« Le pourvoyeur d’obscurité »
Acte 3 – Héritage du vieux royaume.
Se vantant de ne s’être écrasé que six fois avec son Aéronef lors de nos missions. Progressant ensemble dans le désert, N’yir nous parla des environs et de comment survivre en ayant son expérience depuis le sud du Thanalan où il vécu dans son enfance. J’avais pu traverser jadis Sagoli, mais il est toujours intéressant d’en connaître plus, tandis que nous progressions dans l’immense désert de Dalmasca. Des grandes pierres en sortaient comme des îlots s’échappant du sol, ainsi que quelques cactus. Jusqu’à ce que même un énorme pampa bondit devant nous en tournoyant, filant plus loin avec tout un amas de petit pampa comme une maman canard et ses canetons. J’étais tellement dans mes pensées avec cette histoire de canard, que je ne remarquais qu’en retard pourquoi mes proches s’extasiaient : les étendues d’une ruine fantastique d’une ancienne demeure de Dalmasca. Le château était fantastique à voir, une magnifique structure brisée par la guerre contre l’Empire, ayant abandonné ici sa grandeur au milieu des montagnes et des terres environnantes.
Progressant vers le vieux château qui aurait des mystères d’Ivalice encore à l’intérieur, nous marchions vers cette splendeur en observant un grand pont menant droit vers un passage dans les vieilles ruines. Mais quoi qu’en aient fait les impériaux, il était dévasté, brisé. Peu soucieux des problèmes, Stanislas s’engagea sur le pont, et chuta soudainement quand le bois se brisa brusquement. Rattrapé par N’yir, le relevant lentement après sa chute, le miqo’te nous offrit les vents : Ce vent parvint à nous faire valser en l’air, à la grande merveille de tous, esquivant les problèmes de ce pont en ruine en arrivant à l’autre bout sans véritable soucis. C’est alors que nous débutions notre découverte du château. Pendant quelques temps, en traversant la trouée, nous passions alors un temps à marcher dans un château frappé par les rayonnements solaires passant à travers les montagnes, donnant un effet d’aventure fantastique en contemplant les environs. Marchant doucement, escaladant, rampant, progressant au milieu de cet ensemble. Nous étions émerveillés par les découvertes de jadis, l’exploration de ce domaine, même si conscient que la menace n’était pas loin. N’yir découvrit de nombreux élément magitek nouveau, découvrant des sondes présentes pour trouver quelque chose de spécifique, tandis que Yuki fit apparaître l’entité qui nous observait. Nous étions suivi, et une plume vint s’installer sur la curieuse entité qui sortie de nulle part : Un petit pantin d’Ivalice, agitant sa main comme pour nous faire coucou avec la plume dessus, acceptant le cadeau de Yuki.
Mais les Impériaux jaillirent, quand il fut retrouvé par les sondes Magiteks, et plusieurs griffes d’arrestations tombèrent des cieux. Eques et Signifers vinrent à notre assaut, tous dans leurs aspects déplorables depuis la chute de l’Empire, et ils furent balayés par les vents puissants de N’yir. Détruisant les deux griffes avec Yuki rapidement en les brisant en milles morceaux, battant plusieurs des adversaires. Le pantin se mit à courir, non pour nous fuir, mais pour nous pousser à le suivre. Stanislas courait en piétinant des impériaux au sol en fonçant à toute vitesse derrière le pantin, endormant les non-combattants au passage sous les effets du sort de N’yir, tout en regardant tristement le sandwich au dodo-mayonnaise chutant au sol pendant notre traversée à toute vitesse. Conduit jusqu’à une sorte d’installation impériale, nous observions quelques griffes apportant du matériel, et se déplaçant dans les cieux vers des installations plus lointaines en un balais de passage de machinerie dans les airs. Contemplant les cieux et les environs, sous les lumières et les tuyaux de tout ses effets magiteks, ils avaient visiblement eu le temps de découvrir ce qu’ils cherchaient, et de préparer un moyen de l’arracher du vieux royaume : dirigé vers un dôme d’éther formant comme un bouclier ondulant fantastique, le faisceau de céruleum frappait sans cesse le bouclier en traversant ce dernier, essayant de détruire quelque chose derrière le bouclier ayant un trou dedans, pour avoir fait entrer le chef de cette expédition que nous avions encore à rencontrer.
Le scientifique, un Garlemaldais moustachu installé sur un siège flottant et avec sa garde constituée d’Eques et de drone magitek, s’offusqua de notre présence. Alors que le colosse protecteur de ce campement s’animait petit à petit, couvert de crasse et de fissure ici et là, bien ancien et mal entretenu. Le Scientifique expliquait qu’ils avaient trouver dans les légendes d’Ivalice un ancien pantin permettant de capter des consciences, et ils voulaient mettre à l’intérieur le Pourvoyeur d’Obscurité. Peu convaincu, N’yir fusa en tranchant les deux Eques de sa rapière dans un duel intense en discutant avec le Scientifique, avant que le combat ne tourne court : malgré les blessures dues aux tirs des drones et à l’étrange épée du scientifique, ce dernier fut mit hors de combat par N’yir, en lui disant que Stalvan offrira aux siens une terre fertile et paisible pour y vivre.
J’avais pu détruire le colosse, mais par les Kami ! Ce ne fut pas sans être balancée plus d’une fois contre un mur et dans une tente en faisant hurler un soldat impérial qui se cachait dedans. Le coupant en morceaux, particulièrement sonnée et blessée, j’offris à N’yir et à moi même mes deux potions de soins avant que Yuki ne vienne avec nous. Il avait coupé l’alimentation de la foreuse magitek, après bien des difficultés pour comprendre comment et le faire efficacement sans tout faire exploser. Contemplant le passage ouvert dans le bouclier, nous marchions tranquillement le long de l’escalier alors que Yuki grimpait lui d’une hauteur à une autre avec son grappin, tandis que Stanislas décida de rester en arrière, un peu effrayé par l’intérieur de ce dôme. Passant à travers, nous contemplions l’impression d’être entré dans un vieux temple. N’yir faisant une détection, il confirma que ce n’était qu’un effet provoqué par l’éther du dôme créant des impression d’hexagones un peu partout. Des mécanismes flottaient doucement un peu partout, renforçant l’effet d’un temple, et au fond de ce passage se trouvait le pantin monstrueux enfermé dans une sphère d’éther. Celle ci avait été en partie brisée par le faisceau, mais une fois éteins, ce dernier n’avait pas encore pu sortir l’entité de là. Marchant doucement pour nous faire face, un Garlemaldais plutôt jeune dans une magnifique armure, accompagné de son énorme loup de Skatay, formait un barrage. Il se présenta au nom de Klein Pyr Sestius, brandissait sa hache aux lames dentelées s’agitant sans cesse pour nous massacrer.
Il disait faire ça pour son peuple, pour l’avenir des siens, mais il allait découvrir l’horreur de son erreur. N’yir et Yuki détruisirent les griffes magiteks pendant que je luttais contre Klein dans un combat intense, nous blessant tout deux sans cesse douloureusement. Son loup avait maltraité la jambe de Yuki, mais il fini par se faire assommer sérieusement dans un grand choc. Brisant brutalement l’arme de mon adversaire, et le laissant au sol d’un coup dans l’estomac. Il aperçu ce que N’yir fit jaillit : installé au plafond, le Pourvoyeur d’obscurité s’était infiltré. Coincé, l’esprit dans le pantin avait tenté de s’échapper, une vieille horreur de l’époque d’Ivalice coincé dedans voulait s’échapper, mais il fut dévorer par le Pourvoyeur d’obscurité. Disparaissant dans un choc lugubre, Klein au sol contemplant la scène se mit à pleurer : Il découvrit que la volonté de son père n’était que folie, et que les siens n’avaient aucun espoir en attrapant ce monstre. Tout ce que nous devions faire, ce serait de le détruire, avant qu’il ne continue d’arracher des esprits de cette façons comme si il se renforçait. Quittant doucement les lieux, nous abandonnions l’héritage du vieux royaume, et ses secrets inquiétants isolés dans les belles terres de Dalmasca. »