Ainsi qu’à l’Inquisition Ishgardienne.
Rapport à la Balance – Au Repos du Fils, dans l’étendue du Coerthas occidental. « Dossier : Possession – Mission : Froidesprit.»
« Mes respect,
Huitième mission pour la membre de la balance – Tsakuyi Kosenjobi.
Avec comme camarades accompagnant :
- Sylune Laefan, membre de la Tour de la Plume.
- C’iashta, membre de la tour de l’Épée.
- Maeva Mirin, membre de la Tour de la Plume
- Richard le Gris, Allié.
- Naghi Kantor, Alliée.
- Hael des Dotharl, Alliée.
- Lustian Raimost, Allié.
Le départ depuis Nid-du-Faucon se fit sans moi, en direction d’une vieille tour lointaine où devait se trouver les informations pour poursuivre l’enquête d’un culte nommé la Cabale de Nocthurle censée avoir été détruite depuis une année par l’inquisition Ishgardienne. Ceux ci avaient visiblement ouvert la faille pour des raisons qui nous dépassent avant qu’un occultiste ne puisse la scellé en retour. Si il fallait trouver un moyen pour empêcher que le Spectre barbelé ayant voulu trouver un hôte la première fois, nous devions mettre la main sur les sinistres crétins ayant décidés d’en faire une invocation en pensant que cela pouvait être une bonne idée.
Après une conversation simple auprès d’un noble, mes compagnons se mirent en route vers les froides étendues en recherchant une tour solitaire au milieu de nulle part dans le Coerthas, poursuivit par moi même galopant sur Shinkô pour rattraper mon odieux retard en traînant ma grosse besace derrière moi. J’ai finalement pu les atteindre devant la tour, se dressant haut vers les cieux. L’intérieur semblait gênée par un bloc de glace agaçante, et ce ne serait que le début d’une longue suite de problème pour C’iashta, Richard, Maeva et Sylune. Cette partie du groupe se contenterait de s’occuper d’intégrer l’intérieur de la Tour pour trouver des indices, pendant que je me dirigeais avec Nhagi et Hael à la rencontre bien singulière de la Dragonne posée plus loin sur une grande pierre.
Celle ci déclara qu’elle veillait sur la mémoire de son fils tombé entre les mains d’un Chevalier-Dragon pendant la guerre, le corps du dragon gisant sur la pierre de la tour à la vue de tous. L’Amie de Melestian, que je n’avais rencontrer qu’une fois sous l’égide de mon père adoptif, nous concéda que des hommes vinrent souiller ce lieu par l’énergie du néant en quelque rite, et qu’elle fait en sorte que cela ne recommence pas. Mais l’information la plus importante, restait celle que la grotte non loin de là où les hommes sinistres s’étaient installés pour on ne sait quel raison. Nhagi partant en éclaireur, je me retrouvais à partir vers la Tour pour la purification d’usage d’un lieu souillé, et l’autre groupe avait bien avancé.
Malgré le fait que semble t-il, Richard ait décidé de se prendre un piège explosif dans le torse, tout se déroulait plutôt bien et la plus part des pièges avaient été évités. Sylune disposa une poudre rouge sur les dalles où des flèchettes empoisonnées pouvaient jaillir, et avec C’iashta elles installèrent un cordage pour évité les épées balancées en boulier risquant de nous couper en rondelles. Jusqu’à parvenir au sommet de la tour, où nous attendait un étrange vase.
Hael et moi prenions le temps de débuté la purification pendant que Maeva et Richard étaient de garde, surveillant les environs. Le vase d’où tout semblait provenir gisait derrière des pièges, et celui ci fut brisé par Sylune et C’iashta, cette dernière usant de l’étrange pouvoir d’un diamant blanc reluisant d’un éther agréable pour tenter une brusque purification. Ce qui entraîna l’intervention des cultistes. Et la tour se mit à trembler dans de grand fracas.
Dehors, Nhagi signala que la Dragonne martelait la tour entre les griffes et les flammes. A l’intérieur, c’était le chaos, tout le monde s’étalait au sol et faisaient de leurs mieux pour sortir en vie sans s’écraser au sol. C’était au début incompréhensible, jusqu’à constater qu’elle visait la carcasse de son défunt fils, qui se mettait doucement à gesticuler un peu. Usant du Monocle confié par Sylune, il y à eu clairement un lien entre l’emplacement du rituel et le dragon s’éveillant de nouveau.
Le temps était compté, et l’infamie de leur plan restait au-delà de mon imagination : Cette bande ahurie par leurs ambitions désirait créer une arme qu’ils useraient à leur bon vouloir en pensant que l’être du néant qui les utilisaient serait docile à leurs envies. Celui ci était maltraité depuis qu’il avait essayer de pénétrer le corps du Chevalier d’Halone mort à Froidesprit, nous en revenions à la nature même de cette histoire. De Froidesprit, apparue toute la folie de cette histoire, et alors que nous étions en pleine ruée pour parvenir jusqu’à la grotte où Nhagi nous attendait, le temps s’écoulait et il nous restait presque plus de place pour empêcher un drame. Arrivés là-bas, nous nous sommes préparés rapidement pour ce qui pouvait nous attendre : Potion de l’esprit, et divers protocole d’usage en laissant Richard partir en premier.
Au fond de la grotte, cinq cultistes usaient de leurs voix pour incanté un obscure rite résonnant dans la cavité rocheuse comme un appel rauque et insupportable pour que le Spectre barbelé s’incarne aisément et soit prompt à posséder le corps du fils de la Dragonne aux écailles blanches. Nous concentrés sur les cultistes ne changea pas sa venue, ils ne firent pas vraiment de résistance, et ceux qu’on voulait laisser en vie furent massacrés par le barbillon et les griffes de cette chose immonde. Nous avons frappés tous ensemble, mais un véritable combat s’engagea face à la résistance de cette chose.
Briser son incarnation ne fut pas aisé, mais peu furent blessés par nos efforts à nous surveiller les uns et les autres. Jusqu’à ce qu’elle tente plusieurs stratégies : Se scinder pour nous frapper tous en même temps, user de vague d’énergie du néant pour nous abattre, jusqu’à ce que son corps ne tienne plus et essaie de lentement de se réincarner pour ne pas être chassé de ce monde. Mais il n’y aurait pour elle ni le néant, ni la réalité – Coincée par C’iashta en usant d’une poudre reluisante d’un blanc intense, nous avons lancer une procédure de purification intensive jusqu’à ce qu’il n’en reste absolument rien.
Épuisés et bien agités par ce combat, nous sommes rentrés rapidement vers la tour en traînant ceux devant l’être pour retrouver la Dragonne qui observait les restes de sont enfants immobiles. Tous furent touchés par la tristesse de cette scène. Pour de nombreuses raisons différentes. Moi même, me préparant à devenir mère, je retiens quelques larmes de justesse en pensant que je pourrais être à cette place. Mes pensées partirent pour ma propre mère, pour quelques malheurs, après une journée bien difficile moralement. Mais au moins, nous étions tous libérés de cette situation affreuse. Et cette histoire pouvait se clore, en observant la Dragonne partir à travers les cieux, vers les nuages où la neige se mit à tomber sur l’étendue du Coerthas, laissant une certaine poésie à la conclusion de cette sinistre affaire. »