Carnet de Rapport du Chevalier Eïffy Lhayn
Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.
Vingt-et-unième Rapport – Mission de Rang A - « Du sang, des Gils, et une Lalafell»Capitaine des Lameciel, de la Maison Fortemps.
« La fin de notre mission, après un peu moins d’une semaine de voyage dans le Thanalan, et beaucoup d’espoir de ce véritable périple, nous en étions au bout de cette route. La fatigue nous gagnait, et le dépaysement était grand quant au manque de notre confort en Ishgard, et l’amour que nous évoque l’étendue du Coerthas. Le village de Pointegras, un nom affreux pour un lieu qui l’était encore plus, connue des bas-fond des voleurs comme un lieu parfait plein de corruption et de manquement aux règles, disparaissant des rapports des Immortels à cause d’un d’eux. Wilfrid avait hâte d’avoir un moyen véridique de mettre la main dessus sans se mettre en grand danger lui et les siens. Et cet espoir, c’était en ce moment nous, afin de retrouver Maïtahtah Maïtah, de la famille Pontah au milieu d’un désordre rempli de brigand, d’enleveur et autres joyeusetés sous la coupe du truand Onotsaku, un perfide félon qui méritait depuis longtemps la geôle dans le Thanalan.
Nous nous sommes mis en route d’abord avec Sir Gaedon Sorel et Sir Jereck Lameciel, tout les trois partant le long du nord du Camp des Os desséchés vers ce lieu solitaire, en passant par la grand route couverte de voyageurs et de marchands vers ce lieu de vie. Il y avait beaucoup de monde, un homme vendant ses choux en les agitant en l’air, de la nourriture, des affaires différentes, et pendant les premiers temps c’était très calme. Le soleil était plaisant, car la chaleur n’était pas intense, l’atmosphère détendue et rendue plus humide par une pluie récente, un vent frais glissant abaissant encore plus la chaleur, même haute, largement plus supportable qu’hier lors de la bataille où sans le refroidisseur je serais devenue un œuf au plat. Gaedon s’arrêta pour prendre une gourde d’eau, méfiant, quand Jereck lui expliqua ce qu’il avait vu, l’emblème étrange d’un dragon blanc autours d’une sphère représentant le monde, des chaînes tournoyantes autours avant de descendre dans le vide. Nous ne l’avions pas encore à ce moment, mais c’était bien l’emblème d’Onotsaku, le maître-esclavagiste oriental ayant enlevé la famille de Moutah il y à longtemps de cela.
Continuant notre route, faisant bien attention à nous et à ce qui se trouvait autours de nous, plus nous nous enfoncions sur le passage menant uniquement à Pointegras, plus il n’y avait plus que des banderoles mauves étrange à chacun des étals, les désignant comme étant la propriété du maître des lieux. A un endroit où la nourriture était très nombreuse, des odeurs nous envahissant, il y avait un gros bonhomme en bleu, agitant sa canne, nommé « Le Farfadet », qui était présent en tant que Commissaire-priseur des ventes humaines. Il s’agissait simplement d’attraper un des « non-régulier », ceux n’ayant pas de symbole d’Onotsaku sur eux, pour les mettre sur scène et être vendu aux enchères. Gaedon avait discuter avec, comprenant le système local avec une colère immense. Jereck bouillonnait comme le volcan de Vylbrand, mais se retenait par respect pour Gaedon qui mena son plan jusqu’au bout : Il ne fallait pas être repérés avant de tomber face à Philoix de Bublauchon dans son manoir. Laissant les chants et les rires, après un homme réclamant un prix sur une petite fille, il se jurait de venir les libérés tôt ou tard.
Pendant la suite de notre marche, un jeune garçon essaya de voler la bourse de Gaedon, celui ci ayant été très attentif, il réclama au petit garçon de lui expliquer la situation et de lui dire si il avait confirmation de la présence de la Lalafell qu’on recherchait. Il expliqua qu’étrangement, elle avait été offerte au service de Bublauchon, mais n’avait jamais été revue au manoir. Elle avait simplement disparue après son arrivée, et nous n’avons pas pu en apprendre plus à cause de la venue des Immortels, ceux au service d’Onotsaku. Le combat qu’ils voulaient déclencher n’eut pas lieu grâce à Gaedon, le crétin s’en allant avec les rires de ses camarades. Ils étaient promit à un avenir funeste dès que la bride de Jereck serait lâchée, les ténèbres prompt à ne laisser rien pas même un souvenir. Et la suite serait encore pire.
Un Miqo’te bedonnant, pas obèse comme le Farfadet, mais avec un gros ventre couvert sous des riches soieries. Il était entouré d’une femme, une magicienne ayant le regard plongé dans son ouvrage, et un massif Roegadyn tout en muscle. Il s’approchait, non loin de l’entrée de Pointegras, et s’intéressa à moi : Il s’agissait d’un ancien Tia d’un clan Solaire, frustré de ne jamais avoir pu devenir Nunh, il avait décidé de faire en sorte de pouvoir avoir toutes les Miqo’te qu’il pouvait avoir, et visiblement j’allais être parmi sa collection. Désireux de m’amener vers les ventes du Farfadet, Gaedon joua d’un subtil jeu d’acteur en faisant croire que j’étais une guerrière couverte de dette qui devait être livrée à De Bublauchon avant tout. A l’instant, nous ne pouvions pas savoir qu’il n’était pas si coupable, Philoix, mais pour nous il était encore le coupable suprême, et le Miqo’te surnommé « Le joueur de carte » rigola avant de nous mené avec joie vers son « très bonne ami ». Nous menant vers le Garde, alors que Moutah venait finalement d’arriver.
Néanmoins, l’Immortel de garde s’intéressa à Moutah, qui lui montra ses symboles en souriant. Celui de la compagnie Po Bibau les rendirent sceptique, trop, et un fila en vitesse prévenir de ce qu’il venait de voir. Rentrant à l’intérieur quand Gaedon et Jereck firent jouer de cette relation nouvelle avec le Joueur de carte, qui fut amusé et passa en écartant les Immortels soudoyés, pour nous faire découvrir Pointegras. L’espace bas était réserver aux esclaves, dans des tentes minables, des lieux affreux ou traînait parfois un ou deux privilégiés qui venait « faire des courses » parmi ceux balancés ici dans l’attente d’être usés d’une façons ou d’une autre. Et dans la partie haute, des amas de coussins avec bien des gens étalés dessus. Riant, braillant des histoires en buvant, fumant, se dandinant. Des soieries installées un peu partout, donnant des impressions de couleurs irréelles venant de partout autours d’eux. Des objets dorés reluisants un peu partout, c’était véritablement un espace de vie de luxure et de débauche, des personnes se tripotant pratiquement en publique sans que je n’ose attarder mon regard trop longtemps sur cet hideux spectacle qui dans nos envies à tous, finiraient par être purifié de cette liberté vorace qui finissait par réduire l’être humain à l’état de bête totalement asservie par ses sentiments les plus noirs.
Quel scène absurde, et Moutah du s’échapper en vitesse, se recouvrant de soierie pour passer inaperçu, quand un Immortel apparu en nous demandant si nous n’avions pas vu le Lalafell au cheveux vert, craignant qu’il ne soit là pour Maïtahtah Maïtah. Mais Jereck le renvoya avec dédain quand il lui montra qu’il n’y avait personne, et la route pu finir jusqu’au Manoir de Bublauchon. Deux colosses nous attendait, un cachant son équipement et l’autre porteur d’une grande épée, les deux Roegadyn dans des armures massifs les recouvrant complètement. Le joueur de carte nous laissa ici en nous saluant, partant avec sa magicienne de garde mais nous laissant son protecteur qui rentra avec nous, les portes se refermant lentement sous la surveillance des deux colosses bloquant l’accès à quiconque voudrait rentrer. Ou sortir même. Mais dans l’instant j’observais l’étendue du manoir magnifique, tout était si blanc ici, si lisse, une statue de la Sultane et une de Raubhan dans un coin. Des soieries, toutes d’un bleu ciel prenant, et une grande table de buffet avec un trône au bout où Philoix cessa de contempler les différents tableaux pour nous regarder et nous faire signe de le rejoindre.
Le protecteur du Miqo’te parti dans une des autres salles, pendant que De Bublauchon expliquait à Gaedon qu’il lui était tout à fait impossible de lui livrer la Lalafell, car il ne savait pas où elle était, et que nous devrions me vendre ailleurs et partir, car tout ça ne le regardait pas. Jereck et Gaedon ne voulaient pas jouer à ce petit jeu, surtout que Moutah nous signalait qu’il était en position pour créer une émeute dehors : Il avait pu retrouver Stanislas caché dans les ruelles adjacentes, et préparer ensemble un plan pour atteindre l’armurerie afin d’équipé les esclaves prêts à se mutiné pour se libéré. Jereck activant son éthérimètre, découvrit qu’un des tableaux était faux, un Roegadyn derrière pointant une arme à feu vers Philoix de Bublauchon comme pour s’assurer qu’il ne fasse pas de bêtise. L’énergie des ténèbres projeté par Jereck droit dessus brisa l’illusion, et envoya le Roegadyn au sol. Les combats pour la liberté, partout, pouvaient commencer.
Réagissant immédiatement, un des Colosses retira son casque et dévoila son arme : C’était le faux-Major « Le Tranchoir », voulant se venger de nous depuis l’affaire de la gare de Chaude-Allée. Rugissant en fonçant directement vers Jereck, j’affrontais son camarade en esquivant soigneusement son énorme lame, lui laissant une blessure du bout de la lame bien sérieuse. Gaedon s’occupait du Roegadyn embusqué sorti de son trou dans le mur, ayant fini par l’égorgé d’un coup net et puissant. Mon adversaire agonisant fut arraché du combat pour servir de bouclier à l’estoc de Jereck, envoyant le corps contre le chevalier qui esquiva rapidement. Il fallait sortir, poursuivre le Tranchoir qui s’enfuyait pour rejoindre un gros problème dehors. Moutah et Stanislas avaient déclenché les hostilités dehors, en libérant les prisonniers des chariots, le baroudeur sautant un peu partout en tirant alors que Moutah avant ouvert grand la porte pour attiré les esclaves vers les armes, agitant le bras, nombreuses personnes foncèrent en direction de l’intérieur de la caserne des faux-Immortels où se trouvait arcs, épées, tout ce qu’il fallait pour monter une petite révolution. Si le désordre extérieur créait une diversion parfaitement, dans les hurlements de paniques et les cris de rage, mêlés à des mouvements de foule rapide piétinant les pauvres bougres au sol, Gaedon lui resta avec Philoix pour le surveillé, découvrant rapidement qu’il était une victime d’Onotsaku comme les autres – Venu ici pour créer des opportunités pour les plus démunis grâce à sa grande fortune, celle ci servant finalement à financer la prospérité d’un lieu de débauche sous la menace de la vie de son fils.
Le suppliant à ses pieds, une fois que Gaedon l’ait mit au sol quand il prit une longue lame pour aller se battre à l’extérieur, c’est quand la situation évolua que Gaedon eut les réponses à ses questions, et vint à notre aide. Pour l’instant, Jereck et moi pourchassions le Tranchoir, le massif Roegadyn ne se laissait pas faire dans plusieurs parades dans des nombreuses étincelles apparaissant à chaque chocs, riant en reculant, frappant brusquement un esclave à la tête sous nos yeux de sa hache, ne lui laissant que bien peu de chance vous vous en doutez. Cela ne semblait plus vouloir finir, l’acheminement de la violence montant de plus en plus, jusqu’à ce que je puisse envoyer Jereck bien haut au milieu de la place où les gens se bousculaient pour se retirer les armes des mains, prendre les chaînes pour mettre les esclaves au sol. La lame de Jereck s’écrasa contre la hache du Tranchoir, celle ci se fendant en morceaux ne lui laissant qu’un bout de métal à la place du bras, paniquant en voyant le bout de métal inutile avant de partir en paniquant. Jereck l’aurait bien poursuivit de lui même, mais il reçu un poisson en pleine figure de la part du Farfadet, le mage bleu se dandinant en faisant tournoyer sa canne vers lui avec un grand sourire porcins. Jereck venait d’avoir son adversaire.
Mais la plus grande menace venait de la créature de métal du Joueur de Carte. Un prototype d’une telle machine avait déjà été créer il y à longtemps dans le Thanalan, sous le projet d’un homme du nom de « L’Inrien », alors que la machine gobeline quadrupède sortaient de la grotte où Moutah l’avait découvert et sauvé deux enfants qui voulaient retrouver leurs parents captifs à l’intérieur. Les forçant à travailler sous les ordres d’un Gobelin pour créer cette chose fumante s’extirpant de là. Moutah était sur la machine, alors que le Joueur de Carte avait complètement perdu l’esprit : Tout, absolument tout devait disparaître, et il tirait de ses deux canons sur les civils esclaves comme privilégiés totalement paniqués, agitant les bras dans tout les sens. Gaedon intervint rapidement en fonçant vers la machine, après que Moutah ait pu brisé la concentration de la protection magique établie par la magicienne, laissant accès au Joueur de carte, le miqo’te bedonnant qui continuait de n’avoir pour préoccupation que la destruction de tout ce qui l’entourait. Une des pattes monstrueuses écrasant la magicienne étalée au sol, le corps brisé par le choc de s’être faites envoyée au sol brusquement par le grappin de Moutah. Mais ce fut une de ses dernières interventions, quand la lame de Gaedon détruit la plus part des câblages de la salle de l’énergie, l’énorme machine s’écroula sur le ventre, manquant d’écrasé notre camarade qui fonçant en avant, propulsé en l’air avant de se prendre Stanislas en pleine figure, les deux roulant au sol.
Il fallait arrêté les canons en vitesse : Ils ne tiraient pas des boulets, mais des flammes usées par des enchantements vicieux dévorant l’énergie vitale des esclaves installés dans des cages juste en dessus, et la salle de l’énergie avait prit feu, les gens à l’intérieur hurlant de panique. Jereck s’était débarrassé du Farfadet, malgré son état inquiétant et en sueur à cause de la maladie du crachat de Morbol qui prenait un peu de temps à s’estomper, il l’avait désarmé et fini par l’exécuté sans sommation, dans la situation, il n’était que peu en phase pour l’épargné. Le joueur de carte, blessé à l’oeil par une dague venant dont ne sais où, se mit à rire en discutant avec Moutah, orientant les canons vers le cockpit avant de tirer, il allégea suffisamment pour armure pour bondir en esquivant l’explosion et l’énorme fracas qui mit feu à toute la structure. Gaedon pu récupéré le canon de Stanislas pour y mettre les éclats d’eau que Moutah lui donnait, pendant que Jereck usait des ténèbres pour éloigné les flammes le temps de sortir tout le monde de là. Ma lance tournoyante forant la cellule de la salle des machines pendant que Moutah s’occupait des autres serrures, tout le monde pu sortir de l’eau d’urgence, épargnés des flammes qui avaient bien faillit finir par les dévorés.
Étalés au sol, à bout de souffle, le morveux qui avait craché au visage de Jereck pendant notre venue ici arrivait avec une quinzaine des siens pour nous narguer. Une courte conversation eu lieu pour leur proposer de partir en vitesse avant que ça ne finisse mal, pour eux, mais juste avant qu’un combat n’éclate, Wilfrid apparut. Il était avec le petit garçon qui avait discuté avec Gaedon sur la route, qui était visiblement venu signaler d’urgence la situation au Major des Immortels. Il était grand temps pour que tombe la folie de Pointegras, et le calme revint, des acclamations, des pleurs, du soulagement. L’indignation des porcs mit aux arrêts pour tout le mal qu’ils ont provoqués, et le bruit des larmes de Maïtahtah Maïtah, libérée de la machine, qui pleurait dans les bras de Moutah. Un membre de sa famille fut enfin libéré, le village aux esclaves d’Onotsaku brisé, ainsi que toute sa présence dans le territoire oriental du Thanalan, disparue. Il était enfin temps pour nous de retrouver notre Coerthas tant aimé. Parait-il qu’il y à des nouvelles, sur la famille Hautepointe, et sur les étranges sorts du Maître des étoiles. »
- Chevalier Lhayn Eïffy,
Capitaine de la maison Fortemps.
Capitaine de la maison Fortemps.