y faire écrasé. Néanmoins, les entités se trouvant là elles allaient rapidement chercher à nous écrasé alors que le chef de ce petit ensemble s’avançait vers nous en riant. Il s’agissait jadis d’un Lalafell – Oh, il en avait encore la forme, si ce n’est que la moitié de son corps était comme mêlé aux machineries d’un scorpion magitek impérial particulièrement massif. C’était étrange de voir se petit corps subjugué au contrôle de cette machine de mort, et les subjugués Telophores trop mutés pour être sauvés s’approchaient avec l’ancien officier installé dans une faucheuse impériale dont la gueule se préparait à tirer.

Ils portaient l’uniforme impérial domien, des fanatiques ayant toujours cru en la cause de Garlemald même depuis la libération. Étaient ils heureux de cette subjugation ? Peut-on être heureux cela dit d’être mentalement contrôlé ? Au moins alors que Grob et Alaric fonçaient droit vers la mêlée dans un rugissement guerrier, nous nous chargions rapidement des ennuis qu’ils causaient dans le castrum : Les cristaux d’éther infusés d’énergies primordiales, et la « contrôleuse de fluide sanguin » mêlé hideusement à du bois pourri du Tree Barar. Tandis qu’Alaric allait contenir leurs forces, Salarios avait pour objectif de retirer les cristaux d’éther corrompu des sortes de tubes les infusant. Il fallait le faire doucement, car la destruction de l’ensemble pourrait tout faire exploser en nous réduisant en poussière nous. Une partie du Castrum. Et les habitants qui criaient à l’aide plus loin ce qui ne serait pas des plus pratique pour arrêté ce qui se passe dans son ensemble en Yanxia. Ainsi il créa une grande barrière d’éther tournoyante, et en plusieurs protections, souleva lentement les cristaux en les détachant de plus en plus de leurs liens. Les machines volantes qui travaillaient sur les cristaux n’allaient pas laisser faire aussi aisément, et je parvins jusqu’à elle d’un tir de grappin, petite merveille créer par Corvus, afin d’atteindre la première qui reçu deux grands coups de sabre où la foudre se glissa pour la fendre en morceau.

Les cieux et la terre n’étaient alors que dévastation, tandis que j’étais sur la carcasse tombant très lentement vers le sol en y éparpillant les flammes, en dessous Alaric envoyait des grands coups de pistolame dans des fortes déflagrations envoyant les subjugués mutés valsés un peu partout, esquivant le pied de la faucheuse essayant de l’écrasé. En essayant de contenir ceux fonçant vers le bouclier de Salarios, Alaric prit un mauvais tir qui le rétama au sol. Se redressant d’un coup, il tailla en pièce le pilote et les commandes de la machine avant de choir à côté de la piteuse faucheuse en retombant au sol lourdement, à côté de laquelle je venais de me laisser tomber après avoir détruit la dernière machine aérienne en restant au milieu des flammes ondulantes de ce petit chaos ambiant. Nous avions été infusés par l’énergie volée des Cristaux qui lentement disparaissait. La douleur physique avait été intense pour Salarios, mais il avait pu dévié cette puissance droit vers nous, ce qui nous avait bien aidé en laissant des étoiles nocturnes curieuses apparaître. Tout en ayant pu les laissés hors des tuyaux, bloquant l’accès aux énergies pour les outils magitek qui s’éteignaient lentement en étouffant de nombreuses lumières, il avait pu les manipulés pour nous offrir un second souffle qui serait des plus utile plus loin. L’autre partie du groupe s’était rué vers l’artefact pourrissant que Finaen dans un éclair fin atteindre à toute vitesse pour débuté une purification.

Plus le bois maudit disparaissait, plus il constatait l’usage de la machine qui devait permettre de volé du sang semble t-il à ceux coincés derrière des portes. Bondissant du plafond, Lucian créa une grande zone d’énergie sinistre d’où des chaînes s’extirpèrent en attrapant des grandes créatures immondes ressemblant à des liéchis d’orient, qui ne purent rien faire quand les flammes de Runne jaillirent en les brisant les uns après les autres. Utilisant le contrôle de son œil, pour observer l’éther, il perçu le piège et la créature derrière une des portes qui se nourrissait de tout ce qui pouvait se passé ici : C’était sa cible. Finaen se redressant après un mauvais coup fit explosé les portes contenant les civils, ceux ci s’enfuyant rapidement dans un vent de panique alors que Runne fracassa la porte où un avatar du Tree Barar, créature immonde ressemblant à une allégorie du cauchemars, jaillit en plantant une épine de pierre du Mornemaux dans l’épaule de Finaen qui valsa plus loin tandis que Lucian qui venait d’achevé la créature infâme qui se tenait encore en vie, reçu dans son dos un rayonnement laser venant de la queue du scorpion magitek.

Lui ayant défoncé les pattes, Grob avait foncé droit dedans en brisant l’ensemble dans des chocs puissants avant de bondir sur sa carcasse désireux de trancher sa queue. Il fut reçu par un tir rayonnant l’envoyant valser brusquement en arrière en fumant encore un peu. Peu envieux d’en rester là, il fracassa le sol dans un choc puissant ondulant autours du point d’impact avant de rebondir dans un rugissement monstrueux, envoyant sa hache infusé par l’énergie volée de Salarios, jusqu’à ce que la hache ne fende l’air en s’écrasant contre le Lalafell tout en défonçant la machine. Au même moment, Runne venait de transpercé de sa rapière l’avatar qui fut calciné brusquement en disparaissant en poussière. Un certains calme apparaissait entre les crépitements et quelques explosions légères là où des machineries éclataient, les civils fuyant à toute vitesse. Soutenant ceux encore au sol, les blessures s’étaient accumulés aussi physique que certains que mentale pour d’autres, il nous fallait néanmoins poursuivre en fixant plus loin un cercle magitek où une grande lumière verte gagnait de la place. Une fois de plus, une de ses brèches étranges que le Tree Barar avait usage de créer était en train de jaillir, et grandissait de plus en plus. Si nous lui laissions le temps, nous serons bien vite débordés par je ne sais quels horreurs. Il nous fallait intervenir rapidement, malgré nos compagnons blessés ayant du mal à se redressé.
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Il faut dire qu’ils avaient reçu de sacré choc, Lucian avait eu bien du mal à se relevé alors que Finaen, Runne et Salarios avaient offert quelques soins aux blessés. Le passage nous menant vers les hauteurs était un vieux passage poussiéreux sans trop de métaux menant vers un moyen de déplacement vers la forteresse lointaine de Fluminis au dessus des flots. Non fonctionnel, il avait été remplacé par une sorte de création de magie étrange qui permettrait de créer un lien avec la tour de l’Apocalypse qui se trouvait plus loin au sud. Quoi qu’ils cherchaient à apporter et à faire, si cela avait un lien double, ils en profitaient pour amener du pouvoir droit vers la tour avec les fameux étrange cristaux avec cette énergie primordiale évoquant la nuit et la lune. Après un instant d’attente des plus angoissants où nous avons été rejoins par nos camarades qui souffraient de leur état, Grob resta en arrière pour repoussé tout ceux derrière nous le temps qu’Okoi et ses guerriers n’arrivent récupéré les subjugués pouvant être sauvés tout en dévastant ceux qui devaient être écrasés. Quant à nous, dès que nos compagnons finirent par nous rejoindre, nous nous sommes mit d’urgence en route sur ce passage de poussière qui devint rapidement aussi beau que confus. Se déployant autours de nous, d’innombrables lumières se mirent à tournoyer en cercle nous donnant l’impression de progresser dans une sorte de tunnel de lumières bleutés partant à toute vitesse. Si nous avions une vague habitude de courir dans des couloirs rempli de câblages d’outils de toutes natures possibles.

Là il ne s’agissait que de nombreuses lumières finissant par de plus en plus couvrir la vision des environs en donnant une vague impression de lumières vives. Si cela était au début inoffensif dans notre première ruée, nous avions été rapidement rattrapé par les menaces environnantes quand des barrières d’énergies jaillirent en brisant tout ce qui pouvait se trouver autours de nous. Des morceaux de barricades de fer volaient ici et là, se prenant les vents de Finaen tournoyant dans tout les sens en repoussant l’ensemble des morceaux de fer s’écroulant ici et là. Arrivant brusquement des cieux, un essaim de drone des Telophores fusèrent d’un coup en brisant les lumières pour venir nous assaillir en des nombreux tirs se fracassant un peu partout autours de nous. Lucian qui était en train de dévasté les barrières d’énergies à grand coup de faux, fut prit dans les volées de tir et recula rapidement en serrant les dents quand les impacts ne cessèrent de l’atteindre. Tout cessa quand Runne créa une vague de vent mêlé à des éclairs pour les repoussés, mais l’essaim se rassembla pour lui faire subir le même sort. Cela allait lui tomber dessus mais juste avant Finaen pu joint ses vents en éparpillant la volée de drone qui reçurent plus facilement encore les éclairs en envoyant des petites machineries magitek volés en décombres ici et là dans des chocs puissants. Les barrières de Salarios permettait de progresser rapidement, générant des grands lueurs en empêchant des robotiques infâmes de la Tour de nous assaillir, fine entité aux multiples bras, jusqu’à ce qu’une griffe le taille ne flanc de notre soutiens. Je vins à son aide avec Alaric, qui explosa le coupable dans un choc puissant avant de poursuivre en avant, nous débarrassant de plusieurs des ombres domiens – Maudit Shinobi au service de l’Empire, qui étaient maintenant trop subjugués pour être cohérent dans leurs propos.

Un choc d’une déflagration d’un Katon me frappa sur le flanc en m’envoyant au sol avant que je ne balance mon Wakizaki en pleine tête du coupable. Nous avons pu nous retrouver hors du péril de ce voyage en atteignant finalement le cercle d’énergie infâme qui s’étendait de plus en plus. Ici, la lumière tournoyait en formant comme un dôme fantastique laissant voir la nuit derrière qui s’étendait, laissant lentement apparaître les envoyés de Fulminis qui s’opposèrent à notre équipe à l’injonction de leur chef : La silhouette à la cape et aux yeux rouges était sur la proue d’un Aeronef impérial au loin, contemplant notre avancée en s’éloignant lentement tout en laissant nos adversaires préparer la protection du cercle. Sortant du passage, une créature aux autres bras à la silhouette humanoïde jaillit. Elle n’était que fer et acier, mais l’énergie primordiale volée fit naître deux lames noires et deux lames blanches en une pâle copie des forces de Tsukuyomi comme si ils puisaient dans une version « Luna » qu’ils auraient en contrôle. L’ingénieur subjugué qui était responsable de tout ça se traînait en riant, une jarre du Mornemaux dans les bras et un amas de végétation pourrie le suivant. Tandis qu’une arme volante impériale de type Gabriel s’écrasa sur notre flanc en prenant une forme de combat. Nous avons tout fait avec Lucian pour arrêté l’arme Gabriel, fonçant dans sa direction tandis que je frappais plusieurs fois de ma lame en l’endommagea jusqu’à ce qu’un tir me frappe à l’épaule en m’envoyant brusquement en arrière.

L’arme avait été atteinte par des myriades de pointe de cristaux dans le dos, Lucian apparu dans une lumière mauve dans son dos en l’ayant frappé fortement, jusqu’à ce que notre adversaire ne créer une lame d’énergie pure depuis son bras dans une lueur d’un rouge intense comme les lames des colosses impériaux, frappant Lucian de l’épaule à la hanche en une terrible blessure. Voyant ça, Salarios qui aidait Alaric l’instant plus tôt fonça rapidement vers Lucian pour créer un sort de soin afin d’empêcher quelconque aggravation, des lueurs puissantes tournoyante autours de sa blessure pour l’apaisé en vitesse en laissant Lucian se redresser un peu en serrant les dents. Redressant la tête, j’observais la lumière vive d’un rouge intense que Lucian avait créer contre le corps de notre adversaire pour montrer tout ses points faibles récents depuis que nous l’avions frappés. Tirant ma lame de nouveau avec plus de kenki encore, la foudre accompagna mon sabre en tranchant deux fois dans un sifflement puissant en laissant l’adversaire fendu en morceaux s’écraser au sol avant qu’il ne puisse achevé nos alliés. Si de ce côté, le Gabriel malgré sa force fut vaincu, le combat d’Alaric était un peu plus périlleux alors que sa pistolame frappait sans cesse contre un adversaire aveuglé par les amas de poussières tournoyante autours de sa tête. Sa cécité ne fut que brève, mais permis à Alaric d’affaiblir déjà la carcasse de la création lié à l’énergie primordiale.

Cependant, les sabres trouvèrent leurs proies, et Alaric fut frappé par un coup en ciseaux qui l’aurait tranché en deux si les cristaux protecteurs ne l’avaient pas épargnés d’une mort sinistre en s’écrasant brusquement en arrière. Runne derrière le combat était en train d’arrêté les énergies du portail avant que cela ne provoque quoi que ce soit. Derrière il y perçu les Telophores marchant dans la tour de l’Apocalypse qui progressaient vers la brèche du Tree Barar, et il décida que finalement il ne pourrait pas l’interrompre sans provoqué de chaos. Au moins, il avait suffisamment mitigé le choc pour être le seul à valser plus loin dans une explosion puissante en venant s’écraser plus loin en arrière, son travail accomplit. Il aurait pu être empalé par un des sabres, mais Alaric frappa brusquement de sa pistolame contre le bras qui allait fendre le miqo’te valsant plus loin, avant de voir les pétales de Finaen jaillir. Ce dernier avait scellé la jarre brisé du Mornemaux que tenait l’ingénieur, qui fit muté un de ses bras en un amas de bois et de pierre pour l’écraser brutalement par terre. Tenu au sol, il convoqua tout de même un cercle de puissance immense qui généra une fleur de lys dont les pétales tourbillonnantes taillèrent en pièce l’adversaire aux quatre sabres et l’ingénieur, se mêlant aux lumières bleutés qui lentement s’éteignaient depuis que la source qui réanimait Fluminis s’étaient doucement éteinte.

Alaric achevant son adversaire dans une myriade de coup puissant quand le Teclis se mêlant à son équipement en des lumières bleutés diffuses magnifiques, il mit un genou à terre haletant à côté de l’amas fumeux de nos ennemis tandis que des cris de joies se faisaient entendre. Tournant la tête, la vue dévoilée par la disparition des lumières bleutés, Okoi et Grob se tenaient dans la ville en victorieux proche des subjugués captifs qui n’attendaient plus qu’à être soigné. S’en était fait, mais notre voyage vers l’Ouest ne venait que de débuté. Il nous fallait encore atteindre le curieux manoir Namazu de Yuzuka où Obito nous attends, ce qui était malheureusement aussi la direction de l’être aux yeux rouges. Conscient que c’est peut-être là-bas que nous nous opposerons fatalement à lui. En espérant que cela nous mène enfin vers le Tree Barar lui même pour débarrassé Yanxia de sa présence. »
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Message par Akayane » 16 déc. 2021, 12:51

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-cinquième Entrée - « Acte 10 – Dans la demeure des Namazu.»
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« Fluminis était loin dernière nous maintenant. La route lors de la nuit fut courte, s’installant proche de la mer pour se reposer confortablement. Du moins, cela aurait été confortable si le vent ne s’était pas levé et les vagues avec en s’écrasant sur nous pendant le repos en nous forçant à nous installer plus en hauteur un peu rapidement en étant pour la plus part trempés de la tête aux pieds. Quel confusion ! J’observais au loin les lumières bleutés qui s’étaient pour la plus part apaisés alors que je m’occupais de ma tunique pendant une surveillance. Le commandant Okoi et les combattants de Doma resteraient présent sur place pour surveillé les environs, pas la peine de s’inquiéter pour ce qu’il resterait de Fluminis, car nous avions toujours un objectif : Partir droit vers le Manoir de Yuzuka, où Obito nous attends. Cela devenait je le crains urgent, la présence des Telophores était quelque peu nombreuse et nous étions assurés qu’ils allaient intervenir là où nos alliés les Namazu habitaient. Hors de question de voir ses derniers être atteins par tout ce qui se produisait ici, mais malheureusement cela serait un peu tard pour intervenir avant qu’ils ne soient frappés par nos ennemis. Malgré un voyage depuis Fluminis, nous n’étions pas encore arrivé et il fallait craindre que les Namazu n’aient quelques soucis depuis le déplacement de cette maudite silhouette aux yeux rouges. Ayant traversé la contrée avec notre équipe, prenant la journée pour voyager à travers les côtes sud d’Yanxia en contemplant des décors parfois magnifiques. C’est en fin de journée que nous nous sommes retrouvés correctement une fois à proximité du Manoir des Yuzuka là où nous pourrions être attaqués par les forces des Telophores. Même si nous n’avons pas forcément été remarqué, ils seraient certainement en attente de notre apparition pour se débarrassé de nous.

L’équipe était relativement la même : Finaen, Runne et Salarios apporteraient bien des pouvoirs pouvant contrebalancer la bataille tandis que j’allais de nouveau tenir bon avec Alaric contre n’importe quels menaces risquant de nous tomber dessus. Si Lucian ne fut pas présent, c’est Aerlin qui pu nous rejoindre en cours de route afin de nous offrir ses pouvoirs élémentaires afin de nous offrir une guérison dont nous allions avoir plus que besoin, et des supports des plus efficaces. Ainsi, après une discussion tranquille en estimant que nous allions au devant de quelques problèmes sans en avoir encore la nature, nous nous sommes mit en route en parcourant les environs relativement calme qu’une nuit sans problèmes allait lentement éclairé alors que disparaissait le soleil à travers les montagnes en donnant quelques reflets d’or précieux aux environs. Le cimetière des carcasses ne laissaient que quelques outillages magitek abandonnés qu’Alaric observait, récupérait quelques pièces, et découvrit la présence de plusieurs Lupins. Ils demandaient de l’aide, l’air craintif, voulant de la nourriture et un peu de soin pour leurs compagnons : Ce qui leur fut offert. Mais Runne avait un certains malaise quand il distribuait les denrées. Il avait deviné qu’il s’agissait de brigands, et que si nous n’étions pas effrayant à leurs yeux en tant qu’aventurier expérimenté, ils préfèrent supplié que voler. Le conflit des Telophores les ayant quelque peu dégoûtés autant qu’ils sont effrayés par le regard des Domiens, Aerlin passait avec Salarios et sa fée parmi les blessés que Finaen soignait tout autant en leur laissant de la viande séchée par la suite.

Lors qu’un Lupin s’éveilla avec la peur d’être mit au fer, les bandits comprirent que nous étions conscient de leurs natures, mais Aerlin leur sourit à la place. Leur demandant simplement de bien s’occuper de ceux qui voyageront par ici, autant qu’ils avaient été bien traités. Regardant notre groupe partir, ils étaient quelque peu honteux, et aux air inspiré je crois bien. Peut-être que sans se battre, Aerlin avait aidé à accomplir une victoire dans le cœur de ses personnes qui auraient l’occasion d’avoir une nouvelle vie. Le trajet s’arrêta devant un grand cours d’eau, où une apparition aqueuse jaillit d’un coup en tournoyant. C’était la dame des flots de la Mer de Rubis, suivant toujours Aerlin vraisemblablement en guidant notre équipe vers une sorte de bâtisse. Un Mazashi, il me semble ? Qui était immense et dans la vase que Finaen repoussa avant que je ne l’aide à sortir de l’eau avec Runne. Nous hissons cela hors des flots sous les regards curieux de nos trois autres compagnons qui vérifiaient les environs en restant sur leurs gardes, jusqu’à ce que sorti brusquement des flots d’innombrables Namazu. Au début leurs têtes, puis leurs corps, ils nagèrent à toute vitesse pour s’installer aux grands morceaux de bois permettant de hissé sur leurs épaules le Mazashi pour le déplacer à toute vitesse. Ils se mirent à se ruer hors de l’eau avec, dans l’objectif de filer à toute vitesse droit vers le manoir. C’était trop dangereux de les laisser partir ainsi, et c’était autant l’occasion de bondir rapidement vers le Mazashi pour profiter de cette sorte de petite bâtisse légère qu’ils déplaçaient vers des cristaux de vent. Autant dire que j’avais bien fais de hurler à mes compagnons de bondir dessus quand il passa au milieu de notre équipe transporté par la vingtaine de Namazu ! Cela sorti de la torpeur mes compagnons et ils bondirent rapidement pour s’accrocher à se dernier avant que notre embarcation de fortune ne se rue à travers la contrée en bougeant dans tout les sens.

Même pour les habitués des navires, des aéronefs, c’était complètement chaotique ! Tout bougeait dans tout les sens, et l’empressement fit qu’ils n’étaient pas des plus prompt à esquivé les ennuis : Surtout quand ils finirent par paniqué en constatant que les entités qui les avaient poussés à se caché allaient intervenir. La terre se déplaçait, signe que des entités étaient en dessous, provoquant des grandes explosions terrestres sous la terre dans des chocs puissant. Les roches qui n’étaient pas balayés par les vents de Finaen s’écrasaient contre les parois cristallins que Salarios convoquait, renforcés par les barrières d’Alaric créant une forte protection autours du Mazashi. Cela se déplaçait dans tout les sens en des fortes couches d’énergies ondulantes dans des forces cristallines, je tranchais les bambous de la forêt de bambous qui apparaissaient et nous heurtaient sans cesse, alors que Aerlin et Runne eux fixèrent le mur de pierre du domaine qui s’approchait bien trop vite. Il fallait réagir rapidement avant de tous s’écraser dessus ! Les vents ne cessèrent d’être appliqués en ralentissant les Namazu qui subissaient les ordres et les injonctions d’Alaric pour qu’ils cessent de paniqué : Déjà que l’embarcation de bois se déplaçait de façons suffisamment chaotique, il ne fallait pas rajouté leurs paniques. Dans un mouvement un peu trop rapide et vif, ils tournèrent en évitant le fracas puissant contre la pierre grâce aux bourrasques jusqu’à parvenir à atteindre la porte en nous balançant dans tout les sens, Finaen s’écrasant dans un cri contre les parois de cristaux des boucliers avant d’atteindre de nouveau le Mazashi pour s’y tenir.

Dès le portail traversé et le manoir en vue, les machineries des Télophores jaillirent du sol et de tout les côtés : Des sortes de créatures à deux roues fusant à toute vitesse cherchant à nous déchirés, tandis que des subjugués portant des sabres blancs et noirs nous attendaient. Salarios tomba lourdement hors de notre embarcation tout en envoyant brusquement un croissant de lune contre les subjugués d’un coup puissant avant que Runne ne soulève le sable qu’il générait sous les machines pour le protéger, valsant plus loin en s’écrasant au sol. Alaric, bondissant devant Aerlin pour transpercé la tête d’une des machines afin de protéger son camarade, bondit vers une uatre pour en prendre le contrôle en enfonçant sa lame dedans afin de récupéré Salarios et Runne qui étaient étalés par terre en les conduisant droit vers le manoir. Les vents d’Aerlin finissaient de repoussés les machineries, tandis que le tranchait les subjugués bien trop mutés pour être sauvés. La griffe magitek qui venait de choir sur notre « embarcation » la soulevait doucement dans le cri des Namazu paniqué, jusqu’à ce que Finaen avant qu’une des pointes ne me transperce, ne la fasse littéralement explosée.
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Soufflés par le choc, nous nous écrasions contre les barrières proches de la demeure alors que les Namazu s’effondraient pratiquement inconscient sous l’effort. Mais nous étions arrivés malgré tout, contemplant des cieux l’éclat de Lune étrange et inquiétant qui tombait des cieux, pour atteindre le sommet de la demeure des Namazu qu’il nous fallait défendre. L’équipe pu se rejoindre relativement rapidement. Ayant récupéré Salarios et Runne, Alaric bondit de la machinerie à roue magitek en la laissant s’écraser plus loin – De toute façons, avec une lame la traversant de part en part, il ne lui restait pas grand-chose que ça à faire. Nous nous redressions douloureusement avec Finaen, bien que je le crains j’étais bien loin d’avoir subie tout les chocs que je finirais à prendre dans la figure, observant Aerlin qui fut le seul à avoir pu tenir jusqu’au bout sur le bâtiment de voyage des Namazu en prodiguant déjà quelques soins. Pendant que nous nous remettions de cette folle traversée, contemplant les lumières des lampes domiens balancés par un vent léger qui mettaient plus qu’en valeurs les dorures et les peintures de l’arche menant à la petite cours intérieur du manoir, Alaric agit avec grand cœur.

Disposant les Namazu inconscient ou simplement éreintés dans un coin où ils seraient en sécurité, il était curieux pour lui d’en voir certains s’installer dans des pots rouge comme si il s’agissait là d’un foyer confortable. Ainsi sont leurs habitudes ! Mais il vint rapidement nous rejoindre afin de passer l’arche principale au milieu du bois brisés et de la pierre maltraitée. La cour intérieur n’avait pas tant été saccagé que je ne l’aurais imaginé. Quelques fissures, des griffures sur les peintures, rien qui ne pouvait être remplacé ou réparé plutôt aisément. Cela dit, on y ressentait tout de même le poids des énergies volatiles notamment en contemplant de nombreux cristaux infusés de cette énergie à l’attrait lunaire qu’ils veulent usés pour convoqué des forces liés à la déesse-lapin.

La plus grande gène fut néanmoins l’impression d’une intense puissance qui fit se distordre le monde environnant dans un choc éthéré donnant l’impression que tout tremblait soudainement. C’était due à une puissance ponction de l’éther, orchestré par une machinerie sinistre qu’ils avaient du faire tomber des cieux où erraient deux grand volatiles locaux qui s’étaient vu greffés des éléments magitek pour les maîtrisés et en faire des bêtes de guerre. Ce que nous observions néanmoins le plus était le grand golem. Une statue d’un Domien très barbu l’air des plus nobles, qui n’avait rien de mauvais ni de corrompu. Ça n’était là qu’un artefact qui avait du être façonné par les Namazu avant que les Telophores à l’intérieur ne mettent certainement la main sur l’objet pouvant le contrôlé. Hors de question pour Alaric de le laisser nous coupé la route, et pendant que nos compagnons trouvèrent chacun leurs proies, il bondit à toute vitesse dans une lueur détonante de sa pistolame une fois qu’elle atteins son adversaire. Esquivant, repoussant les poings monstrueux dans des lueurs de cristaux, Alaric tint la ligne jusqu’à ce que ses coups répétés ne fissurent l’ensemble du golem dans des fractures prenant de plus en plus de place. Cela ouvrit la voie pour que Salarios s’intéresse à la machinerie. Ses années dans la résistance lui permit de trouver rapidement des moyens de chercher à prendre le contrôle de cet outil, qui n’était que de la magitek, usant du panneau de contrôle rapidement retrouvé et ouvert pour débuté sa fouille.

Lentement, il dévia le flux qui cessa toutes ponctions pour restitué l’éther, gardant son ouvrage proche de lui en cas de soucis. Finalement dans l’urgence, il le dévia rapidement vers Runne qui congelait les ailes des oiseaux pour les faire descendre, avant que le flot de tir ne s’abatte sur le Miqo’te prit pour cible. La barrière aux allures nymiens tournoya dans un éclat cristallin, déviant les chocs et protégeant notre compagnons qui redressa la tête et pu finalement envoyé la foudre droit contre les machineries contrôlant les oiseaux pratiquement inconscient depuis qu’ils étaient en parite glacé. Chutant au dessus de nos têtes avant de s’écraser au loin. Une fois son œuvre achevée, il laissa sa fée le propulsé en l’air pour atteindre le toit où Aerlin se faisait oppressé et traîné par une créature que le Tree Barar devait avoir envoyé pour surveillé ce qu’il se passait ici. Une sorte de scolopendre immense recouverte de végétations impures qui avait été en partie soufflée par Aerlin en repoussant ses morceaux ici et là. En retour, l’entité avait attrapé Aerlin et le trainait un peu partout comme son doudou quitte à brisé les tuiles en le balançant à droite et à gauche. Cela cessa quand le choc éthéré de Salarios atteins le créature qui se retourna brusquement vers lui, lui bondissant dessus pour l’écraser sur le toit fortement en rugissant. Dans une lueur paisible, la cartouche de soin d’Alaric tomba à pic. Infusant Aerlin de force et de vigueur le temps qu’il se redresse, il concentra d’un coup les vents autours de la créature encerclé par les déferlantes aériennes qui fusèrent vers lui en le broyant de plus en plus. Écrasé sous ses masses de vents puissantes, elle n’eue que le temps de gémir une ultime fois avant d’éclaté en morceaux un peu partout en ne laissant de sa présence qu’un souvenir. Si les toits étaient libres, c’était l’élément de puissance que Finaen focalisa avant tout : Essayant d’arrêter l’afflux de pouvoir primordial qui était canalisé vers une sorte de gemme. De prime abord, il prit le temps de bloqué l’ensemble afin d’avoir le temps d’étudier et de comprendre ce qu’ils pouvaient bien produire.

Luttant contre une sorte de petite structure de bois avec plusieurs Namazu subjugués et en partie mutés qui connaissaient des techniques de Ninjutsu, je les avais un peu trop sous-estimé pendant le partage de quelques coups de mon sabre contre leurs différentes armes, jusqu’à ce que la structure de bois ne me tire dessus dans un canon à l’air puissant. Étalée au sol, ils me pensaient vaincu, et c’est malgré quelques coups à l’épaule et au flanc que je me débarrassais des hommes-poissons maudit avant qu’ils ne puissent atteindre Finaen concentré sur sa tâche. Regardant la gemme, il se concentrait sur un sceau afin de bloqué quelconques pouvoir dans des runes tournoyantes de plus en plus autours pour scellé toutes tentatives de pouvoir rongeant la gemme. L’éclat de lune qui tombait des cieux s’arrêta net, et un rugissement de frustration se fit entendre jusqu’à faire trembler le sol un instant. Notre adversaire à l’intérieur avait été plus que frustré que sa tentative malveillante soit retenue, mais au moins le passage était lui pour lui passer nos salutations : Après avoir esquivé un dernier coup de poing destiné à le rétamé, Alaric avait pu tournoyer en frappant de bas en haut en plein dans la fissure qui striait le golem jusqu’à l’atteindre au cœur des l’artefact l’animant. L’onde de choc envoya ses parties en milles morceaux ici et là, le laissant reprendre son souffle en contemplant la porte d’où provenaient les émanations de pouvoir aux milieux des nombreux son de cloche émanant du domaine des Namazu.
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Il y eu quelques instants le temps que Aerlin et Salarios, s’offrant quelques sorts de soin peu après le cri de Salarios quand il fallut arraché la griffe de la créature enfoncé dans son bras, ne purent descendre du toit. J’avais rejoins rapidement Finaen et Alaric devant la grande porte que le golem avait fermé avant notre arrivée, tous se préparant à ce que celle ci nous oppose une forte résistance. Néanmoins, alors que nous étions enfin prêts, Aerlin se concentra sur l’éther de la roche autours des gonds pendant que Runne les firent surchauffés en éclatant tous les uns après les autres en envoyant des morceaux d’acier brisés un peu partout. Ils avaient dévastés ce qui retenaient les portes contre le mur, alors que Finaen poussait doucement la porte. Sans avoir le temps de dire que c’était ouvert, il se retourna vers les portes qui reçurent un grand coup d’éther neutre provoqué par Salarios qui frappa le fer dans un grand bruit qui résonna encore plus quand les portes chutèrent au sol. Elles étaient ouvertes, oui, mais les aventuriers ont toujours l’habitude de prendre les devant quand ils ne sont pas sûr que tout va se passer comme ils le veulent après tout ! Progressant d’un coup à l’intérieur, nous contemplions l’étendue d’un manoir qui n’était pas si immense que ça.

Des dorures un peu partout lui donnait un aspect merveilleux, cerclant magnifiquement bien des peintures et autres décorations domiennes lui donnant un air impérieux. La plus part étaient des vieilles décorations qu’une famille de la noblesse de Doma où il fut ajoutés d’innombrables vases de toutes couleurs et de toutes tailles. Aussi réalisais-je qu’il s’agissait peut-être des « lits » des Namazu ? Ce qui était peut-être encore plus triste que nous en observions plusieurs brisés au sol. A ses morceaux se mêlèrent le verre de quelques vitraux se brisant au dessus de nous dans un choc puissant, laissant choir une lumière lunaire dangereuse et risquant d’essayer de nous atteindre mentalement. Aussi tôt, Runne repoussa les amas de verre en valsant dans tout les sens pour ne pas que cela blesse quiconque. Utilisant les vents, il sursautant en voyant apparaître brusquement nos adversaires qui feraient tout pour nous bloqués : Sans chercher à laisser des combattants des Telophores, ils firent usage des protecteurs des Namazu. Des Shikigamis jaillissant dans des lumières d’or avec des fortes intonations mauves dénotant une sorte de contamination inquiétante créant des formes de diverses natures grossières et monstrueuses. Au moins il ne fallait pas trop s’attendre à être gêné par les lumières de lunes tombant du plafond, quand aussi tôt Finaen fit jaillir des amas de pierre en bloquant le plafond empêchant ainsi sa visibilité tandis que tout ce qui s’en extirpait fut brisé par une puissante onde de choc de Salarios faisant rayonné une force d’or dissipant les effluves lunaires nous tombant dessus. Propulsant les vents, Runne essaya de prime abord de dévasté les Shikigami, sans y parvenir.

Et quand l’un réussi à blessé Salarios, il était temps de rapidement contre-attaquer : Alaric fusa en frappant plusieurs fois de sa pistolame, Gladys cherchant le passage en tirant un peu le pan de tissu de Finaen concentré sur l’éther pour brisé les illusions distordant notre vision du manoir. Un choc repoussa notre camarade à la pistolame, le rétamant en arrière tandis que tout se qui approchaient furent prit dans les pointes de roches d’Aerlin envoyant les amas de pierre s’écraser contre tout ceux voulant nous assaillir. C’était un glorieux instant, et le Shikigami qui chercha à bondir sur Runne fut opposé à un grand coup de ma lame le fendant en deux avec une partie du mur derrière, fonçant en avant en tranchant tout ceux qui s’opposaient à nous dans une ruée rapide qui ne laissa dans notre sillage que des artefacts brisés. La route ouverte, nous avons tous suivi Finaen qui avec Gladys, repérait grâce à l’éther le bon passage nous menant au-delà des illusions afin de réussir à atteindre notre objectif en vitesse en faisant fit des pièges et des illusions. Traversant le terrain qui nous semblait s’étendre sans cesse comme si les couloirs ne voulaient pas nous laisser partir, nous nous sommes finalement échappés de là en arrivant dans la grande salle principale illuminés de nombreux bijoux et autres vases cerclés d’or où la lumière lunaire de cette colonne qui tombait depuis les cieux finissait par atteindre.

Au milieu du trône où devait être installé habituellement le chef des Namazu, Obito se retrouvait à la place attaché en redressant doucement la tête, nous souriant. Son éther lui échappait petit à petit et il avait perdu un œil lors de la torture de ce pauvre bougre malmené par les Telophores pour obtenir ce qu’ils étaient venu chercher dans les trésors du manoir des Yuzuka. C’est un domien avec un uniforme relativement impérial qui apparut en marchant doucement dans le son de ses bottes frappant délicatement le bois alors qu’il tenait entre ses mains un sabre que la lumière de lune avait descellé en brisant les liens. S’annonçant au nom de Kotsuko, un nostalgie de la prise de contrôle de l’Empire sur Doma et adorateur de « Dame Yotsuyu ». Tirant la lame, il s’agissait là d’une lame faites avec l’essence du Mornemaux, justifiant peut-être toute cette violence et ses drames qui avaient mit à mort des âmes innocentes. C’était une des premières fois qu’elle prenait une forme définie, et pas un ensemble chaotique incompréhensible jusqu’à nous demander ce qui avait bien pu créer une pareille épée.

Brisant le sol et le mur, une armure magitek en forme de colosse arriva proche de nous en même temps qu’une de ses maudites machines à trois roues tournoyantes à toute vitesse. Il nous fallait les retenir rapidement pendant que Finaen mettait Obito en sécurité : Salarios et Aerlin eux allaient s’occuper de la machine aux roues bien que cela faillit coûté la vie à notre ami invocateur. Créant une énergie incroyable qui frappa encore et encore une roue, reculant de plus en plus, celle ci fut frappée soudainement par des roches soulevés par Aerlin s’écrasant encore et encore contre les roues pour les brisés. En retour de la maltraitance qui brisait leurs adversaires, les roues en scies tournoyèrent à toute vitesse en créant un amas de flammes et d’étincelles qui repoussèrent Aerlin brusquement jusqu’à ce que la roue ne frappe brusquement Salarios. La Fée se sacrifia pour ne pas qu’il soit tué, dans une explosion d’énergie envoyant des lumières un peu partout alors que Salarios s’écrasa en arrière. Se redressant, quand les impulsions de soins jaillirent d’Aerlin, il compressa la gravité et fit explosé la machine dans un torrent de flammes et de morceaux d’aciers volant dans tout les sens. De l’autre côté, nous profitions des soins avec Runne bien que notre adversaire était terrible. Le miqo’te eut l’intelligence de visé son point fort pour en faire une faiblesse : son bras tenant l’épée illuminée. Chauffant puis congelant le bras, il fut alors facile de lui trancher net avant d’endommager grandement l’armure colosse dans des grands coups de lames alors qu’elle reculait, sans bras. De son poing restant, il envoya Runne valser dans un pot avant de faire la rencontre d’un Namazu dedans, tandis que je restais seule contre cet adversaire.

Un coup puissant faillit me fait tomber dans l’inconscience, mais avant de m’écraser sur la table, j’ai eue le temps de la trancher en trois morceaux elle et le mur en m’écroulant sur le côté, contre un bureau, en piteuse état. Mais que dire de ce que nous avions pensé de ce pauvre Alaric ? Contenant Kotsuko, pendant que Finaen soignait et libérait Obito dans un bruit de chaîne brisée après une lueur rouge. Alaric reçu un terrible coup de cette lame qui créa une distorsion puissante et ondulante. L’illusion ne fit pensé que Alaric venait d’être décapité, bien qu’il fut blessé sérieusement, cette impression fit tombé Runne et Finaen dans une rage monstrueux alors qu’ils se ruèrent droit vers Kotsuko pour se venger. La lame de Finaen infusé des flammes du phénix noir frappa sans cesse contre la lame du Mornemaux jusqu’à la détruire, ce qui ne semblait pas possible pour Kotsuko qui hurla quand, infusé par le Teclis utilisé par Alaric, Runne fit jaillit une telle colonne de flamme dans des lumières de magies bleutés avant de désintégré Kotsuko, le tapis, et une partie du plafond. Secouru, le Manoir en gardait les stigmates que nous allions entendre longtemps le temps des réparations. Mais au moins les Namazu avaient été protégés, et Obito sauvés. Tandis que nous nous effondrions épuisés aux petits soins des Namazu, l’on s’interrogeait encore sur où était parti la silhouette aux yeux rouges. Ce que je crains, en surveillant les environs, se verrait rapidement avec nos prochaines missions. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 17 déc. 2021, 13:56

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-sixième Entrée - « Acte 11 – Le disque aux deux facettes.»
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«Après la sécurisation du Manoir des Yuzuka, nous avons tout de même passé la nuit à nous reposer et à aider au petit matin pour les réparations. Il faut dire que les Namazu furent de très bon hôte, surtout quand ont bien pour les protégés, et ils nous offrirent tout le luxe et le confort que ce lieu pouvait permettre : Cela n’incluait hélas pas de grand lit confortable, mais au moins les tapis moelleux faisaient plus que l’affaire tandis que nous nous reposions de la dernière éreintante mission. Elles se sont enchaînés, depuis que nous avons quitté le pont, mais il faut dire hélas qu’il y avait beaucoup à faire. Et ça n’était en rien terminé, puisque malgré le temps consacré au repos et aux soins sous la surveillance d’Aerlin, il fallait déjà de partir en mission. Pas la peine d’être très inquiet pour le devenir du manoir : Nos compagnons restés sur place, comme Aerlin et Grob, ou encore Lucian, s’occuperaient eux même fort bien de cet endroit. Même si pour l’instant, ce qui convient le plus c’est surtout de faire quelques réparations pour tout ce qui à été dévasté, je me demandais si la maîtrise curieuse des métaux – de l’or je crois ? Que Finaen avait acquit pourrait lui permettre de réparé certains des artefacts ayant créer les shikigami protecteur du domaine. Obito avait encore besoin de temps et de soin, mais il nous avait bien parlé malheureusement de l’étrange influence du phare proche de là et de l’intervention des Telophores ayant coulé au moins un navire en particulier en provenance du quartier enclavé. Les Domiens étaient déjà dans une mauvaise situation, hors de question qu’ils subissent encore quelconques ennuis surtout que visiblement les subjugués de l’être aux yeux rouges cherchent quelque chose.

Était-ce encore lié à la légende de Tsukuyomi ou veulent t-il mettre la main sur des fragments du Mornemaux encore présent ? L’un ou l’autre, hors de question qu’ils s’établissent aussi proche du manoir et nous nous sommes mis en route avec une partie de notre équipe malgré les blessures. Au moins, avec Alaric qui allait tenir le choc malgré l’état de son épaule, Livio était venu avec sa pistolame pour tenir le front et encaisser à ses côtés tout les problèmes advenant. Nous avions comme toujours les pouvoirs de Finaen et Runne afin de faire usage de la magie, et pour ce qui est de frapper fort, ma lame se joindrait aux poings renforcés d’acier d’E’nijoh arrivé finalement au manoir à son tour. C’est lors d’une nuit inquiétante que nous nous sommes mit en route, elle tombait particulièrement vite de façons quelque peu irréelle, observant les ombres s’étendre même lentement en donnant clairement l’impression que quelque chose poussait l’obscurité à tombé avant l’heure. Le froid s’étendait doucement, et les lumières des lampes gagnèrent une tonalité bleutée dans un effet spectral. A nos pieds, une légère brume s’étendait de plus en plus en un souffle froid. Cela aurait du nous réveillé, mais l’effet était de plus en plus contraire. Je perçu même E’nijoh se donner une bonne claque alors que Gladys voulu l’imiter en lui donnant tout un tas de petit coup pour le tenir éveillé. Mais ce fut Runne qui canalisa les vents en créant un souffle de plus en plus fort tournoyant autours de nous pour nous tenir conscient face à ce sommeil irréel, jusqu’à voir la silhouette d’une femme.

S’approchant doucement E’nijoh observait dans cette allure fantomatique la dame jusqu’à ce qu’elle se retourne en lui attrapant l’avant-bras, suppliant E’nijoh de lui venir en aide, avant de disparaître d’un coup. Il lui laissa sur son bras une marque des plus glaciales témoignant de sa présence. Faisant tout pour rester conscient, Finaen nous guidant en suivant le fil spirituel laissé par ce fantôme qui tentait de fuir rapidement le port, c’est en traversant une nouvelle fois une de ses forêts de bambou en ayant l’impression de progresser au milieu de boules de feu tournoyante éphémère comme des esprits follets qui poussaient les Namazu à se cachés dans des pots. Livio repoussant les derniers bambous nous conduisant à la route du port, il aurait pu être tranquille et paisible, mais notre mission n’aurait dans ce cas pas été aussi périlleuse. A la place, la vision simplement incroyable d’un disque d’éther tournoyait doucement en avant. Ayant deux facette : L’une plus obscure et l’autre brillante comme une pleine lune, incarnant son cycle. L’influence primordiale était des plus présentes, et ceux qui la manipulaient feraient en sorte que cela nous arrête dans notre déplacement : Doucement, le disque s’orienta vers nous. Quand sa lumière chut, à l’image des ouvertures dans les vitraux du manoir qui essayaient de nous plonger dans des illusions. Cela nous donna l’impression que le sol était en train de se briser d’un coup comme des éclats de verre laissant choir en dessous une étendue infinie. Difficile à dire ce que nous risquions, entre illusion ou non, mais vu comme Alaric faillit choir dans le vide alors qu’E’nijoh lui attrapa le bras, c’était une mauvaise idée de nous laisser tomber dedans. Et nous voilà ainsi en train de courir sur une route qui se brisait à mesure où nous l’empruntions, laissant des fracas de verre nous conduisant à quelques obstacles pour nous bloqués.

Dans une grande ruée, Livio brisa la pierre qui empêchait Finaen et Runne de passé, permettant à Runne de se concentré sur les vents pour aider aux déplacements de nos compagnons en faisant bondir E’nijoh et Alaric plus aisément au dessus d’une grande barrière de pierre jusqu’à poursuivre la route, Alaric nous criant de ne pas rester trop proche les uns des autres comme pour les lacs gelés d’Ilsabard. Mais parmi les plus efficaces, ce fut la pierre soulevée par Finaen dans un amas de roche s’agglutinant encore et encore jusqu’à se mettre au dessus des rayonnement du disque du port. Arrêtant net la lumière, les fissures disparurent de plus en plus en rendant à la réalité son sens tandis que nous arrivions aux bordures du port proche du phare. Passer était malheureusement impossible, des barrières de cristaux générés par des lumières quittant le disque comme les effets d’une entropie inattendue, bloquait l’accès. Mais ça n’était pas pour nous arrêter nous par nature. C’était fait pour coincé les créatures attirés sans cesse droit vers ce lieu : Ils agglutinaient autours du port des Koja, des sortes d’entités monstrueuses sévissant dans cette contrée avec un aspect pouvant faire tomber dans la folie nette : Des têtes humains immenses, grossières aux lobes d’oreilles immenses avec des yeux bridés rouges et des crocs. Ils jaillirent de tout les côtés, trop nombreux pour s’en occuper sur la durée, ne nous laissant qu’une chose à faire : Tenir pendant que Finaen et Runne ouvraient grand le passage dans les amas de barrière comme si ils brisaient la glace pour nous ouvrir le passage.

Tissant un lien entre lui et Livio, Alaric fit en sorte que les deux protecteurs tiennent ensemble ou tombent ensemble grâce à un des sorts de leurs cartouches permettant au coup que Livio reçu d’un choc au torse bien plus mitigé. Et ainsi, Alaric qui repoussaient les créatures face à lui, pu permettre à E’nijoh de choir au milieu des Koja en envoyant des grands coups de pieds en plein dans leurs faces quitte à en propulsé plus loin dans une onde éthéré. J’avais pu en trancher plusieurs, mais un rayonnement d’énergie rouge me frappa soudainement en me laissant rouler au sol jusqu’à ce que Livio me tire dessus une de ses cartouches Aurore pour apaisé la douleur. Se redressant ensemble, il fallait rapidement partir droit vers la faille qui était en train de se recouvrir, les explosions répétés de Runne avaient permit aux projections de pierre de Finaen d’ouvrir grand le passage. Il était temps de rentrer en vitesse sous ce disque si étrange qui donnaient un aspect fabuleux à cet endroit, pour y combattre la malveillance des envoyés de l’être aux yeux rouges avant qu’ils n’arrachent de ce disque le pouvoir qu’ils convoitent.
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Dans une lueur aérienne, Runne attira d’un coup Alaric et E’nijoh qui étaient restés un peu trop vaillant en arrière ! Ou bien ils n’avaient pas vu que le passage se refermait, prêts à en découdre avec la masse de Koja s’agglutinant hideusement autours d’eux avec le fort désirs de les taillés en pièce. Pour ma part, je m’étais ruée vers l’accès dès que possible avec Livio une fois que les soins firent effet, bien que tout autant envieuse d’en découdre, nous avions des cibles plus important et s’épuiser contre ses créatures était certainement ce qu’ils désiraient pour nous cueillir aisément dès qu’ils le pourraient. Les effets du disques n’étaient pas aussi maîtrisé que la vague d’illusions qui fractura le sol lors de notre voyage vers les quais. En lieu et place, l’éther formant les barrières donnait l’effet d’un dôme incroyable où tournoyaient lentement de la fumée surprenante qui laissa pendant un bref instant Finaen sous la stupeur de ce genre de peinture vivante : La nuit donnait l’impression de se déplacer tranquillement, comme si la voûte céleste avait prit une conscience et dansait avec douceur en mettant en valeur la lune et les étoiles. La brume était devenue une fumée blanche ondulante doucement au sol comme si il était gelé, j’avais rarement vu une nuit être aussi splendide sous son influence mais rien de bon n’essayait d’acquérir les valeurs de la nuit et du disque aux deux facettes tournoyantes lentement au dessus de nous désormais. Ce qui avait fait venir les Koja n’était pas le disque ou quelconques influences, ils furent attirés par une sorte de machinerie magitek produisant des ondulations au sol créant des grandes vibrations dans les environs les attirant ici.

Au vue de la sorte de canon dessus, il était certain que cela servait à autre chose et il fallait le découvrir rapidement pendant que Finaen allait s’occuper du navire qui s’était écrasé sur les quais. Des domiens inconscients gisaient dessus, l’équipage n’était pas mort mais dans un piteuse état comme si ils n’étaient absolument pas important pour ceux qui ont ravagés l’embarcation. Ce qui était cela dit inquiétant, c’était cette énergie s’extirpant du navire laissant doucement s’élever une lueur sinistre droit vers le disque qui ressemblait vaguement aux forces primordiales, mais un peu plus inquiétante. Plus infâme. Aussi notre camarade se rua rapidement vers le navire tandis que Runne et Livio lui ouvrit la voie en assaillant ceux qui se tenaient sur son chemin : Directement, Runne congela les mains des quelques ombres domiennes subjugués qui produisaient diverses marques au sol sous la surveillance d’une Elezène en tenue de Kunoichi. Avant que la glace ne la condamne aussi pendant que ses compagnons tournaient en rond, les mains bloquées. Elle disparue dans une lueur de brume noire puissante et jaillit derrière Runne en se mettant à frapper d’une lame courte, ce que le miqo’te esquiva à toute vitesse avant d’être tranché net. Bien qu’il venait de s’éviter le désagrément d’être coupé en deux, il ne pu empêcher la griffe enflammée de lui foncer dessus. Heureusement, au lieu d’êtrre défiguré, il vola plus loin en foudroyant la Kunoichi qui fut paralysée par les éclairs pour être dé-subjuguée plus tard. Kanpeki, le chat qui m’accompagne, avait fait usage en bondissant du diagramme que Salarios lui avait mit dessus pour l’épargner d’un coup puissant alors qu’il se contenta de volé au sol plus loin sonné. Et du côté de Livio, son adversaire était l’immondice d’un amas de Koja de différentes tailles qui étaient entremêlés en une créature écœurante.

Essayant de charger le Pistosabreur, il ne pu pas faire grand-chose d’autre que recevoir le choc de cristaux quand la pistolame frappa proche du Koja dans un déchaînement d’énergie qui repoussa l’hideuse créature en arrière dans un choc de pouvoir puissant en la renvoyant dans l’eau, des stigmates défigurant cette chose la laissa dans une agonie affreuse qu’elle devait sûrement déjà en partie ressentir quand elle fut hideusement mutée par les Telophores. Progressant hors de l’eau, les rayonnement rouge s’extirpant des multiples yeux de l’entité en frappant contre les boucliers cristallins de Livio repoussant l’ensemble. Mais il du se mettre en danger quand il perçu Finaen soufflé loin hors du navire par une explosion. En purifiant un artefact après avoir mit les habitants en sécurité, les soignant rapidement et les mettant en sécurité. Il constata qu’un fragment du Mornemaux se trouvait à l’intérieur de l’artefact, le distordant terriblement. La purification laissa en place une tentative de sceau pour écarté le Mornemaux, distordant tout les effets du sort qui ne le supporta en rien, et en voyant une civile réveillée depuis les soins Finaen se rua vers elle pour la mettre en sécurité à ses dépends avant de valser loin en dehors du navire avant de s’écraser proche de Livio. L’entité se déplaça droit vers Finaen pour le taillé en pièce, mais il fut opposé au pistosabreur qui subie une partie du rayonnement de plein fouet brisant son bouclier en le blessant légèrement. Marchant difficilement vers le Koja immonde aux multiples facette, à l’intérieur de ce rayonnement rouge, il fini par le pourfendre d’un grand coup de pistolame dans les cristaux jaillirent en le fendant brusquement en deux avant de laisser sa carcasse choir au sol.

C’était fait de ce côté, et vis à vis de la machine, nous avions eu aussi fort à faire contre ceux autours. Alaric s’installa juste devant les flots où jaillirent les entités qui avaient brisés le navire contre le quai : Des sortes de crustacés, ou du moins des imitations magitek frappant de leurs pinces en avant dans des bruits de machines sifflantes. Elles se ruaient vers Alaric en essayant de l’attraper, frappant de leurs pinces sans cesse dans sa direction en des intenses lumières jusqu’à ce qu’il ne les éloignes dans des grands coups de pistolame en arc de cercle provoquant des petites explosions d’énergies les repoussant en arrière. Après un instant à essayer de sortir de l’eau en provoquant le chaos dans leurs sillages, il fini par les gelés partiellement avec une cartouche de glace avant de bondir pour transpercer le premier des crustacés d’acier. Soulevant sa pistolame droit vers l’autre, le tir fut trop long à partir à cause de la douleur à son épaule. Dévastant cette dernière en l’air, c’est en partie qu’elle s’écrasa contre Alaric en le coinçant entre les plaques d’acier, le laissant un peu sonné tandis que Gladys cherchait à dépouillé l’acier. Après son inspection de la machinerie magitek, en découvrant les secrets et ses capacités de ponction de l’éther. E’nijoh fusa pour arrêté la lame qui fonçait droit vers mon visage entre les deux poing d’acier de ses gantelets laissant un échos lorsque le choc puissant fut visible.

La viera aux aspects lunaires était encerclée par des Omnyomanciens que j’avais blessé, mais son expertise couplé aux pouvoirs possédés par ce qui lui donnait une impression divine, était trop dangereuses pour mon état physique. Sauvée par le Miqo’te, il repoussa la lame avant de tabassé les Omnyomancien avec des grands coup de poing peu de temps avant que le sabre blanc et noir de la viera ne transperce l’épaule du Miqo’te en l’envoyant valser plus loin. J’essayais de le rattrapé, après avoir blessé la viera plusieurs fois notamment au visage. Le temps de nous rétamé dans un une caisse remplie de riz et de légume locaux, nous redressant doucement, elle avait déjà disparue en nous promettant sûrement une fin lugubre. Le disque prit un aspect des plus chaotiques, alors que l’influence de la Viera devait certainement la stabilisée en laissant lentement choir le disque vers le sommet du phare. L’aspect du spectre que nous avions observés plus tôt se fit sentir, nous réclamant de venir le plus vite possible tandis que tous se redressaient lentement en contemplant cette vision incroyable. Mais E’nijoh lui se rua vers la machine magitek. Prêt à nous ouvrir le passage.
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Dans l’état, il était quelque peu difficile d’atteindre le sommet du phare, pulsant des énergies chaotiques du disque aux deux facettes qui était de plus en plus embrouillés, nous avons du prendre un instant auprès de nos compagnons pour nous relevés de cette épreuve en guérissant ceux qui avaient besoin de soin me laissant notamment rapidement offrir une potion de soin tout en installant un bandage sur l’épaule d’E’nijoh. Il me surprenait de se relevé aussi rapidement en fonçant vers la machine, aussi n’était-ce plus depuis longtemps ce jeune aventurier découvrant le monde rencontré avec Ika il y à longtemps. Atteignant le poste de commande magitek, pendant que les autres se retrouvaient peu après qu’Alaric agacé par l’acier le retenant l’envoya valser d’un grand coup de pied en faisant tournoyer en l’air Gladys dans un petit cri de surprise. Les soins furent de rigueur mais pour Finaen et Runne, le plus important était surtout de créer un passage défendu des miasmes du disque. Les pierres s’accumulaient de plus en plus, créant un tunnel droit vers l’entrée du phare en s’agglutinant à toute vitesse jusqu’à former un passage où plusieurs explosions apparaissait quand des lumières partageant la lumière lunaire et l’obscurité en s’écrasant lourdement dessus.

Mais ce qui nous offrit un passage vers le phare, fut le tir de la machinerie magitek émettant un rayonnement des plus puissants en cognant contre le disque des deux facettes produisant un effet de lumière incroyable après que la terre ait grondé. L’effet d’attirance se dissipa, laissant les Koja repartir au loin tandis que nous observions les lumières émettre d’innombrables couleurs en apaisant le disque dans un choc puissant. Arrivant jusqu’à l’entrée du phare, progressant rapidement vers les escaliers, nous avons commencer à courir en passant des portes défoncés avant de constaté que l’effet du disque était en train de distordre complètement le phare. Parfois, les murs s’ouvraient en laissant des pierres ondulés dans tout les sens autant que le faisaient les marches flottant dans les airs qui régulièrement s’éloignaient un peu trop pour être utilisable. Avant de nous faire choir dans le vide, ce qui parvint presque pour Runne et Alaric, Finaen créa des liens puissants de pierre s’agglutinant en formant du ciment pour relié les passages et nous empêcher de choir dans le vide. Dans un sifflement puissant, Runne fit tout pour écarté les drones qui arrivaient rapidement pour nous intercepter alors que nous étions en pleine course avec les Telophores vers le même objectif : Le haut du phare. Plusieurs s’écrasèrent, mais le plus puissant avec un magicien installé dessus n’allait pas être aussi aisé à mettre à bas.

Après avoir provoqué un sort d’extra-feu entre Livio et Finaen, interrompant le pistosabreur qui repoussait les subjugués et les effets d’énergies en soulevant son bouclier dans une puissance énergie. C’est Alaric qui apparut en bondissant sur le drone et le magicien en brisant le drone d’un grand coup de pistolame, rebondissant dessus en tournoyant avant d’atteindre les marches. Nous ouvrions la voie avec E’nijoh, le miqo’te attrapant un Telophore pour le balancer sur l’autre dans un choc puissant envoyant les deux valser au loin dans un terrible impact. Mon sabre trouva ceux qui restaient encore présent, tranchant à toute vitesse quiconque apparaissaient en tournoyant à toute vitesse pour coupé les subjugués mutés dont les allures étaient infâmes, mais leurs casques clos aux lumières rouges laissaient pensés qu’ils étaient parmi les pions les plus appréciables pour nos ennemis. Arrivant tant bien que mal vers les hauteurs du phare, contemplant l’horizon, il y avait un aspect magnifique de se retrouver au dessus du disque des deux facettes tournoyantes doucement dans une danse qui s’affaiblissait petit à petit.

Le haut du phare se retrouvaient au dessus du disque tournoyant doucement, masquant la vue d’une partie du sol en ayant une impression de beauté fabuleuse alors que tout le monde respirait et reprenaient leurs souffles. Contemplant les environs, une lueur spectrale apparaissait doucement proche de là en formant la silhouette d’une personne souriante. Le spectre de Stella Langston jaillit, toujours liée aux légendes de l’Arbre Blanc et du Tree Barar, Pour empêcher ce dernier d’atteindre une sorte de gemme, sœur de celle que Finaen avait protégé au dessus du manoir des Namazu, celle ci n’était pas faites d’or mais d’une noirceur surprenante comme si il s’agissait de son autre facette. Le pouvoir de Tsukuyomi y était lié, et si ils désiraient d’y diffusé le Mornemaux, c’était encore pour une raison qui nous échappait mais ce pouvoir avait créer une variante monstrueuse qui jaillit derrière Stella. C’était la vieille femme aux griffes, qui n’avait plus de retenue et désirait juste nous dévasté tandis que ceux convoitant la gemme enfin apparue jaillirent de tout les côtés. Une horreur de végétation formée de pierre autours d’un crâne de cerf apparue sur un côté du disque en hurlant tandis qu’un Hyurgoth subjugué, affreusement muté sous l’armure de fer se laissa choir avec son marteau magitek qui s’écrasa proche d’E’nijoh et Finaen dans un choc puissant.

Pendant que nous les avons retenu, Finaen fonça droite vers la gemme pour la récupéré et en prendre le contrôle. Stella lui sourit en lui laissant, disparaissant doucement à son tour alors que Runne venait de coupé le lien de la vieille femme affreuse dans une lueur de purification puissante pour l’éloigné de là. Quittant le lien qu’elle avait avec le spectre, Runne du esquivé rapidement les coups de griffes fusant sans cesse pour essayer de tailler le miqo’te en pièce en tournoyant rapidement pour ne pas être coupé en morceaux. Un coup de griffe fini par l’atteindre en plein torse au moment où il frappa sans cesse dans une lueur enflammée, dévastant l’incarnation malsaine au prix de la douleur d’un coup de griffe en se dissipant brusquement, laissant à Finaen qui contrôlait le pouvoir de la gemme le soin de s’en servir avant que tout ne s’efface en dissipant le disque aux deux facettes. L’énergie mêlée d’obscurité et de brillance lunaire tournoyait autours de tout nos adversaires, les coinçant brusquement en se serrant autours d’eux pour essayer de les retenir afin de les abattre. C’était une bonne chose de notre côté, après avoir tranché une partie de notre ennemie je fus écrasée en arrière contre les tuiles en restant étalée dessus en piteuse état alors que Livio prit le relais. L’étendue de cristal de sa pistolame jaillit en frappant plusieurs fois, laissant une grande blessure sur le crâne de cerf jusqu’à ce qu’il parvienne à tournoyer pour frapper de nouveau la faille, se prenant en retour un grand coup de griffe le balayant brusquement en arrière. En retour, me redressant difficilement tandis que Livio tenait la griffe pour ne pas être fendu en deux, malgré un coup sur le flanc, je pu trancher de mon sabre là où il était blessé détruisant définitivement la créature qui explosa en envoyant ses morceaux un peu partout, nous laissant tout les deux effondrés sur cette partie du toit du phare.

De l’autre côté, le Hyurgoth encaissait bien les premiers chocs. Le pied d’E’nijoh brisa son casque en laissant voir son visage tandis que la pistolame d’Alaric en profitait pour le frapper plusieurs fois en laissant des nombreuses failles dans son équipement. Envoyant un bon coup de marteau dans Alaric, valsant plus loin en tombant du phare jusqu’à ce que Gladys ne le rattrape en l’air avant qu’il ne chute. Notre ennemi avait attraper la jambe d’E’nijoh en se mettant à le frapper de droite à gauche un instant jusqu’à le laisser blessé contre les tuiles. Revenant à la charge, Alaric le désarma d’un grand coup de pistolame essayant de faire fondre son armure dans un choc enflammé jusqu’à ce qu’un poing ne le repousse de nouveau. Une tornade humaine réagit aussi tôt dans sa fâcheuse posture, une fois désarmée, se mettant à frapper sans cesse quand E’nijoh se déchaîna contre notre adversaire en le frappant sans cesse. Les coups tombèrent dans des rayonnement incroyable, il y eu même un instant où les poing d’E’nijoh frappèrent le Hyurgoth en même temps qu’il frappa le miqo’te, mais le pouvoir des poings d’E’nijoh était bien différent jusqu’à ce que le choc ne fasse ployer son adversaire, valsant en l’air en disparaissant du phare dans l’explosion du drone qui tenta d’arrêter sa chute avant de le laisser disparaître, mort au loin. Nous étions écroulés sur le toit du Phare, regardant les cieux épuisés, conscient que nous aurions au moins un peu de repos avant notre prochaine objectif : Le compas de l’Hirondelle, là où devait se trouver l’être aux yeux rouges, désireux de mettre son plan à exécution. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 20 déc. 2021, 16:27

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-septième Entrée - « Acte 12 – Les yeux rouges de l’Hirondelle.»
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« Quelques jours furent nécessaires pour être en état de reprendre les missions. Bien entendu, quand j’entends quelques, c’est essentiellement deux. Comme Finaen à tendance à le dire « Nécessité fait loi » et au vu de mon penchant pour l’excès j’ai une forte tendance à accepter et faire exactement ce genre de chose. Pour une fois néanmoins, j’ai pu prendre le temps d’aller mieux physiquement au vue des dernières dérouillées reçue par nos chers adversaires. C’est donc après un peu de tranquillité aux petits soins des Namazu que nous nous sommes tenu prêts à répondre à l’appel de l’être aux yeux rouges : Quoi qu’il était en train de préparer au Compas de l’Hirondelle, on pouvait voir au loin que cela prenait de l’ampleur petit à petit et rien n’en résulterait de bon. Ainsi, les jours passés ne furent que surveillances et préparation jusqu’à ce que nous soyons réuni afin de discuter de notre situation tout en nous préparant à partir nous débarrassé de la menace dans les environs du bassin rutilant. Car bien plus dangereux nous attendait : Le Tree Barar avait visiblement frappé aux cercles des intrépides, difficile de savoir ce qu’il escomptait bien y trouver, mais il avait visiblement acquis quelque chose qui le fit partir d’un coup peu après son assaut. Le temps était compté, et il fallait protéger les locaux se trouvant au nord de la contrée d’Yanxia proche des ruines de Monzen. La problématique était de savoir si nous allions transporter les gemmes jumelles du pouvoir de Tsukuyomi ou non : D’un côté, le garder ici les mettrait en sécurité en cas de soucis, d’un autre côté nous pourrions en avoir besoin en cas de problèmes. Le choix fut de laisser une gemme à Finaen, et l’autre à Runne, ayant au moins les deux facettes de notre côté tandis que nous nous préparions à partir. Salarios resta en ville pour protéger les environs au cas où les Telophores attaquent dans notre dos, laissant une petite équipe prompt à tout surmonter alors que nous quittions les lieux.

Lucian Runne et Finaen aurait un sacré avantage magique pour assaillir l’ennemi et réglé les soucis de cette nature, laissant Aerlin veillez sur nos soins et nous offrir le pouvoir des éléments. Avec moi au contact, nous étions une petite équipe mais toujours aussi efficace et c’est sous la pluie et les cloches des Namazu que nous sommes parti. Ils firent une sorte d’ovation festive qui n’avait pas simplement pour but de nous remercier de les garder en sécurité mais bien de bénir la pluie légère qui tombait. Si habituellement, l’eau qui tombe des cieux peut-être désagréable et gênante – Lucian cela dit n’en voulu rien ! Une barrière empêchant ses tenues de coller à cause des flots. Mais au moins malgré tout, l’impression de la pluie était de nous offrir fraîcheur, repos de l’esprit et du corps en effaçant ce qui pouvait nous tirailler et forcer notre psyché à se sentir affecté  par l’environnement. C’était plaisant de leur part, et la route en fut alors des plus confortable en croisant quelques Namazu qui reprenaient leurs vies habituelle, Obito nous ayant offert ses salutations tout en progressant sur la grand route menant vers le Compas de l’Hirondelle. En voyant un marchand de Choux rose, Aerlin fit bien attention à ce que ce chariot là ne s’effondre pas, comme si il voyait dedans une sorte de présage aux problèmes. Et ils allaient arrivés rapidement, en arrivant dans un passage rocheux avec deux levés de pierre sur les côtés, nous pouvions voir la grande statue où des éclairs rouges malsains frappaient un peu partout en donnant l’impression qu’il y avait des chocs inquiétant.

D’un coup, une influence jaillit en détournant le pouvoir de Tsukuyomi tout en donnant d’un coup l’impression qu’une nuit illusoire cherchait à prendre place jusqu’à créer une vague de pouvoir dans notre dos. De leurs analyses, Finaen était conscient qu’ils essayaient de récupéré quelque chose avec la statue tandis que Lucian fut informé rapidement que ce pouvoir étendu était l’œuvre d’une entité qui cherchait à nous bloqué l’accès. Fonçant en avant, quand la vague de lumière novice nous fonça rapidement dessus, Aerlin frappa plusieurs fois de son bâton au sol en créant une haute barrière de roche qui fut d’un coup, quand elle était sur le point de cédée, renforcée par la glace de Lucian en laissant des grands bruits de chocs cristallins quand la glace cédait doucement. Nous avions donc le temps, avant que la vague ne brise les protections, et nous voilà en pleine ruée tout en essayant d’écarter de notre route les grandes pierres massives qui s’étendaient de plus en plus.

Dès que le terrain se mit à se déplacer de façons chaotique, Finaen réagit aussi tôt en créant une vague de purification d’un blanc nacré, des fleurs de Lys apparaissant ici et là en prenant l’influence d’éther corrompue pour la bloqué net. Permettant à tous de progresser à la valeur des vents prodigués par Runne qui regardait bien au sol, cherchant à ne pas choir dans le vide qui apparaissait parfois entre les pierres, me laissant trancher les obstacles qui bougeaient encore dans des grands coup de sabre. Cette étendue modifiée était dans la zone d’un sort grandiose que notre adversaire, sortant de là, il nous suffisait plus qu’à foncer vers les marches du Compas de l’Hirondelle où les problèmes étaient en cours. Jaillissant à droite à gauche, des créatures subjugués nés de l’influence de Tsukuyomi avait visiblement fait revenir plusieurs anciens serviteurs de la divinité lapin, uniquement fait de lumières de lune et d’armures agrémentés de quelques amas de mauve inquiétant. La problématique était la brume sinistre qui bloquait le passage, personne ne voulait savoir ce qui se produirait si on chutait dans une sorte de fumée reflétant une nuit étoilée qui dégorgeait sûrement énormément d’énergie corrompue. Créant des vents puissants, Runne fit en sorte de repoussé les miasmes le plus possible dans un rayonnement puissant afin d’écarter les maux, ce qui fut bien plus efficace encore quand à ce flux aérien qui repoussait la brume s’ajouta d’un coup le rayonnement clair et bienfaisant de la purification de Finaen.

D’un coup, la brume plus claire laissa apercevoir un passage, ce qui ne plu pas réellement au responsable de cette protection laissant apparaître comme un astre lunaire miniature. Ce n’était qu’une forme pour un projectile éthéré, mais ça ne serait pas des plus plaisant si Finaen se le prenait en pleine figure, c’est pour ça que Lucian qui avait balayé toute l’avant-garde ennemie de plusieurs projectiles de cristaux vint bondir droit devant Finaen en créant une barrière. La déflagration les fit valsés plus loin, sonnés au sol, avant qu’ils ne soient encerclés. Aussi tôt, les entités durent reculés face aux amas de pierres soulevés par Aerlin, créant des chocs rocheux puissants en repoussant tout ceux qui s’agglutinaient autours de nous. Le responsable de l’épée qui avait taillé une blessure aux côtes d’Aerlin subit le courroux de la mienne, mon sabre tranchant en morceaux ceux qui restaient entier en fonçant vers la trouée que nos mages avaient créer, pendant que tous se relevaient, découpant en morceaux les créations maudites tout en nous permettant de passé à travers ce curieux tunnel à travers la brume. J’ignore ce qui pouvait nous attendre derrière, mais sous le regard devenu rouge de la statue du compas de l’Hirondelle, il était évident qu’il fallait rapidement s’en charger.
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Le passage eu un aspect incroyable, c’est comme si nous passions plusieurs jours en un instant dans une impression de jour-nuit sans cesse. Heureusement, ce n’était qu’une vision de l’esprit, rien de réel puisqu’il ne s’était écoulé que quelques brèves secondes le temps de travers la brume simulant la nuit, et le décors à la fin de ce passage fut d’une beauté incroyable. Ce ne fut l’instant que de quelques secondes – Nous ne pouvions pas hélas nous perdre bien longtemps dans la contemplation d’un espace magnifique quand il y avait autant de menaces mortelles autours de nous. Mais au loin le temps que nous avions pour jeter quelques regards, il fut emprunt d’une grande beauté. La nuit tournoyante autours de nous donnait l’impression qu’elle prenait la place du décors et étendait la perception d’un ciel étoilé partout autours de nous. S’en dégageant de cette brume, l’allure de la statue immense dont les quelques éclairs continuaient d’apparaître régulièrement signe que l’ennemi continuaient à essayer de s’en servir. Mais ils n’avaient pas les éléments que nous apportions : Une grande spire magitek tournoyante, aux allures de vieil artefact Allagois, s’extirpait du sol et atteignait comme deux encoche servant normalement à y greffé les deux gemme en notre possession. Ils avaient saccagés l’ancienne statue censées les tenir, abandonnant au sol en quelques morceaux de pierres fragmentés par terre. Ce qui signifiait que l’on pouvait au moins interrompre leurs influences et leurs tentatives de remplacer les gemmes par des cristaux d’éther corrompu pour arrêter leurs méfaits. Mais pour cela, il fallait déjà bien entendu pouvoir parvenir à atteindre nos ennemis, et Runne ainsi qu’Aerlin s’occupèrent des entités autours de l’équipe pour qu’ils ne soient pas atteins par ses maudites machineries qui rôdaient autours.

Deux grandes avant-gardes magitek mais dont leurs bras en pointes habituellement avec des foreuses, avaient été remplacés par des longues lames orientales infusés pour l’un de blanc et l’autre de noire. Ils profitaient clairement des pouvoirs volés aux sources de Tsukuyomi, même pour leurs instruments de morts, et Aerlin décida qu’ils allaient se casser la figure au sol : Des fracassements rocheux jaillirent, sans cesse comme si le monde se mettait à trembler, faisant choir les deux machineries lourdement au sol proche de l’élémentaliste. Esquivant les quelques coups de sabres, il fit quelque chose d’aussi surprenant que violent pour un être d’une pareille douceur : Une main de pierre s’éleva, attrapant le bras-lame d’une des machineries pour commencer à trancher son camarade en morceaux avec son propre bras. C’était violent, mais des plus efficaces, et il du se baissé quand passa au dessus de lui un des gardiens : L’artefact animant l’esprit serpentin lui donnait une impression de dragon stellaire fait d’étoiles. Disparaissant et apparaissant régulièrement dans le décors, alors qu’il était bombardé sans cesse par Runne essayant de détruire son incarnation en laissant des puissantes déflagrations jaillir encore et encore. Jusqu’à créer une ouverture laissant voir un artefact, il se concentra sur la faille pour essayer de tout dévasté et ainsi mettre la main sur ce qui venait d’apparaître.

Mais l’entité n’allait pas se laisser faire si aisément, et elle fonça sur Runne en le dévorant d’un coup. Le laissant tournoyer au milieu des étoiles en étant balancé à droite et à gauche fortement dans une immense confusion, il fini par réussir à attraper l’artefact rapidement tout en l’extirpant de la structure serpentine étoilée qui se dissipa d’un coup dans un dernier rugissement. Laissant notre mi’qote choir au sol en tournoyant plusieurs fois à côté d’Aerlin, encore un peu confus par sa chute. Les extérieurs sécurisés, cela laissait le temps à Finaen d’atteindre rapidement la statue brisée. Les entités qui en jaillissaient étaient semblables à celles qui avaient tentés de nous arrêtés, mais cette fois pure et simplement confuse. C’était malheureux, mais elles ne pouvaient pas nous arrêté et Lucian s’assura que Finaen eu le temps d’agir en créant des chaînes sinistres sortant d’une grande zone d’obscurités afin de les coincés et de les ponctionnés. Plusieurs tirs jaillirent de là où j’affrontais les Telophores juste devant la spire. Le premier choc qui m’aurait fait bien du mal fut largement atténué par une protection soudaine de Lucian, mais en retour, il tira droit vers Lucian en le blessant à l’épaule pendant que je restais contre les escaliers, heureusement encore en bonne état malgré tout. Voyant les entités qui se détachaient de leurs chaînes, il fallait rapidement les condamnés de nouveau et les faire disparaître avant qu’elles ne retiennent l’artefact que Finaen venait finalement de reconstruire dans des puissantes lueurs d’éther quand celles ci finirent par ne former de nouveau qu’un.

Bondissant au milieu du cercle d’obscurité, Lucian attrapa sa faux et fit un grand mouvement rotatif en tranchant les jambes des créations entropiques jusqu’à ce que le reste de l’obscurité ne les absorbes, les consumant définitivement. Ainsi, dès que la statue lapin fut en place, Finaen fonça en faisant fit des ingénieurs pour atteindre la spire. Je n’ai pas eue le temps d’empêcher le coup de hache qui blessa mon camarade, mais le second ne tomba jamais. De toute façons, on ne peut pas vraiment manier d’armes une fois les deux bras tranchés, laissant le Telophore reculer l’instant suffisant pour que ça soit le tour de sa tête d’être soigneusement décapitée. Laissant Finaen agir, lui gagnant du temps en taillant en pièce les autres Telophores subjugués, il parvint alors à manié la machinerie en trouvant le tableau de contrôle jusqu’à ce que les pinces se détachent soudainement pour abandonner le socle. Au loin, la silhouette visible aux yeux rouges dans son armure sinistre, était installé sur une machine de guerre impériale flottante en l’air. Tendant le bras, il fit choir le effets de la magie volée des énergies de Tsukuyomi. Les chutes des étoiles frappèrent comme des comètes un peu partout dans des grandes déflagrations, explosant un peu partout dans des fragmentations de pierres brillantes se dissipant doucement après l’impact. Nous cherchions tous à nous défendre, créant des barrières et soulevant des sorts explosant dans les cieux, me laissant bondir sur plusieurs roches en tranchant ce que je pouvais dans les airs, avant de me prendre un éclair rouge en plein dans le buste m’envoyant valser au sol plus loin.

Pour l’arrêter, Aerlin fit tremblé la terre même jusqu’à l’être aux yeux rouges pour le déstabilisé, le laissant disparaître dans la brume vers la grande porte du compas de l’hirondelle, permettant malgré tout à Finaen et Lucian de déposer la statue reformée sous les encoches flottantes dans les airs, afin de laisser la bonne diffusion apaisé les lieux. Dès que ce fut fait, Finaen et Runne disposèrent les deux gemmes : L’équilibre des deux facettes naquit, provoquant une sorte de rayonnement qui chassa la brume et brisa les effets malsains risquant de nous abattre. L’escalier se dévoila sous nos yeux, le passage était désormais ouvert mais il ne serait pas aussi aisé d’atteindre notre objectif : Tirant sur l’énergie des deux gemmes, en déviant une partie, l’être aux yeux rouges vola de cette force pour la diffusé dans la Viera qui lui servait de catalyseur pour espérer en faire une Luna-Tsukuyomi. Son cri fut perçant, inquiétant Finaen qui ne voulait surtout pas voir apparaître une de ses entités tels des fausses divinités. Malgré la douleur, après l’écho de quelques sorts de soins et l’usage de plusieurs potions. Nous observions le passage où tombait un rayon de lune menaçant, où s’agglutinait leurs forces. Et où se jouerait notre dernier combat contre l’être aux yeux rouges, avant le Tree Barar.
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Le temps des soins ne fut pas bien long, c’est que depuis le cri de la Viera, Finaen était particulièrement tendu et il nous fallait avancé. Heureusement, la présence d’Aerlin nous remettait aisément d’aplomb avec quelques sorts de guérissons nous redonnant un peu de force. Il puisait dans les énergies encore présente dans la pluie bénie des Namazu, ce qui laissait encore des traces de ce réconfort qui nous rendait rapidement des forces supplémentaires. Galvanisés au-delà des maux, nous nous sommes mis en route en laissant le rayonnement des deux gemmes repoussé les miasmes les plus inquiétants qui pouvaient renforcer encore la déchéance de la statue immense du compas de l’hirondelle dont le regard lentement perdait de se rouge inquiétant. Cela dit, plus nous montions les hauteurs des escaliers, plus une fois de plus l’ennemi fit usage d’un sort pour en distordre la perception : D’un coup, ils semblaient devenir de plus en plus long et se distordirent en laissant une vague impression que nous étions en train de courir sur la voûte étoilée d’une nuit sans nuage. Comme cela aurait pu être beau et poétique, si ça n’était pas au risque de nous faire mourir affreusement tout en laissant un ennemi mortel provoqué bien des maux dans les environs, surtout pour les Namazu comptant sur notre équipe. Ainsi, bondir le long des marches n’était pas notre seule nécessité, il fallait esquivé les statues de pierres formant différentes créatures immobiles dont la présence gênait voir empêchait les passages. Plusieurs éclairs rouges tombant ici et là au passage, laissant un flot de dévastation gênant, dont profitèrent les Telophores pour essayer de nous arrêtés : La machine aérienne de l’être aux yeux rouges s’extirpa des illusions d’une nuit omniprésente comme si il déchirait le voile du ciel, avant de laisser tomber ses drones magiteks muni de longues pattes.

Regardant les statues, Aerlin fit en sorte de les faire choir avec la grande crainte que toutes puissent s’animer pour nous assaillir en laissant s’écrouler ses dernières tout en les laissant aisément brisable pour Finaen. C’était amusant comme tout les danger subi avait fini par lui laisser une certaine once de crainte paranoïaque que de voir encore de nouveaux ennemis être subitement animé et prompt à essayer de nous massacrer avec moult brutalité. Réagissant rapidement, les statues s’écrasant en partie quand Aerlin les dévastait, firent l’objet d’une explosion quand Finaen s’en débarrassait une fois pour tout en déviant les explosions de roches droit vers les éclairs frappant ici et là dans des chocs puissants. Retenant leurs chutes un peu partout en des puissantes déflagrations, permettant ainsi à Runne proche de là de siffler les vents en repoussant les entités de fer arrivant un peu trop proche tout en nous évitant de tomber dans le vide. Personne ne voulant encore une fois savoir ce que ça ferait, même si ce fut presque mon cas ! Bondissant d’une machine tranchée à une statue coupée, j’ai voulu saisir ma chance dans les airs de fondre comme un oiseau de proie sur l’être aux yeux rouges, mais il cueillit ma venue d’une déflagration m’envoyant valsée en arrière en fumant un peu. Réceptionnée par les vents de Runne, puis par ce dernier, il me mit en sécurité rapidement en m’épargnant bien des maux. Comme quoi, on peut toujours compter sur ses compagnons en cas de coup dur ou d’excès d’audace ! Derrière, il en fut de même pour Aerlin qui venait de se faire écraser par un flot de drone magitek s’étalant sur son dos en le ramassant lourdement au sol. Apparaissant proche de lui, le coup de faux de Lucian l’en débarrassant en laissant des traînées sinistres, découpant toutes entités de fer restante sur le passage pour nous permettre d’atteindre les hauteurs de l’escalier.

C’était une vision fantastique, puisque avec les effets de magie, nous observions la grande porte flotté dans les airs avec la statue immense juste au dessus dans une toile fantastique de lumière stellaire. Mais ce qui s’échappait de la porte l’était bien moins : Des sceaux fragmentés se brisaient à mesure où les éclairs rouges tombaient dessus, ouvrant de plus en plus l’accès au Mornemaux qui se trouvait dedans ainsi qu’à une créature qui était enfermée avec ce dit Mornemaux. Un être abjecte, étendant ses griffes et ses crocs en me faisant pensé à l’entité infâme que le Seigneur des Trois vents avait réussi à extirpé de l’arbre des îles roses. La chose était encore attachée à la porte comme un de ses démons liés à des murs, cherchant à en sortir à mesure où les protections étaient détruite. Ils voulaient faire usage du pouvoir de Tsukuyomi pour dompter cette chose, et la Viera à l’air de princesse abandonnée se tournait lentement vers nous. Subjuguée et infusée de bien des forces primordiales, elle n’était pas encore devenue un vaisseau puissant pour créer une Luna-Tsukuyomi, mais c’est ce qu’ils cherchaient. Jusqu’à ce que nous fassions enfin connaissance avec le cavalier noir : Installé sur une machine ressemblant à un cheval de guerre mécanique, l’être aux yeux rouges n’était depuis le début qu’une machine de combat impériale nommée « Landfust - 025 », une création de Pyr Sonorion vraisemblablement manipulée par les Telophores.

Brandissant sa lance vers nous, son adversaire fut Runne tandis que nous nous chargions du reste. Il brava l’entité avec force en débutant par dévié sa lance pour frapper et détruire les pattes surchauffées du destrier mécanique. Les plus de déflagrations s’accumulèrent, forçant finalement la monture à choir lourdement sur le côté dans un énorme bruit d’acier résonnant. Bondissant de sa monture, ayant faillit empalé le visage de Runne qui esquiva pour une fois un coup de lance, et heureusement le bon, il du lutté contre l’amas de choc ne cessant de tomber autours de lui avant de créer une forte déflagration s’accumulant contre l’armature de la machinerie impériale. Les chocs continuèrent sans cesse, usant de son œil visionnant ses faiblesses jusqu’à ce que la foudre frappe à son tour. C’était un déchaînement incroyable, il ne pouvait pas faire la moindre action sans qu’une déflagration n’apparaisse. Finalement, la rapière de Runne se planta dans le plein torse de son adversaire, et les mêmes chocs jaillirent à l’intérieur en le faisant exploser en milles morceaux dans un choc fatal. Il fut un terrible adversaire, qui aurait pu tué Runne plus d’une fois, mais il n’eus pas le temps de faire usage de ses forces face à tout ce qui lui fut opposé. De l’autre côté, Aerlin tentait de son mieux de retenir la créature qui avait brutalisé Finaen. L’entité liée au mur lui avait donner un grand coup de griffe avant que les pierres d’Aerlin ne la frappe sans cesse. S’étendant pour atteindre l’élémentaliste rapidement, les griffes frappèrent et dévastèrent le sol sans parvenir à l’atteindre. Ce qui laissa le temps à Finaen de renforcer les sceaux, bloquant leurs destructions, en purifiant ce qui tentait de les brisés.

Concentré sur sa tâche, il perçu Stella Mangston : L’esprit naquit de cet espoir, chantant les vieilles chansons gridaniennes que nous avions entendu dans le Thanalan il à fort longtemps de cela. Lui laissant faire barrage avec la libération de ce mal, Finaen prépara un sort foudroyant puissant entre plusieurs cercles incantatoires tournoyant de plus en plus vite. La créature voulu l’arrêter, mais prise dans un torrent aqueux le ravageant sans cesse tout en recevant encore des pointes terrestres où des feuillages blancs naquirent, Aerlin ne le permettait pas. L’empêchant d’agir jusqu’à ce que l’éclair ne pourfendre l’entité, l’éparpillant en milles morceaux. Quant à Lucian et moi, nous nous étions charger de la Viera souffrante qui était condamnée à la chute, malgré son désirs intérieur de simplement rentrer dans sa jungle. Un coup de sa lame parvint à me tailler l’épaule pendant un enchaînement tandis qu’elle brisa les chaînes que Lucian avait créer sur elle le temps de la frapper de plusieurs colonnes d’obscurités. Elle laissa une blessure sur le torse de Lucian en retour, qui en fut plus qu’insatisfait : Me laissant l’assaillir, il se préparait alors à s’en débarrassé définitivement. Quand je parvins à lui trancher une main en laissant sa lame partir au loin après des myriades de coups partagés entre nos deux sabres, la faux de Lucian tournoya et se planta en plein torse de la viera. Les yeux grand ouvert, elle disparue alors dans une faille effrayante que le sorcier convoqua dans une lueur brumeuse, ne laissant d’elle qu’un souvenir en étant peut-être enfin libérée du tourment d’un tel pouvoir.

Les effets de son énergie s’estompèrent d’un coup, nous laissant dans un Compas de l’Hirondelle ayant récupéré toute sa splendeur. Le calme jaillit, brisé par les Namazu et leurs cloches amenés par Obito pour nous récupéré et nous soigner. C’était une scène bien joyeuse, à la chute de l’être aux yeux rouges, mais nous avions perçu sur les hauteurs la silhouette infâme du Tree Barar. Moqueuse et cruelle, elle repartie aussi tôt, nous laissant conscient que ça n’était pas encore fini. Après un court repos, il nous faudra déjà repartir pour le nord de la contrée : Droit vers la Vallée aux prismes. Aux portes de Doma. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 22 déc. 2021, 12:37

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-huitième Entrée - « Acte 13 – Une bête d’un autre monde.»
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« Rejoindre le cercle des intrépides fut plus aisé que ça ne l’était lors de la guerre. L’emplacement encore caché avait servit jadis à la résistance domienne pour affronter l’envahisseur, et maintenant, il n’y restait principalement que des surveillants et des protecteurs de la sérénité d’un royaume en pleine renaissance. Les problèmes restent légion, comme notre intervention le prouverait ce soir il faut dire, mais profiter des infrastructures sur place était un luxe agréable pour être franche. Notre tâche s’était achevé dans le bassin rutilant, laissant les Namazu tranquillement s’installer avec Obito blessé mais bien vivant. Nous avons pu partir voyager le jour suivant notre bataille pour le cercle isolé où le Tree Barar semblait avoir frappé. Cherche t-il désormais quelque chose dans la Vallée des Prismes ? Je suppose que c’était simplement là qu’il pouvait être caché depuis ses premières tentatives d’assaillir Namai et le voilà recroquevillé dans sa demeure. Sur place, rencontrant les quelques locaux dont une certaine Anoko, ancienne rebelle devenue une simple veilleuse, j’ai pu identifier rapidement le problème le plus important : Un désordre terrestre provoqué par des mouvements souterrains. Ils avaient bien essayé de poursuivre ce qui avait provoqué ça, mais le résultat n’en fut que plus sanglant. Quoi que le Tree Barar puisse poursuivre, il ne serait certainement pas un allié, jusqu’à ce que nous nous étions rendu compte de la nature inattendue de la créature qu’il avait choisit de traquer pour la récupéré à tout prix. L’éthérite tournoyait paisiblement sous notre regard, tandis que nos compagnons se rassemblaient. Si ils n’étaient pas de nouvelles têtes, les anciens camarades se réunirent de dates et de péripéties différentes ce qui avait un effet surprenant de nous retrouver tous ensemble à cet instant.

Finaen et Runne étaient comme toujours présent, et Alaric tiendrait bon la ligne avec moi maintenant qu’il était en forme. Mais nous avions aussi le support de Corvus, le père de Livio, et le retour de ses blessures de Kohaku. Mais c’est durant la route, que nous allions être rejoint par notre dernier compagnons de façons inattendue. Le crépuscule au dessus de nous tombait lentement, alors que nous quittions les lieux sous les demande insistante qui mirent Finaen mal à l’aise venant d’un jeune homme nous suppliant de ramener Anoko en vie, parlant du groupe d’aventurier qui avait voulu l’atteindre sans jamais revenir. Il fallait espérer que ça ne soit pas trop tard pour elle, mais pendant un bref instant nous avons surtout pu profiter de la beauté incroyable des cristaux de la Vallée des Prismes. Ils miroitaient et reflétaient la lumière du soleil couchant d’une façons sublime, donnant l’impression d’être l’incarnation de nombreuses couleurs s’étendant dans les environs. Beaucoup comme Alaric en profitèrent amplement, jouant même un peu avec la lumière de façons amusé, mais l’ambiance gagna un aspect délétère en découvrant les conséquences de l’assaut. Quelques protecteurs perdu, jusqu’à découvrir que l’un avait été tué en poursuivant la créature que les serviteurs infâmes du Tree Barar poursuivaient. Les griffures ne ressemblaient à rien de connu, ni d’imaginable, nous laissant dans la parfaitement confusion quant à savoir ce qui avait bien pu tuer ce pauvre bougre. C’est lors de ce passage que nous sommes tombés sur Lalavyr, arrivé dans une brume obscure et un mystère concernant un être ancien qui l’avait amené, restant encore confus à mes yeux. Laissant les dernières prières aux âmes des disparus, nous quittions ainsi les intérieurs autours du cercle pour découvrir la splendeur de la vallée illuminée par un soleil mourant au lointain.

C’était une des rares visions de beauté aux nombreuses couleurs donnant clairement un sens aux voyages que l’on peut mené. Progressant vers les hauteurs pour suivre la trace du domien tué et des cadavres des créatures infâmes sur le sillage de la bête, plusieurs comme moi profitaient encore de la vue jusqu’à ce qu’elle nous fut voilée : Tombant dans ce qui ressemblait à un piège, nous étions comme d’un coup envoyé dans un tunnel d’obscurité ne laissant simplement plus rien voir autant de nous qu’une couche de noir absorbant les couleurs. Derrière nous, Corvus qui surveillait nos arrières consciencieusement perçu bien vite l’écroulement qui était sur le point de nous faire tomber. Avançant rapidement, tout le monde était déjà sur leurs gardes et maintenant bien plus concentré sur la tache, le terrain se mit à descendre brusquement nous faisait glissé sur un amas de terre légèrement humide en partant à toute vitesse vers une trouée en bas recouvertes de racines en pointes pour nous embrochés nets.

Hors de question de finir ainsi ! Runne modifia les vents à toute vitesse pour nous donner un peu de leste avant de reprendre sa protection mental avec Finaen. Dans des lueurs blanches se mêlant aux nénuphars éthérés de Runne dansant autours de nous, ils firent en sorte que les assauts de l’esprit menés par le monstre envoyé par le Tree Barar ne nous rendent pas simplement fou au vu de sa forte influence dans le piège qu’il avait convoqué. Tranchant rapidement les racines, Corvus et moi coupions tout ce qui apparaissait pour nous blessé tout le long du trajet pour laisser le temps à nos camarade de se préparer à briser la fissure où le bras d’une jeune fille nous indiquait de passé. Hélas, tous s’entraidaient pour survivre et personne ne se prépara à la détruire, jusqu’à ce que Kohaku intervienne. Partant hors des boucliers créer par Lalavyr pour nous protéger dans des ondulations d’énergie cristalline, Kohaku créa un puissant vent qui la propulsa à travers la brèche en la brisant, s’écrasant au sol plusieurs fois en se blessant sur le choc. Nous sortions de là passé par un vent d’éther, Alaric nous ayant bien préparé au bond pour que personne ne se blesse – Si ce n’est Lalavyr qui retomba un peu fort sur le fessier. La jeune fille s’occupait déjà de Kohaku, s’annonçant comme étant Anoko qui se cachait dans les environs depuis quelques heures maintenant. La gardant avec nous en sécurité, elle nous montra l’emplacement où se trouvait le site de fouille des créatures du Tree Barar, autours d’un arbre immense.

Progressant vite dans sa direction, Corvus restant auprès de la jeune Anoko pour la protéger de tout danger, c’est donc Alaric et moi qui foncions droit vers les créatures du Tree Barar qui sortaient à toute vitesse de sorte de trouées obscures. Bien conscient que nous arrivions, ils n’allaient pas nous laisser la moindre chance de les empêchés de mettre la main sur la fameuse étrange créature qu’ils convoitaient. Le dôme de Lalavyr se forma subitement en tournoyant autours de nous dans des cristaux protecteur, qui était exactement ce qu’il fallait pour mitigé les ruées des maudits qui brisèrent le bouclier en un point pour tomber sur Alaric. Bien qu’ayant eu le temps de blessé Runne pendant qu’il carbonisait de nombreuses racines ressemblant à des tentacules de Morbol, Finaen et Kohaku achevèrent ce qu’il en restait : Le premier en les écartant brusquement dans des grandes lueurs rocheuses en manipulant l’éther terrestre tandis que Kohaku les enflammaient et les tranchaient rapidement, jusqu’à ce qu’une force inconnue ne la paralyse. L’effet du Contre-maître dirigeant les fouilles devait être affreux, puisque ça la propulsa lourdement au sol en étant bien sonnée et blessée en nécessitant rapidement quelques soins. Dans une grande trouée formées par les déferlantes rocheuses de Finaen, il ne nous restait qu’à avancer en vitesse tout en tranchant avec Alaric ce qu’il restait des créatures autours de nous pour atteindre le site. Et hélas, la première chose qui nous accueillit fut un grand arbre qui avait l’air des plus maudit et infecté, qui provoqua une onde de choc terrible venant s’écraser sur notre équipe.
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L’onde était une sorte d’amas de pouvoir obscure qui s’écrasa sur notre équipe. Finaen essaya de la contenir mais recula d’un coup fracassé par cette force en essayant de protéger d’urgence Kohaku qui avait déjà été suffisamment blessée comme ça un instant plus tôt. Rapidement Alaric lui mit en sécurité Lalavyr qui usa d’un sort pour me tirer brusquement en sécurité avant de valser plus loin, me laissant voir Runne bondissant pour se mettre à couvert derrière une pierre un instant avant de se faire fracassé par l’onde de choc. Elle était passée, et nous nous en étions sorti relativement simplement tout en avançant rapidement droit vers le site de fouille où se trouvait le contre-maître du Tree Barar. Des nombreux cristaux se trouvaient un peu partout, mais ils n’étaient pas naturellement présent ici. C’est comme si quelque chose d’énorme les avaient traînés dans les environs et c’est à grand effort de fouilles que les créatures de bois puantes finirent par les faire sortir. Ce qu’ils cherchaient, c’était la chose qui mâchonnait des cristaux d’énergie en ayant laissé des traces de sa présence, tout en ayant maudit le grand arbre comme pour servir de refuge aux entités envoyées ici par notre ennemi. Il ne fallait pas qu’il la retrouve, sans savoir ce que nous pouvions craindre de cette bête, on ne voulait surtout pas découvrir pourquoi le Tree Barar mettait tant d’effort afin de s’en saisir pour faire usage du Mornemaux dessus.

Approchant de l’eau croupie et boueuse accumulée et rendue sale par tout les travaux d’excavations, reflétait la lumière des nombreuses lueurs en donnant un effet incroyable sous nos pieds, mais nulle beauté n’aurait pu nous empêcher d’observer le Contre-maître. La créature flottait sur un amas de brume verte infâme comme un gaz putride, laissant des tissus flottés dans les airs avec un air maléfique. Un buste humain avec des grandes griffes, portant un masque de bois infâme dont seul un regard brillant s’extirpait des oculaires visible. Ordonnant la poursuite des investigations aux créatures autours de nous, la priorité de Finaen fut d’atteindre l’arbre ayant provoqué une telle onde de choc à cause des esprits enchaînés liés à son tronc pour les libérés de la douleur qu’ils subissaient. Heureusement, Lalavyr et Runne n’étaient pas loin de là, nous avions laissés Corvus s’occuper d’Anoko tout en tirant sur toutes créatures apparaissant dans notre dos afin de nous offrir une couverture adéquate. Mais pour s’occuper des cieux, Lalavyr tira un peu d’encre en tissant un sort de lien qui fit s’écraser d’énormes raies mantas qui flottaient dans les airs en s’agitant au sol dans des grondements monstrueux. Elles n’étaient pas forcément maudites, cela dit l’influence des créatures avaient comme un effet d’injonction en leur ordonnant de nous assaillir sauvagement jusqu’à ce que la plus part ne s’étalent lourdement par terre un peu partout sur le passage de Finaen. Les deux dernières ne voulaient pas se laisser faire, mais Lalavyr avait la solutions : Les congelés.

Celles au sol et celles dans les airs furent d’un coup gelés, ce qui n’empêcha pas les bêtes volantes de s’orienter de façons irréelle vers Lalavyr pour essayer de s’écraser dessus. Le premier tir de Corvus brisa une des Raies en milles morceaux quand la munition lourde la traversa, et sans avoir le temps de détruire la seconde, Corvus bondit en attrapant Lalavyr pour se rétamé au sol avec ce dernier en se faisant percuté bien plus doucement que cela n’aurait du l’être par la seconde. Face à la menace la plus proche de l’arbre, s’y opposa Runne qui plantait sa lame régulièrement dans les jointures des deux Roegadyn en armure massive domienne, d’où sortait des amas de bois pourris témoignant de leurs corruptions. Au début, il s’en sortait bien, jusqu’à ce qu’une main ne l’attrape par la gorge en le soulevant brusquement en l’air, laissant le second donner un grand coup de pied dans le dos de Finaen s’écrasant contre l’arbre qu’il était en train de purifier dans une lueur paisible tournoyant autours de ce dernier.

Si il était sur le point d’y parvenir, il comprit qu’il avait trop d’objectif : Les Roegadyns, la sorte de bulbes dégoûtant en train de chercher la trace de la bête que le Tree Barar convoitait, ou détruire la corruption qui était en train de faire souffrir affreusement les esprits liés au tronc. Finalement, la réponse lui provint quand Runne déchaîné créa après un coup de poing en pleine figure reçu, une tornade autours de lui en taillant les Roeadyn en pièce en les rejetant brutalement au sol, réduit en morceaux. Tout en voyant Kohaku bondir vers le bulbe, laissant Finaen le soin d’en finir avec la purification. Proche du bulbe, nous affrontions le contre-maître infâme et les carcasses de tigres relevées et animés par des amas de végétations moisies le déplaçant à sa place. C’est Alaric qui s’était rué vers les bêtes, provoquant une explosion foudroyante détruisant l’un des tigres en le consumant dans un choc d’éther que la pistolame provoqua peu après avoir frapper plusieurs fois de son épée pour les tenir en respect. Voulant s’occuper des tigres qu’elle trouvait si adorable, Gladys se mit à grattouiller un des tigres avant de se faire dévoré, laissant ses petites lumières apparaître dans l’intérieur de la carcasse féline alors qu’elle cherchait son chemin. Peu désireux d’expliquer à Sorn pourquoi sa Gladys fut digérée, Alaric tournoya en déchaînant sa lame, détruisant d’un coup le premier tigre de plusieurs coups jusqu’à ce que de haut en bas, il ne tranche le tigre glouton en libérant la petite tourelle qui vint poser ses pinces sur son visage malgré l’amas de mucus dégoulinant dessus.

Outre ce moment peu ragoutant, Kohaku et moi avions tenu tête au Contre-maître dans un enchaînement des plus efficaces. Esquivant les griffes et les pointes de bois, Kohaku lança une myriade de kunai dont les tubes explosifs détonnèrent brusquement en de nombreux fracas, le tenant en respect jusqu’à ce que ma lame ne le taille plusieurs fois pour laisser une fissure vers l’intérieur de son corps, décelant le cristal infâme qui l’animait. Ce fut pour lui quelque peu frustrant, et quand Kohaku bondit sur mes épaules pour aller détruire de deux coups de tantos le bulbe recherchant la trace de la bête, le contre-maître frappa de ses griffes me blessant plusieurs fois jusqu’à ce que je trouve la faille, le coupant en deux en fendant son cœur, m’écrasant à genou en même temps que ne brille brusquement l’arbre que Finaen vint purifié. Éjecté plus loin dans un choc douloureux, l’arbre reprit vie dans une couleur magnifique en laissant ses fleurs devenir rose et son tronc d’un brun fabuleux. Malgré la douleur, il la contempla avec toute la splendeur qu’elle incarnait, profitant que les menaces aient été vaincue autours de nous pour observer la grandeur de cet arbre dont les feuillages formaient comme des silhouettes qui désignaient un passage. Anoko n’était pas loin de là, curieusement, elle fut prompt à traduire des propos qui ne furent jamais annoncé en expliquant que vraisemblablement, le Tree Barar désirait appliqué le Mornemaux à un être qui ne venait de ce monde. Ainsi c’était confirmé : Nous traquions une chose qui n’était pas né en Hydaelyn. Nous laissant la grande interrogation sur ce que ça pouvait bien être, et si cela devait réellement être détruit pour protéger les environs.
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Si cette chose avait provoqué des torts, elle devait avoir été relativement calme depuis les derniers temps pour que les Centurios d’Orient n’aient pas encore mit une grosse prime sur cette créature pour s’en débarrassé. Sûrement avait-elle trouver refuge en souterrain dans des recoins isolés, du moins jusqu’à ce que le Tree Barar ne cherche à lui mettre la main dessus. Il fallait y parvenir avant lui, aussi n’avions nous que peu de temps avant de se redresser dans la boue dégoûtante en progressant doucement vers la direction que les pétales roses avaient désignés. C’était un présage de pureté, et même si j’avais la crainte au fond du coeur que ça puisse être un piège, progresser était tout de même plus important que de réfléchir béatement en regardant le ciel en attendant d’être de nouveau assaillit par l’ennemi. Progressant droit vers l’indication florale, plus nous progressions, plus nous pouvions voir des cristaux abandonnés un peu partout sur un terrain accidenté qui n’avait pour l’instant rien de fabuleux malgré les nombreux prismes abandonnés, jusqu’à ce que le sol se mit brusquement à se déplacer dans un grondement terrestre : Notre adversaire était sous nos pieds, errant à toute vitesse dans des grondements infâmes emettant comme un rugissement rauque résonnant dans les environs. Sous son influence, les critaux devinrent rouge et rayonnèrent si fort que cela créait des faisceaux de pouvoir fusant vers les cieux en tournoyant vers les cieux. Derrière nous, un flot de combattant domien chargea – Du moins ils n’étaient plus que Domien de leurs tenues, rapiécées, en lambeaux à cause de ce qui les avaient transformés en monstres incarnés de bois et de végétation pourrie.

Les murmures moqueurs du Tree Barar en avait fait tombé de nombreux de la folie, et il en profitait pour se faire de nombreux pions. Hélas pour eux, ils ne purent profité de leurs nouvelles forces pour nous atteindre. Plantant sa rapière au sol, Runne parvint à créer une grande vague de boue qui jaillit en empêchant les créatures de nous atteindre aisément. Pataugeant dans le sort de Runne, cherchant à l’atteindre à tout prix, les tirs de Corvus percutèrent le sol brusquement dans des chocs enflammés de céruleum tournoyant comme des petites tornades enflammées consumant les arrières des créatures tandis que celles en avant se firent taillés en pièce par ma lame et celle d’Alaric. Aucunes ne nous poursuivraient, car aucunes ne survivraient, mais le sol céda sous nos pieds dans un grand choc une fois que la créature passa sous nos pieds, nous balançant plus loin avec Alaric en nous écrasant lourdement par terre, douloureusement. Voyant la scène, Finaen fit de son mieux pour créer un amas de mouvement rocheux dans une lueur d’ambre afin de détourné la créature et son voyage terrestre en espérant l’écarter de plus en plus de notre destination, ce qui hélas ne pu aider Kohaku qui elle empêchait les rayonnement des cristaux d’être menaçant. Envoyant plusieurs déflagrations enflammées sur les cristaux pour contenir les chocs, le mouvement terrestre déplaça un cristaux sans que le lièvre invoqué sur son épaule n’ait le temps de la prévenir du danger. Le tir brisa le bouclier de Lalavyr qui convoqua des protections autours de nous tous pour nous tenir en sécurité, et elle valsa brutalement par terre sous l’effet d’un choc produisant une onde autours du point d’impact.

Se redressant doucement, le lièvre avait disparut – l’invocation brisée par les blessures de la bête, ne laissant d’elle qu’un cadeau : Le lance-fusée domien me laissait un souvenir des combattants des Kazan de la mer des rubis, formant un magnifique renard. Nous redressant doucement, Finaen venant directement à mon aide en m’offrant des soins afin d’être prête pour ce qui nous attendait, l’équipe pu se retrouver dans un calme léger qui n’était que le départ avant la tempête qui nous attendait : Approchant de l’antre de la bête, cette dernière avait été installé sous un grand rocher où un arbre incroyable mêlés de cristaux de la vallée se trouvait. C’était dans une sorte de trouée, qui n’avait pas l’air si naturel où l’eau formait une sorte de petite trouée d’eau remontant à peine jusqu’au talon, rendant la terre boueuse. Il y avait une impression inquiétante dans les cristaux, comme si quelque chose les animait jusqu’à constaté qu’à l’intérieur d’un des cristaux, une lueur blanche et noir tournoyante doucement en donnant l’impression d’être vivante. Une malédiction rôdait clairement à l’intérieur, et même si c’était différent, ça n’était pas de la pierre animé même si il y avait tout de même une impression de roche de plus en plus présente.

C’était ce qui avait certainement plus que déranger la créature, qui soulevait lentement l’entrée de la grotte comme une gueule infâme en dévoilant son regard monstrueux. La bête ressemblait presque à une machine, des chitines monstrueuses et irréelles rarement vu en notre monde. Car effectivement, elle n’en provenait pas : Il y à longtemps, lors du passage d’un visiteur inattendu dans le Thanalan, plusieurs êtres l’avaient suivi volontairement ou non. Et ce « Daemon » n’était qu’une mégarde abandonnée et se cachant dans ce nouveau monde pour se nourrir de pouvoir de la Vallée où il avait hélas atterrit. Difficile à dire à quel point ce Daemon pouvait être une aide pour le Tree Barar, mais il restait une sérieuse menace désormais déchaîné et sans retenue, aussi il était temps de s’en débarrassé. Tous se ruèrent vers la créature en laissant Finaen le soin de scellé l’énergie du Mornemaux qui tournoyait dans son cristal. Frappant brusquement contre ses griffes, je tranchais à l’opposé de là où Kohaku tira une fusée dans une grande déflagration formant comme une gueule de renard incroyable. Donnant un grand coup de griffe, cela me repoussa un peu brusquement en arrière en m’écrasant sur le dos, mais aucuns autres coup ne survint quand deux tirs de Corvus traversa la créature de part en part, laissant une ouverture à Runne et Alaric : Poignardant la créature de sa lame, Runne la surchauffant fut plus que surpris que ça ne soit pas une machine mais bien un monstre vivant, la pistolame d’Alaric elle lui percuta le visage brusquement, mais ce qui fini vraiment par l’énerver fut la levée de lave que Lalavyr créa sous elle pour remonter de plus en plus vers sa carcasse dans un choc tremblant de plus en plus fort.

Redressant la tête, entre les flammes et la fumée du surchauffage de Runne, il avait réellement l’air monstrueux et créa dans un grand cercle autours un rayonnement d’énergie rouge qui repoussa Corvus brutalement au sol ainsi que Finaen pu après la création du sceau bloquant le Mornemaux, l’étalant par terre bien que le bouclier créer d’urgence par Lalavyr ne l’épargne de véritable dégât. Cherchant à créer un faisceau d’énergie rouge de plus en plus intense devant lui, ses griffes elles se focalisèrent sur Runne et Corvus, fonçant vers eux pour mitigé les fracas subis tout en esquivant rapidement le faisceau qui fut si intense, que cela laissa au sol un grand fracas et une tranchée de boue sous l’influence de ce tir. Laissé exsangue sous ce déchaînement de pouvoir, Finaen et nous nous étions rués vers lui, ma lame tranchant brusquement une des griffes en la brisant en morceaux. L’autre fut écrasée par un rayonnement vermeille de Finaen, le bloquant net, jusqu’à ce qu’il ne relève ses deux griffes brisés en nous balayant moi et mon camarade, nous effondrant plus loin. Rugissant de colère, la croix de céruleum de Corvus le frappa sur le flanc subitement, laissant une grande ouverture à Runne et Alaric de frapper de nouveau ensemble, la foudre de Runne le paralysant de l’intérieur tandis qu’Alaric lui provoqua une grande déflagration proche de son visage en reculant brusquement sous l’effet d’un bouclier de la tourelle de Corvus.

Les miasmes de Lalavyr rentra à l’intérieur de la bête, s’amplifiant dans son corps de plus en plus, laissant la voie à Kohaku qui frappa sans cesse avec quatre tantos, brisant toutes ses protections dévastés par nos compagnons contre la bête entièrement bloquée, jusqu’à ce qu’un éclair ne tombe des cieux comme si elle avait attraper des nuages un éclair pour transpercer la bête de part en part, dans un choc puissant. S’en était fait, si forte soit elle, la bête était occit et le calme revint d’un coup nous laissant éreintés dans ses amas boueux conscient que nous avions porté un coup envers les derniers projets de l’esprit fou. Au loin, nous observions dans les prismes, les reflets de visages moqueurs menant droit vers une lueur infâme alors que progressait lentement un être à la coule noire. C’est au cœur du Lac des prismes, que nous connaîtrions la vérité sur le Mornemaux. Et le moyen de l’arrêter. »

Akayane Kosenjobi.

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[Chronique] Journal d'Akayane Kosenjobi.

Message par Akayane » 24 déc. 2021, 08:15

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Une errance du Mornemaux."

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Deux-cent-neuvième Entrée - « Acte 14 – Vers l’origine des maux.»
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« Faire revenir une jeune fille chez elle à quelque chose de galvanisant. Malgré la rigueur et les blessures, c’est avec Anako que nous sommes revenu au cercle des intrépides qui fut accueillit par quelques cri de joie de ceux qui n’espéraient plus son retour. C’était plutôt agréable comme vision, on sauve beaucoup de personnes mais on assiste rarement aux retrouvailles tout en profitant d’une paisible soirée dans un côté plus convivial. Qu’il était ironique de se dire que nous étions toujours en danger face à ce qui pouvait se trouver à l’extérieur au vue des efforts que nos jeunes hôtes fournissaient pour nous offrir du confort suffisant pour profiter de nos soirées pour traiter nos blessures. Mais ils étaient tout autant occupé à essayer de protéger les locaux passant dans la vallée des Namazu qui semblaient avoir été ralliés à la cause du Tree Barar. Ça n’était plus une force végétale qui leur donnait du pouvoir, il s’y trouvait quelque chose d’autre de vicieux dans cette source qui permettait à nos ennemis de trouver renfort dans les bêtes locales qui servaient l’influence du Mornemaux. Il était possible que ce n’était pas le Tree Barar notre première cible, mais bien la source elle même des maux que ce monstre souhaitait déchaîné dans les contrées d’Othard si il parvenait à obtenir cette force. Il fallait s’en occuper d’urgence, pour les empêcher de provoqué le moindre chaos si ils parvenaient de déchaîné une force qu’on ne pourrait pas arrêté. Ainsi, notre objectif n’était pas encore la traque direct du Tree Barar au grand dam d’Aerlin qui se reposait dans le cercle. Mais bien directement le Mornemaux qui devait siégé quelque part dans la Vallée des Prismes en nous laissant enfin entrevoir une chance de découvrir ce dont il s’agissait.

C’est ainsi à l’éthérite que nous nous sommes retrouvés, prêts à partir, avec l’équipe qui s’occuperait de ça ce soir : Finaen, Runne et Lucian auraient bien la présence de Lalavyr en aide pour tout ce qui est forces magiques, apparut de manière toujours aussi surprenante, me laissant donc avec Kohaku le soin d’intervenir en vitesse sur nos ennemis pour nous en débarrassé. Et à ma grande surprise, nous aurions un appuis incroyable pour tenir la ligne en la personne de Grob, dans une armure de guerre massive. Moins de problème avec les adversaires massif, pensais-je, mais à peine ai-je eue le temps de parler du jaune de ma tenue et de notre mission que ce sont les problèmes qui nous ont rattrapés. Le plafond se mit à trembler, la terre ondulait rapidement dans un vacarme tonitruant alors que tout n’était que succession de choc et de confusion. J’avais crainte que tout nous retombe dessus, et ce fut partiellement vrai quand nous observions un des jeunes domiens avec qui nous avions passé les derniers jours disparaître sous un amas de pierres le tuant aussi vite que Finaen voulu le prévenir. C’était une mort triste, et injuste, et il y en aurait d’autre si nous ne réglions pas d’urgence la situation : Fonçant à travers les cavités intérieur du cercle pour atteindre la Vallée aux Prismes et son lac incroyable, il fallut tout de même le long du trajet subir bien des problématiques à cause de ses chocs qui n’avaient rien de naturel. Dans les cristaux, le pouvoir du Mornemaux coulait et crépitait donnant une tonalité infâme aux lieux autant que la présence du Tree Barar lui même si fit percevoir, et ressentir, quand il se rua vers nous tel une incarnation du malheurs.

Tous purent esquivé sa ruée monstrueuse, laissant des traces de ses griffes et des lueurs noires autours de lui comme des oiseaux de malheurs cherchant à nous abattre. Lalavyr et Lucian renforçant un bouclier tandis que plusieurs bondissaient au sol pour esquivé sa charge, il disparut aussi tôt laissant Grob écrasé sa hache au sol, dans le vide, après avoir été maltraité mentalement dans un coup de griffe ayant atteins sa psyché en laissant une marque qui le fit frappé plusieurs fois les murs tant la douleur devait être affreuse dans des pointes de migraines ingérables. Brisant les dernières pierres, nous sommes enfin sorti de là en contemplant un ciel aux nuages sombres qui tombaient dans la vallée, mais dont la lumière les transperçaient en voyant des éclats de cristaux former un cercle là où le Mornemaux devait être actif. Il allait s’étendre, et s’étendre, chercher là où ses morceaux sont encore présents, pour se rependre à sa guise sur Yanxia. L’arrêter là restait une nécessité absolue, et c’est Finaen nous rejoignant pendant nos brèves secondes de contemplation, qui rapidement débuta la ruée après avoir soigner les Domiens dont Anoko qu’il avait soigné en vitesse. Découvrant le point d’énergie qu’il fallait arrêté, toujours alarmé et effrayé par la présence du Tree Barar, il ne voulait surtout pas réussir et nous nous sommes retrouvés à courir à toute vitesse au milieu du chaos qu’il produisait sous l’influence de ses sorts.

Les pierres chutaient en fracassant tout, généré par le Mornemaux pour créer des pierres s’effondrant ici et là afin de nous massacrer et d’empêcher quiconque d’arrêter son sort. Le flux d’énergie particulièrement instable était détourné par les protections de pierre de Finaen, soulevant la roche pour détourner les chocs foudroyant que j’atténuais le plus possible à ses côtés. Tout ce qui passait nos protections, autant les pierres gelés de Runne congelant tout ce qui nous fonçait dessus que les roches tombant des cieux détournés par Kohaku pour qu’ils s’entrechoquent encore et encore. Nous avions à faire dans ce passage périlleux et incroyable de la terre qui s’offusque de notre présence à la chute d’une énorme colonne de pierre. Dans un échos d’énergie puissant, Lucian tenta le tout pour le tout pour l’arrêter, mais ce fut juste suffisant pour que Grob ne frappe dessus en un impact incroyable qui la dévia. Gardant la route devant nous, arrivant aux lacs, nous sommes arrivés en bondissant de haut quand derrière nous tout continuait à s’écraser et à se briser pour arriver sur place autant qu’en échappant à ce foutoir monstrueux.

La chute fut ralentie par un Runne quelque peu paniqué, dans des vents puissants émettant une impulsion puissant en faisant déferlé les adversaires nous attendant en bas tout en nous protégeant d’un choc trop terrible pour ceux peu habitués à ce type de ruée. Tombant en même temps, Grob écrasa sa hache sur un des Namazu ebisu qui se tenait devant alors que les autres se mirent à fuir : Les Namazu sauvage des environs étaient tous ralliés aux forces infâmes du Tree Barar, et montaient d’énormes Mada, des créatures sauvages poilues et immenses aux dents tranchantes qui fonçaient vers nous pour nous arrêter. L’un se prit Kohaku en le détournant subitement, envoyant paître le Namazu plus loin qui le manipulait pour qu’il s’écrase sur un autre Mada avant d’envoyer une chaîne avec ses kunais, ses éclairs tombant avec ceux de Finaen dans un choc électrique surpuissant qui nous ouvrit la voie dans des éclairs tombant sans cesse. Lalavyr se laissant glisser proche de là, ayant attiré un Namazu à lui pour s’en servir de planche pour tomber plus doucement. Je progressais proche de Lucian qui venait d’être libéré de la main d’une de ses bêtes quand Grob arracha la dent du Mada pour lui enfoncer dans la tête en rugissant, permettant au mage de reprendre ses grandes explosions d’un ton écarlate explosant ici et là dans des lueurs incroyables. La route était grande ouverte droit vers le centre de pouvoir que Finaen qui se relevait en se tenant le bras, suivait. Je me massais l’épaule très douloureuse quand une flèche de pierre s’y éclata sans transpercé mon épaulière, repoussant de mon sabre les derniers Namazu autours de moi en les taillant en pièce. Il ne nous restait qu’à atteindre ce curieux Monolithe de cristal. Et nous l’espérions à ce moment, enfin comprendre ce que pouvait bien être le Mornemaux lui même.
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Bien entendu, ce serait plus de l’expertise de nos mages que de moi même qui n’avait simplement rien pour comprendre efficacement ce que pouvait être cette source de pouvoir. Plus entraîné à trancher en morceaux mes ennemis qu’à leur trouver une raison d’être, je contemplais au moins les effets qui ne rassuraient personne. Habituellement, l’eau du lac aux prismes est fait d’intensités différentes allant d’un bleu clair à un rouge léger. Cette fois, les flots allaient d’un rouge pâle à l’un bien plus profond, reflétant de façons illusoire un ciel qui n’était pas réellement au dessus de nos têtes. C’était comme si à travers l’eau, se reflétait les images d’un passé qui n’à laissé de lui que ravages et désolations. Était ce peut-être un fléau de jadis, un stigmate du septième fléau ? Cela y ressemblait beaucoup, au vue du lien entre le Tree Barar et Sombrelinceul, c’était peut-être des marques de sa propre peur et de sa douleur, mais si cela donnait un effet incroyable sous les ondulations de l’eau, ce n’était pas rassurant du tout. La beauté des lieux s’en trouvait néanmoins renforcés, les cristaux tous actif rayonnait doucement en donnant le sentiment d’une beauté qui lentement voulait s’éteindre, mais nous réalisions qu’il ne s’agissait en fait que de l’écho du pouvoir qui liait les cristaux à l’étendue d’énergie sortant du noyaux de force que Finaen recherchait : Le Monolithe immense était le plus grand parmi tous actif, laissant réalisé qu’ils avaient préparer les lieux. Les miasmes de végétations pourries étaient discrète, comme si elle avait été abandonnée en œuvrant pour créer en endroit parfait afin de mené une grande incantation. Quoi que ça puisse être, Finaen et Runne semblaient comprendre là des runes possédant le langage que nous avions vaguement été informé d’être en lien avec le Mornemaux.

De l’Amdapori, ainsi était-ce réellement une conception des mages blanc lors de la guerre de la magie ? Si c’était indubitablement lien, la réelle nature profonde était bien plus lointaine et tordue, mais les défenseurs des lieux ne souhaitaient pas réellement nous laisser interférer, et nous nous sommes dispersés pour nous débarrassés rapidement d’eux. Lucian parti s’occuper des énormes Mada maudit avec des amas de végétations écœurantes dessus comme si ils avaient été mutés cruellement pour devenir des aberrations puantes. Des corps de Namazu greffés dessus allaient les aidés, et quand Lucian créa une grande vague de brume rouge ponctionnant les corps en même temps que sa vague de javelot mauve les transperçant, c’est le corps d’un Namazu qui intervient. Renvoyant Lucian en arrière dans un choc d’énergie neutre puissant, le laissant sur le dos, il allait rapidement les faire payés en générant une sphère d’énergie d’obscurité fonçant droit vers les deux Mada qui s’éloignaient lentement, avant de grandir subitement. Dévorant les créatures qui ne purent fuir sous l’intensité de la magie sinistre, il se relevait lentement en ayant dévasté les adversaire sur notre flanc, le laissant des plus sûr après son passage. Et de l’autre côté, le grand gardien qui n’était rien d’autre qu’un golem créer du Mornemaux, avait pour opposant deux combattant qui agiraient parfaitement de pair : Kohaku et Grob. Envoyant un grand coup de hache en plein dans la main de la créature pour la retenir, cela laissa le temps à Kohaku de bondir dans les airs pour atteindre le dos du golem énorme, afin de commencer à détruire tout les cristaux dans des chocs puissants afin d’éliminer ses sources de pouvoir.

La puissance du golem était terrifiante, redressant d’un coup son poing en envoyant Grob valser dans les cieux bien plus haut qu’attendu pour essayer d’écraser son poing dessus de nouveau. Dans un nuage de fumée, Kojiro le crapaud protection de Kohaku apparut en déviant d’un coup le bras qui allait impacter Grob pour que ce dernier n’écrase son poing en pleine face du Golem. Se préparant à poursuivre ainsi, Kohaku fissura le dos du golem et convoqua des vents surpuissant à l’intérieur de ce dernier dans un choc de plus en plus puissants en essayant de le fragmenté de l’intérieur pour permettre aux poings de Grob de le détruire. Son adversaire aurait bien voulu réagir, mais Runne proche de là parvint à dévié les coups de plusieurs chocs d’éther neutre pendant qu’il analysait ce qu’il voyait. Permettant ainsi à Grob et Kohaku de se tenir triomphant sur un amas de pierre dévasté en ayant littéralement réduit leurs adversaires en décombres rocheux.

Tout se passait bien de ce côté, mais j’avais eue à souffrir des affreux des gardiens de l’éther mémoriel qui était présence sur un amas de cristaux sortant de l’eau comme si il avait réagit au début du rituel pour sortir. Cela avait intrigué Runne, et mon rôle était donc de me débarrassé des spectres esclaves du culte de l’Arbre-en-Deuil que le Tree Barar avait vraisemblablement convoqué. Affronter ses pauvres être me remplissaient de nostalgie, hélas il était bien triste que certains restaient encore sous le joug après ce qu’il s’était passé il y à longtemps de cela maintenant dans le Thanalan. Mais si ils ne purent me frapper beaucoup de mal en premier temps sous l’afflux de ma lame contre ses entités, ce fut grandement grâce aux impacts d’éther de Runne créant une ondulation en repoussant brusquement les créatures. Il avait l’œil actif, celui repérant l’éther et l’aidant, le temps de faire usage de l’éther mémoriel qui étendit devant nous la vision d’un artefact rendu de la part de Selm, le responsable des maux du Mor Dhona, aux deux mages Amdapori. Cet objet nommé le « Tree Barar » recelait le Mornemaux, suggérant que la création du Tree Barar par les pages du Livre de Shigma n’était peut-être pas un hasard tout compte fait. Ce pouvoir était plus ancien que la guerre de la Magie, et ils avaient décidé de s’en servir à leurs dépends jusqu’à ce qu’il ne soit plus tard scellé par ceux vivant en Doma par la suite. Découvrant ses faiblesses, et ses moyens d’être arrêtés, je défendis Runne en taillant en pièce l’entité spectrale qui cherchait à lui foncer dessus pendant qu’il venait en aide à Grob. En retour, pour finir de laisser ma lame infusée d’éther foudroyant faire disparaître nos ennemis, une griffe passa en tranchant au niveau de mon torse proche de l’épaule déjà blessée par un trait.

C’était douloureux, mais ça en valait la peine, imbibant un peu de rouge mon haut jaune que j’espérais ne pas me porter malchance en espérant pouvoir vite retrouver ma tenue blanche. Tout avait permit ainsi à Finaen d’atteindre le Monolithe massif pour essayer de débuté une purification, quoi qu’il lui advint en arrivant sur place, ça n’était vraisemblablement pas ce qu’il s’attendait à retrouver là-bas quand il posa sa main sur ce dernier, la souffrance se dessina sur ses traits à cause des énergies à l’intérieur des cristaux qui le malmenait d’un coup. Découvrant autant de ses propres moyens qu’à travers les échos de mémoire que Runne faisait apparaître, il perçu la faiblesse de l’énergie qui transitait à travers le Mornemaux à s’appliqua à en faire usage. Dehors les deux créatures de bois sans tête qui appliquaient les Runne Amdapori avaient essayer de massacrer Lalavyr d’un sort bien placé, mais ils s’acharnèrent sur le bouclier que le lalafell avait créer pour empêcher Finaen de faire usage de ses sorts sur le Monolith. De cet acharnement, ils se tuèrent d’eux même sous les pointes que créait Lalavyr autours de la protection éthéré afin de les empêchés de la brisé, le temps que l’obscurité que Finaen produisait s’amplifient de plus en plus. Une vague de noirceur jaillit, et ce qui était une lumière pâle et inquiétante, devint une profonde obscurité comme la nuit qui transforma cette Monolithe en magnifique pierre d’onyx d’un noir de jais où rayonnait une force ténébreuse. Renversant l’équilibre de la magie qui créait le sort au dessus du lac, un puissant choc mêlé à un hurlement de colère et de souffrance fit choir l’artefact de la vision mémorielle que Runne avait créer, tel une boule de feu d’une lumière vive, explosant un peu plus loin. Nous avions enfin l’initiative pour arracher des griffes du Tree Barar, le mal engendré par le Mornemaux. Et il fallait s’en saisir avant qu’il ne cache de nouveau à notre vue ce pouvoir antique et malsains.
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Les divers jeux d’équipe fit que les blessures étaient des plus mitigés. La potion qui me fut tendue arrêta au moins le saignement de la griffe reçue, mais pour les autres, ils n’eurent pas réellement à subir les affres d’affreuses douleurs grâce à des assauts coordonnés et des protections de l’un à l’autre. On ne pouvait pas rester là trop longtemps à nous interroger sur ce qu’il s’était passé, cela allait être un dernier bras de fer entre nous et le Tree Barar pour se saisir du pouvoir de l’artefact – bien que je m’interrogeais encore si nous allions le détruire définitivement, ou le récupéré si il était possible d’en faire quoi que ce soit qui ne finisse pas par être malveillant. Se mettant en route sur le terrain en piteuse était qui avait été modifié et maltraité par les créatures de bois putrides, plus nous montions dans les strates hautes du lac aux prismes, plus on ressentait l’influence du sol avait donner un effet chaotique à la magie. Les reflets donnait une impression de plus en plus rougeoyante monstrueuse comme si le ciel voulait vraiment se déchaîner et créer des boules de feux tombant des cieux, alors qu’au dessus de nos têtes nous ne pouvions qu’observer le trou dans le ciel émettant des lumières d’un blanc surprenant mais n’inspirant rien de bon. Même moi, si proche des cieux, je regardais ce ciel nocturne en ayant une boule au ventre comme si il me refusait, m’insultait, ne me souhaitait que du malheurs à l’image du regard du Tree Barar ne laissant dans la psyché qu’une infâme impression quand on pouvait croisé son regard. Mettant de côté toute les possibilités de malheurs à venir, j’observais un instant les environs en contemplant les nombreux prismes cristallins de la vallée, des lumières noires et blanches s’entremêlant s’échappaient petit à petit vers les cieux comme si ce qui avait été gravé à l’intérieur se dissipait doucement en ayant coupé les liens qui s’étendaient de plus en plus au moins comme nous les avions vue en arrivant ici.

Et hélas, cela aurait été trop facile, si nous n’avions pas quelques obstacles comme des grandes griffes de cristaux sortant de la terre en essayant de nous écraser quand il s’étendait de plus en plus. S’ajoutant au terrain difficile, ayant bien du mal à progresser pour ceux peu habitués à bondir à droite et à gauche ou à changer de place en un claquement de doigt comme Lucian. Plusieurs eurent donc bien du mal à se déplacer, ceux n’ayant pas la capacité de se mouvoir, et il fallait faire encore plus attention à ce qui nous tombait dessus venant des cieux. Des pierres qui s’écrasaient un peu partout autours de nous dans des chocs puissants, envoyant des cristaux brisés valsés un peu partout à mesure que les créatures convoqués pour nous arrêtaient s’écrasaient et se formaient autours de nous. Des sortes de golems aux allures de monstres anciens fait de végétations puantes et de pierre du Mornemaux contaient bien nous empêcher d’approcher, et en retour nous leur opposions notre propre réponse massive pour les repoussés : Grob. Le guerrier envoyait sa hache à droite et à gauche contre toutes entités qui approchaient un peu trop de nous, brisant ses dernières le plus possible pour nous dégagé la route. Cela aurait été bien moins efficace sans tout nos compagnons pour soutenir son approche : Les griffes de cristaux qui chutaient n’allaient pas être une grande menace bien longtemps, celles de gauche étaient bloqués par Finaen émettant une vague d’obscurité qui retiraient toutes les énergies du Mornemaux se servant d’elles pour essayer de frapper, arrêtant la griffe qui allait réduire Lalavyr en purée alors que le Lalafell venait de créer plusieurs boucliers d’éther pour bloqués les coups qui nous tombaient dessus.

Peu après avoir tailler la créature qui avait frappé Runne d’une lance pendant qu’il créait des nénuphars infusés d’un éther astral pour comme Finaen bloqué l’influence maudite autours de nous, ce qui rendait nos ennemis de plus en plus mollasson et malhabile, je fini par aller découpé les griffes de cristaux de droite en envoyant des grands coups de lames les coupant nettes à la bases après m’être débarrassé des créatures sur la route. Ainsi renforcé, n’eut qu’à progresser vers les entités que Kohaku avait paralysés avec des shurikens foudroyant les ayant bloqués net le temps que l’énorme hache ne les écrases les unes après les autres, cela se mêla parfaitement aux déflagrations d’obscurités que Lucian provoqua le long du passage en mitigeant leurs progressions sous les chocs puissant ne leur laissant simplement aucune chance. C’est en formant notre propre route dans la masse adverses que nous avons finalement pu atteindre des plus aisément le cratère où l’artefact c’était écrasé. Il avait percuté un amas de cristaux en donnant l’impression du coup de poing d’un titan fracassé au sol, dans une grande dévastation en laissant de cette eau rouge effrayante coulé au fond de ce dernier. Les effets rayonnaient avec un effet de kaléidoscope plutôt surprenant, mais je me concentrais surtout sur ce qui défendait le dit artefact : La créature naquit du corps ancien de l’Amdapori qui avait du être scellé à la protection de cet artefact depuis si longtemps, que j’avais un peu de peine pour la torture que cela devait être pour son esprit.

Aussi était-il temps, alors qu’il devenait une horreur de pierre blanche et d’énergies étranges ondulant le long de son corps, de le libéré du fardeau qui l’avait ainsi malmené depuis si longtemps. Se préparant à nous affronter, il fut rejoins par une énorme basilic qui se déplaçait dans les environs comme si il nageait dans l’eau, donnant un effet de mouvement aussi fluide que gracieux des plus étonnant. Le dernier adversaire était une très mauvaise nouvelle pour plus tard : Le Xaela portait une armure magitek avec les symboles de l’unité de Naran, et déclara avoir ce qu’il désirait de la part du Tree Barar pour les expériences de Naran dans les steppes. Ainsi, il était de retour, mais je mis cela de côté pour nous focalisé directement sur notre objectif qui était de les taillés en pièce. Et en parlant de ça, le Xaela eu la forte opposition d’un Grob désireux de venir de nouveau en aide à Kohaku après avoir fait une fine équipe tout ce temps dans la plus part de leurs actions.

Fonçant droit vers le Xaela, il voulait essayer de récupérer ses bras pour saisir les deux pistohaches qu’il possédait avant que le Xaela ne les écrase au sol en attrapant en retour les deux bras de Grob, soutenant la puissance du guerrier grâce aux fluides le renforçant directement. Blessant Grob de deux énormes coups, ce fut le temps nécessaires pour que Kohaku ne tranche tout les câbles dans son dos en le privant de ses précieux fluide, jusqu’à ce que le coup de tête de Grob ne l’envoie valser plus loin. Faisant revenir à lui les Pistohache d’un mouvement fluide, ses tirs ne cessèrent pas tandis que Grob saisit un énorme rocher du sol brisé, le soulevant en permettant à Kohaku d’avoir une parfaite couverture le temps d’approcher, propulsant la Shinobi droit vers le Xaela qui chuta sur sa tête, envoyant une décharge foudroyante si puissante que son casque éclata en morceaux en lui carbonisant le visage. Il ne risquait pas de s’en relevé, autant que le basilic qui tournoyait autours de nous avait rencontrer une fin funeste en la personne de Lucian et Lalavyr. Le Lalafell essayait de le noyer dans la lave, mais les mouvements rapide de la bête l’éloignait des flux d’une chaleur intense pour essayer de trouver un angle de ruée suffisamment efficace pour nous tomber dessus et nous déchiré de ses crocs. Sortant d’un coup du sol proche de Lalavyr et Lucian, le Lalafall vola plus loin en même temps que Lucian changea brusquement de position dans une lueur sombre, envoyant une énergie d’un mauve cristallin se fracasser lourdement contre la bête qui fut paralysée un instant.

Hurlant de douleur, la créature fut retenue d’un coup par un sort que Lalavyr malgré son état tissa à ses pattes, le coinçant sur place littéralement le temps que Lucian ne le tranche en deux en faisant passé une partie de son corps dans une faille, la refermant nette. Sans autres menaces, nous avons pu nous charger avec Finaen de l’antique Amdapori devenu un monstre gardien, chacun prenant un flanc de ce dernier en déchaînant nos coups en de grandes frappes mêlant la foudre à nos lames en se partageant les esquives et les chocs. Dès que j’esquivais, Finaen frappait et inversement jusqu’à ce qu’il puisse reculer soudainement. Impossible pour lui d’arrêter Runne qui avec un mot de pouvoir, arrêté nette l’influence de l’artefact en commençant à le purifier avec ce qu’il avait découvert dans la vision mémorielle. Concentré sur sa tâche, nous le débarrassions du gardien qui tournoya en l’air en créant de nombreuses armes autours de son corps. Des griffes, des haches, des épées, il fonda dans notre direction pour s’offrir un moyen d’abattre Runne, et fut accueillit par un flot d’éclairs sombres que Finaen déchaîna à son encontre en l’affaiblissant de plus en plus. Le coinçant dans la myriade d’éclairs, cela m’ouvrit la voie pour faire usage des techniques de mon cristal, laissant quelques échos de ma présence en tranchant encore et encore l’entité jusqu’à ce qu’elles ne soient plus que des souvenirs, et que son âme puisse enfin reposer en paix. Rengainant mon sabre lentement, l’artefact visiblement purifié par Runne d’une façons que je ne parvenais pas encore à saisir, il y avait instillé un sentiment d’espoir.

Ce sentiment qui nous fut si agréable, quand le Tree Barar fit une apparition avec une terrible menace : Dès qu’il aurait retrouvé ses forces, il s’attaquerait à Doma en représailles pour tout ce que nous lui avions prit en ce jour, avant de disparaître tel un flot d’oiseau d’un noir lugubre. S’en était fait. Nous avions brisés la source du Mornemaux même, bien qu’il nous reste encore à arrêté le Tree Barar lui même avant qu’il ne s’en prenne à Doma. Au moins, pouvions nous savouré un peu de calme pour apaiser nos maux et peut-être même profiter de la fête des étoiles l’espace d’une journée de répit. Tout en étant conscient que dans le nord de là, dans les Steppes, se jouait visiblement une nouvelle affaire avec le retour de Naran Aan Oronir. Et il était temps aussi de me retrouver un beau kimono blanc sous ma tenue en rangeant ce jaune ! »

Akayane Kosenjobi.

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