[Chronique - Achevée] Journal d'Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixantième Entrée - « Acte 1 – Même loin du ciel de feu.»

« Revoir le ciel bleu à quelque chose de formidable. Bien que loin d’être finie, il est vrai que l’Apocalypse n’est pas de mise au loin de Thavnair et on pouvait dès lors contempler ce qu’était vraiment voir un ciel reposant, paisible. Quel aspect tranquille, malgré ce qui nous avait fait venir en vitesse droit en Gyr Abania pour nous occuper de nouvelles menaces. Ce fameux Hérésiarque, le « Rage-Pierre » comme il était nommé par les locaux, existait-il vraiment au vue du calme dans les environs ? Difficile à dire mais nous avions une menace bien plus palpable apparaissant sous nos yeux : Celle de personnalités inquiétantes ayant malheureusement laisser naître quelques créatures de l’Apocalypse dans les environs en essayant par la force brute de faire apparaître bien des haines contre les Impériaux et le choix d’aider Garlemald dans ses heures noires qu’ils traversent. La colère à quelque chose de véritablement vicieux, mais si nous avons été appelé, c’est que certains chose de particulièrement dangereux devaient se faire dans les environs et concernant plusieurs de nos compagnons, et dès lors que nous avons pu traverser cette importante mission, des réponses seraient trouvées mais pas encore l’ensemble de cette affaire. Il faudra encore du temps pour décortiqué toutes les implications et vaincre les nouvelles menaces, mais l’objectif restait clair même avant de partir : Nous avons visiblement beaucoup à faire dans les Lacs, et il allait être bon de soutenir Gyr Abania une nouvelle fois depuis les affaires du Teclis. Tout débuta alors avec une piste vers un endroit dévasté par de puissantes forces telluriques invraisemblable où un prêcheur appelait à la défense contre l’Apocalypse en accusant les Garlemaldais de l’avoir créer eux même.

Pour comprendre cette affaire et nous en occuper d’urgence, le groupe de base était simple et efficace malgré le fait que nombreux de nos compagnons sont soit blessés ou occupés ailleurs depuis cette Apocalypse dévastatrice toujours active. Nous avions Livio pour nous protéger de toutes menaces, et Runne pour nous faire profiter de ses efforts magiques. Atsuo et Finaen devaient nous rejoindre plus tard, occupés et retardés, mais nous profiterions des talents habituels de Greil ainsi que une petite retrouvaille avec E’nijoh revenu pour nous donner un coup de main. Discutant rapidement de notre objectif, nous voilà en route en découvrant l’ambiance environnante alors que nombreux étaient en train de discuter d’une soit disant meute de loup divin venant les débarrassés de l’Apocalypse et des Impériaux à jamais ainsi qu’à leurs alliés traîtres. Pendant que Greil et Livio soutenaient quelques habitants dans leurs tristes états, E’nijoh reculant un peu quelqu’un accroché à lui qui ne voulait plus le lâché en lui criant à l’aide. On vit Runne partir comme une fusée, bousculant littéralement tout le monde, envoyant un jeune homme valser plus loin pour atteindre le vieux fou parlant des Loups divins. Il y avait une correspondance avec d’anciens ennemis, et je pense que rien qu’à cet un instant il était déjà conscient d’une partie de la menace qui nous attendaient. Enfin arrivés à la sortie hors des bains de foules un peu trop compact à nos goûts, Livio identifia les lieux avec son éthérimètre en découvrant facilement que l’énergie tellurique avait tout dévasté dans les environs. Ce n’était pas une force lié au désespoir, rien qui ne soit une approche de l’Apocalypse, on pouvait au moins s’en assuré. Mais à l’apparition d’un crépusculaire, déjà les premières pièces étaient en train de tomber. Tous étaient dubitatif, mais il se présenta comme se nommant Kaldrak Ambrerune, un des membres de la famille Ambrerune désireux de s’occuper d’un problème épineux menaçant les soucis.

Tout du moins, vérifier que Finaen allait bel et bien s’en occuper, et nous ne pouvions que nous interroger alors sur ce qui pourrait justifier une telle menace. Autant le laisser nous suivre, à vrai dire, Finaen n’était pas encore arrivé et peut-être pourrait-il nous aider à comprendre ce qu’il se passe. Suivant le flux tellurique, une trentaine de minute de marche dans le désert Gyr Abanien nous avait éloigné de Porta Praetoria n’étant plus qu’une petite tâche au loin, quand le pièce se referma autours de nous. Une gueule immense jaillit de la terre, s’étendant brutalement comme si nous étions au centre d’une bouche aux dimensions monstrueuses apparaissant pour nous dévoré. Tout n’était plus que confusion et chaos, et pour ne pas finir broyer entre les pierres immenses, celles ci furent repoussées et tranchés nettes quand Greil et moi les fendions d’un coup en facilitant la tâche de Runne qui les transformait en poussière. Celles les plus proches furent déviés par Livio, son grappin les envoyant s’écraser plus loin avec un bon coup de pistolame jusqu’à ce que le poing d’E’nijoh ne les fracassent à son tour. Après un instant, la gueule se referma, et nous étions plongé dans le noir total au milieu de la dévastation. La lumière illumina l’espace d’un bleuté tranquille, laissant apparaître des sortes de glyphes et une petite sphère comme une bulle d’eau dans l’air. Filant droit vers la sortie, E’nijoh reconnaissait là un familier de son maître qu’il recherchait, partant pour le suivre rapidement, tout les obstacles restant furent brisés jusqu’à atteindre une brèche de lumière permettant de sortir de là, tout ce qui s’effondrait tombait sur l’immense bouclier de Livio formant une puissante sphère magnifique aux aspects de cristaux pour évité que nous ne sortions d’ici en forme de crêpe délicieuse et sucrée.

Si Runne transformait certaines des roches en sable, il se concentra au moins sur celles qui ne portent pas de lumière bleutée précisément pour ne pas déranger les sorts qui devaient nous aider à avoir un accès pour s’échapper d’ici. Après un instant de course intense et de destruction, fendant le passage de quelques coups de sabres avec Greil, nous retrouvions enfin la sortie et le ciel si précieux qui avait désormais une nuance mauve avec la nuit sur le point de tomber. Cela nous attira droit dans un petit village isolé, difficile de lui donner ce nom ça n’était là que quelques tentes et trois ou quatre vieilles masures de pierres qui allaient retomber en ruines rapidement. Si j’arrache son nom des cartes, il devait s’agir de Unoald du nom de ce lui convaincu qu’il créerait une immense communauté – ce qui n’avait pas vraiment réussi ! Et encore moins car tout le monde s’enfuyait dans la panique tandis que les forces telluriques dévastait tout. Ceux resté au centre ne risquaient rien d’autre qu’entendre ce que le Prêcheur de la Meute divine avait à leur offrir en agitant les bras avec un rire sinistre. Annonçant que les Loups reviendraient pour les libérés de l’Apocalypse et des parjures.

Autant vous dire que plusieurs étaient vraiment énervés, et si il fallait rejoindre rapidement ce dernier pour éloigné les habitants de ce prêcheur, on ne pouvait pas laisser tomber ceux qui s’enfuyaient. E’nijoh fonça droit vers un jeune garçon, bloquant le poing d’un adversaire qui voulait le frapper avant de l’envoyer valser plus loin en me laissant le couper en deux au vol. Retenant un mur de pierre cherchant à s’écraser sur la petite famille paniquée, il usait de toute ses forces pour tenir jusqu’à ce que d’un coup des piques de pierre s’élevèrent d’un coup en coinçant le mur pour arrêter sa chute. Runne continua ainsi pour coincé toutes les structures afin qu’aucune ne s’effondre sur nous ni sur ceux s’enfuyant. Pendant qu’E’nijoh récupérait les habitants éloignés par Livio et Greil, laissant Runne empêcher les structures de choir, les deux combattants se vinrent me rejoindre peu après que je reçue un choc bien plus important qu’attendu en me laissant à genou en toussant sur le choc. Ce n’était que des maudits brigands portant des tenues de fer avec des gueules de loup sur la tête, leurs corps étaient renforcés néanmoins par une sorte d’énergie tellurique puissante qui les animaient et les rendaient particulièrement résistant et tout aussi puissant. Fragmentant leurs peaux en lui donnant un aspect de roche d’ambre inquiétante. Aussi tôt, Livio et Greil se mirent à les repoussés brutalement, un tranchant blessant l’épaule de Greil et un choc plus puissant fit traverser un mur à Livio dans un impact produisant une onde de choc sur le coup. Ils étaient vraiment fort avec ce renforcement, mais pas suffisamment pour que nous ne les taillons pas en pièce après quelques efforts en nous laissant haletant quelques instants, relevant ensemble la tête pour traverser le nuage de poussière provoqués par la dévastation tellurique locale.

Et Runne était soutenu par nos compagnons, quand une sorte de pointe de lance avait jaillit de nulles part pour le transpercer soudainement. Un homme barbu parlant de sa déception de le voir précisément lui ici, essaya de le tuer, mais il avait vécu plus que son comptant de lance dans le corps, et fut soutenu par nos camarades pendant qu’il buvait une potion de soin en tenant sa blessure terrible. Au moins, les tremblements s’étaient apaisés, et il ne nous restait plus qu’à traverser malgré la douleur cet écran de fumée. Conscients que nous allions tomber au beau milieu du mystère de cet endroit, et de nouveaux adversaires qui pensaient pouvoir arrêter l’Apocalypse le jour prophétisé par leurs soins où le ciel de feu aurait rejoint Gyr Abania. Si seulement, ils savaient ce que cela signifiait vraiment, d’être sous l’Apocalypse et de voir leurs propres terres se déchiré dans un flot de griffes et de hurlements. Je doutais alors qu’ils soient si enthousiaste à l’idée d’être des soit-disant héros.

Au moins, des renforts allaient advenir rapidement en laissant les compagnons qui n’étaient pas encore là venir nous retrouver rapidement. Du moins de prime abord, il nous fallait avancer en découvrant le triste état de Unoald ainsi que la tragique vérité sur ce qui avait causé tout ce trouble. Des gens avaient perdu leurs demeures, leurs vies pour une poignée, et leurs affaires simplement pour récupéré des secrets d’un vieux Moine qui pourrait leur fournir précisément ce qu’ils recherchaient à offrir à ce soit-disant « Rage-Pierre. » En découvrant ça plus tard, difficile à dire si cette chose était réellement un Hérésiarque maintenant, au moins cela voudrait dire que nous n’avions pas à craindre la résurgence d’une pareille créature jusqu’à cette terre, mais rien n’était encore très sûr. Leurs pouvoirs et capacités nous dépassaient encore, et difficile de dire ce qu’est le Rage-Pierre pour l’instant, cela dit, la menace elle était palpable en voyant les ruines et les gravats partout autours de nous. L’ensemble s’entremêlait des brumes oranges ondulantes doucement autours de nous, ayant presque un aspect théâtral tout en laissant des petites pierres s’élever lentement en l’air. Ça aurait été bien plus beau d’admirer les environs, comme savourer une ruine ancienne où les forces telluriques s’étaient entremêlés pour former des spirales de pouvoir magnifique autours de nous. Si il n’y avait pas plus loin, le Prêcheur et ses forces qui ordonnaient aux habitants restés là de servir la cause de la meute divine dont il parlait tant. Hors de question de les laisser endoctrinés plus d’habitant, surtout que dans leurs tentatives, il était su qu’ils avaient fait naître plusieurs créatures de l’Apocalypse dans leurs sillages. Laissant E’nijoh foncer droit vers la demeure curieuse de son ancien maître que la sphère d’eau rejoint à toute vitesse, j’allais assisté Runne contre le prêcheur à toute vitesse, qui allait être un adversaire bien plus dangereux qu’on ne s’y attendait. Au moins, Greil allait secourir à toute vitesse un des derniers gardes d’Unoald qui gisait au sol douloureusement après avoir été balayés lui et les siens par un canon volé Gyr Abanien.

Il était installé sur un chariot traîné par une grande tortue de pierre émettant des grondements et se préparant à piétiné le soldat. La patte ne tomba jamais quand le sabre de Greil trancha soudainement le visage de la bête et une partie de son corps, repoussant l’énorme créature lourdement en arrière dans une sorte de grondement puissant résonnant dans les airs après l’impact. Retournant la tête vers le soldat qui pâlit, même pour un Mhigois, quand le canon se dirigea lentement pour l’aligner lui et Greil afin de les balayés avec un boulet. L’artilleur était fort amusé, et ce sourire allait se figer encore un peu même quand sa tête vola au loin une fois que Greil le décapita dans un mouvement éclair, apparaissant à ses côtés après un Gyoten puissant en laissant choir son corps sur le côté. Bondissant, elle trancha à son tour la tortue immense en une technique frappant en croix, se tenant sur le petit éboulis qui restait de sa carcasse avant de se préparer à venir en aide à nos alliés. De l’autre côté, combattait Livio face à des Dhara de Sel locaux. Animés par des forces rocheuses puissantes, l’ambre animant leurs cœurs et s’étendant un peu partout sur leurs corps en formant des arabesques surprenantes et presque poétique jusqu’à ce que les sortes d’élémentaires qui regardaient les habitants contemplant le prêcheurs, ne se tournèrent vers Livio dont l’enchaînement provoqua une explosion en pleine tête du premier Dhara. Il tient le coup de peu, vacillant sous la puissance du choc, jusqu’à ce qu’un habitant ne cri de joie en disant « l’Aurore ! » avec enthousiasme tandis que bondissant d’une pierre à une autre, Atsuo ne jaillit de nulles part en envoyant un grand coup de sa pistolame dans la blessure dévastatrice qu’avait fait Livio à sa cible.

L’explosion émit une grande lumière envoyant des morceaux de pierres s’effondrant un peu partout de ce qui avait été un instant plus tôt sa cible en laissant Livio et Atsuo contre leur dernier adversaire. Le Dhara envoyait de nombreux coups, mais tous furent repoussés par les deux pistosabreur dans un intense duel opposant leurs frappes, jusqu’à ce que le grappin de Livio ne lui permette de bondir d’un coup pour atteindre son cou. Passant le câble au milieu de la « gorge » de la créature avant de planté sa lame dedans. Il coinça et dirigea le Dhara en plein vers Atsuo qui recula son bras. Celui ci vit des morceaux d’aciers tournoyer en se reformant dans une posture de puissance diffusant des flammes bleutés de plus en plus intenses comme le Teclis aurait pu le faire, jusqu’à ce qu’Atsuo n’émette un cri puissant en venant écraser son poing en plein dans son adversaire jusqu’à provoqué une grande explosion détruisant le Dhara en milles morceaux s’écrasant dans les environs. Ils étaient dévastés, et nous n’avions plus qu’à vaincre le prêcheur en laissant E’nijoh découvrir les mystères de son maître. Rejoignant rapidement la demeure, il n’eut pas à s’inquiéter des sortes de magiciens telluriques qui voulaient l’en empêcher pour continuer leurs rites, avant que toutes leurs pointes ne soient déviés par l’apparition de Finaen. Tombant au sol en provenant des cieux, il se releva brusquement en laissant d’innombrables pointes de pierre sortir du sol en se plantant d’un coup dans tout les sortes de magiciens qui étaient face à nous. Les roches en tuèrent au moins un, fendu par lesp ointes mais les autres s’en sortirent formidablement bien pour ce qu’ils venaient de recevoir. Fronçant les sourcils, Finaen vu avec effrois que leurs corps se renforçaient avec le pouvoir tellurique, leur donnant des aspects rocheux puissants tandis qu’ils approchaient lentement de lui.

Mais un véritable mage comme Finaen sait s’adapter, et il transforma d’un coup toute la magie tellurique utilisé en des glyphes bleutées pour former des puissantes étreintes aqueuse venant à l’intérieur de leurs corps les dévastés. Des lames d’eau jaillirent, dévastant tout ses adversaires chutant au sol sans qu’ils ne s’attendent que Finaen ne sapent leurs forces en utilisant une magie qui était plus puissante que leurs renforcements terrestres. Mais cela n’empêcha pas le risque pour Finaen qui leva la tête pour voir un bras au loin dans un peu de poussière le voila, mais au dimension titanesque, laissant valser dans les cieux un rocher immense pour écrasé le crépusculaire.

Avant que la pierre ne tombe, Greil bondit en rattrapant Finaen avant d’être emportés par le choc et les nombreuses pierre en valsant plus loin, un peu sonnés par terre dans les décombres les ayant balayés. Mais E’nijoh sorti de là, l’influence de la terre coupé des sortes de mantras liés à des idoles aux aspects religieux, une sorte de fumée d’ambre quittant un peu son corps infusés de ce pouvoir. Il avait pu découvrir, et comprendre, les propos de son maître jusqu’à s’offrir le pouvoir tellurique qui animait ses dernières recherches et concentration isolé en ce village perdu. Protégeant les mystères de son maître, l’ayant même revue dans une lumière d’or quand il permit à sa psyché de rejoindre son disciple pour lui offrir un peu de son temps, et de sa force. Il allait pouvoir se servir de tels pouvoirs, mais nous avions déjà subi pas mal de dégât provenant du prêcheur qui possédait une force inattendue. Une sorte d’ex-ossature planait autours de lui, faites de métaux et de pierres émettant des grandes lumières d’ambres en formant la silhouette d’un loup effrayant autours de lui alors qu’il riait comme un dégénéré. L’assaut nous fit advenir jusqu’à lui, en quelques éclairs tranchants, je m’acharnais à brisé ses défenses de quelques coups de sabres jusqu’à ce qu’un impact tellurique comme une onde de choc dans l’air faisant trembler le sol m’envoya m’écraser par terre plus loin. Runne était alors seul, transformant en sable et faisant fondre le métal, jusqu’à ce que sa rapière ne tente de le transpercer. Attrapant la rapière dans sa main, son bras se renforça brutalement comme celui de ses compagnons, un grand sourire se dessinant sur ses traits avant de dire à Runne qu’il serait une grande déception pour son père, Daniel Fletcher. Une grande onde de choc apparut en formant une spirale puissante, brisant d’un coup la rapière de Runne en serrant brusquement le poing avec un rire puissant. La lame fut cassée d’un coup, tombant lourdement au sol en se plantant par terre et laissant dans la main de Runne la garde en ouvrant grand les yeux alors que l’onde de choc finissait de souffler autours de lui.

Tendant grand les bras, le prêcheur lui disant souriant qu’il ne méritera même pas de faire parti de la meute divine avant de se préparer à se débarrassé de Runne rapidement. Mais il récupéra la rapière de Finaen qu’il venait de lui lancer, fonçant avec moi tandis que je m’étais redressée, offrant un passage à Runne en bien des tranchants de ma lame jusqu’à ce qu’un impact ne me renvoie contre un mur lourdement en ayant l’impression de voir des chocobos paniqué tournoyer au dessus de ma tête dans la confusion du choc. Mais le miqo’te vengeur lui, avait percé ses défenses en plantant encore et encore sa rapière dans le torse de son adversaire. Levant brusquement une dernière fois son coup, traversant le corps du prêcheur une ultime fois au niveau du cœur, alors qu’il posa sa main sur la garde de Runne pour s’enfoncer la lame encore plus en ricanant, du sang se déversant de ses lèvres et de sa blessure, regardant Runne dans les yeux en lui disant une chose : Qu’il ne sera jamais digne d’être un Fletcher, succombant vicieusement au bout de sa lame. Tous se regroupaient, et nous observions l’amas de pierre au dessus de la ville brisée, où la silhouette du vieillard qui avait voulu tuer Runne se trouvait. Levant son bâton, des pierres s’élevèrent partout en formant des pointes et un chaos tellurique important. Des pierre s’élevant lentement un peu partout, et risquant de continuer sa route droit vers les villages environnant, notamment Porta Praetora où ça avait déjà atteins la ville. Mais il était hors de question de le laisser faire, il était donc temps d’en finir rapidement.

Nous n’avons pas beaucoup de temps pour partir, mais Kaldrak prit quand même le temps de poser un doigt sur le torse de Finaen pour lui dire que la famille Ambrerune escompte qu’il s’occupe de cette affaire d’urgence, puisqu’elle avait visiblement été menacé par les responsables de tout ça. Nous étions sur le point de comprendre à quel point il avait raison quant au danger de ses adversaires qu’on venait de rencontrer, et pour certains, principalement de retrouver d’une autre époque en Gyr Abania comme une cruelle réapparitions depuis quelques années maintenant. Et il fallait que cela advienne durant l’Apocalypse, comme si la fin du monde n’était déjà pas suffisamment difficile à géré comme ça malheureusement. Partant en vitesse droit vers les hauteurs rocheuses, laissant la sécurité des civils dont il n’y eut pratiquement aucune personne si ce n’est pour les pauvres protecteurs ayant offert leurs vies pour la plus part afin de défendre ses gens – ce qui était vraiment plaisant de partir d’ici en ne laissant pas un tas de cadavre qu’on aurait pas pu sauver des marasmes infâmes qui nous attendaient. Progressant à bonne vitesse, au grand déplaisir de Greil il nous fallait grimper sur les hauteurs rocheuses à bonne vitesse avec notre équipe complète désormais, une fois renforcé par Finaen et Atsuo, avançant droit vers les hauteurs en essayant de rejoindre la silhouette de notre nouvel adversaire tout en réalisant rapidement qu’il faudrait faire face à bien des épreuves devant nous. Le chaos des pierres devenue folle avait l’air d’une fin du monde miniature s’étendant devant nous en ravageant tout au passage. De prime abord, ce n’était que des pierres flottantes un peu partout, errante dans les airs en donnant l’impression d’être coincés en lévitation. Et ce qui n’était que des petites pierres, devinrent rapidement des bien plus gros rocher.

Et si eux n’étaient pas menaçant, ça n’était pas le cas des énormes bras de pierre s’élevant partout autours de nous en donnant l’impression de titan se réveillant pour essayer de nous écraser brutalement. Ce n’était que des bras, et encore heureux, je me serais mal vue affronter une dizaine de titan de pierre ayant la taille de montagne au vu de la taille des bras de pierre. Mais une première main dévastant un pont de pierre dans un choc terrifiant envoyant valser des roches littéralement partout autours de nous dans un impact puissant. Il allait falloir faire preuve d’agilité et de vitesse pour se sortir de là, les vents puissants créer par Finaen et Runne firent naître des pouvoirs d’émeraudes autours de nous d’une grande puissance en ondulant autours de nous, jusqu’à permettre à toute notre équipe de filer rapidement en avant dans une ondulation aérienne incroyable. Progressant à bonne vitesse, comme si nous étions portés par les vents émeraudes d’une beauté fantastique, c’était bien plus facile de bondir et de progresser ainsi en partant à bonne vitesse en avant en passant outre les obstacles. Des amas de pierre stabilisés se formant autours de nous pour essayer de nous offrir des moyens de progresser plus facilement tandis que Runne désolidarisait les pierres des immenses bras pour les rendre plus facile et plus lent. Ce qui rendit leurs destructions plus facile, quand Atsuo, Greil et E’nijoh s’en débarrassaient en frappant tout les trois les uns après les autres. Un coup de sabre, de pistolame, et un coup de poing formèrent de choc titanesque dévastant les bras de pierres en envoyant des décombres un peu partout, ce qui allait être bien plus tranquille si Atsuo n’avait pas été attrapé en plein vol par une des mains de pierre essayant de le broyer soudainement entre ses doigts de roches titanesques. Mais avant qu’il ne soit broyé en même temps qu’un cri de douleur à l’intérieur du bras de pierre, Et d’un coup, les doigts furent brisés quand E’nijoh les dévasta d’un coup en grognant, pour libéré rapidement de là Atsuo en l’envoyant hors de là pour qu’ils puissent tous bondir en l’air afin d’échapper à la dévastation autours d’eux.

Si Greil rattrapa Atsuo en vol pour l’aider à s’installer à terre en relativement bonne état. E’nijoh lui bondit et se prit une pierre dans une grande explosion dans les airs, le laissant choir au sol plus lourdement avec l’impact quand il s’étala au sol. Greil serrant les dents en progressant, elle vint rejoindre Livio et moi au milieu des membres des Loups qui nous fonçaient dessus en rugissant, leurs corps devenant de plus en plus fait de choses puissantes formant des vrilles de pierres partout sur leurs incarnations, ayant même le droit à des lames à leurs bras faites de roches. Une allait trancher E’nijoh retombé au sol, mais à la place, le miqo’te se prit pas mal de sable sur la figure quand Runne transforma le bras en sable pour leur voler leurs capacités. Sous la forme de coeurl en utilisant son artefact, Livio bondissait en provoquant une explosion foudroyante paralysant la plus part de nos ennemis. Et il s’en serait bien sorti, si une sorte de lance d’éclair d’un jaune puissant s’entremêlant à l’ambre de la pierre formant la lance, s’écrasa brutalement dans une explosion en plein contre Livio en l’écrasant au sol. Greil après avoir prit un coup dans le ventre, valsant en l’air en me laissant la rattraper avant qu’elle ne s’écrase, fusa droit pour se mettre devant Livio au sol en tranchant rapidement les derniers adversaires jusqu’à tenir tête directement à notre dernier adversaire s’approchant lentement hors des miasmes de la fumée dorée, jusqu’à ce qu’elle ne s’éloigne brutalement quand il frappa de son bâton au sol en créant une onde d’énergie magnifique.

Alors que plusieurs soignaient Livio au sol, le temps qu’il se redresse en reprenant sa forme en toussant un peu. On pu admirer les lieux magnifiques, réalisant qu’il y avait des pierres dont des auras d’or ambrée s’entremêlaient aux symboles de mantra digne de ce qu’avait retrouvé E’nijoh dans la demeure de son ancien maître. C’était réellement beau, et agressif envers quelques créatures de l’Apocalypse qui avaient tentés de rejoindre ses lieux comme attirés par celui qui se trouvait ici. Les pointes de pierres sortant de partout tranchèrent aussi tôt les monstruosités, et c’était plutôt perturbant de voir nos ennemis abattre les horreurs de l’Apocalypse dont il ne restait déjà plus que des volutes de désespoir errant dans les airs à leurs destructions. Mais puisque l’ennemi de mon ennemi est un problème pour plus tard, comme dirait le dicton – même si j’ai comme un doute sur ça – il fallait se concentré sur le vieillard s’approchant lentement en se présentant à Runne comme étant son grand-père adoptif. Stahnold Fletcher avait vu ses enfants périr avec leurs ambitions contre les impériaux, tout ça pour voir Gyr Abania soutenir une délégation pour sauver ce qu’il restait alors de l’Empire, et pour lui, ça n’était pas question. Les Loups morts de Garn n’a qu’un œil, une bien vieille histoire ayant laissé des pauvres bougres errants avaient été récupérés par Stahnold pour reformer une vieille faction de résistant qui avait été proche de la famille de Runne : La foudre de Rhaglr se mêla aux loups, laissant naître « Les Loups de Rhaglr », se proclamant comme étant un avenir certain pour Gyr Abania en passant outre l’Apocalypse et en détruisant définitivement l’Empire. Disparaissant après avoir ordonné à Runne de le rejoindre tôt ou tard, il offrit la puissance à un Hyurgoth venu le chercher. Le tatouage de Serre ardente était un symbole qui le liait à un groupe que traquait E’nijoh, et qui était en train de rejoindre visiblement les Loups de Rhalgr, en profitant du pouvoir que Stahnold volait au Rage-Pierre.

Le hurlement de douleur et de rage de l’entité se fit entendre au-delà de la terre, résonnant de plus en plus fort, alors qu’il en arracha le pouvoir pour renforcer le Hyurogth se transformant en énorme horreur de pierre humanoïde comme si son corps était bouffi par la roche. Ricanant lourdement, hurlant à E’nijoh qu’il aurait du mourir dans le Thanalan, le combat se prépara dès lors tandis qu’un énorme bras de pierre s’éleva proche de là tout en ayant un loup de pierre immense aux éclairs d’ambres frappant un peu partout autours de lui. Tous jaillirent pour les affrontés, sauf Runne qui resta avec le maitre d’E’nijoh enchaîné à des pierres libérant une grande aura autours de lui. Faisant de son mieux pour le libéré, il tenta de ne pas y aller avoir trop de force avec la crainte de le mettre à mort involontairement. Débutant une inspection minutieuse, les défenses du sort furent brisés d’un coup en formant une grande énergie tournoyante autours de lui dont des pierres se formant allaient finir par tailler Runne en morceaux si il ne faisait rien. Fusant vers lui, il se mit en garde et l’ensemble disparu sous les flots quand Finaen créa une véritable tempête aquatique autours de Runne en le protégeant de tout ce chaos formant un tourbillon magnifique et intense. En profitant pour briser les liens d’éthers forçant un de ses premiers chakras à rester actif pour en tirer le pouvoir et l’utiliser pour alimenter les Mantras volant son pouvoir au Rage-Pierre. Le vieux maître braillait à E’nijoh de s’en sortir en utilisant ce qui lui avait apprit, se libérant dans une grande explosion de roche envoyant des pierres un peu partout, malgré pour Runne un choc le laissant au sol toussant un peu à cause des défenses rocheuses.

Sonnés mais triomphant, on pu se concentré sur les menaces alors que Livio escaladait rapidement l’énorme bras de pierre. Grimpant de plus en plus haut, les dents serrés quand il reçu plusieurs pierres dans le ventre à vous en donner envie de vomir vos nouilles au dodo. Il parvint jusqu’au poignet et provoqua une énorme déflagration en plein contre son poignet envoyant des pierres valser dans tout les sens dans l’impact, jusqu’à ce que Finaen n’y fournisse énormément d’énergie aquatique formant des stries titanesques dans le bras pour l’affaiblir. Bondissant en arrière, Livio tenta dans un bond de descendre, et faillit se faire écraser dans la poigne de la main géante, avant que Finaen ne lui permette de s’échapper hors de là. Laissant une sorte de vague aquatique faisant tournoyer Livio dans les airs de façons fantastique et formidable à voir dans les cieux. Il arriva proche de Finaen dans un mouvement agile des flots, tandis que les noulithes bombardèrent d’un coup d’énergie aquatique les blessures dans le bras géant. Et quand la croix de pouvoir balancé par Livio frappa la fissure, elle explosa soudainement en envoyant des pierres un peu partout, nous débarrassant définitivement de cette menace dans une grande explosion. Et le loup foudroyant y passa aussi. Greil revint blessée après avoir empêché une sorte d’énorme griffe de fendre E’nijoh en deux, partant dans d’innombrables coups qu’elle ne cessa de déviée, il lui fallait soutenir rapidement Atsuo dont l’explosion blanche avait aveuglé le loup foudroyant malgré un choc qui frappa Atsuo en plein dans le torse en le faisant reculé brutalement. Tranchant en avant, les trois coups de lames fendit son adversaire en laissant des blessures d’ambres fumantes partout sur son corps avant qu’elle ne bondisse pour l’achever. Tournoyante en l’air, un éclair rouge fusant avec sa lame tournoyante en essayant de trancher en morceaux son adversaire au niveau de la nuque malgré un éclair qui la frappa à la cuisse douloureusement. Dans un sifflement puissant, ses coups plurent encore et encore jusqu’à ce qu’Atsuo formant un bouclier autours de lui ne chargea droit en avant en explosant le visage du loup qui tomba en milles morceaux quand les deux compagnons s’en débarrassèrent. Nous laissant le soin avec E’nijoh d’en finir avec notre adversaire.

Se remettant du flot de coup qu’il venait de se prendre, s’insultant sympathiquement avec son maître, je subissais le combat en d’innombrables frappes dans une égalité parfaite avec son monstre de pouvoir tout en serrant les dents. J’ouvrais le passage d’E’nijoh, même si cela me valut de m’écraser au sol brutalement quand un coup m’écrasa brutalement par terre en brisant un peu le sol, sonnée par le coup. Regardant difficile vers E’nijoh, il utilisa les mantras de son maître pour former d’énormes pierres comme des poings autours de ses bras, tous frappant en même temps dans un déchaînement ne cessant plus de frapper jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un tas de pierre sanguinolent des restes du corps de son adversaire dans un rugissement puissant. Le calme s’était enfin installé, depuis la chute des mantras, les pierres étaient toutes retombés et nous contemplions simplement la beauté nocturne de Gyr Abania autours de nous, enfin en sécurité. Pendant que maître et élève se retrouvaient, E’nijoh se prenant une prise au passage comme pour célébré leurs retrouvailles. Beaucoup de question restaient en suspend : Y-à t-il vraiment un hérésiarque ici, ou cette légende du Rage-pierre n’était qu’un mythe d’une entité utilisée par Stahnold pour renforcé les Loups de Rhaglr souhaitant un avenir qui leurs conviendraient à eux pour Gyr Abania ? Tout ça se bousculait un peu, mais c’était facile de savoir qu’ils utiliseraient les pierres pour faire s’effondrer la demeure des Ambrerunes sur eux dans les profondeurs de Gelmorra. Pour l’heure, il nous fallait nous préparer aux prochaines missions tout en soutenant Runne qui avait peut-être un peu trop subi d’informations pour l’instant. Sans compter la perte de sa rapière, il lui fallait se battre contre le destin de sa famille adoptif : Si son père avait été fier de lui, il fallait croire que sa mort entraîna la grande souffrance de Stahnold. Et même loin du ciel de feu. La souffrance pour causer bien des torts dans la psyché des gens. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-et-unième Entrée - « Acte 2 – Sous le halo de Seld.»

« Vivre à Porta Praetoria avait quelque chose de plus agréable que nous avions pu vivre depuis bien longtemps. En Orient bien entendu, nous avions pu jouir plus d’une fois lors de nos voyages de quelques installations confortables avec des lits douillets. Mais le long d’Ilsabard en combattant sans cesse, les installations pour notre petit confort n’étaient pas les mêmes. Pour autant, même étalée dans un petit coin douillet en contemplant un ciel qui n’était pas affecté par l’Apocalypse pour l’instant – même si ce « pour l’instant » devrait sortir de mes pensées comme Livio me le dit que trop souvent. On pouvait au moins enfin souffler un peu malgré les craintes de tout ce qui allait se passer si les protecteurs d’Hydaelyn ne trouvaient pas de solutions. Mais allons bon ! Qu’importe les sombres pensées, il nous restait bien trop à faire pour nous laisser faire par le désespoir, à commencer par en apprendre plus sur les desseins des Loups de Rhaglr. Si ils souhaitaient purifier autant Gyr Abania de quelconques conséquences de l’Apocalypse et des gens gênant ayant aidés Garlemald, ils leurs fallait plus de cette puissance tellurique qu’ils ont appréciés ponctionnés. Et les rares informations sur leurs actions citèrent une intervention de leurs parts droit en direction de la Salaisonnerie récupérant le sel du Lac Seld. C’est là qu’ils décidèrent d’agir et les fractures puissants donnaient malheureusement une cible comme une flèche orientée droit sur ce lieu où le pouvoir tellurique avait tout brisé. Un endroit calme, sans histoire, jusqu’à ce que Stahnold n’en décide autrement en déchaînant ça soit disant meute divine afin d’y récupéré quelque chose dont nous ignorions encore tout. Des artefacts reliques sur le Rage-Terre, si il s’agit réellement d’autre que chose d’un Hérésiarque ? C’était à nous de le découvrir, et nous voilà en route afin de dénoués le vrai du faux avec une partie de notre équipe.

Personne n’allait nous rejoindre, mais nous aurions tout de même l’assurance de compter sur nos compagnons habituels : Finaen , Runne et Lucian formeraient l’équipe d’investigation magique habituel, pouvant avoir une grande force de frappe en cas de soucis magique. Sorn nous offrirait tout un tas de support avec ses gadgets et son arme à feu, Gladys gazouillant autours de lui qui allait être toujours aussi utile. Et Greil et moi étions présentes pour trancher tout ce qui s’opposerait à nous, nous laissant ainsi quitter l’éthérite de Porta Praetoria en directement de la Salaisonnerie tout en espérant que nous n’y trouverions pas un village dévasté comme les quelques masures non loin de là, tout en voyant bien des habitants en périls ou morts. Heureusement, les Loups de Rhaglr ne sont pas des simples assassins, ils ne tuent pas inconsidérément les habitants : L’objectif pour eux est de les dominés, pas de les abattre, ce qui était parfois la même chose quand certains se montraient un peu trop résistant à leurs avances. Et le peuple Mhigois est l’un des plus tenaces face aux tentatives de domination, comme le fut démontré par le passé contre le Roi Théodorick et l’Empire lui même. Mes pensées se noyaient dans les interrogations de la sorte pendant que nous progressions hors de la ville avec bien plus de calme que la dernière fois. Il pleuvait beaucoup, et les habitants s’étaient réfugiés pour profiter d’un confort paisible pendant qu’on avançaient au milieu de la pluie. C’était d’un reposant sublime : De l’eau tombant des cieux, ni le blizzard de Garlemald, ni les tempêtes de feu de Thavnair sous l’Apocalypse. Juste de la pluie, avait dans nos âmes quelque chose de vraiment agréable. Je vis le même sentiment de paix sur les traits de Finaen et Runne, Gladys elle jouant au grand dépit de Sorn qui ronchonnait encore que Marlithe n’est pas là pour le soutenir puisqu’elle est rentrée auprès des Proditor d’urgence.

Et nous progressions ainsi en croisant quelques civils sont les faciés se mêlaient de reconnaissance comme de doute et de craintes. C’est là l’effet habituel chez les populations quant les aventuriers agissent et restent dans les environs : Ils sont soit heureux d’être défendu, soit effrayés de périr dans une escarmouche face à nos adversaires. On ne pouvait leur en vouloir, et c’est l’âme bien tranquille que nous progressions droit vers la ville tout en voyant quelques étranges effets. Des Soblyns se disputaient une pierre jusqu’à ce que Greil ne leur renvoie, et en la dévorant, l’un des deux vomit des pierres bleutés aux pouvoirs aquatiques se trouvant normalement au fond de l’eau. Quelque chose se liait aux profondeurs de la mer, bien que jamais elles n’auraient pu arriver ici sans terribles efforts, et le pouvoir sur le Sel s’en fit sentir. Tandis que Finaen et Runne foncèrent vers un soldat Mhigois agonisant par terre, alors que nous étions sur le point d’arriver à notre destination. Il pu nous expliqué une fois soigné que la Salaisonnerie à été attaqué par la Meute divine de Stahnold venu chercher quelque chose de bien précis pouvant lui permettre d’arracher du pouvoir au Rage-Pierre. Pendant qu’ils le soignaient, sous la surveillance de Greil, Sorn et Lucian avaient découvert que deux forces puissantes étaient actives : Celle d’un sort en préparant sur le sel, et celle d’une magie inquiétante aux tonalités si complexe qu’il était peu facile de concevoir quoi que ce soit avec. Laissant le soldat partir pour Porta Praetoria, on fonçait alors vers la ville si elle était menacée, voyant d’un coup apparaître proche de nous un sorcier des Loups installé sur un amas de sel s’élevant autours de ses jambes comme une sorte de vague qu’il maîtrisait en riant. Déchaînant le Sel, nous étions alors envahit par une mer de sel nous fonçant dessus quand il activa bien des glyphes bleutés, formant une agression de vague incroyable où des simulacres de structures marines faites de sels nous fonçait aussi tôt dessus.

Tandis que Finaen maîtrisa les flots, formant une spirale d’eau utilisée avec la forte pluie en contrôlant l’eau venu du ciel en créant un tourbillon nous protégeant de prime abord. On entendit un hurlement depuis le sol, avant de le voir parfaitement opaque. Sous nos pieds, la vision de deux yeux jaunes et d’un bec laissant voir le Rage-Pierre nous contemplant comme dans un appel à l’aide. L’illusion disparue petit à petit, comme si il avait effleuré nos esprits pour essayer de nous montrer qu’il souffrait là où il était coincé, mais qu’il n’était pas responsable de ce qui nous arrives. Cela l’attristait sûrement que sa force était utilisé pour faire autant de mal, mais il était temps pour nous d’avancer dans ce décors merveilleux de l’eau tourbillonnante. Faisant frapper quelques éclairs, Runne progressait en aidait Finaen dans son contrôle sur l’eau en montrant à Sorn où était les glyphes bleutés dans des explosions, permettant à son camarade d’envoyer des grenades dessus formant des grandes déflagrations au dessus de nos têtes. Plus les glyphes étaient brisés, moins le sort était puissant, et nous voilà marchant en avant quand Lucian et Greil fendirent le passage de deux coups partagés, la vague d’ombre s’entremêlant au tranchant jusqu’à nous ouvrir la route tenue par les flots de Finaen en nous permettant de foncer en avant.

Je tranchais les obstacles de ma lame, Greil et Lucian s’y joignant dans des cristaux mauves frappant les végétations curieuses, jusqu’à ce que nous puissions atteindre l’escalier menant à la Salaisonnerie, enfin libéré de la folies des flots de ciel, contemplant entre l’orage et la pluie, le sorcier riant qui nous attendait. Des créatures de Sel naquirent partout autours de lui, formant des silhouettes horribles, tandis qu’il fit tout pour briser l’arche et l’escalier afin de nous bloquer le passage. Lucian congela immédiatement l’arche pour ne pas en laisser trop prompt à choir, et les morceaux nous tombant dessus avaient tous été repoussés par la gravité du Teclis manié par Sorn. Les envoyant valser dans des ondes vertes, Sorn fut embêté par Gladys lui mettant ses pattes sur le visage pour lui montrer quelque chose, avant de voir une pierre jaillir et s’écraser sur le machiniste pendant que la petite tourelle fuyait. La bataille magique entre Runne et le Sorcier formait des stries partout sur l’escalier, l’un voulait le détruire au milieu du chaos, l’autre le tenir bon pendant que les derniers pierres de l’arche en l’air furent transformés en pointes de pierre tombant en d’innombrables endroits sur les créatures de sel, les dévastant au passage. L’une bondit, et fit réalisé à Finaen que c’était en quelque sorte des consciences vengeresses de ceux tués parmi les Loups morts il y à longtemps. Frappant Finaen en l’écrasant en arrière, blessé, son adversaire fut tranché par mon sabre dans un grand coup, et j’envoyais ma lame et ses éclairs avec ceux de Greil pour trancher nos adversaires. Ils n’avaient aucunes chances, fendant en morceaux toutes les créatures de Seul en bondissant sur l’escalier brisés qui était utilisable grâce à Runne, malgré une pierre qui frappa lourdement le bras du miqo’te. Nous étions sur le point d’atteindre le sorcier jusqu’à ce qu’il ne soit noyé brutalement par des chaînes de cristaux mauves créer par Lucian pour le broyer soudainement sous le flot de chaînes.

Écrasés de plus en plus, il s’extirpa des chaînes dans un hurlement soudain en nous fonçant dessus sous la forme d’un loup de pierre foudroyant. Un coup d’épaule m’envoya m’encastrer contre une pierre, sonnée par le choc. Et un coup de griffe puissant tailla le flanc de Greil en une sérieuse blessure. Sa vitesse et sa force était issue de ce qui lui restait de vie, dans un sacrifice ultime pour le pouvoir, et quand il bondit vers Runne pour le frapper, le temps était déjà écoulé. Et il s’effondra en un tas de pierre jaune ondulante d’énergie, laissant Lucian en récupéré pour son étude. Blessés, épuisés, nous progressions alors sous la pluie intensifiée entremêlés aux éclairs droit vers l’intérieur de la ville, en espérant qu’il n’y ait pas trop de casse là-bas. Progressant vers des grands halos de sel tournoyant au dessus de la ville.

Bien entendu, vous vous en doutez, quelques soins furent nécessaires avant d’avancer au vue de la raclée qu’on avait subi pendant notre progression. Plusieurs vinrent guérir Greil dont l’état de son flanc était inquiétant tout en me laissant aux bons soins de Runne me permettant de m’extirper de mon tas de pierre brisées en ayant l’impression qu’il me faudrait quelques massages du dos pour me réparer tout ça. Autant vous dire qu’on avait sous-estimés le pouvoir qu’ils avaient pu arracher au Rage-Pierre, leur donnant un pouvoir bien inhumain qui allait nous donner moult difficultés. Après toutes nos épreuves subies, il est facile de se croire au sommet de la chaîne alimentaire, mais il faut être conscient que les menaces ont toujours une force qu’il nous faut confrontés. Et chacun feront toujours parti de l’ascension de ceux qui les confrontent pour devenir plus fort, et protéger plus de gens. Passant l’arche brisée et congelée, nous voilà en ville sous les halos fait de sel, en contemplant les environs. Ce qui était notable était autant de voir qu’il n’y avait pas spécialement de dégâts en ville, autant qu’il n’y avait visiblement pas de victimes. Les locaux s’étaient rendu et n’avaient pas opposés de résistance précisément pour ça en espérant que le soldat qu’ils avaient envoyés feraient venir des libérations. Par chance, c’était nous, les libérateurs, et nous voilà contemplant les menaces environnantes sous le regard des envoyés de Stahnold venu utiliser l’artefact que les travailleurs de la Salaisonnerie avaient vraisemblablement découvert. Et nous connaissions que trop bien ce dont il s’agissait, pour l’avoir vu plus d’une fois lors de nos péripéties, toujours curieux de découvrir cette sorte de puissance du passé que nous ne pouvions encore réellement concevoir. Devant nous, actif, se tenait un des halos des profondeurs.

Jusque là, c’était principalement des créatures liés aux forces du néant qui voulaient en faire usage. Mais cette fois, c’était bien malheureusement des simples humains qui avaient pu trouver un moyen de le rendre actif, le Halo s’élevant tournoyant lentement en créant le portail à son travers, laissant disparaître la spire haute du monument au milieu du village, formant des lueurs bleutées puissantes. Une fois de plus, c’était lié à l’eau, formant des bulles tombant un peu partout dans les environs ainsi que quelques pierres bleutés tombant au sol que des Soblyn avaient du manger. Les fameuses pierres d’eau lié le Halo des Profondeurs au fond de l’eau, où ils cherchaient visiblement quelque chose des plus puissants. Ce qu’ils firent venir de prime abord, était une conscience de pierre avec des roches du fond des flots particulièrement sombre, tombant tel un golem bipède effrayant s’écrasant juste devant nous, recouvert d’algues et d’autres végétations aquatiques en émettant une sorte de grondement puissant provoquant des échos autours de lui. Il y avait bien des cibles autours de nous, allant de bêtes d’argiles de Gyr Abania bondissant sur les toits, autant que quelques prêcheurs de la Meute divine entraînant et testant les habitants ayant un potentiel à les rejoindre.

Il fallait libéré les lieux en urgence, bien que c’était loin d’être le plus gros problème en cet endroit, mais Stahnold ne pouvait encore réalisé à quel point ses projets en cette période pouvaient être dangereux. Et nous allions hélas le découvrir en pleine poire. Runne chargea les Loups de Rhaglr, voulant mettre rapidement les locaux en sécurité ou qu’ils ne soient pas trop tentés de les rejoindre surtout, manipulant la roche pour leurs faire perdre toutes les sortes de créations de pierres se formant sur leurs bras tombant lourdement au sol en les empêchant de profiter du pouvoir volé au Rage-pierre. Fusant vers sa cible, genou en avant, il fut attrapé par le bras du prêcheur principal et agité dans tout les sens tandis qu’il riait en disant que même le nom souillé des Fletcher allait être réparé par la mort du Fils insoumis. Ce, avant que Runne ne lui broie le bras brutalement dans un hurlement de douleur avant de se prendre un grand coup de pied dans le torse. Retombant au sol, le prêcheur écrasé par terre en braillant à cause de l’état de son bras, le miqo’te sursauta en voyant des lames apparaître partout autours de lui, quand les autres Loups le tinrent en respect, se préparant peut-être à l’exécuter sur place. On ne le saurait jamais, car un des loups se prit une flèche en plein torse, voyant apparaître le garde Mhigois que nous avions sauvés. Souriant, les Loups le chargèrent en pensant à une proie facile, jusqu’à voir une dizaine d’autres soldats apparaissant dans un cri de bataille, venu libéré d’urgence la Salaisonnerie pour protéger les habitants. C’était bien heureux à voir, mais il nous restait à faire, Greil se battait sur les toits de la ville contre deux bêtes d’Argile la suivant sans cesse en essayant de l’atteindre.

Fendant les airs de sa lame, une explosion rocheuse d’un coup de griffe provenant d’une des créatures blessées par le Tenka Gokken de Greil : Un Iajutsu formant trois puissantes lames dessus. Elle allait choir dans la demeure et se faire écrasée par l’autre bête d’argile, mais un instant plus tard, Greil fusa dans les cieux à toute vitesse en tournoyant en l’air. Elle volait, et c’était là l’effet de Gladys installée sur son dos en ricanant, pendant que Sorn souriait en explosant une sorte d’énorme limace de sel. La déflagration bleuté était impressionnant, le Teclis renforçant le lance-flamme de Sorn formant comme un choc à l’onde déferlante brisant la limace de sel énorme, en l’éparpillant dans les environs. Tout ses morceaux devinrent des petites et grosses limaces, errantes dans les environs dans des mouvements lents et chaotiques, tandis que Sorn se transforma alors en cerf en utilisant le totem des milles bêtes toujours acquit – j’ai pensé fut un temps que seul Livio se souvenait de ce cadeau fait il y à plus d’une année de ça ! - avant de piétiné de ses sabots encore et encore les différentes limaces au sol en bondissant à droite et à gauche. S’en prenant une en pleine tête, Sorn paniqué et confus tomba au sol en s’écrasant sur les dernières limaces, qui fuyaient pour fuir l’énorme cerf s’écrasant par terre en roulant un peu au sol, ne se relevant que confus en voyant la dernière partie. Il faudra que je pense à lui demander ce qu’il en à fait, à savoir si il restait une dangereuse créature de Sel pouvant se renforcer avec le Lac Seld, ou si il l’avait détruite. Au moins, il s’en était très bien sorti même sans Gladys, qui permit à Greil de passer entre les deux bêtes d’argiles avec d’innombrables mouvements et sifflements. Ses dents se serrèrent, et du sang glissa de sa plaie à la hanche rouverte par l’intensité de son assaut en la laissant tremblante un instant. Mais les deux bêtes d’argiles, elles, furent fendues en milles morceaux s’effondrant lourdement par terre dans des bruits puissants de chocs rocheux.

Nous laissant en finir avec le golem en compagnie de Lucian. Autant vous dire dans mon état, que je ne me sentais pas aussi efficace et en combattant le golem des profondeurs en tranchant sans cesse, lui laissant des plaies avec les éclairs et ma lame, je ne pu esquivé le poing m’envoyant m’écraser dans une caisse de poisson. Sonnée par l’impact. Il ne pu me poursuivre quand des sortes de rubans blancs jaillirent de toute part, s’entremêlant au golem un peu partout pour le retenir alors que de la fumée s’extirpa de plus en plus de la magie l’attrapant d’un coup, jusqu’à le congelé de l’intérieur dans un bruit de cristal puissant en le coinçant finalement net. Bloqué dans la glace, il en brisa en partie pour se diriger lentement vers Lucian afin de l’affronter, mais il n’y parviendrait pas. Envoyant des poissons valser dans tout les sens dans un bond rapide, arrivant droit vers notre adversaire en serrant les dents, tranchant plusieurs fois le long du corps de notre adversaire en l’endommageant encore et encore de mon épée jusqu’à retomber à côté de Lucian en haletant un peu. J’allais poursuivre, mais un choc aérien me frappa en envoyant valser le poisson encore accroché à mon épaule, m’étalant par terre pendant que Lucian acheva son sort. L’explosion à l’intérieur du golem ne lui laissa aucune chance, envoyant des décombres un peu partout valsant dans les environs quand il fut brisé en milles morceaux par la puissance qui brisa notre adversaire en ne laissant de lui que des algues étalés par terre. Tout les adversaires étaient vaincu, et c’est Finaen qui s’occupa du Halo des Profondeurs pour le désactivé d’urgence. C’était logique, il l’avait déjà fait deux fois, ça allait être une troisième fois ! Bondissant en l’air, les noulithes d’Atlas tournoyant en allant dans son dos avant d’atteindre les hauteurs. Il concentra la magie dessus de plus en plus forte pour essayer d’inverser les énergies s’accumulant pour qu’il soit poussé à s’éteindre tout seul.

Une petite fille montrant Finaen en l’air, disant à sa mère qu’un ange venait de passé devant elles, laissant Finaen travailler sur le changement dans le Halo qui se bloqua d’un coup, et s’inversa brutalement en tournoyant en l’air. Prit dans la spirale, le voilà balancé dans tout les sens en s’accrochant comme il pouvait au Halo en train de se clore dans une diffusion de plus en plus puissante. Quelque chose sorti alors de là, mais l’esprit s’extirpant des profondeurs n’était pas sa priorité. C’était plutôt les halos de sel au dessus de la ville, s’effondrant massivement droit vers les bâtisses risquant de faire des dégâts tant ils étaient compressés. Repoussant l’ensemble en s’élevant en l’air, il fut prit par une vague de sel avant de s’écraser dans la tente où la petite fille se trouvait, lui mettant sa peluche contre lui en remerciant monsieur l’ange de façons toute adorable, avant que Finaen ne vienne nous retrouver rapidement. Les forces Mhigoises sécurisait déjà la ville, mais il nous fallait partir rapidement vers le cœur du problème : Le sol se fissura d’un coup, un tremblement de terre nous agitant un peu, dévoilant des fissures le long d’une demeure montrant un passage droit vers notre cible : les étendues de Seld.

Au moins, la Salaisonnerie n’avait pratiquement rien reçu. Ça nous change : Défendre une ville la laissait rarement intact, puisqu’il fallait trop souvent intervenir pendant l’assaut et non pas avant. Là, le respect de la meute divine pour les leurs était au moins ça d’honorable. Pour une fois qu’un adversaire était un conquérant et pas un destructeur – bien que cela ne changera que peu de chose si ils prennent le pouvoir et qu’ils se mettent à pendre cours leurs opposants aux bouts de cordes pour s’en débarrassé. Progressant à bonne vitesse droit vers les étendues de sel, quittant la ville après quelques supports pour nos alliés relativement en piteuse état, croisant quelques locaux nous donnant leurs bénédictions pour en finir. Il ne fallait pas traîner, puisque derrière nous les étendues de fissures allaient s’étendre en provenant de Seld, et si tout ça atteignait le Halo et l’abîmait, je n’imagine alors même pas l’ampleur de la destruction. Ce dernier était enfin éteins, et j’avais un gros doute sur le fait qu’ils s’en arrêtent là, et l’esprit qui passait au dessus de nos têtes était peut-être bien l’arme qu’il leur permettrait d’inverser la situation pour eux. Celle ci filante rapidement droit vers sa destination, elle me fit l’effet d’une petite comète passant à toute vitesse droit vers l’emplacement de notre cible au bout d’un pont s’élevant au dessus du sel de Seld. Sous les flots de la pluie intense, le passage de l’esprit avait quelque chose de simplement magnifique au dessus de nos têtes partant à bonne vitesse en formant une nébuleuse de nuance aquatique fabuleuse qui fit danser Gladys sous tout ce bleu. Mais ça aurait été plus simple de progresser à bonne vitesse le long du pont, si celui ci ne se mit pas à se déchaîné d’un coup, quand comme une créature réagit sous nos pieds pendant notre protection.

Le sel dans les étendues lointaines se soulevaient, étouffant dans une brume blanche les environs en isolant notre vue au lointains dans un chaos des plus intense, essayant de regarder ce qui nous entourait difficilement tandis que tout s’étouffait de plus en plus. Il y avait quelque chose des plus inquiétants, mais le grondement puissant provenant du Rage-pierre provoqua un échos dans les environs de plus en plus brutal. Et tout se chamboula d’un coup, quand brusquement le pont explosa sous nos pieds en nous emportant dans les cieux. Une énorme créature jaillit dans un cri, comme une sorte d’énorme reptile des profondeurs d’une taille absurde. On valsait tous dans les airs, plusieurs se prenant des coups au passage un peu violent que ça soit d’espèce de crabe fait de sel entièrement nous assaillant dans les airs, ou par le choc et le bois nous frappant dessus. Runne et Sorn s’entremêlèrent pendant la chute en s’offrant l’un à l’autre un formidable coup de tête, du sang glissant du front des ceux alors qu’ils se relevaient difficilement, Runne renforçant le pont qu’il restait sous nos pieds en entremêlant sa magie à celle de Finaen retombant plus doucement avec moi quand nous fendions une grande pierre en deux au passage en nous frappant légèrement, pour une fois, nous étions les mieux portant. Aidant Runne aux renforcements des pierres, Finaen créa des grandes pointes de pierre transperçant d’un coup les crabes les uns après les autres, et ceux qui n’étaient pas brisés par les pointes de pierre de Finaen devaient s’opposer au courroux de la lame de Greil, celle ci n’ayant pas envie de les laisser s’en sortir après avoir subie un grand choc douloureux dans le dos pendant que nous étions en train de valser dans les airs après l’impact.

La créature au moins avait disparue, et d’innombrables chocs ténébreux frappèrent nos environs quand Lucian se déchaîna sur toutes les créatures essayant de se sortir de là. Hors de question pour lui qu’elles s’en sortent, mais une pointe provenant du pont brisé valsa et lui transperça douloureusement la cuisse, le forçant à apparaître rapidement sur le bout du pont pour ne pas choir dans le sel avec ce qui pouvait se trouver à l’intérieur un peu sonné par la douleur éclatante dans sa jambe. Les dents serrés, retirant la pointe de sa cuisse, tout ses opposants lui arrivant dessus furent brutalement rejoint par Greil et moi en les taillant en pièce, laissant Sorn retomber en tirant rapidement sur toutes ses cibles comme si il essayait de remporter un prix pour Marlithe dans un stand du Gold saucer avec un petit rire presque inquiétant à mesure où il tirait avec le front saignant encore un peu quand sa tête avait rencontré celle de Runne bien trop fortement pour créer un peu d’imagination d’histoire érotique entre les deux compagnons. Le pont rayonnait aussi bien des effets terrestres provoqués par le passage de la créature dans le sel, que par les lumières d’ambres créer par Finaen et Runne pour qu’il tienne bon, nous forçant quand même parfois à nous accrocher de quelconque façons possibles quand le pont s’agitait encore. Sous la pluie, on avait presque l’impression d’être sur un pont qui aurait été installé en flottant en plein milieu de la mer et que Léviathan aurait été un peu trop taquiné pour laisser les flots paisible. Mais envers et contre tout, nous sommes parvenu jusqu’au bout du pont, passant les brumes de sel pour y découvrir le lieu rituel où un mantra issue des sorts volés au maître d’E’nijoh, rayonnait et formait d’innombrables sortes de serpent de lumières tournoyantes autours de nous, s’écrasant au sol régulièrement ou vacillant dans les airs, donnant l’impression cela dit d’une profonde tristesse. Ça n’était pas qu’une magie impressionnant, créant au sol des fractales de lumières diffusant d’immenses rayonnement de lumière d’or provenant du sol, formant un peu plus de lumières et de couleurs tout en contemplant alors enfin les environs illuminés par cette splendide beauté. Des perles de lumières sortaient lentement des fissures, filant vers les cieux avant de disparaître doucement sous la puissance d’une énergie tellurique grandiose et reposante.

Mais il ne fallait pas trop penser qu’on pouvait considéré ça comme le sang du Rage-pierre s’écoulant d’une blessure profonde qu’ils allaient utiliser pour renforcer un sinistre volontaire qui se tenait tout tremblant à côté d’un moine de la Meute divine. Ce dernier montra Runne du doigt, l’insultant de ne pas avoir accepter l’offre de son grand-père en rendant pitoyable le nom des Fletcher et de Daniel, son père adoptif. Reculant en laissant l’esprit s’installer autours du « volontaire », cet homme au fort potentiel arraché de la Salaisonnerie avait accepté de devenir une arme titanesque pour Stahnold, mais il ne concevait pas que ça allait finir comme ça. Lui rappelant pourquoi il faisait ça, pour qui, pour détruire les maudits traîtres ayant aidé Garlemald, cela ne l’aida pas vraiment pour tout vous dire, tout au contraire, la panique fini par le faire cédé brusquement. Et sous ses yeux ahuris, le moine contempla les volutes de désespoir de l’Apocalypse tournoyant autours du pauvre bougre alors que l’esprit s’installa dessus.

La conscient spirituelle hurla de douleur d’un coup quand elle fut comme volée par la transformation du pauvre bougre en une énorme créature de l’Apocalypse. Elle n’avait pas la puissance de Sonoah ou d’un Hérésiarque, mais cette chose immense venait de s’incarner comme un dragon des pierres immenses dont des éclairs jaunes sous le pouvoir tellurique volé imprégnait son corps, des ténèbres sifflantes passant à travers les pierres, comme si la créature était belle et bien à l’intérieur. La conversation fut coupé par le moine dans un hurlement de peur suivit d’un craquement net quand il fut attrapé par la gueule de la créature et coupé en deux, nous laissant l’assaillir à toute vitesse pendant que Runne arrêtait le Mantra. Ce dernier était un nœud de magie compliqué mais son œil aux runes tournoyantes trouvait efficacement de quoi l’arrêter. Cependant, la douleur jaillit ,et il affronta alors Stahnold essayant de s’introduire dans sa psyché pour l’arrêter en tambourinant encore et encore dans son crâne. Les dents serrés, Runne parvint à renvoyer à son grand-père brutalement une grande partie de la douleur du Rage-pierre dans la blessure, jusqu’à dénoué et fissuré le mantra, provoquant une grande explosion d’or juste devant nous en envoyant valser Runne brutalement au sol. Au moins c’était fait, aussi sonné soit-il, mais la créature de l’Apocalypse ne recevrait pas une force de plus. Lucian détruisit sa griffe principale, dans une puissante opposition en formant une énorme pointe de cristal jaillissante droit dans la griffe en la transperçant nette, la bloquant dans les airs tandis que brusquement la griffe vient s’effondrer en repoussant Lucian lourdement contre un poteau. Il se redressa, créant trois sphères de magies différentes, les envoyant d’un coup fuser vers la griffe en même temps qu’un coup qui le rétama lourdement au sol.

Sonné par l’impact, il ne fit qu’un mouvement, et les sphères explosèrent toutes ensembles sur la griffe en d’innombrables déflagrations jusqu’à ce qu’il n’en reste alors rien que des fracas. Libérant ce passage jusqu’à ce que Finaen et Sorn ne s’occupent de l’énorme queue aux pointes acérés se préparant à être balancés dans tout les sens pour transpercer tout le monde au passage. Tirant sans cesse au milieu des tranchants vermeilles, ils s’en sortaient particulièrement bien tandis que les lames rouges sifflantes frappaient encore et encore contre la caudale menaçante dont les pointes s’extirpaient en se plantant un peu partout, jusqu’à ce que la scie de Sorn ne la coupe pratiquement en deux avant de s’arrêter à cause des pierres. Ils l’avaient endommagés sérieusement, la magie vermeille frappant encore et encore, jusqu’à ce que Sorn et Finaen ne bondissent d’un coup dans les cieux pour essayer d’en finir. Les sorts bombardèrent l’ensemble quand Finaen se déchaîna dessus, comme une tempête provenant des cieux en même temps que la foreuse de Sorn ne jaillisse droit vers la queue. Elle allait être définitivement fendue, détruite dans une explosion fracassante des plus impressionnante, mais pas sans une mesquine vengeance. Une pointe trancha le flanc de Finaen en l’envoyant s’écraser sur le pont, voyant Sorn bloqué avec un bouclier du Teclis l’autre pointe censé le transpercer au torse. Ricanant, la pointe explosa cela dit, envoyant Sorn s’écraser brutalement dans le sol plus loin dans un petit fracas créant une fumée blanche s’élevant d’un coup, sonnant notre camarade brusquement.

Avec Greil, nous avions outrepassé les éclairs jaunes frappant encore et encore en avant pour nous repoussés, jusqu’à ce que nos lames ne tranchent plusieurs fois le torse de notre adversaire en brisant ses premières défenses. Greil ne s’en arrêta pas là, esquivant les crocs, la gueule et les éclairs de justesse à chaque fois en risquant de se faire massacré, elle tourbillonnant en tranchant brusquement de haut en bas en une puissante frappe tranchant le torse de nos adversaires en deux. Ce qui fit que quand je déchaînais ma frappe, utilisant le plein potentiel de la bénédiction dans mon cristal d’âme, pour fendre en avant en coupant la créature en deux – ainsi qu’une partie du pont et du sol derrière – laissant l’entité disparaître en fumée de plus en plus soudainement quand elle se désintégra sous nos yeux. S’en était fait. L’horreur avait été vaincue et elle ne menacerait pas la Salaisonnerie de sa présence. C’est là-bas, que dans notre piteuse état nous décidions d’aller trouver repos, les locaux curieusement généreux après avoir échappé à une catastrophe en nous laissant nous reposer quelques instants. Prenant le temps de reprendre des forces, bien des questions demeuraient, mais un objectif de plus en plus important se dévoilait à nos yeux : Arrêter d’urgence Stahnold Fletcher. Avant que ça ne finisse bien mal pour ceux qui seraient tentés de le suivre. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-deuxième Entrée - « Acte 3 – La source d’énergie de Nefereth.»

« Le mystère autours des actes de Stahnold était toujours entier quant à la présence des anciens Loups Morts de Garn n’a qu’un œil. C’était certes un ancien ennemi de Finaen et Runne, mais si ce n’est des agents et quelques esprits perdu de ce pauvre fou, on avait là encore aucune preuve que des agents plus haut placés dans l’ancienne organisation étaient encore en vie. C’est ce que nous allions découvrir, et notre quête nous mena cette fois vers Demilune. Une sorte de territoire isolés derrière des pans de montagnes, idéales pour servir de catalyseur afin de laisser les Loups de Rhalghr s’offrir le plein pouvoir du Rage-pierre. Quoi qu’ils préparaient là-bas, c’était certainement pour combler la force qu’ils n’avaient pas pu extirper en Seld. Mais au vue des préparations, il est plus fortement probable qu’ils aient débuté par ici avant de s’intéresser à ce qu’il se passe dans les lacs plus à l’Est. Quoi qu’il en soit, on ne pouvait simplement pas laisser ça dans cet état, et notre petite équipe se forma pour essayer d’arrêter ce qui pouvait bien se passer en passant par la force. Celle ci fut formée de mes deux camarades au sabre, Emile et Greil, prêtes à tranchés tout ceux qui s’opposeraient à nous en formant la ligne d’avant garde. Tout en ayant les maîtrises complémentaires de Runne et Finaen, habituelles pour maîtrisés tout nos adversaires. Il faudrait compter sur Lucian et Aelrin pour nous offrir tout une puissante magie variée afin de nous débarrassé de tout nos adversaires. Une fois de plus, la route débuta depuis Porta Praetoria, où nous sommes installés pour nous occuper de cette affaire pour l’instant. Pas encore de signe de l’Apocalypse sur ce territoire, ce qui est définitivement rassurant, mais qui sait quand ça pourrait alors apparaître d’un coup ? Impossible de réellement pouvoir empêcher l’Apocalypse d’advenir si elle le désirait, si ce n’est peut-être en confrontant les créatures Hérésiarques. Mais nous n’aurions rien à confrontés si les maudits Loups de Rhalgr triomphe.

En ville, les locaux nous saluèrent avec cet habituel espoir que les habitants d’une ville confie à leurs aventuriers quand ils sont là pour les protéger et qu’ils ont effectués leurs premières missions pour eux. Cela laissait une sorte de pression pour Finaen, d’être responsable de la vie de certains, mais plusieurs comme Aerlin étaient surtout inquiet pour leurs santés et la sécurité de leurs esprits face aux miasmes du désespoirs. Au moins étaient-ils entre de bonne main, et nous avons pu partir à traverse la grand route sans qu’il n’y ait vraiment de problématiques en ville. Nous éloignant rapidement, droit vers les hauteurs rocheuses, celle ci était comme attendue en bonne partie dévastée par les pouvoirs Telluriques de nos adversaires ayant rendu parfaitement chaotique les environs sous l’amas de dévastation provoqués par leurs magies. Cela rendait aussi instable que possible l’éther infusant la pierre, libérant quelques explosions foudroyants en essayant de progresser sur les hauteurs. Le choc qui aurait du foudroyés Greil fut d’un coup bloqué par les boucliers convoqués par Finaen dans des intenses lueurs de cristaux de magie. Sous couvert de notre camarade, et s’aidant des amas de pierre créer par Aerlin pour grimper plus efficacement – Puisqu’il faut toujours parvenir à grimper quand on est pas capable de nous téléporté comme ce faquin de Lucian. C’est en arrivant dans un lieu dévasté dont la brume d’énergie voilait l’horizon et rendait les cieux aussi inquiétant que morose que nous rencontrions nos premiers adversaires.

Des Dharas de Sel sur-infusés d’énergies foudroyantes les rendant aussi bestiaux que monstrueux. Un choc du poing d’une de ses créatures envoya Emile s’écraser en arrière pendant qu’elle les affrontait, mais ils furent dévastés relativement efficacement une fois que les sorts de Finaen et Aerlin ne les aient affaiblit quand la terre gronda en même temps que les tirs aqueux s’extirpant des Noulithes de Finaen ne les fracasses. Ce fut alors une partie de plaisir de les taillés en pièce avec Emile et Greil, même si j’ai bien faillis être écrasée par terre si Lucian n’avait pas congelés tout nos derniers adversaires dans une brume de glace. Progressant en avant, les vents convoqués par Runne écartait les brumes d’énergies saturant les environs afin de nous offrir vision et surtout enfin un peu de sérénité. Ressourçant la terre environnante grâce aux pouvoirs d’élémentaliste d’Aerlin, notre traversée se poursuivant sur une hauteur stricte et difficile, c’est une fois la tête hors de cette brume qui nous pesait énormément que la grandeur magnifique des environs se révéla alors à nous. Des pierres avec des glyphes mhigoises erraient partout autours de nous, formant d’innombrables petites îles de quelques pas seulement dont les énergies traversaient une glyphe à une autre en donnant aux cieux un timbre plus orangée encore comme si la brume s’étendant au-delà colorait la voûte céleste en plein crépuscule.

Noyant les environs en ne laissant que quelques piques montagneux de visible, la contemplation d’une pareille vision fut rapidement bloquée en voyant plus loin notre objectif : La faille qui nous mènerait droit vers la portion de Demilune où se trouvaient les éclairs perçu par les guetteurs. Bien entendu, nos ennemis n’allaient pas nous laisser faire et des guerriers des Loups de Rhaglr jaillirent de tout les côtés en sortant de la pierre, les corps infusés par la roche enchantée. Dans les îles de pierre, Aerlin s’occupait de dévié la roche pour attraper les loups foudroyants naissant dans les glyphes tandis qu’ils nous tombaient dessus dans un véritable bombardement. Arrêtant les premiers, l’un s’écrasa à côté de lui dans une grande explosion l’envoyant valser plus loin pendant que nos compagnons étaient occupés à se débarrassé de nos adversaires. Ils perdirent rapidement le pouvoir tellurique qui les rendaient si fort quand Runne utilisant son œil cherche-magie bloqua et dévia la magie en leur coupant toutes sources de pouvoir. A la merci du sabre d’Emile, elle fit front en tranchant tout ceux autours de nous en laissant ainsi le reste de l’équipe foncer droit vers la porte. Greil trouva une opposition plus sérieuse quand un Roegadyn arrêta sa route meurtrière d’un grand coup de poing dans l’estomac au choc résonnant. Laissant ainsi Finaen progresser jusqu’à atteindre la porte au milieu de ses tirs aqueux jusqu’à ce qu’une explosion d’un loup de foudre ne le balaie au sol.

Il aurait pu être tué en cherchant à ouvrir le passage, ses mains déposés sur la magie ainsi que ses noulithes déviant toutes énergies en ouvrant la faille. Mais Lucian et moi nous heurtions à tout ceux voulant l’abattre, les vagues d’obscurités repoussaient nos adversaires autant que ma lame même quand Lucian fut écrasé contre la pierre par un choc d’énergie jaune. Sous couvert de nos sorts et de nos coups, tous purent revenir rapidement jusqu’à l’entrée en se débarrassant des dernières cibles alors que Runne avait fini de notés les glyphes sur toutes les pierres, lui et Finaen avaient pu comprendre la pureté de cette source magique inquiétante liés aux arts moniales : C’était là l’héritage volé du vieux maître d’E’nijoh. Mais pour l’heure, il s’agissait d’une triste menace dont nous devions nous occupés. Toute notre équipe pu nous rejoindre en souutenant Aerlin et Greil légèrement blessés., traversant la masse adversaire, jusqu’à ce qu’il n’en reste pratiquement rien. Je ne su quel devenir ils eurent, privés de pouvoirs et n’en laissant qu’une poignée, car l’entrée comme une gueule de pierre bestiale venait de se refermer sur nous brusquement. Nous noyant dans les ténèbres d’une obscure grotte où il était temps de nous confrontés à la source de la menace des Loups. Et à la découverte du pouvoir de Nefereth Slayer.

Les secondes où nous étions dans le noir complet ne furent pas si alarmés et paniqués. Rien ne suggérait dans les bruits environnants que nous étions sur le point de nous faire écrasés par des amas de pierre, et plusieurs eux voyaient relativement dans le noir. Si Finaen et Runne allaient bien, je pouvais leurs faire confiance et nous nous remettions lentement de ce fracas d’autant que l’intense progression avait eu quelque chose de difficile et déchaîné à cause des effets d’énergies saturant les environs. Pour ce pauvre Runne, sensible à l’éther, c’était fort peu supportable et on avait une vague impression que tout n’était qu’une futur intensité foudroyante. Et si vous imaginez que j’aurais pu trouver ça plaisant, étant donné mon affinité avec les éclairs, tout ça était loin de la nature liés au ciel, à la tempête, dont je suis habituée. Là, il s’agissait d’une brisure monstrueuse de sa force, de son énergie, pillée et soumise à cette source qui nous attendait. La lumière nous revenait quand des reflets provenant des éclairs passant à travers les pierres à toute vitesse en dévoilant les environs. Il y avait une impression étrange, la porte n’était pas si grande que ça et pourtant on avait l’impression d’une boursouflure de la pierre grandissant de plus en plus en lui donnant l’image d’un organe interne gonflant sous l’effet d’une profonde respiration jusqu’à ce que plus rien ne bouge. Il y avait l’impression d’être dans une créature de pierre immense, mais une fois tout stable, nos adversaires se dévoilèrent ainsi que ce qu’ils provoquaient : A l’intérieur était installée une sorte d’arche ronde où des habitants locaux étaient attachés par des cordes et vidés de leurs énergies.

Parfois, l’un se faisait « ouvrir sa première porte » pour en dévoré l’énergie vitale. Si je ne comprenais pas encore réellement ce dont il s’agissait, il semblait avoir un lien avec les arts moniales locaux qui ne pouvaient pas être usés de la sorte. Car ceux ouvrant cette porte, partaient en flammes dans un hurlement jusqu’à ce que l’éther dégagé ne soit dévoré par l’arche. De nombreux adversaires jaillirent autours de nous, en même temps qu’un moine dévoyés de sa cause par l’intérêt de Stahnold à provoqué bien du désordre. Son corps parsemés de tatouage et dont le regard était fait d’or énergisant indiquait bien qu’il ne serait pas aisé de le vaincre, et Greil lui fit face, sa lame en avant, prête à le confronté dans un intense duel. Pour autant, Runne avait d’autres priorités que de se battre pour l’heure. Pendant que Finaen fonçait le plus vite possible vers une sorte de grande visage dont les énergies entropiques semblait rendre son utilité première parfaitement confuse, le miqo’te quant à lui allait sauver les habitants. Une lame de vent détacha rapidement les premiers liens en faisant tombés quelques des habitants les plus menacés par cette explosion d’énergie, jusqu’à ce qu’il ne ponctionne l’énergie à l’intérieur de l’arche. De plus en plus, celle ci diminua en puissante et en intensité, des lueurs de glyphes apparaissant un peu partout jusqu’à ce que tout ne s’éteigne et que l’arche ne soit lentement révoqué comme un serpent de pierre droit vers l’intérieur de la montagne. Mais plusieurs habitants étaient encore attachés, et ils risquaient d’être broyés si rien n’y faisait.

Deux créatures de l’Apocalypse, des habitants transformés lors de leurs captures, étaient attachés autours de l’arche et profitèrent de son affaiblissement pour brisés leurs liens. Emile était déjà à leurs contacts, sa lame tournoyante tranchant les deux bêtes en laissant des flammes blanches autours de leurs aciers en laissant des fissures blanches le long de leurs corps. Ils se déchaînèrent, mais ça ne suffit pas pour vaincre Emile et elle les tailla en morceaux avant de bondir à la suite de Runne qui tombait dans le vide pour bousculer avec les vents trois habitants avant qu’ils ne soient broyés. Les ailes d’un feu d’argent naquirent dans son dos, et elle récupéra le Miqo’te avant d’être repoussés hors du trou par une déferlante d’énergie foudroyante, les deux s’écrasant au sol. Un peu fumant, sonné, désorientés, mais bien vivant. Si c’était fait de ce côté et les habitants en sécurité, on devait s’occuper de ceux en arrière.

J’avais pu empêcher une sorte de draconide de pierre chevauchés par deux agents des Loups d’atteindre Lucian qui provoquait des explosions de glace et de chaleur conjuguant les effets de températures pour tout faire exploser. Un croc chercha sa gorge, mais je tranchais la créature et son cavalier survivant en une dizaine de coups de lames à toute vitesse. Tandis que disparaissaient ses adversaires, je laissais à Lucian le soin de se débarrassé du dernier adversaire en convoquant une grande lame d’obscurité tranchant d’un coup cavaliers et montures en calculant exactement le moment où ils seraient alignés pour que le coup soit porteur. De mon côté, c’est vers Greil que je me dirigeais à toute vitesse : Son affrontement avec le terrible monial avait quelque chose d’impressionnant et les coups partagés formaient quelques ondes de chocs à chaque fois que la lame et les poing se rencontraient. Un coup gagna le flanc de Greil quand elle protégea Runne à distance d’un éclair lui fonçant dessus. Mais elle décida d’en finir en plaçant sa lame en Iajutsu. Son coup arriverait trop tard, la porte d’un Chakra du moine le rendait incroyablement vif. Mais pas suffisamment pour que je ne lui tranche un bras en offrant le temps nécessaire à ce que la frappe de Greil ne pourfende le moine, le sol et le plafond ayant une marque de son tranchant au passage, le laissant choir au sol en marmonnant un dernier  « Bien joué.. » malgré qu’il nous ait avertit que jamais ils ne laisseraient Dame Nefereth Slayer être arrêtée ici, à la source de puissance.

Il fallait donc avancer en vitesse, avant qu’elle ne s’enfuie avec ce qui pouvait provoquer ce pouvoir débordant. Et c’est Finaen qui permit de nous ouvrir un passage en sauvant une vie : A l’intérieur de l’immense visage de pierre, s’y trouvait un Gyr Abanien coincé dedans. Un des moines formés à l’usage tellurique des arts du maître d’E’nijoh, enfermés ici et bloqués par la foudre jaune tels des ronces l’encerclant. Après avoir prit un temps pour comprendre ce qu’il se passait, Finaen fit de son mieux pour l’atteindre en ouvrant la pierre, écartant les fourches d’énergies foudroyantes, jusqu’à faire face à face au Moine à peine conscient. Prenant son bras en l’extirpant brusquement de là, les deux reculant haletant un instant. Si notre allié surprenant prenait un bref instant pour s’en remettre avant de commencer à se concentré pour nous sortir de là. Et nous menés droit vers la source de Nefereth. Mais Finaen avait pour priorité quant à lui de venir en aide à Aerlin : Son combat face au responsable de l’arche ne se déroulait pas comme prévu. De prime abord, il avait créer des pointes de pierres ayant dévastés toutes les créatures de foudre s’opposant à lui avant de faire s’effondrer le plafond sur lui et ses loups miniatures. Mais le mage foudroyant s’était extirpé de là en hurlant, et s’acharnait d’une sorte de lame de foudre contre le bâton rocheux d’Aerlin. Les chocs étaient de plus en plus violents et puissants, mais Aerlin perdait petit à petit l’avantage dans la mêlée surtout quand son bras droit commençait à se transformer sous la présence du Tree Barar. Des glyphes rouges naquirent, et Finaen isola autant le mage foudroyant de sa magie que le bras d’Aerlin pour faire disparaître dans un ricanement la présence maléfique habitant le fond des pensées d’Aerlin. Un dernier coup écrasa la tête de son adversaire, rechutant lourdement au sol. Tout se déplaçait rapidement autours de nous, nous déstabilisant comme si la grotte était en mouvement, laissant un instant après une chaude lumière apparaître. Nous avions enfin notre accès droit vers la source de pouvoir, sous un éclat de lumière éblouissant.

La sortie ressemblait à la gueule d’une énorme créature qui se serait ouverte pour nous laisser sortir entre ses crocs. J’ignore à quel point cela pouvait être vrai – Bien sûr, la magie à ses aspects fantasques et faire apparaître des simulacre de bêtes à travers les sorts est quelque chose de régulier. Pour autant, j’avais ce sentiment que les mouvements et l’aspect organique de la terre n’était pas si anodin, mais il s’agit là d’un des rares mystères qui perdure bien après en avoir affectés la mission : Le mystère des montagnes de Demilune ! Derrière moi, plusieurs de mes compagnons se soignaient quelques peu. Il faut dire qu’après avoir été blessés plus d’une fois par l’intensité du combat, ils avaient besoin d’un très bref instant mais vinrent rapidement vers la lumière, Runne cherchant un air pure fut particulièrement déçu car si la vue était incroyable, l’espace était saturée de cette énergie foudroyante d’un jaune intense dont nous trouverions bientôt la triste source provenant du passé des Loups morts de Garn n’a qu’un œil. Pour l’heure, le temps que mes camarades soient prêts, je contemplais les environs riches en mouvement et en grandeur lumineuse qui se tenaient devant nous. D’innombrables pierres flottantes gravés de glyphes orbitaient lentement dans les environs, autours de ce qui semblait être une île à l’herbe d’or arrachée de Demilune et installée dans les montagnes cachés au milieu de nulles part. L’atteindre pour ceux aux mouvements plus expert ne serait pas si difficile, il fallait passer d’une pierre à une autre et celles ci ne se détachaient pas spécialement et restaient stable. Pour une fois, la course avait quelque chose de simple, mais il était difficile d’échapper à la contemplation des flux immenses d’énergies tournoyant sans cesse dans des mouvements puissants, rapides et fulgurants, la foudre jaune venant voler et s’imprégner des énergies telluriques environnantes en formant des puissants reflets d’énergies qui s’éparpillaient un peu partout. Là était l’inquiétude d’une pareille magie, pour autant, difficile de voir encore ce qui se trouvait au loin de là si ce n’est qu’il y avait quelque chose de très mauvais dans l’air.

En plus de la saturation d’énergie qui assommait un peu Runne, on pouvait clairement ressentir le Mal, cette force si habituelle donnant une impression malsaine qu’une force ténébreuse pouvait se trouver autours de nous. J’aurais du mal à clairement statuer ce sentiment si commun d’une force infâme, quelque chose de différent de la pression du néant ou d’autres énergies. Mais quant on à si souvent fait face aux ténèbres, elles laissent une saveur infâme au fond de la conscience qui nous affectes tant. Pour l’heure, point de noirceur dans l’âme de nos ennemis si ce n’est leurs idéaux cruels et infâmes. Les combattants des Loups de Rhaglr se dressèrent comme un seul homme, accompagnés de quelques Dhara de la contrée bien trop infusés par ses énergies foudroyantes. Les flots de flèches tombèrent aussi tôt nos ennemis dévoilés, frappant en avant pour essayer de transpercer nos lignes, mais la plus part furent déviés par Aerlin créant des grandes couches de pierres arrêtant les flots de pointes acérés en permettant Emile de s’approcher de plus en plus. Elle recouvrait ses adversaires de glaces, congelant les archers et les adversaires à distances en progressant à bonne vitesse, mais les protections d’Aerlin cessèrent quand un Dhara s’écrasa sur sa position pour s’écraser dessus en le frappant de toute ses forces. Sonné par l’impact laissant du sang glisser de ses lèvres tant il fut rude, le coup fatal ne tomba jamais quand le Dhara fut tranché aussi tôt par Greil, fendant ses bras dans un mouvement, puis sa tête dans l’autre, avant de progresser rapidement en avant en rejoignant Emile qui cassait la hampe d’une flèche plantée dans son épaule. Les archers ne purent pas décocher une nouvelle fois vers Emile, car ils furent balayés par la faux de Lucian venant d’apparaître à côté de Greil, les deux compagnons dans les lueurs rouges et les glyphes d’énergies dévastant les adversaires qui furent repoussés par la force de trois compagnons.

Ils purent approcher et repoussé tout nos ennemis aisés notamment grâce à l’effort de Finaen et Runne de sécurisé les lieux. Car si les pierres n’étaient pas une menace, les immenses flots d’énergies foudroyantes tels les tentacules d’un légendaire Kraken de la Noscea cherchaient à nous traverser pour nous cuire quelque peu soudainement. Plus que les flux, des éclairs frappaient un peu partout venant explosés autours de nous, avant que Runne ne décidé de les repoussés rapidement en formant des puissantes lumières jusqu’à ce qu’un éclair ne le frappe lui, le laissant fumant un peu plus et les cheveux en vracs. Mais c’est avec Finaen que nous nous sommes chargés de faire revivre la grande sphère de vent d’Aerlin tout en repoussant les flux pour nous protéger tous. Ses ailes de cristaux fait à partir de ses noulithes, Finaen fusa dans les cieux en tournoyant, utilisant l’influence de la magie derrière lui dans une grande lumière diffusée depuis son corps, jusqu’à ce qu’il ne risque d’être coincés par les flux et désintégrés. En plusieurs éclairs d’argents, je vins à son secours à toute vitesse en le libérant de tout ce chaos ambiant. Progressant ensemble un instant en l’air, jusqu’à atteindre le sol là où sont nos compagnons, une grande et diffuse lumière jaillit pour soigner nos alliés notamment le dos d’Aerlin et Greil qui avait subie plusieurs impacts en progressant en avant. Tous s’étaient remit au moins un peu de leurs blessures, et c’était le bon moment, car dans des bruits de marteaux puissants sonnant à chaque fois qu’il frappait l’amas d’or pour le transformer en artefact, nos ennemis se retournaient vers nous lentement, tandis que se dévoilait devant nous un mimétisme du pouvoir qu’avaient jadis volés les Loups morts, réanimés par le talent spectral d’un pauvre forgerons arraché du repos de la mort pour servir les intérêts de Stahnold une nouvelle fois.

Ce qu’il créait, c’était une sorte d’immense Balance ressemblant trait pour trait à ce que j’ai pu en savoir à l’antique artefact qu’ils avaient volés aux savoirs de Sophia il y à longtemps. La foudre jaune était de son due, et si il ne s’agissait sûrement pas de leur dernier atout, voilà bien la raison pour laquelle ils purent être si facilement actif dans les environs : Ils étaient juste à côté d’une source de pouvoir effroyable qui ne cessait de ressourcer leurs pairs. Nefereth Slayer observait la Balance en souriant, une main sur le loup foudroyant à l’intérieur de sa sphère de protection intense, et levait le nez avait arrogance avant de tourner son regard vers nous. Dans un claquement de doigts, de nombreuses pierres chutèrent brusquement des cieux en s’écrasant lourdement proche de nous dans un véritable éboulement en un choc brutal. Jusqu’à ce que d’un coup le golem ne s’éleva massivement, les pierres connectés par les amas de foudre et le visage taillé dans la pierre lui donnait l’air d’un dragon. Mais le pire restait le forgeron spectral. C’était dans les runes d’énergies dominant le fantôme immense et sombre, entre des reflets de bleutés et de noir profond, qui s’usait à la forge et avait un nom que Runne connaissait : Herrick Blackstone, le forgeron des rapières des Foudres de Rhaglr, dont celle de Runne qui est brisée actuellement.

Laissant Runne et Emile chercher à libéré le forgeron, nous nous occupions des menaces environnantes pendant que Finaen allait tout faire pour brisé la balance massive. De notre côté avec Aerlin, c’était le Golem massif qui nous intéressait, ce dernier créant des énormes liens de pierres essayant d’abaisser et d’écraser l’énorme créations de roches en le retenant avec la pierre en des grandes lueurs d’ambres mêlés à des grondements puissants. Cela me permit de frapper plusieurs fois de ma lame, laissant de nombreuses blessures contre l’entité de pierre jusqu’à ce qu’un choc ne me renvoie manger mes radis par terre sonnée par l’impact. Il fallait poursuivre, Aerlin m’offrit des soins supplémentaires, criant qu’il le tient, avant de me renvoyer au combat. Cette fois, les coups de sabres furent plus violents encore, pourfendant le golem en même temps qu’un cri de bataille, jusqu’à ce que ce dernier n’explose soudainement dans une grande déflagration. L’impact détonnant envoya des pierres valser un peu partout et je fus emportée par l’énergie tellurique, m’écrasant lourdement par terre, sonnée par le choc. Autant dire qu’heureusement pour moi que le combat s’était achevé à ce moment là, vu comme j’avais été sonnée. Finaen avait déjà commencé à gravement impacté la balancé en déchargeant une puissante énergie en laissant des nombreuses fissures apparaître dessus, jusqu’à ce que Lucian qui avait écrasé le loup foudroyant de Nefereth au sol avec des chaînes, ne soit propulsé brutalement sur Finaen en se rétamant tout les deux lourdement au sol. Se redressant rapidement pour ne pas écrasé son camarade, Greil avait au moins pu détruire les boucliers protégeant Nefereth d’un grand coup de sabre, permettant d’accéder à cette dernière jusqu’à ce que son sabre ne tranche soudainement son flanc dans un puissant coup quand elle décida de foncer de nouveau en avant, après avoir été propulsée en l’air en s’écrasant contre une pierre flottante.

Rebondissant sur la parois, elle avait atteins sa cible qui empêchait une sphère de gravité de la détruire définitivement après que son Loup foudroyant n’ait été détruit. Elle allait ponctionner le pouvoir de la Balance, mais quand Finaen retomba dessus en provenant des cieux, d’innombrables glyphes rouges autours de lui, sa rapière détruisit alors la balance dans une fantastique déflagration formant une grande lumière, les fragments se distordant et se bloquant dans les airs brusquement, avant que tous ne rechutent lourdement au sol en laissant tout les fragments s’écraser par terre en même temps que la magie s’effondrait partout dans les environs. Brisant les énergies d’or se fissurant dans les cieux et partout dans les flux, comme si tout se fragmentait et se désintégrait petit à petit. C’était magnifique à voir, une scène d’une beauté impossible qui faisait disparaître toute la lumière qui empêchait de voir les cieux, retrouvant les étoiles nocturnes de la nuit tombée depuis lors. Il ne restait qu’Herrick, qui avait été affronté par Runne et Emile. Le sabre de la Raenne tranchait les runes maudites en même temps que Runne tentait de les purifier dans d’intenses lueurs d’or. Visiblement, Runne devait en être satisfait puisqu’elle faisait exactement ce qu’il espérait faire : Libéré l’esprit d’Herrick de ses liens. Tranchant les runes les unes après les autres, cela libéra une grande glyphe sur le torse de notre adversaire provoquant des grandes vagues d’énergies provenant de son torse.

Tournoyant autours de lui encore et encore, les flux de pouvoir nécromantique étaient clairement ce qu’espérait Nefereth pour ramener son genre à la vie : Garn n’a qu’un œil. Mais avec la destruction de la Balance, tandis qu’elle retenait avec des amas de foudres frappant Lucian et Greil sans cesse, elle disparue dans un hurlement de frustration et un puissant éclair pour s’échapper loin d’ici. Emile, sa lame renforcée par la purification de Runne qui s’était fait rétamé au sol une première fois avant de se prendre un autre impact du marteau dans une explosion d’or, n’écrasa le miqo’te par terre lourdement en le laissant presque inconscient lui aussi. Libéré quand la rune principale fut détruite, l’esprit tomba à genou, et prit Runne dans ses bras après avoir réalisé ce qu’il avait fait, et de qui il s’agissait. Le calme revint lentement, ne laissant que ce fantôme et le jeune miqo’te dans ses bras, s’excusant et lui disant qu’ensemble, ils répareront sa rapière, et les torts provoqués par sa manipulation. Si Nefereth s’est enfuie, nous connaissons maintenant notre prochaine destination : Là où elle est sûrement partie, dans l’ancienne tombe de Garn n’a qu’un œil, avant que le Maître des Loups morts ne soit ramené à la vie. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-troisième Entrée - « Acte 4 – L’ancien chef des Loups.»

« La poursuivre de Nefereth était de plus importante. Naturellement, elle ferait tout pour que ses desseins s’accomplissent quoi qu’il advienne, et elle allait agir même sans sa source de pouvoir. Au moins, on lui avait retiré une grande partie de ses possibilités et de l’influence de cette dernière dans les environs, mais le pouvoir obscure lié aux nécromanciens qu’elle avait rallié finirait tôt ou tard par essayer de faire renaître l’ancien chef de leur groupe et son gendre. Garm. Et bien entendu quelque chose allait très mal finir et la situation en deviendrait bien pire encore pour les prochaines missions, mais chaque choses en son temps n’est-ce pas ? Pour ne pas alerter les agents infiltrés des Loups de Rhaglr à Porta Praetoria, c’est en pleine nuit que nous nous sommes retrouvés. Dans un recoin isolé, l’équipe se reformait là où aucunes lumières ne brillait, rendant la ville forteresse par contraste particulièrement magnifique. Observer les environs était plutôt agréable, tandis que tous se réunissaient, et il ne manquait que Finaen qui finirait par nous rejoindre en urgence pendant le voyage. Notre équipe était plutôt équilibrée avec Livio pour tenir la ligne de combat, tout en profitant des pouvoirs de Runne et Finaen. Nous trancherions tout avec Greil en ayant les supports des armements lourds de Sorn en cas de soucis. Nos compagnons habituels étaient donc prêts à y retourner, conscient qu’il faudrait rentrer dans un domaine inquiétant et sinistre que sont les terres du Filon du pauvre dans les montagnes au sud-ouest.

Contemplant une dernière fois la ville, Livio arrêta la manœuvre de Runne quand il voulu faire de la lumière dès notre départ : Quelques regards étaient portés par des personnes suspects, définitivement, certains agents vérifiaient qu’on ne quitte pas la ville. Ils allaient être déçu, quand nous nous mettons en route pour traverser la trentaine de minutes de marche qui nous séparaient de l’immense entrée sur des hauteurs rocheuses du Filon du pauvre. Rapidement, une sorte de puanteur envahit l’espace. Bien qu’on puisse y voir grâce à l’illumination de Runne, impossible de voir les tas de cadavres possibles qui auraient pu pourrir autours de nous. Il n’y avait rien, et même convoqué les vents comme Runne le fit ne chassait pas l’odeur. Celle ci était mentale, c’était là l’effet de la magie immonde que pratiquait l’ennemi pour faire devenir Garm n’a qu’un œil. On ne pouvait pas y faire grand-chose que subir à nos façons, même si certains étaient plus réceptif aux odeurs que les autres, cela dit les effets devinrent spectraux quand des formes jaillirent en différentes silhouettes de personnes drainées par les forces de la nécromancie environnante. Gladys et Sorn se firent un câlin dans la panique, et un esprit prit le bras doucement de Livio pour lui dire qu’il fallait arrêter ce qu’il se passe ici. Ça tombe bien, on était là pour ça justement ! Sur l’instant, j’étais plus inquiète par tout ses effets sinistres que réellement en confiance, et j’ai à peine eue le temps d’y penser que nous faisons fasse à la hauteur rocheuse qu’il nous fallait grimper.

Sorn émit un cri un peu aiguë quand Finaen apparut, tombant sur son dos en haletant à cause des effets de l’odeur infâme, ce qui coïncida au moment où Gladys attrapant le bras de Sorn s’envola d’un coup pour parvenir à le faire jaillir en l’air. Se concentrant sur les forces telluriques, Runne aidé par Finaen créa de nombreuses plateformes et adapta rapidement les moyens de grimpés pour rendre ça plus facile dans un bruit puissant et des lumières d’or filant dans tout les sens. Escaladant en vitesse, nous bondissions d’une pierre à une autre avec Greil, tirant nos lames face à nos adversaires : Attirés ici, des créatures de l’Apocalypse suivaient les forces du désespoirs et étaient apparues comme d’innombrables yeux rouges autours de nous. Quand la lumière de Runne fut accentuée, nous voilà dans un plein intense combat en tranchant toutes ses maudite créatures sous les flots constants des tirs de Sorn bombardant les créatures depuis les cieux. Livio fut le premier en haut, utilisant son grappin pour se propulser le plus vite possible en l’air jusqu’à atteindre le sommet en ayant envoyé deux grands coups de pistolame dans des explosions d’énergies pour dévasté ses opposants, nous laissant le rejoindre avec Greil et Runne à toute vitesse en ayant tranché nos adversaires.

La bête qui avait voulu manger la tête de Livio fut prise par de nombreux tirs de Sorn avant que des pointes de roches ne la transperce une dizaine de fois, d’autres lames de pierres apparaissant ici et là sous l’effet de Finaen pour abattre les derniers. Réuni dans les sommets, nous contemplions les environs magnifiques en observant toutes ses lumières provenant de cristaux et de torche de ce filon si prometteur mais qui n’eurent jamais la chance d’offrir richesse à quiconque. Avançant doucement, une dizaine de minutes de marche nous conduisit au cœur des lieux en arpentant ses magnifiques couloirs. Jusqu’à voir un cristal de pouvoir immense plus loin dont l’énergie néfaste tournoyait comme un flot d’esprit torturé par la tentative de faire revenir Garm. Le flot d’esprit jaillit et s’écrasa autours de nous, sous l’influence de la magie volée au Rage-pierre en même temps qu’un hurlement de douleur déchirant, l’ensemble de la pierre se mit à se déplacer de plus en plus autours de nous dans une situation chaotique alors que s’éveillèrent dans l’amas de pierre des humanoïdes de roches à tête de loup animés par les damnés des anciens Loups morts. Alors qu’il faisait pleuvoir des tirs un peu partout grâce à toute ses petites tourelles, Sorn abattait tout ceux s’approchant de nous jusqu’à ce qu’une explosion d’énergie ne le fasse valser au loin lui et Gladys, en le faisant tombé dans le vide dans un cri. Revenant rapidement à nous sous l’influence de Finaen soulevant la pierre sur laquelle il était, lui et Runne apaisaient la douleur du Rage-pierre en d’innombrables fleurs de lys blanches magnifiques tournoyantes autours de nous en libérant un passage stable et pure.

Nos ennemis étaient affaiblit, Runne rendait les énergies telluriques au sol en distordant leurs masses, mais celle d’un énorme adversaire frappa Greil brutalement quand elle ouvrait la voie en tranchant tout nos adversaires en de nombreux coups de lames. Si la créature voulu la frapper de nouveau au sol, l’impact de la pistolame provoqua un choc puissant envoyant valser son adversaire au sol une fois Livio apparut pour tenir la ligne, me laissant secourir Gladys plus loin en réunissant notre petite équipe. Au milieu des amas de pierres dévastés, de cristaux fissurés et d’adversaires repoussés en épaulant nos alliés blessés. Nous étions arrivés face à l’incantation principale. Non celle qui préparait la résurrection de Garm. Mais celle qui arrachait au Rage-pierre la magie et la souffrance nécessaire pour le faire.

Ce cristal avait quelque chose d’aussi impressionnant qu’inquiétant. En le regardant, j’avais l’impression que ma vue se perdait quelques peu dans des abîmes profondeurs tournoyant quelque peu à l’intérieur comme une spirale infernale. C’était fascinant et effrayant, d’avoir l’impression de regarder une sorte de faille dans toutes cohérences qui pourrait vous engloutir au-delà de la réalité pour finir distordu dans les miasmes de la douleur. Quelques volutes du désespoir voletaient dans les environs sous une influence inconnue, tournoyante dans les amas de cristaux et de pierres tournoyantes dans environs en laissant craindre une chose : Était-ce là l’influence autours de la peine et de la panique provenant du Rage-pierre qui pourrait se transformer ? Le cristal semblait y avoir un lien, et c’est ce qui inquiéta quelque peu Runne à l’idée qu’un hérésiarque pourrait véritablement se former de la transformation monstrueuse d’une créature aussi puissante que le Rage-pierre. Les éclairs d’énergies d’un jaune puissant frappaient les environs, quelques roches essayaient de se détachés dans les environs en provoquant quelques tremblements de terres. Relativement en meilleur état, il fallait rapidement s’opposer à ce qu’il se passait par ici malgré un instant d’observation de la splendeur environnante provoquant des reflets ici et là qui se mêlaient de l’or aux obscurités provenant des forces spirituelles déchaînés. Dans notre dos, ceux qui ne s’étaient pas incarnés en golems de roches jaillirent comme une horde mêlé à une vague puissante nous fonçant dessus dans des hurlements monstrueux. Sorn sursauta et se mit en face du flot en se mettant à tirer encore et encore vers le flot tout en rassurant la dernière petite tourelle encore en vie accrochée à son arme à feu. Ce qui fit bouder Gladys qui envoya quelques grenades en chantant, provoquant des explosions ici et là le temps de dresser un véritable rideau de feu ondulant juste devant eux.

Cela laissa le temps à Sorn de se retourner en ayant le Teclis s’activant le long de son bras en formant une intense lueur verte. L’effet de la gravité frappa soudainement Runne qui était en train de se faire incrusté à l’intérieur du cristal où il avait tissé un lien, l’arrachant brutalement de là en le faisant choir au sol. Mais il ne pu pas aider plus que ça ce pauvre Runne déjà en mauvaise état, car dans son dos l’énorme loup d’âme qu’avait incarné le flot monstrueux nous fonçant dessus avait pu passé le rideau de feu, et avait fini par avaler Sorn. Il n’avait pas de crocs, mais d’innombrables esprits le mordaient à l’intérieur et auraient fini par le dévoré avec moult brutalité si Gladys n’avait pas installé un explosif dans le corps du Loup « amalgame » spectral avant que Sorn ne s’en extirpe en s’écrasant au sol, fumant un peu. Proche de là pour couvrir le dos de notre équipe, Finaen et moi affrontions deux énormes scorpions de terre dont le corps étaient liés par des roches lumineuses provoquant quelques éclairs d’énergies. Habitué à affronté l’équilibre élémentaire par ses propres moyens, les flots jaillirent autours de Finaen qui ressemblait à un chef d’orchestre. Maîtrisant les eaux dans un balais magnifique tournoyant autours de lui laissant d’innombrables gouttes des flots tournoyant autours de lui, la vague frappa les deux scorpions en les envoyant s’écraser en contre-bas, jusqu’à ce que la lame d’eau ne se transforme en d’innombrables tranchants qui les fissuraient plusieurs fois. Un coup écrasa Finaen au sol, sonné par une pince l’ayant écrasé, je tranchais la seconde avant qu’il ne soit frapper avant de les contenir de plusieurs coups de lames dont les éclairs frappaient à chaque coups.

Tout allait bien, jusqu’à ce qu’une pince ne m’attrape la jambe avant de m’écraser au sol quelque peu brusquement, venant me balancer pour m’écraser contre un pilier de pierre. Sonnée, je me redressais lentement en voyant les deux scorpions être harcelés par les vagues aqueuses frappant sans cesse les deux entités pour les contenir. Finaen m’offrait une ouverture, et ne pas la saisir aurait pu avoir des conséquences lourdes. Fusantes en forçant mon corps à agir, trois éclairent frappèrent avec ma lame en détruisant les deux scorpions avant de tomber au sol, un peu sonnée. A l’avant de l’équipe, Greil et Livio luttaient avec acharnement contre les trois protecteurs qui formaient les glyphes moniales ainsi qu’avec un ancien prêtre du Rage-pierre maîtrisé par la foudre provenant de la Balance.

Ses quatre yeux ressemblaient à celui du Rage-pierre, se confrontant dans un duel monstrueux à Greil en fissurant le sol ou brisant les piliers de pierres aux moindres coups jusqu’à ce qu’une frappe n’écrase lourdement Greil. Livio contenait à côté les trois protecteurs dans une explosion d’énergie une fois que l’onde de destruction ne les frappes, avant que sa pistolame ne s’oppose à une lame de foudre jaune figée tenue par un des adversaires. Il calculait le moyen de pouvoir s’en débarrassé efficacement, jusqu’à se libéré de son adversaire en le repoussant d’un coup après quelques coups de lames. Tous allaient passés par le fil de sa pistolame en frappant brutalement en avant. L’onde tranchante fendit brusquement ses trois adversaires en même temps que Greil fini par détruire l’envoyé du Rage-pierre après un intense duel s’achevant par un coup tranchant coupant l’opposant en deux. Ce n’est pas un corps qui s’effondrait, mais c’était un amas de pierre chutant au sol quand il se déstructurait en demandant à Greil de libéré l’entité enfermé dans les profondeurs de la terre. Il n’y avait plus rien pour s’opposer à nous, et l’échec premier de Runne lui avait au moins permit d’en apprendre plus : En voyant se lié aux énergies foudroyantes pour en arrêter le flux, il fut possédé quelques brèves secondes avant de s’élever dans les cieux, se fondant en partie dans le cristal en essayant de se débattre jusqu’à ce que d’un coup, Sorn ne l’extirpe de là. Au vue de ses yeux, Runne eue quelques visions, entrant en contact avec la souffrance du Rage-pierre qu’il voulait apaisé en ayant la crainte que les volutes d’obscurités provenaient de lui. La réponse fut inquiétante : Ce n’était pas lui qui était sur le point de devenir une horreur de l’Apocalypse.

Ce n’était ainsi pas loin qui attirait les créatures naissant sur le sillage des Loups de Rhaglr, mais bien son chef. Stahnold, après avoir subi autant de problèmes dans sa vie, était visiblement au bon de son chemin tant il pensait que faire revenir Garm allait tout réglé. Subissant tout ses effets et une fois libéré par Sorn dans une puissante lueur provenant de la gravité du Teclis, Runne pu se redresser en formant une puissante magie qui délia tout les effets contenant l’obscurité, provoquant une onde de choc réduisant le cristal en morceaux s’éparpillant dans tout les sens dans une grande déflagration. Il ne restait plus que quelques lueurs, mais nous contemplions surtout l’obscurité fusé droit vers le rituel se trouvant dans une espèce de statue au loin représentant Garm de son vivant. Si il n’y avait que cette statue, ce serait encore rassurant, mais dès que l’énergie vint atteindre un rituel au fond du Filon du Pauvre, un hurlement se fit entendre. Un hurlement monstrueux faisant résonné les environs tandis que nous étions encore un peu sonnés des combats subit – Seul Livio s’en était très bien sorti, et alors que nous étions en train de panser rapidement nos blessures avant de tout faire pour en finir. Certains reconnurent dans ce hurlement devenu rauque et monstrueux, avait pour autant la tonalité d’un adversaire du passé : Garm n’a qu’un œil était visiblement en train d’être invoqué.

Toutes les pierres de la caverne semblaient être mécontente, émettant des tremblements réguliers comme si un grondement de plus en plus forts se faisait sentir avant de disparaître, et de revenir, encore et encore. C’était véritablement inquiétant d’avoir l’impression d’être dans un monde souffrant autours de nous, mais le pire était à venir. Quelques soins furent confiés, je n’aurais certainement pas pu me redressé si facilement si Livio ne m’avait pas appliqué un soin avec une de ses cartouches tandis que Finaen s’occupait de me remettre un peu d’aplomb dans des lueurs de Lys blanc. Tous usaient ce qu’ils pouvaient pour pouvoir continuer la route, car nous ne pouvions simplement pas nous arrêter là : Plus le temps passait, plus Garm serait puissant et inquiétant tandis que tout nos compagnons se sont retrouvés ensemble proche d’un abord de pierre qui nous ferait descendre droit vers la statue au loin. Dès que nous étions en état, Sorn encore un peu sonné après avoir été mordillé ici et là, ayant une araignée de métal diffusant une sorte de gelée sur ses blessures pour essayer de le remettre d’aplomb avant de lui faire un petit bisou. Nous voilà à descendre avec une certaine fascination les cristaux magnifiques qui s’illuminaient aux moindres contacts. Cela laissait les traces de nos jambes, de nos mains, de nos corps en progressant dessus s’illuminant d’un jaune agréable et lumineux.

Il y avait une véritable beauté de ce qui était observé, et je su que de tels cristaux ne devaient pas être dénaturés, ni brisés, au risque que ses derniers ne cessent de luire de cette intense beauté à jamais. Au début ce fut calme, presque reposant sauf pour ceux comme Finaen qui étaient rendu particulièrement nerveux par cet aspect du calme avant la tempête. Et cette tempête, elle allait nous tomber dessus en pleine poire : Les flux d’énergies infâmes se concentraient autours de la statue et engloutissait l’horizon et le plafond, formant une espèce de tempête de noirceur inquiétante tournoyante de plus en plus infâme où quelques esprits rôdaient en gémissant de peine et de souffrance. Tout ceux qui s’étaient liés à la quête de Garm avaient été invoqués par le vortex de nécromancie qui s’amplifiait de plus en plus au dessus de la statue. Telle noirceur était déjà effrayante, alors que dire de nous retrouver dans cette espèce de tempête affreuse qui tournoyait autours de nous dans des flux d’énergies des plus inquiétantes en fissurant les environs dans des petites explosions. Les guerriers de Stahnold étaient nombreux sur la route, mais après l’explosion du cristal et les hurlements plaintifs, tous étaient de plus en plus paniqués. Désespérés, et c’était là notre plus grande problématique car les volutes d’obscurités de l’Apocalypse étaient encore là. Celles ci frappèrent les pauvres bougres dont la panique devint leur condamnation en devenant des horreurs monstrueuses aux yeux rouges en s’illuminant un peu partout. Il fallait abattre les créatures de l’Apocalypse naissante tout le long du passage avant de rejoindre l’incarnation de Garm, mais cette tempête d’obscurité ne serait pas des plus facile à outre-passé. Livio bondit sur un des cristaux, sa pistolame levé en l’air provoquant une explosion d’énergie puissante dont les cristaux tournoyant autours de nous formèrent des boucliers de protections pour nous permettre de progressé sans trop de dégâts. Derrière lui, des volutes d’or jaillirent, formant comme des silhouettes dansantes partout une fois Runne entamant la valse d’or tournoyante de plus en plus en libérant des lumières magnifiques gagnant tout nos compagnons et se diffusant dans les noirceurs de la tempête fictive attirée par le vortex.

Le vent convoqué par Finaen amena encore plus facilement encore le flux de pouvoir de Runne, ce qui fut magnifique une fois que des sortes de tissages de fils bleutés et dorés jaillirent partout pour atteindre les spectres en les illuminant d’un coup, le bleuté naissant sur leurs silhouettes jusqu’à ce qu’ils finirent par disparaître en revenant à la Mer des étoiles. Nos deux compagnons ouvraient ainsi la route, comme un phare dans les ténèbres qui engloutissaient les environs pendant que nous nous confrontions aux créatures de l’Apocalypse nous fonçant dessus encore et encore dans des gémissements puissants. Greil était de tête, tandis que j’essayais de me tenir non loin d’elle jusqu’à ce que plusieurs explosions infâmes ne m’écrasent par terre. Elle tourna la tête un bref instant, jusqu’à ce qu’un coup ne l’écrase contre une pierre en laissant voir l’horreur qui voulait l’achevé. Le coup de pistolame de Livio l’envoya valser plus loin sous l’impact d’énergie produisant une petite onde de choc en renvoyant la créature manger ses olives au loin. Pour ma part, c’est ce cher Sorn qui me protégea, les tirs fusant sans cesse de son canon délivrant la destruction à la créature non loin de moi pendant que je me redressais, continuant ses tirs un peu partout avec un rire maléfique mêlé entre lui, sa petite tourelle et la sphère survivante. Mettant de côté l’inquiétude portant par l’aspect théâtral enflammé du machiniste que j’étais en train de transformer visiblement en monstre. Arrivant après quelques instants de tirs et d’intenses confrontations, nous arrivions devant la statue fracturées de Garm, le Hyurgoth voyant sa propre statue devenue des fragments là où le vortex d’obscurité tournoyait dans une partie de celle ci provoquant quelques éclats de pouvoir inquiétant. Néanmoins, les responsables de tout ça avaient échoués.

Ils ne voulaient pas faire de Garm un monstre mais un chef, le faire revenir en tant que combattant qui mènerait les Loups de Rhaglr à la gloire, mais les deux nécromanciens se tenant à Stahnold, effrayés par ce qu’ils avaient fait, espéraient que les boucliers tissés les protégeraient du monstre qu’ils avaient créer. Le spectre bleuté avait un air de créature des pires cauchemars, immense et aux membres fins et griffus, un visage aux yeux et à la gueule bardée de crocs formant une fumée bleutée. Cette chose était le fantôme manipulé et transformé de Garm, se tournant vers nous dans un rire en disant à Finaen et Runne qu’il est de retour, et il avait déjà manipulé les deux protecteurs de Stahnold : La femme faites de pierre était une incarnation du pouvoir volé du Rage-pierre formant une délicate création tel une poupée prête à offrir le pouvoir Tellurique à Stahnold. Mais Garm l’avait dominée bien rapidement, elle, ainsi que Aegileif Slayer. Une chevalier noir ayant affronté jadis les Loups morts, et avaient été condamnés par la volonté de sa mère à obéir comme une obéissante jeune fille récupérés par des liens de magies. Si je n’ai pas la conviction de vouloir devenir une maman un jour, une chose est sûre : ce genre d’exemple n’est pas vraiment à prendre, et Aegileif n’eus même pas le temps d’agir que Livio avait utilisé son grappin pour l’atteindre dans les hauteurs. Un énorme coup de sa pistolame provoqua une explosion en brisant brusquement le pilier de pierre en l’envoyant s’écraser au sol lourdement. Se redressant, elle fut en plein combat avec Greil dans de nombreuses frappes de l’acier jusqu’à ce qu’une main d’obscurité rouge n’attrapa la lame de Greil. Le choc des ténèbres intérieurs envoya Greil s’écraser contre la pierre derrière elle en la sonnant un peu.

Elle aurait bien voulu retourner s’abattre contre Greil pour l’achevé, mais Livio arriva juste derrière elle en frappant de son pied au genou d’Aegileif pour la faire choir au sol, retenant son bras d’un coup jusqu’à ce que Greil ne la désarme en envoyant son épée brisée jaillir plus loin. Les deux retenaient Aegileif au sol, et le spectre du Forgeron de Runne apparut dans une brume puissante. Le coup de marteau frappa le chevalier noir, brisant les liens qui la condamnait jusqu’à ce qu’elle ne tombe d’un coup inconsciente par terre. Elle était libre, et pourrait au moins se venger de ceux qui l’avaient ainsi capturées et utilisés comme un objet. De l’autre côté, Sorn fit promettre à Gladys de ne pas raconter à Marlithe son petit tour de charme à la création de pierre, avant que la tourelle ne lui envoie des grenades. Celle ci n’était pas très appréciative des charmes, puisque ce n’était qu’un pantin, et le voilà en plein combat quand abîmée elle jaillit hors de la fumée des explosions avant d’attraper Sorn. Essayant de le broyé, elle ne parvint à faire quoi que ce soit à cause de la défense du Teclis, jusqu’à ce qu’une explosion de flamme déposée par Gladys qui brisait toutes les petites pierres, ne fasse détonné en milles morceaux. Retombant au sol en fumant un peu, se redressant difficilement, il pu tendre le bras en laissant le Teclis nous rejoindre pendant que nous affrontions avec Finaen directement le spectre de Garm.

La première estocade fut violente, celles de nos coups frappant sans cesse alors qu’il était arraché du vortex par Runne manipulant ce dernier en essayant d’arrêter le pouvoir présent au niveau de la statue. Une partie des volutes obscures balayèrent Runne brutalement au sol en le sonnant un peu à cause du pouvoir de ce dernier, et il décida d’affronter le Vortex bien autrement, pendant que Garm était sensible à nos assauts. Des noulithes de Finaen, une lame à chacune des armes jaillirent dans un flux d’énergie rouge puissant tandis qu’il frappait avec quatre « lames » me laissant trancher à ses côtés en laissant bien des blessures sur notre ennemi. Tendant le bras, il incarna son énorme lame plus grande encore qu’elle ne le fut jadis, avant de balayé en avant en m’écrasant plus loin tout en soufflant Finaen qui esquiva l’impact. Posant deux Noulithes devant moi, il ne voulait plus qu’on l’attaque par la force. Il nous fallait notre volonté, et je lui offris tout ce que je pouvais tandis que le Teclis s’activait devant nous pour nous protéger des flux de noirceur alors qu’il était en train de renvoyer Garm dans la mer des étoiles. Des éclats d’énergies frappaient dans tout les sens, c’était un chaos total et quelques tremblements se faisaient sentir de plus en plus fortement. On reculait un peu, prit dans la déferlante, mais tout cessa d’un coup quand il s’arracha de la silhouette fantomatique avant de repartir vers la mer des étoiles, nous hurlant de protéger Gyr Abania, coûte que coûte. Finaen accepta cette demande en hochant la tête, et d’un coup, des déflagrations telluriques eurent raisons brusquement de la statue et du vortex : Runne avait pu unir sa psyché aux pouvoirs du Rage-pierre, brisant tout au passage en détruisant le bouclier de Stahnold reculant brusquement.

La peur, la panique, l’échec. Il avait tout perdu, tout raté, l’accumulation se faisait sentir de plus en plus. Et tandis que nous nous reprenions à peine, l’onde de choc d’une sorte de puissant claquement d’air nous balaya au sol lourdement. Comme une colonne de désespoir dont les volutes blanches et noires tournoyaient, Stahnold hurla encore et encore comme si sa dernière barrière mentale avait cédé. C’était lui, qui traitait toutes cette force du désespoir partout où il allait, lui qui avait causé tant de malheurs à cause du sien. Et au final, jaillissant de l’obscurité, naquit notre véritable adversaire qui allait être la raison de notre combat en Gyr Abania : Un hérésiarque. Les deux nécromanciens avaient été transpercés par ses pointes, et il disparut dans un grondement puissant droit vers l’intérieur du sol en forant littéralement ce dernier. L’hérésiarque avait disparut, et il restait encore Nefereth et le Rage-pierre à libéré. Bien que cette histoire est loin d’être achevée, nous nous rendions compte que rapidement ce périple allait dépassé la simple intervention contre des parjures. Mais bien pour protéger l’âme des Lacs de Gyr Abania.»

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-quatrième Entrée - « Acte 5 – Une barrière face à la mort.»

« Juguler la menace était notre priorité. L’apparition de l’Hérésiarque s’était tristement produite sous un flux de nouvelles créatures de l’Apocalypse apparaissant en produisant un peu de chaos dans les lieux isolés des Lacs où les Loups de Rhaglr avaient jadis pu agir. Il n’était plus simplement question de retrouver Nefereth ou quoi que ce soit, mais d’arrêter la vague de mort avant qu’elle ne se compte en autre chose que des dizaines. Ainsi, l’objectif était simple : Partir vers le nord, et recevoir le courroux de nos ennemis. Dit ainsi, cela pouvait paraître quelque peu suicidaire, mais mieux vaut nous entraîner dans un combat sans pitié que faire venir avec nous les habitants locaux. Ils avaient suffisant souffert, et plus les forces entraînés par ce nouvel hérésiarque seraient proche d’une ville, plus les locaux auraient des risques de finir transformés dans la panique et le désespoir de tels horreurs. Une barrière face à la mort, cela semblait sonner à merveille pour notre équipe, aussi nous sommes nous mit en route tous ensemble pour nous préparer à en finir avec cette histoire – Bien que cette dernière bataille en vérité, ne ferait que commencer. L’équipe avait été rapide à constitué, et cette fois encore la ligne de combat était un trio à la lame prompt à trancher en morceaux tout ceux qui approcheraient à notre portée. Emile, Greil et moi nous occuperont de tenir le coup, tandis que les compétences magiques de Lucian, Finaen et Runne offriraient une force de destruction sur laquelle on pouvait compter. Et ce soir encore, Aerlin allait faire parler l’héritage de l’Arbre-Blanc. Ce qui est toujours sublime à observer en action ! Cette fois, pas de traversée de la ville sous les bénédictions, les salutations et les encouragements des locaux.

C’est dans un contexte plus calme que nous nous sommes échappés sous le regard des gardes au nord de la ville et de quelques envieux de nous remercier une dernière fois en étant mitigés. Partagés entre l’idée que nous n’étions plus là pour nous battre en cas de crise, mais satisfait que nous puissions partir affronter la crise directement. Le seul départ un peu inquiétant provint d’un vieillard installé dans une cage, un prêcheur de la Meute Divine, ce dernier attrapa les barreaux pour ne cesser de dire que tous auraient du saluer la vision de son chef au lieu de le transformer en fardeau qui nous détruirait tous. Son rire avait quelque chose d’infâme et inquiétant, mais ça n’était pas la seule chose. Quelque soit sa connexion aux pouvoirs mit en jeu, il possédait dans sa folie une force qui offrit des visions à Greil, Finaen et Runne qui l’observèrent un peu trop longtemps. Voyant les fameux quatre yeux du Rage-pierre, et bien d’autres horreurs, avant que le vieillard dans une cage ne s’effondre en faisant de l’écume. Au moins le départ fut plus confortable, bien que nous étions simplement en train de traverser les étendues paisible et sans vie de Gyr Abania, si ce n’est peut-être deux Chapuli de passage qui faisaient leurs vies d’énormes insectes à la viande juteuse. Plusieurs en profitaient pour se détendre un peu pendant le long de la marche durant plus de deux heures me semble t-il, Aerlin ayant le confort de pouvoir respirer paisiblement un air tranquille. Mais tout ce confort d’une marche simple allait rapidement mal tourner dès que nous sommes arrivés dans des premières ruines. Finaen, Aerlin et Lucian identifièrent la végétation excessive comme une source d’une présence, d’une vie dans les environs, qui ne semblait pas vouloir de nous. Nous découvrions une ancienne fortification où il restait même encore un garde d’un officier impérial planté sur une pique, mais son observation en paix allait être de courte durée.

D’un coup, le plafond de pierre d’une arche à traverser explosa soudainement. Les pierres vinrent s’écraser sur la barrière générée par Lucian et Finaen pratiquement en même temps, tandis que la végétation croissante devenait de plus en plus gênante pour tenter de nous bloquer le temps d’être broyés. Progressant au milieu de la dévastation qui était un paysage tranquille avec beaucoup de végétation ambrée merveilleuse il y à peine quelque instant, Finaen, Aerlin et Runne voudraient le passage du mieux qu’ils le pouvaient en repoussant la végétation dans quelques éclairs puissants tout en déviant les pierres nous tombant dessus. Rien d’aisés, et ils nous offrit la grâce de pouvoir avancer là où Emile et Greil affrontaient les bêtes qui avaient été attirés par le bruit : Des créatures de l’Apocalypse, leurs yeux rouges illuminés et leurs griffes sorties. Elles chargeaient sans cesse, et Greil fut attraper par une gueule énorme avant que Emile ne décapite la créature d’un coup de sabre net.

Je me joignit à elles avec Lucian, arrivant en massacrant les dernières de quelques coups de sabres et de ses forces obscures. Et malgré leurs morts, le temps de souffler ne nous était pas accordé : Au loin, une étrange ruine semblait porter une graine étrange à l’image d’un cœur. D’une pulsation lointaine, une grande vague de végétation nous fonça dessus tel une véritable déferlante boisés de toutes sortes de plantes de Gyr Abania de couleurs d’or, amplifié par le crépuscule dans les cieux. Plus inquiétant encore quand les amas de végétation délivrèrent quelques créatures de l’Apocalypse cherchant à en sortir pour nous tailler en pièce. Emile n’eus pas envie d’attendre plus longtemps, et fusa en l’air en laissant des sillages de flammes d’argents le long de son passage pour nous ouvrir la voie. Celles ci furent amplifiés par le feu pourpre de Lucian, traçant des veines affreuses au milieu de la vague de dévastation. Faisant de son mieux pour contenir tout ce chaos, Aerlin cherchait à en prendre le contrôle avec Runne pour repousser et faire sortir les créatures de là, profitant que Finaen affaiblisse de plus en plus l’énergie volée au Rage-pierre pour reprendre nos assauts efficaces. Cette végétation avait un lien avec son pouvoir tellurique, quel qu’il soit, mais nous avions encore à découvrir quel créature agissait en volant un tel pouvoir. Ouvrant le passage, Greil jaillit pour trancher plantes et horreurs infâmes en les taillant de son sabre jusqu’à ce que ses jambes ne soient totalement attachés par des sortes d’amas de végétation.

On ne pouvait pas vraiment l’aider, je venais de me faire percuté par un coup de flanc d’une entité à la caudale comme une massue qui me rétama par terre, et l’amas de végétation comme une titanesque Lamproie finirait par dévoré Greil. Jusqu’à ce que Runne, en forçant énormément sur la magie, parvienne à la dévié lourdement sur le côté dans un instant de ravage en l’envoyant en plein un petit tas de créature de l’Apocalypse. Se libérant en vitesse de deux coups de sabres, au moins Greil était encore sur ses deux jambes et tous progressèrent ensemble jusqu’à advenir à une bien étrange ruine juste avant là où se cachait notre cible. Après de tels épreuves, nous nous interrogions quant à savoir quel esprit de la nature avait pu devenir aussi enragé. Mais il ne s’agissait là malheureusement que de colère mue par un esprit de vengeance. Et par la peine d’imaginer ce monde disparaître à jamais.

Après les vagues de végétations, tout ses amas de fleurs et de broussailles d’ambres et d’or me paraissaient bien moins merveilleux après qu’ils aient tentés de nous tuer. Depuis la découverte de l’ancienne fortification, tout s’était enchaîné lors de l’explosion et l’adrénaline ne redescendait pas. De toute façons, nous en aurions plus que besoin en découvrant les environs, et sa menace locale. Ici, la ruine d’une muraille était en train de se transformer en amas de végétation irréelle, c’est comme si les plantes locales avaient décidés de prendre conscience et qu’elles allaient créer elles mêmes une forteresse. Des amas de plantes jaillissaient de toutes parts connectés à des flux de pouvoir tellurique qui transformaient de la pierre en amas de feuillages bien trop résistants. Un arbre poussait dans le vide littéralement comme si il avait décidé de grandir sur des petits rochers survolant l’ensemble, et tout semblait naître sur toutes dimensions possibles, qu’elles soient au sol ou en l’air. Cela aurait pu être fantastique si c’était bienveillant, mais là tout au contraire, ça n’était l’annonce que de bien des problèmes. Au centre de tout ça, l’ensemble était lié à une sorte d’énorme graine ressemblant à un cœur que nous avions vu au loin de là. Difficile à dire si cette chose avait réellement décidé de nous envoyer une impulsion remplie de créatures de l’Apocalypse emportées au passage.

Elle battait paisiblement, donnant l’air d’un esprit libre et paisible, naissant, qui ne demandait qu’à vivre et à comprendre. Plusieurs entités de bois et de pierre se trouvaient dans les environs, sous la surveillance de ce qui ressemblait à un Treant géant de mousse avec un grand bâton d’élémentaliste comme si il allait s’en servir pour lancer des sorts – Ce qu’il fit, et cela ne cessa de nous impressionner avec Lucian même si avait faillit par ce biais nous casser brutalement la figure. Quelques créatures de l’Apocalypse rôdaient dans les environs, mais elles n’attaquaient étrangement pas la graine ni les autres, comme si quelque chose instinctivement les arrêtaient. Plusieurs rôdaient autours de la graine, mais c’est comme si les bêtes s’attendaient à en voir sortir tôt ou tard une des leurs avant de partir tout ravager sur leurs passages. Il nous fallait sécurisé les environs et pour ça, Finaen et Aerlin s’en sont charger. Tandis que Finaen filait vers les hauteurs, Aerlin dévia deux énormes rochers balancés par des « Kaluk », sortes de grands arbres de Gyr Abania recouvert de pierres tel des armures de batailles. Les rochers s’écrasèrent plus loin et il fit en sorte qu’un des Kaluk s’effondre sur l’autre. Cela ne suffit pas, bien que beaucoup de poussière s’éleva, ils en profitèrent pour relancer des pierres dont une fit s’écraser Aerlin au sol plus loin. Avant qu’ils n’arrivent pour l’achever, l’élémentaliste de l’Arbre-blanc frappa de son bâton au sol, et les pointes de pierres jaillirent en les désarmant, traversant leurs jambes brutalement, jusqu’à ce qu’il n’achève son sort. Tirant le plus fort possible, il fit s’effondrer tout un pan de falaise dessus, les ensevelissant tous. Le combat acharné sur les hauteurs avait l’aspect d’une tempête foudroyante. Finaen ne cessait de repoussé trois créatures volantes de l’Apocalypse, un mélange de fourmis et d’abeille, mais plus grosse qu’un Grizzly.

Les repoussant dans un vent puissant avant d’essayer de les foudroyés, l’une passa dans son dos et l’écrasa lourdement au sol en le sonnant un peu jusqu’à ce qu’il ne soit frappé encore et encore par les horreurs. Quant elles voulurent s’en débarrassé, brusquement, les éclairs revinrent et trois créatures carbonisés, dévastés, fusèrent des cieux avant de s’effondrer un peu partout au sol en se désintégrant lentement. Les environs étaient sécurisé, et avec Lucian nous affrontions alors l’énorme Treant de mousse dont les puissances rocheuses dévastaient tout autours de lui. L’enflammant d ‘une puissance lueur pourpre, les flammes de Lucian le dévorait petit à petit pendant que je tranchais, jusqu’à ce qu’une onde rocheuse n’écrase mon camarade et que je ne sois attraper par la végétation. Runne trancha les liens qui me retenaient, pendant qu’ils extirpaient des civils d’un amas de mousse pour les mettre en sécurité. Il fallait agir rapidement et les rassurés car ils avaient été mit en stase avant qu’ils ne se transforment en créature de l’Apocalypse. La raison du pourquoi allaient apparaître bientôt, pour l’heure une fois libre, je vins trancher le bras et une partie de notre adversaire qui propulsait un faisceau d’or contre Lucian encore et encore, pour lui offrir l’opportunité dont il avait besoin : Un énorme cristal pourpre fut incarné au dessus de Lucian avant qu’il ne le balance en plein sur sa cible.

La traversant de part en part jusqu’à ce qu’elle s’effondre lourdement par terre, se consumant à petit feu. J’avais déjà autre chose à faire : Si Runne rassurait l’ensemble, une jeune fille finie par se transformer en créature de l’Apocalypse dans son dos. L’horreur chercha à le mordre, mais je pu la trancher en trois morceaux avant qu’il ne se passe quoi que ce soit de malheureux. Comme toujours, on ne pouvait pas sauver tout le monde mais il était attristant que même des civils arrachés de tout danger peuvent encore être leurs propres bourreaux quand ils cèdent à leurs plus noires idées. Mettant les derniers habitants en sécurité, Runne pu au moins les éloignés tandis que Emile et Greil se chargeaient de la graine qui formaient de telles fortifications et toute cette végétation grandiose autours de nous. Les six créatures de l’Apocalypse autours ressemblaient à autours de lézard écœurant qui couinaient et tournoyaient autours jusqu’à ce que Greil n’arrive au milieu de cette petite foule monstrueuse en les taillant en pièce. Son sabre formait quelques éclairs en les tranchant les uns après les autres, mais elle du rapidement bondir pour attraper Emile avant qu’elle ne soit désintégrée par une sorte d’amas de noirceur de plus en plus puissante. Elle avait chercher à calciné la graine, arrachant un cri de douleur résonnant en échos autours de nous jusqu’à ce que Greil et elle ne chutent au sol quand celle ci à la mort, avant qu’une des petites créatures ne bondisse en emportant Greil au sol roulant plusieurs fois avec cette dernière en essayant de la dévoré.

Elle parvint après avoir été frappée encore et encore par les trois créatures un peu trop organisées dans leurs coups. Mais elles ne purent faire grand-chose quand Greil tira sa lame, le Iajutsu tranchant en morceaux les trois dernières horreurs avant qu’elles ne tombent en poussière sous le flot de lames tranchantes suivant la lame. Ainsi, brûlant la végétation autours de cette dernière, Emile fut prise de quelques curieuses visions dans sa communion avec la graine. Les yeux clos, quelques lumières tournoyantes autours d’elle, avant qu’elle ne se relève lentement en se réveillant. Dans ses paumes, la graine bien plus petite alors brillait doucement comme endormie. Un peu d’innocence avait été arraché aux malheurs entraînés par la folie de qui générait une pareille végétation. Et au loin, le hurlement de douleur cessant brusquement prouvait tristement qu’elle continuait son massacre. Il nous fallait rapidement l’atteindre, ou de nouveau, le flot de végétation d’or et d’ambre nous foncerait dessus pour essayer d’atteindre Porta Praetoria. Cherchant à détruire tout ce qui est humains.

Au moins il n’y aurait plus trop de risque pour les habitants afin qu’ils repartent vers le sud, le « ménage » ayant été fait, mais mieux valait-il pas qu’ils traînent trop aussi nous les pressions un peu pour qu’il parte le plus vite possible avant que d’autres créatures de l’Apocalypse ne remplacent celles détruite sur le passage. Dans les faits, ça restait notre rôle d’empêcher ça, cela dit malheureusement on ne peut pas toujours empêcher une de ses bêtes de passer à travers les hauteurs rocheuses ou voir sous terre afin d’aller là où elles auraient du être arrêtés. Quelques soins furent partagés un peu d’urgence, un échos de lumière provenant d’Aerlin tournoyant au dessus de son bâton en infusant tout le monde de cette vitalité lumineuse pour les remettre de leurs blessures. Quittant le rempart végétal se brisant petit à petit lui même comme si l’afflux d’énergie ne donnait plus suffisamment de puissance à l’ensemble qui finissait par s’effriter et ne devenir que poussière. Pour autant, c’est vers une vieille ruine que nous nous dirigions, tandis que lentement la nuit prenait place et assombrissait les environs, nous n’avions pas vraiment l’impression pour autant que tout devenait plus obscure. Des lumières jaillissaient un peu partout tels des éclairs lumineux dorés autours de nous en formant la surcharge de pouvoir de ce qui se trouvait autours de nous. C’était intense et inquiétant, puis nous avions à observer le malheurs de ce qui se trouvaient par ici. Ils ressemblaient plus à des archéologues, protecteurs d’héritages accompagnés de quelques jeunes aventuriers.

Les pauvres n’avaient rien pu faire face à une telle déferlante de haine, écrasés par des pierres ou attirés dans la végétation pour les compresser de plus en plus. Du sang, de la destruction, les chariots brisés et les tentes déchirés. Difficile de savoir ce qu’avaient pu faire ses âmes pour mérité un tel châtiment, et la réponse serait plus amer qu’une quelconque forme de justice. Déjà, était-il possible de voir que l’entité ne tuait que les humains. Le Chocobo qui était avec eux totalement apeuré regardait les environs en tremblant un peu. Avant que le flot de dévastation ne nous frappe, Aerlin, Finaen et Greil étaient directement parti le rejoindre pour le rassuré et le mettre en sécurité. Beaucoup avaient à cœur que cette pauvre bête s’en sorte, et elle s’éloigna rapidement dès qu’elle fut rassurée prompt à rentrer vers Porta Praetoria et peut-être même à rejoindre les survivants plus au sud qui fuyaient vers la ville. Aussi ils purent observer venant des cieux, l’assaut monstrueux qu’avait convoqué notre adversaire : Des pierres jaillirent des cieux, s’écrasant partout autours de nous en créant une véritable vague de fracassement ne détruisant curieusement pas tout sur leurs passages. Dès qu’elles chutaient, l’impact formaient un cratère ainsi que des amas de végétations en sortant de plus en plus tout en déformant les lieux. De ses amas de végétation s’extirpaient plusieurs créatures de bois et d’autres plantes à l’allure rocheuses dans des lumières d’ambres. L’invocation formaient autant de pantin monstrueux, difficile de savoir si de tels serviteurs avaient une conscience ou nous. Mais leurs allures monstrueuses n’avaient rien de rassurant comme des grossières parodies d’être humains devenu monstrueux.

De nouveau, Emile fit de son mieux pour étendre la dévastation enflammée de son côté en tranchant tout en laissant la vague de feu d’argent détruisant tout au passage. Elle progressait au milieu du feu ardent, laissant s’engouffrer Lucian dans son passage dont la barrière d’énergie n’allait pas duré longtemps. Serrant les dents, les explosions lumineuses formaient des spirales puis quelques trous dans la protection jusqu’à ce qu’il ne commence à détruire plusieurs des créatures des vagues d’obscurités. Rejoignant le combat, nous heurtions avec Finaen les maudites horreurs pendant que plusieurs de nos coups firent explosés quelques pierres chutant des cieux tant l’intensité des tirs aqueux frappèrent les météores en l’air et certains furent achevés par des éclairs de mon cru. Si nous repoussions aisément les adversaires en face, Runne n’avait pas pu dévié suffisamment de pierre tant elles furent parfois nombreuses et une d’entre elle explosa au milieu de Finaen et moi en nous envoya nous écraser au sol un peu brusquement. Tandis qu’il continuait son œuvre de repousser l’ensemble et qu’un coup happa Lucian au sol brutalement quand un poing énorme l’envoya s’écraser plus loin. Ce fut comme un bras de pierre tombant des cieux qui chercha à écraser Greil dont les jambes avaient été attrapés par des amas de végétation. Bloquée à peine arrivée dans la mêlée, personne dans nos états ne pouvaient l’aider, si ce n’est Aerlin. Un cri résonna en échos, ses yeux devinrent d’un blanc fumant et il leva le Sceptre noueux vers les cieux.

Le pouvoir de l’Arbre-blanc intervint à travers son Hérault, tandis qu’un arbre de lumière jaillit à travers le sol pour venir transpercer brutalement le bras de roche en le détruisant au passage avant d’étendre d’un coup brusquement ses branches. Où éclatèrent de nombreuses des pierres en l’air en formant des innombrables lumières d’ambres tombant des cieux. La vision avait quelque chose de fantastique, et alors que les combats s’achevaient, la plus part d’entre nous contemplèrent quelques instants cet Arbre blanc d’une lumière vive qui n’était encore qu’un échos du véritable. Après un bref instant de contemplation, reprenant un peu nos souffles et laissant Finaen m’aider à me relevé lentement avec un brin de difficulté après l’impact reçu. Nous marchions plus lentement et avec le cœur plus léger droit vers l’intérieur de la ruine. Celle ci avait d’innombrables effets d’énergies fusèrent un peu partout dans des déflagrations de pouvoir. Des petites explosions jaillirent au milieu de vieilles glyphes déformés et brisés tandis que des sortes de pointes de pierre canalisaient les éclairs provenant des cieux. Une force de la Balance de Nefereth continuait à créer une source de pouvoir de plus en plus importance provenant de ce qui avait été volé jadis par les Loups morts. Elle continuait d’avoir un impact sur les environs, semble t-il, mais la créature qui était présente ici était bien loin d’être une alliée. Née de la conscience spirituelle d’une ancienne grande protecteur du Rage-pierre, son incarnation avait été comme englobée dans une énorme silhouette de buste de femme fait de bois, de pierre, et de végétation s’extirpant d’un coup du sol en attrapant un habitant ayant décidé de foncer vers nous en hurlant à l’aide. Il ne pu pas être sauvé, Finaen et Aerlin n’ayant eu guère le temps de levé la main avant qu’il ne soit broyé dans la poigne du titan de bois n’ayant sur son visage qu’une bouche bardée de crocs et quatre yeux lumineux. Une créature incarnée par l’énergie intense des éclairs volés tournoyaient autours de la vieille incantation autours de la ruine, surveillé par un membre de la Meute Divine qui contemplait invisible aux yeux du titan de bois, comme un agent de Nefereth effrayé par ce qui était en train de se produire sous ses yeux.

Ce dernier fut assaillit rapidement par Runne et Finaen pour se débarrassé de ce puissant magicien, dont les sphères d’or jaillirent de toutes les directions pour essayer de foncer sur les deux mages rouges en provoquant plusieurs explosions un peu partout autours d’eux. Apparaissant encore et encore autours de lui, Runne se propulsait pour le harcelé de sa lame et d’explosions d’éthers neutres frappant ses barrières en des chocs puissants tandis que les pointes de pierre de Finaen brisèrent toutes les petites sphères d’or qui rôdaient autours du magicien. Levant le bras, un éclair se figea dans sa main et il fonça droit vers Finaen en tentant d’abattre l’épée d’éclair contre notre ami. Mais son arme s’arrêta contre celle de Greil, bloquant l’épée, provoquant une onde de choc quand elle explosa soudainement en envoyant Finaen s’écraser contre un mur de pierre. Si Greil fonça vers le titan de bois pour aider Emile immédiatement après, les noulithes de Finaen formèrent d’innombrables arcs foudroyants frappant la lame de Runne qui lui avait donner du temps en transperçant le bras du magicien de son épée. Sa mort allait être terrible, quand les éclairs parcouraient la rapière du miqo’te plantant encore et encore son ennemi en y laissant un sort de feu à chaque fois. Tous éclairèrent et dans un dernier cri de souffrance. Il fini alors en cendre.

De l’autre côté, la sphère de pierre énorme gagna ses quatre yeux infusés d’éclairs avant d’ouvrir une gueule béante pour dévoré Lucian provoquant des explosions encore et encore partout sur son corps pour le fissuré. J’avais pu le dévié et le trancher plusieurs fois de ma lame, laissant de grandes fissures partout sur son corps en l’endommageant de plus en plus. M’arrachant à le tenir, le tranchant en trois morceaux, tout cela laissa le temps à ce que la lune de pouvoir de Lucian finisse par s’incarner pour broyé de plus en plus l’entité sous l’effet de la gravité jusqu’à ce qu’il n’en reste rien. Au moins de ce côté, nous avions été efficace dans la destruction de cette horreur en haletant un peu devant la quantité de force utilité, laissant alors à Emile et Greil le soin de détruire le titan de bois. Tournoyant autours, une lame faite de glace et son katana enflammé par le feu d’argent, Emile tranchait la pierre par la glace et détruisait le bois par le feu. Au début, elle agissait à toute vitesse, jusqu’à ce qu’un bras ne l’écrase au sol en traversant un fin mur de pierre en la sonnant au sol. Se redressant difficilement, du sang glissant de ses lèvres, l’apparition de Greil tranchant brutalement au niveau des quatre yeux du titans lui offrit le temps de s’en remettre même si en retour elle fut frappée d’une puissante onde de choc la fracassant par terre. Il était temps pour elles d’en finir, et profitant d’un moment d’hésitation quand elle cherchait sa cible, les deux se propulsèrent droit vers son visage en tranchant dans un fin trait de lumière rouge et d’argent, coupant au même endroit en lui tranchant le visage où la glace et le feu formèrent une fantastique explosion. Le bois se brisait, la pierre s’effondrait, et la silhouette de celle à l’intérieur se dévoila : Celle qui était jadis une femme pieuse et aimant de ses terres, avait déjà été transformé en horreur de l’Apocalypse.

Quelque chose ou quelqu’un avait du la mettre à l’intérieur de cette forme de bois et d’éther qu’elle manipulait de l’intérieur en usant de tout son désespoir dans un objectif rendu chaotique : Détruire les humains avant qu’ils ne détruisent ce monde. Voilà ce qu’avait mérité l’humanité, la mort car ils deviendraient la mort incarné. Aerlin avait outre-passé les éclairs empêchant le passage vers le cercle de pouvoir. Ce n’était qu’un vestige de l’œuvre de Nefereth, mais il y avait encore une connexion avec le Rage-pierre dont il libéra un échos bienfaisant comme si il avait eu le droit enfin à un instant de paix au milieu de la torture qu’il subissait. L’écho de pouvoir provoqua une onde d’énergie offrant une force pure, naturelle et tranquille, à la fausse végétation de pierre autours de nous. Enfin un peu de calme se fit sentir, et la ruine avait été libéré de tout ce mal odieux. C’était là que nous pourrions trouver un peu de repos, loin des emplacements de carnages où Finaen et les volontaires comme moi viendraient sûrement apaisés les âmes pour les guidés vers la Mer des étoiles. Mais dans les montagnes au nord, s’étendaient bien des perles de lumières rouges des créatures de l’Apocalypse. Nous ne les laisserions pas atteindre les zones habités, jusqu’à la destruction de l’hérésiarque né de Stahnold. Une fois de plus, pour les habitants de ce monde. De cette terre. Il était temps d’être une barrière face à la mort. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-cinquième Entrée - « Acte 6 – La balance aux cent éclairs.»

« Le campement entre une région infestée d’horreurs aux yeux rouges et une zone de vie citadine où il y avait pas mal de personnes pouvant devenir à leurs tours des créatures monstrueuse n’était pas l’endroit le plus confortable pour se détendre, mais quelques patrouilles allait suffire pour nous débarrassé de l’essentiel restant de partir vers le sud. Au moins étions nous ainsi relativement disponible et en forme au moment de continuer notre route quand un lieu particulièrement frappé par les éclairs jaunes avait été constaté. Cela m’évoquait la source de puissance de Nefereth, mais cette fois il ne s’agissait pas simplement que d’une grande balance incarnée d’or pour essayer de créer un lieu de puissance incroyable et inquiétant. Il faudrait à la place affronter ce qu’il reste des Loups de Rhaglr, même si nous avons encore à faire à cause des conséquences de leurs actes, au moins aurions nous l’occasion d’essayer de brisé les élans de véhémences des fanatiques pensant qu’ils doivent suivre Stahnold même depuis qu’il est un Hérésiarque monstrueux rôdant dans les montagnes. Notre équipe se constitua au campement où les disponibles se réunissaient petit à petit. La première ligne serait tenue par Livio avec sa fameuse pistolame tandis que toutes problématiques magiques auraient le droit aux compétences de Runne et Finaen pour déjoués les mystères de l’éther. Pour ce qui se détruit plus que ça ne se manipule, le tranchant de nos lames avec Greil et moi serviraient, tout en comptant sur les capacités à transformé une scène en parfait chaos une fois que Sorn se lâcherait avec ses gadgets. Sorn, ou Gladys, d’ailleurs. Notre départ n’eut nulle spectacle, quittant simplement le petit campement installé dans les ruines pour nous diriger là où j’avais pu observer les éclairs choir ainsi que le passage dans la montagne qui nous attendait.

C’était en pleine journée, et petit à petit l’après midi s’étouffait à mesure des heures passés jusqu’à ce que la nuit lentement nous advienne en ayant progresser sur les hauteurs du nord des Lacs de Gyr Abania. C’était un curieux voyage en deux partie – Le sol au loin aurait pu être découvert et constituait sûrement sa propre route, mais nous progressions sur des immenses plateformes en hauteurs en progressant doucement sur un terrain paisible et tranquille. Les visiteurs rencontrés n’étaient alors pas humain, on à pu voir pas mal de petits élémentaires vadrouiller à leurs propres occupations en errants dans les environs, prit d’une certaine tourmente qui les rendaient particulièrement confus. Certains se cognaient contre des murs, d’autres entres eux, et Gladys se retrouva à jouer avec quelques instants ce qui poussa au moins en tout cas Livio à mettre son éthérimètre.

Ce fut pendant un spectacle magnifique de lumière d’or ambré s’extirpant du sol à partir de nombreuses fractures. L’effet semblait être naturel, Livio nous le confirmant, mais il pu surtout nous alertés quand l’échos du cri du Rage-pierre résonna et rendu chaotique toute la puissance tellurique présence ce qui libéra ce pouvoir en formant un chaos absolu. Des flux d’énergie d’or jaillissaient en emportant d’innombrables petits cailloux dans tout les sens. Autant vous dire que progresser allait être des plus difficile au milieu d’un territoire de pierre se reformatant sans cesse dans des effets de lumières puissants, mais si Finaen propulsait les flots en avant pour essayer de contenir l’ensemble et le rendre plus sensible lors de notre avancée. Runne et Sorn quant à eux utilisaient la force de la maîtrisé de la pierre, l’un par la magie, l’autre par la gravité, pour repousser les pierres ici et là. Bien entendu vous vous en doutiez, les créatures de l’Apocalypse contenu dans les environs réagirent, et nous avions du progresser en combattant au milieu d’horreurs alors même que ça n’était pas un piège : Les créatures étaient ici, nous le savions, et tout ce fracas de terre n’était pas due aux actes de Nefereth. C’était tristement le simple résultat de la douleur du Rage-pierre. Proche de moi après avoir tailler en pièce bien des créatures, Greil fut happé et valsa en l’air brutalement en se prenant un choc terrible. En sécurité au moins, c’est Livio qui était complètement cerné par les créatures de l’Apocalypse et je volais alors à son secours tandis qu’il les repoussaient autant que possible jusqu’à ce qu’elles ne soient toutes coupés en morceaux.

La dernière se prenant brutalement un éclair de Finaen, qui s’était fait écrasé par une de ses choses pendant la route avant que Livio n’écrase la créature d’un grand coup de pistolame. Nous nous dégagions de cet espace dévasté, que la fureur du Rage-pierre n’arrêtait pas de modifier et de rendre des plus dangereux jusqu’à ce que nous puissions contempler hors de la fumée provoqué par tout les chocs autours de nous, la route qui nous était destinée. Au loin, les montagnes donnant une impression ténébreuse de désespoir comme pouvait le faire la Tour de Babel en Garlemald régnait comme le domaine sinistre de l’Hérésiarque Fletcher. Mais il fallait avant d’en atteindre la porte au loin, rejoindre rapidement la flèche captant un éclair jaune statique en tourmentant le Rage-pierre. Fonçant en avant, le sol se désolidarisa quelque peu quand nous découvrions qu’il s’agissait là d’énorme golem lent et endormi, dont le haut de la tête comme des chapeaux formaient les plateformes de pierre nous permettant de passer. Bondissant d’une plateforme à une autre, je vins me joindre rapidement à Greil pour éliminé les guerriers de la Meute Divine qui se dressaient sur notre route comme des ultimes remparts. Les flots aqueux sortant des noulithes de Finaen leurs faisaient perdre tout renfort provenant potentiellement de leurs transformations, et ils ne purent pas vraiment non plus chercher du réconfort en nous atteignant : Tous étaient massacrés bien avant, certains prit par Livio transformé en Coeurl massif grâce à son collier des Milles bêtes. Laissant Finaen et Runne nous ouvrir le chemin. Dansant pour essayer de créer un sentiment avec la Valse d’Or, il découragea un membre des Loups de Rhaglr qui bondit pour que Runne ne se prenne pas un éclair dévastateur, tombant inconscient à cause de la douleur. Certains pouvaient-ils être ramenés dans le droit chemin ? Fort probable quand tout ça serait terminé, que tous ne restent pas zêlés et cinglés sur les bords.

Bien que blessé, il fut soutenu par Finaen et purent nous rejoindre, j’avais moi même était brutalement écrasé par un poing de pierre formé par la magie de l’un de leurs magiciens, jusqu’à ce que nous atteignions tous les hauteurs. Seuls Sorn et Livio eurent un peu de retard, quand Sorn fut balancé dans le vide brutalement après avoir pu « dompter » un des golems géants. Ce dernier rattrapa Sorn et Livio tombant dans le vide, avant de les dépassés blessés à côtés de nous, Gladys très heureuse de la situation retournant jouer un peu avec le golem tandis que nous progressions doucement droit vers la pointe du Rage-pierre. Si l’entrée était importante, il fallait absolument arrêté ce qui provoquait pareil chaos dans les environs. Et tout débutait par cette spire, au centre de tout ça, frappé par cet éclair unique et très inquiétant.

Autant vous dire que nous étions encore pas mal agités. Les soins d’Aerlin pas vraiment là pour créer des volutes de lumière apaisant tout le monde, ce furent essentiellement des potions de soins et les talents dans la magie de la guérison de Runne et Finaen qui purent nous remettre d’aplomb lors de la découverte de la haute spire que nous avions gravis pour atteindre les sommets surplombant les environs. En haut, on pourrait être confrontés directement avec ce qui chutait tel un éclair statique en plein contre la grande épine du Rage-pierre dont les échos ne cessaient de onduler dans les environs en provoquant des ravages dans les forces telluriques déchaînés. Et cela s’amplifierait, de plus en plus, à mesure où sa souffrance laissait une trace importance dans l’éther. Qui sait si l’amplitude n’aurait pas pu modifier des conditions météorologique avec le temps ? Heureusement bien loin de l’ampleur d’un Fléau, ça n’était pas une raison pour prendre le moindre risque en finissant de grimper sur les hauteurs pour observer ce qui se trouvait devant nous. La formation de l’éclair statique avait quelque chose de magnifique, changeant après quelques secondes quand la foudre avait un mouvement sans jamais cesser de choir sur la pointe. Quelques effets de magies tournoyaient autours de la pointe, des glyphes provoquant de puissants effets enchanteurs autours de nous dont la forme d’une balance se trouvait au cœur de tout le procédé.

Ce n’était cette fois qu’une glyphe qui n’était qu’un lien de puissance avec les forces de Nefereth non loin de là. Une créature de l’Apocalypse en forme de femme aux bras tentaculaires approcha rapidement comme si elle voulait détruire la pointe, mais l’éclair la réduisit en fumée un instant plus tard au moment où la foudre l’atteins. Ça n’était pas simplement pour devenir plus fort, ils se protégeaient visiblement aussi ainsi des créatures de l’Apocalypse pour ne pas être taillés en pièce. Plusieurs sortes de vieux pantins protecteurs en formes de chevaliers en armure se relevèrent autours de la pointe, couverte de plantes et de rouilles dont l’énergie foudroyante lui offrait sa force. Et plusieurs alliés de l’envoyé des Loups de Rhaglr apparurent : Un visage de golem titanesque aux deux bras apparaissant proche de là, ainsi que dans notre dos plusieurs nuages vivants nommés Anala de sel, qui avaient été contrôlés par la force foudroyante transformant le vert en jaune intense provoquant quelques éclairs dans les environs. Il fallait protéger Runne alors qu’il fonçait vers la pointe du Rage-pierre en vitesse pour essayer d’arrêter le processus. Car tout nos ennemis n’auraient alors qu’un désirs : le tailler en pièce. Alors que Sorn se retournait soudainement vers les Anala foudroyants maîtrisés par l’ennemi, Greil elle fonça brusquement vers le visage de pierre immense en espérant le tailler en pièce à toute vitesse. Esquivant un poing qui allait la broyer au sol sans une esquive de justesse en passant largement à côté de l’impact défonçant le sol. Progressant en bondissant même sur son bras, les multiples coups tranchèrent la roche et laissèrent bien des fissures sur sa face barbue de pierre en le brisant presque.

Mais un poing parvint, grandement ouvert comme une claque, à la repoussé en l’écrasant soudainement sur le dos avant de levé l’autre poing pour essayer de l’écraser au sol afin de s’en débarrassé définitivement. Greil roula rapidement sur le côté pour esquivé la chute du poing en provoquant une grande déflagration de pierre, se redressant rapidement avant de tiré de nouveau sa lame. Le coup du Getsu tranchant à souhait formant une faille lumineuse dans les airs, coupant le visage de pierre immense en deux, alors qu’une explosion de pierre jaillit quand l’élémentaire céda avant de propulser notre camarade plus loin quand une pierre la frappa soudainement. Au moins étions nous débarrassé de cet adversaire terrifiant, et quant à Sorn, la manière dont il triompha était un peu plus curieuse. En se retournant il avait nimbé les environs de flammes pour retenir nos adversaires du flot de feu émettant une douche enflammée pour ne pas qu’ils approchent. De ce feu vengeur, quelques éclairs jaillirent et frappèrent Sorn en l’envoyant lourdement sur le dos par terre. Laissant Gladys continuer à déchaîné le feu, il voulait tailler en pièce les Anala foudroyant avec un lance-scie, plusieurs partant sans réussir à les détruire jusqu’à ce qu’une vague d’éclairs encore plus puissant ne le frappe. Sonné par l’impact, le pauvre fini par choir au sol fumant un peu en ayant perdu connaissance tandis que Gladys avait été écrasée par terre en criant le nom de son maître qui risquait de se faire massacrer. L’instant d’après, la lueur d’alerte rouge du Teclis à son bras s’acheva, et Sorn se redressa d’un coup dont un des yeux était rouge. Formant une lame depuis le Teclis, en un rayonnement puissant, il détruisit toutes les créatures nuageuses en tournoyant au milieu des foutues entités jusqu’à sourire à Gladys et perdant de nouveau connaissance. Si j’ose dire, Marlithe n’était sûrement pas innocente, mais c’est ce qui rend ce petit couple aussi adorable qu’extrêmement étrange après tout.

Nous luttions avec Livio contre le responsable de tout ça pendant que Finaen s’occupait des chevaliers. Les pointes de pierre convoqués par le crépusculaire tailla plusieurs armures sans parvenir à les arrêtés jusqu’à ce qu’un gantelet d’acier ne l’attrape par la gorge en le soulevant lourdement pour l’étrangler jusqu’à la mort. Un rayonnement rouge jaillit à travers le torse du chevalier, Finaen activant les lames rouges à partir des quatre Noulithes comme il en avait développé la technique lui même. Un chevalier restant non au prise avec les lames, tailla le dos et la cuisse de Finaen jusqu’à ce qu’il ne tire sa propre épée. Coupant d’un coup en deux son adversaire dans le même mouvement que toutes ses noulithes, laissant les chevaliers tous en même temps s’effondrant par terre. Et c’est à cet instant que nous en avions fini avec ce maudit serviteur qui avait fait arracher son corps pour n’être plus que pure énergie dans quelques éclairs frappant un peu partout. Il allait périr de ce fait, mais tenterait de nous abattre au passage alors qu’il venait de repoussé lourdement Livio. Ma lame le repoussa sans cesse jusqu’à ce qu’un coup dans une onde de choc ne me fasse tomber sur les deux genoux en haletant un instant. Souriante, il pensait qu’il avait triompher d’une personne, et oublié qu’il s’agissait d’une équipe en laissant voir Livio bondir juste au dessus de moi en reprenant sa forme quand l’effet du totem des Milles bêtes s’estompa.

Son bouclier provoquant une grande lueur tournoyante en le repoussant d’un coup, jusqu’à ce que la pistolame n’écrase d’un coup ce dernier en provoquant une zone de dévastation quand le coup s’écrasa brusquement au sol. De lui, il ne restait que quelques éclairs frappant dans les environs et un cri strident, dont l’énergie revint vers l’éclair statique. Il n’allait pas rester si longtemps, tous se retournèrent vers Runne qui avait eu un peu de mal de prime abord à rejoindre le symbole en essayant de rassurer la pointe de pierre dans une lueur de plus en plus douce et délicate. Mais il lui fallait atteindre pour ça le symbole de la balance, celle de la Balance aux cent éclairs qui frappèrent sans cesse dans les environs, incarnation du pouvoir de Nefereth, et il fit de son mieux pour transformer l’effet du sort. Serrant un peu les dents, des éclairs frappèrent un peu partout en se distordant jusqu’à ce qu’il ne parvienne à transformer le sort en quelque chose lui appartenant désormais. L’énergie de la glyphe de la balance devint celui d’une sorte de symbole de dragonnet qui était ce que Runne devait préféré en guise d’image, de vision, jusqu’à ce que ne cède l’éclair jaune avant qu’une grande lumière ne s’amplifie jusqu’à ce que petit à petit, la pointe du Rage-pierre ne disparaisse comme revenant à son propriétaire. Le lien avec les nuages des Anala de Sel s’estompèrent, et une grande route de nuage naissait petit à petit devant nous. Nous n’étions visiblement pas les seuls à vouloir arrêté Nefereth et l’Hérésiarque, en voyant la force de quelques des Analas de Sel nous observant en loin. Il était donc temps d’essayer au moins de brisé définitivement la Meute Divine dont certains visiblement finissaient par abandonner la cause.

Plusieurs d’entre nous avaient été sonnés par les combats, j’essuyais un peu le sang à mes lèvres en laissant la cartouche Aurore tirée par Livio faire son effet pour me rendre un peu d’énergie en attrapant sa main pour me redresser. Tous avaient été blessés à des intensités différentes car Sorn avait de son côté beaucoup de mal à s’en remettre. Gladys essayait tout ce qu’elle pouvait pour le réveillé un peu, et j’essayais de ne pas imaginer son cri quand je vis celle ci lui lancé du concentré de Pili-pili dans la figure. Heureusement il était encore tellement dans les choux qu’il eu à peine remarqué cette dernière dans sa face avant de se remettre doucement pour commencer à nous préparer au voyage en contemplant devant nous l’étendue de nuage qui allait de plus en plus loin. Au moins, on pouvait constaté que parfois nous n’étions pas seulement menacés par les entités environnantes : C’est rare, concevons le, mais possible de ne pas être seulement assaillit par des menaces mortelles en découvrant quelques alliés de temps en temps. Bondissant ensemble sur les nuages, ce fut Finaen qui nous offrit l’opportunité de progresser bien plus facilement en créant une puissance lueur verte des vents infusés nous attrapant et nous propulsant droit en avant, parvenant ainsi à progresser d’une place à une autre sur les nuages en essayant aussi bien de nous donner vélocité et vitesse qu’à rassembler les nuages disparates quand ils furent soumis à une pluie d’éclair. Le cri de Nefereth se fit entendre, refusant clairement de nous laisser l’atteindre elle ou encore la porte menant vers l’Hérésiarque à l’intérieur du passage. Elle décida de tout faire pour nous empêcher de l’atteindre, et ce furent les derniers serviteurs des Loups de Rhaglr qui jaillirent droit vers nous. Ils étaient entourés de nuages jaunes électriques, comme des sortes de drapés autours de leurs corps leur permettant de s’envoler et leur donnant plus de puissance encore.

Les lames de vents jaillirent de Finaen pour en trancher plusieurs au passage, mais ce fut tout de même un passage d’un des adversaires qui le frappa brusquement sur le flanc qui fit choir Finaen vers le vide jusqu’à ce que je ne parvienne à le récupéré en l’air, pour poursuivre avec lui jusqu’au bout de notre route. Tranchant tout nos adversaires qui essayaient de nous arrêtés, passant proche de Livio qui avait fini par bondit en plein sur une espèce d’énorme plateforme de pierre qui était apparue d’un coup : Gladys était partie chercher en urgence le golem immense qui progressa en émettant ce rire lourd en essayant de poursuivre la petite tourelle qui l’amusait tant, et il nous servait ainsi de plateforme stable où Livio repoussait les Loups encore et encore de sa pistolame tout en profitant du couvert de Gladys tirant dans tout les sens en traînant son maître pratiquement inconscient encore qui se reprenait petit à petit. Les flots de tirs passèrent dans les cieux plus d’une fois, mais ce fut pour Greil le plus grand danger quand elle finie par nous ouvrir la route en fonçant droit en avant, sa lame tranchant plusieurs adversaires. Elle bondissait d’un adversaire à un autre, parfois littéralement en marchant sur un de ses ennemis alors que les vents repoussant de Runne les propulsaient plus loin pour essayer de contenir la masse. Runne se concentrant sur ses objectifs serra les dents brusquement pour essayer de protéger le plus de personne possible, son œil émettant une grande lumière en ne cessant de passer d’un objectif à un autre comme si il saturait, parvenant à faire en sorte que Sorn sonné ne s’échappe de ce qui aurait pu le broyer à toute vitesse en le sauvant d’un mauvais coup, mais il ne pu en faire de même avec Greil.

Pendant qu’il manipulait les vents, il se propulsa droit en s’écrasant contre Greil, forçant son esquive tandis que la lance foudroyante transperça le bas-ventre de Runne à un emplacement non létal, sauf si il se vidait de son sang. Encore un coup de lance, hélas, alors que Runne et Greil furent propulsé un peu trop brusquement vers le sol de pierre en s’éloignant des amas de nuage tout en parvenant en premier à la porte. Nous laissons alors derrière nous le chaos et la dévastation dans notre dos au milieu des éclairs et des nuages verts s’estompant doucement. Ce voyage avait été fantastique, mais parfois, j’aimerais peut-être qu’ils ne soient pas potentiellement mortel quand nous devons le traverser tout en fonçant à toute vitesse vers une menace des plus inquiétants. Ceux qui avaient souffert, c’était les Anala encore pure mais les vents balancés par Runne avait au moins pu en repoussé pas mal d’entre eux pour qu’ils ne se sacrifient pas en essayant de nous aider. Ou pire, ne finissent pas serviteur de Nefereth ce qui nous auraient fait bien plus d’ennemi alors au moment d’en découdre face à celle qui nous attendant plus en bas. Plusieurs se précipitèrent pour guérir Runne, je laissais Finaen filer droit vers le miqo’te pour lui offrir des soins pendant que Greil lui tendait une potion de soin et veillait sur lui. C’est quand l’écoulement s’était achevé que nous contemplions la porte scellée. Close, elle formait des mouvements puissants sur les chaînes, le passage vers l’intérieur de la montagne nous était interdit et de toute façons quelques choses de puissants semblait derrière ce passage d’acier des plus chaotiques et trop dangereux pour s’y rendre. Devant l’accès, Nefereth se tenait droit devant nous, elle flottait sur un amas de nuage lui servant comme de robe passant au dessus de ses épaules et lui donnant un air coquet malgré son âge ancien.

Brandissant son sceptre vers nous, avant de le tendre vers une cage tandis qu’un serpent de pierre tournoyait autours d’elle. Plusieurs éclairs brisèrent les liens de la cage, et elle nous expliqua que des gens comme nous ne cesseraient de faire souffrir les innocents et que nombreux finiraient par perdre espoir comme cet enfant devenu un monstre lors de l’Apocalypse. La première victime de toute cette histoire. Un jeune homme affecté par les miasmes du désespoir qu’il avait eu le temps de nourrir depuis la mort de sa mère et de son père. Le fils de Garm était devenu un monstre abominable qu’ils avaient enchaînés dans l’espoir de trouver un soin, ou au moins, d’en venger le destin. Finaen serrant les dents voulu lui foncer dessus immédiatement pour essayer de l’arrêter, mais il fut dévié d’un coup par le Serpent de pierre en rétamant le Crépusculaire plus loin avant d’essayer de le tuer. La pointe qui allait droit vers son visage frappa à côté de lui dans une lueur étrange, mais il avait tout de même était brusquement broyé en restant étalé au sol, haletant par terre, le serpent de pierre se préparant à en finir avec lui.

La créature de l’Apocalypse qui était jadis un enfant innocent fut affrontée par Greil et Sorn. Essayant de détruire ses ailes pour qu’il ne s’envole jamais, tranchant ses dernières de son sabre, Greil reçu brusquement un coup qu’il lui laboura le flanc en tombant sur le côté, jusqu’à ce qu’elle ne s’échappe d’un autre coup de griffe. Dans son dos s’installa Gladys une nouvelle fois, lui permettant de décoller à toute vitesse en échappant à un flot de flamme cherchant à la désintégré, et criblé par les tirs ne cessant de l’atteindre, l’horreur ne pu la poursuivre bien longtemps tandis que Sorn arrivait enfin à se concentré pour tirer dessus encore et encore. L’instant d’après, Greil chargea pour en finir, le Teclis créa une sphère bleuté coupant le flot de feu de retour, qui s’arrêta une fois une foreuse tirée par Sorn après un instant de difficulté à la mettre en place, détruisant une bonne partie de la créature qui fut décapitée et achevée par Greil dès que son flot de feu s’arrêta une brève seconde. Tandis qu’elle tombait en poussière, nous nous chargions de Nefereth avec Livio pour laisser Runne stabilisé le rituel de pierre à la porte. De prime abord, on ne peut pas dire que la pierre était très réceptive quand des pointes rocheuses taillèrent les flancs du Miqo’te un peu soudainement avec un petit cri de douleur. Se concentrant le plus possible, il essayait de continuer à rendre le lien entre l’esprit enfermé dans les entrailles de la terre et le corps du Rage-pierre contrôlé par nos ennemis, jusqu’à ce que l’Hérésiarque ne l’arrache de là dans ce combat mental, Runne parvenant au moins à isolé et mettre en sécurité le Rage-pierre mais l’impact qui aurait du le massacré fut arrêté par une protection de Finaen formant plusieurs glyphes rouges.

Derrière Runne, les boucliers de Nefereth avaient été brisés les uns après les autres par Livio en frappant sans cesse dans des chocs puissants avec sa pistolame en serrant les dents pour détruire toutes ses protections. Dès qu’elles cédèrent, elle frappa avec un flux d’énergie en plein contre le pistosabreur pour le faire reculé soudainement en un flot de pouvoir le cognant sans cesse en me laissant en profiter pour lui porter un premier coup lui laissant une terrible blessure. A l’agonie, elle brisa la balance aux Cent éclairs dont les amas foudroyants frappèrent sans cesse dans les environs en émettant un cri de douleur terrible, son bras transformé en amas de foudre des plus puissants autant que ses cheveux et ses yeux en furent renforcés par la foudre. Nous luttions l’une contre l’autre, les coups pleuvant sans cesse pour la retenir jusqu’à ce que Livio n’ait achevé son passage. Usant du pouvoir de Maladriel, une grande lumière blanche jaillit et d’innombrables pointes de cristal s’incarnèrent autours de notre cible. Elle eu un temps de contemplation devant l’effroi et la beauté d’une telle attaque avant d’être transpercés sans cesse par les flots de pointes jusqu’à ce que la foudre l’incarnant ne la fasse disparaître comme si elle avait été désintégré en quelques derniers cris de souffrances au milieu de la confusion de cet assaut. Débarrassé de nos adversaires, Finaen avait dévasté dans un puissant rayonnement vermeille le serpent de roche ayant voulu l’achevé, partant en poussière en un flot de pouvoir brisant le mur aussi à côté de lui alors qu’il était particulièrement perturbé.

Quelque chose de très mauvais s’était passé dans son esprit, il avait vécu de bien lourdes épreuves que je ne pouvais qu’imaginer pour notre pauvre camarade alors qu’il céda à la fin de se combat. Des larmes coulèrent, les épreuves de cette fin du monde étant particulièrement cruelle pour nos compagnons. Mais tandis que chacun prenaient enfin un peu de repos, l’écho des cent éclairs s’estompant enfin lentement de nos esprits, on ne pouvait alors que contempler la porte scellée. Bientôt, nous en briserons les sceaux, il faudrait un peu de temps. Mais dès que ce sera fait, nous n’aurons plus qu’à entrer dans les profondeurs de la montagne. Afin d’en finir avec l’Hérésiarque tout en libérant avant cela, le corps du Rage-pierre. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-sixième Entrée - « Acte 7 – Fragment d’Apocalypse.»

« Après un peu d’attente, nous en profitions pour nous préparer mentalement et physiquement aux affrontements qui nous attendaient. Quelques exercices eurent de la peine à diminuer ce désirs d’arrêter l’Hérésiarque définitivement, mais les patrouilles dans les hauteurs rocheuses Gyr Abanienne était déjà une bonne solution pour être utile. Les créatures nées du désespoir de Stanhold paraissaient parfois plus nombreuses, trop nombreuses, et il fallait tout faire pour qu’elles ne se déversent pas droit vers Porta Praetoria. Ce rôle donnait l’impression de faire quelque chose, et m’allait à ravir, même si je craignais à chaque réveil que le monde n’ait un rouge inquiétant se déversant dans les cieux et se préparant à venir prendre nos vies. De fait, ce ne fut pas le cas, et c’est d’autant mieux. Alors je suppose que nous pouvons nous féliciter de pouvoir avancer vers notre adversaire inquiétant qui était jadis un membre de la famille à Runne. D’adoption, surtout. De fait, c’est face à l’accès scellé devant la montagne que nous nous sommes retrouvés avec une grande partie de l’équipe. Cette fois, c’est à bon nombre que nous sommes parti nous opposés directement au corps incarné du Rage-pierre, cœur de cette mission, mais pas sa finalité. Ils ont fini par s’ouvrir sous nos yeux, et nous étions alors préparés avec la majorité des compagnons présents. Seul Finaen aurait un peu de temps avant de nous rejoindre, se perdant dans les dédales en luttant contre quelques horreurs en essayant de nous atteindre le plus vite possible. Mais de fait, nous étions tout de même avec Emile, Greil et moi pour tenir la ligne d’assaut de nos sabres en coupant tout ceux qui voudraient s’opposer à nous. Tout en ayant Sorn prompt à user de tout ses gadgets pour nous aider en y ajoutant les capacités et pouvoirs d’Aerlin, Runne et Lucian en cas de besoin de tout ce qui pourrait nous assaillir avec beaucoup de compétences bien différentes à eux trois.

Nous installant devant la grand porte après avoir fini de converser avant la mission se mettant juste devant les sceaux qui finirent par s’ouvrir dans des lueurs d’ambres. Se brisant les uns après les autres, tous furent émerveillés quelques instants par les arabesques qui s’incarnèrent sur la porte de prime abord, jusqu’à ce qu’elles ne s’étendent partout en formant des symboles sans cesse autours du passage pour créer une sorte d’illustration incroyable reluisant de cet ambre magnifique. Une musique s’en extirpait, un chant religieux, qui en inspirait plus d’un devant la beauté de ce dernier. Soulevant la poussière, la porte fini par s’ouvrir dans un grand bruit de roche de plus en plus en s’élevant, et l’onde de lumière d’ambre jaillit en se mêlant à la sphère de feu de Lucian et à la lumière du catalyseur de Runne pour y voir quelque chose. D’innombrables points rouges se tenaient un peu partout, et comme dans un récit d’horreur, la lumière fit apparaître les atrocités monstrueuses de l’Apocalypse qui nous guettaient de toutes parts. Toutes nous jaillirent dessus en rugissant, l’une finie juste devant le visage d’Aerlin en lui hurlant dessus avec une forte envie de le tailler en pièce. A la place, il reçu des nombreuses pierres l’écrasant au sol dans un choc puissant provenant du plafond après avoir fait choir une partie de ce dernier sur nos adversaires pour essayer de nous en débarrassé le plus possible. Emile fusa à toute vitesse dans une grande lueur provenant des ailes de feu, tranchant plusieurs adversaires tandis que nous progressions avec Greil.

Coupant en morceaux toutes créatures au passage, Sorn parvenait à illuminé les environs dans une grande lueur sortant des yeux de Gladys ce qui semblait la faire beaucoup rire, jusqu’à ce qu’un tas d’obsidienne n’attrape ses bras et ses jambes. S’élevant très légèrement en l’air, il faillit être poignardé par un dard afin de l’abattre jusqu’à ce Greil ne tranche en milles morceaux l’adversaire ainsi que le dard. Massacrant le presque-assassin de Sorn qui se libéra rapidement par la suite avant de poursuivre, nous pouvions donc aisément progresser à la lueur du feu et des catalyseurs en parvenant d’une cavité rocheuse à une autre en espérant atteindre l’emplacement d’où provenait les écho du Rage-pierre faisant trembler tout les environs. Emile faillit choir des cieux quand une créature aspira ses ailes de feu, mais fut rattrapée par un arbre aux innombrables feuillages afin de la faire revenir à nos côtés avant qu’elle ne sombre dans les tréfonds qui les attends juste en dessous d’elle. Se faisant attraper l’instant d’après, Lucian trancha la mandibule qui vint l’attraper pour le libéré tandis que Sorn l’attira brusquement vers lui afin de le rattraper, s’écrasant un peu durement au sol dans les bras d’Aerlin l’un contre l’autre. Mettant cette histoire de côté pour mes fausses romances dans mes écrits cachés, nous atteignions enfin les territoires où des nombreuses gravures apparurent un peu partout sur les murs. Runne nous laissant nos ennemis, il à pu prendre le temps de lire et de comprendre enfin où nous étions : Loin des territoires habituels où il restait des vieilles traces depuis le massacre de Theodoric, nous étions à la place dans une sorte d’ancienne demeure, mais plutôt dans un complexe antique.

Le vieux peuple qui avait du vivre ici, d’un temps plus reculé alors, avaient visiblement invoqué le Rage-pierre pour protéger les montagnes de tout envahisseurs et avaient fini par périr sûrement par l’éther que cela nécessitait de le laissé incarné. N’ayant plus rien pour lui offrir des forces, il était une menace au tréfonds de la terre qui existait au détriment de l’éther : Un primordial disparut, et qui disparaîtrait tôt ou tard si un Hérésiarque n’avait pas décidé de s’en servir pour utiliser l’éther tellurique de la montagne à sa place. Aussi quand il fini ce constat, tous se retournaient, certains avec effroi, en voyant que le passage était en train de s’écrouler dans notre dos. Fonçant à toute vitesse pour nous échapper hors d’ici, Lucian jaillit dans une téléportation pour détruire plusieurs espèces de simulacre de squelette fait de pierres censés incarnés faussement l’ancien peuple. Et c’est là qu’une ombre jaillit, un de ses fragments d’âmes vu à Thavnair, hurlant sur Lucian en essayant de le tuer – Ce qu’il aurait fait, si Greil n’était pas apparue en un éclair tranchant en milles morceaux la silhouette. Elle survécus, s’enfuyant en hurlant, et le plafond qui allait s’écrouler dessus fut retenu par Emile et Runne : L’un maîtrisait des amas de roche comme des grands murs et elle créait de la glace pour arrêter l’écroulement. Utilisant ce dernier habilement, Aerlin fuyait le plus vite possible en laissant des parois rocheuses s’écraser sur nos adversaires, passant à côté de Sorn qui envoyait des sortes de grenades éclatantes en faisant apparaître des tourelles mordeuses : Des petites sphères avec des grandes dents, qui dévoraient tout ceux sur leurs passages pour n’en laisser simplement rien.

L’un poursuivit même Sorn après avoir dévoré son adversaire, mais rapidement, tous se réunissaient en avant en tranchant nos derniers ennemis avec Emile et Greil jusqu’à atteindre une grande salle tandis qu’enfin les écroulements s’arrêtaient derrière nos en achevant le flot de dévastation. Nous n’avions pas eu beaucoup de temps pour contempler la splendeur des environs lors du passage, l’ensemble éclairé par une lueur mauve due à Lucian qui éclairait les environs en lui donnant un aspect inquiétant, mais c’était surtout tout les reflets et les histoires gravés qui étaient intrigantes. Même sans effet tellurique, des pierres flottaient encore ici et là et des impressions rocheuses se faisaient sentir là où devait se trouver l’ultime foyer du Rage-pierre. Ce dernier avait encore sa psyché coincée au fond de la terre, mais son corps allait rendre fou les environs. Et dans l’instant, nous étions sur le point de découvrir ce qui avait été amené ici pour protéger de Stahnold. Peut-être même avant que les Loups de Rhaglr ne soient formés par ce dernier. Un plan menant à jouer de son désespoir pour amener l’Apocalypse en Gyr Abania le plus rapidement possible.

La salle était un vestige d’un domaine qui avait du servir à une puissance tellurique incroyable et religieuse. La trace de l’énergie qui avait jadis du faire naître le Rage-pierre, si faible par rapport à toute entier invoqué comme les Primordiaux soit-il, cela laissa un impact partout autours de nous ayant littéralement cristallisé l’ensemble donnant l’impression que la pierre était opaque, avec une grande force tellurique donnant l’impression d’être dans un espace d’ambre incroyable. A chaque fois que nous posions un pas dessus, cela provoquait des bruits de cristaux et nos empreintes apparaissaient en une grande source de lumière au sol. Tout résonnait dans un écho délicat, et si il n’y avait pas autant de problèmes autours de nous, cela aurait été un espace simplement ravissant et paisible pour y trouver un peu de repos. A la place, des fissures jaillirent un peu partout en illuminant les environs, donnant un effet de brillante et mettant tragiquement en valeur l’artefact devant nous. Une sorte d’amas de pierre antique canalisant les émotions locales en cherchant à créer une débordante source de désespoir s’incarnant en d’innombrables sortes de flammes noires et blanches tournoyantes sans cesse en cercle à toute vitesse en formant des intenses pressions dans l’air à mesure où ça s’engageait. Aerlin avançait lentement dans cette direction, mais il fallait s’occuper de ceux qui avaient apporter ça et des conséquences : Plus loin, une brèche avait fait apparaître de nombreuses chants d’esprits scellés et endormi depuis fort longtemps à l’intérieur de ses salles.

Ils avaient fini par les arracher à ce sommeil quand la présence d’un étrange mage monstrueux aux corps ayant des pattes d’araignées, protéger par quelques gardiens d’ossements de pierres. Ils s’occupaient de la brèche, sous le regard d’un fragment d’âme, celui pratiquement détruit par Greil pour protéger Lucian. Et c’est lui que Lucian et Greil chargèrent justement pendant que je m’occupais de sécurisé Runne qui allait refermer la brèche. Emile et Sorn eux, allaient arrêter les flots de créatures aux airs insectoïdes qui arrivaient de deux passages : L’une attaquait les flots d’insectes de pierres tombant d’un trou vers l’extérieur, et Sorn se retournait contre un énorme scarabée de l’Apocalypse qui voulait lui envoyer un souffle enflammé à la figure. Il n’allait pas se laisser faire si aisément, et envoyant plusieurs de ses grenades mordeuses cherchant à le dévoré petit à petit. Il fini par attraper Gladys pour l’orienté droit vers le scarabée de l’Apocalypse en émettant un tir de barrage titanesque pour essayer de l’arrêter. Quelques pattes furent détruite dans le procédé, mais ça n’était pas suffisant, et il recula rapidement pour ne pas être prit dans un souffle de flamme risquant de le faire fondre sur place. Dès que l’entité énorme que Gladys voulait garder pour elle en pleurnichant, était suffisamment proche, un explosif fut envoyé provoquant une grande détonation bleuté brillante détruisant la tête et une bonne partie du buste de l’adversaire. Il était fini, et Emile avait pu elle aussi contenir la vague de créature de prime abord en provoquant bien des explosions d’argents dans le trou tout en tranchant celles qui arrivaient.

Le combat lui était aisé, et même la sorte d’humanoïde de pierre à la forme vaguement insectoïde ne fit pas le poids quand les lances de glaces se plantèrent partout dans son corps, jusqu’à ce qu’un coup ne l’achève en même temps qu’une pointe de pierre provenant d’Aerlin. Il avait pu essayer d’aider Emile, mais son œuvre était des plus compliqués et avait bien faillit le faire tuer. Dans des lueurs d’or, sa tentative était avant tout de purifier avec des meilleurs pensées, ce qui au début semblait marcher de plus en plus. Il s’éleva doucement en l’air, prit dans tout le flot de pouvoir s’imposant à lui comme une marque inquiétante, avant d’essayer de transformer la peine en espoir. Le Rage-pierre n’allait pas l’entendre de cette façons, et je fis de mon mieux pour le sauver lui, sans parvenir à lui arracher l’artefact. De fait, à l’arrière, les combats s’étaient relativement bien passé : Greil et Lucian avaient fini par venir à bout de leur adversaire, quand Lucian apparut en l’enchaînant pour ponctionner toute son énergie pendant que Greil se déchaînait dessus. Son sabre ne cessait sans cesse de le fendre, mais il résistait là où il était le plus incarné à l’intérieur de son corps. Brisant les chaînes dans un cri, plusieurs parades furent effectives jusqu’à ce qu’un coup ne blesse Lucian quand il tournoya, laissant une blessure tout le long de son épaule et de son torse. Le temps que la potion fasse effet et qu’il se concentre, Greil et le Fragment d’âme envoyé ici et avec l’artefact n’eurent de cesse de se frapper de leurs lames en des bruits cinglants.

Elle le blessait plus d’une fois, et en retour, elle reçu quelques blessures saignantes à mesure où ils partageaient des frappes à toute vitesse. Ce qui se conclu quand en plantant sa lame, Greil tourna son adversaire droit vers Lucian qui pu faire exploser leur adversaire dans une grande déflagration formant un souffle important en ne laissant, l’instant d’après, plus que des poussières et un souvenir de notre ennemi. Ne laissant de fait, plus que le soin à Runne et moi de nous débarrassé de nos adversaires. Il avait pu au moins contenir ce qui était en train de transformer en horreur de désespoir tout les esprits les uns après les autres. Filant en vitesse droit vers l’artefact, le flux fut coupé quand il purifia de plus en plus la conscience des esprits et leur offrit un peu d’espoir en se préparant à refermer la faille. Un sort que je ne pu arrêter écrasa Runne contre une pierre, et je ne pu intervenir qu’après sa première blessure. Tranchant un des gardes du magicien aux pattes d’araignées, j’étais en plein combat contre ses gardes en frappant sans cesse mes adversaires dans des bruits puissants d’éclairs et des impacts. Dans mon dos, Runne finissait de refermer dans un grand carcan de roche la faille en laissant cette dernière entièrement close après un temps de difficulté provoquant des grands bruits de pierre s’accumulant de plus en plus en des chocs rocheux. Après quelques instants, l’ensemble fut bloqué, une pointe d’araignée du mage étrange frappa le flanc de Runne que je ne pu dévié suffisamment pour le protéger, bien qu’il fut puni immédiatement en étant tranché en plusieurs morceaux par quelques coups de sabres net en fendant un peu du sol et de la pierre à côté.

Abandonnant le cadavre s’effondrant en pièce, je pu bondir droit dans un éclair vers Aerlin en tranchant l’énorme main du Rage-pierre, du moins les doigts qui le tenait, pour secourir Aerlin en le récupérant avant de le laisser atteindre le sol. Il avait été assaillit par la main énorme voulant récupéré son artefact, repartant avec dans un mouvement puissant faisant trembler les environs. C’était des plus inquiétants sous l’effet que cet artefact pouvait avoir, et il avait du être ordonné par l’Hérésiarque pour agir ainsi. Au moins, le responsable de l’artefact avait été détruit par Lucian et Greil, tout en ayant l’accès sécurisé par Emile : Ce dernier était face à nous, une lumière tombant en se reflétant partout sur l’espace de cristal en donnant un effet magnifique. Dehors, le crépuscule devait s’achever lentement, et nous devions désormais nous préparer à l’ascension pour remonter vers le haut. Ironiquement, finalement, ce n’est pas dans les profondeurs de la terre que nous affronterions le corps corrompu du Rage-pierre. Mais ce pantin allait être affronter dans les hauteurs perdu, sous la clarté du soleil.

Quelques soins furent de rigueur, mais il fallait partir en vitesse. Au fond, nous étions tous pratiquement indemne et les quelques blessures n’étaient pas encore trop grave. Contemplant l’accès, dans l’instant, il allait être plutôt difficile pour ceux n’ayant pas forcement de capacité pour grimper aisément vers les hauteurs. Mais je vis même Aerlin essayer de grimper avec ses bras plutôt qu’avec sa magie. Ah, l’entraînement porte ses fruits et si ça peut lui permettre de renforcer suffisamment son corps pour essayer de mitigé le poids mental de son esprit risquant de beaucoup subir avec tout les sorts encore à envoyé, c’était vraiment une bonne chose. Progressant ainsi de façons irrégulière, ce qui n’était qu’une escalade très périlleuse devint un instant plus tard un moment fantastique : Les esprits qui avaient du être isolés et endormi décidèrent de sortir brusquement d’eux même cette fois. Partout, des lumières d’ambres jaillirent dans des sonorités chantantes incroyables en tournoyant autours de nous. S’écrasant contre les murs, les parois, tout ce qui nous entourait en passant autours de nous dans un moment particulièrement pure et agréable. A chaque fois qu’ils se cognaient contre des parois, des ondes de lumière jaillirent en formant des petites ondes d’énergies quand elles infusaient ainsi la pierre avant de créer par leurs présences des structures. Des escaliers, des hauteurs plates, de nombreuses formations de pierre taillés donnant l’impression de voir naître un temple autours de nous dans un grondement puissant qui essayait de nous faire un véritable accès simplifier. C’était grandiose, et j’ai même pris quelques instants pour regarder autours de nous afin de contempler la beauté de toutes ses énergies se mêlant aux naissances de structures récentes aux coutumes anciennes. Mais un des escaliers vint recevoir une grande porte d’Obsidienne en plein dedans, explosant alors en milles morceaux dans l’impact jusqu’à contempler au dessus de nos têtes, les nombreuses pointes noires qui jaillirent un peu partout pour essayer de tout détruire. Bien entendu, elles ne furent pas le seul.

Ce pouvoir néfaste avait attiré toutes entités qui traînaient autours du corps du Rage-pierre comme autant de charognard, et alors que l’obscurité magique essayait de prendre le pas sur les environs en s’écrasant autours de nous de plus en plus donnant l’impression d’être noyés dans les ténèbres. Des lueurs rouges jaillirent partout provenant des créatures de l’Apocalypse apparaissant de tout les côtés. J’essayais de foncer en avant, foudroyant et tranchant plusieurs adversaires afin d’ouvrir le passage. Mais à peine quelques uns déjà taillés en pièce, que plusieurs me bondirent dessus en tentant de me dévoré vivante. Nous écrasant ensemble contre un des murs, un éclair frappant ma lame en dévastant ceux qui étaient autours de moi, l’onde de choc et l’impact m’avait quand même sonnée jusqu’à me faire choir dans le vide. Du monde, cela aurait été le cas, si je ne m’étais pas simplement casser la figure sur un pont de glace créer par Emile : Celle ci, usant des ailes de feu, formait des amas de glaces là où il n’y avait plus d’escalier et autres passages quand ils furent détruite par les pointes maudites. Plusieurs vinrent alors s’en charger, détruisant sur des barrières d’énergies ou envoyant plusieurs pierres dessus pour les écartés de là en laissant principalement à Greil et Sorn de foncer en avant pour essayer de nous débarrasser de tout problèmes. Aerlin au moins avait pu épargner Emile le péril de perdre un bras quand il propulsa une pierre droit contre la pointe d’obsidienne qui lui tombait dessus dans un grand impact aérien formant une petite onde de choc.

Passant d’une pierre à une autre, il l’aidait à couvrir notre avancée et à créer des amas de pierre supplémentaire pour nous offrir un accès, chacun de nos bonds bien plus aisé quand les vents puissants provenant de Runne nous portaient littéralement vers les hauteurs. Tout en repoussant plusieurs des créatures de l’Apocalypse, et là où il les gênaient seulement, Finaen intervint subitement en arrivant à toute vitesse en se servant des noulithes comme ailes. Les deux anges de l’Aube Obscure étaient côtes à côtes, Emile et Finaen tournoyant dans un instant ensemble alors que le crépusculaire transformait le vent de Runne en lame impitoyable pour taillés en pièce nos opposants. Une créature faillit le faire regretté son arrivée – enfin, une dizaine de créature même, bondissant en même temps vers lui. Mais toutes furent bloqués par Lucian dont la lueur d’obscurité les consuma tous dans une lueur inquiétante et sinistre tournoyante autours de ce dernier en dévastant nos adversaires. Il n’en restait rien, et le passage était grand ouvert derrière Greil qui passait d’une plateforme à une autre en les tranchant en morceaux tout en voyant les tirs de Sorn fuser dans tout les sens, accroché à une Gladys qui essayait encore d’attraper des esprits créant les structures en rigolant. La lumière d’or provenant du jour mourant nous frappa d’un coup, tandis que nous sortions de cette caverne antique en rejoignant enfin l’extérieur. C’était un petit choc que d’être d’un coup dehors, j’avais pu profiter de l’expertise d’Aerlin pour m’offrir des soins et le support de quelques camarades en grimpant enfin au dessus du passage rocheux, ma douleur et la fatigue s’estompant doucement dans une paisible lueur quand Aerlin mit sa main sur mon front afin de me purifier de tout mes maux doucement. Ce n’était comme souvent qu’un soin d’usage pour continuer le combat, j’avais dans les faits hâtes de m’effondrer au sol pour m’en remettre, mais le défi était loin d’être achevé : Devant nous, l’artefact pulsait d’une lueur maligne.

L’Hérésiarque avait connecté ses forces dans cet amas de pierre divisés en plusieurs fragments tournoyant de façons chaotique à mesure où il provoquait des flots de désespoir, jusqu’à ce qu’un puissant faisceau ne fuse vers les cieux. Nous étions dans un petit bosquet paisible, les arbres étaient confortable et l’herbe bien verte, mais tout avait l’air petit à petit plus mort, malade, décrépit sous l’effet du faisceau frappant vers le ciel. Même si ce n’était qu’une tâche, leur intention était clair : Faire venir le ciel de feu jusqu’en Gyr Abania, avancé la venue de l’Apocalypse pour qu’elle se déchaîne dés maintenant, en infusant les lieux du cri du désespoir qui pourraient se partager dans tout les habitants locaux. Il fallait arrêter l’artefact, ce fragment de l’Apocalypse, mais jaillit du sol brutalement le corps manipulé du Rage-pierre en formant un adversaire monstrueux à vaincre pour arrêter le procédé de l’Hérésiarque. Son visage aux quatre yeux ressemblait à une salamandre géante sans nez, son côté immense gauche était encore pure en générant de l’éther et des forces telluriques, mais le côté droit était affligé par la maîtrise de l’Hérésiarque de ce corps pour le manipuler à sa guise lui et l’éther qu’il ne pouvait maîtrisé sans. Fonçant tous ensemble à toutes vitesses, Runne vint combattre l’artefact pour arrêter le procédé le plus vite possible. S’installant juste devant, il éleva les bras en formant une grande lumière hors de ses paumes en formant des petites lumières tournoyantes autours de ses bras en cherchant à créer un cocon entre l’artefact et son usage.

Mais il du alors affronter la volonté de l’être qui était derrière tout ça, l’ancien Stanhold, dont les ondes de chocs frappèrent Runne en le rétamant lourdement par terre. Se relevant difficilement, il revint à l’assaut pour essayer d’arrêter tout ce qui se produisait de mauvais en serrant les dents, jusqu’à ce qu’en voulant inversé l’effet dans une diffusion de calme, de tranquillité, une faille jaillit en laissant voir la figure et une griffe de l’hérésiarque monstrueuse en tendant de massacrer Runne. Il allait se faire tailler en pièce, échoué si proche du but, condamner peut-être une partie des ciels à ce rouge funeste dont quelques flammèches tombaient déjà des cieux. Mais Finaen libéra le combat contre le visage du Rage-pierre pour venir à son aide, s’installant auprès de lui, formant des nombreuses lumières provenant de ses Noulithes ainsi qu’un renfort puissant du procédé en puisant dans un souvenir récent laissé par Atlas. Aerlin aussi fit naître un amas de bois blanc tournoyant autours de Runne, le protégeant d’un assaut qui allait essayer de le tailler en pièce en formant une protection autours de ce dernier, arrêtant la griffe juste avant son visage. Ainsi, ils purent arrêtés l’Artefact, se brisant brusquement en s’effondrant au sol dans un choc puissant, jusqu’à ce que le faisceau ne s’illumine d’or un instant en frappant les cieux. Peu de temps plus tard, le ciel avait perdu cette tâche, ce fragment d’Apocalypse, et nous étions alors sur le point d’en finir avec le Rage-pierre. Son côté pure avait été brisé difficilement par Aerlin et Lucian.

De prime abord, les chaînes et les pointes de cristaux mauves de Lucian avait grandement affaiblit toutes la partie pure tandis que la vague d’eau important d’Aerlin s’écrasa dessus en sapant son pouvoir tellurique, ce qui n’empêcha pas un grand amas de cristaux de jaillir subitement en l’air. Lucian fut écrasé contre un arbre, Aerlin attaché à l’amas de cristaux, et il envoya encore et encore des énergies s’écraser contre la pointe de cristaux tellurique pendant que Lucian fit naître une lune de gravité au dessus faisant trembler la structure encore et encore. Jusqu’à ce que malgré la douleur, elle ne soit totalement brisée par la gravité, détruisant la partie pure. Celle condamnée par l’Hérésiarque reçu un flot de dévastation de la part de Sorn et Emile. Les flammes chutèrent des cieux, Sorn renforçant dans une pluie de feu toutes les explosions qu’Emile provoquait en fusant dans tout les sens, esquivant d’un cheveux des pointes d’obsidienne qui l’auraient massacré en cas de touche. Jouer avec la mort, c’était là dans ce balais aérien explosif qui avait dévasté les environs. Bien décidé à en finir, Sorn utilisa le Teclis dans sa plus grande puissance, formant une sorte de tourelle filant dans les airs de plus en plus vite. Pendant un instant, il ne se passa rien, mais quand Emile trancha au sol en formant une faille de plus en plus important reluisante d’une grande lumière blanche, un tir provenant des cieux jaillit en suivant la faille tranchée dans une déflagration de plus en plus important, jusqu’à ce que le côté contaminé dans une grande explosion envoyant des morceaux valser dans tout les sens. Il ne restait que le visage du Rage-pierre. Notre premier assaut avait compté sur Finaen, dont les lames aqueuses avait pu frapper plusieurs fois le visage énorme là où Greil tranchait sans cesse de son sabre, esquivant les griffes de notre adversaire tout en me laissant fendre de l’autre côté. Un faisceau de pouvoir jaillit, Greil et moi l’esquivant tout en voyant Finaen recevoir l’impact en retombant lourdement au sol.

Si il fonça aider Runne, nous nous préparions à trancher une dernière fois en fusant à toute vitesse. Elle dans les cieux, moi depuis le sol, passant brusquement derrière le Rage-pierre fendu en morceaux dans un impact puissant soulevant un petit amas de poussière tandis qu’il chutait en décombre au sol. C’était terminé, le Rage-pierre avait délivré son dernier écho, en même temps que ce fragment brisé d’Apocalypse ne ferait plus de mal. Il nous restait à confronté l’Hérésiarque pour en finir définitivement, mais au moins pouvions nous profiter de ce temps de répit pour prendre un peu de repos. Tandis que certains s’effondraient, se soignaient ,se reposaient. Le destin final du Rage-pierre lors ce qu’une petite salamandre de pierre fut attrapé par Finaen, avait été de se faire détruire par Finaen définitivement. Il puiserait dans l’éther environnant, un danger inacceptable que même un être aussi faible partageait avec les Primordiaux. Aussi triste soit cette conclusion, elle était inévitable. Au moins, ceux l’ayant jadis invoqué pourraient peut-être enfin reposé en paix. Quant à nous, malheureusement, il nous reste encore bien à faire avant de réellement tirer une conclusion sur cette longue et sinistre histoire. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"L’écho du Rage-pierre."

Deux-cent-soixante-septième Entrée - « Acte 8 – Les regrets de Stanhold.»

« Observer le passage nous menant vers l’intérieur de la montagne avait quelque chose d’aussi captivant qu’effroyable. C’était comme regarder un trou béant vers une abîme profonde qui nous engloutirait indubitablement, mais sans le pouvoir du Rage-pierre, nous pouvions au moins être rassuré à l’idée que les forces telluriques ne seraient plus de mise. Nous n’aurions pas d’alliés pour nous débarrassé de l’Hérésiarque Stanhold, mais cela était mieux pour l’éther environnant et presque un devoir pour Finaen. Des gémissements et autres râles se firent entendre, et parfois, celle qui devait être la transformation d’une personne en créature après qu’elle se soit égaré dans les environs. Quelques fous parvenaient encore dans les environs, ils étaient rares, mais c’est souvent ainsi lorsque des soucis dangereux se déroulent : Soit des aventuriers viennent réglés les problèmes ou récupérés ce qu’ils peuvent, les plus jeunes finissant souvent mal malheureusement. Soit des curieux, des pilleurs, ce genre de personnalités inquiétantes. Plus cela durerait, plus les forces de l’Apocalypse seront nombreuses et tandis que notre équipe se réunissait de plus en plus nombreuse autours du gouffre, il était temps de faire en sorte que ça s’arrête le plus vite possible pour qu’il n’y ait pas de victimes supplémentaires. Notre groupe allait être simplement constitués de nos éléments habituels. Livio pour tenir de front toutes menaces risquant de nous assaillir avec sa pistolame, tout en ayant les expertises magiques de Runne et Finaen. A cela, le support de Sorn assurerait des chocs puissants et efficaces tout en nous permettant de trancher en morceaux les adversaires sur notre route avec Greil.

Face à nous, se tenait le point d’obscurité infâme où l’hérésiarque se trouvait, et il fut temps après quelques conversations de nous y mettre, afin de mettre un point final à l’engeance de cette partie de Gyr Abania, et de nous permettre d’agir dans un lieu tout aussi important : Le ciel rouge aurait atteins malheureusement Garlemald. Nous avions donc tout naturellement notre prochaine destination. Mais pour l’instant, il était temps de bondir à l’intérieur et de découvrir à quel point le combat contre l’Hérésiarque allait être périlleux et douloureux. Tombant rapidement à travers l’espace, nous utilisions plusieurs moyens pour que le passage soit confortable, que ça soit les moyens de vols ou de planter de certains, comme les grappins pour d’autres. Au moins cette fois, nous pouvions observer les environs et sa délicatesse incroyable d’un regard nouveau sans avoir vraiment le besoin d’être oppressé ou en plein combat. Les étendus reluisants d’ambre étaient des plus agréable à observer, nous laissant contempler la beauté des formes et des structures, avant de reprendre pied pour une longue marche à travers le réseau de tunnel droit en direction du plus profond de cet endroit perdu. Notre objectif était cette maudite créature, et du peu que nous en savions, elle se terrait là où elle pouvait continuer d’y trouver un renforcement à son désespoir pour grandir et acquérir de plus en plus de force. Il y eu tout de même un aspect agréable à contempler les environs, Gladys jouait avec ce qu’elle pouvait, montrant ses chapeaux à Greil à chaque fois tandis que nous progressions derrière Livio.

Finaen eu même un bref instant pour récupéré des pierres précieuses locales afin de s’en servir pour son artisanat. Dans l’instant, ce n’était que la visite d’un territoire perdu éclairé par les énergies orangées paisibles, et ce, jusqu’à devenir des intrus pour celle qui ne voulait pas de nous. La porte dans notre dos fut fermée brusquement, et un froid spectral gagna l’espace en même temps que les sentiments d’une main invisible se glissant sur nous. Immédiatement, Runne convoqua des sortes de sphères de feu pour faire diminuer la pression du froid intense tandis que Greil et Livio chargèrent. Il était sous sa forme de Coeurl ailé, grâce au totem, et les deux comme un éclair purent atteindre à toute vitesse le passage de la porte avant qu’elle ne soit glace. Se prenant le lance-flamme de Sorn concentré avec le feu puissant de Finaen, la porte explosa dans leur dos, leur laissant au moins l’avantage de contrer les embuscades des créatures de l’Apocalypse monstrueuse jaillissant de toutes parts.

Des choses infâmes qui se déversaient de tout les côtés, sortaient des couloirs, du plafond, sans cesse alors que nous progressions en arrière sous couvert de quelques déflagrations, une griffe spectrale frappa Runne pendant qu’il maîtrisait le feu pour le renforcer afin de permettre à Sorn de noyé toutes impressions de feu dans la fureur enflammée. S’enfuyant aussi tôt, pas de trace d’elle, mais Finaen fini par dévié le feu qui brisait le froid en une formidable vague enflammée consumant plusieurs créatures jusqu’à ce que la sphère ardente ne frappe une grande créature qui piétinait mon Livio et avait blessé Greil. Je fusais juste après les flammes en la tranchant en morceaux, continuant le mouvement en découpant plusieurs de ses absurdes êtres avant que tous ne se précipites vers une sorte d’arche où nous contemplions la vision surprenante d’une étendue incroyable. D’une hauteur, nous pouvions voir de vieilles structures de l’ancien peuple ayant jadis invoqué le Rage-pierre pour s’installer et les aidés à bâtir ceci. Une forteresse miniature sous la montagne illuminés par d’innombrables reflets des sphères de Désespoir incarnant le pouvoir de Stahnold.

C’était splendide, des chaînes parcouraient les environs et permettaient à des grandes pierres de tenir dans les cieux, et c’est au sommet de ce décors fantastique que nous nous sommes mit en route. Hélas, plusieurs traits jaillirent brusquement en se fracassant brusquement dans les environs. Les chocs monstrueux avaient quelques déflagrations bleutés avant de voir les responsables : Les âmes des membres de la Meute divine que nous avions vaincu, amenés de nouveau à servir par celle qui s’était présenté comme la femme de Garm n’a qu’un œil : La dernière Slayer à être devenue une âme infâme, la fille de Nefereth. Celle ci provoqua alors le chaos, plusieurs chaînes furent détruite mais rapidement remplacé par des amas de roches créer par Runne afin de bloquer le passage. Proche de là, Sorn tirait sans cesse sur plusieurs des adversaires, dévastant les esprits quand ils n’étaient pas purifiés par Finaen les renvoyant vers la mer des étoiles en déviant par un vent puissant les différents traits. Greil était seule au combat, nous avions été balayés par les tirs et les créatures de l’Apocalypse avec Livio, moi en m’écrasant sur une plateforme plus bas et Livio chutant de haut avec plusieurs créatures dessus. Nous luttions malgré tout, retrouvant les hauteurs difficilement en les taillant en pièce jusqu’à retrouver une Greil légèrement blessée, mais tenant l’ouverture jusqu’à ce que tous nous parvienne : Runne et Sorn s’étaient précipité pour sauver Finaen.

Une nouvelle fois, l’intervention de Selm avait du essayer de lui faire du mal, mais cette fois, on avait pu le voir, et il en fut des plus surpris quand Runne et Sorn arrêtèrent la flèche qui devait transpercer Finaen avant que Sorn ne lui renvoie brusquement la pointe de lumière, laissant disparaître l’image miroir de Selm. Il ne cesse de regarder Finaen, peut-être pour trouver la faille afin de le transformer en créature de l’Apocalypse peut-être ? Au moins purent-ils nous retrouver, tous en piteuse état car Runne et Sorn avaient reçue une des sphères maudites en pleine pouvoir dans une grande explosion inquiétante. C’est en bien mauvais état que nous avions pu finir le chemin sur ce lieu magnifique, progressant sur les chaînes et les hauteurs avec quelques horreurs arrivant encore, que nous taillions en pièce aisément jusqu’à ce que nous arrivions finalement dans l’anti-chambre de l’Hérésiarque. Et avant de le rencontrer, il nous fallait nous confronté à celle qui pensait encore que Stahnold était un maître, voir un membre de la « famille » : Arnora Slayer, la fille réincarnée en fantôme affreux de Nefereth, qui lui confierait tout jusqu’à la mort.

Les étendues environnantes était vraiment très inquiétante. C’est comme si sur le plafond, dansaient les flammes du ciel de feu de l’Apocalypse tournoyantes au dessus de nos têtes en formant des spirales de feu. Quoi qu’ils pouvaient produire ici, cet effet me faisait pensé avec inquiétude à la tentative de l’Artefact, aussi sans ça le pouvoir s’était coincé ici et lui donnait un aspect peu ragoutant avec les flammèches tombant du plafond. Le passage était condamné, une sorte de sphère de lueur étrange coinçait le passage avec un flot de flammes néfastes de noir et de blanc ondulant en avant. Plusieurs flots de désespoir tournoyaient dans les environs, comme une sorte de nourriture allant droit vers la tanière de notre proie, la Slayer se plaisant à voir une telle entreprise pour essayer de renforcer de plus en plus les forces de son « maître » qui ne la reconnaissait certainement pas ainsi : Les créatures de l’Apocalypse n’ont pas montrés de signe de conscience véritable, agissant par un instinct cruel de provoqué bien des maux. Ce n’était donc qu’une adoration sans retenue d’être qui l’auraient tailler en pièce à la moindre occasion, mais pour l’heure, l’Hérésiarque refrénait le chaos dans une stratégie surprenante pour sortir de là en dévorant toutes choses. Pour l’heure nous avions donc un objectif - Renvoyer chez elle Arnora Slayer pour qu’elle repose en paix, autant que possible tout du moins. Et nous ouvrir grand le passage où se diffusait les énergies malsaines que nous ne pouvions pas spécialement arrêté de prime abord. Sur le plafond, deux créatures monstrueuses rôdaient au dessus de nos têtes en ayant deux apparences ragoûtantes. Si l’une n’était qu’une gueule énorme avec d’innombrables crocs infectes, la seconde était plus mitigée mais portait un œil énorme qui me faisait pensé à ce Tyrannoeil que nous avions affronté en Thavnair.

Si j’avais pu identifier la première comme étant celle qui avait absorber l’éther plusieurs fois des ailes d’Emile, la seconde était encore inconnue et aurait le temps d’agir après le bombardement de puissance provoqué par Finaen et Livio. Prenant sa cérulame, les munitions au céruleum lourd ne cessèrent d’exploser en provoquant des impacts bleutés puissants dans des petites ondes de choc frappant encore et encore sur le plafond, jusqu’à ce que ne s’y joigne un flot d’éclair à la tonalité curieusement bleuté tandis que ce qu’avait provoqué Selm avait mit Finaen comme dans une transe furieuse et des plus inquiétantes. La fumée ne cessait de s’étendre de plus en plus à mesure que l’énergie bleutée éclatait à chaque fois que Livio tirait et que Finaen y ajoutait ses éclairs. Le temps que Finaen ne propulse une salve foudroyante vers le bras d’une créature immense qui voulait m’arracher la tête, cela laissa une brève ouverture pour que leur bondisse dessus celle à l’œil de Tyrannoeil qui essaya de faire naître en eux les pires peur possible dans une lueur étrange provoquant des ondes autours d’eux. S’en détachant immédiatement, un amas d’éclair redevenu d’un mauve puissant jaillit avec un coup provoquant une lame en croix d’énergie fusante, renforcée par les éclairs, en ayant une grande déflagration céruléenne désintégrant fatalement la créature qui tenta bien de projeté un rayonnement d’énergie tel un des faisceaux oculaires que nous avions éprouvés en Thavnair. Si Livio se protégea avec son bouclier, Finaen lui, fut balancé lourdement au sol. Sonné par le choc.

Dans les arrières, les combats cessèrent aussi de notre côté en ayant pu atteindre les énormes et absurdes créatures de l’Apocalypse comme des parodies d’être humains devenue des grossières entités aux membres trop long. Le bras qui m’aurait fait bien du mal fut repoussé d’un côté par les éclairs, et j’en profitais pour trancher plusieurs fois de mon sabre en essayant de protéger Sorn. Ce dernier après avoir lancé plusieurs scies dans tout les sens, avait été frappé par un poing en plein visage qui l’avait envoyé manger ses radis par terre sous l’impact. Il me fallait le protéger le temps qu’il ne s’en remette, tranchant plusieurs fois en position devant lui jusqu’à ce qu’il ne se relève. Un feu surprenant apparaissait à travers ses cheveux, et il déchaîna un tir d’artillerie sans cesse comme si ses munitions étaient elles même enflammés dans des chocs qui n’arrêtaient plus avec une impression de plus en plus folle qu’il ne maîtrisait plus rien. Et c’est après avoir faillit tirer sur Gladys, qu’il lui sourit en s’excusant, avant que le flot de pouvoir qu’il usait ne lui retombe en pleine figure dans une grande explosion. Il avait été sonné par le choc puissant qui m’avait inquiéter énormément, et peu après avoir trancher en morceaux nos derniers adversaires malgré mon état, venant lui offrir un peu de soin avec une des potions de Lucian pour qu’il revienne à lui. Autours, les combats s’achevaient, Arnora Slayer et Greil avaient effectués un duel intense entre leurs deux armes, une sorte de lance spectrale et son sabre se frappant sans cesse dans une myriade d’impact tandis que la vitesse de Greil s’amplifiaient à chaque coups. Après plusieurs frappes intenses, elle brisa la garde de son adversaire et la trancha brusquement plusieurs fois jusqu’à ce qu’un coup ne repousse Greil dans une petite onde de choc.

Rengainant sa lame, il était temps pour elle de frapper avec plus d’intensité encore, mais Arnora fit usage de sa magie pour comprendre et imité Greil pour la prendre de vitesse. Toutes deux frappèrent comme deux Iajutsu, et si Greil fut frappée lors de l’échange, tombant sur les deux genoux. Son regard furieux contemplant Arnora triomphante qui avait été en vérité coupé en plusieurs morceaux, s’effondrant dans un cri final jusqu’à ce qu’il ne reste d’elle qu’un souvenir fugace. C’était un beau combat, et au moins, Emile avait pu rejoindre les flammes efficacement en essayant de les congelés toutes ensemble. Elle avait jaillie de nulle part tel un ange de feu, apparaissant dans les coursives avant d’apparaître au milieu de ce temple ancien dans une petite spirale, tombant juste devant le passage clos qu’elle gela jusqu’à libéré celui qui était coincé et formait involontairement ce mur de feu. Blackstone, le Forgeron, s’arracha de la glace en gémissant un peu, Emile aidant ce dernier à amplifier le pouvoir de ce qu’il avait fini de préparé tel une promesse pour l’héritier des Foudres de Rhaglr : La rapière de Runne resplendissait, et fut rejointe par le feu d’argent provenant d’Emile tournoyante autours de la lame dans une lueur intense et agréable.

Elle finie son chemin entre les mains du Miqo’te qui était étalé au sol, un pied d’acier sur le torse après avoir essayer d’arrêter les armures animés par les forces de la Balance qui rôdaient dans le désespoir pour y tirer ceux qui seront les futurs sacrifiés à cette force. De prime abord, Runne avait pu les affaiblir sans cesse en tournoyant, des grands bruits d’aciers s’y faisant entendre, jusqu’à ce qu’il ne soit écrasé au sol et mit à terre par un pied puissant. Si une lame tenta de lui ôté la vie, taillant son épaule quand il se dégageait. Il parvint à récupéré sa rapière en l’air dans une grande déflagration enflammée due à l’infusion d’Emile, le feu d’argent tournoyant autours de sa lame avant qu’il ne frappe brutalement autours de lui en dévastant les armures animés s’effondrant lourdement par terre en plusieurs chocs d’aciers. Il s’en était débarrassé, mais plus précieux encore, Blacksmith avait tenu sa promesse : Entre ses mains, Runne avait l’héritage final des Foudres de Rhaglr, la dernière rapière forgée et renforcée pour la continuité de qui défendra Gyr Abania et Ala Mhigo. Et c’est armé de ce glaive, qu’il pu nous rejoindre. Tous en piteuse état, Finaen avait fini par créer une large lueur de guérison qui aurait rendu fier Aerlin en infusant les environs dans des lueurs paisibles. Nous respirions une dernière fois, prêts à passé à travers le passage dévoilé par Emile, prompt à nous engouffré dans le domaine affolant de l’Hérésiarque, pour un de nos pires combats vécu jusqu’ici je le crains.

Le pont qui nous menait vers le territoire intérieur avait quelque chose de délétère que je n’appréciais pas. Ce noir obsidienne que nous avions vu sur le Rage-pierre, du moins sur sa carcasse en partie dominée, se retrouvait partout autours de nous en donnant l’impression d’une sorte de contamination des lieux. Ça n’était pas quelque chose qui risquait réellement de nous faire du mal, pour autant, on pouvait ressentir cette pression absurde des forces du désespoirs qui se faisaient ressentir partout autours de nous. Renforcés par la présence d’Emile, nous pouvions espérer que cet ultime affrontement avec la menace de l’histoire des Fletcher se passerait bien, mais nous avions à découvrir à quel point cela serait dangereux et aurait pu emporter la moindre de nos vies face à l’absurdité de cette créature et de sa puissance. Après quelques instants passés dans des corridor obscures, des sortes de flash de mémoire apparaissaient le long de notre traversée en donnant l’impression qu’il y avait quelques restes de ce qui avait poussé Stanhold à si mal finir. En vérité, tout n’était qu’accumulation, il était rester ici trop longtemps et avait depuis tout ce temps vécu extrêmement mal comme si il s’empoisonnait lui même petit à petit. Et quand l’explosion de sa frustration le transforma en monstre, voilà qu’il fut devenu une horreur infâme et ce domaine était son reflet de ses moindres doutes. Des échos de sa voix ,des moindres de ses promesses échouées, avaient un point commun : Il voulait dominer. Tout dominer, prendre, conquérir, et ainsi protéger. Car ce qui serait entre ses griffes, deviendrait alors tout ce qui pouvait lui appartenir finalement. Et après une intersection, nous étions en train de traverser une étendue à l’impression immense qui d’un coup jaillit à nos yeux dans une vision fantastique. Le ciel, l’horizon, les étoiles, tout n’était que l’aspect fictif d’une réalité déformé par la présence affreuse de l’hérésiarque présent ici depuis trop longtemps qui provoquait tant de maux.

L’impression d’ondulation à chaque pas sur une eau imaginaire avait quelque chose d’inspirant, et nous contemplions les lieux, encore inconscient que ce qui nous attendait allait être affreux mais envieux d’atteindre notre objectif au bout de la route : Au loin, le domaine de l’hérésiarque nous attendait, mais d’un coup de nombreuses statues jaillirent brutalement tout le long du passage dans un grand amas de dévastation. Des sortes de statues de visages paniqués, déformés, ressemblant aux moindres échecs qu’il avait pu traverser. Elles nous coupaient le passage, parfois risquant d’apparaître sous nous en nous faisant valser dans tout les sens. Et pour y ajouter un peu de difficulté, d’un coup, des sortes de fissures jaillirent comme un espace brisé dans sa propre trame, d’où une des griffes monstrueuses de l’Hérésiarque jaillit en essayant de nous happé, et laissant un accès pour que s’y déversent bien d’affreuses créatures de l’Apocalypse apparaissant sans cesse vers nous. Fonçant en avant, Emile et moi décidions de tenir la ligne en arrivant au contact de ses perfides créatures. Nos lames chantèrent en happant ses horreurs ressemblant à des parodies grossières d’être vivants dont les flammes blanches et noires du désespoir dansaient comme des capes autours d’elles, et seule moi reçu un coup un peu plus lourd m’écrasant par terre avant de me redresser en tranchant. Tournoyantes à toute vitesse pour couper deux créatures sur le point de m’achever. Nous avions alors un support des plus efficaces qui arrivait aussi bien à ouvrir la voie à nos compagnons qu’elle offrait un barrage puissant : Sorn et Runne faisaient usage de la gravité et des forces telluriques pour arracher de là les statues, en les projetant droit vers les créatures dans un tir de barrage plutôt satisfaisait. Les lueurs intenses du vert provoqué par le manipulateur de gravité du Teclis, se mêlait efficacement aux sorts élémentaires de Runne propulsant plusieurs pierres en une grande lueur d’ambre, brisant les statues sur leurs propres créatures au milieu de nos affrontements en les rendant des plus intenses.

Progressant ainsi tout les quatre, deux de nos compagnons nous furent arrachés d’un coup de façons aussi choquante qu’étonnante, quand Livio et Greil allaient disparaître. Le premier détruisait plusieurs des statues en essayant d’ouvrir la voie, anticipant celles qui pouvaient nous causer du tort en les faisant exploser tandis qu’il était à couvert de Greil dont le Iajutsu avait trancher plusieurs créatures en provoquant plusieurs lames fusantes à toute vitesse. Mais quand une statue jaillie sous Livio, ses mains attrapèrent la gorge du Pistosabreur en l’envoyant dans les airs, créant une grande tour de formes de statues à l’aspect des plus grossier et effrayant, que Greil escaladait d’un Gyoten à un autre pour fuser à toute vitesse jusqu’à lui. Et à peine eue t-elle le temps de trancher ce qui retenait Livio, qu’une puissante sphère jaillit en emportant nos deux compagnons, disparaissant à notre vue en un puissant claquement de lumière, avant qu’il ne reste de nos camarades qu’un souvenir effrayant de la pulsation d’énergie qui faisait encore quelques ondes de chocs dans les environs. A peine le temps de souffler, et de considérer que Livio et Greil n’étaient peut-être pas mort, que la griffe immense sévit. Elle était sans cesse repoussé par les tirs d’énergies vermeilles provenant de Finaen, frappant encore et encore cette dernière jusqu’à ce qu’elle ne l’attrape soudainement, avant de le faire disparaître dans l’écho d’un cri à son tour à travers la faille. Le temps de détruire les dernières créatures, et nous progressions droit jusqu’à la fin de l’Horizon, les derniers regrets de Stanhold, en étant plus que quatre.

La pression était immense, je crois même avoir vu quelques volutes du désespoir autours de Sorn et Runne qui étaient sur le point de cédé. La pression exercé par la peur, et par la perte, avait quelque chose d’effroyable comme poids dans leurs cœurs. Peut-être me verriez vous comme trop insensible de ne pas ressentir pareil pression, mais hélas tel est le poids de l’entraînement d’une Samouraï du Kurai Yoakke : Cette funeste habitude nous préservait du mal pour ne pas qu’il nous dévoré, mais pourtant ça n’était pas comme d’autres novices arrachés en morceaux que nous venions de voir être tués sous nos yeux. C’était des amis, membres d’une famille, qui disparaissaient d’un coup. Et nous avions au moins le bref espoir qu’ils s’en sortent, mais pour Finaen, il nous fallait nous hâté. L’espace était censé être l’intérieur de la plus profonde grotte de ce vieux temple, puisqu’il y avait des vestiges de la pierre environnante qui était toujours mitigé par cette entre-phase provoqué par la présence de l’Hérésiarque. Il s’y trouvait alors au fond de cette cavité, le noyaux des regrets de Stanhold : La tombe de Daniel Fletcher, son fils, le père adoptif de Runne. Il avait récupéré son corps, et fait installé ici dans l’espoir de faire de même qu’à Garn n’a qu’un œil : Le faire revenir. Mais il avait échoué avec Garn, montrant bien que jamais il ne reverrait son fils, que jamais il ne reviendrait de la Mer des étoiles à ses côtés. Et c’est ce qui l’avait fait cédé, et dans cette conscience monstrueuse, l’Hérésiarque qu’il était devenu était revenu à la tombe de son fils comme si il en avait quelque chose à faire. Chutant brutalement devant nous, la tête de crâne immense était parsemée de flammes ondulantes d’une lueur blanche et noire de l’intensité du désespoir effrayant. Des bras en griffes osseux immenses, des sphères du désespoir comme une longue queue et ses ailes de libellules infâmes.

Il n’y avait que rarement aussi absurde et effrayant que cette vision d’un monstre engrangé par un pareil désespoir, et il allait nous faire payé notre audace, à débuté par Finaen entre ses griffes. Mais d’un coup, une grande lumière jaillit des hauteurs, et recouvert par la protection du Duc de Cristal – Greil et Livio jaillirent de l’espace où ils étaient perdu. La pistolame frappa brutalement contre son flanc, harcelant son adversaire tandis que je vins me joindre à toute vitesse à ce dernier pour trancher encore et encore l’Hérésiarque. Peu satisfait, il nous balaya de ses griffes en nous propulsant par terre lourdement, après avoir écrasé Emile avec une puissance sphère d’obscurité l’écrasant et la laissant en bien piteuse état. Elle avait été soufflée par le choc, mais avant ça, sa lame de feu avait pu détruire plusieurs sphères de désespoir lors de son passage ardent. Au moins, cela nous fit une belle ouverture, bien qu’Emile ait été laissé en piteuse état et que plusieurs furent lourdement frappés par ses impacts.

Des tourelles miniatures de Sorn s’agitaient dans tout les sens, ma mémoire gardera celle tendant une banane à l’Hérésiarque une seconde avant de se faire écraser par une main n’en laissant qu’un tas de ferraille au sol. Ça fonctionnait un peu tant qu’il préparait le Teclis pour un tir, et Runne s’acharna encore et encore sur le bras de la créature jusqu’à le faire cédé, s’effondrant lourdement au sol en libérant Finaen quand il y joignit ses noulithes en provoquant une déflagration puissante. Il avait été un peu broyé juste avant que le bras ne cède, s’effondrant en piteuse état, et le combat continua encore pendant quelques longues secondes le temps d’essayer de nous en débarrassé. Mais ce combat était éreintant, dangereux, nous cédions petit à petit à mesure qu’il happait nos forces jusqu’à ce qu’en rampant, Emile ne parvienne jusqu’au fantôme de Daniel Fletcher. Il était venu assister à la fin de ce combat, et déversant à travers Emile, tout un flot d’espoir jaillissant dans tout les sens en provoquant des grandes lumières partout autours de nous. Cet or et argent avait quelque chose de magnifique, tournoyant dans les environs en provoquant une grande symphonie de magie déferlante dans les environs. C’était incroyable, surtout dans ce genre de scène, et Finaen qui venait d’être protégé par Livio parvint à s’en servir. Le pistosabreur dévia toutes les sphères d’obscurités avec une grande nimbe de flamme autours de sa lame, s’acharnant pour passer à travers jusqu’au tourbillon de feu ne le frappe soudainement sur son flanc.

Je bondissais d’un lieu à un autre, traversant l’espace en tranchant sans cesse, la foudre frappant avec ma lame en essayant de le débordé de coup pour essayer de nous en débarrassé pendant que Greil tint bon de front. Un faisceau de noirceur aurait du la balayé, mais elle ne fut que blessée par l’impact dévié en bonne partie par une sorte de poing fait des tourelles restantes de Sorn fusante une fois infusée par les énergies puissantes du Teclis. Dans un rayonnement, l’impact du poing en pleine figure sonna l’Hérésiarque en fracturant son crâne dans une petite onde de choc, laissant alors le soin à notre Runne d’en finir en mettant un terme à toute cette histoire. Les liens d’espoir furent renvoyés tous vers Runne par Finaen, provoquant un tourbillon tel une tempête tournoyante de plus en plus vite. Runne ouvrant ses deux yeux au pouvoir, quelques glyphes tournoyant dans ses pupilles, jusqu’à ce qu’il ne fasse naître de nombreux nénuphars vermillions et d’or éclatant dans tout les sens. Pour nous, il nous apaisait et soignait nos blessures. Mais pour l’Heresiarque, ce dernier disparut dans un hurlement final qui résonna en échos monstrueux jusqu’à ce qu’il n’en reste simplement rien. Enfin, c’était fait. Enfin nous avions fini cette bataille et lentement l’espace se brisait et redevenait cette simple tombe au fond de la montagne. Daniel pu être fier de Runne une dernière fois, et il ne nous restait alors plus qu’un calme surprenant après tout ce qui avait été vécu. Notre quête en Gyr Abania touchait à sa fin, il ne nous restait qu’une demande d’Adamantium dont nous parlait Finaen avant de quitter les lieux pour partir vers Garlemald. Le ciel de feu s’étendait, mais il restait peut-être un espoir : Les héros d’Hydaelyn avaient-ils vraiment la solution, pour arrêter l’Apocalypse ? Tandis que tous gisaient au sol, pour autant, nous ne pouvons qu’imaginer une chose : Peut-être que tout ce combat n’est finalement, pas vain. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un dernier chant d’espoir."

Deux-cent-soixante-huitième Entrée - « Acte 1 – La bataille du Tertium.»

« Un ciel de feu, rougeoyant comme si il avait été saigné à vif et qu’il se consumait petit à petit. Quel tristesse de le voir de nouveau flamboyant, de nouveau maudit par l’Apocalypse progressant petit à petit hors de Thavnair. Dans quel état sont les terres que nous avions pu aider à la protection ? Thavnair n’est-elle plus qu’un rocher fumant sans le moindre espoir où tout à été détruit, ou tiennent-ils encore ? Les informations n’étaient pas aussi pessimiste, mais il faudrait faire avec le peu que nous avions. Pour l’instant, il ne restait qu’une chose à faire : Tout accomplir pour protéger les habitants de Garlemald et soutenir la délégation assaillie par les forces de l’Apocalypse. Quel misère pour eux qui avaient alors fini leur dur labeur contre les Telophores, qui se retrouvent désormais face à autant de maux. Notre objectif était simple, du moins en terme de compréhension : Partir là-bas, combattre, et protéger les locaux. C’est dans la Gare de Tertium, bastion de la première légion en faisant tout pour survivre aux Télophores jadis et servant de refuge désormais pour les survivants, qui risquait d’avoir le plus de mal à s’en sortir. Notre arrivée là-bas fut rapide quand l’Aigle d’or pu nous transporter peu de temps après avoir remit l’Adamantine pour le grand projet de Sharlayan. Nous, en tant qu’aventuriers d’élites, il ne nous restait qu’à espérer voir les héros de ce monde empêcher ce dernier de finir en flamme et il ne nous restait plus qu’à reprendre un intense combat tous ensemble. Et c’est ici que tout allait reprendre, dans ses terres que nous avions laissés en voyant le tir de la Tir de Babil droit vers la lune. Maintenant, il était temps de reprendre notre combat, et il allait nous tomber dessus bien plus brutalement qu’il fallait s’y attendre malheureusement. Nous discutions de la situation avec une partie de notre équipe, Finaen et Sorn étaient dans des situations un peu compliqués pour nous rejoindre de prime abord je le crains.

C’est avec les trois sabreurs que ce combat débuta. Emile, Greil et moi étions prêtes à faire usage de nos lames pour tailler en pièce tout adversaires tandis que la magie serait confiée aux pouvoirs de Runne et Lucian présents auprès de nous. L’ambiance n’était pas au beau fixe, on ne peut pas dire que les locaux étaient très heureux de leurs situations et ne cessaient de le faire savoir. Rien n’allait vraiment, les dispositifs de chaleur marchaient mal aujourd’hui rendant les environs parfaitement froid et beaucoup se plaignaient de la situation. Certains avec crainte de la présence de la Délégation auprès des refuges impériaux. Cela aurait pu continuer à se dégrader, si tout ne fut pas interrompu par l’ennemi : un vieillard nous râlait dessus en disant que les Aventuriers sont bien plus meurtrier pour eux que ses créatures là-haut, avant que le plafond ne vienne à sa rencontre. Des grandes explosions dévastaient le toit, des plaques de métaux et des pierres chutaient encore et encore dans un flot de dévastation. Des lumières passèrent au rouge en signalant une urgence alors que la gare entière tremblant sous l’amas de chaos dans les environs. Même si le signal de Javius résonnait et nous demandant de monter le plus vite possible à l’extérieur, il fallait protéger les habitants le temps que les troupes à l’intérieur ne réagissent d’urgence. Runne s’occupait principalement de ça, reculant en braillant vers les troupes pour qu’elles agissent, un officier tira sur une des créatures lui bondissant dessus en hochant la tête. Depuis notre dernière intervention, un peu de confiance avait pu naître alors, et ils chargèrent les créatures de l’Apocalypse qui apparaissaient dans toutes les directions dès qu’elles sortaient des trous formés dans le plafond.

Les plaques de métaux tombaient des cieux, et pendant qu’Emile accueillait les créatures en les découpant en morceaux avec sa lame de glace et ses sphères gelées, Greil fit de son mieux pour couper les plaques tombant du ciel. Les deux reçurent quelques blessures, Emile fut tranchée par une griffe dans le dos quand elle protégea un jeune garçon d’une mort imminente, et Greil bondit en bousculant une petite famille en se faisant écrasée à leurs places par une plaque d’acier, heureusement légère, mais suffisante pour lui laisser un bien mauvais mal de dos. Lucian et Runne s’appliquèrent à arrêter toutes ses choses qui tombaient du plafond. C’était le chaos, et ils firent de leurs mieux pour arrêter le flot de créatures en bloquant les passages grâce à des couches de glaces s’étendant quand Lucian s’appliquait à congelé les environs en mêlant tout ça aux amas des langues de pierres créer par Runne pour bloquer les accès.

A eux deux, ils fermèrent le passage pour les créatures de l’Apocalypse, dont certaines étaient encore là pour passer au fil de mon sabre, tranchés en morceaux pendant que les autres me rejoignaient au passage fait pour partir droit vers les hauteurs. On nous attendait, là-haut, et au moins les habitants avaient été rapidement mit en sécurité malgré quelques tristes pertes. On ne pouvait plus y faire grand-chose désormais, les alarmes et les lumières vacillaient un peu dans toutes les directions en un flux chaotique, et les passages vers les hauteurs du Tertium avait quelque chose de tout aussi surprenant. D’un coup, des lueurs rouges jaillirent d’un peu partout, ainsi que des flux de céruleum à travers des tubes un peu partout donnant l’impression de progresser à toute vitesse dans des zones chaotiques à cause de la dévastation provoqué par l’assaut. Du métal gisait ici et là, des barrières brisés et quelques cadavres des soldats malchanceux. Il nous fallait progresser rapidement dans cette structure à la technologie incroyable donnant un effet particulier que de traverser cette ruine. Cependant, l’observation de la splendeur des lieux allait rapidement s’arrêter, puisque tout dégénéra quand une étrange ombre foudroyante aux yeux rouges activa visiblement un panneau de contrôle. Réactivant les défenses, mais contre nous, les créatures de l’Apocalypse rodant dans les environs furent autant d’adversaires que les tourelles et autres mécaniques de défenses.

Ainsi, c’est au milieu d’un torrent de munitions magiteks frappant les environs que nous progressions, essayant de quitter les lieux le plus vite possible avant que toutes les portes ne soient closes. Lucian et Runne avaient décidé de faire en sorte que cela n’advienne pas : Recouvrant les portes de glaces, Lucian les ralentissaient énormément jusqu’à ce que Runne ne les coinces avec des grands piques de roches, impossible ainsi de les laisser se fermer, mais il fallait progresser malgré les menaces. Et ce fut des plus efficaces : Greil et Emile s’en sortaient à merveilles, si Greil massacraient les derniers créatures de l’Apocalypse, fusant devant Runne pendant qu’il soignait un soldat agonisant avec les quelques talents de soin qu’il avait. Celle ci dévia plusieurs tirs magiteks de son sabre en les fendant brusquement jusqu’à ce que Emile ne brise la tourelle en plein feu concentré. Lucian ayant confié des boucliers, les tirs fusant à toutes les directions dans ce flot technologie ne fut pas suffisant pour briser ses défenses, et nous arrivions petit à petit enfin droit vers la sortie en ayant pu libéré de cette accès de technologie voulant notre peau, quand mon sabre tranchant en quatre la dernière porte. Bondissant de ses ruines, laissant dernière nous les nombreuses lumières des amas et la destruction de toutes défenses qui auraient pu faire du mal aux forces impériales restantes à l’intérieur. Il ne nous restait plus qu’à contempler ce qu’il se passait dehors, et à notre grande stupeur, un conflit acharné avait déjà commencé. En des grandes explosions apparaissant dans les environs, mêlé aux cris de guerre. La bataille pour le Tertium venait de commencer contre l’Apocalypse.

Facile de comprendre maintenant pourquoi Javius avait décidé nous faire venir le plus vite possible. La situation était encore pire que lorsque nous nous battions en Thavnair. Les flots de monstres abominables au milieu de la dévastation donnait l’impression d’un intense chaos, l’étendue de neige et autres dévastations du métal et de la pierre faisait que qu’importe où on posait le regard, il y avait des affrontements entre les forces impériales assistés par des troupes de la délégation d’Ilsabard. Ils luttaient avec acharnement contre des flots de créatures de l’Apocalypse au milieu de décombres de pierres, d’aciers brisés, de tout dévasté dans les environs comme si l’ensemble avait été bombardé depuis des heures. Tout s’était déroulé en si peu de temps, et dans un déclic, au lieu de vagues de créatures arrivants de temps en temps. Toutes arrivèrent à la place en même temps pour essayer de les coupés en morceaux et même un pauvre bougre parmi les forces impériales fut balancé au sol, la nuque brisée, jusqu’à nos pieds. Javius semblait servir de modèle aux forces résistantes, sa pistolame impériale levé en l’air en rugissant son désirs de se débarrassé de leurs ennemis, ralliant les siens dans un ultime espoir : Celui de réussir à faire fonctionner le bouclier d’énergie. Du genre de ceux protégeant les Castrum, cela formerait un grand bouclier autours de l’accès de la Gare pour se prémunir des futurs assauts au moins quelques jours.

C’était un moyen d’attendre l’évacuation promise, et pour l’instant, elle semblait avoir le même problème d’étrange piratage qui avait saboté les tourelles de défenses lors de notre sortie. Encore cet ombre rouge étrange qui observait notre groupe de loin malgré tout le chaos environnant. Murmurant, jusqu’à ce que sa voix s’élève, elle dit que Negishi devrait mourir comme tout les autres, et finirait par disparaître. Cela motiva Emile à partir à sa rencontre dans un grondement de colère, tandis que les tripodes dévastés se redressaient pour se préparer à accueillir sa venue, et tout le monde chargèrent des cibles différentes. Certains étaient là pour brisé leurs forces, ou comme moi pour libéré des impériaux récupérés, tous au moins protégeaient Lucian qui arrivait vers le système de contrôle principal afin de lui laisser la liberté de s’en sortir avec les problèmes qui pouvaient bien empêcher l’utilisation de cette machinerie. Partout les combats étaient violent, non loin de là, Greil avait décidé de lutté contre ce qui devait être un aventurier ayant cédé au désespoir, sa forme ayant quelques approches orientales relativement symbolique de qui il était jadis, mais il était en bonne partie déformé. Son pied écrasa un soldat qui essayait de s’enfuir, et utilisant ses fouets de feu, il était prêt à se débarrassé de Greil à toute vitesse. De prime abord, le combat ne jouait pas en la faveur de l’éclair rouge qui est notre camarade.

Celle ci fut oppressée par les coups de fouet et malgré un déluge de coup le blessant un peu partout. Un coup de fouet arrêta son sabre, et la propulsa en l’air avant qu’un autre coup de fouet ne l’attrape en plein vol pour l’écraser lourdement au sol. L’enchaînement avait quelque chose de monstrueux. Et pourtant, elle se relevait encore malgré la blessure et la douleur. Rengainant son arme, elle se préparait à un Iajutsu des plus puissants, esquivant régulièrement les fouets de feu pour trouver le bon moment. Cependant, l’ouverture vint de Runne, une fois qu’un fouet de feu fut brisé par un poing envoyé dans sa direction en une petite onde de choc. L’instant d’après elle pu trancher son adversaire au lieu de subir, le coupant brusquement en deux en le laissant disparaître d’un coup en fumée. C’était une belle attaque, et Runne n’y était pas innocent, quand il rejoignit en urgence le front de bataille. C’était au milieu des troupes Garlemaldaises conduites par Javius et il craignait de voir arriver une sorte d’énorme gorille de l’Apocalypse monstrueux qui cherchait à rejoindre le front pour tout dévasté. De prime abord, il usait des vents et de sa rapière pour trancher en milles morceaux toutes créatures dans les environs comme une petite tornade pour essayer de détruire le plus de créatures possible. Un poing énorme s’écrasa dans le ventre de Runne, le propulsant contre plusieurs soldats et Javius tous s’effondrant au sol, quand le Gorille arriva.

La grenade que lui avait donner un des soldats soignés lors du passage allait lui servir, c’est alors qu’il trouva la force de se redresser pour utiliser ses deux yeux au pouvoir des glyphes. Les griffes de vent arrachèrent presque l’adversaire en deux en installant la grenade dedans, explosant en milles morceaux dans une grande détonation, envoyant le bras du Gorille droit vers Greil pour l’aider dans une démonstration impressionnante de force. De l’autre côté Emile avait pu détruire rapidement les machineries de combats piratés, des lueurs routes fusantes dans tout les sens, mais sa première arrivée comme une bête sauvage glaciale dont les griffes de glaces tranchaient tout au passage. Dévastant deux des machineries aisément, en bondissant un peu partout, elle se déchaînait énormément sous cet aspect et fini par bondir vers la dernière machinerie pour frapper dessus encore et encore avec un acharnement terrifiant. Il n’en restait rien, mais le tripode avait déjà tirer ses missiles droit dans les airs, et quand ils chutèrent autours de cette dernière, les explosions jaillirent sans cesse jusqu’à ce qu’une ne l’envoie contre une pierre lourdement, la sonnant un peu lors de l’impact. De mon côté, je détruisais les créatures volantes en me focalisant sur une sorte de grossière créature attrapant les blessés pour les mettre à l’intérieur de son corps informe. Mes premiers coups tranchèrent en morceaux les premiers créatures, et arrivant au bout du compte dessus, je parvins à le trancher en deux après un grand coup de sabre contenu mêlé à un petit cri, avant de bondir en l’air. Un éclair dans un gyoten me propulsa droit vers Sorn qui tombait du ciel. Ce dernier avait été libéré par Marlithe dans un vaisseau garlemaldais au dessus de nous.

Ce dernier tombait tel une boule de feu en pleine explosion, et Gladys permettait à Sorn et Marlithe de redescendre lentement, mais une créature de l’Apocalypse avait essayer de le transpercer, ce qui ne parvint en rien quand mon sabre le trancha en six morceaux avant de retomber au sol. Il pu atteindre la machinerie du bouclier, que Lucian avait déjà inspecté et extirpait de là une sorte de conscience inquiétante. C’était un combat mental violent, il avait au moins pu soigner Papy Gris, le proche de Sorn vivant encore ici pendant qu’il travaillait, et isolant la conscience qui empêchait son utilisation, il ne suffisait plus qu’à Sorn à faire des manipulations d’urgence pour faire fonctionner le bouclier. Disons qu’il est arrivé pile au bon moment, même si c’était d’une bien curieuse façons ! Au moins nous pouvions souffler un bref instant, en contemplant le faisceau de lumière fusant vers les cieux en provoquant des ondes de lumières se répétant sans cesse. Observer cela avait quelque chose de magnifique, laissant une déferlante de cristaux tournoyant sous l’effet de l’impulsion du bouclier formant une protection parfaite contre les détonations et les créatures. Les soldats crièrent de joie, mais elle était prématurée : Il ne tiendrait même pas une dizaine de minute si le bombardement d’explosion si violence continuait de cette façons. Quelque chose au loin de là se déchaînait littéralement sur le bouclier pour essayer à tout prix de le détruire, et on ne pouvait pas le laisser faire. Ou tout ses sacrifies auraient été en vain. La bataille n’était pas encore achevée, et après autant d’effort pour se couvrir de se bouclier. Nous ne pouvions qu’observer l’extérieur, conscient qu’il nous fallait désormais sortir pour aller rejoindre notre dernière adversaire.

Quitter le bouclier n’était pas l’objectif le plus apprécié pour les troupes, mais galvanisés comme ils étaient par la victoire récente, il fallait donc profiter de cet élan pour avancer droit vers nos cibles après quelques soins partagés. Derrière nous, les techniciens allaient continuer un peu leurs travaux et nous pouvions donc nous préparer à foncer dans le tas à toute vitesse sans trop nous en soucier. Javius menait les siens, soulevant sa lame dans un dernier cri de guerre, et nous traversions la paroi de cristaux lumineuses disparaissant lors de notre passage un bref instant en laissant une troupe de guerre en pleine ruée en avant. Ça avait l’aspect cataclysmique qu’on peut s’attendre d’une zone de combat violent sous l’Apocalypse, le ciel rouge monstrueux laissait des boules de feu choir des cieux en provoquant quelques explosions dans les environs, mais de prime abord nous ne faisons que progresser sur un recoin désolé et brisé en passant d’un espace à un autre droit vers la source des tirs violents fusant vers les cieux. Tous avaient que nous n’en reviendrions pas tous vivant, mais l’apparition des ennemis fut aussi rapide qu’horrifiante : Un fantassin impérial avait été attrapé par une tentacule d’une de ses femmes volantes avant d’être balancé dans les cieux vers deux énormes gueules béantes, le croquant en le fendant en deux sous le hurlement de peur de quelques soldats. Des flots et des flots de créatures tombaient des cieux, tournoyant comme des essaims monstrueux d’insectes bien décidés à nous faire la peau. C’était impressionnant de voir une pareil vague de mort dans les cieux prête à déferler sur nous entre les flammes et le chaos, mais si ce n’était seulement que ça. Un éclat rayonnant apparut au milieu de la foule, quelque chose se trouvait vraisemblablement tel une lueur de cristal tournoyante à toute vitesse. Des ailes de cristaux reluisantes jaillirent, laissant apparaître Finaen qui s’était réellement un peu trop perdu. Même dans le ciel, il parvenait à se perdre et à être poursuivit par un flot de créatures infâmes.

Au vue de ses blessures, cela devait faire un moment qu’il se battait et plusieurs firent en sorte de tout faire pour qu’il soit soutenu par nos compagnons d’en bas. Pour autant, la bataille faisait rage sous nos pieds, plusieurs explosions brisèrent des murs de pierre se mettant à nous tomber dessus. On ne pouvait pratiquement pas protéger tout le monde des chutes de roches qui firent, heureusement, fort peu de dégât surtout quand Runne s’y ait mit. Des piliers de pierre s’élevèrent brusquement dès que le miqo’te se mit à les convoqués pour essayer de nous offrir un passage relativement sûr. Greil et Emile en profitèrent, au milieu des troupes impériales avançant en vitesse, laissant Greil apparaître tel un éclair rouge passant d’une cible à une autre à toute vitesse. Son sabre tranchait plusieurs adversaires en morceaux, mais c’est en tranchant un mur de pierre qu’elle fut piégée par la présence derrière d’un adversaire monstrueux. Une griffe l’écrasa au sol lourdement, l’horreur à l’aspect infâme se préparant à lui arracher la tête mais un coup de sabre de Greil parvint à décapité son adversaire juste avant. C’était le chaos le plus total, même Emile fut attrapée par une chaîne entourant son bras d’un coup, mais je pu trancher en plusieurs morceaux son adversaire à toute vitesse avant qu’elle ne soit en danger. Son aspect bestiale aux griffes de glace était des plus surprenant, adapté à son masque de loup, la laissant trancher aisément la chaîne pour reprendre sa ruée. Nous progressions ainsi en avant sous couvert des nombreux tirs de Sorn qui semblait être devenu complètement fou, son rire se transformait en hurlement vengeur à la mort d’un allié, massacrant le responsable en tirant dessus encore et encore.

La guerre à un effet différent selon le visage de qui le vit, pour Sorn, c’était une sorte d’exaltation monstrueuse. Des vagues d’ombres valsaient vers les cieux, provoquant des explosions puissantes dans les cieux tandis que Lucian se concentrait sur tout ce qui pouvait se trouver au dessus de nos têtes en essayant de massacrer les vagues de créatures aérienne poursuivant Finaen. Il allait être de plus en plus coincé, formant une tornade utilisant les vents que Runne lui envoyait, formant une puissante lueur verdoyante tournoyante autours de lui pour tailler tout adversaires lui fonçant dessus. Cherchant à redescendre juste au dessus de la mêlée pour nous ouvrir la voie, le canon qui frappait le bouclier de la Gare encore et encore orienta son tir pour essayer d’atteindre Finaen de plein fouet. Il aurait pu exploser en milles morceaux au vue de l’intensité du tir Magitek, mais Sorn décida qu’il en sera autrement. Envoyant Gladys transportant le Teclis, la protection de ce dernier donna l’impression que Finaen était une vraie pointe de lance, traversant le tir magitek à toute vitesse dans un grand sifflement, avant qu’il ne réapparaisse en étendant les ailes de noulithes jusqu’à nous rejoindre à toute vitesse. L’équipe s’était réunie au bout du voyage, partout autours de nous des combats acharnés avaient lieu, mais nous progressions aux abords des installations de métaux autours de la gare, l’ensemble ressemblait à une vague de dévastation ayant fait s’effondrer de bien nombreuses structures et happés de trop nombreuses vies. Tout ça pour contempler qu’une fois de plus, une main étrange en voulant à Emile en particulier, soutenait cette invasion Apocalyptique. Ce canon n’aurait pas pu être utilisé simplement par une créature de l’Apocalypse, à moins que ça ne soit littéralement sa fonction comme si il s’agissait d’un canon vivant monstrueux.

Mais il s’agissait bien d’une batterie d’artillerie impériale active, qui avait été installée sur le dos d’une énorme créature de l’Apocalypse ressemblant à une de ses tortues-dragons Dravanienne qui progressait très lentement en avant en grondant. Des flammes du désespoir et une sorte de lave noire glissait autours lui donnant un air particulièrement démoniaque. Et la progression de l’arme de siège vivante était accompagnée de deux autres adversaires monstrueux, dont un cube technologique surprenant qui protégeait le canon, et un ancien aventurier devenu une sorte de guerrier Apocalyptique au bras épée immense. Voilà bien une invasion d’horreur, mais cette bête de guerre devait être arrêtée pour empêcher le Tertium d’être transformer en champ de ruine. Aussi, Lucian et Runne partirent s’occuper d’urgence de l’ancien aventurier qui était d’une force surprenante, si bien qu’il faillit tuer un d’entre nous. Les flammes pourpres générées par Lucian enflammait le dos de la créature, tournoyante autours de son corps en essayant de sapé ses forces afin de le rendre sensible à nos assauts, Runne s’acharnant sur son bras-épée pour lui retirer une arme aussi dangereuse. Il avait raison, mais c’était trop tard quand il se mit à tournoyer à toute vitesse en frôlant Lucian mais en frappant Runne de plein fouet. Sans un étrange effet lumineux de bleuté autours de ce dernier, il aurait été tranché en deux net, bien que la blessure très inquiétante l’aurait certainement tué aussi si les noulithes de Finaen n’avait pas agit rapidement pour en soigner l’écoulement du sang.

Il reçu un choc supplémentaire quand une vague d’obscurité l’écrasa lourdement au sol, en brisant ses chaînes que Lucian installait autours de lui peu après avoir envoyer valser Lucian lourdement contre un mur. Mais les lances de glaces transpercèrent encore et encore la créature jusqu’à ce qu’elle se dissipe lentement en poussière. Le Cube fut brisé à son tour, ses boucliers reluisants d’énergie était oppressés par les coups d’Emile s’acharnant dessus afin de trouver une faille dans ses protections, cognant encore et encore de ses griffes de glaces en désirant le faire cédé à tout prix, permettant aux éclairs de Finaen de frapper le cube de technologie étrange. Une sorte de poing de lumière rouge frappa lourdement Emile quand l’entité était en train de s’incarner comme une sorte de conscience foudroyante, et cette dernière lutta intensément contre Finaen qui faisait de son mieux pour empêcher son incarnation. Cela dura quelques intenses secondes, jusqu’à ce qu’Emile n’intervienne peu après qu’un faisceau d’énergie ne frappa Finaen lourdement, permettant à Emile d’écraser sa lame dessus en tranchant subitement le cube en trois morceaux.

Ses gardiens brisés, nous pouvions nous débarrassé de la tortue monstrueuse pendant que Sorn rentrait à l’intérieur du canon d’artillerie d’urgence avec Gladys pour l’arrêter. Tirant plusieurs fois dans ses défenses, il scia le passage et trouva le panneau de contrôle en laissant se balader d’innombrables de ses petites tourelles stupides qui se baladaient ici et là en donnant l’impression d’une confuse ménagerie mécanique qui se baladait un peu partout. L’impact puissant de la lame de Greil frappa la gueule de la créature, laissant une grande balafre lumineuse sur son crâne incroyablement dur, tandis que je le tranchais un peu partout en formant des éclairs d’argents pour le surcharger en informations et en assauts. Ce qui n’empêcha pas un souffle enflammé de me repousser soudainement en m’écrasant plus loin. Le second assaut serait décisif. Voyant Greil se préparant à donner un grand coup de sabre, je me ruais à toute vitesse pour trancher et briser ses défenses. Coupant des morceaux de chitines un peu partout sur son énorme carcasse, tournoyante à toute vitesse jusqu’à ce qu’une patte ne produise une telle onde de choc qui me fit m’écraser au sol lourdement en restant à terre cette fois. Prise par le courant de la violence et du chaos, le masque de Oni commençait à apparaître devant le faciès de Greil en même temps que la brume rouge sous l’effet du mal qui l’avait jadis affectée, tranchant brutalement la tête de la titanesque tortue en la faisant décollé en l’air quand elle fut coupée nette.

La tortue monstrueuse était vaincue, Greil eue besoin d’un instant pour se remettre de la violence de cette forme et de ce masque, haletante un instant, mais la petite explosion dans le compartiment du canon faisant valser Sorn dans la neige signala qu’on avait réussi. Gladys dansait avec plusieurs petites tourelles, dont une faisait un câlin à Sorn qui fumait un peu après avoir empêcher la destruction de tout ceux venu arrêter ce qu’il se passait ici. La bataille du Tertium avait sa conclusion, pour l’instant. C’était une réussite, mais un triomphe qui n’avait de valeur que de rester un peu plus longtemps en vie. En retournant sous le bouclier difficilement mit en place, des boules de feu frappaient de temps en temps ce dernier. Il ne tiendrait pas si longtemps. Notre objectif n’était plus que d’attendre l’évacuation des civils par Sharlayan. En espérant qu’à ce moment là, nous serions toujours vivant pour les sortir de là. »

Akayane Kosenjobi.

[Akayane]

Journal de Mission de Akayane Kosenjobi.
"Un dernier chant d’espoir."

Deux-cent-soixante-neuvième Entrée - « Acte 2 – La fuite des habitants. »

« Observer le bouclier d’énergie avait quelque chose d’aussi apaisant qu’horrifiant. Je contemplais les lumières tournoyantes au dessus de ma tête, formant les cristaux supportant quelques explosions dans des détonations monstrueuses. Dans les cieux, l’écarlate amplifiait l’impression que tout allait bientôt se terminer, mais nous pouvions encore y faire quelque chose. Tout ses gens à l’intérieur, ils peuvent être sortir de là, Sharlayan semble avoir le désirs de les emportés loin de là ce qui demandait notre concours. Et presque, notre sacrifice. A cet instant, je ne sais encore ce qu’il adviendra de nous désormais, mais alors que nous nous préparions à partir vers notre nouvelle mission. Il restait encore de l’espoir que tout s’arrête si les Héritiers parvenaient réellement leur tour de force. Mais nul espoir ne convient de ne rien faire en espérant que nous n’aurons rien à faire que d’attendre. L’assaut des créatures avaient bien prouvé qu’elles feraient tout pour nous tailler en pièce et il restait cette curieuse conscience qui en voulait à Emile. Qui désirait donc tant dévoré cette dernière ? J’ai bien peur que ça soit à nous de le découvrir. Au moins, Sharlayan avait fini par faire parvenir les Aéronefs, si petit soient-ils, mais suffisamment pour faire sortir les civils de là afin de nous éloigner le plus possible avec les rescapés. Notre rôle était simple : Mettre les habitants et tout les non-combattants dedans, et rentrer à notre tour dès que ça sera possible. Dans les fait, c’était l’espoir de devenir vers Bris-de-glace et d’avoir la présence de bien plus de troupes entraînés, de vivres et autres matériels sans dépendre d’un bouclier vacillant dont seul les stocks récupérés par Finaen et les volontaires justifiaient qu’il n’était pas encore éteins.

Notre équipe se constitua à la sortie de la Gare. Une fois de plus, nous tiendrions la ligne avec Emile et Greil pour trancher tout ce qui viendrait de front. Et la force de frappe de Sorn se mêlerait à merveille aux capacités magies d’Aerlin et Runne. Hélas, Finaen était occupé avec d’autres mages, aussi nous rejoindrait-il dès que possible en espérant qu’il ait le temps d’atteindre les Aéronefs. En espérant qu’il y parvienne sans avoir besoin de le chercher trop longtemps ! De fait, dès que nous avions fini de parler de nos objectifs avec un peu d’espoir, il était temps de rejoindre la petite troupe qui déplaçait les blessés et toutes les cargaisons sur les plateformes anti-gravité Impériale dont il restait presque plus de charge de céruleum. C’était au moins ça, et dès que Javius fini son léger discours en levant sa pistolame, nous voilà tous en route en échappant au bouclier d’énergie dans une petite lumière jaillissante en le traversant, avant de commencer à avancer sur les routes dévastés menant à un grand parc où nous serions récupéré. Malgré le ciel Apocalyptique, les environs baignant dans des intenses lueurs allant des flammes bleutés aux reflets d’or plutôt apaisant.

Le calme seulement brisés par quelques feux isolés, le bruit des boules de feu éclatant bien loin de nous, et les murmures de tout ses gens se rassurant les uns les autres. Tout avait un certains confort, jusqu’à ce que « Papy Gris », le proche de Sorn, ne finisse par nous montrer ce qu’il avait préparé avec le Teclis. D’un coup, d’innombrables lueurs jaillir d’un bleuté intense, tournoyante dans les environs en venant greffé ici et là sur chacun d’entre nous une partie d’un Teclis afin de nous offrir une assistance lors de la mission. En voyant ce que Sorn est capable de faire avec, ça serait des plus pratique, et nous profitions de la beauté des reflets de technologies apparaissant un peu partout avec une bien délicate harmonie. Cela aurait pu durer ainsi, mais lentement, une grande brume rouge commençait à faire surface, et la première menace ne vint même pas des créatures de l’Apocalypse : Un missile explosa contre un morceau de Teclis utilisé par Papy gris dans une grande détonation. Tout le monde contempla la pluie de missile provenant des cieux, ainsi que l’appel nous menaçant de tous périr tout en récupérant Emile selon les desseins d’un fou. Bien entendu, cela aurait été trop simple si ça n’avait été que ça. Car autours de nous, des silhouettes humaines portant des tenues de soldats ou de civils, arrivaient lentement vers nous : des mécanismes humanoïdes, infâmes créations arrachées des connaissances d’Exstasia, sûrement de la part du Directoire de Draeront. Ils progressaient petit à petit au milieu de quelques éclairs rouges, jusqu’à ce que Sorn et Aerlin ne décident de nous en défendre parfaitement. Le chaos s’installait petit à petit, un manacutter d’escorte déjà en flamme s’écrasa contre une bâtisse en ruine non loin de là, ses pilotes récupérés par Aerlin, inconscient, et installé sur une des palettes flottantes.

Pendant que l’un soulevait des amas de pierre formant des vrilles arrêtant missiles et éclairs sous un flot de dévastation. Sorn après avoir sauvé deux enfants d’une pauvre vieille dame ayant perdue espoir en voyant tout ça, devenue une horreur de l’Apocalypse, vint utilisé la gravité du Teclis pour que les plaques d’aciers nous protègent à leurs tours. Il fallait progresser vers le parc rapidement. Sortant des défenses de nos compagnons, Greil et Emile se mirent à débuté le massacre, tranchant tout ce qui était possible de couper de leurs lames, les machineries approchant rapidement en se préparant à nous dévasté à coup de foudre rouge intense. Quand je luttais proche de notre groupe, une absurde machinerie au marteau immense m’aurait bien réduite à l’état de crêpe à la mûre. Et Greil en décida autrement, un coup des plus infusés d’éther fendant le marteau, l’acier en dessous, et celui le portant dans un petit choc foudroyant. Elles avaient à merveille ouvert la voie, et Runne qui repoussait ceux devenant des créatures de l’Apocalypse, tentait tout autant de motivé les troupes pour le départ sans qu’ils ne perdent espoir. A cet instant, ils pouvaient tous se transformer, ce qui aurait été une bien triste conclusion à notre mission, et à travers l’ombre de la brume rouge se dessinait au loin les formes des Aéronefs en train de descendre petit à petit. C’était notre chance, ils arrivaient et nous devons être en place à ce moment là.

Mais rien ne nous laisserait l’atteindre facilement surtout que dans un appel à l’aide rapidement étouffé, une embarcation impériale tombant des cieux s’écrasa lourdement devant nous en faisant trembler le sol. Il nous fallait dégagé le chemin, Aerlin et Greil s’entraidant tandis que Aerlin utilisait des ondes telluriques en brisant l’acier, le repoussant, braillant aux habitants de le suivre et de rester avec les petites tourelles de Sorn guidés par Gladys pour les menés droit vers la liberté. Plus aisément ainsi, Greil tranchait le métal, jusqu’à ce qu’une créature n’apparaisse en écrasant lourdement la Samouraï contre une plaque d’acier plus loin, décapitant son adversaire quand il lui revint dessus. De partout, les créatures de l’Apocalypse arrivaient, attirés par le chaos des conflits. Emile et Runne faisaient de leurs mieux pour tenir le coup, tranchant tout au passage tandis que je protégeais malgré quelques petites blessures, Aerlin et les habitants de ma lame en tranchant tout ceux approchant. Si Runne s’en sortait un instant, tombant au sol lourdement proche d’un pauvre soldat empalé par une griffe. Il nous revint rapidement, sonné, et atteins Emile qui fut sauvée par Sorn dans l’urgence en envoyant un flot de tir monstrueux sur les créatures de l’Apocalypse qui lui avaient bondit dessus. La salve les transformèrent en poussières, si violente et enflammée soit-elle, juste avant qu’elle ne bondisse sur Emile pour la tailler en pièce. Nous avons pu ainsi l’atteindre envers et contre tout, des tirs de Sorn partant encore ici et là en des lumières vives. Et autours de nous, ce n’était que le chaos. Des yeux rouges jaillirent de partout entre la brume de neige et les débris crasseux. Nous étions débordés, ils étaient simplement trop nombreux, et pourtant c’était enfin l’opportunité de faire s’échapper tout ses gens : Protéger par Aerlin, nous avancions en tranchant tout ceux s’approchant trop proche qui n’avaient pas été massacrés par les vents de Runne ou les tirs de Sorn. Car enfin plus loin, s’installant sur le centre du parc, l’Aéronef d’Atlas était venu récupéré les pauvres gens au nom de Sharlayan.

Autant vous dire que la vague de mort n’allait pas nous laisser passé aisément. Les créatures de l’Apocalypse ne cessèrent de se ruer vers nous, et certains arrivaient vers les embarcations qui cherchaient à nous offrir refuge d’urgence. La magie d’Atlas formait des explosions stellaires magnifiques, digne de l’Astromancie qu’il connaît si bien. Mais même sa magie n’allait pas parvenir à repousser l’ensemble, et il nous fallait en catastrophe apporter tout le monde vers l’Aéronef principal avant qu’il ne soit trop tard. Au moins la position était bien choisie, l’espace était convenable et dégagé, mais la dévastation environnante lui donnait une bien triste allure au milieu de la fumée et des impressions que tout était en mouvement dont des sortes de brume rouge s’entendant avec celle de la neige ondulante dans les environs. La destruction avait bien pu être responsable de tout ce chaos visuel nous empêchant de tout voir correctement si ce n’est une masse de créature monstrueuse, mais une pression dans les énergies environnantes était presque étouffante, et nous avions encore à découvrir à quel point. Car il y avait encore une main invisible, et celle ci, désirait entre arracher Emile de tout ça pour la récupéré selon ses intérêts.

Pour l’heure, il nous fallait faire opposition avec les troupes de Javius à toute cette vague de griffes et de crocs qui se ruaient droit vers le passage que les civils devaient emprunter pour retrouver la douce liberté. Ils venaient se heurter de plus en plus vers les braves combattants dont certains ne reviendraient pas, mais plusieurs entités absurdes et énormes allaient être des plus inquiétantes et feraient tout pour nous dévasté. Notre équipe se déversa vers toutes ses cibles, tandis que Aerlin lui pu accompagner les habitants en agitant un peu les bras dans un cri d’appel. Sa magie formait des vents puissants, repoussant tout ceux qui pouvaient passer nos lignes et se faire un casse-croûte de nos pauvres protégés avant qu’ils ne soient happés par un puissant vent punitif. Hurlant aux civils de le suivre certainement pour s’empêcher de se laisser aller à quelques cris de panique suite à toute la peur s’accumulant. Il parvint en passant un long chemin qui ne resterait pas longtemps ouvert si nous étions écrasés, jusqu’à rejoindre Atlas en lui fournissant une grande lueur d’éther en quelques éclats d’or afin de lui rendre force pour que ses pouvoirs continuent de couvrir les habitants. Un mal de crâne le gagna d’un coup, mettant un genou à terre sur la plateforme d’acier menant au pont, avant de soulever la tête pour contempler l’absurde horreur : Dans la brume rouge qui recouvrait en partie le ciel de feu, une forme humain s’incarnait petit à petit dont la main titanesque se formait autours d’une embarcation d’escorte impériale déjà en piteuse état. Un hurlement du pilote se fit entendre, avant qu’il ne cesse brusquement une fois broyé par la main de brume se durcissant de plus en plus jusqu’à envoyer d’un coup la machine brisée comme une boule de feu.

Si Aerlin éteignit les flammes et le ralentit de plus en plus, ça ne serait pas suffisant jusqu’à ce que le barrage de Sorn ne le fasse exploser en milles morceaux en envoyant des projectiles bleutés encore et encore. La scène était impressionnante, mais Sorn l’était tout autant, après avoir envoyer plusieurs cocktails enflammés pour faire barrage devant les troupes de Javius. Je tenais son flanc en ayant tranché tout ceux cherchant à passé de côté jusqu’à ce que sortes de sauterelles énormes de l’Apocalypse s’écrasèrent devant nous. Mon adversaire passa par ma lame, quelques éclairs se diffusant auprès de mon sabre jusqu’à ce qu’il n’en reste que quelques morceaux, Sorn lui décida d’amplifier le coup en utilisant ses petites tourelles pour créer un véritable torrent de tirs bleutés enflammés. Si la sauterelle infâme devant lui tomba en milles morceaux. Ce fut la vague de créature de l’Apocalypse qui en prit pour son grade avant reculé sous le flot de dévastation. Nous avions libéré ce passage, et de l’autre côté, Runne parvint tout autant à repoussé les horreurs quand il s’occupa du Tyrannoeil qui approchait en tirant de ses faisceaux de noirceur sur tout ceux s’approchant. Un des soldats de Javius s’en prenant un plein torse, disparut dans un hurlement avant de tomber en poussière. Quel chaos ! Un impact envoya Runne s’écraser lourdement contre d’autre soldat, sonné par le choc, jusqu’à ce qu’il ne revienne à l’assaut après avoir trancher toutes créatures sur son chemin menant au Tyrannoeil. Il n’était pas de la puissance de celui de Thavnair, mais suffisant pour être un vrai risque, du moins avant que comme une des foreuses de Sorn, Runne ne lui passe à travers l’œil principal en réapparaissant de l’autre côté en formant une grande spirale de vent tournoyant à toute vitesse.

L’entité se dissipait lourdement, et nos adversaires reculaient de l’autre côté aussi sous les cris de joies et les insultes des soldats leur envoyant quelques tirs ou des noms d’oiseaux en pensant que les accablés suffisamment les détruirait. Si seulement les injures avaient quelque chose de létal, je vous promet que l’Apocalypse se seraient arrêtés face à tout leurs jurons. L’énorme adversaire qui se tenait devant le passage n’avait pas pu vaincre Greil, comme une chauve-souris monstrueuse à l’arrière de lion formant une ridicule horreur dont les griffes dévastaient les environs. Emile combattait quelques de ses machineries aux silhouettes humaines ressemblant à des cultistes autours d’un cavalier lui sommant de les suivre. Les deux sabreuses passèrent chacun d’un côté d’Aerlin pour le protéger, en assaillant leurs objectifs à toute vitesse : Emile se débarrassa plutôt aisément de ses adversaires. Les griffes de glaces suivant sa lame tranchèrent les sortes de cultistes en tenue ample qui furent massacrés à toute vitesse par les coups avant de disparaître au sol en tas de ferraille. L’instant d’après leurs chutes, une longue lame étrange se cogna contre son sabre pour l’arrêter, débutant un important duel donc chaque déviations et parades donnaient l’impression qu’une petite onde apparaissait quand leurs coups s’entrechoquaient brusquement. Après un instant de lourde tension, l’effet du Teclis créant quelques ondulations glaciales autours du sabre d’Emile, s’agrandissant d’un coup en devenant bien trop long, ce qui ne lui servit qu’à un jour : Tranchant en avant, elle coupa le cavalier, son arme et sa monture quand son éther forma une sorte de souffle de glace, laissant lentement son adversaire choir en deux morceaux. Et il en fut de même pour l’adversaire de Greil. Elle avait prit le temps de trancher une sorte de sphère de technologie propulsée vers Emile pour la protéger, avant de revenir à l’hideuse créature de l’Apocalypse à l’aspect monstrueux.

Tournoyante rapidement, sa lame trancha en morceaux la griffe énorme qui voulait l’attraper, les décombres fumants de cette griffe valsant dans tout les sens une seconde plus tard. Hurlant de frustration, la créature monstrueuse profita que Greil ne rengaine sa lame pour un Iajutsu fatal en la nimbant de flamme s’extirpant de sa gueule immonde. Le feu frappait de plus en plus contre elle, un cri de douleur gagna Greil mélangé à celui du désirs, de la motivation à se débarrassé de l’horreur qui fut pourfendu par un grand coup de sabre lorsque le Iajutsu fusa en un puissant sifflement. Son adversaire chutant lourdement en arrière, se dissipant lentement. Le combat intense s’était achevé et tout les civils étaient à bord. Mais une abominable vérité nous frappa de pleins fouets : Les Aéronefs devaient partir immédiatement, sinon ils seraient rattrapés par un flot de créature volante arrivant du nord. Mais ils risquaient d’être ralentit par une grande pression inquiétante provenant de quelque chose plus au nord dans le parc. La main invisible qui souhaitait récupéré Emile s’y trouvait, et provoquerait la mort de tout le monde si il fallait pour l’empêcher de partir. Eux, partiraient dans les cieux. Et nous, hé bien nous resterions ici. Même si cette mission avait de plus en plus l’air d’une opération suicide pour protéger tout le monde.

La plus part contemplant les Aéronefs partant lentement vers les cieux devaient avoir envie d’être dessus et de s’éloigner de tout ses maux avant de rejoindre Bris-de-Glace. Marlithe elle même se trouvait dessus, Atlas l’ayant retenue de repartir en lui disant qu’ils auraient besoin d’élément compétent pour ne pas laisser les Aéronefs sans bonne protection. Sorn lui envoya un baiser, comme si tout allait bien se passé, mais nous restions coincés au milieu d’une citée brisé remplie d’innombrables horreurs avec un objectif à abattre. A cet instant, notre survie n’était pas tant la priorité que la réussite de notre mission puisqu’elle empêcherait toute cette opération de sauvetage de finir en un gâchis monumental. Quelques des Sharlayanais accompagnant Atlas nous observaient avec un air de pitié, un peu de frustration de ne pas pouvoir nous faire venir aussi. La peine de se sentir impuissant face à la réalité devait être un poids dans le cœur de tout le monde, et au lieu de rester à observer bêtement les Aéronefs, puisqu’il y avait un facteur temps, nous nous mettions rapidement en route disparaissant à leurs yeux dans la brume sous un dernier cri de Marlithe exigeant que nous revenions en vie de cet enfer. Jusque là, dès le premier missile écrasé sur nos protections, nous n’avions plus que couru au milieu du chaos et de la dévastation. Là, pendant quelques instants, ça n’était qu’un calme effroyable au milieu des brumes blanches et rouges s’étendant dans les environs. De la fumée quittant de nombreux décombres en donnant l’impression que le monde était ravagé. Et pourtant, même quand tout semble perdu, on peut parfois encore faire de bonnes rencontres : Car au milieu de la fumée, une silhouette marchait en avant suivit de quelques autres. Bien heureusement que nous n’avions pas tous évacués, car il suffit d’un instant de course pour retrouver Finaen et les mages Eorzéen revenu de leur missions, tous en piteuse état et moins nombreux qu’ils ne l’avaient étés.

Quel joie de revoir notre ami à cet instant là, une joie qui serait bien rapidement mitigées, par l’ombre de la silhouette de titan qui arpentait la brume rouge recouvrant en partie les cieux. Celle ci n’était que l’effet d’un sort, et encore heureux, mais il solidifia la brume et en déversait un flot de pouvoir foudroyant dont les éclairs rouges se brisaient dans les environs. Autant dire que la progression ne serait pas aisé, entre cette brume rouge s’approchant qui risquerait d’être de plus en plus létale et ses éclairs, il allait lentement s’y ajouté des créatures de l’Apocalypse errante dans l’obscurité infâme qui marchaient lentement vers nous en émettant des rugissements et autres sifflements monstrueux. Criant sa frustration à en voir encore autant de ses horreurs, si Aerlin en était las, il décida de faire usage de toutes ses forces pour les repoussés en frappant son bâton au sol. Émettant des rayonnements d’ambre et d’énergie éolienne en désirant aider dans tout les aspects de notre voyage : Le vent puissant frappa en avant, Runne l’aidant sur ce point en provoquant des grandes ruées d’énergies émeraudes repoussant les brumes rouges en s’étendant de plus en plus fortement.

Et tandis que les vents nous offraient protection contre les brumes, Aerlin leva des pierres vers les hauteurs et cette fois il fut aidé par Finaen, les roches s’installant là où des éclairs risquaient de choir dans des puissants éclats d’énergies, tout en laissant Finaen créer des nombreuses protections d’éther formant des ondulations de lumières de cristaux bloquant toutes tentatives de destructions massives en formant des ondulations d’énergies à chaque impacts des éclairs cognant contre les protections. J’essayais de soutenir ce flanc, tranchant toutes horreurs sortant de nulles part qui furent coupés en deux par ma lame dès qu’ils sortaient en serrant les dents. Trop nombreux, et là, le suivant était un peu trop immense pour être fendue en deux d’un coup quand dans un rugissement, la caudale de cette horreur balaya dans une vaste zone nous écrasant au sol avec Finaen quand la bête ressemblant à un ours titanesque déformé et monstrueux. Il aurait certainement fait plus, si les pointes de pierre d’Aerlin ne s’était pas dressés comme une protection soudaine en transperçant encore et encore la bête qui disparue en poussière après quelques soubresauts. En avant, Greil et Emile tranchaient leurs adversaires en luttant avec acharnement en tête de front auprès de nos alliés. Une était une tempête de glace fendant les environs encore et encore, Emile bondissant d’un adversaire à un autre dont les griffes faisaient principalement disparaître les créatures volantes qui nous tombaient dessus depuis les cieux. Tandis que Greil, elle, avançait de front en tranchant plusieurs fois ceux sur son passage qui tentaient d’atteindre nos alliés, comme un éclair rouge passant à toute vitesse d’un coin à un autre.

Tout aurait pu se passer ainsi, nous débarrassant de nos adversaires à toute vitesse, si Runne n’avait pas été presque tué sous nos yeux. Levant la tête, personne n’avait vu venir l’engin volant impérial en flamme qui avait été abattu, s’écrasant sur le miqo’te en faisant disparaître ce dernier dans un éclat bleuté. Jamais il n’aurait pu survivre à ça, mais la main invisible qui veillait sur lui comme lui avait jadis dit Atlas, décida de faire s’échapper ce dernier un instant avant son décès. Bien que dans l’instant, nous en étions inconscients, et une pression monumentale écrasa le cœur de tous en ayant rien retrouver de lui. Il fallait avancer, et je gardais un œil sur Finaen en espérant qu’il ne se transforme pas. Ce qui aurait transformer notre situation catastrophique, en situation désastreuse. C’est au niveau du bout du vieux parc impérial que nous attendait notre adversaire. Installé dans les eaux glacés, nous tournant le dos, une tenue impériale large claquait au vent tandis que l’homme. Un Garlemaldais sang-pure. Observait sa réalisation en ayant les mains dans le dos tandis qu’il semblait réfléchir. Une sorte de vaste créature d’acier et de parchemins venant d’Orient, tournoyant dans les environs en atteignant et créant la brume écarlate dont les éclairs d’énergies avait un lien avec les forces de la Mort dans les légendes d’Izanami lié à Emile. L’assassin des Nagishi se trouvait devant nous. Kleos, connu lors des massacres à Doma, pour avoir tant convoité les forces de la Mort avant de disparaître dans cette quête. A ses yeux, l’Apocalypse devait être dominée par son « Dieu », elle ne pouvait ni être vaincue, ni être arrêtée. Elle devait alors être contrôlée. Derrière nous, se tenait une énorme créature de l’Apocalypse au corps de Milles-pattes et au buste à l’allure démoniaque, et le protecteur de Kleos, une sorte d’incarnation d’eau et d’acier impérial, allait tout faire pour nous empêcher de l’atteindre.

Naturellement, Emile ayant perdue toute retenue chargea Kleos, rapidement rejoint par Greil qui fit de son mieux pour rejoindre sa camarade le plus vite possible. Et pendant que Finaen avait pour objectif d’arrêter l’accumulation de la brume rouge qui était précisément ce qui permettait à Kleos de créer la pression empêchant l’éloignement des Aéronefs, il nous fallait détruire avec le reste de l’équipe autant la créature de l’Apocalypse que l’énorme gardien aqueux qui se tenait devant nous. Utilisant le Teclis à mon tour, je vins rejoindre Aerlin dont les forces rocheuses frappaient plusieurs fois en distordant les eaux par la suite pour essayer d’affaiblir de plus en plus le gardien. Il n’allait pas parvenir à le brisé entièrement, mais quand les pierres tournoyaient autours de moi, même plus besoin de m’embarrasser à me tenir en sécurité puisqu’il le faisait à ma place. Trois coups de sabres laissèrent des traces de lumières ayant en partie dévasté notre adversaire, avant que je ne le tienne en garde de mon sabre, Aerlin confiant décida qu’il pouvait offrir son support à tous désormais. C’était courageux, surtout après ce que Runne et Finaen venaient de subir, et il se mit au milieu des flots en créant des ondes et des ondes de soins formant des vastes étendues de lumières autours de nous. Cette pure énergie tombait sur chacun d’entre nous, apaisant les maux, rendant des forces, et tout s’arrêta net quand le poing de la créature aqueuse écrasa Aerlin au sol lourdement en un impact puissant. Je ne pus le dévié, me faisant plus mal qu’en réussissant quoi que ce soit.

La colère gagna mes sens, et alors qu’un éclair d’argent frappa ma lame, sa vibration à travers tout l’éther à l’intérieur se déchaîna en six coups enchaînés à toute vitesse. Le dernier coup tomba, une seconde passa, et notre adversaire n’était plus qu’une explosion et une légère pluie se dissipant bien vite. Débarrassé de ce dernier, Sorn et Runne avaient pu vaincre la créature de l’Apocalypse dans notre dos, ce dernier n’approchant pas car il était noyé dans les flammes bleues de Sorn riant en envoyant ce feu mordant ses chairs et en brisant une bonne partie. Tandis qu’il essayait d’approcher au milieu des flammes, Runne frappait ses jambes sans cesse en essayant de les trancher, avant que Kleos n’ayant un instant de répit dans son combat ne créa deux mains de brume rouge, attrapant Runne et Finaen qui avait commencer à bombarder les parchemins et les technologies en provoquant quelques explosions vermeilles. Les deux furent amenés en l’air, tombant devant l’ombre d’un visage à huit yeux. Le « Dieu » évoqué par Kleos, conquérant de l’Apocalypse, était-ce la volonté de Tsakyoki ? Était-il revenu qu’à sa demande ? Les mains de brume firent s’écraser Runne et Finaen terriblement au sol dans deux chocs puissants, avant qu’ils ne reçoivent des soins d’Aerlin en quelques ondes d’énergies malgré l’impact qui avait du résonné dans leurs os. Sorn se mit devant Runne, préparant sa foreuse en se préparant à le protéger alors que ses petites tourelles l’aidait à installer de quoi tirer brusquement la foreuse en plein dans le torse de leur adversaire en forant de plus en plus. Ça ne suffit pas, il reçu un coup en protégeant Runne l’envoyant se rétamé dans l’eau à son tour, le nez en sang. Mais la pointe de glace créer par Runne fut envoyée en plein dans la blessure de la foreuse, traversant l’adversaire de part en part en une grande lueur blanche jusqu’à ce qu’il ne disparaisse en poussière dans un dernier hurlement puissant. Ne laissant que Kleos, ce dernier avait repoussé Emile et Greil en utilisant sa propre lame. Un sabre domien volé à l’époque du massacre des Negishi, cherchant à faire usage des énergies de ce qu’il citait comme se nommant « Shinigami », une coutume de cette famille dont la magie leur avait été volé.

Le Iajutsu de Greil et les griffes de glaces d’Emile avaient laissés quelques blessures, insuffisantes quand en retour des tracés de sang apparurent sur leurs corps en se prenant ses coups en retour. Et quand Finaen se redressant légèrement déversa un flot d’énergie vermeille monstrueux, formant de plus en plus une énergie rouge brisant tout ce qui créait le lien avec « son Dieu » et la brume rouge mortelle. Il fut isolé dans un immense arc d’énergie, et Greil trancha de son sabre et de son tanto, le bloquant subitement en brisant son sabre et une partie de son armure magitek. La tempête de glace autours d’Emile avait prit en ampleur, usant de toute ses forces pour créer un grand couperet glacial, qui chuta en interrompant l’hystérie de Kleos lui hurlant en riant qu’elle fera usage tôt ou tard de ce pouvoir pour que ce monde entremêle toute notions de vies et de morts unies. C’était fini, la brume rouge se dissipait lentement dans les cieux une fois brisé par Finaen, et nous contemplions le ciel de feu réapparaître derrière la brume en voyant le chaos environnant. Après un bref temps pour les blessés graves, j’envoyais un Kunai en pleine tête d’une petite créature de l’Apocalypse qui approchait : Nous étions toujours en danger. On ne pouvait pas rester ici, il fallait revenir à la gare du Tertium le plus vite possible. Là bas, le bouclier serait au moins en semblant de sécurité, mais je le crains, nous arrivons aux bouts de nos forces pour tenir face à cette Apocalypse. Isolés, coincés, malmenés. Notre prochaine bataille sera peut-être aussi, notre baroud d’honneur. Au nom de notre monde qui s’enflamme lentement. »

Akayane Kosenjobi.