Le Gentleman
Le Malfrat
Le Leitmotif
Sa Voix
Le Malfrat
Le Leitmotif
Sa Voix
On parle d'un homme invisible dont on ne peut manquer la silhouette. Un nom que l'on ne découvre que rarement, mais que l'on ne parvient pas à oublier. N'apparaissant que peu, ceux qui l'observent voient apparaître un dandy dépassant tout son entourage d'une bonne tête, habillé d'un beau smoking blanc démuni de toute imperfection et au pantalon droit très finement taillé.
Au sommet de ce mètre quatre-vingt-dix, un visage charmant où un seul œil vert détourné par une sorte de tatouage ou maquillage d’œil oudjat, l'autre, dissimulé sous une mèche de cheveux à la rousseur flamboyante. Enfin, au sommet de sa chevelure trône un chapeau de feutre noir qui laisse une plume se faire caresser par les vents.
Les bruits de pas de ses chaussures sont toujours accompagnés par ceux d'une canne métallique tenue dans d’épais gants de cuir noir, si indissociable qu'elle semble être une entière partie de ce froid gentleman à la réplique cinglante et aux manières permissives.
Au sommet de ce mètre quatre-vingt-dix, un visage charmant où un seul œil vert détourné par une sorte de tatouage ou maquillage d’œil oudjat, l'autre, dissimulé sous une mèche de cheveux à la rousseur flamboyante. Enfin, au sommet de sa chevelure trône un chapeau de feutre noir qui laisse une plume se faire caresser par les vents.
Les bruits de pas de ses chaussures sont toujours accompagnés par ceux d'une canne métallique tenue dans d’épais gants de cuir noir, si indissociable qu'elle semble être une entière partie de ce froid gentleman à la réplique cinglante et aux manières permissives.
Ces dernières années, le sous-monde du marché noir et des malfrats voit une prolifération fulgurante de citrouille. De plus en plus de marchandises arborent la signature d'un visage orange aux yeux démens et au sourire carnassier, tandis que les « petit dealers » perdent de plus en plus leur indépendance. On dit que cette véritable invasion du marché noir est l’œuvre de « Monsieur Jack » ou encore « Jack O' Lantern », mais ce n'est qu'un nom de façade pour désigner celui qui se cache sous ce signe.
Les quelques malheureux qui se sont confrontés à lui, et ont eu la vie sauve, ne sont pas près d'être considérés comme saint d'esprit d'ici peu. Entre quelques paroles traumatiques, les témoins parlent d'un homme grand et classieux mais dénué de tout sens morale. Il ne ferait que ce qu'il aime, laissant ses larbins se salirent à sa place quand il ne juge pas nécessaire de se mouiller. Mais quand il le fait, on prétend que c'est motivé par sa fierté qu'il étale toute sa cruauté. Le dit « Jack » est la tête d'une mafia violente, et ce n'est pas surprenant que le commanditaire de tout leur méfaits soit à leur image. Meurtre, vole, sabotage, contrebande de cristaux, d'armements, de drogues et même de matières premières jusqu'au trafic d'humain font partis des sombres activités dans lesquelles baigne la citrouille.
Le mot court que les forces de l'Ordre ont son visage d'affich sur des mandats d'arrestation, enfoui sous des montagnes de papier... Connu mais pourtant intouchable, enregistré parmi les pires criminel, les rares officiers à être au courant de l'existence du véritable visage de Roman Torchwick semblent paradoxalement ne pas se démener plus que ça pour l'arrêter. Et puis, quelles preuves pour l'arrêter ? Un homme est retrouvé mort ? C'est un suicide, une attaque de monstre ou encore un accident. Un convoi est attaqué ? Il n'y a que des traces d'hommes bêtes ou de monstre. Un bâtiment brûle ? Un employé à oublié d'éteindre une bougie.
Les quelques malheureux qui se sont confrontés à lui, et ont eu la vie sauve, ne sont pas près d'être considérés comme saint d'esprit d'ici peu. Entre quelques paroles traumatiques, les témoins parlent d'un homme grand et classieux mais dénué de tout sens morale. Il ne ferait que ce qu'il aime, laissant ses larbins se salirent à sa place quand il ne juge pas nécessaire de se mouiller. Mais quand il le fait, on prétend que c'est motivé par sa fierté qu'il étale toute sa cruauté. Le dit « Jack » est la tête d'une mafia violente, et ce n'est pas surprenant que le commanditaire de tout leur méfaits soit à leur image. Meurtre, vole, sabotage, contrebande de cristaux, d'armements, de drogues et même de matières premières jusqu'au trafic d'humain font partis des sombres activités dans lesquelles baigne la citrouille.
Le mot court que les forces de l'Ordre ont son visage d'affich sur des mandats d'arrestation, enfoui sous des montagnes de papier... Connu mais pourtant intouchable, enregistré parmi les pires criminel, les rares officiers à être au courant de l'existence du véritable visage de Roman Torchwick semblent paradoxalement ne pas se démener plus que ça pour l'arrêter. Et puis, quelles preuves pour l'arrêter ? Un homme est retrouvé mort ? C'est un suicide, une attaque de monstre ou encore un accident. Un convoi est attaqué ? Il n'y a que des traces d'hommes bêtes ou de monstre. Un bâtiment brûle ? Un employé à oublié d'éteindre une bougie.
Mais la Lantern n'est pas qu'un signe qui apparaît tout seul au milieu de nul part, les ordres du Parieur sont portés par ceux qui se comparent à des Cartes dans la Main d'un joueur avisé. Ces hommes habillés d'un costard noir et caractérisé par une paire de lunettes aux verres rouges et des armes au métal teintés d'écarlate sont les véritables agents du génie criminel qui les dirigent. La majorité d'entre eux sont des hyurs dont les vrais noms ne sont jamais dévoilés. Ces « Cartes » sont le profil type des malfrats classique, brutaux, calculateur et démuni d’empathie, à la différence que tous sont de loyaux hommes de mains dévoués corps et âme à leur « patron » qui seraient capable de donner leur vie pour protéger son business.
Personne ne sait combien ils sont à servir le Prince du Crime, mais on les retrouves partout en Eorzéa. Et plus ils sont nombreux en un même lieu, plus l'influence de leur Chef se fait grande. Les Cartes sont des combattants expérimentés, on retrouve dans leur rang tout les profils : Gladiateur, Maraudeur, Machiniste, Archer et même quelques mages. Leur organisation est tenue secrète, mais il est connu qu'elle est très complexe. Le seul élément que l'on sait de celle-ci, est le terme de « Pion ». Une mafia ne se repose pas que sur ses membres composants, en réalité, les Cartes comptent aussi beaucoup sur les démunis et les désespérés. Un Pion est autant un trafiquant soumis à la « protection » du visage de citrouille qu'un père de famille écrasé sous les dettes qui n'a d'autre choix que de mettre de coté sa fierté pour garantir à son enfant un repas et un toit à la fin du mois...
Est-ce sa fille ? Sa sœur ? Son amie ? Son amante ? Les théories fusent quant à la relation que le prince malfrat entretient avec sa partenaire du crime. Quand un grand dandy de blanc vêtu, appuyé sur sa canne métallique fait ses apparition dans le « monde commun », une douce et mignonne jeune femme aux manières de petite fille toute rose l'accompagne. Jamais un mot ne vient rompre la continuité de son sourire innocent, et ses yeux rose et marron sont toujours rempli d'amour pour le Flambeur qu'elle suit aveuglément.
Et pourtant, cette jeune fille qui se montre fragile et innocente à la lumière du publique est sans doute encore plus dangereuse que son « prince ». Là où celui-ci est prompte à laisser la vie sauve, elle, n'a jamais entendu parler du mot de pitié. Car sous cet aspect charmant, se cache un monstre avide de sang et de combat.
Meurtrière précise et passionnée, voleuse habile et insoupçonnable, elle est très clairement la meilleure carte au service du gentleman criminel, si terrifiante, que l'on préférerait le voir en personne plutôt que de devoir traiter seul à seule avec cette psychopathe muette.