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La foi d’Extrême Orient
Dans son œuvre emblématique, Voyage en Extrême Orient, l’écrivaine voyageuse Liliju Liju a rédigé une partie dévouée aux « magnifiques et variés kami, aussi nombreux que les étoiles dans le ciel » de la région. Un seul volume ne pourrait probablement pas être suffisante pour embrasser la définition changeante des Divinités, et ainsi pareils auteurs choisissent de se concentrer sur les exemples les plus important.Un panthéon des multitudes :
« Kami », le mot pour « dieu » dans l’Extrême Orient, a une définition bien plus large que son terme équivalent en Eorzea. Similaire aux Douze d’Eorzea, il existe des entités célestes qui règnent sur le soleil ou la lune, mais aussi sur des montagnes et rivières sacrées, aussi bien que des plantes et des animaux ayant vécu exceptionnellement longtemps jusqu’à atteindre le statut de dieu. De grands dirigeants ont été déifiés dans l’après-vie, des objets imprégnés d’esprits divins, et même certaines créatures aux proportions surnaturelles sont tout qualifiés pour rejoindre les rangs des kamis.
Les partisans des différentes fois sont largement tolérant des divinités des autres, et portent souvent le même respect à chaque kami. Il n’est pas étonnant pour un Oriental d’assimiler la mythologie de dieux étrangers qui peuvent être perçu comme suffisamment proche de leurs propres divinités.
Cette approche de la foi l’esprit ouvert a donné naissance à un panthéon de kami aux origines diverses, et causé les lamentations de nombre de théologiens occidentaux tentant de définir ce nébuleux système de croyances.
Les dieux célestes :
Les amatsukami sont les choses divines qui descendent des cieux durant des ères depuis longtemps oubliées pour résider dans les royaumes mortels. Une version de leurs légendes décrit comment les kamis firent leur chemin vers le bas à travers la tour du Pilier des Cieux, la tour étrangement haute construite sur l’île d’Onokoro. Nombreux sont les noms des kamis qui sont parlés dans l’Extrême Orient, mais néanmoins, les plus estimés parmi eux appartiennent aux trois grandes divinités : Amaterasu, le dieu du Soleil ; Tsukuyomi, la Dame de la Lune et Susano, le Seigneur des Tempêtes. Toute ces entités sont considérées comme des amatsukami, mais à cause des variations locales des mythes et des légendes, il est difficile d’être certain de leur genre, et encore plus de dessiner un portrait pour aucun d’entre eux.
Bien que Susano soit une importante présence parmi les Amatsukami, il existe une myriade d’interprétations de l’entité elle-même. Les Kojins, par exemple, croient au Seigneur de la Tempête comme un « tsukumogami » dont l’essence est divisée entre plusieurs réceptacles, une croyance qui est née quand trois importantes reliques furent rassemblées pour invoquer une incarnation primordiale. Y’shtola des Héritiers de la Septième Aube, néanmoins, pense que le Primordiale devrait être considéré comme rien de plus qu’une manifestation alimentée par la foi des Kojins selon leur propre conception de Susano, et s’oppose à en faire une preuve définitive de la véritable nature du Kami.
Divinité dans une bouteille :
Tsukumogami sont des objets fait de main de l’homme tels que des outils ou des armes qui ont acquises un esprit divin au cours des décennies. Le mot « tsukumo » peut être transcrit avec les caractères utilisés pour écrire « quatre-vingt-dix-neuf » et représente une période de temps juste avant un centenaire. Cela n’implique pas néanmoins que chaque objet qui survit sur ce temps sera béni par la présence d’un tsukumogami. Les contes qui entourent ces reliques parlent de pièces d’art exceptionnelles et de chef d’œuvre, ou les décrivent comme l’héritage remarquable d’un héros ou d’un artisan de talent, tandis que les « quatre-vingt-dix-neuf » années peuvent être un innombrable écoulement des années, auquel il est plus poétique de substituer un passage du temps significatif.
Tout aussi ambigue est ce qui constitue l’évidence de la manifestation d’un tsukumogami. De nombreux écrits décrivent des objets changeant de position au cours de la nuit sans intervention extérieur, alors que d’autres pointent la fortune surnaturelle qui visite ceux qui sont en possession d’un trésor particulier. Les exemples les plus tangibles dans les chroniques incluent des poupées qui peuvent bouger de leur propre volonté, ou qui parlent à voix haute en face de leurs spectateurs. Mais même de telles « preuves » ne confirment pas nécessairement l’authenticité d’un réceptacle. Aussi longtemps que ces qualités ne sont pas attribuées à une malédiction, une antique suspicion d’abriter une présence divine fait grimper sa valeur exponentiellement. Si bien qu’il ne manque pas de marchands peu scrupuleux prêt à tromper ses clients avec des arnaques bien préparées, des objets contenant des mécanismes cachés crées pour simuler la présence d’un tsukumogami.
Les Kojins pensent que les anciennes poupées faites par un artisan inconnu sont devenues les réceptacles pour un tsukumogami. Suivant cette révélation, ils commencèrent à créer et vendre des imitations de ces objets désormais sacrés. Que cette industrie ait pour origine un désire de profit ou une simple et étonnante marque de piété n’est pas entièrement clair.
Les reliques :
Les reliques telles que celles rassemblées par les Kojin incluent des réceptacles pour les esprits divins, ou des objets qui furent par ailleurs infusé par des pouvoirs divins. Contrairement à un réceptacle de tsukugami, une relique bénie par les énergies sacrées d’un amatsukami ou une entité similaire est considérée comme un objet qui peut être utilisé plutôt qu’adorer. Cette catégorie de reliques est souvent utilisée dans des rites et des rituels comme focus pour la manifestation de phénomènes arcaniques.
Fait de nickel, cet ancien miroir est béni des énergies de Tsukuyomi, divinité de la nuit et de la lune. Les Kojins rouges abandonnèrent ce trésor à l’Empire Garlemaldais, et l’objet servit plus tard comme focus pour l’invocation d’un primordial.
Une autre relique « réquisitionnée » par l’Empire Garlemaldais est connu comme « Ame-no-Habakiri », ce trésor des Kojins rouges est une arme de légende, dont on dit qu’elle fut portée à la bataille par le kami Susano contre une menace antédiluvienne.
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