[Chronique] - Les périples d'une Rôdeuse aventurière.

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Akayane
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[Chronique] - Les périples d'une Rôdeuse aventurière.

Message par Akayane » 09 oct. 2025, 23:05

Les périples d’une Rôdeuse aventurière.
Derrière la porte d’or, dans la Mémoire vivante.

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Cent-trente-et-unième entrée.
«L’Arbre du Rêve apaisant.»
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« Il était temps de tout faire pour récupérer le Rêve d’Utopie, pour arrêter les conséquences environnantes qui s’accumulaient de plus en plus. Nous n’avions toujours pas eu de piste concernant Tzar, mais il était une véritable main armée pour Thanatos dans les environs. Et s’il récupérait les puissances de tout les rêves, je ne voulais même pas savoir ce qu’il ferait dans le Monde Inéphémère surtout depuis les conséquences de l’apparition d’un primordial dans les environs. Notre piste nous menait vers une installation propre de la mémoire éolienne, là où la concentration d’éther animait les lieux, surtout depuis qu’il fut réveillé de nouveau par Oblivion et leurs alliés. Ainsi, il était temps d’arracher le premier rêve, pour libérer les lieux. Mais le temps n’était pas avec nous. Ironique me direz vous, dans une zone aussi surprenante que la Mémoire vivante

Mais là, il y avait plus loin, une sorte d’énorme nuage émeraude. Monstrueux, donnant l’impression de contrôler les vents partout autour de nous. Un des assistants de Teyb, surveillance d'Oblivion, passa en vitesse en évitant de perdre son chapeau alors que des bourrasques violents apparaissaient. Le nuage, le vent, tout était d’un vert digne de l’éther élémentaire qui était clairement en action ici. Je passais outre, mais cela ne signifiait simplement rien de bon. Ce maudit vent allait clairement nous être défavorable.

Regardant l’énorme nuage, Yuki semblait soucieux que ce dernier n’apporte bien des maux, alors que Rine vint s’installer en vitesse dans son haut, se cachant à toute conséquence de la puissance de ce vent. Les noulithes de Sakari passèrent à côté de lui d’ailleurs, Yuki tournant curieusement la tête, alors que la Hhestarro faisait de son mieux pour ne pas perdre l’héritage inestimable Sharlayanais qu’elle possédait. Formant des fins boucliers autour de nous, afin de pouvoir progresser tranquillement alors que seule Pumaska semblait tout à faire à son aise. Après tout, l’éther éolien, elle, elle connaît bien. Approchant de la zone du rêve utopique, on retrouvait soudainement Strausser et Lea endormi. Installé relativement confortablement contre un arbre, ils étaient surveillés par Bubulle, le petit robot tout rond qui tournait en rond, paniqué. Trecims arriva, en soupirant, nous saluant en indiquant que nos deux compagnons avaient été rendu inconscient pendant une de leur enquête. Quelque chose les avaient poussés à dormir pour vivre leurs utopies dans leurs sommeils. Pendant que Trecims retournait travailler avec Bubulle le gênait, le petit robot nous montra un accès menant vers un amas naturel plus loin ayant prit pas mal de place.

Là-bas, des feuilles d’or tombaient en se désintégrant au sol, alors que la végétation semblait simplement radieuse. S’y mêlait un éther éolien puissant, il faudrait prendre garde à la puissance du vent. En progressant, tout le monde saluèrent Trecims alors que Sakari prit un temps pour demander ce qui pouvait bien se passer, en compagnie de Yuki. Le scientifique de Vana’diel expliqua un instant qu’il ne sait pas comment les deux furent piégés, mais de ne surtout pas se laisser tomber dans le piège d’un moindre fantasme. Surtout dans cette situation. Pendant que Sakari reprenait la route avec un Yuki particulièrement aux aguets, vérifiant les environs en avant garde, Pumaska semblait être nourrie par le pouvoir des lieux. C’était comme si elle ne faisait qu’un avec cette force, les vents tournoyant doucement autour de la Shetona. Continuant notre route, la végétation d’or se mit à tournoyer autour de nous rapidement avec un effet de sommeil.

Tout ça tentait de nous faire tomber brusquement à notre tour, pour rejoindre Strausser et Lea. Voilà donc ce qui leur était arrivé ! Nous devions tout faire pour ne pas nous endormir, ou la situation finirait bien mal pour nous à notre tour. Je voyais déjà des brides d’une vie parfaite, au fond de ma conscience, et la refusait. Pour avancer, je résistais au mieux. Bigre, si vous saviez le nombre de mage et de créature du néant qui ont tenté de jouer avec mon esprit, à force, j’ai commencer à y acquérir une certaine résistance. Mais cela exigeait de moi un état mental spécifique, plus prédateur, et j’espérais que mon regard n’inquiète pas les miens. Pumaska à côté se pinçait, essayait de rester réveillée, cherchant à tenir envers et contre tout. Même quand une vision de sa mère, une silhouette d’or, jaillit en lui disant qu’elle pouvait dormir maintenant. Dormir, c’était périr.

Tandis que Rine était en train de réveillé Yuki en lui piaillant dessus sans cesse. Sakari nous offrit du café, tandis que Pumaska et Yuki refusèrent poliment, elle se mit à boire alors – et j’en bu un peu, ce qui me donna un coup de fouet fantastique – tandis que Sakari semblait être bien plus active. Et elle vu alors venir les problèmes qui naissaient des vents, en face de nous. Un reflet éolien jaillit soudainement et plusieurs silhouettes de protecteurs naquirent. Fait de vent intense, créant des spirales intenses formant des silhouettes d’humanoïdes avec des grandes bâtons. On aurait dit des vrais protecteurs de la forêt se mettant en place pour essayer de nous massacrer à coup de bâton très brutalement. Il nous fallait nous défendre de ses maudits gardiens des forêts fait des vents, et pour ça, Yuki avançait en ouvrant le passage. Du moins, c’était gentil dit ainsi. Il se contenta de tout dévasté de son côté dans des impacts puissants de feu mêlé à au froid de Rine, éparpillant les silhouettes de vent devant nous. Pumaska et moi restions auprès de Sakari, tandis que vicieusement plusieurs des entités éoliennes jaillirent partout autour d’elle. Elle créa quelques boucliers, nous évitant le pire, surtout pour le crâne de Pumaska.

Un coup de bâton m’envoyant m’écraser au sol, mais ce ne fut pas suffisant pour nos ennemis, et ils furent tous dissipés. Le passage était ouvert, pour une fois, tout se passait bien. Même si ce n’était que le début ! Des arbres bleutés se trouvaient un peu partout, les feuillages agités par un vent paisible, ondulant doucement, alors qu’il y avait une impression de candeur franche se dégageant des environs. Nous marchions au milieu des pétales qui disparaissaient en touchant le sol, réapparaissant dans les branches pour créer un éternel amas de chute de feuilles bleues. Ici, un Rêve douillet se faisait particulièrement sentir, Des bulles immenses tournoyaient dans les environs, des amas de consciences étaient visible ici et là, jusqu’à voir ceux de Lea et Strausser. Ils étaient coincés par ici effectivement, leurs consciences abandonnés par cette maudite puissance. Il nous fallait les secourir, sinon, ils ne se réveilleraient jamais. Et maintenant que nous étions là, les bulles risquaient de disparaître et emporter leurs consciences. Dans des souffles de vent tournoyant, formant un effet de spirale intense, créant trois sortes d’esprits des vents ressemblant à des nuages avec un buste étrange, d’un vert vif. Se préparant à nous massacrer pour protéger leurs bulles.
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Alors, Yuki et Sakari allaient agir ensemble contre les esprits des vents, en se préparant à les taillés en pièce. Fonçant vers eux, Yuki frappa brutalement dans un choc puissant, le feu jaillissant en créant une grande explosion, envoyant l’adversaire en arrière soudainement dans un choc puissant. Yuki allait continuer ainsi, mais les deux autres esprits des vents frappèrent, cognant le bouclier de Sakari créer un instant avant l’impact, formant une grande explosion éthérée envoyant soudainement et brusquement Yuki en arrière. Au moins, il fut protéger d’un choc bien plus violent, mais c’est là que Sakari perçu quelque chose de malsain : les deux autres esprits des vents se mirent à créer un effet d’éther puissant en dévorant l’esprit blessé par le glaive de Yuki, les faisant grossir toujours et encore plus. Sakari se mit alors en tête de leur arracher de tels effets. Les vents puissants furent repoussés, dans un effet intense, sortant de leurs corps comme s’ils vomissaient des vents sans cesse en sortant d’eux, disparaissant dans des grandes lueurs d’émeraude. L’un d’eux devina les effets de Sakari, renforcé par Rine avec des effets de froids, alors qu’elle fut balancée dans une violence bourrasque tournoyante sans cesse autour d’elle en la bloquant douloureusement.

Il fallait qu’elle s’échappe de là, pour enfin massacrer les maudits esprits des vents. Pour ça, Sakari fit revenir ses noulithes et dissipa les effets. Retombant au sol, les yeux qui tournaient un peu, elle perçue Yuki et le danger pour lui : dévastant les deux derniers esprits des vents dans une tornade de feu, créer par Rine et lui, une des créatures des vents forma soudainement une grande lame d’énergie, fonçant vers le torse du Viera. Brisant le bouclier trop fin de Sakari né d’urgence, la lame entailla le torse de mon compagnon s’effondrant à côté de Sakari. Mais au moins, ça diminua énormément les dégâts. Fonçant vers les bulles flottants dans les airs en vitesse. J’utilisais la vision des Auras, que j’avais appris de mon temps en tant que Samouraï il y à des années de ça, pour suivre les pistes éthérés provenant de ce qui liait les sphères.

Je tranchais les liens soudainement, dans des coups puissants, permettant aux songes de Lea d’être isolés, mit en sécurité, alors que Sakari formait un vent puissant. Nous allions en un instant les mettre tout les deux en sécurité, mais quand je m’approchais de celui de Strausser, un reflet Utopique de Strausser jaillit. Un chevalier magnifique, fait d’or, flottant en l’air en me repoussant d’un coup puissant, me faisant reculer rapidement. Le Strausser Utopique paraissait magnifique dans ses effets d’or. Et lui, il avait des CHEVEUX. Bigre, qu’est-ce que c’était inattendu ! Alors, je luttais avec le Strausser utopique dans des coups puissants. Il était habile de l’épée, autant que le véritable, et son air impassible avec ses cheveux flottant au vent le rendait encore plus perturbant à voir, il faut bien l’admettre. Les coups tombaient dans des impacts puissants, et alors que je le repoussais, Pumaska était en danger. Les deux sphères étaient en sécurité et commençaient à rejoindre Léa et Strausser, mais elle se faisait elle même ponctionner. La silhouette de sa mère était là, lui disait que tout allait bien.

Comme pour lui faire oublier tout ses malheurs, la faire plonger dans un rêve Utopique où tout ses malheurs n’ont jamais exister. Je criais son nom, alors que Pumaska était plongée dedans, pendant que j’embrochais le reflet utopique de Strausser au sol. Le laissant se dissipé petit à petit. Pumaska s’offrit une de ses gifles pas possible, s’arrachant de cette illusion alors que tout les rêves tombaient lentement en amas d’énergie flottant dans les cieux. Nous pouvions alors rejoindre Yuki, nous occuper des soins, et approcher de là où une tornade était en train de naître. Le temps était compté, hélas. Quittant les feuillages, ceux ci tournoyaient dans tout les sens avec une impression de calme paisible, une route se trouvait au milieu de la végétation en arrivant enfin dans un lieu de technologie avec des tuyaux un peu partout. Entremêlé de nombreuses racines, celles ci gagnaient en intensité là où elles n’étaient pas censés être.

On pouvait le voir aux étincelles et à l’impression que la technologie souffrait de la présence la nature. Dans un arbre, se trouvait des fruits énormes avec des rêves à l’intérieur. La mémoire des rêves de certains éternels se trouvaient dedans, avec à l’intérieur vaguement des silhouettes occupés à vivre leur vie utopique. Mais plus nous progressions, plus de la pâtée noire s’agitaient au sol de façon dégoûtante. Le chant du cauchemar se mêlait aux environs, et cherchait à maudire la joie de ses souvenirs et de ses rêves. En progressant au milieu de tout ça, Sakari semblait écœurée, utilisant ses noulithes pour désintégré les amas de noirceurs un peu partout dans une lueur vive. J’en récupérais un peu dans une fiole, pour Lucian, alors que Yuki semblait voir des comparatifs avec les premiers éléments découverts.

Les fruits, par exemple, ne contenaient plus des rêves utopiques. Mais des rêves déformés, monstrueux. Lui comme Pumaska étaient armes en main. Imaginant bien que cette gelée pouvait une nouvelle fois réagir. Après tout, n’était-elle pas celle qui avait jaillit de L'Orchestrion pour essayer de me tailler en pièce ? Tout en haut des amas de mécanismes installés un peu partout, des lumières fusaient ici et là, entremêlées par des tissages d’or splendide, donnant clairement l’impression d’une rare beauté illuminant notre vision, alors que l’éther circulait un peu partout avec splendeur. Des pétales d’or tournoyaient sans cesse, mais devenaient d’un mauve intense reluisant soudainement dans les cieux. Un œil apparut brusquement dans un grand flash d’éther, une voix murmurant que certains rêves se s’étendaient à des vastes forêts paisibles et chantantes. Et soudainement, mêlé à la mélodie de la nature entremêlé par les sons d’une forêt, un amas de feuillage tournoya sans cesse dans une lueur intense, jusqu’à faire apparaître un grand Arbre vivant. Un œil unique était présent sur son trou, et au dessus, une perle de lumière se mêlait d’obscurité, se trouvait au dessus de son tronc. Né de la corruption du rêve de Terreur, il nous fallait récupérer le Rêve d’Utopie.

Pour ça, Pumaska jaillit dans le dos de l’entité, en commençant à isoler le rêve de l’être. Les vents tournoyant soudainement, mais en retour, Tzar commençait à essayer de la repousser, exerçant en elle une énorme pression mentale. Sakari fut de même soumise à cette force spirituelle, mais pour une autre raison : En se concentrant pour l’analyser, elle découvrit tout de la créature. La gardienne souillée de cette Utopie. Mais si elle trouvait des moyens de l’atteindre, elle fut saturée des visions des Alexandrins se répétant encore et encore dans son esprit. Je tentais d’aider Pumaska et elle en les couvrant, tranchant un peu partout avec Yuki dans des coups puissants. Mais un tentacule de bois s’enroula autour de moi, m’écrasant au sol, avant de m’envoyer valser plus loin douloureusement.

Yuki trancha le tentacule en vitesse – ce qui fut d’ailleurs la raison de mon envol, bigre ! En mettant le feu à l’horreur qui gagnait à chaque instant en intensité, devenant de plus en plus sinistre. Alors, Yuki et moi attaquions sans cesse l’entité. L’arbre monstre était frappé de toute part, nos lames l’endommageant de plus en plus, tandis que le Rêve illuminait les cieux d’une lueur éolienne. Rine et Pumaska le mirent en sécurité, l’arrachant de l’entité qui m’envoya encore valser sur le côté. Les soins de Sakari étaient essentiel, et elle nous offrit l’astuce : isoler le rêve, pour que son gardien n’ait plus accès à sa force. Il était de plus en plus faible. Mais soudainement, les yeux de Sakari tournèrent en lueur d’or. Elle tendit le bras, mentalement affecté par le Chant des Rêves, l’entité née du chaos dans la Mémoire vivante.

La créature disparue avec la mémoire d’Alexandrin en s’échappant du système. Celle ci voulait dévoré le Rêve d’Utopie, et ne se gênait pas pour utiliser le corps de Sakari pour ça. Des poings de vent jaillirent des cieux, et frappèrent partout autour de nous. Nous parvenions à esquivé, mais il nous fallait libérer Sakari avant la destruction du Rêve, tout en achevant son gardien. Bigre, que de soucis ! Alors, Pumaska parvint à protéger le rêve, l’isolant soudainement, le mettant de côté en le récupérant. Envoyant Rine à son aide, Sakari allait se perdre. Plongeant dans la noirceur, entraînée par le chant des rêves, Rine brisa cette phase en plongea en récupérant Sakari avant qu’elle ne perdre tout ses souvenirs. L’entité lui en vola tout de même un très précieux : le souvenir de sa Mère. Dehors, je libérais Yuki d’un grand coup de glaive, avant que nous n’abattions nos lames dans son œil, en plein cœur du gardien.

Les lumières quittaient son corps, s’éloignant de toutes leurs incarnations, disparaissant dans tout les sens en formant des mélanges d’or et de noirceur, l’utopie et la terreur se dissociant sans cesse. Se désintégrant de plus en plus, s’échappant dans les airs, la sphère du Rêve d’Utopie flottait au dessus du sol, passant du mauve à l’or paisible. Nous nous sentions vraiment apaisé lors de sa vision, ce n’était plus simplement une tentative de nous apaiser pour mieux nous tuer, il se dégageait réellement de ça une impression vraiment apaisante. Un premier rêve fut libéré, et notre quête dans la mémoire vivante, ne faisait que commencer. Surtout qu’il nous faut maintenant retrouver les précieux souvenirs de Sakari. Et ça, c’était encore plus précieux.»
Akayane Kosenjobi, Rôdeuse-Vipère aventurière.

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Message par Akayane » 10 oct. 2025, 23:03

Les périples d’une Rôdeuse aventurière.
Derrière la porte d’or, dans la Mémoire vivante.

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Cent-trente-deuxième entrée.
«Ce qui rôde dans la lave.»
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« Maintenant que le Rêve d’Utopie était en sécurité, nous n’avions pas encore libéré de nos quêtes de libération vue qu’il en restait au moins deux. Désormais, c’était le tour du Rêve Héroïque, et celui ci avait prit place dans la zone influencé par l’éther flamboyant. Là-bas nous attendait des zones de feu et autre effets de chaleurs allant de la pierre volcanique aux coulées de lave. Nous avions appris que les sentiments d’héroïsmes avaient été remplacés par de la peur et de l’effroi, et plusieurs créatures avaient réagit rapidement à ça. C’était des monstres fait pour être vaincu par des « héros » issue de ce genre de rêve, ce qui pouvait rapidement amener à de très sérieux problèmes, si vous voulez mon avis ! On avait pu voir que même des êtres venant d’une utopie calme et paisible pouvait déjà créer des puissantes entités, alors que dire d’être fait pour être affrontés avec grandeur et charisme ? Alors, il était temps de partir à son secours. Nous découvrions l’Asile Volcanique alors que je prenais un temps pour contempler les environs, curieuse de voir l’étendue fantastique de cette vision des pierres de feu.

Des installations nombreuses étaient dédiées aux loisirs aussi, on pouvait par exemple voir plusieurs moyens de se distraire avec des jeux et des coins de recoins, tandis que nous étions rapidement rejoint par des petites machineries ayant l’air stressées. Elles nous offraient divers friandises, et des glaces – Bigre, j’admets en avoir pris une à la vanille immédiatement – alors qu’elles nous laissèrent une fois approchant des zones dangereuses. C’était presque bienveillant, comme situation. Il faisait particulièrement beau, quel endroit reposant dont nous profitions ! Mais Pumaska semblait tendu. Tout ça la rendait nerveuse, et je pouvais la comprendre : dans ce genre de moment bienveillant, qui sait qui pourrait arriver ? Lucian était aussi tendu, observant nerveusement les environs en allant jusqu’à râler sur les petites machineries.

Celles ci fuirent, nommant Lucian comme le « Nouveau destructeur. » Visiblement, il ne s’était pas fait d’ami, ce soir. La zone héroïque où la végétation semblait desséchées. Il y avait jadis une harmonie magnifique dans les environs, du moins normalement, avant que l’impression de Cauchemar n’avait pas déréglé les environs. Les brins secs brûlaient à plusieurs endroits, au milieu de colonnes de pierres dont les lumières sur les hauteurs ressemblaient à des feux qui jaillissaient sans cesse. Alors que nous progressions entre les pierres, le chant du Rêve de Gloire commença, donnant l’impression d’entendre des merveilleuses sonorités résonnant dans les environs, celles d’un rêve épique. Mais rapidement, elles furent déformées par des cris de peur. A chaque fois que les cris étaient plus fort d’un coup, des éclats de flammes jaillissaient avec plus de férocité encore. Cette vision était délétère, et il nous fallait suivre la musique distordue. Je prenais le temps de regarder plusieurs des effets, une lame en main, mon instinct n’arrêtant pas de suivre les cris différents se faisant entendre un peu partout.

J’avais l’impression qu’à tout instant, un soucis pouvait advenir. Tirant ses deux lames, Pumaska était tout aussi attentif, regardant un peu partout, contemplant les flammes qui tentaient de se transformer ne monstre sans jamais y arriver dans des sinistres danses. Lucian à côté étudiait l’éther, constatant que la corruption était effectivement plus forte avant de frapper de sa faux au sol, créant soudainement dans une lueur vive, des boucliers autour de nous pour nous protéger de la chaleur. Il ne se doutait pas que ce simple geste allait bien plus nous aider qu’il ne le pensait, alors que nous progressions en suivant la musique.

Continuant notre passage, les flammes se mirent à jaillir un peu partout dans des fracas d’une rare violence. Le feu et la lave se mirent à couler dans les environs, s’étendant sans cesse pour essayer de nous tout ce qui se trouvait un peu partout autour de nous, pour essayer de nous bloquer l’accès. Si nous restions là, nous finirions simplement par fondre au milieu de la lave et du feu s’accumulant autour de nous. Pour nous échapper, je bondissais de mon côté vers des hauteurs. Utilisant mon instinct, je cherchais les lieux les plus avisés pour passer d’un bond à un autre, échappant au feu et à la mort d’urgence. Soudainement, une grande onde de vent jaillit. J’en fus plus que surprise, mais Pumaska et Lucian usèrent la même source d’éther : le vent. Pumaska formait des vents intenses de ses lames tournoyantes pour repousser les flammes, tandis que pour Lucian, il créait soudainement des ondes de vents puissants en repoussant les flammes.

Sortant des amas de flammes provenant des croûtes rocheuses, sans cesse, jaillirent plusieurs silhouettes humanoïdes. Les visages comme saturés de reflets, brouillés, créaient des aventuriers vaillants d’Alexandrie « parfait », alors que le feu ondulaient autour d’eux. Portant des armes de pierre volcaniques, nous fonçant dessus pour essayer de nous tailler en pièce. Alors, je fusais pour les prendre de vitesse, frappant en libérant la vibration accumulé dans ma lame pour trancher deux des silhouettes en morceaux. Tirant ma seconde épée pour parer une frappe, je me retrouvais alors en train de parer plusieurs adversaires pour faire comme L’vinus : tenir de front, et laisser Lucian et Pumaska les taillés en pièce. Formant un effet de gel intense de plus en plus fort, créant de l’effet de froid partout autour des environs, jusqu’à coincé soudainement la plupart des silhouettes.

Deux jaillirent dans son dos, blessant soudainement le Sorcier en l’envoyant sur un genou, du sang glissant de sa blessure, alors qu’il fut bloqué un bref instant. Ça aurait été bien pire, si Pumaska n’avait pas taillé en pièce ses assaillants. Fusant sans cesse dans des mouvements puissants, nous nous débarrassions alors d’urgence avant qu’elles ne se libèrent du froid. Aidant Lucian, nous progressions, quittant les lieux avant une nouvelle vague de souvenir issues des flammes. Arrivant entre les pierres, au milieu d’une zone particulièrement malmenée par la chaleur et les flammes, ondulant dans les environs. Une énorme cosse se trouvait dans les hauteurs comme si une araignée immense l’avait formé. Coincé dans les airs par une sorte d’amas de gélatine surchauffée, illuminé d’un effet intense comme si le feu avait été solidifié. Dans les airs, il y avait un côté fascinant dans cette cosse installé au dessus de nos têtes, aussi magnifique qu’effrayant.

Et c’est là que, en l’entendant vaguement, nous pouvions réalisé que le Rêve Héroïque – du moins une partie – se trouvait à l’intérieur avec des notes brisées. Il nous fallait libérer la cosse rapidement, pour que les sphères héroïques ne soient pas plus souillées qu’elles ne l’étaient alors que des cris paniqués se faisaient entendre, comme des jeunes aventuriers paniqués. Et soudainement, des bêtes liées au rêve de la Terreur jaillirent : des énormes crabes de lave, sortant de leurs cachettes partout autour de nous, nous fonçant dessus en agitant leurs places.
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Pour ce débarrasser d’eux et libérer les perles de lumière, Pumaska jaillit à toute vitesse en frappant à toute vitesse. Les impacts résonnaient encore et encore, en des coups puissants, créant plusieurs échos dans les airs quand les crabes de laves tentaient de l’atteindre en retour, créant des vives explosions à sa suite en cherchant à la toucher. Quand la tornade créer par Lucian frappa, les entités ne purent faire quoi que ce soit d’autre que subir l’intense pression des vents. Deux furent brisés par Pumaska dans des coups vifs et puissants, envoyant leurs décombres valser un peu partout alors que rapidement les deux se mirent en position. Bondissant en arrière, Pumaska évité l’énorme explosion de feu qui frappa, mais pas Lucian. Le Sorcier fut envoyé au loin en arrière, sonné par l’intensité d’une telle boule de feu ayant créer une explosion d’une rare puissance. Les trois derniers n’allaient pas se laisser avoir si facilement ! Se redressant lentement, Lucian formait déjà de puissant effet de vent.

Les lames tranchantes fusaient contre les crabes de lave, les brisant de plus en plus dans des impacts puissants se répétant contre leurs carcasses, envoyant des amas de feu un peu partout lors des chocs. L’un fut brisé, mais Lucian reçut une explosion contre l’épaule, comme dans un véritable duel de magicien. Pumaska en profita, comme dans une lumière verte, formant une véritable tornade, pour détruire le second de deux coup puissant, n’en laissant alors qu’un seul : Le dernier se mit soudainement à grossir, sans cesse, devenant un énorme crabe vomissant du feu liquide. Pour s’en débarrasser, Lucian avançait, fit de la dévastation et des explosions, jusqu’à ce que soudainement un choc ne le touche, l’envoyant s’écraser douloureusement contre la pierre. Mais il était vengeur : sa sphère de glace et de vent s’écrasa bien brutalement sur le crabe, créant une forte explosion qui le congela. Quand Pumaska, ayant esquivé tout les chocs et la dévastation, parvint à l’atteindre. Il ne lui fallut que peu pour le trancher en deux, laissant son corps tomber en amas de pierre volcanique à terre. De mon côté, j’étais partie secourir la cosse.

Bondissant un peu partout, je tranchais les liens lui permettant de se tenir dans les airs, fendant à toute vitesse dans des lueurs vives rayonnant autour de mes lames. J’allais enfin l’ouvrir, mais une lame jaillit et bloqua la mienne, me repoussant soudainement en retombant au sol. La silhouette de feu intense était entièrement affecté par la marque de Thanatos. Il s’agissait d’un Shetona, du moins, la silhouette d’un Shetona créer avec son éther mémoriel. Nos coups résonnaient sans cesse, mais j’avais une cible : la cosse. Après une série de parade et de déviation intense, créant parfois même des explosions entre mes lames et les siennes en des chocs puissants.

Je parvins à passer outre sa garde et à fendre en bonne partie la cosse. Plus qu’un coup, et ce serait bon ! Mais je reçu un coup dans le ventre, m’envoyant m’écraser lourdement par terre plus loin, glissant deux fois au sol avant de me redresser. Bigre, comme ce corps de feu n’allait pas être facile à outre passer. Pour en finir avec lui, je me hissais avec mon lance-grappin – le même que Yuki je dois admettre – droit vers la cosse, après plusieurs déviations. Des coups tombaient même dans cette posture, et je parvins à le décapité d’un coup net. Il se mit à rire, disant que ça ne suffirait pas, mais mon autre lame ouvrit la cosse : dedans, un jeune Shetona, un ami de Teyb. Membre d’Oblivion, il était là pour Teyb et notre mission. Rejoignant Lucian et Pumaska, je le laissais aux mains de Strausser en le contactant. Il fallait le mettre en sécurité, mais il ne le serait pas. Pas tant que la chose ici n’était pas vaincue. Nous reprenions notre route, bien décidé à l’atteindre et à libéré le fardeau du Rêve de Gloire des environs. Sortant de tout les côtés, les billes de lumières sortaient enfin de la cosse en tournoyant dans les airs.

Dans les billes, des sonorités épiques se firent entendre, des chansons donnant l’impression de glorifié la bataille, la réussite, la victoire. Mais elles étaient attirés vers un endroit spécifique. Il nous fallait les protéger, cette partie du rêve héroïque, et nous les suivions alors là où le rêve de terreur avait accumulé de plus en plus de noirceur. Des lueurs rouges se mêlaient aux tâches sombres, alors que les émanations sortaient du sol un peu partout sinistrement. Des coulées de laves jaillissaient, beaucoup trop dangereusement pour les éternels qui vivaient jadis ici. Cet endroit subissait vraiment cette noirceur, alors que la lave comme dirigée, passait autour de nous. Pourtant, nous devions atteindre ce qui souillait ce mal. Je regardais les lieux curieusement, voyant dans plusieurs sphères des amas de lumières pâles presque attristante, des scènes passant de l’héroïsme à la peur. Alors que je pris un très bref instant d’observation en esquivant les flammes et le chaos, pour ne pas grillé bêtement en marchant.

Pumaska restait sur ses gardes, observant les silhouettes naître du feu, avant d’en fendre soudainement une de sa lame tandis que Lucian, lui, regardait attentivement les environs pour essayer de vérifier que rien ne nous arrivait dessus. Nous étions bien sur nos gardes, dans ce lieu dédié aux flammes intenses. Le sol s’agitait sans cesse dans des grondements puissants. Regardant un peu partout alors que la lave cherchait à tournoyer dans les environs, formant des effets de feu gagnant en intensité sans cesse. Et alors que je regardais la lave grondante, un bras jaillit soudainement en propulsant de la lave partout. Petit à petit, le bras aidait un corps à se relever, dévoilant tout un tas de fourrure magnifique avec des effets de luminescence rouge magnifique, comme un feu constant, comme une chaleur atteignant son paroxysme. Et soudainement, les petites sphères censées êtres des rêves héroïques, vinrent se caché derrière nous avec une sorte de panique intense.

Le Troll, un "Gargantua", nous fit face soudainement avec un grondement puissant. La dernière fois que j’en avais vu un de ce genre, c’était à Kozama’uka, et la bête agitait lentement ses crocs avec un grondement puissant. Voilà donc l’aspect cauchemardesque d’un monstre ne pouvant être vaincu selon la perception des rêves héroïques. Pour le vaincre, et les libérer de cette peur, j’envoyais rapidement une de mes lames avec une nouvelle technique de feinte : une image de Miroir fusait avec elle. Quand le Troll tenta de « m’attraper », il ne fit que se prends l’épée dans la main, me laissant réapparaître dans une réparation en la rattrapant plein vol, lui frappant six fois le bras de mes lames.

Pumaska en profita pour frapper à toute vitesse, dévastant un peu plus son bras. Nous lui avions laissé en piteuse état, et il leva son autre bras, devenu énorme. Lucian qui nous avait offert des boucliers, fut surpris de voir l’énorme bras lui foncer dessus pour le broyer. Je parvins à le sortir en urgence de là, lui permettant de s’échapper à toute vitesse dans une lueur foudroyante. Il nous fallait nous débarrasser de la bête, et pour ça, je fonçais en frappant le plus fort possible de mon glaive. Il fallait l’endommager brutalement, et même une fois repoussée dans une explosion de feu, Pumaska jaillit. Le taillant à la gorge sérieusement, elle pensait repartir et frapper de nouveau, mais le bras griffu de la bête l’attrapa, et vint soudainement l’écraser contre un amas de pierre. Il n’en fallut que peu pour que Pumaska ne tombe dans la lave, bigre !

Lucian, se remettant du choc et se soignant un peu, envoya soudainement son serpent d’ombre vers la bête. Celui ci commença à ponctionner son éther, brisant son bras définitivement. La bête leva alors la jambe, son cri de colère se mêla à la déflagration de feu fantastique, quittant son pied au moment où il l’écrasa au sol. Si Pumaska et Lucian furent frappés par la vague de feu, je parvins à bondir au dessus dans une lueur nocturne vive. Fonçant à son contact, j’offrais du temps à mes compagnons, le tranchant au flanc dans un coup délivrant une bonne partie de mon éther accumulé dans la frappe. Le troll aurait aimé agir, mais Pumaska lui lança son glaive, le transperçant de part en part. Lucian resserrait son emprise de son serpent, mordant fortement le Troll, complètement coincé. Que je viens décapité d’un coup, pour en finir avec notre adversaire.

Reculant brusquement le Gargantua tomba dans la lave, peu après sa tête que j’avais coupé de ses épaules. Fondant lentement dans la lave, disparaissant, des lumières rouges jaillirent et disparaissaient. Plusieurs silhouettes naquirent alors dans des perles d’or, libérés du cauchemar, en prenant des postures héroïques. Une petite musicale joviale jaillit, tandis que les échos dansaient, profitaient. Nous avions libérés cette partie du Rêve héroïque, et une nouvelle fois, nous étions à la poursuite d’un nouveau mal massacrant tristement le pouvoir d’un rêve. »

Akayane Kosenjobi, Rôdeuse-Vipère aventurière.

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[Chronique] - Les périples d'une Rôdeuse aventurière.

Message par Akayane » 12 oct. 2025, 23:09

Les périples d’une Rôdeuse aventurière.
Derrière la porte d’or, dans la Mémoire vivante.

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Cent-trente-troisième entrée.
«Un corps de feu héroïque.»
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« Au moins, nous étions bien installés dans ce recoin particulièrement chaud. L’Asile Volcanique n’était pas vraiment fait pour ceux préférant la neige et le froid, mais je dois dire que n’étant généralement pas affectés par les conditions des ambiances locales – un de mes talents les plus efficaces, je trouvais simplement les lieux curieux et fantastique. C’était très différent des Jardins de Soufflevent, me donnant l’impression de découvrir tout un espace dédié aux démonstrations de force. Et en parlant de toutes ses activités, cette fois, nous n’irions pas agir dans une zone sauvage avec des bêtes errantes. Nous partions pour un recoin animé fait pour le temps passé par les éternels à s’amuser et se défendre. Hélas, nous n’étions simplement absolument pas là pour ça. Il fallait continuer à atteindre la contamination du Rêve de Gloire, jusqu’à lui mettre la main à son tour pour l’empêcher de très mal finir. Reprenant notre route tous ensemble, une fois le briefing terminé avec Sakari, Pumaska et Yuki.

Nous faisons quelques pas avant d’être rejoint par plusieurs des robots flottant doucement en l’air, nous apportant des victuailles après avoir bien vérifier que Lucian n’était pas là. Visiblement, il les à traumatisés. C’était alors qu’ils tentaient de nous apporter sans cesse des gains que soudainement, le volcan plus loin se mit à rugir. Une fausse note particulièrement affreuse fut entendu, comme si quelqu’un avait attrapé un son, et l’avait soudainement tordu entre ses doigts atrocement. C’était aussi désagréable que vous pouvez l’imaginez, alors que la chaleur s’accentuait et que des fissures apparaissaient, de la lave présente tout en dessous. Le rêve de Terreur semblait prendre de plus en plus de glace, endommageant les lieux imprégnés par celui de la Gloire. Il fallait arrêter ça, et vite! Pumaska pestait contre cet impact, évitant de tomber dans le vide, avec des mouvements fluides. Yuki et Sakari en firent de même, alors que le Viera lui était un peu plus curieux et détendu face à ce qu’on nous apportait. Sakari, munie de sa nouvelle coiffure, portait une détermination renouvelé par le vol de sa mémoire lors de sa dernière mission.

En effet, je pouvais plus que la comprendre dans cette quête là ! Continuant notre route dans l’étrange installation. Des lumières vives jaillissaient avec des couleurs un peu partout. Une pancarte s’agitait en l’air et faillit me faire exploser de rire, pour être franche. « L’escape des petits aventuriers. » Bigre comme je trouvais ça adorable, au final, mais j’étais consciente que ce qui nous attendait ne serait pas aussi mignonnet qu’une après midi d’amitié dans un espace de détente. Continuant en avançant, Lea semblait regarder les environs l’air admirative avec Trecims se trouvant non loin de là, remettant ses lunettes en place. Ils ne nous accompagneraient pas, mais ils cherchaient Strausser, nous demandant un coup de mains pour le retrouver rapidement. Continuant à travers la zone sans eux, au milieu des décorations, des activités, des mannequins avec des démonstrations de force. C’était vraiment une ambiance intéressante, mais le feu et la lave commençait à prendre de la place.

Visiblement, comme la zone de nature, les lieux étaient petit à petit affectés par les flammes. Il fallait arrêter tout ça. Regardant un peu partout, inquiétée par ce qui s’était passé à cause du volcan. Je faisais en sorte de rester sur mes gardes, en cherchant à ne pas céder à l’envie de découvrir les instruments attractifs et leurs usages. Pumaska soupirait, n’appréciant définitivement pas l’ambiance du feu intense et de la chaleur s’accentuant, et je pouvais voir que Sakari quant à elle était surtout déterminé à ne rien laissé s’échapper. Cette fois, son esprit serait un temple. Bigre, au fond, elle me faisait pensé à ceux qui affrontaient Tsakyoki, ayant perdu des souvenirs à cause du Nuage noir.

Lucian en faisait parti, par exemple. Et Yuki, qui guettait l’éther jusque là, leva doucement la main, signalant qu’un problème arrivait. La terre se mit à gronder, et brutalement, jaillit dans les cieux des pierres volcaniques comme propulsés dans les cieux depuis les profondeurs. Au début, c’était surtout un tremblement de terre et des mouvements un peu fou du sol, qui devinrent rapidement une menace mortelle quand les pierres volcaniques se mirent à nous retomber dessus ! Alors que tout nous tombait dessus, il fallait avancer malgré tout sous la pluie de pierre en fusion. Pour nous en sortir, de mon côté, je fusais en calculant la venue des pierres qui voltigeait vers les airs, passant d’un point à un autre en évitant d’être là où je pourrais me faire bêtement écrabouillée. Yuki créa un bouclier de feu intense, alors que Rine à ses côtés renforçait nous mouvement, permettant à Pumaska de se déplacer encore plus vite en esquivant les sphères de feu. Bondissant en l’air, tranchant soudainement une pierre plus massif de ses lames pour évité qu’elle ne tombe sur Sakari soudainement.

Celle ci l’aida avec les protections, donnant lieu à bien des lumières vives au dessus de nos têtes. Mais ce n’était que la première vague des problèmes autour de nous. Apparaissant un peu partout dans des lueurs de feu intense. Des héros fait de flammes jaillirent, tournoyant avec intensité. Leurs poings en l’air, ils frappaient vers nous par la suite, leurs poings propulsant comme des boules de flammes intenses pour essayer de nous balayer. Une fois de plus, la mémoire d’un Rêve était utilisé contre nous. Et pour nous débarrasser des souvenirs des héros flamboyants, je fusais à toute vitesse en venant esquivé deux déflagrations, empalant deux des silhouettes au sol de mes lames. Fusant vers les autres, les tranchant les uns à les suites à toute vitesse, Yuki prit ma place en fonçant avec ses lames, tranchant dans tout les sens en se prenant un coup dans le ventre, me permettant de foncer vers Sakari. Elle était encerclée, ses boucliers rayonnant autour d’elle.

Pumaska qui jusqu’ici la protégée, avait été mise à terre par une sorte d’énorme poing de feu venant l’écraser par terre douloureusement. Sans pouvoir l’aider, Sakari allait se prendre un énorme poing de feu à son tour, mais je parvins à la pousser, prenant le choc à sa place. Tout fus confus pendant quelques secondes alors que j’étais encastrée contre une sorte d’engin débile qui n’arrêtait pas de rire. Yuki et Pumaska, malgré leurs blessures, dévastèrent les dernières entités. Après quelques soins nécessaires, une potion de soin, je retrouvais un peu de force pour me relever. Mais comme le disait Sakari. « Ils ont fait fort pour commencer, ses enfoirés. » Nous voilà au milieu d’une nouvelle fête. Celle ci avait plus l’ambiance d’une sorte de parc animé pour les petits et les grands, tout s’agitant dans tout les sens autour de nous avec pas mal de musique se faisant entendre. Des piscines se trouvaient autour de nous, donnant l’impression qu’on pouvait faire trempette paisiblement.

Un Milala fait de lumière d’or jaillit, fusant à toute vitesse dans une lueur magnifique, tournoyant en dansant, nous souhaitant la bienvenue. Mais il n’arrêtait pas d’avoir sa voix se modifiant sans cesse, crépitant brusquement, alors que la voix de Tzar se diffusait non loin en même temps que la silhouette du Milala s’effaçait. Des lueurs sombres jaillissaient, Tzar nous appelant ses petits papillons égarés, alors qu’une étrange Centrifugeuse apparue dans un recoin. Une lumière tombant dessus comme dans un spectacle, et soudainement, elle se mit à s’activer avec un cri de surprise de celui dedans : Strausser était en grand danger ! Soudainement, des Grenados jaillirent. Des sortes de créatures de feu convoqués ici, l’air particulièrement cruel, envoyant des boules de feu puissante nous fonçant dessus.
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Pour arrêter ça, Pumaska et Yuki jaillirent, des explosions apparaissant sans cesse dans des chocs puissants. Les grenados tentèrent de les arrêter, mais ils glissaient autour de leurs chocs, avant de parfaitement harmoniser leurs coups : Yuki entaillait, Pumaska tranchait, aux mêmes endroits et avec une alternance rendant les coups joints particulièrement efficace. C’était comme une danse des deux rôdeurs, alors que Rine fusait avec eux, formant des amas de glace pour affaiblir de plus en plus les entités flamboyantes. Soudainement, deux furent brisés dans des explosions intenses, envoyant leurs décombres un peu partout. Et hélas, les quatre autres se rassemblèrent. Au lieu de petites boules de feu projetées, elles devinrent des énormes déflagrations frappant les environs pour les dévastés.

Pour arrêter ça, Pumaska se mit à frapper à toute vitesse pour permettre à Yuki de détruire les Grenados. Il renvoyait leurs flammes, les manipulait avec aisances, créant des amas de feu autour de lui avec une dextre plus que respectable. Pumaska lui offrit des moyens d’agir encore plus rapidement et aisément. Parmi les deux derniers survivants à ce contrôle, l’un allait se faire exploser. Il aurait pu emporter Pumaska dans la tombe, mais il fut entièrement congelé par Rine. Devenu une petite sphère de glace, le Grenado alla se briser au sol en plusieurs éclats de givre un peu partout. N’en laissant un. Un qui aurait pu être vaincu plus facilement, s’il ne s’était pas mit à dévorer l’éther pour devenir simplement énorme. Yuki attrapa Rine, s’éloignant des effets de pouvoirs en criant à tout le monde de partir.

Mais le souffle puissant jaillissait, envoyant Yuki au sol douloureusement alors qu’il tentait de partir. Se retournant, gardant bien Rine contre lui, il s’attendait au pire, mais soudainement une tornade jaillit. Pumaska avait usé de l’éther élémentaire avec un parfait contrôle, et propulsa le Grenado loin, très loin dans les airs, créant une vive explosion au dessus de nous. Ça aurait été beau à voir, si nous n’étions pas terriblement occupés juste à côté ! En fonçant avec Sakari, je la devançais de peu pour éviter qu’elle ne soit en danger. Et j’avais vu juste. A peine arrivé sur place, j’envoyais un grand coup de mon glaive en joignant mes lames, fendant la sphère de feu qui éclata sur les deux côtés en de fortes déflagrations, au moment où l’horreur à l’intérieur jaillit. Sakari étudiait la machinerie à ce moment là, et réalisa bien rapidement que cette chose n’était rien d’autre qu’un sort vivant. Certainement due à la magie de Tzar installé ici pour animer l’éther Mémoriel en un monstre contrôlable. Il fallait la détruire, mais, celle ci utilisait l’éther de Strausser et ambiant pour vivre. C’était son repas qu’il fallait frapper en premier pour évité le pire. Je luttais, tranchait, frappais l’entité un peu partout de mon glaive, et celle ci perdait grandement en force et en vélocité.

Ce n’est qu’en regardant mieux vers Sakari qu’il comprit qu’elle lui bloquait son éther, l’affaiblissant à chaque instants, le rendant plus frêle et bien moins puissant. Envoyant une partie rotation de la Centrifugeuse vers elle, je parvins à coupé l’amas de fer, mais cela me propulsa douloureusement dans la piscine à côté, sonnée par l’impact. Et Strausser ? Il avait été arraché à l’engin, valsant dans les airs, se préparant à s’écraser lourdement par terre dans un choc puissant. Sakari envoya alors ses noulithes droit vers Strausser dans les airs. Créant des ailes d’éther, un peu comme je vins. Hé bien. Un ancien camarade doté de noulithes. Strausser retombait au sol doucement.

Le sort de Tzar hantant la Centrifugeuse tenta de massacrer Sakari d’un coup de griffe, mais je parvins à dévié la griffe, avant de planter ma lame en plein dans le sort vivant, la foudre frappant brutalement en le détruisant une bonne foi pour toute. Nous observions alors vers le Volcan. De là où une nouvelle mauvaise note jaillit. C’était là que la menace se trouvait. Reprenant notre route, des technologies se trouvaient un peu partout en donnant l’impression d’être au milieu d’un domaine ayant d’innombrables instruments de loisirs. La plus part étaient fait pour éprouver sa bravoure ou sa force – mais un peu comme au Gold Saucer. Des endroits pour donner des coups de poings, afin de s’amuser à mesurer sa puissance, tandis que des étincelles volaient de plusieurs outillages malmenés par la chaleur et le feu ayant gagné pas mal de place, hélas.

Des silhouettes donnant des coups aux instruments apparaissaient un peu partout. On aurait presque pu penser passer dans un environnement relativement bienveillant, mais on pouvait sentir dans les environs coinçait cet éther dans les environs, pour les souillés tôt ou tard. Dans plusieurs instruments, des sortes de lueurs rouges sortaient de quelques instruments. Je regardais un peu partout alors que Bubulle poussait Strausser en disant qu’il savait exactement comment faire sortir de là l’entité dans le Volcan. Plusieurs flashs jaillirent, nous montrant une créature tentaculaire que Strausser aurait vu au loin, produisant une corruption précisément dans le volcan. Il y avait bien donc quelque chose qui nous attendait. Pumaska et Yuki restaient concentrés, alors que Sakari criait à la chose de se rendre sans histoire. Rien, sauf un rire bizarre, ne nous répondit. Confus, Strausser observait en avant en prenant une pose héroïque. Ce n’est pas lui qui voulait ça, mais Bubulle lui donnait des indications afin de le mettre correctement en place pour qu’il se prépare à jouer en quelque sorte un rôle. Il était particulièrement gêné par cette situation, il devait jouer le rôle du héro dans une situation un peu cocasse pour parvenir à faire s’activer soudainement une sorte de machinerie plus loin.

Celle ci crépitait sans cesse, en piteuse état, et attendait visiblement qu’un éternel joue son rôle pour lui faire affronter un adversaire qui devait être une sorte de simulation gentillette pour jouer au héro. Dommage que le Rêve de terreur, si contaminé fut-il, offrit un adversaire bien différent. Sortant soudainement d’une sorte de volcan plus loin en jaillissant doucement. Une silhouette de feu particulièrement musculeuse, me faisant penser un peu à Rodrigo, jaillit et prit la pose soudainement. Il y eu comme un moment un peu idiot à l’observer en place, comme si les flammes simulaient des cheveux au vent. Il nous fallait quand même l’abattre pour purifier les environs.

Alors, pour briser le héro ardent, Yuki et moi foncions sur ses flancs. Arrivant à toute vitesse en ayant nos glaives prêts, traînant avec nous un effet éther preuve de notre usage pour la vitesse et la force. Mon coup fendit son flanc soudainement, avant que le coup de Yuki ne le brise au torse, créant une lueur d’or là où il fut brutalement impacté. Prenant une pose un peu théâtrale de quelqu’un ayant reçu un sérieux coup, il tournoya alors nous frappant avec une prise de pugilisme, m’envoyant ENCORE dans l’eau – bon sang, encore une piscine ?! Alors que Yuki s’écrasa contre le flanc du volcan. Pumaska en profita, apparaissant dans son dos en frappant de ses deux lames, les entailles de vent s’accumulant en cherchant à l’affaiblir avec des frappes rapides, mais elle n’y échappa pas : elle fut attrapée, et balancée lourdement par terre. Sonnés, nous étions trois à terre, alors que Sakari le montra du doigt en le défiant. Ses noulithes étaient déjà en train de l’affaiblir, étouffant le feu intense de son corps, nous offrant une opportunité pour frapper. Alors, je jaillis de l’eau en frappant brusquement l’entité, la sonnant de mon glaive, tandis que Sakari propulsa tout un énorme amas d’eau dessus, éteignant soudainement ses flammes.

Bloqué par le flot aqueux, l’entité éteinte ne pouvait alors pas grand-chose quand Pumaska et Yuki le frappèrent. Yuki chercha à dévasté sa corruption, la brisant en bonne partie, alors que Pumaska lui coupa un bras ! Créant un choc de feu intense, le Héro flamboyant les propulsa plus loin. Yuki se mangea Bubulle et Strausser, alors que Pumaska s’écrasa contre un outil fait pour faire rire les gens, disant « Vous allez être mort de rire ! » mais l’impact le faisait répété « Mort » en boucle, de façon un peu sinistre. Le héro flamboyant bondit, et nous fonça dessus, pieds en avant, pour nous massacrer. Alors, Sakari bondit à l’eau pour esquiver l’impact, tandis que je me déplaçais sur le côté. Créant un bouclier autour de moi, j’en profitais pour frapper, dévastant, tranchant sans cesse en le repoussant jusqu’à le mettre à genou. Il le resta, surtout quand Yuki lui brisa les jambes avant de se prendre un coup l’envoyant en arrière. Pumaska allait le décapité, mais juste avant de se faire couper la tête, il envoya une sphère de feu vers Sakari. Je bondis pour l’aider, encore une fois, mais ce fut insuffisant.

L’explosion nous emporta, hors de la piscine, nous écrasant contre une chaise et sa table, brisée au passage. Et l’instant d’après, notre adversaire quant à lui fut décapité net. Tournoyant en prenant une pose d’un coup. Mettant encore une fois sa musculature en avant. Il restait ainsi, muscle mit en valeur, en se mettant lentement à fondre. Glissant avec des éclats de lumières sortant de lui, libérant les parties du Rêve de Gloire, avec des musiques audibles dans les environs plutôt épique. Il devint petit à petit une flaque au sol, laissant son bras tendu en l’air en montrant son pouce une ultime fois, avant de disparaître entièrement. Bien, comme c’était surprenant à voir, je dois bien l’admettre. Au moins, nous avions limités les conséquences de la contamination de ce côté de l’Asile Volcanique, Teyb serait ravi d’apprendre ça. Maintenant, restait à retrouver le Rêve en lui même pour le rendre à la Mémoire vivante. »
Akayane Kosenjobi, Rôdeuse-Vipère aventurière.

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[Chronique] - Les périples d'une Rôdeuse aventurière.

Message par Akayane » 13 oct. 2025, 22:51

Les périples d’une Rôdeuse aventurière.
Derrière la porte d’or, dans la Mémoire vivante.

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Cent-trente-quatrième entrée.
«La violence d’un rêve de gloire.»
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«Notre temps dans l’Asile Volcanique touchait à son terme. Au fond, j’en étais contente – j’avais l’impression d’être au Couvercle des Enfers, dans la Mer de rubis. Mais ce qui m’attristait c’était surtout de voir à quel point tout ça avait eu un impact sur les rêves d’aventuriers des anciens éternels. Tout ça pourrait être rendu à la mémoire vivante, et grâce à ça, directement vers ceux attendant de récupérer les souvenirs de leurs proches. Mais il fallait s’attendre au pire : si une créature déjà dangereuse était née du Rêve d’Utopie, pourquoi ne serait-il autrement avec un Rêve dédié à la gloire, à la réussite ? Nous voilà alors en route vers les profondeurs caverneuses. Comme si notre combat allait se dérouler au fond d’un volcan. En route vers la récupération du Rêve de Gloire, les robots-serviteurs n’osèrent pas approcher en criant que Lucian était le destructeur, en leur demandant de l’épargner. Il les avait vraiment traumatiser, bigre. Lea restait là, un peu boudeuse d’avoir été mise sur la touche, continuant son travail sur vos dernières informations afin de pouvoir retrouver le Rêve de Terreur.

Nous continuions alors paisiblement en profitant que le temps était bien meilleur. C’était comme si le monde était plus paisible depuis la chute des créatures influentes à l’extérieur. Regardant un peu partout, Pumaska restait sur ses gardes, vérifiant que rien ne nous assaille, d’un air pensif, l’air très peu heureuse de finir sous terre. C’est toujours de particulier dans les quêtes d’Aventuriers de finir en souterrain ! Prenant un temps pour parler à Lea, Lucian lui expliqua que son travail était essentiel. Vérifiant les environs, observant l’éther, il semblait chercher la moindre source de pouvoir risquant de nous tomber brutalement dessus. En nous dirigeant vers la caverne où devait se trouver le Rêve de Gloire, nous pouvions voir dans les environs, de la terre se mettre à trembler soudainement.

Un grondement puissant jaillit, agitant la terre, donnant l’impression que tout ondulait dans tout les sens avec une puissance rare et inquiétante. La pression de l’éther happa notre souffle, nous laissant reprendre rapidement notre respiration, dans cette ambiance désagréable au possible. Des perles de lumières tombaient d’un peu partout, comme le sang d’or d’une créature magnifique. Le Rêve de Gloire était blessé par la présence de cette noirceur, tandis que nous progressions vers la porte aux deux antiques chevaliers Alexandrins. Des statues de bronzes honoraient des héros du passés, avec de la rouille un peu partout : ça ne devrait pas en être ainsi, pas dans ce monde là. Le Rêve se mourait. Il fallait le récupérer rapidement. J’admets avoir été attristé de voir l’ensemble de ce qui se trouvait autour de nous, regardant un peu partout en cherchant à voir ce qui pourrait nous tomber dessus. Pumaska était bien plus nerveuse que moi, visiblement les milieux enfermés ne la réussissait pas du tout. Tirant ses deux épées, elle était à l’affût, regardant partout comme si n’importe quoi pouvait nous tomber dessus désormais.

Lucian, arrêtant de fixer les statues et la corruption environnante, restait attentif. Jusqu’à ressentir la vibration éthéré gagner grandement en intensité. Avançant dans un grand accès bien aménagé, des tapis et autres auraient pu faire passé ce lieu pour une véritable traversée tranquille. Des marques de griffes étaient visibles partout dans les environs. La créature avec de telles griffes n’auraient jamais pu pouvoir traverser un lieu aussi exiguës, c’était donc certainement une influence inquiétante provenant d’une puissante créature. Et soudainement, des explosions d’énergies jaillirent des endroits griffés, créant des fortes déflagrations d’énergies un peu partout, très soudaine.

Pour avancer malgré tout, je tendais de jouer le tout pour le tout : Une lame en main, je frappais en formant le plus de vibration possible pour fendre les concentrations d’éthers afin de dévié les déflagrations. Frappant plusieurs fois de mon épée, j’avançais alors qu’à côté de moi, Pumaska s’économisait en fonçant en avant rapidement, progressant en vitesse tandis que les déflagrations d’énergies rayonnaient autour d’elle, cherchant à la happer soudainement dans des impacts puissants. Courant rapidement, Pumaska s’échappait alors que Lucian lui, se contenta d’un puissant bouclier. L’explosion donnait l’impression de l’avoir désintégré, mais quand la fumée retomba, Lucian n’était plus là. Il s’était transporté plus loin, formant une nouvelle barrière, alors qu’il nous fit un sourire. Vraiment, les mages, toujours une raison de frimer avec leurs sorts !

Bien entendu, plusieurs adversaires jaillirent. Strausser et Trecims se battaient, ayant été prit dans les soucis alors qu’ils enquêtaient encore sur le Rêve de gloire. Partout autour de nous, en les rejoignant, nous pouvions voir des parodies d’humanoïdes ressemblant à des bêtes enragées, nous fonçant dessus. Fait de pierres volcaniques intenses. Nous fonçant dessus de tout les côtés, surchauffés, il fallait s’en débarrasser pour avancer. Pour ça, je joignais mon glaive en fusant à toute vitesse. Frapper vite et en spirale, dans un milieu, pour les trancher en mille morceaux dans des coups vifs et puissants, la foudre ondulant le long des lames de mon glaive, en essayant de tout tailler en pièce. Me prenant un coup m’écrasant contre le mur, tandis que Lucian reçut une explosion l’envoyant à genou. J’allais me prendre une frappe de griffe enflammées, mais juste avant que le coup ne tombe, Pumaska jaillit et tailla rapidement mon assaillant en pièce.

Elle vient tenir la ligne en frappant à toute vitesse, dans des lueurs éthérés intenses. Jusqu’à ce que le sort de Lucian ne jaillit : des failles s’ouvrirent, emportant tout les survivants parmi nos adversaires, se refermant dans un grondement puissant. Strausser regardait le vide apparu soudainement, ravi, nous criant qu’il était grand temps de reprendre la route. Une grande salle nous attendait, là où Strausser et Trecims cherchaient à forcer le passage, sans y parvenir. Tzar semblait avoir investit les lieux, tandis que nous retrouvions sa maudite silhouette flottant doucement en l’air, fait uniquement de noirceur ondulante dans les airs, crépitante doucement avec des effets de souffles dangereux. Les bras étendu, son regard se tourna vers nous. Il ne pouvait pas parler ainsi normalement, se contentant d’un « Trop. Tard. » avant que le flux de son incarnation ne rejoigne soudainement une vieille épée plantée au sol. C’était jadis la lame d’un héros, qui était devenu l’accumulation de tout cet éther chaotique frappant les environs.
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Des pierres et de la poussière tombait du plafond, donnant un effet chaotique un peu partout autour de nous. Sur les côtés, deux coulées de laves jaillirent, avec brutalement deux énormes silhouettes de monstres se dévoilèrent comme des horreurs des cauchemars de ceux voulant affronter des adversaires dangereux, presque aux allures de démons. Il nous fallait arrêter l’épée, empêcher la suite de la contamination de la vaillance des héros du passés. Pour arrêter tout ça, je fusais pour attraper les coups de la créature qui tentèrent de massacrer une Pumaska au contact de l’épée des héros. Frappant plusieurs fois de mon glaive, repoussant ses coups en vitesse, je sentais la douleur gagné mes bras à mesure où mes impacts résonnaient contre leurs carcasses, pour parvenir à les faire partir arrière. C’est là que le vent de glace intense jaillit.

Formant un effet de froid puissant, une tempête de vent de glace quitta la glyphe de Lucian, faisant reculé les deux énormes horreurs de laves et de feu, créant régulièrement des couches de glaces le long de leurs corps en essayant de s’accumuler de plus en plus. Elles firent par les brisés, mais Lucian et moi étions prêts à les contenir. Jaillissant en frappant sans cesse dans des coups puissants, frappant de mes lames à de nombreuses reprises pour essayer de les écrasés sous le poids des coups. L’une des horreurs subissait trop de frappe, surtout quand un de mes coups faillit le fendre en deux. Soudainement dans une lueur intense, jaillit d’un coup Lucian dans le dos des entités. L’une d’elle se brisa en milles morceaux dans un choc puissant, alors que l’autre en profita pour frapper brutalement Lucian du dos du poing, l’envoyant s’écraser en arrière. Il n’allait pas être facile à achever, celui là ! Fonçant pour l’arrêter avec des coups puissants, accumulant l’éther en formant des rotations de plus en plus vive avec mon glaive, je le tranchais à plusieurs reprises.

Jusqu’à ce que Lucian ne se relève. Un brin trop tard, vu que j’eus le temps de me prendre un choc m’envoyant manger mes nouilles au dodo plus loin ! Lucian envoya une sphère d’éther de vent et de foudre à la suite, foudroyant l’entité brusquement alors que celle ci opposa une farouche résistance. Ce fut utile, quelques brefs instants, jusqu’à ce que l’entité n’explose dans un choc intense. Fonçant droit vers la lame des héros. Pumaska esquivait plusieurs effets de vent, avant de bondir dans un élan éolien vif, atterrissant à côté de l’épée. La saisissant à deux mains, sans l’ombre d’une hésitation, Pumaska chercha à la sortir de là. Mais la lame résistait. Des lignes concentriques se mirent à apparaître le long des bras de Pumaska, et elle fit livrée à voir la version d’elle-même, bien plus « avancée », comme si elle avait obtenue la gloire, la grandeur, et qu’elle avait acquit l’arrogance qui va avec. Elle devait lutter contre l’influence de l’épée, si elle voulait espérer s’en sortir avec la lame, et arrêter la folie environnante. Pour ça, elle provoqua une Réminiscence.

Le choc éthéré repoussa son double dans une explosion d’énergie tournoyante autour d’elle, formant comme un effet flamboyant, alors qu’elle avait arracher l’épée de là. La lame était toujours liée à ses deux mains, mais elle semblait tellement plus pure, paisible, apaisante même. Mais son double la frappa brutalement au ventre. Visiblement, l’entité née de la contamination du Rêve de Gloire, ne se laisserait pas faire. Leur duel fut intense, dans des coups répétés, mais la Pumaska de feu pêcha d’orgueil : après avoir laissé une sérieuse blessure le long de la cuisse de la vraie. Elle tenta de l’achever avec un mouvement égocentrique, et fut coupée en deux en retour. La lame des héros retomba, privé de toute ses forces, elle ne redevient qu’une décoration pour commémoré les anciens Alexandrins.

Strausser et Trecims chutèrent au sol, épuisés d’avoir du tenir l’éther pour que rien ne s’effondre. Et nous, nous pouvions reprendre notre marche, après quelques brefs soins. Progressant doucement à travers un grand couloir, nous découvrions alors une véritable galerie d’innombrables gravures et autres décorations faits de vitraux, dévoilaient des nombreuses histoires ressemblant presque à la fin de conte de fée. Ce moment où les efforts du héros l’ont fait triompher d’ennemi monstrueux, laissant des scènes de vaillances et d’héroïques. On pouvait les voir affronter aussi bien des bêtes que des périlleux ennemi, surtout durant la Guerre des Fulgurations, nous laissant apprécier quelques temps la splendeur de leurs gloires. Jusqu’à ce que les lumières ne deviennent de plus en plus d’un rouge sombre. A mesure que la contamination gagnait, les gravures devenaient plus sinistres, bien moins plaisante à voir. Elles évoquaient désormais l’inverse : la peur, le chagrin, la défaite.

Nous arrivions clairement en direction de ce qui contaminait ce rêve. Pumaska et Lucian restaient sur leurs gardes, prêts à chaque instant à ce défendre, pendant que je cherchais à suivre les histoires des vitraux. Ceux ci se mirent à onduler, apparaissant comme s’ils voulaient prendre vie, alors que des imageries jaillissaient sans cesse. Parmi la terreur qui cherchaient à s’instiller dans nos esprits, on pouvait entendre le chant de gloire. Il cherchait à raviver nos flammes, à nous offrir le courage d’avancer. Au fond, j’avais comme l’impression qu’il nous appelait à l’aide. Le sanctuaire immense aurait du être un endroit merveilleux, reflétant des parties du passés et des péripéties de héros d’un autre monde. Observant un peu partout, nous profitions avec contemplations des environs et des vitraux un peu partout.

Au loin vers le sol, la lave grondait et s’agitait sans cesse, le Rêve de gloire se mêlant aux amas de lave ondulant au sol. En voilà un curieux effet. Des billes de lumières s’agitaient dans les environs avec dedans, des silhouettes des chevaliers du passés et autres combattants ayant jadis effectués des actes de bravoure. Nous découvrions les environs en marchant vers le Rêve de Gloire qui se retrouvait dans les airs. Comme le Rêve d’utopie, on pouvait y voir les reflets rouges inquiétants s’entremêlant tristement à la sphère, démontrant bien sa contamination sinistre. Et soudainement en arrivant face à un vitrail d’un mauve intense, une silhouette jaillit. Elle ne détruisit rien au passage, il n’y eu ni vacarme, ni fracas, c’est simplement une créature faite de pierre volcanique et de feu qui ne cessa de s’accumuler pour créer le reflet de la Peur des Chevaliers : ce qui ressemblait à un dragon ! La bête rugit, immense, en se mettant face à nous en suintant de cette énergie rouge. C’est cette créature aux allures draconiennes que nous devions vaincre pour libérer le Rêve de Bravoure. Qu’à cela ne tienne !

Pour ça, je fusais en me remémorant des techniques de Merethir. C’était idéal d’avoir affronter des dragons il y à longtemps auprès d’un Chevalier-Dragon Ishgardais, même si tout ça m’évoque bien des souvenirs éloignés de l’Ordre de l’Aigle. Frappant à plusieurs reprises la bête, dans des coups vifs en esquivant ses griffes. Les quatre chaînes de Lucian jaillirent, et se mirent à se planter dans sa carcasse. Le coinçant et volant son éther, il fut plus facile ainsi pour Pumaska de jaillir en tranchant la bête au ventre. Les coups ne laissaient que grandes traces lumineuses, l’affaiblissant sans cesse, jusqu’à ce que la bête ne décide de contre-attaque férocement. Et pas qu’elle. Lucian fut soudain paralysé. Son bras noyé de noirceur alors que la contamination à son bras se libéra : Dans sa conscience, Thanatos et une créature sinistre et tentaculaire lui faisait face, lui disant de les rejoindre, alors que dans le réel, Lucian offrait son éther et rendait le pseudo-dragon plus fort et reluisant d’un mauve intense.

Pumaska elle reçue un terrible coup de griffe, s’écrasant au sol, des blessures sérieuses le long de son corps. Bon sang, il fallait que je tienne pour ne pas que la bête les achèves ! Fusant devant, je le frappais à la tête, réorientant son regard vers moi. Se prenant un éclair dans le visage, la bête tenta de me carboniser, et je fusais à l’opposer de mes compagnons en emportant son souffle destructeur loin de là. Pendant que la bête cherchait à me désintégré, Lucian et Pumaska en profitèrent pour frapper. Pumaska dévasta ses ailes dans des coups vifs et puissants, pendant que Lucian, rejetant Thanatos de son esprit, envoya une lance de cristal en plein dans le torse de la bête en créant une forte explosion dans son torse. Quelque peu soudaine, celle ci éclata en créant un énorme impact, laissant voir le Rêve de Gloire dans son torse. Il fallait lui arracher, mais la bête se mit alors à tournoyer, frappant de tout les côtés avec sa queue massive de dragon. Esquivant tous l’impact à toute vitesse, nous avons été écrasées au sol par une lueur de feu, Pumaska et moi. Nous relevant douloureusement, il était temps de foncer ! Pumaska, malgré la douleur, se concentrait sur sa frappe avant tout, brisant le torse de la bête.

Pendant que Lucian, lui, envoya brusquement sa faux droit vers la bête. Se plantant dans son torse, arrêtant le souffle du dragon qui était en train de chercher à le briser. Je parvins à couper ce qui retenait le Rêve, l’envoyant dans les airs, pendant que la faux dévorait le reste de l’éther de la création mémorielle. S’agitant en remuant la tête à droite à gauche, comme s’il tentait de se garder en vie. Un rugissement puissant se fit entendre dans une grande onde de choc. S’écroulant lourdement par terre, sa carcasse s’éteignait doucement en laissant juste un amas de pierre volcanique perdant de sa chaleur. Strausser et Trecims arrivèrent, épuisés, en voyant ça. Alors que le Rêve de gloire redescendait doucement. La musique héroïque était douce, tranquille, tandis que la lueur rouge disparaissait petit à petit de celle ci, lui donnant un air d’un feu intérieur paisible. Un nouveau rêve récupéré, un nouveau flux d’éther arraché à nos ennemis. Tout ça avancer bien, mais il fallait prendre garde : l’ennemi restait toujours aussi dangereux. »
Akayane Kosenjobi, Rôdeuse-Vipère aventurière.

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[Chronique] - Les périples d'une Rôdeuse aventurière.

Message par Akayane » 14 oct. 2025, 23:18

Les périples d’une Rôdeuse aventurière.
Derrière la porte d’or, dans la Mémoire vivante.

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Cent-trente-cinquième entrée.
«Quand des assistants perdent les pédales.»
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« Après avoir récupérer deux des Rêves, nous étions informés par Trecims que tout ça signifiait bien que nous approchions de la réussite de notre petite mission dans la Mémoire Vivante. Teyb faisait régulièrement son rapport à Oblivion quant à nos actes dans les environs, évoquant que tout se passait bien, surtout depuis que particulièrement enthousiaste, il nous signala qu’il avait découvert où se trouvait une des plus grande problématiques de notre péripétie : retrouver ce qu’il restait de Tzar, intégré au Rêve de Terreur. J’aurais pensé qu’il aurait été le gros morceau, mais les enquêtes de Strausser et Trecims se portait encore sur l’étrange entité dont était issue tout ses rêves éparpillés. Il y avait quelque chose, une force, derrière tout ça, et je me demandais encore qu’est-ce que ça pouvait bien être. Au fond, nous le découvrirons tôt ou tard, non ? Pour l’instant, il nous fallait rejoindre une zone de manège, pour attester de la contamination de Tzar dans les environs.

Dans les environs, des ballons s’agitaient doucement sous l’effet d’un vent léger, et le manège proche s’agitait petit à petit, tournoyant lentement sous l’action de la magie qui l’énergisant, lui donnait son rythme lent et tranquille. Pour moi, tout ceci me mit mal à l’aise, surtout en ayant eu l’impression d’entendre des rires d’enfants. Des enfants, chez les éternels ? Imaginez vous des êtres épargnés de la mort, à jamais, sous des traits et une compréhension d’enfant, sans jamais pouvoir grandir, comprendre d’autre chose. Figés à jamais. Bigre, la mémoire vivant me met définitivement dans un état de mal-être profond dès que je pense à toute ses tares.

Pourtant, j’avais du mal à me sentir si affectée, car le temps était simplement splendide. Un ciel d’azur, des nimbes de lumières vivaces et une douce mélodie. De quoi entendre et visualiser un rêve magnifique. Si seulement nous ne pourchassions pas son opposé. Pumaska essayait avant tout de rester sur ses gardes, observant les environs en se grattant le ventre. Je suspecte qu’elle grattait là où la griffe de l’écho de la Gloire l’avait lacéré, peut-être cela deviendrait-il un tic à l’avenir ? Yuki était observateur, et bigre, lui aussi semblait faire de son mieux pour rester concentré. Les Viera, ou Shetona, sont-ils tant focalisé pour ne pas apprécier un beau ciel splendide et un temps radieux ? Sakari inspectait rapidement le manège, curieuse de son fonctionnement, et attrapa son masque pour évité de se laisser atteindre par les odeurs. Tout le monde semblait déjà nerveusement aux aguets ! Après tout, malgré sa façade, la Mémoire vivante, même dans les Terres d’Avant, ne leur inspirait qu’un cimetière immense. Nous progressions vers la zone des manèges de la Terre d’hier, découvrant avec curiosité à quel point les environs cherchaient à mimé les anciennes créations d’Alexandrie, comme avec nostalgie et attraction.

Il y avait pas mal de moyen de s’amuser, j’imagine, mais nous marchions sur une immense route bleutée qui devait être jadis remplie de monde. Les innombrables éternels qui auraient du encombrer les environs semblent s’être malheureusement vidés, puisque les éternels disparurent en un claquement de doigt. Des fenêtres ouvertes étaient abandonnés, et nous pouvions progresser en voyant Bubulle plus loin qui s’agitait tranquillement à sa guise, discutant avec d’autres robots comme lui en parlant « d’Elle » tout en quittant déjà les lieux. Plus nous progressions vers notre objectif, plus les fenêtres et banderoles rendant le tout si beau, paraissait délétère à cause des vices affreux d’une liquidité noire provoquée par le contrôle sinistre de Tzar sur le cauchemar. En marchant, je regardais ici et là, une lame en main, cherchant nerveusement une raison de m’en servir. Pumaska qui passait non loin de là était dans le même état. Elle n’imaginait pas que nous pourrions progresser sans qu’un malheurs ne nous tombe sur le coin de la trogne, se préparant au pire à chaque regard dans les environs, d’un œil exercé allant d’un coin à un autre.

Sakari fit passé ses noulithes, et celles ci désintégrèrent alors les couches de contaminations, pour ne pas qu’elles ne nous gênent. Laissant Yuki en arrière garde, qui était sûr d’avoir vu quelque chose. Et ce quelque chose allait apparaître sous peu et de façon surprenante. Continuant notre progression lentement. D’un coup, des tas de silhouettes jaillirent de partout. Des fenêtres, des portes, des silhouettes fonçaient en braillant, agitant sans cesse les bras, fonçant autour de nous dans la confusion la plus totale. Ils étaient effrayés, comme s’ils étaient poursuivi par quelque chose, regardant ici et là. Sauf qu’ils étaient poursuivi par des intenses vagues d’éthers qui risquaient de nous balayer au passage ! Pour nous échapper, j’envoyais plusieurs de mes sceaux au sol, cherchant à bloquer l’effet éthéré. Ponctionnant un peu de la vague, celle ci était unique : les silhouettes des gens paniqués en faisant partie, ceux ci se bloquèrent contre le bouclier de Sakari, comme une horde folle cherchant à nous manger.

Les bourrasques de vent propulsés par les lames de Pumaska éparpillaient alors rapidement ceux coinçant l’avant, tandis que Rine nous ouvrit le passage. La chouette protectrice avait reprit sa forme immense, envoyant une grande bourrasque de vent intense repoussé les miasmes éthérés, nous offrant un grand passage quand Yuki nous l’indiquait alors. Jusqu’à ce que quelques défenseurs ne nous bloquent l’accès. Apparaissant hors du sol comme si des ombres sortaient lentement de là, des Clowns jaillirent un peu partout.

Bon sang, ils étaient affreux, avec leurs gros nez rond et le reste de leur visage brouillés. Ricanant de façon effrayante, les Clowns jaillirent vers nous en donnant des coups de dagues dans le vide en promettant visiblement de nous transpercer brutalement. Pour détruire ses satanés amas d’éther, je fonçais en passant ma lame en plein dans le visage, avant de fuser en tranchant plusieurs d’entre eux. Un bon coup de botte, et plusieurs volèrent en éclat, dans des coup rapide et puissant. Yuki jaillit dans une lueur de feu, et trancha ceux qui tenaient Sakari, qui était en train de les étudier pour comprendre qui ou quoi le permettait d’être. Des envoyés de Tzar, des pantins, devrais-je dire, alors que Pumaska finit par les taillés en pièce dans une déferlante éolienne admirable, nous ouvrant en vitesse le passage.

Être au milieu d’une foule totalement paniquée n’était pas une première pour moi. Agissez en ville, et c’est souvent ce qui risque de se dérouler. Ce n’est en rien joyeux, car n’importe quels explosions peuvent signifier des vies brisées. Esquiver un tir, une flèche, un coup, peut avoir une lourde conséquence pour autrui. Mais là, le plus surprenant, c’était que personne parmi ceux qui fonçaient un peu partout n’était réellement en vie. Ce n’était que des silhouettes de mémoires d’anciens éternels, et surtout, leurs rêves les plus terrifiants comprimés depuis longtemps. Ils fuyaient, paniquaient en fonçant dans tout les sens, alors que quand ils disparaissaient, ils revenaient pour offrir de plus en plus d’éther à une source qui en profitait : une lanterne de Thanatos. Apportée ici par Tzar, il nous fallait l’arrêter, mais utiliser la force ne ferait qu’amplifier l’effet de foule, et finirait par offrir encore plus d’éther à nos ennemis. Nous devions trouver une solution, jusqu’à ce que cinq bruit intense de téléportation se firent entendre. Des claquements de l’air s’éloignant soudainement, alors que cinq superviseur robotiques, des sortes de machineries rondes, tentèrent de nous arrêter avec des impulsions d’éther neutre intense.
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Pour arrêter ça, Yuki et Sakari fusèrent vers les machineries de surveillance. Les robots flottant au air mécontent n’eurent pas vraiment le choix que de subir la vélocité de Yuki, surtout quand une première fut attrapée par un grappin. Le glaive de Yuki jaillit, traversant l’écran de l’engin en le brisant en mille morceaux, laissant ses décombres choir lourdement au sol. Envoyant un autre coup de lame, il profitait que tout les amas de roches noires, créer par des sorts telluriques des engins de surveillances, ne s’écrasent contre le bouclier formé par Sakari dans des impacts puissants, pour détruire une seconde machinerie. Les trois dernières allaient néanmoins se retrouver renforcées, quand toute la noirceur qui s’échappaient de la Lanterne les touchaient. Car nous avons fait une erreur : agir avec force, contre la Lanterne, attisait le Rêve de Terreur. Je l’avais compris en tranchant plusieurs silhouettes, me faisant assaillir et attraper de plus belle, coincée par des bras sans cesse, je fermais les yeux et approchait, utilisant une technique de méditation.

Tout se passait bien, jusqu’à ce que Pumaska, perdue et confuse, n’envoie son glaive s’écraser contre la lanterne. Quel bigre d’erreur ! Les mémoires se mirent alors à prendre en force, en panique, en folie, il nous fallait trouver un moyen d’avancer ! Le bouclier que forma Sakari autour de moi créa une protection efficace, ainsi que des soins, me permettant d’avancer de nouveau, jusqu’à poser un parchemin contre la lanterne. Mon dernier sceau. Ma main dessus, je cherchais à diffuser le plus d’éther possible dedans afin de créer l’isolation la plus intense possible contre cette maudite Lanterne. Derrière, ce n’était pas tout rose : Sakari et Yuki étaient à terre, écrasés par le dernier surveillant robotique, qui était devenu particulièrement infusé par l’élan de pouvoir sinistre autour de sa silhouette.

Une main énorme envoya Sakari qui m’avait aidé au sol lourdement, alors que Yuki reçu un puissant choc tellurique l’écrasant sur le côté. Pumaska, quant à elle, paniquait. Le fait d’avoir provoquer une telle catastrophe semblait avoir brisé sa confiance en elle, et elle n’osait plus. Regardant les environs, ayant perdue ses moyens. Bon sang, ce n’était pas le moment ! Elle décida de foncer aider Yuki, me laissant seule contre cette satanée Lanterne. Sakari, au sol, formait des boucliers et des soins pour Yuki et elle, mais le Surveillant créa tout un amas de roche partout autour de sa silhouette. Une pointe lacéra le flanc de Sakari, et une autre poignarda l’épaule de Pumaska de par en par. En voilà une blessure sérieuse, la situation dégénérait ! Yuki, protéger par le bouclier de Sakari, profitait que Pumaska même dans son état ne repousse rapidement l’entité, jusqu’à ce que Yuki ne lui enfonce son glaive dans le visage, l’enflammant en détruisant enfin cet engin.

Ce qui me permit de mon côté de me concentré tranquillement. Ayant usage de l’éther de l’étoile filante, comme elle me l’avait apprise surtout, je parvins à sceller l’éther dans le parchemin, même si ça me demandait énormément de concentration. Je n’étais pas la plus douée pour ça, apaiser l’éther, mais au moins ai-je pu l’enfermer, haletant en réalisant le désastre, et les soins nécessaires pour nous remettre d’aplomb : la suite de notre mission attendait. Après tout. En continuant notre route pour atteindre la source de pouvoir, surtout pour découvrir à quoi allait être utile tout l’éther accumulé dans cette maudite lanterne. Nous progressions tous ensemble en observant les environs, voyant des confetti qui volaient dans tout les sens, de toutes les couleurs possibles. C’était aussi beau que surprenant, mais un énorme bruit se fit entendre alors que des cris sortaient d’un peu partout. Des silhouettes étaient catapultés dans les cieux, disparaissant loin dans le ciel avant de devenir des perles de lumières.

Par ici, tout semblait liés aux chutes, à la vitesse intense, et soudainement des bruits puissants de métaux brisé gagna nos oreilles : des tentacules énormes avaient broyés des tuyaux d’acier, faisant tombé une roue droit vers nous. Il fallait nous échapper d’urgence, et pour ça, nous avons fuis à toute vitesse. Bondissant en avant, Sakari fusa pour s’écraser plus loin alors que Pumaska et moi formions une Reptation vive pour sortir de là. Rine avait poussé les silhouettes des habitants de ses vents intenses, et nous avions entendu un grand bruit de fracas. En nous retournant, Yuki avait disparut. Quelques secondes de panique se firent sentir, jusqu’à ce que le Viera ne réapparaisse doucement, il avait tranché une barre, pour que la roue tombe, et qu’il soit dans un espace vide ! Nous avancions alors avec prudence. Des instruments s’agitaient partout, dans tout les sens. Tout tournoyaient avec folie, des centrifugeuses comme celle qui avait été apporté à l’Asile volcanique pour tourmenté Strausser, étaient un peu partout. Les deux grandes roues à côté de nous tournoyaient à une vitesse folle, créant un véritable effet chaotique autour de nous.

Des cris de peur se faisaient entendre partout autour de nous dans une folie certaine. C’était désagréable à voir, je dois bien l’admettre, alors qu’une voix robotique se fit entendre. « Maître Tzar vous interdit d’être ici ! » se fit entendre, faisant paniqué Bubulle. Soudainement, au milieu de tout le chaos environnant, ce foutoir étendu laissa apparaître une énorme machinerie surveillance. Elle flottait en l’air, ressemblant à un de ses robots au grand visage avec un écran devant comme Bubulle, mais son expression était très, très colérique. Elle aurait été sûrement moins inquiétante aussi sans tout les canons qui se braquaient vers nous. Habituellement, nous avons un peu d’initiative, de moyen d’agir, mais là, celle ci était encore plus impitoyable que nos pires adversaires ! Les tirs jaillirent alors d’un coup, au grand cri d’un « Feu » en nous noyant sous les impulsions d’énergie. Déviant deux des tirs, je fonçais droit vers le contact de ses armes.

Fendant brusquement l’énergie propulsée vers nous, je parvins à fendre deux de ses canons, s’écroulant lourdement au sol dans un choc puissant, résonnant à terre. Yuki jaillit à toute vitesse, malgré un tir reçu, et fissura énormément le visage de la Super Superviseuse. S’agitant en cherchant à le frapper en retour, Pumaska parvint à frapper le bras de sa lame dans un coup puissant, retenant son choc. La Shetona agissait avec bravoure, avec son bras encore utilisable, l’autre trop blessé depuis que son épaule fut perforé. Mais elle était la cible de tout les canons par la suite. Au lieu de la dévaster, ceux ci furent tous brisés par Sakari. Dans un élan de sentiment particulièrement intense, une vague de Dynamis surgit, dans une lueur intense, ses noulithes détruisant toutes les armes de la Superviseuse, qui fut particulièrement confuse.

Essayant de nous prévenir que Tzar l’empêchait de reprendre sa conscience, alors, Sakari l’analysa en même temps que Yuki. La Hhestaro trouva l’emplacement d’une Lanterne dans la carcasse d’électrope de la machinerie, que Yuki vint atteindre vers les flammes. Pumaska déviait son attention, envoyant plusieurs frappes contre l’engin dans des bruits sourds résonnant contre l’électrope, alors que Tzar réagit à Sakari et Yuki : Yuki fut propulsé plus loin par une onde de noirceur, et Sakari fut attrapée par plusieurs tentacules sinistres de Tzar. Je parvins à les tranchés pour libérer la Hhestarro d’urgence, et pendant ce temps, la Superviseuse créa tout une onde tellurique le long du manège. Des nacelles furent brisés, et se mirent à tomber droit vers nous dans un grondement puissant. Les autres esquivèrent, et je parvins à fendre la nacelle fonçant vers Sakari, mon glaive libérant toute la pression éthéré qui s’était accumulé. Laissant la foudre chercher à immobiliser la superviseuse, quand elle créa u nouveau canon, un impact tellurique me frappa en m’envoyant manger mes nouilles au dodo plus loin.

Sakari soignait et protégeait Pumaska ainsi que Yuki, qui purent atteindre la lanterne. La lame de vent de Pumaska ouvrit le passage, et les flammes de Yuki brisèrent enfin la lanterne, libérant la Superviseuse du contrôle de Tzar. Tournoyante, s’agitant avec des éclairs sortant de tout son corps. La « super superviseuse » s’effondra lourdement avec un grondement, des croix apparaissant au niveau de ses yeux avant qu’elle ne s’écrase par terre, l’écran de son visage s’éteignant petit à petit, sonnée mais pas détruite, elle pourrait peut-être nous être utile plus tard, qui sait ? Les manèges s’arrêtaient un peu partout autour de nous, un calme profond reprenait sa place. Le chant de peur, au final, continuait d’être prononcé, chantant doucement. Mais sans l’influence de Tzar, c’était le jour et la nuit. Notre quête pour récupérer le Rêve de peur pouvait débuté. Sachant que ce qu’il restait de Tzar pouvait nous attendre, quelque part. »
Akayane Kosenjobi, Rôdeuse-Vipère aventurière.

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