La tribu solaire C / Coeurl

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Laogide
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La tribu solaire C / Coeurl

Message par Laogide » 13 août 2017, 19:45

Attention. Cet article contient des spéculations, opinions et observations. Cela ne représente actuellement pas que le Lore officiel ni un consensus de communauté.


Introduction

La tribu des Coeurls fait partie des Seeker of the sun (Miqo'te solaire), une sous race de miqo'te étant éparpillés sur un large territoire.
Une partie de la tribu réside dans l'est du désert de Thanalan, proche d'un territoire d'homme bête des Pagi'than jusqu'à la côte de la baie de Dha'yuz.
On a connaissance de trois grands villages qui ont acceptés d'être étudiés, la tribu étant assez discrète.

Image
Race : Miqo'te
Clan : Les Chercheurs du Soleil
Population du clan = environs 200
Nombre de village = 3
Religion = Azeyma la gardienne; Les esprits de la nature; le Coeurl
Convention de nom : C' (Prononcé Ka)
Localisation : Thanalan Oriental, prêt de la bordure des Pagi'than et la côte de la Baie de Dh'ayuz
[table][tr][td]Sommaire :[/td][/tr]
[td]1 | Histoire
1.1 | L'histoire des Coeurl avec les Amalj'aa[/td]
[td]2 | Culture
2.1 | Politique
2.2 | La Jali
2.3 | Religion
2.3.1 | Le repos d'Azeyma
2.3.2 | Le lever d'Azeyma
2.4 | Rite de passage
2.4.1 | Le "Ton"
2.4.2 | Chanter/Chasser le monde
2.5 | Structure familiale et enfant
2.5.1 | La cour
2.5.2 | Nunhs et Tias
2.6 | Guerre
2.6.1 | Rituel de combat
2.7 | La mort
2.8 | L'impact des cultures extérieures[/td]
[td]3 | Art et musique
3.1.1 | Tissage
3.1.2 | Bijoux
3.2 | Tatouages
3.3 | Musique
3.3.1 | Instruments communs
3.3.2 | Danse[/td][/table]



1 | Histoire

Comme le reste de leur espèce, les Coeurls sont arrivés en Eorzea à la 5eme ère ombral, lorsque le pont de glace qui relie les continents a été créé. Les ancêtres de la tribu actuelle ont suivis leurs traditions mais également leurs croyances et leurs chefs. Durant la fin de la cinquième ère ombrale, quand la glace à commencée à fondre, la tribu a migrée dans l'est d'Eorzea, préférant le climat du désert. La plupart des membres de la tribu sont nomades. Ils ont réclamés une partie du désert proche de l'actuelle Ul'dah comme étant leur territoire. Durant les 100 années passées trois villages se sont écartés de la tribu qui est restée hostile. Ils ont alors créés leur propre culture abandonnant la plupart du style de vie nomade en faveur d'une vie sédentaire et non agressive.


1.1 | L'histoire des Coeurl avec les Amalj'aa

A cause de leur proximité avec les hommes bêtes du nom d'Amalj'aa, l'histoire des Coeurl est constituée d'une guerre ouverte avec les hommes bêtes. De chaques côtés ils clamaient que leur territoire était le leur en premier. Le véritable agresseur fut perdu depuis longtemps dans les différents conflits,qu'il soit des petites bataille ou des raids. A notre époque la tribu des Coeurls n'a plus été observée à franchir la frontière du territoire des pagi'than ou des Amalj'aa. Dans tous les cas, les hommes bêtes ont augmentés leur raids dans le Thanalan. Ce n'est donc qu'une question de temps avant que l'actuelle guerre froide finissent par redevenir active.


2 | Culture

Une chose importante à noter sur la tribu des Coeurl c'est leur large méthodes de communication. A cause de leur proximité et de la dureté de leur environnement, ils sont devenus sédentaires. Les coeurl ont développés une forme subtile de communication basée sur un semi-silence en utilisant des expression faciale, le placement de leur oreilles, de leur queue ainsi que de leur mouvement de mains. Ils utilisent cette forme de communication la plupart du temps entre eux pour se reconnaître à travers le monde. Quand un nouveau Coeurl sort de la tribu il est généralement pris pour une personne nerveuse à cause de cette forme de communication.



2.1 | Politique

Chacuns des trois villages de la tribu des Coeurls suivent un système de gouvernement étant dirigé par les cinq des plus vieux membres de la tribu. Trois femmes qui ont passé l'âge d'enfanter et deux hommes qui ont passés l'âge de la chasse. Ils se réunissent pour discuter du bien du village. C'est ce conseil qui détermine si une guerre ou non doit avoir lieux, des nouveaux endroit de chasse et la gestion de disputes avec les autres villages, les disputes entre Nunhs. C'est aussi au conseil de décider qui est considéré comme un maître chasseur, appelé "Ankobia", à travers les jeunes suivants leur entraînement.



2.2 | La Jali

La position de la prêtresse (Bardpriest) connu sous le nom de jali a un rôle important dans le village des Coeurls. Elle joue le rôle d'historienne, médiatrice dans les problèmes mineurs. Elle est le pont spirituel entre les éléments et la déesse, professeur de chant ainsi qu’enseignante de danse et accompagnatrice durant les rites de passage.

Le rôle de jali ne peut être tenu que par une femme et il est transmis de mère en fille. Il demande trop de voyage entre les différents villages et le reste du monde pour être tenu par un tia ou un nunh qui doivent être présent pour protéger la tribu.

Chaque village a sa propre jali. Quoi qu'il en soit elle doivent régulièrement quitter le village pour sourire au reste du monde afin de maintenir une relation positive avec les esprits et de partager leurs histoires en échange. Lorsqu'une Jali d'un village s'en vas, les deux autres jalis et leur filles doivent remplir les devoirs de l'absente. Le seul moment ou les trois jalis doivent être réunis est pour de grands festivaux.

Les Jalis des trois villages sont reliées. Lorsque la tribu traversa la glace a la 5eme ère ombrale, une femelle avait ce que l'on appelle de nos jours "l'echo". Elle avait trois filles, ces trois filles ont alors transmises ce dont au génération suivante. L'Echo ce manifeste de différentes façons selon les fonctions des jalis. Les Jalis se considèrent comme des soeur même si elles sont née de nunhs différents et doivent transmettre cette tradition.



2.3 | Religion

Comme la plupart des membres de leur race, la tribu des Coeurls prie la déesse du soleil, Azeyma. En son honneur ils se considèrent eux mêmes comme les guerriers des nuages et célèbrent donc de grandes festivitées annuelle. La tribu vénère également plusieurs manifestations d'esprits élémentaires comme le feu et l'eau. Deux éléments d'une grande importance à cause de leur environnement de vie désertique. Leur culte pour le Coeurl on fait de lui une créature de folklore, d'histoire avec une morale ainsi que d'un lien entre la tribu et Azeyma.


2.3.1 | Le repos d'Azeyma

Le repos d'Azeyma équivaut au solstice d'été, lorsque la tribu Coeurl crois que c'est a ce moment que Azeyma brille le plus fort avant de commencer à cacher son visage rayonnant derrière son éventail. C'est le jour où l'on célèbre ce qui a été accompli dans l'année pour montrer sa force, sa fertilité, sa joie et sa fierté devant le visage brillant de leur déesse. Le repos est souvent célébré avec des danses élaborées, des chansons certifiant l'accomplissement de la tribu tout autant que ceux d'une personne unique.
C'est également souvent à ce moment que des jeunes Tias essayent d'affronter les Nunhs.

C'est le jour du repos d'azeyma que le plus grand rituel possible est effectué alors que des petits rituels sont effectués le reste du temps. Il est considéré comme de bonne augure de se faire courtiser tout le long de la journée. Les croyances veulent qu'Azyma apporteras sa bénédiction pour la fertilité de la femelle ainsi qu'une harmonie entre la nouvelle femme et ses soeurs avec le nunh.

Auparavant, un rituel durant le repos d'azeyma était d'envoyer un tia choisi par le conseil pour être envoyé dans la nature pendant 24h sans arme, nourriture ou boisson. Si il revient il obtiendrait le statut de nunh durant une nuit, lui permettant de s'accoupler avec toute les femelles qui veulent de lui. Si un enfant né de cette union symbolique il aura la plupart du temps des yeux vairons, un symbole d'une grande importance dans la tribu mais également pour tout les solaires. Cependant le rituel tends à disparaître dû à l'ouverture au monde extérieur qui juge cette pratique beaucoup trop superstitieuse. Cependant elle continue d'exister auprès des plus traditionalistes.

Le repos d'azeyma est considéré comme une fête célébrant la masculinité de la tribu par la danse, la musique et les histoires raconter. Elle est également appelée "Nouvel an masculin" en certaine occasion.


2.3.2 | Le lever d'Azeyma

Le lever D'azeyma ce produit durant le solstice d'hiver, approximativement à la fin de la saison des pluie. Lorsque la tribu des Coeurls pense que la gardienne se réveille de sa longue période de repos et se prépare finalement à refermer son éventail. Comparé au repos d'azeyma, le lever de la gardienne est une fête profondément spirituelle qui se concentre sur la préparation de soi même et du village pour avancer dans la radiance de la lumière, de leur gardienne et d'en être digne. Une fête basée sur sur la relation entre les esprits et le monde des vivants. Chaque village effectue une danse rituelle qu'ils ont apprise et répétés durant des mois afin de former une chaîne ressemblant à une grande fourche de foudre. Cette dernière reliant les trois villages en passant de l'un à l'autre jusqu'à a ce que chaques lieux aient été foulé par les pieds des danseurs, au préalable colorés en bleu pâle en broyant une fleur rare qui ne pousse uniquement que durant la saison des pluies.

Cette même couleur bleu est appliquée à l'entrée de chaques villages en symbole pour relier les membres de la tribu à la créature de foudre qu'ils vénèrent.

Lorsque le soleil se lève, un grand nombre de lanternes sont allumées. A ce moment les chamanes (des femmes) ainsi que les Jalis prennent la parole pour raconter l'histoire d'Azeyma qui apparaît de son éventail. Dans la version la plus populaire, la radiance de la gardienne était si forte que les miqo'tes furent aveuglés et se perdirent dans le désert dans une errance sans fin. Ils auraient dû mourir mais c'est sans compter sur une reine coeurl ayant vu la déesse radieuse. La coeurl prit en pitié les pauvres miqo'tes et s'interposa entre les rayons lumineux du soleil et les pauvres âmes. La fourrure de la majestueuse coeurl brûlait tandis que les yeux de la gardienne se concentrent sur l'animal. Désolée elle ferma les yeux et eu l'idée de se faire un éventail pour que ce genre de chose ne se reproduise plus. Protégeant ainsi son peuple de sa brillance.

Durant cet événement les Jalis doivent ingurgiter certaines drogues pour se poser en état de transe tandis que le village chante et danse en la gloire de leur gardienne et du coeurl. Durant cette transe, les Jalis se retrouvent dans le monde des esprit pour demander aux esprits du feu et de l'eau, et s'ils sont chanceux au coeurl lui même, pour une année abondante, saine pour les enfants et une protection pour tous les jeunes qui passent à l'âge adulte.

A l'inverse du coucher d'azeyma cette période est centrée sur les femmes et appelée "Nouvel an des femmes"



2.4 | Rite de passage

Lorsque un miqo'te de la tribu du Coeurl approche de son douzième anniversaire il doit faire son rite de passage.

Dans un premier temps, le jeune est mis à l'écart par le conseil et la Jali de son village pour lui raconter l'histoire de leur peuple ainsi que des chansons et danses du rituel de passage. Il est par la suite gardé en isolement jusqu'à ce que tous les objets utiles pour le rituel soient récupérés par le village. Qu'importe leur sexe, les jeunes doivent broder veste et foulard ainsi que la création d'une arme qui se retrouve être bien souvent un arc ou une lance qui sera utilisé pour la partie finale du rituel.

Lorsque l'arme sera personnalisée et les danses et chansons apprises et effectuées devant le conseil et la Jali, ils peuvent approuver le passage à l'étape suivante. Le jeune sera envoyé dans le désert du Thanalan durant un jour et une nuit complète sans eau et nourriture.Un grand nombre de personnes affirment qu'ils ont eu des visions durant cette étape ou les éléments, le coeurl ou bien l'ombre de l'éventail d'Azeyma les guidents dans cette épreuve.

Quand le jeune revient au village il est récompensé par les vêtement qu'il aura cousu auparavant, mit en honneur et accueillis dans le monde de l'adolescence. Une petite fête durant laquelle le jeune devra chanter et danser devant toutes et tous, ce qu'il aura apprit par la Jali ainsi que le conseil. Il devra aussi raconter son aventure de survie mais aussi spirituelle qu'il aura eu dans le désert sauvage. Lorsque la célébration se termine, le jeune est libre de choisir un Ton, de partir de la maison commune de sa mère et d'apprendre à échanger. C'est à ce moment également qu'ils doivent choisir leurs tatouages. Souvent dans cette tribu les adolescents décident d'avoir des tatouages sur leur visage ou ailleurs racontant leur périple dans la nature sauvage.


2.4.1 | Le "Ton"

Le Ton est une communautée du village ou les ados apprennent à échanger. Tous les Tons sont ouverts aux deux sexes bien qu'il y ait des séparations pour la maison commune entre les hommes et les femmes, avec un ancien membre du Ton présent pour décourager les jeunes des relations amoureuses et sexuelles. Le Ton est semblable à ce que l'on appelle dans le reste du monde "Une école". Il y a un un ton guerrier où l'on apprend l'art de la guerre... Et il en va ainsi pour tous les domaines possibles.

La seule profession indisponible est le travail de Jali. Cette profession se transmet strictement de mère en fille pour pouvoir garder cette lignée du don de l'écho, mais également du à la complexité des nombreuses danses, chansons et rituels. Cependant les adolescentes destinées à devenir Jali sont encouragées à rejoindre un autre Ton bien que leur étude de futur jali est prioritaire.

Les Tons sont constitués de grades. Ainsi un guerrier sera dans un premier temps un simple éclaireur effectuant les tâches les plus ingrates (comme le ferait un écuyer). Il deviendra ensuite un apprenti qui sera prit sous l'aile d'un ancien membre du Ton qui devrat lui transmettre tout son savoir. Par la suite après un certain nombre de faits d'armes reconnus il passera au rang de guerrier. Il existe un rang au dessus du nom de “Ankobia”. Ce rang est attribué par le conseil pour récompenser les plus grands guerriers du Ton qui sont typiquement des personnes qui n'auront jamais baissés les bras, même si tout était perdu durant un combat.

Bien évidemment, chaque Ton a son propre fonctionnement qui peut être différent notamment pour tous les Tons qui ne se basent pas sur le combat ou la chasse.


2.4.2 | Chanter/Chasser le monde

Le rituel final de la plupart des membres de la tribu des Coeurl et celui de la Chasse du monde. (Appelé Chant du monde pour les filles de Jali). C'est un nouveau rite qui a commencé à la période ou Ul'dah a débuté son installation si proche du terrain de chasse traditionnel (ce qui a introduit la tribu au reste du monde). La légende raconte que après de nombreuses défaites pour l'attaque de la cité, les trois conseils se sont réunis pour décider
que la tribu devrait considérer cette "invasion" comme une opportunitée.

Le rituel se déroule lorsque un adolescent arrive au second rang de son Ton ou, pour le cas d'une jali, lorsque sa mère décide qu'il est temps. A ce moment le mentor qui a guidé le miqo'te doit lui donner une arme, des rations et un tissu ou ce retrouve brodé un symbole de protection et de connaissance. Le jeune est encouragé à voyager le plus loin possible pour ramener de nouvelles connaissances ou curiosités quelque soit le domaine. Ils doivent ensuite présenter cette découverte dans un lieux de culte en la gloire d'Azeyma.

C'est à ce moment la qu'un Tia et considéré assez vieux pour défier un Nunh, la plupart des adolescents en font leur priorité numéro une. C'est aussi à cette période que les femelles changent les indications sur leurs vêtements pour prévenir les Nunhs qu'elle peuvent être courtisées. Dans des occasion plus rare un Nunh peut demander à une femelle plus jeune de le rencontrer pour écouter ses chasses ou ses chansons. Particulièrement durant les saison de guerre.



2.5 | Structure familiale et enfant.

En tant que miqo'te solaire, les Coeurls gardent la tradition d'avoir un certain nombre restraint de mâles qui peuvent accéder à la reproduction et qui sont appelés Nunhs, tandis que les autres sont les Tias. Le nombre de Nunh par village ne dépasse généralement pas 4.

Dans les Tias se trouve également des adolescents et des hommes assez vieux pour ne plus pouvoir accéder à la reproduction, excepté les hommes qui sont au conseil .

Chaque Nunh possède en moyenne dix femmes, ce nombre dépend néanmoins de pas mal de paramètres et n'est qu'une moyenne.

Les femmes vivent dans une maison commune. Elles partagent leur chasse, récolte et cuisine ainsi que l'éducation des enfant à laquelle les très jeunes Tias et également les très vieux peuvent participer. Chaque membre d'une maison d'un Nunh est considéré comme de la même famille même si il n'y a pas de lien de sang. Ainsi il n'est pas rare d'entendre plusieur miqo'tes parler de soeur ou de mère alors qu'elle ne le sont pas. Le Nunh, dû au tabou de l'inceste ne sera jamais inclus dans ce genre de familiarité et recevra que très rarement le titre de papa.

L'éducation des enfants commence huit jours après l'accouchement, avant cela la mère et l'enfant sont mis à l'écart pour être loins de tout sentiments négatifs. La Jali est la seule autorisée à leur rendre visite pour prendre soin de la maman et de l'enfant. Le 8eme jour, l'enfant et présenté à la tribu et la Jali effectue un rituel durant lequel les éléments lui apprendront le nom attribué à l'enfant. Cependant il ne sera utilisé que lorsqu'il aura effectué le rituel du passage.


2.5.1 | La cour

Les rituels de courtisans de la tribu des Coeurls sont variés mais il est tabou de s'acoquiner à un Nunh d'un autre village. Par conséquent, les fêtes comme le repos et le lever d'Azeyma sont des échanges culturels extrêmement importants durant lesquels les femelles du village rencontrent les Nunhs et Tias du village voisin. La danse est la forme la plus commune pour le flirt. Les demoiselles dansent avant les hommes qui finissent par danser devant les femmes à leur tour dans des signes de force,de compétence, de beauté et de prouesse sexuelles. C'est ainsi les seul moment ou une femme peut être courtisé par un Nunh extérieur au village ce qui en fait une pratique courante.

Quand un Nunh décide d'une femme qu'il aimerait courtiser il lui donnera un petit cadeau comme des bijoux ou des petits morceaux de tissus brodés ou tissés, voir même, pour les femmes plus combattantes, des armes incrustées de pierres ou avec une lame décorée. Si le cadeau est accepté, le Nunh organisera une cérémonie d'enlèvement de la femme pour la sortir de son Ton, généralement avec l'approbation des autres membres de l'habitation. Si tout se déroule bien la femme déplacera ses affaires dans la maison commune du Nunh. Si elle est déçue par le Nunh d'une manière ou d'une autre, elle demandera à un tia de son village de venir effectuer le rituel inverse pour retourner chez elle.

Le concept de mariage et de divorce ne sont pas suivis dans la tribu bien qu'ils soient conscients que ce genre de chose existe. Si une femme se sent négligée ou mécontente du Nunh, elle peut quitter son logement et rentrer ou, dans le cas ou un autre Nunh la courtise, elle peut se fait enlever de chez son Nunh actuel. Cela se produit généralement avec des femmes plus jeunes qui n'ont pas encore portées d'enfant et qui écoutent les autres femmes plus âgées de leur mécontentement envers leur Nunh.


2.5.2 | Nunhs et Tias

Lorsqu'un Tia décide de défier un Nunh pour le droit de reproduction, le Nunh
choisit les arme et le Tia les conditions de victoire.

Si un Tia est vaincu, il devient la risée de la tribu durant un court laps de temps le forçant généralement à travailler sur lui même pour retourner assez facilement dans les
bonnes graces de la tribu.Il est tres mal vu d'affronter à répétition un Nunh, le conseil pouvant apporter un jugement qui considérera que c'est de l'ordre d'un problème plus personnel pouvant mener ce dernier en cas extrême à l'exil.

Si un Nunh perds sa place dans le village, il deviendra un Tia respecté mais les femelles qui sont avec lui retourneront à leur village avec leur progéniture . Le nouveau Nunh devra alors commencer à faire un rituel de courtisans.



2.6 | Guerre

La tribu des Coeurls et absolument pacifique entre elle. Ils ont cependant une longue histoire de guerre sanglante avec les Amalj'aa. Ils ont également eut de nombreux problèmes avec les pirates qui ont essayé d'utiliser la baie de Dha'yuz comme une terre de repos. De ce fait ils ont réussis à transformer leur force naturel comme la chasse, leur ouïe et leur odorat pour devenir de puissants guerriers.

Les Coeurls se concentrent soit sur le corp a corp soit sur l'archerie ce qui font d'eux des guerriers peut polyvalents mais extrêmement puissants dans leur domaine. Généralement regroupés en différents petit groupes ils encerclent leur ennemis, communiquant de façon silencieuse entre eux pour surprendre l'adversaire. Si jamais ils se retrouvent en difficulté ils vont alors feinter une fuite pour tendre des pièges à leur adversaire avec leur connaissance de l'environnement.

Les Coeurl ne sont pas réputés pour la magie et hormis quelques prodiges il est rare d'en rencontrer si ce n'est les Jalis et les chamanes. Les Jalis sont d'ailleurs d'excellentes soigneuses bien que ce soit principalement des soins à base de plante et de leurs compétences d'alchimie.

Lors d'un combat, les membres de la tribu des Coeurl peignent leurs corps de symboles bleu foncés. Il est possible également qu'ils enduisent leur griffes de poison pour rester dangereux s'ils sont désarmés.


2.6.1 | Rituel de combat

La tribu Coeurl pratique un rituel de combat unique, en ce sens qu'ils n'utiliseront que certains matériaux dans les armes utilisées pour tuer les ennemis contre les armes utilisées pour chasser. La croyance est que la chasse est un rite sacré, tout comme la bataille. Un arc de chasse, par exemple, peut être décoré avec l'intestin de l'un des premiers animaux chassés par le miqo'te, alors qu'un arc de guerre sera attaché avec les cheveux du premier ennemi confronté avec succès.



2.7 | La mort

Le point de vue de la tribu sur la mort est celui du renouvellement. La mort fait partie du cycle de la vie et, par conséquent, l'esprit des morts doit être encouragé à s'en aller. À la mort d'un membre du village, le village se rassemblera pour brûler le corp. Lors de la crémation, il est souhaité que le défunt miqo'te continue à «vivre dans la chaleur de la Gardienne». Les cendres sont ensuite prises et utilisées dans la fonte de plusieurs petites cloches qui sont accrochées dans les fenêtres et les portes de l'ancien foyer ou Ton du défunt, où le vent du désert les amènera à joindre joyeusement et à rappeler les vivants de la luminosité de la La vie au-delà.



2.8 | L'impact des cultures extérieures

La tribu des Coeurl ne se trouve pas très loin d'Ul'dah, en raison de la proximité de cette grande ville animée, de nombreux jeunes ne reviennent pas de leur Chasse ou de leur Chant du Monde. Chaque année, un certain nombre d'adolescents disparaissent et ne revienne jamais de ce rite .

Bien qu'ils soient assez sectaires, les Coeurls ont un concept de “diyafa”, autrement dit d'hospitalité, qui font que même si un ennemi demande hospitalité ils se verront lui accorder. Les villageois semblent se contenter d'être le plus éloignés du monde possible mais si ils doivent accueillir quelqu'un, il leur ouvriront leur portes volontier.

Ceci dit avec le rituel de la Chasse et du Chant du Monde, ils ne sont pas en retard sur les connaissances du reste d'Eorzea. Ce qui entraîne certains changements du fonctionnement des tribus. Ainsi, les tribus de demain ne seront pas les tribus d'aujourd'hui.



3 | Art et musique

3.1 | Habillage

La tribu des Coeurls favorise les vêtements relâchés et fluides, teints ou tissés avec des couleurs vives.
Après le rituel d’âge, les villageois ont chacun tagelmust (aussi dit chèche) ou une combinaison de turban/voile qui est brodé de façon de plus en plus élaborée au fil de leur vie. Typiquement, le tagelmust est teint en bleu clair en utilisant une méthode particulière incrustant la couleur dans le tissu, en raison d’un manque d’eau facilement disponible. A mesure que le miqo’te grandit, il rajoute des broderie au foulard jusqu’à ce que les détails de leurs actes camoufle pratiquement entièrement le bleu originel.


3.1.1 | Tissage

Les membres du Ton de tissage de la tribu Coeurl ont beaucoup appris du monde extérieur, en particulier d’Uld’ah. Ils sont devenus très habiles pour user de leur dextérité naturelle afin de créer des designs élaborés où chaque couleur a sa propre signification. La tribu est devenue connue dans certains cercles pour l'éclat de leurs couleurs et la délicatesse de ses conceptions, débutant alors des tentatives d’exportation de leur tissages à Ul’dah.

Certaines couleurs ont des thèmes chez les Coeurls :

Bleu clair : Liens spirituels, éclairs
Bleu foncé : Force, puissance de combat
Or/orange : Fertilité, joie, gloire; Associé à Azeyma
Violet : Féminité, fertilité
Vert : La guérison, la croissance et la pureté
Noir : Festivaux, énergie spirituelle.


3.1.2 | Bijoux

Les bijoux sont communs pour les mâles et femelles de la tribu des Coeurls, avec des designs variés mais pouvant aller de l’abstrait à l'élaborer. La tribu favorise l’utilisation de symboles qui sont alors très populaires sur leurs bijoux, évoquant les adages, les vieilles histoires, les héros populaires. Les cristaux, pierres précieuses et métaux précieux sont communs, la plupart des bijoux étant réalisés en utilisant soit la méthode d’une coulée de cire, soir dans une méthode en filigrane, favorisant les designs délicats et permettant une grande complexité.

Les Nunhs du village portent chacun une arme de cérémonie qui est davantage considérée comme une pièce de bijouterie. Une épée créée à partir de verre fulgarite, le verre fabriqué lorsque la foudre frappe le sable. Soigneusement fabriqués par les meilleurs forgerons d’épée des villages, ces épées sont transmises lorsque les Nunhs sont mis au défi, symbolisant à la fois la force et la fragilité de leur position dans la tribu.

Les femelles ont tendance à favoriser les petites cloches autour de poignets et chevilles quand elles sont dans le village.

A l’heure actuelle, les mineurs d’Ul’dah ne se sont pas rendus compte que les sables autour des villages des Coeurls sont riches en or et pierres précieuses.



3.2 | Tatouages

Tout comme les bijoux, les tatouages de la tribu des Coeurls tendent vers des symboles abstraits et de profondes significations. La plupart des membres de la tribu sont tatoués d’une forme ou d’une autre, dont beaucoup reçoivent leurs tatouages lors de leur cérémonie d’âge et en rajoutent après leurs chasses/chansons. Il est commun dans la tribu de voir des tatouages sur le visage, sur les joues et le nez ainsi que sur les bras et épaules.



3.3 | Musique

3.3.1 | Instruments communs

La tribu des Cœurl favorise les instruments de percussions. Plusieurs types de tambours étant très répandus dans les villages. Chaque village dispose d'un très grand tambour destiné être utilisé comme système de relais pour les messages, jusqu'à de très petits tambours à bong entre les genoux. Chaque village possède un tambour sacré que le Jali utilisé pour les sons rituels, fait en cactuar représentant le coeur du Coeurl. L'imaginaire dit que ces tambours battent avec le cœur sacré du cœurl lui même. Ces tambours sont soigneusement entretenus par le Jali pendant de nombreuses générations

En plus des instruments à percussion, d'autre comme les cloches et les flûtes en os sont assez communs. Les tribus utilisent aussi beaucoup d'objet ornant les poignets et chevilles, les oreilles et les queues dont le tintement crée un accompagnement aux fortes percussions dans leurs danses.

La tribu des Cœurls utilisé aussi leurs voix dans certaines ululations et appels, ayant des vocalises bien plus larges que les autres races communes.

3.3.2 | Dance

La danse est une partie très importantes dans la culture des Cœurls. Cela fait partie de leurs rituels de parades, des rituels de passage d'âge, d'une partie de leurs rites religieux et de leur vie spirituelle. La majorité des danses des Cœurls impliquent des mouvements du corps entier, du bout des oreilles jusqu'aux extrémités de leurs orteils. Ils se laissent entraîner par les fortes percussions créées par les tambours et leurs patins frappant le sol.

Dans une espèce où la communication peut changer directement par un mouvement d'oreille ou la position de la queue, ces appendices des Cœurls font une grande part de leurs danses. Ils sont utilisés pour évoquer des émotions alors que leurs visages sont cachés par un masque ou leurs mains.

Le costume cérémonial des Cœurls est porté durant leurs danses et il existe une multitude de danses différentes, pour les hommes, pour les femmes comme communes aux deux.


Source :

https://wiki.ffxiv-roleplayers.com/pages/Coeurl_Tribe
(Merci au propriétaire du personnage de Judy et autres participants pour l'aide à la traduction le soutiens à la correction)

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