Voici le début du Background de Chan'qu, une barde comme une autre. L'histoire tournera autour de deux Miqo'tes, une adulte, et Chan'qu, une simple gamine à l'époque que le récit se déroule. Une étrange rivalité verra le jour alors au sujet du jour et de la nuit. Elle grandira alors pour devenir le personnage que vous croiserez peut-être. Bonne lecture.
Prologue :
Fragments du passé I :
Opacité et splendeur.
Chère Chan’qu.
Moi Miqo’te de la tribu de la lune te commet le plus magnificent présent de ma sénestre et dextre, la narration de l’initiation de l’écrivaine-barde que tu as prise chair en m’accompagnant.
Chaque récit s’amorce et se consume.
Le voile enténébré et funeste au firmament s’inaugure aux portes de la mort.
Que tes tirades se calcinent en mots puis se burinent de ta ponce en ton essence !
Par des lettres dessinées, tu controuveras ton étage dans ce ciel de chance.
Une lueur crépusculaire inexperte se lève et en poindra tempéré et modeste.
J’ai l’intention de m’aliéner au sommeil pour des lustres jusqu’à me corrompre en tas d’os.
Mon heurette est advenue, c’est le temps de te léguer ce livre de nos mémoires.
Fille du soleil, j’ai appris à aimer et me percevoir dans le jour.
Moi, la femme de nuit t’a induit la voie dans le noir.
Ad vitam æternam, l’astre de feu se départira à l’entour le luminaire au front d’argent par l’intercession de l’invincible entité, les secondes. La félicité qui s’acquiert par des poussières choit en cendre un nycthémère ou l’autre.
Je jalousais mes féaux en ce contexte, par cette appétence maternelle dévoratrice croissante en mon tréfonds, ils ne peuplaient que de leurs enveloppes de sang, je ne laissais aucun héritage de mon être pour ce monde pour ma part au moment. Si la dilection s’argua à mon âme pour mon dessein de l’individualité sœur, pour concevoir mon hoir, j’allais l’adopter. Mon ventre métamorphosé à l’aboutissant d’une lésion délétère rendit infertile cette enveloppe et me dépossédait du privilège de procréer une descendance.
Ma monotonie et mes obligations me firent pièce au mortel que j’étais, enchainé à ses gouvernes tenues dans ces petites mains, troublées par un cas de conscience de relève ! Je me révélais comme la Coulombe dans la geôle d’or.
De ma dextre de scalde, j’esquisse la sépia de mon fatum sur ces extraits de notre vie. L’aurore d’un corps céleste pronostique la fin d’une inchangée, une exhalera le dernier soupir et une nouvelle écrivaine naîtra. Toi, l’enfantelet miqo’te, tribut du soleil de distinction rescapé d’une tragédie commensurable à ma nuit des temps lorsque j’avais ton âge, je t’ai élu du premier regard à l’orphelinat. J’avisai une opalescence de vécu de mon eccéité en toi. Cette équipollence transsudée une liminaire fois s’abîma son nez, une fois de plus dans un ramassis de feuilles. Elle me remembra mon histoire, la miraculée d’antan.
Tu personnifiais la nitescence de mes équinoxes de liesse.
Puis un jour végéta, toi, ma progéniture adoptive, de jadis, d’elle-même fut ultimo en posture de coucher sur le papier ses prestiges.
Vole maintenant de tes propres ailes.
Cordialement celle qui t’a élevé.
Moi Miqo’te de la tribu de la lune te commet le plus magnificent présent de ma sénestre et dextre, la narration de l’initiation de l’écrivaine-barde que tu as prise chair en m’accompagnant.
Chaque récit s’amorce et se consume.
Le voile enténébré et funeste au firmament s’inaugure aux portes de la mort.
Que tes tirades se calcinent en mots puis se burinent de ta ponce en ton essence !
Par des lettres dessinées, tu controuveras ton étage dans ce ciel de chance.
Une lueur crépusculaire inexperte se lève et en poindra tempéré et modeste.
J’ai l’intention de m’aliéner au sommeil pour des lustres jusqu’à me corrompre en tas d’os.
Mon heurette est advenue, c’est le temps de te léguer ce livre de nos mémoires.
Fille du soleil, j’ai appris à aimer et me percevoir dans le jour.
Moi, la femme de nuit t’a induit la voie dans le noir.
Ad vitam æternam, l’astre de feu se départira à l’entour le luminaire au front d’argent par l’intercession de l’invincible entité, les secondes. La félicité qui s’acquiert par des poussières choit en cendre un nycthémère ou l’autre.
Je jalousais mes féaux en ce contexte, par cette appétence maternelle dévoratrice croissante en mon tréfonds, ils ne peuplaient que de leurs enveloppes de sang, je ne laissais aucun héritage de mon être pour ce monde pour ma part au moment. Si la dilection s’argua à mon âme pour mon dessein de l’individualité sœur, pour concevoir mon hoir, j’allais l’adopter. Mon ventre métamorphosé à l’aboutissant d’une lésion délétère rendit infertile cette enveloppe et me dépossédait du privilège de procréer une descendance.
Ma monotonie et mes obligations me firent pièce au mortel que j’étais, enchainé à ses gouvernes tenues dans ces petites mains, troublées par un cas de conscience de relève ! Je me révélais comme la Coulombe dans la geôle d’or.
De ma dextre de scalde, j’esquisse la sépia de mon fatum sur ces extraits de notre vie. L’aurore d’un corps céleste pronostique la fin d’une inchangée, une exhalera le dernier soupir et une nouvelle écrivaine naîtra. Toi, l’enfantelet miqo’te, tribut du soleil de distinction rescapé d’une tragédie commensurable à ma nuit des temps lorsque j’avais ton âge, je t’ai élu du premier regard à l’orphelinat. J’avisai une opalescence de vécu de mon eccéité en toi. Cette équipollence transsudée une liminaire fois s’abîma son nez, une fois de plus dans un ramassis de feuilles. Elle me remembra mon histoire, la miraculée d’antan.
Tu personnifiais la nitescence de mes équinoxes de liesse.
Puis un jour végéta, toi, ma progéniture adoptive, de jadis, d’elle-même fut ultimo en posture de coucher sur le papier ses prestiges.
Vole maintenant de tes propres ailes.
Cordialement celle qui t’a élevé.