Rumeurs au Coerthas

[Alden]

Une longue histoire...

Les précédentes rumeurs sur une activité des plus suspectes vont alors revenir de bons trains pour certaines oreilles...
C'est durant le huitième soleil de cette lune-ci qu'un groupe de mercenaires, chargé d'escorter un convoi d'ouvriers pour récupérer des matériaux pour la continuité des travaux, s'est vu dans l'obligation d'affronter des ennemis morts... et glacés.
Bien que la mission fût un succès, avec en plus de ça le retour des quatre employés, difficile d'obtenir des indices sur un terrain pareil.

Hormis cela, ces gens commencent à se faire remarquer, et la plupart vont même jusqu'à les recommander.
Faut dire que celui qui semble les diriger n'est pas un simple inconnu, depuis le temps qu'il traîne sa patte.

Éteindre l'étincelle

Dans les bas quartiers de la sainte cité...
Depuis un moment, une rumeur circule parmi le peuple ishgardais, et bien entendu ; cela concerne les disparitions. Force est de constater que le temps est l'ennemi de tous, notamment des cachottiers.

On remarque qu'un groupe n'est pas revenu, qu'un ami a disparu, qu'une mère a disparu.
On remarque qu'une compagne n'est plus, qu'un frère n'est plus.

Petit à petit, cela commence à se faire savoir, et toutes ces plaintes sont tournées vers un seul Templier qui officie à leur bureau.
Ce même templier se voit donc dans l'obligation... de faire appel à une aide extérieure. Manque de chances pour les curieux, le contrat a déjà été récupéré par un individu qui occupe les rues depuis un moment.
Allez savoir qui.

Repost + Edit, désolé !

[Alden]

Ca commence à faire du bruit, non ?

On parle du mercenariat comme on parle de chemises, mais seuls les faits sont pertinents. N'importe qui peut se prétendre "bon", mais seuls les actes peuvent appuyer cette prétention.
Depuis un moment, un groupe s'est fait remarquer parmi les régions froides d'Eorzéa, louant leurs services pour soutenir l'autorité locale durant une période aussi cruciale qu'une reconstruction. Une période où marchandises, convoie, échange et autres natures commerciales font légion. C'est, entre autre, une des meilleures périodes pour les lames à louer.

Mais peu à peu, des rumeurs persistaient sur des disparitions, des aventuriers qui se sont portés volontaires pour occire une créature dans le désert enneigé, sans jamais revenir.
Il y a peu, également, un élément perturbateur s'était installé dans la forêt dravanienne, dérangeant la tranquillité de la faune dans l'unique but de s'y faire une place.
Cependant, hormis quelques oreilles curieuses, cette histoire fut étouffée dans l'œuf promptement. On parle juste de la présence d'un groupe dont le garant n'est autre qu'un ancien militaire qui ne veut pas mettre la clef sous la porte.
Le contrat étant terminé, ils vont sans nul doute passer au suivant.

Premier acte d'une trame terminée ♪

[Kin]

Des nouvelles glissent entre les lèvres aussi bien de la noblesse que de la populace de la sainte cité au sujet de celui ayant osé s'approprier le titre de comte Harebourg. Bien que les secrets de la situation restent entre les maisons nobles concernées et compagnies libres mandatées, certains oseraient dire que l'homme ce chercheur et scientifique fou aurait été abattu à la suite de pourparlers entre ses représentants et ceux d'Ishgard.

Aucune nouvelle ne fut confirmée par les autorités, et rares encore sont ceux à énoncer ce nom maudit à haute voix. Mais serait-ce la le temps de sonner la fin d'une des menaces qui se plaisent à rompre l'harmonie des terres gelées du Coerthas ? Ou bien est-ce là encore un des subterfuges d'Harebourg qui saura prendre ses adversaires de cours ? Aaaah la politique ... un champ de bataille aussi dangereux que le front d'un conflit armé, où les mots et les promesses peuvent devenir aussi mortelles que des balles et des flèches.

[Arryn]

Une vile rumeur se répandrait dans les rues de la Cité Sainte, aussi pernicieuse que la bise. Il paraitrait qu'un chevalier œuvrant pour l'opulente et pieuse Maison de Syrendel aurait été retrouvé mort, aux abords de la rivière du Coerthas. Son corps fut découvert coincé entre deux rochers dans le cours d'eau par de pauvres badauds se rendant à l'Observatoire. Les ouïes-dire affirment avec conviction que le pauvre homme serait mort depuis déjà plusieurs cycles lunaires, mais que le froid mordant en cette saison l'aurait enfermé dans la glace comme seul linceul. Le réchauffement de ces derniers jours, assez exceptionnel à cette époque du calendrier, aurait enfin pu le libérer de sa prison de gel.
Il ne fait aucun doute, parait-il, que cela soit l'œuvre d'un humain et non d'un monstre. Une plaie précise au niveau du cou semble trahir un coup d'estoc à la trachée, alors que l'armure du pauvre homme n'aurait pas été retrouvée. Perdue dans les flots ou volée, nul ne saurait le confirmer pour le moment.

Cette mort, bien qu'anodine, prit de l'ampleur face à l'étrangeté de cette affaire.

Que faisait donc un chevalier d'une si grande et puissante Maison aussi loin d'Ishgard, perdu aux confins du Coerthas ?

Et surtout, qui est assez fou pour oser s'attaquer à la Maison de Syrendel ?

[Alden]

« Vous savez que la jeune Jocianne de la maison Vaudelune a été retrouvé sauvagement poignardé ? »

« On soupçonne un membre du bas peuple... »

« Mais je croyais qu'avec Sir de Borel, les choses allaient se calmer... ? »

Tandis que certains parlent du néant, d'autres de l'apocalypse ; on en oublie presque que la vie continuait son court.
Il y a plusieurs soleils de cela, un corps a été retrouvé dans le coerthas central ; il s'agissait d'une jeune femme de basse noblesse, dont le ventre a été poignardé vingt-neuf fois. Rien de notable ; elle n'avait créé ni d'histoires et sa famille ne semble pas avoir de querelles avec d'autres.
Un meurtre isolé ? Un malheureux accident ? Peut-être, peut-être pas.

Mais dans le courant de la semaine, au Crosseron précieux, un autre corps a été retrouvé ; celui de sir Jorel Cideloux, ancien chevalier. Quelques minutes avant que le marché ne ferme, dame Pienne - l'apothicaire - a été un bruit lourd à l'arrière de sa boutique, le corps du malheureux qui s'est écrasé, le cou rompu.
Mais à ce qu'on dit, ce n'est pas la chute la cause de sa mort... hélas, l'ordre des templiers ne laissera pas n'importe qui fouiner plus que ça.
Oust, oust.

des petits indices pour une trame annexe, MP si intéressé, sinon merci de la lecture ♪

[Lyssie]

[Lyssie]

[Lyssie]

La chanteuse et les orphelins

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Entre répétitions et préparatifs, on a remarqué ces derniers jours les visites répétées de la cantatrice auprès des orphelins des Champs de Rolanbaie à Azurée ainsi que d'autres institutions similaires. Depuis toujours profondément investie dans la cause des plus démunis, la vicomtesse aurait finalisé avec ces établissements les dernières formalités pour les dons supplémentaires à venir, tirés des bénéfices de son concert en cette fin d’année. Prochainement, l'association des Veufs et Veuves d'Ishgard l'accueillera pour des négociations.
"Ces enfants n’ont rien demandé. Halone s’est montrée particulièrement impitoyable envers eux, je le sais. Mais j’aime à croire qu’elle ne les éprouve pas sans raison", aurait-elle confié à quelques nobles intrigués avant de monter dans son fiacre pour partir en direction de l'Akanthai.

À quelques heures de son concert, il est à prévoir que la douce voix de Lenore de Riverhood ne se contente pas de chanter pour ces enfants, mais qu’elle plaide également en leur faveur.

[Lyssie]

Joyeuse Valention !

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Elle n'avait pas remis un pied à la capitale depuis quelques semaines, on disait même qu’elle avait été envoyée en mission diplomatique bien au-delà du Coerthas, accompagnée d’autres familles, sur mandat d’un agent du Ministère des Affaires Étrangères. Pourtant, cela n'a pas loupé. Dès le lendemain matin de son retour à la Sainte Cité, une foule d’admirateurs se serait amassée devant sa demeure, clamant leur "amour" à la cantatrice. Déjà qu’elle croulait sous les roses envoyées par son époux, elle doit maintenant trouver de la place pour les bouquets que d'autres lui ont offerts.

Un peu de douceur après la tempête, murmure-t-on. Après tout, l’amour n’a ni prix ni frontière !